POPULARITY
Cours Halakha Time du Lundi 3 Novembre 2025 (durée : 5 minutes) donné par Rav Emmanuel BENSIMON.
Cours Halakha Time du Lundi 3 Novembre 2025 (durée : 5 minutes) donné par Rav Emmanuel BENSIMON.
Hier à Saint-Prosper a été inauguré le tout premier CPE « préfabriqué », des CPE qui se veulent plus rapides à construire et qui, on l’espère, pourront permettre l’ouverture de plus de place plus rapidement. Entrevue avec Kateri Champagne Jourdain, ministre de la Famille. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avec : Baptiste des Monstiers, journaliste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:02:17 - Bientôt chez vous - Face aux difficultés d'approvisionnements, Meji, un géant de l'agroalimentaire japonais, lance ses premiers biscuits contenant du chocolat produit en laboratoire Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Faut-il forcément être utile pour exister ? C'est la question que pose Olivier Mével, fondateur de la maison d'édition d'objets Multiplié, avec sa nouvelle création baptisée La Machine : un petit cube électronique qui, lorsqu'on l'allume, s'éteint aussitôt. Un gadget aussi absurde que fascinant, héritier d'une invention de Marvin Minsky et Claude Shannon, pionniers de l'intelligence artificielle dans les années 1950.Dans cet épisode, Olivier Mével revient sur la genèse de ce projet singulier, son lien avec l'histoire de l'informatique, mais aussi sur la place de la poésie et de l'inutile dans un monde technologique obsédé par la performance.Fabriquée en France, La Machine revendique son inutilité comme une forme de résistance joyeuse face à la high-tech anxiogène : « être utile ne sert à rien ».
La célèbre statuette qui orne le capot des Rolls-Royce s'appelle « The Spirit of Ecstasy » — « l'Esprit de l'Extase » en français. Plus qu'un simple ornement, elle incarne toute la philosophie de la marque : l'élégance, le luxe et le mouvement parfait. Mais son histoire, à la fois romantique et tragique, remonte à plus d'un siècle.Au début du XXᵉ siècle, Rolls-Royce s'impose comme la voiture des aristocrates britanniques. À cette époque, chaque propriétaire pouvait personnaliser son véhicule, et certains faisaient installer sur le capot des figurines parfois jugées de mauvais goût. Pour préserver la dignité de ses automobiles, la marque décide de créer une mascotte officielle.Le constructeur fait alors appel au sculpteur Charles Sykes, qui avait déjà réalisé une petite figurine privée pour un noble passionné d'automobiles : Lord John Montagu, rédacteur du magazine The Car Illustrated. Cette première version représentait une femme penchée en avant, les bras tendus vers l'arrière, les vêtements semblant flotter au vent. Elle portait un doigt sur la bouche, comme pour inviter au silence. Le modèle de cette sculpture s'appelait Eleanor Velasco Thornton, secrétaire et amante secrète de Montagu.Lorsque Rolls-Royce cherche une mascotte officielle en 1911, Sykes s'inspire directement d'Eleanor pour en créer une version plus épurée et symbolique : ce sera l'Esprit de l'Extase. La légende raconte qu'il a voulu représenter « la beauté, la vitesse, le silence et la grâce », les qualités idéales de l'automobile de luxe. La figurine fut adoptée par la marque la même année, devenant rapidement son emblème.Tragiquement, Eleanor Thornton ne vit jamais son image devenir célèbre : elle mourut en 1915, lors du naufrage du paquebot SS Persia, torpillé en Méditerranée pendant la Première Guerre mondiale.Depuis, la statuette n'a jamais quitté le capot des Rolls-Royce. Fabriquée d'abord en bronze, puis en argent et aujourd'hui en acier inoxydable ou en cristal, elle mesure environ 7 à 9 centimètres. Depuis 2003, un mécanisme de sécurité la fait même se rétracter automatiquement en cas de choc, pour éviter le vol ou les blessures.Plus qu'un ornement, « The Spirit of Ecstasy » est devenue l'âme même de Rolls-Royce : une figure féminine qui incarne la passion, le raffinement et la quête du mouvement parfait — un esprit d'extase éternel suspendu au-dessus du monde mécanique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'essentiel des nouvelles le 15 septembre 2025---Mark Carney a annoncé la construction de 4000 maisons «abordables» Le gouvernement Legault se prépare à réviser ses objectifs climatiques Les services d'autobus scolaires sont encore perturbés ce matin Les employés des postes cessent de livrer toute circulaire La grande majorité des pays soutiennent officiellement la création d'un État palestinienLe marché immobilier québécois devrait ralentirLa valeur des ménages augmente malgré le ralentissement économiqueUn pays confie un ministère à l'intelligence artificielleComme chaque lundi, InfoBref vous fait découvrir une jeune entreprise québécoise innovante.Cette semaine: Arlyx, une jeune pousse de Québec.Elle a conçu un véhicule utilitaire électrique et autonome qui transportant du matériel sur des terrains difficiles, particulièrement dans les tunnels des mines.Pour en savoir plus sur ce véhicule, lisez le portrait d'Arlyx à http://infobref.com/jeqi-centech-arlyx-2025-09 --- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De passage en Alsace, Olivier Dauvers a acheté des saucisses de Strasbourg (ou des knacks) de la marque de distributeur de Leclerc. Et devinez quoi ? Ces saucisses ont été fabriquée à Collinée, dans les Côtes-d'Armor, à 900 km de là. Et ce qui est valable chez Leclerc l'est aussi pour Auchan, Carrefour et pour d'autres enseignes encore. Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 12 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De passage en Alsace, Olivier Dauvers a acheté des saucisses de Strasbourg (ou des knacks) de la marque de distributeur de Leclerc. Et devinez quoi ? Ces saucisses ont été fabriquée à Collinée, dans les Côtes-d'Armor, à 900 km de là. Et ce qui est valable chez Leclerc l'est aussi pour Auchan, Carrefour et pour d'autres enseignes encore.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:55 - Avez-vous goûté "Mes petits Précieux", les biscuits artisanaux fabriqués à Assat ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:29 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Radior, marque créée il y a 120 ans à Bourg-en-Bresse, a été relancée en 2021 : elle fabrique des vélos à partir de pièces détachées à 90% venues de France. Egalement au programme de ces Carnets dans l'Ain : M le mot dit, une compagnie de théâtre en milieu rural. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Alors que la France est l'un des principaux pays producteurs de blé au monde, on importe une part croissante de notre farine : 1 sachet sur 4 vendu en grande distribution vient d'ailleurs, souvent d'Allemagne. Explications. Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 04 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la France est l'un des principaux pays producteurs de blé au monde, on importe une part croissante de notre farine : 1 sachet sur 4 vendu en grande distribution vient d'ailleurs, souvent d'Allemagne. Explications. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 02 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un paradoxe : à la base, les véhicules électriques ne font pas de bruits. Mais ils commencent à intégrer des sonorités. Les constructeurs y travaillent. Pour s'en rendre compte, Christophe Bourroux vous emmène sur un circuit automobile, puis au technocentre de Renault, dans les Yvelines. là ou l'on conçoit les nouveaux modèles...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un paradoxe : à la base, les véhicules électriques ne font pas de bruits. Mais ils commencent à intégrer des sonorités. Les constructeurs y travaillent. Pour s'en rendre compte, Christophe Bourroux vous emmène sur un circuit automobile, puis au technocentre de Renault, dans les Yvelines. là ou l'on conçoit les nouveaux modèles...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un paradoxe : à la base, les véhicules électriques ne font pas de bruits. Mais ils commencent à intégrer des sonorités. Les constructeurs y travaillent. Pour s'en rendre compte, Christophe Bourroux vous emmène sur un circuit automobile, puis au technocentre de Renault, dans les Yvelines. là ou l'on conçoit les nouveaux modèles...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un paradoxe : à la base, les véhicules électriques ne font pas de bruits. Mais ils commencent à intégrer des sonorités. Les constructeurs y travaillent. Pour s'en rendre compte, Christophe Bourroux vous emmène sur un circuit automobile, puis au technocentre de Renault, dans les Yvelines. là ou l'on conçoit les nouveaux modèles...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un paradoxe : à la base, les véhicules électriques ne font pas de bruits. Mais ils commencent à intégrer des sonorités. Les constructeurs y travaillent. Pour s'en rendre compte, Christophe Bourroux vous emmène sur un circuit automobile, puis au technocentre de Renault, dans les Yvelines. là ou l'on conçoit les nouveaux modèles...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La madrugada del 17 de Julio del 2021 recibimos una llamada telefónica durante nuestra transmisión en vivo. Adán de la Garza nos contó una aterradora historia sucedida en una preparatoria.Adán es un artesano que trabaja con madera y un día un grupo de alumnos se le acercó para pedirle que les fabricara una tabla Ouija. Y aunque en un principio se negó, terminó cediendo luego de la insistencia de los muchachos. Grave error, o al menos así es como lo reconoció el propio Adán, quién nos relata las terribles consecuencias de esto.▬▬▬▬▬▬▬▬Te invitamos a seguirnos en todas nuestras redes sociales. Publicamos más contenido aterrador por allá:► YouTube: https://www.youtube.com/FrecuenciaParanormal► Facebook: https://www.youtube.com/FrecuenciaParanormal► TikTok: https://www.tiktok.com/@frecuencia__paranormal► Instagram : https://www.instagram.com/frecuencia.paranormal► Twitter : https://x.com/FrecParanormal▬▬▬▬▬▬▬▬¿Tienes un relato que te gustaría compartir en esta Frecuencia?Envíalo a: frecuencia.paranormal.oficial@gmail.como a nuestro WhatsApp: (+52) 3313328094 Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
La madrugada del 17 de Julio del 2021 recibimos una llamada telefónica durante nuestra transmisión en vivo. Adán de la Garza nos contó una aterradora historia sucedida en una preparatoria.Adán es un artesano que trabaja con madera y un día un grupo de alumnos se le acercó para pedirle que les fabricara una tabla Ouija. Y aunque en un principio se negó, terminó cediendo luego de la insistencia de los muchachos. Grave error, o al menos así es como lo reconoció el propio Adán, quién nos relata las terribles consecuencias de esto.▬▬▬▬▬▬▬▬Te invitamos a seguirnos en todas nuestras redes sociales. Publicamos más contenido aterrador por allá:► YouTube: https://www.youtube.com/FrecuenciaParanormal► Facebook: https://www.youtube.com/FrecuenciaParanormal► TikTok: https://www.tiktok.com/@frecuencia__paranormal► Instagram : https://www.instagram.com/frecuencia.paranormal► Twitter : https://x.com/FrecParanormal▬▬▬▬▬▬▬▬¿Tienes un relato que te gustaría compartir en esta Frecuencia?Envíalo a: frecuencia.paranormal.oficial@gmail.como a nuestro WhatsApp: (+52) 3313328094 Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:04:11 - L'invité de "ici Maine" - La Sarthe est tous les jours sur le podium du Tour de France : la médaille remise à chaque vainqueur d'étape - comme le Belge Tim Merlier lundi soir - est fabriquée par la fonderie Macheret à Montfort-le-Gesnois, depuis l'édition 2023. Le directeur de l'entreprise nous explique comment. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invitée - Cinthia Born, fondtarice du Mouton Givré Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée - Cinthia Born, fondtarice du Mouton Givré Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:08 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Aujourd'hui, Jil, sept ans, se demande comment les billets de banque sont-ils conçus et fabriqués ? Le spécialiste des monnaies, Bruno Collin, lui répond - invités : Bruno COLLIN - Bruno Collin : Historien, spécialiste des monnaies - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Avec : Guillaume Gibault, président et fondateur du Slip français. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Quand on imagine un Viking en plein combat, on pense immédiatement à une grande hache tranchante brandie avec rage. Et ce n'est pas un cliché : les Vikings utilisaient bel et bien majoritairement des haches au combat, bien plus que des épées. Mais pourquoi ce choix ? Était-ce une question de stratégie, de tradition… ou tout simplement de budget ? Plongeons dans les coulisses de l'armement viking.La hache : un outil devenu armeD'abord, la hache était un outil courant dans la vie quotidienne des Scandinaves. Qu'il s'agisse de couper du bois, de construire des bateaux ou d'abattre des arbres, chaque foyer possédait une ou plusieurs haches. Résultat : c'était une arme familière, robuste et polyvalente. En temps de guerre, il suffisait de renforcer le manche ou d'affûter la lame pour transformer cet objet domestique en arme redoutable.Les archéologues ont retrouvé de nombreuses haches de guerre spécifiques, notamment la célèbre "hache danoise", longue et à lame large, utilisée à deux mains. D'autres modèles étaient plus compacts, légers et rapides, parfaits pour les raids éclairs.L'épée : un luxe réservé à l'éliteL'épée, elle, n'était pas à la portée de tous. Fabriquée en fer, souvent décorée, équilibrée et nécessitant un savoir-faire de forgeron très avancé, elle coûtait extrêmement cher. Pour un Viking ordinaire, l'épée représentait un symbole de richesse et de prestige.Certaines épées, comme les fameuses Ulfberht, étaient si bien conçues qu'on les considère comme les Rolls-Royce de l'époque. Elles étaient souvent transmises de génération en génération, accompagnées de rituels funéraires. Mais dans un combat de masse ou un raid, peu de guerriers en possédaient réellement.Efficacité et brutalitéLa hache n'avait pas seulement l'avantage du coût : elle était aussi terriblement efficace. Grâce à son poids décalé, elle permettait des frappes puissantes capables de briser des boucliers, d'éventrer des armures légères ou de désarmer un adversaire. Certaines étaient dotées de crochets, permettant d'agripper un bouclier ou de tirer un ennemi au sol.De plus, dans la tradition viking, le combat rapproché, brutal et direct était valorisé. La hache incarnait cette philosophie du guerrier sans fioritures, efficace et sans peur.Une arme identitaireEnfin, la hache était aussi un marqueur culturel. Elle symbolisait l'identité scandinave, à tel point qu'on la retrouve gravée sur des pierres runiques, des pendentifs, et même dans les mythes — le dieu Thor lui-même manie une arme lourde, le marteau Mjöllnir, qui partage une parenté symbolique avec la hache.En résumé, les Vikings se battaient avec des haches parce que c'était pratique, économique, redoutable… et profondément enraciné dans leur culture. Une arme à la fois populaire et mythique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on imagine un Viking en plein combat, on pense immédiatement à une grande hache tranchante brandie avec rage. Et ce n'est pas un cliché : les Vikings utilisaient bel et bien majoritairement des haches au combat, bien plus que des épées. Mais pourquoi ce choix ? Était-ce une question de stratégie, de tradition… ou tout simplement de budget ? Plongeons dans les coulisses de l'armement viking.La hache : un outil devenu armeD'abord, la hache était un outil courant dans la vie quotidienne des Scandinaves. Qu'il s'agisse de couper du bois, de construire des bateaux ou d'abattre des arbres, chaque foyer possédait une ou plusieurs haches. Résultat : c'était une arme familière, robuste et polyvalente. En temps de guerre, il suffisait de renforcer le manche ou d'affûter la lame pour transformer cet objet domestique en arme redoutable.Les archéologues ont retrouvé de nombreuses haches de guerre spécifiques, notamment la célèbre "hache danoise", longue et à lame large, utilisée à deux mains. D'autres modèles étaient plus compacts, légers et rapides, parfaits pour les raids éclairs.L'épée : un luxe réservé à l'éliteL'épée, elle, n'était pas à la portée de tous. Fabriquée en fer, souvent décorée, équilibrée et nécessitant un savoir-faire de forgeron très avancé, elle coûtait extrêmement cher. Pour un Viking ordinaire, l'épée représentait un symbole de richesse et de prestige.Certaines épées, comme les fameuses Ulfberht, étaient si bien conçues qu'on les considère comme les Rolls-Royce de l'époque. Elles étaient souvent transmises de génération en génération, accompagnées de rituels funéraires. Mais dans un combat de masse ou un raid, peu de guerriers en possédaient réellement.Efficacité et brutalitéLa hache n'avait pas seulement l'avantage du coût : elle était aussi terriblement efficace. Grâce à son poids décalé, elle permettait des frappes puissantes capables de briser des boucliers, d'éventrer des armures légères ou de désarmer un adversaire. Certaines étaient dotées de crochets, permettant d'agripper un bouclier ou de tirer un ennemi au sol.De plus, dans la tradition viking, le combat rapproché, brutal et direct était valorisé. La hache incarnait cette philosophie du guerrier sans fioritures, efficace et sans peur.Une arme identitaireEnfin, la hache était aussi un marqueur culturel. Elle symbolisait l'identité scandinave, à tel point qu'on la retrouve gravée sur des pierres runiques, des pendentifs, et même dans les mythes — le dieu Thor lui-même manie une arme lourde, le marteau Mjöllnir, qui partage une parenté symbolique avec la hache.En résumé, les Vikings se battaient avec des haches parce que c'était pratique, économique, redoutable… et profondément enraciné dans leur culture. Une arme à la fois populaire et mythique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
durée : 00:58:27 - Avec philosophie - par : Géraldine Mosna-Savoye, Nassim El Kabli - Lucrèce, un philosophie épicurien, marginal et solitaire, que l'on aurait volontairement oublié au Moyen Âge puis soudainement redécouvert à la Renaissance ? Tout cela est vraisemblablement un mythe, selon Pierre Vesperini. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Pierre Vesperini Historien et philosophe français
En République démocratique du Congo, une équipe de kinésithérapeutes et d'orthopédistes refont marcher les patients qui ont été amputés d'un membre grâce à des prothèses. Particularité : elles sont fabriquées sur mesure, imprimées en 3D et sur place à Kinshasa dans des temps records. Un enjeu médical pour les patients bien sûr, mais aussi de société dans un pays où les personnes à mobilité réduite sont souvent marginalisées. De notre correspondante à Kinshasa, Erick Mbuyi, orthoprothésiste, est en pleine séance de rééducation. Devant lui, sa patiente réapprend à marcher avec une prothèse de jambe. Les mains agrippées à deux barres de maintien, Meda se familiarise avec sa nouvelle prothèse. À 10 ans, la jeune fille a perdu sa jambe après avoir été percutée par une voiture. Un large sourire aux lèvres, elle enchaîne les exercices, qui lui donnent l'espoir de pouvoir jouer à nouveau avec ses copines à l'école. « Quand on sort en récréation, moi, j'assiste, je regarde seulement quand mes amis jouent. Mais quand je vais prendre les prothèses, moi aussi, je vais commencer à jouer, se réjouit-elle, je vais commencer à danser, je vais tout faire ».À lire aussiMadagascar: des prothèses gratuites pour les habitants de la Grande île, grâce à deux associationsDes prothèses moins chères et plus confortablesDans ce centre de Kinshasa, les prothèses sont conçues sur place et en moins de 48 h grâce à un simple téléphone qui scanne en 3D les moignons du patient. Martin Babadi, orthoprothésiste, fait une démonstration : « C'est de cette façon-là que je prends des mesures sur les patients, sans utiliser le plâtre, sans utiliser le mètre ruban. Mais avec le scan, avec les téléphones. Je prends mon scan et puis c'est fini », montre-t-il. Les mesures sont ensuite modélisées sur un logiciel et une fois validée, l'emboiture de la prothèse est imprimée en 3D. Avec cette technologie, les prothèses sont plus confortables et trois fois moins chères que les prothèses conçues dans des centres publics, grâce à des financements partenaires. C'est ce qui a motivé cet ancien judoka venu pour sa première consultation : « Ici, on peut me faire une prothèse de qualité, c'est pourquoi je me suis présenté. Aujourd'hui, j'ai des prothèses, mais ça ne convient pas, regrette-t-il. On vous donne ça, mais vous n'arrivez pas à marcher avec ça. Et ça me permettra aussi de faire des mouvements sans béquilles. »En moins d'une année, l'entreprise a déjà appareillé plus de 150 patients. À écouter dans Autour de la questionDepuis quand et comment réparer les vivants ?
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.
Hier, ce lundi 10 février 2025, Donald Trump a demandé l'arrêt la production des pièces de 1 cent, le "penny" ; celles-ci coûteraient deux fois plus cher à produire que les autres. L'occasion pour Florian Gazan d'expliquer comment sont fabriquées nos pièces jaunes et rouges, et surtout, à quel prix ! Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête.
En clin d'œil à l'Exposition du Fabriqué en France organisée au Palais de l'Élysée en octobre dernier, Le French Market by LCS a mis à l'honneur les multiples expressions de l'artisanat #madeinFrance le temps d'un podcast qui s'est tenu au Lycée Français de Sydney, le Lycée Condorcet le 14 décembre dernier, sous l'égide de Pierre André-Imbert, ambassadeur de France en Australie, et de l'équipe du Lycée Condorcet de Sydney, Nicolas L'Hotellier, proviseur et Elise Lombrage, directrice de la communication.
▶ Rejoins la Nef : https://t.ly/lanefL'endométriose touche nos mères, nos sœurs, nos amies. Comment mieux vivre avec ?Voici Chloé Bonnet de l'appli Lyv Endo®, un projet financé par la Nef, partenaire de cet épisode. Kézako la Nef ?La Nef est une banque éthique depuis 1988. Elle ne finance que des projets à impacts écologiques, sociaux et culturels, grâce à l'épargne qu'elle collecte et ce en toute transparence.C'est la seule banque française à publier l'intégralité de ses financements chaque année.▶ Pour ouvrir un Livret Nef (gratuit, dès 10€ et ton épargne est dispo H24) : https://t.ly/lanef▶ Le site de Lyv : https://www.lyv.appSOMMAIRE00:38 Comprendre l'endométriose05:21 Des sorcières hystériques ?06:57 La quête de sens de Chloé Bonnet09:45 Le projet Lyv18:04 Anecdotes21:04 Le financement de la Nef, banque éthique22:45 L'appli Lyv Endo®26:29 Pourquoi ça te tient à cœur ?Fabriqué par Lyv Healthcare, Lyv Endo® est un Dispositif Médical Numérique (DMN) destiné à l'accompagnement des personnes atteintes d'endométriose dans l'autogestion des symptômes de l'endométriose et pour améliorer leur qualité de vie, parallèlement à leurs soins médicaux habituels.Ce dispositif médical est un produit de santé réglementé qui porte, au titre de cette réglementation, le marquage CE.Lire attentivement la notice d'utilisation et demander conseil à un professionnel de santé._Merci au sponsor du mois : Voltalis, qui t'aide à faire des économies d'énergie... gratuitement !Prends rdv sur voltalis.com
durée : 00:19:22 - Mes petits Précieux, des sablés sans oeufs, fabriqués à Assat - Basée à Assat, entre Pau et Nay, Mes Petits Précieux réinvente les biscuits sablés avec une particularité : ils sont confectionnés sans œufs, dans un atelier artisanal. De quoi enchanter les gourmands à la recherche d'alternatives.
Tous les matins, à 6h45, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique de Hélène Terzian.
Dans ce quinzième épisode de La Maison du Père-Nolille, rencontre Adrien et Caroline, le duo passionné derrière Tropesa, une marque familiale qui réinvente les serviettes de plage et de piscine avec des produits pratiques, durables et esthétiques.
Dans ce treizième épisode de La Maison du Père-Nolille, découvre Éléonore, fondatrice de la marque Les Sans-Calottes, qui revisite les tenues médicales avec style, praticité et un brin d'originalité.
Jean-René Tabouret était au téléphone des "Grosses Têtes" ce 12 novembre. Dans son atelier, en Bretagne, il confectionne des plaques funéraires humoristiques... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Séparée du reste des Comores en 1974, département français depuis 2011, l'archipel de Mayotte est aujourd'hui encore un territoire disputé. Rémi Carayol, journaliste indépendant publie un livre sur cette histoire complexe, et souvent falsifiée. Mayotte, département colonie est paru aux éditions La Fabrique. Rémi Carayol est notre invité ce matin pour en parler au micro de Florence Morice.
Fabriqué à partir de la peau de mammifère, reptile, oiseau ou même poisson, grâce à un processus appelé tannage, le cuir est une matière naturelle particulièrement plébiscitée pour la confection de chaussures, de sacs, de vêtements ou dans l'ameublement. Avec un cheptel évalué à 60 millions de bovins et 160 millions de petits ruminants, rien que pour l'Afrique de l'Ouest, le continent ne représente pourtant qu'une faible part de la production mondiale de peau. Une matière première abondante, mais un potentiel sous-exploité qui pourrait largement contribuer à créer de l'emploi et mettre en valeur les savoir-faire africains. De la production jusqu'à la création, en passant par la transformation, quelle stratégie pour le secteur du cuir africain ? Quels rôles les créateurs peuvent-ils jouer ? Cette émission est une rediffusion du 19 septembre 2024Avec :• Marie-Jeanne Serbin Thomas, rédactrice en chef du magazine Brune • Ernest Siadjeu Deugoue, fondateur de la marque Maureen Kim Paris, maison de maroquinerie basée à Paris • Moustapha Sy Ndiaye, fondateur de Maraz, marque de maroquinerie sénégalaise. La chronique de Maria Afonso, présentatrice de la chronique 100% création diffusée chaque dimanche sur RFI +En fin d'émission, la chronique Mondoblog chez les voisins avec Thibault Matha. Et si la société s'inspirait du monde animal ? C'est en tout cas l'idée du blogueur Yves-Landry Kouamé dans son article.Écoutez le blogueur Judicaël Adou qui pose cette question : « Faut-il parler de sexe aux enfants ? ». Programmation musicale :► Olamidé - Metaverse► Yemi Alade - Ki Lo Wa Wa.
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:22 - franceinfo junior - À l'occasion d'une exposition sur les vitraux, les enfants de franceinfo junior interviewent Anne-Claire Garbe, conservatrice en chef de la Cité du Vitrail à Troyes.
Fabriqué à partir de la peau de mammifère, reptile, oiseau ou même poisson, grâce à un processus appelé tannage, le cuir est une matière naturelle particulièrement plébiscitée pour la confection de chaussures, de sacs, de vêtements ou dans l'ameublement. Avec un cheptel évalué à 60 millions de bovins et 160 millions de petits ruminants, rien que pour l'Afrique de l'Ouest, le continent ne représente pourtant qu'une faible part de la production mondiale de peau. Une matière première abondante, mais un potentiel sous-exploité qui pourrait largement contribuer à créer de l'emploi et mettre en valeur les savoir-faire africains. De la production jusqu'à la création, en passant par la transformation, quelle stratégie pour le secteur du cuir africain ? Quels rôles les créateurs peuvent-ils jouer ? Avec :• Marie-Jeanne Serbin Thomas, rédactrice en chef du magazine Brune • Ernest Siadjeu Deugoue, fondateur de la marque Maureen Kim Paris, maison de maroquinerie basée à Paris • Moustapha Sy Ndiaye, fondateur de Maraz, marque de maroquinerie sénégalaise. La chronique de Maria Afonso, présentatrice de la chronique 100% création diffusée chaque dimanche sur RFI +En fin d'émission, la chronique Mondoblog chez les voisins avec Thibault Matha. Et si la société s'inspirait du monde animal ? C'est en tout cas l'idée du blogueur Yves-Landry Kouamé dans son article.Écoutez le blogueur Judicaël Adou qui pose cette question : « Faut-il parler de sexe aux enfants ? ». Programmation musicale :► Olamidé - Metaverse► Yemi Alade - Ki Lo Wa Wa.
Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.