Podcasts about importations

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Chronique des Matières Premières
Les restrictions chinoises sur le germanium font flamber les prix

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 1:37


Depuis que la Chine a imposé des contrôles très stricts à son exportation, le germanium a vu son prix flamber. Ce métal, utilisé, en minuscule quantité, dans les équipements militaires et les semi-conducteurs, atteint son plus haut niveau depuis quatorze ans. Aucun autre métal n'offre les mêmes propriétés que le germanium. Il faut désormais compter environ 5 000 dollars pour un kilo de germanium, contre 1 000 dollars en 2023, avant que la Chine n'impose ses restrictions, selon l'agence Fastmarkets. Les prix ont réellement explosé à partir de fin 2024, quand les exportations chinoises ont commencé à chuter sérieusement, rapporte le Financial Times. Certains experts n'excluent pas que des entreprises aient choisi de faire des stocks et provoqué une distorsion du marché, qui à son tour renforce la stratégie chinoise de restrictions. La plupart des usages industriels ne nécessitent que quelques grammes ou quelques nanogrammes de germanium. Aujourd'hui, « l'argument du prix n'est plus pertinent, la question est la disponibilité », pointe Raphaël Danino-Perraud, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales (Ifri). Pour cet analyste, il revient aux pays consommateurs de mettre en place avec les industriels une stratégie souveraine d'approvisionnement. L'offre disponible sur le marché a fondu. Des négociants qui achetaient 100 kg de germanium auparavant, racontent dans le Financial Times être obligés de se contenter de 10 kg. Selon plusieurs témoignages cités par le journal britannique, les États-Unis, qui ont importé l'année dernière pour 50 millions de dollars de germanium selon l'USGS, font face à une crise d'approvisionnement « désespérée ». À lire aussiLa Chine restreint les exportations de deux métaux rares Importations en chute aux États-Unis Le commerce du germanium a nettement ralenti. Les États-Unis, qui l'utilisent dans la fabrication des fibres optiques, des cellules infrarouges et des semi-conducteurs, ont vu leurs importations chuter de 40% pour les sept premiers mois par rapport à la même période en 2024. La situation ne devrait guère évoluer, car même si d'autres pays exportent du germanium issu du recyclage, comme le Canada ou encore la Belgique, « la Chine domine la production et n'a aucun intérêt à diminuer sa mainmise sur le secteur », résume Raphaël Danino-Perraud. En 2023, selon le site français MineralInfo, la Chine produisait plus de 94% du germanium raffiné. À lire aussiLes États-Unis devront se passer de gallium, germanium et antimoine chinois Une production liée au zinc Ces prix, qui crèvent le plafond depuis plusieurs mois, pourraient inciter les miniers à extraire plus de germanium, en théorie, mais le germanium est un co-produit du zinc essentiellement, il est donc tributaire de la demande et de la production de cet autre secteur. Les producteurs de zinc sont en tout cas très courtisés par les industriels. L'Américain Lockheed Martin a par exemple annoncé fin août un partenariat stratégique avec Korea Zinc, un groupe de métallurgie sud-coréen, pour sécuriser ses achats.

Afrique Économie
Décollage de l'énergie solaire en Afrique, la preuve par la hausse des importations

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 7, 2025 2:17


L'Afrique a importé l'équivalent de 15 000 mégawatts de panneaux solaires entre juillet 2024 et juin 2025, soit la puissance de dix réacteurs nucléaires. C'est une augmentation de 60 % en un an. Si l'on exclut l'Afrique du Sud, les importations africaines de panneaux photovoltaïques ont même doublé en deux ans. La preuve, selon le groupe d'études Ember, d'un décollage de l'énergie solaire sur tout le continent. L'étude est basée sur les chiffres des douanes chinoises – la Chine étant le principal fournisseur de panneaux solaires à l'Afrique. Et la hausse est spectaculaire. « L'Algérie a multiplié par 33 ses importations de panneaux solaires en un an, observe Dave Jones, analyste en chef chez Ember. C'est le troisième pays à en importer le plus, après l'Afrique du Sud et le Nigeria. Les importations de panneaux solaires de la Zambie ont été multipliées par huit en douze mois, celles du Botswana par sept, celles du Soudan par six et celles du Nigeria, de la RDC et du Bénin ont plus que triplé. » La moitié des besoins en électricité du Tchad Les panneaux solaires importés par exemple au Tchad en un an permettraient, une fois installés, de produire la moitié de l'électricité totale du pays. Une augmentation de l'offre de courant en perspective en Afrique, mais aussi une baisse potentielle des prix. « Maintenant que le prix d'un panneau solaire n'est plus que d'environ 60 dollars au Nigeria, de l'électricité, souligne Dave Jones, les économies réalisées en évitant le diesel peuvent rembourser le coût d'un panneau solaire en six mois, et même moins dans d'autres pays. » La grande majorité des panneaux, 16 000 gigawatts, est jusqu'à présent destinée à des centrales solaires reliées au réseau, d'après les images satellites consultées par Ember. Mais l'usage décentralisé, 6 000 gigawatts pour l'instant, grandit aussi. « Ce sont des entreprises ou des industries, en site isolé ou pas, qui vont être le client unique privé de l'installation, explique Gilles Parmentier, PDG d'Africa REN, un opérateur du secteur. Ça peut être des panneaux solaires installés sur la toiture de supermarchés ou d'usines, ça peut être une centrale solaire installée pour une mine. La dernière catégorie, ce sont des villages isolés sur lesquels certains opérateurs proposent des kits solaires à l'échelle domestique. » Développer le stockage Le solaire se déploie en Afrique, ce qui imposera de relever le défi de l'intermittence de cette énergie. « Le prochain enjeu, estime Gilles Parmentier, c'est d'arriver à développer des projets de stockage, comme celui qu'on a fait au Sénégal, Walo Storage, pour permettre aux sociétés d'électricité de stabiliser leurs réseaux et également de pouvoir différer la production solaire, de la journée vers la soirée. Sinon, on va se retrouver avec des pays qui vont être en surproduction solaire la journée et en déficit le soir, alors que c'est le moment où il y a le plus de consommation. » L'autre défi pour accompagner les besoins en centrales solaires en Afrique, sera le développement des réseaux électriques. À lire aussiBénin: lancement de la construction de quatre centrales photovoltaïques

TOPFM MAURITIUS
Pénurie de devises : « L'impact est direct sur nos affaires et notre économie, qui repose sur les importations » affirme l'économiste Ibrahim Malleck

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 1:47


Pénurie de devises : « L'impact est direct sur nos affaires et notre économie, qui repose sur les importations » affirme l'économiste Ibrahim Malleck by TOPFM MAURITIUS

Afrique Économie
Au Cameroun, une raffinerie pour limiter la dépendance aux importations

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 2:20


Le Cameroun lance un nouveau projet de raffinerie dans la ville balnéaire de Kribi. En 2019, un grand incendie avait mis à l'arrêt celle de la Sonara. La pose de la première pierre du futur complexe qui comprend aussi un dépôt de stockage de produits pétroliers, a eu lieu le 17 juillet 2025. Le projet est conduit par la société nationale des hydrocarbures accompagnée par un groupe d'entreprises nationales et internationales. Le pays vise à travers cette infrastructure à résorber la dépendance énergétique du pays aux importations. Avec notre envoyé spécial à Kribi, Le projet à bâtir s'étale sur une superficie de 250 hectares, à un jet de pierre du complexe portuaire de Kribi. Il va compter une raffinerie et un dépôt de stockage de produits pétroliers. « La raffinerie et le dépôt de stockage stratégique de produits pétroliers dans lesquels nous avons décidé d'investir sont des infrastructures à la portée historique destinée à révolutionner et à sécuriser l'écosystème énergétique au Cameroun, estime Nathalie Moudiki, la présidente du conseil d'administration de la société de projet CSTAR, spécialement constituée pour sa mise en œuvre. Il s'agit de projets complémentaires et indissociables qui constituent une avancée majeure dans le domaine de l'économie pétrolière. Ils viennent répondre au déficit structurel des capacités de stockage dont souffre le pays entier. » L'enjeu est donc de réduire la dépendance énergétique du Cameroun. Le pays important jusqu'ici l'essentiel de sa consommation de produits pétroliers. Avec 30 000 barils par jour de produits raffinés annoncés, cette dépendance devrait être réduite de 30 %, espère-t-on chez CSTAR. « À ce jour, 100 % de produits pétroliers est importé. Si nous avons des problèmes sur les lignes d'importations, le pays est à sec. Nous n'avons pas assez de stockage, ce qui veut dire que s'il y a un problème d'approvisionnement d'un jour, nous risquons la rupture de notre chaîne d'approvisionnement en produits pétroliers. Et vous pouvez imaginer les dégâts que nous pourrions avoir sur le fonctionnement du pays », souligne Miles Dion Ngute, coordonnateur du projet de construction de la raffinerie et du dépôt de stockage. Le projet charrie beaucoup d'espoir. D'abord en termes d'emploi, 5 000 pendant la phase de construction et 2 000 dès sa mise en exploitation. « Pour le Cameroun, ces projets sont porteurs d'une amélioration significative de la balance commerciale, un renforcement des réserves de change et surtout la création d'emplois pour résorber le chômage des jeunes », assure Nathalie Moudiki. La société nationale des hydrocarbures (SNH) et ses partenaires, dont la société Tradex, Ariana Energy et le consortium RCG, projettent l'inauguration de ce complexe courant 2027. À lire aussiCameroun: une base logistique opérationnelle pour le port de Kribi

Chronique des Matières Premières
Le Maroc peine à réduire sa dépendance aux importations

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 2:12


Le Maroc a infléchi sa politique d'importation et d'exportation pour favoriser la consommation de produits locaux. Une réforme déjà engagée en 2019 et renforcée après la crise du Covid. Mais pour l'heure, la dépendance vis-à-vis de l'extérieur demeure en produits manufacturés, y compris pour une partie des matières premières agricoles. Le Maroc a souhaité freiner les importations pour réduire son déficit commercial en mettant en place, comme d'autres pays, des conditions sur les importations et des droits de douane protectionnistes. Ce qu'il fait traditionnellement, par exemple, sur les céréales, en fermant son marché à l'importation pour protéger l'offre locale. Cependant, les épisodes de sécheresses ont fait chuter de 40 % la production de blé tendre, de blé dur et d'orge. Et le pays s'est retrouvé contraint d'importer massivement, et même de subventionner les importations de blé tendre. Pendant de cette stratégie, le contrôle de l'exportation comme dans la filière olive. Utilisées pour la cuisine ou pour embellir la peau et les cheveux, l'huile d'olive et les olives de tables sont très prisées localement, mais également à l'étranger. Le Maroc est classé dans le top 10 des producteurs d'huile d'olive. Cependant, il est nécessaire pour Rabat de maintenir sa disponibilité et à un prix correct sur son marché. Il y a deux ans par exemple, les autorités, anticipant une mauvaise récolte, ont décidé de limiter les exportations en les soumettant à des licences. Une mesure renouvelée l'année dernière à la demande de l'interprofession. L'objectif, explique son président : servir le marché national en priorité et réguler les prix. Avec plus ou moins de réussite, convient-il. Des restrictions qui devraient être levée cette année, les prévisions de récolte sont au vert. Dans le même esprit, en février, les ventes de tomates, oignons et pommes de terre vers l'Afrique de l'Ouest ont été temporairement stoppées pour contrer la flambée des prix. Mais ce qui démarque le plus le Royaume chérifien dans ce domaine, c'est la création en 2020 d'une banque dédiée aux projets de substitution aux importations. Une « war room » a même été mise en place pour accompagner les porteurs de projets. Plus de 1 900 projets industriels ont été identifiés dans le cadre de ce programme, dont près de 500 dans l'alimentaire qui peuvent influencer les matières premières locales. Par exemple, le Maroc est l'un des leaders mondiaux de l'agrume. Des records de production et d'exportation ont été atteints lors de la dernière saison. Pourtant, pour sa consommation locale, le Maroc importe massivement des concentrés de l'étranger. Les raisons : une production locale peu adaptée pour les jus, et un coût à l'importation moins élevé que la production locale. À lire aussiMaroc: la pluie, don du ciel pour l'agriculture et le pouvoir d'achat

Les journaux de France Culture
La Chine taxe les importations des eaux de vie de vin, notamment le Cognac

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 14:29


durée : 00:14:29 - Journal de 12h30 - La Chine va imposer des droits de douane pouvant atteindre 34,9% sur les eaux-de-vie de vin en provenance de l'Union européenne principalement le Cognac français. Certains producteurs ont toutefois réussi à échapper sous conditions à ces droits de douane.

Le journal de 12h30
La Chine taxe les importations des eaux de vie de vin, notamment le Cognac

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 14:29


durée : 00:14:29 - Journal de 12h30 - La Chine va imposer des droits de douane pouvant atteindre 34,9% sur les eaux-de-vie de vin en provenance de l'Union européenne principalement le Cognac français. Certains producteurs ont toutefois réussi à échapper sous conditions à ces droits de douane.

Voyage en absurdie
Viande et paradoxes

Voyage en absurdie

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 2:59


Emmanuel Ducrot alerte sur la dépendance de la France en matière de production de viande. Malgré une baisse de la consommation individuelle, la demande globale a augmenté, poussant le pays à importer près d'un tiers de sa viande. Cette situation a un coût économique élevé et pose des questions environnementales, notamment sur les conditions de production à l'étranger. Elle explique pourquoi il faut redynamiser la production nationale, en particulier pour la volaille, afin de réduire cette dépendance.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Philippe Val - Les signatures d'Europe 1

Emmanuel Ducrot alerte sur la dépendance de la France en matière de production de viande. Malgré une baisse de la consommation individuelle, la demande globale a augmenté, poussant le pays à importer près d'un tiers de sa viande. Cette situation a un coût économique élevé et pose des questions environnementales, notamment sur les conditions de production à l'étranger. Elle explique pourquoi il faut redynamiser la production nationale, en particulier pour la volaille, afin de réduire cette dépendance.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chronique des Matières Premières
La Chine limite drastiquement ses importations de blé et de gaz américain

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 21, 2025 1:55


Les derniers chiffres douaniers chinois montrent un effondrement des importations de certaines matières premières américaines au mois de mars. Les plus touchées sont le blé et le gaz naturel liquéfié. Les chiffres montrent des achats de blé américain presque insignifiants au mois de mars, alors que la Chine a acheté l'année dernière plus de 15 % de son blé aux États-Unis. La tendance est la même pour le gaz naturel liquéfié. L'Empire du Milieu n'a quasiment rien acheté aux États-Unis le mois dernier. Ses commandes avaient déjà diminué en janvier et en février.Résultat, la Chine a vu ses importations de gaz américain chuter de 70 % au premier trimestre. Pendant le premier mandat de Donald Trump, la Chine n'avait pas reçu de cargaisons de GNL durant 400 jours. Impossible de dire à ce stade si la baisse des achats est partie pour durer, à nouveau, mais la Chine a déjà augmenté ses commandes faites au Qatar et à l'Indonésie. Elle aurait aussi privilégié un peu plus le recours au charbon et aux énergies renouvelables, selon une analyste des marchés énergétiques de Bloomberg.Une baisse à interpréter avec prudenceCes chiffres sont ceux du mois de mars, les droits de douane chinois, pris en rétorsion aux taxes américaines, n'étaient alors que de 10 à 15 % sur les produits énergétiques et sur les produits agricoles. Pour voir si le phénomène s'amplifie et s'il y a une véritable corrélation entre les taxes et les volumes importés, il faut attendre les prochains mois. D'autant que les taxes chinoises sur les produits américains concernés sont désormais supérieures à 100 %.La question se pose en particulier pour le blé, car pour l'instant, le lien n'est pas évident. Il n'y en a même aucun, selon Arthur Portier, consultant pour Argus Media France. La Chine a en effet beaucoup importé ces trois dernières années et ses stocks sont suffisamment élevés pour qu'elle achète moins. De fait, la Chine achète également moins de blé à ses autres fournisseurs habituels. Il faudra attendre les prochains mois pour savoir aussi si la chute des importations de coton et de maïs au mois de mars s'inscrit dans la durée et reflète un véritable changement du circuit d'approvisionnement chinois.Exceptions pour le soja et le pétroleLa Chine continue en revanche de maintenir des niveaux d'importation élevés pour le pétrole américain et le soja notamment. Les importations chinoises de cet oléagineux américain ont augmenté de 12 % au mois de mars par rapport à l'année dernière. Elles reflètent selon les analystes des achats d'importateurs stressés en fin d'année 2024.Selon les calculs de l'agence Reuters, la part de marché du soja américain en Chine était au premier trimestre encore de 68 %  contre 26 % pour celui du Brésil. Le soja brésilien devrait bientôt reprendre le dessus, la récolte sud-américaine étant disponible en Chine, à partir du printemps. À lire aussiGuerre commerciale: Pékin hausse le ton contre les pays qui négocient avec Washington

Chronique des Matières Premières
Kenya: le secteur du thé inquiet de la suspension des importations soudanaises

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 1:30


Le 11 mars, le Soudan a suspendu toutes les importations de produits kényans. Une mesure de représailles après que le Kenya a accueilli à Nairobi en février les Forces de soutien rapide (FSR), les paramilitaires opposés à l'armée régulière, et leurs alliés. Pour les producteurs kényans de thé, la sanction est lourde, car le Soudan fait partie des dix premières destinations d'export. Plus de 200 conteneurs de thé sont immobilisés. Selon l'EATT, l'association est-africaine du commerce du thé, 400 sacs destinés au Soudan sont bloqués dans le port de Mombasa ou sur des paquebots au large de Port-Soudan. Les pertes pourraient atteindre les 10 millions de dollars.George Omuga, président de l'EATT, demande aux autorités kényanes de trouver une solution diplomatique. Les professionnels voudraient qu'un délai d'un mois leur soit au moins accordé afin d'écouler les stocks de thé déjà engagés dans la chaîne d'approvisionnement.Brouille diplomatiqueMais la situation n'a pas l'air d'inquiéter William Ruto. Dans une interview à la télévision, la semaine dernière, le président kényan a assuré que son pays continuait de vendre son thé au Soudan. « C'est le marché lui-même qui l'oblige », explique-t-il. Une sortie qui a provoqué la colère de Port-Soudan. Dès le lendemain, son ambassade à Nairobi a publié un communiqué, pour remettre les points sur les i.Il est encore trop tôt pour évaluer l'impact de la suspension des importations soudanaises sur le secteur kényan du thé. Elles avaient déjà chuté de plus de 70 % depuis le début de la guerre en 2023, selon le Bureau du thé du Kenya. En 2022, elles avaient rapporté 37 millions de dollars.Vers de nouveaux marchésDans son rapport sur l'industrie 2024, le Bureau du thé du Kenya identifie de nouvelles pistes d'exportation, sur le continent. Parmi elles : le Tchad. Sans accès à la mer, c'est à travers le Soudan que ce pays sahélien s'approvisionnait jusque-là en thé.Mais les principales destinations du thé kényan se trouvent en dehors du continent : le Pakistan reste le premier marché, avec plus de 21 millions de kilos achetés l'année dernière.À lire aussiSuspension des importations kenyanes: le torchon brûle entre Khartoum et Nairobi

Les Explorateurs du E-Commerce
Chiffres E-Commerce 2025, durcissement des règles UE, tendances cross-border - Journal Du E-Commerce

Les Explorateurs du E-Commerce

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 32:08


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Info éco
Les marchés financiers bousculés par les prises de parole de D. Trump

Info éco

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 5:54


Séances mouvementées, de l'Asie à Wall Street, en passant par les places européennes. Ce lundi, les marchés réagissaient aux dernières annonces de Donald Trump sur les droits de douane punitifs concernant tous les partenaires commerciaux des Etats-Unis. Les marchés asiatiques ont connu une séance très pessimiste, le Hang Seng abandonnant 13,22% à Hong Kong, au plus bas depuis la crise financière asiatique de 1997. Côté européen, une rumeur intervenue dans l'après-midi a redonné des couleurs aux principales places boursières, alors qu'il semblait que Donald Trump envisageait une suspension de 90 jours des tarifs douaniers avancés. Un démenti de la Maison blanche a fait replonger les marchés. Wall Street a subi les mêmes aléas mais mieux conclu la journée que l'Asie et l'Europe, le Nasdaq revenant même en territoire positif.

Chronique des Matières Premières
La baisse des importations chinoises de gaz sème le doute chez les exportateurs

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 2:05


C'est le nouveau casse-tête du marché du gaz : la Chine, première consommatrice d'hydrocarbures, achète moins de gaz sur le marché international et cherche à en produire de plus en plus sur son territoire. Un changement de stratégie qui n'est pas sans conséquence pour le secteur. Cette tendance se traduit par une réduction des importations de gaz par voie maritime. Sur les deux premiers mois de l'année, ces achats ont atteint leur plus bas niveau depuis sept ans et pour le Premier trimestre, on se dirige vers une baisse de 20 %. La tendance est si forte que plusieurs cabinets d'analyse ont baissé les prévisions d'achats de la Chine pour 2025.La première explication est que la demande a diminué, mais aussi que le pays s'approvisionne autrement : l'Empire du Milieu importe plus de gaz par pipeline de Russie et du Kazakhstan et la production locale chinoise est en hausse, + 6 % l'année dernière. Les géants chinois des hydrocarbures tels que Sinopec et Cnooc ont relevé leurs objectifs de production de gaz. Le gaz représente désormais 54 % de la production de Petrochina, selon l'agence Bloomberg. Les équilibres du marché en questionExxon Mobil, Shell ou TotalEnergies avaient tablé ces dernières années sur une croissance de la demande chinoise pendant des décennies. « En 2024 encore, la Chine représentait à elle seule plus d'un quart de la croissance de la demande mondiale de gaz », explique Greg Molnar, l'expert en gaz de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE).Ces compagnies pétrolières internationales ont investi des milliards de dollars dans des projets de GNL aux États-Unis et au Qatar avec l'objectif d'augmenter la capacité de production de 50 % dans les cinq prochaines années. Le ralentissement des achats chinois sème dorénavant le doute sur le rôle que jouera la Chine dans les prochains mois dans la croissance du marché et sur l'état de la demande chinoise. D'autant que le pays a considérablement réduit aussi ses achats pour une livraison immédiate, mais privilégie désormais des contrats de GNL à long terme, indexés sur le pétrole, « ce qui met en évidence la relative conscience des prix des acheteurs chinois », relève l'expert de l'AIE. Les Européens peuvent-ils en profiter ?À court terme, cette situation pourrait faire l'affaire des Européens, qui sont en concurrence avec l'Empire du Milieu pour acheter du GNL. Moins de bateaux qui partent vers la Chine, c'est plus de volumes disponibles pour l'Europe, et peut-être à meilleur prix.Un atout de taille pour les acheteurs européens qui ont vidé leur stock ces derniers mois et vont devoir le reconstituer avant l'hiver prochain. Les importations de GNL en Europe occidentale ont d'ailleurs atteint leur plus haut niveau pour un mois de mars, jamais enregistré depuis 2017, selon les données de suivi des navires compilées par Bloomberg.Autre conséquence, la demande actuelle et la moindre croissance de la demande chinoise pousse « de nombreux acheteurs chinois à renforcer leurs capacités de négoce et à revendre leurs cargaisons de GNL à d'autres marchés, qui sont prêts à payer une prime dans les conditions de marché tendues actuelles », note Greg Molnar. À lire aussiLa Chine compte sur ses découvertes de gaz «sans précédent» dans la course aux technologies

Info éco
Taxe pour taxe : Pékin relève les droits de douane de produits agricoles américains

Info éco

Play Episode Listen Later Mar 10, 2025 5:34


Après que Donald Trump a fait passer les droits de douane sur les importations chinoises de 10% à 20% le 3 mars dernier, Pékin a décidé, à son tour, de relever les droits sur les importations américaines. Le bras de fer se poursuit, mais la Chine semble prête à négocier. De son côté, la présidente mexicaine a obtenu de Donald Trump la suspension des surtaxes douanières à 25% sur les exportations vers les Etats-Unis jusqu'au 2 avril prochain. Enfin, malgré ses efforts, l'UE ne parvient pas à obtenir d'accord de Washington concernant les droits de douane sur l'aluminium et l'acier européens. 

Voyage en absurdie
Du poulet et des paradoxes

Voyage en absurdie

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 3:21


Dans cet épisode, Emmanuelle Ducros analyse les enjeux de la filière volaille en France. Malgré une forte demande des consommateurs pour le poulet, la production nationale peine à suivre, entraînant une hausse des importations. Ducros explore les raisons de ce paradoxe et les pistes pour relocaliser la production, tout en soulignant l'importance de la souveraineté alimentaire pour ce secteur clé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Philippe Val - Les signatures d'Europe 1
Du poulet et des paradoxes

Philippe Val - Les signatures d'Europe 1

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 3:21


Dans cet épisode, Emmanuelle Ducros analyse les enjeux de la filière volaille en France. Malgré une forte demande des consommateurs pour le poulet, la production nationale peine à suivre, entraînant une hausse des importations. Ducros explore les raisons de ce paradoxe et les pistes pour relocaliser la production, tout en soulignant l'importance de la souveraineté alimentaire pour ce secteur clé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Ecorama
Pourquoi les importations de gaz russe en France ont-elles explosé en 2024 ?

Ecorama

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 12:04


La France a augmenté de 81 % ses importations de GNL russe entre 2023 et 2024, selon l'organisme américain IEEFA. Comment l'Hexagone est-il devenu la porte d'entrée du gaz russe en Europe ? Les explications de Patrice Geoffron, professeur à l'Université Paris-Dauphine et membre du Cercle des économistes. Ecorama du 25 février 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Un air d'amérique
ÉTATS-UNIS - Trump veut imposer 25 % de taxe sur les importations d'acier et d'aluminium

Un air d'amérique

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 1:20


Et nous partons ce matin aux Etats-Unis. Après une semaine où il a momentanément reculé, Donald Trump amplifie donc les pressions commerciales avec une nouvelle annonce choc, droit de douane. Le président américain a déclaré soir qu'il allait imposer des taxes de 25% en plus sur toutes les importations d'acier et d'aluminium aux Etats-Unis. Le président américain a promis de donner plus de détails. Il revient en fait à une mesure qu'il avait déjà mise en place lors de son premier mandat.

Le brief éco
Sidérurgie : le ministre de l'Industrie veut limiter les importations d'acier chinois en Europe

Le brief éco

Play Episode Listen Later Feb 7, 2025 2:22


durée : 00:02:22 - Le brief éco - Marc Ferracci propose d'adapter les textes européens qui protègent les sidérurgistes. À l'heure où Donald Trump relance la guerre commerciale, ArcelorMittal, qui a suspendu son projet de décarbonation à Dunkerque, vient d'ailleurs d'officialiser l'ouverture d'une nouvelle usine aux États-Unis.

Chronique des Matières Premières
Les importations européennes de bois de bouleau russe en plein essor

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Jan 29, 2025 1:51


Le commerce illégal de bois russe vers l'Europe est en plein essor depuis le début de la guerre en Ukraine, et ce, en dépit des sanctions européennes. Selon l'ONG britannique Earthsight, spécialisée dans les enquêtes sur la criminalité environnementale et sociale, l'équivalent de 20 camions remplis de bois de bouleau entreraient chaque jour sur le sol européen. Pendant neuf mois, l'ONG britannique Earthsight a joué aux acheteurs de bois pour rencontrer traders et exportateurs et obtenir des preuves du commerce illégal de contreplaqué de bouleau. Ce bois est de plus en plus prisé en décoration intérieure, et c'est aussi le principal bois russe qui fait l'objet d'un blanchiment à grande échelle, selon la coordinatrice de l'enquête Tara Ganesh.Au terme de ses investigations, l'ONG a pu évaluer que, chaque jour, un volume de 700 m³ de bois de bouleau russe et biélorusse arrivait dans les ports et aux frontières de l'Union européenne. On parle d'une valeur de 1,5 milliard d'euros de contreplaqué de bouleau qui aurait franchi les frontières européennes, depuis l'entrée en vigueur des sanctions sur le bois russe en juillet 2022. Ces sanctions concernent notamment le bois russe, les meubles et les pâtes à papier.À lire aussiChute des exportations de bois russe en 2022Bois blanchi au Kazakhstan, en Chine, en TurquieLe bois expédié en Europe de l'Est, principalement en Pologne, mais aussi en Espagne, en Italie et au Portugal, est blanchi par des pays tiers : la Turquie, la Chine et le Kazakhstan essentiellement. Les exportations de contreplaqué depuis ces pays-là ont étonnamment bondi après l'entrée en vigueur des sanctions contre la Russie « et elles ne peuvent pas s'expliquer par une augmentation soudaine de la production locale » précise l'enquête. L'illustration parfaite est le Kazakhstan, qui n'exportait pas de contreplaqué de bouleau en Europe avant la date charnière des sanctions.Plusieurs acteurs de ce commerce ont été filmés ou enregistrés à leur insu et ont montré qu'ils avaient conscience d'enfreindre des sanctions. Du côté des clients, certains se disent persuadés que leur bois provient du Kazakhstan ou d'Ukraine, alors qu'ils s'approvisionnent auprès d'exportateurs qui ont admis, eux, sous couvert de confidentialité, faire du commerce illégal.Pour l'ONG, ces sociétés ont au minimum manqué de vigilance sur la probité de leur fournisseur. Et cela est encore plus problématique quand on sait qu'elles sont à la tête de gros marchés : on retrouve ainsi le premier fabricant mondial de murs d'escalade, ou encore un fournisseur de revêtement de sol pour les plus grandes chaînes d'hôtels de luxe.Un commerce qui profite à des proches du Kremlin En plus d'être théoriquement soumis aux sanctions de juillet 2022, ce bois ne devrait dans tous les cas pas rentrer dans l'UE en vertu de ce qu'on appelle le Règlement sur le bois de l'Union européenne, rappelle Alain Karsenty, expert de la filière au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD), règlement adopté en 2013 qui demande aux importateurs d'analyser les risques qu'ils prennent en alimentant un commerce illégal ou non conformes aux normes en vigueur. Ce règlement est lui-même souvent contourné, par des importateurs qui se contentent d'informations superficielles, les contrôles des autorités publiques étant très variables d'un pays à l'autre.Cette situation profite aujourd'hui à plusieurs grandes entreprises russes. L'une d'elles est dirigée par un oligarque, Alexei Mordashov, qui figure sur la liste des sanctions de l'UE.À lire aussiLes sanctions contre la Russie sont-elles vraiment efficaces?Plus de contrôle en 2026 ?À partir de 2026, le blanchiment de bois russe et biélorusse devrait être plus difficile, relève Alain Karsenty, car le Règlement européen contre la déforestation et la dégradation des forêts (RDUE) impose une traçabilité jusqu'à la parcelle, ce que ne demande pas l'actuel Règlement Bois.Mais cela ne signifie pas pour autant la fin de la fraude, du fait du manque de moyens mis à la disposition des administrations chargées du contrôle dans les États membres, voire de leur manque de volonté politique, relève l'expert qui regrette que l'UE n'accorde pas plus de place aux certifications indépendantes.À lire aussiL'Union européenne approuve un nouveau paquet de sanctions contre la Russie

Les chroniques de Pierre-Yves McSween
Plan d'Ottawa: une première série de tarifs sur les importations américaines

Les chroniques de Pierre-Yves McSween

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 7:01


Ottawa dévoilera lundi un premier plan de représailles si Donald Trump profite du jour de son investiture pour aller de l’avant avec ses menaces tarifaires… C'est à la Une du Globe and Mail. Écoutez la chroniqueuse économique Clémence Pavic, qui parle de cette stratégie du gouvernement Trudeau à l'égard des éventuels tarifs douaniers de Donald Trump. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Chronique des Matières Premières
La Chine cherche à mieux maîtriser ses importations agricoles

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Dec 31, 2024 1:58


La Chine multiplie les initiatives en soutien à sa souveraineté alimentaire. En quelques jours, elle a lancé une campagne de dix ans pour améliorer la qualité de sa production de céréales, mais aussi une enquête sur les importations de bœuf. Produire plus de céréales de qualité et soutenir sa filière viande, c'est le double objectif de la Chine à l'aube de cette nouvelle année 2025. Aujourd'hui, une grande partie des céréales cultivées dans le pays est destinée à l'alimentation du bétail. Mais d'ici à 2035, Pékin est décidé à encourager la recherche et la sélection de variétés plus adaptées à la consommation humaine.Cette ambition « céréales » pour les dix prochaines années concerne le blé, le maïs, le riz, l'orge, le sorgho, le sarrasin et l'avoine. Elle s'accompagne d'un soutien à l'industrie, pour garantir en bout de chaîne une plus grande sécurité alimentaire. À lire aussiLa Chine en passe d'atteindre une production céréalière recordPrix du bœuf chinois en baisseCar la Chine a énormément augmenté ses importations de céréales ces dernières années, rappelle Jean-Paul Simier, expert de la filière viande, mais aussi celles de viande pour répondre à l'épidémie de peste porcine qui a décimé ses élevages en 2017 : le pays a importé plus de porc, plus de volaille, mais aussi de bœuf : + 65%  entre 2019 et 2023. Elle en est devenue le premier acheteur mondial avec comme fournisseur numéro 1 le Brésil. Or la croissance chinoise plus faible qu'attendue a pénalisé la consommation de bœuf. Résultat, le pays fait face à une surproduction, qui a entrainé une baisse des prix. Ils auraient atteint leur niveau le plus bas depuis 11 ans. Aujourd'hui, plus de 65 % des exploitations agricoles chinoises fonctionneraient à perte, selon l'Association chinoise d'agriculture animale, citée par le South China Morning Post.Le Brésil, un partenaire agricole précieux pour la ChineD'où l'inquiétude de la filière locale qui produit une viande nettement moins compétitive que celle du Brésil et qui a demandé donc une enquête pour comprendre pourquoi le pays importait autant de viande, demande acceptée par les autorités, qui montrent ainsi leur volonté de soutenir leur agriculture nationale et qui envoient par ce biais un signal à certains de leurs partenaires qui ont instauré des taxes sur l'acier — pour ne citer que ce sujet de friction. La Chine se veut cependant rassurante : le gouvernement assure que ses échanges commerciaux ne seront pas affectés pendant les huit mois d'enquête. Peut-être parce qu'à l'heure où Donald Trump s'apprête à revenir à la Maison Blanche, le Brésil apparaît comme un partenaire agricole de plus en plus précieux pour Pékin.  À lire aussiLa Chine lance une enquête sur le bœuf importé en pleine crise de son élevage

Chronique des Matières Premières
La Chine augmente ses importations de soja américain avant l'arrivée de Donald Trump à Washington

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Nov 20, 2024 1:54


Le mois dernier, juste avant l'élection américaine, la Chine a importé deux fois plus de soja américain que l'année dernière à la même époque. Des achats qui ressemblent à une course à l'approvisionnement, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Retour qui pourrait être synonyme de nouvelles tensions commerciales entre les deux pays. Impossible de dire si la Chine avait anticipé un retour de Donald Trump au pouvoir, mais l'augmentation des volumes de soja qu'elle a importé des États-Unis, au fil de ces derniers mois, pourrait le laisser penser. Comme si le pays avait voulu se couvrir au maximum, avant le mois de janvier et l'installation du nouveau président.Les acheteurs chinois, mais aussi les fermiers américains, ont en mémoire la guerre commerciale du premier mandat de Donald Trump. Les droits de douane imposés par les États-Unis ont causé entre mi-2018 et fin 2019 plus de 27 milliards de dollars de pertes aux exportations agricoles américaines, selon le ministère américain de l'Agriculture (USDA).Les États-Unis ont perdu des parts de marché Dans le cadre de cette guerre commerciale, 71 % des pertes commerciales concernaient le soja. Les parts de marché perdues par les États-Unis n'ont pas été récupérées malgré la mise en place d'une trêve commerciale en 2020.Selon les douanes chinoises, seulement 18 % du soja importé cette année est américain, contre 40 % en 2016. La Chine a diversifié ses fournisseurs et regarde de plus en plus vers le Brésil, le nouveau géant agricole mondial : les importations chinoises de soja brésilien ont augmenté de plus de 13 % de janvier à octobre. Le Brésil est aussi devenu le premier fournisseur de la Chine en maïs.Les prix du soja restent basLes ventes exceptionnelles de soja américain vers la Chine ces dernières semaines ne se sont pas traduites sur les cours : les prix restent bas, en raison de la perspective de concurrence avec les origines sud-américaines, et de la récolte américaine, explique Gautier le Molgat, directeur général de la société de conseil Argus Media France.Les prix sont aussi le reflet des craintes de voir l'activité export remise en cause en cas de nouvelle guerre commerciale. Craintes auxquelles il faut ajouter celles de voir la politique énergétique de Donald Trump faire baisser les volumes de soja transformés en biocarburant. Cela annoncerait une offre plus importante de grains sur le marché, et n'aiderait pas à faire remonter les prix. Une politique encore incertaineL'avenir des exports américains de soja vers la Chine reste pour l'heure encore très incertain. Un rapport publié le mois dernier par la National Corn Growers Association assure que soja et le maïs seront à nouveau « cibles principales des droits de douane » dans un éventuel conflit commercial. Avec un risque de voir, selon le rapport, les exportations américaines de soja baisser drastiquement, et l'excédent agricole national augmenter.Le président de United Soybean Board, Steve Reinhard, veut croire au contraire que le retour de l'administration Trump signifiera de nouveaux efforts pour augmenter les achats agricoles de Pékin, comme il l'a confié il y a quelques jours lors de la septième foire internationale de l'importation de Shangaï (CIIE).

Info éco
G20 : mobilisation du monde agricole français contre l'accord UE - Mercosur

Info éco

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 5:54


En France, le monde paysan se mobilise à nouveau avec points de blocage et manifestations pour exprimer sa colère, alors qu'Emmanuel Macron est au Brésil pour assister au G20. Les campagnes se mobilisent contre le traité UE / Mercosur, dans lequel les agriculteurs voient une menace supplémentaire pour leur activité et leurs revenus. Les normes sanitaires, sociales et environnementales ne sont pas les mêmes entre le bloc économique sud-américain et celui de l'Union européenne, attisant leurs inquiétudes et des critiques contre ce qu'ils estiment être une concurrence déloyale. 

Les matins
Les importations du conflit israélo-palestinien se portent bien…

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 16, 2024 2:22


durée : 00:02:22 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Le ruban jaune, signe de solidarité aux victimes du Hamas, confondu avec le ruban rose du cancer du sein. Une jeunesse en colère ? - réalisation : Félicie Faugère

Les petits matins
Les importations du conflit israélo-palestinien se portent bien…

Les petits matins

Play Episode Listen Later Oct 16, 2024 2:22


durée : 00:02:22 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Le ruban jaune, signe de solidarité aux victimes du Hamas, confondu avec le ruban rose du cancer du sein. Une jeunesse en colère ? - réalisation : Félicie Faugère

Afrique Économie
Libye: la crise à la tête de la banque centrale plonge le pays dans l'incertitude

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 17, 2024 2:27


La lutte de pouvoir entre les gouvernements de l'Est et de l'Ouest pour mettre la main sur la Banque centrale libyenne plonge davantage l'économie du pays dans l'incertitude. Face au risque imminent de pénuries de produits de première nécessité, une mission de l'ONU est à Tripoli pour trouver des solutions.  C'était le 26 août dernier. Des miliciens se rendent au siège de la banque centrale à Tripoli et chasse le gouverneur Sadiq Al Kabir, qui préfèrera fuir en Turquie. Ce dernier est jugé trop proche du maréchal Haftar qui contrôle l'est libyen. Abdelhamid Ddeibah, le Premier ministre de l'Ouest, a donc décidé unilatéralement de le remplacer par Abdel Fatta Ghaffar.  Problème : ce gouverneur par intérim n'est pas reconnu par la communauté internationale.Importations bloquéesLes banques américaines, britanniques et européennes ont, dans la foulée, décidé de stopper les transactions commerciales. « Ces banques-là ne sont pas idiotes. Elles savent très bien que le gouverneur intérimaire a été instauré de manière unilatérale via un coup et par la violence, décrypte Jallil Harchaoui, chercheur au Royal United Services Institute de Londres, spécialiste de la Libye. Celui qui est présenté par le Premier ministre Ddeibah comme étant le nouveau gouverneur intérimaire de la Banque centrale, en réalité, ne l'est pas. Il a pris le contrôle des systèmes de dinar en Libye, mais non pas la chose qui vraiment importe beaucoup : le nerf de la guerre, si vous voulez, ce sont les dollars. Il n'a pas la possibilité d'avoir accès à cet argent-là qui appartient à la nation libyenne ».Les lettres de crédit comme les réserves libyennes à l'étranger sont des outils financiers qui ne peuvent pas être utilisés par ce nouveau gouverneur. Des pénuries sont à craindre à très court terme. « Personne ne peut dire comment la Libye importera les produits de première nécessitée en octobre », estime Jallil Harchaoui.Développement de la contrebandeUn constat partagé par Majid Bouden, avocat en droit international à Paris : « L'importation vers la Libye est bloquée et donc il va y avoir pénurie sur le marché si la communauté internationale n'agit pas rapidement pour régler ce problème. Elle doit réorganiser le schéma tel qu'il fonctionnait avec les ressources qui viennent des champs pétrolifères qui passent par la NOC (la National Oil Company), puis qui sont injectées à la Banque centrale, laquelle les utilise pour financer l'économie, mais aussi payer fonctionnaires à l'ouest et à l'est. »Cette déstabilisation profite à certains pays, selon Majid Bouden. La Russie, principal bénéficiaire du pétrole de contrebande libyen, mais aussi la Chine ou l'Iran se présentent comme des recours sur un marché parallèle en cas de pénurie. « Les produits de consommation vont être substitués, via cette manne de contrebande pétrolière, par d'autres produits, poursuit l'avocat, par exemple, on peut substituer des fournisseurs de tel ou tel produit venant d'Europe par des fournisseurs russes, chinois ou même turc. Donc c'est un problème géostratégique qu'il faut régler. C'est un problème d'urgence absolue. »D'autant que la production de pétrole, première source de revenus de la Libye, est à l'arrêt. Une suspension décidée par le clan de Khalifa Haftar qui détient les principaux puits et qui dénonce la prise de pouvoir de l'Ouest à la tête de la banque centrale.À écouter aussiLibye: la reconstruction de Derna s'opère «dans l'opacité totale sur l'origine des fonds», note Virginie Collombier

Invité de la mi-journée
Poutine en Mongolie: «Il y a une dépendance des autorités mongoles aux importations de carburant russe»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Sep 3, 2024 5:58


Vladimir Poutine a été accueilli en grande pompe, mardi 3 septembre 2024, lors de son déplacement en Mongolie, alors qu'il est sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI). La Mongolie, membre de la juridiction, aurait dû procéder à son arrestation, mais le président russe n'a pas été inquiété. Entretien avec Antoine Maire, président de Seldon Conseil, chercheur spécialiste de la Mongolie.

Les digital doers - ceux qui font le e-commerce
[ Revue de Presse Hebdo | Retail - E-commerce ] 5 juillet 2024

Les digital doers - ceux qui font le e-commerce

Play Episode Listen Later Jul 5, 2024 36:51


Bonjour et bienvenue dans la revue de presse hebdo et audio du secteur retail / e-commerce en France proposée par Les Digital Doers en partenariat avec le One to One Expérience Client de Biarritz.Nous sommes le 5 juillet, au sommaire cette semaine 5 articles :1) L'UE envisage d'abolir l'exemption de droits de douane sur les importations de moins de 150 euros. (JDN) 2) Le retail textile français vit-il une renaissance grâce aux relocalisations et au digital ? (FashionUnited)3) Amazon : le géant du shopping en ligne fête ses 30 ans (Courrier International)4) L'application mobile au cœur de la croissance omnicanale de Sephora (Republik Retail)5) Motoblouz vise un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros d'ici 2030 (EcommerceMag)Je vous le rappelle, sur le site lesdigitaldoers.com, vous avez accès à une revue de presse éditée sur LinkedIn et qui rassemble les articles publiés dans la semaine sur les sites de news de notre écosystème. Vous pouvez vous y abonner pour recevoir chaque vendredi un digest de l'actualité dans votre boîte email.De cette revue de presse, je vous lis, sans interprétation, une sélection de quelques articles qui m'ont semblé pertinents à partager.Cette semaine, Je vous invite à découvrir l'épisode 195 dans lequel je reçois Frédéric Mazzella, le fondateur de Blablacar, l'occasion de revenir sur son parcours d'entrepreneur à multiples facettes.Je vous souhaite donc une bonne écoute, évidemment toujours sans coupure !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Question du jour
Protectionnisme: l'Europe se protège-t-elle suffisamment contre les importations chinoises?

La Question du jour

Play Episode Listen Later May 27, 2024 15:45


Thibaut Gauthier reçoit Florentin Collomp, grand reporter au service Économie du Figaro.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Forum - La 1ere
Grand débat – Faut-il taxer les importations de voitures électriques chinoises?

Forum - La 1ere

Play Episode Listen Later May 23, 2024 19:39


Débat entre Michael Peuker, correspondant RTS en Chine, Denis Robert, journaliste automobile, et Cenni Najy, responsable mobilité au Centre patronal.

Le vrai du faux
VRAI OU FAUX. "Les importations de poulet ukrainien" ne représentent-elles "rien par rapport aux importations de poulet brésilien", comme l'affirme Raphaël Glucksmann ?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Mar 21, 2024 1:54


durée : 00:01:54 - Le vrai ou faux - En plein débat sur les importations agricoles venues d'Ukraine, la tête de liste PS/Place publique Raphaël Glucksmann affirme que "les importations de poulet ukrainien aujourd'hui c'est rien par rapport aux importations de poulet brésilien". L'Union européenne importe plus de poulet brésilien, mais l'Ukraine arrive en deuxième position.

Les matins
L'Union européenne va plafonner certaines importations agricoles venues d'Ukraine

Les matins

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 15:26


durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Un accord a été trouvé durant la nuit de mardi à mercredi. Une réponse directe à la colère des agriculteurs.

Le journal de 18h00
L'accord européen sur le plafonnement des importations de produits agricoles ukrainiens suspendu

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 20:52


durée : 00:20:52 - Journal de 18h - L'accord européen sur le plafonnement des importations de produits agricoles ukrainiens est suspendu. Une décision rare, prise sous la pression de la France, de la Pologne et de l'Italie.

Un jour dans le monde
Importations agricoles ukrainiennes : quelle sortie pour l'Union européenne ?

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 36:16


durée : 00:36:16 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Face à la colère des agriculteurs, l'Union européenne pense à taxer les importations de céréales ukrainiennes: les exportations de Kiev vers l'UE ont en effet bondi de 176 % entre 2021 et 2023. La Commission devrait aussi proposer d'instaurer des droits de douane sur les céréales russes

Le journal de 8H00
L'Union européenne va plafonner certaines importations agricoles venues d'Ukraine

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 15:26


durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Un accord a été trouvé durant la nuit de mardi à mercredi. Une réponse directe à la colère des agriculteurs.

InterNational
Importations agricoles ukrainiennes : quelle sortie pour l'Union européenne ?

InterNational

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 36:16


durée : 00:36:16 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Face à la colère des agriculteurs, l'Union européenne pense à taxer les importations de céréales ukrainiennes: les exportations de Kiev vers l'UE ont en effet bondi de 176 % entre 2021 et 2023. La Commission devrait aussi proposer d'instaurer des droits de douane sur les céréales russes

Les journaux de France Culture
L'accord européen sur le plafonnement des importations de produits agricoles ukrainiens suspendu

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 20:52


durée : 00:20:52 - Journal de 18h - L'accord européen sur le plafonnement des importations de produits agricoles ukrainiens est suspendu. Une décision rare, prise sous la pression de la France, de la Pologne et de l'Italie.

Les journaux de France Culture
L'Union européenne va plafonner certaines importations agricoles venues d'Ukraine

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 20, 2024 15:26


durée : 00:15:26 - Journal de 8 h - Un accord a été trouvé durant la nuit de mardi à mercredi. Une réponse directe à la colère des agriculteurs.

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Benaouda Abdeddaïm : Fin 2023, les importations américaines de produits à bas coûts ne proviendront plus de majoritairement de Chine - 05/06

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Jun 5, 2023 3:51


Ce lundi 5 juin, les facteurs du grand découplage commercial entre les États-Unis et la Chine ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Le brief politique
Guerre en Ukraine : bras de fer autour des importations de céréales, qui déstabilisent l'agriculture en Europe

Le brief politique

Play Episode Listen Later Jun 2, 2023 2:29


durée : 00:02:29 - Le brief politique - Par solidarité avec Kiev, l'Union européenne a ouvert son marché agricole aux produits ukrainiens. Un accord qui crée des tensions.

Les Cours du Collège de France
Reflets dans une boule d'or, partie III, importations et conversation globale

Les Cours du Collège de France

Play Episode Listen Later May 25, 2023 58:51


durée : 00:58:51 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Quel rôle notable joue une multitude d'étoffes importées, dans le récit fondateur d'une communauté swahilie, insulaire et commerçante? François-Xavier Fauvelle revient sur les marchandises d'importation en Afrique subsaharienne à côté du cuivre & du sel. Que peut-on savoir des productions locales?

Histoires du monde
Quand l'Argentine paie ses importations en yuan chinois

Histoires du monde

Play Episode Listen Later May 17, 2023 2:38


durée : 00:02:38 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Pour la première fois de son histoire, l'Argentine a réglé une partie de ses importations dans la devise chinoise. Un choix poussé par la nécessité : le pays traverse une énième crise de change.

InterNational
Quand l'Argentine paie ses importations en yuan chinois

InterNational

Play Episode Listen Later May 17, 2023 2:38


durée : 00:02:38 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Pour la première fois de son histoire, l'Argentine a réglé une partie de ses importations dans la devise chinoise. Un choix poussé par la nécessité : le pays traverse une énième crise de change.

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Benaouda Abdeddaïm : La Pologne se délecte avec ironie des importations allemandes d'électricité nucléaire française - 19/04

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Apr 19, 2023 4:10


Ce mercredi 19 avril, les réactions de la Pologne vis-à-vis de la fermeture des trois derniers réacteurs nucléaires de l'Allemagne ont été abordées par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Un jour dans le monde
Les importations d'armes en plein essor dans le monde et pas seulement en Ukraine

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Mar 13, 2023 4:02


durée : 00:04:02 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - L'Ukraine est loin d'être le seul pays à importer massivement des armes. C'est ce que dévoile le rapport annuel de l'Institut International de recherche sur la paix, basé à Stockholm qui fait autorité sur le sujet. Le commerce des armes fonctionne à plein en Europe, en Asie et au Moyen-Orient.

InterNational
Les importations d'armes en plein essor dans le monde et pas seulement en Ukraine

InterNational

Play Episode Listen Later Mar 13, 2023 4:02


durée : 00:04:02 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - L'Ukraine est loin d'être le seul pays à importer massivement des armes. C'est ce que dévoile le rapport annuel de l'Institut International de recherche sur la paix, basé à Stockholm qui fait autorité sur le sujet. Le commerce des armes fonctionne à plein en Europe, en Asie et au Moyen-Orient.

Lenglet-Co
LENGLET-CO - Pourquoi le déficit commercial français bat des records ?

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Feb 8, 2023 3:42


En 2022, la France comptabilisait un écart de 164 milliards d'euros entre nos achats à l'étranger et nos ventes au-delà des frontières.

Good Morning Business
Marc Lhermitte, associé chez EY - 31/05

Good Morning Business

Play Episode Listen Later May 31, 2022 4:42


Marc Lhermitte, associé chez EY, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mardi 31 mai. Ils se sont penché sur les résultats du baromètre EY, l'étude a affirmé que la France reste le pays d'Europe le plus attractifs pour les investisseurs étrangers en 2021, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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