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Des astuces pour perdre du poids ou pour avoir un ventre plat, des conseils pour se couper l'appétit, des discours motivants pour résister à la faim... Depuis plusieurs mois, le culte de la minceur a fait son grand retour sur les réseaux sociaux, en particulier TikTok. Portés au départ par une poignée d'influenceuses américaines, le hashtag SkinnyTok (skinny pour maigre en français) a été interdit par la plateforme mais les contenus agressifs et culpabilisants continuent de prospérer. La tendance n'est pas nouvelle, chaque année, à l'approche de l'été, la presse féminine, les salles de sport ou centres de remise en forme, les réseaux sociaux s'emparent du «summer body» et des kilos à perdre. Si l'émergence du mouvement «body positive» avait permis de mettre en avant d'autres discours et d'autres corps, la minceur voire la maigreur continue d'être érigée en standard de beauté dans de nombreux pays. Des injonctions qui poussent les jeunes filles à se sentir toujours trop grosses. Comment résister à ces discours complexants ? Comment construire son identité de femme loin des stéréotypes ? Quelles responsabilités des plateformes de réseaux sociaux ? Avec : • Juliette Lenrouilly, journaliste spécialisée dans l'analyse des contraintes sociétales que subissent les femmes. Autrice du livre Affamées - enquête sur la culture de la minceur (Fayard, 2025) • Clémentine Hugol-Gential, professeure à l'Université de Bourgogne spécialisée dans les sciences de l'information et leur influence sur l'alimentation. Autrice de Corps, alimentation et réseaux sociaux (éditions Le Murmure, 2024). Un éclairage de Célio Fioretti, correspondant de RFI à Séoul en Corée du Sud. En fin d'émission, la chronique Ecouter le monde de Monica Fantini, un nouvel épisode d'une série consacrée à la voix humaine, aujourd'hui à la découverte du «son inoubliable». Programmation musicale : ► Mo so - Valérie Tribord ► Slow - Wizkid & Anais Cardot.
Des astuces pour perdre du poids ou pour avoir un ventre plat, des conseils pour se couper l'appétit, des discours motivants pour résister à la faim... Depuis plusieurs mois, le culte de la minceur a fait son grand retour sur les réseaux sociaux, en particulier TikTok. Portés au départ par une poignée d'influenceuses américaines, le hashtag SkinnyTok (skinny pour maigre en français) a été interdit par la plateforme mais les contenus agressifs et culpabilisants continuent de prospérer. La tendance n'est pas nouvelle, chaque année, à l'approche de l'été, la presse féminine, les salles de sport ou centres de remise en forme, les réseaux sociaux s'emparent du «summer body» et des kilos à perdre. Si l'émergence du mouvement «body positive» avait permis de mettre en avant d'autres discours et d'autres corps, la minceur voire la maigreur continue d'être érigée en standard de beauté dans de nombreux pays. Des injonctions qui poussent les jeunes filles à se sentir toujours trop grosses. Comment résister à ces discours complexants ? Comment construire son identité de femme loin des stéréotypes ? Quelles responsabilités des plateformes de réseaux sociaux ? Avec : • Juliette Lenrouilly, journaliste spécialisée dans l'analyse des contraintes sociétales que subissent les femmes. Autrice du livre Affamées - enquête sur la culture de la minceur (Fayard, 2025) • Clémentine Hugol-Gential, professeure à l'Université de Bourgogne spécialisée dans les sciences de l'information et leur influence sur l'alimentation. Autrice de Corps, alimentation et réseaux sociaux (éditions Le Murmure, 2024). Un éclairage de Célio Fioretti, correspondant de RFI à Séoul en Corée du Sud. En fin d'émission, la chronique Ecouter le monde de Monica Fantini, un nouvel épisode d'une série consacrée à la voix humaine, aujourd'hui à la découverte du «son inoubliable». Programmation musicale : ► Mo so - Valérie Tribord ► Slow - Wizkid & Anais Cardot.
Dany Dubé et Martin McGuire proposent une entrevue avec le Québécois Caleb Desnoyers, l’attaquant des Wildcats de Moncton qui sera potentiellement parmi les 10 premiers joueurs amateurs à être repêché par une équipe de la LNH, le 27 juin. Selon la majorité des observateurs, l'attaquant des Wildcats de Moncton devrait être réclamé avant le 10e rand de la première ronde. Il a cumulé de nombreuses récompenses en tant que joueur de hockey.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
L'image a fait le tour des réseaux sociaux
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Affamés et désespérés, les compagnons d'Ulysse désobéissent et abattent les bœufs sacrés du dieu Soleil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
Affamés et désespérés, les compagnons d'Ulysse désobéissent et abattent les bœufs sacrés du dieu Soleil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:59:36 - Les Matins du samedi - par : Marguerite Catton - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse au culte de la minceur dans la transition de la semaine et à la question du validisme, relancée depuis le débat sur la fin de vie. Marguerite Catton reçoit aussi Moira Millan, militante mapuche argentine, pour parler de terricide. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Charlotte Puiseux Philosophe, membre du collectif handiféministe Les Dévalideuses et de l'association Handiparentalité; Gildas Brégain Docteur en histoire, chargé de recherche au CNRS à l'École des hautes études en santé publique (laboratoire ARENES); Juliette Lenrouilly Journaliste, autrice du livre "Affamées. Enquête sur la culture de la minceur" aux éditions Fayard. ; Moira Millán Écrivaine et militante mapuche argentine
durée : 00:09:02 - La Transition de la semaine - par : Marguerite Catton - C'est une injonction qui n'a jamais vraiment disparue, mais qu'on avait cru atténuée, éclipsée même sous l'effet des mouvements d'acceptation des corps, du body positivisme... Pourtant, le culte de la minceur signe au contraire son grand retour sur les réseaux sociaux et les podiums de mode... - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Juliette Lenrouilly Journaliste, autrice du livre "Affamées. Enquête sur la culture de la minceur" aux éditions Fayard.
durée : 01:59:36 - Les Matins du samedi - par : Marguerite Catton - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse au culte de la minceur dans la transition de la semaine et à la question du validisme, relancée depuis le débat sur la fin de vie. Marguerite Catton reçoit aussi Moira Millan, militante mapuche argentine, pour parler de terricide. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Charlotte Puiseux Philosophe, membre du collectif handiféministe Les Dévalideuses et de l'association Handiparentalité; Gildas Brégain Docteur en histoire, chargé de recherche au CNRS à l'École des hautes études en santé publique (laboratoire ARENES); Juliette Lenrouilly Journaliste, autrice du livre "Affamées. Enquête sur la culture de la minceur" aux éditions Fayard. ; Moira Millán Écrivaine et militante mapuche argentine
durée : 00:20:18 - Journal de 18h - A l'occasion de la seconde distribution d'aide alimentaire dans l'enclave palestinienne, la Fondation humanitaire pour Gaza qui dirige les opérations assure avoir livré l'équivalent d'1 million de repas. Mais nombreux sont encore ceux qui repartent chez eux les mains vides.
durée : 00:20:18 - Journal de 18h - A l'occasion de la seconde distribution d'aide alimentaire dans l'enclave palestinienne, la Fondation humanitaire pour Gaza qui dirige les opérations assure avoir livré l'équivalent d'1 million de repas. Mais nombreux sont encore ceux qui repartent chez eux les mains vides.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce jeudi, il s'intéresse à la situation à Gaza.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du lundi 19 mai 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BgSE.A
Send us a textJean-David est un athlète hors pair. Depuis son jeune âge, il a toujours fait du sport. On parle de son parcours sportif que suite à un passage plus difficile de vie: il s'est lancé dans le triathlon.Il s'est présenté à son premier Ironman, sans préparation spécifique.Par contre après ça, il a constaté les bienfaits du sport et ses capacités assez naturel pour bien performer, mieux préparer avec un coach.Ingénieur de formation et ancien militaire: tous de bons outils qu'il a en bagage avec son mindset.Il me raconte son aventure incroyable de son EPIC DECA: 10 Ironman sur 10 jours consécutifs sur 6 îles différentes qu'il a accomplie en mai 2022.Seul canadien à avoir complété l'épreuve: un des seul 3 finishers.Un projet vraiment hors norme.Il a aussi fait d'autres projets fou comme des ultraman: qui est plus que le double d'un Ironman.On parle beaucoup de préparation mentale et de stratégies qu'il a d'ailleurs et écrit et publier dans son livre qu'il a fait en auto-édition: Affamé pour plus dans la vie. (Hunger for more in life, de sa version anglaise.)(Hambre por mas en la vida, de sa version en espagnol.) Disponible via amazon.Il est d'ailleurs best-seller dans ses 3 langues. Son livre se trouve également sur audible en version anglaise.Il donne aussi des camps en présentiel, pour renforcer le mindset: il se spécialise surtout pour quitter les addictions.Il fait des petits groupes, style corpo, équipe de travail.Il m'a raconté que les gens cheminent beaucoup avec ses ateliers. Pour le rejoindre: https://hungrywarrioracademy.comUn gars qui a beaucoup de jasette et qui est vraiment inspirant de son parcours, et de tout ce qu'il a accomplie.Belle conversation inspirante et qui invite vraiment à passer à l'action!Bonne écoute!
En 1978, 3 ans après Les Dents de la mer, c'est au tour des dents de la mare. Piranhas est réalisé par Joe Dante (Gremlins, 1984) et surfe sur le succès récent des monstres aquatiques. On veut du divertissement, du sanglant qui rapporte et peu importent les réalités scientifiques et l'impact sur les espèces.Brisons le mythe : la majorité des espèces de la famille des Piranhas (les Serrasalmidés) sont des omnivores. Les espèces carnivores ne sont pas assoiffées de sang, elles se nourrissent le plus souvent de charognes ou d'animaux faibles et malades, un rôle essentiel dans l'environnement. Le seul cas avéré d'attaque mortelle par des Piranhas date de 1870. Alors que le Brésil et le Paraguay sont en guerre, des soldats blessés tentent de traverser le Rio Paraguay mais ils n'atteindront jamais l'autre rive. Après une expédition en Amazonie en 1913, Theodore Roosevelt décrit une attaque de Piranhas, : “Ce sont les poissons les plus féroces du monde [...] ils déchireront et dévoreront vivant tout homme ou toute bête blessée”. Afin d'impressionner l'ancien Président, une vache fut jetée en pâture à un banc de Piranhas par des locaux qui avaient isolé les poissons. Affamés, les Piranhas se jetèrent sur l'animal, dévoré en quelques minutes. La légende était née.Pourtant, les populations locales ne le craignent pas. La plupart des habitants, enfants compris, se baignent dans des eaux où il est présent. Le risque d'attaque sur un humain est infime. Dans ces mêmes fleuves, Gymnotes, Caïmans ou Anacondas sont beaucoup plus redoutés.Retrouvez l'article de Bérénice Toutant sur le site de BSG_______
C'est un paradoxe qui défie l'intuition : nourrir une personne affamée peut, dans certains cas, lui être fatal. Ce phénomène porte un nom médical : le syndrome de renutrition inappropriée (ou "refeeding syndrome" en anglais). Il s'agit d'un trouble métabolique grave qui survient lorsque l'on réalimente trop rapidement une personne gravement dénutrie.Pour comprendre cela, il faut d'abord savoir ce que la faim fait au corps humain. Lorsqu'une personne est privée de nourriture pendant une longue période — à cause de la famine, d'une maladie, ou d'un emprisonnement prolongé — son organisme entre en mode de survie. Les réserves de glucose s'épuisent, et le corps commence à puiser dans les graisses et les muscles pour produire de l'énergie. Le métabolisme se ralentit, les taux d'insuline chutent, et certains minéraux essentiels, comme le phosphate, le potassium ou le magnésium, sont drastiquement réduits dans le sang.Jusque-là, le corps s'adapte, même s'il s'affaiblit dangereusement. Mais tout peut basculer au moment de la renutrition.Lorsque cette personne commence à manger à nouveau — surtout si on lui donne directement des aliments riches en glucides — cela stimule une reprise brutale de la production d'insuline. Ce changement hormonal fait entrer soudainement le sucre, mais aussi le phosphate, le magnésium et le potassium, dans les cellules. Résultat : leur concentration dans le sang chute encore davantage, atteignant parfois des niveaux critiques.Le corps, déjà affaibli, ne peut pas gérer ce bouleversement métabolique. Cette carence aiguë peut provoquer de nombreux troubles graves : problèmes cardiaques, insuffisance respiratoire, troubles neurologiques, voire un arrêt cardiaque. Et ce, alors même que la personne recommence enfin à s'alimenter.Ce phénomène tragique a été observé à grande échelle après la Seconde Guerre mondiale. On estime que près de 4500 survivants de l'Holocauste sont morts dans les jours suivant leur libération, non pas à cause de la malnutrition elle-même, mais en raison d'une renutrition trop brutale par les troupes alliées bien intentionnées.Aujourd'hui, le syndrome de renutrition inappropriée est bien connu du monde médical. Il peut survenir dans les cas d'anorexie sévère, de famine, ou chez certains patients hospitalisés. Pour l'éviter, il faut réintroduire la nourriture très progressivement, en contrôlant attentivement les apports en nutriments et en surveillant les électrolytes dans le sang.Ainsi, si nourrir est un geste fondamental d'humanité, dans certains cas, il exige une précaution médicale extrême. Car sauver une vie ne se résume pas à remplir une assiette, mais à comprendre ce qu'un corps affamé est prêt — ou non — à recevoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Télécharge toutes mes ressources sur https://www.audreybelrose.fr
À l'Antichambre, Andrée-Anne Barbeau est en compagnie de P.J. Stock, Bruno Gervais et Vincent Damphousse pour parler de la course aux séries.
En battant City à l'Etihad ce dimanche (0-2), Liverpool a fait un grand pas vers le titre. Mon analye de ces Reds version 2025.
Virginie Girod raconte Trofim Lyssenko, un agronome charlatan qui affama l'URSS. Né en 1898 en Ukraine, l'agronome Trofim Lyssenko (1898-1976) se fait connaître dans les années 1920, alors qu'il affirme pouvoir améliorer le rendement agricole en URSS. Ses thèses pseudo-scientifiques séduisent Staline, qui les impose au secteur agricole, avec des conséquences désastreuses.
Amandine est morte de faim à 13 ans. Son bourreau a un nom: Sandrine Pissara, sa mère. Elle a été condamnée la semaine dernière à la réclusion criminelle à perpétuité avec période de sûreté de 20 ans pour avoir laissé mourir de faim sa propre fille. Le beau-père d'Amandine a, lui, été condamné à 20 ans de prison pour avoir privé la jeune fille de soins jusqu'à son décès. Après des mois passés quasi-prisonnière dans un cagibi insalubre, Amandine rend son dernier souffle le 6 août 2020. Elle meurt d'un trouble du rythme cardiaque. La mort d'Amandine aurait-elle pu être évitée? Dominique Rizet et Florine Silvant reçoivent dans Affaire suivante, maître Nathalie Bucquet, avocate de l'association Innocence en danger, qui s'est portée partie civile au procès. Production et rédaction: Charlotte Lesage, journaliste police-justice de BFMTV.com.
C dans l'air l'invitée du 21 janvier avec Isabelle Debré, présidente de l'association l'Enfant Bleu, qui lutte contre les violences faites aux enfants. L'association s'est constituée partie civile dans le procès de l'affaire Amandine Florès-Pissarra, morte à l'âge de 13 ans en août 2020, affamée, enfermée dans un cagibi et maltraitée par sa mère. Le procès s'est ouvert hier à Montpellier.Sandrine Pissarra et son compagnon de l'époque Jean-Michel Cros sont jugés aux assises de l'Hérault pour "tortures ou acte de barbarie ayant entraîné la mort", faits passibles de perpétuité pour elle ; "privation de soins", trente ans encourus, pour lui. Jugée pour tortures sur sa fille, Sandrine Pissarra a nié, à l'ouverture de l'audience lundi, l'avoir affamée et maltraitée. Son compagnon, en pleurs, s'est montré incapable d'expliquer son inaction coupable.Malgré le huis clos familial, favorisé par le confinement de 2020, le calvaire d'Amandine, morte de faim à l'été 2020, n'était pas inconnu des autorités. Alors y a-t-il eu des failles dans la protection de l'enfance ? Trois signalements avaient été faits entre 2010 et 2014, et dès la maternelle les égratignures et les ecchymoses d'Amandine avaient inquiété l'école. Un magistrat avait été saisi en CE1, quand Amandine présentait des traces de coups et fouillait les poubelles pour manger.Isabelle Debré, présidente de l'association l'Enfant bleu, qui lutte contre les violences faites aux enfants, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur le calvaire subi par Amandine. Elle nous expliquera aussi les différents signalements qui ont été faits au fil des années, et la succession de failles qui n'ont pas permis de lui sauver la vie. Un dossier "ahurissant", commente-t-elle dans le Parisien. Elle nous dira aussi, après plus de 30 ans d'expérience dans la protection de l'enfance, sa vision de la politique de protection de l'enfance en France, et les recommandations de l'association l'Enfant Bleu pour que les violences faites aux enfants soient mieux repérées et traitées.
À 22h, François Gapihan fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, BFM jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
Cassandre et Alice, les co-réalisatrices du film percutant “Ne Séparez Pas la Femme de l'Artiste”.
Tout roule pour le Rocket de Laval. La nouvelle réglementation de la LCH et la NCAA. Tour d'horizon des espoirs de la USHL.
Moins de classes de francisation au Québec, malgré une forte demande. La rencontre Lorange-Moranville avec Philippe Lorange.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaîne de Hisokaparker: htpps://youtube.com/hisokaparker3090Dernier article de The Crust: https://litterart26.wixsite.com/litt-r-art/post/des-nouvelles-du-front-ultimate-spider-man-par-jonathan-hickman-et-pas-que-marco-checchetto==================================D'Encre et de Bulles est votre rendez-vous hebdomadaire de review comics VO et VF. Tous les mercredi à 21h, vous retrouvez Mindphobia, HisokaParker et différents intervenants pour parler des lectures de la semaine.Notre invité de la semaine, Mathieu Teulé qui est déjà venu il y a quelques temps pour présenter sa BD Retour au Normandy.Dans cette nouvelle émission, nous vous parlerons de plusieurs sorties VO de la semaine, et surtout plusieurs numéro 1 avec Zatanna: Bring The House Down, Falling in Love in a Path to Hell ou Little Marvels, entre autre. Mais on reviendra aussi sur le dernier numéro de Batman par Chip Zdarsky ainsi que sur la série Principles of Necromancy de Kelly & Lanzing chez Magma Comix.Côté VF on vous parlera du premier tome des Affamés du Crépuscule, de Pulp par Brubaker & Phillips, de Sin City mais aussi de la dernière sortie VF de Mark Millar ou encore de la curiosité 404 Comics qu'est Au Dedans.#marvel #dc #zatanna #skottieyoung #batman #magmacomix #kelly&lanzing #pulp #brubaker #edbrubaker #seanphillips #markmillar #biggame #gwillowwilson #thehungerandthedusk #delcourt #huginnmuninn #paninicomics #404comics #comics #noussommesles4pourcent Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au revoir la France. Bye Bye Love. Pays finito. The End. Nous sommes au XVe siècle, après 1420 et le Traité de Troyes. Affamée, épuisée, livrée au pillage, rançonnée par les bandes armées, ravagée depuis plus d'un demi-siècle par les guerres et les épidémies, la France est sur le point de crever. Bye-Bye France. Pays finito. Ou pas loin. Tout le monde ou presque s'attend à une annexion pleine et entière sous peu. Surtout à partir du moment où la ville d'Orléans est, à son tour, assiégée en octobre 1428. Avant de mourir, le roi Charles VI, lui-même ravagé, et sa femme Isabelle de Bavière ont abjuré le « soi-disant dauphin », leur propre fils, Charles VII, qui se considère quand même comme roi mais qui ne règne plus sur grand-chose. Par dérision, Anglais et Bourguignons l'appellent désormais « le roi de Bourges ». Il n'a plus un kopeck et dépend du bon-vouloir de prêteurs pour financer la défense de ses derniers territoires. C'est à partir de ce siège, au milieu de cette misère, qu'apparaît Jeanne. Une femme très jeune au milieu d'un monde d'hommes très vieux. Une justicière contre l'oppression. Une personne courageuse au milieu d'un monde de lâches. Une enfant de génie au milieu d'un monde d'adultes stupides et prétentieux. Une visionnaire généreuse au milieu d'un monde de calculateurs méprisables. Une inspirée, autant dire une illuminée. Traitée de putain et de sorcière par les Anglais, d'hérétique par l'Église alliée à l'Université et abandonnée par le roi même du royaume qu'elle a sauvé. Jugée schismatique, apostate, menteuse, devineresse, suspecte d'hérésie, errante en la foi, blasphématrice, brûlée puis récupérée ensuite pour la gloriole, béatifiée en 1909, canonisée en 1920 et désormais utilisée depuis un demi-siècle pour servir à un combat complètement étranger au sien. Ce n'est pas la première et ce ne sera pas la dernière. Mais c'est la plus célèbre. Une vraie star. Et c'est la plus bouleversante. Aimable sans conditions, sans limites, comme on peut aimer L'Iliade, Jésus, les « Cathares » ou la poésie de François Villon. Jeanne, c'est la France qu'on peut aimer. La France du mépris des conventions et de la révolte contre l'oppression. La France des visionnaires et des poètes. La France de la justice. Une France qui, comme l'autre et contre l'autre, la France de la force, continuatrice de l'Empire, n'a jamais pris fin." Auteur : Pacôme Thiellement Réalisation : Mathias Enthoven, Ameyes Aït-Oufella Montage : Ameyes Aït-Oufella Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste Production : Hicham Tragha Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert Avec l'aide inestimable de l'historien Raphaël Carbonne.
Le Musée d'Orsay vous propose une exposition passionnante intitulée « Paris 1874- Inventer l'impressionnisme ». Il se trouve qu'il y a 150 ans, précisément le 15 avril 1874 ouvrait à Paris la première exposition impressionniste qui s'appelait « Affamés d'indépendance ». Monet, Renoir, Degas, Morisot, Pissaro, Sisley ou encore Cézanne ont décidé de s'affranchir des règles, en organisant leur propre exposition en dehors des voies officielles. Cette exposition est l'occasion d'admirer quelques 130 œuvres. J'ai eu un vrai coup de coeur pour ces explosions de couleurs et par la variété des artistes mise en valeur. Un vent de jeunesse souffle sur le Musée d'Orsay. «Paris 1874- Inventer l'impressionnisme », c'est jusqu'au 14 juillet Rendez-vous au Musée d'Orsay, place Valéry Giscard d'Estaing dans le 7ème.
Vous l'avez peut-être lu dans le dernier numéro de Tsugi, ce (pas si) joli mois de mai restera dans les annales de l'histoire de notre petite webradio. Le 23 mai nous rendons les clés pour que le Parc de la Villette puisse accueillir des athlètes de plusieurs pays dans le cadre des JO. Vous risquez souvent d'entendre que c'est la dernière de la saison dans les 15 jours qui viennent. Et donc c'est ce soir la dernière de la saison de Serge, l'émission. Ces deux petites heures où avec Didier Varrod et Patrice Bardot, on partage nos coups de cœur, on s'enflamme, on se souvient de golds qui ne parfois des classiques que pour nous. Et surtout on fait briller la flamme d'une musique en français qui ne cesse de nous réjouir par son inventivité et sa détermination. LIV DEL ESTAL "Space Invaders" PETITE-VALLÉE "Adieu" ARTHUR FU BANDINI "L'être à vous" NERLOV "Affamé" FRANCIS CABREL "Les murs de poussière" 135 "Climax" YOUSSOUPHA "À force de le dire" KYANA "Problèmes d'adulte" CLARIKA "Bien mérité" ROBERT ROBERT "Souffle sur moi" SIMONE RINGER "Intentionnel" SAVANAH "Villes noires"
On décrypte le monde : le drame de jeudi à Gaza, la preuve que la population est affamée.
On décrypte le monde : le drame de jeudi à Gaza, la preuve que la population est affamée.
« J'ai monté ma structure, je peux mettre les mêmes sommes »
En 1978, 3 ans après “Les dents de la mer”, c'est au tour des dents de la mare. “Piranhas” est réalisé par Joe Dante (Gremlins, 1984) et surfe sur le succès récent des monstres aquatiques. On veut du divertissement, du sanglant qui rapporte et peu importent les réalités scientifiques et l'impact sur les espèces.Brisons le mythe : la majorité des espèces de la famille des Piranhas (les Serrasalmidés) sont des végétariens. Les espèces carnivores ne sont pas assoiffées de sang, elles se nourrissent le plus souvent de charognes ou d'animaux faibles et malades, un rôle essentiel dans l'environnement. Le seul cas avéré d'attaque mortelle par des Piranhas date de 1870. Alors que le Brésil et le Paraguay sont en guerre, des soldats blessés tentent de traverser le Rio Paraguay mais ils n'atteindront jamais l'autre rive. Après une expédition en Amazonie en 1913, Theodore Roosevelt décrit une attaque de Piranhas, :“Ce sont les poissons les plus féroces du monde [...] ils déchireront et dévoreront vivant tout homme ou toute bête blessée”. Afin d'impressionner l'ancien Président une vache fut jetée en pâture à un banc de Piranha par des locaux qui avaient isolé les poissons. Affamés, les Piranhas se jetèrent sur l'animal, dévoré en quelques minutes. La légende était née.Pourtant, les populations locales ne le craignent pas. La plupart des habitants, femmes et enfants compris, se baignent dans des eaux où il est présent. Le risque d'attaque sur un humain est infime. Dans ces mêmes fleuves, Gymnotes, Caïmans ou Anacondas sont beaucoup plus redoutés.Retrouvez l'article de Bérénice Toutant sur le site de BSG______On aime ce qui nous a émerveillé … et on protège ce qu'on aime.______PARTAGERSous notre Gravillon vous trouverez… 4 podcasts, 1 site, 1 compte Instagram, 1 page + 1 groupe Facebook et 1 asso. Il nous serait très précieux et utile que vous partagiez ce lien :https://baleinesousgravillon.com/liens-2Pour nous aider, vous pouvez vous abonner et partager nos liens, et nous laisser des étoiles et surtout un avis sur Apple Podcast et Spotify. Ainsi, nous serons ainsi plus visibles et mieux recommandés. Merci :)_______SOUTENIRTous nos podcasts sont faits bénévolement. Ils sont gratuits, sans pub et accessibles à tous. Vous pouvez faire un don sur Helloasso (ou sur Tipeee), adhérer à l'asso BSG, ou installer gratuitement le moteur de recherche Lilo et nous reverser vos gouttes :https://bit.ly/helloasso_donsUR_BSGhttps://bit.ly/lien_magq_lilo_BSGhttp://bit.ly/Tipeee_BSG_______TRAVAILLER ENSEMBLEVous voulez créer un podcast ? Nous vous formons et/ou accompagnons !Nous proposons des Fresques de la biodiversité, des conférences et animons des tables rondes. Nous cherchons des sponsors et des partenaires : contact@baleinesousgravillon.com
durée : 00:07:34 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La BBC montre le désespoir de veuves en Afghanistan qui n'ont pas le droit de travailler en dehors de chez elles, sous le joug des talibans. Sans salaire ni aide internationale, ces femmes ne peuvent se nourrir, avec leur famille. Un enfant afghan sur trois commencera 2024 en état de faim critique.
Catéchèse du P. Mathieu - 2023-10-06 Affamés et assoiffés de la justice by Radio Maria France
Pour la boxe, c'est Noël en juillet ! Quatre jours avant l'immense choc entre Errol Spence Jr et Terence Crawford pour la couronne incontestée des welters, le noble art nous offre un autre bonbon savoureux : le « Monster » Naoya Inoue, ancien champion à quatre ceintures des coqs, fait face à Stephen Fulton, champion unifié WBC-WBO des super-coqs, ce 25 juillet à Tokyo pour tenter de conquérir un titre mondial dans une quatrième catégorie. Entre le surpuissant Japonais et l'Américain au style complet, l'opposition fascine et devrait nous offrir un combat de feu. Inoue restera-t-il intouchable avec quelques kilos en plus ? Fulton peut-il faire chuter celui que les spécialistes rangent parmi les meilleurs boxeurs actuels toutes catégories confondues ? Le RMC Fighter Club vous présente un choc sous les radars des médias mainstream mais qui fait saliver tous les amoureux de la boxe.
durée : 00:54:14 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'histoire de 743 hommes raflés, coupés de leur quotidien et de leurs proches au matin du 12 décembre 1941. Tous juifs et français, ils sont conduits au camp de Compiègne-Royallieu, d'où partira trois mois plus tard le premier convoi vers Auschwitz-Birkenau. Parmi les personnes arrêtées, il y a des cadres, des dirigeants d'entreprises, des médecins, des commerçants, des intellectuels, des avocats ou encore des magistrats. C'est pourquoi cette rafle est le plus souvent qualifiée de "rafle des notables". La liste a depuis disparu. À ce jour, leur identification fait encore l'objet d'un inventaire. Affamés, épuisés par le froid et la promiscuité, l'incertitude sur leur sort et les raisons de leurs arrestations sont une épreuve supplémentaire. Ils n'ont enfreint aucune loi. Eux, des Juifs français intégrés, assimilés. Pour certains, ils sont même médaillés de la Première guerre mondiale ou de la légion d'honneur. Les voici prisonniers de bourreaux nazis. L'humanité en berne, c'est le camp de la mort lente, comme l'écrira l'un des rescapés, le dramaturge Jean-Jacques Bernard. Dans une France occupée, ces hommes deviennent les cibles indifférenciées d'une répression aux attentats anti-allemands qui vise les Juifs et les communistes. Vichy réagit timidement. La distinction entre les Juifs français et étrangers devient chancelante. Comme dans une autre rafle en août 1941, ni la nationalité française ni leur patriotisme ne les protégeront. Un récit documentaire de Judith Chetrit Lectures par Aurélien Labruyère, Stéphane Méziani. Invitée : La journaliste Anne Sinclair. Elle a publié en 2020 chez Grasset : La rafle des notables Pour aller + loin : - Premier convoi, un film documentaire de Pierre-Oscar Levy (Ex-Nihilo Productions, 1992) - Témoignage de Raoul Swiecznik, déporté de France, rescapé, auprès du mémorial de la Shoah. Enregistrement datant de 2005 - "Journal d'un interné : Compiègne, Drancy, Pithiviers, 12 décembre 1941-23 septembre 1942 (2 volumes) de Benjamin Schatzman, Eds Le Manuscrit (2005) - Sans toi, je serais en route pour un grand voyage. Histoire d'un sauvetage, Compiègne, Drancy, 1941-1942 de Louis et Mariette Engelmann, Eds Le Manuscrit (2016) - Le camp de la mort lente : Compiègne 1941-1942 de Jean-Jacques Bernard, aux Eds Le Manuscrit (2006) Le camp juif de Royallieu-Compiègne, 1941-1943, livre d'un collectif d'auteurs, aux Eds Le Manuscrit (2007) - Vichy dans la Solution finale, de Laurent Joly, chez Grasset (2006) - Henri Lang, un dirigeant de la SNCF mort à Auschwitz, de Nathalie Bibas, Eds LBM (2012) - Convois. La déportation des Juifs de France, de Jean-Luc Pinol, aux éditions du Détour (2019) Discographie : JEAN FERRAT Nuit et brouillard (1963) LEONARD COHEN You want it darker (2016) ROBERT FINLEY Souled out on you (2022) - invités : Anne SINCLAIR - Anne Sinclair : journaliste - réalisé par : Helene Bizieau
Au début des années 1930, Staline entend contrôler l'exode rural en surveillant de près les populations qui quittent les campagnes. Il en profite pour exiler, notamment vers la Sibérie, tous ceux qu'il juge "indésirables" et parmi lesquels figurent les petits paysans, victimes de la collectivisation, les délinquants ou même les vagabonds.Ces populations devaient participer à la mise en valeur de la Sibérie, mais sans que rien soit mis en place pour les accueillir.Ces pratiques s'inscrivent dans un contexte plus large de répression massive, marquée par l'organisation probable de la grande famine frappant l'Ukraine en 1932-1933, et l'instauration, en 1937-1938, de la Grande Terreur, au cours de laquelle plus d'1,5 million de personnes furent exécutées ou déportées.C'est dans ces circonstances qu'en 1933, environ 6.000 déportés sont abandonnés sur la petite île de Nazino, qui se trouve sur le fleuve Ob. Il s'agit d'une région isolée de la Sibérie occidentale, à quelque 800 kilomètres de Tomsk.Les gens débarqués sur l'île sont, pour l'essentiel, de petits paysans, victimes de la politique répressive de Staline, qui les a privés de leurs biens et déportés. Ils sont laissés sur cette île inhospitalière sans autre nourriture qu'un peu de farine.On ne leur distribue pas non plus d'outils, d'eau potable ou de vêtements chauds pour faire face à un climat très rude. Et l'île ne dispose d'aucun abri où auraient pu se réfugier ces malheureux. Les déportés sont surveillés par des gardes, qui sont rapidement dépassés par la situation.Dans de telles conditions de vie, le pire ne pouvait qu'arriver. La consommation de l'eau du fleuve provoque des maladies. Affamés, des déportés décident de tuer certains de leurs compagnons d'infortune pour les manger. Des dizaines de cas de cannibalisme ont ainsi été rapportés.Les historiens estiment qu'environ 4.000 déportés, sur les 6.000 arrivés dans l'île, ont payé de leur vie ces épouvantables conditions de détention. Le rapport établi par la commission mise en place par le parti communiste local ne sera publié qu'en 2002, par les soins d'une organisation non gouvernementale russe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au début des années 1930, Staline entend contrôler l'exode rural en surveillant de près les populations qui quittent les campagnes. Il en profite pour exiler, notamment vers la Sibérie, tous ceux qu'il juge "indésirables" et parmi lesquels figurent les petits paysans, victimes de la collectivisation, les délinquants ou même les vagabonds. Ces populations devaient participer à la mise en valeur de la Sibérie, mais sans que rien soit mis en place pour les accueillir. Ces pratiques s'inscrivent dans un contexte plus large de répression massive, marquée par l'organisation probable de la grande famine frappant l'Ukraine en 1932-1933, et l'instauration, en 1937-1938, de la Grande Terreur, au cours de laquelle plus d'1,5 million de personnes furent exécutées ou déportées. C'est dans ces circonstances qu'en 1933, environ 6.000 déportés sont abandonnés sur la petite île de Nazino, qui se trouve sur le fleuve Ob. Il s'agit d'une région isolée de la Sibérie occidentale, à quelque 800 kilomètres de Tomsk. Les gens débarqués sur l'île sont, pour l'essentiel, de petits paysans, victimes de la politique répressive de Staline, qui les a privés de leurs biens et déportés. Ils sont laissés sur cette île inhospitalière sans autre nourriture qu'un peu de farine. On ne leur distribue pas non plus d'outils, d'eau potable ou de vêtements chauds pour faire face à un climat très rude. Et l'île ne dispose d'aucun abri où auraient pu se réfugier ces malheureux. Les déportés sont surveillés par des gardes, qui sont rapidement dépassés par la situation. Dans de telles conditions de vie, le pire ne pouvait qu'arriver. La consommation de l'eau du fleuve provoque des maladies. Affamés, des déportés décident de tuer certains de leurs compagnons d'infortune pour les manger. Des dizaines de cas de cannibalisme ont ainsi été rapportés. Les historiens estiment qu'environ 4.000 déportés, sur les 6.000 arrivés dans l'île, ont payé de leur vie ces épouvantables conditions de détention. Le rapport établi par la commission mise en place par le parti communiste local ne sera publié qu'en 2002, par les soins d'une organisation non gouvernementale russe. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Commencée en juillet 1870, la guerre contre la Prusse a vite tourné à la catastrophe. Après le désastre de Sedan et la chute du second Empire, le 4 septembre, suivie de la proclamation de la République, les Prussiens progressent rapidement sur le territoire français et s'approchent de Paris.À partir du 17 septembre, ils commencent à encercler la capitale. Le siège de Paris commence ; il devait durer quatre longs mois, jusqu'au 28 janvier 1871.Investissant la ville, les Prussiens en surveillent tous les accès. Certes, Paris a des vivres en abondance : 150.000 moutons, 5.000 porcs, 30.000 œufs et des tonnes de farine.Mais il y a aussi beaucoup de bouches à nourrir. En 1870, la population de Paris approche des 2 millions d'habitants. Si environ 100.000 Parisiens ont fui la ville, 200.000 habitants des proches banlieues sont venus s'y abriter. Sans compter les quelque 140.000 soldats qui se trouvent alors à Paris.Mais le siège s'éternise, et, à l'approche de l'hiver, les vivres commencent à manquer. Alors les parisiens se mettent à manger tout ce qui est comestible : les poissons de la Seine, mais aussi les chevaux , les ânes ou les chiens.Et puis on se résout même à faire cuire les rats, qui sont nombreux à peupler les souterrains de la capitale. Pour mieux les vendre, les bouchers les présentent d'abord comme de la viande de lapin.Affamés, les habitants surmontent bientôt leur répulsion. D'autant que, d'après divers témoignages, la viande de rat n'est pas si mauvaise. Mais, bientôt, les rats eux-mêmes commencent à manquer.On se tourne alors vers les animaux des zoos, qu'on ne peut plus nourrir de toute façon. Dans celui de Vincennes, on abat des ours, des singes et d'autres animaux. Au jardin d'acclimatation, on sacrifie des buffles et deux éléphants.Pour Noël, le chef cuisinier d'un restaurant prestigieux offre à ses convives du rôti d'ours et des escalopes d'éléphant. Le tout arrosé des crus les plus réputés. Ces animaux exotiques offrirent ainsi quelques semaines de nourriture supplémentaires à des Parisiens aux abois. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Commencée en juillet 1870, la guerre contre la Prusse a vite tourné à la catastrophe. Après le désastre de Sedan et la chute du second Empire, le 4 septembre, suivie de la proclamation de la République, les Prussiens progressent rapidement sur le territoire français et s'approchent de Paris. À partir du 17 septembre, ils commencent à encercler la capitale. Le siège de Paris commence ; il devait durer quatre longs mois, jusqu'au 28 janvier 1871. Investissant la ville, les Prussiens en surveillent tous les accès. Certes, Paris a des vivres en abondance : 150.000 moutons, 5.000 porcs, 30.000 œufs et des tonnes de farine. Mais il y a aussi beaucoup de bouches à nourrir. En 1870, la population de Paris approche des 2 millions d'habitants. Si environ 100.000 Parisiens ont fui la ville, 200.000 habitants des proches banlieues sont venus s'y abriter. Sans compter les quelque 140.000 soldats qui se trouvent alors à Paris. Mais le siège s'éternise, et, à l'approche de l'hiver, les vivres commencent à manquer. Alors les parisiens se mettent à manger tout ce qui est comestible : les poissons de la Seine, mais aussi les chevaux , les ânes ou les chiens. Et puis on se résout même à faire cuire les rats, qui sont nombreux à peupler les souterrains de la capitale. Pour mieux les vendre, les bouchers les présentent d'abord comme de la viande de lapin. Affamés, les habitants surmontent bientôt leur répulsion. D'autant que, d'après divers témoignages, la viande de rat n'est pas si mauvaise. Mais, bientôt, les rats eux-mêmes commencent à manquer. On se tourne alors vers les animaux des zoos, qu'on ne peut plus nourrir de toute façon. Dans celui de Vincennes, on abat des ours, des singes et d'autres animaux. Au jardin d'acclimatation, on sacrifie des buffles et deux éléphants. Pour Noël, le chef cuisinier d'un restaurant prestigieux offre à ses convives du rôti d'ours et des escalopes d'éléphant. Le tout arrosé des crus les plus réputés. Ces animaux exotiques offrirent ainsi quelques semaines de nourriture supplémentaires à des Parisiens aux abois. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
AFGHANISTAN : LES TALIBANS, LA BURQA ET LA TERREUR – 24/05/22 Invités PASCAL BONIFACE Directeur de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques DAVID MARTINON Ambassadeur de France en Afghanistan Auteur de « Les 15 jours qui ont fait basculer Kaboul » MARGAUX BENN Grand Reporter - « Le Figaro » Coauteure du documentaire « Afghanistan : vivre en pays taliban » MARC HECKER Directeur de recherche à l'IFRI Institut Français des Relations Internationales À leur retour au pouvoir à Kaboul en août dernier après le retrait des troupes américaines, les talibans ont promis un régime plus souple que lors de leur premier règne entre 1996 et 2001. Mais ils ont rapidement renié leurs promesses, érodant à nouveau progressivement les droits et balayant deux décennies de liberté conquise par les femmes afghanes. Les jeunes femmes éduquées et connectées de Kaboul, qui ont grandi pendant vingt ans avec le droit d'étudier, de se maquiller, de faire du sport ou de travailler, se sont vues brutalement isolées. Un voile sombre est tombé sur leur existence. Celles-ci sont désormais largement exclues des emplois publics et il leur est interdit de voyager à l'étranger ou sur une longue distance dans le pays sans être accompagnées d'un membre masculin de leur famille. En mars, les Taliban ont fait refermer aux filles les lycées et collèges, quelques heures à peine après leur réouverture, annoncée de longue date, et le voile intégral est redevenu obligatoire pour les femmes dans l'espace public depuis le 7 mai. Les talibans ont précisé que leur préférence allait à la burqa, ce voile intégral le plus souvent bleu et grillagé au niveau des yeux, mais que d'autres types de voile ne laissant apparaître que les yeux seraient tolérés. Ils ont aussi estimé qu'à moins que les femmes n'aient de raison pressante de sortir, il était « mieux pour elles de rester à la maison ». Symbole de cet immense pas en arrière : les présentatrices des principales chaînes de télévision afghanes sont passées à l'antenne dimanche en se couvrant le visage, un jour après avoir défié l'ordre des talibans de dissimuler leur apparence. Certaines activistes qui militent pour le droit des femmes continuent toutefois à faire savoir qu'elles refusent cette mesure. Mais elles déplorent également le manque de soutien de la communauté internationale. Lors d'une rencontre samedi avec le chef de la diplomatie du gouvernement afghan, l'envoyé spécial des Etats-Unis a rappelé l'opposition de la communauté internationale aux restrictions sévères imposées aux femmes. Il a également évoqué avec lui la stabilisation de l'économie afghane et les risques d'attentat. Car l'Afghanistan ne maltraite pas que les femmes mais son peuple tout entier. Alors que les attaques terroristes se multiplient et l'aide internationale n'est plus acheminée, le pays a basculé dans la pauvreté et même dans la famine. Affamées, endettées, des familles ont recours à la vente d'un enfant pour survivre. Un phénomène qui aurait tendance à s'intensifier au fil des mois, depuis le retour de Talibans à Kaboul en aout dernier. A l'époque les Etats-Unis avaient précipité leur départ du pays, souhaitant consolider leur présence dans la zone Asie-Pacifique et offrir une alternative à la Chine, de plus en plus influente dans la région. Dans ce but, Joe Biden a d'ailleurs annoncé lundi le lancement d'un nouveau partenariat économique avec douze pays, dont le Japon, mais sans l'empire du Milieu. Il a également réitéré l'engagement américain à défendre Taïwan en cas d'agression chinoise. Toutefois un conseiller de la Maison Blanche a rapidement précisé qu'il ne s'agissait pas là d'un abandon de ce que l'on appelle la doctrine de « l'ambiguïté stratégique ». Washington ne reconnaît diplomatiquement que la seule République populaire de Chine, mais s'engage par ailleurs à fournir à Taïwan l'aide militaire nécessaire -mais pas de troupes américaines - pour se défendre en cas d'invasion décidée par Pékin. Depuis plusieurs décennies, cette ambiguïté est maintenue. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans ce 27ème épisode de mon Podcast, je vous explique comment retrouver la forme sans avoir à vous priver. Si vous êtes sur une diète restrictive ou que vous vous privez... Ce podcast vous est spécialement destiné. Découvrez comment être au sommet de votre forme tout en profitant de la vie. Pour accéder à la version audio sur votre téléphone, vous n'avez qu'à cliquer sur l'application « Balados » (iPhone seulement) ou « Spotify » et d'y inscrire le nom de l'épisode : S'affiner sans être affamé. TA SANTÉ & TON SUCCÈS, MA PRIORITÉ
durée : 00:02:59 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les Séparatistes prorusses ont annoncé lundi la prise de Mariupol, tandis que Kiev la juge inévitable. Un premier succès pour l'armée russe à la veille de son offensive décisive dans l'Est de l'Ukraine.
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Au Niger, un tiers de la population est menacé de famine, sous l'effet combiné d'une sécheresse récurrente et d'attaques jihadistes. Affamés et empêchés de cultiver leurs champs par des terroristes, des Nigériens quittent leurs villages. Récit : Camille Kauffmann. Sur le terrain : Boureima Hama. Sur le fil est le podcast quotidien de l'AFP. Envoyez-nous vos histoires et vos commentaires : podcast@afp.com. Abonnez-vous, laissez-nous des étoiles, des commentaires, et parlez de nous autour de vous !