Podcasts about manchette

Hélène Cattet et Bruno Forzani se rencontrent lors de leurs études à l'IAD, à l'aube des années 2000. Ensemble, ils façonnent un imaginaire puissamment nourri de différents cinémas de genre mais qui pourtant n'appartient qu'à eux. Ils revisitent le giallo dans « Amer » et « L'Etrange Couleur des Larmes de ton Corps », le polar et le western spaghetti dans « Laissez bronzer les cadavres » adapté de Manchette, et dans leur dernier film, sélectionné en Compétition à la Berlinale, l'Eurospy et les fumettis. "Reflet dans un diamant mort » questionne l'héritage du héros, sorte de chant du cygne aux multiples facettes, une aventure kaléidoscopique qui stimule les sens et multiplie les interprétations. Alors que le film sortira en Belgique le 30 avril prochain, ils se sont prêtés aux jeu des Rituels. Avec ce podcast, créé pour Cinevox, j'ai voulu interroger les auteurs et les autrices du cinéma belge sur la façon dont ils et elles écrivent. Avec Hélène et Bruno, on a parlé d'écrire à deux avec des rythmes différents, au film de l'eau ou au pied du mur, de s'opposer pour mieux se compléter, de retrouver l'envie d'avoir envie, le plaisir et les automatismes, d'une altérité joyeuse qui confronte autant qu'elle conforte, des frustrations mais aussi des exutoires qu'apporte l'écriture.

Chaque dimanche, retrouvez le livre coup de coeur de la semaine : roman, thriller, littérature... laissez-vous inspirer pour vos prochaines lectures ! RDV chaque dimanche à 08h50 et 10h20 sur LYON 1ERE. Ecoutez LYON 1ERE sur lyonpremiere.fr, l'application et à Lyon sur 90.2FM et en DAB+.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

A l'occasion de la sortie de leur dernier roman "A l'ombre de Winnicot", nous avons passé plus d'une heure avec les talentueux Christian Niemiec et Ludovic Manchette. Un entretien riche en anecdotes, rire et découvertes.Venez découvrir ces deux auteurs qui savent aussi bien écrire un policier, un roadtrip ou un roman gothique! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

On lance aujourd’hui « Le Podcash McSween » sur le site du 985fm.ca Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée

Emmett Stinson  2023 Highlights  Wall - Jen Craig  Mircea Cărtărescu - Solenoid  Domenico Starnone - The House on Via Gemito Vertigo - Amanda Lorry Denis Johnson - Train Dreams  Dag Solstad - Novel 11 book 18  2024  A Bended Circuity - Robert S Stickley Elfriede Jelinek - Children of the Dead Alina Stefanescu Andrei Platinov - Chevengur Avner, Adam, Sarah Zachery Solomon - A Brutal Design  Ravel: A Novel  - Jean Echenoz 2666  - Roberto Bolaño Hopscotch - Cortazar  The Instructions - Adam Levin Past Continuous - Yaakov Shabtai Gretel and the Great War: A Novel - Adam Ehrlich Sachs The Material - Camille Bordas Apastoral - Lee D Thomson  Monsters: A Fan's Dilemma - Claire Dederer Upcountry - Chin-Sun Lee No One to Come Looking For You - Sam Lipsyte  Stella Maris and the Passenger - McCarthy  The New Naturals - Gabriel Bump Winter Quarters: A Novel of Argentina - Osvaldo Soriano Tomas Nevinson - Marias The World According to Garp - John Irving  Domenico Starnone - Trick  2024 Christian TeBordo - We Go Liquid,  The Discord Regression  Jesse Ball- The Repeat Room  Jill Ciment - Consent James - Percival Everett  Bristol Vaudrin - Afterward  Ben Tanzer - The Missing  Steve Almond - Truth is the Arrow, Mercy is the Bow Sara Lipman and Seth Rogoff - Smashing the Tablets: Radical Retellings of the Hebrew Bible Seth W.A.S.T.E Mailing List and Me  Best of 2023  Aannex - Blake Butler  A Bended Circuity - Robert S Stickley  Dolly City - Orly Castel-Bloom  Thomas the Obscure - Maurice Blanchot Heart Crane - White Buildings  Saint Sebastian's Abyss - Mark Haber Wittgestein's Mistress - Markson  Ada - Nabokov  Looking forward to :  Blue Lard and Red Pyramid - Vladimir Sorokin  New Mark Haber novel  Elfriede Jelinek - Children of the Dead My Highlights of 2023  - Bret Eastern Ellis - The Shards The new Cormac McCarty books  Morning Star - Knausgard Roar by Bruce Wagner and Also The Marvel Universe. Lee Klein's Chaotic Good Nefando by Monica Ojeda Devil of the provinces by Juan Cardenas  Ava Anna Ada by Ali smith  (out in Jan) Malina  Water Statues  David Keenan's England's Hidden Reverse Australian highlights Paul Delgarno's a country of eternal light, Emmett's book on Murnane and Late by Michael Fitzgerald.  Seth Rogoff's book The Kirshbaum lectures, The two most recent Manchette books were great, Bariloche by Andres Neuman, The Kafka Diaries translated by Ross Benjamin, Voyager by Nona Fernandez, Paul Lynch Prophet Song.  Book of the year Man Eating Typewriter by Richard Milward  Daybook by Nathan Knapp Forthcoming on April 26, 2024 Splice  In the Suavity of the Rock by Greg Gerke Forthcoming on June 28, 2024 Knausgaard's debut novel  - Archipelago in November - Out of the world    The Goldilocks Variations- Coover Deep Vellum November Melvil Rodrigo Fresan – Open Letter July Fog & Car by Eugene Lim Published by: Coffee House Press July   The Stain by Rikki Ducornet Published by: Deep Vellum Publishing Imprint: Dalkey Archive Press July   Commission of Tears Portuguese Literature by Antonio Lobo Antunes – APRIL   Sensitive Anatomy and Once upon Argentina April by Andrés Neuman Open Letter   The Rachel Condition March by Nicholas Rombles Published by: CLASH Books   The Dark Side of Skin by Jeferson Tenório – Charco Feb   Cesaria - by Hanna Nordenhok from Heloise American Abductions by Mauro Javier Cardenas ]   Bad Foundations by Brian Allen Carr Published by: CLASH Books – Jan   Mahler Erasures by John Kinsella   Verdigris by Michele Mari Translated by Brian Robert Moore   Book of Ayn by Lexi Freiman -   Thomas kendall - HOW I KILLED THE UNIVERSAL MAN David Leo Rice – The Berlin Wall Jenny Croft The Extinction of Irena Rey - Feb  Paul Celan and the Trans-Tibetan Angel Yoko Tawada Ten - Juan Emar  And The Besieged City -  Clarice Lispector  Way Far Away by Evelio Rosero Ed Park - Same Bed Different Dreams    Prey for the Shadow by Javier Cercas 

Tout savoir des grands noms de la littérature contemporaine Le podcast ARTE est devenu une collection de livres. Richard Gaitet interroge les meilleures autrices et les meilleurs auteurs sur leurs secrets d'écriture. Après Nicolas Mathieu et Alice Zeniter, c'est au tour de Maria Pourchet. En janvier 2024, Hervé le Tellier complètera la collection.Une coédition ARTE Éditions / Points. Maria Pourchet«Mon premier livre serait comme le dessin du cygne qui, dans la fable, fut travaillé des années avant d'être offert à un empereur japonais. Il faut que le geste soit sûr. »Que trouve-t-on sous la plume de Maria Pourchet ? Pourquoi a-t-elle attendu d'avoir trente ans pour se mettre à écrire – alors qu'elle était sûre de sa vocation dès le CE1 ? Quel déclic doit-elle à Romain Gary ? Comment la langue est-elle devenue « un pote » ? Dans ce dialogue franc du collier, celle qui écrit « comme on gueule » raconte tout, ou presque : son enfance vosgienne « saturée » de livres, son admiration pour Pierre Michon, Achille Talon, Daniel Balavoine ou Les Valseuses, son art mordant de la punchline et, très en détails, la fabrication de ses premiers romans, d'Avancer (2012) au succès de Feu (2021).Une conversation lucide et incandescente avec l'une des révélations de la scène littéraire contemporaine.11,90€ - 128 pages. Toutes les infos sur le livre / sur le podcast. Alice ZeniterL'art littéraire d'Alice Zeniter, de A à Z. Remarquée en CE2 par une autrice confirmée, publiant son premier livre à seize ans, cette romancière, dramaturge, metteuse en scène, traductrice et scénariste s'est imposée comme l'une des voix les plus stimulantes du paysage francophone.Aux Hébrides ou en Hongrie, au plus près des affects d'une hackeuse, d'anciens harkis ou d'une femme de ménage, les histoires d'Alice Zeniter interpellent, en sa qualité de membre honoraire de ce club d'écrivain·e·s qui refusent d'écrire toujours le même livre. Mais comment cette amoureuse éperdue des enquêtes de Sherlock Holmes travaille-t-elle au quotidien ? De quelle façon sa pratique du théâtre influence-t-elle sa prose ? Comment surmonter ses doutes quand on se trouve « écrasée par l'ampleur de ses sujets » ? Et qu'est-ce que « la stratégie de la semoule » ?Un dialogue didactique, plein d'humour et de modestie, sur la fabrique de l'écriture.10,90€ - 144 pages. Toutes les infos sur le livre / sur le podcast. Nicolas Mathieu Comment écrire sans trahir le milieu d'où l'on vient ? De sa première rédac' au Goncourt reçu à 40 ans pour Leurs enfants après eux, en passant par ses « chocs » enlisant Céline, Manchette ou Annie Ernaux, Nicolas Mathieu revient sur la naissance de sa vocation, sa discipline quotidienne et les « coups » que la littérature « lui permet de rendre à la vie, qui nous en met plein la gueule » le temps d'une conversation précise et généreuse. Une plongée passionnante dans la fabrique et les mondes intérieurs du petit bleu des Vosges, devenu l'une des figures montantes du roman contemporain, dont la colère contre « les mensonges, le tout falsifié » reste l'un des carburants, et qui dit avec joie avoir appris davantage en matant Les Soprano qu'en étudiant Tolstoï.10,90€ - 144 pages. Toutes les infos sur le livre / sur le podcast. Bookmakers écoute les écrivain.e.s détailler leurs secrets d'écriture. C'est le récit d'un récit, les coulisses de fabrication d'un livre majeur dans la carrière d'un.e auteur.e, qui dévoile sa discipline, son rythme et ses méthodes de travail. C'est quoi, le style ? Comment construit-on une intrigue, un personnage ? Où faut-il couper ?Chaque mois, Bookmakers écoute les plus grand.e.s écrivain.e.s d'aujourd'hui raconter, hors de toute promotion, l'étincelle initiale, les recherches, la discipline, les obstacles, le découragement, les coups de collier, la solitude, la première phrase, les relectures… mais aussi le rôle de l'éditeur, de l'argent, la réception critique et publique, le regard sur le texte des années plus tard.Animé par Richard Gaitet, écrivain et homme de radio, le podcast Bookmakers détruit le mythe d'une inspiration divine qui saisirait les auteurs au petit matin. Il rappelle que l'écriture est aussi un métier, un artisanat, un beau travail.  Enregistrement : septembre 2023 - Ecriture : Richard Gaitet - Mixage : Samuel Hirsch - Production : ARTE Radio

On y voit des véhicules blindés et des bulldozers israéliens traverser un grillage dans le Nord de la bande de Gaza pour entrer dans l'enclave, la « première incursion de chars » explique le journal qui s'interroge : « Faut-il y voir les prémices de l'offensive terrestre israélienne […] envisagée et même annoncée à maintes reprises » ? « Cet assaut » poursuit le Figaro « suscite les réticences de moins en moins cachées de la communauté internationale, y compris au sein des alliés de l'Etat hébreu ». Les Etats-Unis notamment « redoutent un nombre important de victimes civiles ».Le journal est aussi allé à la rencontre à Elad, côté israélien, à l'est de Tel Aviv, des « ultra-orthodoxes, qui évitent habituellement le service militaire et le recours à la violence » mais qui veulent aujourd'hui se défendre. Le Parisien aussi donne la parole à cette communauté qui représente 12 % de la population israélienne, et donne même des chiffres en se basant sur ceux de la presse israélienne : « 2 100 hommes se seraient engagés à effectuer un service volontaire ». Avi en fait partie. Il explique au parisien avoir « peur d'y aller » mais ressentir « un devoir moral à rendre à son pays un peu de la protection qu'il lui offre ».  « Mais son raisonnement continue le Parisien, ne sera pas compris de tous ses voisins […], il reste une exception si ce n'est un traître ».« Pour les Palestiniens, la fuite sans fin des bombardements israéliens » écrit pour sa part Libération…« Plus aucun endroit de l'enclave palestinienne ne semble sûr pour les Gazaouis » nous dit le journal qui décrit le sentiment de miracle chez ceux qui, malgré les pluies de bombes, parviennent à se réjouir d'avoir tout simplement survécu. Libération publie aussi une carte de la Bande de Gaza obtenue grâce à « la comparaison de deux séries d'images radar […] prises à cinq semaines d'intervalle » par un satellite, et qui permet (cette carte) « de déceler les bâtiments détruits ou endommagés ». Ils sont très nombreux : la mosquée Yassine, l'hôpital Al Ahli Arabi ou encore l'Université islamique de Gaza.Mais « un espoir pour la paix » titre pourtant l'Humanité qui publie en pleine page une photo de ce fameux espoir…C'est Marwan Barghouti, menottes aux mains, lui qui est en prison depuis plus de vingt ans. Selon le journal, « il pourrait détenir la clé de la résolution du conflit ». Le dirigeant palestinien est tout simplement « le plus populaire » peut-on lire. L'Humanité l'assure : depuis le 7 octobre et l'attaque sanglante du Hamas, « nombreux sont ceux qui recherchent une voix politique, pacifique et crédible pour la paix », et « c'est tout naturellement qu'ils se tournent vers Marwan Barghouti, dont le nom même (peut-on lire encore) est le symbole de la véritable résistance du peuple palestinien. Une résistance soucieuse des deux peuples, mais clairement prête à la résilience ». L'Humanité explique même que selon un sondage publié au début de l'été, il serait en tête d'une éventuelle élection présidentielle à Gaza « quel que soit le candidat face à lui, y compris le chef du Hamas ».À la Une de la presse française également, la réponse du gouvernement après les émeutes…« C'était début juillet, après la mort du jeune Nahel à Nanterre, tué par le tir d'un policier lors d'un contrôle routier. C'en était suivi, rappelle Le Monde, des pillages, saccages et incendies de bâtiments publics ». Alors hier, la Première ministre Elisabeth Borne a détaillé, donc, la réponse de l'exécutif devant quelque 200 maires. Et les parents sont « en première ligne » explique Le Parisien pour qui la cheffe du gouvernement a « beaucoup insisté » sur leur « responsabilité », leurs sanctions pénales seront renforcées. Autre mesure : une présence accrue d'adultes référents dans les quartiers pour mieux accompagner les jeunes et leur famille : « Un point très attendu par les élus » nous dit Les Echos « quand nombre de postes d'éducateurs spécialisés sont vacants ». Mais le chemin est encore long, explique le journal : non seulement ces mesures doivent « passer les fourches caudines du Parlement », mais elles devront aussi « faire leurs preuves sur le terrain ».Et puis un anniversaire dont les automobilistes se seraient bien passés…Il y a vingt ans jour pour jour, le 27 octobre 2003, le tout premier radar automatique de France était installé dans une petite commune de l'Essonne pour pénaliser les conducteurs qui ont eu le pied lourd sur l'accélérateur. « Vingt ans de tensions, de polémiques mais aussi de vies sauvées » titre Le Figaro : plus de 7 200 morts en 2002… 4 000 de moins aujourd'hui. Efficacité d'accord, mais aussi l'incarnation « d'une politique à double vitesse » nous dit le journal : « Zéro tolérance pour le conducteur, mais trop peu de moyens pour réprimer d'autres infractions, parfois bien plus graves ». « Le pactole des radars » écrit pour sa part Le Parisien qui rapporte que ces radars ont rapporté 12,5 milliards d'euros de recette à l'état, « affectées à la lutte contre l'insécurité routière ».

Avec Nicolas le Flahec, éditeur de «Derrière les lignes ennemies», les meilleurs entretiens de Jean-PatricK Manchette (La Table ronde) et Serge Quadruppani, «Une histoire personnelle de l'ultragauche» (Editions Divergence).

“Acheter ou vendre c'est construire une relation. Pour donner envie à l'autre de discuter, il faut avoir quelque chose à lui raconter et pour bien négocier, il faut le comprendre.”  Quand on a dit ça, j'espère qu'on vous donne envie d'écouter la discussion entre Pierre Flouvat-Clavier, expert de la négociation, travaillant chez notre partenaire Matrice et Samuel Gassmann, le spécialiste français des boutons de manchette. Tous les deux se donnent la parole pour rendre cette discussion vivante, avec des propos complémentaires. Et surtout elle permet de comprendre à quoi est utile la négociation et quels sont les ingrédients de sa réussite. Enfin, si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin). Et si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;) Si vous voulez acheter le livre "Profession artisan d'art" que nous avons écrit, il est disponible dans toutes les librairies et peut se commander depuis notre site internet. Pour devenir membre de notre association Artisans d'Avenir, c'est par ici ! Cet épisode est produit grâce à l'implication de Ville et Métiers d'Art, association qui a pour vocation de favoriser le développement et la transmission des savoir-faire d'exceptions en France.

durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - L'émission "Les Nouvelles du crime" de Francis Lacassin proposait, en 1985, une lecture d'une nouvelle de Jean-Patrick Manchette "Le Discours de la méthode", par Robert Party et Henri Poirier (1ère diffusion : 30/08/1985). En 1985, Francis Lacassin proposait dans son émission "Les Nouvelles du crime" la lecture d'une nouvelle de Jean-Patrick Manchette Le Discours de la méthode par les comédiens Robert Party et Henri Poirier. Voici comment Francis Lacassin présentait Jean-Patrick Manchette, l'inventeur du néo-polar, disparu en 1995 :   * Auteur d'une quinzaine de romans, critique, scénariste, éditeur, rédacteur en chef, Jean-Patrick Manchette né en 1942, est une représentation typique d'une nouvelle génération d'auteurs qui fonce tout azimut.  Grâce à sa femme, ancienne étudiante à l'IDHEC, il fréquente le milieu du cinéma. [...] Peu à peu il se familiarise avec l'écriture. Son premier roman policier 'Laissez bronzer les cadavres', parait en 1971, l'année suivante il remporte le grand prix de littérature policière avec 'Ô dingos, ô châteaux !' il publie ensuite 'Folle à tuer' et 'Morgue pleine'. Ses titres sarcastiques ou parodiques révèlent la tonalité de l'ouvre de Manchette, mais on ne peut la limiter à cet humour. En effet, de romans en romans, il a fait voler en éclat le confort béat du polar français, et ses conventions, tant au niveau de l'écriture, que du sujet, de la narration et des personnages.  Production : Francis Lacassin  Réalisation : Jacques Béraud Les Nouvelles du crime - Le Discours de la méthode, de Jean-Patrick Manchette -1ère diffusion : 30/08/1985 Indexation web : Sandrine England, Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France

Émission terrorisme de la subversion, radicalité et mort des idéologies dans les industries culturelles. On cherché ses visages au détour d'une rue, espéré des mirages, au milieu des ruines. Saccageant nos mémoires, ignorant nos déboires, ils détruisent nos souvenirs pour s'y construire un avenir.dispo itou on da tube:Au programme:* Esterno Notte, mini-série de Marco Bellocchio, qui 45 ans après les événements et 20 ans après son Buongiorno, notte revient obsessionnellement sur la mort d'Aldo Moro, le début de la fin des Brigades Rouges et la Chute inexorable des idéologies.* Derrière les lignes ennemies. Entretiens 1973-1993, 28 entrevues avec Jean-Patrick Manchette, encore et toujours et aux Éditions de la Table Ronde.Nos émissions spéciales Manchette: au moment de la sortie du merdeux Gunman, de l'ignominieux Laissez bronzer les cadavres et de la réédition des Yeux de la momie et de sa correspondance.Les bons plans Manchette.______PUBLIC SERVICE ANNOUNCEMENT: Le Film du Dimanche Soir, le 16 avril: Paris Texas. _____Coups de cœur:THOMAS: Haulout (Maxim Arbugaev, Evgenia Arbugaeva)THIBAUT: Paris qui dort (René Clair) + La Dentellière (Claude Goretta)DOC ERWAN: Viridiana (Luis Buñuel)JUSTEEN: Summer Madness (Kool and the Gang)PLAYLISTPrégénérique / Extrait JP Manchette et Cesare BattistiJeanette / ¿Porqué te vas?Extrait / JP ManchetteLitovsk / Cerises et grenades

Découvrez le livre du jour des Grosses Têtes. Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg

Du lundi au vendredi, Philippe Vandel fait le point sur un sujet de l'actualité média avec un invité. Aujourd'hui, Etienne Manchette et Jacques Braunstein, pour le livre "Chroniques, 50 chefs d'oeuvre de la littérature vus par la presse".

durée : 00:59:05 - Toute une vie - par : Matthieu Garrigou-Lagrange, Christine Lecerf - Il fumait trop, buvait pas mal et avait la gâchette facile. Dix romans en dix ans. De "L'Affaire N'Gustro" jusqu'à "La Princesse du sang", interrompu par sa mort, à l'âge de 52 ans, Manchette a dégommé le polar à la française. - invités : Max Cabanes Dessinateur et auteur de bande dessinée; Doug Headline journaliste, éditeur, scénariste et réalisateur français; Serge Quadruppani Auteur; Jérôme Leroy scénariste, écrivain; Claude Mesplède Spécialiste du roman policier; Gilles Magniont

durée : 00:07:59 - Les Nuits de France Culture - Dans "Panorama" en 1978, l'écrivain Jean-Patrick Manchette présentait son nouveau roman noir intitulé "Fatale". En 1978, l'écrivain Jean-Patrick Manchette dissertait sur les notions de "sous-littérature" et de "grande littérature". Son choix se portait sans hésitation vers la sous-littérature car "la grande littérature tourne en rond dans des histoires de cocus, le malaise des cadres, etc." * Invité dans l'émission "Panorama" pour son nouveau roman Fatale. Il expliquait que celui-ci n'avait pas été publié dans la célèbre collection "Série Noire" de Gallimard, ce qu'il regrettait.  En effet son roman n'avait pas été considéré comme assez bon par les responsables de la collection, trop schématique dans sa critique sociale à leur goût. A la question "vous ne vous laisserez pas tenter par la grande littérature ?" il répondait : Si je fais autre chose que des romans noirs cela sera aussi des choses vulgaires : c'est à dire la science-fiction, ou le porno, pourquoi pas. Production : Jacques Duchâteau Extrait de l'émission Panorama avec Jean-Patrick Manchette (1ère diffusion : 13/01/1978) Indexation web : Sandrine England, Documentation de Radio France Archive INA-Radio France

Nicolas Carreau reçoit Christian Niemiec et Ludovic Manchette pour leur nouveau roman "America[s]" au Cherche Midi, et visite la bibliothèque de  Joël Dicker, qui publie  "L'Affaire Alaska Sanders" chez Rosie & Wolfe.

Elle s'appelle Heloisa Pinheiro, et comme on l'a vu dans la dernière émission, c'est en 1965, en ouvrant un numéro du magazine Manchette, que la jeune femme a découvert que la fille d'Ipanema… c'était elle ! Alors, du jour au lendemain les propositions affluent ainsi que les caméras de télévision !

Chaque vendredi, le gang de la revue ALIBI vous propose deux minutes de polar (grands formats et poches, adultes et jeunesse, ainsi que des récits et des BD). Découvrez nos lectures coups de coeur, des chroniques que vous pouvez retrouver dans le numéro 8 d'ALIBI, disponible en librairie. Vous pouvez aussi vous procurer votre revue via notre boutique en ligne sur alibimag.com et/ou vous y abonner pour la recevoir directement chez vous. Aujourd'hui, une BD, Morgue pleine, de Max Cabanes et Doug Headline, paru aux éditions Dupuis.

Un match comme les autres entre les Buccaneers et les Pats? C'est ce qu'on tente de nous faire croire mais il n'en est rien. Quel sera l'accueil de la foule pour le beau Tom dimanche soir? La Zone payante décortique les retrouvailles tant attendues. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

"Un trip orgasmique façon western sous acide, brutal et cosmique."Ce sont les mots du critique Renan Cros pour Cinemateaser et ils ne sont pas de trop pour évoquer Laissez bronzer les cadavres, sommet d'esthétisme et de violence exacerbée sur fond de village corse et de polar ensoleillé. Inconnus du grand public mais renommés chez les passionnés de cinéma de genre, Hélène Cattet et Bruno Forzani livrent avec leur troisième long-métrage un western corse hallucinogène adapté du livre eponyme de Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid. On profite de cet épisode pour revenir sur la carrière de ce couple de cinéastes français passionnés de giallo et sur la production (et la réception) mouvementée qui en a découlée.  Avec Laissez bronzer les cadavres, Kev voulait vous emmener sur des terres inhabituelles, ces terres qui divisent car en expérimentant des procédés visuels et sonores singuliers, c'est directement votre sensibilité et votre sensorialité qui seront touchés. Typiquement, l'un de ces films qu'on adore ou qu'on déteste.  N'hésitez pas à nous dire dans quel camp vous vous situez !  Deux liens pour découvrir deux courts métrages de Bruno Forzani et Hélène Cattet : -Chambre Jaune (2002) -L'étrange portrait de la dame en jaune (2004) La reco de fin : Oranges Sanguines  de Jean-Christophe Meurisse, au cinéma le 17 novembre 2021 !  Bonne écoute !  CRÉDITS : Retake est un podcast animé par Kev et Nathan. Montage effectué par Kev. Logo crée par Barthélémy Fourtet. Générique : © Le Cinéma - Claude Nougaro / © Caravan - Duke Ellington et Juan Tizol  Extrait bande annonce : © 2017 Shellac. - Laissez bronzer les cadavres - Bande Annonce  Extrait musical de clôture :  ℗ BMG Rights Management Sunny Road to Salina - Christophe Date d'enregistrement : 11/09/2021   

C'était trop beau pour être vrai après une premiere semaine sans grave blessure, l'infirmerie est en train de se remplir dans la NFL. Quelle équipe a vu sa saison changer cette semaine? Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

durée : 00:53:13 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1973 Claude Chabrol avait 43 ans, il avait tourné 28 films et 18 millions de spectateurs étaient venus les voir. Dans "Clap sur Claude Chabrol" le réalisateur était en plein tournage de son film "Nada", d'après un roman de Jean-Patrick Manchette, avec notamment Michel Duchaussoy et Maurice Garrel - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Claude Chabrol réalisateur français (1930-2010); Jean-Patrick Manchette; Maurice Garrel; Michel Duchaussoy acteur

Episode #374! Another all-new episode! This week Scott has a documentary for his contribution to "Cool Stuff". Listen as he tells us about "Manson: Music From An Unsound Mind". After that, DL brings volume 1 of "Streets of Paris Streets of Murder" by Manchette - Tardi to the podcast. Give this episode a listen!

Discussion avec le collaborateur du jour, Christian Rioux, correspondant à Paris pour le quotidien Le Devoir et collaborateur à QUB radio : depuis une semaine, la construction de la plus grande mosquée d’Europe à Strasbourg défraie la manchette. Bizarrement, ce même gouvernement a choisi la semaine internationale de la langue française pour annoncer que la nouvelle carte d’identité sera bilingue.  Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

L'envers d'une manchette économique | Démystifier les « prêts pardonnables » contre des emploi : l'aveu du gouvernement Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée

durée : 00:53:13 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1973 Claude Chabrol avait 43 ans, il avait tourné 28 films et 18 millions de spectateurs étaient venus les voir. Dans "Clap sur Claude Chabrol" le réalisateur était en plein tournage de son film "Nada", d'après un roman de Jean-Patrick Manchette, avec notamment Michel Duchaussoy et Maurice Garrel - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Claude Chabrol réalisateur français (1930-2010); Jean-Patrick Manchette; Maurice Garrel; Michel Duchaussoy acteur

durée : 00:04:32 - La chronique de Clara Dupont-Monod - -

durée : 00:04:32 - La chronique de Clara Dupont-Monod - -

Introduction (0 m – 2m)Jouer confinés ? (2m-16m)Deadland Reloaded, par Loris (16m – 1h06)Scenic Dunnsmouth, par Philippe (1h06 – 1h31)Check Larps, par Steve (1h31 – 2h19)La lecture du moment, « Ce n'est pas du wargame, c'est du jeu de rôle »(2h19) Conseil du mois : Jouez-moins, lisez plus de bouquins de Manchette Mentionnés dans ce numéro :No Salvation for WitchesLe podcast Club JdRLa Social Distancing Game JamKnightriders (meilleur film sur le GN sans GNistes)The Vast of NightChroniques Cinéma de Manchette

Introduction (0 m – 2m)Jouer confinés ? (2m-16m)Deadland Reloaded, par Loris (16m – 1h06)Scenic Dunnsmouth, par Philippe (1h06 – 1h31)Check Larps, par Steve (1h31 – 2h19)La lecture du moment, « Ce n’est pas du wargame, c’est du jeu de rôle »(2h19) Conseil du mois : Jouez-moins, lisez plus de bouquins de Manchette Mentionnés dans ce numéro :No Salvation for WitchesLe podcast Club JdRLa Social Distancing Game JamKnightriders (meilleur film sur le GN sans GNistes)The Vast of NightChroniques Cinéma de Manchette

durée : 00:04:37 - Polars d'été - Cet été, Gilbert Chevalier propose de revenir sur les meilleurs romans noirs, policiers, et thrillers français de l’année.

Ecoutez Doug Headline (Jean Manchette) et Max Cabanes au micro d'Edmond Morrel

durée : 00:04:57 - Polars d'été - Cet été, Gilbert Chevalier propose de revenir sur les meilleurs romans noirs, policiers, et thrillers français de l’année.

En ouverture: extrait d'une lettre de Jean-Patrick Manchette à Charles Tatum Jr."Je suis maintenant tout à fait certain qu’il ne faut pas rééditer en volume mes chroniques de cinéma – que j’ai pu relire intégralement.Ma vanité d’écrivain trouve que ce sont des textes honteusement bâclés pour la plupart. Et le ton hâtif est en plus infléchi parle ton général d l’hebdomadaire. Comme cet hebdo aimait les plaisanteries faciles, j’en mettais partout. On voit que, même dans un journal qui n’avait presque aucune unité de pensée, la célèbre remarque de Lukacs sur le journalisme se vérifie quand même.Le gag consistant à écrire « à l’aveuglette » ne fera sourire qu’une fois, et achèvera de déprécier en bloc des textes déjà médiocres. Il détruira les quelques éléments intéressants (quelques remarques sur le cinéma, quelques raisonnements sérieux sur des films anciens, quelques intuitions sur d’autres) – alors même que ce sont des éléments qui ont éveillé, je crois, votre sympathique intérêt.Ces défauts ne pourraient être évités qu’en faisant un tout autre livre, qui ne mérite pas d’être écrit […] et qui raconterait l’activité du chroniqueur dans cette période-là, expliquerait(sans difficulté) l’idée d’une critique cinématographique bidon pour ridiculiser toute la critique cinématographique bidon,noterait les vives réactions d’approbation que m’ont manifestées plusieurs des critiques professionnels (évidemment : je copiais sur eux !), et, au passage, reproduirait en les commentant quelques échantillons de ma chronique pour faire voir comme on peut,dans ce métier, faire impression en déblatérant hors du sujet,pourvu qu’on ait l’air de posséder la cinéphilie, le marxisme,le situationnisme, des rudiments d’iconologie, de l’aversion pour la France et la sémiotique, un certain goût pour Dorothy Malone et John Wayne, et, enfin et surtout, la capacité de plagier autrui en donnant au plagiat une coloration pseudo-personnelle.[…]JP Manchette – 19 août 1989"également disponible sur le tube.Au programme cette semaine :Si c'était de l'amour, étrange et très beau documentaire de Patric Chiha sur le spectacle Crowd de Gisèle Vienne.Retour sur les dernières sorties concernant Jean-Patrick Manchette (un auteur dont l'oeuvre fait l'admiration de certains forcenés de cette émission, et nous en avions déjà discuté ici et là) à l'occasion de plusieurs ouvrages, ses chroniques de jeux dans Metal Hurlant, sa correspondance et la réédition de ses articles sur le cinéma, Les Yeux de la Momie.Contrairement à ce qui est annoncé en introduction, nous n'avons pas eu le temps de parler de Godspeed de Mong-Hong Chung, nous le ferons la semaine prochaine.Coups de cœur :Thomas : revoir 007 Thunderball (Terence Young)Thibaut : revoir Josey Wales, hors-la-loi (Clint Eastwood)Carla : Nocturne Indien (Antonio Tabucchi)Gaal: Les Mains Sales (Jean-Paul Sartre)PLAYLISTPREGENERIQUE/ Extrait JP Manchette à ApostrophesRIHANNA/ No Love AllowedARCHIE BELL AND THE DRELLS / Tighten Up

Hommage gouaille à l’auteur anarcho-marxiste de « Fatale » tandis que sa correspondance inédite se dévoile, assortie d’une réédition de ses chroniques ludiques et cinématographiques. Avec les témoignages énamourés de Nicolas Mathieu, Joseph Ponthus et Christophe Siébert. « L’auteur par lui-même ? Né le 19 décembre 1942 à Marseille, dans la classe moyenne. Enfance et première jeunesse à Malakoff (Hauts-de-Seine). Etudes secondaires au lycée Michelet. Etudes supérieures d’anglais et d’histoire-géographie à Paris. Pas de diplômes. À l’époque et par périodes : auto-stoppeur longue distance, pompiste, instituteur, assistant de français dans un collège pour aveugles en Angleterre, militant néo-bolchévik, contrebassiste et saxophoniste (alto), cinéphile (…) De 1965 à 1970, effectue des travaux d’écriture très divers : films libidineux, synopsis, retapage de scénarios, négrifications, adaptations littéraires de films, télévision scolaire, prières d’insérer, romans d’aventures pour adolescents, romans pornographiques, films pour la prévention des accidents du travail, et nombreuses traductions, seul ou en collaboration avec sa femme traductrice. »Pour les veinard.e.s qui n’auraient jamais entendu parler de ce sympathique personnage ni même jeté un œil de verre au moindre de ses écrits, les éditions de la Table Ronde viennent de livrer le meilleur bulletin météo de ce printemps si bizarre : Lettres du mauvais temps, soit la correspondance inédite de Jean-Patrick Manchette, excellente porte d’entrée dans l’univers de l’auteur de Fatale (1977), du Petit bleu de la côte Ouest (1977) ou de La Position du tireur couché (1981), traducteur de la BD Watchmen d’Alan Moore et Dave Gibbons, reconnu comme le principal rénovateur du polar français des années 70 et 80, théoricien brillant et gouailleur de la littérature de genre et plutôt « incapable d’être un citoyen obéissant ».« Après 1970, publie des romans dans la Série Noire (…) Est considéré comme « gauchiste » (…) Se réfère aussi vivement à la vieille tendance « réaliste-critique » du roman noir américain, étant entendu qu’elle a changé de fonction et de théâtre. Au reste, pense que le roman a depuis un bout de temps fini de donner tout ce qu’il pouvait donner, et cherche seulement à distraire ses amis. Aime : les jeux (à l’exclusion des jeux d’argent) ; le cinéma hollywoodien ; le jazz ; la pensée allemande ; l’entrecôte. »Plus de 500 pages de courriers jamais banals, édités avec soin, chouettos et chaleureux comme un vieux pote qu’on retrouve ou qu’on rencontre pour la première fois, dans lesquelles l’agoraphobe au fume-cigarette défenestre les récits horrifiques de Stephen King (et « leur absence de finalité ; faire frissonner, voilà tout »), complimente Jean Echenoz pour Cherokee (« tout ce bordel se tient », « comme un château de cartes qui serait une brique ») et crée un bref mouvement d’intervention politico-dada nommé Banana, qui consistait à manger lentement des bananes en public avant de les jeter sous les pieds des flics afin de protester contre les violencespolicières ; spécifiquement, contre l’assassinat d’un adolescent noir dans un commissariat du XVIIIe arrondissement de Paris en avril 1993.En parallèle, la même maison réunit pour la première fois en recueil Play it again, Dupont, ses chroniques ludiques sur tous types de jeux (vidéo, de plateau, de société), extraordinairement précises et marrantes, publiées dans le magazine Métal Hurlant de 1978 à 1980 sous le pseudo de Général-Baron Staff. Et ça ne suffisait pas côté boutons de Manchette, les éditions Wombat rouvrent Les Yeux de la Momie, soit l’intégrale de la rubrique ciné tenue dans Charlie Hebdo de 1979 à 1982, culte pour le petit culot qu’il lui fallut pour, selon ses dires, livrer cent critiques de films sans en voir un seul, « à l’aveuglette », « pour ridiculiser toute la critique cinématographique bidon », puisque « tous les journalistes sont des menteurs et des putes », note-t-il avec décontraction.Pour compléter le tableau, ne restait plus qu’à... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

“Tengo treinta y tres años, fui a la universidad una temporada y todavía se hablar inglés si alguien me lo pide, cosa que no sucede con mucha frecuencia en mi oficio. Trabajé en una ocasión como investigador para el señor Wilde, el fiscal del distrito. Su investigador jefe, un individuo llamado Bernie Ohls, me llamó y me dijo que quería usted verme. Sigo soltero porque no me gustan las mujeres de los policías….Me despidieron. Por insubordinación. Consigo notas muy altas en materia de insubordinación, mi general”. “El sueño eterno”. Raymomd Chandler. Los años de la Depresión y la segunda guerra mundial van a suponer la presencia obsesiva del miedo tanto individual como colectivo. Los cinco años de guerra dejan terribles secuelas: los millones de muertos y heridos en combate y el terror a la bomba atómica. Sin embargo, para los intelectuales lo peor aún no había llegado: en 1.947, el presidente Truman instauraba la “guerra fría” con la intención de aislar la creciente influencia internacional del comunismo. Esto trajo consigo la creación del Comité de Actividades Antinorteamericanas que, impulsado por el senador Mcarthy, llevó a cabo desde 1.950 a 1.954, con su tristemente famosa “caza de brujas”, la más implacable persecución de izquierdistas y progresistas que recuerda la reciente historia de los Estados Unidos. De entre los muchos escritores represaliados hay que citar a Dashiell Hammett y Howard Fast. Así pues, aunque sobreviven las tendencias “hard boiled”, llegando a alcanzar incluso una de sus cimas señeras con la obra de Raymond Chandler, la tendencia predominante va a ser la psicología criminal, que, aunque surgida en el decenio anterior, estaba más en consonancia con una sociedad traumatizada. Este subgénero se centra en la exploración psicológica del crimen y del criminal. La novela negra, no obstante, va a ir fragmentándose en otros subgéneros, como la “crook story”, basada en la vida de los delincuentes profesionales; la “police procedural”, relativa a la policía y a sus métodos de investigación, no siempre lícitos, y a la “penintentiary story”, que, narrada por los propios presos, describe la vida en las prisiones. La guerra fría y la represión mcCarthiysta son el caldo de cultivo en que germinan la violencia y la obsesión sexual del Mike Hammer de Mickey Spillane, la crítica acerada de David Goodis, cronista de una sociedad regida por el miedo y en la que cualquier ciudadano pude convertirse en víctima, y la solidaridad y la denuncia de la corrupción que caracteriza la obra de William P. McGivern. Sólo por el personaje de Philip Marlowe, una de las creaciones más extraordinarias del género, Raymond Chandler (1.888-1.959), el renovador y maestro indiscutible del “hard boiled”, junto a Hammett, ocupa ya un lugar en primera fila en la novelística contemporánea. Marlowe, que entró inmediatamente en la leyenda, en gran parte gracias a las interpretaciones cinematográficas de Humphrey Bogart, se caracteriza por ser un hombre sensible y solitario, apasionado por la verdad, moralista y algo cínico. La corrupción de la sociedad, donde la obtención del dinero y el poder lo es todo, es uno de los temas prioritarios en el conjunto de la obra de Chandler, y puede afectar tanto a las fuerzas policiales como a los políticos. Enfrentados a esa corrupción y al paso del tiempo que todo lo destruye, lo único a lo que pueden aferrarse los protagonistas de Chandler, hombres duros e independientes, acostumbrados a codearse con criminales y policías, es su código individual del honor. Partiendo de Chandler, Ross MacDonald (1.915-1.983) crea una serie de novelas protagonizadas por Lew Archer (ex-delincuente, ex-policía, antiguo miembro del contraespionaje americano y divorciado), narrada en primera persona por el propio detectiva, especializado en los dramas familiares de la decadente clase alta californiana. La obra de esta autor, pesimista y desencantada, experimenta una evolución que va desde una primera época caracterizada por la acción y la violencia hasta una segunda etapa de mayor distanciamiento y objetividad que lleva a actuar a Archer en un segundo plano, como una especie de hilo conductor de la trama, en la que el detective desempeña el papel de psicólogo. Patricia Highsmith, escritora americana residente en Europa, es la figura femenina más destacada de la novela negra. El grueso de su producción se inscribe en la psicología criminal y en la crook story; el delincuente como protagonista. Su obra destaca especialmente por centrarse en la génesis del crimen, que suele partir de una gran idea, y por la singular importancia que le concede al comportamiento del delincuente, generalmente masculino, mezcla de instinto y razón. Todo ello está enmarcado en ambientes de la vida cotidiana y contado a un ritmo lento que contribuye a crear una peculiar atmósfera de violencia verbal y psicológica. Frente a la versión maniquea que frecuentemente se ofrece de la realidad en la novela de detección, el conjunto de la obra de Patricia Highsmith nos presenta un aguafuerte complejo, frío y corrosivo de las relaciones humanas, en especial las de pareja. El inquietante y peculiar delincuente Tom Ripley, protagonista de varias de sus obras, ilustra lo dicho. Cabría destacar, por último, la obra policíaca de Fredric Brown (1.906-1.972), adscribible plenamente a la psicología criminal, aunque su lirismo fantástico y su sentido del humor algo surrealista lo alejan un tanto de los cánones de esta corriente. En sus argumentos pueden rastrearse elementos autobiográficos y una despiadada crítica de la sociedad. Brown explora la moral oculta de dicha sociedad, valiéndose de un sutil análisis del comportamiento de sus personajes, a los que a menudo coloca en situaciones al borde de la pesadilla. A partir de los años sesenta la novela negra deja de ser un coto cerrado para escritores norteamericanos y su influjo se expande por todos los países del mundo occidental, arraigando especialmente en Francia, Italia y España con novelistas de la talla de J.P. Manchette, de G. Scerbanenco y de Manuel Vázquez Montalbán, respectivamente. Y es tal la cantidad de escritores que surgen, con sus peculiares interpretaciones del personaje del detective privado, que resulta imposible enumerarlos en este breve recorrido por la novela policial. Ello es muestra inequívoca de que este género es el paradigma por excelencia de la cultura urbana y postindustrial, al margen de sistemas políticos, sociales y económicos. Que el género policial permanece abierto a cualquier realidad lo prueba su capacidad para adaptarse temáticamente a las consecuencias de los sucesos históricos más relevantes, ya sean los asesinatos de los Kennedy y Martin Luther King, las guerras de Vietnam , Afganistán, los Balcanes, el terrorismo, los movimientos hippy o punk, las revueltas raciales de la población negra en los Estados Unidos en la década de los sesenta,etc...Asimismo ha sabido amoldarse a las transformaciones sociales con sus nuevas pautas morales y formas delictivas que van desde el terrorismo internacional a los complejos delitos financieros. Novelistas de ganado prestigio como Truman Capote con “A sangre fría” de 1.965 o Norman Mailer con “Un sueño americano” del mismo año se decantan hacia el tema criminal y obtienen un gran éxito de ventas, lo que lleva a otros escritores a la busca de un resonante best-seller como el logrado por Mario Puzo con “El padrino” en 1.969. Las crecientes reivindicaciones raciales tienen como consecuencia la aparición a mediados de los sesenta en la literatura, y en el cine, de una pléyade de detectives negros, rompiendo así con la tradición del género de que estos, tanto privados como oficiales, sean de raza blanca. De entre ellos habría que destacar a Sepulturero Jones y Ataúd Ed Johnson, protagonistas de varias novelas de uno de los mejores narradores de este periódo: Chester Himes (1.909-1984). Los métodos de los policías de Himes se basan en la brutalidad, producto de la dura realidad en que se mueven, la jungla del superpoblado barrio de Harlem, en Nueva York, verdadero epicentro de todas estas obras. El protagonismo concedido a los negros es también una de las variadas facetas del prolífico Donald Westlake, uno de los valores más sólidos de la novela negra. En su compleja y amplia producción destacan la humanidad, el lirismo, y, sobre todo, el humor. Este último, junto con la ironía y el sarcarmo, está basado en el planteamiento de situaciones absurdas en un contexto realista, lo que lo convierte en un renovador del género. El éxito de las colecciones policíacas, la creciente celebración de premios y congresos, las continuas adaptaciones cinematográficas y televisivas y la utilización del estilo narrativo policíaco por parte de un gran número de escritores contemporáneos, como Umberto Eco o Eduardo Mendoza, parece confirmar que el género policíaco goza todavía de mejor salud que nunca, a pesar de los agoreros que no dejan de vaticinar su próximo fin. El género policíaco ha atraído a tantos y a tan diversos lectores, que ha llegado a decirse que es una auténtica máquina de crear lectores. Espero que, si aún no es así, muchos descubran también la fascinación que ejerce el misterio y el placer que proporciona resolverlo tras una lectura atenta y creativa.

durée : 00:07:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - Dans "Panorama" en 1978, l'écrivain Jean-Patrick Manchette présentait son nouveau roman noir intitulé "Fatale". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Patrick Manchette

durée : 00:35:03 - Les Nuits de France Culture - L'émission "Les Nouvelles du crime" de Francis Lacassin proposait, en 1985, une lecture d'une nouvelle de Jean-Patrick Manchette "Le Discours de la méthode", par Robert Party et Henri Poirier (1ère diffusion : 30/08/1985).

Isabelle Craig nous présente Adalbert Lallier, un ancien SS en quête de rédemption, qui a fait condamner un officier supérieur nazi, Geneviève Marion, une jeune femme qui a accouché de jumelles à 24 semaines, en pleine crise du verglas en 1998, et Daniel Benson, un intervenant auprès d'ex-détenus, qui a lui-même tué à l’âge de 19 ans.

Le lixiviat, ou le jus de poubelles, a fait la manchette l'été dernier. Est-ce que le site d'enfouissement sanitaire de Gaspé pollue la rivière York? Nelson Sergerie pose la question au directeur de l'urbanisme à la Ville de Gaspé, Jocelyn Villeneuve.

Reprise de la diffusion de nos podcasts avec ce numéro spécial BD enregistré en public lors du festival des Habits Noirs le 27 septembre dernier au Point Ephémère à Paris (*).Présenté et animé par Frédéric Prilleux et Mickael Demetz, autour de la table, on retrouve Marc Villard, Jean-Christophe Chauzy, Clémentine Thiébault, José Louis Bocquet (auteur, écrivain, adaptateur, directeur de collection Ed. Dupuis), Deup.Entre autres sujets abordés tels que l'évolution de la BD et le courant d'adaptation des romans noirs, les titres commentés sont les suivants :- "La guitare de Bo Diddley" (Villard/Chauzy - Ed. Rivages/Casterman).- "La princesse du sang" (Manchette/Headline/Cabanes - Ed. Dupuis).- "Apolline" (TBC/Morvan - Ed. Casterman).- "La véritable histoire de John Dillinger, ennemi public n°1" (Mislov/Guitard - Ed. Denoël graphic).- "Jazz Maynard", trilogie (Raule/Roger - Ed. Dargaud).(°) nous reprenons nos diffusions avec le deuxième podcast enregistré en public le dimanche 27 septembre 2009 lors du festival des Habits Noirs. Le premier portant sur le roman noir, techniquement plus ardu à remonter, sera en ligne ici prochainement.Enregistré, monté et enrichi (musique) par Sophie Couronne, ce podcast est d'une durée de 52 min 42 sec et d'un poids de 120,7 Mo.Plusieurs façons pour l'écouter :>1- En cliquant sur ce lien vous pourrez écouter et également télécharger le Mp3 (clic droit sur le lien puis : enregistrer la cible du lien sous).>2- Ce podcast est téléchargeable via Itunes où il est référencé : cliquez (pour vous abonner automatiquement) sur la petite photographie dans la colonne de droite.>3- En cliquant sur le lecteur ci-dessous vous écouterez le podcast directement depuis cette page :Prochain podcast enregistré lors du festival des Habits Noirs (Thème : romans noirs) : début novembre.Pour toutes réactions sur le contenu, informations, communiqués, suggestions, services de presse, etc. : écrire à leshabitsnoirs@free.fr Pour toute question technique : écrire à leshabitsnoirs@gmail.com

Épisode 89 : Terre neuvas (Chabouté), Aya (tome 5) et Manchette en B.D.

Épisode 89 : Terre neuvas (Chabouté), Aya (tome 5) et Manchette en B.D.