Podcasts about reprises

Dans cet épisode, nous revenons sur l'histoire de « Crazy », le titre culte de Seal sorti en 1990. Ce premier single solo, inspiré des bouleversements politiques et sociaux de la fin des années 80, a propulsé le chanteur britannique sur le devant de la scène. Découvrez les anecdotes sur sa création, son impact culturel et ses nombreuses reprises, dont celles de Talisman et Alanis Morissette. Un classique intemporel qui a marqué la pop et le cinéma.À retenir :Origines et contexte de « Crazy » (1990).Anecdotes et influence dans films et séries.Reprises marquantes par d'autres artistes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue dans cette deuxième partie de notre série d'émissions consacrées à la chanson Home de Depeche Mode.Au sommaire aujourd'hui nous vous parlerons de la sortie du single avec MJ, Angélique et Vincent des remixes et des reprises de la chanson et Enardan évoquera l'interprétation de Home en concert lors des différentes tournées du groupe depuis 1997.----Au sommaire :Intro (00:00:00)Sommaire de l'émission (00:01:44)Sortie du single : (00:02:51)Remixes et Reprises : (00:16:23)En live : (00:28:54)Conclusion (00:37:45)----Crédits :Couverture : Enardan (crédits photos : capture d'écran “One Night In Paris”', Pochette : Anton Corbijn)Musiques originales : YohanMontage : MJ----Sources et liens externes : Google Doc Retrouvez nos liens sur LinkTree !Depeche Pod fait partie du label Podcut ! Cliquez sur le lien pour découvrir les autres podcasts du label. Venez donner au Patreon pour le soutenir ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

En Russie, la chanteuse Naoko, 18 ans, est devenue, peut-être malgré elle, un symbole. La musicienne de rue, de son vrai nom Diana Loguinova, a été, une nouvelle fois, condamnée, le 11 novembre 2025, à une peine de 13 jours de prison, comme son guitariste Alexandre Orlov. Les jeunes musiciens venaient de purger deux peines similaires. Leurs performances publiques, où ils interprètent des chansons de musiciens russes opposés au pouvoir, leur valent des ennuis judiciaires en cascade. Étudiante au conservatoire en classe de piano, Diana Loguinova aime aussi se produire dans la rue, où elle chante, derrière son piano électrique, aux côtés d'un guitariste, Alexandre Orlov, son fiancé, et d'un percussionniste. Avec son visage aux traits poupins, ses cheveux décolorés et ses grandes lunettes aux montures translucides, Naoko et son groupe Stoptime a commencé à chanter à Saint-Pétersbourg en août dernier. La vidéo du concert sur la perspective Nevsky a activement circulé sur les réseaux sociaux et le groupe nouvellement créé a vite gagné en notoriété, attirant des dizaines de spectateurs à chacune de ses performances. Interpelés le 15 octobre, les trois musiciens ont été condamnés à 13 jours de détention pour « trouble à l'ordre public », puis, pour « discrédit » de l'armée russe. À l'issue de cette peine, le batteur du groupe, Vladislav Leontiev, âgé de 18 ans, a été libéré, mais Diana et Alexandre ont été condamnés une troisième fois pour avoir organisé un « rassemblement de masse » sans y être autorisés. Amnesty international estime dans un communiqué que des jeunes gens sont punis « pour leurs performances, qui ont apporté une bouffée d'air frais dans un pays étouffé par la répression et l'autocensure ».  Cette pratique des condamnations à des peines d'emprisonnement dites « administratives » pour des motifs souvent futiles ou contestables, comme celui d'avoir gêné la circulation des piétons, a été surnommée « le carrousel », par les défenseurs des droits humains. Son but : effrayer les militants. « Nous constatons que cette pratique est utilisée de plus en plus activement dans les affaires politiques », note Oleg Kozlovsky, chercheur pour la Russie dans les domaines de la liberté d'expression, de rassemblement et des crimes contre les activistes pour Amnesty International. « Contrairement aux affaires pénales, ces cas ne nécessitent qu'un minimum de travail et de préparation. Les tribunaux n'examinent pratiquement aucune preuve. À l'expiration de leur peine, les personnes sont immédiatement arrêtées pour un autre motif. Dans la pratique, elles peuvent donc passer plusieurs mois en détention administrative », explique Oleg Kozlovsky. Cette méthode des petites peines qui s'accumulent permet aux autorités de garder la personne sous pression et de se donner la possibilité de rassembler un dossier pour ouvrir une affaire pénale. « Le comportement des autorités indique que la décision concernant Diana et les musiciens de rue en général n'a pas été prise au Kremlin », estime le critique musical Artemi Troïtsky. « D'une part, les autorités veulent les punir sévèrement et intimider la population. D'autre part, elles craignent que cela ne provoque une réaction forte, de nouveaux actes de solidarité ». De jeunes gens ordinaires Naoko et son groupe ont reçu une vague de soutien à travers de pays : des musiciens leur ont emboité le pas, certains ont été arrêtés et condamnés, comme eux, à des peines de prison. Des affiches avec le visage de la chanteuse ont fleuri dans l'espace public et les vidéos et photos se multiplient sur les réseaux sociaux. « Cette histoire réfute le mythe que les autorités russes s'efforcent de promouvoir, à savoir que l'ensemble de la société russe approuve la guerre ou, du moins, n'y est pas opposée et que tous ceux qui s'y opposent sont une poignée d'agents étrangers rémunérés, qui ont tous quitté le pays. On voit ici des jeunes gens ordinaires qui sortent dans la rue et qui attirent des foules de plus en plus importantes », affirme Oleg Kozlovsky. Si les autorités russes s'en prennent aux musiciens de rue qui portent des messages pacifistes ou critiques du pouvoir, c'est aussi parce qu'ils portent un caractère d'imprévisibilité, estime Artemi Troïtsky, ancien guitariste du groupe rock expérimental Zvuki Mu, qui a participé, dans les années 1980, à l'organisation des petits concerts improvisés entre musiciens en marge des circuits officiels dans des appartements, surnommés « kvartirniki ». « La musique de rue n'a rien à voir avec les concerts dans des appartements, où un cercle très étroit de personnes se réunit et où tout le monde se connaît plus ou moins », note le journaliste musical, désigné par la justice russe « agent de l'étranger ». « Ce type d'événement n'intéresse par le pouvoir. Ce qui les inquiète en revanche, ce sont ces musiciens de rue qui attirent un grand nombre de personnes, aux profils très variés. Tout cela est imprévisible et cela fait peur aux forces de sécurité ». Dans un entretien à un média local, Diana Loguinova a expliqué que l'art était la seule façon de pouvoir exprimer sa pensée, confiant qu'elle avait peur de chanter des chansons interdites, mais que c'était un « devoir ». À travers ses concerts de rue, la jeune musicienne dit apporter de la chaleur et de l'espoir. « Si ce type d'îlots de liberté prend de l'ampleur, cela peut être dangereux pour le régime. Et c'est pour cela qu'il coupe à la source toute tentative d'expression civique », note Olga Prokopieva, directrice de l'association Russie-Liberté, soulignant que la rapide notoriété de Naoko « montre que les jeunes ont envie d'écouter de la musique qu'ils aiment, avec des paroles qui ont une résonance, des paroles de chanteurs qui ont dû s'exiler parce qu'ils étaient réprimés par le régime, parce qu'ils portaient un message à travers leur musique ». Reprises de chansons d'"agents de l'étranger" Parmi les morceaux les plus discutés, repris par le groupe Stoptime : « Coopérative Lac des cygnes », du rappeur Noize MC, déclaré « agent de l'étranger », qui vit en exil. Cette chanson a été interdite en mai 2025, en Russie, pour avoir « suscité une attitude négative envers les représentants du pouvoir russe, le président russe et ses partisans », mais la décision du tribunal n'interdisait pas l'interprétation de la chanson elle-même. Ses paroles appellent, entre les lignes, au renversement du régime. Le ballet de Tchaïkovski était diffusé lors de la mort de dirigeants soviétiques ou encore le 19 août 1991, jour de l'effondrement de l'URSS. Par ailleurs, la coopérative « Ozero », qui signifie lac en russe, est une société créée dans les années 1990 par Vladimir Poutine pour construire quelques luxueuses datchas au bord d'un lac de Carélie avec des amis, Vladimir Iakounine, Iouri Kovaltchouk, Nikolaï Chamalov, Guennadi Timtchenko, devenus depuis, les représentants de l'élite économique du pays. La coopérative « Ozéro » symbolise la corruption dans les hautes sphères du pouvoir. Dans une interview, Diana Loginova a déclaré que le groupe interprétait rarement cette chanson et ne l'enregistrait pas. Mais la vidéo où l'on voit Naoko devant une foule de jeunes chantant et dansant sur les paroles de Noize MC est devenue virale. Plusieurs personnalités, parmi lesquelles un élu local, un rappeur pro-pouvoir ou encore la journaliste Marina Akhmedova, membre du Conseil des droits de l'homme auprès du président, ont écrit des dénonciations. Autre chanson qui heurte les défenseurs du Kremlin, « Tu es soldat », de Monetotchka, artiste en exil, elle aussi désignée « agent de l'étranger ». « Tu es soldat/Et quelle que soit la guerre dans laquelle tu te bats/Pardonne-moi, je serai de l'autre côté », dit le refrain. Invitée du forum organisé par l'association Russie-Libertés, à Paris, en octobre, l'artiste pop a repris cette chanson. « La salle était pleine, les gens pleuraient tellement ces paroles sont fortes », se remémore Olga Prokopieva, « ces morceaux étant interdits en Russie, quand des chanteurs de rue les reprennent, on voit que ça résonne dans l'esprit des jeunes et c'est encourageant ». Le groupe fait de nombreuses reprises, y compris d'artistes en odeur de sainteté au Kremlin, mais ce sont précisément les morceaux d'artistes « agents de l'étranger » qui ont recueilli des dizaines de milliers de likes. Présente à toutes les audiences, pour soutenir sa fille, la mère de Diana Loguinova n'a fait que de courtes déclarations à la sortie du tribunal. Dans une interview à l'agence de presse progouvernementale Regnum, elle a déclaré qu'elle chantait ces chansons « pour faire le buzz », insistant sur le fait qu'elle se produisait souvent lors d'événements consacrés au Jour de la Victoire, interprétant des compositions patriotiques. La mère de Diana a également indiqué que sa famille comptait des combattants des forces armées russes qui participent à « l'opération militaire spéciale », terme officiel pour désigner la guerre en Ukraine. Naoko avait-elle conscience des risques encourus et de la charge qu'elle porte en chantant des chansons aux paroles chargées de sens ? « Je pense qu'elle est devenue un symbole, peut-être malgré elle, mais en grande partie grâce aux efforts des autorités russes. Certes, des vidéos sont devenues virales, mais si elles n'avaient pas réagi de manière aussi disproportionnée à la menace qu'elles ont perçue, les choses n'auraient pas pris une telle ampleur », affirme le chercheur Oleg Kozlovsky. La jeune chanteuse, aujourd'hui derrière les barreaux, l'a dit : elle avait juste envie de se produire en public et chanter des chansons qu'elle aime et qui lui parlent. « Elle chante des chansons qui ont un sens ou qui le touchent tout simplement, comme elles nous touchent tous. Et le naturel et la vérité viennent toujours au-dessus du mensonge et de la propagande », note Olga Prokopieva, appelant à la mobilisation pour venir en aide à ces musiciens. « Si nous, les Russes en exil, mais aussi les pays démocratiques européens, ne protégeons pas ces îlots de liberté, le régime finira par les étouffer ».

Dans cet épisode de Music Story, Pat Angeli nous dévoile les secrets de fabrication du classique "Can't Take My Eyes Off You". Composé dans les années 60 par Frankie Valli, ce titre iconique puise son inspiration dans l'Adagio de Spartacus d'Aram Khatchatourian. Devenu un incontournable, il a été repris par Lauryn Hill, Muse ou encore Lynn Renaud, chacun y apportant une touche personnelle. Ce succès intemporel s'explique par sa mélodie universelle et son émotion palpable, qui traversent les générations.À retenir :Une inspiration classique inattendue : l'Adagio de Spartacus.Des reprises marquantes par Lauryn Hill, Muse, Lynn Renaud.Un morceau devenu culte grâce à son pouvoir émotionnel et sa richesse musicale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Dans cet épisode de Music Story, découvrez l'histoire étonnante du titre "It's a Hot Egg", rendu culte par Bonnie Tyler. Bien que plusieurs artistes comme Ronnie Spector et Juice Newton aient tenté de populariser cette chanson dans les années 70, c'est la voix rocailleuse de Bonnie Tyler — acquise après une opération des cordes vocales — qui l'a transformée en classique. Surnommée la « Rod Stewart féminine », elle a marqué les esprits au point que Rod Stewart lui-même en a proposé une reprise.À retenir :Une chanson passée entre plusieurs artistes avant de devenir culte.Le rôle décisif de la voix unique de Bonnie Tyler.Anecdotes sur les reprises et l'impact vocal de l'artiste.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Découvrez l'histoire fascinante de la chanson "Tainted Love" de Soft Cell. Apprenez comment ce titre, initialement un échec dans les années 60, a été redécouvert dans une discothèque anglaise pour devenir l'un des plus grands tubes des années 80. Retracez le parcours de ce morceau repris par de nombreux artistes, de Marilyn Manson aux Scorpions. Rendez également hommage à Dave Ball, membre fondateur de Soft Cell, récemment disparu. Une plongée passionnante dans les coulisses d'un titre devenu culte.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

durée : 00:04:44 - Comme un air de Chopin : « Dépression au-dessus du jardin » et autres reprises - par : Max Dozolme - Quel est le point commun entre Vald, Catherine Deneuve, Alain Chamfort, Donna Summer, Charlotte Gainsbourg ou encore The Doors ? Tous ont chanté des tristes ou gais sur des mélodies du roi du piano ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Mathieu Alterman nous emmène à la découverte de chansons à succès qui sont en réalité des reprises méconnues du grand public. De Joe Dassin à Björk, en passant par Marvin Gaye et Nathalie Imbruglia, il lève le voile sur ces versions originales qui ont été éclipsées par leurs interprétations plus populaires. Un voyage fascinant à travers l'histoire de la musique, où l'on réalise que parfois, le succès d'une chanson peut cacher ses véritables origines.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Mathieu Alterman nous emmène à la découverte de chansons à succès qui sont en réalité des reprises méconnues du grand public. De Joe Dassin à Björk, en passant par Marvin Gaye et Nathalie Imbruglia, il lève le voile sur ces versions originales qui ont été éclipsées par leurs interprétations plus populaires. Un voyage fascinant à travers l'histoire de la musique, où l'on réalise que parfois, le succès d'une chanson peut cacher ses véritables origines.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Bom dia! ☕Cadastre a vaga do seu estagiário aqui com Santander Empresas.Aqui você envia dinheiro para fora com Remessa Online.No episódio de hoje:

Plongez dans l'histoire incroyable de « I Can't Help Falling in Love », ballade culte d'Elvis Presley… aux origines françaises ! Inspirée du « Plaisir d'amour » (1784), cette mélodie romantique est devenue un classique mondial avant de renaître dans les années 90 grâce au UB40 et leur version reggae.Un voyage musical entre tradition, cinéma et pop culture qui révèle les secrets d'un tube éternel.

Dans cet épisode, Fabrice Lafitte nous plonge dans les coulisses de la reprise par Johnny Hallyday du titre "Diego, libre dans sa tête" de France Gall. Découvrez les détails fascinants de cette interprétation emblématique, de la date de sortie à l'accueil du public. Fabrice Lafitte partage également des anecdotes sur la carrière du chanteur légendaire et l'histoire derrière cette chanson engagée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Actualités. Gros plan. International. La Slovaquie sans frontieres. La Vie comme elle va. Au programme de ce début de semaine, il y a la rediffusion du 8e volet de notre compétition, la Slovaquie mystérieuse ; prenez des notes et participez, on attend vos réponses. Nous nous rendrons en Croatie, plus précisément en Slavonie pour nous pencher sur la présence slovaque. Les Slovaques sont venus il y a plus de 150 ans pour déboiser des territoires ; et ils se sont installés avec leurs familles pour cultiver les champs. Les traditions slovaques ont été conservées. Archive.

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:04:04 - Musique matin - par : Max Dozolme - Il y a cent ans, en 1924, disparaissait une gloire nationale : le compositeur Gabriel Fauré. On lui doit des œuvres sublimes, des pièces qui témoignent d'un art de la mélodie et de l'harmonie comme sa Pavane, une petite pièce sans prétention qui inspire Bill Evans ou encore Bobby McFerrin. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:09:23 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - Rosemary Standley et Dom La Nena forment le duo Birds on a Wire, et interprètent des reprises variées : folk, rock, musique baroque ou encore comptines… Voix et violoncelle se mêlent pour revisiter des chansons intemporelles, qui ont bercé l'enfance des musiciennes. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Dom La Nena Musicienne; Rosemary Standley Chanteuse

Découvrons les histoires fascinantes derrière certains tubes musicaux. Bien que connus du grand public, de nombreuses chansons à succès se révèlent en réalité être des reprises ou des adaptations d'œuvres originales. De Joe Dassin aux Champs-Élysées, en passant par Boule Noire et Bette Davis Eyes, l'émission lève le voile sur ces origines insoupçonnées. Un voyage passionnant à travers les coulisses de la création musicale, qui montre que la popularité d'un titre ne dépend pas toujours de son caractère original.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Découvrons les histoires fascinantes derrière certains tubes musicaux. Bien que connus du grand public, de nombreuses chansons à succès se révèlent en réalité être des reprises ou des adaptations d'œuvres originales. De Joe Dassin aux Champs-Élysées, en passant par Boule Noire et Bette Davis Eyes, l'émission lève le voile sur ces origines insoupçonnées. Un voyage passionnant à travers les coulisses de la création musicale, qui montre que la popularité d'un titre ne dépend pas toujours de son caractère original.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !

Dans cet épisode, découvrez les surprenantes histoires derrière certaines chansons célèbres. Apprenez comment des artistes comme Barbara, Jean-Louis Aubert ou encore Chuck Berry ont créé des versions parallèles d'un même morceau, parfois par accident. Explorez également des cas où la seconde vie d'une chanson a connu un succès plus retentissant que la première, comme pour Daniel Balavoine et Johnny Hallyday. Un voyage fascinant dans les coulisses de la création musicale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cet épisode, découvrez les surprenantes histoires derrière certaines chansons célèbres. Apprenez comment des artistes comme Barbara, Jean-Louis Aubert ou encore Chuck Berry ont créé des versions parallèles d'un même morceau, parfois par accident. Explorez également des cas où la seconde vie d'une chanson a connu un succès plus retentissant que la première, comme pour Daniel Balavoine et Johnny Hallyday. Un voyage fascinant dans les coulisses de la création musicale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

REPRISES

C'est la journée de la musique jazz apparemment. On a cherché un peu, et on vous a trouvé tous vos plus grands tubes NOSTALGIE MAIS en version jazzy

C'est la journée de la musique jazz apparemment. On a cherché un peu, et on vous a trouvé tous vos plus grands tubes NOSTALGIE MAIS en version jazzy

Pope Francis died at the age of 88 after suffering a stroke and heart failure in his residence in the Vatican.

Chronique de Manu Di Pietro Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le 22 mars c'est la journée mondiale de lutte contre le racisme et le fascisme. Partout en France, la gauche fait appel au rassemblement, l'occasion pour tous et toutes de revoir ses classiques de chansons de manif ! Une bonne manif c'est : un seul élan, des pancartes inventives, des cortèges de syndiqués, sans oublier, de la bonne musique ! Il y a une véritable culture de la musique en manif, qu'elle provienne d'une fanfare, des enceintes d'un sound system monté sur camion, ou de la voix même d'un chanteur syndiqué. Quelles chansons sont récupérées telles quelles par les mouvements contestataires en France ? Et lesquelles sont détournées ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez ". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Jonathan Aupart. A écouter aussi : Comment adopter le look de nos personnages de série ? Pourquoi dit-on "avoir le blues” ? Comment le jeu “Hogwarts Legacy : L'héritage de Poudlard” bat-il tous les records ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 30 mars 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Mathieu Alterman nous plonge dans l'univers du compositeur français Maurice Ravel, né il y a 150 ans. Célébré pour son chef-d'œuvre le Boléro, Ravel a laissé une marque indélébile sur la pop culture, de la musique de film aux réinterprétations jazz et rock. Découvrez comment son élégance et son impressionnisme ont inspiré des générations d'artistes, faisant de lui un trésor national français.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Fabrice Lafitte nous plonge dans les coulisses de la reprise emblématique de "I Feel For You" par la chanteuse Chaka Khan. Découvrez comment cette chanson, initialement écrite et enregistrée par Prince en 1979, a connu un second souffle grâce à l'interprétation unique de Chaka Khan en 1984. Explorez les détails fascinants de cette collaboration, les influences musicales croisées et les anecdotes surprenantes qui ont façonné ce succès international. Un épisode riche en révélations sur les mécanismes de la création et de la réussite d'un titre devenu culte.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Sworn in as the 47th US president at the US Capitol, Trump delivered an inaugural address that made his “American carnage” speech from 2017 seem almost innocent. The first convicted criminal to take the oath of office channeled eight years of grievance and retribution to roast his predecessor, Joe Biden, sitting nearby. Join this channel for exclusive access and bonus content: https://www.youtube.com/channel/UCkbwLFZhawBqK2b9gW08z3g/join Five Minute News with Anthony Davis is an Evergreen Podcast, covering politics, inequality, health and climate - delivering independent, unbiased and essential news for the US and across the world. Visit us online at http://www.fiveminute.news Follow us on Bluesky https://bsky.app/profile/fiveminutenews.bsky.social Follow us on Instagram http://instagram.com/fiveminnews Support us on Patreon http://www.patreon.com/fiveminutenews You can subscribe to Five Minute News with your preferred podcast app, ask your smart speaker, or enable Five Minute News as your Amazon Alexa Flash Briefing skill. Please subscribe HERE https://www.youtube.com/channel/UCkbwLFZhawBqK2b9gW08z3g?sub_confirmation=1 CONTENT DISCLAIMER The views and opinions expressed on this channel are those of the guests and authors and do not necessarily reflect the official policy or position of Anthony Davis or Five Minute News LLC. Any content provided by our guests or authors are of their opinion and are not intended to malign any religion, ethnic group, club, organization, company, individual or anyone or anything. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.

Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.

Dix ans après l'attentat jihadiste contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, qu'en est-il de la liberté d'expression et des caricatures ? Au Danemark, le délit de blasphèmeC'est au Danemark que le journal Jyllands-Posten avait en premier publié en 2005 les caricatures de Mahomet. Reprises ensuite par Charlie Hebdo. Les deux publications entretenaient donc des liens très particuliers. Mais suite à des autodafés du Coran, le gouvernement danois a rétabli en 2023 le délit de blasphème. Aske Munck, journaliste danois correspondant à Paris du Weekendavisen, a suivi de très près ce dossier emblématique pour les deux pays.À lire aussiAu Danemark, l'esprit Charlie n'est plusAu Portugal, la caricature se porte bienEn témoigne le dessinateur multiprimé de l'Expresso Antonio. À 71 ans, il est une référence dans la profession et il a eu pour règle de toujours faire le dos rond en cas de polémique, y compris lorsqu'un de ses dessins publié dans le New York Times avait suscité un tollé. À Lisbonne, Marie-Line Darcy.Les fake news de l'Antiquité à nos joursLes réseaux sociaux, incroyable caisse de résonance pour les polémiques et les fake news... Mais les fausses nouvelles sont-elles contemporaines d'internet ? Sûrement pas, répond une exposition que vient d'ouvrir à Budapest la Maison européenne de l'Histoire. On y apprend que la falsification des faits, des documents et les montages de faux évènements remontent à l'Antiquité ! Le nouveau musée a pour ambition d'explorer le passé partagé des Européens en partenariat, et ce n'est pas un détail, avec l'Open Society du philanthrope américain George Soros, bête noire du régime hongrois. Visite à Budapest avec Florence Labruyère.Bulgarie, la fin des contrôles aux frontièresC'est effectif depuis ce mois-ci, la Bulgarie tout comme la Roumanie ont accédé pleinement à l'espace Schengen, soit l'espace européen sans frontières et sans contrôles. Il aura fallu attendre 18 ans après leur adhésion à l'Union européenne pour que cette ouverture soit effective. L'impact sur le commerce et les transports routiers a déjà été évalué, mais les particuliers aussi se réjouissent de cette mesure qui n'est pas que symbolique, car elle leur évitera de longues heures d'attente aux postes frontières. Reportage en Bulgarie de Damian Vodenitcharov.À lire aussiLa Roumanie et la Bulgarie dans l'espace Schengen: un coup de pouce bienvenu pour leurs économies

Dix ans après l'attentat jihadiste contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, qu'en est-il de la liberté d'expression et des caricatures ? Au Danemark, le délit de blasphèmeC'est au Danemark que le journal Jyllands-Posten avait en premier publié en 2005 les caricatures de Mahomet. Reprises ensuite par Charlie Hebdo. Les deux publications entretenaient donc des liens très particuliers. Mais suite à des autodafés du Coran, le gouvernement danois a rétabli en 2023 le délit de blasphème. Aske Munck, journaliste danois correspondant à Paris du Weekendavisen, a suivi de très près ce dossier emblématique pour les deux pays.À lire aussiAu Danemark, l'esprit Charlie n'est plusAu Portugal, la caricature se porte bienEn témoigne le dessinateur multiprimé de l'Expresso Antonio. À 71 ans, il est une référence dans la profession et il a eu pour règle de toujours faire le dos rond en cas de polémique, y compris lorsqu'un de ses dessins publié dans le New York Times avait suscité un tollé. À Lisbonne, Marie-Line Darcy.Les fake news de l'Antiquité à nos joursLes réseaux sociaux, incroyable caisse de résonance pour les polémiques et les fake news... Mais les fausses nouvelles sont-elles contemporaines d'internet ? Sûrement pas, répond une exposition que vient d'ouvrir à Budapest la Maison européenne de l'Histoire. On y apprend que la falsification des faits, des documents et les montages de faux évènements remontent à l'Antiquité ! Le nouveau musée a pour ambition d'explorer le passé partagé des Européens en partenariat, et ce n'est pas un détail, avec l'Open Society du philanthrope américain George Soros, bête noire du régime hongrois. Visite à Budapest avec Florence Labruyère.Bulgarie, la fin des contrôles aux frontièresC'est effectif depuis ce mois-ci, la Bulgarie tout comme la Roumanie ont accédé pleinement à l'espace Schengen, soit l'espace européen sans frontières et sans contrôles. Il aura fallu attendre 18 ans après leur adhésion à l'Union européenne pour que cette ouverture soit effective. L'impact sur le commerce et les transports routiers a déjà été évalué, mais les particuliers aussi se réjouissent de cette mesure qui n'est pas que symbolique, car elle leur évitera de longues heures d'attente aux postes frontières. Reportage en Bulgarie de Damian Vodenitcharov.À lire aussiLa Roumanie et la Bulgarie dans l'espace Schengen: un coup de pouce bienvenu pour leurs économies

Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, à propos de la plainte d'une mère envers sa voisine qui est enceinte de son fils de 15 ans. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.

Phil Lesh: A Tribute to a Musical IconIn this episode of the Deadhead Cannabis Show, Larry Mishkin discusses the significance of the Grateful Dead's concert on November 4, 1977, at Colgate University, along with various music news updates, tributes to Phil Lesh, and reflections on Quincy Jones's legacy. The conversation highlights the dynamics of the band during the concert, the impact of newer jam bands like Goose, and the importance of preserving musical legacies through releases like Dave's Picks. In this episode, Larry discusses the latest music news, particularly focusing on the Grateful Dead's legacy and their recent box set releases. He reflects on the band's unique performances and the significance of their music. The conversation then shifts to marijuana legalization efforts, particularly in Florida, where a recent ballot measure was rejected despite public support. Larry expresses disappointment in the political landscape surrounding marijuana and emphasizes the benefits of legalization. The episode concludes with a deep dive into a specific Grateful Dead performance, highlighting the band's improvisational style and the joy their music brings to fans.TakeawaysThis episode was recorded on Election Day, November 5th.The Grateful Dead's show on November 4, 1977, is a highlight.The Jones Gang incident showcased the band's playful dynamics.Goose represents the new generation of jam bands.Phil Lesh's influence on music and improvisation is profound.Quincy Jones's legacy in music is celebrated.Dave's Picks Volume 52 features a remarkable concert.The importance of preserving musical history through recordings.Larry reflects on his personal experiences with the Grateful Dead.The episode blends cannabis culture with music appreciation. Music brings joy and relaxation after a long day.The Grateful Dead's legacy continues to inspire new generations.Unique performances can redefine classic songs.Marijuana legalization faces political challenges despite public support.The benefits of marijuana legalization are well-documented.Music and cannabis culture often intersect in meaningful ways.The improvisational nature of the Grateful Dead's music is a hallmark of their performances.Public sentiment can sometimes clash with political decisions.The Grateful Dead's music remains timeless and relevant.Engaging with music and cannabis responsibly enhances the experience.Sound Bites"This is a special episode being taped on Election Day.""It's just a big love fest with all these guys.""Phil has changed my life.""Quincy was the man I won my first Grammy with.""It's a wonderful, wonderful show.""You just don't know what you're missing out on.""It's just cool to hear it.""This is a pretty amazing second set.""It's a very cool segue from one into the other.""It's a must hear.""It's a wonderful part of the show.""It's a very unfortunate thing that this happened.""People in Florida are gonna smoke marijuana anyway.""It's a great way to end this wonderful show."Chapters00:00Introduction and Context of the Episode03:45Exploring the Grateful Dead's November 4, 1977 Show11:34The Jones Gang Incident and Band Dynamics16:49Music News: Goose and Gen 3 Jam Bands20:51Tributes to Phil Lesh and Reflections on Legacy25:30Remembering Quincy Jones: A Musical Legend30:06Dave's Picks Volume 52: A Review36:30Celebrating Music and New Releases38:53Exploring the Grateful Dead's Legacy44:17Marijuana News and Legalization Efforts01:01:01Deep Dive into Grateful Dead Performances01:09:55Closing Thoughts and Reflections LARRY'S NOTES:Grateful Dead November 11, 1977 (47 years ago)Cotterrell GymnasiumColgate UniversityHamilton, NYGrateful Dead Live at Cotterrell Gym, Colgate U on 1977-11-04 : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive Dave's Picks #12 This show literally “popped up out of nowhere” during the very famous fall tour of the very famous 1977 year of touring.  On November 1st they played in Detroit's legendary Cobo Hall.  The next night up in Toronto.  They had Nov. 3 set for Utica, NY but the show fell through a few weeks before.  They were still set for Rochester on Nov. 5th (which was released as Dick's Picks #34) and Binghamton on Nov. 7th.  So less than 4 weeks before this show, while already hitting the road, negotiations began for this show which were only finalized the night before.  Cotterrell gym on the Colgate campus is a small venue.  Think large high school gym with pull out bleachers.  There were only 3,000 folks at the show.  But 2300 of them were held for Colgate students so only 700 were sold to the public or really the Deadheads.  A tough ticket as the Heads used to say.  But those who made it in had a ball and saw one of the best shows of the year. One of those shows that lots of Deadheads wished they had seen. This version of the show from Archive, is an audience tape and a great contrast to other episodes where we have featured Dead show clips from audience tapes.  This one was taped by Jerry Moore who was set up directly behind the soundboard.  Go to Archive and check  out the entire show. On a personal note, glad to see that Archive is back up and running after its hacking episode a few weeks ago.  INTRO:                     Dupree's Diamond Blues                                    Track #8                                    2:50 – 4:52 "Dupree's Diamond Blues" is based on an American folk song titled "Frankie Dupree," which was based on a real historical figure named Frank Dupree.According to In The Pine: Selected Kentucky Folksongs, Dupree tried robbing a diamond wedding ring from a jewelry store in Atlanta, Georgia, in 1921. He intended to give the ring to his girlfriend Betty. When a police officer showed up, Dupree shot him dead. He then fled to Chicago where he killed another officer and wounded others.Authorities eventually apprehended Dupree while he was getting his mail. They shipped him back to Atlanta where he was executed on September 1, 1922.The song is the second track on the Grateful Dead's third album, Aoxomoxoa (1969). As with most of the songs on the album, Dead lyricist Robert Hunter wrote the words and Dead frontman Jerry Garcia wrote the music.Well when I get those jelly roll bluesThe term "jelly roll" was once common African American slang for a woman's genitalia. The great ragtime pianist Jelly Roll Morton took his name from that very meaning. In 1924, Morton recorded an influential jazz song titled "Jelly Roll Blues," which is most likely what Hunter is referencing here. Debuted in January, 1969 and played a total of 17 times that year. Then dropped until Oct 2, 1977 at the Paramount Theater in Portland, OR, played 4 times that year, this version being the last one of the year. Played twice in 1978, then put back on the shelf until Aug. 28, 1982 at the Oregon County Fair in Veneta, OR (home to the famous show from August 27, 1972 to support the Creamery). From '82 to '90 played at least once a year, '85 was the outlier with 16 performances Only played two more times, both in 1994. This is a great version with Jerry's lyrics and playing both very strong. The 8th song of the first set following:  GO TO ARCHIVE LINK A beautiful Bertha opening but I have featured that song so much, and it is such a common opener, that I needed to go with something else today.  I love it from the 1969 Fillmore West shows where two of the nights the second set would start with DuPree's into Mountains of the Moon before jumping into the fabulous Dark Star/St. Stephen/11/Lovelight suite (in my humble opinion, the best suite of songs ever played by the Dead and certainly the one that best defines the band and the basic foundation that supports so much of their music. Played:         82 timesFirst:              January 24, 1969 at Avalon Ballroom, San Francisco, CA, USALast:              October 13, 1994 at Madison Square Garden, New York, NY, USA   SHOW No. 1:         Tuning (start of second set, stage banter re Jones Gang)                                    Track #10                                    :15 – End Why did Phil do this?  To kill time, he was dosed, adding a bit of levity to the evening's proceedings.  Or there is this:Two nights before the Dead played in Toronto at Seneca College's Field House.  The night before was at Cobo Hall in Detroit.  So they took the 3d off while traveling from Toronto to Hamilton, NY to play this show.  Apparently, the band could not or did not want to try to take their stash into Canada.  Keith Richards of the Stones had just been busted in Canada for possession and no one wanted to take any chances.  SO . . . . it seems they were “jonesing” from something, weed, acid, or whatever. Many of the Deadhead reports of the show in Archive and at the Dead Setlist Program note that the guys seemed very stoned or, more likely, dosed.  They were wearing sunglasses indoors in the evening. Good friend Henry was a student at Colgate in 1977 and attended the show.  In telling me about it, he basically began with the Jones Gang episode.  So it was cool to finally hear the show and hear Phil do his thing.  A great way to keep everybody entertained while waiting for some technical issues to be resolved.  And something that was sadly missing in their later years when basically none of them said anything while on stage, Bobby sporadically with a comment and Jerry I saw speak from the stage maybe 5 times out of 110 shows.  This is the kind of stuff that normalized them and separated them from the button down rock acts that showed up, played the same set list that they had played all tour and would keep playing  When they spoke it was all pre planned, “Thank you (insert name of city where they are playing). And then launched into a killer Samson (even though it was a Friday).  Just part of another great Dead experience and the kind of thing that makes it easy to remember the show even years later.  Everyone talks about the Jones Gang show, maybe more than they think of it as a Colgate show or Hamilton, NY show.  Sure took Henry back.  MUSIC NEWS:      Music Intro:                                    Cold Rain & Snow                                    Goose                                    10.25.2024                                    LJVM Coliseum                                    Winston-Salem, N.C.                                    Goose - “Cold Rain and Snow” (10/25/24 - LJVM Coliseum - Winston-Salem, NC) (youtube.com)                                    0:10 – 1:05 Another Phil tribute by one of the most promising Gen3 (Gen1 = Dead; Gen2=Phish) jam bands on the scene.  Not the first time they have covered the Dead, but it's a damn good cover of a tune that traces its Dead roots to their very first album and even before that.  Jerry loved it.  Phil made it happen and restarted his singing career on the closing chorus in 1982 at MSG.  And Goose nails it here.  They really bring it every time they play.  The jam band that I figure will outlast me! Mickey and Mike Gordon statements on Phil's passing: Quincy Jones dies: Quincy Delight Jones Jr. (March 14, 1933 – November 3, 2024 at 91) was an American record producer, songwriter, composer, arranger, and film and television producer.[1] Over his course of his career he received several accolades including 28 Grammy Awards, a Primetime Emmy Award and a Tony Award as well as nominations for seven Academy Awards and four Golden Globe Awards.[2] Jones came to prominence in the 1950s as a jazz arranger and conductor before producing pop hit records for Lesley Gore in the early 1960s (including "It's My Party") and serving as an arranger and conductor for several collaborations between the jazz artists Frank Sinatra and Count Basie. Jones produced three of the most successful albums by pop star Michael Jackson: Off the Wall (1979), Thriller (1982), and Bad (1987). In 1985, Jones produced and conducted the charity song "We Are the World", which raised funds for victims of famine in Ethiopia.[3] Jones composed numerous films scores including for The Pawnbroker (1965), In the Heat of the Night (1967), In Cold Blood (1967), The Italian Job (1969), The Wiz (1978), and The Color Purple (1985). He won the Primetime Emmy Award for Outstanding Music Composition for a Series for the miniseries Roots (1977). He received a Tony Award for Best Revival of a Musical as a producer for the revival of The Color Purple (2016). Throughout career he was the recipient of numerous honorary awards including the Grammy Legend Award in 1992, the Jean Hersholt Humanitarian Award in 1995, the Kennedy Center Honors in 2001, the National Medal of the Arts in 2011, the Ordre des Arts et des Lettres in 2014, and the Academy Honorary Award in 2024. He was named one of the most influential jazz musicians of the 20th century by Time.[1] "I woke up today to the Terrible news that we lost Quincy Jones.. Genius is a description loosely used but Rarely deserved. Point blank, Quincy was the MAN. I won my 1st Grammy with Quincy and I live with his Wisdom daily," Ice-T on X. Dave's Picks, Volume 52 (The Downs At Santa Fe, Santa Fe, NM • 9/11/83)Time to order Dave's Picks 2025 subscription.  I say it every year.  SHOW No. 2:         Eyes of the World                                    Track #15                                    11:10 – END                                     INTO                                     Estimated Prophet                                    Track #16                                    Start - :20 The unique thing in this segment is that it is the first, and one of the only times, that the band played Eyes into Estimated as it was almost always played as Estimated>Eyes.  This is the end of Eyes jam and segue into Estimated.  Very cool to hear it played “backwards”.  This entire Eyes (all 13 minutes of it), is magnificent and a must hear if you are looking for some great Dead jamming to rock to.  On this night, the boys were apparently in a state of mind that let them do a bit of exploring away from the norm for them, if there even is a “Dead norm”.  It sure worked out well for the rest of us.  SHOW No. 3:         The Other One                                    Track #17                                    :52 – 3:00             We've featured this song so many times, discussed the whole That's It For The Other One suite and all of its subparts. This one is the opposite, a 4 minutes 20 seconds version, with the first 3+ minutes just a hard jam.  They only sing the first verse of the standard Other One and then head straight into Drums.  This clip just features the jam with Jerry leading the way.  So clean and powerful, if 1977 is the best year ever for the band, then this has to be one of its peaks.  Maybe not the best of '77 because Barton Hall, but still way up there for nights when the band was truly smoking hot and holding nothing back.  Some of the best post-1970 psychedelic Dead that you will ever hear.  Everyone in sync and making the magic that kept us all coming back for more until there was no more to come back to.  Just buckle in and enjoy the ride. Played:         550 timesFirst:  October 31, 1967 at Winterland Arena, San Francisco, CA, USALast:  July 9, 1995 at Soldier Field, Chicago MJ NEWS:    SHOW No. 4:         Playin Reprise                                    Track #21                                    3:00 – 6:34 "Playing in the Band" is a song by the Grateful Dead. The lyrics were written by Robert Hunter and rhythm guitaristBob Weir composed the music, with some assistance from percussionist Mickey Hart.[1] The song first emerged in embryonic form on the self-titled 1971 live albumGrateful Dead. It then appeared in a more polished form on Ace, Bob Weir's first solo album (which included every Grateful Dead member except Ron "Pigpen" McKernan). During a Bob Weir and Wolf Bros concert livestream on February 12, 2021, Weir credited David Crosby with the composition of the main riff. Weir stated, "David Crosby came up with the seminal lick... and then he left. We were out at Mickey's barn. So Mickey said, 'Make a song out of that'. Next day, I had it".[ It has since become one of the best-known Grateful Dead numbers and a standard part of their repertoire. According to Deadbase X, it ranks fourth on the list of songs played most often in concert by the band with 581 performances. In the Grateful Dead's live repertoire, all songs featured musical improvisation and many featured extended instrumental solos; but certain key songs were used as starting points for serious collective musical improvisation—the entire band creating spontaneously all at once. In this regard "Playing in the Band" was of major importance, second only to "Dark Star". During "Playing in the Band" the Grateful Dead would play the planned verses and choruses of the song itself; then they would improvise and explore brand new musical territory, sometimes for twenty minutes or more; and then the chorus would usually be reprised, to bring the song to its end. Sometimes during these extended "jams", the band would even perform other entire songs, before at last coming back around to the final chorus aka the “Reprise”. On some occasions, more early on than later, the band would play the main song, jam for some amount of time and slide back in for the reprise.  Its performance in this style on 21 May 1974 at the Hec Edmundson Pavilion in Seattle has been cited as the longest uninterrupted performance of a single song in the Grateful Dead's history, clocking in at 46 minutes and 32 seconds.[3][4] It was released in 2018 on the boxset Pacific Northwest '73–'74: The Complete Recordings and as its own LP.  Very cool – an entire album just for one song.  Like Phish' Ruby Waves at Alpine Valley in 2019 got its own album. Then later they might add a song or two in between the main portion and the reprise. Then later they might hold it for the encore the same night the main song had been performed. Then later, they might hold it until the night after the main song had been performed and then two nights later and sometimes 3.  Not uncommon for play the main song the first night of a multi-night run and then the reprise the last night.  Usually during the show, but as stated, sometimes in the encore. Then they might forget to ever get back to it, play the main song again and the whole process would repeat as everyone would wait to see if and when they would finally play the reprise. David Dodd:  To me, the unpredictability of a “Playin” jam was always a highlight of a show. It could get incredibly far out there—completely away from anything—and then, just like that, snap back in, quietly and cautiously or slam-bang, or later, after they'd played most of another song, or a whole set, into the “Playin Reprise.” Sometimes the reprise would never occur. While it usually ran 3 or 4 minutes, this show's reprise went almost 7 minutes with an extended jam before they every got to the reprise lyrics. For Phish fans, think Twe-pri.  For non Phish fans that's the song Tweezer and its “reprise” and that band takes all sorts of liberties with it.  Not so unlike the Dead's style as previously discussed but most famously, at least as far as I know as a still neophyte Phish head, during their 13 show Baker's Dozen run at MSG, Phish played Tweezer the very first night on July 21st to open the second set and then the Twi-Pri finally showed up on August 6th as the second song of the encore after On The Road Again to close out the entire 13 night run. Reprises are great! Played:  648 times (no separate breakdown for how may Reprises were played but I'm sure there were times they never got back to a reprise although one year April Fools 1985 at Cumberland County Civic Center in Portland MA – actually March 31st but called it their April Fools joke even though they did play again the next night, April 1, at the same venue - they played the reprise first and then the main song)First:  February 18, 1971 at Capitol Theatre, Port Chester, NY, USALast:  July 5, 1995 at the Riverport Amphitheater in Maryland Heights (St. Louis), MO  OUTRO                     Johnny B. Goode (Bob – “Happy Homecoming”)                                    Track #22                                    0:12 – 2:08 We've also featured this song quite a bit, a Chuck Berry classic covered by almost every rock n roll band that ever played a set of music and even some that never did.  Its guitar intro is as famous a song opening as any in the genre.  I love this version because of Bobby's greetings to the students wishing them a happy homecoming!  Imagine going to your high school or college homecoming dance and the band is the Grateful Dead.  Now that's a story to tell.  Not sure and I don't think it really matters whether that weekend was or was not Colgate's homecoming.  It just showed that stoned and all, Bobby knew he was on a college campus. Almost always played as an encore or show closer if no encore.  Unlike another Chuck Berry classic covered by the Dead, The Promised Land, which could be played as a show opener, set closer, second set opener, encore, it would pop up just about anywhere. Great way to end a great show.  The boys just blow the walls down on this one.  Or, as commenter RFKROX posted back in 2008 about this version, “Oh, and the Johnny B. Goode is the most incredible rockin' version I've ever heard this band play!! It's the fucking SHIT!!”  I couldn't have said it any better myself! Played:   283 timesFirst:  September 7, 1969 at Family Dog on the Great Highway, San Francisco, CA, USALast:  April 5, 1995 at Birmingham-Jefferson Civic Center Coliseum, Birmingham, AL, USA  - very interesting, not played at all on the final summer tour.  .Produced by PodConx Deadhead Cannabis Show - https://podconx.com/podcasts/deadhead-cannabis-showLarry Mishkin - https://podconx.com/guests/larry-mishkinRob Hunt - https://podconx.com/guests/rob-huntJay Blakesberg - https://podconx.com/guests/jay-blakesbergSound Designed by Jamie Humiston - https://www.linkedin.com/in/jamie-humiston-91718b1b3/Recorded on Squadcast

En mars 2024, Jean-Michel engage une société pour la fourniture et la pose de panneaux solaires. Il règle 2000€ d'acompte en s'accordant avec l'artisan pour une intervention en avril. Mais, à trois reprises, l'artisan fait faux bond... Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur.

Il y a trois ans, Sabrina s'est faite poignarder par son ex, le père de ses enfants. Elle a survécu et aujourd'hui elle nous raconte ce qu'elle a vécu, mais aussi les dommages psychologiques et physiques qu'elle a enduré.Soutien pour les victimes de violence conjugale :https://www.quebec.ca/famille-et-soutien-aux-personnes/violences/violence-conjugale/aide-ressourcesChanson Intro : Danse of questionable tuning - Kevin MacLeod Vidéo Intro par https://www.instagram.com/frenchyartist/ ♥Suis-moi sur les réseaux sociaux: INSTAGRAM: https://www.instagram.com/victoria.charlton/ FACEBOOK : https://www.facebook.com/victoriacharltonofficiel TIKTOK : https://www.tiktok.com/@victoriacharltonn EMAIL : victoriacharltonpro@gmail.com ♥Podcast Over n Out : APPLE PODCAST : https://podcasts.apple.com/us/podcast/over-n-out/id1545187858?uo=4 SPOTIFY : https://open.spotify.com/show/6OgK35AojAk4emWYfq5sk8 ♥Podcast Post-Mortem : SPOTIFY : https://open.spotify.com/show/1m0Yx1jAOos8ewx5o2OgJA QUB RADIO : https://www.qub.ca/radio/balado/post-mortem-avec-victoria-charlton-saison-1-roxanne-luce Logiciel de montage : Final Cut Pro Monteur : Sebastian Messinger Camera : Canon G7X Tout commentaire incitant à la haine ou au manque de respect sera supprimé. Je veux que mon espace commentaire soit positif et amical :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Send us a Text Message.Russell, David, and Gavin discuss Tuesday's Leagues Cup match and previews the round of 32Support the Show.

C'est un document rare : des militaires français pris pour cible en mer rouge par des drones explosifs envoyés par les rebelles Houthis du Yémen, qui ont promis d'intensifier leurs attaques contre les navires marchands pendant le ramadan. Les Houthis disent agir en soutien à Gaza. Conséquence, depuis le mois de novembre, des navires de guerre de la marine nationale française escortent certains cargos français qui passent aux alentours du golfe d'Aden. Hugo Amelin a rencontré le capitaine de la frégate Languedoc qui rentre de trois mois de mission, mission agitée puisqu'il a été attaqué à plusieurs reprises par les rebelles Houthis.