French politician
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Newly elected European Commissioner Teresa Ribera criticised the public outcry she received from the European People's Party, which almost brought down her candidacy for the position as executive vice-president for the Clean, Just and Competitive Transition, speaking to Radio Schuman in Strasbourg.She lamented domestic politics being infused into the EU debate and criticised climate deniers among the centre-right European People's Party (EPP).Yesterday, EPP leaders, including chair Manfred Weber, refused to applaud Ribera when European Commission President Ursula Von der Leyen congratulated her in plenary in Strasbourg. This gesture was the culmination of a campaign led by the Spanish Partido Popular (PP) aimed at undermining Ribera, who until recently served as Spain's Minister for Ecological Transition and was responsible for responding to the recent floods in Valencia. Ribera defended herself, stating that the regional government—controlled by the PP in Valencia—was responsible for managing disasters.Eventually, von der Leyen received final approval for her new Commission, which will begin its five-year legislative term on December 1st.However, with 370 votes in favour, this marked the narrowest majority in history for a new Commission. The outcome reflects a deeply fragmented European Parliament, which grants the leading EPP even greater flexibility in forming shifting alliances—either with the traditional socialist-liberal bloc, or with the right-wing European and Conservatives and Reformists group (ECR) and the far-right Patriots for Europe (PfE).Following the vote on Wednesday, there were clear concerns among socialists, greens, and other left-wing parties. They feared that the EPP had legitimised the far-right, particularly with von der Leyen's decision to appoint a far-right commissioner, Raffaele Fitto, for the first time in its history. There were also worries that a right-wing coalition could paralyse or derail critical legislation, such as the Green Deal or migration reforms.Besides Ribera, Radio Schuman today featured criticism from other MEPs, such as Marie Toussaint, a French Green MEP, who called the new von der Leyen's team as the “worst-elected Commission”.In the second segment of the podcast, we take a quick look at the Competitiveness Council meeting happening today, where EU ministers are expected to approve conclusions on a crucial topic. Guess what that might be?Radio Schuman wraps up with a ranking of countries most prepared to go cashless - spoiler alert: the top contenders are chilly climes!Radio Schuman is hosted and produced by Maïa de la Baume, with journalist and production assistant Eleonora Vasques, audio editing by Zacharia Vigneron, Georgios Leivaditis and David Brodheim. Music by Alexandre Jas. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
C dans l'air du 10 juin - Dissolution: coup de génie ou de folie? "J'ai décidé de vous redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote. Je dissous donc ce soir l'Assemblée nationale". Prenant acte du résultat historique de l'extrême droite en France, ce dimanche 9 juin, le président de la République a décidé d'activer l'article 12 de la Constitution, celui qui lui permet de mettre fin aux mandats des députés et de convoquer de nouvelles élections. Le premier tour des législatives aura lieu le 30 juin prochain et le second tour une semaine plus tard, le 7 juillet. Un tel événement politique ne s'est produit que huit fois en plus de 100 ans, et seulement six fois sous la Ve République : Jacques Chirac en 1997, mais également François Mitterrand (1981 et 1988) et le général de Gaulle (1962 et 1968). Il survient cette fois après la secousse que représente le vote de dimanche. Jamais l'extrême droite française n'avait jusqu'ici atteint les 30 % lors d'élections européennes. Elle se rapproche des 40 % désormais, le Rassemblement national de Jordan Bardella finissant largement en tête du scrutin avec 31, 36 % des voix hier soir, selon le ministère de l'Intérieur, et la liste Reconquête ! de Marion Maréchal totalisant 5, 47 %. Au coude-à-coude il y a cinq ans avec la liste présidentielle, le RN a distancé la liste Renaissance-MoDem-Horizons portée par Valérie Hayer de 17 points, cette dernière recueillant que 14,6 % des suffrages. En outre, le RN est arrivé en tête de toutes les régions de France métropolitaine, y compris, et c'est une première, en Bretagne. "Le résultat d'un vote sanction", a affirmé Jordan Bardella quelques minutes seulement après l'annonce des résultats, estimant que les Français avaient "exprimé une volonté de changement, mais aussi un chemin pour l'avenir". "Nous sommes prêts à exercer le pouvoir si les Français nous font confiance", a réagi Marine Le Pen. Le parti "se battra pour avoir une majorité" et pour que son président, Jordan Bardella, "arrive à Matignon" comme Premier ministre à l'issue des législatives, a affirmé pour sa part Louis Aliot le vice-président du parti alors qu'en coulisse de discrètes tractations ont commencé. Marine Le Pen, Jordan Bardella et Marion Maréchal doivent se rencontrer ce lundi au siège du RN. Arrivée en tête des élections européennes hier soir en France, l'extrême droite est-elle pour autant en mesure de s'installer à Matignon dès cet été ? "Rien n'est acquis, on a affaire à deux scrutins différents. Ce ne sont pas les mêmes enjeux, pas les mêmes modalités de vote", a expliqué le politologue Jean-Yves Camus. Les européennes sont un scrutin à la proportionnelle à un tour. Avec les législatives, il s'agit d'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours et pour se qualifier au second tour, un candidat doit réunir au moins 12,5 % de la totalité du nombre d'électeurs inscrits. Un mode de vote qui a été longtemps défavorable au parti à la flamme, mais en 2022, avec la disparition du "front républicain", le RN a envoyé 89 députés au Palais-Bourbon, contre huit auparavant. Qu'en sera-t-il le 30 juin et le 7 juillet ? A gauche, l'annonce inattendue de la dissolution de l'Assemblée nationale a éclipsé le score des Européennes où la tête de liste PS- Place Publique, menée par Raphaël Glucksmann a obtenu 14 % des suffrages, devant la liste LFI de Manon Aubry (10,1 %), l'écologiste Marie Toussaint (5,5 %) et le communiste, Léon Deffontaines (2,3 %). Dans son ensemble la gauche représente 32 % des suffrages exprimés. Alors depuis hier soir, de nombreuses voix se sont élevées pour appeler à un rassemblement, un "front populaire" ou le retour de la Nupes. Mais 2024 n'est pas 2022. La gauche va-t-elle parvenir à s'unir ou partira-t-elle en ordre dispersé ? Et que vont faire Les Républicains ? Les réunions vont se succéder toute la semaine. Vendredi les préfectures devront avoir toutes les candidatures. LES EXPERTS : - Dominique Reynié - Directeur général - Fondapol, fondation pour l'innovation politique - Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Astrid de Villaines - Cheffe du service politique - Huffington Post - Brice Teinturier - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
durée : 00:25:55 - 8h30 franceinfo - La tête de liste écologiste aux élections européennes était l'invitée du "8h30 franceinfo", jeudi 6 juin 2024.
Du 6 au 9 juin, 360 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour élire 720 députés européens. Des élections cruciales, alors que la guerre en Ukraine se poursuit aux portes de l'Europe. Ce qui frappe, c'est la montée en puissance des partis nationaux populistes dans les sondages. En France, le RN caracole en tête. L'estimation du taux de participation aux européennes en France est de l'ordre de 46 à 47%, soit un peu moins qu'en 2019.
Alors que le coup d'envoi des commémorations du Débarquement allié en Normandie est donné aujourd'hui, des voix çà et là disent : "Encore des célébrations ! Est-ce qu'on vit définitivement dans le passé ?". Selon Ruth Elkrief, c'est vital "parce que ces milliers de vies perdues durant cette opération, elles ont été dans le combat pour défendre la liberté et la démocratie pour nous". "Commémorer, c'est aussi apprendre la petite histoire comme la grande histoire", ajoute-t-elle. C'est une réalité. On n'a jamais parlé autant d'écologie, on n'a jamais eu autant conscience du péril du réchauffement climatique et peut-être de la diminution de la diversité. Et pourtant, la candidate écologiste aux élections européennes, Marie Toussaint, n'est créditée que de 5% des intentions de vote, selon un sondage Ifop-Fiducial. Pour Pascal Perri, l'une des causes est que les écologistes sont "incapables de reconnaître des progrès". "Les Français, finalement, préfèrent une écologie positive à une écologie de la punition", explique-t-il. Le 15 mai dernier, le Premier ministre slovaque Robert Fico a été victime d'une tentative d'assassinat. Pour la première fois depuis cette attaque, il s'est exprimé. Il commence par pardonner à son agresseur, mais au fil de sa prise de parole, il accuse les forces non gouvernementales. "Il retrouve son bon vieux complotisme illibéral", réagit Abnousse Shalmani. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Pour son dernier grand meeting, la tête de liste des Écologistes, Marie Toussaint, a mis l'accent sur l'importance d'un groupe écologiste fort au Parlement européen pour empêcher tout risque que l'extrême droite gouverne à cette échelle. Un article de Mathieu Dejean, publié le 2 juin 2024, lu par Jérémy Zylberberg.
durée : 00:10:08 - Journal de 18h - Dernier week-end de campagne pour les élections européennes. Le candidat du Rassemblement National Jordan Bardella en meeting au Palais des Sports de Paris avec Marine Le Pen. L'écologiste Marie Toussaint rassemblait ses troupes à Aubervilliers.
durée : 00:09:59 - Journal de 9h - Dernière ligne droite avant les élections européennes. En France, de Valérie Hayer, pour le camp présidentiel, à Marie Toussaint, pour les écologistes, l'heure est aux derniers meetings.
durée : 00:10:08 - Journal de 18h - Dernier week-end de campagne pour les élections européennes. Le candidat du Rassemblement National Jordan Bardella en meeting au Palais des Sports de Paris avec Marine Le Pen. L'écologiste Marie Toussaint rassemblait ses troupes à Aubervilliers.
Dernière ligne droite avant les élections européennes : Marie Toussaint, la tête de liste Europe Écologie-Les Verts répond aux questions de Yves Calvi. Ecoutez L'invité d'Yves Calvi avec Yves Calvi du 30 mai 2024
durée : 00:37:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - La tête de liste écologiste Marie Toussaint est l'invitée de la matinale spéciale sur France Inter, à une dizaine de jours des élections européennes. Au programme : l'extrême droite, le nucléaire, la guerre à Gaza et en Ukraine. - invités : Marie Toussaint - Marie Toussaint : tête de liste des Écologistes français aux européennes de 2024, eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
durée : 02:58:22 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la Matinale de France Inter ce mercredi 29 mai 2024 sont : Marc Fesneau / Marie Toussaint / Yolande Zauberman / Théodore Pellerin
durée : 00:15:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - La tête de liste des écologistes Marie Toussaint répond aux questions de jeunes électeurs choisis par France Inter. Romane, 18 ans, est originaire d'Istres (Bouches-du-Rhône). Manelle, 20 ans, vient de Paris. Au menu : droit de vote des jeunes et véto social.
durée : 00:37:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - La tête de liste écologiste Marie Toussaint est l'invitée de la matinale spéciale sur France Inter, à une dizaine de jours des élections européennes. Au programme : l'extrême droite, le nucléaire, la guerre à Gaza et en Ukraine. - invités : Marie Toussaint - Marie Toussaint : tête de liste des Écologistes français aux européennes de 2024, eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
durée : 00:15:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - La tête de liste des écologistes Marie Toussaint répond aux questions de jeunes électeurs choisis par France Inter. Romane, 18 ans, est originaire d'Istres (Bouches-du-Rhône). Manelle, 20 ans, vient de Paris. Au menu : droit de vote des jeunes et véto social.
durée : 00:03:47 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le 9 juin, que feront les électeurs écologistes ? A gauche, plusieurs partis se les disputent. En difficulté, la tête de liste écologiste, Marie Toussaint, défend sa ligne.
Tous les samedis et dimanches à 18h15, Guillaume Lariche reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, David Cormand, Député européen Les Verts-Alliance libre européenne et candidat aux Européennes, N°2 sur la liste menée par Marie Toussaint.
C dans l'air l'invité du 23 mai 2024 : Alexandre Devecchio, journaliste et essayiste, auteur de "Les nouveaux enfants du siècle" Dans "Les nouveaux enfants du siècle" aux éditions du Cerf, le journaliste et essayiste Alexandre Devecchio analyse les ressorts de l'engagement des jeunes figures de proue de l'extrême droite française : Jordan Bardella, Marion Maréchal et Sarah Knafo. Selon lui, "leur imaginaire a été façonné par la crise, des attentats du 11 septembre 2001 à New York aux attentats de 2015 à Paris, en passant par les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises". Si tous sont d'extrême droite, ils se sont construits en deux familles idéologiques distinctes, selon les catégories imaginées par le rédacteur en chef du Figaro Magazine. Selon l'Ifop-Fiducial, la liste du Rassemblement national portée par Jordan Bardella est largement en tête et reste pointée à 32 % des intentions de vote, près de deux fois plus que la liste de la majorité présidentielle menée par Valérie Hayer. Mais l'écart avec le troisième homme, Raphaël Glucksmann, s'effrite. La liste du Parti socialiste et de Place publique est désormais créditée de 15 % des intentions de vote (+0,5), son plus haut niveau depuis le lancement de notre sondage quotidien. Derrière, quatre partis restent au-dessus la barre des 5 %, cruciale pour envoyer des eurodéputés au Parlement européen. La liste de La France insoumise menée par Manon Aubry, celle des Républicains de François-Xavier Bellamy. La liste de Reconquête de Marion Maréchal et celle des Écologistes de Marie Toussaint suivent ensuite. Ce soir à partir de 20h15 sur France 2, la tête de liste du RN Jordan Bardella et le Premier ministre Gabriel Attal s'affrontent dans un débat. L'échange intervient en pleine campagne des européennes, à un peu plus de deux semaines du scrutin fixé le 9 juin en France. Alexandre Devecchio, journaliste et auteur de "Les nouveaux enfants du siècle" aux éditions du Cerf reviendra sur les personnalités et les engagements de Gabriel Attal, Jordan Bardella à quelques heures du débat télévisé sur France 2 et plus largement sur les nouveaux visages politiques qui émergent en France.
durée : 00:20:14 - Journal de 12h30 - Le chef de l'État espère reprendre langue avec les élus de l'archipel calédonien. Mais aussi peut-être envisager l'avenir à plus long terme, car au-delà de la seule question sécuritaire, déjà, des conséquences désastreuses sont à prévoir sur le plan économique et social. - invités : Marie Toussaint tête de liste des Écologistes français aux européennes de 2024, eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
durée : 00:20:14 - Journal de 12h30 - Le chef de l'État espère reprendre langue avec les élus de l'archipel calédonien. Mais aussi peut-être envisager l'avenir à plus long terme, car au-delà de la seule question sécuritaire, déjà, des conséquences désastreuses sont à prévoir sur le plan économique et social. - invités : Marie Toussaint tête de liste des Écologistes français aux européennes de 2024, eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Eric Brunet du 20 mai 2024
6 listes écologistes sur 37. À quelques semaines des élections européennes, Marie Toussaint était invitée de l'émission Les Auditeurs ont la parole sur RTL. Interrogée sur l'absence de listes communes pour représenter l'écologie ou même la gauche, la tête de liste des Écologistes, Marie Toussaint, a expliqué : "C'est une élection proportionnelle. Partir séparer, quand on a des partis différents à une proportionnelle, c'est banal. L'enjeu, c'est comment on fait reculer l'extrême droite".
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Mehdi Ghezzar et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:01:48 - Le vrai ou faux - En pleine campagne pour les européennes, la candidate écologiste Marie Toussaint affirme que "la France comme l'Europe ont investi deux fois plus ces dernières années dans la route que dans le rail". C'est plutôt vrai pour l'Europe mais en France la tendance s'est inversée récemment.
durée : 00:09:13 - L'invité de 7h50 - par : Alexandra Bensaid - La tête de liste des écologistes aux élections européennes Marie Toussaint milite pour un investissement massif dans les énergies renouvelables. Elle souhaite notamment "couvrir la France d'éoliennes et de panneaux solaires". - invités : Marie Toussaint - Marie Toussaint : Eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
durée : 00:09:13 - L'invité de 7h50 - par : Alexandra Bensaid - La tête de liste des écologistes aux élections européennes Marie Toussaint milite pour un investissement massif dans les énergies renouvelables. - invités : Marie Toussaint - Marie Toussaint : Eurodéputée, membre de l'ONG "Endecocide", présidente et co fondatrice de l'association "Notre affaire à tous"
durée : 00:06:35 - L'invité de 6h20 - par : Matthieu Conquet - Pierre Larrouturou, député européen Nouvelle donne, tête de liste "Changez l'Europe" aux élections européennes et auteur de "32h! La semaine de 4 jours c'est possible", tend la main à l'écologiste Marie Toussaint. "Nos projets sont tout à fait compatibles, ça aurait de l'allure", dit-il.
C dans l'air du 16 avril 2024 - La razzia Bardella, la percée Glucksmann A deux mois du premier tour des élections européennes, le Rassemblement national fait la course en tête et atteint des niveaux records dans tous les sondages. Créditée de plus de 30 % des intentions de vote, la liste d'extrême droite menée par Jordan Bardella fait même désormais le double du score de celle des macronistes, menée par l'eurodéputée Valérie Hayer. Accusé par ses adversaires de fuir les débats et de privilégier les interviews en solo dans les médias, le patron du RN bat la campagne en multipliant les selfies et s'active sur les réseaux sociaux. Il a ainsi complètement intégré le réseau chinois TikTok à sa stratégie de communication pour séduire la jeunesse. Avec plus de 1,1 million d'abonnés et 23,6 millions de likes, il possède, statistiquement, une longueur d'avance sur ses opposants sur TikTok. Derrière, en revanche, pour la majorité présidentielle, l'heure est grave : le tremblement de terre qu'aurait dû être la nomination de Gabriel Attal à Matignon n'a pas eu lieu, du moins pour bousculer les rapports de force dans les sondages d'intentions de vote et la liste conduite par Valérie Hayer est donnée à 16 % dans la dernière enquête Ipsos alors que la liste PS-Place publique menée par Raphaël Glucksmann effectue une percée dans les intentions de vote, grimpant jusqu'à 13 %. Le candidat de la gauche sociale-démocrate est parvenu ces dernières semaines à prendre de l'avance sur ses concurrentes insoumise et écologiste, Manon Aubry et Marie Toussaint, souvent créditées de moins de 9 % d'intentions de vote et entend maintenant perturber le duel Bardella-Hayer. En queue de peloton, ce sont les listes de LR, Reconquête et celle du Parti communiste français qui ferment la marche. La liste communiste est en plus mauvaise posture, car en dessous du seuil des 5 %. Mais dans les rangs du parti d'extrême droite d'Éric Zemmour on s'interroge également sur la stratégie à adopter et Marion Maréchal a appelé Jordan Bardella à ne pas se "tromper d'ennemi", avant d' "aspirer" à "construire" une "coalition", afin de parvenir au pouvoir. LES EXPERTS : - CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
La candidate d'Europe Ecologie Les Verts, Marie Toussaint, est à la peine dans les sondages à seulement quelques semaines du scrutin européen. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités analysent pourquoi l'électorat du parti écologique s'érode alors que l'urgence climatique monte.Retrouver l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en avril 2024. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Hadrien Valat, Marie Bellan et Vincent Collen (journalistes aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : LOU BENOIST/AFP. Sons : France Info, RTBF Info, Simone Media, Maïmouna Rouge Coulibaly « La Booty Therapy » (2016), EELV Europe Ecologie Les Verts, Jean-Luc Mélenchon, « Mais où est donc passée la septième compagnie ? » (1973), extra 3, European Greens. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:50:22 - 8h30 franceinfo - Avant les élections européennes, franceinfo reçoit les têtes de listes des partis français. Marie Toussaint, tête de liste Les Écologistes, était l'invitée de "Demain l'Europe", vendredi 5 avril.
durée : 00:13:29 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Marie Toussaint, tête de liste des écologistes aux élections européennes de juin, rappelle que notre continent est celui "qui se réchauffe le plus vite" et estime que l'Europe "est la bonne échelle pour les combats que nous avons à mener".
C dans l'air du 26 février - RN-Macron : la bataille dans les allées du Salon de l'agriculture C'est l'image du week-end. Des agriculteurs chargés par les CRS au milieu des vaches du Salon de l'agriculture. Le passage d'Emmanuel Macron samedi a déclenché leur colère. Face à la cohue, le Président a dû se limiter à un coin du salon et n'a pu débattre qu'avec quelques agriculteurs à qui il a assuré avancer "à fond la caisse" sur la simplification, notamment sur les normes, la grande demande de ces derniers mois. Profitant de cette visite chaotique, le président du Rassemblement national Jordan Bardella n'a pas hésité le lendemain à souffler sur les braises de la colère, à moins de quatre mois des élections européennes. Il estime le chef de l'État atteint d'"une dérive schizophrénique assez inquiétante et dangereuse au regard de sa fonction". Quelques heures plus tôt, Emmanuel Macron a désigné le parti d'extrême droite comme responsable des échauffourées. Le Premier ministre Gabriel Attal a même été envoyé en catastrophe dimanche soir pour reconquérir le terrain et rencontrer des responsables de filières auprès de qui il a défendu le marché unique européen et la Politique agricole commune (PAC). C'est dans cet échange d'attaques ciblées qu'Emmanuel Macron a remis sur la table une proposition émise de longue date par la gauche : celle des prix planchers. Une mesure obligeant les grands groupes agro-alimentaires à prendre en compte les coûts de production inhérents à chaque filière pour leur permettre de ne pas vendre à perte. Les prix planchers "permettront de protéger le revenu agricole et de ne pas céder à toutes les pratiques les plus prédatrices qui aujourd'hui sacrifient nos agriculteurs et leurs revenus", a justifié Emmanuel Macron, samedi au Salon de l'agriculture. Cette mesure devrait s'inscrire dans le futur projet de loi sur le revenu des agriculteurs que le Premier ministre Gabriel Attal s'est engagé à présenter d'ici l'été. Elle n'est pourtant pas nouvelle. En novembre dernier, une proposition de loi déposée par les députés LFI avait été rejetée de justesse, en raison notamment de l'opposition de la majorité présidentielle. "Depuis six ans, nous le réclamons à l'Assemblée nationale (…) C'est le grand choix aujourd'hui", s'est empressé de tweeter sur X, François Ruffin, le député LFI de la Somme. De son côté, la droite dénonce une "très mauvaise idée : il s'agira d'un revenu minimum universel agricole, idée socialiste, et le prix plancher deviendra un prix de marché dans Egalim. Dans la diversité des régions et des exploitations, les écarts vont s'agrandir", a commenté sur le même réseau social Bruno Retailleau, le président du groupe Les Républicains au Sénat. Du côté des syndicats, la question est loin de faire l'unanimité. La FNSEA craint que le prix minimum devienne “un prix plafond pour le revenu des agriculteurs”. Un parti n'a pour l'instant pas réussi à se faire une place dans ce débat. Les Verts, et leur tête de liste pour les européennes, Marie Toussaint, peinent à se faire entendre entre le camp présidentiel et le Rassemblement national. Interrogée sur l'arrivée compliquée d'Emmanuel Macron au Salon de l'agriculture, l'écologiste a estimé qu'il "n'a eu de cesse de marcher sur les parties prenantes, sur le dialogue social, sur les conventions citoyennes qu'il a lui-même mises en place". Marie Toussaint, militante de longue date, députée européenne depuis 2019, encore peu connue du grand . Dans les derniers sondages, les Verts restent au coude à coude avec le Parti socialiste et La France Insoumise entre 7 et 10% des intentions de vote. Le parti espère atteindre le score de 13,5% de Yannick Jadot aux élections européennes de 2019. Mais encore faudra-t-il réussir à apaiser les doutes qui, déjà, s'élèvent en interne. Le gouvernement va-t-il réussir à amadouer les agriculteurs ? Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il cédé sur l'idée des prix planchers ? A 4 mois du scrutin, la campagne des européennes est-elle lancée entre la majorité présidentielle et le Rassemblement national ? LES EXPERTS : - Louis HAUSALTER - Journaliste politique - Le Figaro - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société - Éric FOTTORINO - Écrivain, cofondateur de Zadig et Le 1 Hebdo - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué de l'institut de sondages Ipsos DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:17:33 - 8h30 franceinfo - La tête de liste Les Écologistes pour les élections européennes a réagi à l'arrivée sous tension du chef de l'Etat au Salon de l'agriculture, ce samedi matin. Des heurs ont opposé manifestants et policiers.
durée : 00:02:11 - Le vrai ou faux - Après l'annonce de la mise en pause du plan Ecophyto, la tête de liste des écologistes aux élections européennes, Marie Toussaint, a appelé à changer de modèle. Elle affirme que les agriculteurs ont 50% de risque en plus d'avoir un lymphome ou un cancer de la lèvre, à cause des pesticides. C'est plutôt vrai mais c'est très variable en fonction des cancers.
durée : 00:02:44 - Le brief politique - Le paysage à gauche est clarifié pour les élections européennes du 9 juin : Raphaël Glucksmann est officiellement la tête de liste du PS, Manon Aubry pour les Insoumis, alors que Marie Toussaint est investie pour les écologistes et Léon Deffontaines pour les communistes.
durée : 00:22:27 - L'invité de 8h20 - Aujourd'hui dans le grand entretien, Marion L'Hour reçoit la femme politique Marie Toussaint, eurodéputée écologiste, elle est tête de liste des Écologistes aux élections européennes.
durée : 00:02:38 - Le brief politique - À un peu plus de six mois des élections européennes - qui auront lieu en juin prochain - les écologistes entrent officiellement en campagne avec le premier meeting, samedi, à Paris, de Marie Toussaint, sur fond de "backlash" anti-écolo.
À la veille d'un sommet à Grenade en Espagne, les pays membres de l'Union européenne ont trouvé un accord sur la façon de faire face à des situations de crise migratoire. C'était une étape nécessaire pour que le pacte asile immigration soit débattu au Parlement européen. Ce texte pourra-t-il être adopté avant les élections européennes de 2024 ? Entretien avec Marie Toussaint, députée européenne écologiste et tête de liste Europe Écologie-Les Verts (EELV) pour ces prochaines élections.
▶ Jamais un média populaire et indépendant, qui n'est détenu ni par de riches oligarques ni par l'Etat, n'avait arraché le droit d'être diffusé à la TV ! Nous si ! Le 20 octobre, nous serons sur vos écrans ! Soutenez-nous, et faites partie de cette aventure historique ! La NUPES est-elle encore une force de gauche unie ? EELV, LFI, le PCF et le PS ne tombent pas d'accord sur une liste commune ou non pour les élections européennes de juin 2024, pour le plus grand bonheur de leurs détracteurs. Leurs désaccords ont pu d'ailleurs être étalés sur la place publique. LFI plaide pour l'union, quand les autres hésitent ou préféreraient partir seuls, dans la crainte d'un Mélenchon qui annoncerait la mort de la NUPES au lendemain des européennes pour avoir le champ libre pour 2027. "Les insoumis ne souhaitent pas la fin de la Nupes mais l'union populaire se fera avec ou sans les partis", prévient Bompard ajoute Libération. Le PCF lui prend de plus en plus ses distances, avec Fabien Roussel qui songe à 2027. Pour les élections européennes, le PS tergiverse. Le PCF et EELV ont déjà annoncé leur tête de liste pour les européennes : respectivement Léon Deffontaines et Marie Toussaint. Le vendredi 25 août dernier, Ségolène Royal a annoncé son intention d'être la candidate de l'union, idée qui ne déplaît pas aux insoumis. Il a fallu quelques jours pour s'unir pour les législatives il y a un an, pour se tirer dans les pattes quelques mois après. Était-ce une union pour simplement sauver son poste sur les bancs de l'Assemblée nationale ? Thomas Porcher pose la question et “a bien sa petite idée”. C'est la rentrée. La saga de notre été prend fin. « Bruno demande ». Tout l'été, Bruno Le Maire a invité, demandé, encouragé, ouvert la porte, redemandé. Bref, le Ministre de l'économie aujourd'hui annonce. L'inflation a progressé de 4,8 % sur un an en août, contre 4,3 % en juillet, alors que la hausse des prix avait ralenti depuis avril. La hausse de 10% du tarif de l'électricité au 1er août a entraîné une accélération de la hausse des prix, explique l'INSEE. Les prix alimentaires sont à +11% sur un an, 20% sur 2 ans. Les produits alimentaires ont pourtant vu leurs coûts de fabrication diminuer ces derniers mois, rappelle franceinfo. Mais pas de baisse dans les rayons. Bruno Le Maire a donc avancé les négociations avec les industriels et distributeurs en cette rentrée plutôt qu'en janvier. Le ministre a annoncé ce jeudi 31 août qu'un accord aurait été trouvé pour que les prix cessent d'augmenter, voire se mettent à diminuer pour 5 000 références en magasin. Industriels qui ont pu voir leurs bénéfices augmenter en 2022, en pleine crise de l'inflation. Une annonce qui ne servira pas à grand chose pour régler la situation, raconte Thomas Porcher. Il explique comment le gouvernement est passé à côté de la situation de l'inflation. Thomas Porcher et Lisa Lap analysent tout cela, c'est l'Instant Porcher ! ▶ Soutenez Le Média :
C dans l'air du 28 août - Rentrée de Darmanin : Borne en mission "sabotage" LES EXPERTS : - CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - RACHEL GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique à 20 Minutes - BRICE TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos « Darmanin, premier fliqué de France ». Le titre de Libération aujourd'hui ironise bien sur l'ambiance autour du locataire de la place Beauvau. Alors que celui-ci comptait sur son raout de rentrée dans son fief de Tourcoing pour poser ses jalons en vue de 2027, Elisabeth Borne s'y est invitée in extremis à la demande de l'Élysée pour faire « passer quelques messages » à ce ministre de l'Intérieur un peu pressé dans ses ambitions présidentielles. Mais Gérald Darmanin n'a pas manqué de rappeler qu'il est aux côtés du chef de l'État depuis son accession à l'Elysée, et souligne d'ailleurs qu'il est le seul dans ce cas avec Bruno Le Maire et Elisabeth Borne. Une manière de repousser les procès en déloyauté alors que la Première ministre était visiblement en mission ''sabotage'' ce dimanche dans le Nord, avec une leçon « d'unité » bien placée à l'endroit de son ministre de l'Intérieur. De son côté, Bruno Le Maire rappelle ce matin le calendrier institutionnel et prône la « patience » alors qu'il est lui aussi donné comme possible candidat en 2027. Pendant ce temps, Gabriel Attal fait parler de lui dans son nouveau costume de ministre de l'Éducation nationale. Hier, c'est en annonçant interdire dans les établissements scolaires le port de l'abaya (ce vêtement traditionnel féminin porté au Moyen-Orient au-dessus des autres vêtements), qu'il a suscité la polémique. Dans un contexte de signalements de plus en plus fréquents sur les distinctions religieuses à l'école, cette décision stricte est un moyen pour le gouvernement de reprendre la main sur les sujets régaliens. À gauche aussi, la rentrée fut scrutée. Aux Amfis d'été de la France insoumise, une ancienne candidate socialiste à l'Élysée a fait parler d'elle : Ségolène Royal. Celle-ci propose en effet d'être tête de liste aux Européennes pour la Nupes, une proposition surprise plutôt bien accueillie à la France insoumis, notamment par Jean-Luc Mélenchon. Mais l'heure n'est pas à l'union puisque les écologistes, comme les communistes de leur côté, ont décidé de présenter leur propre liste et ont même déjà choisi Marie Toussaint pour les représenter. Royal risque donc de faire flop, d'autant que ses prises de paroles sont régulièrement pointées du doigt et sa participation prochaine comme chroniqueuse aux côtés de Cyril Hanouna risque de crisper un peu plus encore. Alors, Gérald Darmanin a-t-il raté sa rentrée à Tourcoing ? Avec Attal, quels changements possibles à l'Éducation nationale ? La Nupes peut-elle se ranger derrière Ségolène Royal aux Européennes ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:08:39 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Marie Toussaint, députée européenne, tête de liste EELV pour les élections européennes, est l'invitée de 7h50. Elle revient sur la loi sur la restauration de la nature adoptée par le Parlement européen, mais aussi sur l'absence d'union de la gauche aux prochaines élections.
durée : 00:08:39 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Marie Toussaint, députée européenne, tête de liste EELV pour les élections européennes, est l'invitée de 7h50. Elle revient sur la loi sur la restauration de la nature adoptée par le Parlement européen, mais aussi sur l'absence d'union de la gauche aux prochaines élections.
Temos petróleo, mas não vamos explorá-lo. Diante da emergência climática, uma decisão como essa – que até pouco tempo atrás, era impensável – agora está sob a mesa de governantes de diversos países do mundo, em especial no chamado sul global. No Brasil, o futuro do projeto da Petrobras de perfuração da bacia sedimentar da foz do rio Amazonas, para a recuperação do óleo negro, simboliza o impasse delicado entre o desenvolvimento à moda antiga e a transição energética necessária. Os tempos mudaram em relação a 2006, quando o mesmo presidente Lula participou, eufórico, da descoberta das camadas de pré-sal pela petrolífera nacional – sem que, à época, qualquer questionamento ambiental viesse à tona. Agora, a decisão de explorar ou não o que está sendo chamado de a nova fronteira do petróleo no Brasil, na margem equatorial, coloca o governo petista em uma situação delicada. O ministro das Minas e Energia, Alexandre Silveira, e o presidente da Petrobras, Jean Paul Prates, não veem a hora de receberem o ok para o avanço do licenciamento ambiental do Ibama (Instituto Brasileiro de Meio Ambiente e Recursos Naturais Renováveis) para o projeto. Entretanto, um parecer técnico do órgão não enxerga o plano com bons olhos, alegando pouca clareza quanto aos riscos de derramamento de óleo na perfuração, a 175 quilômetros da costa do Amapá. Um acidente poderia abalar a fauna e a flora marinhas, além de impactar comunidades indígenas em Oiapoque. A decisão final do presidente do Ibama, Ricardo Agostinho, é aguardada. “Há um discurso infelizmente contraditório por parte do governo, que é o que a gente chama de paradoxo verde. O próprio ministro das Minas e Energia declarou recentemente que em função da transição energética que o mundo está passando e que o Brasil está e vai passar, o petróleo será menos importante lá na frente”, diz professor Roberto Schaeffer, professor de Economia da Energia da Universidade Federal do Rio de Janeiro (UFRJ), doutor em política energética e membro do IPCC, o painel de cientistas da ONU sobre as mudanças climáticas. “Em certo sentido, começa a haver um movimento de acelerar o máximo possível a produção de petróleo hoje para não se ficar com o mico na mão, afinal há uma sociedade de consumo que demanda bens e serviços que ainda não conseguiu se livrar do petróleo e provavelmente não conseguirá nos próximos 20 ou 30 anos. E isso é uma enorme contradição: para lidar com a mudança climática, você eventualmente vai aumentar as emissões hoje para não ser o último a ficar com petróleo no chão, não explorado.” ONGs pedem fim do projetoO projeto foi licitado há 10 anos, junto com dezenas de outros blocos, mas até hoje nenhum poço foi perfurado na área. Agora, o plano foi acelerado em meio à perspectiva de queda da produção na bacia do sudeste a partir de 2030. Em abril, 80 organizações da sociedade civil, entre as quais as principais do país na área ambiental, reforçaram o pedido para o governo abdicar do projeto, apesar dos lucros estimados. Segundo a Agência Nacional do Petróleo (ANP) calculou em 2013, a reserva em questão, de número 59, poderia acumular 14 bilhões de barris. As ONGs alegam que o início das obras, a cerca de 500 quilômetros da foz do Amazonas, poderia levar a “danos imensuráveis para o meio ambiente e para a população”. A aprovação também representaria uma incoerência em relação às promessas que Lula tem feito não só no Brasil, como para a comunidade internacional, de colocar o país nos trilhos de um desenvolvimento sustentável. No seu último relatório, o IPCC, painel de cientistas da ONU sobre as mudanças climáticas, reivindica que a “redução substancial no uso geral de combustíveis fósseis", como o petróleo, é necessária para o mundo zerar as emissões líquidas de CO2. Em paralelo, a Agência Internacional de Energia reconheceu em 2021 que o uso do petróleo deverá entrar em queda a partir de 2050 e defendeu que, diante dessa perspectiva, nenhum novo projeto de extração de combustíveis fósseis deveria ser aprovado. A jurista especializada em direito internacional do meio ambiente Marie Toussaint, deputada europeia, avalia que já passou da hora de esses alertas serem levados a sério. “É exatamente isso que precisamos fazer, segundo os cientistas mas também a Agência Internacional de Energia, que foi criada pelos pesos-pesados da energia – portanto está longe de ser uma ONG. Todos eles dizem que nós devemos parar, hoje, qualquer nova perfuração de gás e de petróleo”, ressalta. “O desafio é cessarmos a oferta enquanto, paralelamente, investimos no que poderão ser as alternativas a essa oferta.” Roberto Schaeffer pondera que o consumo atual de petróleo no mundo é de 100 milhões de barris por dia, número que deve despencar para 20 e 40 milhões em 2050 – sobretudo para a produção de plásticos e fertilizantes, e cada vez menos para uso em energia.“O mundo de agora até 2050 ainda precisará de petróleo. O caso do Brasil é muito claro: a maior parte do transporte de cargas e urbano no Brasil é com veículos a diesel – e esse diesel tem que vir de algum lugar. A transição para outros combustíveis, seja a eletrificação dos transportes ou biocombustíveis, não se dará instantaneamente”, salienta. “E é nesse contexto que o Brasil e a África viram uma fronteira, com petróleos de excelente qualidade, custo mais baixo e com impactos ambientais muito menores, ao contrário dos petróleos pesados canadenses e venezuelanos, e mesmo campos antigos no mar do Norte. Mas a questão é como fazer isso de maneira cuidadosa”, pondera. Países desenvolvidos x países em desenvolvimentoA questão é colocada para outros países em desenvolvimento, onde a descoberta de reservas de petróleo ainda é celebrada como fonte de esperança e crescimento econômico, a exemplo da Costa do Marfim, em 2022, ou em Moçambique, em abril passado. Em Uganda e Tanzânia, a construção de um gigantesco oleoduto de 1,4 mil quilômetros gera mobilização internacional de organizações ambientalistas. O pesquisador da Unicamp na área de bioenergia e eficiência energética Luiz Horta Nogueira observa que, não à toa, esse tema representa um dos desafios mais difíceis das negociações climáticas internacionais, como as COPs. “Nós temos uma discussão antiga, que não está superada, que é o fato de que os países desenvolvidos exploraram as suas energias fósseis, desenvolveram-se em cima desses recursos, e agora temos alguns países que estão começando a explorar esses recursos e vem alguém dizer ‘sinto muito, agora terminou a festa e vocês não podem'”, afirma. “A riqueza produzida pelos hidrocarbonetos não se traduz de uma forma simples em desenvolvimento para um país, como vemos na Nigéria, por exemplo. Foram muito mais exceções os casos em que isso aconteceu – e a Noruega é um bom exemplo. Mas agora estamos vendo a Guiana encontrar reservas importantes e pode ser hoje uma das principais fronteiras de expansão da produção de petróleo no mundo. Quem tem moral para dizer que a Guiana não deve fazer isso? Então que paguem para ela não explorar o recurso que ela tem”, comenta. Para Nogueira, o foco do debate deveria ser viabilizar a exploração responsável desses recursos, com rigor ambiental e minimização dos riscos graças à ciência, e durante o período em que a transição para um mundo sem petróleo ainda não estiver efetivada. “Certamente ainda tem muito a ser aprendido pela indústria do petróleo, incorporando uma cultura de proteção e evitar acidentes – que são graves e causam prejuízos enormes. É um tema importante em que é preciso buscar um caminho comum de diálogo: como compatibilizar necessidades de desenvolvimento econômico e social com proteção ambiental”, avalia. “Veja que num governo com um discurso superalinhado à questão ambiental, a exploração de petróleo do Alasca, uma das últimas reservas no território americano, está sendo definida pelo presidente Joe Biden”, destaca. Enquanto isso, as grandes petrolíferas ocidentais estão cada vez mais pressionadas a se retirar de projetos relacionados a novos horizontes para o petróleo e o gás. No caso brasileiro, a francesa TotalEnergies e a britânica BP venceram a licitação de blocos da foz do Amazonas, mas acabaram abrindo mão das partes em benefício da Petrobras, que agora detém 100% dos contratos.“Quando observamos a realidade no terreno, vemos que quando as empresas vão embora e quando os bancos e seguradoras param de apoiar projetos, na maior parte das vezes, o projeto não vai adiante” afirma Marie Toussaint. “Temos uma ofensiva da China, em especial, mas também da Rússia, no continente africano. Eles financiam projetos que os europeus e ocidentais agora estão recusando, afinal são projetos devastadores demais.”
Raconter l'histoire de la protection du vivant en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient pour ne pas répéter les mêmes erreurs. C'est l'objectif du passionnant livre Protéger et détruire, gouverner la nature sous les tropiques, publié aux éditions du CNRS. Des réserves de chasse de 1900 à 1930 aux parcs nationaux de 1930 à 1980 jusqu'aux réserves communautaires aujourd'hui, les politiques de protection ont paradoxalement toujours concilié protection et destruction et, dans la plupart des cas, au détriment des populations locales. Invités : - Guillaume Blanc, maître de conférence en Histoire contemporaine à l'Université Rennes 2 - Grégory Quenet, professeur en Histoire de l'environnement à l'Université de Versailles St Quentin-en-Yvelines - Mathieu Guérin, maître de conférence en Histoire de l'Asie du Sud-Est à l'Institut national des langues et civilisations orientales - Marie Toussaint, députée européenne EELV - Jean-Christophe Bokika, président de l'association Mbou Mon Tour en République Démocratique du Congo qui œuvre pour la conservation des bonobos dans le Territoire de Bolobo dans la province de Maï-Ndombe, à 300 km au nord de Kinshasa.
Marie Toussaint, eurodéputée écologiste et fondatrice de l'association « Notre Affaire à Tous » est ce vendredi 2 septembre 2022, l'invitée du matin de RFI. Politique française, visite par les experts de l'AIEA de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, transition énergétique en France, Conseil de défense énergétique… Elle répond aux questions de Frédéric Rivière.
Selon l'essayiste et journaliste Naomi Klein, le changement climatique est un échec de l'imagination. Nous échouons à appréhender le futur qui nous attend si nous ne modifions pas nos comportements, mais surtout à imaginer un futur alternatif, et une société plus juste. Dans ce dernier épisode d'Un jour la Terre s'ouvre, Lucile Torregrossa se demande quel est le rôle des imaginaires dans le mouvement éco-féministe, comment activer ces imaginaires, et en extraire de nouveaux outils de lutte. Lucile Torregrossa a interrogé Camille Etienne, activiste écologiste et vidéaste, Ketty Steward, écrivaine de science-fiction, et Marie Toussaint, députée européenne, juriste en droit international de l'environnement et fondatrice de l'association Notre affaire à tous. Si cet épisode vous a plu ou si vous souhaitez y réagir, vous pouvez nous écrire sur Instagram, Twitter ou à hello@louiemedia.com.Les interviews ont été tournées et le texte écrit par Lucile Torregrossa. Michael Liot a composé la musique de cette série, et Anna Buy en a fait la réalisation. Jean-Baptiste Aubonnet a fait le mixage de cet épisode. Louise Hemmerlé est en charge de la production d'Un jour la Terre s'ouvre. La supervision éditoriale et de production était assurée par Maureen Wilson, Charlotte Pudlowski, Marion Girard et Mélissa Bounoua. Merci à Marjolaine Roget, Marie Koyouo et Elsa Berthault pour leur écoute attentive. Merci à Sarah Perahim de nous avoir prêté sa voix et à Maxime Richelme pour l'enregistrement de la reprise d'Une sorcière comme les autres d'Anne Sylvestre. Cette saison d'Injustices a été réalisée avec le soutien de la Fondation L'Oréal, qui s'engage auprès des femmes dans la lutte contre le changement climatique. Si vous souhaitez soutenir Louie et ses créations indépendantes, vous pouvez adhérer au club Louie. Ce Club est décliné en 2 offres: “Prélude” et “Nocturne” – pour être accessible au plus grand nombre. Il vous ouvre les coulisses de Louie et nous vous enverrons des contenus inédits. Rejoignez-nous! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Interview de Marie Toussaint, eurodéputée écologiste française.
“On savait qu'allait venir le temps des grands procès pour le vivant et que le temps était venu pour les citoyens de se saisir du droit”, Marie Toussaint. Venez écouter le nouvel épisode de Demain N'attend Pas avec MARIE TOUSSAINT, eurodéputée d'EELV et cofondatrice de NOTRE AFFAIRE A TOUS, association qui utilise le droit comme outil contre le réchauffement climatique. Notre Affaire à Tous, c'est aussi une des associations à l'origine de l'AFFAIRE DU SIECLE. L'Affaire du Siècle, vous vous en souvenez ? Cette pétition qui a réuni plus de 2.5 millions de signatures en 2018 (la plus grosse pétition jamais signée en France !) et a porté un recours en justice contre l'Etat français pour l'obliger à respecter ses engagements pour le climat. Le jour où j'interviewais Marie, le 14 octobre dernier, l'Affaire du Siècle gagnait son recours en justice. Pour la 1ère fois, l'Etat était condamné à réparer les dommages causés par son inaction climatique … d'ici 14 mois. Ce jugement va donner un cadre de jeu pour les programmes qui vont s'exprimer lors la campagne présidentielle qui commence... Autant dire que Marie a sablé le champagne avant et après l'interview ! Dans cette conversation passionnante, Marie nous raconte :