POPULARITY
durée : 00:03:17 - Un restaurateur landais à bout de souffle, sa fille appelle à l'aide. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:07 - L'info d'ici, ici Gascogne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:50 - L'info d'ici, ici Gascogne - Le film de Steven Spielberg Les Dents de la mer est sorti aux Etats-Unis en juin 1975, il y a cinquante ans. Le long-métrage a traumatisé plusieurs générations effrayées par les requins. Des animaux qu'on retrouve parfois sur les côtes landaises mais qui sont inoffensifs selon un expert. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est une guérilla dont on parle peu. Dans la longue pointe sud de la Thaïlande, à la frontière de la Malaisie, loin des caméras, les provinces thaïlandaises de Yala, Pattani et Narathiwat sont en proie à un conflit entre l'État central de Bangkok et un groupe armé séparatiste musulman. Bilan : plus de 7 700 morts depuis 2004. Le massacre, cette année-là, de manifestants musulmans d'origine malaise, toujours impuni, a laissé des traces. Elle continue de hanter toute la région. En témoigne la résurgence des violences meurtrières depuis le début de cette année. De notre correspondant à Bangkok,Des dizaines d'hommes, torse nu, mains ligotées, sont jetés un à un par des militaires dans une benne d'un camion. Entassés les uns sur les autres, ils reçoivent des volées de coups à mesure que l'arrière du véhicule se remplit. Puis le silence. Le moteur démarre. Durant le trajet qui semble interminable, on entend gémir, suffoquer. Avant que les cris s'estompent peu à peu. À nouveau, le silence. En cette soirée tiède, un court métrage diffusé en plein air aux abords du Patani Artspace, un centre culturel à Pattani, dans l'extrême sud de la Thaïlande, retrace la tragédie survenue il y a 20 ans, jour pour jour, à Tak Bai. Le 25 octobre 2004, devant le commissariat de cette ville paisible, une manifestation virait au drame. Et devenait le symbole le plus brutal des violations des droits de l'homme perpétrées dans le « Sud profond » de la Thaïlande, où vivent une majorité de musulmans d'ethnie malaise (minorité musulmane au sein d'une nation thaïlandaise de 71 millions d'habitants à plus de 90% bouddhiste). Ce jour-là, pour disperser la foule, l'armée intervient : 7 manifestants musulmans malais tombent sous les balles. Et 1 300 autres sont interpellés. Ligotés. Puis jetés à l'arrière de fourgons militaires, empilés comme des bûches. Pendant le trajet qui les mène à une base militaire, 78 d'entre eux meurent asphyxiés. Deux décennies plus tard, devant le film, les visages sont fermés. Certains trahissent quelques larmes qui coulent pendant le générique, où des archives défilent sur fond d'une chanson évoquant le massacre de Tak Bai. « La douleur est encore vive aujourd'hui », confie Maliki Doloh, debout grâce à deux béquilles et vêtu du Baju Melayu, costume traditionnel. L'homme, qui avait 27 ans à l'époque, a cru voir la mort. Ce survivant repense encore à ses semblables, écrasés par le poids des corps, et dont la respiration s'est tue, lentement. « C'était le Ramadan », se souvient-il, indiquant avoir rompu le jeûne en léchant la sueur qui dégoulinait sur son visage, avant de s'évanouir. À son réveil, les médecins lui ont dit qu'il fallait l'amputer. Le massacre de Tak Bai a soufflé sur les braises d'une insurrection séparatiste née des années plus tôt et plongé la région dans un conflit entre l'État central et le BRN (Barisan Revolusi Nasional), le principal groupe armé actif. Véhicules piégés, fusillades, assassinats ciblés : depuis le tournant de 2004, ce conflit peu médiatisé a fait plus de 7 700 morts et près de 15 000 blessés, principalement des civils, recense l'ONG Deep South Watch. La mort d'une fillette tuée par balle et celle d'un jeune moine, il y a peu, rappelle que les habitants des trois provinces de Yala, Pattani et Narathiwat, tout au sud du royaume, vivent dans la violence permanente. À Yala, une femme au foulard pastel dont la silhouette présage l'arrivée prochaine d'un second bébé décrit ses angoisses de jeune mère. « J'en ai marre ! Parfois, je perds espoir, témoigne Azura Cheaauma, 35 ans. J'ai peur que quelque chose arrive à mes enfants. J'aimerais qu'ils grandissent dans un environnement sûr, où ils pourront jouer, étudier, sans avoir à entendre résonner le bruit des armes ». Les trois provinces à la pointe sud de la Thaïlande sont ainsi soumises à une loi martiale et à l'état d'urgence, prolongé maintes fois depuis 2004, lorsque 75 000 soldats, policiers et paramilitaires ont investi la région pour endiguer les violences. Les forces de sécurité sont tombées au nombre de 50 000, indique BenarNews, mais leur omniprésence continue d'être une source de tension. Les points de contrôle militaires quadrillent les villes, bordent les routes. Ici, un véhicule blindé, là une tour de guet. Sur la ligne de train qui relie Yala à Sungai Kolok, dernier arrêt avant la Malaisie, des soldats, mitraillettes sous le bras, sont stationnés à chaque village doté d'une gare. Souvent, ils montent à bord pour fouiller, interroger. Ici, « les violations des droits de l'homme sont nombreuses », affirme la militante Anchana Heemina. Visage connu de tous, elle a fondé en 2010 Duay Jay, une ONG locale qui, depuis sa création, a recensé 168 cas de torture et 444 exécutions extrajudiciaires. L'an passé, l'un de ses bénévoles a été abattu dans d'étranges circonstances : « Voilà les risques auxquels sont confrontés les défenseurs des droits humains dans le sud ». Loin des caméras, ce conflit insurrectionnel s'enracine dans le passé. Régie des siècles durant par des Rajahs musulmans, la région fut jadis le prestigieux sultanat de Patani. Avant d'être attachée de force en 1902 au royaume de Siam, ancien nom de la Thaïlande. Mais « la véritable rupture entre l'État central et les Malais du Sud intervint toutefois plus tard, sous la férule des gouvernements ultranationalistes de Phibun Songkhram [premier ministre et dictateur militaire de la Thaïlande de 1938 à 1944, puis de 1948 à 1957, ndlr] », écrivait le spécialiste du royaume et ancien correspondant de RFI Arnaud Dubus dans l'ouvrage Thaïlande : histoire, société, culture (2011). « Avides d'imposer à l'ensemble du pays une même identité thaïe, ajoutait-il, les agents du gouvernement central interdirent aux Malais — dont la plupart ne parlaient pas thaï — d'employer leur langue dans leurs démarches administratives, les forcèrent à quitter le sarong pour la nouvelle ‘tenue nationale' et obligèrent les enfants musulmans à se prosterner devant des statues de Bouddha ». Pour Don Pathan, expert sécuritaire à The Asia Foundation, il s'agit d'un conflit « ethno-nationaliste », qui « découle de l'échec de la politique d'assimilation visant à transformer les Malais en quelque chose qu'ils ne sont pas ». Lancé en 2013 et supervisé par la Malaisie voisine, le processus de paix entre le gouvernement thaïlandais et le BRN patine. Coups d'État, destitutions, dissolutions de partis et successions de gouvernements : l'instabilité politique de la Thaïlande, liée à la prédominance de l'armée, n'aide pas. Parmi les militants du Sud, nombreux sont conscients que le combat pour la paix ne se mène pas seul : « On doit participer, plus largement, à la démocratisation de la Thaïlande ! Le pays a besoin de changements structurels », soutient Arfan Wattana, qui reçoit dans le café qu'il tient à Sungai Kolok. Avec The Patani, l'organisation pacifique qui milite pour l'auto-détermination de la région dont il fait partie, ce père de famille souhaite retenir la jeunesse tentée de rallier le groupe armé séparatiste : « L'un des défis majeurs sur lequel on travaille, ce sont les jeunes qui soutiennent l'indépendance via des modes d'action violents. On leur dit que ce chemin n'est possible qu'à travers la non-violence. »« C'est notre responsabilité de dialoguer avec les groupes armés, les gens en colère contre les injustices qu'ils subissent et de leur dire que la violence ne nous fera pas gagner », abonde Artef Sokho, président de The Patani. ONG et pacificateurs s'efforcent de discuter avec toutes les parties prenantes du conflit. « Mais c'est loin d'être facile », concède ce militant, que le spécialiste Don Pathan qualifie de « Mandela du Sud de la Thaïlande ». En cette année 2025, la résurgence d'attentats, embuscades et tueries n'augure en effet rien de bon. Les perspectives de paix semblent encore s'éloigner.
durée : 00:02:47 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:02:52 - L'info d'ici, ici Gascogne - Plusieurs écoles landaises souhaitent végétaliser leur cour de récréation. Et cette volonté part surtout des élèves. Dans le département, six projets jeunes du budget participatif citoyen des Landes 2025 concernent la végétalisation des établissements scolaires.
durée : 00:07:58 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne"
durée : 00:02:53 - L'info d'ici, ici Gascogne - Dans les Landes, quatre établissements scolaires ont participé au défi "Dix jours sans écrans". Castaignos-Souslens, Garein, St-Pierre-du-Mont et St-Paul-lès-Dax. La directrice de l'école St-Pauloise Henri Lavielle a ouvert la porte de sa classe de CM2 à "ICI Gascogne" pour un échange.
durée : 00:03:37 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:03:32 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:03:30 - L'info d'ici, ici Gascogne
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:21 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:02:54 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:03:24 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:02:00 - Despiau, le Portraitiste landais
durée : 00:03:30 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:04:18 - L'info d'ici, ici Gascogne - Les téléspectateurs ont découvert son visage fin février. Plusieurs semaines après, à presque la moitié de l'aventure, Jérôme, 52 ans, habitant de Tarnos, est toujours en lice à Koh-Lanta. Il est même devenu un candidat incontournable.
durée : 00:07:42 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne" - À deux jours de lancer sa campagne pour sa candidature à la présidence du Parti socialiste, le député landais Boris Vallaud était l'invité d'ici Gascogne ce vendredi matin. Tout se jouera en juin prochain au Congrès du PS.
durée : 00:03:50 - La Chronique vin de Jérôme Gagnez - par : Jérôme Gagnez - Des vins naturels de Dominque Andiran
durée : 00:06:20 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne"
durée : 00:03:43 - L'info d'ici, ici Gascogne
Le haka, célèbre danse rituelle exécutée par l'équipe de rugby de Nouvelle-Zélande avant chaque match, est bien plus qu'une simple démonstration de force ou un rituel sportif. Il trouve ses racines dans la culture maorie, le peuple autochtone de Nouvelle-Zélande, et possède une signification historique et spirituelle profonde.Un héritage guerrier maoriÀ l'origine, le haka était une danse traditionnelle des Maoris, utilisée dans divers contextes : pour célébrer un événement, accueillir des visiteurs, montrer la fierté d'une tribu ou encore intimider l'ennemi avant une bataille. Il existe plusieurs types de haka, dont certains sont pacifiques et d'autres martiaux, destinés à effrayer les adversaires et à exalter le courage des guerriers avant le combat.Le haka le plus célèbre dans le rugby, le Ka Mate, a été composé au début du XIXᵉ siècle par Te Rauparaha, chef de la tribu Ngāti Toa. Il l'aurait créé après avoir échappé de justesse à ses ennemis, symbolisant ainsi la survie et le triomphe sur la mort. Ce haka est aujourd'hui le plus connu et est celui principalement exécuté par les All Blacks avant leurs matchs.L'introduction du haka dans le rugbyL'histoire du haka dans le rugby néo-zélandais remonte à 1888, lorsque la première équipe de rugby de Nouvelle-Zélande, composée en partie de joueurs maoris, effectua une tournée au Royaume-Uni et en Australie. Ils utilisaient alors le haka comme un moyen de représenter leur culture et d'impressionner leurs adversaires.En 1905, l'équipe nationale néo-zélandaise, connue sous le nom de "Originals", effectua une tournée historique en Europe et intégra officiellement le haka avant chaque match. Ce rituel devint rapidement une tradition incontournable et un symbole du rugby néo-zélandais.Un symbole identitaire et fédérateurAvec le temps, le haka a dépassé sa simple fonction sportive pour devenir un symbole d'unité et de fierté nationale en Nouvelle-Zélande. Il ne représente pas seulement les joueurs d'origine maorie, mais l'ensemble du pays et son attachement à ses racines culturelles.Depuis 2005, les All Blacks utilisent aussi un autre haka, le Kapa o Pango, spécialement conçu pour eux. Plus agressif et personnalisé, il reflète leur identité unique en tant qu'équipe et leur engagement à dominer le rugby mondial.ConclusionLe haka, dans le rugby néo-zélandais, est un héritage vivant de la culture maorie. Il incarne l'esprit de combativité, le respect des traditions et l'unité nationale, faisant des All Blacks une équipe à part dans l'histoire du sport. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Né à Mont de Marsan dans une famille du rugby, Olivier passe pourtant d'abord par le judo et le basket. Il arrive sur le pré à 17 ans et fait immédiatement montre de qualités remarquables. Seulement 6 mois après ses débuts en Junior à Villeneuve de Marsan, il est sélectionné en Equipe de France Fira et immédiatement recruté par...l'US Dax !S'en suit une folle aventure : régulièrement qualifié en phases finales avec son club, il honore 62 sélections (dont 8 capitanats) avec le XV de France avec lequel il disputera notamment les Coupes du Monde 1991 et 1995. Après cette dernière, il s'engage avec les Natal Sharks, en Afrique du Sud, et remporte son tout premier trophée en club : la Curry Cup !Suite à cette parenthèse enchantée, Olivier fait son retour à Dax, mais après 13 ans chez les Culs Rouges, l'arrivée du professionnalisme le mène au Stade Français avec qui il remporte son premier Brennus en 1998. Cependant après 1 saison, l'appel du Sud-Ouest est le plus fort et il s'engage à Biarritz où il ramène un nouveau bouclier en 2002, après 63 ans de disette du côté d'Aguilera.La tête bien pleine et les pieds ancrés au sol, Olivier a toujours su peser le poids de ses décisions pour faire les meilleurs choix pour lui et les siens. Installé du côté d'Hossegor, sur la côte Landaise, il s'est superbement reconverti dans le tourisme et la promotion immobilière. Il est d'ailleurs aujourd'hui le premier supporter de son rugbyman de fils !Vraiment, j'ai passé un magnifique moment en compagnie d'Olivier : véritable puits d'anecdotes et plein d'humour, on n'a absolument pas vu le temps passer !Bonne écoute !-----------------------------
durée : 00:25:51 - Le Mitchut, un succés Landais ! - Patrice Lubet revisite le pastis landais avec le Mitchut, une brioche au moelleux incomparable. Sa texture humide et fondante séduit les gourmands, au point d'en devenir addictive. Avec le chocolatier Cyril Pouil, il crée une version encore plus gourmande, mêlant chocolat et Armagnac.
durée : 00:03:30 - Un Landais participe à la prochaine saison de Koh-Lanta, découvrez le portrait de Jérôme
Aujourd'hui je reçois Baptiste Landais afin de parler de son rôle en tant qu'entraineur adjoint de l'équipe de France CFJJB, de son club la Moka Team et de son projet Build For Future. Baptiste a un rôle central dans le développement du JJB en France aujourd'hui et il nous partage sa vision de la préparation mentale, du haut niveau et du futur du Jiu Jitsu dans l'hexagone. Nous sommes d'abord revenus sur son parcours et ses débuts en tant que compétiteur dans le JJB, ainsi que sur les moments difficiles qui l'ont forgé en tant que combattant. Nous avons ensuite longuement échangé sur les Championnats d'Europe IBJJF qui ont eu lieu à Lisbonne et sur son rôle en tant qu'entraineur de l'équipe de France CFJJB lors de cette compétition. Nous avons parlé des résultats, des erreurs, des axes d'amélioration et surtout de la dimension mentale et psychologique qui est au coeur des combats lors d'une compétitions de ce niveau là. Baptiste a partagé des anecdotes marquantes sur les performances des athlètes et sur le challenge d'être entraineur durant cette compétition. Enfin nous avons abordé la question du futur du Jiu Jitsu Brésilien en France et de l'importance qu'aura la préparation mentale dans son développement. Un épisode à coeur ouvert ou Baptiste partage sa philosophie en tant qu'entraineur, nous livre de précieux conseils et nous transmet un message plein d'honnêteté et d'optimisme pour l'avenir !Baptiste Landais : https://www.instagram.com/baptiste_stitulibjj/https://www.instagram.com/moka.team443/https://www.instagram.com/projet_buildforfutur/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:38 - L'info d'ici, ici Gascogne
durée : 00:03:20 - Les hôpitaux landais veulent convaincre les jeunes de se lancer dans les métiers de la santé
durée : 00:03:45 - Après les Jeux Olympiques, la notoriété nouvelle du groupe de métal landais Gojira
durée : 00:38:53 - Toutes les infos sur les prochains matchs de l'Aviron Bayonnais (TOP 14) et Biarritz Olympique (Pro D2) - L'US Dax et le Biarritz Olympique s'affrontent ce vendredi à Maurice Boyau dans un match décisif pour le top 6. Avec des enjeux cruciaux pour les deux équipes, cette rencontre s'annonce comme un duel à ne pas manquer. Décryptage avec l'équipe de 100% Rugby
durée : 00:03:00 - Les lycées landais sont champions de la géothermie
durée : 00:02:01 - Le groupe landais KNGT dévoile son nouveau single "Tombe"
durée : 00:02:54 - Le Landais Jérôme Daret a été élu meilleur entraineur de rugby au monde après sa saison exceptionnelle
Bonjour à tous, bonjour à toutes, je suis Louise Lesparre du Podcast La Clé des Champs, le podcast qui donne la parole aux agriculteurs. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de me rendre à Meilhan, dans les Landes, pour partir à la rencontre de Daniel Sous.Daniel s'est investi avec sa sœur Sarah dans l'exploitation familiale créée par leurs parents. Il se consacre à la production de maïs, tandis que Sarah a développé un élevage de brebis et commercialise ses produits en vente directe.Le podcast existe depuis bientôt 5 ans, et je n'avais toujours pas réalisé d'épisode sur le maïs ! En bonne landaise que je suis, cela commençait à ressembler à une anomalie. J'ai donc décidé de rectifier le tir en partant à la rencontre de Daniel pour qu'il nous explique comment est produite cette culture et quels sont ses enjeux.Au-delà de cela, ce qui m'intéresse dans l'exploitation de Daniel, c'est qu'ils ont toujours été à la pointe de l'innovation pour pratiquer l'agriculture dite de précision. Il s'agit d'être toujours plus pointu en cartographiant les sols et les rendements associés pour agir précisément et efficacement. Cette méthode de travail demande un investissement, car les machines coûtent plus cher, mais permet de réaliser de nombreuses économies en temps et en argent. Cela permet également de réduire les substances utilisées dans les champs et ainsi de limiter son impact sur l'environnement.Allez, je vous laisse en compagnie de Daniel pour qu'il vous raconte tout cela !Bonne écoute !
Cet extrait est issu de l'épisode dont la sortie est prévue ce mardi à 8h. Vous y rencontrerez Daniel Sous, producteur de maïs dans Les Landes.Bonne écoute ! Pour retrouver Daniel et son exploitation : Le site webLe compte InstagramLe compte Facebook Pour suivre la Clé des Champs :
Après la mort de son chef Yahya Sinouar le 16 octobre, le Hamas a déclaré son refus de libérer les otages sans cessez-le-feu. Parmi eux, six Thaïlandais qui travaillaient dans des kibboutz israéliens sont toujours captifs à Gaza. Ils ont été enlevés le 7 octobre 2023 lors des attaques meurtrières contre Israël. Dans le nord-est pauvre et rural de la Thaïlande, les parents de Watchara Sriaoun, l'un d'entre eux, ne perdent pas espoir quant au retour de leur fils. Dans la demeure familiale des Sriaoun, la télé tourne en boucle, en attendant la bonne nouvelle : que le Hamas libère Watchara, 32 ans, pour qu'il puisse enfin rentrer chez lui à Ban Kut Yang, un village paisible de la province d'Udon Thani. Pour sa mère Wiwwaeo, l'attente est insoutenable. Les dernières nouvelles du Proche-Orient, qu'elle suit chaque jour, ne la rassurent guère :« Il y a de plus en plus en plus de violences, on ne sait pas quand la guerre prendra fin. J'ai peur pour mon fils, ça fait plus d'un an qu'il a été kidnappé et que nous sommes sans nouvelle. Que mange-t-il ? Comment dort-il ? Je n'en peux plus d'attendre. »Depuis l'enlèvement de Watchara le 7 octobre 2023, la famille est bouleversée. Dans le salon, son père est scotché devant le téléviseur à suivre les infos en continu. Le vieil homme a souvent des absences, nous dit sa femme Wiwwaeo : « On pleure presque tous les jours, on dort mal. Mon mari perd la tête depuis qu'il n'a plus de nouvelles de son fils. On l'a emmené trois fois à l'hôpital et il a même fait un AVC. »Malgré ce quotidien difficile, cette chrétienne raconte comment la foi l'aide à garder espoir : « Sans religion, je serais morte. Chaque dimanche, je me rends à l'église et je prie le Seigneur pour que mon fils revienne ici sain et sauf. »Surtout, ce qui l'aide à tenir, c'est sa petite-fille de 9 ans. Elle s'appelle Nuu Dee, elle est la fille de Watchara. « La gamine vient de perdre sa mère, emportée il y a deux mois par une maladie, mais elle est forte », répète Wiwwaeo, en regardant avec douceur la fillette aux nattes tressées : « Elle sait que son père est encore en vie, elle prie aussi pour que le Hamas relâche son père et qu'il puisse à nouveau l'amener à l'école et partir en voyage avec elle. »Travailler en Israël pour une vie meilleureWatchara avait rejoint Israël en 2020, justement pour offrir à sa fille un avenir plus radieux. Là-bas, il gagnait deux fois plus que dans son village natal et envoyait de l'argent à sa famille endettée. Avant le 7 octobre 2023, 30 000 Thaïlandais travaillaient comme lui dans des fermes ou kibboutz israéliens. La faute aux manques d'opportunités et aux salaires miséreux, selon Wongwian, une élue locale, qui vit dans le village d'à côté :« Certains n'ont pas d'autre choix que de partir à l'étranger. Les familles thaïlandaises avec un travailleur migrant ont une vie meilleure : ils ont assez d'argent pour s'acheter une maison, un terrain ou une voiture. »Grâce en partie au salaire que Watchara touchait en Israël, les Sriaoun ont d'ailleurs récemment pu faire construire une maison, celle dans laquelle ils vivent actuellement et que l'otage retenu à Gaza n'a jamais vu terminée. Tous ici espèrent que Watchara pourra voir un jour la nouvelle bâtisse, où une photo de lui aux côtés de toute la famille est accrochée au mur.À lire aussi[Vidéo] Incident diplomatique franco-israélien à Jérusalem, deux gendarmes français arrêtés
2ème d'une fratrie de 6, Benoît nait à Mont de Marsan mais c'est pourtant à 50km de là, à Dax, qu'il vit ses premiers émois rugbystiques. Plutôt frêle, il bifurque un temps vers d'autres sports avant de revenir au ballon ovale et de s'y mettre bien plus sérieusement.Gravissant les échelons alors que l'US Dax entame un nouveau cycle, il fait ses premiers pas en chez les Grands à 21 ans. Quelques jours plus tard, Éric, son papa par ailleurs Président du club, décède subitement.Il apprend à se construire en son absence et se rend rapidement indispensable dans l'effectif Landais. C'est alors qu'en 2001, sollicité par le Stade Français de Max Guazzini, il s'envole vers la Capitale où il glanera 2 Brennus d'affilée.Il redescend ensuite dans son Sud-Ouest, plus précisément à Biarritz, et en remportera 2 de plus, portant son total à 4 Brennus consécutifs, avec 2 clubs différents.Devenu international, Benoît prend sa retraite en 2013 et après 10 saisons passées au BO.Il devient par la suite consultant à la télé, entraineur des avants de Biarritz puis manager à Tyrosse, avant de revenir du côté de Dax en d'en devenir un rouage essentiel : d'abord conseiller du Président, Président, Directeur général puis Directeur Sportif, il y aura exercé bon nombre de fonctions !Demeurant sur la côte Basque avec sa tribu (car il est papa de 4 garçons) il côtoie toujours quotidiennement ses anciens frères d'armes Biarrots.Vous allez l'entendre, Benoît est une personnalité étonnante : très ouvert, nous avons pu aborder des sujets très variés et plus intéressants les uns que les autres.Vraiment, j'ai fait là une super rencontre et je suis ravi de vous partager notre échange.Bonne écoute !-----------------------------
durée : 00:03:35 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le père de famille de 38 ans avait été enlevé par des Papous qui mènent une lutte armée avec l'armée indonésienne, pour réclamer l'indépendance d'une partie de la Nouvelle-Guinée, contrôlée par Jakarta. "Je suis très heureux de pouvoir bientôt rentrer chez moi", a dit le pilote.
durée : 00:03:35 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Le père de famille de 38 ans avait été enlevé par des Papous qui mènent une lutte armée avec l'armée indonésienne, pour réclamer l'indépendance d'une partie de la Nouvelle-Guinée, contrôlée par Jakarta. "Je suis très heureux de pouvoir bientôt rentrer chez moi", a dit le pilote.
¿Alguna vez has considerado qué lleva a un arquitecto a cambiar de rumbo y regresar a sus raíces para impactar su país de origen? En este episodio, exploramos la inspiradora trayectoria del arquitecto Jose Marion Landais.Jose comenzó su carrera en un campo ajeno a la arquitectura en el extranjero. Fue durante una experiencia internacional que descubrió su verdadera vocación y regresó a la República Dominicana para formarse como arquitecto y en este episodio nos lo relata en detalle.Posteriormente, se trasladó a Barcelona, España, donde continuó su desarrollo profesional en una ciudad que valora profundamente el rol del arquitecto en cada proyecto. Tras muchos años en el extranjero, José decidió regresar a su país de origen, enfrentando el desafío de posicionarse en un mercado donde aún no era conocido. En este episodio, José comparte cómo se ha labrado un nombre como arquitecto destacado en la República Dominicana, siempre con un enfoque en hacer las cosas bien pensadas, con criterio para el usuario y una constante búsqueda de mejorar la forma de realizar arquitectura.
En este episodio de Espacio Diseño, invitamos a los arquitectos Dante Luna y Jose Marion Landais, miembros de TRAZADO, para hablar sobre el desarrollo urbano de Santo Domingo y el rol de su organización sin fines de lucro que promueve proyectos de intervención urbana centrados en el bienestar humano.La conversación ofrece una perspectiva enriquecedora sobre las realidades de vivir en la ciudad y los desafíos que enfrenta la población. Con un enfoque propositivo, Dante y Jose destacan oportunidades y soluciones para el desarrollo urbano, enfatizando la importancia de una participación colectiva.Examinamos cómo algunas propuestas de TRAZADO, impulsadas por el deseo de mejorar la experiencia de los ciudadanos y visitantes, ya están en fases avanzadas de aprobación y desarrollo, prometiendo un impacto positivo significativo en la vida urbana.Contrastamos el desarrollo urbano actual con los beneficios de los paisajes que una vez embellecieron las avenidas de Santo Domingo, resaltando la calidad de vida que proporcionaban.Se presentaron opciones para hacer la ciudad más segura y habitable, priorizando el disfrute de sus habitantes sobre la ampliación de avenidas para vehículos.Este episodio es una invitación a imaginar un diseño urbano centrado en las personas, promoviendo un entorno seguro y agradable que fomente el bienestar de todos los ciudadanos.
Saison 5 - Episode n°55 (à quelques épisodes près…) - Enregistré à Anglet le 16 mai 2024 Animation : Romain Ferrand / Rémi Chaussemiche Réalisation technique : Fred de Bailliencourt Invité : Paul Duvignau On entend parfois parler de surf comme d'un art, sans toujours parvenir à en saisir l'aspect créatif. On n'a pas ce problème avec Paul Duvignau. A 27 ans, le Landais est un vrai touche-à-tout dont la créativité ne semble pas avoir de limites et lui a permis de se construire un profil à part, et un univers bien à lui. Quand, dans sa jeune adolescence, tous ses copains d'Hossegor cherchaient à déchirer le spot avec le dernier shortboard à la mode, lui se pointait au pic en longboard ou en alaïa. Une ouverture d'esprit et une curiosité qui l'amenèrent assez vite à se saisir d'un rabot et se bricoler un atelier dans le jardin familial. A 18 ans, le jeune shaper s'envola pour un tour du monde en solo - avec un petit stop chez Tom Curren, l'ami de la famille qui ridait déjà ses planches - afin de nourrir sa quête de vagues et perfectionner ses shapes. Il met aujourd'hui son savoir-faire en application dans son atelier d'Angresse où se côtoient planches, bécanes et 4x4 ; odeurs de résine, de bois et d'huile de moteur. Niveau surf, Paul aime manier ses grandes planches dans tout type de conditions y compris (voire surtout) les plus solides. S'il a fait de la Nord son jardin et le spot de certains de ses exploits (il a gagné le Rip Curl La Nord Challenge deux fois), il fait partie des rares à s'être frotté à Belharra à la rame. Il évoque en détail ces quêtes, et les moyens/sacrifices (matériel, entraînements…) mis en œuvre toutes ces années pour y parvenir. Depuis quelques temps, le touche-à-tout s'est passionné pour la mécanique, les bagnoles et les bécanes, engins parfaits pour alimenter sa quête de liberté, d'aventures et d'explorations en tout genre. La 2CV, longtemps indissociable de Paul, a depuis été remplacée par un Defender tout équipé avec lequel il a embarqué cet hiver pour un trip de 3 mois sur la côte marocaine. Et c'est justement sur ce périple hors des sentiers battus que portera le documentaire Southern Roads qui sort en ce mois-ci (juin 2024). Bref, une discussion hyper intéressante avec un invité qui, malgré son jeune âge, fait preuve d'une maturité plutôt bluffante et sait où il va. On le suit ? Bonne écoute. > Retrouvez tous nos épisodes sur SoundCloud, Spotify, Apple Podcasts, Google Podcasts, YouTube et Deezer Faites un don unique ou mensuel à Impact Zone - projet 100% bénévole - via fr.tipeee.com/impactzonesurfpodcast pour contribuer à la production du podcast. Merci pour votre fidélité, vos retours et vos partages. A très vite Romain, Rémi & Fredo.
À 35 ans, le surfeur Français Joan Duru va représenter la France lors des Jeux Olympiques sur la vague mythique de Teahupoo, à Tahiti. De passage en Australie pour deux compétitions, à Gold Coast puis North Narrabeen (Sydney) entre avril et mai, le Landais s'est confié à SBS French avant de repartir en France. Il fait le point sur sa préparation, ses objectifs, et ses sensations dans la dernière ligne droite avant "la compétition de sa carrière".
Le gigot d'agneau, c'est un peu comme le Beaujolais nouveau, il revient en force tous les ans à la même période. En l'occurrence quelques jours avant Pâques. Parce que le mois de mars est le mois du débarquement des agneaux néo-zélandais. Du lundi au jeudi, Olivier Dauvers vous dévoile les secrets des produits et des marques que vous achetez tous les jours. Bons plans, anecdotes insolites... Ecoutez Ça peut vous arriver du 19 mars 2024 avec Olivier Dauvers.
durée : 00:02:28 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - On a appris hier que le püteketeke, un oiseau aquatique endémique de Nouvelle-Zélande, avait été élu "oiseau du siècle" grâce à une campagne mondiale du comique et présentateur John Oliver.
durée : 00:02:28 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - On a appris hier que le püteketeke, un oiseau aquatique endémique de Nouvelle-Zélande, avait été élu "oiseau du siècle" grâce à une campagne mondiale du comique et présentateur John Oliver.
durée : 00:05:38 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Un mois après les attaques terroristes du Hamas contre Israël, qui ont tué 1 400 personnes, focus sur les victimes thaïlandaises, l'une des nationalités étrangères les plus touchées le 7 octobre. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou refuse un cessez-le-feu "sans libération des otages".