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Emma reçoit Valentin Merz pour Unboxing au Spoutnik: projections, discussions et programmations. The post Unboxing au Spoutnik : l'univers de Valentin Merz first appeared on Radio Vostok.
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Dans la course à l'espace, les américains avaient pris un faux départ, laissant les soviétiques réaliser les grandes premières avec Spoutnik, Gagarine, Léonov... Mais ce temps est révolu, place à la grande réussite du programme Apollo avec la Lune en point de mire.
Imaginez une ville où tous les véhicules circuleraient sans feux verts ni feux rouges. Imaginez qu'en plus, des milliers de projectiles volants seraient lancés entre tous ces véhicules. C'est pourtant ce qui arrive au-dessus de nos têtes. L'espace est aujourd'hui habité de satellites militaires, commerciaux et civils. Le problème, c'est qu'en vol, ces satellites ne peuvent pas s'arrêter ni toujours se désintégrer. Romain Lucken, ingénieur français, a créé Aldoria pour prévenir les accidents. RFI : Pour commencer, quand on parle du spatial ou de territoire spatial, c'est à quelle hauteur au-dessus de nos têtes terriennes ? Romain Lucken : Assez vite ! Au-delà de 80 kilomètres, on passe la ligne de Van Karman (reconnue à 100 kilomètres par la Fédération aéronautique internationale comme la frontière officielle entre la Terre et l'espace). On commence donc à être dans l'espace au-delà de 100 kilomètres.Les satellites que votre entreprise Aldoria observent depuis la Terre grâce à vos télescopes géants, circulent à quelle hauteur ? Jusqu'à 2 000 kilomètres, on considère les orbites de la Terre – trajectoires autour d'une planète – comme des orbites basses. Ensuite, les orbites Léo, comprises entre 2 000 kilomètres et 36 000 kilomètres, sont les orbites des récepteurs GNSS pouvant recevoir les satellites de navigation de tous les réseaux (de 24 à 30 satellites par réseau).Quelle est la différence entre GPS et GNSS ?Les récepteurs GPS que nous connaissons sont situés entre 20 000 à 25 000 kilomètres. Ensuite, l'orbite géostationnaire se situe à 36 000 kilomètres de la Terre. C'est la route droite et la plus haute. La trajectoire est directe, à l'exacte verticale de l'équateur. De là, les instruments peuvent observer près d'un tiers de la Terre. Pour finir, au-delà des 36 000 kilomètres, on considère que ce ne sont plus les orbites terrestres, c'est l'espace. Aldoria, votre entreprise, est spécialisée dans les débris, ces déchets de l'espace laissés par les satellites. Pourquoi avoir développé ce secteur ? Parce qu'il y a urgence ! Aujourd'hui, avec l'envoi de toujours plus de satellites, l'espace est devenu un territoire encombré de déchets, de résidus de l'activité humaine. Des milliers de satellites ont été envoyés depuis les années 1950. Le problème, c'est que les envois de satellites continuent, avec des satellites qui laissent des morceaux en l'air capables de rester pour l'éternité.Alors ça, c'est incroyable ! Je croyais que les satellites se désintégraient, qu'ils retombaient sur Terre ou dans la mer. Vous dites qu'ils ne se désagrègent pas automatiquement ? Normalement, oui ! En orbite basse, jusqu'à 2 000 kilomètres, les satellites doivent se désorbiter. Les entreprises qui les envoient doivent laisser assez de carburant pour qu'à la fin de leur mission, ils quittent l'orbite pour rentrer dans l'atmosphère terrestre. Deux solutions sont possibles : soit ils se désintègrent dans l'atmosphère, soit ils retombent dans l'océan. Mais ces satellites sont arrivés en fusée et il y a des accidents, des collisions, des explosions en vol qui ont laissé des débris. Donc il reste encore des milliers de petits bouts, parfois de moins de 10 centimètres, dans l'espace.Pourquoi ces débris sont-ils dangereux ? Parce qu'ils sont lancés à une vitesse ultra-rapide, dix fois la vitesse d'une balle de fusil ! Ce sont de véritables petits canons capables d'endommager les outils, de détruire les instruments et de les faire varier de trajectoire. Imaginez une route avec des milliers d'objets entre lesquels les voitures devraient circuler ! Parmi ces objets volants, on trouve aussi bien des morceaux de satellites que de leur support de base, les fusées. Vous êtes en train de nous dire qu'avec le nombre grandissant de satellites envoyés dans l'espace, ces routes n'ont ni feux rouges, ni feux verts, aucune loi de circulation !Mais c'est impossible de freiner ces engins ! Puisqu'en orbite, lorsqu'ils suivent leur trajectoire, les satellites comme les débris d'appareils ne s'arrêtent pas. C'est la même chose pour tous, de l'objet le plus volumineux au plus petit.À quelle vitesse circulent les satellites en orbite basse ? Environ 8 kilomètres par seconde. L'accident le plus spectaculaire a été celui de 2009 entre deux grands satellites, Iridium-33 et Kosmos-2251. Le premier satellite commercial était américain, l'autre russe. Cet accident a provoqué une pollution spatiale à 800 kilomètres de hauteur, des nuages de 300 000 débris. Ces satellites – environ 10 000 – sont de toutes les tailles ? Oui. Les plus petits ne mesurent pas plus que deux smartphones collés. Le premier satellite russe en orbite, Spoutnik, en aluminium, n'était pas plus gros qu'un ballon de basket. Et ça va jusqu'aux satellites de la taille de bus. Ce sont ces satellites de communication que l'on voit beaucoup avec d'énormes ailes métalliques.Ces satellites observent l'espace. Pour quels usages, quels secteurs ? Industriel ou militaire ?Les deux. Les pays possèdent des satellites militaires de surveillance, de communication et de calcul. Dans le domaine civil et commercial, il y a des sociétés de finances pour la Bourse et les grandes entreprises qui observent les flux, transports marchands et humains. Il y a également beaucoup d'entreprises de transports, avec les satellites de systèmes de localisation. L'observation de la mer permet de voir les bateaux pour établir les meilleures routes, observer les données météo et les chargements. Le secteur agricole emploie beaucoup de satellites de surveillance des parcelles de champs avec, là aussi, les calculs des paramètres : échappées de méthane, qualité des terrains...Vous êtes, Romain Lucken, une sorte de surveillant des surveillants. Avec la prolifération des envois de satellites commerciaux et militaires, vos télescopes d'observation de l'espace ont de l'avenir...Il reste un énorme travail pour sécuriser l'espace, notamment dans l'observation, la détection et la prévention du danger de ces petits objets, les débris de l'espace.Des moyens pour chasser ces déchets encombrants ont été inventés ? On parle de lasers… Oui, il s'agit de gros lasers de boussoles pour repousser les objets de leur trajectoire. Mais leur énergie est limitée. On appelle ce moyen de poussée l'ablation locale, avec des impulsions très courtes, ou la pression de radiation.À lire aussiDébris tombés de l'espace: décharge à ciel ouvert et «épée de Damoclès»
durée : 00:13:03 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - L'arrivée du robot conversationnel chinois “DeepSeek-R1”, le 27 janvier dernier, a été qualifiée de “moment Spoutnik” par de nombreux commentateurs, en référence au premier satellite à avoir été mis en orbite autour la Terre par l'Union soviétique en 1957. - réalisation : Félicie Faugère - invités : David Baverez Investisseur, installé depuis 2012 à Hong Kong
durée : 00:06:37 - La tech la première - L'arrivée tonitruante de Deepseek, cette IA chinoise aux performances remarquables, a-t-elle vraiment engendré "un moment Spoutnik" chez les géants de la tech ? Et où se situe vraiment la Chine en matière d'IA ?
Tariq Krim voit DeepSeek comme un "moment Spoutnik" de l'IA, où la Chine prouve qu'une IA puissante peut être développée à moindre coût. Ce modèle frugal bouleverse les Big Tech et ouvre des opportunités pour l'Europe, tout en forçant OpenAI et Musk à revoir leurs stratégies.
Il y a encore quelques jours, hormis certains initiés, personne ne connaissait DeepSeek, une petite start-up chinoise spécialisée dans l'intelligence artificielle.Et puis hier, coup de tonnerre sur les marchés internationaux… « Les valeurs technologiques ont chuté », s'exclame le New York Times. Moins 17 % pour Nvidia, un peu plus de 2 % pour Meta… Au total, plus de 500 milliards de dollars de valorisation boursière perdus en une seule journée… « Les entreprises géantes de la tech sont désormais confrontées à bien des questions sur leur avenir, pointe le journal. Leurs dirigeants ont fait part de leurs craintes sur les réseaux sociaux. Et tout cela, constate le New York Times, à cause de cette start-up chinoise d'intelligence artificielle DeepSeek. »Alors, pourquoi ? Comment ? Le quotidien new-yorkais consacre un très long article à DeepSeek. Pour résumer, cette start-up chinoise vient de présenter une nouvelle intelligence artificielle qui fait aussi bien, voire mieux, que ses concurrents, notamment américains, mais surtout avec moins de moyens financiers. Résultat : le modèle économique et la compétitivité des entreprises de la tech sont remises en question…L'effet Spoutnik…Le Wall Street Journal résume la situation : « DeepSeek fait flipper les “big Tech“ et Wall Street… »En effet, précise le quotidien financier américain, « DeepSeek a besoin de beaucoup moins de puces pour fonctionner que d'autres modèles d'intelligence artificielle avancés, et son développement n'a coûté que 5,6 millions de dollars. Alors que d'autres modèles avancés ont coûté au minimum environ 1 milliard de dollars. (…) DeepSeek remet donc en question les hypothèses sur la puissance de calcul et les dépenses nécessaires aux progrès de l'IA. »LeTimes à Londres reprend l'expression d'un conseiller de Donald Trump qui parle de DeepSeek comme d'un Spoutnik. Du nom du premier satellite lancé par les Russes dans les années 60 et qui avait pris de court les scientifiques et les politiques américains…Pour Le Monde à Paris, « DeepSeek risque de secouer les leaders du marché, pour deux raisons : ses modèles sont “ouverts“, c'est-à-dire accessibles gratuitement et modifiables par les développeurs (même si les données restent opaques) (…). Et DeepSeek est un acteur chinois. Certains, pointe Le Monde, affirment que Trump pourrait se rendre compte que renforcer les sanctions contre la Chine la pousse à innover plus rapidement et donc “relâcher“ ces restrictions. D'autres craignent au contraire que le président américain limite la diffusion des modèles ouverts… et renforce les limites à l'export. »Est de la RDC : la communauté internationale impuissante…A la Une également, la guerre dans l'est de la RDC…« Le destin suspendu de Goma mobilise la communauté internationale », titre Libération à Paris. « Les rebelles sont entrés dans la ville, hier, constate le journal, suscitant une cascade de réactions surtout hostiles à leur soutien rwandais. L'offensive est aussi le résultat de l'échec de tout dialogue entre les belligérants. » En effet, s'interroge Libération « de quels leviers disposent les diplomates pour faire pression et faciliter une reprise du dialogue ? Le 15 décembre, la dernière tentative de médiation, parrainée par l'Angola, s'était soldée par un échec. L'arrivée au pouvoir de Donald Trump, qui avait qualifié les pays africains de “trous à merde“ lors de son premier mandat, affaiblit également la pression internationale. Et a même peut-être joué un rôle dans la décision des rebelles de déclencher cette offensive, inédite depuis 2012. »Que cherche le Rwanda ?« Que cherche le Rwanda dans le conflit à l'est de la RD Congo ? » Réponse du chercheur Erik Kennes à lire dans le quotidien belge Le Soir : « les raisons économiques sont importantes – la dette du Rwanda a augmenté de 2 % et l'exploitation des richesses congolaises pourrait la résorber en partie –, mais elles ne sont pas suffisantes pour expliquer à elles seules cette guerre, affirme Erik Kennes. Il y a des facteurs sécuritaires, mais aussi politiques. Beaucoup d'éléments portent à croire – le dernier rapport des experts de l'ONU va dans ce sens – que l'objectif du Rwanda est une mise sous contrôle de l'est du Congo. » Une visée clairement expansionniste donc pour le Rwanda, 90 fois plus petit que la RDC…Et puis autre hypothèse, toujours d'après le chercheur belge : « Paul Kagamé chercherait à occuper son armée, à éloigner les militaires de Kigali en les envoyant au Congo se faire un peu d'argent. Car le danger pour le président ne vient pas des politiciens, mais des militaires. »
Aujourd'hui, je vais vous parler d'un des plus vieux rêve de l'humanité... Celui de l'immensité, des étoiles, de l'exploration des galaxies les plus lointaines. Bref, la conquête de l'espace ! On le sait, le projet d'un tourisme dans l'espace se dessine de plus en plus... Est-ce que ça va vraiment devenir réalité ? On se penche un peu sur le sujet ! Depuis les premières observations des étoiles, l'humanité a toujours été fascinée par l'immensité du cosmos, c'est une certitude. Les rêves d'exploration spatiale, autrefois confinés aux pages des romans de science-fiction, sont devenus une réalité tangible au cours du siècle dernier. Parce que oui, l'histoire de la conquête spatiale commence vraiment au milieu du 20e siècle. Ça se passe pendant la " course à l'espace " entre les Etats-Unis et l'Union soviétique. En 1957, le lancement du satellite Spoutnik 1 par les soviétiques marque vraiment le début de l'ère spatiale. Pour la première fois, un objet fabriqué par l'homme orbite autour de la Terre, et ça, ça captive totalement l'imagination du monde entier... ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry Assistante de production : Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Palmarès !, parce que le cinéma s'écoute aussi en podcast ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry & Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Gossip Love, sur la vie amoureuse des stars
Aujourd'hui, je vais vous parler d'un des plus vieux rêve de l'humanité... Celui de l'immensité, des étoiles, de l'exploration des galaxies les plus lointaines. Bref, la conquête de l'espace ! On le sait, le projet d'un tourisme dans l'espace se dessine de plus en plus... Est-ce que ça va vraiment devenir réalité ? On se penche un peu sur le sujet ! Depuis les premières observations des étoiles, l'humanité a toujours été fascinée par l'immensité du cosmos, c'est une certitude. Les rêves d'exploration spatiale, autrefois confinés aux pages des romans de science-fiction, sont devenus une réalité tangible au cours du siècle dernier. Parce que oui, l'histoire de la conquête spatiale commence vraiment au milieu du 20e siècle. Ça se passe pendant la " course à l'espace " entre les Etats-Unis et l'Union soviétique. En 1957, le lancement du satellite Spoutnik 1 par les soviétiques marque vraiment le début de l'ère spatiale. Pour la première fois, un objet fabriqué par l'homme orbite autour de la Terre, et ça, ça captive totalement l'imagination du monde entier... ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry Assistante de production : Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Palmarès !, parce que le cinéma s'écoute aussi en podcast ______ Briller en société est un podcast original NRJ, à retrouver sur toutes les plateformes d'écoute et sur le site et l'application NRJ.fr Texte : Daphné Breytenbach Voix et mix : Louis Daubé Rédaction en chef : Sarah Conan & Anaïs Koopman Production : Anne-Cécile Kirry & Marie Carette ______ Et découvrez les autres podcast produits par NRJ : - Le podcast Destin, sur les incroyables histoires de vie - Le podcast Inspirés, pour découvrir les coulisses de vos chansons préférées - Le podcast Gossip Love, sur la vie amoureuse des stars
un ficson ?de Bibouavec l'aimable participation du Docteur Zaïus ,de patrick ,de Sandrine ,de Thomas Pesquet (Tm)et de Danytoute ressemblance ...oh et puis merde !de toute façon on a jamais marché sur Mars ,c'est un complot .crédits musicaux : oui bien sûr il y en aApollo 13 soundtrack2001 soundtrack"Space Odity orchestra"Mars Attack sountrackAlien Isolation ambiant Vidéo GameDaniel Bélanger - Spoutnik
Spoutnik en 1957, c'est le premier satellite placé dans l'espace avec succès par l'humanité. Mais on n'a pas attendu la stimulation du génie spatial de la Guerre froide pour rêver de l'espace, de ces étoiles et de ses planètes lointaines que l'on découvrait petit à petit avec les progrès de l'astronomie. Elsa de Smet est l'autrice d'un ouvrage qui explore justement ces premières images de l'espace produites par l'humanité bien avant qu'elle ne touche du doigt ou de la botte d'astronaute le sol extraterrestre.
un ficson ?de Bibouavec l'aimable participation du Docteur Zaïus ,de patrick ,de Sandrine ,de Thomas Pesquet (Tm)et de Danytoute ressemblance ...oh et puis merde !de toute façon on a jamais marché sur Mars ,c'est un complot .crédits musicaux : oui bien sûr il y en aApollo 13 soundtrack2001 soundtrack"Space Odity orchestra"Mars Attack sountrackAlien Isolation ambiant Vidéo GameDaniel Bélanger - Spoutnik
un ficson ?de Bibouavec l'aimable participation du Docteur Zaïus ,de patrick ,de Sandrine ,de Thomas Pesquet (Tm)et de Danytoute ressemblance ...oh et puis merde !de toute façon on a jamais marché sur Mars ,c'est un complot .crédits musicaux : oui bien sûr il y en aApollo 13 soundtrack2001 soundtrack"Space Odity orchestra"Mars Attack sountrackAlien Isolation ambiant Vidéo GameDaniel Bélanger - Spoutnik
durée : 00:22:49 - Disques de légende du mercredi 30 octobre 2024 - Dans une perspective d'opposition entre les deux grandes suprématies, les Etats-Unis et la Russie soviétique, le pianiste américain Van Cliburn remporte le premier concours Tchaïkovski, à Moscou en 1958, quelques semaines après le lancement du Spoutnik...
durée : 00:22:49 - Disques de légende du mercredi 30 octobre 2024 - Dans une perspective d'opposition entre les deux grandes suprématies, les Etats-Unis et la Russie soviétique, le pianiste américain Van Cliburn remporte le premier concours Tchaïkovski, à Moscou en 1958, quelques semaines après le lancement du Spoutnik...
Aujourd'hui, nous remontons le temps jusqu'en 1957, une année cruciale dans l'histoire de l'exploration spatiale. Le 4 octobre de cette année, l'Union soviétique annonce le lancement réussi de Spoutnik, le tout premier satellite artificiel à orbiter autour de la Terre.Cet événement historique marque le début de la course à l'espace entre l'URSS et les États-Unis, deux superpuissances en pleine Guerre Froide. Spoutnik, une simple boule métallique de 80 kilos, émet un signal radio détecté dans le monde entier, provoquant la stupéfaction et l'inquiétude chez les Américains, qui réalisent leur retard technologique dans ce domaine.Nous suivrons les réactions de l'époque, à la fois amusées et alarmées, face à cette prouesse soviétique. Nous évoquerons également les efforts frénétiques entrepris par les États-Unis pour rattraper leur retard et se hisser au niveau de leur rival, dans une course effrénée vers la conquête de l'espace.Cet épisode nous plongera dans l'atmosphère électrique de cette période charnière, où la maîtrise de l'espace devient un enjeu de prestige et de puissance pour les deux blocs opposés.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans ce nouvel épisode hilarant (source : nous), nous jouons à des jeux littéraires pour s'évader de l'enfer capitaliste en cette rentrée difficile. La newsletter d'Enzo : https://enzowrites.substack.com/ La chaine YouTube de Luna : https://youtube.com/@typ_chic?si=_NGucS0Ch7qqCAF0 Livres mentionnés : Babel, R.F. Kuang Yours truly, Abby Jimenez Yellowface, R.F. Kuang L'amie prodigieuse, Elena Ferrante Mon année de détente et de relaxation, Otessa Moshfegh Jamais plus, Colleen Hoover Numéro deux, David Foenkinos Trouve-moi, André Aciman Klara et le soleil, Kazuo Ishiguro Kafka sur le rivage, Haruki Murakami L'invitée, Emma Cline Mémoire d'un chat, Hiro Arikawa Ce que le jour doit à la nuit, Yasmina Khadra 100 ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez Impossible adieux, Han Kang Le parfum, Patrick Suskind Kim Jiyoung, née en 1982, Cho Namjoo Un psaume pour les recyclés sauvage, Becky Chambers Orgueil et préjugés, Jane Austen L'île aux arbres disparusn Elif Shafak The secret history, Donna Tart If we were vilains, M.L. Rio Lou !, Julien Neel Blackwater, Michael Mcdowell Les amants de Spoutnik, Haruki Murakami All the young dudes, MSKingBean89 Pachinko, Min Jin Lee Girls can kiss now, Jill Gutowitz How to write an autobiographical novel, Alexander Chee Mistborn, Brandon Sanderson Blue sisters, Coco Mellors
durée : 00:04:56 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Le "coeur" du Pluton ne fait pas référence au noyau de la planète mais une forme de cœur à sa surface. Une nouvelle étude révèle que leur formation de la plaine Spoutnik, le "ventricule" gauche, est la conséquence d'un impact d'un corps étranger qui a laissé un bout de lui sous la surface.
Réouverture du cinéma Spoutnik The post Le Spoutnik rouvre ses portes first appeared on Radio Vostok.
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L'influence de Moscou sur le continent s'intensifie, que ce soit sur le plan diplomatique, militaire, ou encore économique. En effet, constate Le Point Afrique, « la Russie continue de s'implanter doucement, mais sûrement, en terre africaine, comme c'est le cas au Sahel où les pays occidentaux sont de manière croissante invités à plier bagage. Ainsi, après avoir tissé des liens étroits avec la junte militaire dirigée par le colonel Assimi Goïta au Mali, Moscou vient de se rapprocher du pays des Hommes intègres, le Burkina Faso, en y mettant officiellement pied par l'ouverture successive d'une ambassade après plus de 31 ans d'absence et d'une base militaire qui devrait compter 300 militaires à Loumbila, à une vingtaine de kilomètres au nord-est de la capitale burkinabè, Ouagadougou. Une présence russe qui pourrait prochainement s'étendre au Niger qui lui ouvre déjà les bras, relève encore Le Point Afrique, ainsi que potentiellement au Tchad, "dernier allié occidental de la région", où le président de la transition, Mahamat Idriss Déby Itno, a effectué une visite officielle en Russie le 23 janvier dernier. »Rapprochements tous azimutsEn effet, complète Jeune Afrique, Vladimir Poutine, « le maître du Kremlin a su, en seulement quelques années, repositionner son pays au cœur de la scène politique africaine. Parrain des régimes en place à Bamako, Ouagadougou ou Bangui, en cours de rapprochement avec les putschistes de Niamey, Moscou a poussé la France à la faute, puis vers la sortie de certains pays de son ancien pré carré. Propagande et diplomatie souverainistes et anti-occidentales, soutien multiforme à des sociétés civiles et oppositions frondeuses, mise à disposition du groupe Wagner et de son réseau… La Russie a su déployer sur le continent une stratégie tentaculaire, pointe encore Jeune Afrique, laquelle n'a pas été mise à mal par la guerre en Ukraine, qui symbolise aujourd'hui son combat contre l'Occident ».Une base russe en RCA ?En République centrafricaine, tête de pont de l'implantation de Moscou sur le continent, un projet de base pour l'armée russe a été lancé. Ce serait « une première », relève Le Figaro à Paris. Pour l'instant, ce projet n'en est qu'au stade des discussions. Mais d'après le quotidien français, cette base militaire russe pourrait s'implanter « à Berengo à environ 80 km de Bangui », sur les lieux « d'un ancien palais de Bokassa ». 10 000 militaires pourraient y stationner. Récemment, rapporte encore Le Figaro, Fidel Ngouandika, conseiller du président centrafricain, s'est « montré très enthousiaste : "nous sommes engagés à 1 000% envers la Russie et nous pensons que la Russie doit rester avec nous", rappelant que "le but de la présence militaire russe en RCA est de former les soldats". »Des médias sous influenceL'influence russe sur le continent passe aussi par les médias. Exemple au Mali, où l'agence de presse Spoutnik est de plus en plus présente. Sur le site d'information malien Malijet, on trouve ainsi des articles relayant la thèse de Moscou sur l'implication de l'Ukraine dans le récent attentat qui a frappé la capitale russe. Ou encore sur le site Maliweb, cet article relayant les propos de Rouslan Stroganov, représentant de la délégation russe lors de la 55e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève. Le diplomate russe qui estime que « les dirigeants maliens ont besoin d'un soutien constructif à plusieurs niveaux de la part de la communauté internationale plutôt que de la pression politique que les pays occidentaux tentent d'exercer, notamment en recourant aux mécanismes internationaux des droits de l'homme ».Qui veut une centrale nucléaire ?Enfin, la Russie accroît également sa présence en Afrique par le biais économique avec notamment plusieurs projets d'implantation de centrales nucléaires. Dernier pays en date à vouloir se doter d'une centrale en partenariat avec Moscou : le Burkina Faso. Les deux pays sont sur le point « de signer une feuille de route pour construire un réacteur nucléaire », croit savoir le site d'information Afrikmag.Afrikmag qui rapporte également que des pourparlers dans le même sens seraient en cours avec le Mali, le Zimbabwe, le Burundi, le Nigeria ou encore la Tanzanie. Au Rwanda, un accord pour la construction d'une centrale a été conclu en 2019. Et en Égypte, les travaux sur la quatrième tranche de la centrale nucléaire de Dabaa ont débuté en janvier dernier.
L'influence de Moscou sur le continent s'intensifie, que ce soit sur le plan diplomatique, militaire, ou encore économique. En effet, constate Le Point Afrique, « la Russie continue de s'implanter doucement, mais sûrement, en terre africaine, comme c'est le cas au Sahel où les pays occidentaux sont de manière croissante invités à plier bagage. Ainsi, après avoir tissé des liens étroits avec la junte militaire dirigée par le colonel Assimi Goïta au Mali, Moscou vient de se rapprocher du pays des Hommes intègres, le Burkina Faso, en y mettant officiellement pied par l'ouverture successive d'une ambassade après plus de 31 ans d'absence et d'une base militaire qui devrait compter 300 militaires à Loumbila, à une vingtaine de kilomètres au nord-est de la capitale burkinabè, Ouagadougou. Une présence russe qui pourrait prochainement s'étendre au Niger qui lui ouvre déjà les bras, relève encore Le Point Afrique, ainsi que potentiellement au Tchad, "dernier allié occidental de la région", où le président de la transition, Mahamat Idriss Déby Itno, a effectué une visite officielle en Russie le 23 janvier dernier. »Rapprochements tous azimutsEn effet, complète Jeune Afrique, Vladimir Poutine, « le maître du Kremlin a su, en seulement quelques années, repositionner son pays au cœur de la scène politique africaine. Parrain des régimes en place à Bamako, Ouagadougou ou Bangui, en cours de rapprochement avec les putschistes de Niamey, Moscou a poussé la France à la faute, puis vers la sortie de certains pays de son ancien pré carré. Propagande et diplomatie souverainistes et anti-occidentales, soutien multiforme à des sociétés civiles et oppositions frondeuses, mise à disposition du groupe Wagner et de son réseau… La Russie a su déployer sur le continent une stratégie tentaculaire, pointe encore Jeune Afrique, laquelle n'a pas été mise à mal par la guerre en Ukraine, qui symbolise aujourd'hui son combat contre l'Occident ».Une base russe en RCA ?En République centrafricaine, tête de pont de l'implantation de Moscou sur le continent, un projet de base pour l'armée russe a été lancé. Ce serait « une première », relève Le Figaro à Paris. Pour l'instant, ce projet n'en est qu'au stade des discussions. Mais d'après le quotidien français, cette base militaire russe pourrait s'implanter « à Berengo à environ 80 km de Bangui », sur les lieux « d'un ancien palais de Bokassa ». 10 000 militaires pourraient y stationner. Récemment, rapporte encore Le Figaro, Fidel Ngouandika, conseiller du président centrafricain, s'est « montré très enthousiaste : "nous sommes engagés à 1 000% envers la Russie et nous pensons que la Russie doit rester avec nous", rappelant que "le but de la présence militaire russe en RCA est de former les soldats". »Des médias sous influenceL'influence russe sur le continent passe aussi par les médias. Exemple au Mali, où l'agence de presse Spoutnik est de plus en plus présente. Sur le site d'information malien Malijet, on trouve ainsi des articles relayant la thèse de Moscou sur l'implication de l'Ukraine dans le récent attentat qui a frappé la capitale russe. Ou encore sur le site Maliweb, cet article relayant les propos de Rouslan Stroganov, représentant de la délégation russe lors de la 55e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève. Le diplomate russe qui estime que « les dirigeants maliens ont besoin d'un soutien constructif à plusieurs niveaux de la part de la communauté internationale plutôt que de la pression politique que les pays occidentaux tentent d'exercer, notamment en recourant aux mécanismes internationaux des droits de l'homme ».Qui veut une centrale nucléaire ?Enfin, la Russie accroît également sa présence en Afrique par le biais économique avec notamment plusieurs projets d'implantation de centrales nucléaires. Dernier pays en date à vouloir se doter d'une centrale en partenariat avec Moscou : le Burkina Faso. Les deux pays sont sur le point « de signer une feuille de route pour construire un réacteur nucléaire », croit savoir le site d'information Afrikmag.Afrikmag qui rapporte également que des pourparlers dans le même sens seraient en cours avec le Mali, le Zimbabwe, le Burundi, le Nigeria ou encore la Tanzanie. Au Rwanda, un accord pour la construction d'une centrale a été conclu en 2019. Et en Égypte, les travaux sur la quatrième tranche de la centrale nucléaire de Dabaa ont débuté en janvier dernier.
Spoutnik en 1957, c'est le premier satellite placé dans l'espace avec succès par l'humanité. Mais on n'a pas attendu la stimulation du génie spatial de la Guerre froide pour rêver de l'espace, de ces étoiles et de ses planètes lointaines que l'on découvrait petit à petit avec les progrès de l'astronomie. Elsa de Smet est l'autrice d'un ouvrage qui explore justement ces premières images de l'espace produites par l'humanité bien avant qu'elle ne touche du doigt ou de la botte d'astronaute le sol extraterrestre.
Le Parlement russe a adopté mercredi 24 janvier une résolution dénonçant la présence de « mercenaires français » en Ukraine. Ce vote de la Douma fait suite à l'annonce par la Russie d'un bombardement sur Kharkiv qui aurait tué, selon le Kremlin, des dizaines de combattants français dans la nuit de mardi à mercredi 17 janvier. En réalité, la mort annoncée de ces Français en Ukraine s'inscrit dans une vaste attaque informationnelle. Tout commence le mercredi 17 janvier lorsque le ministère russe de la Défense affirme avoir frappé un immeuble de Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine, utilisé comme « zone de déploiement temporaire par des mercenaires, dont la plupart étaient des citoyens français ». Moscou évoque alors l'élimination de 60 combattants et 20 blessés. L'ambassadeur de France en Russie, Pierre Lévy, est convoqué dans la foulée par le ministère russe des Affaires étrangères. De son côté, Paris dément formellement l'information.Quelques jours plus tard, les identités de plusieurs combattants français, présentés comme des mercenaires et qui auraient été tués à Kharkiv, apparaissent sur une chaîne Telegram russophone. Plusieurs listes circulent, dont certaines sont déjà apparues en ligne en 2022. La plus populaire comporte 13 noms, d'hommes âgés entre 24 et 49 ans. Plusieurs médias russes de premier plan, Spoutnik, RT, Ria Novosti, la relaient, en guise de preuve de l'élimination de combattants français. Sur les réseaux sociaux, des comptes identifiés comme des vecteurs habituels de la propagande pro-russe, participent eux aussi à donner de la visibilité à cette liste.Pour savoir ce qu'il s'est réellement passé, la cellule Info Vérif de RFI est entrée en contact avec plusieurs membres de cette liste. Deux d'entre eux ont accepté de témoigner. C'est le cas d'Alexis Drion, deuxième nom sur la liste. Pako, de son nom de code, est parti en Ukraine en avril 2023 pour intégrer la compagnie Charly dans le 2e bataillon de la Légion internationale ukrainienne. Son groupe a été déployé sur le front est, dans la région de Donetsk, plus exactement dans la région de Liman et Yampil. « Le 17 janvier 2024, j'étais bien dans les Pays de la Loire, en France, je ne suis pas mort, je suis bien vivant. Tout va très bien pour moi. Tout le mois de septembre, je ne suis pas reparti en Ukraine. Selon les informations que j'ai eues, aucun Français n'a été ni blessé ni touché par ces frappes. C'est une propagande russe juste pour faire peur ou pour chercher à mettre la France dans le conflit. » Un autre nom figure sur cette liste, celui de Béranger Minaud. Il est, lui aussi, donné pour mort par la propagande russe. « Je confirme complètement que je n'y étais pas (le jour du bombardement sur Kharkiv, NDLR) tout simplement parce que je suis rentré en France depuis quelques mois. Il y en a d'autres qui sont sur cette liste que je ne connais pas directement, mais avec qui je communique et qui sont bel et bien en vie et qui n'y étaient pas non plus. » Tous les combattants français en Ukraine le répètent, il n'y a aucune preuve que des Français ont été tués ce jour-là. Volontaires et pas mercenairesContrairement à ce qu'affirme Moscou, les combattants français en Ukraine ne sont pas des mercenaires mais des volontaires. La distinction est fixée par les Conventions de Genève. Le texte précise qu'un mercenaire est un individu engagé dans les combats mais « qui n'est pas membre des forces armées d'une partie au conflit ». Or la Légion internationale ukrainienne, où s'engagent les volontaires du monde entier, est une branche de l'armée régulière. Légalement, rien ne distingue Béranger Minaud d'un militaire ukrainien. « On a exactement les mêmes statuts, les mêmes avantages et les mêmes inconvénients. Le seul avantage qu'on puisse avoir par rapport à un soldat ukrainien, c'est le fait que l'on puisse rompre notre contrat si on le désire. On combat sous l'uniforme ukrainien avec un contrat ukrainien, une carte d'identité militaire ukrainienne et un numéro fiscal ukrainien. On n'est pas comme Wagner pouvait l'être à l'époque d'Evgueni Prigojine où c'était une entreprise privée qui agissait au compte d'un État. » L'un des autres critères qui définit un mercenaire, c'est « qu'il prend part aux hostilités essentiellement en vue d'obtenir (...) une rémunération matérielle nettement supérieure à celle qui est promise ou payée à des combattants ayant un rang et une fonction analogues dans les forces armées de cette partie ». Ce qui n'est pas le cas des volontaires de la Légion internationale qui touchent exactement le même salaire que les soldats ukrainiens, décrit Alexis Drion. « La Légion quand on est sur base, on était payés 20 000 hryvnia, soit entre 390 et 500 euros, nourris et logés. En déploiement, c'est en fonction de la zone où vous allez atterrir et de là où vous dormez. Les primes peuvent varier, mais généralement vous allez être entre 70 000 et 120 000 hryvnia, donc entre 2 000 et 3 000 euros. » Alexis Drion affirme que les volontaires ne s'engagent pas pour l'argent.« Pour vous dire, je suis rentré au mois de septembre, j'ai reçu la fin de mes salaires au mois de novembre. Et quand je dis enfin la fin de mes paiements, je n'ai pas été remboursé pour tout ce qui a été essence de ma poche, pneu réparé de ma poche pour aller en déploiement, essence, achats de matériel... Nous, ce qu'on dit, c'est que celui qui veut prendre l'argent, il a deux choix. Soit il va dans un club de militaires privés, soit il va dans l'équipe adverse qui est extrêmement bien payée. Moi, dans tous ceux que j'ai pu voir à la Légion internationale, tout le monde est là par idéologie, pour l'Europe. »Les Français minoritairesCette fausse liste montre la volonté de la Russie d'épingler la présence de combattants français côté ukrainien. Pourtant, les volontaires français se font plutôt rares sur le front, selon Alexis Drion. « Quand je suis arrivé au 2e bataillon, il y avait cinq Français. Ils étaient en déploiement dans le Nord et quand je suis revenu, ils ont coupé leur contrat pour certains, d'autres sont rentrés à la maison, et du coup, j'étais le seul Français pour ce déploiement-là. Des milliers de Français non. Des centaines peut-être, dispersés à droite, à gauche. Après, il y a beaucoup d'allers-retours. Il faut savoir qu'il y a les volontaires de la Légion, les volontaires intégrés dans la défense territoriale ukrainienne et d'autres dans des unités comme le GUR (unité de renseignement, NDLR) ou les troupes de marine. »Parmi les quelque 20 000 volontaires qui ont intégré la Légion internationale ukrainienne, « les Français sont largement minoritaires, confirme Béranger Minaud. Dans toute la compagnie, on devait être cinq Français. C'est peu. Il y a une grande proportion de Sud-Américains, d'Européens et de Nord-Américains. Les volontaires viennent de partout, de l'Australie au Japon. » À noter d'ailleurs que des citoyens français se sont aussi engagés côté russe.Le ton monte entre Paris et MoscouCette opération de désinformation russe intervient dans un moment critique des relations entre Paris et Moscou. Quelques heures avant que la Russie n'annonce, à tort, la mort de « mercenaires français », la France officialisait la livraison de 40 missiles Scalp à l'Ukraine. Un timing qui a donc des airs de représailles de la part du Kremlin. Ciblée par cette attaque informationnelle, Paris n'est pas resté sans réponse. « Face à l'intensification de l'aide militaire française à l'Ukraine, nous nous attendons à ce que cette manœuvre d'intoxication russe se poursuive : nous la condamnons et nous renforçons notre dispositif de suivi de ces manipulations », a communiqué le ministère français des Armées ce vendredi 26 janvier.
Elles avaient pris la poussière, planquées sous notre lit, ces bandes dessinées de notre adolescence, aux titres inoubliables… Quéquettes blues, L'autoroute du soleil, Les Années Spoutnik. Son auteur est un copain, d'emblée, sans le connaître. Comment ne pas trinquer avec le papa de Quéquettes blues ? (Rediffusion du 16/10/22) Il dit s'appeler Baru. Un loup blanc du festival d'Angoulême plusieurs fois primé. Pour sa génération toujours en perfecto, tendance sociologique I can't get no satisfaction, Baru ne peut être qu'un copain, parce qu'il est resté ce fils d'étrangers, fils d'ouvriers qui aujourd'hui, avec une tendresse rageuse, nous présente (attention Grand Oeuvre) la grande histoire de l'immigration italienne et la petite histoire de sa smala de Macaronis, comme il dit. C'est aux Éditions Futuropolis et ça s'appelle Bella Ciao.Les choix musicaux de Baru- The Who My Generation- Wilson Pickett The Land Of a Thousand Dances- The Beatles I Saw Her Standing There.
Elles avaient pris la poussière, planquées sous notre lit, ces bandes dessinées de notre adolescence, aux titres inoubliables… Quéquettes blues, L'autoroute du soleil, Les Années Spoutnik. Son auteur est un copain, d'emblée, sans le connaître. Comment ne pas trinquer avec le papa de Quéquettes blues ? (Rediffusion du 16/10/22) Il dit s'appeler Baru. Un loup blanc du festival d'Angoulême plusieurs fois primé. Pour sa génération toujours en perfecto, tendance sociologique I can't get no satisfaction, Baru ne peut être qu'un copain, parce qu'il est resté ce fils d'étrangers, fils d'ouvriers qui aujourd'hui, avec une tendresse rageuse, nous présente (attention Grand Oeuvre) la grande histoire de l'immigration italienne et la petite histoire de sa smala de Macaronis, comme il dit. C'est aux Éditions Futuropolis et ça s'appelle Bella Ciao.Les choix musicaux de Baru- The Who My Generation- Wilson Pickett The Land Of a Thousand Dances- The Beatles I Saw Her Standing There.
Fin de mandat pour les programmateurs du Spoutnik The post Le Spoutnik accueille la Semaine Asymétrique first appeared on Radio Vostok.
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Mot(s) de la veille: Louvoiement et batterie Combat insolite: radio Énergie comme anti-douleur Matineux du Boost avec Mélissa Cosmique et les ¨Gémeau¨ La P'tite Viau: Spéciaux de la semaine Bats le Boost: 50$ chez Spoutnik, Bravo à Mélanie Phaneuf Bubulle à Hughes: Journée mondiale du Heavy Métal, des groupes de différents pays Dans la tête de Cauchon, retour sur le match NY (I) vs Toronto Retour sur le budget avec Madame la Mairesse Stéphanie Lacoste + 3 Fréquences Pérusse Bonne écoute de Mélissa et Hughes
Focus sur les rencontres cinématographiques « Palestine, Filmer c'est Exister » qui se tiennent du 29 novembre au 3 décembre, au Spoutnik, au Groove et au Grütli à Genève. Cette année le festival est à sa 12eme édition dans un contexte de guerre entre Israël et le Hamas. Au moment où nous enregistrons cet entretien, nous étions au 46eme jour du conflit. Nous sommes avec Céline Brun, la coordonnatrice des rencontres cinématographiques « Palestine Filmer C'est Exister »
Dans Le jour où, tous les matins du lundi au vendredi, le passé éclaire le présent : grâce à ses archives, la rédaction d'Europe 1 fait le récit d'un événement relié à l'actualité.
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De sa naissance en 1957 à sa douce sonnerie qui accompagne l'équipe Heristoria, la pendule Zenith, surnommée la « petite Louis XVI », est une gardienne du temps. Elle vous invite dans cet épisode à un voyage à travers ses souvenirs éternels, depuis les échos de Spoutnik jusqu'aux douceurs du Morbihan. Tic-tac, n'attendez plus pour découvrir son histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'observatoire du droit d'asile et des étrangers ODAE a 15 ans. Une fête est prévue à cet effet demain mardi 12 septembre dès 18h, au cinéma Spoutnik. Sera projeté un film retraçant la dure réalité à laquelle se heurtent les personnes réfugiées en Suisse. Nous sommes en compagnie de Megane Lederrey, coordinatrice à l'ODAE Romand.
durée : 00:59:42 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1956, un an avant le lancement du premier Spoutnik, Alexandre Ananoff, grand promoteur de la conquête spatiale, raconte le voyage dans la Lune tel qu'on le concevait dans les années 50. Son ouvrage sur l'astronautique avait inspiré Hergé alors qu'il préparait "On a marché sur la Lune".
Depuis 1957 et le lancement de Spoutnik 1, premier satellite artificiel à atteindre l'espace, la conquête du cosmos représente l'un des plus grands défis technologiques pour l'être humain. Les astronautes qui s'aventurent en-dehors de l'atmosphère terrestre subissent des effets physiologiques complexes dus à l'absence de gravité, à la présence de radiations plus importantes et à l'isolement prolongé.La NASA, agence spatiale américaine mondialement connue, a réalisé moults études afin de mieux comprendre l'impact des voyages dans l'espace sur la santé des astronautes. Les résultats obtenus permettent de mieux comprendre les défis que pose une potentielle vie au-delà des frontières terrestres.La microgravité et son effet sur le corps humainL'anatomie humaine se plait le mieux dans un environnement gravitationnel, et c'est d'ailleurs pour cette raison que l'espèce humaine a pu proliférer sur Terre. En l'absence de gravité, plusieurs modifications physiologiques se produisent. La microgravité que connaissent les astronautes redistribue les fluides corporels d'une façon différente, par exemple, le volume sanguin va augmenter dans le haut du corps. Ce phénomène appelé syndrome de l'astronaute entraine des modifications majeures dans la structure de l'œil.D'après les examens IRM menés par la NASA sur les astronautes ayant connu un séjour dans l'espace, l'arrière du globe oculaire est susceptible de s'aplatir, et le fluide céphalo-rachidien qui entoure le nerf optique peut augmenter des suites d'un voyage en apesanteur. Ces symptômes évoquent l'hypertension intracrânienne, une augmentation de la pression à l'intérieur du crâne, qui déclenche de possibles problèmes de vue.D'autre part, les astronautes perdent également une partie de leur masse osseuse lorsqu'ils vivent dans l'espace. La NASA estime cette perte à environ 1,5% par mois. Le risque de fracture et d'ostéoporose est alors augmenté dans les semaines qui suivent le retour sur Terre, mais également à long terme si l'os ne récupère pas entièrement sa densité.Radiations et isolementL'European Space Agency relate l'exposition majorée aux radiations que connaissent les astronautes dans l'espace. Celle-ci peut notamment augmenter le risque de cancer ou d'autre maladie découlant des radiations comme les maladies cardio-vasculaires, digestives ou pulmonaires, et la leucémie.Les périodes d'isolement prolongé ne sont pas non plus sans danger pour les astronautes. Comme ont pu le constater la plupart des Français confinés pendant la pandémie de Covid-19, le confinement induit une majoration du stress, des troubles du sommeil et des modifications de l'humeur dont souffrent parfois les astronautes qui partent sur des missions de longue durée.Pour limiter les différentes conséquences d'un séjour dans l'espace sur la santé physique et mentale, les agences spatiales élaborent des exercices très ciblés afin de préparer l'organisme des astronautes aux contraintes qui les attendent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis 1957 et le lancement de Spoutnik 1, premier satellite artificiel à atteindre l'espace, la conquête du cosmos représente l'un des plus grands défis technologiques pour l'être humain. Les astronautes qui s'aventurent en-dehors de l'atmosphère terrestre subissent des effets physiologiques complexes dus à l'absence de gravité, à la présence de radiations plus importantes et à l'isolement prolongé. La NASA, agence spatiale américaine mondialement connue, a réalisé moults études afin de mieux comprendre l'impact des voyages dans l'espace sur la santé des astronautes. Les résultats obtenus permettent de mieux comprendre les défis que pose une potentielle vie au-delà des frontières terrestres. La microgravité et son effet sur le corps humain L'anatomie humaine se plait le mieux dans un environnement gravitationnel, et c'est d'ailleurs pour cette raison que l'espèce humaine a pu proliférer sur Terre. En l'absence de gravité, plusieurs modifications physiologiques se produisent. La microgravité que connaissent les astronautes redistribue les fluides corporels d'une façon différente, par exemple, le volume sanguin va augmenter dans le haut du corps. Ce phénomène appelé syndrome de l'astronaute entraine des modifications majeures dans la structure de l'œil. D'après les examens IRM menés par la NASA sur les astronautes ayant connu un séjour dans l'espace, l'arrière du globe oculaire est susceptible de s'aplatir, et le fluide céphalo-rachidien qui entoure le nerf optique peut augmenter des suites d'un voyage en apesanteur. Ces symptômes évoquent l'hypertension intracrânienne, une augmentation de la pression à l'intérieur du crâne, qui déclenche de possibles problèmes de vue. D'autre part, les astronautes perdent également une partie de leur masse osseuse lorsqu'ils vivent dans l'espace. La NASA estime cette perte à environ 1,5% par mois. Le risque de fracture et d'ostéoporose est alors augmenté dans les semaines qui suivent le retour sur Terre, mais également à long terme si l'os ne récupère pas entièrement sa densité. Radiations et isolement L'European Space Agency relate l'exposition majorée aux radiations que connaissent les astronautes dans l'espace. Celle-ci peut notamment augmenter le risque de cancer ou d'autre maladie découlant des radiations comme les maladies cardio-vasculaires, digestives ou pulmonaires, et la leucémie. Les périodes d'isolement prolongé ne sont pas non plus sans danger pour les astronautes. Comme ont pu le constater la plupart des Français confinés pendant la pandémie de Covid-19, le confinement induit une majoration du stress, des troubles du sommeil et des modifications de l'humeur dont souffrent parfois les astronautes qui partent sur des missions de longue durée. Pour limiter les différentes conséquences d'un séjour dans l'espace sur la santé physique et mentale, les agences spatiales élaborent des exercices très ciblés afin de préparer l'organisme des astronautes aux contraintes qui les attendent. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:53:23 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Le 8 mars 2022, un peu plus de dix jours après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, les voix des animateurs de Spoutnik, une radio d'État, ont remplacé celles des journalistes d'Écho de Moscou, sur la bande FM 91.2. La fin d'une radio d'opposition historique. - invités : Cécile Vaissié Historienne, professeure d'études russes et soviétiques à l'Université Rennes-II et chercheuse au CERCLE à l'Université Nancy II; Joël Le Pavous Journaliste indépendant basé à Budapest
C'est aujourd'hui (comme tous les 12 avril) la journée internationale du vol spatial habité ... ça peut paraître pas très concernant ... mais c'est parce que le 12 avril 1961, il y a 62 ans, Youri Gagarine devenait le premier homme à aller dans l'espace. Nous sommes en 1961. En pleine Guerre froide, la conquête spatiale devient un enjeu crucial pour l'URSS et les Etats-Unis ... Dans le plus grand secret, les Soviétiques arrivent à préparer cet exploit, l'envoi d'un homme dans l'espace. Quatre ans plus tôt, l'URSS a envoyé Spoutnik, le premier satellite à aller dans l'espace, et la chienne Laïka dans Sputnik 2. Mais envoyer un homme, c'est une autre affaire : personne n'était sûr qu'il survive à ce voyage ! Youri Gagarine remplit sa mission. En vol, le cosmonaute est en lien avec la Terre, carnet à la main et en 108 minutes, fait le tour de la Terre.
C'est aujourd'hui (comme tous les 12 avril) la journée internationale du vol spatial habité ... ça peut paraître pas très concernant ... mais c'est parce que le 12 avril 1961, il y a 62 ans, Youri Gagarine devenait le premier homme à aller dans l'espace. Nous sommes en 1961. En pleine Guerre froide, la conquête spatiale devient un enjeu crucial pour l'URSS et les Etats-Unis ... Dans le plus grand secret, les Soviétiques arrivent à préparer cet exploit, l'envoi d'un homme dans l'espace. Quatre ans plus tôt, l'URSS a envoyé Spoutnik, le premier satellite à aller dans l'espace, et la chienne Laïka dans Sputnik 2. Mais envoyer un homme, c'est une autre affaire : personne n'était sûr qu'il survive à ce voyage ! Youri Gagarine remplit sa mission. En vol, le cosmonaute est en lien avec la Terre, carnet à la main et en 108 minutes, fait le tour de la Terre.
“Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy.” Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les satellites civils et militaires sont tellement nombreux quʹon peine à les compter. Près de 65 ans après le lancement du premier Spoutnik, lʹespace est devenu une priorité pour les grandes puissances, démonstrations de force, investissements massifs, intimidations à lʹappui. Mais lʹutilisation de lʹespace à des fins militaires est-elle licite et arrivera-t-on à mettre un peu dʹordre dans cet environnement spatial ? Des questions que Laurent Huguenin-Elie a posées à Pascal Imhof, étudiant-chercheur dans le domaine du droit international et du droit de lʹespace. Photo: image satellite mise à disposition par Maxar Technologies montrant des véhicules militaires regroupés à l'aérodrome V.D Bolshoy Bokov, près de Mazyr (Biélorussie), le 22 février 2022. (© Keystone / EPA / Maxar)
Les rencontres cinématographiques Palestine : Filmer C'Est Exister commencent aujourd'hui leur 11ème édition à Genève entre le Spoutnik et le Cinelux. Au programme : 19 films, 3 fils rouges thématiques, 4 cinéastes invités, 1 focus spécial, 1 table ronde et 1 concert hip-hop. Pour en parler Samuel Geith et Elsa […] The post Cinéma militant et peu visible : la Palestine à l'honneur first appeared on Radio Vostok.
Elles avaient pris la poussière, planquées sous notre lit, ces bandes dessinées de notre adolescence, aux titres inoubliables… Quéquettes blues, L'autoroute du soleil, Les Années Spoutnik. Son auteur est un copain, d'emblée, sans le connaître. Comment ne pas trinquer avec le papa de Quéquettes blues ? Il dit s'appeler Baru. Un loup blanc du festival d'Angoulême plusieurs fois primé. Pour sa génération toujours en perfecto, tendance sociologique I can't get no satisfaction, Baru ne peut être qu'un copain, parce qu'il est resté ce fils d'étrangers, fils d'ouvriers qui aujourd'hui, avec une tendresse rageuse, nous présente (attention Grand Oeuvre) la grande histoire de l'immigration italienne et la petite histoire de sa smala de Macaronis, comme il dit. C'est aux Éditions Futuropolis et ça s'appelle Bella Ciao. Les choix musicaux de Baru The Who My Generation Wilson Pickett The Land Of a Thousand Dances The Beatles I Saw Her Standing There.
Il est désormais question d'une sixième salve de sanctions contre la Russie pour tenter de lui faire entendre raison sur la guerre en Ukraine. Un sommet extraordinaire à Bruxelles se tient lundi 30 et mardi 31 mai, avec pour objectif un embargo sur le pétrole russe, d'ici la fin de l'année. Autant dire que l'objectif sera difficile à atteindre. Car il faut l'unanimité des pays membres pour adopter un tel dispositif. Et la Hongrie est fermement opposée à un tel dispositif qui viendrait heurter de plein fouet son économie, très dépendante du pétrole russe. Croissance menacée... Á moins que cette manne pétrolière et bon marché ne serve surtout les intérêts financiers de la garde rapprochée du Premier ministre Viktor Orban. En tout cas dans le gouvernement hongrois, on multiplie la campagne contre ces nouvelles propositions de sanctions européennes, Florence Labruyère. L'oeil européen de Franceline Beretti: l'Europe, une histoire d'élargissements. Et d'Ukraine, il sera aussi question en juin 2022 pour un autre sommet, cette fois sur les questions d'élargissement. Kiev souhaiterait être considérée comme candidate, mais pour l'instant Paris et Berlin lui proposent surtout d'entrer dans une communauté politique européenne. De l'avis du président français et des spécialistes, rentrer dans l'UE prendra au bas mot dix ans. L'histoire des élargissements successifs de l'UE le confirme. C'est l'oeil européen de Franceline Beretti. Les églises orthodoxes et la guerre Conséquence de la guerre, une des branches de l'Église orthodoxe ukrainienne a annoncé sa rupture avec Moscou, et «sa pleine indépendance» des autorités spirituelles russes. L'initiative est historique. Elle est la conséquence du positionnement du patriarche Kirill de Moscou, allié sans faille du gouvernement Poutine, et aligné dans sa défense de l'opération militaire en Ukraine comme l'appelle le régime. Le patriarche Kirill pourrait d'ailleurs figurer sur la liste des personnalités sanctionnées par l'Europe. Estelle Levresse, une de nos correspondantes à Moscou. Et dans les trois pays baltes, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie, les Églises orthodoxes cherchent aussi à se positionner face au Patriarcat russe, et son engagement politique. C'est à Vilnius en Lituanie, que les divisions et les tensions ont été les plus fortes, avec la suspension de cinq prêtres orthodoxes. Les explications sur place de notre correspondante Marielle Vitureau. La liberté d'expression en question Et la guerre ukrainienne révélatrice aussi de la difficulté de garantir la liberté d'expression. On l'a dit, le mot «guerre» n'a pas droit de cité dans les médias russes, on parle d'opération militaire. De nombreux journalistes russes indépendants ont été contraints de fuir leur pays. C'est dans ce contexte que l'Europe a choisi dès le début du conflit d'interdire deux médias d'État russes, la Television Russia Today, RT et Spoutnik. Une décision nécessaire selon le professeur de Sciences politiques Frédéric Charillon, Auteur de «Guerres d'influence, les États à la conquête des esprits» chez Odile Jacob. Il était l'invité dimanche dernier (29 mai 2022) de Carrefour de l'Europe présenté par Lea-Lisa Westerhoff. ⇒ À écouter sur RFI : Carrefour de l'Europe «Liberté d'expression et propagande»
durée : 00:03:04 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Chine reste la principale menace pour les États-Unis, selon le Secrétaire d'État américain Anthony Blinken. Mais l'accent est mis sur la nécessité de relever le défi technologique chinois autant que sur les menaces militaires.
durée : 00:03:04 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Chine reste la principale menace pour les États-Unis, selon le Secrétaire d'État américain Anthony Blinken. Mais l'accent est mis sur la nécessité de relever le défi technologique chinois autant que sur les menaces militaires.
L'invasion de l'Ukraine par la Russie a provoqué des réactions nombreuses du Rio Grande à la Terre de feu. Mais aucun pays de la région n'a adopté de sanctions économiques contre Moscou, et très peu ont franchement condamné la guerre. Preuve de l'influence de Moscou dans la région. Elle fut la première à envoyer ses vaccins Spoutnik en Argentine, au Paraguay, au Nicaragua, en Bolivie et en Équateur. Seul Gabriel Boric, fraîchement élu président au Chili, a ouvertement critiqué Vladimir Poutine. Des différences de réactions qui témoignent de tendances qui s'opposent entre ceux qui ne souhaitent pas renverser l'ordre international libéral et ceux qui défendent une conception du monde ancrée dans un profond rejet de l'impérialisme américain. Invités : - Olivier Compagnon, professeur d'Histoire contemporaine à l'IHEAL. - Christophe Ventura, directeur de recherche à l'IRIS.