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Ce vendredi 18 juin, la présentation historique de la loi de 2002 autorisant l'invasion de l'Irak a été exposée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast..
Autour de 5 000 cas sont enregistrés chaque jour par le ministère de la Santé – même si ces chiffres pourraient bien être sous évalués, en raison du faible nombre de tests réalisés dans le pays. Face à cette nouvelle vague, les hôpitaux sont submergés. Le défi est énorme dans ce pays qui fait face à des pénuries de médicaments, de médecins et de structures depuis des décennies, et qui n’a reçu que 50 000 doses de vaccins à ce jour. Reportage dans l'une des unités de soins intensifs à Bagdad, gérée par Médecins sans frontières. Nouvelle urgence dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital Kindi. Sur un brancard, entourée d'une dizaine de médecins, une Irakienne d'une soixantaine d'années arrive dans un état grave. Le transfert vers son lit d'hôpital doit être rapide et précis. Masque à oxygène, injection de médicaments par intraveineuse, prise de tension, etc. Il n'y a pas de temps à perdre car cette malade est à bout de souffle. L'unité est gérée par Médecins sans frontières (MSF). Les soignants sont Irakiens ou étrangers. Maxime Pirard, un Belge, est le responsable des soins infirmiers. Il commente l'état de la nouvelle arrivante. « C'est une patiente qui est arrivée aux urgences avec des symptômes depuis plusieurs jours. Elle arrive dans un état critique, comme on voit souvent les patients arriver ici. Ils arrivent avec des besoins en oxygène qui sont déjà assez importants », nous dit-il. Il y a 51 lits dans ce service qui prend en charge les formes les plus graves du coronavirus à Bagdad. La nouvelle arrivante occupe le dernier lit disponible. « Ça fait 4 ou 5 jours en continu que nos soins intensifs sont complets, donc à chaque fois qu'un patient décède ou est renvoyé à la maison, il y a un autre patient qui arrive dans l'heure », affirme Maxime Picard. Après une heure de combat, cette Irakienne ne fait malheureusement pas partie des cas heureux et rend son dernier souffle à 11h30 du matin. En Irak, beaucoup de malades arrivent trop tard à l'hôpital. Ils n'ont aucune confiance en leur système de santé et préfèrent rester chez eux, quitte à atteindre des formes sévères. « Le système de santé irakien est vraiment précaire. Ma mère était dans un autre hôpital avant et elle a développé une insuffisance rénale. Ils n'avaient même pas la machine pour soigner ça », nous confie Bashar Jafar, le fils d'une patiente. Géré par MSF, ce service est loin des standards irakiens. Ici, les machines sont disponibles et la synergie opère entre les équipes. Reste quelques particularités, non négociables en Irak : les familles peuvent rester aux côtés de leurs proches. Souvent sans protection, au mépris des risques, comme en témoigne cette femme. « Non non, je n'ai pas peur ! Je suis restée ici les deux derniers jours et les deux dernières nuits. Mes filles arrivent pour prendre le relais. » Sana al Rubaie a 66 ans, elle est restée aux côtés de son mari souffrant qui a fini par être emporté par la maladie. Depuis plusieurs semaines, le nombre de morts monte en flèche en Irak. Et pourtant à l'extérieur de l'hôpital, toutes les mesures pour freiner l'épidémie ont récemment été allégées.
Après la chute de Saddam Hussein en 2003 et la guerre civile qui a suivi, où en est l'Irak aujourd'hui ? Le géographe et arabisant Fabrice Balanche revient sur les dernières années de ce pays, l'Etat islamique, la prise de pouvoir par les chiites, l'influence de l'Iran. Emission animée par Jean-Baptiste Noé.
L'Irak se prépare à accueillir le pape François, et c'est la première fois qu'un souverain pontife foulera le sol de l'ancienne Mésopotamie biblique. Sur place, que ce soit à Mossoul, ville où vivait une importante minorité chrétienne, à Erbil ou à Najaf, berceaux des chiites, on a mis les petits plats dans les grands pour accueillir le pape dans les meilleures conditions.
durée : 00:11:08 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Après trois ans de relatif répit, Bagdad a été frappée en son cœur, la semaine dernière. L'attentat qui a fait 32 morts, des civils, a été revendiqué par l'Etat islamique, de retour depuis 2017-18 à la clandestinité. Donc à sa première vie. Entretien avec la politologue Myriam Benraad. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Myriam Benraad Chercheuse associée à l’Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans (Iremam), Université d’Aix-Marseille
Pour cette nouvelle émission de Géopolis, nous embarquons pour l’Irak, pays retombé dans une certaine discrétion après des années au coeur de l’actualité. L’Irak, pays de 40 millions d’habitants, d’une superficie un peu inférieure à celle de la France, peine à surmonter les affres d’un passé récent difficile et marqué par la dictature de Saddam Hussein puis la guerre de 2003 provoquée par les Etats-Unis de Georges W. Bush. Le chaos laissé par cette guerre qui aurait causée près de 500 000 morts aura notamment profité à l’organisation « Etat islamique » qui était parvenue à prendre le contrôle d’une partie du pays entre 2014 et 2017 et notamment de l’emblématique ville de Mossoul. Même si l’EI a pu être vaincu en 2017, ces années de guerre laissent le pays divisé et affaibli. Intervenante : Sarah Samya Anfis correspondante de plusieurs médias installée en Irak. Présentation : Ulrich Huygevelde
La Turquie intervient militairement dans le nord de l’Irak depuis de nombreuses années contre les rebelles kurdes du PKK, une organisation politique et armée, considérée comme terroriste par Ankara, mais aussi par les États-Unis et l'Union européenne. En juin dernier, la Turquie a annoncé le lancement d'une double opération aérienne et terrestre contre ce groupe, sans l'approbation de Bagdad, qui a haussé le ton à plusieurs reprises au cours des derniers mois pour demander l'arrêt des bombardements. Côté kurde, le PDK, à la tête du gouvernement autonome, n'a pas beaucoup protesté. Et pour cause : sa rivalité avec le PKK est connue de longue date. Au milieu de ce conflit, les civils peinent à vivre.
Au printemps 2003 tombait le régime de Saddam Hussein. L'Irak devait alors se reconstruire, avec la présence des forces américaines qui avaient mis fin à la dictature. Mais après le départ de ces dernières, en 2010-2011, l'État irakien n'a jamais réussi à s'imposer, laissant le pays devenir une zone d'influences concurrentes entre les États-Unis et l'Iran voisin. Retour sur près de 20 ans d'histoire de l'Irak, sous double domination américaine et iranienne.
Bagdad peut-il vraiment reprendre la main sur la sécurité en Irak? Myriam Benraad, spécialiste du pays,chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman (IREMAM) et auteur en 2018 de L’Irak par-delà toutes les guerres (Éd. le Cavalier Bleu) juge que la récente opposition du gouvernement d’al-Kazimi au Hezbollah irakien pourrait ouvrir une nouvelle aire sécuritaire. Toutefois, les moyens de Bagdad restent limités face aux milices, à un État islamique toujours vivace et à la Turquie qui a lancé une opération militaire dans le nord de l'Irak.
Marie, étudiante en droit décide de faire son erasmus à Istanbul pendant 5 mois. De retour en France avec des étoiles pleins les yeux, elle organise son voyage pour y retourner une fois ses études terminées. Dans l'euphorie d’une soirée, l’idée lui vient de partir en Irak. Le lendemain la voilà montée dans le bus.Marie nous raconte son périple au moyen orient à travers l'Irak, la Jordanie, le Liban, la Turquie et l'Arabie Saoudite, entre galères et rencontres marquantes. Un voyage d'où elle en est revenue plus grande et plus forte.Pour suivre ou contacter Marie TissotSon Instahttps://www.instagram.com/marietissot_/?hl=frArticle femmes en Arabie Saouditehttps://premierepluie.com/2020/05/27/8419/ UNE PETITE DÉDICACE DU PODCAST DANS TA STORY, c'est le genre de chose qui me fait toujours super plaisir !!....et qui donne du power pour continuer. Au plaisir de les voir et de les partager :) MON BLOG VOYAGE, pour retrouver tous mes conseils & astuces de voyage : https://www.vizeo.net Suis mes aventures sur les réseaux @ALEXVIZEOLinkedin : https://www.linkedin.com/in/alexvizeoInstagram : https://instagram.com/alexvizeoYoutube : https://www.youtube.com/user/vizeoproductionTik Tok : https://www.tiktok.com/@alexvizeoFacebook : https://www.facebook.com/alexvizeoTwitter : https://twitter.com/alexvizeoSi tu as voyagé après avoir vu mes vidéos (ou si tu prévois de le faire)Laisse ton témoignage sur mon site : https://www.vizeo.net/livre-or-voyage
Il y a d'abord cette opération lancée, cette semaine, dans le nord de l'Irak où l'armée turque vise les forces du PKK. Et puis quelques jours plus tôt, un incident en Méditerranée où un navire français s'est retrouvé dans la ligne de mire des frégates d'Ankara. Deux épisodes qui illustrent l'hyperactivité militaire d'une Turquie qui multiplie les démonstrations de force. Au point que l'OTAN, réunie mercredi 17 juin 2020 à Bruxelles, ne soit contrainte de jouer les arbitres. Quelle partition, justement, Recepp Tayyip Erdogan fait-il jouer à son pays ? Quels intérêts servent cet interventionnisme en Syrie, en Irak et en Libye, notamment à l'origine de tensions avec Paris. Nos Invités :- Nora Seni, professeure à l’Institut français de géopolitique de l’Université Paris 8 et ancienne directrice de l’Institut français d’études anatoliennes à Istanbul- Dorothée Schmid, responsable du programme Moyen Orient et Turquie à l’Institut français des relations internationales (IFRI).
durée : 00:02:54 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les États-Unis réclament l’extradition du fondateur de WikiLeaks pour les fuites de documents sur l’Afghanistan et l'Irak il y a dix ans. La procédure commence aujourd’hui à Londres, et met en jeu des questions de principe comme la liberté d'informer.
Les Matinales présentées par Sandrine Sebbane. Invités Yves Azeroual, auteur réalisateur pour son roman « Mufti » paru aux éditions le passeur et son documentaire « L’islamo gauchisme, la trahison du rêve européen » et Marc Knobel, historien et chercheur. Yves azeroual évoquera également la soirée débat organisée par le département de la vie associative du FSJU le mardi 30 mars avec la diffusion de son film suivi d’un débat avec Philippe Val, Christophe Bourseiller et animé par Valérie Toranian Directrice de la Revue des deux mondes. À propos du livre : "Mufti" paru aux éditions le passeur La traque palpitante du grand Mufti de Jérusalem – sympathisant des nazis – dans les méandres de l'histoire et de la mémoire. " Le 27 juin 2017, lors d'une vente aux enchères, à Jérusalem, six photographies inédites montrant le Grand Mufti al-Husseini vers 1943, visitant les camps de ses alliés nazis, ont été adjugées 12 300 dollars. Les six photographies le montrent, accompagné d'un certain nombre de hauts fonctionnaires nazis en uniformes, et de fonctionnaires du gouvernement, habillés en civil. " Ce bref article attire l'attention du journaliste français Yirhiel Azriel. Il décide aussitôt de se lancer sur les traces de ces photographies car un détail le frappe : pourquoi les plus élémentaires références historiques concernant ce sulfureux personnage sont-elles quasi absentes ? De l'Empire ottoman à la Palestine mandataire, du génocide arménien aux pogroms de Hébron, de l'Irak insurrectionnel au cœur du Berlin nazifié, de la Suisse désespérément neutre à la France d'après-guerre soucieuse de ménager les populations musulmanes de son empire colonial, une longue traque à travers l'histoire et la mémoire met au jour des épisodes inédits, sinistres et parfois rocambolesques de l'existence de ce personnage énigmatique et rusé, adulé par les uns et haï par d'autres. Un roman thriller riche en rebondissements. Yves Azéroual, journaliste, documentariste, a publié plusieurs ouvrages sur la politique française et sur Israël. Rédacteur en chef et producteur-éditorial d'émissions et de magazines à la télévision, il est le co-fondateur de la chaine d'informations i>télévision et le créateur de l'émission " Secrets d'Histoire ". Il signe là son premier roman.
L'année 2020 a commencé sur les chapeaux de roue avec l'élimination par un tir de drone américain du général iranien Qassem Soleimani. Cet assassinat a failli plonger le Proche-Orient dans une nouvelle guerre. À la suite de ce meurtre, commis à la sortie de l'aéroport de Bagdad, le Parlement irakien a émis le vœu que les troupes américaines encore dans le pays s'en aillent. La Maison Blanche a fait dire que ses soldats resteraient en Irak, et a menacé de s'en prendre à la grande richesse irakienne, le pétrole. Un pays riche en pétrole, est-ce un pays riche ?Au cours de cette émission, les spécialistes réunis par Jean-Pierre Boris expliquent également comment l'économie de ce pays plongé, depuis quarante ans, dans une série de conflits a résisté. Et si elle a résisté. Ils reviennent aussi, bien sûr, ce qui pousse la jeunesse irakienne à descendre dans la rue au péril de sa vie, depuis le mois d'octobre 2019. Invités :- Emmanuel de Dinechin, à la tête du cabinet de conseil Altaï Consulting qu’il a fondé en 2008. Il est présent en Irak pour conseiller les entreprises qui veulent s'y implanter.- Thierry Coville, spécialiste du monde arabe et de l'Iran où il a vécu. Il mène ses travaux de recherche au sein del'IRIS, l'Institut de Relations Internationales et stratégiques. - Sami Boukhelifa, journaliste, grand reporter du desk Proche-Orient du service international de RFI. Ses reportages l’ont souvent amené à couvrir l'Irak. Reportages :Depuis trois mois, les manifestants sont sur la place Tahrir au centre de Bagdad. Ils protestent contre la corruption et l'incompétence du gouvernement irakien. Ces manifestations ont un impact certain sur l'activité économique de la capitale irakienne. Lucile Wasserman est allée à la rencontre des manifestants. La plupart des manifestants qui occupent la place Tahrir dans le centre de Bagdad sont jeunes, moins de 30 ans, et issus de Sadr City, quartier pauvre à l'est de Bagdad. Lucile Wasserman a rencontré l'un de ces manifestants venus de Sadr City.
durée : 00:04:14 - Le Zoom de la rédaction - Depuis l'annonce de nouvelles sanctions américaines contre Téhéran, l’exode des Kurdes iraniens s’est accentué entre l'Iran et l'Irak. Les Kurdes iraniens se réfugient dans la province frontalière d'Erbil, la capitale de la province autonome du Kurdistan irakien. Reportage des envoyés spéciaux de France Inter.
durée : 00:58:28 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Alors que les tensions continuent de monter entre Washington et Téhéran, l'Irak se retrouve pris en tenaille. - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Adel Bakawan Sociologue. Directeur du Centre de Sociologie de l’Irak (CSI), Université de Soran. Chercheur associé à l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI). Chargé de cours à l’Université d’Évry. Membre de l'iReMMo.; Mariam Pirzadeh journaliste pour France 24, ancienne correspondante en Iran; François Bonnet journaliste, directeur éditorial de Médiapart
durée : 00:39:42 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Les interventions militaires furent nombreuses ces dernières décennies. Le cas Irakien est l'exemple le plus récent. Comment « reconstruit-on » un Etat ? Pourquoi la reconstruction initiée par les Etats-Unis n’a pas fonctionné en Irak ? Que recouvre l’idéologie de ‘Nation Building’ ? - réalisation : Marie-Laure Ciboulet, Thomas Dutter - invités : Adel Bakawan Sociologue. Directeur du Centre de Sociologie de l’Irak (CSI), Université de Soran. Chercheur associé à l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI). Chargé de cours à l’Université d’Évry. Membre de l'iReMMo.; Myriam Benraad Chercheuse associée à l’Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans (Iremam), Université d’Aix-Marseille -; Pierre-Jean Luizard directeur de recherche au CNRS, historien spécialiste du Moyen-Orient, en particulier de l'Irak, de la Syrie et du Liban
durée : 00:39:42 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Les interventions militaires furent nombreuses ces dernières décennies. Le cas Irakien est l'exemple le plus récent. Comment « reconstruit-on » un Etat ? Pourquoi la reconstruction initiée par les Etats-Unis n’a pas fonctionné en Irak ? Que recouvre l’idéologie de ‘Nation Building’ ? - réalisation : Marie-Laure Ciboulet, Thomas Dutter - invités : Adel Bakawan Sociologue. Directeur du Centre de Sociologie de l’Irak (CSI), Université de Soran. Chercheur associé à l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI). Chargé de cours à l’Université d’Évry. Membre de l'iReMMo.; Myriam Benraad Chercheuse associée à l’Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans (Iremam), Université d’Aix-Marseille -; Pierre-Jean Luizard directeur de recherche au CNRS, historien spécialiste du Moyen-Orient, en particulier de l'Irak, de la Syrie et du Liban
durée : 00:14:48 - Journal de 22h - Imbroglio en Irak : suite aux tensions dans le pays et sur demande de l'assemblée irakienne, l'armée américaine a annoncé son retrait prochain de l'Irak, par lettre officielle. Une lettre authentique mais envoyée par erreur selon le chef d'état-major américain.
durée : 00:10:32 - Journal de 18h - Immense cortège funéraire à Nassiriya, dans le sud de l'Irak. Des milliers de personnes sont venus rendre hommage aux manifestants tués dans la ville par les forces de l'ordre.
durée : 00:58:09 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Les Kurdes se sont emparés ces dernières années de toute une partie du Nord-Est du pays, le Rojava, dans lequel ils ont expérimenté une forme inédite de démocratie locale.Comment l’indépendantisme kurde a-t-il laissé la place à d’autres formes d’utopies politiques ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Allan Kaval Journaliste au Monde, spécialiste du Moyen-Orient; Hosham Dawod chercheur au CNRS, anthropologue et spécialiste de l’Irak; Jean-Pierre Perrin Journaliste, correspondant de guerre et écrivain, ancien grand reporter à Libération
durée : 00:08:19 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Feurat Alani, auteur de Parfum d’Irak (éditions Nova), lauréat du Prix Albert-Londres 2019 du livre, est l'invité de Laetitia Gayet.
durée : 00:59:47 - Les Petits matins - William Lebghil vous parle du film "Debout sur la montagne", et Inès Daïf des transferts "secrets" de djihadistes de la Syrie vers l'Irak. Les chroniques s'intéressent au port du foulard islamique et au visionnage accéléré de Netflix. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : William Lebghil Comédien; Inès Daïf Journaliste, doctorante en droit international sur les questions géopolitiques du nord de la Syrie
durée : 00:11:32 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Alors que le ministre des Affaires Etrangères Jean-Yves Le Drian travaille à un "contrat" avec l'Irak pour y transférer et juger les combattants djihadistes détenus en Syrie, deux convois sont déjà partis depuis le début de l'année. Des transferts "secrets" sur lesquels a enquêté notre invitée. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Inès Daïf Journaliste, doctorante en droit international sur les questions géopolitiques du nord de la Syrie
durée : 00:12:23 - Journal de 18h - Donald Trump a remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l'Irak et les Kurdes de Syrie. Parmi les réactions ce soir, celle du président de la République, Emmanuel Macron, qui déclare : "la mort de Baghdadi est un coup dur pour Daech, mais ce n'est qu'une étape".
durée : 00:58:51 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Début octobre, des Irakiens ont manifesté massivement pour dénoncer la corruption et demander des emplois.Ce nouvel épisode de violence illustre à quel point, seize ans après l’intervention américaine de 2003, la stabilité politique irakienne reste introuvable. - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Adel Bakawan Sociologue. Directeur du Centre de Sociologie de l’Irak (CSI), Université de Soran. Chercheur associé à l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI). Chargé de cours à l’Université d’Évry. Membre de l'iReMMo.; Myriam Benraad Chercheuse associée à l’Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans (Iremam), Université d’Aix-Marseille -; Loulouwa Al-Rachid chercheuse au Carnegie Middle East de Beyrouth, spécialiste de l'Irak
durée : 00:11:02 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Alors que l'Irak est secoué par des manifestations qui ont fait plus de 100 morts en six jours, le Premier ministre Adel Abdel Mahdi a annoncé hier des mesures sociales a priori ambitieuses. Mais le gouvernement irakien a-t-il les moyens de tenir parole? Entretien avec la chercheuse Myriam Benraad. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Myriam Benraad Chercheuse associée à l’Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans (Iremam), Université d’Aix-Marseille -
durée : 00:15:01 - Journal de 12h30 - Nous entendons dans cette édition Agnès Callamard, rapporteure spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires, qui s'exprime sur le sujet.
Début août 2014, le groupe État Islamique lance une offensive sur la région du Sinjar par l'ouest de l'Irak. En quelques heures, les jihadistes s'emparent de la ville principale puis des villages environnants. Ils s'en prennent aux Yazidis, qu'ils considèrent comme des hérétiques. Si les jihadistes ont depuis été chassés, nombre de Yazidis sont toujours portés disparus. Les survivants tentent de reconstruire leur vie à Sinjar, hantés par les souvenirs et les deuils.
durée : 00:11:38 - Les Enjeux internationaux - L’unité a été difficile à obtenir pour l'Arabie Saoudite lors des 3 sommets Arabes et du Golfe il y a une semaine. L'Emir du Qatar était absent, 2 ans après la rupture diplomatique, comme le turc Erdogan. Pas d'unanimité non plus quant à la condamnation de l'Iran par l'OCI, l'Irak s'est abstenu.
Avec le soutien de MMAJospeh Bahout, est spécialiste du Moyen Orient, professeur à l’Institut d’Études Politiques de Paris et chercheur à l’Académie diplomatique internationale, il a travaillé avec divers instituts, notamment avec le Carnegie endowment for international peace et nous allons avec lui essayer d’éclairer la situation de la Syrie et des Syriens. Le 23 mars denier, l’organisation État islamique (EI) a perdu le réduit syrien de Baghouz, repris par les Forces démocratiques syriennes (FDS) et leurs alliés occidentaux. Ce hameau situé à la frontière entre l’Irak et la Syrie, constituait sa toute dernière emprise territoriale. Après avoir construit une vaste entité politique à cheval sur les territoires de ces deux pays, le califat proclamé en juin 2014 à Mossoul a été militairement vaincu. Il ne cesse pour autant de représenter une menace pour la stabilité régionale. Les forces kurdes, réunies dans les Forces démocratiques syriennes (FDS) soulignent que Daech est loin d'être éliminé définitivement. Elles insistent sur le soutien populaire qui persiste dans les zones que l'organisation contrôlait autrefois ainsi que sur l'existence des cellules dormantes constituées par des islamistes qui se retirés dans des zones hors contrôle et vers l'Irak. Par ailleurs, la situation humanitaire est dégradée dans les camps gérés par les Kurdes et la Croix-Rouge où s'entassent des femmes et des enfants de jihadistes. Les forces kurdes doivent à elles seules gérer environ 10 000 combattants de Daech emprisonnés et des milliers d'enfants sans identité. A ce titre, elles ont à plusieurs reprises demandé de l'aide à la communauté internationale et aux États dont certains prisonniers sont ressortissants mais leur appel n'a pas débouché sur un soutien concret. Au plan international, le retour des jihadistes divise les États. Bien loin de l’entente qui a permis de défaire Daech militairement, chacun traite le problème de manière unilatérale. Alors que le 17 février, Donald Trump demandait à ses alliés de ramener chez eux pour les juger les combattants détenus en Syrie, les pays de la coalition montrent peu d’enthousiasme quant au retour de leurs citoyens. Tandis que le ministre des Affaires étrangères allemand, Heiko Maas, soutenait en février «que les nationaux allemands ne pourront revenir que si l’on peut s’assurer qu’ils soient directement placés en garde à vue, ce qui n’est pas garanti», la Belgique souhaite, quant à elle, que les procès se déroulent sur les lieux des crimes. Le 28 mars, le gouvernement danois a proposé une accélération de la procédure de déchéance de nationalité pour les combattants binationaux et souhaite que les enfants de ces combattants, nés dans les zones de combat, soient également privés de la nationalité danoise. La ministre française des armées, Florence Parly, a déclaré que « les djihadistes français partis combattre dans les rangs du groupe État islamique en Syrie et en Irak n'ont pas vocation à être jugés en France, même ceux détenus au Kurdistan syrien ». Lors du G7, qui s’est tenu du 5 au 6 avril dernier, un rapprochement a néanmoins été opéré sur la lutte contre l'utilisation d'internet par les groupes extrémistes. Les pays membres se sont mis d'accord sur la nécessité de "tout mettre en œuvre pour empêcher la dispersion des combattants terroristes étrangers et de leurs familles" et de veiller à ce que ceux qui doivent être jugés et condamnés "le soient fermement". Le Kazakhstan, la Russie et le Soudan font partie des rares pays à assurer le retour de certains nationaux, principalement les femmes et les enfants. L’heure n’en est pas encore non plus au retour au pays pour les réfugiés syriens dispersés de la Turquie à la Jordanie, en passant par l’Allemagne et le Liban. Ils sont 5,7 millions de réfugiés syriens dans le monde dont 5,3 millions sont répartis dans les pays voisins.
Un superbe documentaire d'animation ! La complexité de l'Irak, entre douceur et violence, guerre et poésie, terrorisme et désir de vivre en paix... Dans cette interview, nous évoquons cette web-série devenue documentaire d'animation, le livre qui l'accompagne, l'enfance et la vie de Feurat Alani entre la France et l'Irak, son désir, très tôt, de travailler pour déconstruire les clichés sur ce pays, ses habitants et sa culture. Tout comme dans son récit, Feurat Alani nous raconte aussi sa propre histoire et celle de sa famille.Nous parlons ensuite des guerres et du terrible embargo qui ont détruit l’Irak, de la vie quotidienne sous un tel embargo, de l'injustice de ces mesures pour les civils, des conséquences des sanctions internationales et de ce qu'elles contribuent à faire naître, du traitement médiatique du terrorisme, des guerres et des migrants qui n'offre que trop rarement de perspective pour comprendre les origines des problèmes... Nous abordons aussi le sujet des armes chimiques utilisées par les Américains qui, rappelons-le, accusaient l'Irak d'en posséder. Et enfin, Feurat Alani nous parle de ce qu'il voit de positif aujourd'hui en Irak, malgré une situation critique, il nous décrit la jeunesse et la culture irakienne et nous offre quelques conseils pour la découvrir !Feurat Alani est né en 1980 à Paris de parents irakiens. Il a été correspondant à Bagdad entre 2003 et 2008 de I Télé, Ouest France, La Croix et Le Point. Il a ensuite travaillé à Paris avec l’équipe de l’émission l’Effet Papillon, pour laquelle il réalise des reportages en Irak mais aussi dans beaucoup d’autres pays, il collabore régulièrement avec Le Monde Diplomatique, le site web Orient XXI et la revue Géo. Il s’est à installé à Dubaï en 2012 et y a créé une agence de production In Sight Films. Il collabore donc régulièrement en tant que producteur et réalisateur avec les chaînes Arte, France 24 et Canal+. Il a écrit une histoire passionnante, la sienne, qui s’est transformée en un superbe documentaire d’animation et un tout aussi superbe livre, Le Parfum d’Irak, co-produits et co-édités par Arte et Nova et je l’ai rencontré pour en parler.Voir la page du podcast de Feurat Alani, Le parfum d'Irak sur So Sweet PlanetUne interview réalisée par Anne Greffe See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
« Un canon atomique pour l'Irak! » crient les manchettes de la presse populaire britannique du jeudi 12 avril 1990. Seulement quelques semaines après l’assassinat du scientifique canadien Gerald Bull, les douaniers anglais interceptent ce qui semble être les pièces du plus gros canon du monde, destiné au régime de Saddam Hussein. Rien pour rassurer la population britannique! Dans ce deuxième épisode de la série, Normand Lester ajoute quelques pièces au casse-tête de l’énigmatique Dr Bull.
Nato nel 1977 a Tel Aviv, Dudu Tassa è un protagonista di rilievo del rock israeliano. Tassa è un ebreo che ha le sue origini familiari in due paesi arabi, l'Irak e lo Yemen. Nel suo terzo album, che nel 2003 gli ha fatto fare un salto di popolarità nel suo paese, Tassa aveva già proposto una canzone irakena che era stata interpretata anche da suo nonno, Daoud Al Kuwaiti. Ma poi Tassa ha scavato in maniera più sistematica nelle sue radici familiari e musicali, ascoltando centinaia di canzoni di Daoud Al Kuwaiti e di suo fratello Saleh, che lavoravano col nome d'arte di Fratelli Al Kuwaiti, fra i maggiori innovatori della scena musicale di Baghdad fra gli anni trenta e cinquanta del secolo scorso, e poi emigrati in Israele. Tassa ha poi pensato di attualizzare alcuni dei brani con la sua sensibilità di giovane musicista rock: lo ha fatto con una nuova band a cui ha dato il nome di Dudu Tassa and The Kuwaitis, con cui ha pubblicato un album nel 2011 e un secondo nel 2015, coinvolgendo in questo lavoro musicisti e cantanti ebrei e irakeni. El Hajar è il terzo album della formazione, e il primo ad essere pubblicato in Europa: con molta finezza Tassa, che ha imparato a cantare in arabo irakeno, fa reagire il vecchio materiale con il suo gusto da rock alternativo, creando una bella comunicazione tra passato e presente.
Aaaaah, l'Irak ! Ses insurgés, ses drones, ses sphinx...Arezki, Arnaud et Baptiste Beaulieu ont adoré leur petite classe verte là-bas et leur chasse aux bandelettes.Note : 1
Malgré les espoirs suscités par le printemps arabe, la majorité de ces pays ne sont pas parvenus à établir de véritables régimes démocratiques, transparents et redevables de leurs actions. Selon le dernier rapport de Transparency International (janvier 2017), cinq des dix pays les plus corrompus au monde sont des pays arabes: l'Irak, la Libye, le Soudan, le Yémen et la Syrie. Arnaud Decroix revient avec notre correspondante à Rabat, Fadwa Dabbarh, sur les changements législatifs en cours et sur de récentes arrestations en Tunisie.
Le conflit Irakien sera au cours de l'émission de cette semaine! Il s'agit de la seconde guerre civile de ce pays, qui a débuté en 2013, faisant suite à une première guerre qui sévissait entre 2006 et 2008.
Lana raconte l'Irak et l'exil Je l’aimais bien ce mouton Lana est une étudiante parisienne en communication. Née à Bagdad en 1991, elle a dû quitter l’Irak à neuf ans avec sa famille pour s’installer en banlieue parisienne. Après 15 ans d’exil, elle a retrouvé pour la première fois sa ville natale. De retour à Paris, elle évoque avec émotion ce voyage avec ses cousins. Elle a revu la maison de son enfance depuis un taxi : pas question de s’arrêter, le quartier est devenu trop dangereux. A partir de ce bref weekend à Bagdad, Lana et sa famille racontent l’Irak d'hier et d'aujourd'hui, l'exil et les espoirs qu'une famille place dans l'exil. Enregistrements : octobre-novembre 15 - Mise en ondes & mix : Arnaud Forest - Réalisation : Hélène Bigot
Dilluns 12 d'abril torna 80grams de ràdio després de les vacances de Setmana Santa per proposar-vos una nova aventura literària. A Motius 80grams descobrim el llibre Arrels nómades de Pius Alibek, l'autobiografia d'un home nascut a l'Irak i que porta 30 anys a Barcelona. Un llibre que Pius ha escrit per les seves filles perquè coneixin una terra que ja no existeix. Conversem amb l'escriptora Marta Pessarodona que té dos llibres aquest Sant Jordi, la novel·la França 1939, i el llibre de poesia Animals i plantes. A 80grams de teatre us acostem la darrera versió del clàssic de Shakespear La nit de Reis que s'estrena el 15 d'abril a la Sala Gran del TNC. I ha arribat la primavera, i amb la nova estació arriben nous Moments 80grams, Moments de primavera. Avui compartim amb vosaltres el primer. I com cada setmana recuperem un clàssic de la literatura catalana, avui busquem un llibre de poesia publicat el 1906. La primera pista és (més pistes escoltant el programa): Llibre amb només 18 versos que va marcar l'inici d'una nova estètica dins la poesia catalana, el Noucentisme Respostes a info@80grams.com. Entre els que l'encertin sortejarem un lot de llibres. Tot això i molt més cada dilluns d'1 a 2 de la tarda a Ràdio Ciutat de Badalona.
BotCast #39 On vide notre Inbox, on passe à travers tous les courriers d'auditeurs qu'on a reçu depuis un bout. Pat, USSTropicana et Vercingétorix, on vous répond de vive voix! AMEX ne veut pu de leurs clients, FDA laisse passer de la marde, McDo va sucer à sec les pauvres, overdose de Viagra, salaires des employés de manufacturiers automobile, un ado infiltre la police, profits records chez Exxon, Canada représente Israel, Gardasil rend malade. Iran ne produit pas d'uranium pour les armes, les glaciers ne fondent pas, le CO2 c'est bon pour le vin, Grande Bretagne cache les discussions menant à l'invasion de l'Irak. La police canadienne n'a pas de mandat pour les logs de ton ISP, banques américaines incapables de réclamer les titres de propriétés, beaucoup d'états américains se désistent du fédéral. www.mp3surround.com ou www.Winamp.com pour écouter en surround. (26 février 2009) BotCast-0039.mp3 BotCast-0039.m3u Break: Frank Klepacki, "Machines Collide", http://www.frankklepacki.com/OutTro: Jugi, "Crosswired" , http://www.pouet.net/user.php?who=2726Remerciements: www.TacticalFM.com, www.RadioTraxx.ca , www.Rockik.com, la Société St-Jean Fasciste et la gomme Handz Off.