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Invitée :Valérie Hayer, députée européenne, présidente du groupe Renew Europe et secrétaire générale déléguée de RenaissanceHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'expression « patient zéro », aujourd'hui entrée dans le langage courant pour désigner la première personne infectée lors d'une épidémie, est en réalité née d'une simple… erreur de lecture. Une confusion typographique qui, par un étrange hasard, a fini par s'imposer dans le vocabulaire médical, médiatique et populaire du monde entier.L'histoire remonte à 1984, au tout début de l'épidémie de sida. À cette époque, les chercheurs du Centers for Disease Control and Prevention (CDC), aux États-Unis, tentaient de comprendre comment le virus — encore mal connu — se transmettait. Dans le cadre d'une vaste enquête épidémiologique, ils analysèrent les cas de plusieurs dizaines d'hommes homosexuels contaminés à travers le pays. Parmi eux figurait Gaëtan Dugas, un steward canadien d'Air Canada, qui voyageait beaucoup et avait eu de nombreux partenaires sexuels.Pour suivre la propagation du virus, les épidémiologistes avaient attribué à chaque patient un code : LA1, LA2, etc., pour ceux de Los Angeles. Dugas, lui, vivait à l'extérieur de la Californie : on le désigna donc comme “Patient O”, pour Out of California. Cette lettre “O” signifiait simplement qu'il n'était pas originaire de cet État. Mais lors de la rédaction du rapport, la majuscule “O” fut confondue avec un zéro : “Patient 0”.Cette petite erreur allait avoir des conséquences énormes. Les journalistes, découvrant ce mystérieux « patient zéro », y virent aussitôt le point de départ du sida, “l'homme qui avait apporté la maladie en Amérique”. Le terme frappa les esprits, car il offrait une image claire et dramatique : celle d'un individu unique à l'origine d'une catastrophe mondiale. Dugas fut injustement stigmatisé, présenté comme un “super-contaminateur”, alors qu'on sait aujourd'hui qu'il n'a ni déclenché ni propagé seul l'épidémie — le VIH circulait déjà aux États-Unis avant ses premiers voyages.Depuis, l'expression « patient zéro » s'est généralisée pour désigner le premier cas connu d'une infection, qu'il s'agisse d'Ebola, du SRAS ou du Covid-19. Pourtant, le vrai sens original de cette formule n'avait rien à voir avec le “premier infecté” : il s'agissait simplement d'un code géographique mal lu.Ainsi, ce terme devenu universel est né d'une erreur de transcription, amplifiée par la soif médiatique d'un récit simple et symbolique. Une erreur devenue mythe, qui rappelle combien une petite confusion peut parfois influencer durablement la mémoire collective. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
Délicieuse nourriture jaune doré à l'extérieur et blanc crémeux à l'intérieur, la banane est savourée religieusement depuis des millénaires et fait encore l'objet d'un immense culte (et d'une tout aussi immense culture !) aujourd'hui. Fruit le plus consommé au monde en 2025, elle est présente sur toutes les tables du monde au petit-déjeuner comme au dîner, sucrée comme salée ; et a été sacrée par plusieurs peuples puis par la star de la classification Carl von Linné "fruit du paradis". Dans cet épisode, Marie-Juliette (probablement la seule humaine à détester les bananes
Les attaques de colons israéliens sont de plus en plus fréquentes et de plus en plus violentes dans les territoires palestiniens, selon l'ONU. Une recrudescence qui pèse sur la récolte des olives en Cisjordanie occupée, où une mosquée a été vandalisée par des colons qui sont « souvent accompagnés ou protégés par des soldats israéliens ». Deux adolescents palestiniens de 15 ans ont été tués par l'armée israélienne qui les présente comme des « terroristes en passe de perpétrer une attaque ». Ce nouvel incident intervient alors que de plus en plus de voix dénoncent les violences qui ont atteint en octobre un pic inédit en près de deux décennies. Entretien avec Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, président d'honneur de l'IReMMO et co-auteur du livre Atlas du Moyen-Orient, éditions Autrement. RFI : Comment expliquer cette recrudescence des violences en Cisjordanie occupée ces dernières semaines ? Est-ce qu'il y a un lien avec le cessez-le-feu, qui est fragile, mais qui tient parallèlement à Gaza ? Jean-Paul Chagnollaud : Je crois qu'il faut d'abord rappeler le contexte. C'est vrai que maintenant, depuis plus de deux ans, les Nations unies montrent à quel point, dans leurs statistiques, le nombre d'attaques a très sensiblement augmenté. Il y a vraiment des violences terribles, et en particulier par des milices de jeunes colons, souvent religieux, ou en tout cas liés à des organisations ou des associations religieuses, et qui sont particulièrement dans une violence débridée. Je crois que votre hypothèse du lien avec le cessez-le-feu a sans doute du sens, c'est difficile à vérifier. Mais c'est vrai qu'aujourd'hui, on a le sentiment que tout pourrait aller mieux à Gaza, ce qui est évidemment une illusion absolue. Le cessez-le-feu est fragile et l'avenir est pour le moins incertain. Mais en tout cas, on oublie complètement la Cisjordanie, dont je rappelle d'ailleurs que la Cisjordanie n'est pas mentionnée dans le plan Trump. Comme si, au fond, la colonisation qui y est établie pourrait se poursuivre. Donc, les plus déterminés parmi les colons violents ont une espèce d'espace assez libre pour agir comme ils le souhaitent. Ils savent qu'ils ont le soutien du gouvernement et de l'armée. Justement, ils sont de plus en plus jeunes, c'est ce que dit l'ONU. Il y a cette stratégie du fait accompli. Mais très peu d'auteurs finalement de ces attaques ont été poursuivis par les autorités israéliennes. Ils sont effectivement protégés ? C'est extrêmement clair. On ne peut même pas parler de deux poids, deux mesures, entre ce que subissent les Palestiniens comme punition quand ils s'engagent dans la violence, et les Israéliens et les colons israéliens quand ils le font. Les colons israéliens ont toujours été dans l'impunité la plus totale. De temps en temps, il y a une vague commission d'enquête qui n'aboutit jamais à aucun résultat. C'est extrêmement clair. Alors que, en ce qui concerne les Palestiniens, la moindre intervention peut leur coûter très cher, y compris d'ailleurs la mort. Je rappelle qu'en deux ans, il y a eu pratiquement 1 000 victimes. Ce sont encore les chiffres des Nations unies, 1 000 Palestiniens qui ont été tués soit par l'armée, soit par les colons. Donc, on voit bien la différence. Il y a un projet de loi qui est en discussion à la Knesset, qui est dans une première lecture sur le rétablissement de la peine de mort contre les terroristes. En fait, c'est une peine de mort, non pas en soi, mais uniquement contre les Palestiniens. Donc, c'est à suivre de très près et ça rentre malheureusement dans ce schéma d'une radicalisation constante du gouvernement israélien et d'une partie, malheureusement, de la société israélienne. Ce qu'on évoque là, c'est bien la société israélienne elle-même. Vous dénoncez l'impunité, mais comment est-ce que vous interprétez la déclaration du chef de l'armée israélienne ? Il a affirmé mercredi 12 novembre vouloir mettre fin aux attaques commises par des colons juifs en Cisjordanie occupée. L'armée est accusée par les Palestiniens de plutôt fermer les yeux, voire d'encourager ces colons israéliens. Comment vous avez perçu cette déclaration ? Je crois qu'il y a deux interprétations possibles. La première, c'est qu'il estime effectivement qu'il faudrait arrêter ces violences. Mais ça, malheureusement, ça n'a pas beaucoup de sens parce que c'est une politique d'État qui est derrière, ce n'est pas seulement quelques colons. Ou bien, il le fait pour des raisons purement tactiques, en faisant semblant de penser qu'il puisse y avoir une impunité, que ces personnages puissent être, disons, freinés, voire punis. Donc, c'est un geste dont l'interprétation est ambivalente, parce que si vraiment on voulait y mettre un terme, c'est toute une politique qu'il faudrait remettre en question, et c'est exactement l'inverse qui se passe. Ces colons violents ne sont que la pointe avancée d'une colonisation systématique et extrêmement dense. Je rappelle juste un élément important : c'est le gouvernement qui a décidé de lancer ce fameux projet E1, qui est une colonisation qui se trouve entre Ma'aleh Adumim et Jérusalem et qui aboutirait à couper en deux la Cisjordanie. Et ça, ce ne sont pas les colons violents, c'est le gouvernement qui l'a décidé. C'est un projet qui date des années 1990 et qui a toujours été empêché par la communauté internationale et les États-Unis en particulier. Et là, c'est l'inverse, l'administration Trump a donné son feu vert. Quand le président israélien Isaac Herzog, lui aussi, condamne une descente particulièrement violente de colons, ces derniers jours, près de Tulkarem, dans le nord de la Cisjordanie. Est-ce que ça peut avoir un effet, selon vous ? Je ne crois pas, malheureusement. Parce qu'une fois encore, si vraiment il allait au bout de son discours, il faudrait dire : "On remet en question la colonisation", ce qui est absolument exclu puisque c'est une politique d'État depuis très longtemps. Donc, ce sont des paroles qui tendent à montrer, du point de vue de la communauté internationale, qu'on est en désaccord avec ces violences. Mais en réalité, c'est un cadre plus global de la politique israélienne de colonisation qui permet ces violences-là. Je crois que c'est ça la réalité, malheureusement. Une manifestation d'associations israéliennes a été empêchée ce matin, avec des organisations comme Peace Now (« La Paix maintenant »). Ce sont des voix, il faut le dire, minoritaires dans la société israélienne. Mais cette mobilisation, le fait que ces associations aient tenté de se mobiliser, c'est déjà important pour vous ? Le camp de la paix tel qu'il existait, disons à l'époque d'Oslo, ça nous ramène à il y a très longtemps, a presque disparu. Mais il y a encore des gens courageux qui essaient de reprendre ce flambeau. Peace Now et quelques autres. Et c'est vrai qu'il y a une fraction de la société israélienne qui se rend bien compte des impasses où conduit cette politique de colonisation. Et malheureusement, ils sont, comme vous le dites, assez minoritaires, et donc, eux aussi, subissent une répression de la part des autorités israéliennes. C'est ça le schéma qui perdure. À lire aussiDes habitants de villages palestiniens voient leur statut de résidence modifié par Israël
Dr Diamant Bob KALONJI
Mỗi năm, khoảng 600 tấn bã trái cây được tái chế thành phân hữu cơ, quay trở lại cải tạo đất để cây trồng thêm xanh tốt. Không chỉ vậy, 18.000 hũ & chai thủy tinh được tái sử dụng và tái chế mỗi tháng, bao bì hộp giấy đang được nghiên cứu tái chế thành vật liệu mới, giảm rác thải nhựa. Những việc làm bền bỉ ấy đang diễn ra ngay tại Công ty Cổ phần Vườn trái Cửu Long - Le Fruit, minh chứng sống động cho mô hình kinh tế tuần hoàn trong ngành chế biến nông sản.
Ce weekend, les vergers proposent des visites pédagogiques, dégustations et activités familiales pour faire découvrir le fruit préféré des Français : la pomme. Un événement pour […]
2025-09-14 | Mais le fruit de l'esprit c'est l'amour | Elie-Michel Ndalubila by Église Connexion de Rimouski
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Le chanteur et musicien jurassien Félicien Lia publie un nouveau mini-album baptisé " Tout bien tout triste ". Cinq titres enregistrés avec sa nouvelle formation composée de la bassiste Louise Knobil et du percussionniste également en charge des boîtes à rythmes Julien Israelian. Et qui privilégient des rythmiques dansantes pour contrebalancer le vague à lʹâme des textes. Il est au micro dʹOlivier Horner
durée : 00:10:23 - Bienvenue chez vous, au menu du jour - À Pont-de-l'Isère, Aurélien Esprit cultive 20 hectares de fruits d'été. Producteur passionné, il nous ouvre les portes de son verger et partage ses astuces pour savourer les fruits au bon moment, sans gaspiller. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
BALADO du VENDREDI! Voici LE fruit à manger pour vivre vieux! Une auditrice nous raconte une anecdote de jeunesse que vous ne croirez pas! MO et maire d’Amos avaient une surprise pour la gang du Boost!
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LA BELLE EXPERIENCE ( Je viens chercher le fruit ) 23-03-2025
C'est au troisième tour, avec 76% des voix, que le candidat mauritanien Sidi Ould Tah a été élu président de la Banque africaine de développement, le 29 mai dernier à Abidjan. Le score paraît très confortable, mais jusqu'au deuxième tour, rien n'était joué, car le Zambien Samuel Maimbo gardait toutes ses chances. Quelles sont les vraies causes de la victoire de la Mauritanie et quel rôle a joué secrètement le président Ghazouani ? En ligne de Nouakchott, son ministre des Affaires étrangères Mohamed Salem Ould Merzoug dévoile les coulisses du vote, au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Le docteur Sidi Ould Tah est le dernier candidat à s'être déclaré et pourtant il a gagné. Comment vous expliquez ce paradoxe ?Mohamed Salem Ould Merzoug : C'est un long processus. La campagne et puis le travail diplomatique sérieux ont commencé bien avant la déclaration formelle de sa candidature étant entendu que le travail qui a été fait l'année dernière par le président de la République pendant son mandat en tant que président en exercice de l'Union africaine a été un peu le terreau fertile sur lequel nous avons construit toute notre stratégie.Toute l'année dernière, c'est le président de la Mauritanie, Mohamed Ould Ghazouani, qui était à la tête de l'Union africaine...Tout à fait.On dit que, dès le début de cette année, le président ivoirien Alassane Ouattara vous avait dit qu'il serait derrière la candidature du docteur Ould Tah. Est-ce que c'est à ce moment-là que vous vous êtes dit : « On peut y aller, on peut annoncer sa candidature » ?La décision a en effet été prise par le président en concertation avec beaucoup de chefs d'États africains et en particulier avec son excellence le président Alassane Dramane Ouattara qui est un ami personnel et qui a été un soutien important pour notre candidat.Dès le début de cette année ?Dès le début de cette année, oui.Quand le docteur Ould Tah s'est lancé dans cette campagne, il n'était pas le favori. Tout le monde pensait au Zambien Samuel Munzele Maimbo, qui avait été vice-président de la Banque mondiale. Comment avez-vous relevé ce défi ?Pour vous parler franchement, dès le départ, nous n'avons jamais douté qu'il serait élu parce que nous avons, je pense, recherché le consensus et essayé de convaincre mais surtout d'être persévérant. Tout ce travail a été fait avec beaucoup d'humilité.Vous n'avez jamais douté parce que vous aviez déjà fait un travail souterrain et que vous aviez fait vos calculs. Vous saviez que vous aviez déjà un certain nombre de pays avec vous ?Tout à fait. Sous l'autorité directe du président de la République, on a donc essayé de ratisser large tout au long de l'année 2024.Et le plus gros contributeur africain, à savoir le Nigeria, il était pour qui ?Il a voté pour le candidat mauritanien.Dès le premier tour ?Dès le premier tour. Ça, ça a été décidé depuis très longtemps. Depuis février 2025, bien avant d'ailleurs.D'accord, mais le Nigeria a été très discret sur le candidat qu'il avait choisi. Il ne l'a pas dit jusqu'à la dernière minute...La discrétion est parfois le bon choix. Je peux vous assurer qu'excepté l'un des plus gros contributeurs qui avait un candidat, tous les autres ont voté pour le candidat Sidi Ould Tah.Oui, l'Afrique du Sud, évidemment, a voté pour sa candidate...Bien entendu.Mais vous dites que, outre le Nigeria, l'Égypte, l'Algérie et le Maroc…Tout ce que je peux vous dire, c'est que tous les plus gros contributeurs africains ont voté pour le candidat Sidi Ould Tah. Sidi n'a pas seulement été élu, mais il a été plébiscité.Il y avait donc les gros contributeurs qui ont voté pour votre candidat. Et puis il y a des petits contributeurs. On pense notamment aux trois États du Sahel, Mali, Burkina, Niger. Est-ce qu'ils étaient de votre côté ou pas ?Ils ont voté pour le candidat mauritanien. Il suffit de prendre une calculette, voilà.Par quel tour de force avez-vous réussi à être soutenu à la fois par les pays de l'AES, Mali, Burkina, Niger et par la France ?Il n'y a pas de contradiction. De toute façon, ce sont des actionnaires, donc chacun décide en fonction de ses intérêts.À quel moment avez-vous reçu le soutien de la France ?Durant le processus que je viens d'évoquer et qui a été un long processus. Mais qui a été un processus constructif et efficace. Il y a eu des discussions et des échanges avec l'ensemble de ces pays qui ont voté pour le candidat de notre pays.Mais est-ce que la France a voté pour votre candidat dès le premier tour ?Je pense qu'ils doivent avoir voté dès le premier tour. À ma connaissance, ils ont voté dès le premier tour pour le candidat Sidi Ould Tah.Il y a les États-Unis de Donald Trump. Ils ont voté pour qui ?Je ne le sais pas. Mais nous respectons leur choix.Ils n'ont pas voté pour vous au premier tour ?Pas à ma connaissance mais je ne peux pas répondre à leur place.On dit que c'est grâce essentiellement aux voix des Africains que le docteur Sidi Ould Tah a été élu. Parce que, chez les non régionaux, les votes étaient plus hésitants. Beaucoup préféraient le Zambien Samuel Maimbo, vous confirmez ?Je ne peux ni confirmer ni infirmer mais je sais que dans ces 76%, il y a eu une alchimie entre les pays africains et les non africains pour voter pour le docteur Sidi Ould Tah et nous en sommes absolument ravis. À lire aussiBAD: de quelle couleur est donc le développement ?À lire aussiLe Mauritanien Sidi Ould Tah élu président de la Banque africaine de développement
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Bruno Poncet et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Langues classiques à l'école : le fruit d'un combat vieux d'un siècle
Durant l'été 1997, à Wanze en Belgique, on retrouve le cadavre d'une mère de famille, Geneviève Tellier, et de ses trois filles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Tu veux que je te raconte l'histoire du fruit magique? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Ecoutez L'éco & You avec Pierre Herbulot du 27 décembre 2024.
Ecoutez L'éco & You avec Pierre Herbulot du 27 décembre 2024.
Fils de maraichers Lot-et-Garonnais, c'est à Aiguillon que Daniel passe son enfance. Attiré tout jeune par le rugby, il chausse les crampons au collège et paraphe sa première licence à peine plus tard au SU Agen. Se mettant rapidement en évidence, il devient international junior et débute avec l'équipe première agenaise à 20 ans ! Dès lors indispensable, il remporte le premier de ses 3 Boucliers de Brennus à peine 2 ans plus tard.Le 14 juillet 1979, il fait ses débuts avec le maillot frappé du coq, prenant part à la toute première victoire des Bleus en Nouvelle Zélande. Daniel devient ensuite le Capitaine du XV de France qui réalisera le Grand Chelem 1987 et qui sera finaliste de la Coupe du Monde la même année.Après avoir raccroché les crampons, il devient entraineur puis sélectionneur des Bleus jusqu'après la Coupe du Monde 1991. Par ailleurs homme d'un seul club, il aura tout connu avec le SU Agen puisqu'il en a été joueur, entraineur et même Président.Ayant excellé tant sur les terrains que dans les vergers, Daniel profite aujourd'hui de son temps libre avec sa petite famille, mais garde toujours un œil expert sur le sport qui l'a tant fait vibrer.J'ai passé un incroyable moment avec Daniel, et je suis certain que vous mesurerez le privilège que nous avons de pouvoir l'écouter.Bonne écoute !-----------------------------
Les Petites Conférences #6 C'est une école pas comme les autres. On pourrait l'appeler « l'école du dimanche ». On peut venir avec ses amis avec les parents ou les grands-parents, en famille ou tout seul, adulte ou enfant, pour rencontrer, écouter et dialoguer avec les plus grands, philosophes, historiens, plasticiens, musiciens, géographes, astrophysiciens, écrivains, mathématiciens, cuisiniers…Tous passionnés par leur métier et leur recherche ont accepté de venir partager leurs savoirs : Ulysse, le Minotaure, les mots, les images, la guerre, l'amour, la mort, la fête, l'amitié, les trous noirs, le langage, la beauté, le temps, la révolte, le fini et l'infini…À chaque fois un pan du monde est touché. Ensuite la conférence et le dialogue avec le public seront publiés aux éditions Bayard dans la collection qui comprend déjà plus de 80 titres et dont les livres sont traduits dans de nombreux pays en Europe et plus loin encore. Cette conférence aura pour thème “Comment devient-on un grand chef cuisinier ?” avec Michel Troisgros. Celui-ci incarne la troisième génération d'une des plus grandes familles de la gastronomie française.Il nous parlera des origines de sa carrière passionnée : les cuisines du célèbre restaurant familial à Roanne, les paysages du Forez, les traditions bourguignonnes, mais aussi la cuisine de sa grand-mère italienne, puis sa formation auprès des plus grands chefs, ses voyages autour du monde et sa découverte de la gastronomie japonaise. Il a construit son identité culinaire en réhabilitant l'acidité et en l'associant aux produits les plus simples. Pour lui, le plaisir se vit dans le partage, l'amitié, la curiosité : une plante, un client, un arbre, ou encore un artiste, un légume, un vigneron, un apprenti, un confrère, un jardinier, un parent, une volaille, un son, un agriculteur…rien n'est indifférent. Un passionné avec une folle envie de transmettre qu'il s'agisse de sa cuisine ou de son potager. Il a passé la main à ses fils César et Léo, et la tradition familiale se poursuit aujourd'hui avec la quatrième génération. Ce cycle de conférences est proposé par Gilberte Tsaï. À lire – Éric Poitevin, Michel Troisgros, Jean-Claude Lebensztejn, Servez citron, Macula, 2020. À regarder – Frederick Wiseman, Menus-Plaisirs – Les Troisgros, 2023.
Durant l'été 1997, à Wanze en Belgique, on retrouve le cadavre d'une mère de famille, Geneviève Tellier, et de ses trois filles.
Durant l'été 1997, à Wanze en Belgique, on retrouve le cadavre d'une mère de famille, Geneviève Tellier, et de ses trois filles.
Durant l'été 1997, à Wanze en Belgique, on retrouve le cadavre d'une mère de famille, Geneviève Tellier, et de ses trois filles.
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Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
durée : 00:28:26 - Le Feuilleton - "On dévisageait la femme mûre sans compagnon. Je feignais l'indifférence, alors que la colère martelait mes nerfs et que mes larmes retenues embuaient mes yeux. Je mesurais, aux regards étonnés, la minceur de la liberté ; accordée à la femme."
durée : 00:03:50 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Isaac s'interroge d'où vient cette tradition bien française de manger le fromage avant le dessert. Pour lui répondre Eric Birlouez, ingénieur agronome et sociologue spécialisé en agriculture et alimentation. - invités : Eric Birlouez - Eric Birlouez : Ingénieur agronome et sociologue de l'alimentation - réalisé par : Stéphanie TEXIER
durée : 00:28:26 - Le Feuilleton - "On dévisageait la femme mûre sans compagnon. Je feignais l'indifférence, alors que la colère martelait mes nerfs et que mes larmes retenues embuaient mes yeux. Je mesurais, aux regards étonnés, la minceur de la liberté ; accordée à la femme."
durée : 00:20:32 - Journal de 18h - La liberté de recours à l'interruption volontaire de grossesse sur le point d'être inscrite dans la Constitution française : une première mondiale. Le Parlement réuni en congrès au château de Versailles s'apprête à voter.
durée : 00:20:32 - Journal de 18h - La liberté de recours à l'interruption volontaire de grossesse sur le point d'être inscrite dans la Constitution française : une première mondiale. Le Parlement réuni en congrès au château de Versailles s'apprête à voter.
L'homme n'obtient que le fruit de ses efforts - Imam Assane SARR by XamSaDine
J'ai hésité à vous ressortir les paroles de la chanson de Francky Vincent pour démarrer cet épisode mais franchement, elles sont trop limites. Disons que le y'a pas que le sexe dans la vie Francky, y'a le fruit aussi ! Le fruit de la passion, c'est un fruit exotique au doux nom scientifique de passiflora edulis. L'arbre pousse dans les pays chauds et humides et notamment en Amérique du Sud. Là-bas, on l'appelle maracuja. Mais pourquoi alors le connait-on sous le nom de fruit de la passion ? On doit cette appellation aux colons espagnols à la fin du XVIe siècle. Lorsqu'ils mettent le pied sur cette terre nouvelle, l'Amérique, ils découvrent ce fruit. Ce n'est pas la forme, ni le gout de sa chair jaune acidulée et ses petits grains noires qui passionnent les missionnaires mais plutôt la volonté de convertir le peuple d'Amérique au christianisme. Ils prêchent la bonne parole en associant la fleur qui donne le maracuja à la passion du Christ. Les religieux voient la couronne d'épines que porte Jésus à sa crucifixion dans les pétales de la fleur, ses cinq plaies dans les cinq étamines et même le marteau qui a servi à enfoncer les clous sur la croix dans le pistil. Les Amérindiens eux, cultivent ce fruit exotique parce qu'il est bon, tout simplement mais aussi pour ses vertus thérapeutiques. Son jus permet alors de soigner les blessures et les douleurs oculaires. Encore aujourd'hui, le Brésil reste le plus grand producteur au monde de maracuja ou de grenadille, son autre petit nom. Le fruit de la passion a de nombreuses vertus, riche en vitamines C, il est aussi antioxydant. Petit conseil, le fruit de la passion est à maturité quand il est fripé. Ça vous donne moins envie qu'on beau fruit bien rond mais c'est comme ça qu'il sera meilleur. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[LE CHOIX DE LOUIE] Pour les fêtes, dans Passages, on vous propose de découvrir Il était une (première) fois, le podcast de récits intimes du magazine Elle. Des histoires de premiers regards échangés aux premières caresses qui, nous l'espérons, vous plairont autant qu'à nous. Cet épisode d'Il était une (première) fois a été diffusé pour la première fois le 15 novembre 2023.—Catherine a 60 ans lorsqu'elle quitte les ordres 45 ans après y être entrée. Elle retrouve enfin sa liberté, reprend contact avec son propre corps et sa féminité. A sa première rencontre avec un homme, les interdits explosent et laissent place à un désir profond de tendresse. A 70 ans, Catherine en paraît 18, vivant toutes ses nouvelles expériences comme des premières fois, une Métamorphose qu'elle raconte dans son livre éponyme, aux éditions Favre.
Durant l'été 1997, à Wanze en Belgique, on retrouve le cadavre d'une mère de famille, Geneviève Tellier, et de ses trois filles.
Durant l'été 1997, à Wanze en Belgique, on retrouve le cadavre d'une mère de famille, Geneviève Tellier, et de ses trois filles.
Tous les jours à 09H10, Valou répond aux questions que personne ne se pose et que vous lui posez !
Brutale, soudaine, inouïe. Comment expliquer le caractère exceptionnel de la Révolution française ? Quelles sont les causes de l'effondrement d'un régime qui semblait destiné à toujours durer ? « Ce prodigieux et incalculable bouleversement a sans doute été destiné à punir de grands crimes », disait alors l'historien français du XVIIIe siècle Jacob-Nicolas Moreau. Dès 1789, on cherche des responsables. Des grilles de lecture complotistes tentent d'expliquer la Révolution française : des thèses les plus farfelues aux hypothèses les plus argumentées. La Révolution serait le fruit d'actions occultes et préméditées, le fait d'une "main cachée" qui aurait planifié et déterminé le cours des événements et le destin des hommes de 1789. Philosophes, francs-maçons, Anglais, ministres de Louis XVI, clercs corrompus... Qui sont les coupables désignés par les thèses complotistes ? Tout est-il faux ? Qui accordait du crédit à ces thèses ? Que nous disent-elles des contemporains de la Révolution française ? De la société post-révolutionnaire ? L'invité : L'historien Edmond Dziembowski est spécialiste de l'histoire politique et culturelle, et a soutenu sa thèse de doctorat sur Les Français face à la puissance anglaise, 1750-1770. Il vient de publier La main cachée. Une autre histoire de la Révolution française (Perrin, 2023, 368 pages, 24.00 €) À lire aussi : "Les Illuminati : des Lumières aux théories du complot" : https://bit.ly/45zSxNY "Vers la Révolution : comment la France a basculé" : https://bit.ly/3Mw3lUO "Le secret nauséabond des « Protocoles des sages de Sion »" : https://bit.ly/428UqOX
Vivre son amour, loin l'un de l'autre… On l'a vu souvent dans EX… ça donne de sacrées histoires d'amour ! Mais alors quand l'histoire se passe entre le Kenya, l'Angleterre, Bruxelles et la Pologne… ça donne l'histoire EX…traordinaire de Marie !Clémentine De La Grange a réalisé cet épisode, Agathe Soreau l'a monté et mis en musique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.