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durée : 00:04:36 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Semaine spéciale Beatles ! Frédéric Pommier a remixé pour nous certaines de ses chroniques. Ce mercredi, nous réécoutons la romancière et éditrice Geneviève Brisac évoquer "Help", chanson de 1965 qui lui rappelle sa première boom et sa solitude de l'époque. (Rediffusion de l'émission du 13/01/2022.)
En janvier 2024, 1973 entreprises à mission étaient référencées en France, représentant un million de salariés. Ont-elles un rôle politique ? Quel est l'impact de ce statut sur leur attractivité et leur compétitivité ? Quelle est leur influence dans leur secteur ? Pourquoi ne sont-elles pas plus nombreuses ? Comment repérer le social washing ? Directrice générale de la communauté des entreprises à mission, Valérie Brisac répond à ces questions dans un grand entretien.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Anna Akhmatova, cette poète russe au destin des plus tragiques qui a pourtant marqué le monde de la poésie du XXè siècle. Geneviève Brisac nous raconte son histoire passionnante dans son nouveau livre éponyme « Anna Akhmatova, portrait », pour Vous m'en direz des nouvelles. C'est une histoire passionnante que vient nous raconter Geneviève Brisac avec son nouveau livre « Anna Akhmatova, portrait », dans Vous m'en direz des nouvelles. Celle d'une grande poète russe qui subit un destin à la fois tragique et grandiose. Anna Akhmatova, c'était une femme dont les 2 maris furent assassinés. Une mère dont le fils fut déporté. Une artiste qui vécut en Russie au XXè siècle une vie brûlante, traversée par la misère et la mort, sans jamais renoncer à écrire le monde. C'était aussi une femme qui a écrit sur les autres femmes pour leur rendre hommage.À son image, Geneviève Brisac confirme son goût pour les héroïnes avec la biographie, émouvante et subversive, qu'elle lui consacre.Anna Akhmatova, portrait, vient de paraître aux éditions Seghers.Reportage : Marjorie Bertin s'est rendue à la Maison de Victor Hugo, où « Victor Hugo s'escrime », retrace l'histoire du poète et se sert de la métaphore de l'escrime pour imager les combats de sa vie.
Anna Akhmatova, cette poète russe au destin des plus tragiques qui a pourtant marqué le monde de la poésie du XXè siècle. Geneviève Brisac nous raconte son histoire passionnante dans son nouveau livre éponyme « Anna Akhmatova, portrait », pour Vous m'en direz des nouvelles. C'est une histoire passionnante que vient nous raconter Geneviève Brisac avec son nouveau livre « Anna Akhmatova, portrait », dans Vous m'en direz des nouvelles. Celle d'une grande poète russe qui subit un destin à la fois tragique et grandiose. Anna Akhmatova, c'était une femme dont les 2 maris furent assassinés. Une mère dont le fils fut déporté. Une artiste qui vécut en Russie au XXè siècle une vie brûlante, traversée par la misère et la mort, sans jamais renoncer à écrire le monde. C'était aussi une femme qui a écrit sur les autres femmes pour leur rendre hommage.À son image, Geneviève Brisac confirme son goût pour les héroïnes avec la biographie, émouvante et subversive, qu'elle lui consacre.Anna Akhmatova, portrait, vient de paraître aux éditions Seghers.Reportage : Marjorie Bertin s'est rendue à la Maison de Victor Hugo, où « Victor Hugo s'escrime », retrace l'histoire du poète et se sert de la métaphore de l'escrime pour imager les combats de sa vie.
Episode 113 of A is for Architecture's is a conversation with Cécile Brisac, founder of Atelier Brisac, a practice based in London and Paris, with a body of work that includes housing, cultural buildings and sports facilities, produced since Atelier Brisac's founding, and previously with Brisac Gonzalez. Describing her practice's work, Cécile says ‘we're doing buildings that are uplifting, that have a certain amount of clarity, that are, you know, welcoming, and based around the users [and] designed with a sense of care. […] But then, in parallel to that, is obviously working at the scale of the city […] If you think of the word elegance in the engineering field […]the definition is something like ‘finding a solution to a range of problems that may not be connected to begin with'. […] I feel like that's what we're doing in a way.' An elegant expression of complex things. You can find Atelier Brisac on Instagram, and at atelierbrisac.com. Thanks for listening. + Music credits: Bruno Gillick
Avec Laurent Coq (piano) & Guilhem Flouzat (batterie) « Si ses poèmes sont des poèmes d'amour, la tragédie collective qu'Anna Akhmatova traverse avec son peuple est le fil rouge de son œuvre. Une tragédie qu'elle prophétise et traduit tout au long de sa vie… Ses chants d'amour et de désespoir forment la plus pudique et la plus déchirante des autobiographies. » Geneviève Brisac consacre un magnifique portrait à cette immense poétesse russe qu'était Anna Akhmatova. C'est en soeur et en poétesse d'aujourd'hui qu'elle nous fait redécouvrir la lucidité et le courage d'une femme que le régime communiste a voulu réduire au silence. En partenariat avec France Culture. À lire – Geneviève Brisac, Anna Akhmatova, portrait, Seghers, 2024
Cinq ans après la loi Pacte du 22 mai 2019 relative à la croissance et à la transformation des entreprises, qui introduit en droit français la qualité de « société à mission », quel est le bilan ? Valérie Brisac et Guillaume Desnoës, respectivement directrice générale et coprésident de la Communauté des entreprises à mission, reviennent dans SMART IMPACT sur les effets de cette qualité à l'échelle de l'entreprise. Et évoquent l'enjeu d'aller vers un cadre juridique européen pour les sociétés à mission.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
durée : 00:29:22 - Poésie et ainsi de suite - par : Manou Farine - "Je vais tout droit et de travers, vers jamais et vers nulle part, comme un train qui déraille" écrivait-elle. Aujourd'hui poèmes d'amour et de guerre. Lire et écrire Anna Akhmatova, avec Geneviève Brisac qui signe un portrait de la poétesse russe aux éditions Seghers. - invités : Geneviève Brisac Normalienne, agrégée de lettres, éditrice et écrivaine
Comment accélérer le passage systémique à une économie plus équilibrée en faisant un pas à la fois ? Dans cet épisode de Canary Call, Valérie Brisac nous partage son parcours et sa vision du monde des affaires. Directrice générale de la CEM depuis septembre 2023, Valérie a une trajectoire professionnelle riche, ayant débuté en tant que consultante en management chez Bossard Consultants avant de gravir les échelons dans des entreprises de renom comme Capgemini Consulting, Nexity et Allen & Overy. Son passage en tant que Directrice exécutive du Grand Défi des entreprises pour la planète a été un tournant, lui permettant de concrétiser son engagement pour le développement durable dans l'univers professionnel.Valérie se décrit comme une "orchestratrice", dirigeant l'équipe de la CEM et animant la communauté des entreprises à mission. Sa vision stratégique, combinée à une expérience variée dans la gestion de projet et le marketing, lui permet de mener des initiatives impactantes dans le monde de la transition écologique des entreprises.L'épisode explore son cheminement personnel et professionnel, mettant en lumière sa capacité à intégrer la dimension écologique et sociale dans ses différentes fonctions. Elle souligne l'importance de l'engagement des entreprises dans la transition écologique, pas seulement comme une obligation, mais comme une opportunité d'innover et de se réinventer. Un épisode qui interpelle non seulement sur le rôle des entreprises dans la société, mais aussi sur le pouvoir de l'initiative individuelle dans la création d'un avenir durable.Time codes : 1''10 : Introduction 2''30 : Le parcours de l'invitée 10''10 : Le tournant du Grand Défi 21''25 : Défis et enjeux de l'entreprise à mission 34''10 : Les freins40''10 : Quel est ton Canary Call ? Liens de l'épisode :Valérie BrisacCommunauté des Entreprises à Mission (CEM) 2ème Congrès français et européen des Entreprises à Mission le 16 mai 2024B Leaders B Corp Le Grand Défi des entreprises pour la planète Épisode #83 avec Marie-Anne AymerichÉpisode #19 avec Thomas d'Ansembourg
Post Face, émission littéraire présentée par Caroline Gutmann. Elle reçoit Valérie Zenatti pour son roman « Qui-Vive » aux éditions de l'Olivier. À propos du livre : « Qui-Vive ». paru aux éditions Olivier Afficher tous les formats et éditions Mathilde est devenue insomniaque. Puis, elle a perdu le sens du toucher. Il y a eu d'autres signes : des feuillets retrouvés à la mort de son grand-père, une vidéo de Leonard Cohen à Jérusalem, le retour de la guerre en Europe. Mathilde est désorientée. Est-ce pour cela qu'elle décide subitement de prendre un avion pour Israël?? Comme si la réponse aux questions qu'elle se pose l'attendait là-bas depuis toujours. De Tel-Aviv à Capharnaüm, puis à Jérusalem, ses rencontres avec des inconnus – et quelques fantômes – ne font qu'approfondir le mystère. Jusqu'au moment où, dans un éclair, la vérité lui apparaît. Prenant l'Histoire à bras-le-corps, Qui-vive est aussi l'itinéraire d'une femme qui cherche à réconcilier son paysage intérieur avec le monde qui l'entoure. Un roman aux multiples facettes qui confirme de manière éclatante le talent de son auteure. Quelques moments dans la vie de Valérie Zenatti : 1970 : naissance à Nice. 1976 : elle plonge dans les livres avec une jubilation qui ne la quittera pas. 1983 : elle part vivre en Israël avec ses parents, dans le désert du Néguev. 1986 : elle établit une liste de cent rêves, dont trente-huit ont été réalisés à ce jour. 1988 : elle effectue son service militaire, comme tous les garçons et les filles là-bas. Cette expérience a inspiré un livre, "Quand j'étais soldate" (2002), traduit dans différentes langues et couronné par plusieurs prix dont le Batchelder Honor Medal décerné par l'Association des Libraires américains. "Une bouteille dans la mer de Gaza" a suivi (prix Tam-Tam/Je bouquine 2005). 1997 : elle rencontre Geneviève Brisac qui lui donne miraculeusement la confiance et l'énergie nécessaires pour commencer un roman et le terminer ! 2006 : elle fait à peu près cinq fois le tour de France pour parler de ses livres. Ses connaissances en géographie, en gastronomie, en cantines scolaires et en horaires de train s'en ressentent fortement. Aujourd'hui, elle vit à Paris où elle partage son temps entre la traduction de l'oeuvre d'Aharon Appelfeld (Prix Médicis étranger 2004) et l'écriture de livres pour enfants, adolescents et adultes auxquels elle a destiné entre autres "En retard pour la guerre" et "Les âmes soeurs", parus aux Editions de l'Olivier.
durée : 00:58:18 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Geneviève Brisac dessine ici un portait sensible et personnel de l'écrivaine russe Ludmila Oulitskaïa, née en 1943, à la fois témoin de son siècle et formidable conteuse.
durée : 00:58:18 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Geneviève Brisac dessine ici un portait sensible et personnel de l'écrivaine russe Ludmila Oulitskaïa, née en 1943, à la fois témoin de son siècle et formidable conteuse.
A quelques semaines des Yacht Show de Cannes et Monaco, Anthony Brisac expert en yachting de Neoyot revient avec nous sur la tendance du marché pour les bateaux neufs et d'occasion.
durée : 00:58:00 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann - Pour écrire ce qu'on a dans la tête, il est nécessaire de cultiver une certaine solitude. Une forme d'indifférence provisoire au monde semble alors souhaitable pour développer son intériorité. C'est dans cette manière de se rendre disponible à ce qui se passe au dedans que naît l'inspiration. - invités : Geneviève Brisac normalienne, agrégée de lettres, écrivaine; Martin Rueff professeur de littérature française à l'Université de Genève, auteur de plusieurs livres de poésie, d'essais ainsi que traducteur de l'italien
durée : 00:58:42 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Je suis née des Allocations et d'un jour férié, dont la matinée s'étirait bienheureuse au son des je t'aime tu m'aimes joué à la trompette douce. C'était le début de l'hiver. Je naquis le 2 août, c'était ma date normale puisque je résultais du pont de la Toussaint.
durée : 00:58:42 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Je suis née des Allocations et d'un jour férié, dont la matinée s'étirait bienheureuse au son des je t'aime tu m'aimes joué à la trompette douce. C'était le début de l'hiver. Je naquis le 2 août, c'était ma date normale puisque je résultais du pont de la Toussaint.
durée : 00:57:33 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Selma Lagerlöf fut la première femme à recevoir le prix Nobel, en 1909, une année où Léon Tolstoï et Mark Twain étaient sur la liste. Née le 2O novembre 1858, elle avait cinquante et un ans.
Cette semaine, nous vous emmenons à la découverte de plusieurs personnalités. L'écrivaine et éditrice Geneviève Brisac pour la confidence inédite, le chef suisse Franck Giovannini pour le reportage inédit, l'auteur haïtien Néhémy Pierre Dahomey pour le questionnaire de Proust, le dessinateur belge Willy Lambil et la chercheuse histoire de la BD Christelle Pissavy-Yvernault pour le Club francophone ; le Docteur François Marquis pour l'entretien archive, l'auteur tunisien Yamen Manaï pour le voyage estival et Jil Caplan pour le coup de coeur créole. La confidence inédite de Geneviève Brisac Reportage inédit avec le chef suisse Franck Giovannini dans son restaurant 3 étoiles à Crissier en Suisse Le Questionnaire de Proust de l'auteur haïtien Néhémy Pierre Dahomey Le Club Francophone inédit spécial « 100 ans de Dupuis » depuis Marcinelle en Belgique avec le dessinateur belge Willy Lambil, créateur des « Tuniques Bleues » et Christelle Pissavy-Yvernault, chercheuse Histoire de la BD. Entretien archive de La Librairie Francophone à Mirabel au Québec dans la distillerie du Docteur François Marquis, chef du service des soins intensifs à l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont à Montréal. Le voyage estival de l'auteur tunisien, Prix des 5 Continents de la Francophonie, Yamen Manaï Le coup de cœur créole inédit de Jil Caplan.
Cette semaine, nous vous emmenons à la découverte de plusieurs personnalités. L'écrivaine et éditrice Geneviève Brisac pour la confidence inédite, le chef suisse Franck Giovannini pour le reportage inédit, l'auteur haïtien Néhémy Pierre Dahomey pour le questionnaire de Proust, le dessinateur belge Willy Lambil et la chercheuse histoire de la BD Christelle Pissavy-Yvernault pour le Club francophone ; le Docteur François Marquis pour l'entretien archive, l'auteur tunisien Yamen Manaï pour le voyage estival et Jil Caplan pour le coup de coeur créole. La confidence inédite de Geneviève Brisac Reportage inédit avec le chef suisse Franck Giovannini dans son restaurant 3 étoiles à Crissier en Suisse Le Questionnaire de Proust de l'auteur haïtien Néhémy Pierre Dahomey Le Club Francophone inédit spécial « 100 ans de Dupuis » depuis Marcinelle en Belgique avec le dessinateur belge Willy Lambil, créateur des « Tuniques Bleues » et Christelle Pissavy-Yvernault, chercheuse Histoire de la BD. Entretien archive de La Librairie Francophone à Mirabel au Québec dans la distillerie du Docteur François Marquis, chef du service des soins intensifs à l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont à Montréal. Le voyage estival de l'auteur tunisien, Prix des 5 Continents de la Francophonie, Yamen Manaï Le coup de cœur créole inédit de Jil Caplan.
durée : 01:47:34 - Le grand atelier - par : Vincent Josse, Amel KHALDI, Marie Mougin - Heureux de vous accueillir à la Grande Halle de la Villette, à Paris, au cœur d'un festival qui célèbre le livre, “MOT pour mots” à la Villette, à Paris, où l'on vient écouter des auteurs, croiser des lecteurs, acheter des livres… - invités : Antoine Compagnon, Chantal Thomas, Geneviève Brisac, Julia Kristeva, Frédéric Maget - Antoine Compagnon : Ecrivain, critique littéraire et académicien, Chantal Thomas : Philosophe, essayiste, romancière, Geneviève Brisac : Ecrivaine, Julia Kristeva : Ecrivain, psychanalyste et professeur, Frédéric Maget : Président de La Société des Amis de Colette - réalisé par : Karen DEHAIS
Dans cet épisode de la série Encodage, Fanie Demeule analyse Petite de Geneviève Brisac dans une communication intitulée «Petite parmi les fragments d'os» (2017). Émilie Sermadiras aborde la poétique du fragment dans l'œuvre de J.-K. Huysmans (2015) et David Azoulay nous parle de la pratique fragmentaire de Maurice Blanchot (2021). Les épisodes de la série «Encodage» se veulent un complément aux anthologies Encodage, des lettres thématiques composées de contenus provenant de différents sites web de l'écosystème numérique sur le contemporain du Centre Figura, du Laboratoire NT2 et de l'Observatoire de l'imaginaire contemporain. Tout comme les lettres Encodage, cette série de balado vise à revaloriser d'anciens contenus de recherche de notre écosystème sur l'imaginaire contemporain. Vous y entendrez des extraits d'enregistrement de conférences, de communications et de tables rondes issues des dix dernières années auxquelles s'ajouteront de nouvelles discussions et des contributions de chercheuses et chercheurs qui poseront un regard actuel sur ces archives.
Geneviève Brisac explore le monde de l'édition dans son dernier roman publié aux Editions de l'Olivier.
durée : 00:04:55 - La chronique de Clara Dupont-Monod - par : Clara Dupont-Monod - L'actualité, c'est le livre de notre invitée Geneviève Brisac : Les enchanteurs paru aux éditions de l'Olivier.
durée : 00:51:59 - Par Jupiter ! - par : Charline Vanhoenacker, Alex VIZOREK - Bonjour la France Inter ! Aujourd'hui, Juliette Arnaud et Guillaume Meurice reçoivent Geneviève Brisac pour son roman "Les enchanteurs" paru aux éditions de l'Olivier. - réalisé par : François AUDOIN
Rodney Saint Eloi, Geneviève Brisac, Thomas Gunzig et Mc Solaar - Rodney Saint Eloi pour « Quand il fait triste Bertha chante » aux éditions Héloïse d'Ormesson - Geneviève Brisac pour « Les enchanteurs » aux éditions de l'Olivier - Thomas Gunzig pour « Le sang des bêtes » aux editions Le Diable Vauvert - Mc Solaar pour la réédition de ses premiers albums et la place du rap dans la culture Francophone Présentation : Emmanuel KHERAD
durée : 00:54:03 - La librairie francophone - par : Emmanuel Kherad - Au programme, l'écrivain belge Thomas Gunzig qui raconte la crise de la cinquantaine avec un personnage adepte de la musculation, Le poète haïtien Rodney Saint-Eloi qui nous parle de sa mère et de son pays et Geneviève Brisac qui relate le monde de l'entreprise et du pouvoir
durée : 00:26:17 - Boomerang - par : Pierre Martinerie, Augustin Trapenard - Elle est romancière et revient, depuis trois décennies, avec férocité, humour et délicatesse, sur la place si complexe qu'occupent les femmes dans notre société. "Les enchanteurs", son nouveau roman, sort vendredi. Geneviève Brisac est l'invitée d'Augustin Trapenard. - invités : Geneviève Brisac - Geneviève Brisac : Ecrivaine - réalisé par : Lola COSTANTINI
durée : 00:59:41 - Tous en scène - par : Aurélie Charon - Guignol est une histoire de famille au Jardin du Luxembourg à Paris. En 1933, Robert Desarthis fonde le Théâtre de marionnettes, tenu aujourd'hui par son fils Francis-Claude Desarthis, accompagné lui aussi par son fils, Julien Desarthis. - invités : Geneviève Brisac écrivaine
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Une vie, une oeuvre - Doris Lessing", un documentaire sur la première femme prix Nobel de littérature, avec des analyses de Geneviève Brisac, Christine Jordis, Anne Rabinovitch et Josyane Savigneau, une archive de la voix de Doris Lessing et des lectures de ses ouvres par Françoise Lebrun. En 2014, Françoise Estèbe se penchait sur la vie et l'ouvre de Doris Lessing. * C'est avec une pirouette impertinente que Doris Lessing accueillit le Prix Nobel qui couronnait une oeuvre d'une cinquantaine d'ouvrages - nouvelles, poèmes, romans dont le fameux Carnet d'or, son livre culte, autobiographie, pièces de théâtre... Politiquement incorrecte, toujours. Rebelle et pugnace depuis sa petite enfance. Née en 1919 au lendemain de la Grande Guerre dont ses parents avaient cruellement souffert, elle faisait partie de cette génération d'enfants _"engendrés, déformés, pervertis"_disait-elle par la guerre. Il y a deux types de soldats, ceux qui ne parlent jamais de la guerre et ceux qui en parlent toujours. Mon père faisait partie de cette catégorie. Il parlait tout le temps des tranchées. Ma mère aussi car elle avait été infirmière durant la guerre. Je suis une enfant finalement de la première guerre mondiale par mes parents et par le poids qui a pesé sur mon enfance. On a toujours tendance à penser que la guerre se termine avec l'armistice or ce n'est pas vrai. Elle passa sa jeunesse en Rhodésie du Sud où ses parents menaient la vie rude et âpre des fermiers, une vie de dénuement dans l'isolement d'une nature captivante et menaçante. Elle fut révoltée par les préjugés de la société coloniale, provinciale et étriquée, et par la cruauté de la discrimination raciale. Fuir pour exister, voulut-elle très jeune, fuir cet ennui, cette société injuste, cette mère qu'elle haïssait - elle n'était pas tendre, Doris...Elle se maria une première fois par inadvertance, eut deux enfants, se maria une deuxième fois par devoir révolutionnaire avec un communiste allemand dont elle partageait la croyance fervente en un changement radieux de l'humanité, eut un troisième enfant avant de divorcer à nouveau. Elle s'échappa enfin pour Londres, en 1949, abandonnant ses deux premiers enfants. Londres - l'indépendance, l'écriture, la vie militante, l'amour libre. Mais il fallait survivre, seule, en charge d'un enfant dans les décombres d'une ville ruinée par la guerre. Doris Lessing écrit et se bat. Son premier livre Vaincue par la brousse est un coup de maître qui la fait reconnaitre d'emblée comme une grande romancière. Doris Lessing milite, est interdite de séjour en Rhodésie et en Afrique du Sud. Réfractaire aux dogmes, elle se détourne progressivement du communisme dont elle a le courage de dénoncer les illusions et les massacres. Celle qui fut l'icône du Women's lib fustige les féministes qui haïssent les hommes. Irréductible, elle échappe à tout et à tous, fidèle à sa ligne de conduite : on ne la piègera pas. _"J'ai pris tous les risques." _ Un documentaire avec des témoignages et des analyses de Geneviève Brisac, écrivaine, Christine Jordis, romancière, essayiste et éditrice, Anne Rabinovitch, traductrice et romancière, Josyane Savigneau, critique et journaliste Ce documentaire réalisé un an après la mort de Doris Lessing propose également des extraits d'archives avec la voix de Doris Lessing et des extraits de ses textes lus par Françoise Lebrun. Par Françoise Estèbe Réalisation Lionel Quantin Une vie, une oeuvre - Doris Lessing 1ère diffusion : 15/03/2014 Indexation web : Documentation sonore de Radio France
durée : 00:07:18 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Cette longue nuit de passage à l'heure d'hiver était consacrée à de multiples formes de sagas. Elle s'achève en compagnie de Pascale Frey et Geneviève Brisac, deux lectrices enchantées dans leur jeunesse par "Jalna" de Mazo de la Roche - invités : Pascale Frey Journaliste et chroniqueuse littéraire; Geneviève Brisac écrivaine
durée : 00:34:56 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Pour évoquer "Jalna" signée Mazo de La Roche, Philippe Garbit reçoit Pascale Frey et Geneviève Brisac, deux lectrices enchantées dans leur jeunesse par cette saga, récemment rééditée en quatre volumes par Omnibus. - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Pascale Frey Journaliste et chroniqueuse littéraire
STAY WILD KEEP READING – ARNAUD CATHRINE Un podcast animé par Sylvia Minne Durée épisode : 00 :46 :42 © READING WILD - 2021 Dans ce seizième épisode de Stay Wild Keep Reading Arnaud Cathrine se confie au micro de Sylvia Minne sur son rapport à la lecture et les auteurs qui ont marqué son chemin d'écriture «J'ai besoin de trouver dans l'espace littéraire des choses qui ne sont pas ailleurs ». Rencontre avec un homme qui aime lire les femmes, ses contemporains ; écrire au bord de la mer, et le style qui ose la franchise « Peu importe la voix et l'écriture, j'aime bien quand c'est tranchant, quand c'est âpre, et quand ça ne fait pas de cadeau ». Extraits de l'entretien "Ça a commencé quand j'étais adolescent et enfant, la lecture c'était une chambre entre moi et moi, et si j'allais lire des livres c'est parce que j'y cherchais des choses que je ne trouvais pas ailleurs, et a fortiori des échos à tous ce qui se tramait dans ma tête d'ado un peu wertherien. J'ai gardé ça en fait : je ne lis pas comme on se nourrirait, je lis vraiment parce que j'ai besoin de trouver dans l'espace littéraire des choses qui ne sont pas ailleurs » « Quand j'ai lu « L'étranger » de Camus je me suis dit « Ah, donc on a le droit ». Le droit d'avoir un champ lexical somme toute assez restreint/pauvre et pour autant d'être d'une complexité, d'une profondeur inouïe. Ça m'a décomplexé, ça m'a ouvert une porte, et après les américains ont joué ce rôle là aussi, Carver, Richard Ford… » « Il y a beaucoup de femmes qui m'ont élevé, à tous les sens du terme. Geneviève Brisac qui a été mon éditrice, et qui m'a fait découvrir beaucoup de femmes qui ont compté pour moi, Jean Rhys, Virginia Woolf et encore aujourd'hui Annie Ernaux, Chantal Thomas » « J'ai besoin de lire, j'ai besoin de voir des films, j'ai besoin d'écouter des chanteurs, j'ai besoin d'écouter de la musique ; c'est comme quelqu'un qui aurait faim tout le temps, ou qui a de nouveau faim ; c'est comme le désir qui revient, comme si on n'avait pas fait l'amour. C'est des marées. Moi je suis soumis à ces marées et je vais là où je peux combler ou avoir l'impression, l'illusion de combler un manque » Quelques auteurs cités dans cet épisode: Milan Kundera Albert Camus Emily Brontë Constance Debré Marcel Proust Raymond Carver Richard Ford Annie Ernaux Maylis de Kerangal Olivia Rosenthal Gustave Flaubert Roland Barthes Marguerite Duras Colette Célia Houdart Nathalie Sarraute Yasmina Reza Paul Verlaine Pierre Reverdy Jean Cocteau Marina Tsvétaïeva Gustave Miron Jean-Luc Lagarce Hervé Guibert Jean-Marc Roberts Geneviève Brisac Jean Rhys Virginia Woolf Françoise Sagan Fab Caro Anne Dufourmantelle Philippe Forest Maria Pourchet ... En conclusion de ce podcast, Arnaud Cathrine se prête au jeu du questionnaire lecture de Reading Wild pour nous délivrer quelques prescriptions littéraires, avant de lire à voix haute un extrait du livre de Chantal Thomas « Comment supporter sa liberté» Merci Arnaud pour toutes ces belles recommandations. Photographie Arnaud Cathrine : © Francesca Mantovani/ Reading Wild .... Arnaud Cathrine est l'auteur d'une trentaine de romans dont "Pas exactement l'amour" (ed.Verticales) ou encore « Les nouvelles vagues » dans la collection R des éditions Robert Laffont. Il est aussi conseiller littéraire sur de nombreux festival littéraires, et aussi à la Maison de la poésie à Paris. « Début de siècles » le nouveau livre d'Arnaud Cathrine paraîtra le le 6 janvier 2022 aux Editions Verticales / Gallimard --- Cet épisode 16 de Stay Wild Keep Reading a été enregistré à Paris --- mercredi 21 juillet 2021 au domicile d'Arnaud Cathrine A propos de ce podcast Abonnez-vous ici-même, sur iTunes, Spotify, Youtube ou via n'importe quelle application de podcasts. Tenez-vous au courant des prochains épisodes en nous suivant sur Twitter, Facebook ou Instagram @readingwild. Stay Wild Keep Reading est une production Reading Wild (www.readingwild.fr) présentée par Sylvia Minne
durée : 00:58:46 - Grande Traversée : la comtesse de Ségur, sans manière - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - La comtesse de Ségur avait beaucoup à dire sur l'éducation des enfants. Ses romans sont ceux d'une mère et d'une grand-mère devenue écrivaine. - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Mazarine Pingeot écrivaine, professeure agrégée de philosophie à l'Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis; Caroline Eliacheff Pédopsychiatre et psychanalyste; Michel Zink professeur au Collège de France, Chaire de Littératures de la France médiévale; Nathalie Froloff professeure en classes préparatoires au lycée Louis le Grand; Marianne Alphant; Sophie De Mijolla-Mellor psychanalyste et philosophe. Elle exerce la psychanalyse en cabinet libéral et enseigne et dirige des recherches en psychanalyse et psychopathologie à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est par ailleurs présidente de l'Association; Tiphaine Samoyault Essayiste, traductrice et critique littéraire (rédactrice en chef du site En Attendant Nadeau), professeure de littérature comparée à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et directrice d'études à l'EHESS.; Maialen Berasategui journaliste littéraire; Francis Marcoin; Isabelle Nières-Chevrel professeur émérite université de Rennes II; Marie-Joséphine Strich écrivain, docteur es lettres, professeur de littérature; Marie-Pierre Rey Professeure d'histoire russe et soviétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directrice du Centre de recherches en histoire des Slaves de l'Institut Pierre Renouvin; Marie Desplechin Ecrivain, auteure de livres pour adultes et pour enfant.
durée : 00:59:08 - Grande Traversée : la comtesse de Ségur, sans manière - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - Où il est question des nombreuses analyses psychanalytiques qui ont été faites de son œuvre. - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Mazarine Pingeot écrivaine, professeure agrégée de philosophie à l'Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis; Caroline Eliacheff Pédopsychiatre et psychanalyste; Michel Zink professeur au Collège de France, Chaire de Littératures de la France médiévale; Nathalie Froloff professeure en classes préparatoires au lycée Louis le Grand; Marianne Alphant; Sophie De Mijolla-Mellor psychanalyste et philosophe. Elle exerce la psychanalyse en cabinet libéral et enseigne et dirige des recherches en psychanalyse et psychopathologie à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est par ailleurs présidente de l'Association; Tiphaine Samoyault Essayiste, traductrice et critique littéraire (rédactrice en chef du site En Attendant Nadeau), professeure de littérature comparée à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et directrice d'études à l'EHESS.; Maialen Berasategui journaliste littéraire; Francis Marcoin; Isabelle Nières-Chevrel professeur émérite université de Rennes II; Marie-Joséphine Strich écrivain, docteur es lettres, professeur de littérature; Marie-Pierre Rey Professeure d'histoire russe et soviétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directrice du Centre de recherches en histoire des Slaves de l'Institut Pierre Renouvin; Marie Desplechin Ecrivain, auteure de livres pour adultes et pour enfant.
durée : 00:58:37 - Grande Traversée : la comtesse de Ségur, sans manière - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - La comtesse de Ségur est une grande écrivaine discrète, qui a pris toute la place littéraire que l'époque et les circonstances lui autorisaient. - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Mazarine Pingeot écrivaine, professeure agrégée de philosophie à l'Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis; Caroline Eliacheff Pédopsychiatre et psychanalyste; Michel Zink professeur au Collège de France, Chaire de Littératures de la France médiévale; Nathalie Froloff professeure en classes préparatoires au lycée Louis le Grand; Marianne Alphant; Sophie De Mijolla-Mellor psychanalyste et philosophe. Elle exerce la psychanalyse en cabinet libéral et enseigne et dirige des recherches en psychanalyse et psychopathologie à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est par ailleurs présidente de l'Association; Tiphaine Samoyault Essayiste, traductrice et critique littéraire (rédactrice en chef du site En Attendant Nadeau), professeure de littérature comparée à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et directrice d'études à l'EHESS.; Maialen Berasategui journaliste littéraire; Francis Marcoin; Isabelle Nières-Chevrel professeur émérite université de Rennes II; Marie-Joséphine Strich écrivain, docteur es lettres, professeur de littérature; Marie-Pierre Rey Professeure d'histoire russe et soviétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directrice du Centre de recherches en histoire des Slaves de l'Institut Pierre Renouvin; Marie Desplechin Ecrivain, auteure de livres pour adultes et pour enfant.; Julie Wolkenstein écrivain, enseignante en université et traductrice
durée : 00:59:46 - Grande Traversée : la comtesse de Ségur, sans manière - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - Des lecteurs et des lectrices de la comtesse de Ségur racontent leurs souvenirs des moments passés dans ses livres, seuls ou avec des parents qui leur lisaient, au bord du lit, ses histoires simples et extraordinaires. - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Mazarine Pingeot écrivaine, professeure agrégée de philosophie à l'Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis; Caroline Eliacheff Pédopsychiatre et psychanalyste; Michel Zink professeur au Collège de France, Chaire de Littératures de la France médiévale; Nathalie Froloff professeure en classes préparatoires au lycée Louis le Grand; Marianne Alphant; Sophie De Mijolla-Mellor psychanalyste et philosophe. Elle exerce la psychanalyse en cabinet libéral et enseigne et dirige des recherches en psychanalyse et psychopathologie à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est par ailleurs présidente de l'Association; Tiphaine Samoyault Essayiste, traductrice et critique littéraire (rédactrice en chef du site En Attendant Nadeau), professeure de littérature comparée à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et directrice d'études à l'EHESS.; Moustapha Tafnil; Didier Morel journaliste; Maialen Berasategui journaliste littéraire; Francis Marcoin; Isabelle Nières-Chevrel professeur émérite université de Rennes II; Marie-Joséphine Strich écrivain, docteur es lettres, professeur de littérature; Marie-Pierre Rey Professeure d'histoire russe et soviétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directrice du Centre de recherches en histoire des Slaves de l'Institut Pierre Renouvin; Marie Desplechin Ecrivain, auteure de livres pour adultes et pour enfant.
durée : 01:00:10 - Grande Traversée : la comtesse de Ségur, sans manière - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - La comtesse de Ségur a grandi en Russie dans un environnement extraordinaire. Proche de la cour et de ses intrigues, elle est la fille de Fiodor Rostopchine, l'homme qui a incendié Moscou pour que la ville ne tombe pas aux mains de Napoléon. - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Mazarine Pingeot écrivaine, professeure agrégée de philosophie à l'Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis; Caroline Eliacheff Pédopsychiatre et psychanalyste; Michel Zink professeur au Collège de France, Chaire de Littératures de la France médiévale; Nathalie Froloff professeure en classes préparatoires au lycée Louis le Grand; Marianne Alphant; Sophie De Mijolla-Mellor psychanalyste et philosophe. Elle exerce la psychanalyse en cabinet libéral et enseigne et dirige des recherches en psychanalyse et psychopathologie à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est par ailleurs présidente de l'Association; Tiphaine Samoyault Essayiste, traductrice et critique littéraire (rédactrice en chef du site En Attendant Nadeau), professeure de littérature comparée à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et directrice d'études à l'EHESS.; Maialen Berasategui journaliste littéraire; Francis Marcoin; Isabelle Nières-Chevrel professeur émérite université de Rennes II; Marie-Joséphine Strich écrivain, docteur es lettres, professeur de littérature; Marie-Pierre Rey Professeure d'histoire russe et soviétique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directrice du Centre de recherches en histoire des Slaves de l'Institut Pierre Renouvin; Marie Desplechin Ecrivain, auteure de livres pour adultes et pour enfant.
Geneviève Brisac révèle les blessures de son enfance, la difficulté de “montrer” ce qu'elle écrivait. Elle rend hommage à toutes les écrivaines qui l'ont entourée, accompagnée - Virginia Woolf, Marina Tsvetaïeva, Flannery O'Connor - qui l'ont aidée à chercher une “phrase souple, drôle, mélancolique” dans laquelle elle se sentait elle-même. Écrivaine, essayiste, autrice de plus de trente récits personnels (dont “Petite” qui a reçu le prix Femina), essais féministes éclairants, livres pour enfants, Geneviève Brisac a aussi été critique littéraire au Monde pendant plus de vingt ans, autrice de fictions sonores à France Culture et éditrice chez Gallimard. Normalienne et agrégée de lettres, diplômée de philosophie, cette ancienne enseignante revient dans plusieurs livres son enfance, ses origines arméniennes, la difficulté de son rapport à sa mère (“Chagrin d'aimer”), ses combats et engagements en faveur des vulnérables (“J'attends de voir passer un pingouin”) et des femmes écrivaines à qui elle doit beaucoup (“Sisyphe est une femme”). Dans cet épisode, l'écrivaine et éditrice à la carrière exceptionnelle révèle les blessures de son enfance, à l'époque où elle vivait dans l'ombre de sa mère écrivaine aussi et entourée de son “gang de soeurs”, la difficulté de “montrer” ce qu'elle écrivait. Elle rend hommage à toutes les écrivaines qui l'ont entourée, accompagnée - Virginia Woolf, Marina Tsvetaïeva, Flannery O'Connor - qui l'ont aidée à chercher une “phrase souple, drôle, mélancolique” dans laquelle elle se sentait elle-même. Elle raconte, avec une drôlerie épatante, les efforts et sacrifices qu'elle a dû faire pour attirer le seul regard qui comptait pour elle : celui de ses parents. Et la révolte intérieure qui lui a dicté un grand nombre de ses livres engagés . A la fin de l'épisode,elle nous lance un défi d'écriture qui promet de nous régaler (à tous les points de vue !). En 2021, les éditions de l'Olivier rééditent une version poche de “Petite”, à l'occasion des trente ans de la maison d'édition. En 2019, Geneviève Brisac a publié “Sisyphe est une femme”, une version revue et augmentée du livre “La Marche du cavalier”, dans lequel elle cherchait à “remettre à l'honneur ces grandes écrivaines, nos aînées, celles à qui nous devons la force et le courage d'écrire ce que nous voyons”. A l'automne 2022, Geneviève Brisac publiera une lettre adressée à Virginia Woolf dans la collection “Les Affranchis” chez Robert Laffont. Extrait lu dans l'épisode “Sisyphe est une femme” de Geneviève Brisac (L'Olivier) Pages 10 à 12 Création et réalisation : Lauren Malka. Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout.
España. Agosto de 1939. Pasaron sólo cuatro meses desde el final de la Guerra Civil. El último parte de guerra fue firmado por el dictador Francisco Franco, que declaró así su victoria y estableció una dictadura, que duraría hasta el día de su muerte en 1975. En ese régimen, una larga noche de muerte y dolor que duró 40 años, hubo un episodio especialmente recordado por lo cruento del odio fascista. La noche del 4 de agosto de 1939, un grupo de 13 mujeres fueron elegidas al azar entre cuatro mil. Todas hacinadas en la cárcel del barrio madrileño de Ventas. Muchas de ellas eran menores de edad. Algunas, militantes de las Juventudes Socialistas Unificadas. Todas acusadas del delito de “adhesión a la rebelión”. El régimen de Franco no se conformó con meterlas presa en una cárcel con condiciones infrahumanas. Organizó un juicio sumarísimo, que antes de comenzar ya tenía condena. Las mujeres fueron trasladadas en un camión hasta la tapia del cementerio de la Almudena, alineadas frente a la pared y ejecutadas por un pelotón de fusilamiento. A partir de ese momento, la historia de esas mujeres se convirtió en leyenda, que sigue viva en libros, películas y obras de teatro. Se las llamó “Las 13 Rosas” por su juventud. Y aún hoy son un símbolo de lo más execrable del régimen franquista. Esta carta fue escrita por una de las condenadas, la pianista y costurera Blanca Brisac, la noche antes de su fusilamiento. Está dirigida a su único hijo de once años. “Voy a morir con la cabeza alta”, le dice al niño. Le manda besos postales. Y se despide hasta la eternidad. Lee la actriz Oka Giner. ****** Querido, muy querido hijo de mi alma, En estos últimos momentos tu madre piensa en ti. Sólo pienso en mi niñito de mi corazón que es un hombre, un hombrecito, y sabrá ser todo lo digno que fueron sus padres. Perdóname, hijo mío, si alguna vez he obrado mal contigo. Olvídalo hijo, no me recuerdes así, y ya sabes que bien pesarosa estoy. Voy a morir con la cabeza alta. Sólo por ser buena: tú mejor que nadie lo sabes, Quique mío. Sólo te pido que seas muy bueno, muy bueno siempre. Que quieras a todos y que no guardes nunca rencor a los que dieron muerte a tus padres, eso nunca. Las personas buenas no guardan rencor y tú tienes que ser un hombre bueno, trabajador. Sigue el ejemplo de tu papachín. ¿Verdad, hijo, que en mi última hora me lo prometes? Quédate con mi adorada Cuca y sé siempre para ella y mis hermanas un hijo. El día de mañana, vela por ellas cuando sean viejitas. Hazte el deber de velar por ellas cuando seas un hombre. No te digo más. Tu padre y yo vamos a la muerte orgullosos. No sé si tu padre habrá confesado y comulgado, pues no le veré hasta mi presencia ante el piquete. Yo sí lo he hecho. Enrique, que no se te borre nunca el recuerdo de tus padres. Que te hagan hacer la comunión, pero bien preparado, tan bien cimentada la religión como me la enseñaron a mí. Te seguiría escribiendo hasta el mismo momento, pero tengo que despedirme de todos. Hijo, hijo, hasta la eternidad. Recibe después de una infinidad de besos el beso eterno de tu madre. Blanca.
La brillante chercheuse, autrice et performeuse Wendy Delorme est l'invitée du 98e épisode de La Poudre. Avec Lauren Bastide, elles ont parlé de Rosa, de Raphaël, de Grâce et de Louise.L'édito de Lauren :Il existe un art féministe d'écrire le passé et le futur. Dans l'épisode précédent j'évoquais avec Geneviève Brisac l'Orlando de Virginia Woolf et ce·tte voyageur·euse du temps qui préfigure presque les transidentités contemporaines. Et puis il y a Herland, d'une de mes idoles, Charlotte Perkins Gilman, qui imaginait au tout début du XXe siècle le fonctionnement d'une société entièrement exemptée d'hommes. Dans La Parabole du semeur, Octavia Butler imagine en 1993 la société américaine de 2025. Une société de violence et de chaos que seule peut sauver l'empathie. Et puis il y a bien sûr La Servante écarlate, de Margaret Atwood, que j'ai eu la chance de recevoir dans La Poudre, une étrange et inquiétante prévisualisation de l'Amérique trumpiste. Toutes ces autrices féministes ont pour point commun de puiser dans le présent les éléments qui nous démontrent où nous conduirait le pire, mais aussi où se situe l'espoir. Et c'est exactement ce que fait, dans Viendra le temps du feu, Wendy Delorme. Wendy Delorme était bien là, bien présente sur la scène du Carreau du Temple ce soir-là. Pour la première rencontre de La Poudre en présentiel depuis longtemps. Parce que les livres c'est bien, mais les corps, je crois, c'est encore mieux.Résumé de l'épisode :Wendy Delorme est docteure en sciences de l'information et de la communication, enseignante, autrice de grand talent et performeuse, autant de cordes à son arc qui nourrissent toute son œuvre. Son dernier roman, Viendra le temps du feu, mêle des événements réels à un futur potentiel, dans un élan visionnaire qui résonne avec la démarche de Margaret Atwood et sa Servante écarlate (12:35). Dans ce texte, c'est aussi Monique Wittig que l'écrivaine convoque (14:04), une autrice qui a marqué son parcours de sa langue romanesque à la puissance symbolique sans pareille (16:30). L'écriture tient un rôle important dans la vie de Wendy Delorme, et ce depuis son enfance, lorsque sa grand-mère envoyait ses poèmes de petite fille à des maisons d'édition (25:52). La force qu'elle tire de cette transmission, elle la trouve aussi chez ses aînées choisies, les militantes lesbiennes qu'elle a rencontré dès les débuts de son engagement politique, alors qu'elle découvrait l'ampleur du champ féministe (28:47). C'est en écrivant sa thèse qu'elle s'est profondément ancrée dans cette mémoire, en se plongeant dans l'histoire des mouvements LGBTQI+ (31:13). Docteure et performeuse, autrice et enseignante, elle passe du monde de l'intellect à celui du corps sans voir ni opposition ni barrière entre eux, contrairement à la tradition française qui voudrait les garder bien séparés (34:16). Elle défend ainsi le droit pour chacun·e à disposer de son corps comme iel l'entend, tissant des liens indiscutables entre divers enjeux féministes (38:07). Elle-même interroge son propre corps, et comment la façon dont sa forme de féminité et la manière dont elle est perçue viennent interagir avec son discours politique (42:58). Un discours qu'elle avait mis en veille pendant les premières années de sa parentalité, sidérée par la violence de la Manif' pour tous (49:46), mais qu'elle porte haut à nouveau aujourd'hui, renforcée par le pouvoir de la sororité (57:00). Membre d'un collectif d'écriture, RER Q (18:09), elle mesure la valeur de l'écriture à plusieurs mains, plusieurs cœurs et si cette sororité reste indissociable de la non-mixité, il n'y a aucun doute sur le fait que pour elle, le futur s'écrit au féminin pluriel (59:30).Bonne écoute, et continuez de faire parler La Poudre ! La Poudre est une émission produite par Nouvelles ÉcoutesRéalisation et générique : Aurore Meyer-MahieuProgrammation et coordination : Gaïa MartyMixage : Marion Emerit
Geneviève Brisac, écrivaine poignante, savante et immense lectrice de Virginia Woolf est l'invitée du 97e épisode de La Poudre. Avec Lauren Bastide, elles ont parlé de Virginia, de génie et de folie.L'édito de Lauren :Je ne sais pas si je vous ai dit combien j'aimais le Carreau du Temple, son équipe, ce lieu, les idées qui y circulent. Le cycle de rencontres « Parole aux savant·e·s » aurait dû avoir lieu sur la scène de son auditorium, mais bon ça s'est passé surtout sur Zoom. Mais même sur Zoom, on pouvait sentir la bienveillance et la passion du Carreau derrière ces rencontres. Donc vraiment je voulais encore leur dire merci. En mars, je me souviens, j'étais un peu au bout du rouleau à cause des confinements successifs et puis du reste. Pour la rencontre prévue le 8 mars, j'ai eu vraiment envie de me faire un cadeau et de vous faire un cadeau en parlant de ma personne préférée dans toute l'histoire du féminisme : Virginia Woolf. Et je l'ai fait avec une femme aussi érudite que bienveillante : Geneviève Brisac. Et c'était fabuleux. En réécoutant cet épisode, je retrouve la joie que je cherchais à convoquer ce soir-là. Mission, donc, accomplie. Les rencontres au Carreau peuvent reprendre en présentiel ce mois-ci, donc joie, joie et encore joie. Résumé de l'épisode :Geneviève Brisac est une autrice prolifique à l'écriture merveilleuse qui depuis toujours rend hommage aux nombreuses écrivaines et artistes dont le travail l'accompagne. Virginia Woolf est l'une de ces figures, peut-être la plus centrale. Geneviève Brisac admire ainsi sa capacité à dire vrai sur elle-même (09:37), à se livrer sans fard, dans tous les états de son être et jusque dans les replis de sa folie, à laquelle elle assimile la maladie (10:57). C'est d'ailleurs dans la maladie que Geneviève Brisac s'en est fait une compagne de route (13:43). Une compagne qui apporte souvent de la combativité et de l'espoir, même si, comme Sylvia Plath, elle a fini par le perdre elle-même (15:53). Dans ses journaux, l'écrivaine britannique se livre toute entière, à commencer par la relation complexe qu'elle entretient avec sa mère et l'admiration qu'elle lui voue malgré son incapacité à se conformer au modèle d'ange du foyer qu'elle lui renvoie (28:33). Elle évoque également son quotidien à Bloomsbury, entourée de sa sœur, son frère et des amis de ce dernier, petit groupe au cœur de l'effervescence intellectuelle de l'époque (31:13). Une expérience de remise en question des normes de genre et des relations qui pourrait aisément trouver son parallèle dans le bouillonnement de mai 68. Bien qu'elle soit parfois renvoyée à sa position aristocratique, pour Geneviève Brisac Virginia Woolf est une figure transgressive, qui avait choisi un quotidien bien loin des carcans de sa classe et de son genre, ou qui cherchait par exemple à construire une relation de couple égalitaire (36:30). Les réflexions qu'elle menait avec son entourage font ainsi écho bien après son temps, comme lors de la redécouverte d'« Une Chambre à soi » dans les années 1970 (43:01). Sa lectrice fidèle constate à quel point la guerre a balayé toutes ces avancées, les effaçant de l'histoire (39:02). Le suicide de l'écrivaine est d'ailleurs éminemment politique selon Geneviève Brisac (1:03:25), lié à son découragement face à la violence. Ses textes, qui sont parfois ardus mais valent toujours le travail entrepris pour les appréhender (59:00) résonnent fort avec les réflexions actuelles des mouvements féministes (1:06:00). Et si vous hésitez encore à aller à sa rencontre, les mots émouvants de Geneviève Brisac sur l'œuvre magistrale de Virginia Woolf et sur tous les mystères qu'elle recèle encore (1:12:18) ne peuvent que finir de vous convaincre.Bonne écoute, et continuez de faire parler La Poudre ! La Poudre est une émission produite par Nouvelles ÉcoutesRéalisation et générique : Aurore Meyer-MahieuProgrammation et coordination : Gaïa MartyMixage : Marion Emerit
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Une vie, une oeuvre - Doris Lessing", un documentaire sur la première femme prix Nobel de littérature, avec des analyses de Geneviève Brisac, Christine Jordis, Anne Rabinovitch et Josyane Savigneau, une archive de la voix de Doris Lessing et des lectures de ses œuvres par Françoise Lebrun. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Doris Lessing; Geneviève Brisac écrivaine; Josyane Savigneau écrivaine et journaliste; Anne Rabinovitch traductrice et romancière
durée : 00:58:43 - Les Chemins de la philosophie - par : Adèle Van Reeth, Géraldine Mosna-Savoye - En 1929, Virginia Woolf reçoit une commande, celle d’écrire un essai sur les liens entre femme et roman. Elle énonce alors cette idée : pour écrire, une femme a besoin de deux choses, 500 livres de rente, et une chambre à soi. L'esprit s'incarne dans la chambre... aurait-elle alors une âme ? - réalisation : Nicolas Berger, Thomas Beau - invités : Geneviève Brisac écrivaine
durée : 00:58:33 - L'Atelier fiction - Geneviève Brisac nous fait découvrir Natalia Ginzburg (1916-1991), une auteure qui a été énormément lue et obtint de nombreux prix littéraires en Italie, et qui est aujourd’hui injustement méconnue.
durée : 00:58:49 - Toute une vie - par : Françoise Estèbe - C'est avec une pirouette impertinente que Doris Lessing accueillit le Prix Nobel qui couronnait une oeuvre d'une cinquantaine d'ouvrages - nouvelles, poèmes, romans dont le fameux "Carnet d'or", son livre culte, autobiographie, pièces de théatre... - réalisation : Lionel Quantin - invités : Geneviève Brisac écrivaine; Josyane Savigneau écrivaine et journaliste; Anne Rabinovitch traductrice et romancière; Christine Jordis Romancière, essayiste et éditrice
Mona Ozouf est philosophe et historienne. Auteure avec François Furet du «Dictionnaire critique de la Révolution française», elle a publié une trentaine d’ouvrages. À l'aube de ses quatre-vingt-dix printemps, Mona Ozouf commente un recueil de ses textes paru sous le titre «Pour rendre la vie plus légère, les livres, les femmes, les manières» (Stock). « Pourquoi la littérature ? Parce que la littérature nous pourvoit de dons que nous n’avons pas. Elle nous pourvoit immédiatement de l’ubiquité. Grâce à la littérature, nous vivons dans des pays, des villes où nous n’avons jamais posé le pied. Grâce à la littérature, nous pouvons reculer vers des époques révolues. Il y a une sorte d’immense liberté que donne la pratique des livres, et que nous n’avons pas. La démultiplication de l’existence dans la littérature est une chance précieuse. » Ce volume contient les principales émissions faites par Mona Ozouf à « Réplique », sous la direction d’Alain Finkielkraut : sur les femmes et la singularité de leur écriture ; sur les livres comme « patrie » ; sur la galanterie française ; sur la civilité ; sur le Panthéon ; sur la Révolution française ; sur Henry James ; sur George Eliot. Les partenaires avec lesquels elle dialogue ici sont Diane de Margerie, Claude Habib, Pierre Manent, Geneviève Brisac, Philippe Belaval, Philippe Raynaud, Patrice Gueniffey. C’est tout un parcours intellectuel qui est ici dessiné, depuis ses travaux fondateurs sur la Révolution française jusqu’à ce qu’elle appelle ses « échappées belles » en littérature. (Présentation des éditions Stock) (Rediffusion du 6 mars 2020)
durée : 00:52:27 - Les Grandes Traversées - par : Geneviève Brisac - Geneviève Brisac nous conte l'histoire d'une femme passionnée et d'une écrivaine immense, qui vécut à travers les guerres, la Révolution et la grande Terreur stalinienne : Anna Akhmatova.
durée : 01:49:00 - Grandes traversées : Anna Akhmatova, l'inconnue de Leningrad - par : Geneviève Brisac - Geneviève Brisac nous conte l'histoire d'une femme passionnée et d'une écrivaine immense, qui vécut à travers les guerres, la Révolution et la grande Terreur stalinienne : Anna Akhmatova. - réalisation : Jean-Philippe Navarre
Invitée de la rédaction : Geneviève Brisac, écrivaine et éditrice. À propos du livre : «Sisyphe est une femme. La Marche du cavalier» paru aux éditions de l’Olivier " Comment dire mieux ce travail de Sisyphe : remettre à l'honneur ces grandes écrivaines, nos aînées, celles à qui nous devons la force et le courage d'écrire ce que nous voyons, ce que nous sentons, ce que nous savons, et qui, décennie après décennie, sont renvoyées à leurs ténèbres, oubliées, effacées encore et encore. Celles à qui nous devons la force et le courage de décrire ce recoin de perplexité où rien n'est majestueux ni symbolique, mais où tout est important, les soupirs, les rhumes, les agonies, les bains de mer. " Dans la nouvelle édition, révisée et augmentée, de La Marche du cavalier, Geneviève Brisac explore les œuvres de Christiane Rochefort, Doris Lessing, Natalia Ginzburg, Vivian Gornick... Un regard singulier sur les femmes et l'écriture, une invitation à lire autrement. Normalienne et agrégée de lettres, Geneviève Brisac a enseigné en Seine-Saint-Denis avant de devenir éditrice et écrivaine. Elle est l'autrice de nombreux romans et essais, sur Flannery O'Connor ou Grace Paley, Salinger ou Karen Blixen. Après Petite (L'Olivier, 1994), Week-end de chasse à la mère obtient le prix Femina en 1996 et Une année avec mon père le prix des Éditeurs en 2010. Récemment, Geneviève Brisac a fait paraître Dans les yeux des autres (L'Olivier, 2014) et Vie de ma voisine (Grasset, 2017). En 2014, elle est nommée commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres.
Ovaires et contre tout l'émission féministe de Radio Radio + Toulouse
Un mardi sur deux à 10h sur Radio Radio + L'équipe de Ovaires et contre tout s'est entretenue avec l'écrivaine Geneviève Brisac, lors de sa venue à la librairie Ombres Blanches le 31 janvier 2020, à l'occasion de la parution de son livre "Sisyphe est une femme" (éditions de L'Olivier)
durée : 00:58:46 - Les Chemins de la philosophie - par : Adèle Van Reeth, Géraldine Mosna-Savoye - En 1929, Virginia Woolf reçoit une commande, celle d’écrire un essai sur les liens entre femme et roman. Elle énonce alors cette idée : pour écrire, une femme a besoin de deux choses, 500 livres de rente, et une chambre à soi. L'esprit s'incarne dans la chambre... aurait-elle alors une âme ? - réalisation : Nicolas Berger, Thomas Beau - invités : Geneviève Brisac écrivaine
durée : 00:03:21 - Lettres d'interieur - par : Augustin Trapenard - Geneviève Brisac est née à Paris. Elle est romancière. Dans cette lettre adressée à une inconnue, elle s'interroge sur ce que le confinement révèle de l'enfermement quotidien que subissent, en temps normal, les femmes et les enfants.
Mona Ozouf est philosophe et historienne. Auteure avec François Furet du «Dictionnaire critique de la Révolution française», elle a publié une trentaine d’ouvrages. À l'aube de ses quatre-vingt-dix printemps, Mona Ozouf commente un recueil de ses textes paru sous le titre «Pour rendre la vie plus légère, les livres, les femmes, les manières» (Stock). « Pourquoi la littérature ? Parce que la littérature nous pourvoit de dons que nous n’avons pas. Elle nous pourvoit immédiatement de l’ubiquité. Grâce à la littérature, nous vivons dans des pays, des villes où nous n’avons jamais posé le pied. Grâce à la littérature, nous pouvons reculer vers des époques révolues. Il y a une sorte d’immense liberté que donne la pratique des livres, et que nous n’avons pas. La démultiplication de l’existence dans la littérature est une chance précieuse. » Ce volume contient les principales émissions faites par Mona Ozouf à « Réplique », sous la direction d’Alain Finkielkraut : sur les femmes et la singularité de leur écriture ; sur les livres comme « patrie » ; sur la galanterie française ; sur la civilité ; sur le Panthéon ; sur la Révolution française ; sur Henry James ; sur George Eliot. Les partenaires avec lesquels elle dialogue ici sont Diane de Margerie, Claude Habib, Pierre Manent, Geneviève Brisac, Philippe Belaval, Philippe Raynaud, Patrice Gueniffey. C’est tout un parcours intellectuel qui est ici dessiné, depuis ses travaux fondateurs sur la Révolution française jusqu’à ce qu’elle appelle ses « échappées belles » en littérature. (Présentation des éditions Stock)
Bonjour à tous ! Ce mois-ci nous sommes cinq à enregistrer car nous avons le grand plaisir d’accueillir une invitée de marque, Claire Berest, co-auteure de « Gabriële » avec sa soeur Anne, et auteure -entre autres – de « Rien n’est Noir ». Voici l’affiche que nous avons choisie ensemble, et qui comporte trois premiers romans français de cette Rentrée Littéraire : « Le Bal des Folles » de Victoria Mas, publié chez Albin Michek, 256 pages. « Avant que j’oublie » d’Anne Pauly, publié chez Verdier, 144 pages. « Soeur » d’Abel Quentin, publié aux éditions de l’Observatoire, 256 pages. Comme toujours, retrouvez nos coups de coeur en fin d’émission: Pour Claire : « Sisyphe est une femme » de Geneviève Brisac chez L’Olivier. Pour Coralie : la sortie prochaine (29.01.2020, le jour de son anniversaire!) de « Sacrées Sorcières », l’adaptation en BD par Pénélope Bagieu du roman de Roald Dahl, chez Gallimard. Pour Léo : « Les Refuges » de Jérôme Loubry chez Calmann-Levy. Pour Amandine : la BD « Les Ignorants : récit d’une initiation croisée » d’Etienne Davodeau chez Futuropolis. Pour Eva : « La Maison » d’Emma Becker chez Flammarion. Nous espérons que vous aurez autant de plaisir à nous écouter que nous en avons eu à enregistrer cette émission! Passez de bonnes fêtes et à l’année prochaine! Bonne écoute !
durée : 00:32:42 - La Grande table idées - par : Olivia Gesbert, Maja Neskovic - Un Goncourt, un Renaudot 2019 et des femmes écrivaines : Jean-Paul Dubois réagit à sa nomination tandis que Geneviève Brisac replace cette consécration dans plus de cent ans d’histoire des prix littéraires et se demande : quelle légitimité pour les femmes écrivaines ? - réalisation : Eric Lancien, Gilles Blanchard - invités : Geneviève Brisac écrivaine
durée : 01:00:09 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Dix-neuf ans après "La Marche du cavalier", l'auteures nous propose une version revisitée et augmentée, intitulée "Sisyphe est une femme". Dans cet essai, elle pose des hypothèses concernant un sujet qui lui tien à coeur : la différence de traitement entre les écrivains et les écrivaines. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux - invités : Geneviève Brisac écrivaine
durée : 01:00:09 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Dix-neuf ans après "La Marche du cavalier", l'auteures nous propose une version revisitée et augmentée, intitulée "Sisyphe est une femme". Dans cet essai, elle pose des hypothèses concernant un sujet qui lui tien à coeur : la différence de traitement entre les écrivains et les écrivaines. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux - invités : Geneviève Brisac écrivaine
durée : 00:07:36 - L'Idée culture - par : Mattéo Caranta - The Deep, Jackson Pollock, peinture sur toile, 1953.
durée : 01:48:59 - Grandes traversées : Virginia Woolf, la traversée des apparences - par : Simonetta Greggio - Virginia Woolf ne cesse d’écrire : journal, roman, articles et nouvelles. Le premier siège de la Hogarth Press est dans sa salle à manger, elle fabrique les livres de ses propres mains. Virginia féconde le féminisme contemporain, avec un siècle d'avance elle donne les mots aux femmes d'aujourd'hui. - réalisation : Julie Beressi - invités : Claire Davison Professeure d'études modernistes à l'Université Sorbonne Nouvelle; Nino Strachey Écrivaine et directrice de recherche au National Trust.; Geneviève Brisac écrivaine; Helen Pankhurst Auteure et militante pour le droit des femmes et le développement international; Nicola Wilson Maître de conférences en édition et publication de livres à l’Université de Reading; Helen Southworth Professeur de littérature à l'Université d'Oregon; Allison Pritchard Directrice des opérations à Monk’s House la maison des Woolf dans le Sussex
durée : 01:49:02 - Grandes traversées : Virginia Woolf, la traversée des apparences - par : Simonetta Greggio - Virginia Woolf trouve son cocon de lumière dans le Sussex, Monk's House, à deux pas de la ferme de sa soeur. Virginia poursuit son combat féministe, publie pour sa propre maison d'édition qui se développe, l'activité d'intensifie. Les années emportent les amis, une ombre plane. - réalisation : Julie Beressi - invités : Nino Strachey Écrivaine et directrice de recherche au National Trust.; Allison Pritchard Directrice des opérations à Monk’s House la maison des Woolf dans le Sussex; Belinda Cannone Romancière et essayiste; Geneviève Brisac écrivaine; Claire Davison Professeure d'études modernistes à l'Université Sorbonne Nouvelle; Marie Robert Auteure, professeure de lettres et de philosophie; David Von Grafenberg Auteur
durée : 01:49:02 - Grandes traversées : Virginia Woolf, la traversée des apparences - par : Simonetta GREGGIO - Virginia Woolf trouve son cocon de lumière dans le Sussex, Monk's House, à deux pas de la ferme de sa soeur. Virginia poursuit son combat féministe, publie pour sa propre maison d'édition qui se développe, l'activité d'intensifie. Les années emportent les amis, une ombre plane. - invités : Nino Strachey, Allison Pritchard, Belinda CANNONE, Geneviève Brisac, Claire Davison, Marie Robert, David Von Grafenberg - Nino Strachey : Écrivaine et directrice de recherche au National Trust. Allison Pritchard : Directrice des opérations à Monk's House la maison des Woolf dans le Sussex Belinda Cannone : Romancière et essayiste Geneviève Brisac : écrivain Claire Davison : Professeure d'études modernistes à l'Université Sorbonne Nouvelle Marie Robert : Auteure, professeure de lettres et de philosophie David Von Grafenberg : Auteur - réalisé par : Julie Beressi
durée : 01:49:00 - Grandes traversées : Virginia Woolf, la traversée des apparences - par : Simonetta GREGGIO - Virginia Woolf ne cesse d’écrire : journal, roman, articles et nouvelles. Le premier siège de la Hogarth Press est dans sa salle à manger, elle fabrique les livres de ses propres mains. Virginia féconde le féminisme contemporain, avec un siècle d'avance elle donne les mots aux femmes d'aujourd'hui. - invités : Claire Davison, Nino Strachey, Geneviève Brisac, Helen Pankhurst, Nicola Wilson, Helen Southworth, Allison Pritchard - Claire Davison : Professeure d'études modernistes à l'Université Sorbonne Nouvelle Nino Strachey : Écrivaine et directrice de recherche au National Trust. Geneviève Brisac : écrivain Helen Pankhurst : Auteure et militante pour le droit des femmes et le développement international Nicola Wilson : Maître de conférences en édition et publication de livres à l'Université de Reading Helen Southworth : Professeur de littérature à l'Université d'Oregon Allison Pritchard : Directrice des opérations à Monk's House la maison des Woolf dans le Sussex - réalisé par : Julie Beressi
Rencontre qui s'est déroulée le mardi 4 juin à 20h à la Maison de la Poésie de Paris. Avec Geneviève Brisac, Jean-Michel Delacomptée, Jean-Philippe Domecq, Hélène Frappat, Alban Lefranc, Véronique Ovaldé & Yoann Thommerel Pourquoi certains mots nous plaisent-ils tant ? S'adressant à notre sensibilité, à notre mémoire ou à notre intelligence du monde, ils nous semblent… parfaits. Bien sûr, parfait, aucun mot ne l'est – ou alors tous le sont. Pourtant, chacun de nous transporte un lexique intime, composé de quelques vocables particulièrement aimés. Après ceux consacrés aux mots manquants et aux mots en trop, ce troisième dictionnaire iconoclaste invite une cinquantaine d'écrivains à partager leurs mots préférés. Il vient parachever une grande aventure collective où la littérature d'aujourd'hui nous ouvre ses ateliers secrets. À lire - Belinda Cannone & Christian Doumet, Dictionnaire des mots parfaits, éd. Thierry Marchaisse, 2019.
Est-ce que vous saviez que Clara Zetkin, la femme à l’origine de la journée internationale des droits des femmes était anti féministe ? Sources : - Histoire du 8 mars : http://8mars.info/histoire/ - L'internationale des femmes socialistes, Nicole Gabriel : http://www.persee.fr/doc/mat_0769-3206_1989_num_16_1_404022 - la perception de féminisme de la fin du XIXeme siècle : https://www.monde-diplomatique.fr/1981/01/BRISAC/35987 et https://wikirouge.net/F%C3%A9minisme_lib%C3%A9ral - la femme socialiste : https://nuevocurso.org/rosa-luxemburgo-contra-el-feminismo/ - Sa relation avec Rosa Luxemburg : https://limpertinent93.wordpress.com/2015/03/08/suffrage-feminin-et-lutte-de-classes-par-rosa-luxemburg/ - Retranscription du discours de 1889 à Paris : http://www.particommuniste.be/index.php/notre-parti/29-acjj/124-la-lutte-pour-la-liberation-des-femmes - Discours au Reichstag en audio (allemand) : https://www.swr.de/swr2/wissen/archivradio/der-reichstag-vor-hitler-1932-clara-zetkin-hofft-auf-proletarische-revolution/-/id=2847740/did=21226160/nid=2847740/5hb010/index.html , sa retranscription en français : http://comprendre-avec-rosa-luxemburg.over-blog.com/2015/12/https-histoireetsociete-files-wordpress-com-2014-04-clara-j-clara-zetkin-discours-au-reichstag-en-1932-courage-extreme-de-clara-zetk
Passion Classique - Geneviève Brisac Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:12:37 - Une histoire et... Oli - Vous êtes fatigués de lire à vos enfants la même histoire tous les soirs ? Voici une solution. Elle s'appelle Oli. C'est une une série d'histoires audio proposée par France Inter. À écouter partout et tout le temps comme "Olga, le canard, et le petit garçon battu" racontée par Geneviève Brisac.
durée : 00:12:37 - "Olga, le canard, et le petit garçon battu" par Geneviève Brisac
La journée de la femme, le 8 mars, approche à grands pas. Nous avons donc choisi de faire une émission spéciale. Le but? Explorer pleinement les mots et les maux des femmes dans notre société. Pour cela, nous avons convié l'écrivaine Geneviève Brisac à nous parler de littérature, de féminisme et de politique. Écrivaine, éditrice, critique et auteure pour enfants : sa plume s'est toujours intéressée aux problématiques féministes, à leurs ressorts intimes et sociaux. En 1994, elle publie "Petite", un roman qui décrit l'anorexie d'une jeune fille, Nouk, et les étapes qui mènent à sa guérison. Nous revenons avec Geneviève Brisac sur le rôle de la littérature dans la description de cette maladie, et l'importance du langage pour déconstruire les images stéréotypées du corps féminin. Mode, publicité, réseaux sociaux... Mais comment détourner les jeunes filles de cette surenchère de la minceur? Le collectif pour se sauver ? Au delà des mots intimes, Geneviève Brisac est aussi une femme publiquement engagée. Et c'est sur ce terrain que nous l'interrogeons pour tenter de comprendre le féminisme d'hier et d'aujourd'hui, ses avancées et ses conquêtes à venir. Son dernier roman, "Vie de ma voisine", publié chez Grasset et sorti en janvier 2017 relate la vie de son amie, Eugénie, dont les parents ont été déportés, et qui a dû se construire seule. Une femme forte et indépendante. Et on peut lire au dos du roman : "Vivez, espérez". Une phrase qui frappe par les temps qui courent et qui rappelle l'importance du collectif dans une société de plus en plus individualiste. Comme une boucle dans l'œuvre de Geneviève Brisac, c'est justement le collectif qui sauve la petite Nouk de son anorexie, dans "Petite". Le collectif comme une promesse qu'elle nous enjoint donc à partager et à rêver !
Share on Tumblr Nous sommes ravies de vous retrouver pour la toute première émission de 2017 ! Nous vous souhaitons une excellente année : santé, bonheur, amour, réussite…et bien sûr de très belles lectures! Pour cette 34e émission, nous vous proposons une spéciale « Femmes d’exception » avec les titres suivants : « La marche du cavalier » de Geneviève Brisac, publié aux éditions de L’Olivier et en poche chez Points, 144 pages. « Mémoires d’une jeune fille rangée » de Simone de Beauvoir, publié en poche chez Folio, 480 pages. « L’idée ridicule de ne plus jamais te revoir » de Rosa Montero, traduit par Myriam Chirousse, publié chez Métailié, et en poche chez Points, 216 pages. « Culottées » de Pénélope Bagieu, publié chez Gallimard Jeunesse, 144 pages. Suivez-nous sur facebook !