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Alors que Marine Le Pen connaîtra ce lundi le verdict du procès dit des assistants parlementaires européens du Rassemblement national, dans lequel elle risque une peine d'inéligibilité, Jean-Luc Mélenchon voit ressortir un dossier présentant des similarités avec cette affaire explosive. Le quotidien Libération révèle un rapport de l'Office européen de lutte anti-fraude dont les conclusions notent des « manquements » dans la gestion de ses assistants quand le leader Insoumis était eurodéputé. Le rapport pose en particulier la question du rôle des assistants parlementaires de Jean-Luc Mélenchon alors qu'il siégeait au Parlement européen. Si la réalité de leur travail ne fait pas de doute, contrairement au dossier du Rassemblement national, la traçabilité de leurs activités pose problème selon l'Olaf, en particulier pour deux de ces assistants sur la vingtaine qu'a employé le leader insoumis au fil de ses années bruxelloises et strasbourgeoises. Au total, le coût de ces « manquements » pourrait s'élever à 500 000 euros selon le rapport. Interrogé par l'Olaf en 2020, Jean-Luc Mélenchon a admis qu'il lui était « matériellement impossible » de justifier le travail de ces assistants au quotidien et expliqué qu'il ne gérait de toute façon pas directement son enveloppe de frais de mandat.La France Insoumise affiche son étonnement« Pourquoi ce rapport qui date de 2021 est-il révélé cette semaine à quelques jours du verdict du procès Le Pen ? » fait-on mine de s'interroger dans les rangs Insoumis. Un timing qui pose question, selon une source dans le parti, qui déplore que les personnes mises en cause n'ont pas été contactées par Libération. Le quotidien accusé de « servir l'agenda du Rassemblement national » : l'évocation du dossier Mélenchon pourrait permettre de relativiser le verdict du procès de Marine Le Pen, selon des Insoumis, en noyant les pratiques du mouvement d'extrême droite dans un océan d'actions similaires des autres partis français. LFI qui rappelle que la procédure a été déclenchée à la suite d'un signalement en 2017 de l'eurodéputée RN Sophie Montel.À gauche, un certain malaiseUn eurodéputé socialiste admet ainsi que le rôle des attachés parlementaires, notamment ceux chargés de la presse, est toujours un peu flou. Même si pour lui, le dossier explique peut-être pourquoi Jean-Luc Mélenchon « a toujours été très prudent concernant le procès intenté à Marine Le Pen ». Son collègue écologiste David Cormand estime que les deux cas ne sont pas comparables et que surtout aucune poursuite n'est formellement engagée alors que les faits reprochés sont anciens. « Il faut que la justice fasse son travail » poursuit-il, tout en s'étonnant lui aussi du moment de la révélation de ce rapport.
durée : 00:12:27 - L'INVITE franceinfo soir - Pour riposter face à la menace russe, l'eurodéputé à proposer à nouveau de geler les avoirs des oligarques russes.
Ils paraissaient jusque-là épargnés par les tensions qui agitent leurs partenaires du Nouveau front populaire (NFP). Les Écologistes affichent depuis l'an passé une certaine sérénité et jouent le rôle du point d'équilibre de l'union de la gauche, régulièrement déchirée par les conflits entre socialistes et insoumis. Ces derniers jours toutefois, les crises s'enchaînent et la direction menée par Marine Tondelier vacille. Avec tout d'abord cette séance de mea culpa médiatique que la patronne des Écologistes a dû s'infliger cette semaine. Marine Tondelier a exprimé « ses regrets » sur la manière dont le parti a géré les accusations contre Julien Bayou. La plainte pour harcèlement moral et abus de faiblesse contre l'ancien dirigeant des Verts vient en effet d'être classée sans suite… Mais celui-ci a vu sa carrière politique exploser en vol, après notamment que les Écologistes aient diligenté une enquête interne contre lui. « Il était impossible de bien faire dans ce dossier » a tenté de se défendre Marine Tondelier. Trop peu, trop tard selon son prédécesseur qui regrette qu'elle ne soit pas capable de reconnaître « son innocence ». Julien Bayou dénonce aussi l'acharnement contre lui de la députée Sandrine Rousseau. Or celle-ci devrait garder sa place dans la direction du parti à l'issue du congrès des Écologistes prévu fin avril.Un congrès sous tensionUn congrès qui suscite aussi de vives critiques à l'encontre de la direction actuelle. Notamment en raison des nouveaux statuts votés l'an passé destinés« à supprimer la balkanisation » habituelle des Écologistes, explique l'eurodéputé David Cormand, proche de Marine Tondelier. Désormais il est plus simple pour la motion la plus importante d'obtenir la majorité absolue, ce qui était quasiment impossible auparavant. « Un problème démocratique et une rupture avec l'esprit du parti », clament de leur côté les opposants, qui reconnaissent toutefois « se réveiller un peu tard ». « On va vers une LFIsation des écolos », peste un cadre du parti, y voyant la volonté de Marine Tondelier de s'inspirer des méthodes autoritaires de Jean-Luc Mélenchon pour préparer sa candidature à la présidentielle.Ambitions présidentielles multiplesSauf qu'elle n'est pas la seule chez les Écologistes et que là aussi, ça pose problème. Notamment avec le maire de Grenoble Éric Piolle, qui ne briguera pas un nouveau mandat en 2026, et qui se serait bien vu porte-parole du parti pour gagner en exposition médiatique en vue de 2027. « Ce n'est pas le principe du poste de porte-parole », cingle David Cormand. Un observateur avisé de la vie des Écologistes préfère lui en rire :« Éric Piolle a été bien naïf de croire que son ancienne protégée Marine Tondelier allait lui dérouler le tapis rouge. Maintenant elle veut être la seule sur la photo ». « Jalousies », réplique-t-on dans le camp Tondelier, où l'on persifle : « certains n'acceptent simplement pas qu'elle soit plus populaire qu'eux ». Bref, bonne ambiance à deux mois du Congrès.
Dans cet épisode de Politiques Numériques, Delphine Sabattier reçoit le député européen David Cormand et le coprésident du Conseil national du numérique Gilles Babinet pour décrypter l'influence grandissante des réseaux sociaux sur le pouvoir politique. Au cœur des débats : le cas Elon Musk, la modération des contenus et les nouveaux enjeux démocratiques. Bonne écoute à tous !Pour ne rater aucun épisode, inscrivez-vous à la newsletter, c'est gratuit : https://podcast.ausha.co/politiques-numeriquesREGARDER POL/N EN VIDEO : YOUTUBE Delphine Sabattier https://www.youtube.com/@DelphineSabattierHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mardi politique reçoit David Cormand, député européen écologiste, président de la délégation Europe Écologie au Parlement européen. David Cormand est interrogé par :- Frédéric Rivière (RFI)- Roselyne Febvre (France 24)Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusion : 18h10-18h30 sur RFI et France 24.
1 milliard 300 millions de smartphones ont été vendus dans le monde en 2023. C'est plus de 2 000 par minute. Il y a aussi les ordinateurs et les tablettes que nous achetons par millions. C'est la révolution numérique ! Ajoutez à cela la transition énergétique qui consiste à tenter d'abandonner les combustibles fossiles pour les remplacer par des énergies renouvelables comme le solaire, l'éolien et à faire évoluer nos consommations par exemple vers la voiture électrique et vous comprendrez pourquoi nous observons partout dans le monde une ruée vers des minerais ignorés jusqu'ici. Cette quête se mesure en millions de vies humaines, en milliards de tonnes de terres retournées, en milliers d'hectares d'espaces naturels défigurés et en centaines de villages et de territoires ravagés. C'est ce que démontre le député écologiste européen David Cormand dans une tribune publiée cette semaine dans le journal Libération. Car David Cormand soutient la marche pour la paix et contre l'extractivisme en République Démocratique du Congo organisée par l'association Génération Lumière. Ils sont partis le 22 juin 2024 de Besançon, et ils sont arrivés cette semaine à Strasbourg pour la rentrée du Parlement européen. Ce nouveau boom minier trouve son centre de gravité en Afrique centrale et australe. Mais à quel prix social et environnemental ?Reportage de Clémentine Méténier à Strasbourg, ligne d'arrivée de la marche contre l'extractivisme en RDC.Avec Harouna Kinda, docteur en Sciences économiques, et présentement attaché temporaire d'enseignement et de recherche (ATER) à l'Université Clermont Auvergne-CNRD-IRD-CERDI. Ses recherches portent sur l'économie politique de la gouvernance des industries extractives et le financement du développement durable.
1 milliard 300 millions de smartphones ont été vendus dans le monde en 2023. C'est plus de 2 000 par minute. Il y a aussi les ordinateurs et les tablettes que nous achetons par millions. C'est la révolution numérique ! Ajoutez à cela la transition énergétique qui consiste à tenter d'abandonner les combustibles fossiles pour les remplacer par des énergies renouvelables comme le solaire, l'éolien et à faire évoluer nos consommations par exemple vers la voiture électrique et vous comprendrez pourquoi nous observons partout dans le monde une ruée vers des minerais ignorés jusqu'ici. Cette quête se mesure en millions de vies humaines, en milliards de tonnes de terres retournées, en milliers d'hectares d'espaces naturels défigurés et en centaines de villages et de territoires ravagés. C'est ce que démontre le député écologiste européen David Cormand dans une tribune publiée cette semaine dans le journal Libération. Car David Cormand soutient la marche pour la paix et contre l'extractivisme en République Démocratique du Congo organisée par l'association Génération Lumière. Ils sont partis le 22 juin 2024 de Besançon, et ils sont arrivés cette semaine à Strasbourg pour la rentrée du Parlement européen. Ce nouveau boom minier trouve son centre de gravité en Afrique centrale et australe. Mais à quel prix social et environnemental ?Reportage de Clémentine Méténier à Strasbourg, ligne d'arrivée de la marche contre l'extractivisme en RDC.Avec Harouna Kinda, docteur en Sciences économiques, et présentement attaché temporaire d'enseignement et de recherche (ATER) à l'Université Clermont Auvergne-CNRD-IRD-CERDI. Ses recherches portent sur l'économie politique de la gouvernance des industries extractives et le financement du développement durable.
À une semaine du premier tour des élections législatives, Julien Courbet et son équipe d'experts décryptent les programmes politiques des partis et des candidats, dans une nouvelle formule de l'émission "Ça peut vous arriver". Pour ce débat consacré à l'énergie, David Cormand, députés européens pour le parti Europe Écologie Les Verts était en plateau avec Alexandre Avril, maire de Salbris (Centre-Val de Loire) et porte-parole du Rassemblement des droites - Les Républicains et Le Rassemblement National. Toute la semaine, RTL vous aide à faire votre choix pour les élections législatives ! Pouvoir d'achat, succession, énergie, retraite... Chaque jour, Julien Courbet accueille des candidats pour débattre autour de problématiques tournées vers le porte-monnaie des Français.
Le format de Mardi politique est exceptionnellement modifié. Avec ce soir, 2 invités. Le premier : David Cormand, député européen écologiste et ensuite Florence Portelli, maire de Taverny, vice-présidente des Républicains et vice-présidente de la région Ile-de-France. David Cormand et Florence Portelli sont interrogés par :Frédéric Rivière (RFI)Roselyne Febvre (France 24)Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol
Chaque jour, Céline Géraud et ses invités font un point complet sur l'actualité.
Tous les samedis et dimanches à 18h15, Guillaume Lariche reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, David Cormand, Député européen Les Verts-Alliance libre européenne et candidat aux Européennes, N°2 sur la liste menée par Marie Toussaint.
Alors que les élections européennes auront lieu dans trois semaines, et que la large victoire du Rassemblement national ne fait guère de doutes, l'incertitude persiste pour les autres listes. C'est notamment le cas pour les écologistes, loin, très loin de leur score de 2019 et qui perdent lentement, mais sûrement, du terrain dans les intentions de vote. Si officiellement la tête de liste Marie Toussaint et ses équipes restent sereines, l'inquiétude monte. « Les Écologistes, c'est la liste qui s'effondre » : l'analyse est signée du « monsieur Élections » des Insoumis Paul Vannier. Subjectif forcément, d'autant que la liste LFI n'est pas non plus dans une situation très enviable, testée entre 6 et 8 %, mais cela résume le sentiment dominant dans le microcosme politique. Un haut cadre socialiste ajoute : « ça ne prend pas, des fois c'est comme ça, on dirait la campagne présidentielle d'Anne Hidalgo ». La comparaison n'est pas flatteuse, la candidate PS ayant terminé avec seulement 1,75 % des voix en 2022. Et force est de constater que la liste emmenée par Marie Toussaint, qui approchait les 9 % d'intentions de vote voilà quelques mois, flirte désormais dangereusement avec les 5 %, barre fatidique en dessous de laquelle les Écologistes français n'auraient aucun élu au Parlement Européen. Un scénario catastrophe pour un parti qui a toujours fait des élections européennes son scrutin favori.À lire aussiEuropéenne 2024: en France, Les Écologistes ont présenté leurs candidats éligibles Pas de panique ?« La campagne n'est pas facile pour nous », reconnaît l'eurodéputé David Cormand, numéro 2 de la liste écologiste, qui ajoute aussitôt : « on n'a pas à subir les injonctions des sondages et de l'actualité, on tient notre drapeau ». Comprendre : il faut insister sur les thèmes écologistes et européens, en espérant un redressement le jour du vote. Pas illogique quand on sait qu'en 2019, les Verts avaient finalement créé la surprise en obtenant 13,5 % des voix après avoir été testés durant toute la campagne entre 7 et 9 %. Mais le momentum est différent, reconnait-on en coulisses. David Cormand l'admet d'ailleurs : « en 2019, même la droite et l'extrême droite avaient inclus l'écologie dans leurs programmes, là ça s'est durci ». Et d'avertir : « si les écolos sont balayés, c'est l'acte de décès du Pacte Vert et l'avènement du Pacte Brun » entre conservateurs et identitaires européens résolument hostiles à l'écologie politique.Impact incertain en France« S'ils finissent en dessous des 5 %, je ne sais pas dans quel état va terminer leur parti », murmure-t-on chez les socialistes, où l'on rappelle qu'une ultime proposition d'alliance avait été faite en mars dernier, sans réponse. Chez LFI, on anticipe déjà une implosion des Verts entre la ligne de l'écologie populaire, plus proche des Insoumis, et celle de la sociale démocratie écologique, tendance PS. « Ça ne changera rien », estime au contraire un maire écologiste qui lorgne sur la présidentielle, « on sait tous qu'il faudra un programme et un candidat communs de la gauche et des écolos pour espérer gagner en 2027. » Et d'ajouter : « voter écolo, ça compte deux fois : pour avoir des élus mais aussi pour obliger les autres à faire de l'écologie. »À lire aussiÉlections européennes : l'avenir de l'UE en question?
Avec David Corman, 2e de la liste EELV aux élections européennes du 9 juin 2024, ancien secrétaire national d'EELV. A trois semaines de l'élection européenne, difficile pour les écologistes européens d'être audibles dans la campagne, où les questions environnementales, pourtant jugées prioritaires par une majorité d'électeurs, ont de la peine à émerger dans le débat politique. Ukraine, Gaza, immigration, sécurité, pouvoir d'achat, certains sujets se sont imposés d'eux-même dans la campagne, poussés par l'actualité ou certains partis, mais la transition écologique reste encore peu évoquée, alors que le sujet est plus que jamais sensible. La tête de liste écologiste française Marie Toussaint, à la peine dans les intentions de vote (entre 7 et 8 %), répète qu'après avoir eu "le vent dans le dos" lors de l'élection de 2019, où Yannick Jadot avait convaincu 13,4% des électeurs, les écologistes ont "désormais le vent de face". David Corman milite contre une écologie au pouvoir qui prend ses distances avec la société qu'il appelle la consummation, une réflexion qu'il développe dans deux essais Temps de cerveau libéré : en finir avec la publicité et Ce que nous sommes : repères écologistes (ed. des petits matins). Les préoccupations du pape exprimées dans l'encyclique Laudato Si ne le laissent pas non plus indifférent.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:16:17 - 8h30 franceinfo - L'eurodéputé Les Ecologistes était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 28 avril 2024.
L'Américaine Fiona Scott Morton aurait dû devenir au 1er septembre l'économiste en chef de la direction générale de la concurrence au sein de la Commission européenne, mais elle a finalement renoncé. Sa nomination avait suscité une levée de boucliers dans de nombreux pays européens, au Parlement européen et même chez plusieurs commissaires en raison de sa nationalité, mais aussi de son parcours professionnel. David Cormand, co-président de la délégation Europe Écologie Les Verts (EELV), revient sur cet épilogue. 225
L'invité de Mardi politique est David Cormand (@DavidCormand), député européen, co-président de la délégation Europe Écologie. David Cormand est interrogé par :- Frédéric Rivière (RFI)- Roselyne Febvre (France 24)Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions :- 18h10-18h30 sur France 24- 20h10-20h30 sur RFI
durée : 00:08:18 - 18h20 franceinfo - Deux tiers des nappes phréatiques ont un niveau en-dessous de la normale actuellement, a alerté ce mercredi 14 juin le Bureau de recherches géologiques et minières.
C'est l'objectif affiché par la plupart des partis de gauche et écologistes : présenter une candidature unique à l'élection présidentielle 2027. Mais les obstacles sont multiples entre la question centrale du ou de la candidate, les difficultés à s'unir pour les scrutins qui s'annoncent d'ici la présidentielle et les divergences idéologiques. À moins que l'issue ne se trouve à l'extérieur des partis ? Et si une candidature de la société civile était LA solution ? Le député socialiste Arthur Delaporte le reconnaît : « À part Jean-Luc Mélenchon, la Nupes n'a pas de figure d'incarnation forte » pour une candidature unique. « C'est plus facile de trouver le plus petit dénominateur commun hors du champ politique, mais il faut de la notoriété », poursuit le porte-parole socialiste.L'hypothèse Laurent BergerCes dernières semaines, le nom de Laurent Berger a bruissé dans les rangs de la gauche. Le futur ex-patron de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) a montré durant la bataille des retraites qu'il avait du leadership et la capacité de faire dialoguer et travailler ensemble des syndicats aux relations houleuses. Et sa volonté de continuer à agir après son mandat aiguise les attentions, notamment chez les socialistes dissidents de la Nupes. Mais Laurent Berger le répète, il n'a pas d'ambition politique et encore moins présidentielle. Une sage décision selon le député européen écologiste David Cormand, pour qui « s'il y a bien une élection où il ne faut pas faire appel à une candidature de la société civile, c'est bien la présidentielle », de son point de vue taillé pour les ténors politiques. Faire monter « une candidature approximative pour contrer Mélenchon, ce serait créer un problème pour en régler un autre. » Et puis « c'est faux cul », grince un cadre communiste, en réalité tous les partis veulent que la candidature unique émane de leurs rangs.Un problème sans solution ?« C'est un souci de culture politique », déplore une députée socialiste, « on est imbibés de 5e République » et de son fonctionnement monarchique. Et de proposer un autre logiciel de fonctionnement, « une dream team » qu'elle compare à un « tabouret » : chacun parti correspond à un pied, « mais au-dessus c'est plat, personne ne dépasse », ce qui nécessite un ou une candidate « capable de jouer ce jeu collectif » et qui ne dirait pas aux autres « d'exécuter ». Bref, l'oiseau rare dans la volière des egos démesurés du personnel politique. Pour éviter la bataille rangée, certains dans la Nupes militent pour régler d'abord la question du programme commun, avant un accord de coalition et ensuite seulement la désignation du ou de la championne de la gauche et des écologistes. Des préalables sur lesquels il va falloir avancer rapidement, juge un haut dirigeant du PS. « Si on n'y est pas fin 2025, début 2026, ça va être compliqué », prédit-il.
Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité ce week-end. Aujourd'hui, David Cormand, député européen EELV.
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique – « France Info » NATHALIE MAURET Journaliste politique – Groupe de presse régionale « Ebra » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué – Institut de sondages Ipsos Alors qu'Emmanuel Macron, réélu en avril, ne pourra pas se représenter en 2027, du côté des partis, l'heure est déjà aux grandes manoeuvres. La plupart se préparent à cette échéance et changent d'organisation ou de dirigeants. Rien que ces derniers jours, quatre formations politiques ont changé de patron, à commencer par les deux principaux opposants à la majorité, le RN et LFI. Ainsi après Jordan Bardella, élu le 5 novembre dernier à la présidence du Rassemblement national, avec 85 % des voix des adhérents face au maire de Perpignan Louis Aliot, c'était au tour ce week-end de la France insoumise de dévoiler sa nouvelle direction autour de Manuel Bompard qui devrait être désigné prochainement à la tête de cette « coordination ». Plusieurs jeunes partisans de Jean-Luc Mélenchon comme Bastien Lachaud, Paul Vannier ou Antoine Léaument en font partie, mais ce n'est pas le cas de figures comme les députés Alexis Corbière, Clémentine Autain, François Ruffin ou encore Eric Coquerel. Un « repli » et un « verrouillage » « assumés de façon brutale » pour « fait taire toute critique » a dénoncé l'élue de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain dans Libération aujourd'hui. Le député de la Somme François Ruffin a lui parlé de « déni de démocratie ». Fustigeant une désignation « qui s'est faite au consensus d'un petit groupe qui s'est mis d'accord avec lui-même », il a indiqué qu'il allait réfléchir avec ses camarades sur une attitude commune. Toujours à gauche, les Verts ont, eux, élu ce week-end avec 90 % des voix une nouvelle secrétaire nationale : Marine Tondelier. Soutenue par les secrétaires nationaux sortants, Cécile Duflot, David Cormand et Julien Bayou, la nouvelle patronne d'EELV entend « refonder » le parti, qui « a trop souffert des individualismes » et qui doit changer de nom à l'été 2023. A droite, c'est Eric Ciotti qui l'a remporté chez les Républicains, avec 53 % des voix des adhérents face à Bruno Retailleau. Mais le résultat est plus serré que ce qu'il espérait pour valider sa stratégie pour l'élection présidentielle : supprimer la primaire et introniser Laurent Wauquiez candidat de la droite en 2027. Ce qui n'a d'ailleurs pas manqué d'être raillé par ses adversaires politiques. « On a demandé aux adhérents, non pas de désigner leur président, mais le directeur de campagne de Laurent Wauquiez », a ainsi commenté le patron de Renaissance Stéphane Séjourné. Plusieurs élus dont le maire de Metz François Grosdidier ont annoncé leur départ de LR. Pour aller où ? Renaissance et Horizons, deux partis qui soutiennent le président de la République, espèrent de nouveaux ralliements. De son côté, le chef de l'Etat a fait savoir ce lundi que la réforme des retraites qui devait être dévoilée le 15 décembre sera finalement présentée le 10 janvier 2023. Ce nouveau calendrier doit permettre aux nouveaux dirigeants des Républicains et d'Europe Ecologie Les Verts « d'échanger avec le gouvernement », a indiqué Emmanuel Macron en ouvrant la deuxième session plénière du Conseil national de la refondation (CNR) à l'Elysée. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:08:22 - 18h20 franceinfo - L'"Ocean Viking" a accosté en France à Toulon vendredi matin. Le sort de ce bateau humanitaire a suscité plusieurs jours de bras de fer entre Paris et Rome.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen prononce ce mercredi devant le Parlement européen, son discours sur l'état de l'Union. L'occasion pour elle de faire un certain nombre de propositions, notamment,sur la crise énergétique. Fiscalité des riches, loi sur la protection des plus fragiles, pouvoir d'achat, inflation… Que faut-il attendre de l'Union européenne par rapport à l'ensemble de ces préoccupations? En duplex de StrasbourgDavid Cormand, député européen, co-président de la délégation française du groupe des Verts/Alliance libre européenne au Parlement européen est l'invité du matin de RFI.
L'invité de Mardi politique est David Cormand (@DavidCormand), député européen Europe Écologie-Les Verts. David Cormand est interrogé par : - Frédéric Rivière (RFI) - Roselyne Febvre (France 24) Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions : - 18h10-18h30 sur France 24 - 20h10-20h30 sur RFI
David Cormand, député européen EELV, est l'invité de Frédéric Rivière à partir de 8h20 (heure de Paris).
durée : 00:58:33 - Le 13 / 14 - par : Bruno DUVIC - Faut-il réformer l'Europe ? Et comment ? Pour la rendre plus démocratique et immédiatement compréhensible pour ses 450 millions d'habitants.
Au lendemain de la victoire de Yannick Jadot à la primaire des écologistes, David Cormand, eurodéputé Europe Écologie-Les Verts est l'invité du matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Au premier semestre 2022, la France exercera la présidence tournante du Conseil de l'UE, formant un trio avec la Suède et la République tchèque, deux États avec lesquels Paris a constitué un programme concerté. Membre fondateur de l'Union européenne, l'opportunité et les enjeux seront grands pour la France qui aura la mission de faire avancer l'agenda stratégique européen, mais également de faire avancer les dossiers européens étant à l'ordre du jour. Il s'agit de la treizième présidence pour la France, mais de la première depuis le traité de Lisbonne (entrée en vigueur en décembre 2009). A travers cette série de podcasts, EuropaNova décrypte pour vous les grands enjeux que ces six mois constituerons pour la France et pour l'UE.Aujourd'hui, nous avons le plaisir d'accueillir deux eurodéputés : Marie Pierre Vedrenne (Renaissance) et David Cormand (Groupe des Verts) pour nous parler de leurs perspectives sur les thématiques majeures qui feront l'actualité de la Présidence française, du Green Deal à l'autonomie stratégique européenne.Un podcast présenté par Corentin Gorin et Gwendoline de Boé.Musique de générique disponible sur https://icons8.com/
durée : 00:14:10 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - David Cormand (EELV), et Alexis Corbière (LFI) reviennent sur le second tour des élections régionales : ils sont les invités de Mathilde Munos. - invités : David Cormand, Alexis Corbière,, Stéphane Zumsteeg - David Cormand : secrétaire national d'EELV, Alexis Corbière : Député France Insoumise de Seine-Saint-Denis, Stéphane Zumsteeg : Directeur du département opinion de l'Institut Ipsos
durée : 02:00:12 - Le 5/7 - par : Mathilde MUNOS - David Cormand eurodéputé Europe Écologie Les Verts (EELV), Alexis Corbière, Député La France Insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis et Stéphane Zumsteeg directeur du département opinion de l'Institut Ipsos sont les invités du 6h20 - invités : Alexis Corbière,, David Cormand, Stéphane Zumsteeg - Alexis Corbière : Député France Insoumise de Seine-Saint-Denis, David Cormand : secrétaire national d'EELV, Stéphane Zumsteeg : Directeur du département opinion de l'Institut Ipsos
David Cormand, député européen Europe Écologie-Les Verts, est l'invité de Frédéric Rivière à partir de 8h20 (heure de Paris).
David Cormand, député européen Europe Écologie-Les Verts, est l'invité de Frédéric Rivière à partir de 8h20 (heure de Paris).
Le siège du Parlement européen c’est à Strasbourg, c’est dans les traités, mais ce n’est pas qu’une question de traité.
David Cormand, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, était l'invité mardi 24 novembre de "20h, l'invité" sur Fréquence ESJ. Il a notamment réagi aux nouvelles mesures de déconfinement annoncées par Emmanuel Macron. David Cormand a répondu aux questions de Bastien Cochet et Axel Raybaud. Une émission présentée par Manon Blangis.
David Cormand, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, était l'invité mardi 24 novembre de "20h, l'invité" sur Fréquence ESJ. Il a notamment réagi aux nouvelles mesures de déconfinement annoncées par Emmanuel Macron. David Cormand a répondu aux questions de Bastien Cochet et Axel Raybaud. Une émission présentée par Manon Blangis.
David Cormand, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, était l'invité mardi 24 novembre de "20h, l'invité" sur Fréquence ESJ. Il a notamment réagi aux nouvelles mesures de déconfinement annoncées par Emmanuel Macron. David Cormand a répondu aux questions de Bastien Cochet et Axel Raybaud. Une émission présentée par Manon Blangis.
durée : 00:18:00 - 8h30 franceinfo - David Cormand, eurodéputé Europe Écologie-Les Verts, était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 20 août 2020.
Mardi politique reçoit David Cormand (@DavidCormand), député européen Europe Écologie-Les Verts. David Cormand est interrogé par : - Frédéric Rivière (RFI)- Roselyne Febvre (France 24). Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol
Frédéric Rivière était en direct sur RFI pour l’édition spéciale « Élections municipales françaises 2020 » de ce lundi 29 juin 2020 (8h30-9h00) : En studio :Yaël Braun-Pivet, présidente de la commission des lois et députée LaREM des YvelinesSébastien Chenu, député du Nord et porte-parole du Rassemblement national Au téléphone : David Cormand, député européen Europe Ecologie-Les VertsDamien Abad, président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationaleEric Coquerel, député la France insoumise de Seine-Saint-Denis
David Cormand, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, était l'invité de Fréquence ESJ, mardi 23 juin. L'occasion, notamment, d'aborder les résultats de la Convention Citoyenne pour le Climat et les élections municipales. David Cormand a répondu aux questions de Théo Grévin, Axel Savoye, Paula Monestié-Andréani, Bastien Cochet et Axel Raybaud. Une émission présentée par Manon Blangis et avec la participation de Mélodie Sforza et Florian Michelin.
David Cormand, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, était l'invité de Fréquence ESJ, mardi 23 juin. L'occasion, notamment, d'aborder les résultats de la Convention Citoyenne pour le Climat et les élections municipales. David Cormand a répondu aux questions de Théo Grévin, Axel Savoye, Paula Monestié-Andréani, Bastien Cochet et Axel Raybaud. Une émission présentée par Manon Blangis et avec la participation de Mélodie Sforza et Florian Michelin.
David Cormand, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, était l'invité de Fréquence ESJ, mardi 23 juin. L'occasion, notamment, d'aborder les résultats de la Convention Citoyenne pour le Climat et les élections municipales. David Cormand a répondu aux questions de Théo Grévin, Axel Savoye, Paula Monestié-Andréani, Bastien Cochet et Axel Raybaud. Une émission présentée par Manon Blangis et avec la participation de Mélodie Sforza et Florian Michelin.
durée : 00:09:20 - La personnalité de la semaine - par : Patricia Martin - David Cormand, eurodéputé EELV et membre de la commission budget du Parlement européen : Convention climat, Municipales, L’Europe et la crise...
durée : 03:00:01 - Le 6/9 - Le café est chaud, top départ du 6/9 du week-end par Eric Delvaux, avec Patricia Martin.
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Qu’a changé le coronavirus en Europe ? La Commission va emprunter 750 milliards d’euros au nom de l’Union européenne, une petite révolution ? Face à l’urgence de la reprise économique, le Pacte vert sera t-il sauvegardé ? À l’issue de cette pandémie, quelle place pour l’Europe dans le monde ? L’Europe d’après, le débat. Carrefour de l’Europe réunit, en deux débats mais en une seule émission les six chefs de délégations français au Parlement européen : - François-Xavier Bellamy, eurodéputé Les Républicains /PPE.→ Plus d’infos : ici- Manuel Bompard, eurodéputé La France Insoumise /GUE.→ Plus d’infos : ici- David Cormand, eurodéputé Europe Écologie /Les Verts.→ Plus d’infos : ici- Sylvie Guillaume, eurodéputée Parti Socialiste /APSD. → Plus d’infos : ici- Jérôme Rivière, eurodéputé Rassemblement National /Identité et Démocratie.→ Plus d’infos : ici- Stéphane Séjourné, eurodéputé La République en Marche / Renew.→ Plus d’infos : ici. En partenariat avec Courrier International
A partir de 7h50 (heure de Paris), David Cormand, eurodéputé EELV et membre de la commission budget du Parlement européen, revient sur la rencontre entre Macron et Merkel et revient sur le dysfonctionnement de l'Union européenne.
Emmanuel Macron aura été plus que jamais au centre de la scène européenne cette année. Mais ses échecs ont parfois éclipsé ses succès. Même si les élections européennes sont passées, Emmanuel Macron n’a pas renoncé à réformer l’Europe. Une scène a illustré ce fait lors du dernier Conseil européen à Bruxelles : alors que tous les chefs d’État et de gouvernement se sont rapidement éclipsés à la fin, le président français a accordé une conférence de presse de près d’une heure aux journalistes. Il a admis que plusieurs de ses priorités européennes n’avançaient pas comme il le voulait : le « compte n’y est pas », a-t-il reconnu, à propos de sa volonté de renforcer la zone euro, le plan de lutte contre le réchauffement climatique a été freinée par la Pologne, et son idée de mettre en place une Convention de refondation de l’Europe est ralentie par ce qu’il a appelé les « pulsions castratrices » de certains États membres. Pour autant, Emmanuel Macron a de nouveau martelé un message volontariste, mettant sur la table ses propres propositions : un « plan Marshall » d’investissement massif de l’Europe pour faire face aux défis de demain (climat, migration, numérique) ou encore la révision des règles budgétaires jugées trop contraignantes. L’eurodéputé écologiste David Cormand, critique sur l’action du chef de l’État, le reconnait : « Macron est le premier président français à prendre au sérieux la question européenne ». Problème de méthode Et l’élu d’ajouter : « Le problème, c’est qu’il s’y prend comme un manche ! » Beaucoup s’accorde à le dire : c’est sur la méthode que le bât blesse. Si l’on regarde dans le rétroviseur, Emmanuel Macron a cette année essuyé deux échecs qui ont parfois éclipsé ses succès. Sa liste aux élections européennes de mai a plutôt bien résisté face à l’extrême droite mais l’arrivée de ses élus à Bruxelles a été ratée. Après une erreur de communication, l’eurodéputée Nathalie Loiseau n’a pas pu prendre la tête du groupe centriste européen rebaptisé « Renew Europe ». Une occasion manquée pour les élus macronistes de piloter un groupe politique qui est désormais le troisième plus important au Parlement européen. Deuxième échec, plus retentissant : le rejet de la candidate française Sylvie Goulard pour un poste au sein de la nouvelle Commission européenne. Imposer une candidate écartée du gouvernement en France pour des affaires judicaires était une erreur politique. La droite européenne du PPE en a profité pour asséner un rude coup au président français et se venger de l’affront que lui avait infligé Emmanuel Macron en juin en faisant barrage à la nomination de son chef de file, Manfred Weber, à la tête de la même Commission. À chaque fois, les mêmes reproches reviennent dans les couloirs des institutions européennes : « trop arrogant », « trop sûr de lui », Emmanuel Macron impulse mais agace. Il pêcherait par orgueil autant que par méconnaissance du fonctionnement du système européen, au sein duquel il manque encore de relais. La présidentielle de 2022 en ligne de mire Malgré ces camouflets, ses proches le répètent : Emmanuel Macron est à ce jour le seul leader qui entraîne l’Europe. Les Anglais s'en vont, les Espagnols, les Italiens et surtout les Allemands sont affaiblis. La chancelière Angela Merkel est en fin de règne. Les soutiens du président français n’hésitent plus à dire que l’Allemagne « se complait dans l’immobilisme et le statu quo ». Une mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron qui, sans l’Allemagne, pourra difficilement obtenir les résultats concrets qu’il escompte sur la scène européenne. Car le chef de l’État a en ligne de mire la présidentielle de 2022. Et, coïncidence, la France prendra la présidence tournante de l’Union européenne le 1er janvier 2022. Le récit d’un « Macron, leader conquérant d’une Europe renaissante » est déjà planifié par ses stratèges. Du rêve à la réalité, il y a encore du chemin à parcourir…
durée : 00:09:43 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - L'eurodéputé et secrétaire national d'EELV David Cormand est l'invité de Léa Salamé à 7h50.
durée : 00:22:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le secrétaire national d'Europe Ecologie Les Verts et député européen répond aux questions de Frédéric Métézeau et des auditeurs. Il est notamment revenu sur l'affaire des vcrepas fastueux organisés par le ministre de la Transition écologique lorsqu'il était président de l'assemblée nationale.
1-Giornata internazionale contro l'omofobia. ..Secondo l'Onu la stigmatizzazione contro le comunità Lgbti è ancora forte nel mondo...In esteri il caso del Kenya. ( Yuri Guaiana di All Out) ..2-Guerra dei dazi: Sulle auto Donald trump offre una tregua di sei mesi a Giappone e unione europea. Anche nessuno accordo con la Cina ( Andrea di Stefano, Alfredo Somoza) ..3-Effetto europee: Rottura sulla Brexit tra Jeremy Corbyn e la premier Theresa may...4-Francia. Secondo i sondaggi i verdi otterrà il 10 % il 26 maggio prossimo. ..( Luisa Nannipieri intervista David Cormand) ..5-E' morto all'età di 102 anni I. M. Pei, archistar sino-americana noto in tutto il mondo..per la piramide del Louvre. ( Fulvio Irace)
1-Giornata internazionale contro l’omofobia. ..Secondo l’Onu la stigmatizzazione contro le comunità Lgbti è ancora forte nel mondo...In esteri il caso del Kenya. ( Yuri Guaiana di All Out) ..2-Guerra dei dazi: Sulle auto Donald trump offre una tregua di sei mesi a Giappone e unione europea. Anche nessuno accordo con la Cina ( Andrea di Stefano, Alfredo Somoza) ..3-Effetto europee: Rottura sulla Brexit tra Jeremy Corbyn e la premier Theresa may...4-Francia. Secondo i sondaggi i verdi otterrà il 10 % il 26 maggio prossimo. ..( Luisa Nannipieri intervista David Cormand) ..5-E' morto all'età di 102 anni I. M. Pei, archistar sino-americana noto in tutto il mondo..per la piramide del Louvre. ( Fulvio Irace)
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