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« Historique, s'exclame le site du magazine marocain Tel Quel, les Lions de l'Atlas éliminent l'Espagne et se qualifient pour la première fois pour les quarts de finale. » Score final 0-0 à la fin des prolongations et 3 à 0 après la séance des tirs au but. « D'une panenka somptueuse, note Tel Quel, Hachraf Hakimi, qui est né et a grandi dans la banlieue sud de Madrid, a conclu la superbe performance du gardien Yassine Bounou, qui joue depuis dix ans en Espagne et qui a été infranchissable pendant la séance des tirs au but. Jamais les Lions de l'Atlas n'avaient atteint les quarts de finale d'un Mondial. Leur meilleur résultat dans la compétition reine du football remontait à 1986, lorsqu'ils avaient atteint les huitièmes, où ils avaient affronté la sélection allemande. » « Ils n'ont jamais tremblé, s'émerveille le site tunisien Webdo. Les Marocains se sont même procurés trois grosses occasions en fin de rencontre pour plier le match. Mais finalement les tirs au but leur ont réussi. Côté espagnol, ni Pablo Sarabia, ni Carlos Soler, ni Sergio Busquets ne sont parvenus à tromper Yassine Bounou, le portier marocain. Dominatrice durant la rencontre, l'Espagne s'est montrée inefficace malgré ses 76% de possession. » Yassine Bounou l'infranchissable… « Yassine Bounou, le cauchemar des Espagnols, meilleur joueur du match », jubile le quotidien L'Opinion à Rabat. « Sa prestation face à l'Espagne n'est que la démonstration de son aura grandissante. Les Espagnols, et pas que les Marocains, se souviendront longtemps de Bounou. Mais pas pour les mêmes raisons. » « Et il y a un autre héros, pointe encore L'Opinion : Walid Regragui qui a bien préparé ce match et qui a mérité un grand coup de chapeau, d'autant que tout le peuple marocain est entré dans une liesse hystérique. » Mohammed VI au milieu des supporteurs En effet, des milliers de Marocains ont fêté l'événement hier soir. Et parmi eux, à Rabat, le roi Mohammed VI, relève le quotidien Le Matin. « Le Souverain a sillonné les rues de la capitale déjà envahies par les fans venus célébrer le sacre de l'équipe nationale. Mohammed VI, un drapeau à la main, a répondu aux salutations de la foule dans une forte symbolique de partage et de liens très solides entre un Roi et son peuple. » Auparavant, note encore Le Matin, « le Souverain s'était entretenu au téléphone avec le Président de la Fédération Royale Marocaine de Football, Fouzi Lekjaa, et l'entraîneur de l'équipe nationale, Walid Regragui, auxquels il a exprimé ses sincères félicitations aux joueurs et aux staffs technique et administratif qui ont su donner le meilleur d'eux-mêmes et accomplir un parcours excellent au cours de cette compétition sportive majeure. » Une victoire célébrée dans le monde arabe, en Europe… Et « plus qu'une victoire des Lions de l'Atlas, c'est un exploit historique que des milliers de Marocains sont sortis célébrer, hier soir, dans les principales capitales européennes, pointe le site marocain Yabiladi. Le stress d'un match aux allures de combat épique, qui a tenu en haleine des millions de supporters de par le monde, a laissé place à une explosion de joie à Paris, Londres, Bruxelles, Berlin ou encore Rome. Des milliers de personnes sont descendues également dans les rues de nombreux pays arabes : Palestine, Oman, Jordanie, Syrie. » … et en Afrique ! Et dans la presse du continent, avalanche de réactions… « Les Lions de l'Atlas sauvent l'honneur de l'Afrique », s'exclame Le Pays au Burkina Faso. « L'Atlas était infranchissable pour les Espagnols », renchérit L'Observateur Paalga. « Les footballeurs marocains offrent un cœur de lion à l'Afrique et au monde arabe ! », se réjouit Mourya au Niger. « Les Lions de l'Atlas dominent la Roja », constate 24 Heures au Sénégal. « Le Maroc fait déjà rêver à la 1ère demi-finale africaine », se projette L'Intelligent en Côte d'Ivoire. Mais avant les demi-finales, il y a les quarts… « Après l'Espagne, les Lions orientent leurs griffes vers le Portugal », lance le quotidien marocain Le Matin (ce sera samedi). Le Portugal, « auteur d'une véritable démonstration de force hier soir face à la Suisse, 6 buts à 1. »
« Historique, s'exclame le site du magazine marocain Tel Quel, les Lions de l'Atlas éliminent l'Espagne et se qualifient pour la première fois pour les quarts de finale. » Score final 0-0 à la fin des prolongations et 3 à 0 après la séance des tirs au but. « D'une panenka somptueuse, note Tel Quel, Hachraf Hakimi, qui est né et a grandi dans la banlieue sud de Madrid, a conclu la superbe performance du gardien Yassine Bounou, qui joue depuis dix ans en Espagne et qui a été infranchissable pendant la séance des tirs au but. Jamais les Lions de l'Atlas n'avaient atteint les quarts de finale d'un Mondial. Leur meilleur résultat dans la compétition reine du football remontait à 1986, lorsqu'ils avaient atteint les huitièmes, où ils avaient affronté la sélection allemande. » « Ils n'ont jamais tremblé, s'émerveille le site tunisien Webdo. Les Marocains se sont même procurés trois grosses occasions en fin de rencontre pour plier le match. Mais finalement les tirs au but leur ont réussi. Côté espagnol, ni Pablo Sarabia, ni Carlos Soler, ni Sergio Busquets ne sont parvenus à tromper Yassine Bounou, le portier marocain. Dominatrice durant la rencontre, l'Espagne s'est montrée inefficace malgré ses 76% de possession. » Yassine Bounou l'infranchissable… « Yassine Bounou, le cauchemar des Espagnols, meilleur joueur du match », jubile le quotidien L'Opinion à Rabat. « Sa prestation face à l'Espagne n'est que la démonstration de son aura grandissante. Les Espagnols, et pas que les Marocains, se souviendront longtemps de Bounou. Mais pas pour les mêmes raisons. » « Et il y a un autre héros, pointe encore L'Opinion : Walid Regragui qui a bien préparé ce match et qui a mérité un grand coup de chapeau, d'autant que tout le peuple marocain est entré dans une liesse hystérique. » Mohammed VI au milieu des supporteurs En effet, des milliers de Marocains ont fêté l'événement hier soir. Et parmi eux, à Rabat, le roi Mohammed VI, relève le quotidien Le Matin. « Le Souverain a sillonné les rues de la capitale déjà envahies par les fans venus célébrer le sacre de l'équipe nationale. Mohammed VI, un drapeau à la main, a répondu aux salutations de la foule dans une forte symbolique de partage et de liens très solides entre un Roi et son peuple. » Auparavant, note encore Le Matin, « le Souverain s'était entretenu au téléphone avec le Président de la Fédération Royale Marocaine de Football, Fouzi Lekjaa, et l'entraîneur de l'équipe nationale, Walid Regragui, auxquels il a exprimé ses sincères félicitations aux joueurs et aux staffs technique et administratif qui ont su donner le meilleur d'eux-mêmes et accomplir un parcours excellent au cours de cette compétition sportive majeure. » Une victoire célébrée dans le monde arabe, en Europe… Et « plus qu'une victoire des Lions de l'Atlas, c'est un exploit historique que des milliers de Marocains sont sortis célébrer, hier soir, dans les principales capitales européennes, pointe le site marocain Yabiladi. Le stress d'un match aux allures de combat épique, qui a tenu en haleine des millions de supporters de par le monde, a laissé place à une explosion de joie à Paris, Londres, Bruxelles, Berlin ou encore Rome. Des milliers de personnes sont descendues également dans les rues de nombreux pays arabes : Palestine, Oman, Jordanie, Syrie. » … et en Afrique ! Et dans la presse du continent, avalanche de réactions… « Les Lions de l'Atlas sauvent l'honneur de l'Afrique », s'exclame Le Pays au Burkina Faso. « L'Atlas était infranchissable pour les Espagnols », renchérit L'Observateur Paalga. « Les footballeurs marocains offrent un cœur de lion à l'Afrique et au monde arabe ! », se réjouit Mourya au Niger. « Les Lions de l'Atlas dominent la Roja », constate 24 Heures au Sénégal. « Le Maroc fait déjà rêver à la 1ère demi-finale africaine », se projette L'Intelligent en Côte d'Ivoire. Mais avant les demi-finales, il y a les quarts… « Après l'Espagne, les Lions orientent leurs griffes vers le Portugal », lance le quotidien marocain Le Matin (ce sera samedi). Le Portugal, « auteur d'une véritable démonstration de force hier soir face à la Suisse, 6 buts à 1. »
Dans Tour du monde ce mercredi, Cyril Morin, journaliste à Eurosport analysé les quarts de finale de la Coupe du monde, entouré par nos spécialistes.Seule surprise de ces quarts de finale du Mondial, le Maroc a fait forte impression en sortant l'Espagne. A côté, les favoris ont répondu présent. Les Lions de l'Atlas seront opposés au Portugal, est-ce l'affiche la plus déséquilibrée des quarts de finale ? On en discute avec Elton Mokolo. (1:24)Direction l'Angleterre, où Philippe Auclair, notre spécialiste du football anglais, nous donne la température outre-manche, à quelques jours de la confrontation avec les Bleus. Comment les Three Lions se préparent-ils à contrer Kylian Mbappé ? Comment mettre Jude Bellingham dans les meilleures conditions ? (14:26)Les deux gros épouvantails de l'Amérique du Sud, le Brésil et l'Argentine, sont qualifiés. Que doit-on attendre de ces deux sélections ? Nous y reviendrons avec Thomas Goubin. (26:55)Le Portugal s'est lui brillament imposé face à la Suisse sans Cristiano Ronaldo. Fernando Santos a fait un choix fort mais payant. Va-t-il se passer de sa star pour le reste de la compétition ? Julien Pereira, notre spécialiste du football portugais, n'en est pas convainvu. (21:21)Enfin, focus sur l'Espagne, éliminée par le Maroc aux tirs au but. La Roja a produit un jeu de possession stérile, presque caricaturale. Comment les Espagnols peuvent-ils réagir pour sortir de cette spirale négative ? On analyse la situation avec Anna Carreau. (56:39)Bienvenue dans Tour du Monde et bonne écoute !Réalisation : Anne Thirion / Visuels : Marko Popovic Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Contrairement aux autres grandes puissances de l'époque, et notamment le Royaume-Uni et la France, la Russie n'avait pas créé, au XIXe siècle, d'Empire colonial. Jugée sans doute assez vaste, elle n'avait pas été invitée à prendre part au partage de l'Afrique. Et pourtant, la Russie réussit à s'implanter, durant une courte période, sur le continent américain. Là, sa possession la plus importante est l'Alaska, qui, sous l'autorité de la compagnie russe d'Amérique, ne devient une colonie russe qu'à la fin du XVIIIe siècle. Son économie était surtout fondée sur le commerce des fourrures. Au milieu du XIXe siècle, on estime qu'environ 2.500 Russes s'étaient installés en Alaska. Mais les Russes s'installent aussi bien plus au sud, dans ce qui deviendra plus tard la Californie. Ils y fondent un établissement, fort Ross, situé à environ 80 kilomètres de l'actuelle San Francisco. Des vestiges, retrouvés au début du XXe siècles, montrent que des colons russes ont sans doute pris pied encore plus au sud. Le but était de trouver, dans cette contrée plus hospitalière, des vivres qui seraient acheminées vers l'Alaska. En effet, le climat très rude de ce territoire rendait l'approvisionnement en nourriture très problématique. Mais, du fait de relations difficiles avec leurs voisins, les Espagnols, puis les Américains, les Russes ne peuvent pas se maintenir très longtemps. Ils quittent donc fort Ross, où l'on a reconstruit une chapelle à l'architecture russe, et vendent finalement l'Alaska aux États-Unis, en 1867, pour un peu plus de 7 millions de dollars. Le territoire devient le 49e État de l'Union deux ans plus tard. Mais la Russie fit aussi, au début du XIXe siècle, une tentative d'incursion, moins connue, sur ce qui deviendrait, bien plus tard, partie intégrante du territoire américain. Il s'agit de l'île de Kauai, l'une des îles principales de l'archipel d'Hawaï, qui deviendra un territoire américain en 1898. Grâce à un accord avec un chef local, un colon russe y reste deux ans, entre 1815 et 1817. Mais le traité qu'il réussit à négocier est refusé par son gouvernement. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Épisode 875 : Youpi c'est lundi et comme chaque lundi on vous fait un récap des dernières actus social media. Aujourd'hui on vous parle Twitter, Youtube Shorts, Whatsapp pro et même football ! La saga Twitter se poursuit !Elon Musk l'a bien compris, pour que L'oiseau bleu reprenne son envol, il lui faut un nouvel essor, une nouvelle dynamique. C'est pourquoi, en fin de semaine dernière, en bon dirigeant emphatique il a lancé un ultimatum aux 50% de salariés qui n'avaient pas encore été licenciés :« Engagez-vous dans un nouveau Twitter " hardcore " ou quittez l'entreprise avec une indemnité de départ. » Au programme pour les volontaires, travailler 12 heures par jour, sept jours sur sept...Pour signifier de leur volonté d'intégrer le goulag, Les salariés avaient 48h pour inscrire leur nom dans un google form.Au lieu d'avoir l'effet fédérateur et solidaire escompté, l'ultimatum a mis le feux aux poudres.Les employés se sont révoltés et ont utilisé leur propre plateforme pour faire leurs adieux.Certains se sont filmés pour annoncer leur départ avec humour et d'autres très nombreux ont Twitté qu'ils quittaient le navire avec cet emoji qui fait un salut militaire la main sur le crâne accompagnés du #riptwitter.Le #riptwitter largement repris s'est alors hissé en trending hashtag.« Twitter ressemble actuellement à une fin de soirée à 6h30 du mat' ou tout le monde est entre l'ivresse et la gueule de bois et se demande où aller après #RIPTwitter #TwitterOFF »Au total, côté employés, seuls 50% des 50% restants auraient accepté de rejoindre le mouvement, enquelques jours, l'effectif de twitter a donc diminué de 75 %..Pour gérer l'urgence et la catastrophe, les locaux de Twitter sont fermés aux employés depuis jeudi pour éviter toute dégradation matérielle.Si l'on doit rajouter une couche d'instabilité,Si l'on veut aller un peu plus loin dans la déconnade,Samedi Elon Musk s'attaquait à l'un des autres projets structurants de son mandat : le retour de Donald Trump sur Twitter.Il postait donc Samedi un Tweet Sondage pour décider si Donald Trump pouvait réintégrer la plateforme, le lendemain il comptabilisait 134 Millions de votes.Les votants ont à 51,8% validé le Retour de Donald Trump ce qui a donné lieu à un joli Tweet et quelques mèmes d'Elon : « La voix du peuple, la Voix de dieu @TheRealDonald Trump est de retour sur Twitter »Du côté des marques et des personnalités, elles quittent le navire dans le sillage de Balenciaga lundi dernier Gigi Hadid, Sarah Bareilles, Woopy Goldberg..WhatsApp renforce ses propositions pour les entreprisesMeta souhaite renforcer sa proposition de valeur du côté de WhatsApp. Pour cela, le groupe compte bien s'appuyer sur WhatsApp business.Mark Zuckerberg , a annoncé une nouvelle mise à jour qui permettra aux utilisateurs de WhatsApp de rechercher des entreprises directement au coeur de l'application. Une recherche qui fonctionnera par catégorie ou par nom.La fonction de recherche comprendra notamment une mini-carte afin que vous puissiez consulter les entreprises à proximité.Un coup de pouce bienvenue pour les boites qui commencent à sérieusement se pencher sur WhatsApp comme outil de relation client.La fonction sera dans un premier temps déployée au Brésil, en Indonésie, au Mexique et au Royaume-Uni.Meta étend aussi les paiements au coeur de WhatsAppL'idée, c'est que les gens puissent effectuer un paiement sécurisé directement à partir d'un chat avec leur carte de crédit.La fonction est en test depuis plusieurs mois en Inde et Meta va l'étendre au Brésil.Cette expérience de paiement a pour ambition de changer la donne pour les personnes et les entreprises qui souhaitent acheter et vendre sur WhatsApp. Plus besoin de se rendre sur un site Web, ou ouvrir une autre application.Autre point intéressant qui pourrait pousser les marques à développer une présence sur WhatsApp, Youtube teste une fonctionnalité e-commerce dans ShortsYoutube se porte bien. Notamment grâce à YouTube Shorts qui a dépassé 1,5 milliard d'utilisateurs mensuels. Mais paradoxalement, les recettes publicitaires de la plateforme sont en baisse. Les revenus trimestriels de YouTube ont baissé de 2% par rapport à 2021.Du coup forcément, Alphabet la maison mère de Google, cherche des solutions de monétisation additionnelles.Avec la vidéo courte, il est plus compliqué d'insérer des publicités, comme vous le feriez sur un contenu plus long. Tout ce qui est pré roll ou mid roll ne peut pas s'intégrer. Youtube envisage donc d'autres options et lance donc un teste pour une fonctionnalité permettant aux créateurs d'étiqueter des produits.Ces produits pourront soit être issus de la boutique du créature mais aussi de produits proposé en affiliation. Evidemment à terme YouTube devrait prendre sa commission.Pour l'instant ça se passe aux États-Unis, en Inde, au Brésil, au Canada et en AustralieEleven All Stars le foot en ligne plus populaire que la coupe du monde !On en parlait Vendredi, le démarrage de la coupe du monde était très chaotique autant dans la communication que dans les nombreux scandales.En marge de tout ça, un autre évènement foot a lui explosé les compteurs : Le Eleven All Stars.Après une rude bataille entre les gamers Français et Espagnols lors de la pixel war l'an dernier, il a été décidé qu'une seconde manche devait être disputée. « Pour rappel la pixel war c'était une sorte de maxi coloriage didital. Il s'agit d'un espace interactif dans lequel chaque utilisateur de Reddit peut placer un pixel de couleur toutes les cinq minutes, dans le but, au final, d'avoir une fresque collaborative en pixel art.La France était sortie gagnante avec une Thématique football. »Toute cette intro pour parler d'un évènement football qui a eu lieu ce week-end : Le Eleven All Stars.Après le Zevent et le GP explorer, cette fois-ci les steamers ont décidés de s'affronter sur un stade de foot.L'évent Organisé pat Aminematuer réunissait une fois de plus un fleuron de streamers, de INoxtag a Carlito en passant par Rivensi et Lebouseuh.Au Stade Jean-Bouin à Paris, ce sont 20 000 spectateurs qui sont venus voir ce match entre "streamers" venus de France et d'Espagne. Si l'équipe de France a gagné (2-0), l'essentiel était pour les organisateurs, de réussir à organiser des évènements sportifs dignes des plus grands.Si l'évènement physique a été un succès, ça l'a été encore plus en ligne: plus d'un million de spectateurs en ligne ont suivi l'évènement, ce qui en fait un nouveau record de stream pour la France.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs.Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com/. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
Sur le drapeau, la Hollande affiche son bleu, blanc, rouge. Sur le maillot de foot, c'est l'orange qui l'emporte. Cette couleur, typiquement hollandaise, honore Guillaume de Nassau qui a libéré le pays du joug des Espagnols au XVIᵉ siècle. Ce dernier était lors le seigneur de la principauté d'Orange, dans le Vaucluse. Tous les jours à 8h35 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée au foot.
Sur le drapeau, la Hollande affiche son bleu, blanc, rouge. Sur le maillot de foot, c'est l'orange qui l'emporte. Cette couleur, typiquement hollandaise, honore Guillaume de Nassau qui a libéré le pays du joug des Espagnols au XVIᵉ siècle. Ce dernier était lors le seigneur de la principauté d'Orange, dans le Vaucluse. Tous les jours à 8h35 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée au foot.
Le Sahara occidental est un territoire de plus de 265.000 km2, situé à l'ouest du Maghreb. Il a comme voisins le Maroc, l'Algérie et la Mauritanie. En 1884, après des victoires remportées sur le Maroc, l'Espagne commence à coloniser le Sahara occidental. Deux pays frontaliers en revendiquent très tôt la possession : le Maroc et la Mauritanie. Pour le premier, le Sahara occidental doit faire partie de ce "Grand Maroc" dont la constitution a été, en quelque sorte, retardée par la domination coloniale française. Quant à la Mauritanie, elle considère que les peuples mauritanien et sahraoui présentent de nombreuses similitudes. Mais les ressources d'un territoire au sous-sol très riche en phosphates et en minéraux divers, et, au surplus, bordé par une mer très poissonneuse, excitent aussi bien des convoitises. Malgré la demande de l'ONU, en 1965, l'Espagne refuse de quitter le Sahara occidental. Cette intransigeance entraîne la formation, en 1973, du Front Polisario, un mouvement nationaliste qui réclame l'indépendance du territoire. C'est alors le début d'un conflit qui dure toujours, de manière plus ou moins larvée. En effet, les combattants du Front Polisario, soutenus par l'Algérie, s'opposent aux Espagnols. Après la mort de Franco, en novembre 1975, ces derniers acceptent de se retirer de la région. C'est à ce moment, en octobre 1975, que le Roi du Maroc, Hassan II, organise une manifestation spectaculaire. Cette "Marche verte", qui mobilise une immense foule, était destinée à mettre en scène les ambitions marocaines sur le Sahara occidental. Un accord, en 1975, en confie la gestion au Maroc et à la Mauritanie. Mais, quatre plus tard, la Mauritanie renonce à toute revendication sur le territoire. Désormais, c'est donc contre le Maroc que le Front Polisario va se battre. Malgré un cessez-le feu, entré en vigueur en 1991, la situation n'a guère évolué. Le référendum d'autodétermination, promis à la population, n'a toujours pas eu lieu. Une portion du territoire est toujours occupé par l'armée marocaine. Et, alors que l'Espagne s'est retirée du Sahara occidental depuis près de 50 ans, le territoire n'a toujours pas reçu, malgré plusieurs tentatives en ce sens, de statut définitif. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:38 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - Les descendants des réfugiés politiques espagnols du Franquisme pourront prétendre à la nationalité espagnole. Sept cent mille Sud-américains pourraient être concernés.
durée : 00:02:38 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - Les descendants des réfugiés politiques espagnols du Franquisme pourront prétendre à la nationalité espagnole. Sept cent mille Sud-américains pourraient être concernés.
Ce 91e épisode de Pos. Report est consacré au championnat du monde de 470 qui débute le samedi 22 octobre dans le nord d'Israël, à Sdot Yam, et se dispute pour la première fois dans la nouvelle configuration olympique, en équipage mixte. Notre première invitée est Camille Lecointre, double médaillée de bronze olympique (avec Hélène Defrance à Rio puis avec Aloïse Retornaz à Tokyo), qui, après avoir donné naissance en mai à une petite fille, son deuxième enfant, dispute sa première grande compétition de l'année avec Jérémie Mion. Les deux autres invités sont Hippolyte Machetti, qui fait de son côté équipe avec Aloïse Retornaz, et Gildas Philippe, coach de l'équipe de France de 470, série dont il a lui-même été sacré champion du monde en 1998. Nous commençons par un retour en arrière : Camille Lecointre explique pourquoi, après trois olympiades consécutives - elle avait terminé quatrième à Londres en 2012 -, elle a décidé de repartir pour une “PO” (préparation olympique), une décision liée à la “petite frustration” de ne pas avoir fait mieux que troisième à Tokyo, mais aussi au fait que les Jeux se disputent en France, “une motivation supplémentaire.” Elle s'est assez vite entendue pour faire équipe avec Jérémie Mion, avec cependant “une condition prioritaire” pour elle, celle de s'accorder une pause pour un deuxième enfant, ce que ce dernier “a très bien compris”. Hippolyte Machetti raconte quant à lui comment il a remplacé Kevin Peponnet, dont le recrutement au sein de l'équipe de France de SailGP devenait incompatible avec une “PO”, avec, à la clé, des débuts en fanfare pour le duo qu'il forme avec Aloïse Retornaz, deuxième de sa première compétition, la Semaine olympique française d'Hyères en avril dernier. Nos trois invités évoquent les avantages et inconvénients des configurations différentes - barreuse/équipier pour le tandem Lecointre/Mion, barreur/équipière pour Machetti/Retornaz - aucune ne semblant avoir pris le pas jusqu'à présent au niveau international. Camille Lecointre explique son programme de reprise, avec une installation à Marseille, un retour à la navigation en septembre, et ce championnat du monde en Israël pour lequel elle ne se fixe pas d'objectifs sportifs précis. Hippolyte Machetti revient de son côté sur sa saison, marquée par une quatrième place au championnat d'Europe en Turquie en septembre - “on voulait le podium”, commente-t-il. Nos trois invités évoquent ensuite la concurrence interne en équipe de France, qui, selon Gildas Philippe se passe en bonne intelligence. Les enjeux seront cependant plus forts en 2023 avec les championnats du monde World Sailing à La Haye et le test event de Marseille qui pourraient être décisifs pour le choix du duo tricolore pour les Jeux de Paris 2024, même si les critères et les dates de la sélection ne sont pas encore définis. Le coach tricolore détaille la concurrence internationale, avec jusqu'à présent une domination des Suédois et des Espagnols, tandis que Camille Lecointre explique qu'elle a tiré un trait sur l'équipe de France de SailGP, dont elle devait à l'origine faire partie sur quelques Grands Prix : “Je n'aime pas me lancer dans un projet sur lequel je ne peux pas me concentrer à fond.” Diffusé le 18 octobre 2022 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
A l'occasion d'Halloween, les parcs d'attractions espagnols proposent des nouveautés et de l'adrénaline, en famille ou entre amis. Faisons justement le tour... La page du podcast : https://www.espagne-facile.com/podcast/ Crédit sonore
durée : 00:02:52 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - La famille du dictateur fait tout pour se rappeler au bon souvenir mémoriel des Espagnols, y compris réclamer à l'Etat des bibelots... et des tapis de sol !
durée : 00:02:52 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - La famille du dictateur fait tout pour se rappeler au bon souvenir mémoriel des Espagnols, y compris réclamer à l'Etat des bibelots... et des tapis de sol !
Anicet Mbida nous livre chaque matin ce qui se fait de mieux en matière d'innovation. Ce lundi, il s'intéresse à un gros changement dans le domaine spatial. L'Europe a trois projets de fusées réutilisables : le projet Maïa d'ArianeGroup, la fusée Muria des Espagnols de PLD Space et la mini navette spatiale baptisée "Susie".
L'équipe de France de basket est rentrée de l'Euro 2022 avec une médaille d'argent après la finale perdue face à l'Espagne 88-76. Cette breloque est-elle satisfaisante et malgré tout, l'avenir s'annonce-t-il rose pour les Bleus ? L'équipe de Basket Time en débat cette semaine avec Nando de Colo, arrière de l'équipe de France, absent sur cette compétition et nouveau joueur de l'ASVEL. Pierre Dorian, Frédéric Weis, Stephen Brun et Alexandre Biggerstaff évoqueront également l'Espagne et cette nouvelle génération. Et enfin, dans la partie historique, retour sur les plus célèbres affrontements entre Français et Espagnols.
Petit retour sur les 1/4 de finales, La Grèce et la Slovenie à la trappe ! La France s'impose dans la douleur face au Italiens encore en OT !Qui des Espagnols, des Allemands, des Polonais et des Français va se hisser en Finales de cet EuroBasket ? Enjoy!
Charles III est le nouveau souverain du Royaume-Uni. À 73 ans, il a été proclamé officiellement roi samedi par le Conseil d'accession, réuni au palais de Saint-James à Londres. Un monarque qui ne bénéficie pas de la popularité de sa mère. Selon le dernier sondage YouGov, réalisé en août 2019, Elizabeth II caracolait en tête des membres de la famille royale les plus populaires avec 72%, suivie de son petit-fils Harry 71% puis William 69%. Charles ne pointait qu'en 7e position avec seulement 48% d'opinions favorables. Entretien avec Luc Borot, professeur émérite de civilisation britannique à l'université Paul Valéry à Montpellier. RFI : Cette popularité moindre constituera-t-elle un handicap pour le nouveau roi ? Luc Borot : C'est tout à fait possible parce que depuis longtemps, il est perçu comme étant un lobbyiste dans beaucoup de domaines. Quelqu'un qui est intervenu dans des affaires d'urbanisme au profit de familles royales du Golfe, par exemple. Et je voudrais ajouter une chose, et faire un parallèle avec l'Espagne. On dit très souvent que les Espagnols étaient beaucoup plus « juan carlistes », autant du règne de Juan Carlos que royalistes, et nous allons découvrir dans les années qui viennent si les Britanniques étaient « elizabethistes », si vous me pardonnez ce néologisme où effectivement royalistes, et si le fils a hérité non seulement de la couronne, mais aussi du prestige et de l'affection des Britanniques. Certes, il a des idées généreuses, il est très actif dans des organisations caritatives et il a laissé entendre qu'il voudrait changer le style de la monarchie dans un sens peut-être plus interventionniste. Du moins, c'est ce que certains de ses collaborateurs, il y a une quinzaine d'années, on fait circuler. Était-ce un ballon d'essai ? On ne sait pas. Charles III est le monarque le plus âgé à accéder au trône. On pourrait en conclure que de facto, ce sera un roi de transition, mais en même temps, il pourrait choisir, comme vous nous le dites, de profiter de ce règne qui sera nécessairement beaucoup plus court que celui de sa mère pour moderniser la monarchie ? Moderniser la monarchie, ça peut se faire de diverses façons. Je pense qu'il séduirait les plus sceptiques de ses sujets, s'il supprimait les privilèges de la famille royale étendue. Parce qu'actuellement, c'est le contribuable qui finance le train de vie absolument faramineux de toute la famille étendue, et c'est particulièrement impopulaire. Même ceux qui étaient très attachés à la reine Elizabeth pouvaient trouver que c'était indus. Moderniser la monarchie pourrait aussi impliquer d'être beaucoup plus proche encore que ne l'était Elizabeth de la façon de vivre de l'ensemble de la société britannique. Je pense que comme sa mère, il veut éviter l'abdication, car c'est son grand-oncle, Edward, qui le dernier a abdiqué et ce n'est pas un bon souvenir pour l'ensemble de la famille royale. Et pour les Britanniques, encore moins. Et ce nouveau roi sera-t-il l'incarnation de la neutralité comme sa mère ? Rappelons qu'en 2018, sur la BBC, il avait déclaré : « Je ne suis pas si idiot », alors qu'on lui demandait s'il avait conscience qu'il devrait s'interdire toute prise de position. Qu'en sera-t-il, selon vous, Luc Borot ? Je pense qu'il a bien intégré le fait qu'il allait falloir apprendre et réussir à se taire. Mais la difficulté portera sur les affaires de politique environnementale, sauf peut-être lors de sa rencontre hebdomadaire avec la Première ministre. Liz Truss vient par exemple de faire passer un texte sur l'autorisation de la fracturation hydraulique. Peut-être aura-t-il des mots avec elle en privé lors de cet entretien totalement secret ? On verra s'il se permet une incartade en public là-dessus, mais ce serait extrêmement mal vu. La reine Elizabeth II n'a jamais abdiqué en faveur de son fils, elle ne lui a pas donné le titre de régent. Peut-on envisager que Charles III abdique en faveur de son fils William ou abdiquer est un mot totalement tabou ? Alors ça, on ne le sait pas. Je pense que comme sa mère, il veut éviter l'abdication, car c'est son grand-oncle, Edward qui le dernier a abdiqué et ce n'est pas un bon souvenir pour l'ensemble de la famille royale. Et pour les Britanniques, encore moins. Donc, à mon avis, l'abdication est à écarter sauf si son état de santé se dégradait et en particulier sa santé mentale, qui l'empêcherait totalement d'exercer ses fonctions. Il est clair que l'on s'est longtemps demandé si Charles régnerait sous le nom de Charles III ou prendrait un autre nom, ce qui est déjà arrivé. Il y a eu des spéculations, car ce prénom Charles peut porter un peu malheur quand on est roi. Avant le règne de Charles III, il y a eu deux autres souverains prénommés Charles. Il faut remonter au XVIIe siècle, c'était un père puis son fils, et on peut dire que ces deux règnes ont été très mouvementées. Oui, absolument. Charles Ier a été décapité par les puritains, qui venaient de prendre le pouvoir au terme d'une guerre civile, en janvier 1649. Charles II, qui a été restauré 11 ans plus tard sur le trône après un temps de République et de dictature militaire, a été un roi qui fut un homme d'État, tout à fait respectable, mais dont le règne a été agité par des controverses sur la tolérance religieuse, avec de nombreux complots, y compris un complot républicain. Il est clair que l'on s'est longtemps demandé si Charles régnerait sous le nom de Charles III ou prendrait un autre nom, ce qui est déjà arrivé. Il y a eu des spéculations, car ce prénom Charles peut porter un peu malheur quand on est roi d'Angleterre. On peut espérer que son règne ne se termine pas comme celui du premier Charles, bien entendu, et qu'il y ait moins d'agitation, de violence et d'intolérance de toutes parts que sous le règne du deuxième. Terminons par une question vestimentaire : on se souviendra longtemps des toilettes colorées de la défunte souveraine. Vestimentairement parlant, Charles III sera plus sobre. Sobriété dans l'élégance ? Oui, je crois que c'est comme cela qu'on peut définir les tenues qu'il a portées ces dernières années. Ce costume croisé souvent à motif « prince de Galles », mais il n'est plus prince de Galles... Je pense que l'on va rester dans la sobriété avec distinction.
Gabriel Sandoval vient nous présenter son Livre Tous les peintres espagnols ne s'appellent pas Picasso Votre curiosité a été attisée ? Retrouvez toutes les infos et les liens d'achat sur sa page dédiée : https://www.radiolocalitiz.fr/gabriel-sandoval…lent-pas-picasso/ Crédit Musique : Bernardo Sandoval - Brujas https://music.apple.com/fr/album/brujas/1545991944?i=1545991948 Soutenez-nous !
Le 8 septembre 1522 à Séville, une poignée d'hommes décharnés débarquent du Victoria, l'un des navires de l'expédition de Magellan. Ils viennent d'effectuer le premier tour du globe de l'Histoire. Cinq cents ans plus tard, cette date anniversaire continue de travailler les mémoires nationales. Histoire Vivante explore le voyage et la personnalité de Magellan et s'intéresse plus largement aux grandes découvertes. Dans ce premier épisode sur Magellan, Laurent Huguenin-Elie reçoit Michel Chandeigne, éditeur et auteur, spécialiste du Portugal, des pays lusophones, de leur littérature et de leur histoire, également connu sous son nom de plume: Xavier de Castro. Il a publié de nombreux ouvrages dont "Le voyage de Magellan" et "Idées reçues sur les Grandes découvertes", parus aux éditions Chandeigne. Photo: réplique de la Victoria, premier navire à avoir accompli la circumnavigation du globe. 237 hommes répartis sur cinq navires accompagnaient la Victoria lors de son périple: la Trinidad, nef amirale commandée par Magellan; le San Antonio; la Concepción et la Victoria. Les équipages étaient formés d'Espagnols, de Portugais, d'Italiens de Grecs et de Français. (© Gnsin/wikimedia)
En Espagne, où les trois quarts du pays supportent depuis la mi-juin une température journalière de plus de 38 degrés, les modes de vie s'adaptent à cette canicule permanente. Dès que la température baisse, l'activité reprend. La nuit devient le moment choisi pour vivre ou travailler. De notre correspondante à Madrid, C'est une des grandes traditions estivales espagnoles, « salir al fresco ». Dès que le soleil disparaît, les habitants des villages, mais aussi des petites villes sortent leur chaise devant chez eux pour prendre le frais. À Candeleda, un village de Castille-la-Manche, les rues sont plus animées la nuit que le jour. « Et bien, je me suis assis ici à 11h du soir et je vais y rester jusqu'à une heure du matin. C'est là où on est le mieux. On essaye de se rafraichir un peu et on voit passer du monde », raconte un habitant. Habitués aux fortes chaleurs, les Espagnols modifient leurs habitudes de vie dès le mois de juin, comme l'explique Belen. « Mon rythme de la journée est marqué par les matinées et la nuit lorsque c'est le plus agréable. J'en profite pour tout faire, explique cette Madrilène de 50 ans. L'hiver, je me lève à 8h, mais l'été, je commence à 6h du matin mes activités. D'ailleurs, il y a beaucoup de monde dans les rues très tôt. Tout le monde recherche les endroits à l'ombre et ensuite l'après-midi, il faut disparaître, rester chez soi. La maison est préparée pour empêcher le soleil d'entrer avec les volets fermés et parfois un peu de climatisation, même si je n'aime pas cela et puis faire la sieste. L'hiver, je ne la fais pas, mais l'été, oui, c'est indispensable. » ► À lire aussi : L'Espagne fait face à des vagues de canicule meurtrières Le monde du travail s'adapte également aux heures chaudes. Les fonctionnaires et les employés du privé appliquent la journée continue. De 8h à 15h. D'autres secteurs, comme l'agriculture, privilégie la nuit. Dans la région d'Estrémadure, où l'on cultive le tabac, les récoltes se font à la fraîche, comme l'explique Paco : « On commence à 6h du matin et on travaille jusqu'à 13h. Après en septembre, il y a deux tours le matin et l'après-midi. Mais quand il y a des vagues de chaleur très forte, on commence plus tôt encore, en pleine nuit et on finit avant midi. La chaleur plus l'humidité des champs de tabac rend très dur le travail, on le supporte très mal. » Les vagues de chaleur qui, comme cette année, ont débuté dès le mois de juin, pourraient également affecter le rythme scolaire. L'Éducation nationale envisage d'avancer la date des grandes vacances pour éviter que les élèves suivent des cours dans des salles à plus de 30 degrés. Enfin, dans d'autres secteurs comme dans la construction, il est aussi question de modifier les horaires pour qu'entre 13h et 18h, personne ne travaille sur des chantiers à l'air libre lorsque le thermomètre affiche plus de 35 degrés. ► À lire aussi : Climatisation et transports ferroviaires réduits: l'Espagne face à l'économie d'énergie
En Espagne, où les trois quarts du pays supportent depuis la mi-juin une température journalière de plus de 38 degrés, les modes de vie s'adaptent à cette canicule permanente. Dès que la température baisse, l'activité reprend. La nuit devient le moment choisi pour vivre ou travailler. De notre correspondante à Madrid, C'est une des grandes traditions estivales espagnoles, « salir al fresco ». Dès que le soleil disparaît, les habitants des villages, mais aussi des petites villes sortent leur chaise devant chez eux pour prendre le frais. À Candeleda, un village de Castille-la-Manche, les rues sont plus animées la nuit que le jour. « Et bien, je me suis assis ici à 11h du soir et je vais y rester jusqu'à une heure du matin. C'est là où on est le mieux. On essaye de se rafraichir un peu et on voit passer du monde », raconte un habitant. Habitués aux fortes chaleurs, les Espagnols modifient leurs habitudes de vie dès le mois de juin, comme l'explique Belen. « Mon rythme de la journée est marqué par les matinées et la nuit lorsque c'est le plus agréable. J'en profite pour tout faire, explique cette Madrilène de 50 ans. L'hiver, je me lève à 8h, mais l'été, je commence à 6h du matin mes activités. D'ailleurs, il y a beaucoup de monde dans les rues très tôt. Tout le monde recherche les endroits à l'ombre et ensuite l'après-midi, il faut disparaître, rester chez soi. La maison est préparée pour empêcher le soleil d'entrer avec les volets fermés et parfois un peu de climatisation, même si je n'aime pas cela et puis faire la sieste. L'hiver, je ne la fais pas, mais l'été, oui, c'est indispensable. » ► À lire aussi : L'Espagne fait face à des vagues de canicule meurtrières Le monde du travail s'adapte également aux heures chaudes. Les fonctionnaires et les employés du privé appliquent la journée continue. De 8h à 15h. D'autres secteurs, comme l'agriculture, privilégie la nuit. Dans la région d'Estrémadure, où l'on cultive le tabac, les récoltes se font à la fraîche, comme l'explique Paco : « On commence à 6h du matin et on travaille jusqu'à 13h. Après en septembre, il y a deux tours le matin et l'après-midi. Mais quand il y a des vagues de chaleur très forte, on commence plus tôt encore, en pleine nuit et on finit avant midi. La chaleur plus l'humidité des champs de tabac rend très dur le travail, on le supporte très mal. » Les vagues de chaleur qui, comme cette année, ont débuté dès le mois de juin, pourraient également affecter le rythme scolaire. L'Éducation nationale envisage d'avancer la date des grandes vacances pour éviter que les élèves suivent des cours dans des salles à plus de 30 degrés. Enfin, dans d'autres secteurs comme dans la construction, il est aussi question de modifier les horaires pour qu'entre 13h et 18h, personne ne travaille sur des chantiers à l'air libre lorsque le thermomètre affiche plus de 35 degrés. ► À lire aussi : Climatisation et transports ferroviaires réduits: l'Espagne face à l'économie d'énergie
Lionel MESSI enflamme encore les medias espagnols, MILIK, BAILY, le mercato de l'OM n'est pas terminé ! Les chiffres dingues du contrat réclamé par RABIOT, la vente du siècle en préparation en PREMIER LEAGUE ? Sodas a table...La fin d'une absurdité au PSG ! la revue de presse... Le journal du foot et du mercato N°1094 est en ligne ! Abonnez-vous ;)
durée : 00:29:00 - Les Nuits de France Culture - Troisième étape de ces “Pays où l'on n'arrive jamais” consacrée au mythe de l'El Dorado, ce récit très populaire pendant la Conquête de l'Amérique par les Espagnols. Du mythe à la réalité, le contraste est évidemment brutal. Voici l'histoire de quelques-uns de ces explorateurs bernés par la rumeur.
Nouvel épisode de notre série de voyages à travers le passé et le présent noir des grandes villes du monde. Direction Madrid, capitale d'un pays situé à seulement 14 km des côtes africaines mais qui ignore encore largement son africanité. Dire que l'Espagne est proche de l'Afrique relève de l'évidence. Géographique d'abord, l'Espagne étant le seul pays d'Europe à conserver des territoires (Ceuta et Melilla) sur le sol africain. Historique aussi. La période musulmane de la péninsule ibérique (711-1492) où de nombreux Nord-Africains ont foulé le sol d'Al Andalus, est une page importante de la longue histoire du métissage dans la péninsule, faite d'héritages croisés entre monde arabe, grec, latin, juif mais aussi africain. À tel point que l'on disait que l'Afrique commençait au pied des Pyrénées. Aujourd'hui à Madrid, capitale conservatrice et castillane peuplée de plus de 3 millions d'habitants, comme ailleurs dans le pays, cet héritage est largement méconnu voire ignoré. Il en va de même pour l'histoire esclavagiste et coloniale, les Espagnols n'ayant pas fait grande publicité, à l'inverse des Portugais, de leur entreprise coloniale en Afrique, notamment en Guinée Équatoriale. «Afro-espagnols» nés en Espagne, Africains du continent arrivés plus récemment ou «Afro-latinos» venus d'Amérique du Sud, les personnes noires du pays seraient au nombre de 1 à 2 millions. Et parmi elles, 700 000 seraient de nationalité espagnole. Très peu de données officielles existent à ce sujet et la communauté africaine et afro-descendante d'Espagne, consciente de son invisibilité, cherche aujourd'hui à se compter et à se rassembler. À Madrid, c'est à Lavapiés que l'on peut retrouver le visage multiculturel de la ville. S'y côtoient des Espagnols, des immigrés sénégalais et bangladais, des touristes internationaux... Des militants anti-racistes s'y rassemblent et font cause commune, notamment pour défendre les sans-papiers africains de la ville. Dans les grandes institutions culturelles de Madrid, en revanche, les visages et l'histoire noire demeurent invisibles, comme maintenus dans un angle mort du récit national espagnol. Il faut alors aller les chercher. C'est ce qu'a fait notre reporter partie à la découverte d'Afro-madrilènes qui font bouger la ville et les lignes d'un pays qui a du mal à regarder son africanité en face. Un reportage d'Inès Edel-Garcia. Émission initialement diffusée le 5 décembre 2021. Ce reportage s'inscrit dans le cadre de notre série de voyages à la rencontre des diasporas africaines que ce soit à Bruxelles, Lisbonne ou encore Berlin, etc. Intervenants : Antumi Toasijé, Justo Bolekia Boleká, Elena García, Becha Sita Kumbu, Serigne Mbayé, Vanessa Cadena, Yeison García López, Rubén H. Bermúdez, Ana Cebrián Martínez. À découvrir : - Le Museo de America propose jusqu'en février 2022 une exposition temporaire sur l'esclavage et l'héritage culturel de l'Afrique dans les Caraïbes. - Certains lieux incontournables de Madrid sont intimement liés à l'histoire esclavagiste et coloniale de l'Espagne. Par exemple, des ventes aux enchères de personnes réduites à l'esclavage ont eu lieu sur la Plaza Mayor et des «zoos humains» ont été organisés au parc du Retiro. Quant au luxueux quartier de Salamanca, il est étroitement lié au Marquis de Vinent, un esclavagiste qui s'est enrichi de la traite transatlantique. - Au Musée du Prado, découvrez l'oeuvre de Juan de Pareja, en particulier La Vocación de San Mateo sur laquelle cet ancien esclave noir et membre de l'atelier de Velázquez s'est auto-représenté. - À deux pas de la gare d'Atocha, la basílica-parroquia Nuestra Señora de Atocha abrite une vierge noire très similaire à la Moreneta que l'on trouve aussi en Catalogne. Jusqu'au XVIIe siècle, au sein de l'Église catholique, les personnes noires étaient représentées comme des figures proches du pouvoir. - Lavapiés est le quartier multiculturel de Madrid. Calle Esgrima, vous rencontrerez Becha Sita Kumbu qui a fait de son atelier de couture BeshaWear une boutique solidaire et anti-raciste. Plus bas sur la calle Mesón de Paredes, le Sindicato de Manteros a récemment ouvert une boutique nommée «Pantera» pour soutenir financièrement les vendeurs de rue sans papiers. En descendant sur la calle Embajadores, en face du Mercado de San Fernando, vous découvrirez la fresque «En mémoire à Mame Mbaye et à nos frères et soeurs victimes migrantes... qui luttent pour obtenir leurs papiers» - ce vendeur de rue est décédé en 2018 après une course poursuite avec la police. - À Madrid, la diaspora équato-guinéenne se concentre plutôt en banlieue Sud, dans les communes de Léganès, Móstoles, Alcorcón, Fuenlabrada, Getafe, Parla ou encore Torrejón de Ardoz où est né le hip-hop espagnol. Chaque 15 août, la communauté Bubi y célèbre la Madre Bisila, la patronne de l'île guinéenne de Bioko. - Les anciens abattoirs de Matadero Madrid ont longtemps accueilli le festival Conciencia Afro et la rédaction de la revue en ligne Negrxs. Le collectif vient d'ailleurs de lancer une campagne de crowdfunding pour créer un «Espacio Afro» en toute indépendance. À lire : - Rogelio López Cuenca, Los Bárbaros, lugares de memoria del colonialismo español en Madrid, 2016 - Juan Valbuena, Ojos que no ven, corazón que no siente, 2018 - Observatorio Español del Racismo y la Xenofobia, Seminario sobre el legado de las personas africanas y afrodescendientes a España, 2020 - Lucía Asué Mbomio Rubio, Las que se atrevieron, Sial/Casa de África, 2017 - Rubén H. Bermúdez, Y tú, ¿Por qué eres negro ?, Encuadernación Rústica, 2018 - Moha Gerehou, Qué hace un negro como tú en un sitio como este, Península, 2021. À voir : - Miguel Ángel Rosales, Gurumbé, canciones de tu memoria negra, 2016, 75' - Telemadrid, Eso no se pregunta : Negros, 2018, 40' - Javier Fernández Vázquez, Anunciaron Tormenta, 2020, 88' - Rubén H. Bermúdez, A todos nos gusta el plátano, 2021, 61'. Diaporama
Elle a atteint son niveau record depuis 37 ans en Espagne. Elle se situe au-dessus de 10%, soit à un niveau comparable à celui de l'Algérie et du Nicaragua. Une récente étude montre que cette année, un quart des Espagnols ne pourront pas prendre de vacances. De notre correspondant, Nous nous trouvons devant un supermarché d'Alcolea de Calatrava. Un supermarché de l'entreprise Dia, le moins cher du coin. José Luis, 73 ans, touche une retraite de 387 euros par mois. Pour lui, chaque sou compte. Après avoir fait ses courses, il étudie méticuleusement son ticket de caisse. « Depuis la dernière fois, je vois que beaucoup de choses ont augmenté de 10 centimes : le lait, les biscuits, le poulet, la mayonnaise aussi... Enfin bref, presque tout. » Tous autour de lui disent peu ou prou la même chose : les prix sont devenus vraiment chers, comme jamais. Les aliments de première nécessité, l'essence et le diesel deux fois plus onéreux qu'avant. José Luis dit qu'il pioche chaque mois dans les économies de toute une vie de sacrifices. Ici, dans cette grosse bourgade, on fait souvent partie de ces Espagnols qui prennent rarement des vacances. L'économie familiale étant ce qu'elle est, avec l'inflation galopante, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas pouvoir partir en congés – un Espagnol sur quatre, selon les dernières statistiques officielles. Un taux d'inflation sous-estimé Diego est économiste, il ne croit absolument pas que l'inflation ne soit que de 10%. « L'essence à elle seule est 50% plus chère. L'énergie, le panier de la ménagère, on a tous vu que cela a augmenté de 25% à 30%. Alors, je ne vois pas trop le rapport avec le chiffre officiel de l'inflation de 10%, car pour moi, c'est beaucoup plus, estime-t-il. Si on fait un calcul macro-économique, peut-être qu'on trouve un 10%, mais dans la réalité quotidienne, je vois une augmentation plus grande. », Pour Diego, il y a une explication à cette hausse de prix. À son avis, les autorités comblent le vide des dépenses faramineuses causées par le Covid. Sa femme Cristina, comme bien d'autres, pense que la classe politique s'en met plein les poches sur le dos des gens. Autour, les terrasses sont pleines, l'ambiance est plutôt à la gaité. Maria, professeure dans le secondaire, est persuadée que cette allégresse est temporaire : « Pour l'instant, les gens donnent priorité aux vacances. Y compris les gens qui n'ont pas les moyens et vivent au-dessus de leurs possibilités, constate Maria. Je connais quelqu'un qui a demandé un crédit pour ses vacances. Après deux ans de pandémie, les gens ont besoin de sortir. D'autant plus en Espagne où il y a une grande tradition de sortir, du contact social, c'est une nécessité. On verra bien en automne, c'est la philosophie générale de la plupart. » Comme le dit Maria, une fois les vacances passées, cela risque d'être bien plus difficile. Beaucoup avancent déjà qu'il leur faudra changer leurs habitudes et se serrer davantage encore la ceinture. ► À lire aussi : Espagne : l'inflation à son plus haut niveau depuis trente-sept ans
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 29 avril 2022.Avec cette semaine :Laurence Debray, auteure, historienne et réalisatrice de documentaires.Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit.JUAN CARLOS Laurence Debray, vous êtes auteure, historienne et réalisatrice de documentaires. Juan Carlos est une figure qui vous intéresse de longue date : vous avez consacré votre mémoire de maîtrise en Sorbonne à son rôle dans la transition démocratique espagnole, puis vous avez écrit un premier livre à son sujet en espagnol en 2000. En 2013, vous avez publié une biographie en français de Juan Carlos d'Espagne chez Perrin et, plus récemment, vous lui avez consacré un roman, Mon roi déchu, paru chez Stock en 2021.Votre rapport à Juan Carlos est teinté d'affection : vous racontez avoir accroché un portrait de lui dans votre chambre, que votre père Régis Debray a remplacé par une photo de François Mitterrand. Mais, dépassant l'admiration de la jeune fille, vous avez enquêté sur ce personnage clé de la transition démocratique espagnole.Dans la biographie que vous avez consacré à Juan Carlos, vous brossez, le portrait d'« un homme devenu animal politique au bénéfice de la démocratie » et vous affirmez que ce monarque vous a « redonné confiance dans la politique », insistant sur la capacité qu'a eu son régime, en apparence désuet, à assurer une transition progressive de l'Espagne après la mort de Franco.Vous revenez sur l'enfance et la formation de Juan Carlos, qui devient très jeune un objet de négociations entre son propre père, Don Juan, et Franco, qui dirige l'Espagne depuis 1936. Juan Carlos comprend mieux que son père la nécessité de s'accommoder avec le franquisme pour que les Bourbons puissent revenir au pouvoir en Espagne et, face à un père qui promeut un modèle de monarchie constitutionnelle libérale, Juan Carlos n'a pas de mal à adopter un discours conservateur conforme aux souhaits du dictateur. Ces efforts sont récompensés : en 1969, Franco désigne Juan Carlos comme son successeur.Il devient roi d'Espagne en novembre 1975 et, malgré l'indifférence du peuple espagnol et la méfiance de l'opinion publique étrangère à son égard, il entreprend de démocratiser le régime. Juan Carlos autorise les partis politiques en 1977 puis dote l'Espagne d'une Constitution limitant les pouvoirs du roi en 1978.Le héros de la transition démocratique espagnole a depuis perdu de sa superbe, fragilisé par différents épisodes ayant déplu aux Espagnols, de la chasse à l'éléphant au Botswana aux scandales financiers touchants la famille royale, en passant par ses aventures extra-conjugales. Juan Carlos a abdiqué en 2014, cédant le trône à son fils Felipe. Soupçonné de corruption, il s'est ensuite exilé à Abu Dhabi en 2020. Laurence Debray, vous avez rencontré ce roi déchu dans son exil à Abu Dhabi et en avez tiré un roman paru en 2021.Dans une lettre ouverte adressée à Juan Carlos en 2020, publiée dans le quotidien El Mundo (puis en français dans Le Figaro), vous invitiez l'ancien monarque à relativiser l'opprobre qui le frappe en Espagne : « Dans quelques décennies, une autre génération d'Espagnols se souviendra de vous comme l'homme qui incarna la réconciliation, la modernisation, la démocratie. Peut-être même qu'ils vous remercieront ». Pour introduire notre conversation, j'aimerais donc vous demander, Laurence Debray, si vous croyez véritablement que Juan Carlos va faire l'objet d'un retour en grâce dans la mémoire espagnole.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
En plein vote d'une nouvelle loi mémorielle en Espagne, Sur le Fil vous emmène dans un lieu qui se veut symbole de paix. A Belchite, petit village à mi-chemin entre Madrid et Barcelone, Franco voulait garder intactes des ruines érigées en symbole des exactions de ses opposants républicains durant la guerre civile espagnole (1936-1939). Telle Pompéi sous les cendres du Vésuve, tout est resté en l'état depuis 80 ans. Les explorations du sous-sol qui se déroulent actuellement montrent toute la complexité du conflit dont les plaies n'ont toujours pas cicatrisé. Les stèles funéraires du cimetière dénoncent les exactions subies par les franquistes, mais dans la fosse voisine, des archéologues retrouvent de nombreux disparus républicains. Comment regarder le passé ? Comme une déchirure fratricide dont tous les Espagnols sont autant responsables les uns que les autres ? Avec un regard plus critique ? Les débats sur la mémoire restent virulents sur la péninsule. A Belchite, l'équipe municipale n'a qu'une ligne de conduite: prendre le parti des victimes et faire de l'endroit un lieu d'unité. Sur le terrain: Jaime Alekos & Alfons Luna. Réalisation: Timothée David Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Envoyez-nous vos commentaires : podcast@afp.com, sur notre compte Instagram ou par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. On compte d'ailleurs sur vous en ce moment pour nous partager les conversations qui vous ont le plus marqués lors d'un trajet en voiture. Pour découvrir les coulisses de l'AFP et les récits de nos reporters et photographes sur leurs expériences sur le terrain, écoutez notre playlist “Les Coulisses du Fil”. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
On compare déjà cet exode à celui des années 30. Des milliers de citoyens ont fui la Russie. Intellectuels, opposants, artistes, journalistes ou des individus tout simplement inquiets de l'évolution du régime. Grand décalage à Belgrade Les vols directs en direction des grandes capitales européennes étant supprimées, beaucoup ont choisi Belgrade qui a maintenu ses liaisons aériennes avec Moscou. Et la Serbie n'impose pas de visa. Mais à l'arrivée, tous ces opposants à la guerre en Ukraine découvrent un pays largement pro-Poutine. Curieuse ambiance. C'est le reportage à Belgrade de Louis Seiller. ► À lire aussi : Serbie: depuis la guerre en Ukraine, la diaspora russe de Belgrade s'est agrandie Mélange des genres à Istanbul Et à quatre heures d'avion de Moscou, Istanbul est devenue aussi un refuge, pour des milliers de Russes menacés, notamment des journalistes qui encourent 15 années de prison s'ils parlent de guerre en Ukraine. Mais à côté de ces réfugiés très politiques, débarquent aussi de très riches citoyens Russes, attirés par la Turquie qui, tout en soutenant l'Ukraine, refuse d'infliger la moindre sanction à son agresseur. Le gouvernement Erdogan espère ainsi attirer les investissements des Russes fortunés pour soutenir une économie en crise. Drôle de mélange des genres que nous raconte depuis Istanbul Anne Andlauer. À Prague contre Poutine Et eux sont arrivés, il y a bien longtemps déjà. Dès les années 90. On compte une communauté de 50 000 Russes en Tchéquie. Et ils ont tenu à faire savoir publiquement leur opposition à la politique de Vladimir Poutine. À Prague, les explications d'Alexis Rosenzweig. L'absence des touristes russes en Espagne Quant aux Espagnols, ils pleurent déjà leurs touristes slaves et surtout russes. La petite station balnéaire de Lloret de Mar sur la Costa Brava attirait chaque été, quelque 70 000 Russes et 30 000 Ukrainiens. Après l'épreuve du Covid, les professionnels du tourisme craignent la mauvaise saison de trop. Reportage signé Diane Cambon. L'oeil européen de Franceline Beretti Et à une petite semaine du deuxième tour de la présidentielle française, comment nos voisins européens voient-ils cet affrontement qui s'annonce entre d'un côté Marine Le Pen du parti d'extrême droite, le Rassemblement national, et de l'autre, le président sortant Emmanuel Macron et son parti La République en marche ? Un duel qui n'a pas fini de fasciner nos voisins. C'est l'œil européen de Franceline Beretti. (Rediffusion du 18 avril 2022)
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des incidents survenus au Stade de France lors de la finale de la Ligue des Champions. Aujourd'hui, les anglais et les espagnols peuvent déposer plainte notamment pour des agressions réalisées par des bandes locales.
Depuis l'invasion russe, les prix flambent et affectent directement les premiers grands utilisateurs de farine, à savoir les boulangers. C'est le cas de Javier. Le jeune artisan boulanger a fait le pari d'offrir un pain naturel, mais aujourd'hui, il peine à maintenir son négoce. Un reportage à retrouver dans son intégralité dans accents d'Europe. D'un geste sûr, Javier enfourne une dizaine de chapatas, un pain rond de farine de blé qui laissera cuire une quarantaine de minutes. Pendant ce temps, il prépare le levain pour les baguettes et les boules du lendemain. Depuis deux ans, ce boulanger reconverti se lève chaque jour à 4h30 du matin pour faire tourner l'unique boulangerie de Peraleda de la Mata, un village de quelque 2 000 habitants à une heure et demie de Madrid. Aujourd'hui, il doit affronter la hausse des prix des céréales. « L'augmentation des prix pour ce qui concerne la farine a commencé dès la fin 2021, il s'agissait d'une hausse normale, acceptable pour cette matière première. Mais juste avant qu'éclate la guerre en Ukraine, cela a commencé à monter en flèche et là, ça ne s'arrête plus. » L'Espagne est le principal importateur de blé de l'Europe, suivi de l'Italie. Ses principaux fournisseurs ne sont autres que la Russie et l'Ukraine. Une dépendance qu'elle paie au prix fort : « C'est chaque fois plus difficile de trouver de la farine. Il faut pouvoir planifier à l'avance. Mais évidemment, nous, les artisans, on n'a pas les mêmes capacités de stock que les industriels, déplore le boulanger. En plus, ce sont des farines plus délicates, sans conservateur. On doit les consommer dans les deux mois. » Les artisans, grands perdants Face aux fabricants industriels, les artisans boulangers sont les grands perdants dans ce contexte économique défavorable, comme l'explique Javier : « On va pouvoir tenir quelque temps, mais à long terme, c'est invivable. Les petites boulangeries vont disparaitre, seuls les grands industriels vont résister, car ils peuvent travailler avec une certaine marge. Ils produisent 4 000 à 6000 baguettes par jour, ils peuvent perdre 10 centimes pas baguette, mais nous autres, on ne peut pas. Ici, on fabrique entre 100 et 200 pièces de pain par jour et on ne va pas tenir le coup. » Comme dans tous les secteurs de l'alimentation, cette hausse des prix des matières premières se répercute sur les produits vendus aux consommateurs : « Le pain est notre aliment de base, c'est notre tradition et on le retrouve sur toutes les tables et dans toutes les familles. Mais si cela continue comme ça… Oui, les produits à base de céréales vont devenir un luxe. » Pour ce client belge qui a sa seconde résidence à Peraleda de la Mata, cette hausse des prix n'est pas non plus étonnante : « l'inflation est mondiale. Quand je vois les prix ici, je m'imagine que pour les Espagnols, ça doit être un peu plus difficile que chez nous. » Le syndicat des patrons boulangers a exigé des solutions pour freiner cette inflation. Pour l'instant, seule une aide a été annoncée pour compenser la hausse du prix de l'électricité qui a plus que doublé, provoquant la ruine de nombreux commerçants. ► À lire aussi : Espagne : l'inflation à son plus haut niveau depuis trente-sept ans
PSG : Idrissa GUEYE va devoir s'expliquer devant le conseil de l'éthique de la FFF ! Mercato : les médias espagnols se ridiculisent encore dans le dossier MBAPPÉ, la revue de presse... Le journal du foot et du mercato N°1026 est en ligne ! Abonnez-vous ;)
L'Espagne et le Portugal vont enfin pouvoir faire baisser leurs factures d'électricité. Madrid a validé le dispositif négocié avec l'Union européenne qui reconnaît "'l'exception ibérique" et doit permettre à ces deux pays de plafonner le prix du gaz, utilisé aussi pour produire de l'électricité. La facture des usagers devrait baisser de 25 à 30%.
Si je vous dis "vin espagnol" …. A quoi pensez-vous? Il est probable que vous pensiez au Rioja, Ribera del Duero, et autre Priorat. Et vous aurez raison : Ce sont en effet les appellations les plus connues. Mais l'Espagne produit également de beaux vins blancs …que vous allez découvrir dans cette nouvelle leçon ! Au programme : - les 3 (+1) cépages blancs espagnols à (re)connaître - les 2 grandes appellations de blancs Cette leçon est publiée sur la chaine "Spéciale WSET", car elle s'applique à une partie du programme du WSET3. Mais elle va vous intéresser, même si vous ne préparez pas le WSET ! Elle s'adresse à tout dégustateur passionné ... Donc à vous. Révisez le WSET 3 ici : https://www.lecoam.eu/produit/wset-3-programme-de-revision-et-examen/ Recevez votre kit du dégustateur : https://www.lecoam.eu/kit MES FORMATIONS ---------------------------------------- Formez-vous au vin sur http://www.lecoam.eu Recevez la 1ère BOX pour se former au vin ici : https://www.masterclass-degustation.com Rejoignez d'autres passionnés de vin dans mon groupe Télégram ! C'est ici : https://t.me/lecoam J'y partage des astuces de dégustations, des schémas, des vidéos ... (Si vous ne connaissez pas Telegram, c'est un peu comme WhatsApp, en plus sécurisé. Vous pouvez l'installer gratuitement sur votre smartphone ou tablette sur https://telegram.org/ )
Mexico repose sur un lac, ou plutôt un système hydrologique complexe qui repose sur cinq bassins. Fondée par les Aztèques, la ville aurait été créée sur une île au milieu du lac de Texcoco, où un aigle dévorait un serpent sur cactus, selon la légende. De cet immense lac entouré des montages dans la vallée de Mexico, il ne reste plus grand-chose. Et dans une mégalopole qui connait un stress hydrique important, l'enjeu de la protéger est immense. « Ça, c'est le grand canal collecteur. Il fait 60 mètres de large sur environ 7 kilomètres. Il a été construit pour dévier les cours d'eau des neuf fleuves de la zone orientale. Mais en réalité, cela provoque la mort du lac. » Tout près de l'aéroport de Mexico à Texcoco, Jorge Daniel et les autres membres du Front des peuples pour la défense de la terre s'indignent devant ce canal toujours fonctionnel. « Nous demandons qu'il soit démantelé ». Car peu avant la saison des pluies, cette partie du lac de plusieurs milliers d'hectares ressemble davantage à un désert. Depuis 20 ans, l'association qui rassemble des habitants Texcoco, se bat pour sauver ce qu'il reste du lac et tenter de restaurer la précieuse zone humide. Adan Espinoza Roja se souvient qu'il n'en a pas toujours été ainsi. « J'ai vécu ici pendant 73 ans et vécu et vu la grandeur de ce lac qui était à son apogée et qu'il y avait de la vie sauvage et aquatique. » Chaque année, Mexico souffre un peu plus des épisodes de sécheresse. Asséché au fil des siècles, il ne subsiste que quelques canaux à Xochimilco et le bassin de Texcoco à l'est de la mégalopole. C'est la dernière réserve d'eau de la capitale. Elle sert notamment à alimenter ses 23 millions d'habitants. « Depuis l'arrivée des Espagnols, il y a une lutte constante pour dessécher le lac. Ça fait 500 ans qu'on ne sait plus vivre avec l'eau. » Fernando Cordova est professeur, spécialiste de l'eau. Il explique que ce lac fonctionne comme un bassin régulateur. Et plus ce dernier est fragilisé, plus il entraîne des catastrophes. « Comme le fond du lac est argileux, quand on prélève de l'eau, il y reste sec et l'argile se comprime. Mais en même temps, il continue de pleuvoir tous les ans, l'eau continue de réclamer son territoire, explique le professeur. Donc tous les ans, nous nous inondons plus et alors la logique d'aujourd'hui fait que nous mettons plus d'infrastructures pour évacuer l'eau plus vite. C'est une dynamique perverse : on prend l'eau du bassin et après on a plus d'eau. C'est quand même paradoxal qu'une ville comme Mexico, assise sur 5 grands lacs avec une saison des pluies chaque année se retrouve à court d'eau ! » Texcoco vient d'être inscrite comme aire naturelle protégée. Un grand projet de réhabilitation est en cours, mais il manque de résultat, selon Jorge Daniel : « 17 milliards de pesos, mais ils n'ont pas réussi à ramener une seule goutte d'eau. Et non pas par manque de ressources, mais par manque de volonté. » Mais pour Pedro Alvarez Diego, lui aussi membre du Front, c'est déjà une grande étape grâce à la lutte des communautés locales. « C'est une victoire car tout simplement : si depuis 2001, il n'y avait pas eu d'opposition. Je crois vraiment qu'aucun de nous ne serait plus là. » Pour retrouver des niveaux d'eau satisfaisants à Texcoco, les spécialistes estiment qu'il faudrait au moins 20 ans.
Au sommaire de Radio foot ce mercredi en direct à 18h10. Ligue des Champions : demi-finale retour, Real Madrid/Manchester City, victorieux à l'aller (4-3) après une rencontre spectaculaire, les Citizens tenteront de conserver leur avantage au Bernabeu et les Merengue d'appliquer ce qu'ils savent faire le mieux, se qualifier à la fin ! Benzegoal et prêt et Pep Guardiola prévenu. Présentation du choc. - Villarreal/Liverpool : les Reds en finale ! Après avoir mené 2-0, Unai Emery et ses hommes se sont finalement inclinés 2-3. Les Anglais ont tremblé mais pas chuté. Retour sur une partie où les Espagnols ont tutoyé l'exploit 65 minutes ! LIGUE EUROPA CONFÉRENCE: l'OM y croit ! Battus 3-2 à Feyenoord, les Olympiens comptent bien renverser la vapeur au retour. Le Vélodrome sera en fusion ! Les hommes de Sampaoli, mors aux dents. Un enjeu : décrocher une sixième finale européenne. Les clés du match ! LIGUE EUROPA : avantage Allemagne ! À l'aller, Leipzig s'était imposé à domicile face aux Écossais du Glasgow Rangers (1-0), et Francfort avait réussi un nouveau coup, à Londres cette fois-ci, devant West Ham (1-2). Jeudi (5 mai 2022) au coup de sifflet final, les 2 clubs de Bundesliga pourraient bien se retrouver au stade Ramón Sánchez-Pizjuán, de Séville, le 18 mai 2022, pour l'ultime rencontre de cette compétition. Les enjeux ! Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Benjamin Moukandjo, Bruno Constant, Chérif Ghemmour - Préparation : David Fintzel/Pierre Guérin - Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Au sommaire de Radio foot ce mercredi en direct à 18h10. Ligue des Champions : demi-finale retour, Real Madrid/Manchester City, victorieux à l'aller (4-3) après une rencontre spectaculaire, les Citizens tenteront de conserver leur avantage au Bernabeu et les Merengue d'appliquer ce qu'ils savent faire le mieux, se qualifier à la fin ! Benzegoal et prêt et Pep Guardiola prévenu. Présentation du choc. - Villarreal/Liverpool : les Reds en finale ! Après avoir mené 2-0, Unai Emery et ses hommes se sont finalement inclinés 2-3. Les Anglais ont tremblé mais pas chuté. Retour sur une partie où les Espagnols ont tutoyé l'exploit 65 minutes ! LIGUE EUROPA CONFÉRENCE: l'OM y croit ! Battus 3-2 à Feyenoord, les Olympiens comptent bien renverser la vapeur au retour. Le Vélodrome sera en fusion ! Les hommes de Sampaoli, mors aux dents. Un enjeu : décrocher une sixième finale européenne. Les clés du match ! LIGUE EUROPA : avantage Allemagne ! À l'aller, Leipzig s'était imposé à domicile face aux Écossais du Glasgow Rangers (1-0), et Francfort avait réussi un nouveau coup, à Londres cette fois-ci, devant West Ham (1-2). Jeudi (5 mai 2022) au coup de sifflet final, les 2 clubs de Bundesliga pourraient bien se retrouver au stade Ramón Sánchez-Pizjuán, de Séville, le 18 mai 2022, pour l'ultime rencontre de cette compétition. Les enjeux ! Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Benjamin Moukandjo, Bruno Constant, Chérif Ghemmour - Préparation : David Fintzel/Pierre Guérin - Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Au sommaire de Radio foot ce jeudi, en direct à 18h10 : - Ligue des Champions. Suite et fin des demi-finales aller : Liverpool/Villarreal, les Reds s'imposent 2-0 et prennent une belle option. Le «Sous-marin jaune» de l'amiral Emery a-t-il montré ses limites en C1 ? Bilan et enseignements de cette première manche ! Messieurs les Espagnols, avantage aux Anglais ? - The Show must go on ! : Une Ligue des Champions de plus en plus spectaculaire et le club très fermé des clubs les plus riches au final. La plus prestigieuse des compétitions ne risque-t-elle pas de glisser vers un grand spectacle à l'américaine où le divertissement sportif risque de l'emporter sur l'esprit du jeu ? - Le Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24 du meilleur joueur africain de Ligue 1 : qui va succéder à Gaël Kakuta cette année ? Nous connaîtrons aujourd'hui les 3 finalistes restants sur les 12 de l'édition 2022. Le lauréat de cette saison sera désigné le 16 mai 2022 ! Pour en débattre autour d'Hugo Moissonnier, nos consultants du jour, Philippe Doucet, Benjamin Moukandjo, Franck Simon et Christophe Jousset - Technique/Réalisation : Laurent Salerno - Préparation : David Fintzel/Pierre Guérin.
Au sommaire de Radio foot ce jeudi, en direct à 18h10 : - Ligue des Champions. Suite et fin des demi-finales aller : Liverpool/Villarreal, les Reds s'imposent 2-0 et prennent une belle option. Le «Sous-marin jaune» de l'amiral Emery a-t-il montré ses limites en C1 ? Bilan et enseignements de cette première manche ! Messieurs les Espagnols, avantage aux Anglais ? - The Show must go on ! : Une Ligue des Champions de plus en plus spectaculaire et le club très fermé des clubs les plus riches au final. La plus prestigieuse des compétitions ne risque-t-elle pas de glisser vers un grand spectacle à l'américaine où le divertissement sportif risque de l'emporter sur l'esprit du jeu ? - Le Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24 du meilleur joueur africain de Ligue 1 : qui va succéder à Gaël Kakuta cette année ? Nous connaîtrons aujourd'hui les 3 finalistes restants sur les 12 de l'édition 2022. Le lauréat de cette saison sera désigné le 16 mai 2022 ! Pour en débattre autour d'Hugo Moissonnier, nos consultants du jour, Philippe Doucet, Benjamin Moukandjo, Franck Simon et Christophe Jousset - Technique/Réalisation : Laurent Salerno - Préparation : David Fintzel/Pierre Guérin.
Au sommaire de Radio foot mercredi, en direct à 18h10 : Ligue des Champions, demi-finale, soirée de folie à Manchester entre City et le Real. «Just crazy», «une soirée frapadingue», «un thriller» la presse s'est enflammée ! Du jeu, des buts, des occasions manquées et monsieur Benzema ! Retour sur une rencontre qui restera dans les annales. Ce mercredi, deuxième demie au menu ! Liverpool accueille Villarreal l'outsider de ce dernier carré. Si les Reds ont la faveur des pronostics, les Espagnols ont montré qui pouvaient faire chuter les grands. Unai Emery sait comment faire, Jurgen Klopp est prévenu. Présentation d'un duel plus équilibré qu'il n'y paraît ! Affaire Belmadi, Eto'o contre attaque ! Dans un communiqué publié lundi (25 avril 2022), le président de la Fécafoot a contesté « ces allégations diffamatoires instillées de manière allusive et formulée, de façon répétitive par les dirigeants algériens du football », ajoutant que le Cameroun se réservait « le droit de porter l'affaire devant la Commission d'éthique de la FIFA dans les prochains jours ». Après la gravité des propos tenus, le technicien algérien doit-il être sanctionné ? Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Salim Baungally, Dominique Sévérac et Étienne Moatti - David Fintzel/Pierre Guérin - Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Nous reviendrons à 21h10 T.U. sur cette 2è demi-finale de Ligue des Champions entre Liverpool et les Espagnols de Villarreal, et nous nous projetterons sur les demi-finales de Ligue Europa, et de Ligue Europa Conférence. L'OM voyagera à Rotterdam pour affronter les Feyenoord. Annie Gasnier sera entourée de Chérif Ghemmour et de David Lortholary. Technique/Réalisation : Laurent Salerno, préparation : Pierre Guérin.
Au sommaire de Radio foot mercredi, en direct à 18h10 : Ligue des Champions, demi-finale, soirée de folie à Manchester entre City et le Real. «Just crazy», «une soirée frapadingue», «un thriller» la presse s'est enflammée ! Du jeu, des buts, des occasions manquées et monsieur Benzema ! Retour sur une rencontre qui restera dans les annales. Ce mercredi, deuxième demie au menu ! Liverpool accueille Villarreal l'outsider de ce dernier carré. Si les Reds ont la faveur des pronostics, les Espagnols ont montré qui pouvaient faire chuter les grands. Unai Emery sait comment faire, Jurgen Klopp est prévenu. Présentation d'un duel plus équilibré qu'il n'y paraît ! Affaire Belmadi, Eto'o contre attaque ! Dans un communiqué publié lundi (25 avril 2022), le président de la Fécafoot a contesté « ces allégations diffamatoires instillées de manière allusive et formulée, de façon répétitive par les dirigeants algériens du football », ajoutant que le Cameroun se réservait « le droit de porter l'affaire devant la Commission d'éthique de la FIFA dans les prochains jours ». Après la gravité des propos tenus, le technicien algérien doit-il être sanctionné ? Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Salim Baungally, Dominique Sévérac et Étienne Moatti - David Fintzel/Pierre Guérin - Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Nous reviendrons à 21h10 T.U. sur cette 2è demi-finale de Ligue des Champions entre Liverpool et les Espagnols de Villarreal, et nous nous projetterons sur les demi-finales de Ligue Europa, et de Ligue Europa Conférence. L'OM voyagera à Rotterdam pour affronter les Feyenoord. Annie Gasnier sera entourée de Chérif Ghemmour et de David Lortholary. Technique/Réalisation : Laurent Salerno, préparation : Pierre Guérin.
On compare déjà cet exode à celui des années 30. Des milliers de citoyens ont fui la Russie. Intellectuels, opposants, artistes, journalistes ou des individus tout simplement inquiets de l'évolution du régime. Grand décalage à Belgrade Les vols directs en direction des grandes capitales européennes étant supprimées, beaucoup ont choisi Belgrade qui a maintenu ses liaisons aériennes avec Moscou. Et la Serbie n'impose pas de visa. Mais à l'arrivée, tous ces opposants à la guerre en Ukraine découvrent un pays largement pro-Poutine. Curieuse ambiance. C'est le reportage à Belgrade de Louis Seiller. ► À lire aussi : Serbie: depuis la guerre en Ukraine, la diaspora russe de Belgrade s'est agrandie Mélange des genres à Istanbul Et à quatre heures d'avion de Moscou, Istanbul est devenue aussi un refuge, pour des milliers de Russes menacés, notamment des journalistes qui encourent 15 années de prison s'ils parlent de guerre en Ukraine. Mais à côté de ces réfugiés très politiques, débarquent aussi de très riches citoyens Russes, attirés par la Turquie qui, tout en soutenant l'Ukraine, refuse d'infliger la moindre sanction à son agresseur. Le gouvernement Erdogan espère ainsi attirer les investissements des Russes fortunés pour soutenir une économie en crise. Drôle de mélange des genres que nous raconte depuis Istanbul Anne Andlauer. À Prague contre Poutine Et eux sont arrivés, il y a bien longtemps déjà. Dès les années 90. On compte une communauté de 50 000 Russes en Tchéquie. Et ils ont tenu à faire savoir publiquement leur opposition à la politique de Vladimir Poutine. À Prague, les explications d'Alexis Rosenzweig. L'absence des touristes russes en Espagne Quant aux Espagnols, ils pleurent déjà leurs touristes slaves et surtout russes. La petite station balnéaire de Lloret de Mar sur la Costa Brava attirait chaque été, quelque 70 000 Russes et 30 000 Ukrainiens. Après l'épreuve du Covid, les professionnels du tourisme craignent la mauvaise saison de trop. Reportage signé Diane Cambon. L'oeil européen de Franceline Beretti Et à une petite semaine du deuxième tour de la présidentielle française, comment nos voisins européens voient-ils cet affrontement qui s'annonce entre d'un côté Marine Le Pen du parti d'extrême droite, le Rassemblement national, et de l'autre, le président sortant Emmanuel Macron et son parti La République en marche ? Un duel qui n'a pas fini de fasciner nos voisins. C'est l'œil européen de Franceline Beretti.
L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
L'Écossais Gregor MacGregor imagina l'une des supercheries les plus audacieuses de l'Histoire. En effet, il n'hésita pas à inventer de toutes pièces un pays dont il vendit les richesses à des gens crédules.Du militaire...Né en 1786, Gregor MacGregor s'enrôle d'abord dans l'armée britannique. Puis il part pour l'Amérique du Sud, où les colonies espagnoles s'émancipent les unes après les autres.Il participe ainsi, en tant qu'officier, à la guerre d'indépendance du Venezuela, qui oppose ce pays à l'Espagne entre 1810 et 1823. Il épouse une parente de Simon Bolivar, le libérateur du Venezuela et d'autres pays d'Amérique latine.En 1817, MacGregor parvient à s'emparer d'une île possédée par les Espagnols. Mais ces faits d'armes finissent par le lasser. Il est d'ailleurs tenu pour un couard, peu courageux face au feu....Au "prince de Poyais"Gregor MacGregor imagine alors une activité plus lucrative. En 1820, il arrive au Honduras et se fait octroyer, par un potentat local, 32.000 hectares de terrain. Il s'agit d'une terre ingrate, impropre à la culture.Mac Gregor baptise son domaine "Poyais", d'après le nom d'une tribu voisine. L'année suivante, il se rend en Angleterre, paré d'un nouveau titre. En effet, il se fait appeler "Cazique de Poyais", autrement dit le "chef" ou le "prince" de ce nouveau territoire.D'après ses dires, le "Poyais" est un véritable État, avec son système de gouvernement, plutôt démocratique, et même un service militaire, auquel sont assujettis les habitants.Pour donner plus de vraisemblance à son histoire, MacGregor invente une monnaie et un drapeau pour ce nouveau pays. Et il parvient à susciter l'intérêt autour de lui. Des Anglais vendent leurs biens pour faire fortune dans le nouvel État, d'autres signent des contrats de travail.Pas moins de trois navires transportent ces immigrants vers le Poyais. À l'arrivée, la désillusion est rude. À la place des villes annoncées, les nouveaux venus ne trouvent que des terres incultes et quelques masures.Dans ce climat inhospitalier, une centaine de colons succombent à la malaria ou meurent d'inanition. Pourtant, aucune de ces victimes ne s'est plainte de la supercherie imaginée par Gregor MacGregor. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.