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Dans cet épisode émouvant du Podcast Pas Ordinaire, j'ai reçu Karina Desjardins qui nous partage l'histoire bouleversante de son accouchement qui a viré au drame.À 39 semaines et 5 jours de grossesse, tout semblait se dérouler parfaitement. Mais une série d'erreurs médicales a transformé ce moment tant attendu en cauchemar. Pendant plus de 21 minutes, les médecins ont tenté de réanimer son bébé et après plusieurs complications, celui-ci décédera malheureusement.Ce récit nous plonge dans les coulisses d'un accouchement difficile, des erreurs médicales, d'un transfert à Sainte Justine, de l'importance de s'écouter en tant que maman et du cheminement douloureux du deuil périnatal.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection pour se reconnecter aux lieux et au territoire je vous propose... Michaël Fayret.Cet épisode a été publié pour la première fois en 2024.Entre Michaël Fayret et moi, c'est d'abord l'histoire de rendez-vous ratés et reportés. Nous étions finalement ravis de nous donner rendez-vous dans son lotus, une tente en forme de lotus qui a fleuri sur ses terres cet été. Mais c'était sans compter la pluie qui, sur la toile de tente, nous a dissuadés. Nous voilà donc à l'abri, à quelques pas des terres agricoles familiales qui l'accueillent, sur la commune de Sainte-Croix, voisine de Villefranche-de-Rouergue.Son métier, c'est d'envoyer des fleurs dans les assiettes de grands chefs. Chaque semaine, ce sont une quarantaine de variétés qui partent aux quatre coins du pays. Producteur de fleurs et de plantes comestibles, Michaël Fayret est aussi botaniste de terrain. La cueillette sauvage, qu'il pratique et qu'il transmet, fait le lien entre ses souvenirs d'enfance, d'une grand-mère qui cueillait le pissenlit et ajoutait des pâquerettes à chaque salade, et des savoirs ancestraux évaporés entre les générations.Alors, avec Michaël Fayret, on s'est demandé ce qu'il restait de sauvage autour de nous, comment faire revenir une part de sauvage dans notre alimentation tout en le préservant. Et c'est là que Michaël m'a livré l'objectif de sa vie : ne pas laisser plus de traces qu'un chevreuil de son passage sur Terre. J'aime encore le laisser dérouler sa théorie. Ça commence tout de suite… Bonne écoute !
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection pour se reconnecter aux lieux et au territoire je vous propose... Lilian Derruau, ou Wally... pour les intimes.Cet épisode a été publié pour la première fois en 2024.Sur les planches, on s'affaire autour de l'échelle et du tourne-disque qui résument la scénographie de son dernier spectacle, « Ma Distinction ». Dans quelques heures, il le donnera sur la scène de la MJC de Rodez, le théâtre des Deux points, qu'il connaît bien.Cela fait plus de 40 ans que Lilian Derruau, sous son masque de Wally, traîne ses guêtres sur les scènes de France. Chanteur, humoriste, chansonnier, il assume aujourd'hui de se définir comme un artiste, tout simplement. Dans son dernier spectacle, un récit écrit comme une trace pour ses petits-enfants, Lilian Derruau convoque la sociologie de Bourdieu pour apaiser ce sentiment de ne plus être à la place qui lui était destinée. Il assume de s'être décalé, non pas pour s'élever, mais horizontalement. Comme s'il voulait mieux regarder ce milieu dans lequel il a baigné, qui l'a façonné, et dont il a fait un pas de côté.De son enfance dans les lotissements ouvriers de Viviez, de l'usine qui régissait toute sa vie, du mépris qu'il a parfois ressenti par l'institution culturelle, de l'Aveyron qu'il n'a jamais pu quitter, regrettant de ne pas avoir eu ce choix : c'est dans les loges de la MJC, entourés de miroirs entêtants et de néons criants, que nous nous sommes retrouvés, Lilian Derruau, Wally, Finta ! et moi.Si vous êtes curieux, je vous invite à faire un saut sur mon site, fintapodcast.fr, je vous y partage les incroyables photos de Mathieu Lacout, qui a assisté à notre enregistrement. Bonne écoute !Vous pouvez également écouter ou réécouter l'histoire du Bassin minier de Decazeville dans ce triptyque documentaire de Finta! : Mines de rien.
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection pour se reconnecter aux lieux, s'ancrer sur le territoire, je vous propose d'écouter... Rachel Girbelle.Cet épisode a été publié pour la première fois en 2024.C'est l'histoire d'une épicerie qui renaît de ses cendres, là, au milieu de la place du village. A Bozouls, à quelques pas du précipice qui fait la notoriété du village, l'Epicerie du Trou a ressuscité il y a dix ans, quand un trio d'amis, attablés à la terrasse d'en face, s'est lancé le défi de raviver la flamme. Mais si l'on s'arrête sur les belles renaissances, en creux, ce sont toutes les disparitions des commerces de proximité que l'on devine. Aujourd'hui, l'Epicerie du Trou emploie cinq personnes, pour un seul équivalent temps plein. Il y a donc Rachel Girbelle, sa sœur Claire Marlet, qui a relancé l'épicerie en 2014, leurs parents, et Hélène. Une affaire de famille dans laquelle chacun peaufine son rayon. Si bien que l'Epicerie du Trou déborde largement de l'épicerie de village que l'on imagine. Elle est à la fois crèmerie, librairie, boutique de cadeaux, lieu de vie et de rencontres, en relevant le défi d'une sélection fine de produits sourcés localement tout en assurant un service de proximité précieux pour les voisins.Alors avec Rachel, on a causé du défi que cela représente, de faire vivre un commerce de village toute l'année, d'amener à changer des habitudes de consommation pour ne pas regretter que les petites échoppes baissent le rideau, et de prendre conscience que nos choix de consommation sont toujours des choix politiques et engagés.Bonne écoute !
Tout est ralenti depuis quelques mois mais j'ai craqué et j'ai enregistré un épisode avec l'écrivaine Maud Jan-Ailleret. Je ne pouvais pas la laisser passer car Maud a ce truc qui vous accroche et qui vous donne envie de rester, de creuser. Sans bien se connaître, nous nous sommes lancées dans une discussion à bâton rompu sur la création et elle s'est confiée sur la place de l'écriture dans sa vie. Nous avons parlé de la vie, de la mort et de quand ces deux-là s'entremêlent. Ecoutez son témoignage ! Il est beau, lumineux et rend à la création son visage humain- avec ses forces et ses failles.Réalisation : Domitille TassinMontage et mixage : Lolla Sauty-HoyerMusique générique : Thomas Lavernhe Graphisme : Tiphaine JozanPour toute demande de collaboration, projet, témoignage, une seule adresse : podcastcequinouslie@gmail.comSite internet : www.podcastcequinouslie.comInstagram : @cequinouslie_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2021, Allan Védé débarquait avec sa guitare, ses rayons d'or et une envie dévorante de chanter vrai.4 ans plus tard, il revient avec un EP pop-rock idéal pour recharger nos batteries !Dans cet épisode, je tends le micro à cet artiste qui tire les ficelles de son destin avec sensibilité et audace. Fidèle à lui-même, il nous parle de son cheminement jusqu'à la musique, de sa gestion de la vie d'artiste "fonctionnaire", de son répertoire et de son actualité.Entre confidences touchantes et éclats de rire, vous comprendrez vite ce qui le rend si unique. C'est quand même fou tout ce qu'on peut apprendre en une conversation !Un immense merci à Allan Védé pour sa transparence et sa proximité, et à Yoann Tome-Mestre d'avoir permis cet échange que je ne suis pas prêt d'oublier.Crédits de l'épisode : - “Crie hie” (Eugene Fredy / Jérôme Rastello)- “Des heures qui tapent” (Allan Védé, Esthen Dehut)- “Rayons d'or” (Allan Védé, Esthen Dehut)- “Saint-Malo” (Allan Védé)- “Dévore-moi” (Allan Védé)- “La lune est immense” (Allan Védé)- “C'est quand même fou” feat. Vernis Rouge (Allan Védé, Jaqo, Alexandra Zuliani)- “Sayonara” (Allan Védé)- “Rêve ma tête” (Allan Védé, Benoit Leclerq, Esthen Dehut)- “Rhum Coca” (Allan Védé, Gadiel Bengame)- “La dernière danse (Ne rentre pas chez toi ce soir)” (Slaï, Guy Bordey)- “Malibu” (Miley Cyrus, Oren Yoel)- "She moves in her own way" (Luke Pritchard, Hugh Harris, Max Rafferty, Paul Garred, Tony Hoffer)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection des "déjà grands", ces jeunes pousses qui nous font bader, je vous propose... Antes et Madzes, que j'ai rencontrés à l'automne dernier.Cet épisode a été publié pour la première fois en 2024.Voilà comment on se retrouve au Club, à Rodez, sans projecteur ni public, sur la scène où ils ont présenté leur album au printemps dernier. Derrière Antes et Madzes, deux personnages dont ils forcent à peine le trait, Sylvain Antes et Rémi Massol ne font presque qu'un. Depuis dix ans, potes, colocs et collègues, ils rappent d'une seule voix. Aujourd'hui, ils frisent la trentaine en surfant sur une vague d'amour. Avec leur dernier album, Bienvenue chez nous, Antes et Madzes livrent le plus abouti de leurs projets. Une ode à l'Aveyron, aux petites galères de gamins du coin qui ont grandi dans les bleds « juste à côté de la grande ville, la grande ville de la campagne » et aux grandes questions de fin de soirée. Autant de références qui résonnent bien au-delà de l'Aveyron. Antes et Madzes sont venus au micro de Finta! comme on s'allongerait sur le divan d'un psy. Mais comme ils sont sympas, on est tous invités sur leur canap'. C'est parti.Bonne écoute !
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection des "déjà grands", ces jeunes pousses qui nous font bader, je vous propose... Manon Espitalier qui, depuis notre rencontre, a été reçue par le Premier Ministre, parmi les 101 Femmes de Matignon... rien que ça !Cet épisode a été publié pour la première fois en 2025.Existe-t-il des filtres ruraux et des filtres urbains, quand il s'agit d'aborder les violences sexistes et sexuelles, l'éducation à la vie affective et sexuelle, l'émancipation des femmes ? Parle-t-on différemment dans des milieux d'interconnexions fortes, quand tout le monde se connaît ? C'est le point de départ de ce nouvel épisode de Finta! avec Manon Espitalier.Dans une première vie, elle était à Lyon, se destinait à une carrière de commerciale déjà bien amorcée. Mais de cette vie-là, dans le secteur industriel, Manon Espitalier n'en a fait qu'un tour. Revenue à son Aveyron natal, celle qui a toujours rêvé d'entreprendre, a placé son engagement pour l'émancipation des femmes au cœur de son entreprise. Voilà Poppy, en référence aux coquelicots qu'elle effeuillait dans son enfance.Poppy est née sous la forme d'une boutique en ligne, référençant l'essentiel des produits pour l'intimité féminine. Mais très vite, le coquelicot a semé de nouvelles graines. Dans des collèges, dans des lycées, en entreprise, auprès de collectivités territoriales, comme bénévole avec le Planning familial ou avec son entreprise : Manon Espitalier a développé des formations pour s'outiller face aux violences sexistes et sexuelles, pour éduquer aux enjeux de la vie affective et relationnelle. Aux côtés d'associations bien installées sur le territoire, elle fait partie de celles qui font sauter les derniers verrous, déconstruisent les tabous, et essuient quelques méchants plâtres au passage.
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection des "déjà grands", ces jeunes pousses qui nous font bader, je vous propose... Hortense Raynal !Cet épisode a été publié pour la première fois en 2024.C'est l'histoire d'une rencontre de papier, à l'étage de la Maison du livre. Il y avait ce petit recueil d'un orange mandarine qui semblait m'attendre. Et ce titre, Ruralités, qui tenait sa promesse. Au dos, Hortense Raynal, née en 1993 à Rodez, en Aveyron. Comme moi. Notre rencontre, de chair et de voix haute, a eu lieu quelques mois plus tard au Château de Taurines pour une performance poétique qui résonne encore.Depuis, la poétesse Hortense Raynal a publié deux livres : d'abord, Nous sommes des marécages, et plus récemment, Bouche-fumier. Il faut la lire pour sentir sa puissance, il faut la voir performer pour imprimer son énergie. Sa prose, elle la dit organique, elle la façonne à partir de sa matière, dans laquelle sa sève paysanne, son enracinement, jaillit.Portée par la puissance des réseaux sociaux, l'attrait de la poésie contemporaine se vérifie en librairie, où les jeunes plumes ont largement dépoussiéré les rayons. Hortense Raynal s'inscrit dans cette génération qui écrit, qui dit, qui incarne, qui projette sa poésie pour trouver des oreilles nouvelles, pour que ses mots dépassent toutes les barrières et viennent nous percuter.C'est dans la maison de ses parents, accrochée sur les hauteurs d'Estaing, là où elle a grandi, qu'Hortense Raynal a choisi que nous nous retrouvions.
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection de celles et ceux qui pensent la ruralité, je vous propose... Sophie Orange, que je suis allée rencontrer il y a quelques mois.Cet épisode a été publié pour la première fois en 2025.Elles sont infirmières, coiffeuses, aides à domicile, cantinières, secrétaires de mairie, institutrices, assistantes maternelles, auxiliaires de vie scolaire, esthéticiennes, aides-soignantes… On les retrouve dans les associations de parents d'élèves, le bureau des clubs sportifs, les bibliothèques municipales. Si l'on vit à la campagne, ce sont autant de visages qui nous viennent à l'esprit. A travers tous ces rôles qu'elles endossent, parfois bénévolement et quasi-systématiquement sans une reconnaissance digne, qu'elle soit financière ou symbolique, ces femmes tiennent la campagne. Elles œuvrent à raccommoder un lien social fragilisé par la disparition de lieux de sociabilité et l'effritement des services publics en ruralité. Ce sont elles qui sont au cœur de l'enquête menée par les sociologues Sophie Orange et Fanny Renard, et ramassée dans le livre « Des femmes qui tiennent la campagne », paru en 2022 aux éditions La Dispute. Dans leur spectre : des jeunes femmes, âgées de 20 à 30 ans, longtemps restées dans un angle mort de la sociologie rurale. Loin d'adopter un regard misérabiliste, les sociologues démontrent que les trajectoires locales de « celles qui restent » ne sont pas synonymes d'un manque d'ambition. Bien que ces jeunes femmes puissent être freinées dans leurs aspirations, et que ces mêmes aspirations puissent être minutieusement façonnées pour répondre aux besoins du territoire, notamment en les poussant vers les métiers du soin, les jeunes femmes mobilisent de puissantes ressources pour assoir leur indépendance, et même des formes de résistance. Mais, à trop tirer sur la corde en mobilisant des compétences prétendument féminines et « naturelles », ce travail enduré par les femmes n'est jamais reconnu, considéré comme « normal », ayant toujours existé. Avec le risque de les user irrémédiablement, et de voir vaciller l'équilibre social qu'elles maintiennent coûte que coûte.Pour mieux comprendre cette enquête sociologique, je suis allée à la rencontre de Sophie Orange, à l'université de Nantes. C'est l'entretien que je vous propose d'écouter au micro de Finta ! en ce 8 mars 2025, journée internationale pour les droits des femmes. Pour commencer, j'ai demandé à Sophie Orange quel lien la reliait, elle, à la campagne.
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection de celles et ceux qui pensent la ruralité, je vous propose... Valérie Jousseaume, que j'ai rencontrée l'an dernier !Cet épisode a été publié pour la première fois en 2024.Ploucs, pequenauds, culs-terreux, bouseux. Ces mots nous collent à la semelle. On en rirait, s'ils n'étaient pas chargés d'un sentiment partagé d'infériorité des ruraux sur les urbains. Valérie Jousseaume, elle, a décidé de renverser la table : si nous sommes ploucs, alors nous en serons fiers aussi. C'est le titre de son livre : Plouc Pride, sous-titré « Un nouveau récit pour les campagnes ». Géographe, elle balaye la théorie d'une France périphérique en déprime, à l'agonie, paralysée par la fermeture de ses services publics, la crise du modèle agricole, le vieillissement et l'isolement. Aux habitants des campagnes, elle veut rendre la parole et réhabiliter les mémoires paysannes, pour qu'un futur désirable et un nouveau monde émergent de l'expérience rurale.Son livre, Plouc Pride, règne en maître dans ma bibliothèque depuis trois ans. Il a été absolument fondateur dans la réflexion pour Finta ! parce qu'il est question de se réapproprier la parole, de penser la représentation des habitants des campagnes, de retrouver un pouvoir de réflexion et d'action localement.Avec Valérie Jousseaume, j'inaugure un nouveau rendez-vous de Finta ! avec celles et ceux qui pensent la ruralité. Ils ne vivent pas forcément en Aveyron, et en cela, ils sortent un peu de la ligne du podcast, mais je crois que leurs regards viennent compléter notre puzzle. C'est lors de son récent passage à Rodez, invitée dans le cadre du cycle de conférences du syndicat des architectes aveyronnais, que j'ai eu la chance de rencontrer Valérie Jousseaume. L'occasion était trop belle. Nous avions rendez-vous dans le petit salon de la Maison du livre. Bonne écoute !
☀️ Pour l'été, je vous propose de plonger dans les archives de Finta! pour découvrir ou redécouvrir, entendre ou réentendre les épisodes qui m'ont marquée depuis le début du podcast. Aujourd'hui, dans la collection de celles et ceux qui pensent la ruralité, je vous propose... Vincent Benoît, parmi les tout premiers invités de Finta!Cet épisode a été publié pour la première fois en 2021.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Frère de Banquise parle de sa levée d'amnésie : un mécanisme psychique connu pour des personnes qui ont vécu l'inceste ou des violences dans l'enfance, qui bloque la mémoire des traumatismes jusqu'au moment où, parfois plusieurs années voire plusieurs décennies plus tard, ils refont surface. Ces souvenirs traumatiques ont aussi été une clé pour lui pour se comprendre, et pourquoi il avait tant l'impression de ne pas avoir un comportement “normal”. Il a réalisé que c'est le trauma qui faisait de lui sa marionnette.C'est un témoignage rare d'un homme survivant, qui interroge frontalement les violences systémiques, l'inaction des institutions, la solitude des mineur·es exploité·es, et la résilience. En retraçant le chemin entre perte de sens et désir de soigner, Frère de Banquise brise le silence sur une réalité trop souvent ignorée.Dans cet épisode, vous entendez un court extrait de la chanson "Stop" de Sam Brown.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imagine-toi en 2010, fenêtres ouvertes, volume à fond sur ta chaîne hifi en train de chanter très fort (et très faux!) ces refrains : « Je sais je te rends fous mais ça te va plutôt bien », « Tourne la page, plus une image »... Des refrains qui sont devenus des compagnons de route, des éclats de jeunesse. Aujourd'hui, remontons le temps pour plonger à nouveau dans l'énergie contagieuse de l'album "Prendre l'air", qui a fait de Shy'm l'une des chanteuses les plus populaires de sa génération.Merci à Anaïs et Donovan d'avoir partagé leurs anecdotes de shimisoldiers.Crédits de l'épisode : - "Crier eh" (Eugene Fredy / Jérôme Rastello)- "Histoires de luv'" feat. K. Maro (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Victoire" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Step Back" feat. Odessa Thornhill (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Music" (Madonna, Mirwais Ahmadzai)- "J'entends encore les mots" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Elle danse" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Petit Tom" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "L'un pour l'autre" feat. K. Maro (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Je sais" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Je suis moi" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Prendre l'air" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Tourne" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Ne pars pas" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Tu m'manques" (La chicane)- "Tourne" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Tourne - Simslish version" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Les jours heureux" avec Gérard Lenorman (Richard Seff, Daniel Seff, Christian Lachenal)- "White Christmas" feat. Michael Buble (Berlin Irving, David Foster)- "En apesanteur" (Calogero, Alana Filippi, Gioacchino Maurici, K. Maro)- "En apesanteur (Tout est beau)" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "Mister H" (Inna Modja, Loïc Le Dévéhat)- "Si tu savais" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "When the rain begins to fall" feat. Jermaine Jackson (Peggy March, Steve Wittmack, Michael Roger Bradley)- "Wet" (Mikkel S. Eriksen, Tor Erik Hermansen, Ester Dean, Sandy Wilhelm, Traci Hale, Stargate, Sandy Vee, Tim Blacksmith)- "Sur la route" (Cyril Kamar, Nius, soFLY)- "Et alors!" (Cyril Kamar, Louis Côté)- "La malice" (Cyril Kamar, Louis Côté, Cynthia Chavan-Letscher)- "Mayday" feat. Kid Ink (Kid Ink, Cyril Kamar, Tiery F)- "Olé olé" feat. Chilla & Kayna Samet (Chilla, Kayna Samet, En'zoo, Gro Mo, Nicolas Rosemond)- "Ensemble" (Cyril Kamar, Tiery F)- "Caméléon" (Cyril Kamar, Louis Côté)Cet épisode contient également des extraits des interviews de Shy'm pour :- Vitamine radio (12/05/2011)- Vibration (14/06/2010)- LCM (30/06/2010)- La nuit nous appartient (21/05/2010)- Europe 1 (11/09/2010)- Les sim's 3 - Animaux & Cie (20/10/2011)- 3ème gauche - Un café avec... Inna Modja ! (21/07/2010)- Goom radio (25/03/2011)- NRJ - C'Cauet (06/06/2011)- Allomusic (09/04/2010)- Franceinfo - Mise à jour par Guy Birenbaum (15/09/2017)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Wien oder wat ass ideal fir e “Reality Check”? Fir d'Ekipp vun der Escher Konschthal natierlech d'Konscht. Bis de Sonndeg inclus presentéiert si an enger Gruppenexpo eng hallef Dose Kënschtler:innen, déi konkret Realitéiten op hir Manéier mat, gréisstendeels, der Konschtfotografie iwwersetzen. Dorënner och dräi Lëtzebuerger:innen: d'Séverine Peiffer, déi mam Nass-Kollodium schafft, engem Procédé aus dem 19. Joerhonnert; de Marc Schroeder, Ex-Banquier, mat sengem perséinlechen Temoignage iwwer 40 Deportéierten aus Transsylvanien, déi ënner dem Stalin d'UDSSR mat rekonstruéiere sollten; an d'Foto- a Filmkënschtlerin Birgit Ludwig mat hirem Fotojournal “Antidotes”. D'Kerstin Thalau ass vun hir méi iwwer Gëft e Géigegëft gewuer ginn.
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Ça fait des années que tu cherches à mieux t'organiser au travail, mais tu vois cela comme une montagne à gravir ou un objectif inatteignable?Ton quotidien est mouvementé et tu penses que c'est impossible de faire autrement dans ton contexte? Sois rassuré: c'est beaucoup plus simple que tu le penses!
Pendant plusieurs années, Christophe Palous chassait les Aveyronnais, littéralement, sur le réseau social professionnel LinkedIn. Et il s'en souvient aujourd'hui dans un grand éclat de rire. A la recherche d'Aveyronnais expatriés partout dans le monde, il a tissé, relation par relation, une toile d'araignée à faire pâlir les plus grands carnets d'adresses. Avec son acolyte, Stéphane Rouquette, Christophe Palous est l'instigateur de la communauté Aveyron Worldwide, qui rassemble aujourd'hui quelque 2600 membres vivant dans 75 pays à travers le monde.Depuis 2014, avec pour seule volonté de provoquer des rencontres, Christophe Palous anime cette communauté, entretenant une solidarité aveyronnaise, souvent portée en étendard. Sur le groupe LinkedIn, on se dépanne pour trouver un logement à l'un, un stage à l'une, on partage des offres d'emploi et on se fait la courte échelle. Des repas sont organisés ici ou là toute l'année, de Toulouse à Montréal, mais aussi en Aveyron, l'été et à Noël, pour rassembler ce petit monde. Et, grande nouveauté en ce printemps 2025, Aveyron Worldwide devient une plateforme numérique, pensée comme un véritable réseau social dédié à celles et ceux que leurs origines aveyronnaises réunissent.C'est cette actualité qui m'a donné envie de découvrir qui se cache derrière ce chef d'orchestre, par ailleurs salarié de la CCI Occitanie. Dans cet entretien avec Christophe Palous, j'ai appris qu'il est passé à une danse de devenir instituteur, qu'il aurait pu céder aux sirènes de l'entreprenariat mais qu'il n'a jamais eu envie de s'expatrier lui-même, et qu'il réfute toute forme de chauvinisme. J'ai appris aussi qu'Aveyron Worldwide pourrait bientôt devenir une agence matrimoniale… Je rigole, mais, il y a du vrai là-dessous. Je vous laisse avec notre échange… Bonne écoute.
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durée : 00:03:40 - Temoignage sur le camp d'internement de Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes - Au mois de septembre 2025, une plaque sera dévoilée à Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes dans l'Yonne, en mémoire du camp où était internés des "indésirables" du régime de Vichy. Parmi eux, des étrangers, dont la mère de Françoise Gaudier, d'origine ukrainienne, qui était venue travailler en France.
Juillet 1998. Tous les yeux sont braqués sur Zidane et l'équipe de France, qui vient de décrocher son ticket pour la finale de la Coupe du monde. En attendant le coup d'envoi, ce dimanche 12 juillet au Stade de France, la fête est partout. Dans chaque ville, sur chaque place de village, drapée de bleu-blanc-rouge. à ce même moment, dans un petit local de Saint-Geniez, il en est un qui vit ses premiers pas de brasseur. Dans l'effervescence nationale, les tout premiers fûts de la bière d'Olt coulent dans les bars du village. La Brasserie d'Olt est née, en fanfare.Tandis que la France ne compte alors, qu'une poignée de brasseries artisanales, Sébastien Blaquière arrive avec l'âme d'un pionnier, qu'il revendique aujourd'hui, parce qu'il se souvient avoir débroussaillé le chemin à mains nues. Vingt-sept ans plus tard, plus de vingt micro-brasseries ont fleuri en Aveyron à ses côtés.De son flair précurseur, de la concurrence locale qu'il a longtemps attendue, de son influence japonaise qui l'a poussé à aller voir du pays pour s'imprégner d'autres cultures avant de revenir entreprendre au bercail, de la difficulté de recruter à la campagne, qui n'entache pas pour autant son attachement viscéral à son village natal : dans cet entretien, nous avons cheminé entre tous ces sujets. Et puis j'ai aussi appris que l'alcool, lui, il n'y tient pas outre-mesure, que la personnalité de Marie Talabot, figure de la cité marmotte au XIXe siècle, l'accompagne depuis l'enfance, et que les Parisiens ont été les premiers à croire en son breuvage. Bonne écoute !
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"j'ai vu des femmes qui hurlaient parce que leur enfant était mort à côté d'elles et peut-être pire, des enfants qui hurlaient parce que leur mère était morte à côté d'eux"Les grands-parents paternels de Mireille étaient brocanteurs et antiquaires. En 1905, ils fuient la Russie, les soldats du tsar, et l'antisémitisme. Ils s'installent en banlieue parisienne. C'est là que naît Maurice, le père de Mireille. Maurice épouse Geneviève, catholique. De leur union naît Mireille, à Paris, le 19 mai 1931.Quand la guerre éclate, Mireille a 8 ans. Elle vit avec ses parents en région parisienne. Dès septembre 1939, son père est mobilisé. Sa mère, se retrouve seule avec elle, doit travailler dur pour subvenir à leurs besoins, alors que Paris et sa banlieue sont sous les bombes.Comme des millions de Français, Mireille va vivre un événement qui la marquera pour toujours : L'EXODE.En 1940, des familles entières fuient, au hasard, dans la peur. Pour Mireille, c'est le début d'un long chemin de souffrance. Un souvenir gravé, l'un des plus marquants de toute la guerre.Ce témoignage a une résonance particulière, car depuis que j'ai enregistré sa voix, Mireille nous a quittés. Elle est décédée en octobre dernier, à l'âge de 93 ans.Je suis très émue de vous partager son histoire. Je dédie évidemment cet épisode à sa mémoire.Voici le premier des deux volets consacrés à Mireille, 9 ans, Enfant de la Shoah.------NE PERDONS PAS L'HISTOIRE, PARTAGEONS-LA… Ensemble, gardons vivantes ces voix, ces visages, ces vies, pour que jamais on n'oublie.
Ecoutez RTL Matin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 29 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce cinquième épisode, je suis partie à la rencontre de Thomas qui a réalisé son premier film documentaire "Promesse" qui est sorti en salle dans vos cinémas le 23 avril dernier."Promesse" , c'est l'histoire de Laurène et de son combat contre la maladie qui l'a emportée après plusieurs années.C'est l'histoire du lien de gémellité qui relie Thomas et Laurène. C'est aussi l'histoire de toute une famille qui nous livre un témoignage où la vie et la mort, la joie et le chagrin, l'épreuve et la force, s'entremêlent et nous bouleverse.Dans ce nouvel épisode de Ce Qui Nous Lie - En Création, plongez au cœur du processus créatif de réalisation , celui qui s'est imposé à Thomas comme étant une nécessité.Bonne écoute et surtout foncez voir Promesse dans votre salle de cinéma !Réalisation : Domitille TassinMontage et mixage : Lolla Sauty-HoyerMusique générique : Thomas LavernheGraphisme : Tiphaine JozanPour toute demande de collaboration, projet, témoignage, une seule adresse : podcastcequinouslie@gmail.comSite internet : www.podcastcequinouslie.comInstagram : @cequinouslie_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce cinquième épisode, je suis partie à la rencontre de Thomas qui a réalisé son premier film documentaire "Promesse" qui est sorti en salle dans vos cinémas le 23 avril dernier."Promesse" , c'est l'histoire de Laurène et de son combat contre la maladie qui l'a emportée après plusieurs années.C'est l'histoire du lien de gémellité qui relie Thomas et Laurène. C'est aussi l'histoire de toute une famille qui nous livre un témoignage où la vie et la mort, la joie et le chagrin, l'épreuve et la force, s'entremêlent et nous bouleverse.Dans ce nouvel épisode de Ce Qui Nous Lie - En Création, plongez au cœur du processus créatif de réalisation , celui qui s'est imposé à Thomas comme étant une nécessité.Bonne écoute et surtout foncez voir Promesse dans votre salle de cinéma !Réalisation : Domitille TassinMontage et mixage : Lolla Sauty-HoyerMusique générique : Thomas LavernheGraphisme : Tiphaine JozanPour toute demande de collaboration, projet, témoignage, une seule adresse : podcastcequinouslie@gmail.comSite internet : www.podcastcequinouslie.comInstagram : @cequinouslie_podcastRéalisation : Domitille TassinMontage et mixage : Lolla Sauty-HoyerMusique générique : Thomas Lavernhe Graphisme : Tiphaine JozanPour toute demande de collaboration, projet, témoignage, une seule adresse : podcastcequinouslie@gmail.comSite internet : www.podcastcequinouslie.comInstagram : @cequinouslie_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Existe-t-il des filtres ruraux et des filtres urbains, quand il s'agit d'aborder les violences sexistes et sexuelles, l'éducation à la vie affective et sexuelle, l'émancipation des femmes ? Parle-t-on différemment dans des milieux d'interconnexions fortes, quand tout le monde se connaît ? C'est le point de départ de ce nouvel épisode de Finta! avec Manon Espitalier.Dans une première vie, elle était à Lyon, se destinait à une carrière de commerciale déjà bien amorcée. Mais de cette vie-là, dans le secteur industriel, Manon Espitalier n'en a fait qu'un tour. Revenue à son Aveyron natal, celle qui a toujours rêvé d'entreprendre, a placé son engagement pour l'émancipation des femmes au cœur de son entreprise. Voilà Poppy, en référence aux coquelicots qu'elle effeuillait dans son enfance.Poppy est née sous la forme d'une boutique en ligne, référençant l'essentiel des produits pour l'intimité féminine. Mais très vite, le coquelicot a semé de nouvelles graines. Dans des collèges, dans des lycées, en entreprise, auprès de collectivités territoriales, comme bénévole avec le Planning familial ou avec son entreprise : Manon Espitalier a développé des formations pour s'outiller face aux violences sexistes et sexuelles, pour éduquer aux enjeux de la vie affective et relationnelle. Aux côtés d'associations bien installées sur le territoire, elle fait partie de celles qui font sauter les derniers verrous, déconstruisent les tabous, et essuient quelques méchants plâtres au passage.
Alain est né le 4 septembre 1939, au moment même où la guerre éclata en France. Son père, roumain avait le rêve de devenir médecin. Cependant, à cette époque, il était impossible pour les Juifs en Roumanie d'accéder aux études de médecine. Ce qui le poussa ainsi à émigrer en France, terre de liberté. C'est là qu'il rencontra celle qui deviendra sa femme, la future maman d'Alain.Mobilisé en tant que jeune médecin au début de la guerre, il fut rapidement privé de sa nationalité en raison des mesures de dénaturalisation engagées par le régime de Vichy Pour mettre Alain et sa sœur un peu plus en sécurité, la famille quitta Paris pour la zone non occupée, et s'installa dans la région de Pau.Aujourd'hui, 80 ans plus tard, Alain a peu de souvenirs de cette période, mais les résonances de ces années troublées sont toujours assez puissantes pour émouvoir profondément son cœur.NE PERDONS PAS L'HISTOIRE, PARTAGEONS-LA…
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Dans le premier épisode, Lisette est revenue sur l'un des moments les plus sombres de son histoire : la rafle du Veld'Hiv, en juillet 1942, au cours de laquelle elle fut arrêtée avec sa maman, sa sœur, sa tante et ses cousins. Elle parviendra pourtant à s'échapper grâce à une varicelle, qui la mènera à l'hôpital Rothschild. Lisette fera ainsi partie des 26 enfants sauvés par l'hopital Rotschild lors de cette rafle.Sa maman, sa demi-sœur, sa tante et ses cousins, eux, n'auront pas cette chance. Transférés de Drancy à Beaune-la-Rolande, les adultes seront rapidement déportés vers Auschwitz. Restés seuls dans le camp, Marcel, et sa petite sœur tenteront un ultime appel au secours : une lettre poignante adressée à une voisine, Madame Louise. Mais,tout comme celle envoyée quelques semaines plus tôt par leur maman, elle restera sans réponse. Les deux enfants connaîtront le même destin tragique que le reste de la famile : l'internement à AuschwitzVoici la suite et fin du témoignage de Lisette. 7 ans, enfant de la ShoahNE PERDONS PAS L'HISTOIRE, PARTAGEONS-LA… Ensemble, gardons vivantes ces voix, ces visages, ces vies, pour que jamais on n'oublie.
Dans cet épisode un peu spécial, je vous partage mon parcours avec les plantes médicinales : comment je les ai rencontrées, ce qu'elles m'ont appris, et qui m'a transmis ces savoirs.Un épisode sous forme de conversation intime, un moment de partage où je vous emmène avec moi, sur ce chemin, main dans la main avec les herbes. Belle écoute à vous.Chaleureusement,CamilleNOTE : Découvrez et approfondissez une plante médicinale native toutes les deux semaines dans mon cours en ligne. Les herbes médicinales de nos terresSuivre la voie des herbes, des arbustes, des arbrisseaux, des arbres.Suivre le chemin des plantes médicinales, pour prendre soin,et pour se rappeler de ces savoirs anciens.Préserver toutes ces connaissances qui peuplent nos montagnes, nos prairies et nos forêts.
Et si la plus belle des rencontres était celle avec soi même?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une filière qui accueille, en Aveyron comme ailleurs, entre 90 et 95% de filles. Bac pro Sapat, comme soin à la personne et animation du territoire. Ces jeunes femmes font partie de celles qui tiennent la campagne, si vous avez écouté l'épisode de Finta ! avec la sociologue Sophie Orange. Elles prennent à bras le corps des métiers bien peu valorisés qui font tenir le lien social en ruralité, que ce soit auprès des enfants, des personnes en situation de handicap, ou des personnes âgées. Avec toutes leurs casquettes, plus ou moins bénévoles, elles pallient l'affaiblissement de services publics sur lesquels reposaient la solidarité et la sociabilité.DANS TA BANDE ! Pour expérimenter des formats de Finta! plus collectifs, laissant la place à des sujets qui nous lient et des tranches de vie qui nous rassemblent, j'ai choisi de laisser traîner mes micros parmi les élèves de Terminale Sapat du lycée Beauregard de Villefranche-de-Rouergue. La première fois que je les ai rencontrées, dans le cadre d'un projet scolaire visant à animer le territoire, elles s'apprêtaient à accueillir l'un des photographes français les plus réputés au monde, Yann Arthus-Bertrand, qu'elles ont convaincu de venir pour photographier des Villefranchois et des Villefranchoises. Dans l'ombre de cet incroyable projet scolaire, ce sont leurs trajectoires à elles qui m'ont intéressée, avec leurs doutes, leurs envies, leurs nœuds d'orientation, leurs questions et leurs mots. Alors, je suis retournée plusieurs fois les voir. Et voici leur histoire, à plusieurs voix.
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Zohra Bitan, Eléonore Lemaire et Antoine Diers.
Alors que j'entrai dans le petit ascenseur, l'homme se mit immédiatement à me fixer.Nous n'étions que deux, et le panneau de commande était de son côté. Heureusement, le bouton du 1er étage était déjà pressé—pas besoin de parler.Mais c'était un vieil immeuble, très haut, et alors que l'ascenseur avançait lentement à travers ses trente-deux étages, je remarquai que l'homme continuait de me scruter. Je fixai la porte."Vous êtes Anna Hansen ?" demanda-t-il.Source : https://www.reddit.com/r/Ghoststories/comments/1iwos4r/my_friend_claims_she_can_see_ghosts_never/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Les apparences sont parfois trompeuses. Quand Anna croise le chemin de Gary, elle ne s'attend pas à ce que, derrière son crâne rasé, son sac de sport et son regard insistant, se cache un homme doux, attentionné et plein de surprises. Cet épisode raconte l'histoire d'Anna, Disruptive Beauté, et son amoureux Gary.Il n'est pas tout à fait comme les autres. Il a été enregistré en public le 14 octobre dernier dans la boutique Maison 123, rue Chaussée d'Antin à Paris. C'est l'un des 3 épisodes exclusifs créés en collaboration avec Maison 123, la marque de mode française engagée qui s'inspire du voyage pour célébrer toutes les femmes au quotidien.Maison 123 vient de sortir sa première collection unisexe, aussi bien pensée pour les hommes que pour les femmes. Elle s'appelle FUSION, pensée pour s'adapter à tous les corps et toutes les morphologies, c'est une capsule jouant sur les deux tableaux, les deux vestiaires. FUSION célèbre l'harmonie du féminin et du masculin. L'occasion rêvée d'interviewer 3 couples emblématiques qui puisent leur force dans la fusion de leurs singularités. Ces épisodes sont également disponibles en video sur Instagram. Tu peux écouter les deux précédents épisodes de la série exclusive :▶︎ avec Marie Courroy et son amoureux Edouard▶︎ avec Tiffany Buathier, la créatrice de The New Well Magazine et de son amoureux Mathieu : lienCes épisodes sont également disponibles en video sur Instagram.Crush est le podcast qui explore la magie des premiers jours des histoires d'amour, la rencontre amoureuse, pour t'aider à comprendre et vivre mieux tes émotions et relations amoureuses. Il y a mille et une façons d'aimer, et je compte bien toutes les montrer.
Any a une vision très claire de l'homme idéal. Elle a même sa check-list de red flags pour être sûre de ne pas perdre de temps. Quand elle rencontre Léo, un papa célibataire, il a beau lui plaire, elle est convaincue que ça ne pourra pas aller plus loin.Crush est le podcast qui explore la magie des premiers jours des histoires d'amour, la rencontre amoureuse, pour t'aider à comprendre et vivre mieux tes émotions et relations amoureuses. Il y a mille et une façons d'aimer, et je compte bien toutes les montrer.Si tu aimes cet épisode, tu aimeras aussi :Le crush de Valérie - Imprévu sous la pluieLe crush de Léa - En un regardLe crush de Soazig Castelnérac - Sur le filLe crush de Mélanie - Nos jours (très) heureux
Entre Tiffany et Mathieu, l'amour a pris son temps. De l'adolescence aux épreuves de la vie, de rencontres fortuites en soirées partagées, les années ont passé sans jamais laisser deviner ce qui se préparait. Puis un jour, une légère brise a soufflé, allumant un feu qui, doucement, a commencé à brûler. Cet épisode raconte l'histoire d'amour de Tiffany Buathier, la créatrice de The New Well Magazine et de son amoureux Mathieu.Il n'est pas tout à fait comme les autres. C'est l'un des 3 épisodes exclusifs créés en collaboration avec Maison 123, la marque de mode française engagée qui s'inspire du voyage pour célébrer toutes les femmes au quotidien.Maison 123 vient de sortir sa première collection unisexe, aussi bien pensée pour les hommes que pour les femmes. Elle s'appelle FUSION, pensée pour s'adapter à tous les corps et toutes les morphologies, c'est une capsule jouant sur les deux tableaux, les deux vestiaires. FUSION célèbre l'harmonie du féminin et du masculin. L'occasion rêvée d'interviewer 3 couples emblématiques qui puisent leur force dans la fusion de leurs singularités. Ces épisodes sont également disponibles en video sur Instagram. ▶️ Tu peux écouter le premier épisode de la série avec Marie Courroy et son amoureux Edouard, déjà sorti. ▶️ Je te donne aussi RDV jeudi 31 octobre pour découvrir le troisième épisode exclusif Maison 123 x Crush avec Anna, aka Disruptive Beauté, et son amoureux Gary, enregistré en public le 14 octobre dernier dans la boutique Maison 123, rue Chaussée d'Antin.Crush est le podcast qui explore la magie des premiers jours des histoires d'amour, la rencontre amoureuse, pour t'aider à comprendre et vivre mieux tes émotions et relations amoureuses. Il y a mille et une façons d'aimer, et je compte bien toutes les montrer.