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C'est un dessin publié par le Guardian à Londres. On y voit Trump en train de regarder Zelensky à la télévision. Celui affirme : « Je dis à Trump, s'il vous plait, venez en Ukraine ! » Et le président américain réplique : « J'attends que Vlad m'invite ! » Entendez Vladimir Poutine bien sûr… Un dessin qui illustre bien le fossé entre les deux hommes.Et en effet, « Zelensky a invité Trump à se rendre en Ukraine, pointe le Washington Post, “pour venir et voir“ par lui-même la destruction et la violence que la guerre menée par la Russie a provoquées ». C'était dimanche, au cours de l'émission 60 Minutes sur la chaîne américaine CBS News. Et au même moment, les missiles russes frappaient la ville ukrainienne de Soumy…Poutine ménagé…Après ce bombardement meurtrier qui a fait au moins 35 morts, « Washington s'est bien gardé de pointer directement Moscou, relève Libération à Paris. “Je pense que c'est terrible. Et l'on m'a dit qu'ils ont fait une erreur“, a déclaré Donald Trump, qui continue de ménager (donc) Vladimir Poutine malgré l'accumulation de signaux forts qu'aucun deal de paix ne semble possible à l'heure actuelle ».« La gêne américaine était d'autant plus évidente, pointe pour sa part Le Monde, que le bombardement de Soumy a eu lieu deux jours seulement après que l'émissaire spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, s'est rendu à Saint-Pétersbourg pour rencontrer Vladimir Poutine et discuter de l'arrêt des hostilités. À la télévision, dimanche, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a qualifié les pourparlers en cours de “travail minutieux“, mais a prévenu qu'il n'y aurait pas de percée rapide. Les pourparlers peinent à se concrétiser, relève encore Le Monde. Le cessez-le-feu temporaire de trente jours proposé par Washington, accepté de manière inconditionnelle par l'Ukraine, le 11 mars, a été rejeté par la Russie. Le président russe, qui est à l'avantage sur le terrain militaire, n'a pas renoncé à ses objectifs maximalistes. Il continue de demander la reconnaissance de quatre régions partiellement occupées, exige que l'Ukraine déclare sa neutralité et qu'elle réduise la taille de son armée. Des conditions inacceptables pour Kiev et ses alliés ».Zelensky accusé…Hier, constate Die Welt à Berlin, « Trump a de nouveau accusé son prédécesseur Joe Biden et Volodymyr Zelensky d'être responsables de la guerre. Ils ont fait un “travail terrible“, a-t-il déclaré. Cette nouvelle déclaration laisse peu d'espoir quant à la reprise de l'aide militaire américaine, pourtant essentielle à l'Ukraine. Au contraire, pointe le quotidien allemand, aucune nouvelle aide militaire, financière ou humanitaire américaine n'a été engagée depuis que les États-Unis ont annoncé leur dernier plan d'aide – toujours sous l'administration Biden – le 9 janvier dernier. Les pays européens, quant à eux, ont augmenté leur soutien et ont désormais envoyé à l'Ukraine 23 milliards d'euros d'aide de plus que les États-Unis ».Non contents de supprimer leur aide militaire, les États-Unis ont en effet également gelé leur aide au développement à l'Ukraine. « Un gel qui frappe de plein fouet les médias locaux », relève Newsweek. « Les journaux implantés dans des villes proches du front - la dernière défense de l'Ukraine contre la désinformation du Kremlin - ont été les plus durement touchés. Trois mois après le gel des financements américains, ils sont en train de sombrer. (…) Et le Kremlin est déjà en train de combler le vide » avec sa propagande et sa désinformation…L'Europe doit s'impliquer davantage…Alors pour faire face, aussi bien sur le plan militaire qu'humanitaire, « l'Europe doit être cohérente à propos de l'Ukraine », s'exclame le Corriere Della Sera à Rome. Et poursuivre son action.En effet, rebondit La Croix à Paris, « pour tenter de faire fléchir la Russie, l'Europe ne peut plus se reposer sur le volontarisme affiché, mais inopérant des États-Unis. Les Européens doivent poursuivre leurs efforts pour soutenir l'Ukraine, en agissant même dans leurs propres rangs, notamment contre la Hongrie, qui devient un obstacle toujours plus gênant à toute décision en faveur de Kiev. “Il faut des mesures fortes“, a ainsi constaté Emmanuel Macron, suivi du futur chancelier allemand, Friedrich Merz, qui a, lui, envisagé de fournir à Kiev des missiles Taurus capables de frapper profondément en territoire russe. Des paroles qui, prévient La Croix, si elles ne sont pas suivies d'actes, ne mettront pas fin à la guerre ».
El portavoz del Kremlin, Dmitri Peskov, afirmó que algunas empresas de EEUU muestran interés en proyectos de metales de tierras raras en Rusia. Algo que también resaltó el director general del Fondo Ruso de Inversión Directa, Kiril Dmítriev. Mientras tanto, Donald Trump, denuncia que Kiev quiere salirse del acuerdo de tierras raras con Washington.
C dans l'air du 24 mars 2025 - Ukraine : Trump va-t-il gagner son pari ?Les négociations se poursuivent à Ryad. Après un rendez-vous avec les Ukrainiens hier, une délégation américaine reçoit cette fois les Russes, à Ryad, pour tenter de négocier un cessez-le-feu. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que la sécurité de la navigation en mer Noire serait au cœur des négociations. Côté États-Unis, on se veut très optimiste sur l'issue des discussions. L'émissaire de Trump en Russie Steve Witkoff dit s'attendre "à de vrais progrès" et considère même que Vladimir Poutine "veut la paix". De leur côté, les Russes tempèrent : "Il s'agit d'un sujet très complexe et il y a beaucoup à faire". Pendant ce temps, l'Ukraine et la Russie continuent de se bombarder mutuellement. La Russie accuse l'Ukraine d'avoir envoyé un drone sur une station de pompage de pétrole de Kropotkinskaïa, mettant en péril le cessez-le-feu accepté par Poutine sur les infrastructures énergétiques. Les Russes ont répliqué, dans la nuit de dimanche à lundi, par l'envoi d'une centaine de drones sur les oblasts de Kiev, Kharkiv, Soumy, Kirovohrad et Zaporijia.Aux États-Unis, le président Donald Trump continue de faire la guerre aux grandes universités américaines, accusées de pervertir l'enseignement avec l'idéologie "wokiste", et d'encourager les manifestations pro-palestiniennes. Symbole de ce bras de fer, l'arrestation le 8 mars dernier du Syrien Mahmoud Khalil, l'un des leaders de la contestation propalestinienne sur le campus de l'université Columbia. La veille, l'administration avait annoncé couper 400 millions de dollars de subvention à cette institution new-yorkaise : "Aujourd'hui, nous démontrons à Columbia et aux autres universités que nous ne tolérerons plus leur inaction déplorable", a ainsi déclaré la ministre de l'éducation, Linda McMahon. L'offensive trumpiste contre le monde académique n'est pas nouvelle : cet été, les ultra-conservateurs avaient déjà obtenu la fermeture de l'observatoire de Stanford sur la désinformation. Et Donald Trump ne compte pas s'arrêter là. La semaine dernière, il a acté le démantèlement du ministère de l'Éducation, faute de pouvoir le supprimer purement et simplement.En Europe, on observe avec inquiétude les gesticulations de Trump. Face au possible retrait des États-Unis de l'Otan, la commission européenne a acté la semaine dernière un plan de financement de 800 milliards d'euros pour réarmer l'Europe d'ici 2030. Pour le ministre français de l'Europe, Benjamin Haddad, l'UE doit créer une préférence européenne concernant l'armement. Si "vous avez le savoir-faire technologique, vous avez le contrôle de son utilisation", a-t-il ainsi déclaré lors d'une interview à Euronews. L'heure est donc à l'autonomie : "450 millions d'Européens ne devraient pas dépendre de 340 millions d'Américains pour les défendre", affirmait la semaine dernière le commissaire européen à la défense, Andrius Kubilius.Sur quels points se concentrent les négociations à Riyad ? Pourquoi Donald Trump a-t-il déclaré la guerre aux universités américaines ? Et comment l'Europe veut-elle organiser son autonomie militaire ?Les experts :- Général Jean-Paul PALOMEROS - Ancien chef d'état-major et ex-commandant suprême de la transformation de l'OTAN- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de "Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang"- Corentin SELLIN - Professeur d'Histoire en classe préparatoire, spécialiste des Etats-Unis et Chroniqueur - Les Jours- Georgina WRIGHT - Conseillère spéciale, spécialiste des questions transatlantiques pour le Think tank German Marshall Fund- Nicolas BACHARAN (par skype) - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis Éditorialiste - Ouest-France
Des négociations sur une trêve en Ukraine ont lieu actuellement à Riyad, en Arabie saoudite. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le sujet principal de discussion portera sur la reprise de l'accord céréalier en mer Noire, un accord qui était en vigueur pendant un an entre juillet 2022 et juillet 2023. De quoi s'agit-il exactement ? Et pourquoi est-ce un sujet si important ? Décryptage.
C dans l'air l'invité du 17 mars 2025 : Bernard-Henri Lévy, philosophe et écrivain, auteur dernièrement de "Nuit blanche" publié aux éditions Grasset.Le président américain a indiqué dans la nuit qu'il échangerait mardi 18 mars avec son homologue russe des solutions visant à trouver une issue à la guerre en Ukraine. Un sujet à l'ordre du jour du Conseil des affaires étrangères qui se tient ce lundi à Bruxelles.La Russie a confirmé ce l'appel téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, soit le deuxième entretien entre les deux hommes depuis le retour du républicain à la Maison Blanche en janvier. "Oui, c'est bien le cas. Une telle discussion est en préparation pour mardi", a répondu aux journalistes Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, lundi 17 mars. Il n'a pas livré davantage de détails, notamment sur les thèmes qui seront évoqués.
C dans l'air du 14 mars 2025 - Trump / Poutine : qui mène le jeu ?Si Volodymyr Zelensky a accepté sans conditions un cessez-le-feu de trente jours, Vladimir Poutine s'est dit "pour" la trêve proposée par Washington… tout en prévenant qu'il restait des "questions importantes" à régler concernant sa mise en œuvre. Donald Trump, qui a déjà adopté nombre des positions du Kremlin au grand dam de Kiev et de l'Europe, veut que Moscou fasse taire les armes au plus vite. Mais le maître du Kremlin semble vouloir faire durer les choses. D'autant que les troupes russes ont l'avantage sur le terrain, après avoir repris ces derniers jours des territoires contrôlés par l'Ukraine depuis l'été, dans la région russe de Koursk.Dans ce contexte, Vladimir Poutine a reçu hier soir l'émissaire américain Steve Witkoff, qu'il a chargé de remettre un message avec "des indications supplémentaires" à l'attention de Donald Trump. Quand celles-ci seront transmises, "nous déterminerons le timing pour une conversation" entre les deux présidents, a expliqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.Jusqu'à présent, la Russie n'a pas renoncé à ses conditions pour mettre fin aux combats : une reddition ukrainienne, une cession par l'Ukraine de cinq régions annexées par la Russie, l'abandon des ambitions de Kiev de rejoindre l'Otan et le démantèlement du pouvoir ukrainien en place. Sur son compte Telegram, le président ukrainien a dénoncé les "manipulations" de Vladimir Poutine, l'accusant de "faire traîner les choses". Berlin a pointé vendredi une "manœuvre dilatoire" de Poutine quand Donald Trump reste optimiste. « Nous avons eu hier des discussions très positives et productives avec le président russe, Vladimir Poutine, et il y a de fortes chances que cette guerre horrible et sanglante s'achève enfin », a écrit le président des Etats-Unis sur son réseau, Truth Social.Alors une trêve est-elle proche ? Quand est-il réellement ? Quelles sont les conditions discutées entre Donald Trump et Vladimir Poutine ? Si les deux dirigeants doivent échanger prochainement, sur le front les combats se poursuivent et la population demeure inquiète. Car les Ukrainiens savent d'expérience que la Russie n'a jamais respecté les cessez-le-feu conclus par le passé, dans le cadre des Accords de Minsk, et qu'ils doivent rester prêts. Ils sont soutenus sur ce point par les pays européens, notamment la Pologne et l'Estonie sur le pied de guerre depuis plusieurs mois. Nos journalistes se sont rendus en Estonie rencontrer des habitants, inquiets, face à la menace russe.En France, une résolution symbolique prévoyant notamment la saisie des avoirs russes pour aider Kiev a été largement adoptée mercredi. Mais le score est loin d'afficher une union nationale : le RN et son allié ciottiste ont décidé de s'abstenir, LFI et les communistes ont voté contre.Les experts :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de "D'un monde à l'autre" - Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Annie DAUBENTON - Journaliste-essayiste, auteure de Ukraine, les métamorphoses de l'indépendance - Guillaume LAGANE - Spécialiste des questions de défense, maître de conférences à sciences Po- Julian COLLING (en duplex Koursk) - Journaliste indépendant
Il presidente Donald Trump ha dichiarato di voler negoziare un "accordo" con l'Ucraina affinché offra una "garanzia" sulle sue terre rare in cambio degli aiuti americani mentre il portavoce del presidente russo Dmitri Peskov ha affermato che i piani del presidente degli Stati Uniti Donald Trump per le terre rare dell'Ucraina rappresentano un'offerta a Kiev per acquistare aiuti dagli Stati Uniti, piuttosto che la disponibilità di Washington a fornirli gratuitamente o in altro modo.Iscriviti e segui "Notizie dall'Ucraina": YouTube: https://bit.ly/3FqWppn Spreaker: https://bit.ly/42g2ONG Apple Podcasts: https://apple.co/3JE1OMi Spotify: https://spoti.fi/40bpm0v Amazon Music: https://amzn.to/40HVQ37 Audible: https://bit.ly/4370ARc Resta in contatto con noi: https://www.adnkronos.com/ https://x.com/Adnkronos https://www.facebook.com/AgenziaAdnKronos https://www.instagram.com/adnkronos_/ Ph: AFP Musiche su licenza Machiavelli Music. AdKey:zP-94qNWQqj3XM
C dans l'air l'invitée du 24 janvier avec Tatiana Kastoueva Jean, directrice du centre Russie-Eurasie à l'Ifri, l'Institut français des relations internationales.Aujourd'hui, à travers la voix de son porte-parole, Vladimir Poutine s'est dit "prêt" à parler à Donald Trump et a dit attendre "des signaux de Washington". Dmitri Peskov n'a indiqué ni le calendrier, ni la nature des signaux attendus par le Kremlin. De son côté, le président américain Donald Trump a affirmé jeudi être prêt à une rencontre immédiate avec Poutine. "Je pense, d'après ce que j'entends, que Poutine veut me rencontrer, on se rencontrera dès que possible. Je le rencontrerai immédiatement", a-t-il dit à des journalistes dans le bureau ovale. "Chaque jour où nous ne nous rencontrons pas, des soldats sont tués sur le champ de bataille", a estimé Donald Trump, jugeant qu'il s'agissait d'"une guerre ridicule".Le président ukrainien Volodymyr Zelensky "est prêt à négocier un accord, ils aimeraient arrêter", a-t-il ajouté. Plus tôt, lors d'un discours au Forum économique mondial de Davos, Donald Trump avait appelé à baisser les prix du pétrole, estimant que s'ils étaient plus bas "la guerre en Ukraine serait aussitôt terminée". Dmitri Peskov lui a répondu vendredi que le conflit en Ukraine "ne dépend pas des prix du pétrole". Ce conflit "découle d'une menace pour la sécurité nationale russe", a-t-il assuré.Tatiana Kastoueva Jean, directrice du centre Russie-Eurasie à l'Ifri, l'Institut français des relations internationales, est notre invitée. Elle analysera avec nous les annonces du Kremlin aujourd'hui, et leur portée. Une négociation rapide sur la paix en Ukraine est-elle possible ? Quels seraient les termes de ces négociations, et les contreparties demandées par Vladimir Poutine ? Comment cela est-il ressenti en Ukraine et en Russie ? On reviendra aussi sur la situation sur le front en Ukraine, avec des évacuations de familles avec enfants en cours dans la région de Kharkiv et trois morts annoncés hier. Volodimir Zelensky pourra-t-il peser dans ces négociations, et quel sera l'avenir de l'Ukraine ?
O ditador russo Vladimir Putin continua à espera da tão prometida chamada do presidente norte-americano Donald Trump, mas ela tarda. O Kremlin tenta mostrar que aguarda com serenidade a conversa entre os dois, mas deixa escapar, mais e mais, sinais de preocupação face a um político que surpreende o mundo diariamente. O porta-voz de Putin, Dmitri Peskov, vai dizendo não aos ultimatos de Washington, mas deixa todas as revelações ora para a conversa telefónica, ora para o encontro de Putin com Trump. Este já ameaçou a Rússia “e outros países participantes” com impostos, tarifas e sanções se Vladimir Putin não conseguir chegar a um acordo para pôr fim ao conflito. Entretanto, Volodymir Zelensky, presidente da Ucrânia, tenta ganhar o apoio do dirigente norte-americano, mas continua a existir o risco de o fim da guerra ser acordado sem a participação da Ucrânia e também da Europa.See omnystudio.com/listener for privacy information.
LAS NOTICIAS: Trump ataca a Zelensky, Putin está listo para conversar y ataque masivo de UcraniaEl presidente Donald Trump ha comentado que el mandatario ucraniano, Volodymyr Zelensky, "no es un ángel" y ha insinuado que tiene parte de responsabilidad en el origen del conflicto entre Rusia y Ucrania. En su primera entrevista tras regresar a la Casa Blanca, Trump cuestionó a Zelensky y afirmó que "no debió permitir que esta guerra se desatara". Según Trump, Rusia estaría interesada en negociar y alcanzar un acuerdo. "Tengo entendido que Putin quiere dialogar, y nos reuniríamos de inmediato. Cada día que pasa sin un encuentro significa la pérdida de cientos de soldados", declaró.El portavoz del Kremlin, Dmitri Peskov, declaró este viernes que el presidente ruso, Vladímir Putin, está listo para conversar con su homólogo estadounidense, Donald Trump. Al ser preguntado por periodistas sobre si hay que esperar una conversación entre ambos líderes este fin de semana, el vocero dijo que "Putin está listo, estamos esperando señales". "Todos están listos", indicó. Ucrania atacó anoche el territorio ruso, incluida Moscú, con más de 120 drones, en la mayor incursión aérea desde comienzos de año, según informó hoy el Ministerio de Defensa de Rusia en su canal de Telegram. Las defensas antiaéreas derribaron durante la pasada noche y esta madrugada un total de 123 drones sobre trece regiones rusas, uno de ellos sobre la capital, precisó el parte castrense. noticiasdelamañana #noticias #trump #zelensky #eeuu #putin #guerra #ucrania #ukrainewar #ataques #armas #geopolitica #negociostv #breakingnews Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
Statele membre NATO cu ieșire la Marea Baltică au decis să-și coordoneze eforturile pentru a răspunde provocărilor și sabotajelor din partea așa-numitei flote-fantomă a Rusiei. Amenințările pentru europeni pot veni însă și pe calea aerului, după cum avertizează șeful guvernului de la Varșovia. Premierul polonez Donald Tusk a acuzat Rusia că plănuiește „acte de terorism aerian” la nivel mondial, transmite Associated Press.Declarațiile au fost făcute la o conferință de presă susținută miercuri la Varșovia alături de președintele ucrainean Volodymr Zelenskyy.Premierul polonez a afirmat că nu dorește să intre în detalii, însă poate să confirme validitatea temerilor că Rusia ar plănui acte de teroare aeriană, nu numai împotriva Poloniei, ci și împotriva companiilor aeriene din întreaga lume.Oficiali din occident au acuzat în mai multe rânduri Rusia că a sponsorizat acte de sabotaj și atacuri în Europa. Kremlinul a respins acuzațiile. Totuși, câteva evenimente petrecute recent vin să sporească temerile occidentalilor.După cum transmite radiodifuzorul public irlandez RTE, oficialii din domeniul securității bănuiesc că serviciile de informații rusești s-au aflat în spatele unui complot pentru introducerea unor dispozitive incendiare în pachete pe avioanele cargo care se îndreptau spre America de Nord.Unul dintre ele a luat foc la un centru de curierat din Germania și altul s-a aprins într-un depozit din Anglia, anul trecut.Poliția anti-terorism din Marea Britanie a declarat în octombrie că investighează modul în care un colet a izbucnit în flăcări într-un depozit la începutul acestui an, după ce un caz similar din Germania a fost atribuit Rusiei.Citeste siȘefa diplomației UE acuză Rusia de sabotaj programat la adresa EuropeiÎn noiembrie, Lituania a efectuat arestări în cadrul unei anchete penale privind trimiterea de dispozitive incendiare pe avioane cu destinație occidentală.Potrivit presei poloneze și lituaniene, dispozitivele, inclusiv aparate de masaj electrice implantate cu o substanță inflamabilă, au fost trimise din Lituania în Marea Britanie în cursul lunii iulie și ar putea fi în spatele unui incendiu de camion produs în vecinătatea Varșoviei.Consilierul șef de securitate al președintelui lituanian a declarat că Moscova se află în spatele incidentelor.Politico amintește la rândul său că Moscova a mai fost acuzată că a sabotat infrastructura europeană de transport și a bruiat semnalele GPS în mai multe țări, ca parte a unei campanii de război hibrid a liderului rus Vladimir Putin împotriva continentului.În aprilie anul trecut, ministrul ceh al transporturilor, Martin Kupka, avertiza că Rusia a întreprins „mii de încercări” de a ataca liniile ferate europene de la începutul războiului pe scară largă împotriva Ucrainei. Purtătorul de cuvânt al Kremlinului, Dmitri Peskov, a numit acuzația „fără temei”.Mai recent, conducerea de la Baku a acuzat Rusia că a doborât neintenționat un avion de linie azer prăbușit în Kazahstan pe 25 decembrie, ucigând 38 de persoane.Președintele rus Vladimir Putin și-a cerut scuze omologului său din Azerbaidjan pentru ceea ce el a numit un „incident tragic” în urma accidentului, dar a refuzat să recunoască faptul că Moscova este responsabilă. Ascultați rubrica ”Eurocronica”, cu Ovidiu Nahoi, în fiecare zi, de luni până vineri, de la 8.45 și în reluare duminica, de la 15.00, numai la RFI România
LAS NOTICIAS: máxima tensión en Venezuela, Trump prepara una reunión con Putin y caos en CaliforniaMaría Corina Machado, tras su detención por agentes chavistas: "Estoy ahora en un lugar seguro". La líder opositora adelantó que a lo largo del viernes precisará cuáles fueron los acontecimientos que rodearon su captura y la publicación de un sospechoso vídeo por parte de dirigentes chavistas, comenta El Mundo. La comunidad internacional reaccionó muy rápido, en especial de Panamá. Sin embargo, la reacción más esperada, la de Donald Trump, con una respuesta muy revisado: "La activista por la democracia venezolana, María Corina Machado, y el presidente electo, Edmundo González -con quien no han tenido contacto-, están expresando el deseo de la ciudadanía de Venezuela con cientos de miles de personas manifestándose contra el régimen".El portavoz de Putin, Dmitri Peskov, ha afirmado que el presidente ruso está dispuesto a reunirse con Donald Trump sin condiciones. En su comparecencia diaria, Peskov ha señalado que Rusia acoge con satisfacción la intención de Trump de resolver los problemas a través del diálogo. Además, ha comentado que la administración de Joe Biden busca dejar un legado complicado para Trump, con la intención de imponer nuevas sanciones a Rusia y aumentar la ayuda a Ucrania antes de la salida de Biden de la Casa Blanca. Peskov ha reiterado que Rusia mantiene su posición sobre Ucrania y ha subrayado las diferencias en los enfoques de Occidente respecto a la asistencia a Kiev. Por último, ha subrayado que la posible reunión entre Putin y Trump dependerá de la voluntad política de Estados Unidos.La cifra de víctimas mortales en los incendios de Los Ángeles ha aumentado a 10. Los cinco incendios que se han extendido desde el martes han afectado a más de 10.000 edificaciones, incluyendo casas, negocios y colegios. Las autoridades han emitido órdenes de evacuación para más de 180.000 personas, quienes han abandonado la zona por el riesgo continuo. El presidente Joe Biden ha prometido ayuda para los afectados, mientras el expresidente Donald Trump ha acusado al gobernador de California de ser responsable de la situación.#noticiasdelamañana #noticias #venezuela #nicolasmaduro #mariacorinamachado #putin #trump #eeuu #rusia #california #incendios #geopolitica #negociostv #breakingnews Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
C dans l'air du 9 décembre - Chute de Bachar Al-Assad : l'onde de choc mondialeUne immense page se tourne au Moyen-Orient. Après cinquante ans de règne sans partage du clan Assad en Syrie, le régime est tombé. Bachar Al-Assad a pris la fuite et serait réfugié en Russie alors que dans la capitale on assiste depuis vingt-quatre heures à des scènes de liesse. Aux côtés des rebelles, le peuple syrien brandit désormais le drapeau aux trois étoiles, celui de la révolution débutée en 2011. Les lieux de pouvoir ont été pris d'assaut par la population. Dans plusieurs villes du pays, des bâtiments publics ont été incendiés et dans leur avancée les rebelles ont systématiquement ouvert les portes des prisons, à Hama, à Homs mais surtout celle de Saidnaya à proximité de Damas. Un établissement pénitentiaire qui a abrité des milliers d'opposants au régime, des hommes, des femmes et parfois des enfants, condamnés à subir des traitements inhumains, des viols, des humiliations, des privations et des exécutions. Selon l'ONG Amnesty International, entre 2011 et 2015 environ 30 000 détenus y sont morts. Des exactions du régime et la guerre depuis les années 2010 qui ont conduit plus de 6,5 millions de Syriens à l'exil. Plus de 5 millions s'étaient réfugiés dans les pays voisins, en Turquie et au Liban, et certains ont déjà pris la route du retour en Syrie. Mais comment expliquer l'accélération des évènements en Syrie ces quinze derniers jours et la chute du régime ? Qui sont les rebelles qui ont reversé Bachar Al-Assad ? Le tombeur du régime s'appelle Abou Mohammed Al-Joulani. Meneur du groupe armé Hayat Tahrir al-Sham (HTS), ex-branche d'Al-Qaïda en Syrie, il s'était fixé comme but de renverser le président Bachar al-Assad. L'air "confiant", "en plein jour et avec un dispositif de sécurité léger", il l'annonçait même à CNN vendredi dernier. Un objectif atteint dans la nuit du samedi à dimanche, quand les rebelles sont entrés dans la capitale pour proclamer "la ville de Damas libre" après quinze jours d'une offensive fulgurante dans le pays. Que sait-on de ce chef de guerre qui est parvenu à fédérer pour faire tomber la dictature en quelques jours ? Quelles sont les intentions de celui qui utilise désormais son vrai nom, Ahmed Al-Charaa, plutôt que son nom de guerre ? Depuis sa rupture avec Al-Qaïda en 2016, il tente de lisser son image et de présenter un visage plus modéré, sans forcément convaincre les analystes ou les chancelleries occidentales qui vont scruter ses agissements, alors que la manière dont la Syrie va être gouvernée demeure très incertaine.Hier Joe Biden a salué la chute de Bachar Al-Assad. "Il devra rendre des comptes" a affirmé le président américain, saluant un "acte de justice fondamental" après des décennies de répression, mais aussi un "moment de risque et d'incertitude" pour le Moyen-Orient. L'armée américaine dont 900 soldats sont toujours déployés en Syrie a fait savoir qu'elle avait bombardé des positions de Daech dans le centre du pays. D'autres frappes ont été menées contre des dépôts d'armes et des positions du régime par Israël où Benyamin Netanyahou a ordonné dimanche à l'armée israélienne de prendre le contrôle de la zone tampon du Golan, à la frontière avec la Syrie. "La Russie et l'Iran sont actuellement affaiblis, l'une à cause de l'Ukraine et d'une mauvaise économie, l'autre à cause d'Israël et de ses succès au combat", a analysé de son côté Donald Trump. Pas encore à la Maison-Blanche (il prendra ses fonctions le 20 janvier), mais déjà très actif sur le front diplomatique, le président élu a multiplié dimanche les publications sur sa plateforme Truth Social, à propos de la chute du régime syrien et de la guerre en Ukraine. Il a appelé Kiev et Moscou à un "cessez-le-feu immédiat", alors que Washington vient d'annoncer une nouvelle aide à l'Ukraine, assurant que le président ukrainien "aimerait conclure un accord", à la suite de sa rencontre impromptue à Paris samedi. "Nous voulons tous que cette guerre se finisse aussi tôt que possible et d'une manière juste", avait commenté pour sa part le président ukrainien, avant de mettre en garde : "Cette guerre ne peut pas se terminer simplement par un bout de papier et quelques signatures. Il faut garantir la fiabilité de la paix et ne pas fermer les yeux sur l'occupation" des territoires ukrainiens.La Russie, pour sa part, a demandé une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU pour ce lundi. Lors d'un point presse tenu ce lundi 9 décembre depuis Moscou, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a reconnu avoir été "surpris" par l'offensive éclair des rebelles en Syrie et a jugé "nécessaire" de discuter avec les futures autorités syriennes sur un éventuel maintien de la base navale russe à Tartous ainsi que d'un aérodrome militaire russe à Hmeimim.Les experts : - Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences à Sciences Po Paris, auteur de Les voies de la puissance, chez Odile Jacob- WASSIM NASR - Journaliste spécialiste des mouvements djihadistes à France 24Chercheur au Soufan Center de New York, auteur de L'État islamique, le fait accompli, publié chez Plon- Elsa VIDAL - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe de RFI, autrice de La fascination russe”, publié chez Robert Laffont- Ariane BONZON - Journaliste au Monde diplomatique et pour Slate.fr, ancienne correspondante à Jérusalem et Istanbul
El portavoz del Kremlin, Dmitri Peskov, declaró que la restricción de exportaciones de uranio enriquecido a EEUU es una medida de represalia, y no trata de perjudicar los intereses de Rusia. Mientras tanto, en un total estado de paranoia, Polonia lanza una hipótesis descabellada sobre la reciente llamada de Olaf Scholz a Vladímir Putin.
Donald Trump vuelve a ser el centro de atención de la política mundial, luego del triunfo holgado que consiguió este martes en las elecciones presidenciales de Estados Unidos. El político y empresario de 78 años volverá a la Casa Blanca luego de una campaña en la que fue blanco de dos intentos de asesinato, cuatro procesamientos en la justicia y una condena penal. En los días previos las encuestas de intención de voto mostraban una paridad extrema entre Trump y su rival del Partido Demócrata, la vicepresidenta Kamala Harris. Sin embargo, el candidato del Partido Republicano logró superarar cómodamente los 270 votos necesarios para su proclamación en el Congreso Elector y también se impuso de manera nítida en el voto popular: 51.0 % a 47.5% Además el Partido Republicano le arrebató el control del Senado a los demócratas y todo indica que mantendrá la mayoría que ya tenía en la cámara baja. En su primer mensaje, a las 4.30 hora de Uruguay, Trump prometía “sanar” al país. "Hemos conseguido el hecho político más increíble", afirmó Trump. "Es una victoria política que nuestro país no ha visto nunca y quiero dar gracias al pueblo americano. Voy a luchar todos los días por ustedes", expresó. Harris demoró en reconocer la derrota. Se mantuvo en silencio durante más de 12 horas. Finalmente llamó por teléfono a Trump para felicitarlo y después de las cinco de la tarde de Uruguay ofreció un discurso ante un grupo de sus seguidores en la Universidad Howard, en Washington DC. "Un principio fundamental de la democracia norteamericana es que cuando perdemos la elección aceptamos el resultado. Ese principio, distingue a la democracia de la monarquía y la tiranía. Y cualquiera que quiera la confianza pública lo debe reconocer. América es una nación en la que le debemos lealtad, no a un presidente o a un partido, sino a la constitución, al pueblo y a Dios. Quiero decir que si bien concedo el resultado no concedo que se ha terminado la lucha por los ideales que impulsaron esta campaña". En los proximos minutos vamos a analizar las causas y las consecuencias del resultado de las elecciones en Estados Unidos. Estamos en una nueva edición de La Mesa de Análisis Internacional. Nos acompañan los anfitriones habituales, Gustavo Calvo y Leo Harari… yy participa además desde Washington DC Alberto Maresca, Politólogo, máster en Diplomacia y Relaciones Internacionales, En el primer bloque proponemos analizar: ¿Por Qué ganó Trump? ¿Y por qué lo hizo de manera arrolladora? Por otro lado, ayer los gobernantes de varias potencias felicitaron al ex presidente por la confirmación de su regreso al poder. Los primeros saludos fueron de las autoridades de China, Francia e Israel. El portavoz de la Presidencia rusa, Dmitri Peskov, por su lado, dijo que prefiere juzgar al presidente electo por sus "acciones". Durante la campaña Trump ha dado algunas muestras de lo que será su política exterior. Por ejemplo, prometió resolver la guerra en Ucrania y los conflictos en Oriente Medio, aunque no dijo cómo lo haría. "En nuestro gobierno no tuvimos guerras. Derrotamos al Estado Islámico en tiempo record. Dijeron que yo iba a empezar una guerra. No voy a empezar una guerra. Voy a pararlas todas". Por otro lado, Trump se comprometió a volver a apartar a Estados Unidos del Acuerdo de París sobre cambio climático y anunció que habiltará perforaciones de petróleo "a raudales". A nivel comercial, adelantó que va a imponer aranceles para "traer de vuelta" a las industrias que se retirarron de su país. ¿Qué consecuencias puede tener el triunfo de Trump en el plano internacional? La Mesa de Análisis Internacional con Gustavo Calvo, Leonel Harari y Alberto Maresca.
El triunfo de Donald Trump en las elecciones de esta semana en Estados Unidos genera expectativa en todo el planeta. Ayer los gobernantes de varias potencias felicitaron al ex presidente por la confirmación de su regreso al poder. Los primeros saludos fueron de las autoridades de China, Francia e Israel. El portavoz de la Presidencia rusa, Dmitri Peskov, por su lado, dijo que prefiere juzgar al presidente electo por sus "acciones". Durante la campaña Trump ha dado algunas muestras de lo que será su política exterior. Por ejemplo, prometió resolver la guerra en Ucrania y los conflictos en Oriente Medio, aunque no dijo cómo lo haría. "En nuestro gobierno no tuvimos guerras. Derrotamos al Estado Islámico en tiempo record. Dijeron que yo iba a empezar una guerra. No voy a empezar una guerra. Voy a pararlas todas". Por otro lado, Trump se comprometió a volver a apartar a Estados Unidos del Acuerdo de París sobre cambio climático y anunció que habiltará perforaciones de petróleo "a raudales". A nivel comercial, adelantó que va a imponer aranceles para "traer de vuelta" a las industrias que se retirarron de su país. ¿Qué consecuencias puede tener el triunfo de Trump en el plano internacional? La Mesa Internacional con Gustavo Calvo, Leonel Harari y Alberto Maresca.
Rusia acoge la cumbre de los BRICS. En Kazan, representantes de unos 30 países abordan asuntos económicos y los criterios para nuevas adhesiones, entre otros temas. El Kremlin afirma que el encuentro demuestra que "Rusia no está aislada" y busca que esta alianza desafíe la "hegemonía" occidental. ¿Pueden los BRICS retar el poder del G7? Lo analizamos en El Debate. "Hoy el grupo BRICS une a países que son el 45 % de la población mundial. Otros 30 Estados han mostrado su interés en participar (en sus actividades)", aseguró el presidente de la cámara de diputados rusa, Viacheslav Volodin, en las vísperas del encuentro en Kazan.El Gobierno ruso confirmó que un total de 24 jefes de Estado y de Gobierno asistirán a la cumbre, entre ellos el chino Xi Jinping; el indio Narendra Modi; y el turco Recep Tayyip Erdogan. Además, participa el secretario general de la ONU, António Guterres.Leer tambiénPutin encabeza cumbre de los BRICS y desafía aislamiento económico de OccidenteSegún el Kremlin, el encuentro del que es visto como un bloque de contrapeso a las potencias occidentales es el "principal acontecimiento de la agenda mundial estos días" y demuestra que "Rusia no está aislada"."En el mundo contemporáneo es muy difícil aislar a un país, sobre todo, cuando se trata de uno como la Federación de Rusia", afirmó, por su parte, el portavoz de la presidencia rusa, Dmitri Peskov.Moscú ha subrayado que el grupo, integrado por Brasil, Rusia, la India, China y Sudáfrica más Egipto, Irán, Emiratos Árabes Unidos y Etiopía- no es ni busca ser una alternativa a la ONU, pero sí ha hecho comparaciones con el G7 -formado por Estados Unidos, Canadá, el Reino Unido, Francia, Italia, Alemania y Japón-.El presidente Vladimir Putin, de hecho, alardeó sobre el PIB conjunto del bloque, que supera los 60 billones de dólares, y agregó: "su participación en la economía mundial supera la del llamado G7 y continúa aumentando".Leer tambiénPutin busca la unidad en la cumbre de los BRICS para desafiar la "hegemonía" occidentalCon ese creciente peso, ¿pueden los BRICS desafiar el poder del G7? ¿Pueden proponer una estructura financiera internacional que rivalice con el FMI y el Banco Mundial? Estas son algunas de las preguntas que sobrevuelan la cumbre que se celebra en la ciudad rusa de Kazan con Putin como anfitrión. Para analizar el tema, participan en El Debate dos invitados.- Erick Behar-Villegas, profesor de economía del Tec de Monterrey y decano de Ciencias Económicas de la Universidad Internacional de Berlín.- Martín Granovsky, analista internacional e historiador, director del Núcleo de Estudios del Brasil de la Universidad Metropolitana para la Educación y el Trabajo.
Mircea Geoana surprinde cu o abordare neinspirata referitoare la avort. Candidatul la presedintie crede ca o intrerupere voluntara de sarcina trebuie sa fie ultima soluție în situații extrem de severe. Oana Marinescu, expert in comunicare, ne va explica de ce politicianul importa un discurs iliberal si cat il va costa asta in cursa pentru Palatul Cotroceni. Pentagonul avertizează cu privire la soldații nord-coreeni trimiși în RusiaDesi Phenianul a negat vehement, secretarul american al apărării, Lloyd Austin, a declarat că există dovezi că trupe nord-coreene se află în Rusia. Dacă intenţia lor este de a participa la acest război în numele Rusiei, este o problemă foarte, foarte gravă. Va avea impact, nu numai în Europa, apreciaza Pentagonul. Anterior, presedintele Zelenki vorbea de cel puțin 12.000 de soldați pe care regimul lui Kim Jong Un ii va pune la dispozitia Moscovei.De ce vrea Turcia în BRICSApartenența la NATO nu este un obstacol în calea aderării la BRICS, organizația din care fac parte Rusia, China și alte 7 țări, transmite purtătorul de cuvânt al Kremlinului, Dmitri Peskov. Turcia a depus o cerere în vederea acceptării sale în BRICS la începutul lunii septembrie, o premieră pentru o țară membră a Aliantei Nord Atlantice. Decriptam gestul Ankarei in 40 de minute.
C dans l'air l'invitée du 21 octobre avec Elsa Vidal, rédactrice en chef de la rédaction en langue russe à RFI.En Moldavie se tenait hier un référendum sur la volonté d'adhésion à l'Union européenne. Le "oui" l'emporte de très peu, après le dépouillement de 99 % des bulletins. Avec 50,39 % des voix, le résultat montre plus que jamais un pays partagé entre sa volonté de se rapprocher de l'Europe occidentale, et son désir de rester dans la sphère d'influence russe. Ce scrutin incertain jusqu'au bout a été marqué par de forts soupçons d'ingérence russe. Dans sa première réaction officielle, dans la nuit de dimanche à lundi, la présidente moldave avait dénoncé "une attaque sans précédent contre la démocratie" et promis de "ne pas plier", alors que le "non" était sur le point de l'emporter. "Des groupes criminels, agissant de concert avec des forces étrangères hostiles à nos intérêts nationaux, ont attaqué notre pays à coups de dizaines de millions d'euros, de mensonges et de propagande" pour "piéger notre pays dans l'incertitude et l'instabilité", avait-elle ajouté. Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a exigé des "preuves" concernant les "graves accusations" de la présidente pro-européenne, avant de dénoncer des "anomalies" dans le décompte des voix.Très vite dans la journée de lundi, la présidente du Parlement européen Roberta Metsola a félicité la Moldavie pour son "courage" après cette courte victoire du "oui". "Bravo la république de Moldavie ! Merci pour votre courage", a écrit Mme Metsola sur X, ajoutant que l'avenir de l'Union européenne et de la Moldavie "s'écriront ensemble". Reste à savoir comment la Russie réagira au rapprochement avec l'UE d'un pays qu'elle considère dans son giron.Elsa Vidal est rédactrice en chef de la rédaction en langue russe à RFI. Elle reviendra avec nous sur les particularités de ce pays de moins de 3 millions d'habitants, enclavé en Europe entre l'Ukraine et la Roumanie, l'un des plus pauvres d'Europe. Un pays qui comprend une région séparatiste, la Transnistrie, une République autoproclamée sous influence russe. Quelles pourraient être les conséquences de ce choix d'une adhésion à l'Union européenne ? La Moldavie pourrait-elle craindre un scénario à l'Ukrainienne ?
Un attacco hacker - definito "senza precedenti" - è stato registrato in Russia. "Il nostro patrimonio informativo statale, uno dei più grandi, ha dovuto affrontare un attacco alla sua infrastruttura digitale" ha precisato il portavoce del Cremlino, Dmitri Peskov, commentando la notizia dell'attacco contro l'emittente radiotelevisiva statale Vgtrk.
Le Kremlin a indiqué ce mardi 17 septembre la signature par Vladimir Poutine d'un décret portant le nombre de soldats à 1,5 million, près de 200.000 de plus qu'aujourd'hui. Une augmentation étroitement liée aux menaces visant ses frontières occidentales, en plein conflit armé contre l'Ukraine. Ainsi qu'à une "instabilité aux frontières orientales", évoque Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe. La Russie s'étant fortement rapprochée de la Chine et de la Corée du Nord afin de pallier la puissance américaine. En effet, avant l'attaque russe contre l'Ukraine, le nombre de soldats russes s'élevait à peine à un million. L'accroissement de ces deux dernières années ferait de l'armée du Kremlin la deuxième plus grande au monde après celle de la Chine, selon des médias russes.
Ngày 05/09/2024, tổng thống Nga cho biết ông sẵn sàng đàm phán hòa bình với Ukraina. Ba ngày sau, ngày 08/09, thủ tướng Đức Olaf Scholz, trong cuộc phỏng vấn dành cho kênh truyền hình ZDF, kêu gọi gia tăng các nỗ lực ngoại giao để sớm chấm dứt xung đột. Phải chăng thời điểm cho đàm phán hòa bình đã đến ? Thất bại thỏa thuận Istanbul : Lỗi ở phương Tây ?Tại một diễn đàn kinh tế với sự hiện diện của hai quan chức cao cấp Malaysia và Trung Quốc, tổng thống Nga Vladimir Putin tuyên bố để ngõ cánh cửa đàm phán với Ukraina « dựa trên các tài liệu đã được nhất trí và thực sự được ký tắt tại Istanbul », Thổ Nhĩ Kỳ, hồi mùa xuân 2022, vài tháng sau khi Nga phát động « chiến dịch quân sự đặc biệt » xâm lược Ukraina.Vào thời điểm đó, Kiev và Matxcơva được cho là đã gần đạt được một thỏa thuận, theo đó, Ukraina đồng ý cắt giảm quy mô quân đội, từ bỏ ý định tham gia Liên minh Bắc Đại Tây Dương – NATO nhưng được tự do theo đuổi tư cách ứng viên gia nhập Liên Hiệp Châu Âu.Cuộc đàm phán này cuối cùng đã thất bại mà theo cáo buộc của nguyên thủ Nga tại diễn đàn kinh tế, là do phương Tây thúc ép Ukraina bác bỏ thỏa thuận. Tổng thống Putin nêu đích danh thủ tướng Anh lúc đó là Boris Johnson, « đã đến Kiev và đưa ra chỉ thị cho Ukraina phải chiến đấu đến người lính cuối cùng. Và đó là những gì đang diễn ra với mục tiêu là có được thất bại chiến lược của Nga ». Những cáo buộc cho đến giờ Ukraina vẫn phủ nhận. Đọc thêm : Nga và Ukraina đã để vuột mất cơ hội đạt thỏa thuận hòa bình như thế nào ?Ngoài ra, tổng thống Nga còn gợi ý rằng ba nước Brazil, Ấn Độ, và Trung Quốc có thể làm trung gian cho các cuộc đàm phán mới để chấm dứt chiến tranh. Tuyên bố này của chủ nhân điện Kremlin làm dấy lên nhiều nghi vấn trong giới quan sát : Liệu mong muốn của ông Putin đàm phán chấm dứt chiến tranh có chân thành hay không ?Điều kiện ngặt nghèoĐây không phải là lần đầu tiên ông Vladimir Putin đề cập đến việc đàm phán với Ukraina. Vào cuối tháng 5/2024, trong chuyến thăm Belarus, tổng thống Nga để ngỏ khả năng đàm phán, nhưng phải dựa trên « tình hình thực tế » và trên cơ sở những điểm đã thống nhất trong những tuần đầu tiên của cuộc chiến, « chứ không phải trên cơ sở những gì một bên muốn », hàm ý nhắc đến bản kế hoạch hòa bình 10 điểm do tổng thống Ukraina Volodymyr Zelensky đề xuất.Sau đó, vào ngày 14/06/2024, phát biểu tại bộ Ngoại Giao Nga, tổng thống Vladimir Putin một lần nữa nhắc lại, Matxcơva sẵn sàng đàm phán một lệnh ngưng bắn nhưng với các điều kiện : Kiev phải từ bỏ ý định gia nhập NATO và rút hết quân ra khỏi bốn vùng đã bị sáp nhập vào Nga là Donetsk, Luhansk, Kherson và Zaporijia.Đó là những điều kiện mà bà Christine Dugoin-Clément, chuyên gia phân tích địa chính trị, nhà nghiên cứu Viện Rủi ro, đại học Paris-Sorbonne, trên đài RFI Pháp ngữ (09/09/2024) đánh giá là hoàn toàn bất lợi cho Ukraina.« Những gì mà người ta thường nghe, thường được đề cập đến là một công thức kiểu Istanbul mà ở đó, Nga có thể dễ dàng nói rằng họ luôn mở rộng cửa cho các cuộc đàm phán, giống như một sự đầu hàng với những điều khoản được cho là dễ chấp nhận. Trong khi những gì Ukraina đề nghị thì bị xem là không hợp lý và do vậy không thể là đối tượng cho cuộc thương lượng hay một cuộc họp từ phía Nga như ông Dmitri Peskov ( phát ngôn viên điện Kremlin ) đã nhiều lần nói đến. »Nga cũng không phải là bên duy nhất đề cập đến việc nối lại các cuộc thương lượng. Tổng thống Ukraina Volodymyr Zelensky trả lời giới truyền thông trong nước hồi trung tuần tháng 7 từng tuyên bố rằng « phái đoàn Nga có thể tham gia hội nghị hòa bình lần hai ».Ông Zelensky còn đề xuất dự án vì một « nền hòa bình công bằng », khi giữ lại ba điểm trong thông cáo cuối cùng của hội nghị hòa bình ở Thụy Sĩ : Trả tự do cho các tù nhân, tự do lưu thông ở Hắc Hải và an ninh năng lượng. Mong muốn này của ông một lần nữa được khẳng định trong cuộc phỏng vấn dành riêng cho truyền thông Pháp vào đầu tháng Tám.Xin nhắc lại là, trong hội nghị hòa bình thứ nhất do Ukraina tổ chức ở Thụy Sĩ vào trung tuần tháng Sáu, Nga không được mời dự, và Trung Quốc đã vắng mặt. Đọc thêm : Vắng các nước ‘‘phương Nam'' chủ chốt, Hội nghị hòa bình cho Ukraina khó đạt mục tiêuSự mệt mỏiTuy nhiên, những động thái này của nguyên thủ Nga, của tổng thống Ukraina và gần đây nhất là của thủ tướng Đức Olaf Scholz dường như phần nào phản ảnh tình hình khó khăn trên chiến trường của quân đội Ukraina.Đại tá Peer de Jong, phó chủ tịch Viện Themiis, trả lời nhà báo Vincent Roux, trong chuyên mục Quan Điểm của báo Le Figaro, ghi nhận tình trạng mệt mỏi chung từ nhiều tháng qua giữa các bên tham chiến.« Tôi nghĩ rằng không chỉ Nga, Ukraina mệt mỏi mà cả phía châu Âu nữa, bởi vì nước Đức, ngoài việc thúc đẩy Ukraina đàm phán với Nga, trong tuần rồi họ còn thông báo sẽ giảm một nửa nguồn đóng góp tài chính cho Ukraina. Rõ ràng có nhiều thông tin được đưa ra buộc các bên chủ chốt, đặc biệt là tổng thống Zelensky, phải nhận thấy thực tế là cần phải bắt đầu thảo luận. Do vậy, sự mệt mỏi của châu Âu, Nga, và Ukraina thực sự là một yếu tố tiềm năng cho đàm phán. »Nhưng phải chăng Ukraina đang lặp sai lầm từ cuộc phản công mùa xuân tháng 6/2023, khiến nhiều lữ đoàn đã bị tiêu diệt, khi tấn công vào vùng Kursk trên lãnh thổ Nga từ hôm 06/08/2024 ? Trang Responsible Statecraft, thuộc Viện Quincy, một cơ quan tư vấn độc lập tại Mỹ, nhận định chiến dịch này của Ukraina đã thất bại:« Ukraina không chiếm được một trung tâm dân cư hay nút giao thông quan trọng nào của Nga. Sự việc có thể làm ông Putin bối rối nhưng không làm lay chuyển được quyền lực của ông. Chúng có thể nâng cao tinh thần người dân Ukraina nói chung, nhưng theo tường thuật của phương Tây từ vùng miền đông, chiến dịch này không làm cho tinh thần quân đội Ukraina ở đó thêm hào hứng. »… và chiếc bẫy « Kursk »Mục tiêu chuyển hướng lực lượng địch, chủ yếu từ Pokrovks và Kurakhove, đã bất thành. Để thực hiện cuộc tấn công, Ukraina đã điều động từ ba đến bốn lữ đoàn – những đơn vị tinh nhuệ nhất – lên phía bắc, để lại ở chiến trường miền đông là những binh sĩ mới nhập ngũ, thiếu kinh nghiệm và thiếu cả động lực.Cũng trên chương trình Point de Vue của báo Le Figaro, đại tá Peer De Jong nói đến chiếc bẫy cho quân Ukraina:.« Nếu như họ không ở lại Nga, chỉ cần ở lại 10 ngày, điều mà người ta gọi là đánh nhanh, rút gọn, họ phá hủy mục tiêu và họ lui quân, thì đây là một chiến dịch tốt. Ở đây, họ tái hiện mô hình trận Bakhmuth, họ đào hào và tự chôn mình. Trên thực tế, đây là một chiến dịch trên bộ, nhưng vấn đề ở đây là Nga đang thúc đánh ở miền trung, 4 hay 5 lữ đoàn Ukraina hiện đang ở phía bắc trong khi miền trung thì thiếu quân.Điều này củng cố ý tưởng về một cuộc đàm phán bởi vì trên thực tế, điều chúng ta sẽ thấy là Nga làm ra vẻ đang đẩy mạnh tiến quân vào khu vực trung tâm Donetsk, họ đang tiến về phía tây nhưng thực tế không hẳn là vậy. Họ không thực hiện một nỗ lực lớn nào cả, rồi họ lặng lẽ rút đi, họ chỉ tiến hành một dạng hoạt động phòng thủ, họ để cho Ukraina đóng quân ở đó, có nghĩa là hiện nay, chiến dịch Kursk đã khiến hai, ba đến bốn tiểu đoàn bị kẹt lại ở phía bắc. (…) Nga rất tinh khôn, điều này mang đến cho ông Zelensky cơ hội để đàm phán một số điểm để đổi lấy vùng Donbass, vùng này sẽ bị bỏ rơi và ông Zelensky sẽ bỏ rơi Donbass. Ông Zelensky sẽ nói rằng, nghe đây, hãy để tôi rút đi, tôi sẽ để lại cho quý vị phần đất này. Một hình thức trao đổi lãnh thổ. » Đọc thêm : Tướng Ukraina tiết lộ chiến lược tấn công, chiếm đóng vùng Kursk của NgaĐàm phán: Bài học « Chiến tranh Việt Nam »Nhìn từ bản đồ, những vùng lãnh thổ mà Nga chiếm đóng giờ chạy dọc theo sườn đông của Ukraina kéo dài đến tận Biển Đen cùng với bán đảo Crimée. Matxcơva cũng đã thành công phần nào trong việc tạo được một sự liên tục giữa lãnh thổ Nga và các vùng chiếm đóng.Vậy phải chăng Nga đã đạt được mục tiêu chiến tranh ? Hiện tại việc ngăn chặn mọi cơ hội Ukraina gia nhập NATO vẫn chưa đạt được. Nhưng với sự trợ giúp quân sự từ các đồng minh thân thiết là Iran, Bắc Triều Tiên và nhất là Trung Quốc, quân đội Nga có thể gia tăng các chiến dịch oanh kích vào các mục tiêu dân sự, « khủng bố » tinh thần người dân và gây thêm nhiều bất lợi cho phía Ukraina vào lúc nguồn viện trợ từ phương Tây cũng bắt đầu suy giảm do những khó khăn về kinh tế, chính trị tại nhiều nước đồng minh của Kiev.Chiến tranh cũng có nguy cơ lan rộng vào lúc Mỹ và một số nước đồng minh xem xét cho phép Ukraina sử dụng vũ khí tầm xa do họ cung cấp để tấn công các mục tiêu quân sự nằm sâu trong lãnh thổ Nga.Nhưng khi cho rằng các bên có thể « bắt đầu nghĩ đến đàm phán », thì đàm phán có thể nhiều năm nữa mới bắt đầu và kéo dài nhiều năm, mà bài học chiến tranh Việt Nam là một ví dụ điển hình. Đại tá Peer De Jong nhắc lại, Hoa Kỳ đã mất gần như 7-8 năm trước khi thoát được khỏi « tổ ong vò vẽ » Việt Nam, bởi vì, « đàm phán kéo dài có lợi cho bên này và bên kia, và trong trường hợp này là có lợi cho Trung Quốc và Bắc Việt ».Chiến tranh khi nào kết thúc ? Câu hỏi này hiện khó thể trả lời. Một điều chắc chắn, như tựa đề một bài viết trên Foreign Affairs, đó là « Putin sẽ không bao giờ từ bỏ Ukraina » chừng nào cảm giác bất an cho an ninh của ông và chế độ Nga hiện nay chưa được xóa tan. Do vậy, phương Tây cũng không thể thay đổi được nước cờ của ông Putin, và họ chỉ có thể trông chờ ông ấy ra đi mà thôi !
Telegram se ha convertido en un arma de doble filo. El multimillonario nacido en Rusia Pavel Durov creó la aplicación de mensajería instantánea en 2013, prometiendo no utilizar la información de sus usuarios con fines comerciales y proteger su confidencialidad a través de la encriptación. Pero, varios países de Europa señalan a la 'app' y a su fundador de no limitar los contenidos de grupos donde promueven la violencia e incluso crímenes como pornografía infantil y tráfico de drogas. En esa línea, las autoridades francesas detuvieron en París a Durov. ¿Qué alcance tiene este caso? Lo analizamos en El Debate. "Seguro que las autoridades francesas saben exactamente lo que están haciendo", afirmó el jueves 29 de agosto la ministra de Exteriores letona, Baiba Braze, al comentar la situación de la 'app' de mensajería Telegram y lamentar "la falta de compromiso de su líder ante la falta de moderación en la plataforma".En la Unión Europea hay una creciente preocupación sobre Telegram, cuyo fundador, Pável Dúrov, de 39 años y nacido en Rusia, fue imputado esta semana por la Justicia francesa con cargos que van de blanqueamiento de crímenes a complicidad en la difusión de pornografía infantil.Durov, que también tiene la ciudadanía francesa, obtuvo su liberación bajo control policial y con una fianza de 5 millones de euros (unos 5,54 millones de dólares).Leer tambiénRelación entre Francia y Rusia, en su nivel "más bajo" tras detención del CEO de TelegramEl Kremlin ha apuntado a una posible motivación política y reafirmó que Durov sigue siendo un ciudadano ruso."Durov aún sigue siendo ciudadano ruso, y en cuanto a la obtención (por él) la ciudadanía francesa, aquí no sabemos nada, no es asunto nuestro", dijo el portavoz de la Presidencia rusa, Dmitri Peskov, el jueves, y agregó que el magnate "tiene todo lo necesario para organizar su defensa legal".El vocero además aprovechó para subrayar:"lo importante es que lo que está ocurriendo en Francia no se convierta en una persecución política".Directamente, el presidente de Francia, Emmanuel Macron, aseguró que la detención del CEO "no es en absoluto una decisión política"."Corresponde a los jueces decidir", expresó Macron en un mensaje en X, en el que reiteró que es el sistema judicial el encargado de hacer cumplir la ley "con toda independencia"."El presidente de Francia (Emmanuel Macron) ha negado toda vinculación política, pero, por otro lado, se presentan determinadas acusaciones", respondió Peskov.Leer tambiénFrancia sostiene que la detención del CEO de Telegram no tiene motivaciones políticas¿Este es un caso contra la libertad de expresión? ¿O Telegram tiene que asumir la responsabilidad de limitar los contenidos que compartan los usuarios a través de la aplicación? Para analizar el tema, nos acompañan dos invitados.- En los estudios de France 24, en Bogotá, Mauricio Jaramillo Marín, periodista de tecnología y director editorial de Impacto TIC.- En Madrid, Borja Adsuara Varela, abogado experto en derecho digital.
A 46 secondi dall’inizio del match, l'azzurra Angela Carini si ritira contro l'algerina Imane Khelif, esclusa dai Mondiali di boxe femminile del 2023 per gli elevati livelli di testosterone nel sangue. Ne parliamo con Silvia Camporesi, bioeticista, autrice di «Partire (s)vantaggiati. Corpi bionici e atleti geneticamente modificati nello sport» (Fandango).L'Ucraina ha ricevuto i primi F-16 dai partner Nato ma il portavoce di Putin, Dmitri Peskov, si affretta a dire che saranno distrutti e che non cambieranno le sorti del conflitto. Ma è veramente così? Lo chiediamo ad Alessandro Marrone, responsabile del programma "Difesa" di Iai, e a Eleonora Tafuro, analista Ispi.
LAS NOTICIAS: Rusia defiende a Orbán, ataque con misiles a una base de EEUU y Obama apoya a KamalaDurante un evento el viernes, Dmitri Peskov, el portavoz del Kremlin, ha afirmado que Viktor Orbán, el primer ministro de Hungría, ha sido percibido como un "alborotador" por la Unión Europea, aunque no ha expresado explícitamente su apoyo a Rusia. "Orbán ha declarado en múltiples ocasiones que no apoya a Rusia. Sin embargo, ha decidido: 'Escuchen, todos estamos hablando de encontrar una solución, comprendamos las posiciones de todas las partes'", ha comentado Peskov, justificando la visita de Orbán a Moscú, que ha sido criticada por varios funcionarios de la Unión Europea.La base aérea de Ain al-Asad en Irak, que alberga tropas estadounidenses, fue atacada con cohetes y un dron, según reportes de REUTERS citando a funcionarios de seguridad iraquíes. Cuatro cohetes impactaron en las cercanías de un puesto avanzado y, adicionalmente, se registró un ataque con un dron y tres cohetes cerca del perímetro de la base. No se reportaron heridos ni daños en la base, ya que los proyectiles no cayeron en el interior. El ataque se produce pocos días después de una cumbre entre funcionarios estadounidenses e iraquíes sobre la posible disolución de la coalición contra el Estado Islámico en Irak.Barack Obama ha brindado su apoyo a Kamala Harris en su candidatura presidencial por el Partido Demócrata, confirmando así que la vicepresidenta cuenta con el respaldo de las principales figuras políticas del partido. Aunque inicialmente se pensaba que Obama podría favorecer una contienda abierta en la convención nacional demócrata en Chicago el próximo mes, su respaldo llega después de que Harris recibiera el apoyo de Bill y Hillary Clinton, Nancy Pelosi, varios gobernadores estatales y destacados miembros del Congreso Demócrata, así como del propio Joe Biden.#noticiasdelamañana #noticias #rusia #orban #hungria #putin #europa #eeuu #ataques #obama #kamalaharris #eleccioneseeuu #negociostv #breakingnews Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
Retour vendredi 19 juillet sur la tragédie du vol Malaysia Airlines MH17 en Ukraine il y a 10 ans, quand 298 personnes avaient perdu la vie au-dessus de l'Ukraine. Les familles se sont réunies mercredi 17 juillet sur la stèle à la mémoire des victimes à l'aéroport d'Amsterdam. L'avion avait été abattu par un missile russe, mais durant une décennie, Moscou a alimenté les chaînes de TV et les réseaux de fausses informations afin de proposer une « vérité alternative » permettant de disculper la Russie. Les images sont encore dans toutes les mémoires. Les débris blancs rouges et bleus de l'avion de Malaysia dispersés dans un champ de tournesols dans l'est d'Ukraine. L'avion était tombé dans la région du Dombass frappé en plein vol par un missile sol-air « BUK », tiré depuis les zones séparatistes comme allait le prouver par la suite la commission d'enquête.Des images amateurs, postées quelques heures après la catastrophe. En novembre 2022, après un longue enquête, des juges néerlandais ont déclaré les Russes Igor Guirkine, Sergueï Doubinski et l'Ukrainien Leonid Khartchenko coupables de meurtres pour leur implication dans la destruction de l'avion civil. « Nous n'avons pas été impliqués dans l'enquête et notre attitude à l'égard de ces conclusions est donc bien connue » a répété mercredi Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. En 2014, il faut se souvenir que cette partie de l'Ukraine en guerre, était déjà très difficilement accessible aux médias occidentaux et aux enquêteurs à cause des combats. Cette tragédie, lointaine, au cœur de l'été 2014 a donc été principalement documentée sur les réseaux sociaux, mais avec une vision bien souvent biaisée et des commentaires venant alimenter une véritable usine à infox mise en place par la Russie.Un cas d'école de la désinformation russeLa stratégie de Moscou est désormais bien connue : tout d'abord nier l'évènement : en l'occurrence nier la destruction en plein vol de l'avion de ligne. À l'image de cette stratégie, les autorités russes avaient eu la même attitude lors du massacre de Boutcha en Ukraine en 2022. Ensuite, elles se sont employées à démentir toute implication dans la catastrophe, et enfin, elles ont cherché à accuser l'Ukraine et l'Occident en poussant des théories complotistes.Les spécialistes de la désinformation ont par exemple affirmé que tout avait été mis en scène par l'Ukraine. Ou encore que l'avion de la Malaysia Airlines avait été détruit par un chasseur ukrainien et pas par un missile russe, ou que l'appareil présidentiel de Vladimir Poutine avait été visé alors qu'il passait à proximité. Et que le drame s'expliquait par une méprise des forces armées ukrainiennes, donc que toute cette affaire n'était qu'une manipulation des ukrainiens ou de la CIA. Quelques exemples parmi tant d'autres.Dix ans après, ces théories ressortent sur les réseaux sociaux Ces théories mensongères ont été battues en brèches, par des experts aéronautiques, des « fact-checker », par la commission d'enquête, ceci étant, elles sont tenaces. Ainsi, on a vu réapparaître ces derniers jours une photo satellite truquée, censée montrer un chasseur ukrainien Sukhoi-27 tirant sur le Boeing.Ce montage avait été diffusé en 2014 par la télévision d'État Russe. Après vérifications, le Boeing n'appartient pas à la Malaysia, le type d'avion n'est pas le bon, le missile n'arrive pas du bon côté, le fond de scène a été trouvé sur la plateforme Google Earth. Il n'a pas fallu plus de 48 heures pour s'en rendre compte, mais dix ans après, cela circule toujours. Le service européen d'action extérieure, c'est-à-dire la diplomatie européenne, dans son programme de lutte contre la désinformation, a listé 481 cas d'infox relayés par la Russie sur l'affaire du MH17 depuis 2014.La naissance d'une communauté d'enquêteurs numériquesParallèlement à cette diffusion de fausses informations à grande échelle, on a assisté à l'émergence d'une communauté d'observateurs. Ces derniers ont donné de leur temps pour passer en revue des milliers de documents sonores, vidéos, photographies sur l'affaire du MH17 afin de contribuer à la manifestation de la vérité.L'enquête la plus fréquemment citée en exemple, est celle de Bellingcat un groupe de contributeurs spécialisé dans la recherche en sources ouvertes (open source intelligence en anglais ou OSINT). Dès la fin de l'année 2014, les enquêteurs avaient réussi à identifier les soldats en charge de la mise en œuvre de la batterie anti-aérienne, à localiser le site de tir et à récupérer une vidéo du véhicule lanceur avec un missile.Les enquêteurs internationaux ont conclu qu'il existait de « fortes indications » selon lesquelles le président russe Vladimir Poutine avait approuvé la fourniture du missile qui a abattu l'avion. Moscou a catégoriquement rejeté le verdict du tribunal de 2022, le qualifiant de « politique » et « scandaleux ». La Russie n'a jamais accepté d'extrader les responsables directs de l'attaque et la justice internationale. L'an dernier, les enquêteurs internationaux ont suspendu leurs investigations, estimant qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves pour poursuivre davantage de suspects.Avec Louis Champier.
Kremlinul a transmis, joi, că Rusia va considera orice plan de a stabili o prezenţă permanentă a navelor de război ale NATO în Marea Neagră drept o ameninţare, având în vedere implicarea alianţei în conflictul din Ucraina. "Kremlinul este cu ochii în special pe România şi Bulgaria", potrivit declarației purtătorului de cuvânt, Dmitri Peskov, potrivit Reuters.
LAS NOTICIAS: Rusia refuerza la seguridad de Putin, el milagro de Trump y más problemas para BidenEl vocero del Kremlin, Dmitri Peskov, ha anunciado a los periodistas que la seguridad del presidente ruso, Vladimir Putin, ha sido reforzada tras el incidente ocurrido en Estados Unidos, donde un hombre intentó abatir al expresidente Donald Trump. Según Peskov, esta decisión ha sido tomada independientemente de los eventos que se han desarrollado en el mundo occidental. "La seguridad del jefe de Estado ha sido garantizada al nivel adecuado, teniendo en cuenta la escalada de tensiones internacionales en general", detalló Peskov, quien reafirmó que Putin por el momento no ha tenido planes de comunicarse con Trump.La Convención republicana en los Estados Unidos ha comenzado, donde Donald Trump ha salido como candidato reforzado después de haber salido ileso del intento de asesinato del sábado en Pensilvania. En Milwaukee, se han reforzado los controles y las medidas de seguridad ante la llegada de decenas de miles de miembros del partido, preparándose para el destacado discurso del candidato el jueves. El presidente de los Estados Unidos, Joe Biden, ha expresado recientemente su preocupación por la normalización de la violencia. En sus declaraciones, ha resaltado la buena salud de Donald Trump después de un intento de agresión durante un mitin electoral. Biden ha hecho un llamado a la unidad para mitigar la violencia en una de las campañas más turbulentas de cara a las elecciones del 5 de noviembre. Además, ha anunciado que se ha llevado a cabo una investigación interna sobre el desempeño de los servicios secretos. Ha enfatizado la importancia de reducir la tensión y ha recordado que todos son vecinos y amigos.#noticiasdelamañana #noticias #rusia #putin #seguridad #trump #biden #eeuu #eleccioneseeuu #ejercito #atentado #geopolitica #negociostv #breakingnews Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
LAS NOTICIAS: Rusia amenaza a Reino Unido, Starmer permite usar misiles británicos e Israel avisaSir Keir Starmer ha expresado que la decisión sobre cómo emplear los misiles Storm Shadow proporcionados por el Reino Unido recae en Ucrania, insinuando la posibilidad de que sus fuerzas los utilicen contra objetivos en Rusia. El primer ministro británico afirmó que la ayuda brindada por Gran Bretaña está destinada "exclusivamente a fines defensivos", mientras que señaló que Kiev puede "determinar cómo usarla para esos fines defensivos", según informó a los periodistas en su camino hacia la cumbre de la OTAN en Washington. El líder del Partido Laborista añadió que los misiles de largo alcance deben ser utilizados "en conformidad con el derecho internacional humanitario, como es esperado".El Kremlin ha respondido con preocupación a las declaraciones del nuevo primer ministro británico, Keir Starmer, sobre el posible uso de misiles británicos por parte de Ucrania en un conflicto con Rusia. El portavoz del presidente ruso, Dmitri Peskov, ha calificado la postura de Starmer como "irresponsable" y ha advertido que podría llevar a una escalada grave en la región. Peskov ha afirmado que el Kremlin aún no ha revisado directamente las declaraciones, pero ha asegurado que se tomarán medidas adecuadas tras haber analizado la situación detenidamente. Starmer, por su parte, había mencionado que cualquier uso de armas británicas por Ucrania debería haber estado alineado con el derecho internacional humanitario y destinado exclusivamente a fines defensivos.Las Fuerzas de Defensa de Israel (FDI) han instado a todos los residentes de la ciudad de Gaza a evacuar Deir al-Balah en el sur, según han informado medios locales. Hasta ahora, los militares no han proporcionado más información sobre el alcance de la operación. Sin embargo, esta solicitud llega después de que la 99 División anunciara la continuación de las operaciones en la ciudad de Gaza durante la noche en la sede de la UNRWA, que, según las FDI, "ha sido utilizada por terroristas de Hamás y la Yihad Islámica Palestina para llevar a cabo ataques terroristas contra nuestras fuerzas en el centro de la Franja de Gaza".#noticiasdelamañana #lasnoticias #rusia #reinounido #guerra #misiles #ukrainewar #israel #fdi #ejercito #orientemedio #geopolitica #negociostv #breakingnews Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
LAS NOTICIAS: Rusia se desmarca del ataque al hospital infantil de Kiev, la OTAN avisa e Irán alertaEl Kremlin ha negado que el Ejército ruso estuviera golpeando infraestructuras civiles en Ucrania, después de un ataque que dejó decenas de víctimas en ese país el día anterior. Dmitri Peskov, portavoz de la Presidencia rusa, afirmó en una rueda de prensa que los ataques se habían efectuado contra instalaciones de infraestructura crítica y objetivos militares relacionados de alguna manera con el potencial militar del régimen de Kiev.El Secretario General de la OTAN, Jens Stoltenberg, ha condenado enérgicamente los recientes ataques con misiles perpetrados por Rusia contra Ucrania, incluyendo el impacto fatal en un hospital pediátrico que ha dejado al menos 41 víctimas mortales. Stoltenberg, junto al secretario de Defensa de EE.UU., Lloyd Austin, ha asegurado que en la cumbre que se ha iniciado hoy en Washington, los líderes aliados han decidido fortalecer su respaldo a Kiev frente a estos ataques.La fragata Sahand de la Armada iraní ha quedado completamente hundida en aguas poco profundas en el puerto de Bandar Abbas, ubicado en el sur del país. Este evento ocurrió después de que el barco fuera reposicionado brevemente el domingo pasado, siguiendo un vuelco inicial. Nournews, que está afiliada al Consejo Supremo de Seguridad Nacional, mencionó que el buque de guerra Sahand, tras haber sido reequilibrado con dificultades el lunes, finalmente ha quedado hundido cuando la cuerda que lo sujetaba se rompió.#noticiasdelamañana #noticas #rusia #ucrania #ataques #guerra #kiev #otan #nato #iran #orientemedio #geopolitica #negociostv #endirecto Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
Matxcơva theo dõi sát sao các diễn biến chính trị hiện nay tại Pháp. Thắng lợi của đảng cực hữu Tập Hợp Dân Tộc – Rassemblement National (RN) trong kỳ bầu cử Quốc Hội Pháp, diễn ra hai vòng ngày 30/6 và 7/7, sẽ là một tin tốt lành cho điện Kremlin. Dù vậy, giới phân tích Nga cũng nghi ngại rằng ít có khả năng có những thay đổi đường hướng triệt để của Pháp trong việc hậu thuẫn Ukraina. Kết quả bầu cử Nghị Viện Châu Âu tại Pháp với thắng lợi của đảng cực hữu Tập Hợp Dân Tộc (Rassemblement National – RN) và thông báo giải tán Quốc Hội của tổng thống Pháp Emmanuel Macron được truyền thông, giới phân tích và chính trị gia tại Nga bình luận nhiều trong những ngày qua.Bầu cử châu Âu: RN về đầu, Nga xoa tay vui mừngChủ tịch Quốc Hội Nga nói đến sự “phá sản chính trị” của tổng thống Macron và thủ tướng Đức Olaf Scholz. Bà chủ tịch Hội Đồng Liên Bang Nga thì cho đấy là dấu hiệu của một xu hướng “suy yếu tính chính đáng của những ai cắt đứt mối liên hệ với cử tri”.Tờ báo thân điện Kremlin, Komsomolskaia Pravda khẳng định, kể từ giờ ông Emmanuel Macron “không còn tính chính đáng” giống như đồng nhiệm Ukraina Volodymyr Zelensky, người mà nhiệm kỳ tổng thống đã kết thúc từ hôm 20/5. Cựu tổng thống Nga Dmitri Medvedev còn đi xa hơn khi viết trên mạng xã hội X rằng “Đã đến lúc từ chức! Đáng vứt vào thùng rác lịch sử!”Về phần điện Kremlin, không một lời bình luận về sự trỗi dậy của phe cực hữu tại Pháp cũng như thông báo tổ chức bầu cử sớm Quốc Hội khi xem đấy là “chuyện nội bộ ở Pháp”. Tuy nhiên, phát ngôn viên điện Kremlin, Dmitri Peskov tuyên bố Nga “cẩn trọng theo dõi mọi diễn biến do thái độ cực kỳ thiếu thân thiện, thậm chí thù địch, của các nhà lãnh đạo Pháp” đối với Nga.Cũng theo ông Peskov, điện Kremlin theo dõi sát sao “động thái của các đảng cánh hữu, hiện đang lan rộng” tại châu Âu và Pháp, những đảng mà “cùng với thời gian sẽ theo gót chân của các đảng ủng hộ châu Âu”.Theo giới quan sát tại Pháp, những phát biểu trên của phát ngôn viên điện Kremlin, dường như cho thấy Nga phần nào đã bị bất ngờ trước kết quả cuộc bầu cử, nhưng cũng không che giấu niềm hân hoan về cuộc khủng hoảng chính trị hiện nay ở Pháp.Bởi vì, trong nhãn quan giới chức Nga, tổng thống Pháp Emmanuel Macron, giờ bị coi như là ngọn lao chống Nga trong lòng khối Liên Hiệp Châu Âu, theo như nhận định của nhà nghiên cứu Igor Delanoë, phó giám đốc Đài Quan Sát Pháp – Nga với RFI Tiếng Việt.Igor Delanoë: “Rõ ràng là có một kiểu hài lòng, đó là vì ông Emmanuel Macron những tháng gần đây đã đưa ra nhiều quan điểm thật sự là gay gắt đối với Nga. Ông ấy đi từ ‘không nên làm bẽ mặt nước Nga' cho đến ‘không thể để cho Nga thắng', rồi ‘điều chuyên viên quân sự Pháp đến Ukraina'. Chỉ trong vòng hai năm mà lập trường Pháp đã thay đổi nhiều. Do vậy, lẽ đương nhiên là Kremlin cần theo dõi xem các cuộc bầu cử này sẽ diễn ra như thế nào, cuộc bầu cử lập pháp sẽ có tiến triển ra sao.”Nguy cơ RN cầm quyền: Hồi kết cho viện trợ Ukraina?Truyền thông Pháp, các cuộc tranh luận công khai là những đối tượng được Nga quan tâm đến nhiều nhất. Trên đài phát thanh France Culture, nhà báo Paul Gogo, thông tín viên cho nhiều kênh truyền thông Pháp ở Matxcơva nhận định, tại Nga, người ta xem các cuộc tranh luận công khai như là “một cuộc xung đột tiềm tàng”, “một chiếc gai trong gót chân ban lãnh đạo Pháp, một khe hỡ của các nền dân chủ cần được khai thác”.Rõ ràng, đà thắng thế của đảng cực hữu Tập Hợp Dân Tộc – RN ở Pháp là “một tin tốt lành” cho Nga. Ông Maxim Yusin, một cây bút bình luận của tờ báo Nga Kommersant FM, cho rằng, “trong tương lai gần, tổng thống Pháp sẽ không thể tập trung nhiều cho Ukraina cũng như không thể thiết lập một liên minh chống Nga, như ông ấy đã hoạt động tích cực trong nhiều tháng gần đây.”Đối với nhiều nhà phân tích tại Nga, giả thuyết đảng RN – một đảng chính trị có những đường lối chính sách gần gũi với Nga – lên cầm quyền có thể được xem như là hồi kết cho chính sách hậu thuẫn Ukraina. Bởi vì, đường lối chính trị của RN là bằng cách này hay cách khác, cuộc xung đột ở Ukraina phải được giải quyết và nước Pháp không thể lãng phí hàng tỷ euro tiền thuế của người dân để chi viện cho Kiev.Giới chuyên gia Nga nhận định rằng đường hướng chính trị của RN khác xa với chính sách của Macron. Theo học giả Nikolai Topornin, giám đốc trung tâm thông tin châu Âu, giáo sư thỉnh giảng Viện Quan hệ Quốc tế Nga, thân cận với điện Kremlin, được tờ Le Figaro trích dẫn, “Le Pen và Bardella, có ý tưởng đưa hai bên tham chiến đến bàn đàm phán hòa bình, và không cung cấp cho Ukraina các phương tiện chiến tranh lâu dài”.Trước khả năng xảy ra một cuộc “sống chung” chính trị tại Pháp, liệu rằng tương lai sự hậu thuẫn của Paris dành cho Kiev có thể trở nên mờ mịt như trông đợi từ Matxcơva hay không? Về điểm này, chuyên gia Igor Delanoë, giải thích thêm:Igor Delanoë: “Điều này khó đoán vì ở Pháp, hệ thống chính trị được thiết lập theo cách mà mọi thứ phụ thuộc vào việc chính sách đối ngoại và quốc phòng vẫn nằm trong tay tổng thống nước cộng hòa. Đây là những lĩnh vực mang tính đặc quyền và cụ thể hơn, khi nói về vấn đề Nga, ông Emmanuel Macron, trên thực tế đã tập trung, tuy không phải là tất cả các quyền lực, nhưng trong mọi trường hợp, là tất cả các cơ chế ra quyết định tại điện Elysée. Bộ Ngoại Giao, vốn có những quyền hạn rất ít về hồ sơ này cùng với bộ Quốc Phòng là những bên thực hiện các lệnh từ tổng thống.Vì thế, tôi nghĩ là sẽ không có sự thay đổi triệt để nào. Nhưng chúng ta có thể hình dung rằng ông Bardella, nếu trở thành thủ tướng, sẽ có thể tham gia vào đời sống chính trị theo kiểu của thủ tướng Ý Meloni hiện nay. Nghĩa là ông ấy sẽ không hẳn phá dỡ hay tìm cách tháo dỡ hết những gì đã được thực hiện trước đây trên phương diện chi viện cho Ukraina. Tôi không rõ là họ có mong muốn hay chí ít là sẽ có các phương tiện để thực hiện. Còn phải chờ xem thế cân bằng quyền lực trong Quốc Hội như thế nào. Nhưng có lẽ về cơ bản đảng RN sẽ giữ y nguyên những gì đã làm được cho đến hiện tại.”Cực hữu RN, cỗ máy tuyên truyền cho luận điệu NgaDẫu sao thì đối với tổng thống Nga, sự trỗi dậy của phe cực hữu tại Pháp và trong chừng mực nào đó là phe cực tả - đảng Nước Pháp Bất Khuất, những đảng chính trị có những đường lối chính sách gần gũi với Nga, có những mối liên hệ chặt chẽ với Nga đã là một “cơ hội ngoài mong đợi”.Theo nhận định từ nhà báo Paul Gogo, nếu về đầu cuộc bầu cử lập pháp lần này, đảng RN của bà Marine Le Pen sẽ đảm nhận nhiều vị trí quan trọng hơn trong Quốc Hội, và như vậy, điều này sẽ tiếp thêm nhiều sức cho điện Kremlin. Tổng thống Nga xem đảng RN tại Pháp như là một “cỗ máy” phát lại các tuyên truyền của điện Kremlin.Về điểm này, nhà nghiên cứu Igor Delanoe nhấn mạnh thêm rằng, đảng RN trong tương lai có thể sẽ đóng vai “kẻ thọc gậy” gây khó khăn cho các chính sách của Liên Âu, nhất là trong việc hỗ trợ Ukraina hiện nay.Igor Delanoë:: “Đối với những khoản viện trợ trong tương lai, đảng RN sẽ nỗ lực gây cản trở hoặc chí ít là dùng khoản viện trợ này để mặc cả việc thông qua viện trợ để đổi lấy những tiến bộ trên phương diện chính trị nội bộ chẳng hạn. Do vậy, tôi không nghĩ là trong tức thì sẽ có những thay đổi triệt để. Hơn nữa, tôi cũng không nghĩ rằng Nga tin sẽ có những thay đổi cơ bản tiến trình của mọi việc. Rõ ràng, trong bản đồ các nước hoài nghi tại châu Âu đối với việc hỗ trợ Ukraina như cung cấp vũ khí cho Kiev chẳng hạn, thì một chính phủ do đảng RN lãnh đạo sẽ làm gia tăng thêm hàng ngũ những nước hoài nghi đó.”Dù vậy, ông Igor Delanoë cảnh báo rằng, ngay cả những nước hoài nghi nhất như Hungary của thủ tướng Viktor Orban, dù ra sức cản trở mãnh liệt, nhưng cuối cùng cũng phải thuận theo ý của Ủy Ban Châu Âu. Cũng theo ông Delanoë, việc RN có lên cầm quyền sau kỳ bầu cử, đó chưa hẳn là một cuộc cách mạng đối với Nga.Đây cũng là quan điểm này của nhà chính trị học người Nga Nikolai Topornin, được Le Figaro trích dẫn, “các biện pháp trừng phạt do Mỹ và châu Âu áp đặt nhằm vào Nga là rất nghiêm khắc. Sự trỗi dậy duy nhất một chính phủ thân Nga hơn có lẽ sẽ chẳng làm thay đổi gì trong tình huống hiện nay. Emmanuel Macron vẫn sẽ là tổng thống và chính sách đối ngoại là nằm trong tay nguyên thủ quốc gia theo như Hiến Pháp. Rất ít có khả năng giọng điệu giữa Pháp và Nga sẽ được cải thiện trong tức thì. Nhưng ít ra chúng ta có thể hy vọng rằng mối quan hệ giữa hai nước sẽ không trở nên tồi tệ hơn”.Nhà chính trị học Alexei Chikhachev đưa ra kịch bản tồi tệ hơn, khi không loại trừ khả năng rằng, nếu lên cầm quyền, nhà lãnh đạo trẻ của RN sẽ nỗ lực “đưa ra các phát biểu hiếu chiến hơn với Matxcơva nhằm làm trong sạch mình”.RFI Tiếng Việt xin cảm ơn nhà nghiên cứu Igor Delanoë, phó giám đốc Đài Quan Sát Pháp – Nga đã tham gia chương trình.
durée : 00:10:19 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Ce lundi, au lendemain des élections européennes, Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, a déclaré suivre la montée des partis d'extrême-droite en Europe “avec attention”... - invités : Paul Gogo Journaliste à Moscou et auteur du livre Opération Spéciale, aux Éditions du Rocher, 2024
L'émission 28 Minutes du 08/06/2024 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po ; Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse "Blick" ; Stefan De Vries, correspondant aux Pays Bas pour "Les Échos", et le dessinateur de presse Pierre Kroll. Record du trafic aérien : où est le monde d'après Covid-19 ? Qu'en est-il du “monde d'après” imaginé au moment de la crise sanitaire de 2020 ? Alors qu'on pouvait espérer que les gens voyagent moins, évitent de prendre l'avion ou soient plus soucieux de la planète, on se dirigerait finalement vers un niveau historique de cinq milliards de passagers dans le monde d'ici la fin de l'année 2024. L'Association internationale du transport aérien prévoit que les compagnies dégageront un bénéfice net mondial de 30,5 milliards de dollars sur un chiffre d'affaires sans précédent de 996 milliards de dollars. Une croissance notamment tirée par l'Inde, désormais troisième marché de l'aviation civile derrière les États-Unis et la Chine qui table sur un trafic de 640 millions de passagers transportés en 2041. Les comportements peuvent-ils changer ?Avions, instructeurs : jusqu'où aller dans l'engagement en Ukraine ? Le président français accueillait hier à l'Élysée son homologue ukrainien Volodymyr Zelenksy pour discuter “des besoins de l'Ukraine” face à la Russie. Emmanuel Macron a annoncé la cession d'avions de combat français, les mirages 2000-5, à l'Ukraine. Par ailleurs des militaires français sont appelés à former une brigade de 4 500 ukrainiens sur le sol ukrainien, comme l'avait annoncé fin mai le commandant en chef de l'armée ukrainienne, Oleksandr Syrsky. De son côté, Le Kremlin n'a pas exclu que les forces russes puissent frapper les instructeurs français. “Aucun instructeur s'occupant de la formation des militaires ukrainiens n'a d'immunité”, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. “Peu importe qu'ils soient français ou non”. La France fait-elle un pas de plus vers la co-belligérance ? Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos très chers voisins européens : ce week-end, direction l'Allemagne qui s'apprête à accueillir le Championnat d'Europe de football, le 14 juin prochain. Mais à quelques jours du coup d'envoi, une question fait scandale dans le pays : "faut-il plus de joueurs blancs en sélection" ?Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision russe, où tous les moyens sont bons pour diffuser un discours antifrançais. Alors que les institutions sportives internationales ont mis la Russie sur le banc de touche, les faux documentaires pour discréditer les Jeux olympiques et l'organisation de la France s'intensifient… ainsi que les menaces de bombardement sur des villes françaises. Ce week-end, Olivier Boucreux décerne le titre d'employée de la semaine à Claudia Sheinbaum, la première maire de Mexico qui vient de devenir la première présidente du Mexique. Élue avec 60 % des voix, elle s'est engagée à poursuivre la politique sociale de son prédécesseur et mentor Andrés Manuel López Obrador, et à lutter contre les violences dans le pays, notamment envers les femmes.Près de l'Orénoque, un fleuve du Venezuela et de la Colombie, réside un serpent long de 46 mètres… Mais pas de panique, il s'agit d'un pétroglyphe : un dessin symbolique gravé dans la paroi rocheuse. Alix Van Pée nous parle de cette gravure rupestre mythique, qui cache une véritable ménagerie réalisée par des peuples amérindiens entre 700 et 1 000 ans après JC. Avez-vous déjà vu l'œuvre de Hayao Miyazaki version tapisserie ? Commencé en 2019, ce projet exceptionnel croise l'ancienne tradition des tentures narratives, une filière professionnelle vieille de six siècles, avec l'imagerie poétique et colorée du réalisateur japonais. Alice Bernadac, conservatrice à la Cité internationale de la Tapisserie d'Aubusson, dans la Creuse, nous fait découvrir la sixième tapisserie monumentale qui interprète en textile l'un des films emblématiques du Studio Ghibli : "Mon voisin Totoro".Enfin, ne manquez pas la Une hexagonale de la semaine et la question très intéressante de David Castello-Lopes. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 8 juin 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 07/06/2024 Ce vendredi, l'historien Pascal Blanchard, l'essayiste Julie Graziani, l'écrivain et philosophe Nathan Devers et la dessinatrice Coco reviennent sur l'actualité de la semaine. Ils seront rejoints par Kokopello qui viendra nous parler de sa nouvelle bande dessinée “La tour de Babel, voyage au cœur du grand bazar européen” publiée aux éditions Dargaud/Seuil. Alors que la guerre éclate en Ukraine, le dessinateur de presse s'est immergé pendant dix-huit mois dans les lieux de pouvoirs de l'Union européenne. Des couloirs des sommets européens aux sessions plénières du Parlement de Strasbourg jusqu'au quartier général de la Commission européenne, Kokopello a suivi les acteurs de l'UE pour mettre en lumière les défis qui les attendent, avec pédagogie et humour ! Retour sur deux actualités de la semaine : Élections européennes : scrutin européen ou enjeu national ? 49,5 millions d'électeurs français sont appelés à voter dimanche 9 juin pour élire 81 eurodéputés qui siègeront à Bruxelles et à Strasbourg. Le choix pourra se faire entre 38 listes, pour une élection à la proportionnelle intégrale à un seul tour. Celle-ci prendra la forme d'un véritable sondage avec la première photo électorale de la France depuis la présidentielle de 2022. Emmanuel Macron a pris la parole hier, en marge des commémorations du 6 juin 1944, et a appelé les Français à un sursaut pour éviter que l'extrême droite bloque l'Europe : quelles leçons devra tirer l'exécutif de cette élection ? Les JO dans le viseur de Poutine ? Des cercueils au pied de la tour Eiffel, de fausses alertes attentat sur les réseaux sociaux… l'ombre de la Russie plane de plus en plus à l'approche des Jeux olympiques de Paris. Selon un rapport de Microsoft, Moscou a augmenté l'ampleur de sa campagne de désinformation notamment pour faire monter les craintes d'actes violents durant l'événement sportif. De son côté, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov parle de “pure calomnie”, assurant que ces accusations “n'ont rien à voir avec la réalité”. Alors pourquoi la Russie a dans son viseur les JO ? Dans son duel de la semaine, Frédéric Says oppose Jordan Bardella au général Christian Rodriguez. “Je suis gendarme, le 9 juin, je vote Bardella !” : c'est le slogan d'une affiche de campagne du rassemblement national avec comme photo un gendarme, de dos, en uniforme et gilet pare-balles. De quoi provoquer la colère du directeur de la gendarmerie nationale, le général Christian Rodriguez, exprimée dimanche, sur le réseau social X. : “Vous semblez ignorer que le statut militaire interdit ce genre de message” qui est “inadmissible”. Sexisme, maladresse... Les réseaux sociaux se sont enflammés depuis que Gabriel Attal a fait irruption lors d'une interview pour prendre la parole à la place de Valérie Hayer, la tête de liste de la majorité aux européennes. C'est le Point com d'Alix Van Pée. Pour l'histoire de la semaine, Claude Askolovitch nous parle de deux frères ennemis, ou d'une lettre terrible que Winston Churchill n'a jamais envoyée à Charles De Gaulle et qui aurait pu briser sa carrière… Notre Une internationale est celle du quotidien espagnol “El Mundo” qui titre le 7 juin 2024 : “La bataille contre la tyrannie continue 80 ans après”. Pour les 80 ans du débarquement, un des anciens soldats américains, aujourd'hui en fauteuil roulant, a déclaré au président ukrainien Volodymyr Zelensky : “Vous êtes le sauveur des gens !”Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubistes et la Dérive des continents de Benoît Forgeard ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 07 juin 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
C dans l'air du 4 juin - Cercueils, frappes... Poutine menace la France Depuis que plusieurs alliés occidentaux de l'Ukraine, dont la France et les États-Unis, ont donné leur accord pour que Kiev puisse utiliser leurs armes afin de frapper des cibles militaires sur le sol russe, la tension est montée de plusieurs crans. Hier le vice-ministre des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a tenu à "mettre en garde les responsables américains contre des erreurs de calcul qui pourraient avoir des conséquences fatales". Et ce mardi le porte-parole Kremlin n'a pas exclu que les forces russes puissent frapper les instructeurs français, dont l'envoi est actuellement en discussion entre Paris et Kiev. "Aucun instructeur s'occupant de la formation des militaires ukrainiens n'a d'immunité" face aux frappes, a déclaré à la presse Dmitri Peskov. "Peu importe qu'ils soient Français ou non", a-t-il ajouté. La semaine dernière, le commandant en chef de l'armée ukrainienne, Oleksandre Syrsky, avait indiqué que la France allait envoyer "prochainement" des instructeurs afin de former les troupes de ce pays qui fait face à une offensive russe depuis février 2022. Le ministère ukrainien de la Défense avait cependant précisé peu après que l'envoi d'instructeurs était "toujours en discussion" avec la France et d'autres pays. Officiellement, la France ne dispose pas de militaires assistant ou formant les forces ukrainiennes en Ukraine. Le président de la République Emmanuel Macron a évoqué à plusieurs reprises la possibilité d'envoyer ces instructeurs pour aider Kiev, suscitant la controverse parmi ses alliés ainsi que la colère de la Russie qui multiplie les ingérences et les campagnes de de déstabilisation à l'approche des élections européennes et des JO de Paris. Faux documentaire gonflé à l'intelligence artificielle pour imiter la voix de l'acteur américain Tom Cruise, communiqués et articles factices, fake news… Selon le centre d'analyse des menaces du géant américain Microsoft, la Russie a augmenté l'ampleur de sa campagne de désinformation sur les réseaux, visant à diffamer la France, son président, ainsi que le Comité international olympique (CIO), mais aussi faire craindre une « explosion de violence » dans le pays, selon un communiqué posté dimanche. Pour ce faire, des groupes d'influence russe ont notamment mis en ligne des vidéos trompeuses. L'une d'entre elles se fait passer pour du contenu produit par la chaîne d'information France 24 et assure que 24 % des billets vendus ont été restitués par crainte d'un attentat durant les Jeux, ce qui est faux. Une autre prétendument diffusée par le média Euro News, parle de Parisiens qui "souscrivent une assurance immobilière en prévision du terrorisme lors des Jeux". Parallèlement à ces infox, samedi cinq cercueils ont été découverts au pied de la tour Eiffel, remplis de plâtre et recouverts d'un drapeau français, avec la mention "soldats français de l'Ukraine". Les soupçons se portent une fois encore sur la Russie. Les tentatives d'ingérences étrangères prennent des formes de plus en plus hybrides, comme l'explique la délégation parlementaire du renseignement, qui s'inquiète de la vulnérabilité de la France dans son rapport annuel publié en novembre 2023. "Le niveau de menaces d'ingérences étrangères se situe à un stade élevé, dans un contexte international tendu et décomplexé", soulignent les membres. Dans ce contexte, les questions de défense reviennent au premier plan dans le débat. Hier sur le plateau de C dans l'air l'invité, François Lecointre, ancien chef d'état-major des armées, a rappelé "la nécessité de se préparer à un affrontement plus direct sur le sol européen". Nos équipes se sont rendues sur le Charles-de-Gaulle, le fleuron de la marine française, qui multiplie les exercices depuis plusieurs semaines dans un contexte international tendu, sur fond de guerre en Ukraine mais dans la bande de Gaza. "Il est temps que la guerre s'arrête" a estimé Joe Biden vendredi dernier après avoir présenté un plan, en trois phases, chacune d'une quarantaine de jours, pour mettre fin au conflit à Gaza. Les experts : - Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de Ce qui nous attend - Guillaume LAGANE - Maître de conférences à Sciences Po, spécialiste des questions de défense et de relations internationales - Paul GOGO - Journaliste – Ex-Correspondant à Moscou - Alexandra SAVIANA - Journaliste- L'Express, auteur de Les scénarios noirs de l'armée française
Alemania autorizó hoy a Ucrania a utilizar las armas suministradas por ese país contra objetivos militares en territorio de Rusia para defenderse de los ataques lanzados en particular en la región de Járkov. Ante los bombardeos rusos contra esa región desde "posiciones situadas en la zona fronteriza rusa inmediatamente adyacente", Ucrania "tiene el derecho, garantizado por la legislación internacional, de defenderse contra estos ataques. Para ello, también puede utilizar las armas suministradas a este efecto (...) incluidas las que nosotros hemos entregado", declaró en un comunicado el portavoz Steffen Hebestreit. Por su parte, el presidente Joe Biden levantó ayer las restricciones impuestas a Ucrania para que utilice armas suministradas por Estados Unidos contra objetivos en territorio ruso, pero solo para defender la región de Járkov, que se encuentra bajo asedio. De esta forma, Ucrania podrá emplear misiles y lanzamisiles estadounidenses contra tropas y artillería rusas desplegadas al otro lado de la frontera de Járkov, y contra aviones rusos que lanzan bombas hacia esa zona desde dentro del territorio ruso. Funcionarios de la Casa Blanca confirmaron la noticia a medios estadounidenses y puntualizaron que, de todos modos, se mantiene la prohibición de que Ucrania use misiles balísticos tácticos o realice ataques de largo alcance dentro de Rusia. Con esta decisión, la administración Biden accedió a la solicitud del gobierno ucraniano, que lleva semanas pidiendo a Washington que haga un cambio de política, especialmente desde que comenzó la ofensiva rusa contra Járkov este mes. En las últimas semanas, más de una decena de países le dieron permisos similares a Ucrania -e incluso más amplios- para que pueda enfrentar con más eficacia la invasión rusa. Rusia acusó a los miembros de la OTAN de aumentar la presión, al permitir que Ucrania utilice armamento occidental contra objetivos en territorio ruso. El Kremlin advirtió que esto “inevitablemente tendrá consecuencias y causará un gran daño” a los intereses de aquellos países que tomaron la decisión. "Los países miembros de la OTAN (...) están dando una nueva vuelta de tuerca a la escalada de tensiones, y lo están haciendo en forma deliberada", dijo el portavoz de la presidencia rusa, Dmitri Peskov. La Tertulia de los Viernes con Mariana Blengio, Marcia Collazo, Juan Grompone y Gonzalo Pérez del Castillo.
La Unión Europea utilizará los beneficios de los activos rusos congelados, que pertenecen a Rusia, para comprar y enviar armas a Ucrania. El portavoz del Kremlin, Dmitri Peskov, calificó la medida como una expropiación, mientras la Representación Permanente de Rusia ante el bloque comunitario afirmó que Europa deberá devolver "lo que ha robado".
Andrei Beloúsov toma las riendas del Ministerio de Defensa. Al respecto, el portavoz del Kremlin, Dmitri Peskov, explicó su designación en la necesidad de adecuar el sector de defensa a la economía del país. Añadió que "no se trata de cualquier civil", al subrayar su trayectoria eficaz.
Purtătorul de cuvânt al Kremlinului, Dmitri Peskov, a descris comentariile recente ale preşedintelui francez Emmanuel Macron despre o posibilă intervenţie a Franţei în Ucraina ca făcând parte dintr-o "tendinţă foarte periculoasă", relatează Reuters citată de Agerpres.
En raison du durcissement des sanctions occidentales, la Russie est à la peine pour encaisser les revenus du pétrole qui financent sa guerre contre l'Ukraine. L'étau se resserre-t-il enfin autour de la machine à cash de l'économie russe ? Plusieurs signaux l'indiquent : le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, a reconnu que les paiements prenaient du retard à cause des sanctions dites secondaires. Il évoque les menaces de rétorsion proférées fin décembre par le Trésor américain contre les banques qui ne respecteraient pas scrupuleusement les sanctions.Un message reçu cinq sur cinq en Chine, aux Émirats arabes unis ou en Turquie. Dans ces pays amis de la Russie, plusieurs banques ont suspendu un certain nombre de comptes russes. Celles qui acceptent encore de travailler avec des intermédiaires russes redoublent de prudence et mettent donc plus de temps, des semaines, voire des mois, pour décaisser les paiements des transactions avec Moscou.Les importations indiennes de brut russe en reculDeuxième tour de vis en Inde : les raffineurs ont banni la plus grande société russe de transport de brut. La Sovcomflot a été interdite par Reliance, le plus grand raffineur privé, puis par l'ensemble de ses concurrents publics ou privés. La société transportait environ 15% du brut russe destiné à l'Inde. L'Inde qui est devenu le deuxième importateur de l'origine Oural, après la Chine, depuis la mise en place des sanctions, est en train de diversifier son approvisionnement. Ses importations russes ont baissé en volume depuis décembre et ont été compensées par des achats de brut irakien. Dans les prochaines semaines, l'Inde attend aussi une importante cargaison de brut américain.À écouter aussiMalgré les sanctions, le pétrole russe trouve preneur en AsieL'étau se resserre, les revenus pétroliers de la Russie sont en baisse, mais pas assez pour remettre en cause le financement de la guerre du Kremlin. La guérilla juridico-commerciale contre le pétrole russe ayant donné des résultats jusqu'ici assez mitigés, l'Ukraine est passée en janvier à l'action militaire. Elle a sérieusement endommagé des raffineries russes avec ses tirs de drones mais en a immédiatement payé le prix. Les tirs de représailles de l'armée russe ont détruit environ 20% de ses capacités électriques.Le cours du pétrole déterminant dans cette guerreLa guerre de l'énergie ne fait que des perdants, sur le champ de bataille comme dans l'économie. Au-delà des dommages et des pertes humaines endurées par l'Ukraine, et par la Russie, l'Occident craint par-dessus tout que la destruction des infrastructures pétrolières stratégiques de la Russie ne fasse flamber les cours. Ce serait une nouvelle punition pour l'économie occidentale, surtout pour l'Europe déjà affaiblie par la hausse du gaz.Pour mettre à genoux la Russie, il faudrait surtout favoriser la chute des cours, recommande Andriy Yermak, conseiller de Volodymyr Zelensky. Dans une tribune publiée le 27 mars par le Wall Street Journal, il rappelle que la descente aux enfers du marché pétrolier de 1986 – quand le baril ne valait plus que dix dollars – a précipité l'effondrement de l'Union soviétique. Aujourd'hui, le baril est à 85 dollars, un niveau confortable pour la machine de guerre du Kremlin.À lire aussiComment expliquer l'étonnante résilience de l'économie russe?
LAS NOTICIAS | Rusia quiere llegar hasta Kiev, Biden insulta gravemente a Putin y ataque en Mar RojoSegún una declaración del ex presidente ruso Dmitry Medvedev es factible que las fuerzas rusas deban desplazarse hacia Kiev, la capital de Ucrania, como parte de lo que Moscú describe como una "operación militar especial". Además, Medvedev ha afirmado que rusos y ucranianos forman una sola nación y que el gobierno ucraniano, al que Moscú se refiere como el "régimen de Kiev", "debe caer".Por otro lado, el Kremlin ha criticado al presidente de Estados Unidos, Joe Biden, por su expresión hacia el líder ruso, Vladímir Putin, comparando su comportamiento con el de un vaquero de Hollywood. El portavoz presidencial ruso, Dmitri Peskov, ha mencionado ante este hecho, que el uso de dicho lenguaje por parte del presidente estadounidense debería avergonzarlo, y ha sugerido que Biden está adoptando este comportamiento por motivos políticos internos.Así mismo, EEUU ha llevado a cabo cuatro "ataques en defensa propia" y ha neutralizado siete misiles antibuque, junto con otro equipo militar, en áreas controladas por los rebeldes hutíes en Yemen, que estaban preparados para ser lanzados hacia el Mar Rojo. El comunicado detalla que las fuerzas del Centcom realizaron cuatro ataques en defensa propia contra siete misiles de crucero antibuque móviles hutíes y un lanzador de misiles balísticos antibuque móviles que estaban listos para ser lanzados hacia el Mar Rojo. #noticiasdelamañana #noticias #rusia #kiev #ukrainewar #ucrania #biden #eeuu #putin #zelensky #marrojo #yemen #huties #geopolitica #negociostv Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
C dans l'air du 20 février - La veuve, la mère, la fille... Les Navalny au combat Elle a décidé de reprendre le flambeau. Après la mort de l'opposant russe Alexeï Navalny, sa veuve, Ioulia Navalnaïa a promis lundi de poursuivre le combat contre le maître du Kremlin. "Poutine a tué mon mari, le père de mes enfants. Et avec lui, il a voulu tuer notre espoir, notre liberté, notre futur. Je poursuivrai l'œuvre d'Alexeï Navalny. Je continuerai pour notre pays, avec vous. Et je vous appelle tous à vous tenir près de moi (…) "Ce n'est pas une honte de faire peu, c'est une honte de ne rien faire, de se laisser effrayer" a-t-elle déclaré dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux quelques heures avant de s'adresser lundi aux ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne (UE) à Bruxelles. "N'oubliez jamais que la Russie n'est pas Poutine et que Poutine n'est pas la Russie", a-t-elle alors lancé aux ministres européens, les exhortant à “faire davantage pour cibler” le président russe et ses alliés. Un rôle nouveau pour cette femme charismatique, économiste de formation qui a toujours fait front avec son mari depuis qu'il est devenu une figure de l'opposition très médiatisée, dès 2007, mais a toujours préféré rester derrière lui. Jusqu'ici elle avait toujours repoussé tous les appels à se lancer en politique mais depuis la mort de celui dont Vladimir Poutine ne prononce jamais le nom, elle a décidé de faire un pas en avant pour adresser un signal d'espoir à une opposition orpheline de sa figure la plus charismatique. Et les autorités russes l'ont bien compris. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov a ainsi rejeté mardi les accusations "grossières et infondées" de la veuve d'Alexeï Navalny alors que sur les réseaux sociaux elle est visée par de nombreuses infox pour la discréditer. Alors qui est Ioulia Navalnaïa ? Peut-elle rallumer le feu d'une opposition qui peine à exister en Russie ? Quelles sont les autres figures de l'opposition russe ? Si nombre d'entre elles sont actuellement emprisonnées ou ont dû prendre le chemin de l'exil comme la journaliste Marina Ovsiannikova, connue pour avoir brandi en direct à la télévision une pancarte "No War", en Russie des femmes osent également encore défier Vladimir Poutine et notamment des mères. Ainsi la mère d'Alexeï Navalny a appelé ce mardi 20 février le maître du Kremlin à lui remettre "sans délai" le corps de l'opposant russe afin de "pouvoir l'enterrer de façon humaine". Mais elle n'est pas la seule. D'autres réclament depuis de longs mois le retour du front ukrainien de leurs maris, de leurs fils, de leurs frères et contrarient par leurs actions hebdomadaires les autorités russes qui ont bien en tête le mouvement des mères de soldats qui s'est avéré crucial lors de la guerre en Tchétchénie. Des femmes qui auprès de Vladimir Poutine jouent également un rôle très important. Depuis une vingtaine d'années, le maître du Kremlin, très discret sur sa vie personnelle, entretiendrait une relation discrète avec l'ex-gymnaste rythmique Alina Kabaeva, même si tous deux le nient. Un temps résidente suisse, elle est depuis devenue députée, puis dirigeante d'un grand groupe de médias privés. Elle est aujourd'hui l'une des femmes les plus puissantes de Russie tout comme les filles de Vladimir Poutine et son ex-femme (et leur mère) Lyudmila Putina. LES EXPERTS : - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV et France Inter, spécialiste des questions internationales - ISABELLE LASSERRE - Ancienne correspondante en Russie, correspondante diplomatique - Le Figaro - MARIE MENDRAS - Politologue au CNRS, spécialiste de la Russie, auteure de La guerre permanente - Luc LACROIX - Journaliste – France Télévisions, ancien correspondant à Moscou
NOTICIAS DEL DÍA | Rusia avanza en Járkov, OTAN alerta sobre una guerra total y Milei y los BRICSEl Ejército ruso logró avances durante la última semana en diversos tramos del sector de Kúpiansk, en la región ucraniana de Járkov, en el este del país, donde habría rechazado 25 ataques de las fuerzas ucranianas, informó hoy el Ministerio de Defensa de Rusia en su parte de guerra semanal. "En el sector de Kúpiansk las unidades del grupo Zapad (Occidente) continuaron mejorando sus posiciones en algunos tramos del frente", señaló la dependencia castrense. Según Defensa, las fuerzas rusas repelieron en los últimos siete días 25 ataques de cuatro brigadas motorizadas, de asalto y defensa territorial en las localidades de Sinkivka, Peschane y Tabaivka. En ese sector del frente, señaló el mando ruso, las fuerzas ucranianas perdieron 560 efectivos, diez tanques, 8 blindados, 26 automóviles y 8 piezas de artillería.Vladimir Putin podría declarar la guerra a la OTAN en menos de una década, advirtió el ministro de Defensa de Alemania.Boris Pistorius hizo los comentarios a Der Tagesspiegel, un periódico alemán, después de que un alto funcionario de la OTAN advirtiera sobre una guerra total con Rusia que estallaría dentro de 20 años. "Escuchamos amenazas del Kremlin casi todos los días... así que tenemos que tener en cuenta que Vladimir Putin podría incluso atacar un país de la OTAN algún día", dijo Pistorius.Aunque no es probable que se produzca un ataque ruso “por ahora”, añadió: “Nuestros expertos esperan un período de cinco a ocho años en el que esto podría ser posible”.El Kremlin expresó su esperanza de que el Gobierno de Javier Milei cambie de opinión en el futuro acerca del ingreso de su país en el Grupo BRICS, fundado por Brasil, Rusia, India, China y Sudáfrica.“Esperamos que con el tiempo las autoridades de ese país consideren más ventajoso para ellos sumarse a BRICS”, dijo el portavoz de la Presidencia rusa, Dmitri Peskov, en su rueda de prensa telefónica diaria. Peskov aseguró que el Kremlin “lamenta” la decisión de Buenos Aires de no unirse al bloque ahora, pero la “respeta”.“Los argentinos eligieron a sus dirigentes, y sus dirigentes consideraron inapropiado que ahora participen en el formato (BRICS), pero la lista de los que desean adherirse a los BRICS es bastante grande y eso nos agrada”, agregó. El ministro de Exteriores ruso, Serguéi Lavrov, también calificó de una decisión “soberana” el rechazo argentino.#rusia #jarkov #ucrania #guerra #war #putin #otan #zelensky #milei #argentina #brics #petroleo #geopolitica #negociostv #noticiasenespañol Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
En Russie, la présidentielle va se tenir mi-mars, et Vladimir Poutine devrait se déclarer candidat à un 5ᵉ mandat d'ici à quelques jours. Le résultat du scrutin, de l'aveu même du Kremlin, ne soulève pas de doute. Mais le pouvoir tient à garder les apparences d'une compétition et va sélectionner des candidats autorisés à se présenter. Faut-il jouer le jeu et saisir une occasion de s'exprimer, au risque de légitimer un pouvoir qui empile à vitesse accélérée les lois répressives ? Le débat est particulièrement aigu cette année. De notre correspondante à Moscou,Tous les derniers jeudis soir du mois, ils peuvent se retrouver ici, dans les locaux moscovites du parti libéral Iabloko. Habitués depuis presque un an ou tout nouveaux, ils sont plusieurs dizaines dans une grande salle, assis par groupes à de grandes tables. Studieux souvent, bavards parfois, ils écrivent sur papier libre ou, plus souvent, au dos d'une carte postale à un prisonnier politique. Petites lunettes sur le nez, Elena Viktorovna participe à sa deuxième séance.« Je suis retraitée, j'ai 70 ans. J'écris à l'artiste Sasha Skochilenko, qui est persécutée pour ses positions anti-guerre. Et de mon côté, je pense que ce qu'il se passe dans notre État est inacceptable, cette opération spéciale, puisqu'il faut l'appeler comme ça. Tous les gens à qui nous écrivons sont emprisonnés, justement pour leur désaccord avec cette politique de l'État, et avec ce qu'il se passe ». L'émotion passe sur son visage et elle ajoute : « Ma cousine vit à Odessa. Je commence chacune de mes journées, absolument chacune, avec les informations sur ce qu'il se passe là-bas ; et mes sentiments sont sans aucune ambiguïté. » Ces Moscovites anti-guerre, ils sont loin d'avoir tous vu dans l'entrée des locaux, pour la première fois, des affiches du potentiel candidat du parti à la présidentielle, Grigori Iavlinski. Le congrès de Iabloko doit se prononcer ce week-end. L'issue pour les observateurs semble déjà scellée : les médias russes avaient déjà fait état il y a quelques semaines d'une rencontre de ce candidat avec Vladimir Poutine.« Sur le principe, pour moi, ça ne rendra pas les choses pires qu'elles ne le sont déjà. Après, le pouvoir a les moyens d'obtenir le résultat qui lui convient », observe avec détachement Alexander, 40 ans. Ce cadre dans les ressources humaines ne manque aucune séance depuis le début. Il en est à sa 11ᵉ soirée et dit « suivre le sujet des prisonniers politiques depuis longtemps », plus exactement après les manifestations contestant le retour au pouvoir de Vladimir Poutine à l'hiver 2011-2012. « Une parente allait aux procès des manifestants, et elle transcrivait les échanges. Elle n'avait pas assez de temps pour le faire, alors elle m'avait demandé de l'aider. »Aucun changement à l'issue de l'élection« Au début, ces soirées attiraient des personnes qui étaient déjà liées à des différents groupes militants et de soutien », explique une des organisatrices, Anna Chatounovskaya-Burno, militante du parti. « Ici, nous accueillons des gens de gauche, des gens de droite... Iabloko est devenue une sorte d'arche qui accepte les gens quels que soient leurs points de vue, à partir du moment où ils soutiennent les prisonniers politiques. Il est important que chaque personne qui vient ici sente qu'elle n'est pas seule à être dissidente. Les gens qui viennent ici reçoivent une charge d'optimisme. »« J'aime venir ici », dit Sergueï comme en écho. « Ça me fait du bien de voir qu'il y a des jeunes et des beaucoup moins jeunes, qui ne sont pas d'accord avec ce qu'il se passe. »Pas facile dans une période où le pouvoir verrouille tout. Cet été, le porte-parole du Kremlin qualifiait l'élection présidentielle à venir « d'opération administrative qui coûte cher à l'État pour un résultat à 90% en faveur de Vladimir Poutine. »Du haut de ses 17 ans, Anna, étudiante en design venue d'une petite ville à une centaine de kilomètres de Moscou, a décidé de ne pas se laisser impressionner. « Je suis radicalement opposée à ce qu'il se passe dans le pays, et je voudrais changer les choses par tous les moyens possibles. Mais comme il n'y en a pas beaucoup, je fais ce que je peux. J'apporte ici du soutien aux gens qui sont en prison à cause de ce qu'il se passe, et dans ma ville natale, je vais à des rassemblements politiques et je colle des autocollants anti-guerre, précise la jeune femme. Le renversement d'un gouvernement peut arriver quand le peuple réalise qu'il est chancelant, faible, qu'il a perdu la main et le contrôle. Une période électorale, c'est le meilleur moment pour cela. Moi, je crois que si on ne vote pas, alors on ne change jamais rien. »Le pouvoir, lui, veut de la participation aux élections, mais aucune contestation, et surtout pas de la jeunesse.Il y a quelques semaines, lors d'une interview au média étudiant d'une prestigieuse université de la capitale russe, Dmitri Peskov déclarait : « si ce n'est pas Poutine, ce sera un autre. Mais ce sera exactement le même ». Manière de souligner qu'il ne faut espérer aucun changement en Russie.À lire aussiRussie: un fidèle du Kremlin nommé à la tête du Bolchoï
En Russie, la présidentielle va se tenir mi-mars, et Vladimir Poutine devrait se déclarer candidat à un 5ᵉ mandat d'ici à quelques jours. Le résultat du scrutin, de l'aveu même du Kremlin, ne soulève pas de doute. Mais le pouvoir tient à garder les apparences d'une compétition et va sélectionner des candidats autorisés à se présenter. Faut-il jouer le jeu et saisir une occasion de s'exprimer, au risque de légitimer un pouvoir qui empile à vitesse accélérée les lois répressives ? Le débat est particulièrement aigu cette année. De notre correspondante à Moscou,Tous les derniers jeudis soir du mois, ils peuvent se retrouver ici, dans les locaux moscovites du parti libéral Iabloko. Habitués depuis presque un an ou tout nouveaux, ils sont plusieurs dizaines dans une grande salle, assis par groupes à de grandes tables. Studieux souvent, bavards parfois, ils écrivent sur papier libre ou, plus souvent, au dos d'une carte postale à un prisonnier politique. Petites lunettes sur le nez, Elena Viktorovna participe à sa deuxième séance.« Je suis retraitée, j'ai 70 ans. J'écris à l'artiste Sasha Skochilenko, qui est persécutée pour ses positions anti-guerre. Et de mon côté, je pense que ce qu'il se passe dans notre État est inacceptable, cette opération spéciale, puisqu'il faut l'appeler comme ça. Tous les gens à qui nous écrivons sont emprisonnés, justement pour leur désaccord avec cette politique de l'État, et avec ce qu'il se passe ». L'émotion passe sur son visage et elle ajoute : « Ma cousine vit à Odessa. Je commence chacune de mes journées, absolument chacune, avec les informations sur ce qu'il se passe là-bas ; et mes sentiments sont sans aucune ambiguïté. » Ces Moscovites anti-guerre, ils sont loin d'avoir tous vu dans l'entrée des locaux, pour la première fois, des affiches du potentiel candidat du parti à la présidentielle, Grigori Iavlinski. Le congrès de Iabloko doit se prononcer ce week-end. L'issue pour les observateurs semble déjà scellée : les médias russes avaient déjà fait état il y a quelques semaines d'une rencontre de ce candidat avec Vladimir Poutine.« Sur le principe, pour moi, ça ne rendra pas les choses pires qu'elles ne le sont déjà. Après, le pouvoir a les moyens d'obtenir le résultat qui lui convient », observe avec détachement Alexander, 40 ans. Ce cadre dans les ressources humaines ne manque aucune séance depuis le début. Il en est à sa 11ᵉ soirée et dit « suivre le sujet des prisonniers politiques depuis longtemps », plus exactement après les manifestations contestant le retour au pouvoir de Vladimir Poutine à l'hiver 2011-2012. « Une parente allait aux procès des manifestants, et elle transcrivait les échanges. Elle n'avait pas assez de temps pour le faire, alors elle m'avait demandé de l'aider. »Aucun changement à l'issue de l'élection« Au début, ces soirées attiraient des personnes qui étaient déjà liées à des différents groupes militants et de soutien », explique une des organisatrices, Anna Chatounovskaya-Burno, militante du parti. « Ici, nous accueillons des gens de gauche, des gens de droite... Iabloko est devenue une sorte d'arche qui accepte les gens quels que soient leurs points de vue, à partir du moment où ils soutiennent les prisonniers politiques. Il est important que chaque personne qui vient ici sente qu'elle n'est pas seule à être dissidente. Les gens qui viennent ici reçoivent une charge d'optimisme. »« J'aime venir ici », dit Sergueï comme en écho. « Ça me fait du bien de voir qu'il y a des jeunes et des beaucoup moins jeunes, qui ne sont pas d'accord avec ce qu'il se passe. »Pas facile dans une période où le pouvoir verrouille tout. Cet été, le porte-parole du Kremlin qualifiait l'élection présidentielle à venir « d'opération administrative qui coûte cher à l'État pour un résultat à 90% en faveur de Vladimir Poutine. »Du haut de ses 17 ans, Anna, étudiante en design venue d'une petite ville à une centaine de kilomètres de Moscou, a décidé de ne pas se laisser impressionner. « Je suis radicalement opposée à ce qu'il se passe dans le pays, et je voudrais changer les choses par tous les moyens possibles. Mais comme il n'y en a pas beaucoup, je fais ce que je peux. J'apporte ici du soutien aux gens qui sont en prison à cause de ce qu'il se passe, et dans ma ville natale, je vais à des rassemblements politiques et je colle des autocollants anti-guerre, précise la jeune femme. Le renversement d'un gouvernement peut arriver quand le peuple réalise qu'il est chancelant, faible, qu'il a perdu la main et le contrôle. Une période électorale, c'est le meilleur moment pour cela. Moi, je crois que si on ne vote pas, alors on ne change jamais rien. »Le pouvoir, lui, veut de la participation aux élections, mais aucune contestation, et surtout pas de la jeunesse.Il y a quelques semaines, lors d'une interview au média étudiant d'une prestigieuse université de la capitale russe, Dmitri Peskov déclarait : « si ce n'est pas Poutine, ce sera un autre. Mais ce sera exactement le même ». Manière de souligner qu'il ne faut espérer aucun changement en Russie.À lire aussiRussie: un fidèle du Kremlin nommé à la tête du Bolchoï
INFORMATIVO: Rusia teme otro Telón de Acero, plan secreto de Biden y Scholz con Ucrania, y la OTANEl portavoz del Kremlin, Dmitri Peskov, expresó hoy su confianza en que la decisión de Finlandia de cerrar casi totalmente su frontera con Rusia no desemboque en la creación de un nuevo Telón de Acero como durante la Guerra Fría. "Por ahora, seguramente, es prematuro hablar de ello. Vemos mucha retórica agresiva del otro lado, pero confiemos en que no lleguemos a esto", dijo Dmitri Peskov, portavoz presidencial, durante su rueda de prensa telefónica diaria. Peskov respondió así a la pregunta sobre el cierre de todos menos uno de los pasos fronterizos con Finlandia y los planes de otros países, como Noruega, Lituania o Estonia, de hacer lo mismo.Plan confidencial de Biden y Scholz: "Es imperativo que Zelenskyy comprenda que la situación actual no puede perdurar. Zelensky debe dirigirse a su pueblo con transparencia, explicando la necesidad de entablar negociaciones". La investigación realizada por BILD revela el deseo del canciller Scholz y del presidente estadounidense Biden de poner fin rápidamente al conflicto entre Rusia y Ucrania.Se busca presionar de manera específica al presidente de Ucrania, Zelensky, para que entable negociaciones con Putin y acepte compromisos significativos. China ha respondido a la OMS y ha rechazado sus preocupaciones sobre los brotes respiratorios y ha descartado que se hayan encontrado patógenos sospechosos.#noticias #rusia #biden #scholz #ucrania #otan #guerra #vladimirputin #informativo #noticiasenespañol #negociostv #nato #putin #vladimirputin Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
C dans l'air du 25 octobre 2023 - Macron à la manœuvre le Qatar aussi Emmanuel Macron a entamé mardi une tournée au Proche-Orient en se rendant en Israël, deux semaines après l'attaque du Hamas contre l'État hébreu. Le président de la République s'est ensuite rendu à Ramallah, en Cisjordanie, où il a rencontré Mahmoud Abbas, et est finalement arrivé hier soir à Amman, la capitale de la Jordanie pour s'entretenir avec le roi Abdallah II avant de gagner l'Égypte cet après-midi. L'idée de ces déplacements est de tester dans les pays arabes sa proposition encore floue de coalition internationale contre le Hamas et de renouer le dialogue dans la région alors que les forces israéliennes disent préparer une offensive terrestre à Gaza où la situation humanitaire ne cesse de se dégrader. Depuis samedi seulement quelques camions ont réussi à entrer dans l'enclave palestinienne, bombardée par Tsahal. "Une goutte d'eau face à l'océan de besoins » des 2,3 millions de Gazaouis, sans eau, carburant, ni électricité selon le patron de l'ONU Antonio Guterres qui a demandé un "cessez-le-feu humanitaire", et a dénoncé les "violations du droit humanitaire" à Gaza hier devant un Conseil de sécurité toujours divisé au 18e jour de la guerre entre Israël et le Hamas. Surtout, il a estimé que l'attaque du Hamas "n'était pas arrivée dans le vide", les Palestiniens ayant subi cinquante-six ans "d'occupation suffocante". Des propos qui ont provoqué la colère d'Israël, l'accusant à demi-mot de justifier l'attaque sanglante du Hamas et appelant à sa démission. Depuis l'attaque du 7 octobre plus de 1 400 personnes ont été tuées en Israël, essentiellement des civils massacrés par le Hamas ce jour-là, et quelque 220 Israéliens, étrangers ou binationaux sont depuis retenus en otage à Gaza. Deux Américaines et deux Israéliennes ont été libérées ces derniers jours par le mouvement palestinien, après des négociations menées par le Qatar devenu un acteur incontournable dans cette crise des otages. Trente Français sont morts et neuf autres sont encore disparus ou retenus en otage a expliqué hier Emmanuel Macron. Le président de la République - qui a rencontré leurs familles à Tel-Aviv- a assuré que la France s'emploie "à obtenir la libération de tous les otages" et a remercié le Qatar. Du côté palestinien, le Hamas, qui contrôle Gaza, affirme que les frappes israéliennes ont tué 6546 palestiniens, dont 2704 enfants et fait 17 439 blessés. La reine Rania de Jordanie a dénoncé ce mercredi dans une interview diffusée par CNN le "silence" des pays occidentaux face aux morts dans la bande de Gaza. L'épouse du roi Abdallah II s'est également élevée contre un "deux poids, deux mesures" qu'elle juge "choquant pour le monde arabe". "Nous considérons que l'Occident ne se contente pas de tolérer cette situation, mais qu'il en est tout simplement complice, ce qui est horrible et nous déçoit tous profondément", a-t-elle affirmé. Le président russe Vladimir Poutine a de son côté exprimé mardi son inquiétude lors d'une conversation téléphonique avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan face "à l'escalade continue de la violence et à l'augmentation catastrophique du nombre de victimes civiles" en Israël et dans la bande de Gaza. Ils ont tous deux de nouveau affirmé la nécessité d'"un cessez-le-feu immédiat" et de "la reprise du processus de négociation", selon le Kremlin. Ce dernier a par ailleurs indiqué qu'aucun progrès n'avait été réalisé à ce jour pour une libération des otages russes enlevés par le Hamas. La Russie, qui entretient depuis des années des relations avec le Hamas et ne considère pas ce groupe comme "terroriste" contrairement aux Etats-Unis, ne saurait en outre pas exactement combien de ressortissants russes sont prisonniers de l'organisation palestinienne. "Pour l'heure, nous n'avons pas réussi (à faire libérer d'otages), mais nous allons poursuivre ces efforts", a déclaré à la presse Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe. Alors quels sont les enjeux de la tournée d'Emmanuel Macron au Proche-Orient ? Pourquoi s'est-il rendu en Jordanie et en Égypte ? Quel a été le rôle du Qatar dans la libération des otages par le Hamas ? Pourquoi est-il devenu un acteur incontournable dans cette crise ? Enfin quelle est la position de la Turquie ? Et que fait la Russie ? LES EXPERTS : - AGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l'IREMMO Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient - DAPHNÉ BENOIT - Cheffe du pôle international – Correspondante défense - AFP, ancienne correspondante au Pentagone - MARION VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express - OLIVIER DA LAGE - Chercheure associée à l'IRIS spécialiste de la péninsule arabique - GEORGES MALBRUNOT ( en duplex) - Grand reporter spécialiste du Moyen-Orient – Le Figaro, auteur de Qatar Papers DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 12 septembre - Poutine / Kim Jong-un : l'inquiétante rencontre LES EXPERTS : - Général Jean-Paul PALOMEROS - Ancien chef d'état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN - Alain BAUER - Professeur au CNAM, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement, auteur de "Au commencement, était la guerre" - Elsa VIDAL - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe – RFI - Elena VOLOCHINE - Grand reporter – France 24 Kim Jong-un est entré, ce mardi matin, en train blindé en Russie. Le dictateur nord-coréen qui n'avait plus quitté son pays depuis le début de la pandémie de Covid-19 va rencontrer dans les prochaines heures, le président russe Vladimir Poutine quelque part dans l'Extrême-Orient russe. Moscou n'a précisé ni la date ni le lieu de ce sommet entre les deux dirigeants, programmé en marge du forum économique de Vladivostok qui se termine mercredi. Pour ce premier déplacement à l'étranger depuis 2019, Kim Jong-un s'est fait accompagner par son ministre des Affaires étrangères et ses deux principaux responsables militaires, les maréchaux de l'armée populaire coréenne. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, les deux dirigeants vont discuter de sujets "sensibles" sans prêter attention "aux mises en garde" américaines. Depuis plusieurs jours, Washington avertit que ce sommet pourrait être l'occasion d'un grand accord d'échanges d'armes et de technologies. Vladimir Poutine chercherait, selon les autorités américaines, à acquérir des obus et des missiles antichars auprès de la Corée du Nord pour équiper son armée en Ukraine. De son côté, Pyongyang serait en quête de technologies de pointe pour des satellites et des sous-marins à propulsion nucléaire ainsi que d'une aide alimentaire. La Russie et la Corée du nord ont nié toute transaction d'armes, tout en affichant leur volonté de renforcer leurs liens en matière de défense. Alors que vient faire Kim Jong-Un en Russie ? Si les deux Etats entretiennent le flou sur l'objectif de cette rencontre, cette dernière survient après un sommet du G20 qualifié par le chef de la diplomatie russe de "succès" ce dimanche, après que le club des grandes économies mondiales, réuni en Inde, a échoué à s'entendre pour dénoncer une "agression" russe en Ukraine, mot pourtant utilisé en 2022 lors du précédent sommet à Bali. "Le G20 n'a pas de quoi être fier" a déclaré un porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères alors que sur le terrain le compte à rebours de la contre-offensive a commencé. "Il reste encore environ trente à quarante-cinq jours" pour que les Ukrainiens réussissent leur contre-attaque avant que les conditions climatiques se dégradent, que les températures refroidissent et que la boue rende la tâche beaucoup plus difficile à l'Ukraine a affirmé le général Mark Milley, chef d'état-major américain dans un entretien à la BBC. Lancée en juin dernier, la contre-attaque ukrainienne se poursuit. Quelque 350 km² ont bien été libérés par les Ukrainiens, mais les défenses russes n'ont pas été percées et les militaires occidentaux craignent désormais que la mer d'Azov ne soit pas atteinte avant l'arrivée de l'hiver. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a reconnu le 8 septembre dernier que la Russie, forte de sa supériorité aérienne, était en train de stopper la contre-offensive, et s'est plaint du ralentissement de l'aide militaire occidentale et des sanctions visant Moscou. La semaine dernière, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a néanmoins confirmé une nouvelle aide à l'Ukraine de l'ordre d'un milliard de dollars avec notamment la livraison des munitions à l'uranium appauvri, une arme redoutablement efficace pour percer les blindages, mais controversée. Parallèlement, la publication d'une nouvelle biographie du patron de Tesla et de Space X vient de révéler qu'Elon Musk aurait empêché l'armée ukrainienne d'attaquer la flotte russe en Crimée l'an dernier, en limitant le faisceau de Starlink, la galaxie de satellites de communications qui lui appartient, et qui a permis à Kiev d'échapper aux tentatives de black-out russes au début de son invasion. Mais cette fois, Elon Musk aurait redouté que cette attaque ukrainienne déclenche une troisième guerre mondiale. Une décision qui pose questions. C'est en effet la première fois qu'un entrepreneur privé se retrouve avec autant d'influence. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
No podcast ‘Notícia No Seu Tempo', confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S.Paulo' desta quinta-feira (31/08/2023): O governo apresenta hoje ao Congresso sua proposta de Orçamento de 2024 com previsão de R$ 168 bilhões em receitas extras. A peça considera medidas que dependem de aprovação do Congresso ou de implementação do Executivo. Esse volume de recursos é necessário para que seja alcançado déficit zero nas contas públicas. Ontem, o Senado aprovou projeto de lei que reformula o Conselho Administrativo de Recursos Fiscais (Carf) – espécie de tribunal da Receita Federal –, com a volta do “voto de qualidade” da Receita em caso de empate nos julgamentos. Pelas estimativas do governo, essa mudança no Carf poderá contribuir com R$ 54,7 bilhões em 2024. E mais: Política: Polícia Federal prende general em operação que mira extorsão a garimpeiros Economia: Empresas iniciam teste de semana de quatro dias de trabalho no Brasil Metrópole: Testes positivos de covid saltam de 7% para 15% no País; MG lidera alta Internacional: Furacão chega aos EUA e deixa rastro de mortes e destruição Esportes: Pia Sundhage é demitida pela CBF 29 dias após fracasso no MundialSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Turkish President Recep Tayyip Erdogan's U-turn on Sweden's NATO membership bid is fuelling speculation that he may be pivoting back to his traditional Western allies. Until now the Turkish leader has had something of a diplomatic love affair with his Russian counterpart Vladimir Putin, even as the rest of Europe shuns him for his invasion of Ukraine. All smiles, NATO secretary-general Jens Stoltenberg announced at this week's summit in Vilnius, Lithuania, that Erdogan had finally agreed to back Sweden's bid to join the defence alliance. There was handshaking and backslapping, and Erdogan was very much the man of the moment.US President Joe Biden, who has criticised Erdogan's human rights record in the past, exchanged jokes with the Turkish leader. Biden's commitment to sell US fighter jets to Turkey is believed to have clinched Erdogan's support."This is portrayed as a big triumph for Erdogan," observed political analyst Sezin Oney, of Turkish news portal Politikyol. "The people are living through the daily reality of the economic crisis very harshly in Turkey. Now, for the time being, we've stopped talking about this, and it's Erdogan's triumph [instead]. Even part of the opposition is in awe."It does not matter if it's really a success; it's changing the agenda. And it's a big win for the West because Russia has had blow after blow in recent weeks," Oney said.Turkey's opposition leader Kemal Kilicdaroglu slammed the NATO love fest and accused Western leaders of ignoring Erdogan's human rights record in Turkey, where prominent political and civil society leaders are languishing in jail on flimsy charges.But realpolitik and pragmatism appear to be the order of the day, with hopes growing amongst NATO members that a rift could emerge between Turkey and Russia.Tit for tatEven before this week's summit, Erdogan gave signals that all was not well in his relations with Moscow.Last Saturday, Turkey released Ukrainian commanders who'd been held as part of a prisoner swap, which infuriated the Russian government. The soldiers were supposed to stay in Turkey until the war's end as part of a deal brokered by Turkey between Ukraine and Russia."Yes, we do have our differences," said Kremlin spokesman Dmitri Peskov. "We do not hide them, either. But another part of our relations also serves the best interests of our two countries. These relations are important for us and the Turkish side." Erdogan weighs benefits of friendlier ties with Turkey's Western alliesMoscow has been quick to punish Ankara. Russia vetoed the extension of a United Nations aid deal for Syria. That means more suffering for millions of Syrian dissidents and their families trapped on the Turkish border and adds to the risk they may seek to flee to Turkey.But Russia expert Zaur Gasimov of Bonn University predicts Moscow will be careful in its response. He says the Kremlin is aware Ankara's actions are more gestures than substantive, albeit a little humiliating – and that, crucially, Turkey continues not to enforce Western sanctions against Russia for its invasion of Ukraine."Turkey and Russia have very different positions and very different interests in all regions," observed Gasimov. "But both sides are aware in all these sub-regions that they have to communicate to interact, and that is the extent of the cooperation."He added: "It's not a mutual interest, but it's the understanding of how essential it is to cooperate and stay in a dialogue with each other."Playing both sides?Turkey is heavily dependent on Russian trade, especially energy. Putin deferred billions of euros in Turkish energy payments ahead of Erdogan's re-election campaign, which helped to avert a widely predicted currency collapse.Given these interests, some observers question whether Erdogan has performed any real pivot back to the West. The escaping Russians finding a better life in Turkey"With Erdogan, never say never. Tomorrow he may just revert back to Putin," suggested political analyst Oney.The Turkish president's strategy is "negotiating with Putin or having good relations in general and using this as leverage with the West, and having good relations with the West from time to time and using it as leverage with Russia", she said."I think it will continue. This is the foreign policy of Erdogan," Oney added.Black Sea grain dealBut Moscow's threat to end a deal brokered by Turkey and the UN to allow the export of Ukrainian grain from Black Sea ports is further straining Russian-Turkish ties. Putin is calling for sanctions against Russia to be eased in exchange for renewing the deal.Given the importance of the grain deal to Ankara, some predict there could be severe repercussions if Moscow vetoes its extension."Turkey really wants the grain deal to continue, and the signals coming from Russia are that the grain deal is coming to an end," observed Yoruk Isik, a geopolitical analyst in Istanbul with the US-based Middle East Institute. Erdogan hopes a U-turn can salvage Turkey's floundering economy"So before the Russians take any more action to really end this grain deal, Turkey is sending a signal that there are many things depending on Turkey, including Turkey not joining so far in any sanctions against Russia," Isik said.For Erdogan, the grain deal has been a diplomatic triumph. If Moscow should end it, this would likely raise more questions over Turkey's balancing act between Russia and the West, and could provide Ankara with further impetus to move back to its Western allies.
C dans l'air du 22 juin : Poutine : les chars occidentaux "brûlent de bon cœur" - LES EXPERTS : - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS - Conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste, spécialiste des questions internationales France Inter - IRYNA DMYTRYCHYN - Maîtresse de conférences à l'Inalco - Institut National des Langues et Civilisations Orientales Après la destruction du barrage de Kakhovka le 6 juin dernier, l'Ukraine s'inquiète au sujet de la centrale de Zaporijia. Volodymyr Zelensky a accusé ce jeudi la Russie de préparer un "attentat terroriste" impliquant une fuite "de radiations" à la centrale nucléaire occupée par les troupes russes dans le sud du pays. "Ils ont tout préparé pour cela", a déclaré sur Telegram le président ukrainien, dont le pays avait été le théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire après l'explosion d'un réacteur à la centrale de Tchernobyl en 1986. "Nous transmettons ces informations à tous nos partenaires dans le monde entier, toutes les preuves (…) Le monde est prévenu, le monde peut et doit agir", a-t-il exhorté. "C'est un nouveau mensonge" a immédiatement réagi la Russie. "On vient juste d'avoir des contacts avec l'Agence internationale de l'énergie atomique", dont le directeur Rafael Grossi est attendu en Russie vendredi et s'est rendu la semaine dernière dans la centrale ukrainienne, a expliqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Cette installation, la plus grande d'Europe, se trouve depuis plus d'un an au cœur de la guerre lancée par la Russie contre l'Ukraine. Tombée aux mains de l'armée russe en mars 2022, elle a été visée par des tirs et a été coupée du réseau électrique à plusieurs reprises. Mais la destruction du barrage de Kakhovka a ravivé les inquiétudes et suscité des interrogations sur la pérennité du bassin servant à refroidir les six réacteurs de la centrale. En visitant le site le 15 juin dernier, le directeur de l'AIEA a estimé que la situation y était "grave" mais en cours de stabilisation. Alors quelle est la situation dans la centrale de Zaporijia ? Y a-t-il un risque d'"attentat" ? Et où en est la contre-offensive ukrainienne ? Alors que la bataille de communication se poursuit entre Kiev et Moscou, sur le terrain les combats font rage. Les troupes ukrainiennes cherchent à percer les épaisses lignes des forces russes : champs de mines, tranchées, fortifications, aviations… Mais l'avancée est lente et très difficile. Même Volodymyr Zelensky le reconnaît : la contre-offensive de l'armée de Kiev, entamée le 4 juin, connaît des progrès "plus lents que ce qui était souhaité". "Certaines personnes pensent qu'il s'agit d'un film hollywoodien et attendent des résultats immédiats. Ce n'est pas le cas", a-t-il affirmé, dans un entretien publié mercredi 21 juin sur le site de la chaîne britannique BBC. Si les premiers jours de la contre-attaque ont permis à Kiev de récupérer une dizaine de villages et environ 100 kilomètres carrés de territoire, la progression s'est depuis ralentie. Mercredi, Vladimir Poutine a déclaré à la télévision d'Etat que la contre-offensive ukrainienne n'a "aucune chance" de réussir, ajoutant que les chars de combat "Leopard, les blindés sur roue français et les chars américains brûlent de bon cœur". Mais le même jour, le chef du groupe Wagner, Evgueni Prigojine, a accusé la hiérarchie militaire russe de "cacher" les difficultés rencontrées par son armée. "L'ennemi occupe Piatykhaty, le nord de Robotyné, et Urojaïné, ce qui veut dire que de grands pans de territoire ont été perdus au profit de l'ennemi (…) Tout cela est complètement caché à tout le monde. Un jour la Russie se réveillera et s'apercevra que la Crimée est ukrainienne " a-t-il affirmé. Depuis on a appris qu'une frappe ukrainienne a touché le pont de Tchongar, reliant la Crimée à la région de Kherson. Un point stratégique : la Crimée sert notamment de base arrière logistique aux forces russes déployées dans le sud de l'Ukraine. Parallèlement, la bataille se mène aussi sur le front diplomatique. Quelques jours après la mission de médiation de sept pays africains à Kiev et Saint-Pétersbourg, Emmanuel Macron accueille ce jeudi et vendredi à Paris un "Sommet pour un nouveau pacte financier mondial". Au total, une cinquantaine de chefs d'État sont réunis pour tenter de relancer la coopération Nord-Sud. Officiellement les discussions devraient porter sur l'aide à la lutte contre le réchauffement climatique, mais la guerre en Ukraine sera également un élément central de cette rencontre. Emmanuel Macron devrait chercher à rallier les pays du Sud à la cause ukrainienne. Car la guerre a mis en lumière des lignes de fracture au sein de la communauté internationale. Avec d'un côté, les pays occidentaux unis autour de Kiev face à ce qu'ils qualifient d'agression russe. De l'autre, en Asie, en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud, un certain nombre de pays qui ont opté pour un positionnement plus ambigu, refusant ou s'abstenant de condamner la Russie. Une neutralité souvent calculée, liée à la défense de leurs propres intérêts (énergie, céréales…) mais aussi à la diatribe de Moscou qui ne cesse d'évoquer la création d'un ordre mondial multipolaire contre l'hégémonie de l'Occident. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 19 juin : Ukraine : Poutine "prêt" au dialogue... vraiment ? - LES EXPERTS : - François Clémenceau - Rédacteur en chef international – Le Journal du dimanche - Elsa Vidal - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - RFI - Général Jean-Paul Paloméros - ex-chef d'Etat-major de l'Armée de l'air - Alain Bauer - professeur au Conservatoire national des arts et métiers, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement "La guerre doit prendre fin". Partant de ce constat résumé par le président sud-africain Cyril Ramaphosa, sept pays africains ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps en se rendant eux-mêmes à Kiev et Moscou pour y mener une "mission de paix". La délégation, constituée des présidents sud-africain, sénégalais, zambien, comorien et des représentants congolais, ougandais et égyptien est donc arrivée vendredi 16 juin, dans la capitale de Volodymyr Zelensky après une étape par la ville martyre de Boutcha. Elle s'est rendue ensuite samedi à Saint-Pétersbourg pour y rencontrer Vladimir Poutine et encourager les deux pays à entamer des négociations avec l'Ukraine. Selon le président Ramaphosa, les propositions de paix africaines se résument en dix points, parmi lesquels une "désescalade des deux côtés", la "reconnaissance de la souveraineté" des pays telle que reconnue par l'ONU, les "garanties de sécurité" pour toutes les parties, la "libération des prisonniers de guerre" ou encore la levée des entraves à l'exportation des céréales via la mer Noire. Car l'Afrique est durement touchée par l'augmentation des prix des denrées alimentaires et s'inquiète de nouveau de la hausse des prix des céréales et des oléagineux ces derniers jours, reflétant les craintes liées à la sécheresse aux Etats-Unis et en Europe, et à de nouvelles menaces de Vladimir Poutine sur un retrait de la Russie de l'accord céréalier. Accord qui doit prendre fin le 18 juillet prochain. A la tête de cette délégation, l'Afrique du Sud refuse néanmoins de condamner la Russie pour son agression, et est critiquée pour sa proximité avec le Kremlin. Alors quels résultats pour cette nouvelle médiation africaine, après la Chine et le Vatican ? Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a qualifié samedi ce plan de paix de "très difficile à mettre en œuvre". Toutefois, "le président Poutine a manifesté son intérêt pour l'examiner", a-t-il assuré, alors que le maître du Kremlin avait lui-même indiqué avant la rencontre être "prêt" à un "dialogue constructif avec ceux qui souhaitent la paix". Le même Vladimir Poutine avait également annoncé vendredi une première livraison d'ogives nucléaires à la Biélorussie, un acte qualifié de "totalement irresponsable" par Joe Biden. Le même jour, le président ukrainien avait lui déjà refusé ce plan. "J'ai clairement dit pendant notre rencontre que permettre toute négociation avec la Russie maintenant, quand l'occupant est sur notre terre, signifie de geler la guerre, geler la douleur et la souffrance", avait déclaré Volodymyr Zelensky lors d'une conférence de presse, dénonçant également "une tromperie" de Moscou en pleine contre-offensive de ses forces armées. Cette médiation africaine survient en effet alors que depuis deux semaines l'Ukraine a lancé une contre-attaque pour reconquérir son territoire. Mais l'avancée des soldats ukrainiens est lente, très difficile. Il faut percer les fortifications érigées par les troupes de Moscou : les dents de dragon, des blocs de béton anti-chars, les tranchées, les champs de mines... Les combats sont très intenses et les pertes importantes. Une bataille mètre par mètre. En quinze jours, l'armée ukrainienne n'a reconquis que 100 kilomètres carrés essentiellement sur le front sud et serait, selon les services estoniens, sur le point de faire une pause d'au moins plusieurs jours afin de se réorganiser. Par ailleurs, dans le sud de l'Ukraine, le bilan des inondations provoquées par la destruction du barrage de Kakhovka sur le fleuve Dniepr s'est encore aggravé et une catastrophe humanitaire est à craindre. D'autant que selon la coordonnatrice humanitaire des Nations unies en Ukraine, la Russie entrave, dans les zones qu'elle contrôle, l'acheminement d'aide aux victimes. Ce samedi, les autorités des zones contrôlées par les Russes ont annoncé un bilan de 29 morts. Dans la zone contrôlée par l'Ukraine, le bilan s'est alourdi à 16 morts et 31 disparus, selon Kiev. Les deux pays s'accusent mutuellement d'avoir détruit le barrage et Moscou mène une intense bataille de communication. Car la guerre que la Russie mène contre l'Ukraine ne se joue pas que sur le front. Elle est, aussi, informationnelle et elle vise également la France ainsi que d'autres pays européens. La semaine dernière, le ministère des Affaires étrangères français a dénoncé "une campagne numérique de manipulation" contre la France "impliquant des acteurs russes et à laquelle des entités étatiques ou affiliées à l'État russe ont participé en amplifiant de fausses informations". En cause, l'existence de sites copiant ceux de grands médias et du gouvernement sur lesquelles des fake news, le plus souvent contre l'Ukraine et l'Occident, sont diffusées. Quel est le sens de la mission de paix africaine en Ukraine ? Quel bilan deux semaines après le début de la contre-offensive ukrainienne ? Comment la population ukrainienne vit-elle la situation ? Enfin que sait-on de l'opération de désinformation russe "Doppelgänger" ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec Jean-François Colosimo, essayiste, écrivain. Auteur de La crucifixion de l'Ukraine – mille ans de guerres de religions en Europe (Albin Michel), Frédéric Mounier, journaliste, ancien chef du service Religion de La Croix et Steven Sampson, écrivain américain d'expression française Guerre en Ukraine – Les faits : Le 24 février prochain marquera le premier anniversaire du début de la guerre en Ukraine. La Pologne et les Etats-Unis ont annoncé la livraison, jeudi 26 janvier, de chars lourds à Kiev. Depuis le pays a été la cible de nouveaux bombardements russes. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que la Russie considérait, ces livraisons de chars, comme une preuve de l'engagement des Occidentaux dans le conflit. Victimes de l'Eglise, l'impossible réparation sur France 2 – Les faits : Complément d'Enquête diffusait jeudi 19 janvier, un reportage sur l'indemnisation des victimes d'abus sexuels dans l'église. Un peu plus d'un an après le rapport Sauvé, le magazine d'investigation dit dénoncer le plafonnement des indemnisations à 60 000 euros pour protéger son patrimoine. L'église aurait les moyens de donner plus mais ne le souhaite pas, comprend-t-on en regardant ce documentaire. Réforme des retraites – les faits : Une nouvelle journée de mobilisations et de grèves est prévue mardi 31 janvier en France. A l'appel de tous les syndicats, la grève touchera tous les secteurs. Le report de l'âge légal à la retraite de 62 à 64 ans est la mesure phare de ce projet de réforme.
EXPERTS ALAIN BAUER Professeur de criminologie - CNAM Auteur de « La guerre qui revient » FRANÇOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche » GUILLAUME ANCEL Ancien officier de l'armée française ANNE NIVAT Grand reporter - « Le Point » Auteure de « Un continent derrière Poutine ? » Un bilan dramatique. La frappe russe qui a touché ce samedi un immeuble d'habitation à Dnipro (centre-est de l'Ukraine) a fait au moins quarante morts, dont deux enfants. L'immeuble comprenait environ 1.700 résidents, ce qui laisse craindre un bilan bien plus lourd. « Je pense que le nombre de morts se comptera par dizaines », a affirmé le maire de la ville, Boris Filatov, qui pense que les Russes visaient« la centrale thermique située derrière l'immeuble». Un bombardement dont le Kremlin a nié aujourd'hui toute responsabilité. « Les forces armées russes ne bombardent pas les immeubles résidentiels mais des cibles militaires », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avant d'évoquer la piste d'un missile de défense antiaérienne ukrainien qui serait tombé sur le bâtiment. De son côté, l'Union européenne accuse la Russie de « crime de guerre ». Pendant ce temps, sur le front, les Ukrainiens reculent à Soledar mais restent campés à l'ouest de la ville. Si Vladimir Poutine a assuré que « tout se déroule selon les plans », la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar, a estimé dimanche soir que les forces ukrainiennes ont « repoussé les attaques des envahisseurs » en de multiples points dans les régions de Louhansk et Donetsk, dont Soledar. Par conséquent, « la bataille continue ». Un espoir est même présent, côté ukrainien, avec la livraison prochaine de chars lourds par les Occidentaux. En effet, l'Otan a annoncé que l'Ukraine pouvait s'attendre à recevoir de nouveaux armements lourds « dans un futur proche ». Le Royaume-Uni enverra ainsi 14 chars Challenger-2 tandis que Berlin, sous la pression de la Pologne et de la Finlande, semble prêt à livrer des chars Leopard. Les ministres de la défense des alliés de l'Ukraine se réuniront, vendredi 20 janvier en Allemagne, bien que la ministre allemande de la défense vient de démissionner. Enfin, en Lituanie comme ailleurs, les militaires proches du conflit s'entraînent en cas d'expansion de la guerre. Des avions russes s'approchent parfois des limites de l'espace de l'OTAN et sont alors repoussées par les armées européennes, notamment des pilotes français d'avion Rafale. Alors, comment analyser la frappe russe à Dnipro ? Qu'en est-il de l'avancement de la situation sur le front ? Pourquoi l'arrivée prochaine de chars lourds suscite-t-elle autant d'espoir côté ukrainiens ? Comment les pays proche de l'Ukraine peuvent-ils se protéger ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
L'émission 28 Minutes du 03/12/2022 Au programme de l'émission du 3 décembre 2022 ⬇ Le samedi, 28 Minutes continue avec Renaud Dély, Nadia Daam et Jean-Mathieu Pernin ! De la librairie familiale à la Comédie Française, Denis Podalydès tout en nostalgie On connaît l'acteur qui brille sur les planches de la Comédie Française ou devant les caméras, mais dans « Célidan disparu » (éditions Mercure de France), c'est l'écrivain qui prend la parole. Dans ce livre autobiographique, Denis Podalydès fait le récit de son passé, ses souvenirs et ses tourments sous forme de nouvelles. Un exercice poétique et cathartique qui lui permet de décrypter ses failles, ses échecs et ses angoisses, sans rien épargner. Aujourd'hui devenu un comédien à succès, Denis Podalydès raconte ses débuts compliqués dans le monde du théâtre, ses rencontres marquantes et sa passion invétérée pour les mots, héritée de sa grand-mère libraire, qu'il nourrit depuis l'enfance. Découvrez son portrait signé Philippe Ridet et lu par Sandrine Le Calvez. Ukraine : Le temps de la guerre peut-il être celui de la justice ? Depuis le début de l'invasion russe, une question brûle les lèvres des juristes : comment juger les crimes de guerre ? La Commission européenne estime que la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye n'est pas compétente pour juger les « crimes d'agression » contre l'Ukraine. Le 30 novembre, Ursula von der Leyen a alors proposé la création d'un tribunal spécial, réclamé par le président Volodymyr Zelensky depuis début avril. La CPI continuerait quant à elle de poursuivre les auteurs de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre commis sur le territoire ukrainien. Mais le porte-parole du gouvernement russe, Dmitri Peskov, a condamné ces nouveaux tribunaux et dénoncé leur "illégitimité". La création de ce nouveau tribunal est-elle utile ? En plein conflit, est-il déjà temps de penser à la justice ? La Hongrie, mouton noir de l'Union européenne ? Ça chauffe à l'Est ! Le 30 novembre, la Commission européenne a décidé de geler 18 milliards d'euros de fonds européens destinés à la Hongrie de Viktor Orban pour non-respect de l'État de droit. Une décision qui n'a « pas surpris le gouvernement », qui se veut d'ailleurs rassurant et espère un accord avec Bruxelles d'ici six mois. En pleine crise économique, notamment due à une forte inflation et à la chute de sa monnaie, le pays a besoin de cet argent. Ce nouvel ultimatum va-t-il faire plier la Hongrie ? Se dirige-t-on vers une confrontation inédite entre la commission et un État membre ? Direction l'Italie avec Gaël Legras où un glissement de terrain meurtrier sur l'île d'Ischia, au large de Naples, provoque une vive polémique : comment des habitations ont-elles pu être construites sur ces terrains en zone inondable sans aucun permis ? Sans oublier la question très intéressante de David Castello-Lopes, la chronique de Marie Bonnisseau et un retour sur le temps fort de la semaine. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 3 décembre 2022 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
« Đàm phán hòa bình giữa Nga và Ukraina sẽ nảy sinh một khi mối tương quan lực lượng được nhận thấy là ổn định trên bình diện quân sự », nghĩa là đôi bên phải đạt được các mục tiêu của cuộc chiến. Nhưng sự kiên định lập trường này ở cả hai phía khiến Mỹ và các nước đồng minh tại châu Âu lo lắng nguy cơ chiến tranh kéo dài đè nặng nền kinh tế đất nước. 10 yêu cầu và 100 chiếc tên lửa Trang mạng tờ Politico ngày 18/11/2022 đặt câu hỏi : « Phải chăng đã đến lúc Ukraina nói chuyện với Nga ? », rồi tự trả lời là « Chưa ». Tờ báo dẫn lời phát ngôn viên điện Kremlin ông Dmitri Peskov hôm 17/11, khẳng định : « Ukraina chưa muốn đàm phán ». Bằng chứng là trước đó, ngày 15/11/2022, trong bài phát biểu dài hơn 20 phút qua video tại thượng đỉnh G20, tổng thống Ukraina Volodymyr Zelensky đưa ra một bản kế hoạch hòa bình gồm 10 điểm, trong đó có đòi hỏi toàn vẹn chủ quyền lãnh thổ và nhất là mở một Tòa án Đặc biệt xét xử các tội ác chiến tranh của Nga… Không những bản kế hoạch này đã bị bác bỏ, mà quân đội Nga ngay trong cùng ngày, giữa lúc diễn ra thượng đỉnh G20, đã cho bắn vào lãnh thổ Ukraina đúng 100 tên lửa. Tổng thống Zelensky không ngần ngại ví rằng « Nga đáp trả cho mỗi một điều khoản bằng 10 quả tên lửa tương ứng ». Theo giới quan sát, sự việc cho thấy khả năng đàm phán lúc này dường như là « bất khả ». Một mặt, phía Nga không cho thấy có biểu hiện nào muốn đàm phán với Ukraina, theo như giải thích từ cựu đại sứ Pháp Jean-Maurice Ripert, trên kênh truyền hình quốc tế Pháp France 24 ngày 15/11 : « Thứ nhất là Vladimir Putin đã không đến dự thượng đỉnh G20 nhằm tìm kiếm cơ hội đàm phán cho tương lai của Ukraina. Nếu ông ấy cho rằng đây là chuyện nội bộ nước Nga thì lẽ ra ông ấy phải có mặt. Đúng lúc đích thân tổng thống Zelensky phải đưa ra các điều kiện để đàm phán, thảo luận thì Nga lại quyết định oanh kích các vùng Lviv, Kharkiv, và Kiev, giết chết thường dân và phá hủy các hạ tầng cơ sở. Điểm thứ ba là ông Peskov, phát ngôn viên nổi tiếng của điện Kremlin, trước đó khi đáp lời ông Zelensky, đã tuyên bố rằng Kherson vẫn thuộc về Nga bất chấp việc rút quân khỏi thành phố này. Rõ ràng là người ta không thấy có một chút tín hiệu nào là Nga sẵn sàng cho một cuộc đàm phán. » Kế hoạch hòa bình hay Mục tiêu chiến tranh ? Mặt khác, bản kế hoạch hòa bình 10 điểm mà ông Zelensky trình bày, bị giới quan sát đánh giá là một kế hoạch hậu chiến, dành để đàm phán với phương Tây. Đối với tổng thống Ukraina, sẽ không có một thỏa thuận Minks 3 khi bán đảo Crimée giờ trở thành một trong số các điều kiện để đàm phán, trái với những gì diễn ra trong các thỏa thuận Minks 1 và 2. Chuyên gia về Nga, Jean de Gliniasty, từng là đại sứ Pháp ở Nga, hiện là cộng tác viên tại Viện Nghiên Cứu Quốc Tế và Chiến Lược (IRIS) lưu ý, thế giới mới chỉ ở điểm khởi đầu của một tiến trình hòa bình phức tạp. Nga từng thông báo sẵn sàng đàm phán vô điều kiện – nhưng Nga chưa sẵn sàng đưa lại vào đàm phán các vùng mà Nga đã chiếm, kể cả bán đảo Crimée, vốn dĩ đối với ông Putin mang một ý nghĩa biểu tượng chính trị cao, một lằn ranh đỏ không nên vượt qua. Vẫn theo ông Jean de Gliniasty, kế hoạch 10 điểm của ông Zelensky mang dáng dấp của những mục tiêu chiến tranh hơn là cho hòa bình trong trước mắt. Những đòi hỏi mà Nga đánh giá chưa thể khởi động một cuộc đàm phán với Ukraina. Trên kênh truyền hình LCI, cựu đại sứ Pháp Jean de Gliniasty, giải thích tiếp như sau : « Trên thực tế, Ukraina đang đà thắng quân sự do vậy họ không có lý do gì mà đàm phán trong khi chiến thắng trong tầm tay – điều này có thể là đúng mà cũng có thể sai. Bản kế hoạch này là một phần trong các cuộc vận động ngoại giao trong hậu trường vẫn còn rất sơ khởi, nhằm gây áp lực một chút đối với người dân Ukraina để họ chấp nhận đàm phán. Phát biểu của ông Zelensky tại G20, đã bị rất nhiều nước tham dự G20, chứ không riêng gì các nước phát triển đánh giá là khá cứng rắn. Bản kế hoạch 10 điểm của ông không phải là kế hoạch hòa bình. Đó là 10 mục tiêu chiến tranh. Ông ấy cũng không nói là kế hoạch hòa bình, mà chính là điều kiện chấm dứt chiến tranh. » Mặc cả ngầm thất bại, thời điểm chưa chín muồi ? Một điểm đáng chú ý, là trong cuộc tranh luận này, kênh truyền hình LCI ngày 23/11/2022, thuật lại một thông tin từ các phóng viên báo Pravda tại Ukraina cho biết một ngày trước thượng đỉnh G20, một cuộc « mặc cả » hòa bình đã được ngầm đề nghị với tổng thống Nga Vladimir Putin từ một trong số các nước trung gian hòa giải nhưng không được nêu tên. Thỏa thuận này đề nghị Nga trao trả toàn bộ các vùng lãnh thổ đã bị sáp nhập cho Ukraina, đổi lại, tạm thời « đóng băng » trong vòng 7 năm mọi đàm phán về bán đảo Crimée, tạm ngưng 7 năm về việc Ukraina xin gia nhập NATO. Đề nghị này còn dự trù Nga ngưng hoàn toàn mọi cuộc tấn công bằng tên lửa nhắm vào các cơ sở hạ tầng năng lượng của Ukraina. Nhưng ngay sau đó, Nga ồ ạt pháo kích Ukraina, đề nghị này xem như không còn nữa. Trên kênh truyền hình LCI, tướng Nicolas Richoux, cựu chỉ huy lữ đoàn 7 thiết giáp, nhận định sự việc một lần nữa phản ảnh thời điểm cho một cuộc đàm phán hòa bình là chưa chín muồi. « Trong những điều kiện hiện nay, tính đến những gì ông Vladimir Putin đã mất trên bình diện quân sự, mất một nửa số lính 100 ngàn quân, 1.500 chiến xa, một thiệt hại hết sức to lớn, người ta có thể nói là ông ấy mất đến 40% số xe tăng mà cả nước Nga đã có, thì rõ ràng người ta khó có thể hình dung ông ấy chấp nhận rút quân khỏi các vùng lãnh thổ chiếm đóng có được từ năm 2014, những tỉnh ly khai, những chiến lợi phẩm 2014. Tôi nghĩ rằng ông Putin khó thể chấp nhận việc những thiểu số thân Nga đó thoát khỏi chiếc bóng của Nga. Lẽ đương nhiên việc đặt những nền tảng cơ bản cho đàm phán là cần thiết, nhưng thời điểm lúc này chưa thuận lợi cho các cuộc thương lượng bởi vì cả hai bên đều chưa đạt được các mục tiêu chiến tranh của mình. » Một quan điểm cũng được cựu đại sứ Pháp Jean de Gliniasty đồng chia sẻ, khi nhận định « cuộc đàm phán chỉ sẽ nảy sinh khi nào mối tương quan lực lượng sẽ được cảm nhận như là ổn định giữa bên này và bên kia trên bình diện quân sự. » Nguy cơ chiến tranh kéo dài Chỉ có điều việc cả Nga và Ukraina khăng khăng lập trường của mình khiến Hoa Kỳ và các đồng minh tại châu Âu lo lắng. Thời gian gần đây, trong hậu trường, nhiều quan chức Mỹ và châu Âu hối thúc Ukraina nên để ngỏ cánh cửa cho đàm phán dù vẫn tuyên bố rằng không tìm cách gây áp lực với Kiev. Đáng chú ý là phát biểu của tướng Mark Milley, tổng tham mưu trưởng quân đội Hoa Kỳ. Một ngày sau khi Nga thông báo rút quân khỏi thành phố Kherson, tướng Mark Milley, trong cuộc trả lời phỏng vấn truyền hình ngày 10/11/2022, có tuyên bố rằng « Khi có một cơ hội đàm phán, khi hòa bình có thể với được, thì hãy nắm lấy. Hãy nắm bắt lấy thời điểm đó ». Theo tướng Milley một chiến thắng của Kiev trên chiến trường nhằm đánh bật Nga ra khỏi Ukraina dường như là khó thể. Tất cả những gì có thể được làm trên chiến trường trước khi mùa đông đến thì đã được thực hiện và giờ thì nên tập trung vào những gì giành được để tạo thế mạnh trên bàn đàm phán trước một nước Nga đã bị suy yếu. Đương nhiên, luận điểm này của ông không làm phía Ukraina và phe « diều hâu » tại Mỹ hài lòng. Trước những phát biểu gây bối rối này, chính quyền Biden phải lên tiếng, xoa dịu mối lo Hoa Kỳ chuyển hướng. Cũng trong ngày 10/11 đó, Jake Sullivan, cố vấn an ninh quốc gia Mỹ khẳng định « Hoa Kỳ không gây áp lực với Ukraina ». Lầu Năm Góc thì thông báo cấp thêm 400 triệu đô la hỗ trợ quân sự. Thế nhưng, ngày 07/11, tờ Wall Street Journal nói đến các cuộc trao đổi kín giữa Jake Sullivan và các nhân vật thân cận của tổng thống Nga Vladimir Putin từ nhiều tháng qua. Về mặt chính thức, là nhằm cảnh báo lẫn nhau rủi ro leo thang xung đột, chứ không phải thảo luận về việc giải quyết cuộc chiến tại Ukraina. Trước đó ít ngày, báo Mỹ Washington Post còn tiết lộ, chính quyền Biden dường như đã đề nghị riêng với Ukraina, nên cho thấy nước này sẵn sàng đàm phán với Nga. Xin nhắc lại là trong tháng 9/2022, tổng thống Zelensky ký sắc lệnh không chấp nhận đàm phán với Matxcơva chừng nào Vladimir Putin vẫn tại quyền. Nếu như theo đánh giá của ông Jean de Gliniasty, những thông tin này được ra là một phần trong chiến lược « đánh động », chứng tỏ có một sự « thay đổi trong lập trường của Mỹ, khi nghĩ rằng nên tập cho Ukraina bắt đầu quen dần với việc đàm phán », thì đây có lẽ cũng là một cách Washington « dò dẫm tìm kiếm một khả năng cho ngoại giao » chí ít là có được một thỏa thuận ngưng bắn, theo như phân tích từ ông Charles A. Kupchan, cựu cố vấn cho Barack Obama về các hồ sơ châu Âu. Hy sinh khát vọng làm thành viên NATO ? Mỹ và châu Âu bắt đầu cảm thấy « khó có thể » hậu thuẫn lâu dài do gánh nặng chiến tranh bắt đầu tác động đến nền kinh tế các nước phương Tây. Xung đột càng kéo dài thì mặt trận hậu thuẫn Kiev càng có nhiều nguy cơ bị sụp đổ cả trên bình diện quốc tế lẫn trong nội bộ các nước, đặc biệt Mỹ, vốn dĩ đi đầu trong việc hỗ trợ Ukraina, cả về tài chính lẫn quân sự. Điều nghịch lý là phương Tây lo lắng cho một chiến thắng vang dội của Ukraina, vì điều cũng đồng nghĩa là một sự « sỉ nhục » cho ông Putin. Tiếp tục cung cấp vũ khí cho Ukraina để tái chiếm Crimée, vùng lãnh thổ có tính biểu tượng chính trị cao đối với ông Putin có nguy cơ dẫn đến những hành động trả đũa dữ dội như tấn công hạt nhân chẳng hạn. Tướng Mark Milley cảnh báo : Nga vẫn luôn có một sức mạnh chiến đấu phi thường bất chấp việc nếm mùi những thất bại. Và cuộc chiến Chechnya hẳn vẫn là một bài học kinh nghiệm quý giá còn đó ! Dẫu sao vẫn còn có chút tia hy vọng, trang mạng Responsible Statecraft của Mỹ, nhà nghiên cứu Ted Snider, lưu ý đến một chi tiết trong bản kế hoạch 10 điểm của ông Zelensky : Trong số này, không một điểm nào nhắc đến việc xúc tiến nhanh hơn ứng viên gia nhập NATO. Một tín hiệu cho biết Ukraina rất có thể sẵn sàng từ bỏ khát vọng là thành viên của NATO ? Đây sẽ là một bước ngoặt ngoại giao trong dòng cuộc chiến Ukraina ! ********** Có thể tham khảo thêm kế hoạch hòa bình 10 điểm của tổng thống Ukraina tại địa chỉ: https://www.rfi.fr/vi/qu%E1%BB%91c-t%E1%BA%BF/20221124-ke-hoach-hoa-binh-10-diem-tong-thong-ukraina
EXPERTS PASCAL BONIFACE Directeur de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques ARMELLE CHARRIER Éditorialiste en politique internationale - « France 24 » CLÉMENTINE FAUCONNIER Politologue, spécialiste de la Russie VICE-AMIRAL MICHEL OLHAGARAY Ancien directeur du Centre des hautes études militaires Londres coupable de sabotage ? Le Kremlin a accusé hier le Royaume-Uni d'être à l'origine des explosions ayant endommagé en septembre dernier les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, construits pour acheminer le gaz russe en Europe. « Nos services de renseignement disposent de preuves suggérant que l'attaque a été dirigée et coordonnée par des spécialistes militaires britanniques », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Les Britanniques démentent. Le porte-parole du nouveau Premier ministre Rishi Sunak a estimé que les accusations des autorités russes visaient à « détourner » l'attention, ce qui « fait partie de leurs méthodes habituelles ». C'est que sur le terrain ukrainien, Moscou n'est pas au mieux. Un début de contre-offensive ukrainienne se dessine sur le front est, statique depuis la libération début octobre de l'axe Kharkiv-Izioum-Lyman. La situation pourrait donc très prochainement évoluer selon les soldats engagés sur ce secteur, confirmant des déclarations des autorités ukrainiennes. Au Sud, la pression est également très forte pour reprendre Kherson. Kiev déploie de très importants efforts pour progresser au maximum avant l'arrivée de l'hiver, qui devrait stabiliser le front. En Mer Noire, la Russie a annoncé reprendre sa participation à l'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes après avoir reçu des "garanties écrites" de la part de l'Ukraine sur la démilitarisation du couloir utilisé pour leur transport. Le président turc Recep Tayyip Erdogan, dont le pays est garant de cet accord crucial pour l'approvisionnement alimentaire mondial, a confirmé la reprise à partir d'aujourd'hui à la mi-journée des exportations ukrainiennes en mer Noire via ce couloir sécurisé. Moscou avait suspendu samedi sa participation à l'accord après une attaque menée aux drones sur sa flotte basée en baie de Sébastopol, en Crimée annexée. Depuis le début du conflit, Moscou agite la menace du blocage des exportations de denrées alimentaires. Certains pays, notamment en Afrique et au Moyen-Orient, particulièrement dépendant de ces céréales, risquent la disette voire la famine. L'Allemagne, elle, dépend de la Chine. Le pays est pour la sixième année consécutive le premier partenaire commercial de Berlin. L'industrie automobile allemande réalise 30% de son chiffre d'affaires sur le marché chinois. Et les grands groupes allemands continuent à miser sur ce pays. Ils ont investi sur place 10 milliards d'euros depuis le début de l'année. Un record. C'est pourquoi le chancelier Olaf Scholz se rend ce vendredi en Chine. Mais ce déplacement fait grincer des dents chez ses partenaires européens ainsi qu'au sein même de sa coalition en Allemagne. On redoute que le chancelier ne se jette dans la gueule du loup, exactement comme Angela Merkel l'avait fait avec Vladimir Poutine en favorisant une forte dépendance de l'Allemagne vis-à-vis du gaz russe. Il y a quelques jours, le dirigeant allemand a donné l'autorisation à un groupe chinois, Cosco, de prendre 25% du terminal portuaire de Hambourg, la stratégique porte d'entrée du pays. L'empire du Milieu, proche de la Russie, est hostile à l'Occident. La Chine est même qualifiée de "rival systémique" par Bruxelles. Emmanuel Macron avait suggéré à Olaf Scholz qu'ils se rendent ensemble à Pékin pour envoyer un signal d'unité européenne, mais le chancelier allemand a décliné l'offre du président français. Signe supplémentaire de l'effritement de la confiance entre Paris et Berlin. Qui est responsable de l'explosion des gazoducs en mer Baltique ? Vladimir Poutine peut-il aller jusqu'à affamer des peuples dépendant des exportations ukrainiennes ? L'Allemagne, en faisant cavalier seul vis-à-vis de la Chine, va-t-elle reproduire les mêmes erreurs qu'avec la Russie ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Une fosse commune et 445 tombes dans un cimetière improvisé. C'est la découverte macabre réalisée à Izioum dans l'est de l'Ukraine après six mois d'occupation russe, laissant craindre un nouveau crime de guerre. Alors que l'enquête se poursuit pour faire la lumière sur ce qu'il s'est passé, la désinformation russe, elle, est déjà bien en place. Face aux preuves d'exactions qui s'accumulent, la Russie répond à coup d'infox. Le Kremlin rejette toute responsabilité dansles scènes d'horreurs découvertes à Izioum et parle de « mensonges ». Un déni appuyé par la désinformation russe sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes affirment notamment que les cadavres des militaires et des civils ukrainiens exhumés ont été enterrés avant même l'arrivée des soldats russes à Izioum. Ils accusent ainsi les Ukrainiens de crimes contre leur propre peuple. Des victimes de bombardements russes Ce narratif fallacieux repose, entre autres, sur une photo montrant plusieurs croix de bois plantées au-dessus des tombes, et sur lesquelles sont inscrites les dates de décès des personnes enterrées. Il apparaît alors la date du 9 mars 2022. À ce moment-là, Izioum était encore sous le contrôle de l'armée ukrainienne. La ville est officiellement tombée aux mains des forces russes le 1er avril. C'est ce qui leur permet, à tort, d'affirmer que les soldats russes n'y seraient pour rien. En réalité, la ville était sous le feu des bombardements depuis plusieurs semaines déjà, comme en témoigne ce rapport d'Amnesty International. Certains médias russes affirmaient même, par anticipation, avoir pris le contrôle de la ville dès le 7 mars. Le 8 mars par exemple, l'hôpital d'Izioum est éventré par un missile russe. Ces frappes sur Izioum ont fait plusieurs dizaines de morts, dont certains qui n'ont pas pu être enterrés avant l'arrivée des Russes. C'est ce que confirment les habitants sur place, et le témoignage du croque-mort d'Izioum, chargé par les occupants d'enterrer les corps. Suspicions de crimes de guerre En plus des civils qui ont été pris pour cible, le cimetière improvisé d'Izioum a révélé les dépouilles de 17 soldats ukrainiens jetées dans une fosse commune. Certains corps portent des marques de torture et ont visiblement été exécutés. C'est ce que rapporte notre correspondant sur place, Stéphane Siohan. Des rescapés d'Izioum témoignent également de sévices endurés par les civils, durant les six mois d'occupation russe. Non, ce n'est pas une mise en scène De nombreux médias pro-russes parlent d'un scénario « à la Boutcha », reprenant les mots du porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Cela signifie une prétendue nouvelle mise en scène de la part des Ukrainiens pour discréditer la Russie. Or les crimes de Boutcha sont malheureusement bien réels. Sur ce massacre, nous avons passé la désinformation russe à l'épreuve des faits. Certains dressent un parallèle entre Izioum et le faux charnier de Timisoara lors de la révolution roumaine de 1989. Cette affaire sert à jeter le discrédit sur le discours médiatique. Or dans les conditions actuelles, une telle erreur ne peut pas se produire. Lorsque les premières images du prétendu charnier de Timisoara apparaissent, les journalistes ne sont pas encore sur le terrain. Dans le cas d'Izioum, les nombreux journalistes sur place assistent en temps réel à l'exhumation des cadavres, et à la poursuite de l'enquête qui ne fait que commencer. À Izioum, ce narratif de la mise en scène circule grâce à de fausses preuves, comme par exemple la photo d'un cadavre les mains liées. La corde, que certains internautes estiment être dans un trop bon état comparée au corps, prouverait la mise en scène. Une recherche d'image inversée sur le moteur de recherche Yandex permet de retrouver les premières occurrences de ce cliché. En réalité, c'est bien un cadavre, mais découvert début mai dans la région de Kiev. Cette photo détournée ne prouve donc absolument rien. Malheureusement il existe bien d'autres photos prises à Izioum montrant des cadavres les mains liées. Le bureau des droits de l'homme de l'ONU s'apprête à enquêter sur les découvertes macabres dans l'est de l'Ukraine nouvellement libéré, dont celles d'Izioum.
BORIS JOHNSON PART, LES CRISES RESTENT... – 08/07/22 Invités : PHILIPPE DESSERTINE Directeur de l'Institut de Haute Finance MARION VAN RENTERGHEM Grand reporter – « L'Express » MARION L'HOUR Journaliste - « France Inter » Ancienne correspondante en Grande-Bretagne SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques ÉRIC ALBERT – En direct de Londres Journaliste - Correspondant à Londres - « Le Monde » Contraint et forcé, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé hier qu'il quittait ses fonctions à la tête du parti conservateur, ouvrant la voie à l'arrivée d'un nouveau chef de gouvernement au 10 Downing Street. Sa démission, réclamée par une grande partie de la classe politique anglaise, a suscité des réactions dans le monde entier. De Washington à Bruxelles, de Kiev à Moscou, toutes n'ont pas été amicales parmi les dirigeants. Après des années de relations tendues entre l'UE et le Royaume-Uni, la Commission européenne a publiquement esquivé les commentaires sur ce bouleversement politique. Mais des personnalités de poids ont réagi franchement : Michel Barnier, l'ancien négociateur en chef de l'UE pour le Brexit a déclaré espérer que la nouvelle politique du Royaume-Uni puisse être « plus constructive, plus respectueuse des engagements pris, notamment en ce qui concerne la paix et la stabilité en Irlande du Nord, et plus amicale avec les partenaires de l'UE. » "Ce que laisse Boris Johnson, je ne suis pas sûr que ce soit très brillant. Non, il ne me manquera pas" a estimé le ministre français de l'Économie Bruno Le Maire pour qui "ça prouve que le Brexit mêlé au populisme ne fait pas un bon cocktail". De l'autre côté de l'Atlantique, le président des Etats-Unis Joe Biden a affirmé dans un communiqué qu'il poursuivrait son « étroite coopération » avec le Royaume-Uni, y compris le soutien conjoint à l'Ukraine contre l'agression russe. A Moscou, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov a espéré que « plus de professionnels » arriveraient au pouvoir en Grande-Bretagne. « Mais pour le moment, il y a peu d'espoir pour cela » a-t-il tancé. Seul le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, semble être peiné de la chute de Boris Johnson. Il lui a téléphoné pour exprimer sa « tristesse ». « Nous accueillons tous cette nouvelle avec tristesse. Non seulement moi, mais aussi toute la société ukrainienne qui sympathise beaucoup avec vous ». Boris Johnson était considéré comme l'un des plus fervents partisans de l'Ukraine en Occident. À peine la démission dévoilée et sans attendre le calendrier, prévu la semaine prochaine, pour l'élection d'un nouveau leader conservateur, le député Tom Tugendhat, président de la commission des Affaires étrangères au Parlement, a confirmé sa candidature, devenant ainsi le premier à se déclarer. Mais il ne sera pas le seul sur la ligne de départ. Parmi les principaux candidats qui pourraient s'aligner pour ce qui pourrait se transformer en marathon jusqu'à l'automne, on retrouve deux favoris : le ministre de la Défense Ben Wallace et la secrétaire d'État au Commerce extérieur, Penny Mordaunt, figure de la campagne en faveur du Brexit. Les chances de succès de la populaire ministre des Affaires étrangères, Liz Truss, pourraient être amoindries par ses ambiguïtés. Championne du libre-échange, elle s'est en effet déclarée d'abord favorable au maintien dans l'UE avant de changer de camp et de s'investir dans la négociation d'une série d'accords commerciaux post-Brexit. Quel que soit le nom du successeur de Boris Johnson, il devra affronter la pire crise économique endurée par le pays depuis des décennies. La colère sociale ne cesse de prendre de l'ampleur alors que l'inflation a atteint 9,1% sur un an en mai. La Banque d'Angleterre table sur une inflation de plus de 11% d'ici la fin de l'année. De quoi alimenter davantage la crise du coût de la vie qui touche de plein fouet les ménages les plus modestes. Les syndicats réclament des augmentations de salaires à hauteur de la hausse des prix. Dans le même temps, la pénurie de main-d'oeuvre qui frappe le pays continue de freiner l'activité. Loin des remous de la politique britanniques, de plus en plus de sujet de Sa Majesté choisissent d'obtenir la nationalité française. Certains de ces Anglais vivent en France et depuis le Brexit, ils demandent la naturalisation. C'est notamment le cas du propre père de Boris Johnson. C'est aussi le choix de l'humoriste Ian Moore. Il a obtenu sa nationalité en 2018. Cette année-là, lui et 3 267 compatriotes d'outre-Manche sont devenus citoyens français. La lumière au bout d'un tunnel de paperasse et de patience. L'année suivante, 4 088 autres Britanniques devenaient Français, soit treize fois plus qu'avant le référendum de 2016. Quelles sont les réactions des dirigeants internationaux à la démission de Boris Johnson ? Qui pour lui succéder à la tête du parti conservateur ? Comment le Royaume-Uni peut-il faire face à l'inflation galopante ? Comment les Britanniques installés en France vivent-ils cette situation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dmitri Peskov, woordvoerder van Vladimir Poetin, is een echte Slavische brombeer, die de ene cynische opmerking op het andere sarcastische commentaar stapelt, maar hij is wel een oude rot in het vak. ‘In de moderne wereld is het onmogelijk om een land te isoleren, vooral als het zo groot is als Rusland,’ zei hij, als commentaar op de totaal mislukte ‘Top van de Amerika’s,’ in Los Angeles. Die topconferentie, die af en toe wordt gehouden, brengt de Noord- en Zuid-Amerikaanse landen bijeen, en dit keer was Joe Biden de gastheer. Hij begon met een diplomatieke faux-pas door de presidenten van Venezuela, Nicaragua en Cuba niet uit te nodigen. Met als gevolg dat de leiders van Mexico, El Salvador, Guatemala en Honduras uit protest wegbleven. Zo werd, schreef Politico, de ‘Top van de Amerika’s’ een ‘Top van sommige Amerika’s'. Het had allemaal te maken met Rusland. De landen die Biden niet uitnodigde hebben uitstekende banden met Rusland. Maar dat geldt voor veel andere Latijns-Amerikaanse landen ook. Met de Braziliaanse president Bolsonaro – bijgenaamd ‘de Trump van de Tropen’ – had hij wél een ontmoeting, hoewel die daags voor de inval in Oekraïne nog bij Poetin was langs geweest, en de handelsrelatie met Rusland gewoon voortzet. Wat Biden probeerde was de Latijns-Amerikaanse handen op elkaar te krijgen voor een gezamenlijk anti-Ruslandbeleid. Daar hadden de bezoekende regeringsleiders geen oren naar. Sterker nog, net als veel Aziatische landen, zien die niets in het isoleren van Poetin als middel om de oorlog in Oekraïne te beëindigen. Op de agenda stond ook een debat over migratie, maar dat vinden de Latijns-Amerikaanse leiders een Amerikaans probleem – en terecht, want het gaat alleen over de bestorming van de Mexicaans-Amerikaanse grens door vluchtelingen. En dan de keuze van Los Angeles als plaats van samenkomst. ‘Een van de meest diverse steden,’ noemde de Californische gouverneur Newsom het in een welkomstwoord. Premier Briceño van Belize zag het net even anders: ‘Het beste en het slechtste van de Amerika’s,’ noemde hij het. De stad is vergeven van zwervers en daklozen, maar in het restaurant, op de 71ste verdieping van het hotel waar alle gasten zaten, koste een torentje zeevruchten 175 dollar. De top eindigde zonder dat iemand begreep waar die eigenlijk over was gegaan. Joe Biden, kon het niet uitleggen. Kennelijk had hij zelf ook geen idee. Over Bernard Hammelburg Buitenlandcommentator Bernard Hammelburg gaat in zijn column in op de zaken van wereldbelang en plaatst de internationale politiek in context. Luister live woensdagochtend om 06:25 in De Ochtendspits of wanneer je wilt via bnr.nl/bernard-hammelburg, Apple Podcast of Spotify. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Vandaag in Ochtendnieuws: Landbouwgrond wordt duurder, Nederland stoot minder broeikas uit en Bernard Hammelburg laat zijn licht schijnen over de totaal mislukte ‘Top van de Amerika's,' in Los Angeles. De prijs van landbouwgrond gaat fors omhoog als de overheid op grote schaal boeren gaat uitkopen. Daarvoor waarschuwen makelaars op BNR. Het kabinet wil zo de stikstofuitstoot terugdringen. Maar doordat er een grote vrager naar landbouwgrond bij komt, stuwt het ook de prijs omhoog. Nederland heeft 11 procent minder broeikasgassen uitgestoten in het eerste kwartaal van dit jaar - ten opzichte van vorig jaar. En dat terwijl onze economie meer groeit! We hebben in totaal een kwart minder aardgas gebruikt. In de landbouw en industrie zijn grote dalingen in uitstoot te zien. Dmitri Peskov, woordvoerder van Vladimir Poetin, is een echte Slavische brombeer, die de ene cynische opmerking op het andere sarcastische commentaar stapelt, maar hij is wel een oude rot in het vak. ‘In de moderne wereld is het onmogelijk om een land te isoleren, vooral als het zo groot is als Rusland,' zei hij, als commentaar op de totaal mislukte ‘Top van de Amerika's,' in Los Angeles. Abonneren In Ochtendnieuws hoor je in 20 minuten het belangrijkste nieuws van de dag. Abonneer je op de podcast via bnr.nl/ochtendnieuws, de BNR-app, Spotify en Apple Podcasts. Of luister elke dag live via bnr.nl/live. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dmitri Peskov, woordvoerder van Vladimir Poetin, is een echte Slavische brombeer, die de ene cynische opmerking op het andere sarcastische commentaar stapelt, maar hij is wel een oude rot in het vak. In de moderne wereld is het onmogelijk om een land te isoleren, vooral als het zo groot is als Rusland, zei hij, als commentaar op de totaal mislukte Top van de Amerikas, in Los Angeles.
Dmitri Peskov, woordvoerder van Vladimir Poetin, is een echte Slavische brombeer, die de ene cynische opmerking op het andere sarcastische commentaar stapelt, maar hij is wel een oude rot in het vak. ‘In de moderne wereld is het onmogelijk om een land te isoleren, vooral als het zo groot is als Rusland,' zei hij, als commentaar op de totaal mislukte ‘Top van de Amerika's,' in Los Angeles. Die topconferentie, die af en toe wordt gehouden, brengt de Noord- en Zuid-Amerikaanse landen bijeen, en dit keer was Joe Biden de gastheer. Hij begon met eendiplomatieke faux-pas door de presidenten van Venezuela, Nicaragua en Cuba niet uit te nodigen. Met als gevolg dat de leiders van Mexico, El Salvador, Guatemala en Honduras uit protest wegbleven. Zo werd, schreef Politico, de ‘Top van de Amerika's' een ‘Top van sommige Amerika's'. Het had allemaal te maken met Rusland. De landen die Biden niet uitnodigde hebben uitstekende banden met Rusland. Maar dat geldt voor veel andere Latijns-Amerikaanse landen ook. Met de Braziliaanse president Bolsonaro – bijgenaamd ‘de Trump van de Tropen' – had hij wél een ontmoeting, hoewel die daags voor de inval in Oekraïne nog bij Poetin was langs geweest, en de handelsrelatie met Rusland gewoon voortzet. Wat Biden probeerde was de Latijns-Amerikaanse handen op elkaar te krijgen voor een gezamenlijk anti-Ruslandbeleid. Daar hadden de bezoekende regeringsleiders geen oren naar. Sterker nog, net als veel Aziatische landen, zien die niets in het isoleren van Poetin als middel om de oorlog in Oekraïne te beëindigen. Op de agenda stond ook een debat over migratie, maar dat vinden de Latijns-Amerikaanse leiders een Amerikaans probleem – en terecht, want het gaat alleen over de bestorming van de Mexicaans-Amerikaanse grens door vluchtelingen. En dan de keuze van Los Angeles als plaats van samenkomst. ‘Een van de meest diverse steden,' noemde de Californische gouverneur Newsom het in een welkomstwoord. Premier Briceño van Belize zag het net even anders: ‘Het beste en het slechtste van de Amerika's,' noemde hij het. De stad is vergeven van zwervers en daklozen, maar in het restaurant, op de 71ste verdieping van het hotel waar alle gasten zaten, koste een torentje zeevruchten 175 dollar. De top eindigde zonder dat iemand begreep waar die eigenlijk over was gegaan. Joe Biden, kon het niet uitleggen. Kennelijk had hij zelf ook geen idee. Over Bernard Hammelburg Buitenlandcommentator Bernard Hammelburg gaat in zijn column in op de zaken van wereldbelang en plaatst de internationale politiek in context. Luister live woensdagochtend om 06:25 in De Ochtendspits of wanneer je wilt via bnr.nl/bernard-hammelburg, Apple Podcast of Spotify. See omnystudio.com/listener for privacy information.
The Sew Hungry Food Truck Festival is back on Ottawa Street in Hamilton this weekend! Guest: Chelsea Braley, Event Coordinator & Office Administrator, Ottawa Street BIA. The Ontario provincial leadership campaign has a strong focus on infrastructure: highways, transit, where and what to build. What does Ontario need, though? Guest: Aaron Wudrick, Director the Macdonald-Laurier Institute's Domestic Policy Program. Another fun event for those of you getting hungry this weekend: the Binbrook Rib Fest is back, and the Northern Heat Rib Series is just getting its season started. Guest: Talia Quilliam, representative for the Northern Heat Rib Series. Finland is looking to join NATO… ASAP! Sweden is expected to follow suit in the very near future. Kremlin spokesperson Dmitri Peskov said of this that Russia considers NATO's expansion a threat, and that Moscow would be forced to take “retaliatory steps, both of a military-technical and other nature” Guest: Aurel Braun, Professor of International Relations and a Senior Member of the Munk School of Global Affairs at the University of Toronto. With gas prices rising, we look at some ways for motorists to save money this summer. Guest: Teresa Di Felice, Assistant Vice President, Government and Community Relations for CAA South Central Ontario. Hamilton Police will be partnering with Wilfrid Laurier University for new Virtual Reality training for response to mental health crises. Guest: Jennifer Lavoie, Associate Professor, Departments of Psychology and Criminology; Graduate Program Coordinator, Criminology. As the inquiry into the Falderal government's use of the Emergencies Act during the Ottawa protests last winter, we are learning more about the responses from law enforcement to the convoy. Guest: Phil Gurski, President of Borealis Threat and Risk Consulting, Distinguished Fellow with the University of Ottawa's Security program, and former CSIS analyst. China is surrounding Taiwan as part of wartime drills. Guest: Gordon Houlden, Director Emeritus of the China Institute and Professor of Political Science with the University of Alberta. How much have municipalities and environmentalists have contributed to the housing crisis? Guest: Ian Lee, Associate Professor with the Sprott School of Business at Carleton University. See omnystudio.com/listener for privacy information.
À Boutcha en Ukraine, l'heure est à l'identification des centaines de victimes découvertes une semaine après la libération de la ville par l'armée ukrainienne. Les preuves et les témoignages sur les exactions des soldats russes s'accumulent. Pourtant, Moscou nie en bloc, bien aidé par la désinformation sur les réseaux sociaux. La thèse d'une mise en scène du massacre perpétré à Boutcha, ville de 37 000 habitants située au nord-ouest de Kiev, continue de se répandre sur les réseaux sociaux. Des dizaines de cadavres jonchant les rues, des fosses communes, ou encore les témoignages de civils, tout ne serait qu'une fabrication de la part du gouvernement ukrainien. Cela aurait pour objectif de justifier de nouvelles sanctions contre la Russie, l'expulsion de centaines de diplomates russes en Europe et de faire capoter les négociations en cours. Moscou dicte sa version des faits Ce narratif est le principal moyen de défense du gouvernement russe qui nie toute implication de son armée dans ces actes de barbarie, potentiels crimes de guerre. Dès dimanche 3 avril, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, parle d'une « mise en scène bien orchestrée », ou encore d'une « falsification monstrueuse ». Il dénonce, tout comme Vladimir Poutine après lui, une « nouvelle provocation » de l'Ukraine. Selon le Kremlin, « la Russie n'a commis aucun crime, aucun civil n'a subi de violence. Pendant la présence russe, les civils se déplaçaient librement dans Boutcha ». « J'accuse les médias occidentaux, et principalement les médias américains, non seulement de propager des fake news et de la désinformation, mais aussi d'être complices du massacre de Boutcha », a renchéri la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, ce mercredi 6 avril. Cette version, contraire à la réalité, a été automatiquement reprise par les acteurs traditionnels de la complosphère, et relayée par des médias dits de « réinformation », des voix pro-Poutine et des sites d'ultra droite. Réécriture des événements Les autorités russes affirment qu'il n'y avait pas de cadavres dans les rues au moment du retrait de leurs troupes, à partir du 30 mars. Les premières images de victimes ont commencé à circuler le 1er avril, soit après la libération de la ville par les soldats ukrainiens. C'est là-dessus que la Russie s'appuie pour affirmer, soit que des cadavres ont été placés là par des soldats ukrainiens, soit que ces civils ont été tués par les Ukrainiens. Pourtant, des images satellites fournies au New York Times par la société Maxar, montrent que les cadavres étaient présents dans cette même rue, dès le 19 mars, sous l'occupation russe. L'emplacement des corps sur ces vues du ciel correspond parfaitement aux photos prises au sol par les journalistes arrivés sur place aux tous premiers jours du mois d'avril. Ces faits ont également été confirmés par des images de drones que le média russophone indépendant Meduza a authentifiées et diffusées ce jeudi 7 avril. Les journalistes de Meduza affirment avoir obtenu ces fichiers de combattants présents sur le terrain. Il s'agit d'enregistrements effectués entre les 23 et 30 mars, soit durant l'occupation russe. Infox en série Le 3 avril, les médias pro-russes ont diffusé un montage d'une vidéo du ministère ukrainien de la Défense, censé montrer un cadavre levant la main au passage d'une caméra postée dans une voiture. En réalité, il s'agit de l'effet produit par une tache sur le pare-brise. Le compte Telegram du ministère de la Défense russe a lui-même relayé cette infox, affirmant également que l'on pouvait y voir le corps sur la chaussée se redresser après le passage du véhicule. En réalité, les cadavres ne bougent pas. On peut simplement distinguer la déformation de l'image dans le rétroviseur de la voiture, déformation qui affecte autant l'image du cadavre que de la chaussée. D'autres infox circulent sur une prétendue mise en scène, mais elles ont toutes été invalidées. Enfin, les témoignages recueillis sur place concordent. Ce sont bien de vrais cadavres, et ce sont bien des soldats russes qui ont commis ces atrocités. Conditionnement idéologique Il est encore trop tôt pour savoir ce qu'il s'est vraiment passé en ce mois de mars 2022 à Boutcha, et dans quelles circonstances le massacre a eu lieu. Ce qui est sûr, c'est qu'il existe un contexte propice à ce type de violences. Le jour où l'on découvrait ces actes, relevant potentiellement du « crime de guerre », l'agence officielle russe Ria Novosti publiait la tribune de Timofei Sergueïtsev, un idéologue russe faisant l'apologie du crime contre les Ukrainiens. Il reprend le terme de dénazification employé par Vladimir Poutine, tout en précisant qu'il faut procéder à un « nettoyage total », visant les « masses populaires » qui seraient des « nazis passifs, des collaborateurs des nazis, également coupables ». Même s'il est difficile de mesurer l'impact de tels discours sur la population russe et sur les hommes de troupe, le fait que ces propos soient diffusés par l'une des plus importantes agences de presse russe, en dit long sur l'entreprise de conditionnement accompagnant l'invasion de l'Ukraine par la Russie. D'autres Boutcha ? Il y a en tout cas d'autres suspicions de crimes de guerre dans des villes occupées d'Ukraine. Reste à savoir à quel point est-ce que tout cela est organisé, et s'il s'agit ou non, d'une stratégie de terreur de l'armée russe. Les informations qui remontent du terrain, impliquant les soldats russes mais aussi des miliciens du groupe Wagner, sont inquiétantes. Selon Der Spiegel, les services secrets allemands ont intercepté plusieurs échanges radios des troupes russes, prouvant notamment leur rôle dans le massacre de Boutcha. Ils révèlent également qu'un commandant russe présent à Marioupol aurait donné l'ordre à ses hommes de tuer tous les civils. La Cour pénale internationale (CPI), des ONG comme Human Rights Watch et les autorités ukrainiennes continuent de mener l'enquête sur place.
Today's episode begins with Christiane's exclusive interview with Vladimir Putin's chief spokesman Dmitri Peskov, who concedes that Russia has yet to achieve any of its military goals in Ukraine and refuses to deny that Moscow could resort to the use of nuclear weapons. Also on the show: Christo Grozen, the executive director and lead Russia investigator of Bellingcat, an open source investigative organization; and Washington Post Global Opinions writer Jason Rezaian, who once spent 544 days unjustly imprisoned in Iran. To learn more about how CNN protects listener privacy, visit cnn.com/privacy
No podcast ‘Notícia No Seu Tempo', confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S. Paulo' desta terça-feira (15/03/22): O presidente Jair Bolsonaro, ao defender a suspensão dos tributos sobre a gasolina, deixou claro que, em busca da reeleição, não vai seguir a orientação da equipe econômica de evitar uma desoneração indiscriminada dos combustíveis após o reajuste de preços da semana passada. E mais: Economia: Negociação com Ucrânia não avança e Rússia amplia ataques a Kiev Política: Controle da comunicação gera disputa interna no PT Esportes: Após vaias a Neymar e Messi, torcedores atacam dirigentes Metrópole: Boa forma física pode ajudar a reduzir risco de Alzheimer em 33% See omnystudio.com/listener for privacy information.
•AMLO propone hacer consulta a aficionados•Dmitri Peskov denuncia que USA declaró guerra económica a Rusia•Más información en nuestro podcast
No podcast ‘Notícia No Seu Tempo', confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S. Paulo' desta terça-feira (08/03/22): Com a disparada do preço do petróleo, provocada pela guerra no Leste Europeu, o governo passou a estudar o congelamento temporário dos preços de combustíveis cobrados pela Petrobras. Pelo plano, o custo de não repassar a alta do petróleo seria bancado pela Petrobras e seus acionistas. E mais: Internacional: Rússia diz que guerra acaba se Ucrânia desistir da Otan Economia: Petrobras cai 7% na Bolsa após declarações de Bolsonaro Política: Maioria das minas de potássio fica fora de terras indígenas Metrópole: Moradores de SP relatam falta de energia elétrica por mais de dois dias See omnystudio.com/listener for privacy information.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en direct et en public à l'Ecole alsacienne le 6 mars 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée Nationale.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Le Temps. SANCTIONS ÉCONOMIQUES CONTRE LA RUSSIE Ces derniers jours, les Occidentaux, Europe et États-Unis en tête, ont multiplié les annonces afin de dissuader Moscou de poursuivre ses assauts contre l'Ukraine. Même la Suisse a abandonné sa neutralité pour les appliquer, or elle est la première place mondiale pour le négoce d'hydrocarbures russes. Les sanctions frappent principalement les secteurs de la finance, de l'énergie et des transports. Un arsenal qui selon le président Biden « dépassent tout ce qui a jamais été fait ». En 2014, après l'annexion de la Crimée, la guerre dans le Donbass et le crash du vol MH17, les 27 avaient déjà fait le choix de mettre en place des sanctions. Une stratégie qu'ils répliquent aujourd'hui avec des sanctions plus lourdes. Les réserves de la Banque centrale russe placées dans l'Union européenne, mais également dans les pays du G7, sont gelées afin d'empêcher toute transaction ou rapatriement de ces liquidités vers la Russie. Des personnalités russes de premier plan comme Vladimir Poutine, son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov, de hauts gradés militaires et des oligarques voient leurs actifs financiers détenus dans l'UE gelés. Au total, 488 personnes et entités sont visées pour le moment. Les exportations de « technologies cruciales » de l'Union européenne vers la Russie sont suspendues. Cela touche les composants électroniques, les logiciels, les équipements de l'industrie aéronautique et spatiale ou des pièces utiles au raffinage pétrolier. L'espace aérien européen est fermé aux avions et aux compagnies russes depuis le 27 février minuit. Enfin, Bruxelles a banni les médias russes d'information Russia Today et Sputnik tous deux financés par Moscou. Mardi, l'UE a débranché sept banques russes du système financier international Swift. Elle n'a toutefois pas inclus deux gros établissements financiers très liés au secteur des hydrocarbures : le gaz russe représente 40 % des importations de gaz de l'UE, et un peu plus de 20 % de sa consommation énergétique. Certains pays européens ont pris des mesures spécifiques nationales, comme l'Allemagne qui a suspendu dès le 22 février le projet de gazoduc Nord Stream 2, déjà construit mais pas encore en fonctionnement. Exploité par Gazprom il relie la Russie à l'Europe par l'Allemagne. Pour l'instant, la Chine et l'Inde n'ont pas rejoint, les appels occidentaux à sanctionner l'économie russe. Les pays arabes, dépendants du blé russe, restent discrets.Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a reconnu lundi que les sanctions prises par les Occidentaux étaient « lourdes » et « problématiques », tout en assurant que la Russie avait « les capacités nécessaires pour compenser les dégâts ». La Russie dispose de réserves de change de 630 milliards de dollars (560 milliards d'euros), selon les chiffres de l'assureur-crédit Coface, alimentées par la hausse des prix du gaz et du pétrole. Sa dette est extrêmement réduite : elle pesait seulement 17,5% de son PIB fin octobre 2021, quand en France, elle dépasse les 116,3%. La Russie représente 1,3 % des exportations françaises et 1,7 % de ses importations, principalement de gaz. L'impact le plus important sur l'économie française portera sur les prix de l'énergie.***EUROPE : COMMENT GÉRER L'UKRAINE ?Au-delà des sanctions économiques, la journée du dimanche 27 février a connu une succession de tournants historiques pour l'Europe : le premier a été celui de l'Allemagne qui a, pour la première fois depuis 1945, décidé de livrer des armes à l'Ukraine et promis d'investir massivement dans sa défense : 100 milliards d'euros. La Suède a, elle aussi, rompu avec sa politique de ne pas livrer d'armes à un pays en guerre. La dernière fois, c'était en 1939, lorsqu'elle avait assisté la Finlande attaquée par l'URSS. Dix-neuf pays européens, dont la France, la République tchèque, la Roumanie, le Portugal ou la Grèce ont aussi annoncé leur volonté de faire parvenir des armes aux Ukrainiens. Décidées de façon bilatérale, ces livraisons seront financées par l'Europe, via la « Facilité de paix ». Les États membres ont accepté de débloquer 450 millions d'euros pour cela et 50 millions d'euros de plus pour la fourniture d'équipements de protection et de carburant l'Ukraine. C'est la première fois que ce mécanisme est utilisé à cette fin et la somme allouée par cet instrument de politique étrangère européenne est inédite. Le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki a appelé à « doubler les dépenses pour la défense en Europe ». « Nous avons besoin d'une armée européenne forte, a-t-il déclaré. Ce n'est pas impossible et cela permettra à l'Europe de jouer enfin un rôle majeur. »Au soutien militaire, les Européens ajoutent une aide humanitaire avec l'accueil des réfugiés aux frontières de la Pologne, de la Slovaquie, de la Hongrie et de la Roumanie, ainsi que dans les pays plus à l'Ouest. Selon un pointage de l'ONU réalisé vendredi, 1,2 million de réfugiés ukrainiens ont déjà fui leur pays, tandis que l'UE prévoit que plus de 7 millions d'Ukrainiens pourraient être déplacés en cas d'aggravation du conflit. Le courant de solidarité envers l'Ukraine se manifeste également par de très nombreux défilés populaires de Berlin à Prague et de Vilnius à Athènes.Le 28 février, le président Zelensky a demandé que son pays puisse bénéficier d'une procédure accélérée pour intégrer l'UE, avant de signer une demande officielle d'adhésion. Une demande qu'il a réitérée le lendemain dans un discours face au Parlement européen, où il a reçu une standing ovation. Un collectif de 116 personnalités a demandé d'envoyer un signal fort à la population ukrainienne, en reconnaissant officiellement l'Ukraine comme État candidat à l'Union européenne. Selon un sondage de l'institut ukrainien Rating Group publié le 17 février 2022, 68 % des sondés soutiennent l'adhésion à l'Union européenne. En 2015, l'UE a reconnu « les aspirations européennes de l'Ukraine » et s'est félicitée « de son choix européen ». En 2017, le Parlement ukrainien a voté une loi faisant de l'adhésion à l'UE un des objectifs stratégiques de la politique étrangère et sécuritaire de l'Ukraine. Cette loi, entrée en vigueur en 2019, inscrit cet objectif dans la Constitution du pays. Toutefois, un tel élargissement des Vingt-Sept divise.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
O presidente da Ucrânia, Volodmir Zelenski, propôs a Vladimir Putin uma negociação, segundo a agência de notícias russa RIA. Em dois pronunciamentos diferentes nesta sexta-feira, 25, Zelenski afirmou que a invasão russa é como um ataque da 2ª Guerra, que está disposto a dialogar e até mesmo adotar um “status neutro” - o que, na prática, significaria o abandono da ambição de entrar na Otan. Em outro pronunciamento na tarde de sexta-feira em Kiev, o presidente ucraniano pediu negociações com a Rússia. “Eu quero mais uma vez fazer um apelo ao presidente da Federação Russa. Vamos sentar na mesa de negociações e parar as mortes.” O governo russo emitiu declarações contraditórias sobre a proposta de negociação apresentada pela Ucrânia. O porta-voz do Kremlin, Dmitri Peskov, disse que Putin iria analisar a declaração de Zelenski, mas que ela seguia “um movimento numa direção positiva”. "Vladimir Putin está disposto a enviar uma delegação russa de alto nível a Minsk para negociações com uma delegação ucraniana”, disse Peskov a agências russas. E ainda: a análise de Roberto Godoy sobre os cenários da guerra e a expectativa de chegada à Polônia de brasileiros fugitivos da Ucrânia. Ouça estas e outras notícias desta sexta-feira, 25, no “Eldorado Expresso”. See omnystudio.com/listener for privacy information.
A cura di Daniele Biacchessi Ci sono due entità già sconfitte in queste settimane di crisi in Ucraina: l'Onu e l'intera diplomazia europea. L'Onu ha esortato un generico buon senso tra le parti in conflitto, ma non ha reso un servizio utile alla riappacificazione, al rispetto degli accordi stipulati a Minsk nel 2014 e 2015. La diplomazia europea ha fallito. Macron ha trattato tra domenica e lunedì molto per la Francia, poco per l'Europa, e si è dimostrato troppo sicuro sulle intenzioni di Putin di sedersi intorno al tavolo con Biden per stabilire un aggiornamento dei trattati di Minsk. Il riconoscimento russo delle repubbliche del Donbass, per altro ampiamente previsto da molti analisti, ha trasformato la trattativa di Macron in un goffo tentativo di protagonismo diplomatico. Il cancelliere Olaf Scholz ha nei fatti bloccato l'espansione del progetto di Nord Stream 2. Da Bruxelles si mettono in campo solo sanzioni che come si sa sono strutturalmente inefficaci in gran parte delle situazioni di conflitto. Allora che fare? Ora toccherebbe al Presidente del Consiglio Mario Draghi. Si lavora ancora alla possibile visita a Mosca di Draghi, per colloqui con Putin. La conferma giunge dal portavoce del Cremlino, Dmitri Peskov. L'ipotesi pareva accantonata, ma resta ancora un'opzione possibile. Putin ha sottolineato che Mosca è pronta a trovare "soluzioni diplomatiche" con l'Occidente per mettere fine alla crisi ucraina, ma ha anche aggiunto che gli interessi e la sicurezza della Russia "non sono negoziabili". Come dire, posso ancora discutere ma secondo le mie condizioni. Si gioca anche sulla credibilità personale e l'abilità mediatoria di Draghi, la probabile ultima carta della diplomazia europea. Credits: Agenzia Fotogramma. _________________________________________ "Il Corsivo" a cura di Daniele Biacchessi non è un editoriale, ma un approfondimento sui fatti di maggiore interesse che i quotidiani spesso non raccontano. Un servizio in punta di penna che analizza con un occhio esperto quell'angolo nascosto delle notizie di politica, economia e cronaca. Per i notiziari sempre aggiornati ascoltaci sul sito: https://www.giornaleradio.fm oppure scarica la nostra App gratuita: iOS - App Store - https://apple.co/2uW01yA Android - Google Play - http://bit.ly/2vCjiW3 Resta connesso e segui i canali social di Giornale Radio: Facebook: https://www.facebook.com/giornaleradio.fm/ Instagram: https://www.instagram.com/giornaleradio.tv/?hl=it Twitter: https://twitter.com/giornaleradiofm
A cura di Daniele Biacchessi Ci sono due entità già sconfitte in queste settimane di crisi in Ucraina: l'Onu e l'intera diplomazia europea. L'Onu ha esortato un generico buon senso tra le parti in conflitto, ma non ha reso un servizio utile alla riappacificazione, al rispetto degli accordi stipulati a Minsk nel 2014 e 2015. La diplomazia europea ha fallito. Macron ha trattato tra domenica e lunedì molto per la Francia, poco per l'Europa, e si è dimostrato troppo sicuro sulle intenzioni di Putin di sedersi intorno al tavolo con Biden per stabilire un aggiornamento dei trattati di Minsk. Il riconoscimento russo delle repubbliche del Donbass, per altro ampiamente previsto da molti analisti, ha trasformato la trattativa di Macron in un goffo tentativo di protagonismo diplomatico. Il cancelliere Olaf Scholz ha nei fatti bloccato l'espansione del progetto di Nord Stream 2. Da Bruxelles si mettono in campo solo sanzioni che come si sa sono strutturalmente inefficaci in gran parte delle situazioni di conflitto. Allora che fare? Ora toccherebbe al Presidente del Consiglio Mario Draghi. Si lavora ancora alla possibile visita a Mosca di Draghi, per colloqui con Putin. La conferma giunge dal portavoce del Cremlino, Dmitri Peskov. L'ipotesi pareva accantonata, ma resta ancora un'opzione possibile. Putin ha sottolineato che Mosca è pronta a trovare "soluzioni diplomatiche" con l'Occidente per mettere fine alla crisi ucraina, ma ha anche aggiunto che gli interessi e la sicurezza della Russia "non sono negoziabili". Come dire, posso ancora discutere ma secondo le mie condizioni. Si gioca anche sulla credibilità personale e l'abilità mediatoria di Draghi, la probabile ultima carta della diplomazia europea. Credits: Agenzia Fotogramma. _________________________________________ "Il Corsivo" a cura di Daniele Biacchessi non è un editoriale, ma un approfondimento sui fatti di maggiore interesse che i quotidiani spesso non raccontano. Un servizio in punta di penna che analizza con un occhio esperto quell'angolo nascosto delle notizie di politica, economia e cronaca. Per i notiziari sempre aggiornati ascoltaci sul sito: https://www.giornaleradio.fm oppure scarica la nostra App gratuita: iOS - App Store - https://apple.co/2uW01yA Android - Google Play - http://bit.ly/2vCjiW3 Resta connesso e segui i canali social di Giornale Radio: Facebook: https://www.facebook.com/giornaleradio.fm/ Instagram: https://www.instagram.com/giornaleradio.tv/?hl=it Twitter: https://twitter.com/giornaleradiofm
A cura di Daniele Biacchessi Ci sono due entità già sconfitte in queste settimane di crisi in Ucraina: l'Onu e l'intera diplomazia europea. L'Onu ha esortato un generico buon senso tra le parti in conflitto, ma non ha reso un servizio utile alla riappacificazione, al rispetto degli accordi stipulati a Minsk nel 2014 e 2015. La diplomazia europea ha fallito. Macron ha trattato tra domenica e lunedì molto per la Francia, poco per l'Europa, e si è dimostrato troppo sicuro sulle intenzioni di Putin di sedersi intorno al tavolo con Biden per stabilire un aggiornamento dei trattati di Minsk. Il riconoscimento russo delle repubbliche del Donbass, per altro ampiamente previsto da molti analisti, ha trasformato la trattativa di Macron in un goffo tentativo di protagonismo diplomatico. Il cancelliere Olaf Scholz ha nei fatti bloccato l'espansione del progetto di Nord Stream 2. Da Bruxelles si mettono in campo solo sanzioni che come si sa sono strutturalmente inefficaci in gran parte delle situazioni di conflitto. Allora che fare? Ora toccherebbe al Presidente del Consiglio Mario Draghi. Si lavora ancora alla possibile visita a Mosca di Draghi, per colloqui con Putin. La conferma giunge dal portavoce del Cremlino, Dmitri Peskov. L'ipotesi pareva accantonata, ma resta ancora un'opzione possibile. Putin ha sottolineato che Mosca è pronta a trovare "soluzioni diplomatiche" con l'Occidente per mettere fine alla crisi ucraina, ma ha anche aggiunto che gli interessi e la sicurezza della Russia "non sono negoziabili". Come dire, posso ancora discutere ma secondo le mie condizioni. Si gioca anche sulla credibilità personale e l'abilità mediatoria di Draghi, la probabile ultima carta della diplomazia europea. Credits: Agenzia Fotogramma. _________________________________________ "Il Corsivo" a cura di Daniele Biacchessi non è un editoriale, ma un approfondimento sui fatti di maggiore interesse che i quotidiani spesso non raccontano. Un servizio in punta di penna che analizza con un occhio esperto quell'angolo nascosto delle notizie di politica, economia e cronaca. Per i notiziari sempre aggiornati ascoltaci sul sito: https://www.giornaleradio.fm oppure scarica la nostra App gratuita: iOS - App Store - https://apple.co/2uW01yA Android - Google Play - http://bit.ly/2vCjiW3 Resta connesso e segui i canali social di Giornale Radio: Facebook: https://www.facebook.com/giornaleradio.fm/ Instagram: https://www.instagram.com/giornaleradio.tv/?hl=it Twitter: https://twitter.com/giornaleradiofm
UKRAINE : MAIS À QUOI JOUE POUTINE ? – 16/02/22 Invités FRÉDÉRIC ENCEL Docteur en géopolitique Auteur de « Les 100 mots de la guerre » ALAIN BAUER Professeur de criminologie – CNAM Auteur de « Encyclopédie des espionnes et des espions » TATIANA KASTOUÉVA-JEAN Directrice du Centre Russie – IFRI Auteure de « 100 questions sur la Russie de Poutine » LAURENCE NARDON Chercheuse en sciences politiques Auteure du blog « New Deal » Au lendemain de l'annonce d'un retrait « partiel » de ses troupes massées à la frontière ukrainienne, Moscou a ordonné, ce mercredi, la fin des manœuvres militaires et le départ de certaines de ses forces de la péninsule ukrainienne annexée de Crimée. La télévision russe a également montré des images nocturnes d'un train avec des blindés à son bord traversant le pont qui enjambe le détroit de Kertch, bâti par la Russie pour relier la Crimée au territoire russe. « Nous avons toujours dit qu'après l'achèvement des exercices (…) les troupes retourneraient dans leur garnison d'origine. C'est ce qui se passe actuellement », a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Ce dernier a également dénoncé « l'hystérie » occidentale qui prêtait à Moscou des intentions belliqueuses. Mais ces déclarations laissent les Occidentaux sceptiques. D'autant que « sur le terrain à ce stade » « aucune désescalade » n'est constatée par l'Otan. « Au contraire, il apparaît que la Russie continue de renforcer sa présence militaire (…). La Russie peut encore envahir l'Ukraine sans préavis, les capacités sont en place », avec plus de 100 000 soldats a expliqué aujourd'hui le secrétaire général de l'organisation, Jens Stoltenberg, au début d'une réunion avec les ministres de la défense de l'Alliance à Bruxelles. Parallèlement, un nouveau levier de pression du Kremlin a été actionné par les députés russes. La Douma a appelé mardi à reconnaître l'indépendance des territoires ukrainiens pro-russes, la république populaire de Donetsk et celle de Lougansk. Si Vladimir Poutine appliquait la proposition des députés, il mettrait de facto fin aux accords de paix de Minsk qui prévoient à terme le retour de ces territoires sous le contrôle de Kiev. Enfin on a appris qu'une cyberattaque avait frappé hier plusieurs banques en Ukraine ainsi que les sites de l'armée et du ministère de la Défense. Kiev attribue l'attaque à Moscou qui a démenti toute implication. Que se passe-t-il réellement à la frontière ukrainienne ? La cyberattaque subie par l'Ukraine est-elle le signe avant-coureur d'une offensive ? Nombre d'experts rappellent qu'une attaque informatique d'ampleur visant les infrastructures stratégiques ukrainiennes afin de désorganiser les autorités est un des scénarios envisagés avant une offensive militaire classique. Alors à Kharkiv, la deuxième plus grande ville ukrainienne, située à seulement 40 kilomètres de la Russie, on continue à se préparer à l'éventualité d'une attaque russe. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Une présence militaire russe renforcée aux frontières de l'Ukraine, des manœuvres militaires conjointes en Biélorussie, tous les ingrédients sont réunis pour faire monter la tension en Europe. D'où l'intense ballet diplomatique mené par la France qui préside jusqu'en juin l'Union européenne. Mais quand la désinformation s'en mêle, il devient difficile de se faire une idée de la situation réelle. Au summum des tensions entre la Russie et l'OTAN, l'information est précieuse mais les infox prolifèrent. On a pu voir toute la palette de la mésinformation se déployer sur les réseaux sociaux à propos des résultats obtenus ou non par Emmanuel Macron lors de sa rencontre avec le président Poutine. Erreurs d'interprétation plus ou moins volontaires, subtilités diplomatiques mal comprises, extrapolations à partir de déclarations officielles quand ce n'est pas citations inventées. A titre d'exemple, la citation plus qu'approximative faite par le président de l'Union populaire républicaine, François Asselineau, candidat potentiel à la présidentielle, invité sur RFI jeudi 10 février, le jour même du coup d'envoi des manœuvres en Biélorussie. Or le président Macron n'a jamais dit cela, cette citation n'apparaît nulle part. Les manœuvres ont démarré comme prévu le 10 février pour dix jours. Jamais Emmanuel Macron n'a demandé aux Russes d'y renoncer. Ce que le président français affirme avoir obtenu ce sont des gages qu'il n'y aurait pas d'escalade supplémentaire. Quant au démenti du Kremlin évoqué par monsieur Asselineau, il s'agit en fait d'une mise au point du porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov qui réagissait le 8 février, aux allégations selon lesquels le président russe aurait fait des concessions et accepté qu'il n'y ait pas de nouvelles initiatives militaires aux abords de l'Ukraine. C'est un démenti qui vise certaines interprétations des résultats de cette rencontre. Le candidat François Asselineau n'est pas seul à relayer des citations erronées, attribuées à tort à Emmanuel Macron mais aussi à ses interlocuteurs russes. On citera le tweet de l'avocat Juan Branco qualifiant la séquence diplomatique de « mascarade électoraliste » et relayant le démenti du Kremlin de façon trompeuse. Une communication trop volontariste de la part de l'Elysée ? Il est évident que l'Elysée a souhaité tirer le meilleur parti de ces efforts de médiation. Le fait d'avoir laissé entendre que le président Macron aurait reçu l'assurance que les troupes russes rentreraient une fois les manœuvres terminées, comme suggéré par un conseillé de l'Elysée, était une façon inexacte de présenter les choses. C'est ce qui a poussé le Kremlin à rectifier : il n'y aurait pas eu de nouvel engagement explicite de Vladimir Poutine sur ce point, car il a toujours été prévu que ces troupes retournent à un moment ou un autre sur leurs bases en Russie après les manœuvres en Biélorussie. « Personne n'a jamais dit qu'elles resteraient » a rappelé le porte-parole Dmitri Peskov cité par Reuters le 8 février dernier, à l'issue de la rencontre. « Les annonces de manœuvres ont été faites qui dureront jusqu'au 20 février », a constaté ce jeudi 10 février Jean-Yves le Drian sur la radio publique France Inter. Tout en se disant préoccupé par ce qu'il qualifie comme « un geste d'une grande violence », le chef de la diplomatie française a réaffirmé « On peut imaginer que lorsque la date est aboutie, les force se retirent, on verra à ce moment-là si c'est le cas (…)On verra s'il y a ou pas un processus de désescalade qui sera mis en œuvre. »
No podcast ‘Notícia No Seu Tempo', confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S. Paulo' desta quarta-feira (09/02/22): A Agência Nacional de Saúde Suplementar (ANS) decidiu barrar a transferência de 337 mil planos de saúde individuais da Amil para a Fiord Capital, empresa de reestruturação financeira. Controlada pela americana UnitedHealth, a Amil pagou R$ 3 bilhões para a Fiord, do empresário sérvio Nikola Lukic, ficar com a carteira de clientes do Paraná, do Rio e de São Paulo. E mais: Economia: Mercado eleva previsão de juros após alerta do Banco Central Política: TSE aprova fusão de DEM e PSL para criar União Brasil Internacional: Rússia ignora diplomacia e envia navios de guerra ao Mar Negro Metrópole: Brasil registra novo pico de mortes por covid: 1.174 em 24h Esportes: Palmeiras bate Al Ahly e se garante na decisão do Mundial de Clubes Caderno 2: ‘Ataque dos Cães' lidera disputa no Oscar See omnystudio.com/listener for privacy information.
Kremlin Sözcüsü Dmitri Peskov, Rusya Devlet Başkanı Vladimir Putin'in, Cumhurbaşkanı Recep Tayyip Erdoğan'ın Türkiye davetini kabul ettiğini açıkladı. Keyifli dinlemeler!
In this episode, host Bidemi Ologunde presented a very controversial issue between Apple, Google, and the Russian government, regarding the recently concluded parliamentary elections in Russia.Please send questions, comments, and suggestions to bidemi@thebidpicture.com. You can also get in touch on LinkedIn, Twitter, the Clubhouse app (@bid), and the Wisdom app (@bidemi).
Amel Bent, Camelia Jordana, et Vitaa sortent "Marine", une reprise d'un titre de Diam's où la rappeuse s'adresse, en 2006, à la future présidente du Rassemblement National. La chanson a été très mal reçue sur les réseaux sociaux. Les trois chanteuses en ont pris pour leur grade. Pour Jean-Michel Apathie, en quinze ans, tout a changé, surtout le Rassemblement national. En quinze ans, Marine Le Pen a coupé le cordon avec son père. Le ministre de la Santé a déclaré jeudi que les cafés et restaurants devront "être rouverts pour tous". Le gouvernement réfléchit maintenant à l'instauration d'un simple QR code au lieu d'un pass sanitaire. Pour Pascal Perri, il faudra de l'audace. On doit tout faire pour sauver les restaurants et les cafés qui sont affaiblis aujourd'hui. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé la Russie jeudi de masser ses troupes à la frontière et mis en garde contre le risque de "provocations". "La Russie déplace ses forces armées sur son territoire comme elle l'entend", a rétorqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Il s'est voulu rassurant : "Cela ne représente une menace pour personne et ne doit inquiéter personne". Anne Nivat s'interroge si ces mouvements de troupes à la frontière vont aller vers une offensive ou si elles cachent quelque chose. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
" Nous ne nous sommes pas immiscés et ne nous ingérerons pas dans les affaires intérieures d'un pays tiers, dont la France ", a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Or selon l'agence Bloomberg, la colère des " gilets jaunes " serait amplifiée par la Russie, principalement via Twitter. Damien Van Achter, fondateur du lab.davanac et professeur invité à l'IHECS s'est penché de plus près sur cette information. https://www.rtbf.be/lapremiere/article/detail_la-colere-des-gilets-jaunes-amplifiee-par-la-russie?id=10095360 --- Send in a voice message: https://anchor.fm/davanac/message