Notre mission: vous accompagnez à vous mettre ou vous remettre en forme grâce à la course à pied! Nos discussions sont orientées pour les coureurs de tous les jours, les personnes qui songent commencer la course à pied, mais qui ne savent pas par où commencer et pour ceux qui viennent de débuter et qui cherchent une dose d'information, de motivation ou d'inspiration pour atteindre leurs objectifs. Ici Coach Bill (Billy Angers) qui a le désire sincère d'être pertinent et Coach Franck (Francis Parent-Valiquette) qui est là strictement pour avoir du plaisir se rencontrent pour discuter d'astuces, de techniques, de technologies et de parcours en lien avec la course à pied en duo ou avec des invités. D'ici le prochain épisode, on vous dit: "Bonne Course!"
Montreal, QC, Canada
Dans cet épisode spécial, Coach Bill et Coach Isa annoncent la transformation de leur podcast "Coureur.IO" qui devient "Ent'2 Courses", marquant le début d'une nouvelle ère pour le balado. Cette décision fait suite à une période de réflexion stratégique, visant à améliorer et à faire évoluer le podcast pour mieux servir sa communauté de coureurs. Voici les points saillants de cet épisode: La pause prise entre les saisons a permis de clarifier la vision du podcast et d'intégrer les idées qui ont émergé, comme l'introduction du coaching audio et l'ajout de Coach Isa comme co-animatrice. Ent'2 Courses reflète la réalité des coureurs, qui vivent, respirent et pensent à la course même en dehors de leurs entraînements. C'est dans ces moments "entre deux courses" que naissent les conversations, les réflexions et les partages d'expériences qui nourrissent le podcast. Bien qu'il prenne du recul par rapport à l'animation régulière, Coach Frank restera proche du podcast en tant qu'invité spécial pour des épisodes ponctuels, notamment pour partager ses progrès dans ses défis sportifs personnels comme le triathlon et les courses de type "backyard". L'épisode propose un retour sur les moments forts des trois saisons de "Coureur.IO", mettant en lumière des épisodes marquants et des invités mémorables. L'arrivée de Coach Isa introduit une nouvelle dynamique au podcast. Le format en duo permet des échanges riches et spontanés, offrant aux auditeurs des perspectives diversifiées sur les sujets abordés. Vu l'impact positif des enregistrements en présence sur la qualité des échanges et la connexion avec les invités, nous allons continuer de privilégier ce format autant que possible. On vous invite à vous abonner au nouveau podcast "Ent'2 Courses" sur les plateformes habituelles (Spotify, Apple Music, Amazon Music, YouTube) et à rejoindre la nouvelle page Facebook pour rester informés des dernières actualités. C'est aussi un bon moment pour partager le balado avec tes amis, qu'ils soient coureurs ou non.
Dans cet épisode, Coach Isa et Coach Bill abordent le sujet du sentiment d'imposture chez les coureurs. Ils commencent par définir le syndrome de l'imposteur comme un sentiment de doute persistant envers ses propres capacités malgré les preuves du contraire. Ce sentiment peut se manifester de différentes façons chez les coureurs et impacter leur performance et leur bien-être. Selon la définition de Clance et Imes, il y a quatre types de comportements caractéristiques du syndrome de l'imposteur. Le premier comportement est la tendance au surmenage. Par peur de ne pas être à la hauteur, certains coureurs s'entraînent excessivement, ajoutant des kilomètres ou augmentant la vitesse de leurs sorties. Coach Bill souligne que ce comportement peut être contre-productif, menant au surentraînement, aux blessures, et finalement à une contre-performance. Il cite des exemples de coureurs qui ajoutent des kilomètres à leurs longues sorties, malgré les recommandations de leur plan d'entraînement, et finissent par se blesser ou par arriver épuisés le jour de la course. Le deuxième comportement est le port d'un masque. Certains coureurs cachent leurs véritables désirs, leurs compétences, leurs opinions et leurs sentiments pour éviter la critique et maintenir une image positive d'eux-mêmes. Par exemple, ils peuvent courir à la vitesse des autres membres du groupe, même s'ils sont capables d'aller plus vite, ou minimiser leurs capacités pour ne pas paraître arrogants. Coach Isa partage sa propre expérience du demi-marathon des couleurs, où elle a choisi de faire le lièvre pour un autre coureur plutôt que de courir pour son propre objectif, par peur de l'échec et du jugement des autres. Le troisième comportement est la recherche de validation externe. Les coureurs qui souffrent du sentiment d'imposture ont constamment besoin de l'approbation des autres pour se sentir légitimes. Ils accordent une importance excessive aux commentaires négatifs, même s'ils sont minoritaires, et minimisent leurs réussites en les attribuant à des facteurs externes. Coach Bill et Coach Isa discutent de l'impact des réseaux sociaux et de la recherche constante de "likes" et de commentaires positifs, qui peut alimenter le sentiment d'imposture plutôt que de le combattre. Le quatrième comportement est l'évitement de la confiance en soi. Par peur de décevoir ou de perdre la face, les coureurs peuvent éviter de nommer leurs objectifs, se montrer excessivement modestes quant à leurs performances, ou abandonner facilement lorsqu'ils rencontrent des difficultés. Coach Bill avoue qu'il évite souvent de partager ses objectifs de course par peur de ne pas les atteindre et de décevoir les autres. Il explique que le fait de nommer un objectif le rend plus réel et plus difficile à ignorer, ce qui peut augmenter la pression et le sentiment d'imposture. En plus d'analyser les différents comportements associés au sentiment d'imposture, Coach Bill et Coach Isa proposent des pistes de solution pour aider les coureurs à gérer ce sentiment. Ils insistent sur l'importance de prendre conscience de ses pensées et de ses émotions, de se fixer des objectifs réalistes, de noter ses réussites, de pratiquer la bienveillance envers soi-même et de s'entourer de personnes positives. Ils encouragent les auditeurs à accepter l'imperfection, à célébrer leurs progrès, et à se concentrer sur le plaisir de courir plutôt que sur la performance. Sur ce, Bonne course !
Cet épisode du podcast explore le concept du off-season pour les coureurs, une période de repos et de récupération après une saison d'entraînement intense. Les coachs discutent des différentes approches du off-season, des avantages et des défis de cette période. L'importance de la récupération: Le off-season permet au corps de se reposer et de se remettre des efforts soutenus de la saison de course. Il s'agit d'une période de diminution du volume d'entraînement et d'intensité pour prévenir les blessures et le surentraînement. Différentes approches: Il existe plusieurs façons d'aborder le off-season. Certains coureurs optent pour un repos complet, tandis que d'autres préfèrent maintenir un certain volume d'entraînement, mais à une intensité réduite. D'autres encore se tournent vers des sports croisés comme la natation ou le vélo pour maintenir leur forme physique tout en sollicitant différents groupes musculaires. Trouver sa propre formule: Le plus important est de trouver l'approche qui convient le mieux à chaque coureur en fonction de ses objectifs, de son niveau d'expérience et de ses contraintes personnelles. Profiter du off-season pour se fixer de nouveaux objectifs: Le off-season est aussi l'occasion de faire le bilan de la saison écoulée et de se fixer de nouveaux objectifs pour la saison à venir. C'est le moment idéal pour identifier les points faibles à améliorer et planifier un programme d'entraînement adapté. L'importance de la motivation: Maintenir sa motivation pendant le off-season peut être un défi pour certains coureurs. Trouver des activités alternatives agréables, comme s'inscrire à un club de sport ou explorer de nouveaux parcours, peut aider à rester actif et à garder le plaisir de bouger. En conclusion, le off-season est une période cruciale pour les coureurs. Bien géré, il permet de récupérer, de se ressourcer et de revenir plus fort pour la prochaine saison. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode de Coureur, Coach Bill et Coach Isa discutent des erreurs courantes que font les débutants en course à pied, ainsi que ceux qui effectuent un retour à la course après une pause. Ils abordent des thèmes qui ont été soulevés par les auditeurs sur la page Facebook du podcast. L'une des erreurs principales est de vouloir aller trop vite, trop tôt. Coach Bill admet avoir lui-même fait cette erreur en débutant: il cherchait constamment à battre son temps de la sortie précédente, ce qui a mené à une blessure. Bien que la recherche de performance soit intéressante, il faut apprendre à ralentir et à privilégier un entraînement à faible intensité pour 80% du volume total. Une autre erreur fréquente est de négliger la récupération. Les coachs expliquent l'importance de respecter les temps de repos indiqués par les plans d'entraînement et d'écouter les signaux du corps, comme les jambes lourdes. Ils soulignent que les périodes de récupération sont essentielles pour permettre au corps de se reconstruire et de progresser sur le long terme. Les coachs abordent également l'erreur de croire que la course à pied fait automatiquement maigrir. Ils mettent en garde contre la tentation de restreindre son alimentation après une course pour maximiser la perte de poids, ce qui peut entraîner des carences et une baisse d'énergie. Enfin, ils insistent sur l'importance de choisir des chaussures adaptées et de ne pas hésiter à les changer si elles ne sont pas confortables. L'épisode se termine par un message positif: il est crucial de s'enlever la pression, de commencer progressivement et de s'amuser en courant. Coach Bill et Coach Isa encouragent les auditeurs à partager leurs propres erreurs et expériences sur la page Facebook du podcast. Sur ce, Bonne course !
Cet épisode du balado de course à pied explore un éventail de questions et de conseils, couvrant des aspects pratiques comme les vêtements d'hiver et la gestion des envies pressantes, à des considérations plus stratégiques comme le rythme de course et la récupération. Les coachs partagent leurs expériences personnelles et leurs connaissances pour offrir aux auditeurs une perspective complète sur la course à pied. Vêtements d'hiver : S'habiller pour courir en hiverpeut être délicat, car il faut trouver un équilibre entre rester au chaud et éviter la surchauffe. Les entraîneurs recommandent une approche multicouche, enutilisant des matériaux respirants comme la laine mérinos pour la couche de base. Il est important de se rappeler que le corps se réchauffe pendant l'exercice, il est donc préférable de commencer sa course en ayant un peufroid. Les couches supplémentaires, comme des gilets ou des vestes coupe-vent, peuvent être ajoutées ou retirées au besoin. Une attention particulière doit être portée à la protection des extrémités, car les mains et la tête sont plussusceptibles de perdre de la chaleur. Des gants chauds et une tuque sont essentiels, et même des mitaines peuvent être envisagées pour une meilleure isolation. Hydratation pendant les courses : Le choix entre uneceinture d'hydratation et un sac d'hydratation dépend souvent de la distance parcourue et des préférences personnelles. Ils recommandent de vider l'air des poches d'eau avant de commencer une course pour minimiser les ballonnements et le bruit. Les ravitaillements offerts pendant les courses peuvent également être utilisés pour s'hydrater sans avoir à transporter de grandes quantitésd'eau. Défis mentaux et motivation : La fatigue et le découragement sont des obstacles courants pour les coureurs, surtout ceux qui se préparent pour un événement important. Les entraîneurs insistent sur l'importance de la récupération tout au long du plan d'entraînement. Il ne faut pas sauter les semaines de repos prévues, car elles permettent au corps de se réparer et de se reconstruire. Se reposer suffisamment avant un événement est crucial pour assurer une bonne performance et une expérience positive. Les entraîneurs encouragent également les coureurs à écouter leur corps et à prendre des jours de repos supplémentaires lorsqu'ils en ressentent le besoin. Stratégies de rythme et négative split : L'analyse du profil d'élévation du parcours est importante pour anticiper les sections difficiles et ajuster le rythme en conséquence. La négative split, une stratégie qui consiste à courirla deuxième moitié de la course plus rapidement que la première, est souvent recommandée. Bien qu'elle puisse paraître difficile pour les coureurs amateurs, les entraîneurs suggèrent d'adopter une approche progressive, en augmentant graduellement le rythme tout au long de la course. Cette approche permet une certaine marge de manœuvre et permet de s'adapter aux conditions de course changeantes. Conseils pour la visibilité : Avec les journées quiraccourcissent, courir dans l'obscurité devient plus fréquent. Les entraîneurs mettent en garde contre les dangers de courir sans équipement de visibilité adéquat. Les lampes frontales, les bretelles réfléchissantes et les vêtements de couleurs vives sont essentiels pour être vu par les automobilistes. Même dans les rues éclairées, il est important de porter des vêtements réfléchissants pour améliorer la visibilité. Sur ce, Bonne course !
Dans ce nouvel épisode de Coureur.IO, Coach Bill et Coach Isa accueillent Annie-Claude Gilbert, conseillère aux ventes pour Drôlement Inspirant. Ensemble, ils discutent de la fixation d'objectifs, un sujet crucial pour les coureurs de tous niveaux. Cet épisode débute par un récit des expériences de course récentes des animateurs : Isa relate son demi-marathon à Boston, où elle a dû adapter son objectif initial en raison de douleurs, tandis que Bill partage son expérience positive en testant de nouvelles chaussures, qui l'ont mené à battre son record personnel sur 5 km. Cette introduction met en lumière l'importance d'avoir une approche flexible et adaptable face aux objectifs, un thème central de la discussion avec Annie-Claude. Annie-Claude souligne que la fixation d'objectifs ne se limite pas à la course à pied, mais s'applique à tous les aspects de la vie. Elle insiste sur l'importance de se fixer des objectifs personnels, plutôt que de se laisser influencer par les attentes des autres ou par les réseaux sociaux.Elle encourage les auditeurs à se concentrer sur leur propre progression plutôt que de se comparer constamment aux autres. La discussion aborde également l'importance de décomposer les grands objectifs en étapes plus petites et plus réalisables. Annie-Claude utilise l'analogie d'un escalier : il est plus facile de monter un escalier avec de nombreuses petites marches qu'avec quelques grandes marches difficiles à franchir. Elle nous invite à identifier le "plus petit pas possible" qu'on peut faire pour progresser vers notre objectif. L'épisode explore ensuite la gestion de la déception face à un objectif manqué. Annie-Claude souligne qu'il est important de voir les échecs comme des opportunités d'apprentissage plutôt que comme des défaites. Elle nous encourage à nous concentrer sur le processus et à célébrer les petites victoires tout au long de notre parcours, plutôt que de nous focaliser uniquement sur le résultat final. Un autre point important soulevé est l'importance de comprendre le "pourquoi" derrière un objectif. Le fameux Why. Avoir une motivation profonde et personnelle permet de rester motivé même lorsque les choses se compliquent.La discussion met en lumière l'impact des réseaux sociaux sur la perception des objectifs et sur la tendance à se comparer aux autres. Les coachs rappellent que les réseaux sociaux présentent souvent une vision idéalisée de la réalité et que les comparaisons peuvent être décourageantes et contre-productives. Bref, on vous invite à viser la progression plutôt que la perfection. Il est essentiel d'accepter les imperfections et de célébrer chaque pas en avant, même s'ils ne correspondent pas à une vision idéalisée de la réussite. En somme, cet épisode offre une réflexion approfondie sur la fixation d'objectifs pour les coureurs, en abordant des thèmes tels que la flexibilité, la persévérance, la gestion des échecs et l'importance d'une motivation personnelle. La discussion met l'accent sur l'importance de s'écouter soi-même et de se concentrer sur sa propre progression, plutôt que de se laisser influencer par les attentes des autres ou par la pression des réseaux sociaux. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, nous rencontrons Samuel Matte-Thibault, directeur général d'Événements Harricana, l'organisme à but non lucratif derrière l'Ultra-Trail Harricana du Canada (UTHC). Cette course, qui se déroule au cœur de la forêt boréale de Charlevoix, est bien plus qu'un simple événement de trail running : elle est une célébration de la nature sauvage et de la résilience humaine. L'UTHC est reconnu pour ses parcours variés, allant du 1 km pour les enfants au 125 km destiné aux athlètes les plus aguerris, en passant par le populaire 28 km et le redoutable 65 km. Chaque distance offre aux participants une immersion totale dans un écosystème unique, façonné par l'impact d'une météorite de 15 milliards de tonnes il y a 360 millions d'années. Les sentiers serpentent à travers des paysages exceptionnels, menant les coureurs vers des sommets qui surplombent le fleuve Saint-Laurent et la majestueuse forêt boréale. C'est dans cet environnement brut que l'UTHC invite les participants à libérer leur côté sauvage et à courir avec le loup intérieur. Ensuite, on poursuit l'épisode avec Dominic Cantin qui nous raconte son histoire inspirante. C'est un coureur dont la transformation personnelle est intimement liée à l'UTHC. En 2015, Dominic pesait près de 300 livres et faisait face à des risques de diabète et d'hypertension. Confronté à un défi lancé par ses amis, il décide de prendre sa santé en main et amorce un changement radical. En seulement six mois, il perd une centaine de livres grâce à une alimentation plus équilibrée et une routine d'exercice régulière. Cette transformation lui permet de se lancer dans des courses à obstacles, puis ensuite sa première participation à l'UTHC en 2017. Au fil des années, l'UTHC devient une tradition pour Dominic et sa famille. Malgré les blessures et les moments de doute, il persévère. En 2018, il complète le marathon d'Ottawa, mais subit ensuite une fracture qui vient remettre en question ses objectifs. Pourtant, rien ne semble l'arrêter. Lorsqu'il abandonne l'UTHC de 80 km à mi-parcours, il re-chausse ses souliers quelques jours plus tard pour parcourir les 40 km restants, illustrant une volonté de fer et un esprit de résilience impressionnant. Aujourd'hui, Dominic continue de courir, non seulement pour sa santé, mais aussi pour inspirer ses enfants et ceux qui le suivent. Son histoire montre qu'il n'est jamais trop tard pour transformer sa vie et que chaque pas, chaque course, est une célébration de ses progrès et de sa détermination. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, Bill et Isa abordent un sujet qui touche de plus en plus de coureurs : la course à pied chez les personnes plus âgées. Bien que l'effort intense puisse contribuer au vieillissement du corps à travers l'oxydation, est-ce assez dommageable pour qu'on se limite en vieillissant ? Pour faire court, disons que plutôt que d'arrêter la course, il vaut mieux adapter ses habitudes et ses objectifs ! Le cœur de l'épisode s'attarde sur cette question. Avec l'exemple inspirant de Fauja Singh, qui a commencé à courir à l'âge de 88 ans et a complété le marathon de Toronto à 100 ans, il est clair qu'il n'y a pas d'âge pour se lancer dans la course. Quant à Ed Whitlock, il a montré que même après 70 ans, il est possible d'accomplir des performances exceptionnelles. À 72 ans, il est devenu le premier septuagénaire à boucler un marathon en moins de 3 heures, ce qui, ajusté pour l'âge, équivaut à courir un marathon en 2h04 ! Des performances qui défient le temps et prouvent que l'âge est souvent davantage un état d'esprit qu'une limite physique. Au-delà des exploits, courir régulièrement offre de nombreux bienfaits pour les personnes plus âgées. L'équipe discute des effets positifs sur la santé cardiovasculaire, la densité osseuse et la prévention des maladies cognitives. Courir aide à conserver la masse musculaire et à maintenir une bonne mobilité, deux aspects cruciaux pour prévenir les chutes et les blessures courantes avec l'âge. Cependant, la performance n'est pas tout. Avec l'âge, il est essentiel d'ajuster les objectifs et les méthodes d'entraînement. Une récupération plus longue, une attention accrue aux signes de fatigue et des exercices de renforcement musculaire sont d'autant plus importants. L'épisode rappelle que la course à pied peut être une activité bénéfique, quel que soit l'âge, à condition de l'aborder de manière sécuritaire et réfléchie. Alors, que vous soyez un coureur d'expérience ou que vous envisagiez de commencer tardivement, il n'est jamais trop tard pour mettre ses souliers et se lancer sur les routes ! Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode spécial, vos trois coachs sont réunis ensemble pour jaser avec Franck de sa participation à une course « Backyard Ultra ».Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le concept, il s'agit d'une course où les participants doivent courir un peu plus de 6,7 km chaque heure, jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un seul coureur. Le lendemain de cette épreuve intense, Franck partage ses impressions, ses défis, et les enseignements qu'il tire de cette expérience unique. Franck a également souligné l'importance de la stratégie dans une backyard. "Il faut savoir se préserver," dit-il, expliquant qu'il a ajusté son rythme dès le départ pour éviter de brûler trop d'énergie.Ce genre de course pousse les athlètes à gérer leur effort sur la durée et à comprendre leur propre seuil de tolérance à la fatigue. Il décrit cette compétition comme un défi qui va bien au-delà des simples performancesphysiques. "C'est vraiment dans la tête que ça se joue", affirme-t-il en revenant sur les moments difficiles de la course. Il partage comment, au fil des heures, les participants luttent contre l'épuisement, non seulement ducorps, mais aussi de l'esprit. La discipline est clé : repartir pour une nouvelle boucle à chaque fois, malgré la fatigue accumulée, demande une résilience incroyable. Durant l'interview, il a aussi évoqué l'aspect communautaire de la backyard. Chaque coureur soutient l'autre, mais à la fin, c'est bien un seul qui l'emporte. Franck, avec humilité, se dit surtout reconnaissant d'avoirpu tester ses limites tout en étant entouré d'une communauté de passionnés. L'interview se conclut sur une note positive : bien qu'épuisé, Franck exprime sa gratitude pour avoir participé à une telle course, et il partage quelques conseils pratiques sur la préparation et la gestion dece type de défi extrême. Sur ce, Bonne course !
Bill ouvre cet épisode en partageant son expérience personnelle de course à pied, marquant bientôt ses 10 ans dans l'univers de la course. Avec une note d'humour, il raconte ses débuts modestes. Enfant, Bill n'était pas sportif. Il se souvient de son désintérêt total pour la course. À l'époque, son alimentation était loin d'être idéale, avec un frigo rempli de cochonneries. Adolescent, il diversifie ses activités physiques avec le badminton et les rollerblades, mais l'alimentation reste un problème. Manger ses émotions, sauter le déjeuner et se nourrir de gaufres trop sucrées sont des habitudes bien ancrées. Ce n'est qu'à l'âge adulte, durant le cégep, qu'il commence à prendre conscience de l'importance d'une alimentation plus équilibrée, sans pour autant changer ses habitudes. C'est dans la vingtaine que Bill adopte un mode de vie plus sain. Le rollerblade et le volleyball deviennent de nouvelles activités, mais surtout, il s'intéresse enfin à l'importance de l'alimentation. Il réalise qu'avant de se soucier des suppléments et du timing des repas, il faut d'abord se concentrer sur les portions et la qualité des aliments. Ce n'est pas parce que des athlètes prennent des gels spécialisés que cela devient nécessaire pour tout le monde. Bill encourage plutôt une alimentation soutenable et agréable. En 2015, Bill commence sérieusement la course, mais une hernie discale en 2017 vient interrompre son parcours. Le retour est difficile car il se concentre trop sur la performance. C'est avec le temps que le plaisir de courir revient. Le coaching, selon lui, ajoute une dimension encore plus enrichissante, celle de transmettre ses connaissances et son expérience, tout en se nourrissant du progrès des autres. Avec la course, Bill gère mieux son stress. Quand il n'a pas le temps de courir, c'est souvent le signe qu'il doit courir. Son approche de la performance influence aussi son regard sur l'alimentation, renforçant son envie de mieux faire. Sur ce, bonne course !
Dans cet épisode, nous discutons d'un sujet central pour les coureurs : l'alimentation. Entre la nécessité de consommer suffisamment de nutriments pour soutenir l'entraînement et la facilité de surconsommer, il est parfois difficile de trouver le bon équilibre. Alors, que faut-il manger avant, pendant et après l'entraînement ? Avant l'entraînement L'alimentation avant une séance dépend de la durée et de l'intensité de l'effort. Pour un entraînement de moins de 60 minutes, une petite collation comme une banane ou un yaourt 30 minutes avant suffit. Pour une séance plus longue (60 à 90 minutes), privilégiez des glucides complexes et des protéines, comme du gruau avec des fruits ou un toast au beurre d'arachide. Pour des entraînements de plus de 90 minutes, optez pour un repas complet 2 à 3 heures avant, incluant des pâtes complètes, des légumes, et des protéines maigres. Pendant l'entraînement Manger pendant l'entraînement n'est nécessaire que pour des séances de plus de 90 minutes. Pour des efforts longs ou intenses, consommer des glucides sous forme de gels, barres énergétiques ou fruits secs permet de maintenir l'énergie. Buvez régulièrement pour rester hydraté. Après l'entraînement Après une séance, l'objectif est de reconstituer les réserves de glycogène, réparer les muscles et réhydrater le corps. Idéalement, mangez dans les 30 minutes suivant l'effort. Une collation composée de glucides et de protéines dans un ratio de 3:1 est recommandée, par exemple un smoothie ou du lait au chocolat. Même si l'appétit n'est pas toujours au rendez-vous après un effort intense, consommer des calories liquides peut être une bonne solution pour refaire les réserves. En conclusion, une bonne alimentation avant, pendant et après l'entraînement est essentielle pour optimiser les performances et la récupération. Testez différentes stratégies pour trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous ! Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, nous revenons sur notre participation au Défi de la Tortue, où nous avons tous les trois couru. C'était une belle journée avec Jonathan comme photographe officiel. Merci aussi à Élyse, qui a écouté tout notre catalogue, un épisode à la fois ! Aujourd'hui, nous discutons des mesures de VO2max et de leur pertinence pour les coureurs. Bill a récemment testé sa VO2max à 58 avec sa montre Garmin, mais un test en laboratoire a révélé une mesure de 60. Quelques semaines plus tard, après de mauvaises nuits de sommeil, Garmin indiquait une baisse à 54. Ces fluctuations nous amènent à questionner la fiabilité des équipements et des protocoles utilisés pour mesurer le VO2max. Pour Isa, elle n'a pas de mesure par une montre, mais le test en labo a révélé une VO2max de 55. Il est essentiel de comprendre que le VO2max n'est pas le seul indicateur de performance en course à pied. Des facteurs comme le poids corporel et l'efficacité mécanique influencent aussi les capacités d'un coureur. Même sans capteur de puissance, ces mesures peuvent orienter les entraînements. Travailler son efficacité musculaire et squelettique peut faire toute la différence. Les exercices pliométriques comme le saut vertical ou la chute depuis un banc de 10-15 cm permettent de tester la puissance des membres inférieurs. En complément, l'entraînement en état de fatigue, comme des séries de 6 minutes à intensité élevée suivies de 20-30 minutes à rythme soutenu, aide à développer cette endurance musculaire essentielle. On évoque aussi l'entraînement à jeun pour favoriser l'oxydation des lipides, notamment à 60-80% de l'intensité maximale, ainsi que l'importance du cycle menstruel dans la planification des séances pour les athlètes féminines. En conclusion, au-delà des chiffres, il s'agit de comprendre comment votre corps fonctionne et de toujours chercher à optimiser votre rendement, un pas à la fois. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, je partage une réflexion sur l'égo et son impact sur la vie, notamment dans le sport. Pendant longtemps, j'ai associé l'égo à l'image caricaturale d'une personne arrogante et bruyante, cherchant constamment l'attention. Mais en réalité, mon propre égo se cachait derrière cette vision, me faisant croire que je n'étais pas concernée. Il y a quelques mois, j'ai enfin confronté mon égo. Contrairement à l'image que je m'étais formée, il ne ressemblait pas à un vantard bruyant, mais plutôt à un "gros bébé-lala", peureux, jaloux, et toujours prêt à rejeter la faute sur les autres pour justifier ses insécurités. Cet égo craint de ne pas être à la hauteur et cherche constamment à m'éviter la honte. Une fois que j'ai réalisé que mon égo n'était qu'une façade pour dissimuler ma peur de l'échec, cette illusion s'est dissipée, me laissant avec une vérité plus apaisante : je suis suffisante telle que je suis, sans avoir à prouver quoi que ce soit à qui que ce soit. Dans l'épisode d'aujourd'hui, nous allons explorer comment démasquer cet égo sournois, surtout dans le contexte sportif. Nous discuterons des signes révélateurs de l'égo, comme ces pensées autocritiques qui surgissent quand on doute de soi-même. En tant que coach, j'encourage mes athlètes à reconnaître ces discours internes, à être conscients de la façon dont l'égo se manifeste physiquement, comme en fixant le sol pendant une course. Pour mieux comprendre comment surmonter l'égo, nous allons parler de pleine conscience avec notre invité, Simon Poulin. La pleine conscience, contrairement à la simple méditation, implique une attention active à l'instant présent. Dans la course à pied, cela signifie être attentif à chaque foulée, à sa respiration, et aux sensations du corps. En courant de manière consciente, non seulement on améliore sa performance et prévient les blessures, mais on apprend aussi à gérer le stress et à apprécier chaque moment, au lieu de se focaliser uniquement sur le résultat final. Cette approche peut transformer votre course, et peut-être même votre vie. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode solo, je me lance dans une réflexion personnelle sur la course à pied et ce qu'elle m'a apporté au fil des années. Tout a commencé avec une prise de conscience, grâce à un ami qui m'a avoué qu'il n'osait pas faire d'activités seul, comme si elles n'avaient pas de valeur sans être partagées. Cela m'a fait réaliser que moi aussi, j'avais tendance à éviter certaines activités si je n'avais personne avec qui les partager, pensant qu'elles perdraient de leur importance. En repensant à cette conversation, je me suis demandé pourquoi je me suis accrochée à la course à pied, une activité souvent solitaire. C'est vrai, la course à pied a un aspect individuel, mais c'est précisément cela qui m'a séduite. L'idée d'être mon propre moyen de transport, le sentiment de liberté que procure chaque foulée, et le défi constant de repousser mes limites m'ont captivée. À mesure que je progressais, passant de 5 km à 42 km, j'ai découvert que la course à pied était plus qu'un simple exercice; c'était un mode de vie. Mais pourquoi persévérer malgré les blessures et les obstacles? Pour moi, c'est une question de sortir de ma zone de confort, de résoudre ce "casse-tête" qu'est la course, et de répondre à un besoin profond d'être à l'extérieur. La course m'a aussi apporté un réseau social précieux et un mode de vie plus sain, notamment depuis que j'ai arrêté de fumer en janvier 2023. Le plus important est ce que la course a fait pour mon mental. J'ai appris à déjouer mes pensées négatives, à affronter mes inquiétudes et à comprendre que le voyage est souvent plus important que la destination. Aujourd'hui, bien que j'aie toujours des objectifs, l'essentiel est que je cours parce que cela me réalise. Je cours jusqu'à ce que, peut-être un jour, je me réveille en me demandant : "Est-ce que c'est encore ce que je choisis aujourd'hui?" Pour l'instant, la réponse est un oui retentissant. Sur ce, bonne course ! https://youtu.be/LvC1FtW7k8o
Dans cet épisode, nous avons décidé de nous attaquer à un sujet crucial mais souvent négligé : l'importance d'un plan d'entraînement en course à pied. Après avoir souvent discuté de coaching, d'outils technologiques et de montres, il était temps de plonger dans l'essence même de la préparation : le plan. Bill a ouvert l'épisode en partageant ses récentes courses sous le soleil de Puerto Plata, et après quelques échanges légers sur des anecdotes d'auditeurs et des retours encourageants, nous avons abordé le sujet principal. Un plan d'entraînement, c'est bien plus qu'un simple calendrier. C'est un outil puissant pour générer de l'engagement et structurer ses séances de course. Il permet de prévoir ses entraînements, d'éviter l'improvisation, et de s'assurer que chaque course contribue à un objectif global. Mais à quel moment est-il vraiment nécessaire de suivre un plan ? Les périodes critiques, comme la préparation à un événement important, nécessitent une planification rigoureuse pour optimiser les performances et minimiser les risques de blessures. Nous avons aussi discuté des différents outils disponibles pour suivre son plan, qu'il s'agisse de montres, d'applications ou de plateformes en ligne. Ces outils ne sont pas seulement pratiques pour suivre les progrès, ils facilitent aussi la communication avec un coach ou permettent de s'auto-évaluer en temps réel. La gestion de la charge d'entraînement est un autre aspect essentiel d'un plan bien conçu. Il s'agit de progresser de manière soutenable, en équilibrant les différents types d'entraînements comme les courses longues et lentes, les intervalles, et les sessions de récupération. La fixation d'objectifs clairs et la planification à rebours sont cruciales pour s'assurer d'arriver prêt le jour J. Enfin, pour ceux qui préfèrent "pas de plan", nous avons abordé comment courir de manière sécuritaire. Même sans suivre un plan rigide, il est important de rester à l'écoute de son corps, de varier les entraînements, et de ne pas négliger la récupération. Cet épisode offre une réflexion approfondie sur l'importance de la planification dans la course à pied, et sur la manière dont elle peut transformer non seulement vos performances, mais aussi votre expérience de coureur. Sur ce, Bonne course !
Tant attendu, le défi des demois'ailes édition 2024 qui consiste à réaliser une course à pied à relais à travers La Mauricie est maintenant derrière nous. L'objectif était de courir par petite équipe, à raison de 10 km à chaque sortie, de jour, de soir et de nuit, beau temps, mauvais temps. Chacune des Demois'ailes devait courir l'équivalent d'un peu plus de deux marathons sur une période de 4 jours, soit environ 100 km. Plusieurs femmes inspirantes de la région représentent différents groupes d'âge, divers milieux de vie, mais qui ont en commun un seul but : réaliser ce défi afin d'amasser des fonds pour les maisons d'hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale. Au cours de cet épisode, vous nous entendrez coach Bill et moi (Coach Isa) parler de notre expérience, ainsi que quelques demois'ailes qui ont croisé notre micro au bon moment. Nous avons essayé de vous transmettre le plus concrètement possible la couleur et l'ampleur de ce défi, les enjeux et les réussites, et tout particulièrement les moments de bonheur intense que nous avons vécu tout au long de ce week-end. Finalement, nous avons enregistré post défi pour faire un retour à tête reposé sur notre expérience, vous partageant nos bons coups, nos fiertés, ce qui nous a touché. Sur ce, Bonne course !
Pour donner suite à notre épisode avec Jacynthe Côté, la marathonienne kétozen, Coach Isa s'est entretenue avec elle pour approfondir les concepts entourant ce type d'alimentation. Jacynthe, qui pratique la course depuis 16 ans, a participé à diverses compétitions, allant des 10 km aux marathons, tout ça avec une alimentation cétogène. L'objectif étant d'atteindre l'état de cétose, dont les principaux avantages incluent une énergie stable sans les fluctuations typiques des régimes riches en glucides, une transformation corporelle avec une réduction de la masse grasse, et une diminution des douleurs musculaires et des blessures. Jacynthe a également souligné l'amélioration de la qualité de son sommeil, facilitant une meilleure récupération après les entraînements. Dans cet épisode, nous voyons plus en profondeur ce qu'est l'état de cétose. Et que ce dernier peut être atteint de 3 façons : Par l'alimentation cétogène, soit consommer moins de 20g de glucides quotidiennement. Ensuite par le jeûne prolongé. Et finalement par la consommation de cétones exogènes. Qui semblerait être la meilleure option pour une personne végétarienne, Au-delà de l'alimentation cétogène, nous avons parlé de prendre soin de consommer moins d'aliments inflammatoires, c'est-à-dire une alimentation plus naturelle, qui optimiserait la capacité à être céto-adapté Nous avons abordé, l'importance des électrolytes pour la performance et l'avantage de consommer davantage de bons gras qui font diminuer naturellement la consommation de glucides. Cet épisode a offert une nouvelle perspective sur l'importance de la nutrition dans l'optimisation des performances et de la qualité de vie des coureurs. L'histoire de Jacynthe est un exemple puissant de la manière dont un régime alimentaire réfléchi peut transformer non seulement les résultats en course, mais aussi le bien-être général.
As-tu déjà entendu parler du format de course "Backyard Ultra"? Dans cet épisode solo (et expérimental) coach Franck nous partage son parcours vers sa première Backyard ou comme il préfère le dire "son expérimentation". Il va nous lire la page Wikipédia de la Backyard Ultra (boring...) puis il va nous parler de sa découverte de la Backyard, de son inscription, du choix de l'endroit, de ses amis beaucoup trop "awesome" qui sont prêt à venir faire son "crew", de ses entraînements (très scientifique et basé sur une grande expérience
Dans cet épisode, on explore le monde de la performance et de la bioénergétique. Maxime St-Onge, alias Dr Kin, est notre invité pour parler principalement de VO2max. Il est détenteur d'un baccalauréat en enseignement de l'activité physique de l'UQAM, d'une maîtrise en nutrition de l'UdeM et d'un doctorat en science de l'activité physique de l'UdeM. Il a toujours évolué dans le domaine de l'entraînement, développant des programmes basés sur la théorie et enrichis par la pratique. Ses champs d'expertise incluent l'évaluation de la dépense énergétique, la composition corporelle, et l'impact de l'entraînement et de la nutrition sur les performances. Il est un excellent vulgarisateur, partageant ses connaissances à travers des articles scientifiques, des formations et des conférences. Le VO2max est une mesure de la quantité maximale d'oxygène qu'une personne peut utiliser lors d'un exercice intense. C'est un indicateur clé de la capacité aérobie et de l'endurance cardiovasculaire. Connaître son VO2max peut fournir des informations précieuses sur sa condition athlétique et sa santé cardiovasculaire. Un VO2max élevé est souhaitable pour un athlète d'endurance et est associé à une meilleure santé cardiaque et à un risque réduit de développer des maladies cardiovasculaires. Faire le suivi des changements de VO2max au fil du temps permet également d'évaluer l'efficacité des programmes d'entraînement et d'apporter des ajustements au besoin. Connaître son VO2max offre plusieurs avantages. Cela permet de : Évaluer la capacité et l'efficacité à utiliser l'oxygène pour produire de l'énergie. Suivre l'évolution de sa condition physique. Adapter et optimiser les programmes d'entraînement. Il existe plusieurs tests pour estimer ou extrapoler le VO2max, comme le test de Cooper. Cependant, pour obtenir une mesure précise, des tests en laboratoire sont nécessaires, avec des équipements spécifiques qui vont au-delà d'une simple montre et d'un tapis roulant. **Valeur du VO2max** : Pour qui et pourquoi est-il important de connaître son VO2max? **Méthodes de Mesure** : Tests en laboratoire, tests maison, montres connectées. **Facteurs Influents** : Sommeil, fatigue, composition corporelle. **Applications Pratiques** : Utilisation pour déterminer les zones d'entraînement, optimiser les performances sportives. **Évolution du VO2max** : Impact de l'âge, différence entre hommes et femmes, comment l'améliorer et maintenir sa capacité aérobie. En fin d'épisode, Coach Bill s'est prêté au jeu de faire lui-même un test de VO2max dans le laboratoire de Maxime. Il nous a fait une petite rétroaction après cette séance intense. Sur ce, Bonne course !
Dans notre dernier épisode, nous avons abordé un sujet crucial pour tous les coureurs : comment gérer la chaleur estivale tout en restant performant. Avec le Défi des Demois'Ailes qui commence demain, il était temps de discuter des défis et des précautions à prendre pour courir en été. Voici un résumé des points clés abordés. Déshydratation vs Coup de Chaleur Bill et Isa ont introduit le sujet en soulignant la popularité du printemps et de l'automne pour la course, mais aussi les dangers spécifiques à l'été. Deux principaux risques sont à surveiller : la déshydratation et le coup de chaleur. **Le Coup de Chaleur** Un coup de chaleur survient lorsque la température interne du corps augmente trop, généralement à cause de la combinaison d'un climat chaud et humide, d'efforts physiques intenses, et d'une déshydratation. Les symptômes incluent : - Sensation de chaleur intense - Rougeur de la peau - Troubles du comportement (de l'hébétude à l'agressivité) - Démarche titubante - Fatigue et soif intenses - Crampes musculaires, frissons, chair de poule - Nausées, vomissements, voire un coma mortel **La Déshydratation** La déshydratation se produit lorsque les pertes en eau du corps dépassent les apports. Les premiers signes à surveiller sont : - Sensation de soif - Bouche sèche - Diminution du volume des urines (couleur foncée) - Fatigue et maux de tête À un stade plus avancé, elle peut provoquer de la fièvre, des troubles du comportement, ou une perte de conscience. Pour éviter ces dangers, il est essentiel de bien s'hydrater. Cela inclut de boire de l'eau et des électrolytes régulièrement, et même de faire geler une partie de son sac d'hydratation pour maintenir une température fraîche. Apprenez à reconnaître les signes de déshydratation et arrêtez-vous immédiatement si vous ressentez des maux de tête, des vertiges ou de la confusion. Pour mieux gérer la chaleur : - Adaptez l'intensité et la distance de vos courses - Utilisez une serviette rafraîchissante et mouillez-vous la tête et le cou pour un effet de refroidissement - Planifiez des arrêts réguliers - Surveillez votre fréquence cardiaque et votre respiration - Portez un capteur de température corporelle si possible L'heure à laquelle vous courez est cruciale. Préférez courir tôt le matin ou tard le soir, en évitant la pointe de chaleur entre 10h et 16h. Si possible, optez pour des trajets ombragés avec des points d'eau disponibles. Votre équipement doit également être adapté. Portez des vêtements légers avec une protection FPS, une casquette, des lunettes de soleil, et appliquez de la crème solaire, y compris sur les lèvres. Attention aux nouvelles irritations avec des vêtements plus courts. Si vous courez avec votre chien, sachez que l'asphalte très chaude peut brûler leurs coussinets. Prenez des précautions pour eux aussi. Nous espérons que ces conseils vous aideront à profiter de la course cet été en toute sécurité et avec plaisir. Restez hydraté, écoutez votre corps, et choisissez judicieusement vos moments et équipements pour courir. Bonne course ! Sur ce, Bonne course !
Dans notre dernier épisode, nous avons plongé pour la première fois dans le monde fascinant de la nutrition pour les coureurs. Cette exploration a été menée par une histoire vécue inspirante, celle de Jacynthe Côté, directrice d'un CPE, promotrice des produits Prüvit et coach de course à pied. Jacynthe, qui court depuis 16 ans, a participé à de nombreuses courses, allant des 10 km aux marathons complets. Son parcours et ses transformations alimentaires ont été au centre de notre discussion. Jacynthe a partagé son parcours de marathonienne glucidienne à coureuse ketozen. Elle nous a expliqué comment elle a découvert la cétose et les bienfaits d'une alimentation riche en lipides et faible en glucides. Selon elle, cette transition a non seulement amélioré sa performance de course, mais aussi son bien-être général. Nous avons exploré les mécanismes de la cétose et comment les glucides, protéines et lipides jouent des rôles distincts et cruciaux dans l'alimentation d'un athlète. Jacynthe a mis en lumière plusieurs avantages de son régime ketozen : - Énergie Stable : Contrairement aux régimes riches en glucides qui peuvent causer des pics et des chutes d'énergie, l'alimentation cétogène offre une source d'énergie stable et soutenue. - Transformation corporelle : Jacynthe a constaté une réduction de la masse grasse et une amélioration de sa composition corporelle. - Absence de douleurs et de blessures : Elle a noté une diminution significative des douleurs musculaires et des blessures, un bénéfice crucial pour tout coureur. - Sommeil profond et récupérateur : Un autre avantage majeur est un sommeil de meilleure qualité, ce qui facilite la récupération après les entraînements intenses. Nous avons discuté des jeûnes et de leur impact sur la course à pied, ainsi que de l'importance des électrolytes dans la performance et la récupération. Jacynthe a également démystifié certaines croyances courantes, notamment la nécessité de consommer une grande quantité de glucides la veille d'une course. Jacynthe nous a donné un aperçu de ce que l'alimentation des sportifs de haut niveau peut nous apprendre. Elle a souligné l'importance des bons gras et des cétones dans l'optimisation des performances. Cet épisode a été riche en informations et en conseils pratiques, offrant une nouvelle perspective sur la manière dont l'alimentation peut transformer non seulement notre performance de course, mais aussi notre qualité de vie. L'histoire de Jacynthe est un témoignage puissant des avantages d'une alimentation bien pensée et adaptée à nos besoins spécifiques en tant que coureurs. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, nous avons le plaisir d'accueillir Robin Bélanger, chiropraticien de renom et ancien joueur de football professionnel. Robin possède une impressionnante carrière sportive, ayant joué avec les équipes du Vert&Or, des Diablos, des RedMen, des Lions et des Argonauts. Diplômé en chiropratique du Palmer College aux États-Unis, il combine son expertise médicale avec une riche expérience sportive pour offrir des soins spécialisés aux athlètes. Robin commence par expliquer ce qu'est la chiropratique et en quoi elle diffère des autres formes de thérapies manuelles comme l'ostéopathie et la physiothérapie. Il démystifie les clichés courants autour des ajustements chiropratiques, souvent réduits au simple "cric-crac-croc", et souligne l'importance de la recherche de la flexibilité et de la mobilité articulaire. Nous discutons ensuite des types de blessures les plus fréquentes chez les coureurs et des signes précurseurs à surveiller. Robin partage des techniques spécifiques qu'il utilise pour traiter les blessures liées à la course à pied, et explique comment les ajustements chiropratiques peuvent non seulement soulager les douleurs mais aussi améliorer la performance et la récupération des coureurs. Il insiste sur le rôle crucial de la colonne vertébrale dans la mécanique de la course et l'impact des désalignements sur la performance. Robin partage également des conseils pratiques pour favoriser un bon alignement à la maison, y compris des exercices spécifiques. Il aborde l'importance de la santé articulaire dans la prévention des blessures et donne des astuces pour gérer les attentes des patients qui souhaitent continuer à courir malgré une blessure. En se basant sur ses nombreuses années de pratique, Robin nous raconte des anecdotes mémorables de ses séances avec des coureurs et des succès notables. Enfin, Robin donne son conseil numéro un pour éviter les blessures : écouter son corps et ne pas ignorer les signaux d'alerte. Il insiste sur l'importance d'une approche proactive pour maintenir une bonne santé articulaire et musculo-squelettique, et sur la nécessité de consulter un professionnel dès les premiers signes de douleur. Cet épisode offre une mine d'informations pour tous les coureurs, qu'ils soient débutants ou expérimentés, et met en lumière l'importance de la chiropratique dans le maintien de la performance et de la santé à long terme. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, nous abordons le pouvoir de la motivation personnelle et comment maintenir un état d'esprit positif même face aux défis les plus difficiles. Trouver une raison profonde et transcendante pour courir peut transformer votre expérience et vos performances. Un exemple inspirant est Eliud Kipchoge, dont le slogan « No human is limited » incarne une volonté de dépasser les limites perçues de l'humanité. Son combat va au-delà de la course, démontrant qu'avec une croyance inébranlable en soi-même, des performances incroyables sont possibles. L'importance d'un bon "WHY" Avoir une raison puissante pour courir vous permet de surmonter les moments de doute et de douleur. Votre discours interne joue un rôle crucial pendant et après la course. Lorsque la fatigue s'installe, il est essentiel de surveiller les pensées négatives telles que "Tu vois, tu n'es pas si fort mentalement" ou "Tu manques de courage". Ces pensées peuvent saboter vos efforts si elles ne sont pas gérées correctement. Les stratégies mentales pour rester motivé Isa partage son expérience lors du 10 km d'Ottawa, où elle a maintenu un état d'esprit impeccable malgré des douleurs. Le cerveau, étant notre meilleur allié et ennemi, sait exactement sur quelles failles jouer pour nous faire ralentir. Pour contrer cela, des techniques comme se répéter "J'aime les burpees" ou "J'aime les côtes" peuvent transformer des obstacles en défis appréciables. Diviser le parcours en segments plus petits rend également la course plus gérable. Douceur et bienveillance envers soi-même Il est crucial d'être doux et bienveillant envers soi-même. Apprendre à distinguer entre l'endurance de l'inconfort et l'aggravation d'une blessure est fondamental. La gestion des plans d'entraînement et des sorties manquées ne doit pas devenir une charge mentale ; parfois, faire une course plus courte est plus bénéfique que d'insister. Utiliser le stress comme moteur de motivation Le stress peut être un puissant générateur de motivation. En utilisant des éléments du modèle CINÉ (Contrôle, Imprévisibilité, Nouveau, Égo menacé), vous pouvez transformer le stress en une force positive. Il est également important de savoir si c'est le corps ou le mental qui flanche et d'avoir des objectifs SMART (spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes, temporellement définis). Créer un espace sécurisant et motivant Créer un espace mental sûr avec des souvenirs de réussites et des moments doux peut vous aider à rester motivé. Avoir une mentalité de croissance, plutôt que fixe, vous permettra de voir les défis comme des opportunités de croissance. Gérer les influences négatives Savoir désamorcer une personne négative et reconnaître quand il est temps de ne plus investir d'énergie dans ces interactions est crucial. L'essentiel est de bien se connaître et de maintenir un discours interne positif pour naviguer à travers les défis de la course à pied. En conclusion, trouver votre "WHY" et développer des stratégies mentales solides peut transformer votre expérience de course. Soyez bienveillant avec vous-même, utilisez le stress comme motivation, et entourez-vous de positivité pour continuer à avancer vers vos objectifs. Sur ce, Bonne course !
Nous avons eu le plaisir d'accueillir Julien Lamy, un physiothérapeute exceptionnel. Julien a obtenu sa maîtrise en physiothérapie de l'Université Laval en 2015. Il a travaillé comme étudiant-soigneur pour le Rouge & Or football et comme physiothérapeute pour le Cirque du Soleil. Aujourd'hui, il est le propriétaire du réseau de cliniques Physio St-Maurice depuis 2021. En plus de tout cela, Julien est un coureur de trail et un ultra-coureur, connu pour courir en sandales ! Julien partage ses expériences dans des courses d'obstacles exigeantes comme la Spartan Race et la Beast à Killington. Il parle de la préparation nécessaire et des défis physiques et mentaux rencontrés lors de ces événements. Julien explique que la physiothérapie consiste à réadapter et retrouver des fonctions perdues à cause d'accidents ou de blessures. Il met en avant l'importance de consulter un physiothérapeute en première ligne, souvent plus accessible qu'un médecin, pour des problèmes musculo-squelettiques. Il nous explique ce qui distingue la physiothérapie des autres thérapies manuelles. Il souligne l'importance d'une approche interdisciplinaire pour une prise en charge globale du patient, en intégrant divers spécialistes comme les physiothérapeutes, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, chiropracticiens, massothérapeutes et orthésistes. Julien énumère les blessures les plus courantes qu'il voit en clinique chez les coureurs, soit la tendinopathie d'Achille, douleurs à la hanche, fasciiapathie plantaire et les lombalgies. On a discuté de la manière dont il détermine si un athlète doit arrêter complètement ou maintenir une activité physique pendant la réhabilitation. Bill partage son expérience personnelle en physiothérapie avec Julien et Anne-Marie. Enfin, il nous propose des exemples d'activités alternatives bénéfiques pour les coureurs blessés, permettant de maintenir une certaine forme physique sans aggraver la blessure. On a aussi parlé de certains actes plus spécifiques aux physiothérapeutes. Comme l'utilisation des aiguilles sèches, qui selon lui donne d'excellents résultats pour soulager la douleur et améliorer la récupération. L'épisode se termine en rappelant aux auditeurs l'importance de prendre soin de leur corps pour continuer à courir de manière saine et durable. Sur ce, Bonne course !
Ceci est un épisode où on s'est fait plaisir en vous racontant notre weekend de course à Ottawa. Coach Franck a participé au 10km ainsi qu'au marathon. Coach Isa a réalisé le défi 17km, soit le 2km, le 5km et le 10km. successivement dans la même journée. Finalement, Coach Bill a pris part au marathon le dimanche matin. On commence le périple en vous parlant de l'expérience de l'expo au Pavillon Aberdeen pour aller chercher nos dossards et faire quelques achats. Ensuite, la vibe qui existe dans la ville et l'ambiance survoltée qu'on vit sur les lignes de départ. Évidemment, on vous raconte aussi nos courses. On a tous eu de petites ou grandes surprises qui ont agrémenté notre parcours. Finalement, on a aussi fait un petit palmarès des attractions qu'on a vu sur le trajet. Que ce soit des supporteurs engagés, des pancartes loufoques ou des coureurs qui font des prouesses extraordinaires. Chaque petit détail a contribué à rendre ce weekend mémorable. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, nous explorons l'importance des étirements pour les coureurs. Que vous soyez débutant ou confirmé, comprendre les différents types d'étirements et savoir quand les intégrer à votre routine peut améliorer votre flexibilité, prévenir les blessures et optimiser vos performances. Isa et Bill partagent leurs expériences de course récentes, principalement leur participation au pré-défi des Demois'ailes. Ce défi a été une source d'inspiration pour discuter des différentes méthodes et bénéfices des étirements. Cet épisode est présenté par le Défi Forestier. Une course en sentier unique qui a lieu en septembre à Saint-Gabriel de Valcartier. Bill introduit le sujet en soulignant l'importance des étirements dans la routine d'un coureur. Nous explorons les différents types d'étirements et leurs spécificités : - Étirements Statiques : Tenir une position d'étirement pendant 15 à 60 secondes pour augmenter la flexibilité. - Étirements dynamiques : Mouvement continu pour échauffer les muscles avant une course. - Étirements balistiques : Mouvements dynamiques et puissants utilisés par les athlètes de haut niveau. - Facilitation Neuromusculaire Proprioceptive (PNF) : Combinaison d'étirements passifs et actifs pour une flexibilité accrue. Nous discutons également des raisons pour lesquelles s'étirer est crucial : - Augmentation de la flexibilité et de l'amplitude de mouvement. - Prévention des blessures et réduction des tensions musculaires. - Amélioration des performances et économie de course. Nous abordons les moments idéaux pour s'étirer : - Avant la course : Étirements dynamiques pour échauffer les muscles. - Après la course : Étirements statiques pour favoriser la récupération. - Tout au long de la journée : Pour contrer les effets d'une position assise prolongée. - Régulièrement : Pour traiter des problèmes spécifiques. Quand éviter les étirements ? - Douleur aiguë ou blessure récente. - Muscles froids (évitez les étirements statiques ou balistiques). - En cas d'hyperlaxité. - Après une épreuve très intense. Nous discutons également de l'utilisation d'outils comme les bandes de résistance et les rouleaux en mousse, ainsi que de l'importance de maintenir la motivation avec des exercices simples et pratiques. Isa mentionne les bienfaits du yoga pour la flexibilité, la force et la concentration, concluant que c'est une excellente addition à toute routine d'étirement. Isa et Bill résument les points clés, soulignant l'importance d'intégrer les étirements dans votre routine pour maximiser les performances et prévenir les blessures. Rejoignez-nous pour ce guide complet et enrichissant sur les étirements pour les coureurs. Sur ce, Bonne course !
Dans notre dernier épisode, Coach Isa a ouvert la discussion en nous plongeant dans l'atmosphère printanière qui règne actuellement, alors qu'on enregistre la journée de la fête des mères. Avec l'été qui approche à grands pas, cette période est riche en événements pour les coureurs, et c'est aussi le moment parfait pour une rétrospective des progrès de nos athlètes. Nous avons donc décidé de consacrer cet épisode à faire un bilan de nos athlètes, en partageant avec vous leurs évolutions et leurs réalisations. N'oubliez pas de participer au concours en partenariat avec le Défi Forestier. Rendez-vous sur notre page Facebook ou sur notre groupe Strava pour taguer vos partenaires qui vous accompagneront dans les sentiers. Avant de nous plonger dans les détails, nous avons échangé sur nos activités de la semaine, avec Bill qui a partagé ses séances d'improvisation au centre-ville de Trois-Rivières deux fois cette semaine, tandis qu'Isa a participé à la course Une fille qui court, une course uniquement pour femme afin de célébrer le dépassement de soi. Pour introduire le sujet principal, Bill a lancé la rétrospective en abordant l'évolution des parcours de nos athlètes. Nous avons examiné de près les objectifs atteints, les nouveaux défis à relever, ainsi que les blessures et inconforts rencontrés en chemin. Nous avons également discuté des objectifs à court, moyen et long terme pour nos athlètes, en soulignant les progrès réalisés et les obstacles surmontés. Certaines histoires sont inspirantes, d'autres nous rappellent que le parcours n'est pas toujours linéaire, mais au final, ils sont tous gagnants. En conclusion, cet épisode nous a permis de prendre du recul et d'apprécier le chemin parcouru par nos athlètes. Leur détermination, leur résilience et leur passion pour la course à pied sont une source d'inspiration pour nous tous. Nous sommes impatients de voir ce que l'avenir leur réserve et de continuer à les soutenir dans leurs aventures sportives. Sur ce, Bonne course !
Dans notre dernier épisode de podcast, Isa a ouvert la discussion sur une idée intrigante : celle de combiner le jeu avec la course à pied. Elle a partagé son enthousiasme pour une expérience récente où elle a couru en s'amusant avec ses fils, ce qui l'a amenée à réfléchir à la notion de "courir en jouant" ou "jouer en courant". Aujourd'hui, nous explorons les différents types d'événements de course qui sortent de l'ordinaire. On vous rappelle que notre concours excitant pour le Défi Forestier est toujours en vigueur. Nous offrons la chance de remporter l'accès pour une équipe de 2, 3 ou 4 personnes. Pour participer, il faut taguer les amis que vous désirez inviter avec vous, soit sure Facebook ou sur le groupe Strava. Passons maintenant au vif du sujet : les courses originales et hors du commun. Bill nous présente une liste impressionnante d'événements, allant des distances standard aux ultramarathons, en passant par les Ironman et autres défis d'endurance extrême. Nous explorons des courses uniques telles que le Barkley Marathon, le Backyard Ultra, le Marathon de la Muraille de Chine, le Marathon du Nord-Pôle et bien d'autres. Mais les courses originales ne se limitent pas à la distance ou au terrain. Nous découvrons également des événements thématiques comme le Run Disney, le Beer Mile, la NYC Pizza Run et le Krispy Kreme Challenge. Certains défis, comme la course contre un cheval, ajoutent une dimension ludique à la compétition. En conclusion, cet épisode vise à vous faire découvrir la diversité et la créativité des événements de course à pied à travers le monde. Nous espérons que cela vous inspirera à sortir des sentiers battus et à explorer de nouvelles expériences de course. N'oubliez pas de participer à notre concours pour le Défi Forestier et de rester à l'écoute pour d'autres aventures passionnantes dans le monde de la course à pied. Sur ce, Bonne course !
Lors de notre dernier épisode de podcast, nous avons eu le plaisir de recevoir Émy et Thomas, deux des co-organisateurs du Défi Forestier. Cette course, qui a vu le jour en 2014 sous la forme d'une course à obstacles familiale, a depuis évolué pour devenir un événement de course en sentier. Issus de l'école Mont-Saint-Sacrement de St-Gabriel de Valcartier, Emy et Thomas nous ont fait part de leur passion pour la course à pied et de leur motivation à relancer cette course unique. L'étincelle qui a ravivé le Défi Forestier vient de leur volonté de créer un événement qui allie la passion du sport à une cause noble. En effet, les profits de la course sont reversés à une fondation, ce qui donne un sens encore plus profond à leur démarche. La mission de l'événement est claire : offrir une expérience unique aux coureurs tout en contribuant à une bonne cause qui redonne à l'école secondaire qui les a formés. La particularité du Défi Forestier réside dans son format innovant. Les participants ont l'opportunité de parcourir un circuit composé de 10 boucles, chacune présentant des niveaux de difficulté variés. De plus, chaque boucle peut être complétée jusqu'à trois fois, offrant ainsi aux coureurs une expérience diversifiée et stimulante. Le tout se déroule dans le cadre enchanteur du terrain de l'école Mont Saint-Sacrement à Saint-Gabriel-de-Valcartier. Organiser une telle course n'est pas sans défis. Émy et Thomas ont partagé avec nous les complexités logistiques et organisationnelles auxquelles ils sont confrontés, tout en soulignant l'importance des partenariats et du soutien des bénévoles pour la réussite de l'événement. Enfin, pour célébrer cet épisode et partager notre enthousiasme pour le Défi Forestier, nous avons lancé un concours ensemble. Nous offrons la chance de remporter une équipe pour participer à la course. Il s'agit là d'une belle opportunité de vivre une expérience unique en plein cœur de la nature tout en soutenant une cause louable. Restez à l'écoute pour d'autres épisodes captivants et n'oubliez pas de participer à notre concours pour tenter de gagner votre place au Défi Forestier ! Nous annoncerons le gagnant dans l'épisode du 11 juin 2024. D'ici là, bonne course ✌️
Dans cet épisode, Bill et Isa explorent la complexité de l'équilibre entre les objectifs sportifs et les obligations de la vie quotidienne. Bill ouvre la discussion en soulignant que s'engager dans un objectif ambitieux ne modifie pas seulement la dimension sportive de notre vie, mais influence également nos interactions sociales et familiales. Isa partage son expérience de sa première sortie en continu, mettant en lumière les défis et les réussites rencontrés lors de la réalisation d'un objectif personnel. On aborde ensuite les choix déchirants que les coureurs peuvent être amenés à faire pour réaliser leurs rêves, notamment en sacrifiant certaines activités sociales ou familiales. On souligne l'importance de prioriser ses objectifs sportifs et de prendre en compte l'impact de chaque activité sur la progression vers ces objectifs. Par exemple, Bill mentionne qu'il a dû arrêter de jouer au badminton et ressent de la réticence à jouer au golf, craignant que cela ne compromette ses performances en course à pied. La discussion se penche également sur les défis liés à la gestion du temps et de l'énergie, en particulier lorsque l'on s'engage dans plusieurs activités sportives en même temps. Les risques de surcharge corporelle et les blessures associées sont mis en avant, soulignant l'importance d'une gestion équilibrée des différentes activités. Enfin, Bill et Isa abordent des questions pratiques telles que la gestion de la charge mentale, l'alimentation et même la consommation d'alcool dans le cadre d'un mode de vie axé sur les objectifs sportifs. Cet épisode offre une réflexion pratique sur la manière dont les coureurs amateurs peuvent intégrer leurs objectifs sportifs dans leur vie quotidienne, tout en reconnaissant les défis et les sacrifices inhérents à ce choix. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode, préparez-vous à une discussion franche et introspective alors que nous plongeons au cœur d'une question cruciale pour tout coureur : Suis-je coachable ? Avec Coach Isa et Coach Bill, on s'aventure dans un territoire délicat où les égos sont mis à rude épreuve et où les résistances intérieures sont examinées sans filtre. À travers des exemples concrets et des anecdotes, nous explorons les obstacles à profiter pleinement d'une expérience de coaching. Des résistances courantes telles que la peur du changement, l'égo surdimensionné, ou le manque de confiance en soi sont des freins qu'on explore. Il y a aussi ceux qui prennent trop d'initiatives en modifiant constamment le plan établi, ou encore ceux qui ne communiquent pas suffisamment avec leur coach sur leur ressenti réel. Être coachable, c'est avant tout être ouvert à la critique constructive. Nous abordons l'importance de la confiance envers le coach et la nécessité de comprendre le pourquoi derrière chaque recommandation. Un aspect essentiel de la coachabilité est la capacité à accepter une progression imperceptible et faire confiance au processus. On a rassemblé plusieurs erreurs qui sont faites de bonnes foi, mais qui mine la progression d'un athlète, peu importe son niveau. Pour être coachable, il faut avoir confiance, non seulement envers le coach, mais aussi envers soi-même. Nous examinons les dynamiques complexes de la confiance en soi et envers le processus d'entraînement. En conclusion, on s'est chacun prononcé en tant que coach sur ce qu'est un athlète modèle pour nous. Bref, être coachable demande un mélange délicat d'humilité, de confiance et d'ouverture au changement. Nous remercions nos auditeurs pour leur écoute et les encourageons à répondre se poser la question à eux-mêmes : Suis-je coachable ?
Dans notre dernier épisode, nous avons eu le plaisir d'accueillir Marc-André Valiquette, écologiste chef d'équipe chez Parc Canada et coureur de trail passionné Dans cet épisode, Coach Franck nous annonce qu'il est maintenant ultramarathonien.
Dans cet épisode, nous plongeons dans le monde des défis sportifs et de l'engagement envers une cause. Animé par Coach Bill et Coach Isa, nous explorons les motivations, les défis et les récompenses associés à la participation à des événements de course ambitieux. Nous commençons par discuter de la montée en popularité des événements de course à pied liés à des causes caritatives. Ces défis offrent bien plus que de simples kilomètres à parcourir ; ils fournissent une motivation extrinsèque et un sentiment d'appartenance à une communauté engagée. Nous partageons nos propres expériences de défis personnels et de ce qui nous a poussés à nous surpasser. Isa partage son vécu en tant qu'entraîneuse et participante aux Demois'Ailes, soulignant le fort sentiment d'appartenance et de fierté associé à de tels défis. Pour Bill, ce fut le coaching des Demois'Ailes ainsi que son rôle d'encadreur dans le Grand Défi Pierre Lavoie. Nous explorons également la dynamique entre la course pour soi et la course pour une cause. Les pressions sociales, la motivation collective et l'engagement envers une mission plus grande peuvent tous jouer un rôle dans la façon dont nous abordons nos objectifs de course. Enfin, nous discutons de l'importance de la période post-défi, où repos, réflexion et récupération sont essentiels. Nous abordons les aspects psychologiques de la transition après un défi, y compris la solitude et l'état de manque. En conclusion, dans cet épisode, on vous encourage à vous engager dans des défis, qu'ils soient personnels ou liés à une cause. Nous soulignons l'importance de sortir de sa zone de confort, de puiser dans ses propres ressources intérieures et de s'ouvrir à l'imprévu pour atteindre des sommets qu'on pensait inatteignables. Ces réussites sont génératrices d'une très grande fierté personnelle. Sur ce, Bonne course !
Cette semaine, c'est le retour de Coach Franck !!!
Nous avons eu le plaisir d'accueillir Sandra Martel, une massothérapeute, kinésithérapeute et orthothérapeute expérimentée. Elle est aussi la conjointe de Coach Bill.
Dans le duo de cette semaine, nous explorons avec un brin d'humour, les “raisons” de ne pas courir. Bien entendu, l'idée est de mettre en lumière les différentes excuses qu'on se donne, qui nous empêchent de pratiquer la course à pied. On y met en lumière les obstacles physiques auxquels de nombreux coureurs sont confrontés, tels que le manque d'énergie, les blessures ou la peur de se blesser, ainsi que les difficultés spécifiques rencontrées par les débutants, comme les douleurs aux genoux. Nous avons également examiné les facteurs environnementaux tels que la température et le parcours, ainsi que les contraintes logistiques telles que le manque de temps et d'équipement. Sur le plan mental, nous avons exploré la théorie de l'abandon, la peur du jugement et le sentiment d'imposture, en soulignant l'importance de cultiver une mentalité positive et de se fixer des objectifs réalistes et progressifs. Pour aider à surmonter ces défis, nous avons proposé diverses solutions pratiques. Il s'agit notamment de planifier soigneusement son entraînement en tenant compte des contraintes de temps et d'environnement, et d'adopter une approche proactive pour surmonter les obstacles mentaux. Nous avons également souligné l'importance de trouver des moyens de rendre l'entraînement plus accessible, que ce soit en se fixant des limites claires pour déterminer quand arrêter ou en explorant des alternatives plus pratiques, telles que l'entraînement à domicile ou l'emprunt d'équipement. Que vous soyez débutants, intermédiaires ou experts à la course à pied, vous vous y retrouverez certainement plus d'une fois. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode captivant de Coureur.IO, nous avons eu le plaisir d'accueillir David Trudel-Bergamo, un coureur passionné ayant un handicap visuel. David est travailleur social à la Fondation Inca (Institut national canadien pour les aveugles), chef du programme psychosocial pour adultes et co-fondateur du club de course les Visionnaires. Malgré son handicap, David est un coureur actif depuis bientôt trois ans. En plus des Visionnaires, qui est un club de course dédié aux coureurs ayant un handicap visuel, il prend aussi part à d'autres groupes de courses auprès de coureurs voyants. Il nous a expliqué le spectre des troubles de la vision et les dénominations correctes à utiliser. David nous a partagé les défis auxquels il est confronté en tant que coureur semi-voyant. Tenez-vous bien, il ne fait pas que du tapis, mais plutôt de la course sur route et même de la trail. Il nous a expliqué les adaptations requises pour les coureurs aveugles ou malvoyants et comment guider efficacement un non-voyant lors d'une course. On a même appris les rudiments importants pour devenir un guide partenaire et pouvoir accompagner un athlète en situation de handicap visuel. Nous avons également abordé la question de l'inclusion des personnes handicapées dans les clubs de course et les événements, ainsi que les moyens par lesquels les clubs pourraient mieux soutenir ces coureurs. En conclusion, David nous a offert des messages inspirants sur l'inclusion et le soutien aux coureurs en situation de handicap, et nous a rappelé l'importance de la diversité dans la communauté de la course à pied. Cet épisode nous a permis de mieux comprendre les défis et les triomphes des coureurs comme David, et nous a encouragés à créer un environnement plus inclusif pour tous les passionnés de course à pied. Sur ce, Bonne course !
L'épisode de cette semaine marque le début de la toute nouvelle saison 3. Qui dit nouvelle saison, dit nouveautés. Le format demeure, la cadence aussi, mais ce sont les coachs-animateurs qui seront en rotation. Pour ce faire, on accueille Coach Isa qui se joint à l'équipe. En ouverture, on prend le temps de vous remercier les auditeurs qui nous font des commentaires positifs et nous partagent vos expériences de course. C'est notamment le cas de Caroline qui nous a envoyé un très beau message pour nous partager son état d'esprit face à la course et comment l'épisode Ralentir pour aller plus vite a été éclairant pour elle. Le cœur de l'épisode consiste à apprendre à connaître Coach Isa qui nous présente son parcours. Elle est kinésiologue depuis 2014 et elle est coach des Demois'Ailes 2024. Elle nous explique pourquoi elle a délaissé la kinésiologie pendant quelques années et sous quelle forme elle y prend du plaisir aujourd'hui. En conclusion d'épisode, vos coachs vous parlent de leurs objectifs de 2024. On y apprend que Coach Franck lorgne vers la trail, et même de l'ultra-trail ! Coach Isa quant à elle aura un mix de course sur route et de course à obstacles avec le triple crown de Xman Race. Coach Bill restera bien confortablement sur la route avec des courses locales comme la Série du Diable et le Défi de la tortue. Mais pour commencer la saison en force, les trois seront du départ du weekend de course à Ottawa pour le 50e anniversaire de cette course légendaire. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode de clôture de la saison 2, Coach Franck et Coach Bill en profitent pour jaser de plein de sujets variés ainsi que sur les perspectives pour l'avenir du podcast Coureur.IO. On a profité de cet épisode particulier pour faire une shootshout out, non pas à un, mais bien trois auditeurs assidus qui nous font régulièrement des rétroactions. La grosse nouvelle est évidemment, c'est la fin de la saison 2. Évidemment que ce n'est qu'un tremplin vers autre chose et vous n'avez pas fini de nous entendre jaser pendant vos sorties de courses. Dans le prochain épisode, on accueillera Coach Isa qui prendra la relève de Coach Franck pour quelque temps. On continuera le format avec 2 coach-animateurs, mais nous serons en rotation pour que chacun de nous puisse s'offrir des petites pauses bien méritées. Dans l'idéal, on va poursuivre les publications chaque semaine.
Dans le dernier épisode de notre podcast, nous avons eu le plaisir d'accueillir Marianne Pelchat, productrice déléguée chez Gestev. Passionnée de course à pied et coureuse aguerrie, Marianne nous a offert un aperçu captivant des coulisses de l'organisation des grands événements de course. Gestev par sa filiale Je Cours Qc, une organisation reconnue pour ses événements de course emblématiques tels que le Marathon de Québec et le Demi-marathon de Lévis, s'efforce de créer des expériences uniques pour les coureurs. Marianne a partagé avec nous l'historique et la mission de l'organisme, ainsi que les particularités de ses principaux événements. Elle a souligné l'importance de rester près de la communauté des coureurs, une tâche facilitée par sa propre passion pour la course. Parmi les sujets abordés, Marianne a répondu à une question brûlante : pourquoi payer un dossard pour une course alors que l'on peut courir gratuitement dans la rue ? Elle a également partagé les défis logistiques auxquels Je Cours Qc est confronté lors de l'organisation d'événements de grande envergure, tels que la planification du parcours, la sécurité des coureurs, la gestion des bénévoles et l'impact environnemental. L'équipe qu'elle dirige comporte plusieurs personnes. D'ailleurs le volet médical est pris très au sérieux puisque 2 médecins siègent sur le comité organisateur. Lors de l'événement, plusieurs effectifs sont déployés afin d'assurer une prise en charge très rapide si un athlète avec un malaise. Elle a également mis en lumière l'importance des bénévoles dans la réussite de ces événements et a invité les auditeurs à vivre cette expérience lors d'un prochain événement de Je Cours Qc. Pour en savoir plus sur les événements de course de Je Cours Qc et pour vous impliquer en tant que bénévole, rendez-vous sur leur site web. Sur ce, Bonne course !
On profite de cet épisode en duo pour faire un peu de chit-chat ensemble et remercier les auditeurs qui nous font des commentaires ou repartage les épisodes. Dans les nouvelles, c'était le lancement de notre tout nouveau groupe sur Strava et on est vraiment heureux que vous ayez répondu présent très rapidement. On se sent moins seuls.
Dans cet épisode, vos coachs-animateurs accueillent le policier Luc Mongrain qui est sergent aux relations publiques et communautaires pour la Direction de la police de Trois-Rivières. On explore avec lui un sujet crucial, mais souvent négligé : notre sécurité en tant que coureurs lorsqu'on circule en milieu urbain, ainsi que les règles et les lois qui s'appliquent. En plus d'être un policier au fait des lois pour nous guider, il s'avère qu'il est aussi un coureur de longue date et il maintient une très belle constance dans sa pratique. Il court depuis plusieurs années puisqu'il nous a avoué être à l'aube de la retraite et avoir pris cette bonne habitude de vie dans sa jeune vingtaine. On vous laisse faire le calcul. D'emblée, il faut savoir qu'un coureur est à la base un piéton. C'est donc cette portion du code de la sécurité routière qui nous intéresse. Au cœur des échanges, le Sgt Mongrain nous partage des informations précieuses sur les généralités entourant la circulation des piétons, expliquant notamment les nuances entre les traverses de piétons jaunes et blanches, les pistes cyclables, et la question cruciale de la circulation en l'absence de trottoirs. Les sujets abordés incluent également les signaux pour piétons, l'attente parfois interminable à un quadrilatère, mais aussi des questions pratiques comme : est-ce qu'on peut traverser en diagonale un quadrilatère ?
Dans cet épisode, nous avons eu le plaisir de discuter avec Jade Gendron, une coureuse passionnée qui jongle habilement entre sa vie de famille, son travail, et sa pratique sportive. D'entrée de jeu, elle nous a dévoilé son engagement formel de débuter la course en janvier 2022, marquant ainsi le point de départ d'une aventure riche en découvertes et en défis. Son secret réside dans une organisation minutieuse de sa semaine, qu'elle planifie avec soin à l'automne en se fixant des objectifs saisonniers, mensuels et hebdomadaires. Elle nous a partagé son approche ludique en découpant ses entraînements en saisons et en mois, lui permettant ainsi de maintenir une certaine flexibilité tout en poursuivant ses ambitions. Outre ses conseils pratiques sur la planification des repas, jusqu'à utiliser les services d'épicerie en ligne, Jade a souligné l'importance de garder la notion de jeu dans l'atteinte des objectifs, particulièrement lorsque l'on implique les enfants. Avec deux enfants de 9 et 11 ans, elle a créé un menu sur 5 semaines adapté aux saisons, favorisant ainsi une alimentation équilibrée tout au long de l'année. L'épisode a également exploré le concept d'organisation dans le développement personnel, mettant en avant la stratégie des petits pas et la souplesse qui découle de la rigueur initiale. Jade nous a rappelé que la planification des entraînements est une clé pour obtenir des résultats concrets et que pour elle 'il est essentiel d'impliquer ses enfants comme des partenaires dans cette aventure. Enfin, elle nous a partagé ses inspirations, notamment les enseignements des livres L'effet cumulé de Darren Hardy et de La Liste de Jérémy Demay. Cet épisode offre un regard inspirant sur la conciliation entre la vie de famille, le développement personnel, et la passion de la course à pied, tout en dévoilant les clés d'une organisation efficace et ludique. Il s'agit d'un épisode à utiliser comme un outil, à prendre ce qui résonne pour vous et à laisser ce qui ne vous intéresse pas. Soulignons l'importance de s'entourer de personnes positives, que ce soit physiquement, virtuellement, ou à travers des podcasts. Sur ce, Bonne course !
Dans cet épisode vos coachs discutent des avantages de rejoindre un club de course. Évidemment, un des facteurs déterminants est le sentiment d'appartenance à un club de course et à ses membres qui peut stimuler la motivation personnelle. Ça devient un groupe de soutien mutuel qui permet d'échanger sur pleins de sujets, liés à la course ou pas. On tisse des liens et on se fait des contacts qui peuvent être utiles. Au même titre que les événements de course organisés, les clubs peuvent être intimidants. Cependant, ils sont généralement plus inclusifs qu'on peut le croire. Il y a de la place pour les le gens de tous les niveaux et les entraînements vont normalement adapter la sortie pour qu'elle serve tous les membres. Les coureurs plus expérimentés peuvent même offrir une forme de mentorat pour les coureurs débutants. Au-delà des liens sociaux et de l'expérience des autres membres, vous profiterez aussi de l'expertise et des conseils d'un coach qualifié. Cette personne est un excellent observateur externe afin de surveiller globalement vos entraînements et vous guider dans une pratique sécuritaire et durable de la course à pied. Bien que l'adhésion à certains groupes soit payante, voire coûteuse, d'autres clubs sont plutôt à vocation sociale et sont tout simplement gratuits.Prenez le temps de trouver un club ou un groupe de course qui rejoint vos valeurs et qui colle à vos objectifs. C'est une bonne idée de profiter des essais gratuits et de parler avec les autres membres pour déterminer si c'est en accord avec vos attentes. Bref, que ce soit un groupe avancé, de débutants ou de cardio-poussette, il y a des clubs pour tous les types de coureurs. Vous y trouverez des gens qui partagent votre passion, qui veilleront sur vous avec bienveillance et qui vous guideront dans une pratique sécuritaire de la course à pied. Sans compter le développement de relations humaines, l'inspiration mutuelle et le mentorat par les autres membres. Sur ce, Bonne course !
Dans le duo de cette semaine, on explore l'univers des médias sociaux spécifiques au sport. On discute des effets motivants, mais surtout des risques liés à l'image que l'on souhaite projeter à nos followers. Il existe une panoplie de plateformes qui sont souvent liées à l'équipement que vous avez acheté (Garmin, Suunto, Polar, Fitbit, Apple Watch etc.). Il y a aussi les applications agnostiques qui regroupent tous les sportifs indépendamment de leur montre ou de ce qu'ils utilisent pour enregistrer leurs entraînements. On s'est surtout concentré sur Strava puisque c'est indéniablement le plus populaire de tous. Premièrement on fait un retour de ce qu'est-ce que Strava parce que ce n'est pas nécessairement connu de tous nos auditeurs. Découvrez comment les fonctionnalités telles que les badges, les local legends, les segments et les groupes créent une communauté interactive qui vous comparent à vos amis sportifs. Il s'agit d'un fabuleux outil pour faire vos suivis, conserver une trace de vos entraînements et prendre acte de votre progression. Ça s'avère aussi excessivement utile pour un coach qui veut suivre ses athlètes et obtenir des données fiables et objectives. Coach Bill témoigne d'une expérience vécue pour montrer qu'un challenge peut être très motivant ou a contrario pousser un athlète vers une blessure et miner sa santé. Enfin, on parle de la perception des autres sur les entraînements qui sont publiés sur ces plateformes. Encore une fois le côté motivant et inspirant, mais aussi l'effet pervers de la pression de performer pour impressionner ses amis. Finalement, on a conclu que PERSONNE ne regarde vraiment votre vitesse ou votre distance mensuelle. C'est une pression que chaque athlète s'impose alors que ces chiffres sont plutôt futiles pour les autres. On devrait plutôt prioriser l'effet de bien-être et conserver le côté sain du sport. Ceci dit, vous pouvez 100% partager cet épisode sur les réseaux sociaux pour améliorer votre image
Dans cet épisode, coach Franck et coach Bill reçoivent à nouveau le très pertinent Dr Étienne Leclerc, orthopédiste et triathlète passionné. Il s'est prévalu de sa carte chouchou pour revenir jaser avec nous en studio. C'est avec une touche d'humour et d'expertise, qu'on plonge dans le monde fascinant de la relation entre l'entraînement, le système immunitaire et les virus saisonniers. Le sujet principal explore si les athlètes sont plus enclins aux virus ou si, au contraire, leur activité physique les protège. On aborde des points cruciaux tels que la différence entre virus et bactéries, l'impact de la santé mentale sur l'entraînement, et on démystifie même la fameuse "grippe d'homme". On soulève des questions intrigantes comme la fréquence cardiaque au repos, la variabilité cardiaque ainsi que la manière dont l'entraînement régulier peut influencer la réponse du système immunitaire. On touche aussi brièvement aux aspects nutritionnels et à l'impact du stress sur la santé globale des coureurs. Des anecdotes sont parsemées tout au long de l'épisode, illustrant l'importance de la prudence face aux signaux que le corps envoie lorsqu'il est malade. Les conseils d'Étienne sont empreints de sagesse, d'expérience et fort de ses connaissances médicales, rappelant à tous que l'entraînement ne doit pas miner la capacité à combattre une infection. On a aussi abordé la reprise graduelle après une maladie et des partages d'expériences personnelles. En conclusion, on revient sur les points clés, notamment les signaux d'arrêt clairs. On vous rappelle que la santé prime toujours sur un plan d'entraînement et qu'il ne sert à rien d'essayer de reprendre les sorties manquées. Et s'il y a un seul message à retenir, c'est que dans le doute, n'hésitez surtout pas à consulter un professionnel de la santé. Que ce soit pour des troubles de santé physique ou mentale qui vous inquiètent ou qui exercent une influence négative sur votre performance. Avec tout ça, Étienne repart avec sa carte chouchou en main.
Pour lancer la nouvelle année, on voulait vous donner la parole, vous les auditeurs du balado. On a donc invité quatre coureurs-auditeurs dans notre studio pour venir nous parler de leur histoire de course. On voulait en savoir plus sur ce qui les a amenés à commencer à courir et ce qui les motive à poursuivre le sport depuis toutes ces années. En intro, on vous raconte évidemment notre course de la semaine. Pour Coach Bill, ce fut une sortie entre 2 soirs de tourtières. Avec le rappel sympathique de Franck « You can't outrun a bad diet ». Lui d'ailleurs a osé faire de petites sorties de course malgré une COVID qui lui hypothèque un peu les poumons. Dans le premier segment, on jase avec Charles et Geneviève qui nous font part de leur parcours. Les deux sont des coureurs plutôt solitaires pour qui la course est un mode de vie depuis plusieurs années. Geneviève nous a graciés d'une belle pensée : “J'aime la course puisque je ne me compare à personne d'autre qu'à moi-même. Pour la deuxième partie de l'épisode, nous avons accueilli André et Marie-Claude au micro. Eux aiment beaucoup participer à des événements organisés afin de faire de nouvelles connaissances. Ils sont aussi bien branchés dans les diverses communautés de coureurs sur les réseaux sociaux. Dans ce duo, c'est André qui nous a offert une belle citation « Il y aura toujours quelqu'un de plus rapide que toi ». On leur a chacun demandé de partager leur plus grosse erreur avec nous, mais aussi leur plus grande fierté en tant que coureur. Sans surprise, la course à pied leur apporte plusieurs bienfaits dont ils ne peuvent plus se passer aujourd'hui. Bien sûr, on ne pouvait pas manquer de demander s'ils ont un épisode préféré de notre balado. Les réponses pourraient bien vous surprendre ! Merci à nos invités pour cette belle discussion. C'est ce qui lance l'année 2024 pour Coureur.IO. Sur ce, Bonne course !
Bienvenue dans un épisode spécial de fin d'année de Coureur.IO dans lequel on vous amène "Behind the Scene". Aujourd'hui, on lève le voile sur les coulisses de notre podcast, avec vos coach-animateurs qui font la rétrospective des 20 premiers épisodes de la saison 2. On vous avertit, y'a beaucoup LOVE dans celui-ci.
Cette semaine au micro, Dominic Royer est venu nous parler de sonparcours d'athlète et de coach. Son mantra : courir lentement. Trèslentement même ! Ralentir pour lui, ça veut aussi dire de ne pas tomberdans les pièges des raccourcis qui vous promettent des gains rapides ouartificiels. Pour écouter le premier épisode avec Dominic Royer dans lequel nous avons parlé de son parcours et l'importance de courir lentement: https://coureur.io/link/2 Inscris-toi à l'infolettre pour ne rien manquer ➤ https://coureur.io/
Quand on court à l'extérieur, il faut sélectionner un trajet qui correspond au type de sortie qu'on désire faire. Qu'il soit improvisé ou planifié, il y a plusieurs trucs pour rendre ça simple et même que ce soit générateur de motivation. On vous partage nos expériences afin de vous aider à devenir des pros des trajets. Dernière chance si tu veux participer à notre épisode de fin d'année Parcours d'auditeurs
Notre invité cette semaine réussit à conjuguer une vie de famille, uneprofession à l'horaire atypique en plus d'un entraînement d'Ironman. Howis that even possible !!?!