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Le carnaval de Binche, inscrit au patrimoine immatériel de l'UNESCO, est l'un des plus anciens et emblématiques d'Europe. Au cœur de cette tradition : le Gilles, personnage incontournable du Mardi gras. Deux légendes circulent encore aujourd'hui : celle du Bon Dieu et l'aubade, et celle de la prière du Gilles. Que racontent-elles ? Et que nous disent-elles sur l'identité binchoise ? Réponses avec Sylvie Urbain et Fanny Cuisset. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A tender story by Kate Chopin: "Love on the Bon-Dieu"
C'est le seul acteur à avoir passé la barre des 10 millions de spectateurs en France avec quatre films différents ("Les Visiteurs", "Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre", "Les Bronzés 3", "Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?"). Christian Clavier est populaire. Très populaire. Même après 50 ans de carrière. À l'occasion de la sortie en salle du film de Philippe Mechelen "Le Routard", Aymeric a pu discuter avec lui de son métier de comédien, de l'humour français, du Astérix d'Alain Chabat ou de son passage chez Loris Giuliano. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Emmanuelle Ducros lève le voile sur les tensions grandissantes entre les agriculteurs français et l'Office français de la biodiversité (OFB), la "police verte" du pays. Alors que le Premier ministre François Bayrou a reconnu les "attitudes humiliantes" de certains agents de l'OFB envers les agriculteurs, un syndicaliste de l'office est allé encore plus loin, comparant sans détour les agriculteurs à des "dealers". Une déclaration choc qui a suscité l'indignation des syndicats agricoles, convaincus que l'OFB s'est transformée en une "milice verte" au service d'une "idéologie personnelle". Emmanuelle Ducros revient en détail sur ce conflit qui cristallise les frustrations des agriculteurs, régulièrement accusés de détruire l'environnement malgré leurs efforts. À travers des exemples concrets, elle montre comment l'acharnement de certains agents de l'OFB alimente un sentiment de "criminalisation" chez les paysans, qui réclament davantage de "respect" et de "pédagogie" de la part des autorités.Loin d'appeler à la fermeture pure et simple de l'OFB, les agriculteurs exigent surtout une "remise à plat" des méthodes de contrôle et davantage de "lisibilité" dans les réglementations environnementales. Un dialogue de sourd qui risque de s'envenimer si le gouvernement ne parvient pas à apaiser les tensions. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Emmanuelle Ducros lève le voile sur les tensions grandissantes entre les agriculteurs français et l'Office français de la biodiversité (OFB), la "police verte" du pays. Alors que le Premier ministre François Bayrou a reconnu les "attitudes humiliantes" de certains agents de l'OFB envers les agriculteurs, un syndicaliste de l'office est allé encore plus loin, comparant sans détour les agriculteurs à des "dealers". Une déclaration choc qui a suscité l'indignation des syndicats agricoles, convaincus que l'OFB s'est transformée en une "milice verte" au service d'une "idéologie personnelle". Emmanuelle Ducros revient en détail sur ce conflit qui cristallise les frustrations des agriculteurs, régulièrement accusés de détruire l'environnement malgré leurs efforts. À travers des exemples concrets, elle montre comment l'acharnement de certains agents de l'OFB alimente un sentiment de "criminalisation" chez les paysans, qui réclament davantage de "respect" et de "pédagogie" de la part des autorités.Loin d'appeler à la fermeture pure et simple de l'OFB, les agriculteurs exigent surtout une "remise à plat" des méthodes de contrôle et davantage de "lisibilité" dans les réglementations environnementales. Un dialogue de sourd qui risque de s'envenimer si le gouvernement ne parvient pas à apaiser les tensions. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Pomart et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:37 - Dimanche est un roman - par : Clara Dupont-Monod - Le roman conseillé par Clara Dupont-Monod ce dimanche est "Y'a pas de bon Dieu !" de Jean Amila, est réédité dans la Série Noire de Gallimard.
durée : 00:03:37 - Dimanche est un roman - par : Clara Dupont-Monod - Le roman conseillé par Clara Dupont-Monod ce dimanche est "Y'a pas de bon Dieu !" de Jean Amila, est réédité dans la Série Noire de Gallimard.
Dans cet épisode de on débrief le match contre les New Orleans Saints et nous faisons la preview du match de semaine 12 contre les Pittsburgh Steelers avec Romain @steelersfrance du podcast La Disteelerie !
Henri de Beauregard, avocat au barreau de Paris, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils reviennent sur la proposition de Rachida Dati de faire payer l'entrée de Notre-Dame aux touristes pour financer la sauvegarde du patrimoine religieux français.
durée : 00:03:06 - Le Billet de François Morel - par : François MOREL - Le Bon Dieu a des états d'âme. Aujourd'hui, Il est content. Depuis que l'église Sainte-Rita, dans le quinzième arrondissement de Paris, est devenue une salle d'escalade, ses fidèles, plus qu'autrefois, réussissent à se rapprocher du ciel.
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Christine Goémé, Albane Penaranda - Au cours de ce second entretien avec Moussa Abadi en décembre 1968, le comédien François Périer analyse et commente "Le Diable et le Bon Dieu" de Jean-Paul Sartre, pièce marquante de son répertoire, dans laquelle il joue le rôle principal. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : François Périer Comédien
- L'INVITÉ
Rubrique:nouvelles Auteur: francois-de-nion Lecture: Daniel LuttringerDurée: 08min Fichier: 5 Mo Résumé du livre audio: « Il prit la petite statue des mains de Georges. « C'est une drôle de particulière tout de même. On l'a déterrée un jour dans un champ, avec des vieux tessons, des pots, pendant qu'on faisait les emblavures. Paraîtrait qu'il y aurait eu là dans le temps un camp des soldats romains. Alors, ma tante, comme de juste, elle a dit que c'était la mère du Bon Dieu et elle l'a mise dans sa salle. Mais, vu qu'elle n'était pas bien propre, on a eu l'idée de lui passer une couche de peinture ; eh bien, elle n'en voulait pas ; deux fois on a essayé ; deux fois au matin on l'a retrouvée telle qu'avant. Faut croire qu'elle se secoue la nuit comme un cheval mouillé.... » Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Jeux et bonne humeur avec Richard, Nico-santé, Didou, Espagnolesss, Mélissa, Guénaël, Davis, Paillette, Mélissa. Big up time, le samedi de 19h30 à 21h et le dimanche à 17h30 sur Espérance fm.
Anne est mère de famille et professeur des écoles. Elle témoigne ici de la grave et longue dépression, vécue comme une véritable descente en enfer. Elle raconte ce qui, dans sa vie d'avant la dépression, en a été la cause. Elle revient notamment sur son histoire familiale, ses liens avec sa mère et ses soeurs. Elle évoque aussi sa foi chrétienne confiante et pure, reçue dès l'enfance notamment grâce à son père. Anne décrit les circonstances qui ont favorisé le déclenchement de sa maladie, et le déroulement de celle-ci. «Je suis allée au bout de ma vie » dit celle qui a longtemps flirté avec la tentation d'en finir. Enfin, Anne révèle comment elle a pu, peu à peu, sortir des griffes de l'angoisse et du mal qui l'étreignait. Le chemin a été long, il a pris des années. Il a fallu quelques rencontres, quelques paroles qui ont sonné juste, et cette prière de la Petite Thérèse révélée par un témoignage de Michael Lonsdale : « Seigneur, je n'ai rien qu'aujourd'hui pour t'aimer ». Un beau jour, en buvant un verre d'eau, elle s'est rendue compte à quel point il est bon de boire quand on a soif. C'était l'annonce de la guérison. Depuis, Anne est animée par la passion de la vie, des autres et de Dieu. Pour elle, qui se dit « chaque jour de plus en plus amoureuse du Bon Dieu », il n'est pas possible d'aimer Dieu sans aimer les hommes, et réciproquement. Dans un style personnel aussi chaleureux que vivant, Anne nous livre les nombreuses facettes qui illuminent sa vie d'aujourd'hui, et nous offre un témoignage rayonnant de joie. Notre 66ème épisode, que vous pouvez également écouter sur le site de Bethesda en cliquant ici. ------------DEMANDEZ, ET L'ON VOUS DONNERA « Demandez, et l'on vous donnera. Cherchez, et vous trouverez. Frappez, et l'on vous ouvrira » Le verset 7 de l'évangile de Matthieu, au chapitre 7, exprime l'essentiel de la démarche chrétienne, celle qui fondée sur la confiance et qui trouve son accomplissement dans la relation avec l'autre. C'est ce verset qui illumine toute notre initiative de podcasts qui a commencé par Zeteo, suivi par Bethesda, puis par Telio et Canopée, qui signifie en grec ancien « chercher pour trouver ». Cette démarche, celle des chercheurs de sens que nous sommes, est très étonnante. Parce que lorsque nous avons le sentiment d'avoir trouvé, nous comprenons en fait que c'est nous-mêmes qui avons été trouvés. Nous cherchons, sans savoir si souvent que le Seigneur nous cherche dans toutes nos failles, dans nos ombres et nos souffrances. Il nous attend tout le temps. Et lorsqu'il y a finalement la rencontre, entre lui et nous, nous prenons conscience toujours de la même réalité : c'est lui qui nous a trouvé. Cette révélation, nous la vivons souvent dans l'émotion et le bouleversement, parce que nous éprouvons alors son infini respect pour notre liberté, et son immense tendresse en nous. Le Seigneur sait nous trouver toujours et partout, il emploie pour cela des moyens si souvent inattendus, même parfois inimaginables, que Lui seul sait utiliser. C'est cette révélation que nous vous souhaitons à tous. C'est la mission que nous poursuivons, en diffusant chaque semaine la rencontre avec un témoin de l'amour de Dieu. Pour mener cette mission, pour contribuer à notre humble manière à la révélation du Seigneur en chacun de nous, nous avons besoin de vous. Demandez, et l'on vous donnera, écrit Matthieu, dans le même élan qui nous invite à chercher le sens, pour le trouver. C'est cet élan que nous partageons avec vous, en demandant à tous ceux d'entre vous qui le peuvent, de nous donner l'obole pour nous permettre d'accomplir cette mission et de continuer de diffuser des podcasts à l'accès entièrement gratuits. Vous êtes notre unique source de revenus, c'est vous et vous seuls qui permettez de couvrir les frais et de rémunérer la toute petite équipe qui produit nos podcasts. Nous ne dépendons pas d'un groupe, ou d'une structure sur qui nous adosser. C'est le prix de notre indépendance et de notre liberté. Nous dépendons de vous. Cela pourrait susciter l'inquiétude et générer des messages tout aussi inquiétants. C'est tout le contraire. Nous vivons cette dépendance dans la joie et la confiance, et la gratitude pour tous ceux qui, à ce jour, ont permis cette si belle aventure que nous vivons ensemble, Pour faire un don, il vous suffit de cliquer ici, pour être dirigé sur la plateforme de paiement en ligne sécurisé de HelloAsso. Ceux qui préfèrent payer par chèque le peuvent en l'adressant à l'association Telio, 116 boulevard Suchet – 75016 Paris. Virement : nous contacter. D'avance merci ! --------------Pour en savoir plus au sujet de BETHESDA, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de TELIO, cliquer ici. Nous contacter : contact@telio-podcast.fr Pour proposer votre témoignage : temoignage@bethesda-podcast.fr
Nos corps sont en relation avec les temporalités de la terre. Nos corps réagissent aux changements de climats & de lumière. Pour que nos esprits restent alertes et que nos énergies de vie se vivifient, nos corps ont parfois besoin d'allègement et de cure pour opérer une renaissance. C'est ça l'invitation du printemps. Dans ce podcast il est question de partager quelques conseils simples, d'art de vivre, pour vivre le printemps comme nos anciennes et anciens le faisaient. Par ailleurs, nous présenterons une plante médicinale, le pissenlit, aussi appelée Dent-de-lion (Taraxacum officinalis). Dent-de-lion est une plante si banale, si répandue, qu'elle passe trop souvent inaperçue à nos yeux de non initiés au chemin des herbes. Pourtant, elle est source de bienfaits pour nos corps et répond remarquablement bien aux besoins spécifiques de cette saison printanière.Il a des choses à nous dire ce pissenlit, alors faisons connaissance avec lui. Explorons ensemble ses spécificités. Comment le reconnaître vraiment (car oui on se trompe souvent) ? Quelles parties récolter ? Comment l'utiliser ? Pourquoi l'utiliser ? Quelles sont les précautions d'usage et les contre-indications ? Nous aborderons tout ceci dans cet épisode.Attention : je ne suis ni médecin, ni pharmacienne, ni professionnelle de santé. N'arrêtez jamais un traitement médical en cours et demandez toujours conseils à votre médecin. Je fais de la préservation culturelle et je tiens à garder bien vivant les connaissances que nous avons sur les plantes de nos terres. Ce podcast à une vocation informative et éducative, rien de plus, ne faites pas d'imprudence !Belle découverte !Pour accéder à toutes les sources ayant aidées à confectionner cet épisode, rendez-vous sur la page dédiée sur le site internet de DEA TERRA www.deaterra.org/podcast/episode6Retrouvons-nous sur le compte de DEA TERRA InstagramSources bibliographiquesCazin. F.-J. ,(1868). Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, avec un atlas de 200 planches lithographiées, Abel Franklin, p 855Fournier, P. (1947). Dictionnaire des plantes médicinales et vénéneuses de France, omnibus, p 765-768Laurant-Berthoud, C., Mollet, C., & Quemoun, A. (2016). Du bon usage des plantes médicinales. Éditions Jouvence. p189-190Lieutaghi, P. (1996). Le livre des bonnes herbes. Actes sud. P 349-352Lorrain, É. (2019). Grand manuel de phytothérapie. Dunod. P 839-850Morel, J. (2008). Traité pratique de phytothérapie : Remèdes d'hier pour médecine de demain. Editions Jacques Grancher. P 90 -91, 111, 125, 148, 166, 179, 346-347, 544, 558, 568-569Treben, M. (2007). La santé à la pharmacie du Bon Dieu : conseils d'utilisation des plantes médicinales. Ennsthaler Gesellschaft. P 96-99Crédit : Herbergé par Ausha podcastVisitez ausha.com/privacy pour plus d'informationsEcriture, réalisation et narration : Camille PellouxPhotos : Camille PellouxIllustration : Carlos Vazquez RuckstuhlGénérique : Hit on me I AudiohubMixage : Luis Armando Martínez MoralesGénérique : Hit on me I AudiohubAvertissement : Les informations partagées dans ce podcast ne constituent ni un accompagnement, ni un avis médical, ni des conseils personnalisés. Faites appel à votre discernement, votre esprit critique et votre libre arbitre. N'arrêtez jamais un traitement médical en cours ni l'accompagnement par votre professionnel de santé. Faites appel en cas de besoin à un professionnel et un spécialiste pour une prise en charge adaptée.© Tous droits réservésHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Le jour où, tous les matins du lundi au vendredi, le passé éclaire le présent : grâce à ses archives, la rédaction d'Europe 1 fait le récit d'un événement relié à l'actualité.
Le Journal Du Rire, présenté par Guillaume Pot, c'est l'actualité de l'humour francophone tous les jours à 17h sur Rire & Chansons
Face au film "Jack Reacher, never go back" sur France 2, à la série "Inspecteur Barnaby" sur France 3 et au magazine "Zone interdite" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ?".
Face au film "Jack Reacher, never go back" sur France 2, à la série "Inspecteur Barnaby" sur France 3 et au magazine "Zone interdite" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ?".
Face au drame "Adieu Monsieur Haffmann" sur France 2, à la série "Meurtres en eaux troubles" sur France 3 et au magazine "Zone interdite" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu ?".
Face au drame "Adieu Monsieur Haffmann" sur France 2, à la série "Meurtres en eaux troubles" sur France 3 et au magazine "Zone interdite" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu ?".
Face à la comédie "Docteur ?" sur France 2, à la série "Meurtres en eaux troubles" sur France 3 et au magazine économique "Capital" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?".
Face à la comédie "Docteur ?" sur France 2, à la série "Meurtres en eaux troubles" sur France 3 et au magazine économique "Capital" sur M6, c'est TF1 qui se hisse en tête des audiences de ce dimanche soir grâce à la comédie "Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?".
Qu'est-ce qu'on a fait au podcast? avec Medi Sadoun, Jean Veber et Philippe Dechauveron. SVP likez, commenetz, partagez, followez et abonnez-vous partout où vous écoutez et regardez le podcast. La vidéo maintenant sur Youtube sur la chaine abracadaPod.
C'est le dernier épisode des Heures Supp' pour cet été; et aujourd'hui je vous partage un long extrait coupé de ma conversation avec Alexis Roche, du troisième épisode de la saison 1. On y parle de l'industrie du cinéma français, d'exception culturelle, de chronologie des médias, de l'expérience particulière et très propre à la salle de cinéma.Peut-être que via cet épisode, vous pourrez enfin comprendre un peu mieux le fonctionnement de l'industrie du cinéma en France, notamment sur plusieurs points; par exemple : comment est-ce qu'on finance des films; et pourquoi un film sorti au cinéma met autant de temps à passer à la télé par la suite et pourquoi ils passent sur Canal + en premier…?Bref, plein de sujets que je trouve super intéressants; et qui j'espère vous intéresseront aussi !Bonne écoute ! ✨
Le 27 août 2023 Par Luc Chaussé ___ Comme dit le proverbe (14:12), "La voie qui paraît droite à un homme peut finalement conduire à la mort". Depuis les tous débuts de l'humanité, l'homme a cette tendance de faire ce qui lui semble bon, souvent avec une bonne intention et une bonne volonté, mais sans tenir compte de l'opinion de Dieu. Ce message nous encourage à ajuster notre vision et nos choix à ce que Dieu nous dit.
Romain Meder est l'un des plus grands cuisiniers français mais son nom est encore bien souvent méconnu du grand public. La raison est toute trouvée, longtemps il a oeuvré dans l'ombre de son mentor, le chef Alain Ducasse. Mais voilà depuis quelques mois Romain Meder a pris seul les commandes des deux restaurants du domaine de Primard et en quelques mois seulement il a pu accroché fièrement sa première étoile au dessus de la table du Chemin. Pendant une heure il nous a raconté son enfance dans un tout petit village situé à 10km de Vezoul, Il s'est remémoré pour nous les déjeuners de famille pantagruéliques que la famille faisait chez ses grands-parents. Et puis ses premières années en cuisine, sa rencontre avec Alain Ducasse, leur envie de végétalité, les 3étoiles du Plaza qui étaient aussi les siennes! Ou encore la place des femmes dans la grande gastronomie, tout cela et bien plus encore, c'est à découvrir dans ce formidable épisode! Merci encore Romain!
->Workshop de Pensamento Crítico: sessões de Lisboa, Porto e online esgotadas! Inscreva-se aqui para ser avisado(a) de futuras edições. Episódio retirado do programa Remotamente Interessante, que gravei com a Fundação Francisco Manuel dos Santos em 2020. Joana Marques é humorista, guionista e autora. Escreveu os livros O Meu Coração Só Tem Uma Cor e Vai Correr Tudo Mal e criou, em 2012, com Daniel Leitão, o programa Altos & Baixos, no Canal Q. É uma d'As Três da Manhã, na Renascença, onde faz a rubrica diária Extremamente Desagradável. É um dos elementos da equipa de autores do programa Isto é Gozar com Quem Trabalha, de Ricardo Araújo Pereira, e escreve semanalmente na revista Visão. Índice (com timestamps): (2:20) Um bit de stand up como Daniel Sloss (9:56) Um filme de comédia como os franceses (ex: Bienvenue chez les Ch'tis, “Bem Vindo ao Norte” ou Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu, “Que mal fiz eu a Deus?”) (16:25) Uma sitcom como “Family Ties” (“Quem sai aos seus”) (22:40) Uma série como “Modern Family” (“Uma família muito moderna”) (31:06) Crónicas como os brasileiros Antonio Prata (livro “Meio intelectual, meio de esquerda”) ou Gregório Duvivier (livro "Caviar é uma ova")
Historiquement Vôtre réunit 3 dames qui sont Bell, Bell, Bel... comme le jour - et surtout comme leur nom l'indique : Gertrude Bell, une "reine du désert" sans couronne, une aventurière des temps anciens devenue espionne pour les services secrets britanniques dans les plaines arabiques. Puis la peintre Vanessa Bell, l'une des premières artistes anglaises à avoir eu une exposition à son nom et la sœur d'une certaine Virginia Woolf avec qui elle n'ont pas eu que l'art en commun ! Et une comédienne passée de la “Minute Blonde” à “Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?” en explosant le box-office, heureusement sans se faire mal : Frédérique Bel.
Historiquement Vôtre réunit 3 dames qui sont Bell, Bell, Bel... comme le jour - et surtout comme leur nom l'indique : Gertrude Bell, une "reine du désert" sans couronne, une aventurière des temps anciens devenue espionne pour les services secrets britanniques dans les plaines arabiques. Puis la peintre Vanessa Bell, l'une des premières artistes anglaises à avoir eu une exposition à son nom et la sœur d'une certaine Virginia Woolf avec qui elle n'ont pas eu que l'art en commun ! Et une comédienne passée de la “Minute Blonde” à “Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?” en explosant le box-office, heureusement sans se faire mal : Frédérique Bel.
L'artisanat de luxe est en plein boom au Sénégal. Dakar n'a pas attendu le défilé de la célèbre marque française Chanel en décembre dernier pour être à la pointe de la mode. De plus en plus de marques sénégalaises haut de gamme émergent ces dernières années, fortes d'une créativité débordante. Elles bénéficient d'un nouveau regard sur l'Afrique et ont déjà séduit le marché international. De notre correspondante à Dakar, Dans un discret atelier de Tivaouane Peulh, en banlieue de Dakar, quatre artisans découpent et tressent des bandes de cuir et de wax. Sur des étagères, des rouleaux de peau de toutes les couleurs. Nous sommes chez Wude studio, une marque de sacs à main imaginée par la Franco-Sénégalaise Cécile Ndiaye. « Le sac a le dos en veau et tout le reste est tressé en vert et le wax qui rajoute une touche très lumineuse », décrit-elle. Son pari d'origine : faire du haut de gamme zéro déchet made in Sénégal. Les techniques de fabrication sont puisées dans les traditions de la région, mais le cuir utilisé provient d'invendus européens, faute d'un tannage local de qualité. « Il y a beaucoup de migrants sénégalais qui sont en Italie, qui travaillent dans les tanneries ; ils sont suffisamment organisés et ils ont suffisamment le sens du commerce pour racheter les excédents industriels des tanneries dans lesquelles ils travaillent pour les revendre ici dans des réseaux de distribution », explique la créatrice. ► À lire aussi : La fashion week bat son plein à Dakar Les débuts difficiles du made in Sénégal Mbor Ndiaye a cocréé la marque avec Cécile il y a 18 ans. Ce maroquinier autodidacte est tombé amoureux du cuir. « J'ai été formé comme électricien, on ne sait jamais ce que le Bon Dieu nous a tracé », dit Mbor Ndiaye. « Moi, j'aime taquiner les pièces qui sont tellement sensibles, ces toutes petites pièces-là. » Mais lorsqu'il se lance dans la maroquinerie, le made in Sénégal n'attire pas, bien au contraire. « Une fois présent pour confectionner ce que je devais faire, des sandales, des nus pieds, on prenait des étiquettes venant d'Italie ou bien de la France, parce qu'à cette époque, le Sénégalais n'affectionnait pas les produits locaux », se souvient-il. Un secteur qui fait des émules Désormais, le marché se développe et la mode africaine bénéficie du coup de projecteur de certaines célébrités comme Beyoncé ou Michelle Obama. « Les réseaux sociaux ont fait beaucoup la vision de qu'on a de l'Afrique. Elle est beaucoup plus positive. Faire rêver aussi. Et puis dans la mode, on est à la pointe », souligne Cécile Ndiaye. Dans le centre de Dakar, Faiez Ftouni vend les sacs de Wudé Studio ainsi que des marques de créateurs sénégalais et africains. Depuis 2017, il a vu le secteur exploser. « On a fait des événements, des afterworks pour faire présenter de nouveaux jeunes créateurs. En fait, on a commencé avec quatre, on est peut-être à 80 », estime Faiez Ftouni. ► À écouter aussi : Sénégal: la slow fashion à la fashion week Sa clientèle reste principalement étrangère, africaine et européenne. Le haut de gamme est encore un luxe au Sénégal, où le salaire moyen dépasse à peine 120 euros.
Un bon matin, le chimpanzé qui se promenait vit un papayer, avec de belles et grosses papayes bien mûres. Il pensa à l'avertissement du Bon Dieu, mais la faim prit le dessus et il grimpa dévorer quelques papayes…
Ouvert en 2018 par Médecins du monde et son partenaire Espace confiance, le Centre d'accompagnement et de soins en addictologie d'Abidjan (Casa), accueille une cinquantaine d'usagers de drogue par mois. De notre correspondant à Abidjan, Coincé au bout d'une ruelle d'une commune d'Abidjan, un portail discret s'ouvre sur le Centre d'accompagnement et de soins en addictologie, le Casa. D'abord destiné à fournir des soins et des dépistages de VIH et de tuberculose aux usagers de drogue (UD), ce centre médico-communautaire a évolué depuis, comme le raconte Mathieu Hié, chef de projet de réduction des risques à Médecins du monde. Par la suite on s'est rendu compte qu'ils avaient des besoins sociaux, psychologiques, de prise en charge de leur addiction. Dans le lieu de consommation, c'est un peu comme un lieu de famille, un lieu d'habitation. On s'est dit qu'il fallait mettre en place un cadre de prise en charge qui collait avec leur environnement de vie. ►À lire aussi : Afrique de l'Ouest : plus aucun pays côtier n'est épargné par le trafic de cocaïne La méthadone comme substitut aux opiacés Le Casa a testé l'an dernier, et pour la première fois en Côte d'Ivoire, le traitement par méthadone, un produit de remplacement aux opiacés servant à défaire les UD de leur addiction. Avec des résultats encourageants, à en croire Fatou et Jean-Claude, un couple qui consommait crack et héroïne pendant plus de vingt ans : « À cause de la drogue, je n'arrivais pas à aller au travail. Quand je suis passé à la méthadone, je faisais 32 kilos, aujourd'hui, j'en fais 69 », dit Fatou. Jean-Claude ajoute : « Elle a décidé d'arrêter comme moi. On s'est encouragé tous les deux, on est tout le temps ensemble. On passe notre journée ici et après, on rentre ensemble à la maison pour construire une autre vie, une très belle vie. Donc, je dis merci au Bon Dieu. » Pour attirer les usagers vers le centre, dix éducateurs pairs se rendent quotidiennement dans les fumoirs. Certains sont d'anciens consommateurs, comme Ezéchiel Irié. « Quand je viens et que je leur parle, ils sont tous contents et veulent être comme moi, explique-t-il. Ils se demandent “mais comment tu y arrives ?” Tu leur en parles et tu parles aussi de la méthadone qui nous a permis de sortir de là. Aujourd'hui, tu peux facilement voir un enfant de 11 à 15 ans dans le ghetto en train de fumer le crack. Tu es dépassé et tu vois que la chose commence à prendre de l'ampleur », déplore Ezéchiel. ►À écouter aussi : Usagers de drogues en Côte d'Ivoire: les fumoirs [1/4] « Pas de jugement, pas de discrimination » Une assistante sociale, une cuisine, un coin détente avec télévision… Pour le Dr Bailly Brunette, la médecin référente, le Casa comble l'absence de considération ressenti chez les UD, en ouvrant ses portes juste pour la journée. « Il n'y a pas de jugement, pas de discrimination, assure-t-elle. « Ils ont compris que l'idéal pour eux c'est de venir passer du temps au centre ici plutôt que de rester dans la rue à agresser des gens pour avoir de l'argent et payer leur consommation. Ils évitent tout ce qui est arrestation parce qu'en étant dans le fumoir, il peut y avoir à tout moment des descentes policières. » Le succès du Casa a convaincu les autorités ivoiriennes à le délocaliser vers l'hôpital général de Port-Bouët, pour en assurer la gestion. Une décision clivante au sein des bénéficiaires, qui craignent pour la qualité future de ses prestations.
La Côte d'Ivoire entendant désormais confier à la Cédéao la gestion de la crise de ses 46 soldats détenus au Mali, le ministre ivoirien d'État, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, ayant déclaré le 15 septembre à Yamoussoukro, capitale ivoirienne, qu'un « dénouement » allait être trouvé « très rapidement », cet épineux dossier, ce matin, se retrouve largement à la Une dans les kiosques d'Abidjan comme d'ailleurs en Côte d'Ivoire. À la Une, ainsi, de ce quotidien proche du président Alassane Ouattara qu'est Le Patriote, lequel prévient que « le chantage de la junte (malienne) ne passera pas ». Mais aussi à la Une des journaux Soir Info et L'Inter, Le Miroir, Le Matin, Notre Voie, L'Essor, Le Jour ou encore L'Expression. Dans L'Inter, le billettiste maison s'inquiète pour les « victimes collatérales » de cette crise. « On devrait régler l'affaire en silence, prône ce quotidien indépendant. Sans bruit. Loin des caméras et autres microphones. Sans vuvuzelas et fanfaronnades démagogiques ». ► À lire aussi : Affaire des 46 militaires ivoiriens: le Mali répond à Abidjan et met en garde la Cédéao « Tant que ceux qui se trouvent sur les bords de la lagune Ébrié ne sont pas rendus à Bamako, pas de Sodja », formule dans un style des plus fleuris son confrère Soir Info. De son côté, le journal Le Temps dénonce en Une ce qu'il appelle « l'ultimatum inutile de Ouattara » et souligne que, depuis l'éclatement de cette crise, le président malien Assimi Goita « demeure dans un silence parlant. Un silence qui fait peur, souligne ce quotidien ivoirien proche de l'ex-président Laurent Gbagbo. En effet, face aux injonctions répétées de Ouattara, quant à la libération des soldats ivoiriens détenus au Mali, l'homme fort de ce pays voisin n'a pas jugé nécessaire de réagir. Il est resté dans un silence éloquent », pointe Le Temps. Dialogue de sourds Au Mali, on s'en doute, les commentaires de la presse locale sont d'un tout autre tonneau. Témoin le journal Malikilé. Lequel accuse le gouvernement ivoirien de tenter de « transformer un dossier judiciaire en une crise diplomatique ». Et il reprend à son compte les arguments du gouvernement malien de transition, soulignant qu'il n'est « nullement concerné par cette procédure devant l'instance communautaire » et indiquant à la Cédéao « que l'affaire des 49 mercenaires ivoiriens est purement judiciaire et bilatérale », mettant en garde « contre toute instrumentalisation de la Cédéao par les autorités ivoiriennes pour se soustraire de leur responsabilité, vis-à-vis du Mali ». « Dont acte et exit la Cédéao et son projet de sommet extraordinaire hors-continent, pour ne pas dire hors sol, à… New York », conclut Malikilé, soulignant que l'unique cadre du dossier des « 49 mercenaires ivoiriens » demeure la médiation togolaise. Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages Au Burkina Faso, en revanche, la presse exprime ses craintes et appelle à l'apaisement. L'Observateur Paalga s'interroge ainsi sur ce que peut faire la Cédéao. « Et surtout, que va faire la Côte d'Ivoire si cet arbitrage régional échoue ». Raison pour laquelle ce quotidien ouagalais « croise les doigts » pour que la volonté des autorités ivoiriennes de jouer la carte diplomatique « ne soit pas un coup d'épée dans l'eau ». Le quotidien WakatSera invite le colonel Goïta à mettre « balle à terre » et se demande ce que fait de « la bonne entente séculaire entre pays frères et amis, la junte militaire malienne ? L'arbre à palabre africain qui a fait ses preuves dans le prestigieux empire mandingue n'a-t-il plus le moindre sens sur les rives du Djoliba ? », interroge WakatSera. Commentaires de la presse en Afrique, donc, mais pas que. En France, le site Mondafrique estime que « les autorités de Côte d'Ivoire devraient arrêter de prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages ». Ce journal en ligne se demande « qui peut croire que si ces militaires avaient de près ou de loin un lien juridique avec les Nations unies, celles-ci n'auraient pas demandé illico presto leur libération ? Or, elles se taisent, d'un silence qui en dit long », énonce Mondafrique, en prévenant que « le Mali ne veut pas passer l'éponge sur une tentative de déstabilisation sans contrepartie ».
Les semaines se suivent, ne se ressemblent pas, mais sont toujours faites de films merveilleux et parfois POURRAX. Cette semaine, on vous parle de QU'EST-CE QU'ON A TOUS FAIT AU BON DIEU, d'EN MÊME TEMPS, d'ABUELA, d'INEXORABLE et de CONTES DU HASARD ET AUTRES FANTAISIES ! En bref, c'est À LA FOLIE et pour le passé LA RÈGLE DU JEU de Jean Renoir ! Pis on a envoyé Simon à REIMS POLAR, il vous fait un débrief sur place ! Bonne écoute !=====Soutenir PARDON LE CINÉMA et avoir des épisodes EXCLUSIFS :https://plus.acast.com/s/pardon-le-cinema=====_______________________________________________________________________LE LIVRE PARDON LE CINÉMA EST SORTI !Amazon : https://bit.ly/PardonAmazonFnac : https://bit.ly/PardonLaFnacCultura : https://bit.ly/PardonCulturaDecitre : https://bit.ly/PardonDecitresLesLibraires : https://bit.ly/PardonLesLibrairesMerci pour votre soutien depuis bientôt 2 ans
On commence une nouvelle fois avec la présidentielle et le retour de Jean-Luc Mélenchon en hologramme, c'était hier soir en simultané dans 11 villes
On commence une nouvelle fois avec la présidentielle et le retour de Jean-Luc Mélenchon en hologramme, c'était hier soir en simultané dans 11 villes
NRJ Ciné News - "Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? ", le troisième volet de la saga arrive en salle - Mercredi 6 Avril
NRJ Ciné News - "Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? ", le troisième volet de la saga arrive en salle - Mercredi 6 Avril
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Thème: La mort nous mène paître, mais que fait le Bon Dieu
- Mercredi sortira en salles le 3e volet de "Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ?". Stéphane Boudsocq a rencontré Marie et Claude Verneuil, alias Chantal Lauby et Christian Clavier, le couple de parents de la saga humoristique. - Florian Gazan se laisse tenter par le retour de la série "En thérapie" sur Arte. - Les programmes télé de ce week-end, avec Isabelle Morini Bosc. Coups de coeur, coups de gueule, reportages, interviews, et des invités prestigieux : "Laissez-Vous Tenter" dresse un panorama de l'actualité Musique, Cinéma, Littérature, Médias, People. Ecoutez Laissez-vous tenter avec Stéphane Boudsocq, Laurent Marsick et Isabelle Morini-Bosc du 01 avril 2022
Au programme de C à vous la suite : Invité·es : Chantal Lauby, Frédérique Bel, Noom Diawara et Loïc Legendre • Jamais Dieu sans trois ! • Bon Dieu, ils reviennent ! • Qu'est-ce qu'ils ont fait au Bon Dieu ? • La famille Verneuil s'agrandit • Le retour de la comédie « culte » ! L'Oeil de Pierre - Cafés littéraires Invité : Marc du Pontavice, producteur et fondateur du studio Xilam • Marc du Pontavice : Son destin animé ! • Oggy et les cafards, le carto(o)n français • L'univers zinzin des studios Xilam • Xilam : le pixar à la française La Story médias - Pourriez-vous vous passer de vos réseaux sociaux pour 1800€ ? L'ABC - Les actualités de Bertrand Chameroy • Emmanuel Macron remet les décorations aux médaillés Olympiques et Paralympiques • Nicolas Dupont-Aignan et son grand-père aviateur • Nicolas Dupont-Aignan ou le fondateur de commejaime ? • Mélenchon ou Père Castor ? • Marine Le Pen dans une pub pour cosmétique • Éric Zemmour inspiré par les publicité de But • On a perdu Jean-Luc Mélenchon sur France Inter • La fatigue des candidats face au monde agricole
作品情報 最高の花婿(Original title:Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?) 2014年 フランス 監督 フィリップ・ドゥ・ショーヴロン 出演 クリスチャン・クラヴィエ、シャンタル・ロビー、アリ・アビタン 、他 予告 YouTube https://youtu.be/E8KmFcblMBY 本編 Amazon prime https://amzn.to/3JKm1xv Amazon prime Video登録 https://amzn.to/3IP4i6I オープニング曲 kc-mahjack in LABEL https://kcmah.com/ 応援メッセージのハッシュタグ #夜のゆいろく#ゆいろく 聴いてくれてありがとう
کتاب صوتی شیطان و خدا اثر ژان پل سارتر شیطان و خدا (به فرانسوی: Le Diable et le Bon Dieu) نام نمایشنامه است که توسط ژان پل سارتر، فیلسوف اهل فرانسه در سال ۱۹۵۱ میلادی نوشته شدهاست. موضوع این نمایشنامه سرگذشت مردی است که میخواهد آزادانه اول «بدی» را و سپس «خوبی» را تجربه کند. پس نخست شیطان و سپس خدا را سرمشق خود قرار میدهد. اما بیهودگی این انتخاب را درمییابد؛ زیرا کاری عبث است که در انزواء و به دور از جامعه صورت میگیرد. صحنه وقایع در آلمان دوره رنسانس میباشد در آن زمان که زمینداران با زمینداران و روستائیان با زمینداران میجنگند. گوتس، سردار جنگ، که فرزند حرامزاده مادری از طبقه اشراف و پدری از طبقه دهقان است، نخست تصمیم گرفته است که بدی کند؛ دست به غارت میزند و میجنگد و به یارانش خیانت میکند؛ ولی سرانجام بدی به نظرش یکنواخت میآید و از اینکه همواره باید رذالتهای تازهای ابداع کند خسته میشود. در رویارویی با کشیشی که هاینریش نام دارد تصمیم میگیرد که از این پس خوبی کند و مرد مقدسی شود. اما انگیزه او عشق به بشر نمیباشد، بلکه میل رسیدن به جایگاه است… --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/hazardastan/message
Gnamien Kli le bon dieu avait trois enfants : Kpin l'aînée, Sèssè la cadette, et Kanhan la benjamine. Ces trois filles là vivaient en parfaite harmonie. Elles prenaient leurs trois repas par jour, que leur père leur faisait parvenir par l'intermédiaire de son émissaire. Quand l'heure de manger arrivait, les trois filles se mettaient à chanter en chœur et, lorsque leurs voix mélodieuses parvenaient à leur père, celui-ci leur envoyait de quoi se nourrir. Et tout le monde se régalait, et tout le monde était content́. Les trois filles réservaient toujours une portion du copieux repas à leur amie commune, Idjirwa la fourmi. Voilà qu'un jour, en l'absence de Kpin et de Sèssè, Idjirwa la fourmi s'approcha de Kanhan la benjamine et lui tint ces propos : « Toi, Kanhan, sais-tu que c'est ta voix aigüe qui touche le cœur de Gnamienkpli votre père ? Je t'assure que sans toi, votre ensemble ne serait pas si mélodieux.» Ces propos flatteurs firent naître chez la benjamine un sentiment d'orgueil. Elle venait ainsi de réaliser l'importance qu'elle avait dans le chœur qui leur permettait d'obtenir leurs trois repas quotidiens. Un autre jour, Idjirwa la fourmi se rendit auprès de Sèssè la cadette et lui dit : « Tu sais, au football, le numéro 10 est le meneur de jeu. Je comprends maintenant pourquoi ce sont les numéros 10 qui remportent le plus souvent le ballon d'or. Dans le chœur des enfants de Gnamienkpli, s'il faut attribuer le numéro 10 à quelqu'un, je te le donne sans réfléchir à toi, la voix medium. » - Sèssè : Ah vraiment ? A ces mots, Sèssè ne se sentit plus de joie, elle était fière de savoir que la beauté du chœur dépendait d'elle, uniquement d'elle. Le jour suivant, Idjirwa la fourmi alla trouver Kpin, l'aînée, et lui dit : « Toi, la voix basse qui assures et qui rassures, tu es pleinement dans ton rôle d'aîné, les autres voix peuvent se reposer sur toi, sans toi elles se perdraient dans l'air et vous seriez déjà mortes de faim. » - « Ah Idjirwa, tu me flattes ! » répondit Kpin. Elle venait de réaliser l'importance capitale de la basse dans le chœur. Dès lors, chacune des trois filles de Gnamienkpli était convaincue d'être indispensable au trio. Cela leur donna des ailes. Aux heures des repas, chacune faisait son petit numéro, ivre d'orgueil et de caprice. Désormais, chacune traînait des pieds et se faisait désirer au moment de se réunir. Parfois, c'était sous la fausse médiation de la fourmi que le chœur parvenait à s'assembler. Lassée des caprices de ses jeunes soeurs, Kpin décida de se retirer pour chanter seule. Sèssè et Kanhan firent de même, chacune partit de son côté. Mais durant les trois jours au cours desquels elles chantèrent en solo, les filles du bon dieu ne rencontrèrent que l'indifférence de leur père. En conséquence, aucune nourriture ne leur parvint durant trois jours. Le soir du troisième jour, affamées, elles se décidèrent enfin à se parler. Elles se rendirent compte que leur discorde venait des commérages de Idjirwa la fourmi. Pour en avoir le cœur net, elles décidèrent de réunir à nouveau leurs voix. Après les trois couplets habituels, voici que l'émissaire de Gnamienkpli se présente les bras chargés de victuailles. Des fruits et des légumes juteux et savoureux, des grandes portions de foutou banane, de placali, accompagnés de sauce graine, sauce gouagouassou, sauce arachide, de grands plateaux de poissons braissés, de poulets piqués, accompagnés de frites d'igname, de frites de patate, de frites de plantin, et cætera, et cætera, et cætera. Chant-chœur Tout le monde était content Chant-chœur Les filles résolurent alors de se débarrasser de la fourmi. Ce rejet eut pour conséquence de plonger la fourmi dans la faim, au point d'être presque coupée en deux. Depuis, elle est contrainte de travailler en équipe avec ses congénères pour assurer sa survie. Les hommes et les femmes, quant à eux, ont perdu toute confiance en la fourmi, c'est pourquoi dès qu'ils sentent sa présence sur son corps, ils s'en débarrassent aussitôt. Mon conte est fini. Crédits Les trois filles de Gnamien Kli le bon dieu Interprété par Koami Vignon et Vincent Kouamé. Chant : Rebecca Kompaoré, Valérie Gobey et Flore Kra. Musique : Jean Sempé Ake Olloé. Recherche des contes et adaptations : Flore Kra, Valérie Gobey, Eugène Konan et Elvis Tanoh. Production déléguée : Sonia Arruda Touré, Romain Masson Assistant de production : Romain Chmiela, Eugène Konan, Assistant à la réalisation : Elvis Tanoh. Réalisation : Laure Egoroff et Tidiane Thiang. Remerciements à Thomas Weill, Yanick Zagba, Sony Music Africa, Stéphane Dogbo, et les équipes de RFI. Avec le soutien du programme "Accès Culture" de l'Agence française de développement et l'Institut français. Une production Making Waves et Des Livres Pour tous - Côte d'Ivoire.