POPULARITY
Aux États-Unis, les prix du bœuf continuent de grimper. En cause, une pénurie de bétail, alors que la demande est toujours importante. Le prix moyen du bœuf a augmenté de 60 % depuis 2020 dans le pays. En sortie d'abattoir, un kilo de bœuf vaut près de sept euros en moyenne aux États-Unis, soit davantage qu'en Europe, du jamais vu. « Un renversement complet de situation », dit même Jean-Paul Simier, expert de la filière viande et co-auteur du rapport CyclOpe sur les marchés des matières premières dont la dernière édition vient d'être publiée. Au pays du barbecue et du hamburger, les prix de la viande de bœuf ont traditionnellement toujours été plus bas qu'ailleurs.Aujourd'hui, il n'y a plus assez de bêtes pour répondre à la consommation nationale. En 50 ans, le cheptel est passé de 140 millions de têtes à 90 millions aujourd'hui – soit une baisse de 36 %. Conséquence, depuis deux ans, les importations américaines sont supérieures aux exportations et les Américains n'ont jamais autant acheté au Brésil : +57 % en cinq ans. Diminution des pâturagesLa principale explication, c'est la sècheresse qui a entraîné une baisse des surfaces de pâturages. Le réchauffement a touché les zones traditionnelles de production, notamment les Rocheuses, là où naissent les veaux, avant d'être transférés dans les régions agricoles où ils sont engraissés, dans le centre des États-Unis, au Texas notamment.La production de viande de bœuf étant devenue peu attractive et peu rémunératrice, il y a aussi moins en moins de « naisseurs » c'est-à-dire d'éleveurs de vaches allaitantes. Impact sur l'industrieLes premiers touchés sont les consommateurs, il faut aujourd'hui être « addict » pour continuer à manger du bœuf à prix d'or. L'industrie n'est pas moins concernée, les parcs d'engraissement n'étant pas assez remplis et devenant moins rentables. Les engraisseurs ont beau produire des animaux plus lourds, comme le prix d'achat des broutards et de l'alimentation bétail a augmenté, leur marge peine à être bénéficiaire.Le moral n'est pas meilleur chez les conditionneurs et exportateurs de viande : « Le bœuf connaît les conditions de marché les plus difficiles que nous ayons jamais vues », reconnaissait ces derniers jours le patron de Tyson Foods, cité par le Financial Times.Volonté d'exporter malgré toutTrès attentif à la situation et au moral des « farmers » américains, le dirigeant de la Maison Blanche affiche, malgré la baisse du cheptel, sa volonté d'exporter plus de bœuf. Donald Trump l'a prouvé encore ces derniers jours en demandant au Royaume-Uni d'importer du bœuf américain – et d'autres produits agricoles – en contrepartie d'un allègement des tarifs douaniers.Cette volonté risque cependant de ne pas suffire, car au-delà du bétail qui baisse, les prix sont un autre frein. Début 2025, le bœuf brésilien était 54 % moins cher que le bœuf américain – avec un prix de gros, à la sortie de l'abattoir, à trois euros en moyenne au Brésil contre 6,80 aux États-Unis.Les États-Unis arrivent encore à exporter des morceaux très chers, comme l'entrecôte, ou l'aloyau, au Japon et en Corée du Sud. C'est plus compliqué, en revanche, pour les morceaux de seconde catégorie sur lesquels la concurrence est plus rude. « Les Américains ne sont plus dans la compétition mondiale » résume Jean-Paul Simier.Canada et Mexique, des partenaires indispensables La filière bovine américaine pourrait souffrir, encore plus, si les tensions commerciales avec le Canada, et le Mexique devaient à nouveau se tendre. « Se fâcher avec le Canada serait tout simplement se tirer une balle dans le pied », résume Jean-Paul Simier. Les États-Unis aspirent 80 % de la production canadienne, ils achètent aussi bien la viande que des animaux vivants. Autrement dit, c'est le Canada qui permet de faire tourner les abattoirs américains. Le Mexique est lui devenu depuis quelques années un fournisseur de bêtes à engraisser des États-Unis. Début 2025, les flux ont baissé de 75 % en raison de restrictions sanitaires, résultat en février, les arrivées dans les usines d'engraissement américaines ont baissé de 19 % par rapport à l'année dernière. La mesure est progressivement en train d'être levée, les besoins d'alimenter le marché américain sont trop grands. À lire aussiÉtats-Unis : la viande de bœuf s'arrache à prix d'or
Dans cet épisode de Ta Face B, Christel nous parle de son amour pour la Formule 1, de la série qui l'a tenue en haleine pendant 11 saisons et d'un dessert auquel elle ne peut jamais résister. Elle partage aussi un voyage époustouflant au cœur des Rocheuses et l'incroyable histoire derrière la création de son festival.Support the showListen to all the episodes, rate and review us wherever you listen to your podcasts!--Écoute tous les épisodes, laisse nous une note et un commentaire partout où tu écoutes tes podcasts!Contact: Instagram (EN) Instagram (FR) TwitterLinkedinFacebookEmail: your.bside.podcast@gmail.com Credits: Jazzy Abstract, by BeatComa-Media
Fluent Fiction - French: Conquering the Slopes: Élodie's Journey to Self-Discovery Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-01-29-23-34-01-fr Story Transcript:Fr: Dans les montagnes Rocheuses, les sapins se dressent fièrement, couverts de neige brillante.En: In the Rocky Mountains, the fir trees stand proudly, covered in glittering snow.Fr: Le ciel est d'un bleu limpide, et l'air est frais et pur.En: The sky is a clear blue, and the air is fresh and pure.Fr: C'est l'hiver, et c'est parfait pour un voyage de ski.En: It is winter, and it's perfect for a ski trip.Fr: Élodie, Luc, et Marie visitent ce paradis.En: Élodie, Luc, and Marie are visiting this paradise.Fr: Les trois sont amis et partagent une passion pour le ski.En: The three are friends and share a passion for skiing.Fr: Élodie est une jeune femme réservée mais pleine d'aventure.En: Élodie is a reserved young woman but full of adventure.Fr: Elle aime le ski plus que tout.En: She loves skiing more than anything.Fr: Pourtant, elle cache une peur : la peur de perdre le contrôle sur les pistes difficiles.En: However, she harbors a fear: the fear of losing control on difficult slopes.Fr: Aujourd'hui, elle veut prouver à elle-même qu'elle peut dominer cette peur.En: Today, she wants to prove to herself that she can overcome this fear.Fr: Elle vise une piste de ski connue pour être la plus difficile.En: She sets her sights on a ski slope known to be the most challenging.Fr: Luc et Marie la soutiennent, mais ils sont inquiets.En: Luc and Marie are supportive, but they are worried.Fr: Le temps se dégrade lentement.En: The weather is slowly deteriorating.Fr: Les nuages couvrent le ciel bleu, et le vent commence à souffler plus fort.En: Clouds cover the blue sky, and the wind starts to blow stronger.Fr: Élodie se tient au sommet de la pente.En: Élodie stands at the top of the slope.Fr: Elle voit la descente raide devant elle.En: She sees the steep descent ahead of her.Fr: Son cœur bat rapidement, mais elle est déterminée.En: Her heart is beating quickly, but she is determined.Fr: Elle veut montrer qu'elle n'a pas peur.En: She wants to show she is not afraid.Fr: Elle s'élance sur la neige, ses skis glissant à toute vitesse.En: She launches herself onto the snow, her skis gliding at full speed.Fr: Le vent souffle maintenant très fort, ajoutant un défi supplémentaire.En: The wind is now blowing very hard, adding an extra challenge.Fr: Élodie sent son corps vaciller un instant, la peur la saisit.En: Élodie feels her body waver for a moment, and fear grips her.Fr: Soudain, elle se souvient des mots de son instructeur de ski : "Respire.En: Suddenly, she remembers her ski instructor's words: "@fr{Respire.Fr: Garde ton calme."En: Garde ton calme.}"Fr: Elle inspire profondément.En: She takes a deep breath.Fr: Elle reprend le contrôle, ses mouvements deviennent fluides.En: She regains control, and her movements become fluid.Fr: La montagne, si intimidante au début, devient un compagnon à ses côtés.En: The mountain, so intimidating at first, becomes a companion by her side.Fr: Elle descend avec confiance et grâce.En: She descends with confidence and grace.Fr: Quand elle arrive en bas, Luc et Marie l'attendent avec un grand sourire.En: When she reaches the bottom, Luc and Marie are waiting for her with big smiles.Fr: Élodie est heureuse et fière.En: Élodie is happy and proud.Fr: Elle réalise quelque chose d'important : affronter ses peurs est une étape de sa propre découverte.En: She realizes something important: facing her fears is a step in her own self-discovery.Fr: Elle sait maintenant qu'elle est plus forte qu'elle ne le pensait.En: She now knows that she is stronger than she thought.Fr: Les montagnes, silencieuses et majestueuses, veillent sur leur amie.En: The mountains, silent and majestic, watch over their friend.Fr: Élodie regarde les cimes enneigées, reconnaissante pour cette journée.En: Élodie looks at the snow-capped peaks, grateful for this day.Fr: Elle a conquis bien plus qu'une simple piste de ski.En: She conquered much more than just a ski slope.Fr: Elle a conquis une partie d'elle-même.En: She conquered a part of herself. Vocabulary Words:the mountains: les montagnesthe fir trees: les sapinsproudly: fièrementglittering: brillantereserved: réservéepassion: la passionharbor (a fear): cacher (une peur)slope: la pentefear: la peursteep: raideto prove: prouverthe weather: le tempsto deteriorate: se dégraderclouds: les nuagessupportive: soutiennentdescent: la descentedetermined: déterminéelaunches: s'élancefluid: fluideintimidating: intimidanteto grip: saisirto regain: reprendremovements: les mouvementsto descend: descendregrace: la grâcemajestic: majestueusessilent: silencieusesgrateful: reconnaissanteto conquer: conquérirself-discovery: la découverte
Dans cet épisode de Globetucker, nous partons à la découverte du Canada, un pays où la nature sauvage rencontre les villes modernes. Nous explorerons l'immensité de ce territoire, avec des arrêts dans des lieux iconiques comme les Rocheuses, les chutes du Niagara, et les forêts infinies du Québec. Nous discuterons aussi de l'expérience culturelle unique du Canada : des villes vibrantes comme Montréal, Toronto et Vancouver, où se mélangent influences francophones & anglophones.Nos invités du jour : @mais_lamya & @mehdildit vont nous partager leurs expériences dans cet immense pays pour le visiter mais aussi y vivre !Globetucker, un programme WANAMedias proposé par l'OdioO ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans le deux-cent-quatre-vingt-quatrième épisode de CacaoCast! Dans cet épisode, Philippe Casgrain et Philippe Guitard discutent des sujets suivants: iPad mini - Avec Apple Intelligence Croissant - Pour publier sur Mastodon, Threads et Bluesky ReactiveCollectionKit - Un framework moderne pour remplacer IGListKit TinyStorage - Pour éviter des problèmes subtils avec UserDefaults Toucan - Un autre générateur de sites web en Swift Fireside Cocoa - Skiez les Rocheuses au Colorado Ecoutez cet épisode
À l'occasion de la journée mondiale des oiseaux migrateurs du 12 octobre 2024, BSG rediffuse 4 des 12 épisodes de sa saga Migrations. Une espèce sur deux d'oiseaux est en déclin. La France est un lieu de passage essentiel, pourtant les chasseurs hexagonaux font carton plein, avec le record européen d'une soixantaine d'espèces chassables.______On dénombre plus de 10.000 espèces d'oiseaux dans le monde. Un peu moins de la moitié de ces espèces migrent (de quelques m à 80.000 km par an). Ils étonnent année après année les scientifiques, en faisant tomber les records les uns après les autres :Temps de volDistance parcourueAltitude franchie ...Tous les ans, la sterne arctique parcourt près de 80.000 km. Entre Arctique et Antarctique, Sterna paradisaea allonge sa route pour profiter des vents portants.Les martinets noirs, Apus apus, sont quant à eux connus pour être capables de voler… 10 mois d'affilée sans se poser ! Pour qu'une telle performance soit possible, les oiseaux se nourrissent et dorment dans les airs. La distance accumulée des vols durant leur vie équivaut à 7 voyages aller-retour jusqu'à la Lune !Le record d'altitude appartient au vautour de Rüppell. l'un d'eux a percuté un avion à ... 11.300m !!!L'Oie à tête barrée se pose en challenger du vautour : elle survole les montagnes de l'Himalaya à plus de 10.000 m. Des cygnes ont aussi été repérés à plus de 8.000 m.Les oiseaux migrateurs trouvent un intérêt particulier de voler très haut car ils profitent des courants de vents forts qui les aident à se déplacer sur de grandes distances.L'augmentation de l'altitude de vol permet aussi de limiter l'hyperthermie (liée à l'intensité des battements d'ailes), grâce à la température qui atteint souvent moins de -50 °C, ainsi que la déshydratation qui s'ensuit, lors des grandes migrations.L'une des migrations les plus célèbres est celle de la Barge rousse (Limosa lapponica), championne d'endurance. En 2020, des scientifiques ont enregistré le vol migratoire sans pause le plus long jamais observé, entrepris par une Barge rousse entre l'Alaska et la Nouvelle-Zélande. Elle a parcouru plus de 12.700 kilomètres au-dessus de l'océan Pacifique, pendant 11 jours, sans jamais s'arrêter.D'autres volent loin et vite. La Bécassine double (Gallinago media) peut parcourir plus de 6.700 km et atteindre des vitesses de 96 km/h lors de ses voyages sans interruption entre l'Europe et l'Afrique subsaharienne. Il s'agit de l'oiseau migrateur le plus rapide.Même les petits oiseaux embarquent pour d'éprouvants voyages. Le Colibri calliope (Selasphorus calliope), le plus petit oiseau d'Amérique du Nord, effectue des allers-retours de plus de 9.000 km entre les prairies de haute altitude et les vastes forêts des Rocheuses ou celle de pins et de chênes du Mexique._______
Marianne Hogan est de retour au podcast, alors qu'elle revient tout juste d'une immense 3e position sur l'UTMB Mont-Blanc. Après une solide 2e position en 2022, qui s'était soldée par une blessure qui l'a affectée pendant près d'un an, la coureuse québécoise était de retour à Chamonix pour tenter une nouvelle fois de boucler le grand tour du sommet mondial du trail. Marianne arrivait plus prête que jamais, après un mois de préparation dans les Rocheuses du Colorado avec son amie Camille Bruyas, qu'elle accompagnait sur la Hardrock 100, suivi d'un mois dans les Alpes en préparation spécifique pour l'UTMB. On parle de cet été passé avec ses amis de l'équipe Salomon, avant de plonger en profondeur dans sa course. C'est ultra intéressant de l'entendre analyser sa performance, à peine deux semaines après avoir franchi la ligne d'arrivée. Bonne écoute!CréditsDesign graphique : David HébertThème musical : Frédérick DesrochesIdée originale, production, recherche et animation : Yannick Vézina© Pas sorti du bois 2024
Surprise! Je t'offre un Café du vendredi pour bien terminer la semaine. Au menu : immersion sonore dans l'Ultra-trail des Chic-Chocs 2024 avec ses tous nouveaux parcours de 170 et 88 km, suivi d'un retour sur les performances de nos Québécois au Championnat canadien de course en sentier à Squamish. J'étais en Gaspésie pour l'UTCC et je vous raconte ce week-end historique qui a vu naître ce qui peut déjà être décrit comme le plus difficile 100 miles à l'Est des Rocheuses. Armé de mon micro, je suis allé chercher des extraits ici et là, dans lesquels vous pourrez entendre Éric Lévesque, Yannick Bernard, Juliane Fisette, Kevin Ouellet et Téo Sénécat. Pour discuter du Squamish 50 en Colombie-Britannique, j'ai invité deux athlètes que vous connaissez bien et qui ont brillé lors de l'événement : Élisa Morin et Jean-François Cauchon. Bonne écoute!CréditsPhoto : Téo SénécatDesign graphique : David HébertThème musical : Frédérick DesrochesIdée originale, production, recherche et animation : Yannick Vézina© Pas sorti du bois 2024
Aux États-Unis, Kamala Harris, la candidate à la candidature démocrate pour la présidentielle, doit donner d'ici ce mardi soir (6 août 2024) le nom de son colistier. Toute la presse américaine se pose la question : qui sera l'heureux élu ? Ce dimanche, les émissions télévisées en étaient réduites à lire dans les feuilles de thé, ironise The Hill. Le même jour, trois des finalistes devaient rencontrer Kamala Harris: le gouverneur de Californie Josh Shapiro, le sénateur de l'Arizona Mark Kelly, et le gouverneur du Minnesota Tim Waltz. Ce dernier, selon The Hill, est de plus en plus soutenu par les démocrates de la Chambre – dont il a fait partie : et, précise le site d'information, « le sympathique Waltz n'était pas seulement populaire sur la colline du capitole, il a aussi été le soldat le plus gradé dans l'histoire du Congrès – un statut qui l'a rapproché des partisans du Pentagone dans les deux partis ». De son côté, le New York Times s'intéresse au gouverneur de Californie Josh Shapiro : un proche de Barack Obama, et depuis le premier mandat de ce dernier ils ont développé « une relation plus étroite qu'on ne le pense généralement ».Le parti démocrate se divise autour du nom du colistier :« La primaire compétitive et conflictuelle que, depuis longtemps, de nombreux démocrates souhaitaient éviter a quand même lieu - en grande partie à huis clos », affirme le New York Times : une lutte entre « donateurs, groupes d'intérêts et rivaux politiques des franges modérées et progressives du parti ». Les progressistes accusent ainsi Josh Shapiro et Mark Kelly d'être trop conservateurs sur des sujets-clé. Le quotidien new-yorkais évoque un « candidat de compromis » qui pourrait émerger, le gouverneur du Kentucky Andy Beshear. L'Artibonite terrorisée par les gangsEn Haïti, le département de l'Artibonite est la principale région rizicole du pays. Et les violences des gangs paralysent non seulement le déplacement des citoyens mais aussi la production agricole. Lundi dernier, des membres de la société civile ont manifesté pour réclamer du matériel adéquat pour permettre à la police nationale haïtienne de lutter contre les gangs.D'autant que, selon Bertide Horace, porte-parole de la « Commission de dialogue, réconciliation et conscientisation pour sauver l'Artibonite », interrogé par Ronel Paul, depuis l'arrivée des policiers kenyans dans la capitale haïtienne les gangs deviennent de plus en plus violents, et de plus en plus cruels – Bertide Horace prend pour exemple le kidnapping d'un enfant, qui a été tué malgré le versement d'une rançon.Une manifestante, le 29 juillet, parlait d'un « véritable génocide dans le département de l'Artibonite », affirmant aussi que tout le matériel de police est resté dans le département de l'Ouest. Contacté par RFI, le directeur départemental de la police nationale en Artibonite assure avoir demandé à ses supérieurs « un véhicule blindé robuste, des fusils, des munitions, et surtout de renforcer l'effectif des unités au sein du département, entre autres, afin de chambouler le statu quo. » Il n'a encore reçu aucune réponse.À écouter aussiHaïti : violences en Artibonite Mort d'un pompier au CanadaUn pompier de 24 ans est décédé ce week-end alors qu'il luttait contre un incendie de forêt dans l'Ouest canadien, dans le parc national Jasper, raconte Le Devoir. Il avait été grièvement blessé samedi (3 août 2024) par la chute d'un arbre. « Ça me fend le cœur », a réagi sur le réseau social X le Premier ministre Justin Trudeau. Le ministre de la Foresterie et des Parcs a de son côté indiqué que sa famille « serait admissible au Fonds des héros de la province (l'Alberta), un paiement unique et non imposable de 100 000 dollars qui reconnaît les services de premiers répondants ». 25 000 personnes ont fui la ville et le parc national le 22 juillet à cause des incendies de forêts, qui ont fini par se propager à la communauté et qui ont détruit un tiers de ses bâtiments. L'incendie, toujours incontrôlable, s'étend sur 32 000 hectares. « Les centaines de pompiers qui combattent le feu dans la région ont pris un moment, hier, pour pleurer un des leurs », écrit The Globe and Mail. L'an dernier, quatre pompiers sont morts lors de la saison record de feux qu'a connu le pays.À lire aussiCanada: incendie ravageur dans les Rocheuses, la ville de Jasper dévastée Assassinat d'un journaliste au Mexique Il s'appelait Alejandro Martinez Noguez, écrit Milenio. Il a été assassiné hier (4 août 2024) dans le département de Guanajuato, dans le centre du pays. Une camionnette s'est arrêtée à côté de son véhicule et a tiré sur ses trois occupants, raconte La Jornada. Un des deux anciens policiers qui assuraient la protection du journaliste depuis une tentative d'assassinat en 2022 a été blessé, l'autre a réussi à repousser l'attaque et à amener son collègue et le journaliste à un hôpital. Mais Martinez Noguez était mort, tué d'une balle dans la tête.Le Mexique détient un triste record, rappelle Milenio dans son éditorial : celui du pays le plus dangereux du monde pour les journalistes - il est devenu « un terrain miné pour ceux qui veulent enquêter, questionner, et dénoncer ». Et l'éditorialiste de demander au nouveau gouvernement dirigé par Claudia Sheinbaum de « prendre des mesures concrètes pour protéger les journalistes et garantir que les responsables de ces crimes affrontent la justice » : « les promesses et les discours ne suffisent pas ».À lire aussiComment protéger les journalistes au Mexique ?En Bolivie, des produits frais vendus sur les réseaux sociauxUn marché de fruits et légumes où les produits sont mis en avant sur Facebook et Tiktok… C'est à Cochabamba, dans le centre de la Bolivie que se trouve le marché «Intégration du sud». Depuis deux ans, les producteurs y vendent leurs produits directement aux consommateurs, un succès qui a été rendu possible grâce à cette présence sur les réseaux sociaux. Notre correspondant en Bolivie Nils Sabin est allé à la rencontre de l'administratrice du marché Mary Rojas Lopez qui, en direct sur Facebook, passe de stand en stand à la rencontre des vendeurs et des vendeuses.Pour de nombreux producteurs interrogés, l'absence d'intermédiaires est le principal point positif du marché. Avant d'occuper un terrain de 5,5 hectares au sud de Cochabamba, les maraîchers vendaient dans la rue et dépendaient de revendeurs qui fixaient les prix. Il y a deux ans, les producteurs de 6 municipalités situées à l'est de la ville décident de s'unir et d'acheter ce terrain. Aujourd'hui, l'association rassemble près de 2 000 maraîchers qui viennent y vendre leur récolte deux fois par semaine.Le Chili en orAux Jeux Olympiques de Paris, la Chilienne Francisca Crovetto est entrée dans l'histoire en devenant la première à remporter une médaille pour son pays dans les JO de Paris. Et c'est une médaille d'or puisqu'elle a remporté le skeet féminin en tir sportif ce dimanche (4 août 2024) – le skeet, c'est le tir au fusil sur des plateaux lancés les uns après les autres. « Je pense que c'est surtout dans les jours qui viennent que je vais me rendre compte de ce qui s'est passé », explique Francisca Crovetto, « parce que là, j'étais trop concentrée pour tirer un plateau après l'autre ! » C'est la troisième médaille d'or pour le Chili tous Jeux olympiques confondus.Au Canada, c'est au lancer du marteau que l'on s'intéresse :« Un marteau en or », titre en Une le Toronto Star, sous une photo d'Ethan Katzberg, en plein effort. « Avec un lancer de 84 mètres 12, Ethan Katzberg a remporté la médaille d'or – une première pour le Canada dans ce sport », note le quotidien. « Peu après 20 heures, il s'avance dans le cercle réservé au lancer de marteau, au Stade de France, tourne à quatre reprises sur lui-même, de plus en plus vite, lance à 84 mètres douze. Et c'est fini. Or olympique », raconte The Globe and Mail, qui poursuit : « pendant tout le reste de la soirée, personne n'est arrivé à quatre mètres de Katzberg ».Quant à la superstar américaine Simone Biles, elle se contente de l'argent ce lundi (5 août 2024) pour sa dernière épreuve, puisque c'est la gymnaste brésilienne Rebecca Andrade qui a été sacrée championne olympique du sol. À écouter les commentaires en direct d'Eric Mamruth et Sarah Daninthe.À lire aussiGymnastique artistique: la Brésilienne Andrade sacrée au sol, Biles en argent Le journal de la PremièreUn plan Marshall pour mettre à niveau les équipements sportifs en Guyane et dans les Outre-mer
La vente de la Louisiane par la France aux États-Unis en 1803, connue sous le nom de la "Louisiana Purchase", est un événement majeur de l'histoire américaine et française. Plusieurs facteurs stratégiques, économiques et politiques ont conduit à cette transaction.Contexte HistoriqueÀ l'aube du XIXe siècle, la France était dirigée par Napoléon Bonaparte, qui avait des ambitions expansionnistes en Europe et au-delà. En 1800, par le traité de San Ildefonso, l'Espagne a restitué la Louisiane à la France, une immense région s'étendant de la rivière Mississippi aux montagnes Rocheuses, couvrant environ 828 000 miles carrés.Raisons de la Vente1. Pressions Militaires et Diplomatiques :Napoléon avait de grandes ambitions en Europe et nécessitait des ressources financières et militaires pour soutenir ses campagnes. De plus, les tensions croissantes avec la Grande-Bretagne menaçaient une nouvelle guerre. Napoléon craignait que la Louisiane ne soit difficile à défendre et pourrait facilement tomber aux mains des Britanniques en cas de conflit.2. Révolte en Haïti :La révolte des esclaves à Saint-Domingue (aujourd'hui Haïti), dirigée par Toussaint Louverture, a été un coup dur pour les ambitions coloniales françaises dans les Amériques. La France a subi de lourdes pertes et a perdu le contrôle de l'île, réduisant ainsi son intérêt pour les possessions coloniales américaines, dont la Louisiane.3. Situation Économique :La France était en difficulté financière à cause des guerres continues en Europe. La vente de la Louisiane représentait une opportunité d'obtenir des fonds rapidement. Les États-Unis ont proposé 15 millions de dollars pour l'acquisition, une somme considérable pour l'époque, offrant à Napoléon des liquidités nécessaires pour financer ses campagnes militaires.4. Expansion Américaine :Pour les États-Unis, l'achat de la Louisiane était une occasion en or pour doubler leur territoire, ouvrir de nouvelles terres à la colonisation et garantir un accès crucial à la rivière Mississippi et au port de La Nouvelle-Orléans, essentiels pour le commerce.ConclusionLa vente de la Louisiane a été un acte pragmatique de la part de Napoléon, visant à renforcer la position française en Europe tout en se débarrassant d'une colonie difficile à défendre. Pour les États-Unis, ce fut une opportunité d'expansion territoriale et économique sans précédent. Cette transaction a profondément influencé l'histoire des deux nations, marquant un tournant dans l'expansion américaine et la politique coloniale française. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les bisons américains ont failli disparaître à la fin du XIXè siècle, et avec eux tout un pan de la culture autochtone du continent. Au Canada, ce lourd passé colonial est désormais un véritable moteur pour la réintroduction des bisons, entre réconciliation culturelle, écologique et économique, pour les descendants des colonisateurs et des peuples autochtones. (Rediffusion) Dans les vastes plaines jaunies du sud de l'Alberta balayées par le vent, le bâtiment du centre d'interprétation de Head-Smashed-In est parfaitement intégré dans l'une des falaises des plateaux situés au pied des montagnes des Rocheuses.Quinton Crowshoe, membre de la communauté des Piikani, est guide à Head-Smashed-In, site inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco : c'est là, du haut de cette falaise, que ses ancêtres chassaient le bison. Rassemblés dans un bassin, les bisons étaient attirés jusqu'au bord des falaises au soleil levant. Éblouis et effrayés par des Piikanis, ils se précipitaient dans le vide. Au pied de la falaise, les autres membres de la communauté les achevaient, puis utilisaient l'intégralité des carcasses pour survivre au rude hiver du continent.Le centre de Head-Samshed-In reçoit chaque année plus de 80 000 visiteurs. Pour Quinton, perpétuer cet héritage, c'est aussi reconnaître l'importance des bisons pour les écosystèmes des Grandes Plaines. « Lorsque le Créateur a créé les bisons, il a conçu leurs sabots de manière à ce que, lorsqu'ils se déplacent, ils aèrent naturellement le sol. Ils nourrissent le sol une fois qu'ils ont mangé toute l'herbe, puis se déplacent vers leur prochaine zone de pâturage. Ils laissent derrière eux une formidable fertilisation », explique le petit-fils de Joe Crowshoe Senior, qui a participé à la création de ce centre d'interprétation. Un allié écologiqueLes peuples autochtones connaissent depuis toujours le potentiel écologique du bison, mais il a fallu qu'il manque de disparaître pour que les Blancs réalisent l'importance de leur rôle. Les bisons ont été presque annihilés pour leur cuir, utilisé dans les courroies des machines lors de la révolution industrielle en Europe, et pour chasser les peuples autochtones des plaines que les animaux avaient fertilisées. À la fin du XIXè siècle, il n'en restait plus qu'une poignée, contre des dizaines de millions un siècle plus tôt.Dans le nord de l'Alberta, près du parc national de l'Île aux Élans, Wes Olson, ancien employé de Parc Canada et spécialiste du bison, a établi sa résidence. « Les bisons sont des espèces-clé, et lorsqu'ils ont été retirés des grandes plaines d'Amérique du Nord ou de tout autre endroit où ils vivaient, ces écosystèmes se sont généralement effondrés », explique le passionné. Wes Olson a participé à la réintroduction des bisons dans le parc national canadien de Banff, en 2017, aux côtés de Dillon Watt, toujours employé là-bas.Casquette visée sur la tête, le travailleur de Parc Canada explique : « Aujourd'hui, il y a un peu plus de cent bisons dans le parc national de Banff. Nous avons commencé avec 16 animaux en 2017. On peut parler d'une réussite, même si beaucoup de choses restent à accomplir, notamment pour faire cohabiter l'homme et l'animal sauvage ». Aujourd'hui, le bison n'est plus une espèce en danger. Rien qu'au Canada, on compte plus de 12 000 bisons des plaines et des bois en liberté, et près de 150 000 bisons d'élevage. Une économie écologique ?Dans un café de Calgary, la ville la plus peuplée de l'Alberta, le rendez-vous est pris avec Kelly Long. À la tête de l'entreprise Noble Premium Bison, la femme d'affaires exporte de la viande de bison jusqu'en Europe. Pour Kelly, cultiver le bison permet de promouvoir un élevage plus responsable : en moyenne un producteur canadien détient seulement 150 têtes dans sa harde. « Nous ne pratiquons pas d'insémination artificielle et nous ne donnons pas d'hormones de croissance. La façon dont nous élevons les animaux ajoute de la valeur à la terre, aide l'environnement, aide le sol, aide à séquestrer le carbone, aide le bassin versant, aide la diversité des plantes ».George Briggs est éleveur de bisons depuis une trentaine d'années dans le centre de l'Alberta. Il a une harde qu'il ne touche pas, et des veaux qu'il envoie à la boucherie tous les dix-huit mois. Dans ses champs, une centaine d'animaux profitent d'un terrain de 250 hectares. Le mâle est gigantesque et sa fourrure est encore épaisse de l'hiver. Son garrot atteint la fenêtre de son pickup pourtant bien américain.Pour George, le bison est clairement un allié écologique. « Avant, ce champ était un champ de culture intensive. Quand je l'ai acheté pour y mettre des bisons, le voisinage m'a pris pour un fou. Aujourd'hui, le champ respire, la terre est noire, les oiseaux sont revenus et j'ai pu y planter des arbres », explique l'éleveur, qui habite juste à côté de son champ. Élever le bison, c'est aussi faire sa part pour compenser la lourde responsabilité des Canadiens blancs dans sa disparition. « Ils essayaient de forcer les Premières Nations à se déplacer plus loin. Sans ces quelques personnes qui ont capturé ces animaux pour les placer dans des parcs, nous n'aurions probablement plus de bisons aujourd'hui, n'est-ce pas ? », soupire le rancher.Il y a dix ans, un traité pour les bisons a été signé entre différentes Premières Nations pour encourager leurs réintroductions dans les Plaines. Les réserves autochtones sont de plus en plus nombreuses à en accueillir, même si la mer de bison décrite par leurs ancêtres dans les Grandes Plaines risque de ne jamais revenir.
durée : 00:16:05 - Les Odyssées - par : Laure Grandbesançon. - L'expédition Clark et Lewis poursuit son cours, sur l'eau ou sur la terre, au rythme des saisons. Du Missouri aux imposantes montagnes Rocheuses, c'est un paysage sauvage et grandiose qui s'offre à vous !
Les bisons américains ont failli disparaître à la fin du XIXè siècle, et avec eux tout un pan de la culture autochtone du continent. Au Canada, ce lourd passé colonial est désormais un véritable moteur pour la réintroduction des bisons, entre réconciliation culturelle, écologique et économique, pour les descendants des colonisateurs et des peuples autochtones. Dans les vastes plaines jaunies du sud de l'Alberta balayées par le vent, le bâtiment du centre d'interprétation de Head-Smashed-In est parfaitement intégré dans l'une des falaises des plateaux situés au pied des montagnes des Rocheuses.Quinton Crowshoe, membre de la communauté des Piikani, est guide à Head-Smashed-In, site inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco : c'est là, du haut de cette falaise, que ses ancêtres chassaient le bison. Rassemblés dans un bassin, les bisons étaient attirés jusqu'au bord des falaises au soleil levant. Éblouis et effrayés par des Piikanis, ils se précipitaient dans le vide. Au pied de la falaise, les autres membres de la communauté les achevaient, puis utilisaient l'intégralité des carcasses pour survivre au rude hiver du continent.Le centre de Head-Samshed-In reçoit chaque année plus de 80 000 visiteurs. Pour Quinton, perpétuer cet héritage, c'est aussi reconnaître l'importance des bisons pour les écosystèmes des Grandes Plaines. « Lorsque le Créateur a créé les bisons, il a conçu leurs sabots de manière à ce que, lorsqu'ils se déplacent, ils aèrent naturellement le sol. Ils nourrissent le sol une fois qu'ils ont mangé toute l'herbe, puis se déplacent vers leur prochaine zone de pâturage. Ils laissent derrière eux une formidable fertilisation », explique le petit-fils de Joe Crowshoe Senior, qui a participé à la création de ce centre d'interprétation. Un allié écologiqueLes peuples autochtones connaissent depuis toujours le potentiel écologique du bison, mais il a fallu qu'il manque de disparaître pour que les Blancs réalisent l'importance de leur rôle. Les bisons ont été presque annihilés pour leur cuir, utilisé dans les courroies des machines lors de la révolution industrielle en Europe, et pour chasser les peuples autochtones des plaines que les animaux avaient fertilisées. À la fin du XIXè siècle, il n'en restait plus qu'une poignée, contre des dizaines de millions un siècle plus tôt.Dans le nord de l'Alberta, près du parc national de l'Île aux Élans, Wes Olson, ancien employé de Parc Canada et spécialiste du bison, a établi sa résidence. « Les bisons sont des espèces-clé, et lorsqu'ils ont été retirés des grandes plaines d'Amérique du Nord ou de tout autre endroit où ils vivaient, ces écosystèmes se sont généralement effondrés », explique le passionné. Wes Olson a participé à la réintroduction des bisons dans le parc national canadien de Banff, en 2017, aux côtés de Dillon Watt, toujours employé là-bas.Casquette visée sur la tête, le travailleur de Parc Canada explique : « Aujourd'hui, il y a un peu plus de cent bisons dans le parc national de Banff. Nous avons commencé avec 16 animaux en 2017. On peut parler d'une réussite, même si beaucoup de choses restent à accomplir, notamment pour faire cohabiter l'homme et l'animal sauvage ». Aujourd'hui, le bison n'est plus une espèce en danger. Rien qu'au Canada, on compte plus de 12 000 bisons des plaines et des bois en liberté, et près de 150 000 bisons d'élevage. Une économie écologique ?Dans un café de Calgary, la ville la plus peuplée de l'Alberta, le rendez-vous est pris avec Kelly Long. À la tête de l'entreprise Noble Premium Bison, la femme d'affaires exporte de la viande de bison jusqu'en Europe. Pour Kelly, cultiver le bison permet de promouvoir un élevage plus responsable : en moyenne un producteur canadien détient seulement 150 têtes dans sa harde. « Nous ne pratiquons pas d'insémination artificielle et nous ne donnons pas d'hormones de croissance. La façon dont nous élevons les animaux ajoute de la valeur à la terre, aide l'environnement, aide le sol, aide à séquestrer le carbone, aide le bassin versant, aide la diversité des plantes ».George Briggs est éleveur de bisons depuis une trentaine d'années dans le centre de l'Alberta. Il a une harde qu'il ne touche pas, et des veaux qu'il envoie à la boucherie tous les dix-huit mois. Dans ses champs, une centaine d'animaux profitent d'un terrain de 250 hectares. Le mâle est gigantesque et sa fourrure est encore épaisse de l'hiver. Son garrot atteint la fenêtre de son pickup pourtant bien américain.Pour George, le bison est clairement un allié écologique. « Avant, ce champ était un champ de culture intensive. Quand je l'ai acheté pour y mettre des bisons, le voisinage m'a pris pour un fou. Aujourd'hui, le champ respire, la terre est noire, les oiseaux sont revenus et j'ai pu y planter des arbres », explique l'éleveur, qui habite juste à côté de son champ. Élever le bison, c'est aussi faire sa part pour compenser la lourde responsabilité des Canadiens blancs dans sa disparition. « Ils essayaient de forcer les Premières Nations à se déplacer plus loin. Sans ces quelques personnes qui ont capturé ces animaux pour les placer dans des parcs, nous n'aurions probablement plus de bisons aujourd'hui, n'est-ce pas ? », soupire le rancher.Il y a dix ans, un traité pour les bisons a été signé entre différentes Premières Nations pour encourager leurs réintroductions dans les Plaines. Les réserves autochtones sont de plus en plus nombreuses à en accueillir, même si la mer de bison décrite par leurs ancêtres dans les Grandes Plaines risque de ne jamais revenir.
Perché dans les montagnes Rocheuses du Colorado, le Stanley Hotel attire chaque année des visiteurs du monde entier, curieux de découvrir ses murs imprégnés d'une histoire riche et parfois glaçante. Mais pour certains, cet hôtel n'est pas seulement un lieu de villégiature pittoresque, c'est un véritable temple de l'épouvante, un endroit où la frontière entre le réel et l'imaginaire se brouille dangereusement. C'est en 1974 que le Stanley Hotel devient le théâtre d'une nuit inoubliable pour l'écrivain Stephen King. Séjournant dans la chambre 217, King et sa femme font des expériences étranges et troublantes qui marqueront à jamais leur esprit. Des bruits inexpliqués, des apparitions fantomatiques, une sensation d'oppression constante... ces événements serviront d'inspiration pour son roman d'horreur culte, "Shining", qui fera frissonner des générations de lecteurs. Merci pour votre écoute Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
L’introduction du 12 avril 2024 de Ouellet en direct.
Thursday, February 1, 2024 Running February 1 through February 11th at La Cite des Rocheuses in Calgary, Kyle reviews Painted Fish's production of Fiddler on the Roof Tickets: https://paintedfish.tickit.ca/events/21089 About: Fiddler on the Roof is a musical with music by Jerry Bock, lyrics by Sheldon Harnick, and book by Joseph Stein, set in the Pale of Settlement of Imperial Russia in or around 1905. It is based on Tevye and his Daughters and other tales by Sholem Aleichem Join the Patreon: https://www.patreon.com/OnStagingPodcast
Fiddler on the Roof Discussion Opening February 1 through February 11th at La Cite des Rocheuses in Calgary, Kyle sits down with Susan White, stage manager, and Marian Hamilton, director of Fiddler on the roof. Tickets: https://paintedfish.tickit.ca/events/21089 About: Fiddler on the Roof is a musical with music by Jerry Bock, lyrics by Sheldon Harnick, and book by Joseph Stein, set in the Pale of Settlement of Imperial Russia in or around 1905. It is based on Tevye and his Daughters and other tales by Sholem Aleichem Join the Patreon: https://www.patreon.com/OnStagingPodcast
On commence 2024 en force avec une nouvelle série d'épisodes qui s'étendra sur les six prochains mois et qui explorera la préparation de Richard Turgeon pour la Hardrock Hundred Endurance Run. Il en rêve depuis plus d'une décennie et c'est en juillet prochain qu'il s'élancera depuis Silverton au Colorado pour tenter de boucler cette course mythique et brutale au cœur des Rocheuses. La trotte de 161 km et 10 000 m D+ qui relie plusieurs villages miniers de l'époque de la ruée vers l'or attire les coureurs des quatre coins du monde depuis 1992. L'une de ses particularités est le fait que la course se déroule à une moyenne de 3 400 mètres d'altitude, avec un passage à Handies Peak où les athlètes atteignent 4 285 mètres. En comparaison, le point le plus élevé atteint lors de l'UTMB est à 2 537 mètres. La haute altitude de la course amène une météo changeante et extrême, rendant l'épreuve encore plus difficile pour les 148 personnes qui se lancent sur l'événement chaque année. Richard a la Hardrock dans les tripes et il me raconte avec passion ce que cette course représente pour lui. Une première partie qui met la barre haute pour la suite de la série! Bonne écoute.Pour écouter le premier passage de Richard Turgeon au balado, à l'épisode 22, c'est par ici.Pour écouter le passage de Richard en compagnie d'Yvan l'Heureux pour leur projet Kavale, à l'épisode 49, c'est par ici.Pour écouter le passage de Richard lors de la Journée Everest en balado-réalité, à l'épisode 75, c'est par ici.CréditsDesign graphique : David HébertThème musical : Frédérick DesrochesIdée originale, production, recherche et animation : Yannick Vézina© Pas sorti du bois 2024
L'effet papillon : le podcast de l'impact positif d'Anne-Fleur Andrle
La pédiatre Catherine Guéguen a dit ceci « La confiance en soi dans la vie, ne se décide pas. Elle nous est donnée par les autres. D'abord par les parents, puis par l'entourage.» Le cocon formé par la famille, sous toutes ses formes, depuis notre enfance est celui qui nous aide à forger la confiance que l'on a en nous-même. Alors que se passe-t-il et quel adulte devient-on quand on n'a pas vraiment appris à s'aimer ? À chérir cette enveloppe corporelle avec qui on partage pourtant son quotidien depuis tant d'années ? Ce contenant qui nous protège parfois malgré nous.C'est l'histoire de Mélanie Bertrand, que ses proches et clients surnomment affectueusement Lanie. Comme moi, Lanie a grandit dans le Finistère sur la pointe Bretonne. Elle y vit toujours avec son chéri Manu et leur fille. Moi, Lanie, je l'ai rencontrée en 2017 lors d'une réunion de famille à Quimper. À l'époque, on cherchait une photographe pour faire de belles photos de famille et on m'a recommandé de lui faire appel. Après un appel et quelques mails, c'était validé. Et quelques semaines plus tard, je vois cette petite femme souriante, drôle et pleine d'énergie débarquer armée d'appareils photos en tous genres dans le jardin. Comme moi, Lanie avait des rondeurs, et si j'ai toujours eu du mal à me lâcher devant un appareil photo, cette fois-là fut une des rares occasions au cours desquelles je me suis sentie à l'aise, une journée au cours de laquelle je me suis sentie moi.L'histoire que je vais vous raconter dans l'épisode que vous vous apprêtez à écouter, c'est avant tout l'histoire d'une femme qui a appris tant bien que mal à apprivoiser son corps, à l'aimer et le chérir - alors même qu'on lui avait appris à faire l'inverse. Avec Lanie, on raconte ensemble son enfance, les relations avec ses parents, avec son corps et avec l'obésité aussi, et enfin on revient ensemble sur l'opération bariatrique qu'elle a subit il y a quelques années.Si vous voulez jeter un coup d'œil à son boulot de photographe, c'est par ici : https://www.laniephotographie.fr/
Épisode enregistré cet été. Nadine raconte le choix qu'ils ont fait de déménager dans les Rocheuses et nous parle de son amour du vélo et de sa vie axée sur les activités de plain air qu'elle pratique chez elle.
La célèbre Cheffe Cuisinier Anne-Sophie Pic dit que l' "on nourrit son expérience de ses réussites, mais aussi de ses échecs. L'erreur est l'un des ingrédients de l'expérience". L'expérience, Julien Renaut, il en a toujours voulu mais alors qu'il commençait à gravir les échelons en France, on lui a souvent reproché son jeune âge. Pourtant, des idées il en a. Et il n'a pas peur de travailler pour réussir. Alors un jour, il se dit que son futur est peut-être ailleurs. Il tombe sur un forum de français établis autour du monde et lit que la ville de San Diego vit une pénurie sans précédent de boulangers. Ni une, ni deux, le voilà qui se met en tête de partir s'y installer.Aujourd'hui entrepreneur aguerri à la tête de La Belle French Bakery avec une passion pour la patisserie toujours intacte, Julien me raconte son parcours de la Californie aux montagnes Rocheuses du Colorado puis dans la région de Denver. Il partage sa rage de réussir, son envie d'entreprendre, mais aussi de partager pour soutenir celles et ceux qui voudraient tenter l'aventure Américaine.Cet épisode va vous donner faim ... de réussir. Mais pas que !French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine Phil Brown parle parle grève au gouvernement fédéral, Eric Lapointe et rhinocéros.Plus d'épisodes et de contenu sur Patreon: www.patreon.com/brownbrun
Dans l'Ouest américain, parmi les immensités des plaines ou des Rocheuses, la nature sauvage fait office, depuis longtemps, de refuge pour les pionniers et les rêveurs en quête d'horizon et de liberté. De longue date, les écrivains arpenteurs s'en sont saisi pour célébrer la grandeur de ses paysages mais aussi tendre un miroir à l'Amérique et ses vieux mythes fondateurs. L'écrivain du Montana Pete Fromm est de ceux-là. Devenu célèbre à travers le monde avec « Indian Creek » , un récit d'hivernage dans les montagnes entre l'Idaho et le Montana, à l'hiver 1978, Pete Fromm est un écrivain du genre sédentaire, tant il est attaché à sa terre d'adoption : le Montana. Pourtant, ses livres, des récits à la première personne et surtout des romans, offrent aux lecteurs de grands voyages, sensibles et à hauteur d'hommes, à travers l'Ouest américain. Aux États-Unis, l'Ouest est un mythe fondateur, une promesse de vie nouvelle, entre esprit de conquête et de frontière. C'est aussi là que s'est forgé un rapport complexe mais fertile à la grande nature, qu'on appelle en Amérique la « wilderness ». Ceux qui mettent en mots ce monde peuplé de lynx, de grizzlis et de vie au grand air, appartiennent au « nature writing » ou « écriture de nature », un genre littéraire profondément lié aux grands espaces américains, où le sauvage rôde dehors comme il sommeille en chacun de nous.Né en 1958 dans le Wisconsin et débarqué étudiant dans le Montana, Pete Fromm a longuement aiguisé son regard et ses sens, au contact d'une nature préservée. En effet, après son expérience dans les Rocheuses à Indian Creek, il va partir en voyage en Nouvelle Zélande puis passer huit ans comme « Park Ranger » dans les parcs et les rivières du Wyoming, du Nevada ou du Texas, avant de se lancer comme écrivain et connaitre le succès avec son premier ouvrage « Indian Creek ». Dans ses livres, ne cherchez pas l'exploit personnel ou la description béatement lyrique d'une aventure en pleine nature ! Car Pete Fromm écrit surtout sur la nature humaine. Il convoque alors la Black Foot River ou les Rocheuses pour décrire avec d'autant plus de finesse et d'acuité la complexité et la force des liens intimes et familiaux qui unissent les personnages de ses romans.Son dernier livre, « Le lac de nulle part », paru en France aux Éditions Gallmeister, nous embarque ainsi en canoë, à travers une myriade de lacs au Canada, en compagnie d'une curieuse équipée familiale : un père et ses deux enfants, les jumeaux Al et Trigg qui vont inexorablement s'enfoncer dans l'inconnu. Ce roman haletant, est un voyage en eaux troubles, où le lac devient le miroir du passé de cette famille désunie et meurtrie. Bien plus qu'un décor, la nature devient un personnage à part entière de ce récit, comme elle l'est d'ailleurs dans tous les autres livres de Pete Fromm.À l'occasion de son passage en France en avril, Pete Fromm revient à nos micros sur la relation simple et généreuse qu'il entretient avec la littérature, la nature et le Montana, un Etat immense et sauvage qui a inspiré bon nombre d'écrivains.Une rencontre initialement diffusée en avril 2022À lire :- « Le lac de nulle part ». Pete Fromm. Éditions Gallmeister. 2022- « La vie en chantier ». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2019- « Mon désir le plus ardent ». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2018- « Le nom des étoiles ». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2016- « Indian Creek». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2006. En savoir plus:- Sur les éditions Gallmeister, une maison d'édition française spécialisée au départ en littérature nord-américaine, et connue pour ses ouvrages de nature writing- Sur le concept de wilderness, un des fondements des sociétés nord-américaines- Sur l'école dite du Montana, une communauté d'écrivains dont la base arrière a toujours été la ville universitaire de Missoula.
La carte postale sonore d'Hau-Pheng est arrivée dans la boite aux lettres du podcast !
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Invité : Lazare Eloundou Assomo, directeur du patrimoine mondial de l'Unesco. La Grand-Place de Bruxelles, la prison de Robben Island, les parcs des Rocheuses, l'île de Goré, la casbah d'Alger... Ces sites culturels ou naturels font partie des 1 154 biens classés au patrimoine mondial de l'Unesco. Comment continuer à les protéger ? Peut-on limiter, voire prévenir, la perte de patrimoine dans un monde de plus en plus fragilisé par le changement climatique et les conflits ? Comment relever ces défis face à l'ampleur des crises internationales ? Pourquoi certains pays comptent de nombreux sites classés alors que le continent africain en a si peu ? Lazare Eloundou Assomo répond. Présentation : Françoise Joly (TV5MONDE), Rémi Barroux (« Le Monde »).
Il y a des rêves que l'on a enfant qui stimulent notre imagination, mais qui ne verront parfois jamais le jour. Pompier, archéologue, docteur. Jean-Luc Brosius, lui, a toujours rêvé de devenir Ranger dans un parc national Américain. Amoureux de la nature, il devient pourtant douanier pour le gouvernement Luxembourgeois : une profession de terrain qu'il exerce pendant une dizaine d'années et qu'il associe comme pour assouvir sa soif d'aventure d'une activité d'ambulancier volontaire lorsqu'il ne travaille pas. Jusqu'à ce jour de 2018 : Jean-Luc tombe sur une annonce du gouvernement Américain qui lance un recrutement de rangers pour ses parcs nationaux. Bien qu'étant un poste bénévole, Jean-Luc y voit un signe : et si finalement, son rêve de petit garçon pouvait devenir réalité ?Si sa carrière l'y ayant mené peut paraître assez loin de ce nouveau métier, c'est pourtant ce qui va plaire au Gouvernement Fédéral Américain : voilà qu'un secouriste trilingue amoureux de la nature et habitué aux conditions parfois difficiles du terrain se présente à eux, et après un long processus de recrutement, le voilà officiellement Ranger Search & Rescue dans le fameux Rocky Mountain National Park, l'un des 4 parcs nationaux du Colorado.Dans ce nouvel épisode de French Expat, Jean-Luc Brosius raconte comment il a tout plaqué pour exercer le métier dont il a toujours rêvé. Il revient aussi sur la réalité de son quotidien au cœur des montagnes Rocheuses, et prodigue de nombreux conseils pour découvrir ces montagnes en toute sécurité.Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
Situé tout au nord des États-Unis, non loin du Canada, le Montana est un État rural, immense et sauvage. Là, entre les Rocheuses et les Grandes Plaines, les grands espaces de l'Ouest américain et la promesse de solitude qu'ils renferment, aimante depuis longtemps les rêves des pionniers en quête de liberté. C'est aussi là que se concentre la mémoire des luttes amérindiennes d'hier et d'aujourd'hui. L'avenir des États-Unis se jouerait-il dans ses marges ? C'est par un récit de voyage aux allures de roadtrip dans le Montana, que l'autrice française Sylvie Brieu tente de répondre à cette question, complexe et passionnante. Car depuis 6 ans, le Montana est son refuge, là où elle vit la moitié du temps, là où elle dit aussi avoir retrouvé le goût de l'Amérique, «celle des origines» écrit-elle. Dans le Montana comme ailleurs dans l'Ouest américain, l'histoire verse souvent dans la mythologie poussiéreuse des pionniers et des cow-boys. Alors, pour s'ouvrir à d'autres récits, plus justes et plus sensibles, Sylvie Brieu a décidé d'arpenter la terre du Montana, à la rencontre de rangers militants, d'écrivains écolos amoureux des grizzlis ou d'amérindiens combatifs et créatifs. À l'occasion du Festival du Grand Bivouac d'Albertville qui s'est tenu en octobre 2022, la journaliste diplômée de Berkeley, membre de la National Geographic Society, très attachée à la cause des peuples autochtones était venue défendre son dernier livre «L'âme de l'Amérique». Surtout, elle avait à cœur de défendre la force et la beauté des cultures amérindiennes du Montana, qu'elles soient Blackfeet, Crows, Nez percés ou Cheyenne, avec à ses côtés Alaïna Buffalo Spirit, une artiste Cheyenne du Nord venue en France pour l'occasion. Rencontre avec deux femmes lumineuses pour un dialogue éclairant sur l'histoire et le présent du Montana. Une histoire empreinte de conquête, de ruée vers l'or, de dépossession des terres amérindiennes par les colons et de guerres mythiques, à commencer par celle des Black Hills qui opposa, à la fin du XIXè siècle, l'armée du Général Custer aux Indiens Sioux et leurs alliés. Une histoire de résilience et de résistance aussi. En savoir plus : - Sur le ledger art d'Alaina Buffalo Spirit, artiste Cheyenne du Nord - Sur l'autrice Sylvie Brieu et son dernier livre «L'âme de l'Amérique» paru aux Éditions Albin Michel - Sur l'action du Northern Plains Resource Council, organisation environnementale du Montana - Sur les écrivains du Montana répartis entre les villes de Livingston et Missoula.
Second cycle (épisodes 5 à 8/12) de notre saga dédiée à la migration des oiseaux. Épisode 7 : les Records Les 12 épisodes sont tous déjà dispos dans les liens indiqués à la suite. _______ On dénombre plus de 10.000 espèces d'oiseaux dans le monde. Un peu moins de la moitié de ces espèces migrent (de quelques m à 80.000 km par an). Ils étonnent année après année les scientifiques, en faisant tomber les records les uns après les autres : Temps de vol Distance parcourue Altitude franchie ... Tous les ans, la sterne arctique parcourt près de 80.000 km. Entre Arctique et Antarctique, Sterna paradisaea allonge sa route pour profiter des vents portants. Les martinets noirs, Apus apus, sont quant à eux connus pour être capables de voler… 10 mois d'affilée sans se poser ! Pour qu'une telle performance soit possible, les oiseaux se nourrissent et dorment dans les airs. La distance accumulée des vols durant leur vie équivaut à 7 voyages aller-retour jusqu'à la Lune ! Le record d'altitude appartient au vautour de Rüppell. l'un d'eux a percuté un avion à ... 11.300m !!! L'Oie à tête barrée se pose en challenger du vautour : elle survole les montagnes de l'Himalaya à plus de 10.000 m. Des cygnes ont aussi été repérés à plus de 8.000 m. Les oiseaux migrateurs trouvent un intérêt particulier de voler très haut car ils profitent des courants de vents forts qui les aident à se déplacer sur de grandes distances. L'augmentation de l'altitude de vol permet aussi de limiter l'hyperthermie (liée à l'intensité des battements d'ailes), grâce à la température qui atteint souvent moins de -50 °C, ainsi que la déshydratation qui s'ensuit, lors des grandes migrations. L'une des migrations les plus célèbres est celle de la Barge rousse (Limosa lapponica), championne d'endurance. En 2020, des scientifiques ont enregistré le vol migratoire sans pause le plus long jamais observé, entrepris par une Barge rousse entre l'Alaska et la Nouvelle-Zélande. Elle a parcouru plus de 12.700 kilomètres au-dessus de l'océan Pacifique, pendant 11 jours, sans jamais s'arrêter. D'autres volent loin et vite. La Bécassine double (Gallinago media) peut parcourir plus de 6.700 km et atteindre des vitesses de 96 km/h lors de ses voyages sans interruption entre l'Europe et l'Afrique subsaharienne. Il s'agit de l'oiseau migrateur le plus rapide. Même les petits oiseaux embarquent pour d'éprouvants voyages. Le Colibri calliope (Selasphorus calliope), le plus petit oiseau d'Amérique du Nord, effectue des allers-retours de plus de 9.000 km entre les prairies de haute altitude et les vastes forêts des Rocheuses ou celle de pins et de chênes du Mexique. Petit mais costaud ! ________ Notre invité Adrien de Montaudouin est ornithologue et fondateur de l'association CPAL. Il nous a contactés en 2021 pour proposer un sujet sur sa passion, et c'est aujourd'hui chose faite. Nos épisodes se basent sur l'excellent livre d'une autre jeune ornithologue, Maxime Zucca: La migration des oiseaux, comprendre les voyageurs du ciel. ________ Tous les épisodes de la saga Migrations des oiseaux : https://bit.ly/migrations_1_leg_defs_BSG https://bit.ly/migrations_2_typ_dir_BSG https://bit.ly/migrations_3_voi_zones_BSG https://bit.ly/migrations_4_met_etudes_BSG https://bit.ly/migrations_5_pilotg_nav_BSG https://bit.ly/migrations_6_prepa_BSG https://bit.ly/migrations_7_records_BSG https://bit.ly/migrations_8_curiosites_BSG https://bit.ly/migrations_9_ete_BSG https://bit.ly/migrations_10_automne_BSG https://bit.ly/migrations_11_hiver_BSG https://bit.ly/migrations_12_printemps_BSG _______ Sous notre Gravillon vous trouverez... 4 podcasts, 1 site, 1 compte Instagram, 1 page + 1 groupe Facebook et 1 asso dédiés au Vivant : https://baleinesousgravillon.com/liens-2
On dit de lui qu'il est l'héritier du « Tulsa Sound », ce style insaisissable qui a fait la notoriété du chanteur JJ Cale. Mais Paul Benjaman a su sortir des sentiers battus pour imposer son propre style en incluant la plupart des styles de musique américaine, y compris des éclairs de rock, de jazz, de funk, de be-bop et de swing. Le groupe tourne sans relâche dans les régions du Midwest, des Rocheuses et du Sud-Ouest des Etats-Unis et passe au Blues Café accompagné de Dom Ferrer pour sa toute première tournée française !Nous recevons également le chanteur Kent, de passage par le Blues Café Live, pour parler de son dernier album Scherzando.
Depuis La Charité-sur-Loire située dans le centre de la France, le festival Aux quatre coins du mot célèbre, du 24 au 27 juin 2021, « la bourlingue » et le voyage dans tous ses états. À cette occasion, rencontre avec une pionnière du voyage à moto, aujourd'hui septuagénaire assagie, quoique… Cette femme est un phénomène. C'est le premier mot qui vient d'emblée quand on rencontre Anne-France Dautheville, première motarde à avoir fait le tour du monde en solitaire dans les années 70, qui nous régale encore aujourd'hui de ses pétaradants récits de voyage passé sur les routes de la planète. Dans les nombreux articles qui lui sont consacrés, Anne-France Dautheville est tour à tour « la bikeuse », « l'easy rideuse », « la demoiselle à la moto » ou « la vieille qui conduisait des motos », en écho au titre un brin provocateur d'un de ses ouvrages récents. Mais au jeu des qualificatifs, Anne-France Dautheville a toujours préféré celui de « bourlingueuse » ; la bourlingue, un terme emprunté aux marins qui signifie avancer contre le vent et plus largement rouler sa bosse à travers le vaste monde. Et sur sa moto, Anne-France a roulé la sienne pendant plus de 10 ans d'Afghanistan au Japon, des Rocheuses à l'Inde en passant par l'Australie ou l'Amérique latine, à une époque où les road trips semblaient sans limites et diablement plus drôles qu'aujourd'hui. Autrice de Et j'ai suivi le vent ou de La vieille qui conduisait des motos, Anne-France Dautheville, aujourd'hui 77 ans, ne cultive pas tellement la nostalgie de cette époque, car elle l'a vécu et bien vécu. En 2016, la trajectoire quelque peu oubliée de cette grande voyageuse française a été redécouverte. La grande dame en a alors profité pour livrer de nouveaux ouvrages, toujours pleins d'esprit et d'humour, qui mêlent présent et passé, souvenirs et réflexions tout en conjuguant route, audace et liberté, sainte trinité de son existence pas banale. Car rien ne prédestinait Anne-France, née dans un milieu bourgeois et conservateur à tracer ainsi sa route… Dans le cadre du festival de La Charité-sur-Loire, Si loin si proche est également invité à présenter des écoutes sonores sur le quai Senghor de nos séries radiophoniques sur les femmes voyageuses. (Émission initialement diffusée le 27 juin 2021) En savoir plus: - Sur la programmation du festival Aux quatre coins du mot de La Charité-sur-Loire - Sur les ouvrages d'Anne-France Dautheville parus ou réédités aux Éditions Payot - Sur Bessie Stringfield, première femme noire à avoir traversé l'Amérique à moto dès les années 30 et pionnière encore largement méconnue.
On poursuit nos previews 2022 avec notre présentation complète de la conférence de la région des Rocheuses américaines, la Mountain West. Grégory Richard et Morgan Lagrée vous présentent les 12 programmes de la Mountain West. Vous saurez tout à l'aube du début de saison 2022 dans la Mountain West. QB Jake Haener et les Bulldogs de Fresno State peuvent-ils prendre le pouvoir ? QB Logan Bonner et les Aggies armés pour un back-to-back ? Le retour au sommet de Boise State ? Qui arrêtera le jeu au sol d'Air Force ? La surprise Colorado State ? Au programme : - Présentation des forces en présence dans la Mountain West. - Hot seat : quel coach de la Mountain West est le plus menacé ? - Nos pronostics. Bonne écoute !
Voici l'épisode 25 de "la quotidienne iWeek" en ce lundi 4 juillet 2022. Apple Watch Series 8 : écran plat et plus grand ? Présentation : Benjamin VINCENT (@benjaminvincent) + François LE TRUÉDIC (@FabriceNeuman). Production : OUATCH Audio. Tags : l'iMac Pro sous M3 ; montre à écran plat et plus grand ; la fièvre au poignet ; retraite dans les Rocheuses ; un dino dans mon salon. Bonne découverte de "la quotidienne iWeek" si vous nous écoutez pour la première fois, parlez de nous autour de vous, retweetez-nous (@iweeknews), bonne journée, bonne écoute et à demain ! Benjamin VINCENT & la team #iweekLQI PS : rejoignez la communauté iWeek sur Patreon et bénéficiez de bonus exclusifs !
Cette semaine, nous partons en voyage avec Lucie et Thomas ! Ils ont fait le choix du tandem semi-couché pour traverser l'Amérique du Nord, du Canada au Mexique.
Le petit village de Silver Plume, dans le Colorado, qui compte 200 habitants, se trouve au cœur des montagnes Rocheuses. Le 7 septembre 1987, Tom Young a fermé sa librairie sur Main Street et, avec son chien, Gus, a disparu. Neuf mois plus tard, un nouveau résident de Silver Plume, Keith Reinhard, a ouvert un magasin d'antiquités exactement au même endroit. Le 7 août 1988, Keith a fermé sa boutique pour la journée. Moins de deux heures plus tard, Keith Reinhard a également disparu. Il n'a jamais été revu depuis.
Alexandre Touchette s'intéresse à la fonte accélérée des glaciers des Rocheuses canadiennes; la chercheuse Édith Guilbert fait le point sur ce que dit la science au sujet de l'avortement; et Chantal Srivastava nous présente une entreprise qui veut fabriquer un carburant vert pour l'aviation.
• C'est parti pour un tour... en partenariat avec Exploration du Monde ... tu vas nous emmener au Canada ... c'est vaste, le Canada ! Le film réalisé et présenté à Explo actuellement par André Maurice, québécois pure souche, commence à Vancouver. Mais Vancouver n'est pas l'Ile de Vancouver. La ville de Vancouver se situe en face de l'ïle, mais nécessite un ferry pour s'y rendre.Il faut compter environ 1h30 de navigation depuis la ville de Vancouver • Et c'est très différent ? Vancouver c'est une ville très étonnante par ses buildings où se reflète l'océan. On est surpris par le nombre incroyable de restaurants, boutiques et espaces culturels de l'Île Granville. Le Seawall de Vancouver vous reposera des frayeurs ressenties sur le pont suspendu de Capilano suivi de ses passerelles à flanc de falaise, tout en vous offrant des vues sublimes sur la baie et les montagnes. Le Parc Stanley, l'Aquarium et le Musée d'anthropologie valent bien aussi une visite. • Une ville agréable à vivre ... ? L'une des villes classées parmi les villes les plus agréables au monde, qui se dispute le titre avec Copenhague, Melbourne et Vienne ... Nichée entre les Rocheuses et le Pacifique, on ne compte plus les immeubles de verre. Au 19e siècle, il n'y avait qu'une presqu'île recouverte d'arbres hauts comme des tours de dix étages. En un siècle, la ville a grandi à marche forcée [ 576 buildings de plus de 35 mètres, c'est la plus dense du pays]. Mais tous les fondamentaux du paysage sont restés. Les immeubles se sont lovés contre les reliefs, cette cité a été conçue pour s'intégrer dans la nature. L'immensité verte du Stanley Park en témoigne : plus grand que Central Park à New York. • Et l'Ile de Vancouver ? Outre ses paysages grandioses, sa faune et sa flore hors du commun, le choix illimité d'activités de plein air et d'attractions qu'elle propose, la plus grande île de la côte pacifique de l'Amérique du Nord (32 134 km²) a su tirer profit de la générosité de l'océan et de la terre. Elle représente un véritable petit Eden pour les amateurs de fine cuisine et de bons vins. Par ailleurs, au niveau historique, cette région témoigne d'un riche passé, alors que les Premières Nations y vivaient depuis des milliers d'années et que la Ruée vers l'Or de 1858 les entraîna, ainsi que les pionniers majoritairement francophones, vers des temps nouveaux. Victoria, la « Cité des fleurs » est bercée par un des climats les plus agréables du Canada et est, avec sa belle architecture du 19e siècle, une agréable vllle portuaire et très British, qui se parcourt facilement à pied. Canada, Terre des grands espaces à partir du mardi 19 avril jusqu'au 1er juin avec Explo Tous les renseignements sur https://explorationdumonde.be/index.php/films/17-canada-terre-de-grands-espaces Écouter l'émission directement sur Spotify : C'est parti pour un tour l'émission francophone sur S.I.S Radio qui vous parle des plus beaux voyages. En partenariat avec Exploration du monde L'émission de notre explorateur vedette Philippe Soreil est aussi disponible en podcast sur les apps gratuites : Spotify : https://open.spotify.com/show/4LwbgZ2cup5VApfkLLZePl?si=12360fbdc42d44f3 Deezer : https://deezer.page.link/Z5UMxXcL9XG6ymMVA iTunes : https://podcasts.apple.com/be/podcast/cest-parti-pour-un-tour/id1555437980?l=fr Application SiS Radio : Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.icreo.sisradio App Store : https://apps.apple.com/us/app/sisradio/id1547453358 Rejoins-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : @sisradio.officiel Instagram : @sisradio.officiel YouTube : @SISRadioofficiel
Dans l'Ouest américain, parmi les immensités des plaines ou des Rocheuses, la nature sauvage fait office, depuis longtemps, de refuge pour les pionniers et les rêveurs en quête d'horizon et de liberté. De longue date, les écrivains arpenteurs s'en sont saisi pour célébrer la grandeur de ses paysages mais aussi tendre un miroir à l'Amérique et ses vieux mythes fondateurs. L'écrivain du Montana Pete Fromm est de ceux-là. Devenu célèbre à travers le monde avec « Indian Creek » , un récit d'hivernage dans les montagnes entre l'Idaho et le Montana, à l'hiver 1978, Pete Fromm est un écrivain du genre sédentaire, tant il est attaché à sa terre d'adoption : le Montana. Pourtant, ses livres, des récits à la première personne et surtout des romans, offrent aux lecteurs de grands voyages, sensibles et à hauteur d'hommes, à travers l'Ouest américain. Aux États-Unis, l'Ouest est un mythe fondateur, une promesse de vie nouvelle, entre esprit de conquête et de frontière. C'est aussi là que s'est forgé un rapport complexe mais fertile à la grande nature, qu'on appelle en Amérique la « wilderness ». Ceux qui mettent en mots ce monde peuplé de lynx, de grizzlis et de vie au grand air, appartiennent au « nature writing » ou « écriture de nature », un genre littéraire profondément lié aux grands espaces américains, où le sauvage rôde dehors comme il sommeille en chacun de nous. Né en 1958 dans le Wisconsin et débarqué étudiant dans le Montana, Pete Fromm a longuement aiguisé son regard et ses sens, au contact d'une nature préservée. En effet, après son expérience dans les Rocheuses à Indian Creek, il va partir en voyage en Nouvelle Zélande puis passer huit ans comme « Park Ranger » dans les parcs et les rivières du Wyoming, du Nevada ou du Texas, avant de se lancer comme écrivain et connaitre le succès avec son premier ouvrage « Indian Creek ». Dans ses livres, ne cherchez pas l'exploit personnel ou la description béatement lyrique d'une aventure en pleine nature ! Car Pete Fromm écrit surtout sur la nature humaine. Il convoque alors la Black Foot River ou les Rocheuses pour décrire avec d'autant plus de finesse et d'acuité la complexité et la force des liens intimes et familiaux qui unissent les personnages de ses romans. Son dernier livre, « Le lac de nulle part », paru en France aux Éditions Gallmeister, nous embarque ainsi en canoë, à travers une myriade de lacs au Canada, en compagnie d'une curieuse équipée familiale : un père et ses deux enfants, les jumeaux Al et Trigg qui vont inexorablement s'enfoncer dans l'inconnu. Ce roman haletant, est un voyage en eaux troubles, où le lac devient le miroir du passé de cette famille désunie et meurtrie. Bien plus qu'un décor, la nature devient un personnage à part entière de ce récit, comme elle l'est d'ailleurs dans tous les autres livres de Pete Fromm. À l'occasion de son passage en France en avril, Pete Fromm revient à nos micros sur la relation simple et généreuse qu'il entretient avec la littérature, la nature et le Montana, un Etat immense et sauvage qui a inspiré bon nombre d'écrivains. À lire : - « Le lac de nulle part ». Pete Fromm. Éditions Gallmeister. 2022 - « La vie en chantier ». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2019 - « Mon désir le plus ardent ». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2018 - « Le nom des étoiles ». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2016 - « Indian Creek». Pete Fromm. Editions Gallmeister. 2006. En savoir plus: - Sur les éditions Gallmeister, une maison d'édition française spécialisée au départ en littérature nord-américaine, et connue pour ses ouvrages de nature writing - Sur le concept de wilderness, un des fondements des sociétés nord-américaines - Sur l'école dite du Montana, une communauté d'écrivains dont la base arrière a toujours été la ville universitaire de Missoula.
Avec Exploration du Monde, on va au Canada avec un film qui commence sa tournée avec Explo le mardi 19 avril prochain jusqu'au 1er juin ... à travers la Wallonie et Bruxelles « Canada, terre des grands espaces », un film réalisé par un québécois, André Maurice, un ancien comédien reconverti dans les voyages, la réalisation et les projections de films-conférences ... en fait, il faut bien prendre conscience que quand on présente un film à Exploration du Monde, on doit être un peu tout à la fois : scénariste, auteur des commentaires, réalisateur, caméraman, souvent même monteur, mixeur son et musiques et capable d'enregistrer la voix de commentaire ... mais aussi, pour les tournées, chauffeur, technicien, projectionniste, présentateur ... bref un conférencier pour Explo, c'est toutes ces compétences réunies ... de plus la plupart sont écrivains et publient même parfois eux-mêmes leurs livres de voyages, qu'ils vendent lors des séances. C'est parti pour un tour... en partenariat avec Exploration du Monde ... tu vas nous emmener au Canada ... c'est vaste, le Canada ! Un film d'un canadien québécois, André Maurice, qui a un avantage sur beaucoup de québécois quand ils viennent en Belgique avec leur accent chantant, c'est que lui, on le comprend ! Est-ce que je veux dire que les autres, on les comprends difficilement ? C'est une boutade, mais au Québec, il m'est souvent arrivé de me retrouver face à des interlocuteurs que je comprenais à peine tant leur accent était à couper au couteau. Bon alors, André Maurice, il nous amène où au Canada ? Depuis Vancouver en Colombie-Britannique jusqu'à à Montréal au Québec, en passant par les splendeurs des Rocheuses canadiennes en Alberta, les prairies de la Saskatchewan, les chutes du Niagara en Ontario, les étonnantes marées de la Baie de Fundy au Nouveau-Brunswick André Maurice vous convie à un voyage absolument exceptionnel sur un territoire aux allures d'infinité Ca fait quelle surface le Canada, si on compare à la Belgique ? La Canada équivaut à 325 fois celui de la Belgique ! Dans le film d'André Maurice,les paysages canadiens dévoilent toute leur diversité et leurs étendues. On va à la rencontre d'hommes et de femmes qui ont façonné l'âme du pays, des cowboys de Calgary aux archéologues chasseurs de dinosaures, en passant par les peuples des Premières Nations qui conjuguent traditions et modernité. Ces rencontres ouvrent aussi une réflexion sur les impacts du réchauffement climatique et le sort qui guette notre belle planète bleue… Il n'en est pas à son premier film, le réalisateur ? C'est le quatrième long métrage d'André Maurice, fier Québécois et aimant la nature. Ce film-ci trace un itinéraire hors des sentiers battus, à travers les provinces de son immense pays. La grande nature sauvage y est encore une fois à l'honneur, de la côte du Pacifique à celle de l'AtlantiqueLe Canada, c'est une destination nature de choix pour les amateurs de plein air de toutes provenances. Le Canada, rappelons-le, est le deuxième plus grand pays du monde et est reconnu pour l'immensité de ses espaces, la richesse et la diversité de ses ressources naturelles. Canada, Terre des grands espaces à partir du mardi 19 avril jusqu'au 1er juin avec Explo Tous les renseignements sur https://explorationdumonde.be/index.php/films/17-canada-terre-de-grands-espaces Écouter l'émission directement sur Spotify : C'est parti pour un tour l'émission francophone sur S.I.S Radio qui vous parle des plus beaux voyages. En partenariat avec Exploration du monde L'émission de notre explorateur vedette Philippe Soreil est aussi disponible en podcast sur les apps gratuites : Spotify : https://open.spotify.com/show/4LwbgZ2cup5VApfkLLZePl?si=12360fbdc42d44f3 Deezer : https://deezer.page.link/Z5UMxXcL9XG6ymMVA iTunes : https://podcasts.apple.com/be/podcast/cest-parti-pour-un-tour/id1555437980?l=fr Application SiS Radio : Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.icreo.sisradio App Store : https://apps.apple.com/us/app/sisradio/id1547453358 Rejoins-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : @sisradio.officiel Instagram : @sisradio.officiel YouTube : @SISRadioofficiel
Cette semaine, direction le Dakota du Sud, un État du Midwest, bordé à l'ouest par le Wyoming et le Montana et à l'est par le Minnesota et l'Iowa. Au mont Rushmore, les visages de quatre grands présidents américains sont gravés dans la roche blanche sur 18 mètres de haut : George Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln. Un autre ancien président y ajouterait volontiers le sien. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
Pour la rentrée, on a vu les choses en grand ! Merci à @snowmelt_eu de nous avoir soutenu pour cet épisode spécial Disney
On poursuit nos previews 2021 avec notre présentation complète de la région des Rocheuses américaines, la Mountain West. Après des années de domination dans la Mountain West, Boise State est désormais sous la menace d'une division West redoutable menée par des équipes ambitieuses comme Nevada et San Jose State. Grégory Richard et Morgan Lagrée vous présentent les 12 programmes de la Mountain West. Au programme : - Le duo QB Carson Strong / WR Romeo Doubs peut-il prendre le pouvoir ? QB Nick Starkel et les Spartans armés pour un back-to-back ? Le retour au sommet de Boise State ? Qui arrêtera le jeu au sol de Wyoming ? La surprise New Mexico ? - Hot seat : quel coach de la Mountain West est le plus menacé ? - Nos pronostics. Bonne écoute !
Lorsque les feux provoqués par les orages saisonniers dévastent la forêt boréale canadienne, ce sont des milliers de kilomètres carrés qui partent en fumée. Mais lorsque tombe la pluie, la vie se manifeste à nouveau sur ces sols calcinés. Dans les cendres humides poussent des champignons de grande valeur : les morilles de feu.Pour la deuxième année consécutive, Arnoul Matteo s'est enfoncé dans les Rocheuses canadiennes aux côtés de cueilleurs du monde entier qui viennent tenter l'aventure dans l'espoir de trouver ces précieux champignons et de les revendre à bon prix au bord des routes. L'espoir aussi, pour certains, de reprendre leur vie à 0, à l'abri des regards de la ville et de ses règles de bienséance.Les Baladeurs est une émission du magazine Les Others, co-réalisée par Thomas Firh et Clémence Hacquart. La musique originale est signée Nicolas de Ferran. Le mix est l'oeuvre de Laurie Galligani.La saison 4 des Baladeurs est soutenue par Orange Bank. Une histoire à raconter, une question, une idée ? Contactez-nous sur podcast@lesothers.com Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Depuis La Charité-sur-Loire située dans le centre de la France, le Festival «Aux quatre coins du mot» célèbre, du 24 au 27 juin 2021, «la bourlingue» et le voyage dans tous ses états. À cette occasion, rencontre avec une pionnière du voyage à moto, aujourd'hui septuagénaire assagie, quoique… Cette femme est un phénomène. C'est le premier mot qui vient d'emblée quand on rencontre Anne-France Dautheville, première motarde à avoir fait le tour du monde en solitaire dans les années 70, qui nous régale encore aujourd'hui de ses pétaradants récits de voyage passé sur les routes de la planète. Dans les nombreux articles qui lui sont consacrés, Anne-France Dautheville est tour à tour « la bikeuse », « l'easy rideuse », « la demoiselle à la moto » ou « la vieille qui conduisait des motos », en écho au titre un brin provocateur d'un de ses ouvrages récents. Mais au jeu des qualificatifs, Anne-France Dautheville a toujours préféré celui de « bourlingueuse » ; la bourlingue, un terme emprunté aux marins qui signifie avancer contre le vent et plus largement rouler sa bosse à travers le vaste monde. Et sur sa moto, Anne-France a roulé la sienne pendant plus de 10 ans d'Afghanistan au Japon, des Rocheuses à l'Inde en passant par l'Australie ou l'Amérique latine, à une époque où les road trips semblaient sans limites et diablement plus drôles qu'aujourd'hui. Autrice de « Et j'ai suivi le vent » ou de « La vieille qui conduisait des motos », Anne-France Dautheville, aujourd'hui 77 ans, ne cultive pas tellement la nostalgie de cette époque, car elle l'a vécu et bien vécu. En 2016, la trajectoire quelque peu oubliée de cette grande voyageuse française a été redécouverte. La grande dame en a alors profité pour livrer de nouveaux ouvrages, toujours pleins d'esprit et d'humour, qui mêlent présent et passé, souvenirs et réflexions tout en conjuguant route, audace et liberté, sainte trinité de son existence pas banale. Car rien ne prédestinait Anne-France, née dans un milieu bourgeois et conservateur à tracer ainsi sa route… Dans le cadre du Festival de la Charité-sur-Loire, Si loin si proche est également invité à présenter des écoutes sonores sur le Quai Senghor de nos séries radiophoniques sur les femmes voyageuses. En savoir plus: - Sur la programmation du Festival «Aux quatre coins du mot» de la Charité-sur-Loire - Sur les ouvrages d'Anne-France Dautheville parus ou réédités aux Éditions Payot - Sur Bessie Stringfield, première femme noire à avoir traversé l'Amérique à moto dès les années 30 et pionnière encore largement méconnue.
Cette semaine, direction le Dakota du Sud, un État du Midwest, bordé à l'ouest par le Wyoming et le Montana et à l'est par le Minnesota et l'Iowa. Au mont Rushmore, les visages de quatre grands présidents américains sont gravés dans la roche blanche sur 18 mètres de haut : George Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln. Un autre ancien président y ajouterait volontiers le sien. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:02:22 - Français du monde - par : Emmanuel LANGLOIS - Même dans ces espaces de forêts sans fin au pied des Rocheuses, le coronavirus mobilise les autorités. Dans ce pays de liberté, on mise plus sur la responsabilité de chacun, témoigne cette ingénieure française de Calgary.
Association francophone des Rocheuses du Sud by Radio Victoria
Au tournant des années 2010, Joe Grant a fait partie d'une génération de jeunes coureurs américains au mode de vie minimaliste qui ont changé le visage du trail running. Une décennie et de nombreux podiums plus tard, l'athlète Franco-Américain partage son temps entre les expéditions extrêmes en autonomie et les courses organisées. De la Hardrock 100 au Tor des Géants, en passant par des aventures solo comme le Nolan's 14 et le Tour des Fourteeners dans les Rocheuses du Colorado, Joe repousse les limites et connecte avec l'environnement qui l'entoure. Son approche artistique de la course, tantôt avec la photo, tantôt avec sa plume, en fait un athlète ultra inspirant, de par son amour des montagnes et ses réflexions philosophiques sur le dépassement de soi. Une conversation mémorable avec un passionné de plein air. Bref, vous y trouverez certainement votre compte. Bonne écoute!
Un train à vapeur traverse les plaines …. Sa locomotive, noire et brillante, laisse échapper des volutes de fumée. TCHOU TCHOU Dans ses wagons brinquebalants se pressent des passagers. Tous sont ravis par le confort et la fiabilité de ce moyen de transport si moderne! Demain commence l’ascension des montagnes Rocheuses… et bientôt, la Colombie-Britannique! Dans ce balado, découvre l’histoire des trains à vapeur, bercé par la voix de la grande Elkahna Talbi! Ce balado est un complément de l'album En voiture, de Pascal Blanchet, publié aux Éditions de la Pastèque. Il a été créé grâce au soutien de Patrimoine Canada et de la SODEC. Une réalisation signée Albéric Filhol et les Studios Bakery pour La puce à l'oreille. Texte : Lucie Laumonier. Voix : Elkahna Talbi. Merci à Nadir André, avocat, pour sa relecture précieuse.
Rubrique:feuilletons Auteur: gustave-le-rouge Lecture: Daniel LuttringerDurée: 31min Fichier: 20 Mo Résumé du livre audio: Chapitre 6 - Un voyage dans les montagnes Rocheuses Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Rubrique:feuilletons Auteur: gustave-le-rouge Lecture: Daniel LuttringerDurée: 17min Fichier: 12 Mo Résumé du livre audio: Chapitre 5 - Un voyage dans les montagnes dans les Rocheuses Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Près d'une étoile de type solaire sur deux possède une planète comme la Terre dans sa "zone habitable", c'est la conclusion d'une étude qui vient d'être publiée par une collaboration de 80 astrophysiciens à partir des données enregistrées par le télescope Kepler et le satellite Gaia. L'étude est publiée dans The Astronomical Journal.
L'Histoire du Soir d'Hélène MAQUET - L'histoire d'une découverte archéologique absolument incroyable : des peintures rupestres découvertes en Colombie sur des kilomètres et des kilomètres de parois rocheuses.
L'Histoire du Soir d'Hélène MAQUET - L'histoire d'une découverte archéologique absolument incroyable : des peintures rupestres découvertes en Colombie sur des kilomètres et des kilomètres de parois rocheuses.
Longtemps, les hommes se sont demandés si d’autres planètes tournaient autour de toutes ces étoiles qui illuminaient le ciel nocturne. L’intuition le laissait croire, mais rien ne venait le prouver. Il a fallu attendre 1995 pour obtenir une confirmation, avec la découverte de la toute première exoplanète. Depuis, près de 4000 ont été identifiées. Rocheuses, gazeuses, petites, grosses, chaudes, froides, potentiellement habitables... Aujourd’hui, voyage vers 10 exoplanètes remarquables. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Entrevue avec Marc-André Langlois à propos des cas de réinfection au SRAS-CoV-2; discussion avec Gino Harel sur la détection d'astéroïdes potentiellement dangereux; discussion avec Alexandre Touchette à propos d'une méthode innovante permettant de « stocker » les énergies renouvelables; explications de Chantal Srivastava à propos de la banque mondiale du microbiote; entrevue avec Anyck Bérard au sujet du contenu de la base de données de la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ); chronique de Renaud Manuguerra sur l'invention de la ceinture de sécurité; et entrevue avec Jean-Bernard Caron sur le fossile d'une nouvelle espèce découvert dans les Rocheuses canadiennes.
Soyez résilient Nous disons bienheureux ceux qui ont tenu ferme. Jacques 5.11 Lors de leur expédition à travers l'Amérique, les pionniers Lewis et Clark ont affronté d’incroyables épreuves. Arrivés au Missouri, pensant que le pire était derrière eux, ils ont vu les Rocheuses ! Au lieu de la tranquille descente de rivière... Par Bob Gass
Deux tonnes de haricots sur un trottoir à Lyon, des masques arborant le symbole du cannabis distribués par ma mairie du Vésinet, un homme avec un masque en or, une singulière interdiction au Japon, la fin des croix gammées dans l'aviation Finlandaise, des pandores aux prises avec un félin féroce, 1.4 milliards de dollars distribués à des morts aux Etats-Unis, pourquoi tous les visiteurs de Vladimir Poutine sont mouillés, le trésor des Rocheuses enfin trouvé, des lingots oubliés dans un train, un train libertin et le retour en prison de deux évadés qui avaient promis de revenir…
Diego, la célèbre tortue qui a sauvé son espèce, enfin libéré et le trésor du milliardaire Forrest Fenn découvert dans les Rocheuses américaines. Voici le sommaire du jour.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
L'Histoire du Soir de Marie VAN CUTSEM - Une histoire de chasse au trésor géante dans Les Rocheuses
L'Histoire du Soir de Marie VAN CUTSEM - Une histoire de chasse au trésor géante dans Les Rocheuses
durée : 00:02:06 - On ne pouvait pas le rater - La plus grande chasse au trésor organisée aux États-Unis est terminée. Quelqu'un, qui a voulu garder l'anonymat, a trouvé, au bout de dix ans, les pièces d'or et les bijoux cachés par un milliardaire dans les montagnes Rocheuses. Ça n'a pas échappé à Olivia Leray.
J'ai la chance dans la 11ème épisode des Saveurs du monde de vous faire découvrir mon pays, le Canada ! Je vous amène dans un des plus beaux coins, les Rocheuses canadiennes. Vous allez découvrir les petits bijoux à visiter ainsi que mon expérience de voyage à cet endroit. Également, je vais vous parler de ma visite de la Distillerie de Montréal avec un des propriétaires de l'établissement. J'aurais une excellente nouvelle à vous annoncer concernant une collaboration vraiment trippante, je vous donne pas plus de détail, à vous de le découvrir dans l'émission !Finalement, comme à mon habitude, je vais vous faire jouer de l'excellente musique qui vous fera danser dans votre salon :) Alors, on s'installe confo, on relaxe, c'est l'heure des Saveurs du monde !
Mappemonde va à Denver, Colorado pour fumer des joints et découvrir des groupes énervants mais attachants. Pas exactement dans le Midwest mais assez loin des côtes, l'état du Colorado jouit d'une situation exceptionnelle au milieu des Rocheuses avec ses grands espaces et sa country de gauche. Le reste de la musique de Denver distille de l'indie pop, de la folk, du black metal... Restez jusqu'à la fin, on parle un peu ciné. La Musique de Denver Flobots - Handlebars The Apples in Stereo - Green Machine Midwife - Liar Chairlift - Polymorphing Tennis - Deep in the woods 16 Horsepower - Black Soul Choir Laura Veirs - Ether Sings Echo Beds - Small Print Kali Malone - Sacrificial Code I Cobalt - Hunt the Buffalo Abonnez-vous dans nos réseaux Même après 150 épisode, c'est toujours pareil : pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l'intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates).
Mappemonde va à Denver, Colorado pour fumer des joints et découvrir des groupes énervants mais attachants. Pas exactement dans le Midwest mais assez loin des côtes, l'état du Colorado jouit d'une situation exceptionnelle au milieu des Rocheuses avec ses grands espaces et sa country de gauche. Le reste de la musique de Denver distille de l'indie pop, de la folk, du black metal... Restez jusqu'à la fin, on parle un peu ciné. La Musique de Denver Flobots - Handlebars The Apples in Stereo - Green Machine Midwife - Liar Chairlift - Polymorphing Tennis - Deep in the woods 16 Horsepower - Black Soul Choir Laura Veirs - Ether Sings Echo Beds - Small Print Kali Malone - Sacrificial Code I Cobalt - Hunt the Buffalo Abonnez-vous dans nos réseaux Même après 150 épisode, c’est toujours pareil : pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l’intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates). Une émission animée et réalisée par Thomas Guillot, Maxime Valette, Léo vesco et Antoine Carrière. Mappemonde est une émission créée par Thomas Guillot pour Radio Campus Paris. Générique réalisé par Antonin Rey. Photo: Clarissa Bock on Unsplash
Photo: les grandes Rocheuses au Canada
Chaque semaine À lʹAbordage suit la trace de voyageurs aux profils variés. Cette semaine: la famille Pasche. Nous retrouvons Xavier, Céline et leurs deux filles Nayla et Fibie dans leur traversée du Grand Nord. Nous sommes à la fin de lʹété 2019 et ils doivent rejoindre Calgary avant la venue de lʹhiver. Entre eux et cette ville: les montagnes Rocheuses. Au programme notamment: un ballet de baleines, beaucoup de pluie et un automne dʹune semaine. Une séquence de Lucas Thorens, avec la collaboration de Nicole Fontannaz et Virginie Daude. Photo: la famille Pasche traversant les montagnes Rocheuses
Durant trois siècles, l’Amérique du Nord est sillonnée par des aventuriers de langue française. Coureurs de bois, trappeurs, interprètes, ces hommes, en quête de fourrures se sont constamment mêlés aux Amérindiens. Des tribus iroquoises ont ainsi adopté un jeune français, des pirogues chargées de peaux de castor ou de bison ont descendu la rivière Missouri… Gilles Havard ressuscite ces hommes qui ont sillonné l’Amérique de 1550 à 1850, à partir du Canada, de Trois-Rivières, vers l’ouest, jusqu’aux montagnes Rocheuses et vers le sud, jusqu’en Floride. Il s’agit bien souvent d’« aventuriers déraisonnables et ensauvagés » qui ne cultivent pas la terre et n’érigent pas de clôtures sur des territoires qui ne leur appartiennent pas. Ils sont inaptes au peuplement, à la colonisation et parlement « majoritairement la langue de Molière. » De quoi contredire le schéma américain des colons audacieux qui ne pouvaient qu’être qu’anglophone. Gilles Havard révèle une Amérique insoupçonnée, engloutie dans la grande Histoire et dans le puissant imaginaire des westerns. Il nous incite à prendre en compte l’expertise reconnue de ces hommes qui ont une capacité singulière à jouer un rôle d’intermédiaire entre la société coloniale et le monde autochtone. Ses travaux présentent ainsi une autre approche des mondes coloniaux, une approche façonnés par la mobilité et parfois l’éphémère. Il permet aussi de mesurer la place importante de la langue française en Amérique. Cette histoire est marquée par la fin de la souveraineté des Indiens et l’oubli, en France, de cette Amérique du Nord française. L’auteur ouvre de nouvelles perspectives, notamment sur les “confins sociaux” et ses zones grises, sur la difficulté de distinguer la culture des élites et la culture populaire à partir de vies dont on a parfois des difficultés à retrouver toutes les traces. De même, le métissage se dilue en de multiples méandres et nous oblige à repenser la question des vies et du sang mêlé. Enfin, l’héritage français des États-Unis, oublié des deux côtés de l’Atlantique, corrige et élargit le thème du premier grand film américain du XXe siècle, « La naissance d’une Natio ». Des récits qui nous entraînent dans un monde sauvage, où les repères conventionnels se diluent et où l’aventure l’emporte sur tout autre considération. Gilles Havard est historien, directeur de recherche au CNRS. Ses travaux portent sur l’histoire des relations entre Européens et Amérindiens en Amérique du Nord (16e-19e siècle). Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont Histoire de l’Amérique française (Flammarion, 2003, Grand prix de la SGDL), et Histoire des coureurs de bois (Les Indes Savantes, 2016, Grand Prix des Rendez-vous de l’histoire de Blois 2016). --- La diffusion de ce podcast s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec la librairie Ombres Blanches.
En Alberta, les lieux magiques sont légion : les Badlands, le précipice à bisons Head-Smashed-In, le parc international de la paix Waterton-Glacier, le parc national Wood Buffalo et les célèbres montagnes Rocheuses. Cette division naturelle entre les provinces de la Colombie-Britannique et de l'Alberta est, pour les touristes, un arrêt incontournable. Pour vous guider, Julie Fafard, directrice développement touristique et entrepreneuriat au Conseil de développement économique de l'Alberta, nous entraîne à la découverte de lieux pittoresques. Durée : 9 minutes 5 secondes https://www.rcinet.ca/fr/wp-content/uploads/sites/2/2020/01/Sur_les_routes_du_Canada-E08-Destination_Alberta.mp3
Un groupe de défense des droits des chevaux veut qu’on prolonge une initiative plutôt unique au monde qui permet de protéger, le long des contreforts des montagnes Rocheuses, des centaines de chevaux sauvages errants. Le ministère de l’Environnement et des… »
Claire Ness est basée à Whitehorse au Yukon et Isabelle Cliche, dite La Wonderful, dans les Rocheuses albertaines. Portrait croisé et discussion entre deux artistes qui prennent leur métier de clown au sérieux.
On termine la semaine en beauté toujours avec Guy, Vanessa, Chuck et notre invitée Val Belzil! Au menu: Vanessa s’ouvre enfin sur la ville de Val-D’Or, Chuck déteste les craquements de cou, Guy nous parle de tout ce qui est montagneux et Val est très TRÈS nerveuse devant le dentiste. On apprécie encore ton support, on l’apprécie tellement, passe un merveilleux weekend et à lundi prochain! Val: http://bit.ly/2n65yhu Vanessa: http://goo.gl/bcRVA9 Guy: http://goo.gl/edXv6K Chuck: http://bit.ly/2L45sBi iTunes (On vous adore quand vous nous laissez ★★★★★): http://goo.gl/n1411W YouTube: http://goo.gl/K2kKOo Google Play: http://goo.gl/KUTKG4 Spotify: http://goo.gl/QrK6Tv Podbean: http://goo.gl/Hp7UPj Twitter: http://twitter.com/lepbonheur Merci de nous suivre!
Le podcast Volcanic, un autre niveau de santé et de liberté financière avec Cyrille Hurstel
Finalement, de retour en Alsace en passant par Houston pour découvrir les Rocheuses et la Prairie vue d'avion. Durant les épisodes précédents, certaines questions "santé" sont restées en suspens. Pour répondre aux questions sur les moyens de passer à un autre niveau de santé, voyez http://volcanic.cool/annaissante et prenez rendez-vous pour qu'on puisse répondre à vos questions. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/cyrille-hurstel/message
Cette semaine, Pierre Brassard reçoit Josée Deschênes, Guillaume Lambert et Benoît McGinnis. Ils doivent répondre à des questions sur le nombre de nids de poule à Toronto, l'air des Rocheuses embouteillé, le lithon du Témiscamingue, le courrier de Mona Lisa, les problèmes de tuyauterie du Manneken-Pis, les caprices parentaux de Meghan Markle, le sisu finlandais et la nouvelle devise de l'Ontario. Également, au cours de l’émission, les invités chantent un grand succès de Starmania.
Depuis 30 ans, le Festival du bois de Maillardville (près de Vancouver) s’impose comme le plus grand rendez-vous des amoureux de la culture et de la musique canadienne-françaises à l'Ouest des Rocheuses. Rencontre avec sa directrice depuis 20 ans, Johanne Dumas.
Il existe différentes façons de pratiquer le vélo de montagne, dont le cross-country, la descente et l’enduro. Il y a également différents niveaux de difficulté. L’un des lieux de prédilection pour pratiquer ce sport se trouve dans les Rocheuses. Arnaud Decroix discute de cette passion avec Audrey Duval, fondatrice de l’organisme Shred Sisters, qui fait la promotion du vélo de montagne auprès des femmes.
Dans ce nouvel épisode du Dunkhebdo NBA Podcast, Alan et Ben reviennent sur l'actualité de nombreux franchises de la conférence ouest. Sommaire Introduction - 0:39 L'été de Denver - 2:58 L'arrivée de DeAndre Jordan à Dallas - 29:54 DeMarcus Cousins à Golden State - 41:35 Julius Randle à New Orleans - 49:21 L'été des Suns - 55:20 Dans un premier temps, le cas des Nuggets est longuement abordé. La franchises de Rocheuses a prolongé son joueur star en Nikola Jokic avec un contrat maximum de cinq ans et 148 millions de dollars. Mais aussi un des principaux lieutenants de leur génial pivot avec Will Barton (4 ans et 54 millions de dollars). Enfin, Denver s'est également séparée de Wilson Chandler, envoyé à Philadelphie. Dans un second temps, le duo discute de l'arrivée de DeAndre Jordan aux Mavericks. Parmi les cancres de la NBA au niveau du secteur intérieur depuis de nombreux années, les Texans voient dans l'arrivée de l'ancien pivot des Clippers un moyen de combler un de leurs points faibles. Assez pour jouer un rôle important à l'ouest, malgré un effectif plutôt court ? Puis, l’événement de la semaine dernière, la signature de Demarcus Cousins chez les doubles champions en titre est brièvement discuté. Par rapport à son importance réel, a-t-on trop parlé de ce move ? Enfin, dans l'overtime, Alan et Ben discutent de l'arrivée de Julius Randle aux Pelicans, un autre franchise difficile à cerner. Mais aussi, des derniers mouvements des Suns de Phoenix.
Arthur avait 5 ans lorsqu’il a visité les Rocheuses pour la première fois avec ses parents. C’était pour les vacances d’été et leur chalet était situé au cœur du ranch de la famille de Tom le cowboy. « Cela a sans aucun doute été le plus bel été de toute mon enfance », dit Arthur, qui s’était promis de retourner voir Tom quand il serait devenu un grand aventurier.
Arthur avance lentement sur son cheval en suivant son guide, Tom le cowboy. Ils suivent un sentier qui longe une jolie rivière au pied des montagnes. Tom est aux aguets, et Arthur se demande pourquoi. Tom prend ses jumelles et dit avec un grand sourire : « Arthur, je te présente le seul et unique Boo le grizzly, le plus gros mammifère des montagnes Rocheuses. »
Arthur se souvient bien du premier lac bleu turquoise qu’il a vu dans les Rocheuses. « C’est l’une des plus belles choses que j’ai pu admirer dans toute ma vie d’aventurier », raconte-t-il. Avec son ami Tom, Arthur part en canot découvrir cette eau bleue splendide. « Nous verrons bien si des poissons s’y cachent », dit Tom le cowboy avec enthousiasme.
Il y a environ 100 ans, le grand-père de Tom le cowboy est venu travailler quelques mois dans les Rocheuses. Il était bûcheron et coupait des arbres pour la construction du chemin de fer qui passe derrière le ranch. C’était le plus bel endroit qu’il avait vu dans sa vie. À son retour à la maison, il a convaincu la grand-mère de Tom de déménager dans les Rocheuses.
La composition en isotopes de calcium des corps planétaires du système solaire interne est directement corrélée à leur masse. Cette découverte a des implications importantes dans notre compréhension de la formation de notre système. Un nouveau scénario est proposé avec une formation continue des planètes rocheuses.
En 1870, environ 50 000 personnes, dont une moitié d’Amérindiens, habitent l’ensemble du territoire situé entre l’Ontario et les Rocheuses. À la veille de la Première Guerre mondiale, près de 1,8 million d’habitants résident désormais dans les Prairies, répartis assez équitablement entre l’Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba. Comment expliquer ce véritable boom démographique? Arnaud Decroix en discute avec Yves Frenette, co-auteur de l’ouvrage Transposer la France. L’immigration française au Canada (1870-1914) (Boréal, 2017).
En 1870, environ 50 000 personnes, dont une moitié d’Amérindiens, habitent l’ensemble du territoire situé entre l’Ontario et les Rocheuses. À la veille de la Première Guerre mondiale, près de 1,8 million d’habitants résident désormais dans les Prairies, répartis assez équitablement entre l’Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba. Comment expliquer ce véritable boom démographique? Arnaud Decroix en discute avec Yves Frenette, co-auteur de l’ouvrage Transposer la France. L’immigration française au Canada (1870-1914) (Boréal, 2017).
Cette semaine, Marie-Eve et Fred d'OCR Nation se joignent à nous! Marie-Claude se perd, Marie-Eve arrête de courir pour admirer Fred qui tourne en rond, Seb rate sa course mais a du fun, Bernard augmente la difficulté des obstacles, et Danny ne peut s'empêcher de nous harceler en direct des Rocheuses pour nous parler de la Spartan Race Vancouver. Les parcours courts ont-ils de l'avenir? Résultats du sondage et points de vue au rendez-vous! Tag: Dead End Race, Spartan Race, Short course, 3km, parcours court, Marie-Ève Lamontagne, Fred Ayotte
Marie Provost : Être herboriste dans un monde pharmaceutique - Michel Laberge : Dompter le nucléaire pour sauver la planète - Marie-Ève Marchand : Réintroduire le bison dans les Rocheuses
Découvrez Canmore avec l'audio guide gratuit de Street Sherpa: une expérience unique dans ce superbe village des Rocheuses Canadiennes 20Km à l'Est de Banff