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Hörbahn on Stage: Antike politische Gedichte aus dem alten China – übersetzt von Thomas O. Höllmann, mit einem Gespräch über seine Entstehung und die Hintergründe*Die wegen der Live-Situation nicht optimale Tonqualität bitten wir zu entschuldigen.Th. O. Höllmann liest Gedichte aus seinen Übersetzungen und Gespräch zwischen Prof. Thomas O. Höllmann und Dr. Uwe KullnickHördauer 95 Minuten. Wir bitten den suboptimalen Klang zu entschuldigen, während der Aufnahmen herrschten nicht die sonst üblichen Umstände.Prof. Höllmann ist emeritierter Professor Sinologie, chinesische Archäologie und Kunst sowie Ethnologie an der Universität München. Derzeit ist er in der zweiten Amtsperiode Präsident der Bayerischen Akademie der Wissenschaften. Wir sprechen mit ihm über sein neues Buch in dem es um politische Gedichte aus dem alten China geht. Sein besonderer Untertitel ist: "Um mich von wichtigeren Dingen abzulenken, habe ich in den letzten Wochen einige antike politische Gedichte aus dem Chinesischen übersetzt.“ Er hatte die ungewöhnliche Idee sie per Mail zu versenden und schrieb dazu an die Adressaten: „Diese werde ich nun regelmäßig unter dem Betreff 'Tagesgedicht' versenden. Damit soll nicht zuletzt die notwendig gewordene Abschottung ein wenig durchbrochen werden."Er versendete die erste mail am 22. März 2020 unter dem Eindruck der Corona-Pandemie an einen kleinen Kreis lyrikaffiner Freunde und Bekannter verschickte. Das roughbook Nr. 51 versammelt diese digitale Ritualfolge nun zu einer Anthologie aus insgesamt 60 Texten, die von der analytischen Klarheit und sprachlichen Wucht der Poesie zeugen und von der 'respektvollen Rücksichtslosigkeit' der Übersetzung.Im Anhang des Bandes, der eine Zeitspanne vom 3. Jahrhundert v. Chr. bis zum 12. Jahrhundert abdeckt, erleichtern Kurzbiographien der Autoren und Verweise auf den historischen Kontext den Zugang zu den Gedichten. Zum Beispiel: "Wenn das Lebensende naht, kommen doch nur die Schmeißfliegen, um ihr Beileid zu bekunden" (von Hanshan, aus dem 7. Jahrhundert). Hören Sie nun eine Auswahl der Gedichte, gelesen vom Autor und anschließend ein Gespräch zwischen Prof. Höllmann und Dr. Uwe KullnickProf. Dr. Thomas O. HöllmannEmeritus Lehrstuhl für Sinologie(einschließlich chinesischer Kunst und Archäologie)sowie für EthnologieIdee, Regie und Realisation Uwe Kullnick
durée : 00:58:12 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En décembre 2024, quelques centaines de personnes défilaient à Cayenne pour protester contre le manque de moyens alloués aux services publics de base, en particulier dans l'éducation. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Patrick Blancodini Géographe, professeur de géopolitique en classe préparatoire à Lyon; Silvia Macedo Docteure en Anthropologie Sociale et Ethnologie à l'EHESS et maitresse de conférences en Sciences de l'éducation à l'INSPE de l'Université Paris-Est Créteil; Félix Flaux Doctorant à l'EHESS
In dieser Folge lernt ihr unser neues Teammitglied Freya Grünwald kennen. Freya bringt eine beeindruckende Vielfalt mit: Sie hat Ethnologie und Public Health studiert, sie ist Yogalehrerin und sie bewegt sich zwischen den unterschiedlichsten Themen wie zum Beispiel Frauengesundheit oder auch Trauerarbeit. Im Gespräch mit Tina Tanšek erzählt sie, was sie antreibt, welche Stationen sie geprägt haben – und was ihr in ihrer Arbeit für MyBodyMind wichtig ist.
durée : 00:10:37 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - En 1953 les ethnologues Jean Poirier et André Leroi-Gourhan présentent leurs travaux au micro de Pierre Ichac. Dans le contexte de la décolonisation, leur ouvrage "Ethnologie de l'Union Française" reflète la volonté de mieux comprendre et respecter les populations d'outre-mer. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:12:46 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Deuxième extrait de l'entretien donné en 1953 par les ethnologues Jean Poirier et André Leroi-Gourhan à Pierre Ichac à l'occasion de la publication de leur ouvrage "Ethnologie de l'Union Française", une œuvre pionnière dans le domaine. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
À seulement 24 ans en 2020, Hervé Tritschberger est élu maire d'Eschbach, un petit village alsacien de 960 habitants, à 40 km au Nord de Strasbourg.Son parcours est celui d'un jeune engagé qui a osé sauter le pas de la politique locale, porté par une véritable passion pour sa commune, une grande curiosité et un sens de l'écoute hors norme.Ethnologue de formation, passionné de capoeira et ayant vécu au Brésil, ce jeune élu bouscule les codes traditionnels.Entre la difficulté de porter des projets structurants en temps de restrictions budgétaires, ses réflexions sur le statut des élus étudiants, et son projet de paternité en plein mandat, Hervé Tritschberger nous raconte avec sincérité et humour les coulisses de sa fonction de maire.Un épisode qui démystifie la fonction municipale et prouve qu'à tout âge, on peut s'engager pour sa communauté.Bonne écoute !_______________________________________________Rendez-vous sur Instagram @viedemaire et inscrivez-vous à la newsletter pour être tenu au courant des actualités du podcast et des prochains épisodes. Episode animé par Clémentine Guilbaud DemaisonCrédits : Générique réalisé par Ophélie Baribaud Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:39 - L'Entretien archéologique - par : Antoine Beauchamp - Visite de l'exposition “Objets en questions : Archéologie, ethnologie, avant-garde” au Musée du Quai Branly-Jacques Chirac. Comment l'archéologie et l'ethnologie ont-elles influencé les arts plastiques dans l'entre deux guerres? Comment ces deux sciences de terrain ont-elles transfiguré les musées? - réalisation : Olivier Bétard - invités : Philippe Peltier Conservateur général honoraire du patrimoine
Achtung, es wird intim. Wir reden übers Gesicht. Rabea Weihser erklärt Hajo und Suse Schumacher, was die kleine Narbe vorm Ohr zu bedeuten hat, wie der Gesichtskapitalismus funktioniert und warum uns Wurst mit Gesicht anspricht? Was ist so faszinierend an Kim Kardashian? Haben Bezos, Musk, Trump was machen lassen? Und: Welche Signale sendet eine klassisch westfälische Nase? Rabea Weihser spricht mit Suse und Hajo Schumacher im Deeptalk über ihr Buch „Wie wir so schön wurden - eine Biografie des Gesichts“, das Ethnologie, Popkultur, Philosophie, Naturwissenschaften, Politik und jede Menge Beklopptheiten versammelt. Unsere Themen: Warum ist der Lippenstift ein politisches Kampfsymbol? Warum Gesichter wie Popsongs sind? Übungsfleisch, oder: Wie kriegt man das Collagen unter die Haut? Die fasziale Gesellschaft, der Fluch des Spiegels und knallharter Gesichtskapitalismus. Schluß mit niedlich - oder doch nicht? Team Tagespflege oder doch lieber Botox? Zeit für eine Nasenvergrößerung? Plus: Was alle James-Bond-Darsteller gemeinsam haben? Folge 902.Buch: Wie wir so schön wurden - eine Biografie des Gesichts, Diogenes Verlag, 2025Homepage der Journalistin und Autorin Rabea WeihserLiteraturempfehlungen: Suse SchumacherDie Psychologie des Waldes, Kailash Verlag, 2024Michael Meisheit + Hajo Schumacher Nur der Tod ist schneller – Laufende Ermittlungen, Kriminalroman, Droemer Knaur Verlag.Kathrin Hinrichs + Hajo SchumacherBuch: "Ich frage für einen Freund..." Das Sex-ABC für Spaß in den besten JahrenKlartext Verlag.Kostenlose Meditationen für mehr Freundlichkeit (Metta) und Gelassenheit (Reise zum guten Ort) unter suseschumacher.deDem MutMachPodcast auf Instagram folgen Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:28:00 - L'Entretien archéologique - par : Vincent Charpentier, Antoine Beauchamp - En 1967, l'archéologue José Garanger découvre au Vanuatu la tombe d'un chef devenu légendaire : Roy Mata. Cette découverte réalisée à l'emplacement indiqué par la tradition orale marque un tournant dans l'archéologie du Pacifique. Comment une légende s'est-elle concrétisée avec cette découverte ? - réalisation : Olivier Bétard - invités : Frédérique Valentin Archéologue, directrice de recherche CNRS au sein de l'Unité Technologie et Ethnologie des Mondes Préhistoriques de la MSH Monde; Wanda Zinger Bio-anthropologue à l'Université de Tübingen au sein de l'équipe d'archéo-paléo-génétique et chercheuse associée au Musée de l'Homme
durée : 00:00:35 - L'Entretien archéologique - par : Vincent Charpentier, Antoine Beauchamp - En 1967, l'archéologue José Garanger découvre au Vanuatu la tombe d'un chef devenu légendaire : Roy Mata. Cette découverte réalisée à l'emplacement indiqué par la tradition orale marque un tournant dans l'archéologie du Pacifique. Comment une légende s'est-elle concrétisée avec cette découverte ? - réalisation : Olivier Bétard - invités : Frédérique Valentin Archéologue, directrice de recherche CNRS au sein de l'Unité Technologie et Ethnologie des Mondes Préhistoriques de la MSH Monde; Wanda Zinger Bio-anthropologue à l'Université de Tübingen au sein de l'équipe d'archéo-paléo-génétique et chercheuse associée au Musée de l'Homme
Conférence donnée par Thierry Adda, philosophe et président de l'association Nouvelle Acropole France, le 21/01/25 à l' Espace Vollon de Lyon.Livre conseillé : "L'Homme et l'Invisible", de Jean Servier, éditions du Rocher, 1994« Le plus beau sentiment que l'on puisse éprouver, c'est le sens du mystère. C'est la source de tout art véritable, de toute vraie science. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, qui ne possède pas le don d'émerveillement, ni de ravissement, autant vaudrait qu'il fût mort : ses yeux sont fermés ». Albert Einstein.Les dogmes matérialistes qui fondent la civilisation occidentale ne visent qu'à masquer une profonde angoisse face à la mort et à l'invisible. Or dans l'esprit de l'homme des civilisations traditionnelles, l'Invisible est une réalité, une dimension dans laquelle se meut l'humanité toute entière. Le langage universel pour pénétrer cette réalité, est l'univers des symboles.******Saviez vous que Nouvelle Acropole est réalisée à 100% par des bénévoles ? Nous dépendons donc beaucoup de nos étudiants et amis pour la divulgation !N'oubliez pas de vous abonner à la chaîne et si possible de la partager sur vos réseaux sociaux. Ce sera d'une grande aide !
Der Sturm auf Klöster und Burgen -(5) Das Ende der Aufstände und Gaismairs Todmit: Robert Rebitsch, Autor und Historiker am Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie an der Universität Innsbruck - Sendung vom 14.2.2025Buchtipp: Robert Rebitsch: Rebellion 1525 (Tyrolia)
Der Sturm auf Klöster und Burgen -(4) Der Schachzug des Landesfürstenmit: Robert Rebitsch, Autor und Historiker am Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie an der Universität Innsbruck - Sendung vom 13.2.2025Buchtipp: Robert Rebitsch: Rebellion 1525 (Tyrolia)
Der Sturm auf Klöster und Burgen -(3) Die aufständische Landbevölkerung mit: Robert Rebitsch, Autor und Historiker am Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie an der Universität Innsbruck - Sendung vom 12.2.2025Buchtipp: Robert Rebitsch: Rebellion 1525 (Tyrolia)
Der Sturm auf Klöster und Burgen(2) Michael Gaismair, Schreiber des Fürstbischofs von Brixen, schließt sich der Rebellion anmit: Robert Rebitsch, Autor und Historiker am Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie an der Universität Innsbruck - Sendung vom 11.2.2025Buchtipp: Robert Rebitsch: Rebellion 1525 (Tyrolia)
Der Sturm auf Klöster und BurgenDas Heilige Römische Reich deutscher Nation steht im Jahr 1525 vor einer Reihe an Herausforderungen. Neben kriegerischen Auseinandersetzungen mit dem Osmanischen Reich und dem Königreich Frankreich bedrohen auch gesellschaftliche Spannungen die interne Sicherheit der Wahlmonarchie. Die Lasten des Feudalsystems sorgen für wachsenden Unmut – so auch in Tirol. Steigende Abgaben, Frondienste und die zunehmende Beschneidung ihrer Rechte führen zu Aufständen der Bauernschaft - (1) Die Ausgangssituationmit: Robert Rebitsch, Autor und Historiker am Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie an der Universität Innsbruck - Sendung vom 10.2.2025Buchtipp: Robert Rebitsch: Rebellion 1525 (Tyrolia)
“Objets en question” Archéologie, ethnologie, avant-gardeau musée du quai Branly – Jacques Chirac, Parisdu 11 février au 22 juin 2025PODCAST – Entretien avec :Alexandre Farnoux, Professeur d'archéologie et d'histoire de l'art grec à Sorbonne Université,Polina Kosmadaki, Conservatrice d'art moderne et contemporain et Conservatrice en chef du Département des Peintures au musée Benaki d'Athènes,Philippe Peltier, Conservateur général du patrimoine, ancien responsable de l'Unité patrimoniale Océanie-Insulinde au musée du quai Branly – Jacques Chirac,et Effie Rentzou, Professeure de littérature française à Princeton University, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 10 février 2025, durée 24'03,© FranceFineArt.Communiqué de presse CommissariatAlexandre Farnoux, Professeur d'archéologie et d'histoire de l'art grec à Sorbonne UniversitéPolina Kosmadaki, Conservatrice d'art moderne et contemporain et Conservatrice en chef du Département des Peintures au musée Benaki d'AthènesPhilippe Peltier, Conservateur général du patrimoine, ancien responsable de l'Unité patrimoniale Océanie-Insulinde au musée du quai Branly – Jacques ChiracEffie Rentzou, Professeure de littérature française à Princeton UniversityLe commissariat de l'exposition a été conçu en partenariat scientifique avec le musée Benaki d'Athènes et l'École française d'Athènes. Avec le soutien de la Fondation Marc Ladreit de Lacharrière.Qu'est-ce qu'un objet d'art ? Qu'en dire ? Comment le présenter ? Objets en question présente le dialogue fertile et dynamique entre recherche scientifique et art d'avant-garde autour de ces questions pendant la période de l'entre-deux guerres en France.En présentant des oeuvres d'art, des notes, des croquis, des publications, l'exposition évoque cette approche expérimentale et rend compte des croisements entre archéologie, ethnologie, anthropologie et pratique artistique, en mettant l'accent sur le surréalisme.À partir des années 1930, plusieurs revues liées aux avant-gardes artistiques sont les supports d'une nouvelle dynamique. Cahiers d'art (1926-1965), Minotaure (1933-1939) et Documents (1929-1930) en particulier, créent un décloisonnement sans précédent des disciplines en mettant en dialogue des reproductions photographiques d'oeuvres antiques, modernes et extraeuropéennes. Galeries, musées, collections accompagnent ce mouvement. Cette mise en regard inédite soustrait oeuvres et objets à l'autorité de l'histoire de l'art classique, tout en en faisant naître des nouveaux sens.Parmi les collaborateurs et intervenants de ces revues, Pablo Picasso, Georges Henri et Thérèse Rivière, André Breton, Michel Leiris, Charles Ratton, Joan Miró, Brassaï, Claude Cahun ou encore Georges Bataille, aux côtés d'archéologues, d'ethnologues et de conservateurs de musées ou galeristes, partagent une curiosité commune pour l'art appartenant à un passé lointain, l'art non-occidental, mais aussi pour l'art populaire et l'art du quotidien. Leur approche expérimentale donne naissance à une nouvelle perception des objets, des lieux, des époques. Ils interrogent le concept même de musée en posant ces questions fondamentales : Qu'est-ce que l'objet ? Qu'est-ce que l'art ?Composée de quatre sections thématiques, conçues comme des constellations où oeuvres et archives manuscrites dessinent une figure et produisent du sens, l'exposition crée des interactions, parfois dissonantes, entre univers et cultures différents. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Willkommen zu einer neuen Folge von Alles Geht! Mareike spricht diese Woche mit Melanie Liebheit, Absolventin der HFF München (Abt. IV – Dokumentarfilm) und Mitbegründerin des Dokumentarfilmfestivals Nonfiktionale in Bad Aibling. Melanie erzählt von ihrer Leidenschaft für Dokumentarfilme und wie sie durch ihre Arbeit gesellschaftliche und kulturelle Themen beleuchtet.In dieser Episode erfährst du:
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Rémi Burkel, journaliste et réalisateur, est l'invité de cet épisode pour aborder un sujet aussi méconnu qu'essentiel : l'andropause. Peut-être avez-vous déjà entendu parler de ménopause, mais l'équivalent masculin reste entouré de silence.Moi-même je n'avais aucune idée que cela existait alors que je suis en plein dans le groupe cible...c'est fou et je crois que c'est simplement lié au fait que les hommes ne se parlent pas et ne parlent surtout pas de ce genre de choses. Rémi a produit un documentaire fascinant diffusé sur France Télévisions qui explore cette réalité vécue par un homme sur trois après 50 ans. Ensemble, nous parlons des symptômes – baisse d'énergie, libido en berne, sautes d'humeur, et bien d'autres – mais surtout du tabou immense qui pèse sur ces sujets.Au fil de notre échange, Rémi partage son parcours personnel, des anecdotes poignantes et parfois drôles, tout en insistant sur l'importance de parler et de consulter. Nous parlons bien sur beaucoup de sexualité parfois avec des mots crus donc je m'excuse d'avance mais nous essayons d'être le plus précis possible.L'andropause n'est pas une fatalité, et cet épisode vous en apportera les preuves. J'espère que cette discussion ouvrira des portes pour mieux comprendre et briser les silences.Les questions que l'on traite: Qu'est-ce que l'andropause et pourquoi est-elle si peu connue ?Quels sont les principaux symptômes que vous avez observés chez les hommes ?En quoi l'andropause est-elle différente de la ménopause ?Pourquoi est-il si difficile pour les hommes de parler de leurs problèmes liés à l'âge ?Comment les hommes peuvent-ils mieux anticiper et gérer les effets de l'andropause ?Quelles ont été les découvertes les plus surprenantes durant la réalisation de votre documentaire ?Y a-t-il des traitements disponibles pour aider à gérer les symptômes ?Comment le stress et les modes de vie influencent-ils l'andropause ?Quelles sont les réactions des jeunes générations face à ce sujet ?Que pouvons-nous faire pour normaliser ces discussions dans notre société ?Timelaps : 00:00 - Introduction : Grégory Pouy présente l'andropause et l'invité Rémi Burkel.02:20 - Définition de l'andropause et comparaison avec la ménopause.05:30 - Révélation des tabous masculins : les difficultés à parler de problèmes érectiles.10:15 - Impact de l'andropause sur la vie quotidienne : libido, énergie, humeur.16:30 - Les solutions et traitements disponibles : hormones, alimentation et mode de vie.22:45 - Rôle du stress dans l'apparition des symptômes.28:00 - Importance de consulter et de briser le silence.36:10 - Les jeunes générations face à la notion de performance et l'éducation sexuelle.45:00 - Vieillir sereinement : acceptation et adaptation.49:00 - Conclusion : appel à normaliser la discussion sur l'andropause. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #297 Briser les tabous autour de la ménopause avec Davina Mc Call (https://audmns.com/wpkwLZi) Vlan #73 La vieillesse ne ressemble à rien de ce que vous pensez avec Perla Servan Schreiber (https://audmns.com/JrdGWwO) #294 Les secrets de la longévité en bonne santé avec Docteur Christophe de Jaeger (https://audmns.com/yiQROWd)
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Jean-Claude Weil, biologiste et immunologiste français de 82 ans, est une véritable figure de résilience et d'anticonformisme dans le domaine de la recherche scientifique. J'ai adoré cette conversation avec Jean-Claude qui a tellement d'humour et d'humilité alors qu'il est pourtant membre de l'Académie des sciences et chercheur à l'Inserm.Son parcours détonne par son caractère atypique et sa liberté de pensée. Il est l'auteur du livre "Eloge de l'imprévu" dans la collection "un monde qui change".Avec humour et lucidité, il partage les défis de sa carrière, marquée par des prises de risques audacieuses, des choix de vie radicalement opposés aux normes, et une quête constante de sens et de renouveau.Ce qui frappe chez Jean-Claude, c'est sa capacité à réinventer sa vie, comme lorsqu'il a quitté une carrière confortable de dentiste pour se lancer en recherche, sans filet de sécurité. En dépit de nombreux obstacles et doutes, il a suivi son instinct, préférant l'enthousiasme de l'inconnu à la sécurité du conformisme. Ensemble, nous explorons sa vision de l'échec, qu'il voit non comme une finalité, mais comme une étape essentielle dans toute recherche. Il évoque aussi le rôle de la chance dans le succès, l'importance d'une ouverture intellectuelle permettant de changer d'avis, et sa conviction profonde qu'il est essentiel, en vieillissant, de rester « émetteur » pour ne pas succomber à l'ennui.Jean-Claude raconte avec passion comment ses choix de vie l'ont mené à collaborer avec des esprits brillants et à naviguer entre diverses disciplines. Son regard sur la méritocratie et les parcours atypiques en recherche offre une perspective rafraîchissante, rappelant que l'audace et la curiosité sont aussi importantes que les compétences techniques. Par son parcours, il nous invite à envisager le risque, non pas comme un danger, mais comme une opportunité de découverte et d'épanouissement personnel. Cet échange est une bouffée d'inspiration pour tous ceux qui, quel que soit leur âge, envisagent de changer de voie ou de donner une nouvelle direction à leur vie.Les questions que l'on traite : Pourquoi avez-vous deux paires de lunettes ?Comment percevez-vous le terme « immunologiste allumé » ?Qu'est-ce qui vous a poussé à prendre des risques malgré les mises en garde ?Quelle est votre vision de l'échec en recherche ?Que signifie pour vous le fait de « rester émetteur » ?Comment êtes-vous passé de dentiste à chercheur ?Comment gérez-vous l'imprévu dans votre travail ?Quel rôle vos proches ont-ils joué dans votre parcours ?Comment voyez-vous la méritocratie aujourd'hui ?Quels conseils donneriez-vous aux jeunes chercheurs atypiques ?Le timelaps :00:00 Introduction de Jean-Claude Weil : un parcours hors-norme02:00 Jean-Claude et sa philosophie de la prise de risque05:30 L'ennui et la vieillesse : pourquoi il faut rester « émetteur »10:00 Les échecs et les succès dans une carrière de chercheur18:00 L'importance de changer d'avis en science25:00 Pourquoi Jean-Claude Weil a choisi de travailler sur le poulet30:00 De dentiste à chercheur : un changement radical de parcours35:00 Le rôle de la chance et des rencontres dans le succès40:00 La méritocratie et la place des parcours atypiques en recherche45:00 Jean-Claude Weil sur le besoin d'une recherche audacieuse Suggestion d'autres épisodes à écouter : #237 Sans le soin, que sommes nous réellement? avec Xavier Emmanuelli (https://audmns.com/vRGtinC) #247 Comment trouver du sens dans cette société avec Boris Cyrulnik (https://audmns.com/bkXYyuP) Vlan #73 La vieillesse ne ressemble à rien de ce que vous pensez avec Perla Servan Schreiber (https://audmns.com/JrdGWwO)
Normaler Weise werden Museumspräsentationen von ausgewiesenen fachlichen Expert*innen kuratiert. Welchen Mehrwert kann es haben, wenn Menschen, die gerade nicht Expertinnen oder Experten sind, eine Ausstellung gestalten? In den Institutionen kann es den gewohnten Blick auf die eigenen Objekte durcheinander wirbeln. Und am Ende entstehen gerne mal Ausstellungen, die die Besucherinnen und Besucher irritieren, überraschen, empören oder zum Lachen bringen. Die neue Ausstellung „Ich muss mich erst mal sammeln“ von Jakob Lena Knebl und Markus Pires Mata im Hessischen Landesmuseum Darmstadt (15.11.24 - 16.02.25) sprengt mit subversiver Lust die Gattungs- und Sammlungsgrenzen. Und die aktuelle Schau „Country bin pull'em. Ein gemeinsamer Blick zurück“ im Weltkulturen Museum in Frankfurt (1.11.24 - 31.08.25) ist eine echte Ermächtigung derer, die einst beforscht wurden - und nun ermöglichen, dass wir ihre Kultur, die immer noch lebendig ist, endlich einmal richtig verstehen können.
Der Fetisch: In der Ethnologie ein Gegenstand, dem magische Kraft zugeschrieben wird. In der Psychologie wird der Begriff Fetischismus verwendet bei sexuellen Vorlieben für bestimmte Objekte, Materialien oder Körperteile. Therapiebedürftig oder einfach eine besondere Spielart menschlicher Sexualität? Von Frank Halbach
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Albert Moukheiber, psychologue et neuroscientifique, revient sur le podcast pour parler de son dernier livre, Neuromania. Il est déjà venu sur Vlan 2 fois et ceci est le 3eme épisode que nous faisons ensemble - il est séparé en 2 parties par ailleurs.Dans cet épisode, nous plongeons dans un débat essentiel sur l'impact de la vulgarisation des neurosciences et les mythes qui en découlent. Pourquoi tant de personnes se laissent-elles séduire par des formations ou des concepts qui ajoutent le préfixe « neuro » pour paraître plus crédibles, comme la neuroproductivité ou le neuroleadership ? Albert nous explique comment ces simplifications, souvent fausses, influencent non seulement notre compréhension mais aussi notre comportement et nos choix de vie.Nous abordons des exemples concrets et marquants, tels que l'effet de nos attentes sur la douleur, illustré par l'incroyable histoire de deux ouvriers et leurs expériences opposées avec des clous. Albert démontre que la douleur est une expérience à la fois sensorielle et émotionnelle, et que nos croyances façonnent notre perception de la réalité. Nous discutons également de la notion de cognition incarnée, où le cerveau ne peut être dissocié du corps ni du contexte dans lequel il évolue, remettant en question l'approche réductionniste souvent adoptée.En tant que fervent défenseur de la démocratisation des sciences, Albert souligne l'importance de rester vigilant face à l'instrumentalisation des neurosciences à des fins commerciales ou idéologiques. Il nous invite à adopter une approche plus nuancée, à comprendre que, si notre cerveau est central, il n'est pas l'unique moteur de nos actions et émotions. Cet épisode riche en réflexions offre des clés pour naviguer entre fascination pour le cerveau et esprit critique face aux simplifications trompeuses.Que vous soyez curieux des sciences cognitives, sceptiques face aux discours populaires, ou simplement en quête de vérités plus profondes, cet échange vous fournira un éclairage précieux sur les complexités du cerveau et de la condition humaine.Les questions que l'on traite : Pourquoi sortir Neuromania maintenant, et quel est le concept de ce livre ?Comment les fausses explications neuroscientifiques influencent-elles notre comportement ?Peux-tu expliquer la notion de "neuromania" et son impact sur notre société ?Pourquoi certaines formations populaires utilisent-elles le préfixe "neuro" de manière abusive ?Comment les attentes modulent-elles notre perception de la douleur ?Qu'est-ce que la "cognition incarnée" et pourquoi est-elle importante ?Pourquoi l'idée du cerveau gauche/droit est-elle erronée ?Quelles sont les conséquences de simplifier la compréhension des neurosciences ?Quelle est la différence entre la connaissance utile et celle qui est utilisée de manière performative ?Comment les neurosciences peuvent-elles être à la fois démocratisées et protégées contre les simplifications ?Timelaps :00:29 – 01:35 : Introduction et discussions légères.02:03 – 02:30 : Albert parle de son livre Neuromania et de la « neuromania ».03:22 – 05:30 : Les effets des fausses croyances neuroscientifiques.06:44 – 08:55 : La surconsommation et la notion de responsabilité sociale.10:57 – 12:56 : La responsabilité de l'individu versus la société.15:09 – 17:26 : Pourquoi se méfier des formations pseudo-scientifiques.21:59 – 23:23 : L'importance de comprendre que le cerveau n'explique pas tout.33:40 – 36:41 : Développement de la neuroplasticité, mythe ou réalité ?39:10 – 41:09 : Le lien cerveau-corps et la cognition incarnée.47:36 – 48:59 : L'influence de la subjectivité dans la perception de la douleur. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #177 Vous ne devez pas faire confiance à vos peurs avec Albert Moukheiber (https://cutt.ly/pnQdFE4) Vlan #108 Pourquoi la culpabilisation écologique ne fonctionne pas? avec Albert Moukheiber (https://audmns.com/KOfUemJ) #206 Comment développer l'esprit critique chez les enfants? Avec Samah Karaki (https://audmns.com/dFSogCP)
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Albert Moukheiber, psychologue et neuroscientifique, revient sur le podcast pour parler de son dernier livre, Neuromania. Il est déjà venu sur Vlan 2 fois et ceci est le 3eme épisode que nous faisons ensemble - il est séparé en 2 parties par ailleurs.Dans cet épisode, nous plongeons dans un débat essentiel sur l'impact de la vulgarisation des neurosciences et les mythes qui en découlent. Pourquoi tant de personnes se laissent-elles séduire par des formations ou des concepts qui ajoutent le préfixe « neuro » pour paraître plus crédibles, comme la neuroproductivité ou le neuroleadership ? Albert nous explique comment ces simplifications, souvent fausses, influencent non seulement notre compréhension mais aussi notre comportement et nos choix de vie.Nous abordons des exemples concrets et marquants, tels que l'effet de nos attentes sur la douleur, illustré par l'incroyable histoire de deux ouvriers et leurs expériences opposées avec des clous. Albert démontre que la douleur est une expérience à la fois sensorielle et émotionnelle, et que nos croyances façonnent notre perception de la réalité. Nous discutons également de la notion de cognition incarnée, où le cerveau ne peut être dissocié du corps ni du contexte dans lequel il évolue, remettant en question l'approche réductionniste souvent adoptée.En tant que fervent défenseur de la démocratisation des sciences, Albert souligne l'importance de rester vigilant face à l'instrumentalisation des neurosciences à des fins commerciales ou idéologiques. Il nous invite à adopter une approche plus nuancée, à comprendre que, si notre cerveau est central, il n'est pas l'unique moteur de nos actions et émotions. Cet épisode riche en réflexions offre des clés pour naviguer entre fascination pour le cerveau et esprit critique face aux simplifications trompeuses.Que vous soyez curieux des sciences cognitives, sceptiques face aux discours populaires, ou simplement en quête de vérités plus profondes, cet échange vous fournira un éclairage précieux sur les complexités du cerveau et de la condition humaine.Les questions que l'on traite : Pourquoi sortir Neuromania maintenant, et quel est le concept de ce livre ?Comment les fausses explications neuroscientifiques influencent-elles notre comportement ?Peux-tu expliquer la notion de "neuromania" et son impact sur notre société ?Pourquoi certaines formations populaires utilisent-elles le préfixe "neuro" de manière abusive ?Comment les attentes modulent-elles notre perception de la douleur ?Qu'est-ce que la "cognition incarnée" et pourquoi est-elle importante ?Pourquoi l'idée du cerveau gauche/droit est-elle erronée ?Quelles sont les conséquences de simplifier la compréhension des neurosciences ?Quelle est la différence entre la connaissance utile et celle qui est utilisée de manière performative ?Comment les neurosciences peuvent-elles être à la fois démocratisées et protégées contre les simplifications ?Timelaps :00:29 – 01:35 : Introduction et discussions légères.02:03 – 02:30 : Albert parle de son livre Neuromania et de la « neuromania ».03:22 – 05:30 : Les effets des fausses croyances neuroscientifiques.06:44 – 08:55 : La surconsommation et la notion de responsabilité sociale.10:57 – 12:56 : La responsabilité de l'individu versus la société.15:09 – 17:26 : Pourquoi se méfier des formations pseudo-scientifiques.21:59 – 23:23 : L'importance de comprendre que le cerveau n'explique pas tout.33:40 – 36:41 : Développement de la neuroplasticité, mythe ou réalité ?39:10 – 41:09 : Le lien cerveau-corps et la cognition incarnée.47:36 – 48:59 : L'influence de la subjectivité dans la perception de la douleur. Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #108 Pourquoi la culpabilisation écologique ne fonctionne pas? avec Albert Moukheiber (https://audmns.com/KOfUemJ) #177 Vous ne devez pas faire confiance à vos peurs avec Albert Moukheiber (https://cutt.ly/pnQdFE4) #206 Comment développer l'esprit critique chez les enfants? Avec Samah Karaki (https://audmns.com/dFSogCP)
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Marc Mortelmans, journaliste pour France Culture, producteur de podcasts et auteur du livre En finir avec les idées fausses sur le monde vivant, est mon invité aujourd'hui. Marc a ce talent rare de faire voler en éclats nos croyances sur la nature et le vivant mais surtout il est passionnant d'anecdoctes et de petites connaissances que vous allez adorer!! Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans ces idées reçues que l'on utilise tous les jours sans même y penser, des clichés comme “la nature est bien faite” ou “la loi du plus fort”, qui faussent notre perception et influencent notre manière de voir le monde. Marc nous montre comment ces idées, bien ancrées dans le langage courant, influencent non seulement notre relation au vivant, mais aussi nos actions, parfois au détriment de l'environnement.J'ai voulu inviter Marc parce qu'il sait transformer des sujets complexes en conversations accessibles et passionnantes. Ensemble, on discute de tout, des abeilles aux lions, en passant par les termites et les expressions populaires. Marc nous apprend pourquoi certaines croyances méritent d'être déconstruites pour que nous puissions, enfin, comprendre la nature telle qu'elle est. Vous verrez, son approche vous inspirera des anecdotes à ressortir en soirée, mais surtout elle vous offrira un regard plus riche et plus nuancé sur le vivant. C'est une conversation aussi captivante que nécessaire, pour prendre du recul sur nos propres perceptions.Les questions que l'on traite :Pourquoi avoir écrit un livre sur les idées fausses concernant le monde vivant ?Est-ce que la nature est vraiment bien faite, comme on le dit souvent ?Comment définir le mutualisme et pourquoi est-il si important dans le vivant ?En quoi la "loi du plus fort" est-elle un mythe ?Comment les termites s'auto-régulent-elles dans leur environnement ?Pourquoi le vivant, une fois rassasié, ne détruit-il pas son environnement contrairement aux humains ?En quoi les abeilles représentent-elles l'efficacité dans l'utilisation des ressources ?Pourquoi les animaux solitaires sont-ils plus nombreux parmi les abeilles que les espèces en colonie ?Pourquoi les poissons ont-ils mauvaise réputation par rapport aux autres animaux ?Quelles sont les idées fausses les plus importantes que le public devrait connaître selon toi ?Le timelaps :00:00 - Présentation de Marc Mortelmans et du thème des idées reçues.02:05 - La nature est-elle vraiment bien faite ? Déconstruction de cette idée courante.06:10 - Explication du mutualisme et exemples concrets (abeilles, coraux).08:20 - La loi du plus fort dans le règne animal : mythe ou réalité ?11:30 - Expressions populaires et vision déformée des animaux (faire l'autruche, être un rat).15:10 - La mémoire des poissons et le malentendu autour de leur intelligence.17:30 - Les implications de nos biais cognitifs sur la perception des animaux.20:40 - Impact de la tonte des jardins sur la biodiversité et pourquoi favoriser des espaces naturels.23:15 - Marc Mortelmans sur son lien personnel avec le vivant et la sensibilisation à l'écologie.25:00 - Conclusion : Voir la nature différemment pour mieux la respecter. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #260 Pensées sur la beauté de la nature avec Alexandre Lacroix (https://audmns.com/SkTfBzz) Vlan #46 Mieux comprendre notre besoin de reconnexion à la nature avec Stéphane Hugon (https://audmns.com/YHgHiAD) #174 Dépasser l'idéologie végétarienne pour mieux comprendre notre alimentation avec Hugo Clément (https://audmns.com/NETMFVi)
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Marc Mortelmans, journaliste pour France Culture, producteur de podcasts et auteur du livre En finir avec les idées fausses sur le monde vivant, est mon invité aujourd'hui. Marc a ce talent rare de faire voler en éclats nos croyances sur la nature et le vivant mais surtout il est passionnant d'anecdoctes et de petites connaissances que vous allez adorer!! Dans cet épisode, nous plongeons ensemble dans ces idées reçues que l'on utilise tous les jours sans même y penser, des clichés comme “la nature est bien faite” ou “la loi du plus fort”, qui faussent notre perception et influencent notre manière de voir le monde. Marc nous montre comment ces idées, bien ancrées dans le langage courant, influencent non seulement notre relation au vivant, mais aussi nos actions, parfois au détriment de l'environnement.J'ai voulu inviter Marc parce qu'il sait transformer des sujets complexes en conversations accessibles et passionnantes. Ensemble, on discute de tout, des abeilles aux lions, en passant par les termites et les expressions populaires. Marc nous apprend pourquoi certaines croyances méritent d'être déconstruites pour que nous puissions, enfin, comprendre la nature telle qu'elle est. Vous verrez, son approche vous inspirera des anecdotes à ressortir en soirée, mais surtout elle vous offrira un regard plus riche et plus nuancé sur le vivant. C'est une conversation aussi captivante que nécessaire, pour prendre du recul sur nos propres perceptions.Les questions que l'on traite :Pourquoi avoir écrit un livre sur les idées fausses concernant le monde vivant ?Est-ce que la nature est vraiment bien faite, comme on le dit souvent ?Comment définir le mutualisme et pourquoi est-il si important dans le vivant ?En quoi la "loi du plus fort" est-elle un mythe ?Comment les termites s'auto-régulent-elles dans leur environnement ?Pourquoi le vivant, une fois rassasié, ne détruit-il pas son environnement contrairement aux humains ?En quoi les abeilles représentent-elles l'efficacité dans l'utilisation des ressources ?Pourquoi les animaux solitaires sont-ils plus nombreux parmi les abeilles que les espèces en colonie ?Pourquoi les poissons ont-ils mauvaise réputation par rapport aux autres animaux ?Quelles sont les idées fausses les plus importantes que le public devrait connaître selon toi ?Le timelaps :00:00 - Présentation de Marc Mortelmans et du thème des idées reçues.02:05 - La nature est-elle vraiment bien faite ? Déconstruction de cette idée courante.06:10 - Explication du mutualisme et exemples concrets (abeilles, coraux).08:20 - La loi du plus fort dans le règne animal : mythe ou réalité ?11:30 - Expressions populaires et vision déformée des animaux (faire l'autruche, être un rat).15:10 - La mémoire des poissons et le malentendu autour de leur intelligence.17:30 - Les implications de nos biais cognitifs sur la perception des animaux.20:40 - Impact de la tonte des jardins sur la biodiversité et pourquoi favoriser des espaces naturels.23:15 - Marc Mortelmans sur son lien personnel avec le vivant et la sensibilisation à l'écologie.25:00 - Conclusion : Voir la nature différemment pour mieux la respecter.
In dieser Folge geht es um das Verhältnis der Linken zur Frage der Migration. Denn die Partei scheint sich auch nach dem Weggang von Sahra Wagenknecht und ihrer Ressentiment-geladenen Rhetorik schwer zu tun mit dem Thema. Viele migrantische oder postmigrantische Akteure und Initiativen scheinen enttäuscht, gleichzeitig äußern sie aber auch Erwartungen und knüpfen Hoffnung an die Erneuerung der Partei. Der ManyPod fragt deshalb die Bundestagsabgeordnete der Linken Clara Bünger und die Migrationsforscherin Manuela Bojadžijev: «Ist die Linke noch zu retten? Und wie können Postmigrantische Strategien für eine linke Politik auf der Höhe der Zeit aussehen?» Es geht also um die komplizierte Beziehung zwischen Linker Politik und migrantischen Perspektive, Interventionen und Realitäten. Manuela Bojadžijev ist Professorin für Migration am Institut für Europäische Ethnologie an der HU Berlin. Sie ist Mitinitiatorin des Projekts «Transforming Solidarities», in deren Rahmen die «Berliner Erklärung zur Verteidigung der Migrationsgesellschaft» entstanden ist. Clara Bünger ist Bundestagsabgeordnete der Partei Die Linke. Sie ist Volljuristin, arbeitete in einer internationalen Menschenrechtskanzlei und leistete Rechtsberatung für die Refugee Law Clinic. Weiterführende Links: - Clara Bünger auf Instagram: https://www.instagram.com/clara.buenger - Berliner Erklärung – In Verteidigung der Migrationsgesellschaft: https://transformingsolidarities.net/de/news/berliner-erklaerung-in-verteidigung-der-migrationsgesellschaft/ - Transforming Solidarity: https://transformingsolidarities.net/de/ Lesehinweise: - Massimo Perinelli: Messer, Merz und Migration: https://www.rosalux.de/news/id/52637 - Volker M. Heins, Frank Wolff: Hinter Mauern. Geschlossene Grenzen als Gefahr für die offene Gesellschaft. Berlin 2023: https://www.suhrkamp.de/buch/hinter-mauern-t-9783518128077 - Gespräch mit Clara Bünger und Bernd Kasparek: Die GEAS-Reform als Kipppunkt? Abschottung und autoritäre Wende im neuen «Asylkompromiss». In Luxemburg, Oktober 2023: https://zeitschrift-luxemburg.de/artikel/die-geas-reform-als-kipppunkt/ [Anmerkung der Redaktion: Bei Minute 52:38 sagt Manuela Bojadzijev, dass in die Türkei seit drei Jahren niemand abgeschoben wird. Mit dieser Aussage bezieht sie sich nur auf Geflüchtete ohne türkische Staatsbürgerschaft, die über die Türkei als «sicheren Drittstaat» eingereist sind.] Dossier «Gesellschaft der Vielen»: https://www.rosalux.de/gesellschaft-der-vielen Alle Podcasts der Rosa-Luxemburg-Stiftung: https://www.rosalux.de/podcasts Du möchtest keine Podcast-Folge mehr verpassen? Abonniere unseren monatlichen Newsletter: https://www.rosalux.de/newsletter-abos.
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Naomi Roth est une journaliste transdisciplinaire, aujourd'hui conférencière sur les enjeux liés à l'intelligence artificielle. Dans cet épisode, nous parlons de la montée des compagnons virtuels et des relations que les humains nouent avec l'IA. J'ai questionné Naomi sur cette nouvelle réalité, qui dépasse le simple chiffre : il y a aujourd'hui plus de personnes en lien avec des IA qu'il y a de fans de Taylor Swift. Au début, ça me paraissait impensable, car les amis virtuels me rappelaient le film Her qui m'avait à l'époque profondément dérangé. Mais Naomi m'a expliqué que, sous cette apparence futuriste, se cache une multitude de facettes des relations humaines et de la solitude moderne. Nous avons exploré les dimensions amicales, amoureuses, et parfois même familiales de ces relations, notamment comment les IA viennent combler des manques ou répondre à des besoins émotionnels que nous, humains, cherchons désespérément à combler. Vous verrez, c'est un sujet fascinant qui nous questionne sur l'évolution de notre société.Les questions que l'on traite : Pourquoi est-ce que de plus en plus de personnes se tournent vers les IA pour nouer des relations ?Comment définir le compagnonnage avec une IA ?Quel est le premier commentaire que l'on te fait quand tu parles de ces relations avec des IA ?En quoi les compagnons virtuels bouleversent-ils notre vision des relations humaines ?Penses-tu que la solitude croissante dans notre société explique cet engouement pour les IA ?Comment l'IA impacte-t-elle nos interactions amoureuses ?Y a-t-il des personnes qui tombent réellement amoureuses de leur IA ?Penses-tu que ces relations virtuelles peuvent être bénéfiques pour certaines personnes ?Que penses-tu de la dimension éthique de ces compagnonnages ?Comment vois-tu l'évolution future des relations humaines avec l'intelligence artificielle ?Timelaps : 00:00:00 : Introduction de l'épisode et présentation de Naomi Roth.00:01:17 : Début de la discussion sur l'IA et les compagnonnages virtuels.00:02:57 : Explication de ce qu'est une relation avec une IA.00:05:59 : Pourquoi ces relations existent et à qui elles s'adressent.00:10:20 : Discussion sur l'impact de l'IA et des compagnons virtuels sur la solitude.00:12:42 : Les avantages et dangers d'une relation avec une IA.00:23:01 : Impact des technologies sur les relations humaines et la solitude.00:42:58 : Utilisation de l'IA pour recréer des proches décédés. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #261 Chat GPT, les intelligences artificielles face à l'humanité avec Victor Storchan (https://audmns.com/cseeFYI) #146 Comment l'intelligence artificielle peut réellement vous rendre plus humain.e avec Alexandre Pachulski (https://audmns.com/KdwwONa) #141 Les technologies et l'intelligence artificielle face à la crise climatique avec Luc Julia (https://audmns.com/WJCdimQ)
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Il y a quelques mois, je vous ai demandé ce que vous pensiez de Vlan! et 572 personnes ont répondu à toute une série de questions.Ce podcast est aussi le votre évidemment et donc dans cet épisode, je vous partage les résultats de cette étude mais surtout, je partage les idées, les suggestions que vous faites, parfois les critiques, je vous partage la manière dont j'envisage les différentes thématiques sur Vlan, je vous parle de l'avenir de Vlan!, de la manière dont j'ai envie de le faire évoluer.Je vous présente aussi l'équipe de Vlan! et surtout les histoires humaines derrière parce qu'après tout, je pense que c'est important de comprendre les liens et comment tout cela se met en place.Et grosse nouveauté, je vous parle de la cagnotte que j'ai créé pour Vlan! sur Tipeee afin de pouvoir aller encore plus loin dans le développement du podcast.J'ai envie d'aller plus loin, d'avoir toujours plus d'invités exceptionnels, de développer plus de contenus vidéos, de développer le compte Instagram mais aussi de créer plus de rencontres virtuelles ou réelles.Donc, si c'est votre cas aussi et que Vlan ! a eu un impact positif sur votre vie d'une manière ou d'une autre, surtout n'hésitez pas.Ou si simplement vous pensez que c'est essentiel de soutenir des médias indépendants comme Vlan ! dans cette période trouble parce qu'il permet de prendre du recul, de se sentir mieux au quotidien par la sagesse et la connaissance que j'essaie d'y transmettre.
Der Einstieg ins Familienunternehmen stand eigentlich nicht auf der Agenda von Nils Glagau. Statt BWL studierte er Ethnologie, statt Praktika bei Unternehmensberatungen half er bei Ausgrabungen in Mittelamerika und Asien. Der frühe Tod seines Vaters änderte dann alles. Im OMR Podcast spricht Glagau über seinen Einstieg beim Supplement-Hersteller Orthomol, das Geheimrezept, um die Umsätze auf mehr als 150 Millionen Euro zu verdoppeln – und die Gerüchte, er suche aktuell einen Käufer für seine Firma.
Die Grand Dame der Motiv- und der qualitativen Meinungsforschung, Dr. Helene Karmasin, blickt im Podcast des Marketing Club Österreich (MCÖ) auf ihre Karriere zurück und zeigt sich auch von einer privaten Seite. Mit Podcast-Host Birgit Schaller spricht sie auch über ihren Weg als Frau unter vielen Männern im Business. Dr. Helene Karmasin ist 1935 geboren und in Schleswig-Holstein aufgewachsen, sie studierte in Deutschland und Österreich Ethnologie, Literaturwissenschaft, Geschichte und Semiotik. Sie gründete in jungen Jahren ihre erste Agentur und ist bis heute beruflich äußerst aktiv. Sie hat zwei Kinder und war mit Fritz Karmasin (†2013) verheiratet. Bis heute beschäftigt sich Karmasin mit dem Erstellen von Fragebögen für ihre Kunden über Aktivitäten als Speakerin bis zu einem neuen Buch in der Pipeline: "Ich war immer aktiv, ich kenne das nicht anders und klar, das braucht Disziplin, Organisation und Willen". Helene Karmasin geht in Details zur Motivforschung, "ich habe sie für Österreich erfunden", analysiert den Erfolg neuer Produkte, wie Nahrungsergänzungsmittel, teilt ihre Erkenntnisse zur Semiotik, zu Design, Markencodes, "oft geht es um die verbale und visuelle Verpackung", und warum Essen in weibliche und männliche Speisen und es Beißer und Schlabberer gibt und was man daraus schließen kann. Zwischendurch verrät sie uns, welche Influencerinnen sie begeistern, wie sie fit bleibt, was sie vor wenigen Wochen das erste Malin ihrem Leben gewagt hat und was sie in ihrem Leben vielleicht ein wenig anders machen würde. Hören Sie gern rein.
ZfW_056 - Gehen Zu Gast: Konrad Kuhn Alles geht? Eine kulturwissenschaftliche Perspektive auf das Zu-Fuß-Gehen nimmt Konrad Kuhn vom Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie ein. Das mag zunächst etwas ungewöhnlich klingen, ist es aber ganz und gar nicht, wie der Ethnologe ausführlich erzählt: Der Blick auf alltägliche Praktiken kann neue Perspektiven auf gesellschaftliche Strukturen eröffnen. Wer geht wann und warum? Seit wann ist Gehen eine Freizeitaktivität? Und wer kann sich das leisten? Anlass für das Gespräch ist eine aktuelle Publikation, in der Konrad Kuhn mit Studierenden der Europäischen Ethnologie verschiedene Aspekte dieser alltäglichen Praktik analysiert hat. In „Bricolage 12: Gehen – kulturwissenschaftliche Erkundungen zu alltäglichen Praktiken“ wird Gehen als eine komplexe und kulturhistorisch bedeutsame Praxis untersucht. Konrad Kuhn Bricolage 12: Gehen - kulturwissenschaftlich. Erkundungen zu alltäglichen Praktiken
durée : 01:15:49 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Au Moyen-âge, la danse de la tarentelle avait-elle le pouvoir de guérir des piqûres d'araignées ? En 1999, dans ce volet de "La Matinée des autres", les rites magiques de la guérison dans l'Italie du Sud nous sont dévoilés grâce aux recherches de l'ethnologue et historien Ernesto di Martino.
Wir sind schön in der Haut, in der wir stecken. Und wer uns liebt, mag die Farbe, jede Falte und alle Flecken. Es könnte so einfach sein. Aber unsere Haut ist auch Projektionsfläche für Schönheitsideale und muss allzu oft makellos sein. In den sozialen Netzwerken erzeugen wir mit Filtern Bilder von uns, die wir in der Realität nicht erreichen. Dabei ist unsere Haut so ein wunderbares Organ, unser größtes Organ: Sie schützt uns, lässt uns fühlen, beschert uns eine Gänsehaut in besonderen Momenten. Und jetzt, wo es warm wird, zeigen wir sie wieder und wir reden darüber: Mit Dr. Yael Adler, Dermatologin und Buchautorin, Lisa Schmalzried, Philosophin und Malerin, mit dem Autoren von „Ich bin dann mal nackt“ Marc Engelhardt und mit Matthias Krings vom Institut für Ethnologie an der Uni Mainz. Podcast-Tipp: Bayerisches Feuilleton Die Haut kann auch zum Kunstobjekt werden, zum Beispiel mit Hilfe von Tattoos. Früher gereichte das Tattoo vor allem Seeleuten und Knackis zur Zier, heute ist es salonfähig geworden, schmückt Erika Mustermann und Otto Normalverbraucher. Diese Schönheit geht unter die Haut ... und nicht mehr so leicht ab. Warum tut man sich so etwas an? Darum geht's im Podcast „Bayerisches Feuilleton“, zu finden in der ARD Audiothek: https://www.ardaudiothek.de/episode/bayerisches-feuilleton/wer-schoen-sein-will-muss-leiden-tattoos-gehen-buchstaeblich-unter-die-haut/bayern-2/78780424/
In einer komplexen Einwanderungsgesellschaft, in der wir leben, treffen verschiedene Herkünfte, Religionen, Kulturen und Sprachen aufeinander. Menschen mit und ohne Migrationsgeschichte stellen diese Gesellschaft zusammen. Für das Zusammenleben spielen Erinnerungskultur und Geschichtsbewusstsein eine wichtige Rolle. Wie begegnen sich Erinnerungen und Erfahrungen der unterschiedlichen postmigrantischen Communitys? Wie kann die Erinnerung des Gegenübers aus der Unsichtbarkeit heraustreten? Unsere Gäst:innen: Sinthujan Varatharajah lebt als Essayist*in und politische Geograf*in in Berlin.Varatharajah forscht und schreibt zu den Themen Staatenlosigkeit und Vertreibung aus einer räumlichen, logistischen und materialistischen Perspektive. Vanessa Vu, geboren 1991, hat Ethnologie, Internationales Recht und Südostasien in München, Paris und London studiert. Vu wurde für ihre Arbeit u.a. mit dem Theodor-Wolff-Preis, dem Helmut-Schmidt-Preis und dem Lessing-Preis für Kritik ausgezeichnet.
»Die muslimische Welt befindet sich in einem Kulturkampf«, sagt die Islamkennerin Susanne Schröter, Professorin für Ethnologie an der Frankfurter Goethe-Universität und Leiterin des Frankfurter Forschungszentrums »Globaler Islam«. Mit ihr spricht Helmut Fink über das Erstarken des Islamismus weltweit, über den wachsenden Einfluss islamistischer Gruppen in Deutschland und das mangelnde Problembewusstsein von Politik und Gesellschaft. So Der Beitrag Podcast-Gespräch • Susanne Schröter • Im Namen des Islam – Wie radikalislamische Gruppierungen unsere Gesellschaft bedrohen erschien zuerst auf Kortizes-Podcast.
Der neue Kulturkampf - wenn eine laute Minderheit versucht, der Gesellschaft die eigene Weltsicht überzustülpen Es findet gerade ein Kulturkampf statt - wieder einmal muss man feststellen. Darüber hat Susanne Schröter jetzt ein neues Buch vorgelegt mit dem Titel: „Der neue Kulturkampf“. Sie ist Professorin der Ethnologie. Für ihre scharfe Kritik an linker Politik steht sie immer wieder in der Kritik. Woher kommt dieser neue Kulturkampf und vor allem: Warum gelingt es einer kleinen Gruppe, ganze Gesellschaften umzukrempeln. Darüber Roland Tichy in seinem Interview mit Susanne Schröter gesprochen: Was sind die Machtmittel der Woken – und wieso sind sie damit so erfolgreich?
anlässlich des Internationalen Frauentags am 8.3.: Irene Harand Die Frau, die sich mit Hitler anlegte - (3) Werben für die gerechte Sache - mit: Kurt Scharr, Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie der Universität Innsbruck - Sendung vom 6.3.2024
Irene Harand, Die Frau, die sich mit Hitler anlegte - (1) Eine Unpolitische wird zur Widerstandskämpferin - Mi Kur Scharr, Institut für Geschichtswissenschaften und Europäische Ethnologie der Universität Innsbruck - Sendung vom 4.3.2024
Verstand sich die Ethnologie lange als Erforschung fremder Kulturen, so wird sie zunehmend zu einer Wissenschaft, die den eigenen – d.h. den westlichen – Blick auf andere Kulturen in den Blick nimmt und dabei erkennt, dass die westliche Sicht auf die Welt eine unter vielen ist. Der vor zwei Jahren verstorbene US-amerikanische Ethnologe Marshall Sahlins plädiert in seinem letzten Buch, das jüngst unter dem Titel „Neue Wissenschaft des verwunschenen Universums“ auf Deutsch erschien, für eine multiperspektivische Sicht auf die Welt. Matthes & Seitz Verlag, 272 Seiten, 28 Euro ISBN 978-3-7518-2002-8
Des cheveux “pas assez lisses”, une peau « trop » foncée... Beaucoup de femmes africaines ou afrodescendantes ont grandi avec l'idée que leur apparence ne correspondait aux standards de beauté dominants. Et qu'en défrisant leurs cheveux, en dépigmentant leur peau, elles pourraient se rapprocher de la norme. Cette expérience parfois douloureuse peut être source de complexes physiques et de honte. Avec le mouvement nappy qui promeut, depuis les années 2000, un retour aux cheveux crépus et à la beauté naturelle, les choses évoluent peu à peu. Pourra-t-on mettre fin aux stéréotypes, avec de nouveaux modèles, de nouvelles représentations pour les femmes noires ? Quel rôle peuvent jouer les réseaux sociaux ? Comment repenser notre rapport à la beauté, plurielle ? Avec :• Sabrina Onana, sociologue, photographe et réalisatrice du documentaire «Je suis noire, je suis belle» (2023)• Daphné Bedinade, doctorante au Centre Européen de Sociologie et de Science Politique (CESSP/ EHESS), chercheuse en Ethnologie et Anthropologie sociale. Sa thèse « Race et beauté : le marché et l'industrie de la beauté dits ethniques en France et au Brésil » est en cours d'écriture• Barikassa Fofana, promotrice de la marque Natissa Cosmetics, une marque de produits naturels, et du salon Black and Kpata à Ouagadougou. Programmation musicale :► Dont Touch My Hair - Solange► Woman - Little Simz - feat. Cleo Sol.
Des cheveux “pas assez lisses”, une peau « trop » foncée... Beaucoup de femmes africaines ou afrodescendantes ont grandi avec l'idée que leur apparence ne correspondait aux standards de beauté dominants. Et qu'en défrisant leurs cheveux, en dépigmentant leur peau, elles pourraient se rapprocher de la norme. Cette expérience parfois douloureuse peut être source de complexes physiques et de honte. Avec le mouvement nappy qui promeut, depuis les années 2000, un retour aux cheveux crépus et à la beauté naturelle, les choses évoluent peu à peu. Pourra-t-on mettre fin aux stéréotypes, avec de nouveaux modèles, de nouvelles représentations pour les femmes noires ? Quel rôle peuvent jouer les réseaux sociaux ? Comment repenser notre rapport à la beauté, plurielle ? Avec :• Sabrina Onana, sociologue, photographe et réalisatrice du documentaire «Je suis noire, je suis belle» (2023)• Daphné Bedinade, doctorante au Centre Européen de Sociologie et de Science Politique (CESSP/ EHESS), chercheuse en Ethnologie et Anthropologie sociale. Sa thèse « Race et beauté : le marché et l'industrie de la beauté dits ethniques en France et au Brésil » est en cours d'écriture• Barikassa Fofana, promotrice de la marque Natissa Cosmetics, une marque de produits naturels, et du salon Black and Kpata à Ouagadougou. Programmation musicale :► Dont Touch My Hair - Solange► Woman - Little Simz - feat. Cleo Sol.
durée : 01:15:49 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Au Moyen-âge, la danse de la tarentelle avait-elle le pouvoir de guérir des piqûres d'araignées ? En 1999, dans ce volet de "La Matinée des autres", les rites magiques de la guérison dans l'Italie du Sud nous sont dévoilés grâce aux recherches de l'ethnologue et historien Ernesto di Martino.
Dans cet entretien avec Alexandre Ankerly, ethnographe et UX Researcher, Jean-François Poulin explore le mariage entre l'ethnographie et l'UX (expérience utilisateur). L'ethnographie offre une perspective externe cruciale dans les projets numériques, révélant des aspects que les chiffres ne peuvent pas capturer. En observant les comportements et en posant des questions pertinentes, on peut identifier les vrais problèmes et les besoins des utilisateurs, ce qui peut conduire à des solutions plus efficaces. L'ethnographie n'est pas nécessairement coûteuse, elle peut être réalisée de manière simple et itérative pour améliorer les projets dès le départ. Une leçon précieuse : définir le bon problème est la clé pour résoudre les véritables défis.
Dozens of historically significant Australian indigenous artifacts are to be returned from Germany to Australia in a groundbreaking agreement. Anthropologist Prof. Dr. Jonas Bens from the Institute of Ethnology at the University of Hamburg deals with the topic of restitution, the handling of indigenous artifacts, and the role of museums. - Dutzende historisch bedeutende australische indigene Artefakte sollen in einem bahnbrechenden Abkommen von Deutschland nach Australien zurückgeführt werden. Der Anthropologe Prof. Dr. Jonas Bens vom Institut für Ethnologie der Universität Hamburg beschäftigt sich mit der Thematik der Restitution, dem Umgang mit indigenen Artefakten und der Rolle der Museen.
Migranten ohne Bleibeperspektive werden künftig in Lagern an den EU-Außengrenzen untergebracht und schneller abgeschoben. Für Familien mit Kindern soll es keine Ausnahme geben, wie es die deutschen Grünen vehement fordern. Wem nützt, wem schaden die Asylbeschlüsse der EU-Innenminister? Wird es noch Änderungen im Europäischen Parlament geben? Martin Durm diskutiert mit Dr. Bernd Kasparek - Migrationsforscher, Institut für Europäische Ethnologie, Humboldt-Universität Berlin, Gerald Knaus - Migrationsforscher, Europäische Stabilitätsinitiative, Berlin, Stephan Ueberbach - SWR-Hörfunkkorrespondent Studio Brüssel
Qu'est-ce que le le dégoût, si ce n'est le manque de goût, comme l'indique le préfixe "dé" ? Il semblerait que le dé-goût soit bien plus que l'absence de goût, un brin passive. Le dégoût va souvent jusqu'à l'aversion, la répugnance, la sensation d'écœurement, le haut-le-cœur… Le dégoût, souvent, invite une réaction physique : une grimace, une moue, la nausée, l'envie de vomir, parfois même l'évanouissement… « La mimique la plus caractéristique du dégoût consiste à se détourner en se pinçant le nez », analyse la chercheuse en philosophie esthétique Claire Margat dans sa “Phénoménologie du dégoût”. « Le sens le plus affecté par le dégoût est en effet l'odorat, dans la mesure où, par ses émanations, une substance nauséabonde et écœurante peut pénétrer en partie dans le corps de manière volatile. Le dégoût réagit à une effraction de l'intimité corporelle ». Dans votre trajectoire alimentaire personnelle, existe-t-il des aliments qui vous ont un jour dégoûté et que vous appréciez désormais ? Ce revirement de goûts culinaires, Eulalie, 25 ans, l'a vécu il n'y a pas si longtemps. Pendant la majeure partie de sa vie, cette jeune femme, que ses proches surnomment tendrement “Glouton joyeux”, mangeait de tout sauf d'une catégorie d'aliments bien précise : les fruits de mer. Au micro de Bouffons, elle raconte comment, à la faveur d'un citron caviar, tout a un jour basculé. Émilie Laystary tend ensuite le micro à la chercheuse Sophie Nicklaus, à l'INRAE, au Centre des Sciences du Goût et de l'Alimentation (Dijon) pour comprendre ce qui se joue lorsqu'un dégoût devient finalement un goût. Références entendues dans l'épisode : — MARGAT Claire, « Phénoménologie du dégoût. Inventaire des définitions », Ethnologie française, 2011/1 (Vol. 41), p. 17-25: https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2011-1-page-17.htm — DUSING, Elizabeth, « L'imaginaire alimentaire dans les romans de Zola », B.A University of British Columbia, 1993. Venez découvrir ce qu'il se passe sous la toque des grands chefs avec le podcast Toque Toque disponible sur le lien suivant: https://shorturl.at/nDJKV Bouffons est un podcast de Nouvelles Écoutes Écrit et animé par Émilie Laystary avec l'aide de Diane Lesieur Montage et mixage par Laurie Galigani Produit par Julien Neuville Directrice Générale Adjointe : Nora Hissem Directrice Des productions : Marion Gourdon Directrice artistique : Aurore Mahieu Chargée de production : Diane Lesieur
Spätestens seit der Debatte zu den Benin-Statuen steht die Ethnologie im Rampenlicht wie nie zuvor: Das ist gut so – meint Anna Schmid, Direktorin des Basler Museums der Kulturen, die froh ist um die plötzliche Aufmerksamkeit und den Beginn längst fälliger Diskussion – auch in der Öffentlichkeit. Die Ethnologie abschaffen, weil sie im Fahrwasser des Kolonialismus entstanden ist? Oder ihr endlich einen gebührenden Stellenwert beimessen, gerade weil sie sich seit je her mit der Erforschung fremder Kulturen beschäftigt und dabei über ein Wissen verfügt, das für eine sinnvolle Dekolonialisierung dringend nötig ist? Aspekte wie z.B. kulturelle Aneignung sind Themen, die zur Geschichte der Ethnologie gehören, aber erst seit Emanuel Macrons Rede über die Rückgabe afrikanischer Objekte nun auch die breite Öffentlichkeit erreicht haben.
Arta Ramadani war zwölf Jahre alt, als sie mit ihrer Familie aus dem Kosovo nach Mannheim kam. Ihr Vater war Aktivist und erhielt politisches Asyl in Baden-Württemberg. Arta Ramadani studierte Ethnologie, Medien- und Kommunikationswissenschaften in Mannheim, Heidelberg und Boston. Sie arbeitet als Fernsehreporterin für das ZDF. In ihrem Buch "Brot, Salz und Herz" verbindet sie Familienrezepte aus dem Kosovo. Sie hat das Buch ihren Großmüttern gewidmet. Und sie schreibt darüber, welche Tabus es heute noch für Frauen im Kosovo gibt. Über die patriarchalen Gesellschaften, in denen es als unmännlich gilt, zu kochen und zu backen und wie ihrer Familie die Migration geholfen hat, typische Rollenbilder zu durchbrechen. Moderation:Nicole Köster