Podcasts about maudites

  • 33PODCASTS
  • 45EPISODES
  • 35mAVG DURATION
  • 1MONTHLY NEW EPISODE
  • Apr 29, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about maudites

Latest podcast episodes about maudites

Culture Prohibée
Saison 16 Episode 35 Spécial sorties bouquins avec Philippe Battaglia (La Dernière Tentation de Judas - Editions L'Atalante)

Culture Prohibée

Play Episode Listen Later Apr 29, 2025 57:46


Au sommaire de cette spéciale sorties bouquins : Retour sur deux BD du Label 619 publiées aux Éditions Rue de Sèvres : Shin Zero Tome 1 (Mathieu Bablet, Guillaume Singelin) & Clovd Livre 2 : Excalibur (Florent Maudoux) ; Évocation de Un Genre à soi, un ouvrage collectif paru dans la collection FaceB013 chez Playlist Society consacré à celles et ceux qui font le cinéma de genre français ; Recension de HP Lovecraft's Re-animator de Jeff Rovin préfacé par Brian Yuzna, nouvel opus de la collection Compact Horreur (Faute de frappe éditions) ; Rencontre avec Philippe Battaglia autour de son dernier livre, La Dernière Tentation de Judas, publié par les Éditions L'Atalante ; Chronique de Maudites demeures de Philippe Di Folco et Bertrand Pavlik (Éditions du Rocher). Bonne écoute à toutes et tous !

Monsieur Jardinier - La 1ere
Des fleurs maudites aux Bucoliques

Monsieur Jardinier - La 1ere

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 8:49


Les bucoliques se terminent avec une conférence consacrée aux armoises. Claire Laurant, ethnobotaniste passionnée par les plantes médicinales, dresse le portrait de ces plantes qui déchainent les passions. Martine Cardoso nous parlera de ce festival consacré aux plantes et au jardin qui se tient chaque année à lʹAbbaye de Salaz à Ollon.

La Belle et le Gamer
361: Le Mystérieux Marketing des Mascottes Maudites

La Belle et le Gamer

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 71:27 Transcription Available


On se remet tout doucement des annonces tumultueuses de Nintendo autour de la Switch 2. C'est toujours le bazar aux US, on va pas se mentir, mais chez nous ça se passe plutôt bien, et les précommandes vont bon train. Sony dévoile Marathon, son prochain jeu service multijoueur sorti des studios de Bungie, et Xbox prépare tranquillement son été avec l'annonce de son gros showcase annuel.Manettes en main, on continue à se casser la tête sur Blue Prince, qui prend une place considérable dans notre temps de jeu (et notre cerveau). Mais on prend tout de même le temps de découvrir l'univers loufoque, surprenant et délirant de Promise Mascot Agency, qui mêle gestion, crime organisé, et exploration. Une formule détonante, portée par une écriture exceptionnelle, qui nous a enchanté.Bonne écoute à tous, comme toujours la Belle et le Gamer existe grâce au soutien de ses formidables fans via Patreon, et pour les rejoindre, ça se passe par ici.Pour rejoindre la communauté de La Belle et le Gamer et nous soutenir, tous les liens utiles se trouvent à l'adresse suivante, y compris l'invitation pour rejoindre notre serveur Discord, et notre chaîne Twitch: https://linktr.ee/LBELG. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans l'ombre des légendes
Disparitions mystérieuses : les poupées hantées de TikTok sont-elles maudites ? | Podcast Horreur

Dans l'ombre des légendes

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 6:01 Transcription Available


Avez-vous déjà ressenti un frisson en regardant une poupée ? Dans cet épisode de Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr, Charlie Bird Parker plonge dans le phénomène inquiétant des poupées hantées qui a récemment pris d'assaut TikTok. Ce qui a commencé comme une simple tendance est devenu un véritable cauchemar, avec des influenceurs partageant des récits de rencontres paranormales troublantes liées à des poupées anciennes. Les histoires vraies effrayantes en podcast prennent ici une nouvelle dimension, alors que nous explorons les mystères sombres qui entourent ces objets apparemment innocents.Au cœur de cet épisode, nous découvrons le cas de Lilia Sanchez, une créatrice de contenu qui a disparu après avoir publié des vidéos de sa poupée, Annabelle Junior, qui semblait changer de position chaque nuit. Ce récit captivant s'inscrit dans une série de légendes urbaines françaises audio qui interrogent notre rapport à l'inconnu. D'autres influenceurs, comme Hugo Maillard, ont également rapporté des incidents étranges et des disparitions inexplicables, laissant planer un doute sur la sécurité de ceux qui s'aventurent trop près de ces poupées hantées.Les recherches sur l'origine de ces poupées nous mènent à des histoires troublantes, certaines ayant appartenu à des collectionneurs d'objets occultes ou retrouvées dans des maisons chargées de drames inexpliqués. Ces récits d'horreur audio français sont une invitation à réfléchir sur l'impact de ces objets sur notre monde moderne. Le podcast aborde également la théorie d'une malédiction numérique, qui pourrait frapper ceux qui osent regarder ces vidéos, transformant un simple divertissement en un véritable mystère non résolu.Les autorités commencent à s'intéresser à ces disparitions mystérieuses, mais aucune explication tangible n'émerge, laissant le public dans l'angoisse et l'incertitude. Dans cet épisode de Dans l'ombre des légendes, nous nous interrogeons sur l'influence des légendes creepypasta et des récits de meurtres mystérieux en français, tout en explorant les ramifications des nouveaux podcasts horreur en France. Qu'est-ce qui se cache vraiment derrière ces poupées hantées ? Sont-elles simplement des objets de collection ou portent-elles avec elles une part d'horreur qui dépasse notre compréhension ?Rejoignez-nous pour une plongée immersive dans l'univers des histoires paranormales en français, où chaque mot pourrait bien être le dernier avant de plonger dans l'obscurité. Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr vous attend pour une expérience captivante, pleine de suspense et d'horreur. Ne manquez pas ce nouvel épisode, où le mystère et la peur se rencontrent dans un récit palpitant qui vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière seconde.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est qui en pole?
CQEP - L'anecdote de l'avent EP2 - Lorenzo et les célébrations maudites

C'est qui en pole?

Play Episode Listen Later Dec 2, 2024 2:43


Lorenzo et les célébrations maudites Sa presque noyade en 2010 ou encore sa jambe cramée en 2015, on se retrouve pour parler des célébrations de Lorenzo ! On se retrouve du 1er au 24 décembre pour découvrir ou redécouvrir des anecdotes autour du #MotoGP & ses pilotes.

motogp les c maudites
Le Boost! de Rimouski
Des animaux savants, les maudites pubs de médicaments et un weekend en deux temps pour nos Nics

Le Boost! de Rimouski

Play Episode Listen Later Sep 30, 2024 49:58


Dans cet épisode, on jase de vos animaux savants, on parle aussi de ces maudites pubs de médicaments (même nos médecins ne plus capables de les endurer!) et d'un weekend en deux temps pour l'Océanic avec le coach Joël Perrault à notre chronique Dans le vestaire des Nics!

On est tous debout... toute la journée en Mauricie
La gang et les p'tites maudites

On est tous debout... toute la journée en Mauricie

Play Episode Listen Later Jun 5, 2024 52:47


Aujourd'hui dans la gang :  La ville canadienne où il y a le plus d'infidèles Dr. Jean-Philippe Blais nous parle des coups de chaleur  Les puces d'eau  Le Défi de 7h30 Le super pouvoir que tu aimerais avoir Stéphanie a été traumatisée de sa fin de journée

Les p'tites histoires
Zélie et les claquettes maudites - Zélie et les objets maléfiquement maudits.

Les p'tites histoires

Play Episode Listen Later Feb 22, 2024 21:12


Le sol de la cour de récréation qui tremble, Roger, le gardien de l'école, qui ne répond plus à l'appel, et tout ça un jour de pluie ?! Est-ce que ça ne ferait pas un peu trop pour une seule journée ?!Cet épisode n'est pas seulement une enquête pleine de suspens ! Elle parle aussi de l'importance de croire que les autres peuvent changer !Merci à Mahdi & Lina pour son idée d'objet, à Roman qui m'a permis d'avoir l'idée de la quête des objets maléfiquement maudits et à vous qui m'avait aidé à créer Zélie !Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Mathieu Genelle aidé d'Andorys ! Racontée par Karine Texier et Arnaud Guillou. Mix: Studio Module. Générique : Léa Chevirer. Illustration : Zaza la Colombienne. Become a member at https://plus.acast.com/s/les-ptites-histoires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'Heure H
Les Eaux Maudites : Le Mystère du Hollandais Volant (rediff)

L'Heure H

Play Episode Listen Later Jan 31, 2024 41:24


À l'aube du 11 juillet 1881, les princes royaux George V et Albert-Victor, à bord du Bacchante, vivent une rencontre surnaturelle. Alors que le navire traverse les eaux australiennes, un mystérieux vaisseau fantôme, le Hollandais Volant, surgit, semant la terreur parmi l'équipage. La vision de cette embarcation venue d'un autre monde, enveloppée dans une lumière rouge, laisse présager malheurs et mort. Merci pour votre écoute Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Le maudit poids
S3-E7: Les maudites diètes avec Tania Valiquette, nutritionniste

Le maudit poids

Play Episode Listen Later Nov 13, 2023 29:57


Dans cet épisode, j'ai pu échanger avec collègue nutritionniste, Tania Valiquette alias la maudite nutritutrice, auteure du livre Maudites diètes et passionnée de communications. La découverte de l'approche anti-diète a été une révélation pour elle. Tellement qu'elle a voulu le partager avec le plus de gens possible et donc elle s'est lancée dans la création d'un blogue et s'est rendue visible sur plusieurs plateformes de réseaux sociaux. C'est d'ailleurs grâce à cela qu'elle a été approchée pour la réalisation d'un livre. Ensemble, nous avons démystifié le rôle de nutritionniste fait un survol des sujets abordés dans son livre qui se veut un outil d'éducation pour la population. Avis important: Dans ce podcast, j'agis à titre d'animatrice. À noter que je n'endosse pas les propos tenus par mes invités puisqu'ils représentent leur propre opinion et expérience personnelle. En aucun cas les propos tenus dans le cadre de cet épisode ne représentent des conseils nutritionnels personnalisés. Si vous avez besoin d'accompagnement, je vous invite à consulter le répertoire des nutritionniste-diététistes sur le site de l'Ordre professionnel des diététistes-nutritionnistes du Québec (⁠https://odnq.org/trouver-une-dietetiste-nutritionniste/⁠) ou à m'écrire pour en savoir plus sur mes services.  Pour suivre Tania: - Instagram: https://www.instagram.com/la_maudite_nutritutrice/ - Tiktok: https://www.tiktok.com/@lamauditenutritutrice - Facebook: https://www.facebook.com/lamauditenutri Pour en savoir plus sur mes services et me suivre sur les RS: - https://www.sarahnormandinnutritionniste.com/ - https://www.facebook.com/SarahNormandinNutritionniste - https://www.instagram.com/sarah_normandin_nutritionniste/?hl=fr

Dutrizac de 6 à 9
Dutrizac s'insurge contre les voitures modifiées : «maudites poubelles!»

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Sep 13, 2023 6:43


La police ouvre le feu sur des voleurs de véhicules pris sur le fait à Montréal. Féminicide à Valleyfield: la victime a été poignardée 119 fois. Happées par un kart de golf, 12 personnes sont blessées à Québec.   Discussion faits divers de Maxime Deland, journaliste à l'Agence QMI.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le maudit poids
S2-E37: Les maudites grandeurs de vêtements avec Nadia Tranchemontagne

Le maudit poids

Play Episode Listen Later Jun 5, 2023 77:30


Pour cet épisode j'ai le plaisir de recevoir à nouveau Nadia Tranchemontagne, cette fois pour discuter des fameuses grandeurs de vêtements et l'offre plutôt maigre pour les personnes s'habillant des grandeurs dites ''tailles plus''. On jase entre autres de ce que veux réellement dire le mot ''inclusif'' et comment ça devrait se transposer dans des compagnies de vêtements, des problèmes actuels avec les cies qui se disent inclusives en offrant des tailles plus et des défis de s'habiller dans des tailles qu'on ne retrouve pas dans la majorité des magasins de vêtements. Quand on sait que plus de la moitié des québécois/québécoise ne correspond pas au fameux poids dit ''IMC santé'', on se doit de se poser la question: alors pourquoi est-ce que l'offre actuelle est aussi maigre pour les personnes qui s'habillent dans des tailles dites ''tailles plus''? Nadia nous partage ses expériences avec plusieurs compagnies, les problèmes les plus fréquents rencontrés avec les vêtements ''tailles plus'' et la réaction de cies lorsqu'elle leur mentionne ses commentaires constructifs sur l'offre. Et un petit rappel: Ce n'est pas à TOI à t'adapter à ton vêtement, c'est à ton vêtement à être adapté à ton corps ! Merci encore une fois Nadia pour ce magnifique échange, c'est toujours un réel plaisir :) ! Pour suivre Nadia sur les réseaux sociaux: https://www.instagram.com/latranchemontagne/ https://www.facebook.com/LaTranchemontagne/ https://www.tiktok.com/@latranchemontagne?lang=en Me suivre sur les réseaux sociaux:- https://www.facebook.com/SarahNormandinNutritionniste- https://www.instagram.com/sarah_normandin_nutritionniste/- https://www.tiktok.com/@sarahnormandinnutriPour en savoir plus sur mes services et la boutique en ligne (outils, T-shirt le maudit poids): - https://www.sarahnormandinnutritionniste.com/

Politiquement incorrect
3e lien : «Ils les avaient les maudites études!», dénonce Éric Duhaime

Politiquement incorrect

Play Episode Listen Later Apr 20, 2023 20:11


3e lien : que pense le chef du Parti conservateur? On revient sur la saga des drag-queens. Entrevue avec Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

#Ohayo!
REVIEW MANGA #14 | Partners 2.0, Saisons Maudites, Your Evil Past, Trillion Game, ...

#Ohayo!

Play Episode Listen Later Mar 22, 2023 25:43


Ohayo ! Les lectures de la semaine :

Politiquement incorrect
Hausse des loyers : «Y'a des maudites limites !», lance Martineau

Politiquement incorrect

Play Episode Listen Later Feb 23, 2023 8:35


Entrevue avec Vincent Michaux St-Louis, Vincent Michaux St-Louis cherche un appartement de type 4 ½ pour y vivre avec son jeune fils dans Hochelaga. Le loyer d'un appartement qu'il visitait a augmenté de 100$ pendant la visite étant donné la forte demande. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

SARCASM MAYBE 007
Tilapia aka Aya Robert clashe Les Maudites de Paris alias Love Gugu et FIONA sa femme ( couple LGBTQ 2 Lesbiennes Batardes) la Marmite des X

SARCASM MAYBE 007

Play Episode Listen Later Jun 10, 2022 17:13


Will God answer your prayer if you don't end with, "In Jesus' name, Amen?" Learn what praying in the name of Jesus really means. I taught this week on the call of Abraham and the development of God's missionary call through the nation of Israel as they were responsible to communicate the truth of God to the cultures around them. They were given that great commission. The great commission didn't start in Matthew 28. It started with Abraham in Genesis 12 —the first three verses there —Abraham, chosen by God to raise up a nation who would then be God's priests to the world so that they would be a blessing to all of the nations. They had a unique role in the great monotheistic religion. The Jews were supposed to reflect morality to the world. Israel was to witness to the name of God. When they talked about the name of God and witnessing to God's name, that does not mean that they were to let everybody know what they called God, "Yahweh." Their goal wasn't to cover the countryside with evangelists who just let everybody know what the right word for God was. It meant something different. ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆ ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆ https://linktr.ee/jacksonlibon -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- #realtalk #face #instagram #amour #take #couple #dance #dancers #vogue #voguedqnce #garden #tiktok #psychology #beyou #near #love #foryou #money #ForYouPizza #fyp #irobot #theend #pups #TikToker #couplegoals #famille #relation #doudou #youtube #twitter #tiktokers #love #reeĺs #shorts #instagood #follow #like #ouy #oyu #babyshark #lilnasx #girl #happybirthday #movie #nbayoungboy #deviance #autotrader #trading #khan #academy #carter #carguru #ancestry #accords #abc #news #bts #cbs #huru #bluebook #socialmedia #whatsapp #music #google #photography #memes #marketing #india #followforfollowback #likeforlikes #a #insta #fashion #k #trending #digitalmarketing #covid #o #snapchat #socialmediamarketing

Laboratoire d'écriture
Libérez votre créativité #006 _ Retrouver un sentiment d'abondance

Laboratoire d'écriture

Play Episode Listen Later May 4, 2022 27:13


Dans cet épisode, j'évoque la publication de ma nouvelle "les Maudites" dans la revue Kanyar, ainsi que la première rencontre auteurs organisée pour sa sortie ! Cette semaine, c'est aussi le retour du coaching vocal et je te propose à la fin d'écouter le travail de mémorisation et d'intention de lecture sur lequel je travaille. Dans le livre libérez votre créativité, cette semaine se porte sur le "money mindset", j'ai un peu de mal avec ça, mais il y a certains exercices intéressants. Bonne écoute. *** Mon site internet : https://elodielauret.com/ Tu as aimé cet épisode ? Tu peux soutenir mon art en faisant un don par ici : https://www.paypal.com/donate/?hosted_button_id=SWF2Z2TB75KSA et pour ne rater aucun contenu, n'hésite pas à t'abonner au podcast. Pour acheter la revue Kanyar, c'est par ici.

Paranormal - Histoires Vraies
Les sorcières maudites du Bollenberg

Paranormal - Histoires Vraies

Play Episode Listen Later Apr 16, 2022 8:13


C'est à la fin du seizième siècle que la folie des hommes et l'inquisition font des massacres en Alsace. L'histoire de ces exterminations se déroule sur la colline du Bollenberg, au départ appelé Belenus, Dieu gaulois de la santé et du soleil, située au sud de la ville de Rouffach, dans le Haut-Rhin."Paranormal - Histoires Vraies" un podcast Studio Minuit. Retrouvez nos autres productions :Crimes : Histoires vraiesEspions : Histoires vraies Morts Insolites : Histoires vraies Meurtres en France : Histoires vraiesSherlock Holmes - Les enquêtesArsène Lupin - Gentleman Cambrioleur Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

dieu alsace sorci meurtres haut rhin maudites belenus studio minuit rouffach morts insolites histoires
Plus on est de fous, plus on lit!
Des chartes malmenées, et la définition de « conservateur »

Plus on est de fous, plus on lit!

Play Episode Listen Later Feb 7, 2022 105:12


Le juriste Louis-Philippe Lampron parle de son essai Maudites chartes : 10 ans d'assauts contre la démocratie des droits et libertés; le professeur Frédéric Boily donne la définition du mot « conservateur » en parlant des origines de celui-ci; au club de lecture, il est question du roman « Connemara », de Nicolas Mathieu; l'actualité vue par les livres permet de mieux cerner le parcours du militant russe Alexeï Navalny; Isabelle Racicot et Keven Breton racontent ce qu'ils pensent de la série télé Lac noir; Marie Villeneuve parle des actualités qui touchent Vancouver et la région.

Comme des lapins - Les préliminaires
132- Guide de survie du trouble dysphorique prémenstruel (TDPM) avec Sarah Rodrigue

Comme des lapins - Les préliminaires

Play Episode Listen Later Nov 18, 2021 57:56


Dans cet épisode, j'échange avec Sarah Rodrigue sur son expérience avec le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM), les pistes de solution qu'elle propose et le choix qu'elle a fait qu'il l'a sauvé et sa vie maintenant en ménopause. Pour découvrir le travail de Sarah : https://sarahrodrigue.ca Son livre «Maudites hormones» : https://sarahrodrigue.ca/livre-maudites-hormones Télécharge ton kit de survie menstruel : http://commedeslapins.com/outilécosystème Pour me suivre sur Instagram : https://www.instagram.com/mariepierdeschenes_ Pour des conseils sur le cycle & le bien-être menstruel : https://mariepierdeschenes.com/blogue/

I SAID WHAT I SAID - WHY ARE YOU RUNNING
Maudites » d'Aya Robert pauvre petite fille riche L'adage le dit, « l'argent ne fait pas bonheur

I SAID WHAT I SAID - WHY ARE YOU RUNNING

Play Episode Listen Later Nov 10, 2021 1:00


L'amour est un mystère pour ceux qui le vivent, un mystère pour ceux qui le regardent. Nous constatons, mais nous ne comprenons pas. Pourquoi ? Parce que ce qui nous lie à l'autre est inexplicable. Aimer vraiment, c'est aller vers quelqu'un, non pas seulement pour son image (sa beauté, sa ressemblance avec tel ou tel), ni pour ce qu'il symbolise (un père, une mère, le pouvoir, l'argent), mais pour son secret. Ce secret que nous ne savons pas nommer, et qui va rencontrer le nôtre : un manque ressenti depuis l'enfance, une souffrance singulière, indéfinissable. « L'amour s'adresse à notre part d'inconnu, explique le psychanalyste Patrick Lambouley.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------#facebook #instagram #youtube #twitter #tiktok #love #instagood #follow #like #socialmedia #whatsapp #music #google #photography #memes #marketing #india #followforfollowback #likeforlikes #a #insta #fashion #k #trending #digitalmarketing #covid #o #snapchat #socialmediamarketing #bhfyp

I SAID WHAT I SAID - WHY ARE YOU RUNNING
Maudites hormones_ Sarra Messan raconte combat contre trouble dysphorique prémenstruel Aya Robert

I SAID WHAT I SAID - WHY ARE YOU RUNNING

Play Episode Listen Later Nov 8, 2021 1:00


Trouver l'autre mystérieuxL'amour est un mystère pour ceux qui le vivent, un mystère pour ceux qui le regardent. Nous constatons, mais nous ne comprenons pas. Pourquoi ? Parce que ce qui nous lie à l'autre est inexplicable. Aimer vraiment, c'est aller vers quelqu'un, non pas seulement pour son image (sa beauté, sa ressemblance avec tel ou tel), ni pour ce qu'il symbolise (un père, une mère, le pouvoir, l'argent), mais pour son secret. Ce secret que nous ne savons pas nommer, et qui va rencontrer le nôtre : un manque ressenti depuis l'enfance, une souffrance singulière, indéfinissable. « L'amour s'adresse à notre part d'inconnu, explique le psychanalyste Patrick Lambouley.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------#facebook #instagram #youtube #twitter #tiktok #love #instagood #follow #like #socialmedia #whatsapp #music #google #photography #memes #marketing #india #followforfollowback #likeforlikes #a #insta #fashion #k #trending #digitalmarketing #covid #o #snapchat #socialmediamarketing #bhfyp

Le pressing - Julien Pearce
L'actualité du jour : le défilé des momies maudites, des élections en extérieur et du chocolat vieux de 120 ans

Le pressing - Julien Pearce

Play Episode Listen Later Apr 5, 2021 6:30


Théo Maneval, Martin Lange et Ombline Roche vous proposent un tour de l'actualité du jour.

Nuit Blanche - RTS
NUIT BLANCHE S03 E07 Les poupées maudites

Nuit Blanche - RTS

Play Episode Listen Later Mar 28, 2021 110:19


Connaissez-vous la pédiophobie ? Il s’agit de la peur des poupées. Une peur qui va profondément s’amplifier lorsque vous aurez fait la connaissance d’Annabelle, Robert et Harold. Ces objets pour enfants, en apparence innocents, pourraient abriter des forces occultes avec lesquelles il ne faut pas jouer au risque de devenir, à votre tour, une simple marionnette entre les mains de puissances démoniaques.Au micro, Anne Flament et Mickaël Marquet. Réalisation, Valère Veya.

Politiquement incorrect
Gilles Proulx : « c'est scandaleux de voir qu'il y a encore de maudites vieilles barbes attardées au PQ. »

Politiquement incorrect

Play Episode Listen Later Dec 17, 2020 10:26


Le commentaire de Gilles Proulx, chroniqueur au Journal de Montréal et au Journal de Québec : la contradiction en termes de politique internationale est à l’enseigne du gouvernement Trudeau. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

EGT en Podcast
EGT en Podcast – S03 – EP07: SPÉCIAL HALLOWEEN > Les vidéos maudites…

EGT en Podcast

Play Episode Listen Later Oct 30, 2020 18:38


Notre Spécial Halloween de cette année se concentre sur le creepypasta des vidéos maudites. À ce qu’il paraît, certaines vidéos rendraient ceux et celles qui les regardent complètement fous… Un L’article EGT en Podcast – S03 – EP07: SPÉCIAL HALLOWEEN > Les vidéos maudites… est apparu en premier sur RadioH2O.

RadioH2O - Podcasts
EGT en Podcast – S03 – EP07: SPÉCIAL HALLOWEEN > Les vidéos maudites…

RadioH2O - Podcasts

Play Episode Listen Later Oct 30, 2020 18:38


Notre Spécial Halloween de cette année se concentre sur le creepypasta des vidéos maudites. À ce qu’il paraît, certaines vidéos rendraient ceux et celles qui les regardent complètement fous… Un L’article EGT en Podcast – S03 – EP07: SPÉCIAL HALLOWEEN > Les vidéos maudites… est apparu en premier sur RadioH2O.

Mille et une archives - RTS
L’affaire des vignes maudites - 02.09.2020

Mille et une archives - RTS

Play Episode Listen Later Sep 2, 2020 33:14


Dans la nuit du 1er au 2 juin 1961, deux hélicoptères mandatés par le gouvernement valaisan détruisent plus de 20 hectares de vignes au débroussaillant. Cet événement, baptisé « l’affaire des vignes maudites », a suscité un scandale et une indignation qui a perduré longtemps dans les mémoires des habitants de la région. Il faut dire qu’en Valais la vigne est dotée d’un caractère quasi sacré. Et près de 60 ans plus tard, il n’est pas certain que les plaies soient tout à fait refermées. Recherche et écriture : Aurélie Roulet Réalisation : Rodolphe Bauchau Narration : Sophie Richard, Simon Matthey-Doret Edition : Grégoire Molle Production : Aurélie Roulet Sources principales du récit : Pascal Thurre, Les vignes maudites, Sierre : Monographic, 2000 Grégoire Luisier, L'affaire des vignes maudites (1959-1962), dans Scandale et histoire / Malik Mazbouri, François Vallotton , Lausanne : Antipodes, 2016

Logos
LOGOS: Cinq Femmes Maudites 5 - Dalida

Logos

Play Episode Listen Later Jul 30, 2020 28:24


A cura di Jennifer Radulovic, regia di Vic White. Storie di femmes maudites per raccontare cinque donne affascinanti ed enigmatiche legate alla cultura francese e assurte al mito anche per lo spirito tormentato o fatti tragici. Dalida: segnata dalla scomparsa di Tenco e suicida nel 1987.

logos femmes storie cinq dalida tenco maudites vic white
Logos
LOGOS: Cinq Femmes Maudites 4 - Françoise Sagan

Logos

Play Episode Listen Later Jul 29, 2020 29:03


A cura di Jennifer Radulovic, regia di Vic White. Storie di femmes maudites per raccontare cinque donne affascinanti ed enigmatiche legate alla cultura francese e assurte al mito anche per lo spirito tormentato o fatti tragici. Françoise Sagan: autrice di Bonjour tristesse - divenuta morfinomane dopo un grave incidente automobilistico dovuto alla sua passione per le corse.

Logos
LOGOS: Cinq Femmes Maudites 3 - Romy Schneider

Logos

Play Episode Listen Later Jul 28, 2020 27:50


A cura di Jennifer Radulovic, regia di Vic White. Storie di femmes maudites per raccontare cinque donne affascinanti ed enigmatiche legate alla cultura francese e assurte al mito anche per lo spirito tormentato o fatti tragici. Romy Schneider: la diva triste percorsa da un'inestinguibile Sehnsucht.

Logos
LOGOS: Cinq Femmes Maudites 2 - Françoise Dorleac

Logos

Play Episode Listen Later Jul 27, 2020 27:53


A cura di Jennifer Radulovic, regia di Vic White. Storie di femmes maudites per raccontare cinque donne affascinanti ed enigmatiche legate alla cultura francese e assurte al mito anche per lo spirito tormentato o fatti tragici. Françoise Dorléac, splendida e talentuosa sorella di Catherine Deneuve, scomparsa appena 25enne dopo aver lavorato con Truffaut, Polanski e Vadim.

Logos
LOGOS: Cinq Femmes Maudites 1 - Jean Seberg

Logos

Play Episode Listen Later Jul 26, 2020 26:46


A cura di Jennifer Radulovic, regia di Vic White. Storie di femmes maudites per raccontare cinque donne affascinanti ed enigmatiche legate alla cultura francese e assurte al mito anche per lo spirito tormentato o fatti tragici. Jean Seberg: attrice bella e dannata che si è tolta la vita a 40 anni

Cultures monde
Amérique du Sud : sous-continent sous tension (4/4) : Or, pétrole : des ressources maudites

Cultures monde

Play Episode Listen Later Nov 7, 2019 57:20


durée : 00:57:20 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Le Venezuela est depuis plusieurs mois au bord du chaos, entre crise politique et effondrement économique. Une situation que la rente pétrolière du pays n’a pas permis d'empêcher. Comment expliquer que la richesse des sous-sols du Venezuela ne lui ait pas permis de développer une économie viable ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Paula Vásquez Lezama Sociologue et anthropologue, chercheuse au CNRS, spécialiste du Venezuela; Linda Boukhris docteure en Géographie, enseignant-chercheur à l'Université Paris I

Botrax, the everything.
BotCast #62 – Quitter la Californie

Botrax, the everything.

Play Episode Listen Later Jun 9, 2018 141:18


Les maudites armes à feu, un peu de Suède, et la Californie est rendu un trou de marde. (2h21m) 7 juin 2018 COMMENTER sur FaceBook: https://www.facebook.com/63261054790/posts/10156523188679791 COMMENTER sur Twitter: https://twitter.com/LeBotCast/status/1005510137531027459 https://botcast.net/ https://www.facebook.com/BotCast https://twitter.com/LeBotCast 0:00:00 INTRO BotCast #62 – Maudites armes à feu, la Suède, et Quitter la Californie 0:00:16 INTRO …

Le BotCast with cheese
BotCast #62 - Quitter la Californie

Le BotCast with cheese

Play Episode Listen Later Jun 9, 2018 141:18


Les maudites armes à feu, un peu de Suède, et la Californie est rendu un trou de marde. (2h21m) 7 juin 2018 COMMENTER sur FaceBook: https://www.facebook.com/63261054790/posts/10156523188679791COMMENTER sur Twitter: https://twitter.com/LeBotCast/status/1005510137531027459 https://botcast.net/https://www.facebook.com/BotCasthttps://twitter.com/LeBotCast 0:00:00 INTRO BotCast #62 - Maudites armes à feu, la Suède, et Quitter la Californie0:00:16 INTRO Musicale0:01:37 Bienvenue au BotCast with Cheese #620:04:32 Gauche vs Libéralisme0:07:55 Question sur l'origine de son nom: un candidat sera indemnisé0:17:28 U.K grocery store selling touch-free chicken for snowflake millennials scared of touching raw meat0:22:24 Prison pour Propriétaires de chiens néfastes et parents criminelement négligeants0:29:22 Attaque terroriste à Toronton c'est juste un "auto-pedestrian collision"0:33:36 Avec les mêmes moyens, les CHSLD privés font beaucoup mieux que les publics, note l'IEDM0:36:24 Revenu Canada, les pires exmployés du gouvernement0:41:44 Il change de sexe pour partir cinq ans plus tôt à la retraite0:44:10 University of Texas to Treat Masculinity as a 'Mental Health' Issue0:45:39 Destruction de l'identité et de la famille0:47:49 Marrier L'État providence0:55:27 Supreme Court Sides with Masterpiece Cakeshop in Same-Sex Wedding Ruling1:02:16 CLIP - Millenial Job Interview1:04:60 PROMO - Émission Feu de l'Esprit1:06:29 PROMO - Émission En Direct de Nulle Part (EDDNP)1:07:32 PROMO - Émission Le Super Matozoïde1:08:16 Unpublished CDC Study Supports Claim Of Over 2 Million Yearly Defensive Gun Uses1:14:06 Commentaire sur l'ordre aux polices de Parkland de ne pas intervenir1:16:49 Parkland school resource officer decried as coward gets princely pension of $8,702 a month1:17:58 Témoins de tueries avec les mains dans les airs1:20:02 Initiative pour armer les professeurs volontaires1:24:44 EXCLUSIVE: Vegas Shooter’s Bank Account Had Been Seized for Terror-Financing, New Docs Reveal1:29:30 74-Year-Old Swedish Woman Prosecuted For Criticizing Mass Immigration1:33:31 La Norvège veut envoyer ses prisonniers… en Suède1:37:11 78 Per Cent of 9,000 Afghan ‘Children’ Allowed To Remain in Sweden Are Really Adults1:39:30 Nouveau gouvernement Italien coupe les immigrants1:40:56 Californie limite l'utilisation d'eau1:44:18 San Fancisco coûte trop cher et est insalubre1:46:06 Californie état sanctuaire1:47:11 What’s That Smell? San Francisco Has a Serious Problem With People Pooping in Public1:48:21 Behold the San Francisco `Poop Map`1:50:28 Almost Half of San Francisco Bay Area Residents Want to Leave1:55:12 Démocratie Directe1:58:46 Retour de balancier contre la Gauche2:00:02 La Gauche défaite aux élections Ontariennes2:08:12 BilderBergs 20182:08:55 New poll: Strong majority across Europe believe integration of migrants has failed. 73% in Sweden say it has gone badly.2:15:59 CONTACT - Comment contacter Le BotCast with Cheese2:16:46 PROMO - Service internet Le BotCast with Cheese2:17:28 CLIP - How do you write women so well?2:17:39 PROMO - Émission La Coche ReseauAntiSpin.com2:18:52 PROMO - Émission Le Franky Show2:19:11 PROMO - Émission L'Authentique2:19:35 PROMO - Émission Le Tout-Ti Podcast2:20:08 PROMO - Émission RadioBlog2:20:41 OUTTRO - BotCast.net   Question sur l'origine de son nom: un candidat sera indemniséhttp://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/actualites-judiciaires/201804/06/01-5160083-question-sur-lorigine-de-son-nom-un-candidat-sera-indemnise.php U.K grocery store selling touch-free chicken for snowflake millennials scared of touching raw meathttp://ottawasun.com/life/food/u-k-grocery-store-selling-touch-free-chicken-for-snowflake-millennials-scared-of-touching-raw-meat/wcm/76a12cfe-0a33-4beb-a195-786b463c9e20 Avec les mêmes moyens, les CHSLD privés font beaucoup mieux que les publics, note l'IEDMhttps://quebec.huffingtonpost.ca/2018/04/25/chsld-prives-conventionnes-performance-iedm_a_23420142/ Il change de sexe pour partir cinq ans plus tôt à la retraitehttp://www.lapresse.ca/actualites/insolite/201803/22/01-5158272-il-change-de-sexe-pour-partir-cinq-ans-plus-tot-a-la-retraite.php University of Texas to Treat Masculinity as a 'Mental Health' Issuehttps://pjmedia.com/trending/university-of-texas-to-treat-masculinity-as-a-mental-health-issue/ Supreme Court Sides with Masterpiece Cakeshop in Same-Sex Wedding Rulinghttp://www.breitbart.com/big-government/2018/06/04/supreme-court-sides-with-masterpiece-cakeshop-in-same-sex-wedding-ruling/ Unpublished CDC Study Supports Claim Of Over 2 Million Yearly Defensive Gun Useshttp://truthinmedia.com/unpublished-cdc-study-2-million-yearly-defensive-gun-uses/ Parkland school resource officer decried as coward gets princely pension of $8,702 a monthhttps://www.cnn.com/2018/05/16/us/parkland-resource-officer-parkland-shooting-pension-scot-peterson/index.html EXCLUSIVE: Vegas Shooter’s Bank Account Had Been Seized for Terror-Financing, New Docs Revealhttps://www.dangerous.com/44466/exclusive-vegas-shooters-bank-account-had-been-seized-for-terror-financing-new-police-docs-reveal/ 74-Year-Old Swedish Woman Prosecuted For Criticizing Mass Immigrationhttps://www.infowars.com/74-year-old-swedish-woman-prosecuted-for-criticizing-mass-immigration/ La Norvège veut envoyer ses prisonniers… en Suèdehttp://fr.myeurop.info/2013/11/12/la-su-de-ferme-ses-prisons-faute-de-d-tenus-12545 78 Per Cent of 9,000 Afghan ‘Children’ Allowed To Remain in Sweden Are Really Adultshttp://www.breitbart.com/london/2018/05/20/78-per-cent-of-9000-afghan-migrants-allowed-to-remain-in-sweden-adults/ Almost Half of San Francisco Bay Area Residents Want to Leavehttp://www.breitbart.com/california/2018/06/04/almost-half-of-san-francisco-bay-area-residents-want-to-leave/ What’s That Smell? San Francisco Has a Serious Problem With People Pooping in Publichttps://hornet.com/stories/san-francisco-poop-map-ew/ Behold the San Francisco ‘Poop Map’https://www.californiacitynews.org/2018/01/behold-san-francisco-%E2%80%98poop-map%E2%80%99.html New poll: Strong majority across Europe believe integration of migrants has failed. 73% in Sweden say it has gone badly.http://www.breitbart.com/london/2018/04/30/eu-poll-majority-integration-unsuccessful-73-per-cent-sweden/      

BéaCast
Les maudites blogueuses mode – Gabrielle Lacasse

BéaCast

Play Episode Listen Later May 19, 2017 52:27


Une entrevue avec Gabrielle Lacasse, blogueuse mode @ Dentelle&Fleurs.

fleurs maudites
GlitterShip
Episode 23: "Je me souviens" by Su J. Sokol

GlitterShip

Play Episode Listen Later Feb 29, 2016 45:37


Je me souviens by Su J. Sokol There are nine police cars. I count them again just to be sure and because counting usually calms me. Arielle watches to see if I’m freaking out, asks if I want to leave. I tell her I’m OK but she's not reassured so I give her a sexy smile. If she would kiss me now, I’d have somewhere pleasant to channel my beating heart. She leans towards me and I see that she’s used her superpowers to read my mind again, but then another police car arrives, drawing her attention away. Now ten police cars face two hundred and thirty-six demonstrators. We are peaceful, banging pots and chanting slogans. Our numbers include children, old people, commuters on bikes, dogs wearing red bandanas. A cop is speaking through a bullhorn but no one can hear him because of the clanging and chanting. Will they arrest us now? My heart beats like the wings of a falcon, trying to escape the prison of my chest. Full transcript after the cut. Hello! Welcome to GlitterShip episode 23 for March 1, 2016. I'm your host, Keffy, and I'm super excited to be sharing this story with you. I'm extending the period for responses to the GlitterShip listener favorites poll until March 5th. You can find a link in the transcript for this episode at GlitterShip.com GlitterShip Poll Our story today is "Je me souviens" by Su J. Sokol. Su is an activist, a cyclist, and a writer of interstitial fiction. A former legal services lawyer from New York City, Sokol immigrated to Montréal in 2004 where she works as a social rights advocate. Her short stories have been published in The Future Fire and Spark: A Creative Anthology. Her debut novel, Cycling to Asylum, was long-listed for the 2015 Sunburst Award for Excellence in Canadian Literature of the Fantastic. "Je me souviens" was first published in 2012 by the Future Fire and was recently republished in TFFX, the The Future Fire's tenth anniversary anthology. Our guest reader today is Leigh Wallace. Leigh is a Canadian writer, artist and public servant. You can find her latest story in Tesseracts 19: Superhero Universe and her art at leighfive.deviantart.com I've also been asked for trigger warnings in the past. This story does contain references to police violence and anti-gay torture. Je me souviens by Su J. Sokol There are nine police cars. I count them again just to be sure and because counting usually calms me. Arielle watches to see if I’m freaking out, asks if I want to leave. I tell her I’m OK but she's not reassured so I give her a sexy smile. If she would kiss me now, I’d have somewhere pleasant to channel my beating heart. She leans towards me and I see that she’s used her superpowers to read my mind again, but then another police car arrives, drawing her attention away. Now ten police cars face two hundred and thirty-six demonstrators. We are peaceful, banging pots and chanting slogans. Our numbers include children, old people, commuters on bikes, dogs wearing red bandanas. A cop is speaking through a bullhorn but no one can hear him because of the clanging and chanting. Will they arrest us now? My heart beats like the wings of a falcon, trying to escape the prison of my chest. I tell myself that this is Québec. They will not put a black bag over my head. They will not throw me in the trunk of one of their cars. They will not burn me with cigarettes after beating me. No, this doesn’t happen here ... I am pretty sure. They have granted me permanent residence and have even hired me to teach their children math. So I will stay here and demonstrate for my students. The police open the trunks of their vans. I’m concentrating on my breathing, on not blanking out, when a little ball of energy in a red cape flies into my legs. “La policía, they are here to catch the bad guys, Papa?” he asks me, his speech the usual jumble of French, Spanish and English. Before I can speak, Arielle answers. “No, mon petit chéri, this is not why they’re here today.” Her face is an eloquent mix of amusement and sadness. “I will catch them, then! But first Papa must fly me home so I can eat my supper.” “C’est correct? Can we go home now?” Arielle asks me. I shrug, hiding my relief, and lift Raphaël high over my head. I run full out towards our home, fast enough so that his cape flies out behind him and fast enough that my own need to run is satisfied. Our four-year-old superhero has come to the rescue. The next morning, despite a sleep fragmented by nightmares, I’m energized, thinking about being a part of something important again. This was not my first demonstration in my new home, but the first of this kind—spontaneous, focused, a little confrontational. And joyous. Even more so than the mass manifestation when our numbers first surpassed 250,000. That day, I stood at the overpass by rue Berri, Raphaël on my shoulders, watching the street below swell with a current of demonstrators wide as the Rio Grande. I’m good at counting, my eyes instinctively grouping people into hundreds, thousands, tens and hundreds of thousands. Surely they must listen now, I thought. Surely they will see the beauty, the rightness of our cause! Our euphoria was short-lived as we watched the news and listened to the lies about our goals, our numbers. Last night, with our pots, with our “casseroles”, we banged out our anger and turned it into music. I am proud, too, that les casseroles, “los caserolazos”, are borrowed from the political traditions of my own people. Now, standing at the front of my high school math class, I feel strong, in control. Numbers—they do not lie to you; they do not let you down. I explain the first problem, my eyes scanning the classroom, counting students. Someone is missing. When I’m presenting the second problem, Xavier stumbles in, limping slightly and with his left eye blackened. I don’t ask him for his late pass nor for his homework. I even let him read whatever it is he’s awkwardly hidden behind his math textbook. A large oval bruise on his upper arm is already aging, turning from black to green. As I answer a student’s question, my mind goes through a familiar set of choices:  the police, youth protection, the directrice of the school ... When the authorities were called in last time, it did not end well: denials and threats of legal action by his politically connected family, followed by unexplained absences. I ask Xavier to remain after class is over. He approaches my desk, giving me a sullen look from under his long hair. There seems little point in asking him what happened, so instead, I ask him what he’s reading. He hesitates, then shrugs and places it in my hand. “C’est une bande-dessinée. A ‘Comic book’ in English.” “I am not anglophone,” I say. “Yeah, but you’re not from here, are you?” He says this like I might be from Mars or some other planet. “Why do the people in the bande-dessinée have the heads of animals?” I ask. “Are they superheroes, these animal-headed people?” “I’m not ten years old. I don’t believe in superheroes.” “I would like to help you, Xavi.” “I don’t need anyone’s help. And I can’t stay. There’s a student union meeting. To vote on the strike.” Enthusiasm has replaced his precocious cynicism. But then I watch him limp away, a sense of helplessness making my own limbs feel heavy. The end of the day finds me in the teachers’ lounge. Luc joins me, compositions from his students clutched in his big hands. I gaze up at my best friend and he quickly drops down beside me. “Qu’est-ce que tu as?” he asks, reading me as always. “Xavier came into class today all beaten up. I don’t know what I should do.” “If you suspect something ...” “It is beyond suspecting. I know what’s happening and it’s not just beatings.” “Are you sure of this?” he asks. I simply look at him. He knows about my past. Not just the torture but the rapes as well. Luc was able to get this information out of me even when the tribunal could not. “Don’t worry, Gabriel, I have friends at youth protection. We’ll find a way to help him.” I feel a little reassured. I move closer, so that I can lean against him. He lets me, even puts his arm around my shoulder. Some of the darkness leaks out of me. If Arielle were here, she would be happy, seeing how I can still take comfort from other men. She was my lawyer at the refugee hearing and accepts me as I am. She tried to prepare me for their questions, but I failed her. On such and such a date, they asked me, had I been tortured for my political crimes or for the crime of being queer? It seemed important to be precise about this, but I was confused. Maybe I was tortured for the former and raped for the latter. The fear of disappointing the officials, of making them angry, made my words flee. Perhaps that’s why, in the middle of the hearing, I blanked out. “I should go home,” I say to Luc. “To cook supper. Arielle is counting on me.” “How is Arielle?” “She is good. We had very hot sex last night. Do you want to hear about it?” I feel happy thinking about this while leaning against Luc’s shoulder. It was when Arielle and I made love for the first time, on the floor of her office, that I realized she had superpowers. I hadn’t been sure before, even though she’d rescued me from the hearing. Arielle might even have won my case, but instead, she found a way to spare me the pain of testifying. She offered to marry me, explaining it in logical, lawyerly terms. She’d just gone through another in a series of unreliable roommates and untrustworthy boyfriends. She wanted someone who shared her political values to also share, on a longterm basis, the household expenses and cooking. And one other thing. She wanted a child. Luc tells me maybe another time, after a few beers. “Will we go somewhere that has ‘Maudite’ beer?” I ask him. “I like the picture on the label, of the flying canoe, la chasse galerie.” “Speaking of which, I have that book for Raphaël. Of old Québecois tales, including a few chasse galerie stories.” He hands me a large volume, the edges soft with use. “It’s beautiful,” I say, running my fingers along the expensive binding. “My parents gave me this collection. Keep it as long as you need it.” “Merci beaucoup mon cher ami,” I say, kissing him on both cheeks and then once on the lips for good measure. He accepts my shows of affection with his usual aplomb. That night, I tell Raphaël my own version of a chasse galerie story. “Once upon a time, men were chopping down trees deep in the winter forest. They were sad because they missed their children and partners.” “Where were they, Papa?” “In another forest ... planting trees to replace those that had been cut down. So one day, the men boarded a magic canoe to visit their loved ones.” “Were they superheroes?” “Claro que si. They could mix their powers together into one big superpower. That’s how they made the canoe fly. But there was a super villain too, and he ... he sprinkled forgetting dust into their eyes so that they could not remember who they were, and their canoe started falling down to the earth.” “Oh no! What happened?” “Flying Boy came to the rescue. He brought the boat down safely and used a magical washcloth to wipe the forgetting dust out of the men’s eyes.” “Was Flying Boy wearing his red cape?” “Yes. And now it’s time for superheroes to go to sleep.” “Papa? Why did the super villain make the men forget things? Why is he bad?” “I don’t know. Maybe a bad thing happened to him, something he needed to forget. Good night Flying Boy.” “Good night, Papa.” I tuck him into bed, trying to ignore a growing darkness. I make myself think of the night Rapha was born. The moment I held him, I knew he’d been gifted with strong powers and that it was my job to protect him until he was old enough to use them safely. This responsibility is what has kept me from ending my own worthless life. Arielle is watching the nightly update about the strike. There’s a late-breaking development about a student who’s in critical condition after a cop's plastic bullet struck her in the eye. I pull Arielle onto my lap and hide my face in her curls while counting to myself. Maybe Arielle will use her powers tonight to make me forget things that strike and burn and tear into tender flesh. On Facebook, I learn that this week has been declared “une semaine de résistance” for secondary school students. Our school votes to go on strike, but staff must report to work as usual. I stay in the teachers’ lounge, not wanting to be alone, but I’m restless, so I go down the hall and stand at the entrance. At nine o’clock, the police arrive in full riot gear and declare the students’ picket illegal. They open their trunks and pull out shiny yellow vests and canisters of malevolent substances. I walk back into the teachers’ lounge.  “We should be out there,” I say to the others. A debate ensues but many teachers are missing, still in their classrooms. “I’ll get them,” Luc volunteers. He turns to me. “Stay here until I get back.” I wait for a while, then go to the front entrance again and see the beginnings of trouble between a group of students and the riot cops. Just then, Luc appears. “Venez dehors! Nos étudiants se font embêter!” he shouts to the others. I run outside and Luc catches up to me, his hand closing around my upper arm. I pull him with me as I throw myself between the students and the riot police. We’re shoved but keep to our feet and Luc is saying “Calmez-vous, calmez-vous,” making eye contact with each of the cops in front of us, patiently explaining that we are teachers, a French teacher and a Mathematics teacher, and that we must all remain calm to set a good example. After a few tense moments, more teachers come outside. We join hands, forming a barrier between the students and the police. The students chant slogans like “Education is a right” and “À qui nos écoles? À nous nos écoles”. Luc pulls L’Étranger from his back pocket and begins reciting from it. I spot Xavier, a courageous smile on his face. By the end of the morning, almost all of my colleagues have joined us and the police have retreated to their cars. I grip Luc’s hand tighter and think about kissing every single teacher standing with us. With these heroes beside me, I feel invincible. The next night I have a beer with Luc at a café on rue St. Denis. I finish five ‘Maudites’ and am feeling a nice buzz from that. I told Arielle I’d eat something with Luc. I can’t lie to her so I steal a handful of his fries. He offers me his burger but I shake my head, too keyed up to eat much. “Shouldn’t we be going?” I ask. “The manif is scheduled to begin at 21 hours.” “It’s not like the theatre, my friend. We don’t have to be there when the curtain rises. You sure this is alright with Arielle? There’s more risk being arrested at night.” “I have promised to be careful.” At Parc Émilie-Gamelin, I’m in my element. It’s hot for late September. A thick darkness envelops me. There’s an aura of unpredictability that I appreciate because deep down, I’m an optimist who believes that whatever happens next has got to be better than what we already have. My lips move to the chants. An anarchist marching band playing circus music draws me in deeper, to where the park is filled with magic. Luc introduces me to people he knows. After a while, I wander off as he gets into conversation with one of his ex-girlfriends. There’s a group of men wearing dark clothing on the fringes of the manif. They’re rowdy and loud and exude a dangerous energy. I’m drawn to them. I also want to run from them. I find myself a couple of metres closer to the group, though I don’t remember deciding to approach them. In fact, I remember deciding the opposite. My feet are taking more steps in their direction and I can’t make myself stop. The men are carrying something in their hands. Their eyes flash yellow in the darkness. I’m terrified and mesmerized as I come closer still. One raises his arm with a look of gleeful malice. Someone grabs my shirt from behind. “Câlisse de tabarnak,” Luc shouts. “Can’t I turn my back on you for a minute?” My collar is bunched up in his fist as he guides me, not gently, out of the park. “Who are those guys?” I ask. “They looked like skinheads with hair.” “Agents provocateurs or just assholes. What difference does it make? You know to stay away from them.” “They have evil powers. I couldn’t pull away.” “You’ve had too many beers. It’s time to go home.” I leave with him, but I know I’ll be back. I’ve found another activity where it feels right that I’m still alive. I count through the list in my head: Taking care of Raphaël, teaching my students, making love, going to manifs. I’ll just have to be careful to avoid the super villains. If our collective actions succeed, it may even give me back some of the life force stolen from me when I was a teenager. Arielle and I are watching the news. She’s become a news junkie in the same way that I’ve become a junkie for demonstrations. “Our government makes me ashamed to be Québécoise,” Arielle says. “The real Québec is in the streets, marching and chanting and demonstrating. Come out with me more. You would feel better,” I tell her. She touches my cheek. “You reassuring me. It should be the other way around.” Of course the police violence and new repressive laws frighten me. But conditions in Québec, politically and socially, are still better than in the country where I was born. It’s for this very reason that whenever things become worse here, I feel nauseous, like the world is spinning in the wrong direction. “Let’s go together to the nude manif tomorrow. It will be fun. I can put fleur-de-lys pasties on your nipples.” She smiles and I know I’ve convinced her. The next day, Arielle calls me at school to say that they’re concerned about Raphaël at the garderie. He’s telling everyone that he’s a superhero and trying to fly off tables and playground equipment. They’ve asked for a meeting. “I can go, Arielle.” “They’ve asked that I come, specifically.” “That is sexism.” “No, it’s more that...” “What?” “It’s because of what you told Raphaël, last time this happened. That he needed to wait until he was older to use his superpowers. And to only use them when they’re needed.” “Are you angry with me?” “No, not angry but ... We’ll talk more later. Are you still going to the manif?” “Yes.” “There’s usually less police violence at the nude ones. You’ll be careful?” “Of course. I love you.” Without Arielle and Raphaël, the apartment feels a little sinister. It’s better in Raphaël ’s room where I can sense him in his toys and artwork. I hold on to one of his superhero figures and draw strength from that. Next, I enter our bedroom. I wrap my arms around Arielle’s pillow and breathe in her familiar odour. Feeling stronger, I go to the shelf in the back of my closet and find the box that I haven’t opened since my uncle smuggled me out of my country. I take out the red cape, red feathered mask and calf-high red boots. The cape against my nose, I smell the streets of my childhood and adolescence. My mother sewed this costume, but she did not bring me up to believe in superheroes. My parents were university professors. Both were politically active, proud of my work for the student newspaper and tolerant of my sexuality. Their openness and support encouraged me to finally tell what my uncle did to me. No, my parents did not believe in superheroes. Nor did they believe in super villains. Just because you don’t believe in something doesn’t mean it can’t kill you. They never should have gone to the police. My uncle was too powerful. Their so-called car accident left me without protection, with thoughts of vengeance like cold ashes in my mouth. I hold the costume in my hands, remembering when I wore it so proudly. It was after “los casserolazos”, after the occupation, and after the kiss-in, but the taste of my classmates’ lips was still fresh in my memory. The superhero demonstration was the last one before I was taken. Like me, only parts of the costume survived, but maybe some traces of the powers that were stolen from me remain in the material. I shove it into a bag and head for my bike.           I’m marching down rue Ste-Catherine wearing my cape, my boots, my mask and nothing else. The breeze feels good on my bare skin. My boots protect my feet and my mask protects my identity. It’s almost like having the power of invisibility. Everyone is friendly, many people talk to me. Some take my picture. I know I’m good looking but I take no pride in this. I did nothing to earn my looks, yet, it’s something I’ve had to pay for, repeatedly. “Excuse me,” I say to the person who’s chatting with me.“I have to stop here.” On the side street under a circus canopy stands a man wearing a red kerchief who has the dark eyes and quirked smile of my country of birth. He’s holding a six-inch tall toy polar bear banging a miniature pot with a tiny, perfectly formed wooden spoon. The bear is wearing the flag of Québec as a cape. “How much, monsieur?” I ask. “Just take it, hermano.” “I couldn’t.” “Yes. It is for your child. Take it.” I hold the bear, sensing in its erect posture and soft gaze a power to protect. I look up to thank the man, wondering how he knows about Rapha, but he’s gone. At home, I give Rapha his gift. I let him turn it on so that he can hear the pot banging, a sweet, high pitched clang clang ... clangclangclang. I tell him to keep it safe because of its magic, then kiss him goodnight. That evening, on Facebook, I see the first photo of myself at the nude manif. In the next couple of days, more photos follow, including one where my back is to the camera as I look over my shoulder. I’m holding up the toy polar bear with its flag-of-Québec cape. My other fist is raised as well. This is the photo that goes viral. Wednesday, I arrive at school early and, uncharacteristically, so does Luc. He comes into my classroom with a copy of a popular glossy magazine in his hand. He slaps it onto my desk. “Please tell me this isn’t you.” I look at the cover photo—a close-up shot of me at the manif, fist in air, my more private parts artfully photo-shopped. It’s difficult to answer him, the power of his verbal request at odds with the truth. “He’s wearing a mask,” I finally answer. “You can’t tell, for sure, who he is.” “Je n'en reviens pas. You can’t be that stupid.” I hang my head thinking, ‘Yes I can.’ He hears my thoughts. “Écoute, you’re going to be called into the directrice’s office this afternoon. Don’t say anything. Let me handle it. D’accord?” At the meeting, Arielle is there too. They sit on either side of me, protecting me as they answer concerns about propriety, judgment, reputation, regulations. My head is pounding from the force of the words in the room. I try to count how many hours of sleep I’ve had this week. If I strung those hours together, would it be equivalent to one full night’s rest?  In the end, I’m told that I’ve gotten off lightly. I get to keep my job, without even a warning in my record. But I cannot come to work for ten days. The first day is without pay and those following are sick days for me to rest and “find my equilibrium”. I am not to give interviews. Still, the news is full of information about me—that I am a teacher with a four-year-old son, that I am a refugee which, strictly speaking, is not even true. But this is the excuse used for why my school is not identified, nor my name used. The real reason is that Arielle and Luc have created a shield of partial invisibility. Nevertheless, there are photos of me—far away, obscured, fully clothed. And quotes in support of the movement and against police violence, not attributed directly to me but said to be “summaries of my position” as communicated to “friends”. I learn that the fact that this message comes from a teacher who is also a political refugee and father has earned me, and the movement, “a great deal of new popular support.” Arielle tells me that this has earned me a lot of enemies too—principally, the government and the police—and insists that I lay low for a while. I try to do as Arielle says. For the first forty-eight hours, I actually do not leave my bed. Arielle suggests I start seeing my therapist more frequently. Luc comes by with offers of bike rides, soccer games, a film. The problem is that I am not teaching, not with my students. When Raphaël is at the garderie, I feel useless. Finally, I tell Arielle that I must go out. The next day, I participate in three separate demonstrations and a teach-in. Afterwards, I go to a public assemblée générale. The meeting is held in Parc Lafontaine where, just metres from us, a woman in black fishnet tights and stilettos is being taught to wield a whip by a huge bald man in leather. Every few minutes, I’m distracted by the sound of the whip cracking accompanied by a sharp burning pain on my back, but when I look around the assembly, no one else seems bothered. It occurs to me that I may be the only one who can perceive these two super villains. I leave and, biking very fast, attend four different “casserolazos” before heading to the night manif. When I return home, Arielle asks me what I’ve been up to. I tell her everything, which of course I must do. She insists that we both stay home the next day. It’s a good day. We make love, nap, drink red wine. I feed a little off her life force—I cannot help myself—but I don’t think it hurts her because she’s so strong. In the evening, I put Raphaël to bed while she listens to the news. She’s turned the volume low but I can tell there’s been a report of some super villainy. I know this by the staccato rhythm of the words, the erratic, fractured images. As I enter the living room, Arielle turns off the television. I walk towards it as though to a cooling corpse. “What happened?” She hesitates. “Some arrests, police violence. There were ... injuries.” I know that I’m to blame. I either caused it or ... or maybe if I had been there, I could have lured the evil towards me. “I’m going to the demonstration tomorrow,” I tell Arielle. “Gabriel—” I cut her off, steel myself against her power. “Please,” I say, putting my fingers on her lips. “Please,” I whisper again. She sighs. “Then I’m going too.” On the way to the demonstration the next morning, we drop Rapha off at his friend’s on avenue Mont Royal. He’s disappointed that he can’t come, but we tell him to watch for us, that the march will pass right by this street. After last night’s events, the mood at the manif is somber. The numbers of police and the way they are armed seem more a provocation than a way of keeping the peace. Nevertheless, the demonstrators remain positive. I march between Arielle and Luc in a bubble of safety. Something in the mood still doesn’t feel right, though. I’m glad that Rapha is safe at his friend’s home. It’s after crossing St. Laurent that I realize that super villains are threatening the demonstration. I can see them, just off to my right, but whenever I turn my head, they’re gone. Arielle asks me what’s wrong, so I mention my nervousness for the students. Luc thinks I mean our students and says that Xavier and other kids from our school might be marching with the youth contingent behind us. He offers to try to find them for me. Now there is only Arielle beside me. This is the moment when I must leave. I kiss her hard on the lips and make a run for it. I find them easily, instinctively, the evil calling out to me. I can taste the violence in the air as it draws me closer. Suddenly, I see Xavier and my panic mounts. Everything happens at once. An arm is raised. People are running. A canister bursts in the air. Riot police appear from nowhere, weapons already in hand. Arielle calls me from a distance, Luc’s head and shoulders appear above the crowd. The mass of humanity is rumbling and reforming. Xavier’s eyes meet my own. “Run!” I yell to him and his friends, and they do. The next instant, the first matraque cuts across my hip, taking my legs out from under me. My head hits the pavement. Everything goes dark. I remember. We were all standing under the night sky, a mass of students dancing in our superhero costumes. The evening was hot and full of motion, my arms tight around the shoulders of my two best friends. We sang and danced while we waited for the government to finally see that we were their children and that the things we fought for were good and right. I was almost too happy, too excited. Almost, I was a little bored. My two friends agreed to leave with me and we found our way to my old home. Someone had placed a new lock on the door I used to enter. I was seeking my parents’ ghosts, hoping they were watching over us, yet I did not heed this obvious warning from the dead. I smashed the window, my parents’ murder a shard in my heart. We were inside, kissing. I went from one set of lips to the other, my hand under the girl’s superhero skirt, the other rubbing the boy through his superhero tights. It was all very innocent—cuddles and caresses, seeking warmth in the ruins of my childhood home. I thought about returning to the demonstration, guilty about convincing my friends to follow me to this dark and sad place. This was the power I had—to make people love me, to make them see my love for them, to make them follow me, heedlessly. And still, It might have been alright, if I hadn’t taken off my costume. My eyes snap open. The cop’s face is snarling above me. “It’s you, the magazine star. Let them take your picture now,” he says, punctuating his words with a blow across the chest. I taste blood in the back of my throat. They arrived with their guns, pulling me from my friends. The beating began at once, the force of the blows seeming to flow from an exterior power. I fought back at first, scanning the street outside for help. When my uncle stepped forward from the darkness with a look of anticipation about to be satisfied, I stopped fighting. “Run!” I yelled to my friends. And they did. I don’t want to fight back this time. But my body doesn’t listen. It’s trying to stand. The next blow takes me and I’m down again, the pain exploding behind my eyes. I look up, hoping they’ll finish me off quickly. It’s then that I see Rapha leaning over his friend’s balcony, the little bear clanging away in alarm, my son’s mouth a big “O”. Pain. The stench of death and decay. In the prison, my only comfort was that my friends were not also taken. I balanced this against my agony. Snatches of sleep are brief, dreams of warm lips and smooth limbs. I began to imagine that I could see my friends flying over the prison in their costumes, planning to save me. I waited for rescue as minutes/hours/days became lifetimes endured. My uncle always came after the pain, speaking to me of loyalty to government and family and God, his hands on my body, gentle as a poisonous eel. I could no longer hear my own cries, could no longer fight. They’d stolen my life force and I was fading. I finally realized that my friends’ superhero powers must have been stolen as well. That this is why they never came for me. Raphaël has climbed over the balcony railing. With horror, I realize that he’s seen me. I sense Arielle’s presence coming nearer, Luc’s as well. My death is coming too, but not soon enough. I will still be alive to see my child jump from the balcony. “Rapha!” I cry as he becomes airborne, his cape flying out behind him. The police baton is raised again. I close my eyes and wait for it. I’m flying through the air, holding on to Raphaël. We’re moving very fast above the streets of Montréal. Am I dead yet? I don’t want Rapha to be in a place of the dead. “No,” I moan and realize that, after all these years, I can hear my cries of pain again. “Shh,” a familiar voice says. “Ça va aller. I’ve got you.” Luc’s face is above mine, his arms carrying me swiftly through the streets, the crowd opening before him. If I could, I’d ask him to care for Raphaël in my place. My hand rests against Luc’s chest, his shirt wet and sticky with my blood. I try to touch his lips with my fingers so he can read my mind, but my fingers reach only his chin, slipping  down again on its rough wetness. My hand drops to my own mouth. I taste salt, feel Luc’s chest heave with his sobs, with the strain of carrying me and running. I press my hand against his heart and he runs faster. In the ambulance, Arielle holds my hand. Her voice cradles me. “Lâche pas, Gabriel. Lâche pas.” Hope hurts more than giving up, though, and I don’t think I can take any more pain. Then she puts my hand on her cheek and I feel her tears. I absorb the salt through the tips of my fingers and hold on a little longer. Awareness slips in between longer periods of confusion. I see the friends from my student days beckoning me to dance with them. I see them pass the missing pieces of my costume to Arielle and Luc who hold fast with their powers of reason and strength, of goodness and loyalty. Above them all is my precious Rapha, flying and free. I remember now how he jumped from the balcony, landing squarely on the policeman’s back, how he passed his red felt square across the cop’s eyes, and how the man backed away from me in shock, as though only now seeing what he had done. I wake and wake again. Luc or Arielle are always beside me holding tightly to my hand. When I ask for Rapha, I am told not to worry, that he's fine. I sleep and heal. On a day when my head is clear, I open my eyes to Arielle sitting beside my hospital bed with Rapha on her lap. He clutches a newspaper, on the front page, a photo of his exploit, his red cape flying out behind him. The headlines reads:  Boy superhero leaps to the rescue. Negotiations resume, student leaders hopeful. “What happened?” I ask. “It’s a long story,” Arielle says. “What did you think you were doing?” “My students were in danger. I saw Xavier, told him to run.” “Well he ran and found Luc, which probably saved your life.” “Papa,” Raphaël whispers. “Maman made me promise not to fly anymore until I am grown up. I said d’accord but only if you come back to life.” “Well I have, so you must do as you have promised.” “I also promised not to tell any more newspaper people about how I can fly. And about the magic forgetting dust.” “Forgetting dust?” I ask. “Yes. Like you told me. I used the red square to wipe it from the policeman’s eyes. And I said the magic words.” “What words, Rapha?” “Je me souviens.” END Dedicated to student and teacher superheroes everywhere. "Je me souviens" was originally published in The Future Fire in 2012. This recording is a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives license which means you can share it with anyone you’d like, but please don’t change or sell it. Our theme is “Aurora Borealis” by Bird Creek, available through the Google Audio Library. Thanks for listening, and I'll be back on the IDES OF MARCH with "Lamia Victoriana" by Tansy Rayner Roberts.

Red Universe
RedU T1 Ch16 Ep8

Red Universe

Play Episode Listen Later Apr 8, 2015 6:58


Red Universe, ce sont aussi des livres numériques et des thèmes musicaux originaux ! Venez découvrir le site pour enrichir votre expérience de cette grande saga. Télécharger l'épisode Mp3⎮⎮S'abonner « Dans la prochaine heure, je ne veux qu'on me dérange qu'en cas d'extrême urgence. » Le Contre-amiral Poféus leva son doigt du commutateur, coupant le contact. Sacré Ralato, garder des secrets avec lui relevait du challenge. Certes, le jeune officier n'avait pas encore pris l'entière dimension de ce que préparait le ministre de la sécurité, mais les pièces du puzzle commençaient à s'accumuler et il flairait quelque chose. Quoique.. En savait-il, lui aussi, plus qu'il n'en disait ? Depuis son enlèvement chez les Mutualistes, il était différent. Plus renfermé sur lui-même, mais redoutablement plus efficace également, de l'aveux même de ses rapports de mission. Poféus se laissa aller dons son fauteuil, observant fixement le dossier contenant le résumé de son officier sur sa péripétie dans les mines de Talbot. Oui, redoutablement efficace. Trop. Pour que les Triades lui lâchent ce secret, c'est qu'il leur avait probablement fait très mal et, sans doute, définitivement brouillé les relations entre les « Affaires Mentales » et la communauté Souriante. Tant pis, ils avaient déclaré la guerre les premiers en assassinant des agents du contre-amiral et Ralato n'avait, en fin de compte, que tiré un fil indirectement lié à son enquête, pour découvrir le trafic de lithium et de nuage de miel. De toutes façons, Poféus n'avait plus besoin de fonds ni de matières premières pour sa flotte. Les premiers appareils étaient déjà en cours de rodage et les gros croiseurs appareilleraient dans quelques semaines. Le ministre se fera fort de se fournir ailleurs, pour combler le manque à gagner. Probablement chez les contrebandiers de tous poils qui pullulaient dans l'espace de MaterOne. Mais cela l'amena à se poser une question autrement plus perfide : pourquoi les Souriants avaient-ils sciemment attaqué un aussi intéressant client que Poféus ? Monsieur Heir était derrière, certes, mais d'après le rapport de son Lieutenant, cette communauté n'était pas simplement son allié de circonstance, ils faisaient littéralement corps avec lui. Dans l'addendum secret posé à coté du rapport principal, Ralato relatait les confidences du rival du ministre sur la révolution Castiks, la pénétration des universités mentales par de jeunes Souriants et leur maîtrise poussée des pouvoirs psychiques. Pire, Heir lui-même semblait faire preuve d'un niveau rarement atteint en la matière. Tout cela était si insensé que venant de tout autre que le Lieutenant Ouli, Poféus aurait considéré ce rapport comme l'œuvre d'un affabulateur. Le contre-amiral se leva, et, comme à son habitude, se rapprocha des grandes baies vitrées, laissant le panorama des lumières de la ville et, au loin, du spatioport, lui faire prendre de la hauteur, s'éloigner de l'immédiat pour voir plus large. … L'image de Calande se refléta fugitivement dans les nuages du couchant. Un soupir. Mais que lui arrivait-il avec cette… femme ? Elle n'était QUE sa praticienne, rien d'autre qu'une professionnelle faisant son office pour le soigner. Alors pourquoi réagissait-il si anormalement quand elle était là ? Il perdait tous ses moyens, n'arrivait même pas à la menacer, l'injurier ou… la réprimander. Lui faire des remontrances… L'interrompre… « Calande. Que… m'es-tu donc… devenue ? » Au loin, tels des insectes lumineux, les véhicules de toutes sortes brillaient dans le ciel, vaquant à leurs occupations. Tout au fond on pouvait distinguer quelques éclairs perdus dans les lointaines zones de nuages recouvrants une chaine de montagnes. Les Amalaches, là où Ralato avait été fait prisonnier. Cela le ramena à la triste réalité. Et à une nouvelle question, une de plus. Pourquoi le contact des affaires mentales avait-il poussé un cri de ralliement Mutualiste ? Son Lieutenant avait parfaitement expliqué la logique de l'implant mental qu'il avait utilisé, mais cela n'expliquait en rien cette réaction, sinon par la traîtrise de celui-ci. L'agent spécial Paul n'était pas une merveille, pour ne pas dire un raté. Mais c'est lui que Poféus avait justement choisi pour cette mission car si le corrompu y trouvait son avantage, il saurait manœuvrer aux mieux des intérêts du contre-amiral et servirait parfaitement d'interface avec les Triades. L'opération avait été un succès jusqu'à ce que tout déraille et que Heir ne mette ses menaces à exécution, les Souriants ne se retournent contre lui et Paul ne le trahisse. Peut-être trahissait-il depuis plus longtemps ? Il revint à son fauteuil, exténué. À peine installé, son intercom sonna. L'amiral grogna et enclencha l'appareil : « Je croyais avoir demandé à ne pas être dérangé durant l'heure ?! Mais Amiral, cela fait déjà plus d'une heure ? » Poféus croisa ses mains sur la table et posa sa tête dessus, soupirant. Maudites échappées de conscience, elles ne le laisseront donc jamais ? « D'accord, qu'est-il prévu, maintenant ? » Soutenez Reduniverse.frProd: PodShowsRéa: RaoulitoRelecture: Arthur R, IcarionNarration: AndropovitchRôles:Poféus : PofCompo: IanMontage: Tristeur

Red Universe
RedU T1 Ch15 Ep08

Red Universe

Play Episode Listen Later Oct 4, 2014 10:22


Évènement du mois : mise à jour des livres Red Universe sur toutes vos plate-formes préférées Chapitre IV et Chapitre IV Spécial (mini-série).Rendez-vous dans la section consacrée pour en savoir plus et soutenez-nous ou faites un don à l'équipe Télécharger l'épisode Mp3⎮⎮S'abonner A bord du transporteur n°2, l'évènement tant redouté était arrivé. Dans un rapport préliminaire urgent, le lieutenant-colonel Onawane avait été informé qu'il ne restait, au plus, qu'une dizaine d'heures avant la rupture de stock totale de calmants et anesthésiques. On y expliquait clairement que la panoplie complète des produits utilisables avait été testée et, si possible, consommée. Plus de quatre cents malades se trouvaient dans le centre de soin, et chacun allait devenir un fauve d'ici quelques heures. Cette fois-ci, elle ne venait plus rendre une visite de courtoisie. Onawane marchait à la tête d'une troupe de commando accompagnée d'un détachement de la milice. La mission était simple : sécuriser la zone de l'hôpital d'urgence, la vider de tout le personnel médical et… sceller les entrées. Vernek pourra faire toutes les récriminations qu'il voudra, il n'était pas ici, au beau milieu d'un drame en devenir. Blame et ses équipes n'avaient pas trouvé de remède permettant de baisser les concentrations ou les effets de la liqueur de Lamprasine, et pourtant le médecin avait travaillé sans relâche les soixante-douze dernières heures. Le chronomètre ne s'était pas arrêté pour autant, et on en arrivait à la fin. Peut-être qu'un jour on saura pourquoi la Passe interagissait avec la molécule, quels effets induits les malades ressentaient, comment on pourrait les soigner ? D'ici là, ses miliciens fouillaient tous les lieux de culte Octote, à la recherche de la plante nouvellement interdite à bord du transporteur. Dans le doute, on allait jusqu'à sceller des places, assurer des rondes de garde, procéder à des analyses et confisquer à tout va. Mieux valait une demi-tonne de sirop de chêne-érable en trop qu'une seule fiole de liqueur manquée. Le résultat en avait été spectaculaire : seuls deux nouveaux cas avaient été rapportés le jour précédent et pas un seul aujourd'hui malgré l'heure tardive. En vue de la grande porte blindée, Onawane stoppa net. L'équipe censé être de garde avait été refoulée et, devant elle, le docteur Blame, tout le personnel infirmer et de nombreux civils bloquaient l'entrée. Ils s'étaient tous attachés les uns les autres avec des menottes, des cordes, des élastiques. Evidement, à bord, tout le monde se surveillait et le médecin en chef avait eu vent de son arrivée. « Ne faites pas cela Commandant ! Ce n'est ni une solution, ni un espoir de solution ! Cria-t-il à l'intention de la jeune femme. Libérez le passage Docteur Blame. Je ne suis pas venue parlementer, vous connaissez aussi bien que moi la situation. Oui je la connais bien ! Nous pouvons trouver des méthodes pour rationner un peu plus encore nos injections. Il y a de nombreuses substances que les habitants de ce transporteur possèdent dans leur pharmacie et qui pourraient nous être utile. Ce n'est PAS une fatalité ! »Le commandant observa la scène. Ils étaient nombreux, et tous attachés. Pour les déloger, il faudra une action bien au-delà de ce que les troupes qu'elle avait amené avec elle pourraient réaliser. Chuchotant quelques mots à un sergent à ses cotés, elle le laissa partir en courant tout en s'avançant vers le groupe barrant le passage. Derrière elle ses hommes se mettaient en place, s'alignant arme au poing. Un dédoublement furtif de la scène la prit au dépourvu. Tout tourna moins que l'espace d'une seconde puis revint dans l'ordre. Maudites distorsions sauvages. « Docteur, je ne suis pas là pour discuter le sujet. Je vous donne une minute pour commencer à évacuer ou nous serons obligés d'utiliser la force. Allez-y Colonel, ne vous gênez pas ! Envoyez-nous vos chiens de guerre, je suis certain que cela intéressera les journalistes qui nous filment en ce moment. »Dans la direction indiquée par le médecin, on pouvait voir plusieurs caméra qui filmaient sans doute en direct, retransmettant la scène vers les deux transporteurs. Vernek était certainement déjà en train d'essayer de la joindre. Faire saisir le matériel et arrêter les journalistes ? Difficile à justifier, même si l'idée lui plaisait bien. Non, ce rusé de Blame avait bien calculé son coup, et il ne restait plus beaucoup d'options. Elle s'approcha de lui, faisant un geste d'apaisement aux soldats derrière elle. « Que voulez-vous ? Vous savez bien que les solutions que vous proposez reposent sur des hypothèses et des suppositions. D'autres malades arriveront encore les prochains jours, malgré nos efforts. Ne devrait-on pas garder nos derniers stock pour tenter de les sauver eux, plutôt que de les dilapider avec des condamnés ? » L'autre avait senti que la militaire tentait de trouver une solution sans heurts. S'il arrivait à la convaincre, ce serait gagné. « Mon Commandant, il est de notre devoir à tous deux de protéger les exodés. Mourir entre ces murs de métal n'est pas une destinée acceptable pour eux, elle ne devrait pas l'être pour vous non plus ! Dans huit jours nous arriverons à destination, huit petites journée avec un nombre de nouveaux malade qui sera très réduit. Les réserves d'opiacés de notre vaisseau ne sont pas une hypothèse, déjà on m'a rapporté une caisse de morphine cachée chez une famille de drogués. Elle peut nous faire tenir une demi-journée supplémentaire, à elle toute seule ! Et après ? Quand on ne trouvera même plus un sucre à diluer dans les poches de glucose de vos patients, qu'arrivera-t-il ? »L'autre avança d'un pas, son visage à quelques centimètres de celui d'Onawane. Baissant la voix d'un ton, à la limite du chuchotement, il ajouta : « Je sais que vous avez mobilisé les quelques caisses de gaz incapacitant de l'armurerie. Correctement utilisées, nous pourrions gagner plusieurs jours encore. C'est possible, Commandant ! » L'expression du lieutenant-colonel changea subtilement. Le praticien savait qu'elle avait confiance en lui, il jouait là-dessus. Et on ne pouvait décemment pas mettre en danger tout le personnel médical avec une attaque en force. Surtout pas sur ce vaisseau, pas après ce que tous avaient vécu ici. « Je vais vous donner quelques jours supplémentaires Blame. Ne les gâchez pas. » Se retournant vers ses troupes, elle ajouta. « Arme aux pied, formez deux rangées, sécurisez le couloir. ». Puis elle s'éloigna. Le Docteur Blame se précipita pour ouvrir ses menottes, montrant l'exemple à tous les manifestants : « Le commandant nous donne un sursit ! Libérer le passage, nous avons du travail ! » Une nouvelle distorsion fit apparaitre fugitivement un soldat masqué courant vers eux, il s'évanoui dans l'éther presque aussi vite. D'abord surpris, tous rirent de bon cœur devant l'apparition. Il fallu plusieurs minutes pour que tout le monde soit détaché, et encore plusieurs pour que le groupe entier se soit dispersé. Déjà le médecin et ses assistants se dirigeaient vers le laboratoire, échafaudant des théories tout en marchant. Les premières grenades lacrymogènes fusèrent alors dans les corridors, immédiatement suivies de soldats et miliciens en masques à gaz. Dès les premières secondes, un détachement de cinq militaires les plaquèrent au sol et ils furent trainés vers la grande sortie. Ses yeux le brulaient, la fumée incapacitante prenait à la gorge tout le monde et des scènes semblables se déroulaient dans tout l'hôpital d'urgence. La résistance était faible, ridicule : que pourraient faire des infirmières ou des médecins en plein brouillard lacrymogène, face à des soldats entrainés et bien équipés ? Tout le monde était prit au dépourvu. À l'extérieur de la zone médicale, on avait fait avancer une série de véhicules de transport, destinés à l'évacuation. Devant celui où l'on emmenait Blame, se trouvait Onawane. Martiale. « Vous.. vous m'avez dit que.. kof !… un délai… kof ! » tenta-t-il de bredouiller au milieu de ses larmes et de ses poumons brulant. « J'ai menti Docteur. La sécurité de ce transporteur est en jeu, il n'est pas question d'honneur ou de parole. Vous comprendrez peut-être un jour. On vous a assigné un nouveau centre et une section spéciale s'occupe en ce moment du contenu de votre laboratoire. Nous nous reverrons plus tard. Allez-y ! » Et les deux soldats qui maintenaient le médecin le montèrent à l'arrière du véhicule, prenant bien soin de s'assoir de chaque coté de lui. Onawane regardait les journalistes filmant la scène, avidement. Ils jubilaient presque. Qu'ils filment bien tout, et que le message passe clair et net dans toutes les communautés : l'ordre régnera sur le transporteur n°2, quel qu'en soit le prix. Elle regarda sa montre : dans douze minutes, les équipes de maintenance arriveront pour souder l'entrée. Puis on évacuera tout le personnel non indispensable, et on apportera les redoutables cartouches de CX, un gaz militaire incapacitant. Encore douze petites minutes… Soutenez Reduniverse.fr Prod: PodShowsRéa: RaoolitoRelecture: Icaryon, Arthur R, AdastriaNarration: IcaryonActeurs:Onawane (Istria)Dr Blame (Akira)Compo: IanMontage: Bleknoir

Le Bac à comics
Crossed : Terres Maudites tome 1

Le Bac à comics

Play Episode Listen Later Mar 6, 2014 2:00


La Sélection Comics de ce jeudi 06 mars 2014, c'est Crossed : Terres Maudites publié par Panini Comics.

Red Universe
RedU T1 Ch13 Ep10

Red Universe

Play Episode Listen Later Feb 23, 2014 9:32


Soutenez Red Universe: Faites un don ou baladez-vous dans notre boutique Télécharger l'épisode Mp3⎮⎮Torrent⎮⎮S'abonner Poféus attendit encore quelques minutes, éprouvant une très inhabituelle appréhension pour ce qui allait suivre. Un soupir lui échappa alors qu'il contemplait les cumulonimbus, ces géants du ciel, s'accumuler au dessus de la capitale; le manteau grisâtre des nuages diminuait la lumière ambiante, atténuait les couleurs et on pouvait certainement ressentir dehors la montée de l'humidité ambiante. Une météo terne pour un moment sans gloire. Ici, le grand bureau, et même tout le bâtiment, était bien climatisé et…Bon, assez ! Ce n'est pas un ennemi, ce n'est même pas un rendez-vous officiel, rien qu'un psychologue, pas de quoi en faire une montagne !? Ce matin, il avait été jusqu'à laisser la vie sauve à son mignon de la nuit ! Le garçon avait courageusement supporté tous ses assauts, allant jusqu'à simuler du plaisir, mais le Contre-Amiral, ne pensant qu'au rendez-vous du lendemain, était venu difficilement. Contre toute attente, il s'était surpris à éprouver un sentiment de tendresse envers lui, et l'avait laissé partir ainsi; charge aux hommes de garde de le supprimer par eux-même.Déjà les premières gouttes auréolaient parcimonieusement les carreaux de la haute fenêtre, anticipant la violente averse à venir: l'opération de Ralato de ce soir risquait de se dérouler sous la pluie… Bon, assez. Il traversa la grande pièce pour se rendre dans un petit salon adjacent, à l'ambiance plus feutrée. Normalement son interlocuteur devait déjà s'y trouver, il n'aurait qu'à s'asseoir, parler un peu, et, rapidement, on lui présenterait un bilan et quelque traitement à suivre. Rien que de très médical en fin de compte, pas vraiment intime. Et puis, si ce praticien ne respectait pas son autorité, Poféus pouvait s'imposer très facilement, voire l'écarter pour en choisir un autre. Il ouvrit la porte, pénétra dans la pièce, leva les yeux et se figea net.Non… non cela ne serait pas possible : dans un des fauteuils du salon, se tenait assise les jambes croisées, dans un tailleur gris impeccable, une femme entre deux âges qui l'observait, un discret sourire de sociabilité aux lèvres. Il s'était renseigné, on lui avait parlé d'un des meilleurs praticien de la place, mais personne ne lui avait précisé qu'il devrait se confier à une… femme ?! La petite psychologue aux cheveux sombre, visiblement d'origine brune, se leva mais ne se déplaça pas pour l'accueillir.“Monsieur le Ministre ? Calande Rorré, psychologue. Si vous êtes prêt, je vous propose de vous asseoir ici, face à la cheminée ? L'âtre diffuse une chaleur qui me semble propice à notre entretien.”On avait allumé la cheminée, il ne l'avait pas vu ainsi depuis longtemps et cela renforçait effectivement l'intimité des lieux, sans pour autant résoudre le problème ! Il se rapprocha du foyer pour y réchauffer ses mains qui n'étaient pourtant pas spécialement froides. “ Madame Calande Rorré, j'ai peur que vous ne vous soyez déplacée pour rien. Vous n'êtes pas le… genre de professionnel auquel je m'attendais.Ho, le fait que je sois une femme je suppose ? Je pensais que vous en étiez conscient ?Je l'ignorais, notre contact n'a pas été direct.Oui je vous avoue avoir été surprise de voir un agent du ministère venir prendre un rendez-vous, un second m'accueillir et me faire passer les portes, un troisième me conduire jusqu'ici. Tout cela pour garder le secret je suppose. Considérez-vous que ce qui vous a amené à faire appel à un praticien relève du secret d'état ?En quelque sorte. Mais je ne m'avancerai pas plus. Vous devriez rentrer chez vous.Bien sûr, je vais y aller… Mais dites-moi, il commence à pleuvoir sérieusement ? Cela poserait-il un problème si je profitais un peu de ce lieu et de ce foyer, en attendant une éclaircie ?Faite comme bon vous semble.” répondit le Contre-Amiral, immobile, debout devant la cheminée, observant la danse ininterrompue des flammes. Pourquoi ses propres mains lui semblaient si froides, en fait il avait froid tout court ?! Etait-ce un problème de circulation du sang, ou simplement tombait-il malade ?“Hô non Amiral, je vous connais mieux que vous ne le pensez : un vieux pédophile ayant retourné trop sa veste pour croire à quelqu'idéal que ce soit. Un arriviste ayant la haute main sur la force armée la plus puissante de la planète : les Mentaux. Mais vous êtes infiltrés, votre pouvoir est rogné de dedans et de dehors.Vous regretterez ces paroles.Je vous connais Amiral, votre biographie est presque déjà dans la chronique nécrologique.Maudit Heir ! Il n'avait pas besoin de cet arriviste qui profitait de la corruption du système, libéralisé à marche forcée depuis la Révolution.“Bien sûr Amiral, bien sûr… Réfléchissez à mon offre, vous avez une semaine. Passé ce délai, je lâche mes chiens contre vous.…Ministre ? Amiral, vous m'entendez ?Quoi ?!” grogna Poféus se retournant sur un de ses gardes du corps qui se tenait un pas derrière lui. Depuis quand était-il là ?Amiral, le secrétaire d'état à l'industrie désirerait un rendez-vous d'ici deux heures. Que dois-je lui répondre ?Que veut-il ?”Le garde jeta un œil à la femme assise dans le fauteuil. “ Il dit que c'est important Amiral, sans plus de précision.Décalez ma visite au camps d'Atos, je le recevrai, rompez ! ” Et sans un mot supplémentaire, l'homme ressortit, fermant la porte aussi doucement que possible derrière lui.Maudites pertes de réalité, s'imposant encore et toujours, n'importe quand ?! Il devrait consulter pour… Il se retourna, comme affolé : elle était toujours assise et ses yeux, si profonds, l'observaient toujours. Les rides aux coins de son sourire discret, signalait-elles qu'il s'agissait d'une méthode courante dans la pratique de sa profession ? Etait-elle en pleine analyse ou juste une femme profitant d'un salon luxueux et d'une bonne ambiance ? Que venait-elle exactement de voir ou de comprendre ? Il pouvait sentir son léger parfum fruité tourner autour de lui, comme pour l'enserrer.“Il… semble que mon emploi du temps s'éclaircit. Désirez-vous.. quelque thé ou café au lait ?Je ne voudrais pas m'imposer Monsieur le Ministre. Mais j'accepterais volontiers une tasse de thé en vous tenant compagnie par exemple.C'est que je… ne suis pas d'une compagnie très attrayante. Mes sujets de conversation sont exclusivement professionnels.Vous savez, et je vous parle juste en tant que personne de passage en ces lieux, parfois aborder simplement des sujets frivoles sans rapport avec son quotidien, quelqu'il soit, cela revient à s'offrir une petite récréation. Je prendrais un thé au Jasmin, si possible, et vous, que prenez-vous?Moi ? Mais je ne.. Un thé au jasmin également.”Il sonna, passa la commande et vint naturellement s'asseoir sur le fauteuil face à la cheminée. Production: Podshows Ecriture & Réalisation: Raoolito, Icaryon, Andropovitch, Arthur R., Coupie, Quentinus15 Narration: Anna Acteurs: Pof (Poféus)Coupie (Calande Rorré)Richoult (garde)Destrokhorne (Mr Heir)Compo: Ian Montage: Richoult