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Le sujet :Investir dans des ETF en DCA est devenu une habitude bien ancrée. Mais cette stratégie est-elle vraiment optimale ? Découvrez en quoi elle peut limiter vos rendements et comment le ladder pourrait tout changer.L'invité du jour :Guillaume Dolisi est Partner chez VIA AM, une société de gestion qui sélectionne ses actifs avec des méthodes de pointe. Au micro de Matthieu Stefani, Guillaume nous explique les limites du DCA ETF et les avantages du ladder.Découvrez :Pourquoi investir dans des ETF en DCA n'est pas la meilleure stratégieCe que personne ne vous a dit sur la méthode de Warren BuffettLes risques cachés des ETF et des produits packagésEn quoi consiste la stratégie du ladderComment utiliser les optionsIls citent les références suivantes :Le DCA (dollar cost average)Warren BuffettL'affaire VolkswagenLe fonds VIA Ladder PremiumAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#55 - Le “value” pour se tenir à l'écart des bulles#106 - Investir comme Warren Buffett#179 - ETF: effet de mode ou véritable martingale ?#263 - Comment devenir riche (et le rester) ?On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire eToro de soutenir La Martingale.Allez sur etoro.com et prenez le contrôle de vos investissements. E-T-O-R-O point com.eToro est une plateforme d'investissement multi-actifs. La valeur de vos placements peut augmenter ou diminuer. Votre capital est assujetti à un risque.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis plusieurs mois, les cryptomonnaies sont au cœur de faits divers inquiétants : dirigeants de start-up enlevés, proches séquestrés, tentatives de racket... Autant d'affaires qui révèlent l'envers d'un secteur à la croissance fulgurante, mais qui attire aussi les convoitises les plus violentes. Décryptage. Un peu de pédagogie ne fait jamais de mal. Une cryptomonnaie, c'est est une monnaie 100% virtuelle. Elle n'existe pas sous forme de pièces ou de billets, mais sous forme de jetons numériques, protégés par un système de cryptographie. Pour y accéder, il faut un portefeuille numérique, sécurisé par une « clé privée », une sorte de mot de passe unique connu de son seul propriétaire. Ce modèle repose sur un principe simple : permettre des échanges fiables, transparents et sans passer par une banque ou une autorité centrale. C'est cette promesse de liberté, combinée à la valeur que peuvent atteindre ces actifs, qui attire les criminels.Valorisation record, accès rapide : un terrain favorable pour les malfratsSi ces cryptomonnaies attirent tant, c'est parce que leur valeur peut être colossale. Un seul Bitcoin vaut aujourd'hui près de 100 000 dollars. Et contrairement à un coffre-fort ou un compte bancaire, les fonds peuvent être transférés en quelques secondes, depuis un simple téléphone. Mais tout n'est pas si simple pour les cyber-délinquants. La plupart des transactions passent aujourd'hui par des plateformes d'échange régulées, notamment en France et en Europe. Ces plateformes imposent une vérification d'identité stricte, dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d'argent. Chaque transaction laisse une trace, comparable à un virement bancaire. Contrairement à un billet de banque dont on ignore l'historique, une cryptomonnaie est traçable de bout en bout. Chaque jeton possède une « carte d'identité » numérique : on peut savoir par quelles adresses il est passé, dans quel ordre, et parfois même à qui il appartenait. Cette transparence rend le blanchiment ou la revente illicite bien plus complexe.À lire aussiDonald Trump et les cryptomonnaies: quand le business est aussi politiqueUn système sécurisé, mais pas à l'abri des dérivesMais il existe une faille. Toutes les cryptomonnaies ne transitent pas par ces plateformes. Certains experts préfèrent gérer leurs fonds de manière autonome, via des portefeuilles hors ligne, sans intermédiaire. Ce sont souvent ces profils qui sont ciblés par les malfrats : ils détiennent parfois des fortunes numériques et sont en mesure d'effectuer des transactions discrètes. S'ils cèdent à la pression ou aux violences, que se passe-t-il ensuite? Les criminels se retrouvent avec des actifs certes volés, mais traçables. Ils doivent trouver des acheteurs ou des moyens de convertir ces cryptos en monnaie classique. Et c'est là que les choses se compliquent. Car sans plateforme, difficile de trouver preneur, et les plateformes sérieuses exigent de connaître l'origine des fonds. Cette traçabilité, si souvent critiquée par les puristes du « crypto-anonymat », devient donc une alliée précieuse pour les enquêteurs. Elle permet de suivre le fil des transactions, d'identifier des réseaux, voire de retrouver les auteurs d'un vol numérique.À lire aussi«Gain maximal, prise de risque minimale»: pourquoi les cryptomonnaies attirent les malfaiteurs?
Dans un climat tendu avec les syndicats, Valérie Glatigny défend ses réformes éducatives, malgré le boycott de la mise au vert par trois syndicats majeurs. Elle insiste : « Ma volonté reste intacte de discuter de la qualité de l'enseignement. » La ministre s'interroge toutefois sur l'élargissement du tronc commun : « J'ai peur qu'il y ait une dévalorisation de l'enseignement qualifiant. » Elle veut freiner le rythme des réformes, reconnaissant « une fatigue des acteurs de terrain ». Sur les évaluations, elle affirme : « L'objectif, c'est bien de renforcer l'accompagnement personnalisé. » Elle annonce aussi une future interdiction du port de signes religieux pour les enseignants : « J'irai aussi loin que possible. » Sur le plan budgétaire, elle reste prudente : « Je ne vais pas faire de commentaire sur un conclave qui est en cours. » Enfin, elle plaide pour « une nouvelle dynamique », un « Pacte 2.0 » plus proche des réalités actuelles de l'école. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hinda Gharbi, directrice générale de Bureau Veritas, coté sur le CAC 40, était l'invitée de l'émission Ecorama du 14 mai 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la dynamique de croissance du groupe, le maintien des objectifs pour 2025, l'évolution des taux de change et le cours de Bourse. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
À demain avec Paul !
Résumé de l'épisode
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Le Projet de Loi de Finances 2025 vient frapper fort sur les Management packages. Vous êtes dirigeant sous LBO ? Vous bénéficiez de BSPCE, actions gratuites, BSA ?Vous préparez un cash-out, une levée de fonds, une opération de M&A, une transmission, une cession ?Alors ce post est pour vous. Désormais, une partie de vos plus-values pourra être imposée comme un salaire, jusqu'à 59%, contre 34% (flat tax + CEHR) jusque-là. Oui, vous avez bien lu. 59 %. Le nouvel article 163 bis H remet en cause le traitement fiscal des management packages.Il crée une présomption de salaire, impose des conditions strictes pour bénéficier du régime des plus-values, et vise de nombreux schémas jusqu'ici tolérés. Pour bien comprendre ce que ça change, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Philippe Donneaud, avocat fiscaliste associé chez CMS Francis Lefebvre, dans Une Cession Presque Parfaite. Il a répondu, avec clarté, aux questions que beaucoup de dirigeants se posent aujourd'hui. Ce qu'on a vu ensemble : ✅ Pourquoi ce texte marque un tournant dans la fiscalité des dirigeants et des investisseurs✅ Ce que le législateur cherche vraiment : justice fiscale ou reprise en main ?✅ Comment cette réforme s'inscrit dans un mouvement plus large engagé depuis plusieurs années✅ Pourquoi le traitement fiscal des management packages posait autant de problèmes jusqu'à maintenant✅ Ce que le nouvel article 163 bis H change concrètement : codification, présomption, seuil de performance✅ Comment le fisc distinguera désormais un gain salarial d'un gain patrimonial✅ Quelles conditions remplir pour rester en plus-value : performance, risque, absence de lien hiérarchique..✅ Ce qu'il faut penser du seuil de performance fixé à 3 fois la progression de valeur✅ Les schémas classiques (BSPCE, BSA, AGA…) sont-ils encore viables ?✅ Est-ce que ça touche aussi les opérations d'apport-cession, donations, holdings ?✅ Quel impact de l'amendement Charasse et des nouvelles jurisprudences ? En clair :
Quand on parle de transmission, on pense fiscalité, valorisation, juridique. Et c'est normal. Mais quand il s'agit d'une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les émotions.Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le grand plaisir d'échanger avec
Cette semaine Où terminent nos déchets. Comment sont-ils valorisés ? Comment Antibes a gagné son indépendance énergétique.
Le marché du courtage en assurance est en train de vivre une transformation profonde.Concentration, digitalisation, arrivée des fonds d'investissement, stratégies d'acquisition..Pour en parler, j'ai reçu dans mon podcast Guillaume Rovere, fondateur d'assurdeal, une plateforme digitalisée d'achat-revente de portefeuilles de courtage.Guillaume est un des meilleurs observateurs de ce marché : il accompagne depuis plus de 20 ans les courtiers qui veulent transmettre, se structurer ou grandir par acquisition.Quelques idées fortes à retenir de notre échange :✅ Un portefeuille n'a pas une valeur “générique” : tout dépend de sa compositionUn portefeuille ne vaut plus un multiple, il vaut une logique.Chaque contrat est analysé ligne par ligne.Le type de client, le niveau de fidélité, la solidité de l'assureur, la qualité des données, la spécialisation du cabinet : tout compte.✅ Le courtage en assurance entre dans une nouvelle èreAu Royaume-Uni, les 18 000 courtiers sont devenus 2 000 en dix ans.En France, on en compte encore 26 000, dont une majorité avec moins de 75 000 € de commissions annuelles.Autrement dit : la concentration va s'accélérer, et ceux qui ne se structureront pas seront poussés vers la sortie.✅ Le M&A devient un outil stratégique, pas un simple mécanisme de croissanceLes acheteurs ne cherchent pas du volume.Ils cherchent des portefeuilles stables, spécialisés, digitalisés.Une transaction se pense aujourd'hui comme une vraie cession d'actifs, avec des enjeux de conformité, de risques contractuels et de transfert client.✅ Ce marché attire désormais des acteurs structurés et offensifsCertains consolidateurs ont déjà réalisé 10, 15, 20 opérations en moins de trois ans.Des fonds anglo-saxons investissent massivement.Et des CGP, souvent mieux préparés que les courtiers traditionnels, se lancent dans l'acquisition de portefeuilles.Ce mouvement est en train de redessiner les équilibres du secteur.✅ La digitalisation n'est plus une optionLes courtiers qui préparent leur transmission en structurant leur base client, en se spécialisant, en rendant leur portefeuille lisible et exploitable… multiplient les options à la revente.Guillaume résume tout ça avec une phrase simple mais percutante :
Deuxième édition pour le Tour d'Alsace des territoires ! Placée sous la thématique « L'Alsace s'engage ! », de premières rencontres étaient organisées ce mercredi 02 avril à la Bibliothèque Humaniste de Sélestat. Lors de cette après-midi, Frédéric Bierry, président de la Collectivité européenne d'Alsace, était notamment à l'écoute de bénévoles issus d'associations patrimoniales. A la suite de ces échanges, deux représentants d'association sont revenus sur certains points évoqués, mais également sur l'importance de l'engagement. On écoute Frank Vilain, vice-président de l'association pour la restauration du Château du SpesbourgL'article complet : https://azur-fm.com/news/selestat-le-tour-dalsace-debute-autour-de-la-thematique-du-patrimoine-2435Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trouver des financements publics, un casse-tête ? Et si les cabinets comptables avaient la clé pour aider leurs clients à y voir plus clair ?Dans cet épisode, nous explorons comment optimiser la recherche de financements publics pour les clients des cabinets d'expertise comptable, avec :Antoine Vallois, expert-comptable associé chez eolis, un cabinet nantais d'une cinquantaine de personnes.Clémence Laur, ingénieure financement de projet R&D chez DIX SEPTEMBRE.Depuis plusieurs années, eolis et DIX SEPTEMBRE collaborent pour détecter et structurer ces financements pour les clients du cabinet.Un domaine qui peut vite ressembler… à une jungle !
Quand une entreprise passe un cap — fusion, transmission, levée de fonds — on parle beaucoup de valorisation, de structuration financière, d'opportunités de croissance…Mais on parle trop peu de l'essentiel : les humains qui vont faire vivre ce changement.Dans le dernier épisode de mon podcast Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le plaisir de recevoir Matthieu Lerouge, un expert rare, qui accompagne les dirigeants de PME et startups (entre 30 et 250 collaborateurs) à structurer leurs équipes quand il y a un virage stratégique : levée de fonds, cession, transmission, forte croissance.Mathieu a passé 3 ans à faire de la recherche sur les facteurs humains de réussite en entreprise. Résultat : un test de personnalité sur-mesure, et une méthodologie concrète pour structurer les organisations, recruter les bons profils et surtout… garder des équipes engagées et heureuses.Et ce qu'il voit trop souvent, c'est ça :❌ Des dirigeants qui partent sans avoir préparé le terrain❌ Des profils brillants, mais mal utilisés car mal positionnés❌ Des collaborateurs qui ne savent plus à quoi sert leur job❌ Des DG recrutés qui partent au bout de 2 mois faute d'onboarding
Thierry Gadou, président-directeur général de VusionGroup, coté au SBF 120, était l'invité de l'émission Ecorama du 21 mars 2024, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : l'histoire de ce groupe français devenu aujourd'hui le leader mondial des solutions digitales pour le commerce, notamment avec ses étiquettes électriques pour la grande distribution, la digitalisation du commerce de demain et le parcours boursier exceptionnel. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
On croyait que l'entreprise allait mal, avec une fuite des abonnés… mais il n'en est rien ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouvelle chronique réalisée par Anatole de l'Atelier Pandore avec une auto-interview sur la valorisation du patrimoine ! Réalisé en direct sur RBS le 11/03/25 avec Pierre Liermann
Quand on parle de cession d'entreprise, la plupart des discussions tournent autour de la valorisation, des multiples, des négociations et de la fiscalité.Mais un facteur est souvent sous-estimé et pourtant il peut faire échouer une vente : le dirigeant lui-même.J'ai reçu Ana Pușcă, coach de dirigeants, dans Une Cession Presque Parfaite, et elle a mis en lumière une vérité essentielle :Une entreprise ne se vend pas comme un simple actif. Elle se transmet, et pour que cette transmission réussisse, encore faut-il que son dirigeant ait préparé le terrain.Les erreurs classiques des dirigeants qui veulent vendre leur entreprise1️⃣ Tout repose encore sur eux, même au moment de la venteBeaucoup de dirigeants ont passé des années à construire une entreprise à leur image, à être présents sur tous les sujets, à prendre toutes les décisions.C'est souvent une force dans la phase de développement… mais c'est un énorme problème dans la phase de transmission.Un acheteur qui voit que toute l'activité dépend du dirigeant prend peur. Il se demande comment l'entreprise va survivre après son départ. Résultat :❌ Soit il exige une transition longue et contraignante❌ Soit il négocie un prix plus bas, considérant que la boîte est trop risquée❌ Soit il abandonne la discussion2️⃣ Ils ne sont pas psychologiquement prêts à vendreCe point est l'une des causes majeures des ventes qui échouent.Un dirigeant peut passer des mois (voire des années) à structurer son entreprise pour la cession… Mais au moment de signer, le doute s'installe.Vais-je regretter ?
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai reçu Eric Le Poole, entrepreneur et investisseur qui a réalisé un OBO sur sa propre entreprise avant de la vendre avec succès.On a parlé en détail de cette opération qui permet de récupérer des liquidités tout en gardant les commandes.L'OBO (Owner Buy Out) est un mécanisme encore peu connu par de nombreux dirigeants de PME. Pourtant, cette opération permet de réaliser un cash-out (récupérer une partie de la valeur de votre entreprise) tout en conservant le contrôle.Concrètement, comment ça fonctionne ?
Dans cet épisode de « Bienvenue chez vous », Christophe Bordet explique comment valoriser son logement. Il conseille d'aménager les combles, un investissement rentable selon Thierry Abria d'Ilico Travaux. Il recommande aussi de rénover cuisine et salle de bain, essentielles pour séduire les acheteurs. Enfin, entretenir son bien garantit une meilleure revente. Grâce à ces conseils, les propriétaires optimisent leur investissement immobilier.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Christophe Douat, directeur général de Medincell, société pharmaceutique technologique, récemment entrée au SBF 120, était l'invité de l'émission Ecorama du 20 février 2025, présentée par Aude Kersulec sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : l'objectif de profitabilité pour 2027, le développement des produits, la dernière levée de fonds et la valorisation boursière. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Vincent Ravat, DG de la foncière cotée Mercialys, était l'invité de l'émission Ecorama du 18 février 2025, présentée par Aude Kersulec sur Boursorama.com. Il a notamment donné son point de vue sur les perspectives de croissance de la société pour 2025, le taux de vacances des centres commerciaux, la fermeture des hypermarchés Casino et la valorisation du titre en Bourse. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Ludovic Rachou est un entrepreneur polymorphe, qui n'a pas froid aux yeux. Au départ lancé sur le marché du chewing-gum, il est aujourd'hui président de l'UIVEC, l'Union des Industriels pour la Valorisation des extraits de Chanvre. Découvrons l'entrepreneur ambitieux et l'homme engagé dans ce 36ème épisode du podcast Culture Nutrition.« Tant qu'on n'a pas essayé de le faire, on ne saura pas si c'est possible. Et rencontrer ses pairs et échanger, se confronter à ses concurrents, c'est comme ça qu'on progresse »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi la tech reste-t-elle l'un des secteurs les moins syndiqués ?
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
La vente d'une entreprise, c'est souvent le projet d'une vie.Des années à construire, développer et structurer.Des nuits à gérer des crises et faire grandir l'activité.Des mois à négocier le meilleur deal, la meilleure valorisation.Puis arrive le jour du closing. Tout est signé. L'argent est sur le compte.Et après ?C'est une question que trop peu de dirigeants anticipent.❌ Ils pensent qu'ils auront le temps d'y réfléchir plus tard❌ Ils se disent que tout viendra naturellement❌ Mais une fois la vente actée, beaucoup se retrouvent sans capParce que ce qu'on ne vous dit pas, c'est que vendre son entreprise, ce n'est pas juste une transaction.C'est un changement radical.C'est un bouleversement mental.C'est une perte de repères.Et c'est ce qui est arrivé à Louis Debouzy quand il a vendu Amabilis - L'aide à domicile qu'il vous faut
A l'occasion de la publication du rapport French Tech Financing Exit Trends & Multiples 2024, Arnaud Laurent fait le point avec Arthur Porré, cofondateur d'Avolta, une banque d'affaires. Ils discutent de son parcours entrepreneurial et du rôle d'Avolta dans l'accompagnement des entrepreneurs lors d'opérations de levée de fonds, de M&A et de LBO. Arthur partage son expérience personnelle, expliquant comment il a été attiré par le monde de la banque d'affaires grâce à sa rencontre avec Philippe Rodriguez, un entrepreneur qui venait de vendre sa société MixCommerce. Ensemble, ils ont fondé Avolta en 2012 pour aider les entrepreneurs à naviguer dans des moments cruciaux de leur parcours. Arthur souligne l'importance d'une approche structurée pour aider les entrepreneurs à lever des fonds et à se développer, en insistant sur la nécessité de bien comprendre l'écosystème économique.L'entretien aborde également le rapport annuel d'Avolta sur l'état de la tech française, mettant en lumière la baisse des levées de fonds en 2024 par rapport à l'année précédente, ainsi que les défis que représente l'instabilité politique pour l'investissement. Arthur évoque les secteurs clés du marché, tels que l'intelligence artificielle, qui a vu une augmentation significative des investissements. Il discute aussi des stratégies d'expansion internationale pour les startups françaises, soulignant l'importance de s'implanter rapidement sur les marchés étrangers, notamment les États-Unis, pour réussir. Enfin, Arthur partage sa vision de l'avenir de la tech française, insistant sur le besoin de débloquer le marché des IPOs pour stimuler les exits et assurer une croissance durable de l'écosystème tech.[00:00:00]: Introduction d'Arthur Porré et Avolta[00:07:25]: État des lieux de la French Tech[00:14:53]: Importance du marché américain[00:19:08]: Rôle des associés experts chez Avolta[00:21:00]: Thématiques principales dans la deep tech[00:32:29]: Conseils pour réussir une levée de fonds[00:34:45]: Importance de bien s'entourer[00:36:50]: Risques liés à la surévaluation[00:37:29]: Multiples de cession en France[00:38:33]: Valorisation dans le monde de la tech[00:42:14]: Recommandations de lecture pour entrepreneurs[00:45:02]: Rêves pour l'avenir de la tech française
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Être dirigeant, c'est porter sur ses épaules la croissance, la rentabilité, les transformations, et parfois, la préparation d'une cession. Vous êtes souvent seul face à des décisions importantes qui demandent à la fois du recul, une expertise concrète et une mise en œuvre rapide. Et si vous aviez à vos côtés quelqu'un qui connaît exactement ces enjeux ? L'Operating Partner est encore peu connu en Europe, mais c'est une pratique courante aux États-Unis, où il est devenu un allié indispensable des fonds d'investissement et des dirigeants. Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, je reçois Isabelle Saladin, présidente de I&S Adviser, le premier cabinet européen dédié aux Operating Partners. Isabelle est une pionnière dans ce métier et partage avec nous pourquoi cet acteur discret peut devenir un véritable levier pour votre entreprise.
Ce mardi 24 décembre, Étienne Bracq est revenu sur les performances des principaux marchés boursiers et les tendances du moment dans Morning Briefing, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Vendre ou reprendre une entreprise, ça ne s'improvise pas. Beaucoup de dirigeants ratent leur cession par manque de préparation. À l'inverse, les repreneurs qui cherchent l'entreprise parfaite risquent de passer à côté d'opportunités incroyables.
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Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Votre entreprise est votre plus grande réussite, mais peut-être qu'elle est aussi votre plus grande faiblesse ?SI vous n'êtes plus là demain, il se passerait quoi selon vous ? Votre famille, vos associés, votre entreprise, survivront-elles sans vous ? Seraient-ils prêts ? Parler de décès, d'invalidité ou de transmission patrimoniale, c'est pas ce qu'il y a de plus d'Eliad (sexy, en gros). Mais c'est absolument essentiel. Car si vous ne préparez pas ces moments, ils viendront quand même. Et, surtout, ne pas le faire, c'est risquer de laisser derrière vous des conflits, une fiscalité écrasante, et une entreprise affaiblie.. voire mourante .. Alors, dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le plaisir de recevoir Olivier Pontnau, notaire associé à Paris, connu pour son expertise pointue couplée à une pédagogie remarquable, qualités précieuses pour répondre à 2 grandes questions :1️⃣ Comment protéger son patrimoine quand on est dirigeant ?2️⃣ Comment transmettre son entreprise et ses actifs à titre gratuit sans conflits et en optimisant la fiscalité ? Quelques points-clés de notre échange :
Discussion captivante avec Éric Gingras, président de la CSQ, sur les enjeux majeurs de l'éducation au Québec. De la modernisation des écoles à l'importance d'une éducation équitable pour tous, cet épisode explore des solutions concrètes pour bâtir un système éducatif inclusif et durable. Ensemble, engageons une grande réflexion collective pour repenser l'éducation et en faire le socle d'un avenir meilleur pour tous! 00:00:00 - Introduction 00:02:00 - Importance de l'éducation publique 00:05:30 - Rôle de la CSQ 00:12:00 - Modernisation du syndicalisme 00:20:00 - Infrastructure scolaire et investissements 00:30:00 - Réflexion collective sur l'éducation 00:35:00 - Pénurie de personnel éducatif 00:45:00 - Valorisation des travailleurs de l'éducation 00:50:00 - Violence et incivilité en milieu scolaire 00:55:00 - Conclusion et vision future #CSQ_ambassadeur #collaboration
[PARTENAIRE] Et si, pour Noël, vous souffliez une idée lumineuse à vos proches
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Dans cet épisode de Une Cession Presque Parfaite, Guillaume Jimenez, avocat associé au sein du Cabinet 28 Octobre, et expert en M&A et litiges post-cession, partage des solutions claires et des bonnes pratiques pour éviter que des litiges ne viennent gâcher une opération bien préparée. Quelques points principaux que nous avons développés :Garanties d'actif et de passif : un élément clé pour protéger les deux partiesLes garanties d'actif et de passif servent à protéger les acheteurs des mauvaises surprises, comme des dettes cachées ou des actifs surévalués. Elles sont aussi là pour limiter les responsabilités du vendeur, mais tout repose sur leur rédaction. Une garantie bien construite encadre clairement ce qui est couvert, avec des limites précises.Si elles sont floues ou incomplètes, elles deviennent des leviers pour les acheteurs frustrés. Dans une opération, il faut anticiper tous les risques possibles et les inclure de manière explicite. Plus les garanties sont détaillées, moins elles laissent de place à l'interprétation ou aux contestations.Défauts d'information : tout doit être mis sur la tableL'une des principales causes de litiges post-cession est le manque de transparence. Toute information importante, qu'il s'agisse de contrats en cours, de risques identifiés ou de performances passées, doit être partagée pendant les négociations.Cacher un détail, même involontairement, peut donner lieu à des accusations de dol. Être transparent permet non seulement de protéger le vendeur, mais aussi d'instaurer une relation de confiance entre les parties.Guillaume rappelle qu'une bonne documentation et un effort pour expliquer clairement tous les points sensibles sont essentiels pour éviter les incompréhensions.Ajustements de prix : éviter les conflits avec des critères clairsLes ajustements de prix permettent de lier une partie du prix de vente à des performances futures ou à des obligations contractuelles. Mais pour qu'ils fonctionnent, ils doivent être cadrés avec des critères simples et mesurables.Un ajustement mal défini ou ambigu ouvre la porte aux désaccords. Dans une opération, il est important que les deux parties s'accordent sur des paramètres précis dès le départ. Guillaume explique comment structurer ces ajustements pour éviter tout malentendu après la signatureHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est bientôt le Black Friday et bien que ce ne soit pas une tradition française ni européenne, on en parle partout. En tant qu'entrepreneure et professeure, ma mission est d'aider des adultes à progresser en français et à vivre de ce métier. Je suis consciente que chaque décision que je prends a un impact, non seulement sur mon école, mais aussi sur la société dans son ensemble. Le Black Friday, qui est un phénomène commercial venu des États-Unis, s'est imposé dans le calendrier commercial français avec une force considérable. Pourtant, j'ai choisi de ne pas y participer. Voici cinq raisons qui expliquent pourquoi :1️⃣ Valorisation du travail et de la qualité Mes cours sont le fruit d'un travail acharné et d'un savoir-faire qui mérite d'être rémunéré à sa juste valeur. En tant que professeure de Français Langue Etrangère et cheffe d'entreprise, je suis également porteuse d'une certaine éthique où la qualité prime sur la quantité, une notion difficilement compatible avec l'esprit du Black Friday.2️⃣ Impact économique à long terme Mon but est bien de vivre de ma passion mais pas à n'importe quel prix. Apprendre et parler français ne peut pas se faire en 2 clics. Ça demande du temps et de l'investissement. Les personnes qui attendent le Black Friday pour s'inscrire à des cours de français ne sont pas nécessairement les clients avec lesquels je veux travailler. 3️⃣ Soutien à l'économie locale Je suis consciente de l'importance de soutenir l'économie locale. En tant qu'entrepreneure basée à Paris, je sais que privilégier le commerce de proximité contribue à la vitalité économique de ma région et au maintien de l'emploi local. 4️⃣ Consommation responsable L'impact écologique du Black Friday est non négligeable : surproduction, gaspillage et consommation accrue d'énergie. En tant qu'entrepreneure, même si je ne vends pas de biens matériels, j'ai une responsabilité sociale et écologique. Par conséquent, le Black Friday est un peu en opposition avec ma manière de consommer. 5️⃣ Pression et stress Les entrepreneurs comme moi sont souvent stressés. Il faut atteindre des objectifs, maintenir les rentrées d'argent et payer beaucoup de charges sociales. En conclusion, ne pas participer au Black Friday est une décision réfléchie qui s'inscrit dans une approche plus durable et plus respectueuse de mon travail et de mes valeurs. Je privilégie la qualité avec les clients. Pour en savoir plus, rendez-vous dans l'épisode du podcast. Notes de l'épisode :Pour tester ton niveau : https://ilearnfrench.eu/test/ “Le Français avec Yasmine” existe grâce au soutien des membres et élèves payants. Il y a 3 manières de soutenir ce podcast pour qu'il continue à être libre, indépendant et rebelle : 1️⃣ Le Club de Yasmine Le Club privé du podcast qui donne accès à toutes les transcriptions des épisodes relues et corrigées au format PDF, à 6 épisodes secrets par an, la newsletter privée en français et l'accès à la communauté des élèves et membres sur Discord pour continuer à partager et se rencontrer. https://lefrancaisavecyasmine.com/club 2️⃣ Les livres du podcast Les transcriptions du podcast sont disponibles dans les livres “le Français avec Yasmine” sur Amazon : http://amazon.com/author/yasminelesire 3️⃣ Les cours de français avec YasminePour aller encore plus loin et améliorer ton français avec moi, je te donne rendez-vous dans mes cours et mes formations digitales. Je donne des cours particuliers (en ligne et à Paris) et des cours en groupe en ligne. Rendez-vous sur le site de mon école pour découvrir le catalogue des cours disponibles : www.ilearnfrench.eu ➡️ Rendez-vous sur les réseaux sociaux Instagram : https://www.instagram.com/ilearnfrench/LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/yasmine-lesire-ilearnfrench/ ➡️ Crédit musique La musique de cet épisode est créée par le groupe Beam. Merci à Maayan Smith et son groupe pour la musique.
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Diriger une entreprise familiale, c'est déjà une chose. Mais transmettre cette entreprise, c'est une autre bataille. Et souvent, les dirigeants reportent, évitent, ou pensent qu'ils ont le temps. Pourtant, chaque année, des milliers d'entreprises familiales disparaissent, non pas parce qu'elles n'étaient pas rentables, mais parce que leur transmission a été mal préparée. Une entreprise familiale, c'est plus qu'un business. C'est une histoire, des valeurs, une fierté. Mais c'est aussi, parfois, une bombe à retardement : un fils qui n'a jamais voulu reprendre l'entreprise, une fille mise à l'écart sans raison, un fondateur qui s'accroche au pouvoir. Tout ça, souvent, dans un silence assourdissant. Bref, failles dans la gouvernance, conflits entre héritiers, rancunes non exprimées… Voilà ce qui peut transformer un héritage en désastre. Lors de mon dernier podcast, j'ai échangé avec Frédéric Lucet et Pierre-Emmanuel Costeux de Family & Co, experts des transmissions transgénérationnelles, qui accompagnent depuis 20 ans les familles dirigeantes. Leur constat ? Transmettre une entreprise, c'est plus dangereux que de la diriger. Car transmettre, ce n'est pas déléguer, c'est co-construire. Et ça ne commence pas à 65 ans, mais bien des années – voire des décennies – avant. Pourquoi ? Parce que transmettre, c'est :1️⃣ Choisir, et donc renoncer. Tous vos enfants ne peuvent pas tout avoir : diriger, détenir, décider. Chaque choix implique un risque, et éviter ces décisions par facilité, c'est semer la discorde pour demain 2️⃣ Accepter de perdre du pouvoir. Pour beaucoup de dirigeants, transmettre, c'est s'effacer. Et c'est terrifiant. Mais refuser de lâcher prise, c'est condamner la génération suivante à échouer. Le courage, ici, n'est pas de rester aux commandes, mais de savoir partir 3️⃣ Transformer au lieu de copier. Une transmission réussie n'est pas une simple continuité. C'est une transformation. La génération suivante doit réinventer l'entreprise pour qu'elle reste pertinente. Ce n'est pas une trahison, c'est une évolution En fin de compte, les entreprises familiales qui réussissent ne sont pas celles qui évitent les conflits. Ce sont celles qui les affrontent, ensemble. Parce que transmettre, c'est aussi avoir le courage d'écouter. Ceux qui survivent sont ceux qui comprennent que transmettre, ce n'est pas déléguer. C'est guider, accompagner, et surtout écouter Et pour aller plus loin, notamment pour les passionnés des sujets de transmissions familiales, Pierre-Emmanuel est également co-auteur, avec Laurent Allard, du livre "Accompagner et pérenniser une entreprise familiale" ! Plus de 40 ans d'expertise cumulée réunie dans un livre, autant d'années que je passe à trouver quel costume mettre aujourd'huiHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous allons expliquer les grands principes de la valorisation en équivalent salaire qu'on utilise en rémunération globale.
Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Dirigeants, comment fixer et sécuriser le prix de cession de votre entreprise pour éviter les mauvaises surprises ?Dirigeants d'entreprises, vous vous apprêtez à vendre votre société et une question essentielle se pose : comment fixer et sécuriser le prix de vente ? Entre ajustement de la dette, maîtrise du BFR, et analyse des flux financiers, choisir la bonne méthode peut faire toute la différence.Locked Box ou Comptes au Closing ? Deux approches, deux logiques, mais un même objectif : éviter les mauvaises surprises.Pour répondre à cette question, j'ai eu le grand de plaisir de recevoir dans ce nouvel épisode d'Une Cession Presque Parfaite, Xavier Trollé, manager pôle conseil, et Jean-Baptiste Barsi, avocat M&A, tous deux au sein de chez IMPULSA.Au programme notamment :
-25% sur toutes mes formations avec le code promo "inflation".Cette semaine on accueille Susan et Nicolas. Au programme, quitter le métier d'avocat, rénover et exploiter la ferme familiale en Auvergne sous forme de gites, mais surtout comment faire l'acquisition de 28 lots et en rénover 17 lots en 2 ans grâce à un pourquoi très fort. On va également discuter de leur laverie. Combien ça rapporte, quel est l'investissement de départ ... Un épisode long comme on aime et riche avec un couple qui a une bonne humeur communicative.
Le sujet :L'investissement en actions attire de nombreux particuliers, mais implique des décisions stratégiques complexes. La performance des fonds par rapport aux indices, les biais cognitifs et l'importance d'une analyse rigoureuse sont des éléments à maîtriser. La diversification est cruciale pour réduire les risques et optimiser les rendements. Les enjeux sont amplifiés par des facteurs comme les fluctuations des taux d'intérêt et les évolutions géopolitiques, ce qui complexifie la prise de décision pour les investisseurs individuels.L'invité du jour :Pierre Blanchet, responsable des solutions d'investissement chez Amundi, dispose d'une solide connaissance en matière de gestion de portefeuilles diversifiés et en analyse fondamentale. Au micro de Matthieu Stefani, Pierre partage son expérience en gestion de portefeuilles diversifiés et en analyse fondamentale, ainsi que sa compréhension des cycles de marché et de l'impact des régulations sur les investissements. Quelles sont les différences entre la performance des portefeuilles diversifiés et les indices en période de forte concentration ?Pourquoi la compréhension des fondamentaux des entreprises est-elle importante avant d'acheter une action ?Comment distinguer la trésorerie et le free cash flow, et pourquoi ce dernier est-il déterminant pour l'investissement ?Comment les biais cognitifs influencent-ils les décisions d'investissement, et comment les éviter ?Quels critères permettent de juger si une action est surévaluée ou sous-évaluée ?En quoi l'analyse des actifs et la structure de la dette influencent-elles la décision d'investir ?Quelle est la place de l'instinct par rapport aux analyses rationnelles et aux modèles prédictifs dans les choix d'investissement ?Comment les politiques et régulations peuvent-elles affecter les portefeuilles, notamment ceux axés sur des thématiques spécifiques telles que la transition écologique ?Quelles stratégies peuvent être mises en place pour gérer un portefeuille diversifié tout en incluant des valeurs spécifiques que l'on suit de près ?On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Amundi, n°1 en France des solutions d'investissement.
Aujourd'hui, nous avons le plaisir de recevoir Ludovic Bauplé, Chief Revenue Officer chez Alan, pour discuter d'une levée de fonds inattendue de 173 millions d'euros avec Belfius, le deuxième bancassureur de Belgique, tour de table qui fait grimper la valorisation d'ALAN à 4 milliards d'euros.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/frenchweb-business--3299227/support.
Pour la troisième conférence réalisée devant un public durant les Rencontres d'Arles 2024, je suis entourée d'Urs Stahel, conservateur à la fondation MAST à Bologne et Arthur Mettetal, historien des chemins de fer et spécialiste du patrimoine ferroviaire et industriel. Dans cette conversation on est revenu sur les enjeux et leurs rôles de commissaires à travers les exemples des expositions dont ils sont les commissaires aux Rencontres d'Arles cette année : « Quand les images apprennent à parler » et « Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire ». Un grand merci à l'interprète Anita Saxena et très bonne écoute !3'30 - Urs Stahel : son travail à la fondation MAST et sa rencontre avec la collectionneuse Astrid Ullens de Schooten Whettnall.8'10 – La genèse de l'expo « Quand les images apprennent à parler » et la construction de la collection A.12'50 – Le choix de sélection des photographies de cette collection composée de différentes écrire qui rendent compte de la réalité des sociétés et d'histoires industrielles.19'10 – Cette exposition est le travail d'une toute petite équipe composée de trois personnes.22' – Arthur Mettetal : délégué général du fonds de dotation Orient Express et historien. Son rapport à la photo est venu avec un projet, en 2010-2011, sur l'usine Metal Europe, dans le Pas de Calais. Puis réalisation d'une thèse sur l'histoire de l'Orient Express. Réflexions sur l'utilisation de photos pour documenter et créer de l'archive, mais aussi l'utilisation d'images comme source de l'histoire. Réalisation d'une première expo à Arles en 2021, intitulée : « Orient express & cie. »25'55 –Valorisation d'une recherche historique en la partageant au plus grand nombre.27'21 – La genèse de l'exposition.30' – Comment il a sélectionné les œuvres et documents à inclure : un coup de foudre visuel avec une série. Ce n'est pas une histoire exhaustive de la nourriture dans les différentes mobilités, mais partir de série d'images et créer un cheminement intelligible. Histoire des innovations, des chemins de fer, et de la manière dont les entreprises utilisent la photo pour se créer une culture de marque.32'30 – L'envers du décor de l'exposition : Il est tout seul sur le fonds de dotation et il s'est entouré de l'éditeur Textuel pour faire un livre et l'exposition est co-produite par les Rencontres d'Arles. Ils travaillent sur le fonds depuis 6 ans et ils ont eu trois mois pour ce projet.36'45 - Arthur Metttal : ses conseils pour des personnes qui souhaitent devenir commissaire d'exposition :- Se confronter à des fonds d'entreprises, car ils sont magnifiques et certains sont en danger.- Dans une pratique historique, ne restons pas dans les archives papier classiques, mais utilisons l'image comme source de l'image en allant sur le terrain.38'30 – Urs Stahel : ses conseils pour de futurs commissaires : On a l'idée qu'il y a une seule histoire de la photographie, mais il y a une histoire oubliée de l'histoire, il s'agit de l'histoire de la production et des industries.Quand les images apprennent à parler : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1548/quand-les-images-apprennent-a-parlerWagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1550/wagon-barPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi dit-on que certaines actions sont "chères", d'autres "sous-évaluées" ou "faiblement valorisées" ? Vous l'avez compris nous parlerons de valorisation boursière et notamment de son indicateur le plus utilisé : Le PER.
Aujourd'hui, je vous propose un épisode un tout petit peu différent mais très intéressant. C'est très bientôt le Podcasthon, ce grand évènement du monde du podcast francophone qui met en avant des associations qui nous sont chères. Je n'ai pas su tout à fait choisir, donc en fait je voudrais vous faire découvrir, aujourd'hui et dans le prochain épisode, 2 associations complètement en lien avec nos thématiques du fait main.On commence avec l'association De l'or dans les mains et sa fondatrice Gabrielle, qui nous explique son engagement pour la valorisation des métiers manuels au sein de nos collèges français. L'association a conçu un programme d'initiation à l'intelligence manuelle, avec tout un parcours d'ateliers pratiques, pour montrer aux élèves des classes de 5e le champ des possibles. Comme vous le savez sans doute, la transmission de beaucoup de nos savoir-faire artisanaux et manuels est en péril en France. Avec Gabrielle, on a donc parlé d'orientation et d'éducation, de ce que représentent les activités de la main pour nos jeunes et pour notre société et de la manière dont nous, parents et adultes, pouvons éveiller cet élan créatif. Vous allez voir, c'est hyper intéressant !Bonne écoute !Mélanie
Ce jeudi 4 janvier, la forte valorisation des "7 magnifiques" de la tech US et l'effet de choc occasionné qui traduit leur empreinte sur le marché de la nouvelle technologie a été abordé par Sylvie Matherat, senior adviser chez Mazars, Patrice Geoffron, professeur à Paris Dauphine et membre du Cercle des économistes, et Christian Poyau, PDG de Micropole, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Des changements dans la gestion des déchets sont prévus pour les Français en 2024. Youri Ivanov, PDG de Sépur, acteur de la collecte et valorisation des déchets, répond aux questions de RTL à ce sujet. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 28 décembre 2023 avec Isabelle Choquet et Vincent Derosier.
Jeudi 30 novembre, François Sorel a reçu Étienne Bracq, journaliste BFM Business, Lucas Perraudin, fondateur de Mula digital et ancien directeur de Meta Reality Labs EMEA, Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Erik Campanini, cofondateur LePont et Raphaël Grably, rédacteur en chef adjoint du site Tech&Co. Ils ont abordé le premier anniversaire de ChatGPT, la valorisation d'OpenAI et l'affrontement des visions de l'IA, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
C'est bientôt le Black Friday et bien que ce ne soit pas une tradition française ni européenne, on en parle partout. En tant qu'entrepreneure et professeure, ma mission est d'aider des adultes à progresser en français et à vivre de ce métier. Je suis consciente que chaque décision que je prends a un impact, non seulement sur mon école, mais aussi sur la société dans son ensemble. Le Black Friday, qui est un phénomène commercial venu des États-Unis, s'est imposé dans le calendrier commercial français avec une force considérable. Pourtant, j'ai choisi de ne pas y participer. Voici cinq raisons qui expliquent pourquoi : 1️⃣ Valorisation du travail et de la qualité Mes cours sont le fruit d'un travail acharné et d'un savoir-faire qui mérite d'être rémunéré à sa juste valeur. En tant que professeure de Français Langue Etrangère et cheffe d'entreprise, je suis également porteuse d'une certaine éthique où la qualité prime sur la quantité, une notion difficilement compatible avec l'esprit du Black Friday. 2️⃣ Impact économique à long terme Mon but est bien de vivre de ma passion mais pas à n'importe quel prix. Apprendre et parler français ne peut pas se faire en 2 clics. Ça demande du temps et de l'investissement. Les personnes qui attendent le Black Friday pour s'inscrire à des cours de français ne sont pas nécessairement les clients avec lesquels je veux travailler. 3️⃣ Soutien à l'économie locale Je suis consciente de l'importance de soutenir l'économie locale. En tant qu'entrepreneure basée à Paris, je sais que privilégier le commerce de proximité contribue à la vitalité économique de ma région et au maintien de l'emploi local. Participer au Black Friday, c'est souvent aller à l'encontre de cette dynamique locale. 4️⃣ Consommation responsable L'impact écologique du Black Friday est non négligeable : surproduction, gaspillage et consommation accrue d'énergie. En tant qu'entrepreneure, même si je ne vends pas de biens matériels, j'ai une responsabilité sociale et écologique. Je regarde ce que je consomme. Je ne mange pas d'aliments qui ont traversé des océans. J'essaie d'acheter le plus souvent en seconde main. Par conséquent, le Black Friday est un peu en opposition avec ma manière de consommer. 5️⃣ Pression et stress Les entrepreneurs comme moi sont souvent stressés. Il faut atteindre des objectifs, maintenir les rentrées d'argent et payer beaucoup de charges sociales. Le Black Friday peut créer une pression inutile sur les entrepreneurs car en plus de vendre leurs produits et services moins chers, ils doivent le faire en même temps que tout le monde. En conclusion, ne pas participer au Black Friday est une décision réfléchie qui s'inscrit dans une approche plus durable et plus respectueuse de mon travail et de mes valeurs. Je privilégie la qualité avec les clients. Pour en savoir plus, rendez-vous dans l'épisode du podcast. Notes de l'épisode : Pour tester ton niveau : https://ilearnfrench.eu/test/ Pour accéder aux transcriptions : Les transcriptions du podcast sont disponibles grâce à un abonnement. Chaque semaine, en plus de ton épisode, reçois la transcription, ma newsletter secrète et plein d'autres choses pour booster ton français. Pour me rejoindre : https://school.ilearnfrench.eu/Podcast Pour participer à mes cours : Pour continuer cette conversation et améliorer ton français avec moi, rendez-vous sur www.ilearnfrench.eu Rendez-vous sur les réseaux sociaux : Si tu veux m'envoyer un message et me suivre sur les réseaux, suis-moi et ajoute-moi. Je te répondrai personnellement. Instagram : https://www.instagram.com/ilearnfrench/ Linkedin : https://www.linkedin.com/in/yasmine-lesire-ilearnfrench/ Crédit musique : La musique de cet épisode est créée par le groupe Beam. Merci à Maayan Smith et son groupe pour la musique. Pour suivre le groupe Beam : https://www.facebook.com/beamband/ https://store.cdbaby.com/cd/beam3 https://open.spotify.com/album/0wh9CvbPVNMi9wdqqBFFBW
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