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durée : 00:20:01 - Journal de 18h - Après l'annonce d'un repreneur pour Brandt, le gouvernement reste prudent concernant ce projet de reprise par le français Thomson Computing spécialisé dans les produits informatiques, du groupe d'électroménager, placé en liquidation judiciaire.
durée : 00:20:01 - Journal de 18h - Après l'annonce d'un repreneur pour Brandt, le gouvernement reste prudent concernant ce projet de reprise par le français Thomson Computing spécialisé dans les produits informatiques, du groupe d'électroménager, placé en liquidation judiciaire.
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
La construction d'un porte-avions, destiné à remplacer le Charles-de-Gaulle d'ici 2038, a commencé ce dimanche 21 décembre 2025 à Saint-Nazaire. S'il s'agit d'une très bonne nouvelle pour David Samzun, le maire de la ville lance un appel pour l'aider à financer de nouvelles infrastructures afin d'accueillir cette nouvelle main-d'œuvre. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
A 10h, ce vendredi 12 décembre 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : "Liquidation judiciaire, faut-il sauver Brandt à tout prix ?".
Dans l'épisode de Vigilance du mois de décembre :Elodie Uzureau, chef de projet senior Climat et RSE chez Toovalu, décrit une stratégie bas-carbone adaptée aux PME ;Anne-Laure Tulpain, journaliste spécialisée en environnement chez Lefebvre Dalloz, revient sur le financement des énergies carbonées et décarbonées ;et Laura Guégan, journaliste spécialisée en HSE chez Lefebvre Dalloz, évoque les mutations démographiques actuelles et leurs conséquences en terme d'emplois des jeunes, des femmes et des seniors. Présentation Sophie Bridier ; montage Angeline Doudoux, journalistes chez Lefebvre DallozHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'épisode de Vigilance du mois de décembre :Elodie Uzureau, chef de projet senior Climat et RSE chez Toovalu, décrit une stratégie bas-carbone adaptée aux PME ;Anne-Laure Tulpain, journaliste spécialisée en environnement chez Lefebvre Dalloz, revient sur le financement des énergies carbonées et décarbonées ;et Laura Guégan, journaliste spécialisée en HSE chez Lefebvre Dalloz, évoque les mutations démographiques actuelles et leurs conséquences en terme d'emplois des jeunes, des femmes et des seniors. Présentation Sophie Bridier ; montage Angeline Doudoux, journalistes chez Lefebvre DallozHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour sortir leur économie du tout-pétrole, les Émirats arabes unis ont décidé de mettre leur population au travail. Le gouvernement a imposé des quotas d'embauche de ses citoyens dans le secteur privé, afin qu'ils constituent 10% de la main-d'œuvre d'ici 2026. Comment les entreprises se plient-elles à ces nouvelles règles, et comment changer les habitudes d'une population longtemps habituée aux subventions généreuses et aux emplois gouvernementaux peu contraignants ? De notre envoyée spéciale à Abou Dhabi, À Ras al-Khaimah, à l'extrême nord des Émirats arabes unis, une station balnéaire gigantesque sort de terre sur un littoral jusque-là peu exploité. Wafa el-Hassani, une architecte émirienne de 26 ans, participe à l'un des chantiers. « Le projet sur lequel je travaille est un ensemble d'habitations composé de deux immeubles », explique l'architecte chez Dewan Architects. Il s'agit d'un complexe à 351 millions d'euros impliquant plus de 800 employés. Gilet jaune et casque vissé sur la tête, Wafa incarne une nouvelle génération d'Émiriens. « Si par exemple, on pense à la génération de nos mères : à leur époque, les femmes ne travaillaient pas en dehors de la maison. Si on revient dix ans en arrière ou plus, c'était impossible de voir une Émirienne travailler sur un chantier. » À l'avenir, la jeune professionnelle ambitionne de diriger des projets de construction. « Trouver un vivier de talents est compliqué » À 100 kilomètres de là, entre les gratte-ciel, le quartier du design de Dubaï héberge Dewan Architects, le cabinet qui emploie Wafa, fondé il y a 41 ans par la famille de l'actuel PDG, Ammar al-Assam. « C'est un métier difficile, qui demande beaucoup de temps et de formation », confie celui-ci. Sur les 700 employés, 40 sont Émiriens, et les autres viennent de 50 pays du monde entier. L'entreprise applique les quotas, mais non sans défi. « Trouver un vivier de talents est donc compliqué, et fidéliser le personnel local l'est encore plus. La meilleure façon d'attirer les talents, c'est de les recruter dès la fin de leurs études », développe le PDG. Ouvrir des horizons professionnels aux étudiants À Abou Dhabi, la capitale, l'université de La Sorbonne a ouvert ses portes il y a vingt ans. Là-bas, 60% des étudiants sont émiriens. « En grande majorité, les administrations de Sécurité sociale sont financées grâce aux cotisations sociales », précise Antoine Lebrun, maître de conférences en droit public à La Sorbonne Abou Dhabi. Ce cours de droit public français a pour objectif d'ouvrir les horizons des étudiants comme Shaikha al-Ali, qui se préparent à conduire leur pays vers une sortie de la dépendance aux hydrocarbures. C'est le cas de Shaikha al-Ali, 20 ans. « J'aimerais être une avocate qualifiée et travailler dans un organisme semi-gouvernemental ou dans le secteur privé », ambitionne l'étudiante en Licence 2 de droit. L'enjeu est de taille dans ce pays où les nationaux ne représentent qu'un million d'habitants pour 10 millions d'étrangers, travailleurs migrants et expatriés. Nathalie Martial Braz, chancelière de l'université, éclaire : « Il faut que leur population soit formée, ils n'ont pas le choix. Il y a cette compréhension nationale de la nécessité de compenser la faiblesse du nombre par la qualité de leur enseignement supérieur et de leurs élites. » Pour autant, les Émiriens ne sont pas prêts à se passer des petites mains qui font tourner l'économie. À lire aussiÀ Dubaï, l'émiratisation pour pousser l'emploi des locaux dans les entreprises privées
Pour sortir leur économie du tout-pétrole, les Émirats arabes unis ont décidé de mettre leur population au travail. Le gouvernement a imposé des quotas d'embauche de ses citoyens dans le secteur privé, afin qu'ils constituent 10% de la main-d'œuvre d'ici 2026. Comment les entreprises se plient-elles à ces nouvelles règles, et comment changer les habitudes d'une population longtemps habituée aux subventions généreuses et aux emplois gouvernementaux peu contraignants ? De notre envoyée spéciale à Abou Dhabi, À Ras al-Khaimah, à l'extrême nord des Émirats arabes unis, une station balnéaire gigantesque sort de terre sur un littoral jusque-là peu exploité. Wafa el-Hassani, une architecte émirienne de 26 ans, participe à l'un des chantiers. « Le projet sur lequel je travaille est un ensemble d'habitations composé de deux immeubles », explique l'architecte chez Dewan Architects. Il s'agit d'un complexe à 351 millions d'euros impliquant plus de 800 employés. Gilet jaune et casque vissé sur la tête, Wafa incarne une nouvelle génération d'Émiriens. « Si par exemple, on pense à la génération de nos mères : à leur époque, les femmes ne travaillaient pas en dehors de la maison. Si on revient dix ans en arrière ou plus, c'était impossible de voir une Émirienne travailler sur un chantier. » À l'avenir, la jeune professionnelle ambitionne de diriger des projets de construction. « Trouver un vivier de talents est compliqué » À 100 kilomètres de là, entre les gratte-ciel, le quartier du design de Dubaï héberge Dewan Architects, le cabinet qui emploie Wafa, fondé il y a 41 ans par la famille de l'actuel PDG, Ammar al-Assam. « C'est un métier difficile, qui demande beaucoup de temps et de formation », confie celui-ci. Sur les 700 employés, 40 sont Émiriens, et les autres viennent de 50 pays du monde entier. L'entreprise applique les quotas, mais non sans défi. « Trouver un vivier de talents est donc compliqué, et fidéliser le personnel local l'est encore plus. La meilleure façon d'attirer les talents, c'est de les recruter dès la fin de leurs études », développe le PDG. Ouvrir des horizons professionnels aux étudiants À Abou Dhabi, la capitale, l'université de La Sorbonne a ouvert ses portes il y a vingt ans. Là-bas, 60% des étudiants sont émiriens. « En grande majorité, les administrations de Sécurité sociale sont financées grâce aux cotisations sociales », précise Antoine Lebrun, maître de conférences en droit public à La Sorbonne Abou Dhabi. Ce cours de droit public français a pour objectif d'ouvrir les horizons des étudiants comme Shaikha al-Ali, qui se préparent à conduire leur pays vers une sortie de la dépendance aux hydrocarbures. C'est le cas de Shaikha al-Ali, 20 ans. « J'aimerais être une avocate qualifiée et travailler dans un organisme semi-gouvernemental ou dans le secteur privé », ambitionne l'étudiante en Licence 2 de droit. L'enjeu est de taille dans ce pays où les nationaux ne représentent qu'un million d'habitants pour 10 millions d'étrangers, travailleurs migrants et expatriés. Nathalie Martial Braz, chancelière de l'université, éclaire : « Il faut que leur population soit formée, ils n'ont pas le choix. Il y a cette compréhension nationale de la nécessité de compenser la faiblesse du nombre par la qualité de leur enseignement supérieur et de leurs élites. » Pour autant, les Émiriens ne sont pas prêts à se passer des petites mains qui font tourner l'économie. À lire aussiÀ Dubaï, l'émiratisation pour pousser l'emploi des locaux dans les entreprises privées
durée : 00:05:45 - L'invité d'ICI Matin, ICI Drôme Ardèche - Face au projet de loi de finances 2026 débattu à l'Assemblée nationale, les structures et les entreprises sociales lancent un cri d'alerte face au risque de coupe budgétaire qui entraînerait le licenciement de plus de 300 encadrants et conseillers en insertion professionnelle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Comment réinventer les talents à l'ère de l'IA ?Dans cet épisode, je reçois Léa , speaker et entrepreneure, qui travaille depuis plus de dix ans sur les liens entre technologie et développement des talents. Après son intervention au Global Peter Drucker Forum, elle partage avec nous ce que l'intelligence artificielle change — ou devrait changer — dans notre façon de former, manager, et valoriser les individus dans les organisations.Léa nous propose un autre regard sur les juniors, l'engagement, les biais de recrutement, l'éducation, et même la parentalité, en montrant comment l'IA peut devenir un levier… ou un piège. C'est une conversation dense, où on parle autant de soft skills que d'architecture des systèmes RH, et où la voix humaine reprend toute sa place.Ce que vous allez entendre :Pourquoi il faut repenser le leadership à l'ère des outils intelligentsComment l'IA redéfinit la notion de “talent” et de “performance”Le risque d'un marché du travail qui marginalise les jeunes et les profils atypiquesLe lien entre parentalité et management en contexte IAiséL'impact d'une IA mal utilisée sur l'engagement des collaborateursPourquoi les grandes écoles freinent l'adoption de l'IALe danger de confondre automatisation et progrèsLe rôle des entreprises dans l'alphabétisation à l'IACe que cache vraiment le storytelling alarmiste autour de l'intelligence artificielleLes dérives possibles quand l'IA devient co-parent à la maisonConclusion :Ce n'est pas l'IA qu'il faut craindre, mais la manière dont on l'intègre. Pour Léa, l'enjeu est de renforcer notre capacité individuelle à évoluer, apprendre, décider. Et redonner une vraie place à l'humain.
Enseignant ou employé le jour, développeur informatique ou chauffeur de taxi le soir. On les appelle les slasheurs, ces individus qui jonglent entre plusieurs activités professionnelles. Si certains cumulent les petits boulots par nécessité économique, d'autres font le choix de la polyvalence et revendiquent de porter plusieurs casquettes. En France, 4,3 millions de personnes cumulent au moins une activité complémentaire rémunérée et déclarée, soit 15% des actifs en emploi, selon une étude de 2025 réalisé pour le salon SME des indépendants, créateurs et dirigeants de TPE. Une tendance qui se pérennise. Cette pluriactivité, prisée par les jeunes générations bouscule nos modèles d'organisation du travail et brouille les frontières entre salariat, indépendance et entreprenariat. Pour les slasheurs, cette carrière à la carte leur permet peut-être de cumuler les passions, d'assouvir leur curiosité mais à quel prix ? Si les jeunes font preuve d'agilité et d'adaptabilité face à la fragilité des marchés de l'emploi, ne risquent-ils pas la surcharge ? Leur multi-activité est-elle rémunérée à sa juste valeur ? Avec : • Marielle Barbe, slasheuse, consultante, formatrice, conférencière et autrice de Profession slasheur / La vie est trop courte pour choisir un seul métier (Diatéino, 2023). • Un témoignage recueilli par Sarah Cozzolino, correspondante de RFI à Rio de Janeiro, au Brésil : Luciana Sena a 41 ans. Comédienne, bartender, commerciale, pâtissière. Elle a déjà eu plusieurs vies. Aujourd'hui elle cumule trois emplois en tant qu'indépendante. Sarah Cozzolino l'a suivie dans la banlieue de Rio de Janeiro • Un entretien avec Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde où l'on parle davantage de «multi-travailleurs numériques», de «multi-tâches forcées», «d'économie du surtravail». Des termes qui renvoient à une réalité subie du slashing. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, Estelle nous parle des podcasts filmés, un format très prisé des médias mais aussi des entrepreneurs sur le continent africain. Programmation musicale : ► Chief Keef – HIBA ► Dé Mo Dé Mo - Aleksand Saya & Sarera.
Enseignant ou employé le jour, développeur informatique ou chauffeur de taxi le soir. On les appelle les slasheurs, ces individus qui jonglent entre plusieurs activités professionnelles. Si certains cumulent les petits boulots par nécessité économique, d'autres font le choix de la polyvalence et revendiquent de porter plusieurs casquettes. En France, 4,3 millions de personnes cumulent au moins une activité complémentaire rémunérée et déclarée, soit 15% des actifs en emploi, selon une étude de 2025 réalisé pour le salon SME des indépendants, créateurs et dirigeants de TPE. Une tendance qui se pérennise. Cette pluriactivité, prisée par les jeunes générations bouscule nos modèles d'organisation du travail et brouille les frontières entre salariat, indépendance et entreprenariat. Pour les slasheurs, cette carrière à la carte leur permet peut-être de cumuler les passions, d'assouvir leur curiosité mais à quel prix ? Si les jeunes font preuve d'agilité et d'adaptabilité face à la fragilité des marchés de l'emploi, ne risquent-ils pas la surcharge ? Leur multi-activité est-elle rémunérée à sa juste valeur ? Avec : • Marielle Barbe, slasheuse, consultante, formatrice, conférencière et autrice de Profession slasheur / La vie est trop courte pour choisir un seul métier (Diatéino, 2023). • Un témoignage recueilli par Sarah Cozzolino, correspondante de RFI à Rio de Janeiro, au Brésil : Luciana Sena a 41 ans. Comédienne, bartender, commerciale, pâtissière. Elle a déjà eu plusieurs vies. Aujourd'hui elle cumule trois emplois en tant qu'indépendante. Sarah Cozzolino l'a suivie dans la banlieue de Rio de Janeiro • Un entretien avec Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde où l'on parle davantage de «multi-travailleurs numériques», de «multi-tâches forcées», «d'économie du surtravail». Des termes qui renvoient à une réalité subie du slashing. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, Estelle nous parle des podcasts filmés, un format très prisé des médias mais aussi des entrepreneurs sur le continent africain. Programmation musicale : ► Chief Keef – HIBA ► Dé Mo Dé Mo - Aleksand Saya & Sarera.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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À l’occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente la décision du Tribunal administratif du travail d’autoriser une autre grève des chauffeurs d’autobus et des opérateurs de métro de la Société de transport de Montréal (STM). Montréal sera de nouveau privée de transport en commun les 15 et 16 novembre. Malgré les inquiétudes soulevées par plusieurs organismes et leur demande de considérer ce service comme essentiel, le Tribunal juge qu'il n'y a pas de risque immédiat pour la santé ou la sécurité publique. Pendant ce temps, les employés d’entretien ont suspendu leur propre grève devant l’imminence d’une intervention gouvernementale. Autres sujets abordés TVA coupe 87 emplois et accumule les pertes; Bordel informatique en santé: qu’est-ce que Québec nous cache? Le délinquant sexuel Jeffrey Epstein revient hanter Donald Trump; Attaques terroristes contre Paris, c’était il y a 10 ans. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
95 millions de plus pour la numérisation en santé: Québec a contourné les règles pour relancer le DSN. Affaires et société avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Et si l'IA pouvait réellement nous aider à travailler mieux, ensemble ? Dans cet épisode, je reçois Hélène Desliens, cofondatrice d'Expertise, facilitatrice en intelligence collective et pionnière des formats hybrides qui combinent humains et IA.Avec elle, on parle design sprint, prise de décision, créativité, biais… et des angles morts que l'intelligence humaine seule ne voit pas toujours.Ce que vous allez entendre :Pourquoi les outils d'IA peuvent améliorer l'écoute et la qualité des échangesComment mieux capter les signaux faibles d'un groupeEn quoi l'IA peut déjouer certains biais cognitifsCe qu'un agent conversationnel bien paramétré peut (vraiment) apporter dans un sprintLes risques d'illusion d'efficacité quand on utilise l'IA sans cadre clairLes nouvelles compétences à développer pour co-faciliter avec une machineÉcoutez cet épisode si vous travaillez en équipe, facilitez des projets ou vous demandez comment marier IA et intelligence humaine sans y perdre du sens.
En Afrique du Sud, six jeunes sur dix sont sans emploi. Face à ce fléau, dans un pays pourtant moteur économique du continent, une tendance prend de plus en plus d'ampleur : ouvrir sa propre entreprise. Les jeunes créent alors les emplois qu'ils ne trouvent pas et recrutent des gens de leur âge. Dans une petite usine au cœur de Soweto, en Afrique du Sud, on découvre des bougies colorées, mais aussi l'histoire fascinante de son fondateur : « Je suis diplômé en psychologie, mais quand j'ai obtenu mon diplôme, je n'ai pas pu trouver d'emploi dans mon domaine d'études. Nous vivons dans un pays où le taux de chômage des jeunes dépasse les 60%, donc il est possible d'étudier la psychologie, mais il n'est pas possible de devenir psychologue », déplore le jeune homme. À 27 ans, Makatu Tshivhula a su troquer la blouse blanche de psychologue contre un t-shirt de sa marque de bougies, une entreprise qui emploie déjà trois autres jeunes. Il nous explique le procédé de fabrication : « La matière première est sous forme solide. On la plonge là-dedans pour qu'elle fonde. Une fois fondue, elle se transforme en liquide, comme ceci, puis nous la mettons dans la machine. Et après 20 minutes, voilà le résultat. » Lorsqu'on lui demande s'il souhaite un jour revenir à la psychologie, la réponse est sans détour : « Non, non. Ce qui m'importe maintenant, c'est mon bonheur. Chaque jour, des clients viennent ici pour me parler de leurs problèmes et me demander quelles bougies ils peuvent utiliser. Donc j'aide quand même les gens sans avoir à être dans un cabinet. » L'entrepreneuriat, une voie de salut pour la jeunesse D'après les statistiques récentes, comme Makatu, de plus en plus de Sud-Africains décident d'ouvrir leur propre entreprise. L'entrepreneuriat représente désormais plus de 10% de l'emploi chez les jeunes : bijoux, cosmétiques ou encore production audiovisuelle, comme pour Thabang Hlaka. « Nous faisons de la photographie, de la vidéo, du drone, du graphisme, des sites web... », raconte-t-il. Si aujourd'hui, son entreprise se porte bien, il a dû s'armer de patience, victime du manque d'opportunités dans sa ville d'origine, puis d'une perte d'emploi douloureuse pendant la pandémie de Covid-19. « À cette époque, j'ai perdu tout mon matériel, et j'ai commencé à déprimer, j'ai pensé à mourir. C'était tellement dur… Puis mon père m'a dit : ''Ne t'inquiète pas, j'ai quelque chose pour toi, un travail dans les mines". J'y suis allé, j'étais terrifié ! Deux jours plus tard, mon père est décédé, et j'ai eu un déclic. Je me suis dit ''Mec, ne retourne pas là-bas !'' J'ai pris mes dernières économies, j'ai acheté des paquets de cigarettes que j'ai commencé à vendre dans la rue. En deux semaines, j'ai pu me racheter du matériel et j'ai recommencé à faire ce que j'aimais », raconte l'entrepreneur. À 35 ans, Thabang collabore maintenant avec une dizaine de personnes et crée ainsi de l'emploi pour les jeunes de son quartier. Néo, 21 ans, vient de rejoindre l'équipe. « Je ne savais pas qu'il avait traversé toutes ces épreuves. Ça me touche beaucoup, et ça m'inspire aussi. Parce que c'est lui qui m'a donné l'occasion de travailler dans ce domaine. Pour moi, c'est un rêve qui est devenu réalité », confie-t-il. Des parcours qui forcent le respect, symboles d'une jeunesse lassée d'attendre que les choses changent, et bien décidée à régler le problème elle-même en créant ses propres opportunités.
durée : 00:02:33 - C'est mon boulot - Dans les années 1960, tout le monde pensait que les emplois "peu qualifiés" allaient progressivement disparaître. Cela n'a pas été le cas. Ils existent toujours, ils se sont simplement transformés (selon une étude du Centre d'études et de recherche sur les qualifications). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'émission 28 minutes du 30/10/2025 Licenciements chez Amazon : l'IA va-t-elle détruire nos emplois ? C'est l'un de ses plus gros coups de rabot depuis sa création. Mardi, Amazon a annoncé la suppression de 14 000 postes qui devraient concerner des employés de bureau. La première étape seulement, selon différentes agences de presse, d'un plan de licenciement de 30 000 personnes. Cette annonce vient concrétiser la volonté de son patron Andy Jassy de réduire les coûts du groupe américain alors qu'il investit dans l'intelligence artificielle. Ces réductions doivent toucher “davantage la bureaucratie”, a déclaré Beth Galetti, vice-présidente chargée des ressources humaines et de la technologie. Une annonce qui questionne la menace que fait peser l'IA sur nos emplois. On en débat avec Yahya Fallah, entrepreneur, président de la commission IA de la CPME, Céline Antonin, économiste à l'OFCE, professeure affiliée à Sciences Po et Mathieu Slama, essayiste et journaliste politique. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 30 octobre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 30/10/2025 Élections au Cameroun et en Côte d'Ivoire : alternance impossible ?Ces derniers jours, deux élections présidentielles majeures se sont jouées en Afrique. Au Cameroun, l'indéboulonnable Paul Biya a été réélu par le Conseil constitutionnel avec 53,66 % des suffrages. À 92 ans, l'éternel président s'apprête à débuter un 8e mandat après 43 ans à la tête du pays. En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, 83 ans, a été réélu pour la 4e fois depuis 2011 : ses principaux opposants, l'ancien président Laurent Gbagbo et l'homme d'affaires Tidjane Thiam, avaient vu leurs candidatures rejetées par le Conseil constitutionnel. Ousmane Ndiaye, journaliste et auteur de “L'Afrique contre la démocratie : mythes, déni et péril”, analyse ces résultats. Licenciements chez Amazon : l'IA va-t-elle détruire nos emplois ? C'est l'un de ses plus gros coups de rabot depuis sa création. Mardi, Amazon a annoncé la suppression de 14 000 postes qui devraient concerner des employés de bureau. La première étape seulement, selon différentes agences de presse, d'un plan de licenciement de 30 000 personnes. Cette annonce vient concrétiser la volonté de son patron Andy Jassy de réduire les coûts du groupe américain alors qu'il investit dans l'intelligence artificielle. Ces réductions doivent toucher “davantage la bureaucratie”, a déclaré Beth Galetti, vice-présidente chargée des ressources humaines et de la technologie. Une annonce qui questionne la menace que fait peser l'IA sur nos emplois. On en débat avec Yahya Fallah, entrepreneur, président de la commission IA de la CPME, Céline Antonin, économiste à l'OFCE, professeure affiliée à Sciences Po et Mathieu Slama, essayiste et journaliste politique. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à la première rencontre depuis six ans entre Donald Trump et Xi Jinping en Corée du Sud, en marge du sommet de l'APEC. Théophile Cossa nous explique le fonctionnement des ouragans alors que l'ouragan Melissa a sévi dans les Caraïbes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 30 octobre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
Tous les jours à 6h46, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Le Morning, sur RMC.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 29 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 29 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amazon a annoncé la suppression d'environ 14 000 emplois, principalement dans ses équipes dites « corporate ». Ces coupes représentent environ 4 % de ses effectifs de bureau, mais elles traduisent surtout un changement profond dans la stratégie du géant américain. Le groupe fondé par Jeff Bezos n'est pas en crise ; il se réorganise pour affronter une nouvelle ère : celle de l'intelligence artificielle et de la rentabilité post-pandémie.Pendant la crise du Covid-19, Amazon avait embauché massivement pour répondre à l'explosion du commerce en ligne. Mais une fois la croissance revenue à un rythme plus normal, l'entreprise s'est retrouvée avec une structure lourde, coûteuse et parfois redondante. Andy Jassy, le PDG, l'a reconnu : Amazon veut devenir plus agile, avec « moins de couches hiérarchiques » et une organisation plus fluide. En clair, l'entreprise fait le ménage dans ses équipes de management intermédiaire et dans certaines fonctions administratives.Mais la raison principale de cette vague de licenciements tient à l'essor de l'intelligence artificielle. Amazon investit des milliards dans ce domaine, notamment avec son modèle d'IA maison, ses outils d'automatisation interne et ses services cloud. Certaines tâches de gestion, de planification ou de support peuvent désormais être réalisées plus vite et plus efficacement grâce à des systèmes d'IA générative. Andy Jassy l'a dit sans détour : « Nous aurons besoin de moins de personnes pour certains métiers, et de plus pour d'autres. »Derrière ce discours, on trouve aussi une logique financière. Les marchés veulent des marges plus élevées. Pour rassurer les investisseurs et absorber le coût colossal des nouveaux data centers et du développement de l'IA, Amazon cherche à réduire ses dépenses. Et le personnel « corporate », moins directement lié aux ventes, est souvent la première variable d'ajustement.Les équipes les plus touchées sont celles des services administratifs, du marketing et de la publicité, ainsi que certaines divisions du retail et des appareils électroniques. En revanche, les postes d'entrepôt et de livraison ne sont pas concernés à court terme, même si l'automatisation pourrait aussi y modifier le travail demain.Cette restructuration illustre une tendance de fond dans le secteur technologique : après des années de croissance effrénée, les géants cherchent désormais à devenir plus efficaces, plus légers et plus rentables. L'IA ne détruit pas encore des millions d'emplois, mais elle redessine déjà les contours du travail de bureau. Chez Amazon comme ailleurs, la révolution ne fait que commencer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En plein développement de l'intelligence artificielle, le géant américain du commerce en ligne Amazon a annoncé mardi 28 octobre la suppression de 14.000 emplois. Une annonce retentissante, qui pose cette question : va-t-on perdre nos emplois à cause de l'IA ? Dans cet épisode du Choix info RTL, nous décortiquons cette révolution en cours du monde du travail.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
L'IA VA REMPLACER CES EMPLOIS AUTO… plus vite que tu penses
Débatteurs du soir : -Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD -Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquant Invité : -Alain Di Crescenzo, président de CCI France Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:02 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - C'est une nouvelle illustration des difficultés de l'économie allemande. Lufthansa, le premier groupe aérien européen, s'apprête à supprimer 4 000 emplois administratifs, d'ici 2030. Avec ce plan social de grande ampleur, la compagnie souhaite réduire les coûts et améliorer sa rentabilité.
Ce lundi 29 septembre, le plan de paix que Donald Trump va proposer au Premier ministre israélien a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Erwan Morice sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Syndicats : que pensez-vous des cotisations? Tribune téléphonique. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins à 8h17, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
durée : 00:07:53 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Kevin Dufreche - Parmi les pistes d'économies sur le budget de l'État évoquées par le Premier ministre François Bayrou, il y a la suppression d'une partie des agences de l'État : des agences inquiètes pour leur avenir. Ce matin à 7h50 nous recevons Philippe Henry, agriculteur bio et vice-président de l'Agence bio. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 17 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec cette décision du ministère des transports d'immobiliser toutes les C3 et DS3 qui font l'objet d'un rappel pour les défauts d'Airbag suite à de nouveaux accidents
On commence avec cette décision du ministère des transports d'immobiliser toutes les C3 et DS3 qui font l'objet d'un rappel pour les défauts d'Airbag suite à de nouveaux accidents
Fin du crédit d'impôt pour l'emploi d'une personne à domicile : on va basculer toute cette économie dans le travail non déclaré. Si on prend l'ensemble de l'activité, ça regroupe 1,2 millions de personnes selon la Fédération des Particuliers Employeurs. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 11 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fin du crédit d'impôt pour l'emploi d'une personne à domicile : on va basculer toute cette économie dans le travail non déclaré. Si on prend l'ensemble de l'activité, ça regroupe 1,2 millions de personnes selon la Fédération des Particuliers Employeurs. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 11 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 7 mai, François Sorel a reçu Isabelle Bordry, fondatrice de Retency, Cédric Ingrand, directeur général de Heavyweight Studio, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur le remplacement progressif des emplois par l'IA, la construction d'un data center en Europe par TikTok, et la nouvelle prouesse de Neuralink, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
durée : 00:19:43 - Journal de 18h - Beaucoup de monde notamment à Dunkerque, autour des salariés d'ArcelorMittal, qui a annoncé un plan social. Les appels à nationaliser l'entreprise ont fusé.
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