Podcasts about Thetford Mines

Dans cet épisode, je reçois Pascale, artiste originaire de Thetford Mines, que plusieurs connaissent également sous son nom de naissance, Valérie Pascale. Elle nous parle de son parcours musical, de son changement d'identité artistique, et de son plus récent projet : l'album Dragon.On plonge ensemble dans l'univers de sa chanson « Donde Vas », ainsi que dans les réflexions personnelles qui nourrissent sa création. Une discussion à cœur ouvert avec une artiste vraie, engagée, et profondément humaine.✨ C'est un réel plaisir de la retrouver, après l'avoir déjà reçue dans mon émission sur les ondes du FM 103,3.

Né à Montréal en 1976, Sébastien Dulude a grandi dans le quartier Mitchell à Thetford Mines de six à seize ans. Écrivain et éditeur, il est l'auteur de trois recueils de poésie dont «Ouvert l'hiver» (La Peuplade, 2015). «Amiante» est son premier roman.  "Thetford Mines, ville-phare de l'industrie de l'amiante québécoise, été 1986. Steve Dubois, neuf ans, et le petit Poulin, dix ans, s'abandonnent aux plaisirs de l'amitié. La belle saison est rythmée d'aventures sur les hauts terrils et d'évasions à travers les paysages mi-forestiers mi-lunaires. Les journées des deux inséparables s'écoulent dans l'oisiveté et l'innocence, sur leurs vélos ou allongés dans leur cabane parmi les pins. Or, l'année 1986 est riche en tragédies, et l'une d'entre elles affecte le cours de la vie de Steve comme nulle autre. Cinq ans plus tard, on le retrouve en proie à son obsession : reconstituer son paradis évanoui.Maniant une langue précise et sensuelle, Sébastien Dulude fait le récit d'une jeunesse fragile et inflammable dans un American Dream ouvrier en perte d'élan.La mine, c'est la violence sur certains parents, puis la violence sur certains enfants ; la mine, c'est l'isolement des enfants, et l'isolement, c'est l'ennui, et l'ennui, c'est la violence qui m'a enlevé mon ami." (Présentation des éditions La Peuplade)

Amiante est un premier roman qui se déroule dans la région de Thedford Mines au sud de la ville canadienne de Québec. À la fin des années 1980, un jeune narrateur, Steve, que l'on suit de 9 à 15 ans, fait l'apprentissage de l'amitié et de la mort. Cela alors que l'industrie minière vit ses dernières heures avec l'extraction d'une roche tout en contraste puisqu'à la fois, elle protège, mais empoisonne. À l'image du titre de ce livre de Sébastien Dulude qui paraît aux éditions La Peuplade. Né à Montréal en 1976, Sébastien Dulude a grandi de 6 à 16 ans dans le quartier Mitchell de Thetford Mines au Canada. Écrivain et éditeur, il est l'auteur de trois recueils de poésie dont Ouvert l'hiver (La Peuplade, 2015). Amiante, publié en 2024 aux éditions La Peuplade, est son premier roman.RFI : Vous êtes né à Montréal, au Québec, où vous êtes éditeur et poète, mais les lieux que vous décrivez ici, vous les connaissez bien pour y avoir vécu tout jeune. Qu'est-ce qui a déclenché l'écriture de cette fiction ? Est-ce que c'est l'envie de raconter l'incandescence de l'enfance ou l'envie de décrire comment un environnement, à la fois très beau, mais en même temps toxique, peut engendrer de la violence ?C'est exactement cette conjugaison-là. Je crois que je n'avais pas réalisé à quel point l'enfance avait cette incandescence. J'avais envie d'explorer l'amitié entre garçons à une époque d'innocence complète et de les situer à l'abri d'un monde, d'un environnement qui effectivement assez particulier – j'y ai grandi de 6 à 16 ans. Nous, on était à côté d'un des puits d'amiante, avec ces collines qui sont formées par l'extraction du minerai. C'est un lieu à la fois magique et dangereux. C'est-à-dire qu'il y a quand même des forêts, des rivières, etc. C'est une nature à quelques pas, à quelques coups de pédales de vélo. Alors cela donnait une enfance tout en innocence, mais avec un certain danger, dont on réalisait même pas la nature, tellement c'était omniprésent.Amiante. C'est un mot fascinant parce que c'est un minéral qui a été utilisé pour isoler les bâtiments, mais qui s'est révélé toxique pour la santé. Et c'est une dualité que vous explorez dans cette fiction construite en deux parties, de la même façon que le mot amiante, si on déplace une lettre, on obtient aimante.Aimanté, aimante, absolument.Cela vous plaît, cette ambiguïté ?Ah oui, beaucoup. J'aimais vraiment le titre. Je dis souvent que c'est le premier mot du livre. Pour les gens qui ont vécu à Thetford Mines, avec qui j'ai parlé lorsque je suis allé leur rendre visite pour un lancement récemment – je ne suis pas souvent retourné dans cette ville-là – ils ont le stigmate de ce mot.  Avec les gens qu'ils rencontraient à l'époque, les années 1980, 1990, c'était comme si on portait une marque, comme si on portait un virus. Alors qu'il ne s'agit pas de cela du tout, c'est d'être en contact avec la matière, de l'avoir dans les poumons et de développer un cancer : cela ne se transmet pas.Mais ce mot était stigmatisé négativement. Et là, tout d'un coup, il est sur un magnifique livre bleu, que les gens apprécient, avec une histoire dont on me dit qu'elle n'est pas si dure que cela non plus. Parce qu'il y a tout de même une bonne part de lumière. Je trouvais que je redonnais cet or blanc à ce mot, qui était tombé dans le bannissement à un certain point.C'est votre premier roman et en France, il bénéficie déjà une réception formidable. Comment est-ce que vous vous expliquez ce succès ? Ou, en tout cas, comment est-ce que vous le ressentez, vous ?Écoutez, je suis ravi, c'est sûr. Je ne m'étais pas permis de rêver à tout ce qui se passe en ce moment. J'ai une équipe extraordinaire. La Peuplade, c'est leur septième rentrée ici, donc vraiment, ils ont une présence auprès des libraires, une crédibilité très forte. Après, tout l'appareillage, les médias, les invitations aux festivals, les listes de prix, tout cela, ce sont les conséquences à leur travail de présence sur le territoire.Mais, ultimement, plus j'y réfléchis, plus je pense que j'ai touché un air avec l'enfance. C'est le grand universel, je pense, qui fait que le roman traverse l'Atlantique, touche plusieurs générations, hommes comme femmes aussi. Les retours que j'ai individuellement des lectrices et des lecteurs sont bouleversants. Cela me touche énormément, c'est formidable et c'est toujours de l'enfance dont on parle en premier. Ce petit Steve qu'on voudrait prendre dans nos bras, je l'entends beaucoup, beaucoup. Je pense que j'ai créé un personnage qui parle beaucoup aux personnes qui l'accueillent.

Amiante est un premier roman qui se déroule dans la région de Thedford Mines au sud de la ville canadienne de Québec. À la fin des années 1980, un jeune narrateur, Steve, que l'on suit de 9 à 15 ans, fait l'apprentissage de l'amitié et de la mort. Cela alors que l'industrie minière vit ses dernières heures avec l'extraction d'une roche tout en contraste puisqu'à la fois, elle protège, mais empoisonne. À l'image du titre de ce livre de Sébastien Dulude qui paraît aux éditions La Peuplade. Né à Montréal en 1976, Sébastien Dulude a grandi de 6 à 16 ans dans le quartier Mitchell de Thetford Mines au Canada. Écrivain et éditeur, il est l'auteur de trois recueils de poésie dont Ouvert l'hiver (La Peuplade, 2015). Amiante, publié en 2024 aux éditions La Peuplade, est son premier roman.RFI : Vous êtes né à Montréal, au Québec, où vous êtes éditeur et poète, mais les lieux que vous décrivez ici, vous les connaissez bien pour y avoir vécu tout jeune. Qu'est-ce qui a déclenché l'écriture de cette fiction ? Est-ce que c'est l'envie de raconter l'incandescence de l'enfance ou l'envie de décrire comment un environnement, à la fois très beau, mais en même temps toxique, peut engendrer de la violence ?C'est exactement cette conjugaison-là. Je crois que je n'avais pas réalisé à quel point l'enfance avait cette incandescence. J'avais envie d'explorer l'amitié entre garçons à une époque d'innocence complète et de les situer à l'abri d'un monde, d'un environnement qui effectivement assez particulier – j'y ai grandi de 6 à 16 ans. Nous, on était à côté d'un des puits d'amiante, avec ces collines qui sont formées par l'extraction du minerai. C'est un lieu à la fois magique et dangereux. C'est-à-dire qu'il y a quand même des forêts, des rivières, etc. C'est une nature à quelques pas, à quelques coups de pédales de vélo. Alors cela donnait une enfance tout en innocence, mais avec un certain danger, dont on réalisait même pas la nature, tellement c'était omniprésent.Amiante. C'est un mot fascinant parce que c'est un minéral qui a été utilisé pour isoler les bâtiments, mais qui s'est révélé toxique pour la santé. Et c'est une dualité que vous explorez dans cette fiction construite en deux parties, de la même façon que le mot amiante, si on déplace une lettre, on obtient aimante.Aimanté, aimante, absolument.Cela vous plaît, cette ambiguïté ?Ah oui, beaucoup. J'aimais vraiment le titre. Je dis souvent que c'est le premier mot du livre. Pour les gens qui ont vécu à Thetford Mines, avec qui j'ai parlé lorsque je suis allé leur rendre visite pour un lancement récemment – je ne suis pas souvent retourné dans cette ville-là – ils ont le stigmate de ce mot.  Avec les gens qu'ils rencontraient à l'époque, les années 1980, 1990, c'était comme si on portait une marque, comme si on portait un virus. Alors qu'il ne s'agit pas de cela du tout, c'est d'être en contact avec la matière, de l'avoir dans les poumons et de développer un cancer : cela ne se transmet pas.Mais ce mot était stigmatisé négativement. Et là, tout d'un coup, il est sur un magnifique livre bleu, que les gens apprécient, avec une histoire dont on me dit qu'elle n'est pas si dure que cela non plus. Parce qu'il y a tout de même une bonne part de lumière. Je trouvais que je redonnais cet or blanc à ce mot, qui était tombé dans le bannissement à un certain point.C'est votre premier roman et en France, il bénéficie déjà une réception formidable. Comment est-ce que vous vous expliquez ce succès ? Ou, en tout cas, comment est-ce que vous le ressentez, vous ?Écoutez, je suis ravi, c'est sûr. Je ne m'étais pas permis de rêver à tout ce qui se passe en ce moment. J'ai une équipe extraordinaire. La Peuplade, c'est leur septième rentrée ici, donc vraiment, ils ont une présence auprès des libraires, une crédibilité très forte. Après, tout l'appareillage, les médias, les invitations aux festivals, les listes de prix, tout cela, ce sont les conséquences à leur travail de présence sur le territoire.Mais, ultimement, plus j'y réfléchis, plus je pense que j'ai touché un air avec l'enfance. C'est le grand universel, je pense, qui fait que le roman traverse l'Atlantique, touche plusieurs générations, hommes comme femmes aussi. Les retours que j'ai individuellement des lectrices et des lecteurs sont bouleversants. Cela me touche énormément, c'est formidable et c'est toujours de l'enfance dont on parle en premier. Ce petit Steve qu'on voudrait prendre dans nos bras, je l'entends beaucoup, beaucoup. Je pense que j'ai créé un personnage qui parle beaucoup aux personnes qui l'accueillent.

Cette semaine on parle de AI, du voisin de Karl qui voulait le pomper et on a du la visite du Chili! 00:00 - Début 18:45 - Les Échecs Le clip de Ryan ( Sans l'avion ) : https://youtu.be/mKBAzh2tmzA 28:05 - RIpé En streaming: https://fanlink.tv/lerocketscientistdalma Merch: https://bandpromo.ca/collections/ripe https://www.facebook.com/rockdebadass https://www.instagram.com/ripeband/?hl=en https://twitter.com/rockripe 29:33 - Noé Talbot La capsule: https://youtu.be/tOKUcLKfeQo https://www.facebook.com/noetalbot https://www.instagram.com/noetalbot https://www.tiktok.com/@noetalbot https://www.twitter.com/noetalbotmusic 33:13 - Martin Guy La floride: https://martinguy.fanlink.tv/lafloride https://www.facebook.com/profile.php?id=100088160100466 34:50 - Les shows Autre Part: 22 Août 2024 - Café du clocher, Alma, QC 23 Août 2024 - Sotterenea, Montreal, QC 24 Août 2024 - L'ampli, Quebec, QC (LANCEMENT) Rouge Pompier: 17 Août 2024 - Festival Promutuel de la relève, Thetford Mines, QC Groovy Aardvark: 8 Août 2024 - Rock La Cauze, Victoriaville, QC F*ck Toute: 17 Août 2024 - Bières Philosophales, Mirabel, QC 18 Août 2024 - Minotaure, Gatineau, QC Slater et Fils: 10 Août 2024 - Terre à boire, St-blaise-sur-richelieu 11 Aoûtt 2024 - Festival MEL, Longueuil Vidéoclip: https://www.youtube.com/watch?v=0ZuR1w22ypA

En actualité économique cette semaine, les taxes sur les grosses maisons, véhicules électriques chinois, un parc d'éoliennes à Thetford Mines, les CPE et garderies subventionnées et bien plus!Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Grosses maisons, grosses factures? Hydro-Québec contre les « méchants riches » à son tour. Ça va mal pour Westjet ! Un petit projet éolien à Thetford Mines incarne bien l'avenir de la production énergétique au Québec.  La rencontre Gosselin-Moranville avec Francis Gosselin, animateur à QUB.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Des municipalités de la Rive-Sud et de l'est de la capitale se mobilisent pour la construction d'un troisième lien à l'est de Québec: elles entendent mettre de la pression sur le gouvernement Legault pour qu'il considère cette option, délaissée depuis quelques années.  Entrevue avec Marc-Alexandre Brousseau, Maire de la Ville de Thetford Mines et Président de la Table régionale des élus municipaux de la Chaudière-Appalaches TREMCA Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

La fièvre des campements sera-t-elle contagieuse ? | Soins au Québec : «La qualité est bonne, c'est l'accessibilité le problème» |Un chef syndical encourage à ralentir le travail | Les oubliés du troisième lien Dans cet épisode intégral du 15 mai, en entrevue :   Dr Karim Elayoubi, porte-parole du Parti Conservateur du Québec en matière de santé Yanic Parent, ex-policier inspecteur-chef au Bureau des enquêtes criminelles Marc-Alexandre Brousseau, Maire de la Ville de Thetford Mines et Président de la Table régionale des élus municipaux de la Chaudière-Appalaches TREMCA  Une production QUB Mai 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

VENEZ NOUS SOUTENIR SUR PATREON : ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.patreon.com/SansStress⁠⁠⁠⁠⁠ LA NEWSLETTER SANS STRESS : ⁠https://sansstress.substack.com/ - Intro: 00:00:00 - Les débuts d'Edris au football américain: 00:02:22 - L'idée de partir jouer en Amérique du Nord: 00:07:27 - Son malaise avec certaines mentalités en France: 00:09:13 - Les démarches qu'il entreprend pour partir jouer au Canada: 00:11:59 - Pourquoi il est difficile pour des joueurs français d'intégrer certains CÉGEPS de division 1 à Montréal: 00:16:12 - L'avantage de partir jouer au Québec “en campagne” plutôt qu'en ville: 00:17:39 - Edris ne regrette aucunement son passage au CÉGEP de Thetford Mines: 00:23:53 - Pourquoi Edris voulait initialement joueur pour une Université montréalaise: 00:32:41 - La différence de réalités entre les Parisiens de la ville et les Parisiens de banlieues: 00:33:43 - Pourquoi Edris finit par faire le choix de L'Université Laval à Québec: 00:38:10 - Son parcours difficile en tant qu'étudiant-athlète à l'Université Laval: 00:39:10 - Comment Edris a réussi à persister face à l'adversité: 00:41:43 - Voir le succès des autres comme une source de motivation plutôt qu'une source de jalousie: 00:46:13 - La performance d'Edris au CFL Regional Combine 2022: 00:50:32 - La performance d'Edris au CFL National Combine 2022: 00:58:10 - Edris est sélectionné par les Ottawa RedBlacks lors du CFL Draft 2022: 01:00:06 - L'origine de son surnom Instagram @burning_savage: 01:03:09 - Son déclic artistique et le lancement de sa marque de pièces vestimentaires: 01:05:27 - Son parcours en CFL avec les RedBlacks d'Ottawa: 01:09:04 - Edris et Anthony Mahoungou redeviennent coéquipiers: 01:11:17 - Les réalités du football professionnel: 01:13:11 - Edris se fait couper des RedBlacks d'Ottawa: 01:14:55 - Sa décision de signer avec les Paris Musketeers en ELF: 01:18:11 - La rivalité ELF entre Edris et son “og” Anthony Mahoungou: 01:19:55 - L'anime qui a inspiré le parcours footballistique d'Edris: 01:25:08 - Comment Léo a réussi à vaincre le stigma qu'il n'était qu'un “influenceur foot US” plutôt qu'un joueur à part entière: 01:26:31 - Pourquoi Bishop's, et d'autres “petites universités de football” sont des excellents choix selon Edris: 01:29:46 - Le pet peeve et de la semaine d'Edris: 01:36:18 - Le moment qui lui a “redonné espoir en l'humanité” cette semaine: 01:37:39 - Nos remerciements: 01:39:41 Dans ce podcast présenté par Léo Sarteel (@leosarteel) et Nykolas Pierre-Masse (@7semaine) on est "Sans Stress" et on exprime nos points de vue sur le monde en tant que jeunes sportifs.

Julie Bolduc-Laval is a science communicator in Thetford Mines, executive director of Discover the Universe, a group that teaches kids about space. She spoke to Andrew Carter about what to look forward to with the solar eclipse.

VENEZ NOUS SOUTENIR SUR PATREON : ⁠⁠⁠⁠⁠https://www.patreon.com/SansStress⁠⁠⁠⁠ suivez Freeman ici : https://www.instagram.com/freemansensei/ Les meilleures pizzas du Grand Montréal: 00:00:00 Intro: 00:01:48 Les débuts de Freeman au football américain: 00:04:45 Compétitionner contre les plus vieux pour devenir meilleur: 00:07:18 Le meilleur souvenir de son passage au CÉGEP de Thetford Mines: 00:09:06 Son expérience à la coupe du monde de football américain au Koweit en 2014: 00:10:09 Passer de la banlieue Parisienne à Thetford Mines au Québec: 00:14:33 Retour sur sa seule saison de football collégial: 00:17:52 Sa mauvaise expérience avec l'équipe de football de l'Université McGill: 00:19:51 Sa tentative de transfert à l'Université Concordia: 00:22:17 Comment Freeman a développé son attachement pour l'Université Concordia: 00:25:03 Sa décision d'arrêter le football: 00:27:49 Freeman décide de devenir Youtuber: 00:29:43 On shoutout nos membres Patreon: 00:33:23 Résumé de la partie exclusive pour nos abonnés Patreon: 00:35:15 Pourquoi Freeman s'est lancé sur Twitch: 00:36:30 L'impact du Covid sur la carrière de Freeman: 00:38:12 Comment Freeman est passé d'une audience Instagram composé à 10% de femmes, à une audience composé à 75% de femmes: 00:40:51 Freeman décide de participer à Occupation Double (La plus grosse télé réalité au Québec): 00:42:47 Son expérience à Occupation Double en Martinique: 00:46:30 Léo explique le principe d'Occupation Double pour notre audience française: 00:48:58 Freeman faisait malheureusement parti d'un des pires concepts de l'histoire d'OD selon nous: 00:49:40 L'accueil du public Québécois à son retour de OD: 00:51:34 Les réalités de tourner une émission de télévision en Martinique: 00:54:36 Comment Freeman a géré le fait d'être sous écoute H24 pendant plusieurs semaines: 00:57:27 Son retour à la vie normale: 01:00:40 Sa décision de participer à une télé réalité en France (La Villa des Coeurs Brisés): 01:04:24 Son expérience à La Villa des Coeurs Brisés au Mexique: 01:05:47 Les différences entre participer à une télé réalité en France VS au Québec: 01:06:26 Pourquoi Freeman préfère créer du contenu en Amérique du Nord plutôt qu'en Europe: 01:07:55 Le pet peeve et de la semaine de Freeman: 01:10:10 Le moment qui lui a “redonné espoir en l'humanité” cette semaine: 01:11:11 Nos remerciements: 01:13:09 Dans ce podcast présenté par Léo Sarteel (@leosarteel) et Nykolas Pierre-Masse (@7semaine) on est "Sans Stress" et on exprime nos points de vue sur le monde en tant que jeunes sportifs.

You don't want to miss this interview with none other than Luc Berthold, MP for Mégantic-L'Érable, Deputy Leader of the Conservative Party and Quebec Lieutenant. Today Aidan and Luc discuss his career in politics and how he got started, uniting the party for the next leader with the current leadership team, and Luc's work holding the government accountable. Check out Luc's work here https://lucberthold.ca/ Recorded on 06/04/2022 Passionate about people and communication, Mr. Luc Berthold began his career in radio where he held various positions, including host and sales representative before becoming editor-in-chief of the weekly Courrier Frontenac.  Anxious to take on new challenges, he then chose provincial politics. Mr. Berthold will serve various ministers in different capacities, including those of political adviser, press secretary and chief of staff. In 2006, he was elected the 27th mayor of the city of Thetford Mines and re-elected in 2009. During this period, he held several important positions. He was notably president of the Economic Development Corporation, vice-president of the Regional Conference of Elected Officials of Chaudière-Appalaches, administrator of the Union of Quebec Municipalities and president of the caucus of regional cities of Quebec.  After two very busy terms, he returned to the private sector where he became a trainer in leadership programs and a lobbyist.  Elected for the first time  in 2015 as Member of Parliament for Mégantic-L'Érable, Luc Berthold was re-elected twice, in 2019 and 2021. He held the positions of shadow cabinet minister for Agriculture and Agrifood, Infrastructure and Communities, Treasury Board and now Health. He served as Vice-Chair of the Standing Committee on Transport, Infrastructure and Communities, and the Standing Committee on Agriculture and Agri-Food. Still very active, he is also a member of the Canada-France, Canada-Israel, Canada-United States and Canada-United Kingdom Interparliamentary Associations.  He is also a member of the Canadian delegation to the Parliamentary Assembly of the Organization for Security and Cooperation in Europe.

Mission encre noire Tome 32 Chapitre 371. Hantises, Carnet de Frida Burns sur quelques morceaux de vie et de littérature par Frédérique Bernier paru en 2020 aux éditions Nota bene dans la collection Miniatures. Un livre qui a reçu Le prix du Gouverneur Général en 2020 dans la catégorie Essais de langue française. Le mot littérature existe que depuis deux siècles et l'expression consacrée est de faire de la littérature. Qu'est-ce que cela veut réellement dire pour l'autrice ? À quoi s'engage-t-on en empruntant les sillages tortueux d'une pensée vivante, vivifiante et parfois dangereuse ? Il en va ainsi des rêveries et des hantises de Frida Burns, alter ego de l'autrice : Comment faire l'expérience du monde autrement que par la littérature? Comment dépasser l'horizon morne du quotidien sinon par la découverte de quelque chose plus grand que soi? Qui lit et pourquoi certains textes sont considérés comme littéraires? Ce livre assez court se veut un hommage à la littérature, «à la lecture-écriture comme une question de vie ou de mort, de vie et de mort, de mort au lieu même de la vie» dixit l'autrice. Je vous invite à tricoter, détricoter la langue, ce soir, en compagnie de Frédérique Bernier à Mission encre noire. Extrait:« Oui, parfois, on voudrait que la vie soit aussi à la hauteur de ce qu'on cherche follement dans les livres (où l'on a pris l'habitude de ronger son os, de courir après son foutu fantôme de chien). C'est aussi bête que cela. Avoir ce besoin criant en soi est la seule définition que je donnerai du mot «littéraire», la seule adhésion véritable que je peux avoir vis-à-vis de cet adjectif. Toute ma bibliothèque pour un parfait moment littéraire dans la «vraie vie», comme disent les enfants. J'avoue ici, je le sais, quelque chose d'inavouable, de gênant. Cela relève d'un romantisme de midinette. Madame Bovary, c'est moi. Je m'en excuserai pas. (Sauf quelques fois, entre parenthèses.) Car ce qui est gênant et honteux, de nos jours, ce n'est pas le sexe dans lequel tout le monde fait semblant de se vautrer pour être compté parmi ceux qui jouissent de la vie (je n'ai rien contre, cela dit, le sexe et jouir de la vie). Ce qui est gênant aujourd'hui, c'est l'amour, comme le relevait déjà Barthes il y a quarante ans, et peut-être plus encore d'afficher sans vergogne sa croyance en l'absolu. En un absolu littéraire qui, surcroît de ridicule, daignerait venir à notre rencontre, tel un ange déchu, dans la «vraie vie».» Aller aux fraises par Éric Plamondon, un recueil de nouvelles paru en 2021 aux éditions Le Quartanier dans la série QR. Aller aux fraises est une expression qui date du début du XXème siècle, qui compare le chemin aléatoire d'une personne qui cherche des fraises à celui d'un individu qui erre sans but, se promène en musardant. Éric Plamondon reprend la route vers ses souvenirs d'adolescence entre la Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches. Cap-Santé, Saint-Raymond, Donnacona, Baie-Saint-Paul, Saint-Irénée, Thetford Mines, Asbestos servent de décors à ces trois nouvelles tissées serrées. Aller aux fraises, c'est une histoire du père, une autre des années cinquante, qui fait oeuvre de légende locale et enfin celle du territoire: l'adolescence au Québec. Il existe parfois des distances plus longues que prévu entre l'adulte devenu et l'ado. Il faut croire que celles qui mènent de Portneuf à Charlebois, ou de Québec à Thetford Mines ont mis quelques années à trouver le chemin de la plume de l'auteur. Éric Plamondon nous invite à jeter un coup d'oeil dans le rétro de ses souvenirs de jeunesse au Québec. Il est mon invité, ce soir, à Mission encre noire.  Extrait:« Au mois d'août, mon père et sa blonde, Sylvie, avaient pris la Transcanadienne en Renault Encore jusqu'à Vancouver pour visiter Expo 86, organisée à l'occasion du centenaire de la ville. J'avais la maison à moi seul pour trois semaines. Mon père m'avait laissé des Tupperware au congélateur - de la sauce à spag, de la lasagne, du pâté chinois, du chili con carne, des hamburger steaks, des pâtés à la viande. La Renault 5 était à ma disposition, je pouvais aller où je voulais quand je voulais. Pour la première fois de ma vie, c'était la liberté totale. Je pouvais laisser traîner la vaisselle pendant des jours, écouter de la musique à tue-tête à toute heure et vider un sac de chips au barbecue en plein milieu de l'après-midi en buvant du coke. J'ignorais encore, du haut de mes dix-sept ans, que dans très peu de temps il me faudrait pas mal plus que des décibels ou des sacs de chips pour avoir l'impression d'être libre.»

Mission encre noire Tome 32 Chapitre 371. Hantises, Carnet de Frida Burns sur quelques morceaux de vie et de littérature par Frédérique Bernier paru en 2020 aux éditions Nota bene dans la collection Miniatures. Un livre qui a reçu Le prix du Gouverneur Général en 2020 dans la catégorie Essais de langue française. Le mot littérature existe que depuis deux siècles et l'expression consacrée est de faire de la littérature. Qu'est-ce que cela veut réellement dire pour l'autrice ? À quoi s'engage-t-on en empruntant les sillages tortueux d'une pensée vivante, vivifiante et parfois dangereuse ? Il en va ainsi des rêveries et des hantises de Frida Burns, alter ego de l'autrice : Comment faire l'expérience du monde autrement que par la littérature? Comment dépasser l'horizon morne du quotidien sinon par la découverte de quelque chose plus grand que soi? Qui lit et pourquoi certains textes sont considérés comme littéraires? Ce livre assez court se veut un hommage à la littérature, «à la lecture-écriture comme une question de vie ou de mort, de vie et de mort, de mort au lieu même de la vie» dixit l'autrice. Je vous invite à tricoter, détricoter la langue, ce soir, en compagnie de Frédérique Bernier à Mission encre noire. Extrait:« Oui, parfois, on voudrait que la vie soit aussi à la hauteur de ce qu'on cherche follement dans les livres (où l'on a pris l'habitude de ronger son os, de courir après son foutu fantôme de chien). C'est aussi bête que cela. Avoir ce besoin criant en soi est la seule définition que je donnerai du mot «littéraire», la seule adhésion véritable que je peux avoir vis-à-vis de cet adjectif. Toute ma bibliothèque pour un parfait moment littéraire dans la «vraie vie», comme disent les enfants. J'avoue ici, je le sais, quelque chose d'inavouable, de gênant. Cela relève d'un romantisme de midinette. Madame Bovary, c'est moi. Je m'en excuserai pas. (Sauf quelques fois, entre parenthèses.) Car ce qui est gênant et honteux, de nos jours, ce n'est pas le sexe dans lequel tout le monde fait semblant de se vautrer pour être compté parmi ceux qui jouissent de la vie (je n'ai rien contre, cela dit, le sexe et jouir de la vie). Ce qui est gênant aujourd'hui, c'est l'amour, comme le relevait déjà Barthes il y a quarante ans, et peut-être plus encore d'afficher sans vergogne sa croyance en l'absolu. En un absolu littéraire qui, surcroît de ridicule, daignerait venir à notre rencontre, tel un ange déchu, dans la «vraie vie».» Aller aux fraises par Éric Plamondon, un recueil de nouvelles paru en 2021 aux éditions Le Quartanier dans la série QR. Aller aux fraises est une expression qui date du début du XXème siècle, qui compare le chemin aléatoire d'une personne qui cherche des fraises à celui d'un individu qui erre sans but, se promène en musardant. Éric Plamondon reprend la route vers ses souvenirs d'adolescence entre la Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches. Cap-Santé, Saint-Raymond, Donnacona, Baie-Saint-Paul, Saint-Irénée, Thetford Mines, Asbestos servent de décors à ces trois nouvelles tissées serrées. Aller aux fraises, c'est une histoire du père, une autre des années cinquante, qui fait oeuvre de légende locale et enfin celle du territoire: l'adolescence au Québec. Il existe parfois des distances plus longues que prévu entre l'adulte devenu et l'ado. Il faut croire que celles qui mènent de Portneuf à Charlebois, ou de Québec à Thetford Mines ont mis quelques années à trouver le chemin de la plume de l'auteur. Éric Plamondon nous invite à jeter un coup d'oeil dans le rétro de ses souvenirs de jeunesse au Québec. Il est mon invité, ce soir, à Mission encre noire.  Extrait:« Au mois d'août, mon père et sa blonde, Sylvie, avaient pris la Transcanadienne en Renault Encore jusqu'à Vancouver pour visiter Expo 86, organisée à l'occasion du centenaire de la ville. J'avais la maison à moi seul pour trois semaines. Mon père m'avait laissé des Tupperware au congélateur - de la sauce à spag, de la lasagne, du pâté chinois, du chili con carne, des hamburger steaks, des pâtés à la viande. La Renault 5 était à ma disposition, je pouvais aller où je voulais quand je voulais. Pour la première fois de ma vie, c'était la liberté totale. Je pouvais laisser traîner la vaisselle pendant des jours, écouter de la musique à tue-tête à toute heure et vider un sac de chips au barbecue en plein milieu de l'après-midi en buvant du coke. J'ignorais encore, du haut de mes dix-sept ans, que dans très peu de temps il me faudrait pas mal plus que des décibels ou des sacs de chips pour avoir l'impression d'être libre.»

Le meilleur ami pour tous les camionneurs est Gilles Tremblay car lui vous trouvera la solution pour vos équipements (huiles, graisses, anti-friction, traitement moteur, et problème de système pneumatique gelé, sans compté la réduction de vos regénérations!) On parle de pénurie de stock sur les tablettes The post 16 Novembre 2021 Gilles Tremblay nous présente les solutions Prolab Technolub de Thetford Mines appeared first on Truck Stop Québec.

Christian Noël et Martine Biron analysent le débat des chefs en français et les réactions qu'il a suscitées; Julie-Anne Lamoureux rapporte la vision qu'ont eue les Franco-Ontariens de ce débat; Pierre-Alexandre Bolduc parle de la COVID-19, qui touche durement la région de Thetford Mines; Frédéric Arnould fait le point sur l'annonce de Joe Biden à propos d'un sommet international de la vaccination; Yanik Dumont Baron revient sur le choc des attentats du 11septembre2001 chez les New-Yorkais; Anyck Béraud présente les défis auxquels font face les adolescents américains musulmans; Francine Ravel parle du début du Festival international du film de Toronto (TIFF); et Maude Montembeault donne des détails sur une circonscription chaudement disputée à Terre-Neuve-et-Labrador.

Sur bien des plans, le Québec vous pousse à remettre en cause des choses que vous sembliez pourtant bien connaître.Je pense évidemment à l'usage de la langue française, au vocabulaire, à la prononciation... mais je pense aussi à d'autres "concepts".Prenons celui de camping par exemple.Peut-être que les premières images qui vous viennent sont celles de Patrick Chirac et son célèbre maillot de bain rouge, celles du monde merveilleux de Laurent Ournac ou bien celles de votre enfance (la mienne en tous cas), où notre R30 tirait la caravane familiale jusqu'au camping de Grand Rex à Domino et où il nous fallait une bonne journée pour réapprendre à monter correctement cette satanée tente :-). les vacances populaires par excellence et, de vous à moi, de sacrés bons souvenirs d'enfance.Bien voyez-vous ici, le camping, c'est plutôt une forme de tourisme de luxe. Cela se fait plutôt en mode itinérant et avec des camping-cars qui vous font vite passer l'envie de regagner votre résidence habituelle.C'est qu'avec une superficie de plus de 3 fois la France, le Tourisme ne se vit pas ici comme ailleurs.Marc Ruest, une des figures de l'industrie touristique québécoise, nous livre ses conseils.Écoutez-le et sortez les GPS ! Bonne émission et bonnes vacances, Jean-MichelPS : Cet épisode clôt la 1ère saison de Fais-tu frette. La seconde est déjà dans les tuyaux, mais rien n'est figé. Faites-moi part de ce que vous avez aimé, de qui vous avez aimée, de ce dont vous voudriez entendre parler etc... Écrivez-moi une bafouille à faistufrette@gmail.com. Je vous souhaite un bel été et de très belles vacances. À très vite !------- Liens et références :Hotel du Domaine de Thetford Mines> lien vers le site web> lien vers la page facebook> lien vers la page instagram ----------- Crédits :. Musique générique : "Winter Ride" de Twin Musicom. Photo invité : Marc Ruest. Production : www.podcastisthenewradio.com ----------- N'oubliez pas de laisser une note (5 étoiles c'est le tarif syndical !) , de vous abonner et d'en parler autour de vous.Pour en savoir davantage, rendez-vous sur www.faistufrette.com-----------#Balado #baladoquebec #balados #Podcast #Podcastfr #Quebec #québec #explorequebec #québécois #Montreal #Canada #canadalove #Entretien #interview #Podcastfr #podcastfrance #podcastisthenewradio #faistufrette #MadeOnZencastr #Auphonic #Acast #marcruest #thetfordmines #tourismequebec #bonjourquebec #vacancesSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/fais-tu-frette. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Pierre Couture fait le tour des plus récentes nouvelles économiques avec Jeff, Gerry et JC. Aujourd'hui: La guerre au 3e lien est déclarée. Le Parti libéral du Québec entend s'opposer au projet du tunnel Qc-Lévis de la CAQ. Est-ce que les Québécois vont bouder le Vieux-Québec cet été comme l'an dernier ? De nombreux commerçants et hôteliers s'attendent encore au pire au cours des prochains mois avec les frontières fermées et l'annulation de la saison des croisières. Vers un salaire minimum de 20 et 25 $ de l'heure ? Réouverture des terrasses vendredi. Les restaurateurs cherchent des travailleurs et ils n'en trouvent pas. Le Canada le pays plus confiné au monde ? L'industrie des voyages reprend vie partout ailleurs dans le monde sauf au Canada. L'Europe ouvre ses portes à toutes les personnes vaccinées dès le début juin. Les grandes compagnies aériennes au Canada demandent à nouveau à Ottawa un plan clair pour une reprise des voyages internationaux, alors que l'Union européenne a décidé de rouvrir ses frontières aux touristes vaccinés. Vers un accord dans le secteur de la construction au Québec. Près de 200 000 travailleurs auraient pu se retrouver dans un conflit de travail en raison d'une application mobile. Gros impacts financiers pour beaucoup de monde. Les Québécois de plus en plus ouverts à l'utilisation des caisses sans caissières. Les commerçants très ouverts à leur utilisation. Or, certains détaillants hésitent encore à les utiliser. Les meubles fabriqués en Chine vont coûter plus cher au Canada. Ottawa a décidé d'imposer depuis le début du mois de nouveaux tarifs douaniers sur les fauteuils, sofas et chaises fabriqués par des entreprises chinoises et vietnamiennes. Est-ce que ça pourra influencer l'achat de produits fabriqués au Québec ? Impact sur la facture. Feu vert à Hydro-Québec pour construire sa ligne à haute-tension vers le Maine. La ligne de 320 kV partira de Thetford Mines et se rendra à la frontière du Québec et du Maine, à Frontenac. Le coût global de cette ligne d'environ 100 kilomètres est de 600 millions $. Vers un taux d'imposition unique des multinationales partout dans le monde ? L'administration Biden a proposé à ses partenaires de l'OCDE de fixer à 15 % «au moins» le taux d'imposition sur les bénéfices des multinationales, révèle le Trésor américain. L'abandon graduel du masque aux États-Unis a eu un effet surprenant: les ventes de rouge à lèvres ont bondi de plus de 80% récemment par rapport à l'année dernière, où tout le monde devait rester à la maison. Walmart soutient que le rouge à lèvres est leur produit cosmétique le plus populaire actuellement. See omnystudio.com/listener for privacy information.

Mission encre noire Tome 31 Chapitre 357. Le fond des choses de Thomas Desaulniers-Brousseau paru en 2021 aux éditions Les herbes rouges. Un jeune journaliste plonge dans le récit sordide du passé pédophile d'un éminent peintre national  Michel S. Painchaud. Sans toutefois réaliser l'ampleur que cela prendrait, il se sent, malgré lui, investi d'une mission. Il profite de son accointance avec le biographe, un ancien professeur à l'université, pour s'emparer du sujet. Ravi d'échapper à son angoissante solitude et son sentiment de vide, il rejoint une victime dans un village aux environs de Thetford Mines. Promis à une brillante carrière dans le journalisme, rien n'est simple, le narrateur oscille, alors, un peu plus entre désespoir sans fond et un optimisme immodéré. Comment rapporter avec justesse les propos de cette personne? Le journaliste semble se perdre en conjectures devant le succès croissant de son enquête. Le sujet, ici, ne vous y trompez pas, sert plutôt de faux-fuyant pour entamer un dialogue avec le texte, dans une métafiction qui construit, déconstruit, forme, déforme, les faits, les personnages, et permet à l'auteur de multiplier les points de vue et les angles de lecture qui interrogent le rapport de la fiction à la réalité ou bien est-ce l'inverse. Drôle et débridé ce premier roman fascine. Le fond des choses a peut-être à voir avec l'effrayante incertitude qui gronde en nous parfois, aussi difficile à saisir qu'un chat noir dans une pièce sombre. Je reçois Thomas Desaulniers-Brousseau à Mission encre noire. Extrait:« Au bout d'un moment mes paupières devenaient lourdes, et mes propres pensées prenaient le pas sur celles de Daniel ; mes yeux parcouraient les phrases sans les lire, ne percevant dans leur succession, page après page, que le tracé coulant qui les portait, ininterrompu, plus proche du sirop que du rectiligne. Comme pour la première fois depuis mon enfance - alors que, sachant lire pourtant, je scrutais chaque mot des carnets que ma mère laissait traîner partout, hypnotisé par leur forme et rien d'autre - j'étais attentif aux lettres non plus en tant que symboles, mais pour la sensualité qu'elles pouvaient exprimer. J'apprenais une chose dont j'avais toujours eu l'intuition: en s'éloignant des formes parfaites vers lesquelles on nous disait devoir tendre, les lettres perdaient en lisibilité mais acquéraient, peut-être, une sorte d'authenticité. Les pensées ne sont jamais si limpides qu'on prétend. Souvent, le chat roux étendu sur les cuisses, je m'endormais.» L'instruction par Antoine Brea paru en 2021 aux éditions Le Quartanier, dans la série QR. Patrice Favre suit les traces de son père, il sera magistrat. Nommé temporairement juge d'instruction en banlieue parisienne, le narrateur entame le parcours obligé d'un novice dans un quotidien morne et gris. Malgré le privilège de l'héritage, quelque chose craque dans l'univers du jeune homme, au contact des coulisses de la justice française. L'illusion s'effrite au contact d'un milieu froid, impersonnel, où occasionnellement les intérêts personnels s'entrecroisent avec une forme de paranoïa politique. Favre devra bien vite adopté un langage et une posture qui ne sied pas tout à fait à sa timidité et à son caractère. Le meurtre d'un détenu emprisonné pour crime sexuel va happer le juge. D'autant plus que son prédécesseur s'est suicidé, et que d'étranges rumeurs courent autour de cette singulière affaire. Le roman emprunte à la fois au documentaire et à une manière de polar. L'instruction puise allègrement sa source dans la langue judiciaire, carcérale et policière, pour décrire la vie prégnante et épuisante au cœur du système judiciaire français. Anti-polar, objet de critique de la société française contemporaine sous un angle inédit, L'instruction captive et inquiète. Au-delà de nos petits narcissismes moraux et politiques, comment ne pas prendre acte du malaise croissant de l'enquêteur pour un refus de se résigner à accepter la position qui nous a été assignée dans cette société de contrôle ?  Antoine Brea est invité à Mission encre noire. Extrait:« Christian-Hervé Maréchal était un être grand, massif, empâté mais qui en imposait, il avait le cheveu grisonnant qui tranchait avec son teint sombre, méditerranéen presque, son nom de guerre quand il prenait part à l'action de près était Nous voilà, rapport à son patronyme, a-t-il glissé dans un sourire en feignant d'espérer ne pas choquer, on sentait le policier désormais plus soucieux de ce qui se trouvait au-dessus de lui qu'au même niveau ou en dessous, et on devinait qu'il avait avec ses supérieurs, avec les gens qui servaient son ascension - les cadres du ministères, ceux de la préfecture - mais seulement avec eux des rapports d'habileté, de souplesse, d'empressement, des rapports où il s'attachait plutôt à les satisfaire qu'à parfaire sa bonne réputation par l'exercice consciencieux de ses fonctions. Il s'est excusé de devoir laisser chuinter la grosse radio posée sur l'appui d'une des fenêtres, mais une opération de démantèlement d'un réseau de trafic s'était précipitée le matin, raison pour laquelle le groupe «stupéfiants» de la Sûreté n'avait pu se rendre disponible pour un entretien, lui-même devait rester à l'écoute (un commissaire central en argot de flics c'est un œil - ce fameux œil, le redoutable emblème de la police, comme écrit Balzac - mais dans les faits c'est surtout une oreille, s'est-il gargarisé l'air matois), avec ma permission il laisserait donc le soin à Pérault et à Harounian de me présenter leur service et de me faire visiter les locaux si j'y tenais. Déjà les présentations étaient finies, il ne m'avait pas fait asseoir. Je n'en étais pas mécontent, moi qui m'étais retenu tout le temps de tousser ou d'éternuer.»

Mission encre noire Tome 31 Chapitre 357. Le fond des choses de Thomas Desaulniers-Brousseau paru en 2021 aux éditions Les herbes rouges. Un jeune journaliste plonge dans le récit sordide du passé pédophile d'un éminent peintre national  Michel S. Painchaud. Sans toutefois réaliser l'ampleur que cela prendrait, il se sent, malgré lui, investi d'une mission. Il profite de son accointance avec le biographe, un ancien professeur à l'université, pour s'emparer du sujet. Ravi d'échapper à son angoissante solitude et son sentiment de vide, il rejoint une victime dans un village aux environs de Thetford Mines. Promis à une brillante carrière dans le journalisme, rien n'est simple, le narrateur oscille, alors, un peu plus entre désespoir sans fond et un optimisme immodéré. Comment rapporter avec justesse les propos de cette personne? Le journaliste semble se perdre en conjectures devant le succès croissant de son enquête. Le sujet, ici, ne vous y trompez pas, sert plutôt de faux-fuyant pour entamer un dialogue avec le texte, dans une métafiction qui construit, déconstruit, forme, déforme, les faits, les personnages, et permet à l'auteur de multiplier les points de vue et les angles de lecture qui interrogent le rapport de la fiction à la réalité ou bien est-ce l'inverse. Drôle et débridé ce premier roman fascine. Le fond des choses a peut-être à voir avec l'effrayante incertitude qui gronde en nous parfois, aussi difficile à saisir qu'un chat noir dans une pièce sombre. Je reçois Thomas Desaulniers-Brousseau à Mission encre noire. Extrait:« Au bout d'un moment mes paupières devenaient lourdes, et mes propres pensées prenaient le pas sur celles de Daniel ; mes yeux parcouraient les phrases sans les lire, ne percevant dans leur succession, page après page, que le tracé coulant qui les portait, ininterrompu, plus proche du sirop que du rectiligne. Comme pour la première fois depuis mon enfance - alors que, sachant lire pourtant, je scrutais chaque mot des carnets que ma mère laissait traîner partout, hypnotisé par leur forme et rien d'autre - j'étais attentif aux lettres non plus en tant que symboles, mais pour la sensualité qu'elles pouvaient exprimer. J'apprenais une chose dont j'avais toujours eu l'intuition: en s'éloignant des formes parfaites vers lesquelles on nous disait devoir tendre, les lettres perdaient en lisibilité mais acquéraient, peut-être, une sorte d'authenticité. Les pensées ne sont jamais si limpides qu'on prétend. Souvent, le chat roux étendu sur les cuisses, je m'endormais.» L'instruction par Antoine Brea paru en 2021 aux éditions Le Quartanier, dans la série QR. Patrice Favre suit les traces de son père, il sera magistrat. Nommé temporairement juge d'instruction en banlieue parisienne, le narrateur entame le parcours obligé d'un novice dans un quotidien morne et gris. Malgré le privilège de l'héritage, quelque chose craque dans l'univers du jeune homme, au contact des coulisses de la justice française. L'illusion s'effrite au contact d'un milieu froid, impersonnel, où occasionnellement les intérêts personnels s'entrecroisent avec une forme de paranoïa politique. Favre devra bien vite adopté un langage et une posture qui ne sied pas tout à fait à sa timidité et à son caractère. Le meurtre d'un détenu emprisonné pour crime sexuel va happer le juge. D'autant plus que son prédécesseur s'est suicidé, et que d'étranges rumeurs courent autour de cette singulière affaire. Le roman emprunte à la fois au documentaire et à une manière de polar. L'instruction puise allègrement sa source dans la langue judiciaire, carcérale et policière, pour décrire la vie prégnante et épuisante au cœur du système judiciaire français. Anti-polar, objet de critique de la société française contemporaine sous un angle inédit, L'instruction captive et inquiète. Au-delà de nos petits narcissismes moraux et politiques, comment ne pas prendre acte du malaise croissant de l'enquêteur pour un refus de se résigner à accepter la position qui nous a été assignée dans cette société de contrôle ?  Antoine Brea est invité à Mission encre noire. Extrait:« Christian-Hervé Maréchal était un être grand, massif, empâté mais qui en imposait, il avait le cheveu grisonnant qui tranchait avec son teint sombre, méditerranéen presque, son nom de guerre quand il prenait part à l'action de près était Nous voilà, rapport à son patronyme, a-t-il glissé dans un sourire en feignant d'espérer ne pas choquer, on sentait le policier désormais plus soucieux de ce qui se trouvait au-dessus de lui qu'au même niveau ou en dessous, et on devinait qu'il avait avec ses supérieurs, avec les gens qui servaient son ascension - les cadres du ministères, ceux de la préfecture - mais seulement avec eux des rapports d'habileté, de souplesse, d'empressement, des rapports où il s'attachait plutôt à les satisfaire qu'à parfaire sa bonne réputation par l'exercice consciencieux de ses fonctions. Il s'est excusé de devoir laisser chuinter la grosse radio posée sur l'appui d'une des fenêtres, mais une opération de démantèlement d'un réseau de trafic s'était précipitée le matin, raison pour laquelle le groupe «stupéfiants» de la Sûreté n'avait pu se rendre disponible pour un entretien, lui-même devait rester à l'écoute (un commissaire central en argot de flics c'est un œil - ce fameux œil, le redoutable emblème de la police, comme écrit Balzac - mais dans les faits c'est surtout une oreille, s'est-il gargarisé l'air matois), avec ma permission il laisserait donc le soin à Pérault et à Harounian de me présenter leur service et de me faire visiter les locaux si j'y tenais. Déjà les présentations étaient finies, il ne m'avait pas fait asseoir. Je n'en étais pas mécontent, moi qui m'étais retenu tout le temps de tousser ou d'éternuer.»

Le chanteur Michel Louvain nous a quittés le 14 avril, à 83 ans. Michel Poulin, fils de mineur, voit le jour à Thetford Mines, au Québec, le 12 juillet 1937. Il se met à chanter très tôt dans des bars d'hôtels. En s'installant à Montréal, à l'âge de 20 ans, il prend le nom de Michel Louvain et enregistre son premier disque, Buenas noches mi amor. Sa carrière est lancée. Dans les années 1960, il multiplie les succès comme Lison, La ville pleure, Linda et, surtout, La dame en bleu. Son public lui restera fidèle jusqu'à la toute fin.

L’ami Gilles Tremblay de Prolab Technolub de Thetford Mines nous parle de froid, ennemi #1 de vos moteurs, comment vaincre avec vos sytèmes pneumatiques gelé? Le kit du parfait camionneur est décrit ici dans ce podcast, on termine avec le point de presse de Francois Legault The post 16 Fevrier 2021 Gilles Tremblay de Prolab Technolub appeared first on Podcasts.

Episode 60: Ant Hill Kids For more information please visit: www.itwasntmetruecrime.com and www.patreon.com/itwasntmepod Sources: Please visit www.itwasntmetruecrime.com https://en.wikipedia.org/wiki/Roch_Th%C3%A9riault https://cvltnation.com/ant-hill-kids-break-legs-sledgehammer-go-hell/ https://en.wikipedia.org/wiki/Thetford_Mines https://murderpedia.org/male.T/t/theriault-roch.htm https://en.wikipedia.org/wiki/Pilgrims_of_Saint_Michael This week’s episode is sponsored by Best Fiends and the YARN App --- Support this podcast: https://anchor.fm/itwasntme/support

Jack Han est de retour à DST pour nous raconter l'impressionnant chemin qu'il a parcouru depuis son 1er passage au podcast, lui qui a depuis été entraineur-adjoint des Marlies de Toronto dans la AHL! Il nous révèle ce qu'il a appris en travaillant pour la célèbre organisation torontoise et nous divulgue, par exemple, son apport à la carrière du jeune joueur Pierre Engvall. Jack nous fait également part d'une proposition originale pour relancer le hockey à Montréal, dans le cadre d'un projet sociologique qui va bien au-delà du hockey! Il nous vulgarise aussi de nombreuses facettes méconnues du hockey, et il nous explique ce qu'il l'a inspiré à écrire un livre sur les tactiques du hockey durant la pandémie! On discute également des relations professionnelles remarquables qu'il a développées avec de grosses pointures telles que Hayley Wickenheiser, Kyle Dubas ou encore Brendan Shanahan. Il nous raconte aussi pourquoi le sens autoritaire de Mike Babcock lui a déjà sauvé 100$! Et finalement, il nous dévoile le lien inusité qui existe entre Lou Lamoriello et … Thetford Mines!Cet épisode est commandité par WebSim Hockey et le vignoble du Domaine St-Jacques. Our GDPR privacy policy was updated on August 8, 2022. Visit acast.com/privacy for more information.

Episode 60: Ant Hill Kids For more information please visit: www.itwasntmetruecrime.com and www.patreon.com/itwasntmepod Sources: Please visit www.itwasntmetruecrime.com https://en.wikipedia.org/wiki/Roch_Th%C3%A9riault https://cvltnation.com/ant-hill-kids-break-legs-sledgehammer-go-hell/ https://en.wikipedia.org/wiki/Thetford_Mines https://murderpedia.org/male.T/t/theriault-roch.htm https://en.wikipedia.org/wiki/Pilgrims_of_Saint_Michael This week’s episode is sponsored by Best Fiends and the YARN App --- Support this podcast: https://anchor.fm/itwasntme/support

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Roch Theriault was born on May 16th, 1947 in Saguenay, Quebec, Canada. He was raised in Thetford Mines. In the early 1970’s, Theriault used his charisma to start convincing a group of people to leave their jobs and homes behind to join him in a religious movement. His goal was to form a group where people could listen to his speeches, live in equality, sell baked goods, and be free of sin. On paper, this seems like a good idea, but we all know what happens in cults when people get too much power. Shortly after the cult’s formation, Theriault began to move away from a motivational leader and started to be an outright totalitarian leader. The Ant Hill Kids ended up becoming a place on a mountainside where people had legs broken with sledgehammers, amateur and unnecessary surgeries were performed, and children were nailed to trees and had rocks thrown at them. Oh, they also sold baked goods. Sources for this episode: https://io9.gizmodo.com/6-lesser-known-cults-that-will-give-you-more-nightmares-1800917042 Wikipedia Murderpedia.org Cvltnation.com Morbidology.com --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app

Thomas Chabot, de Thetford Mines, a signé un troisième K.-O. en autant de combats chez les professionnels en défaisant Jose Hernandez (2-6-0) au troisième round, samedi, au Mexique. Il nous parle de sa victoire.

Segment LCN avec Paul Larocque : les cas de COVID-19 sont à la hausse et le ministre Dubé critique les problèmes de dépistage. Une première école ferme ses portes à l’enseignement en personne.  Le tour de l’actualité avec Mario et Vincent : Dubé critique les problèmes de dépistage et s'excuse à la coiffeuse de Thetford Mines. Le Nouveau-Brunswick referme sa frontière avec le Bas-Saint-Laurent. 499 nouveaux cas au Québec. Chronique culturelle avec Anaïs Guertin-Lacroix : nous savons qui sera le directeur artistique de l'académie. Barack Obama sortira ses mémoires après les élections américaines. En attendant le film, les Beatles annoncent un livre retraçant l’époque « Let It Be ». Entrevue avec Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois et député de Chambly: alors qu’il poursuit sa quarantaine préventive, à l’instar de tout son caucus, le chef du Bloc vient tout juste de s’entretenir avec le premier ministre Justin Trudeau au sujet de la reprise des travaux parlementaire, de WE Charity et du discours du trône qui sera présenté par les libéraux la semaine prochaine. Vont-ils l’appuyer? Chronique sportive avec Jean-François Baril : Edmundson s'est adressé aux médias.  Le mondial junior va se jouer dans une bulle à Edmonton. Un recours collectif qui s'en vient contre les équipes juniors.   16h30 - Reprise des actualités avec Mario et Vincent : Le bar Kirouac rouvre ses portes à Québec. La FAE poursuit le gouvernement. Martyre de Granby : Le couple sera jugé à Trois-Rivières. Les compagnies aériennes américaines demandent plus d'argent à la Maison-Blanche. Un vol vers nulle part vendu en quelques minutes.  Entrevue avec Jean-François Cloutier, journaliste au bureau d’enquête du Journal de Montréal : les fuites dans les médias concernant les enquêtes sur Jean Charest et Marc Bibeau ainsi que l’arrestation du député Guy Ouellette ont mené à un climat de crise et d’improvisation inouï au sein de l’Unité permanente anticorruption, selon l’ex-numéro 2 de l’organisation. Chronique de Richard Martineau : niveau de confiance envers le gouvernement Legault baisse de 6 points. Pas de sapin de Noël pour les gens de Bordeaux en France. Des journalistes portés disparus en Chine.  Chronique politique avec Gilles Baril : les employés du secteur public et parapublic en grève générale au Québec à partir du 3 octobre ? Segment LCN avec Pierre Bruneau : augmentation des cas et inconstance des résultats.   Une production QUB radio Septembre 2020 Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Des amendes de 10 000 $ pour les organisateurs de rassemblements illégaux en Ontario. 251 nouveaux cas confirmés d'infection à la COVID-19 au Québec. Christian Dubé s'excuse publiquement à la coiffeuse de Thetford Mines. | Bruno Larose (journaliste-présentateur)

Le tour de l’actualité avec Mario et Vincent : Dubé critique les problèmes de dépistage et s'excuse à la coiffeuse de Thetford Mines. Le Nouveau-Brunswick referme sa frontière avec le Bas-Saint-Laurent. 499 nouveaux cas au Québec.

Dans cet épisode, Mathieu April et François Gagnon comparent les chansons Wake up de Rage Against the Machine et de Arcade Fire. Ils parlent donc moins de guitares que d'habitude (surprise!), mais de Zero, de l'ancien IKEA de Charlesbourg, du Most Interesting Man in The World, d'un groupe hommage de Thetford Mines du même nom, de la culture du festival depuis les années 2000, du début de l'ère indie (Radio-Canada) et d'un profil d'Arcade Fire dans L'Actualité. Envoyez-nous vos commentaires par courriel, suivez-nous sur Twitter et Facebook. Abonnez-vous à notre fil RSS.

Entrevue avec le président de l’Association de protection du lac à la Truite d’Irlande, Réjean Vézina : Inquiétude à Thetford Mines où des résidus d’amiante menacent des lacs et rivières Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

L'actualité vue par Vincent Dessureault : le bilan du jour de la COVID Chronique  de Sophie Durocher : WE Charity a fermé son unique local au Québec et licencié deux de ses traducteurs francophones peu avant que le gouvernement fédéral lui confie l’administration d’un programme controversé de bourse pour les étudiants de partout au pays. L’application de notification de la COVID-19 vivement critiquée en commission. Une nouvelle maison d’édition pour les femmes racisées. Entrevue avec Yves Mailloux, Président du club des Dégustateurs de grands vins (CDGV) et membre de la Fédération internationale des Journalistes et Écrivains en Vins et Spiritueux : 3400 produits plus chers à la SAQ dès dimanche.  Chronique politique américaine avec Luc Laliberté, analyste et blogueur au Journal de Montréal et Journal de Québec : première apparition Biden-Harris. Kamala Harris est-elle américaine? Trump bloque les fonds du service postal. Entrevue avec le président de l’Association de protection du lac à la Truite d’Irlande, Réjean Vézina : Inquiétude à Thetford Mines où des résidus d’amiante menacent des lacs et rivières Le tour de l’actualité vue par Vincent Dessureault : l’Australie remet sa plus haute distinction militaire à un homme, 78 ans après sa mort.   Chronique avec Steve E. Fortin, blogueur au JDM/JDQ : en séries, les prolongations, c'est trop long! Des élections en temps de pandémie vs l'imputabilité de ceux qui nous gouvernent.     Entrevue avec Marc Genest, de Québec : il souffre de névralgie faciale à la suite d'un accident de toiture, ce qu'il fait qu'il a genre les nerfs du visage à vif en permanence et qu'il ne peut pas porter de masque.  Chronique de Danny St-Pierre, chef de restaurant et chroniqueur : Les abeilles et leur importance sur les aliments que l’on mange.   Une production QUB radio Août 2020 Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Conférence Laurent Turcot 26 mai 2020 à la Bibliothèque du CEGEP de Thetford Mines.

Entrevue avec Mickaël Matteau Rodrigue, étudiant en arts visuels au cégep de Beauce-Appalaches et travailleur dans une résidence privée pour aînés à Thetford Mines :  Un jeune étudiant de la Côte-Nord se demande quoi faire entre continuer ses études qui viennent de reprendre et continuer de travailler à temps plein dans une résidence privée pour personnes âgées semi-autonomes.

Ouverture de l’émission avec Geneviève Pettersen. Point de presse de Horacio Arruda, directeur national de santé publique du Québec. Analyse du point de presse par Vincent Dessureault et Geneviève Pettersen. Entrevue avec Nicolas Prévost, président de la Fédération Québécoise des Directions d'Établissement d'Enseignement : Le retour à l’école pour les enfants au primaire approche à grands pas. Est-ce que les directions d’écoles sont prêtes? Entrevue avec Mickaël Matteau Rodrigue, étudiant en arts visuels au cégep de Beauce-Appalaches et travailleur dans une résidence privée pour aînés à Thetford Mines :  Un jeune étudiant de la Côte-Nord se demande quoi faire entre continuer ses études qui viennent de reprendre et continuer de travailler à temps plein dans une résidence privée pour personnes âgées semi-autonomes. Entrevue Laurent Thibeault, maire de Sainte-Rose-Du-Nord : Tandis que le gouvernement Legault a annoncé la réouverture graduelle des régions dès le 4 mai, le maire de Sainte-Rose-Du-Nord a décidé d’ériger un barrage routier pour contrôler les allées et venues dans sa municipalité en fin de semaine. Entrevue avec Sarah-Maude Beauchesne, autrice : La COVID-19 affecte particulièrement le moral des adolescents québécois qui ne pourront pas retourner à l’école d’ici septembre prochain. Entrevue avec Kimberly Quesada, criminologue et mère d'un enfant de 20 mois incapable de trouver une place en garderie : Des travailleurs essentiels ne seraient toujours pas capables de trouver des places en garderies pour leurs enfants. Une production QUB radio Mai 2020

Gilles Tremblay de Prolab c’est notre mécano qui sait tout! Demandez lui n’importe quelle lubrification possible il saura vous dénicher le produit pour vous! Et ce 100% Québécois! Prolab Technolub est située à Thetford Mines. Judy Lachance est de l’entreprise de Transport Groupe TYT et ils offrent à leur conducteurs les repas pour leur sécurité... The post 9 Avril 2020 Gilles Tremblay de Prolab et Judy Lachance Groupe TYT appeared first on Podcasts.

L’A-Droit est en nomination au gala du CISSS, inégalités pour les personnes en ressources d’hébergement, fermeture du département de Thetford Mines.

David Stewart currently lives in Palo Alto, California but is originally from Thetford Mines, Quebec. David shares stories from his broad ranging career journey. He began by studying as a Lawyer at McGill and then found himself at an early stage startup just prior to the “.com” crash. He also founded a non-profit immigration clinic as well as worked in the Consulate General of Canada office in San Francisco. David is now an independent consultant that connects Canadian companies, institutions and individuals to Silicon Valley. In the interview we reference two Bay Area networks, the Digital Moose Lounge (www.digitalmooselounge.org) and the C100 (www.thec100.org); please see the links above for additional details.

L’ex-gouverneure générale du Canada et ancienne secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Michaëlle Jean, rencontre Esther Bégin pour discuter de sa fuite du régime dictatorial haïtien de Papa Doc Duvalier, de sa jeunesse passée à Thetford Mines et de son ascension aux plus hautes sphères de la diplomatie internationale. Elle devient la première femme noire gouverneure générale du Canada alors que les États-Unis élisent le premier président noir de son histoire, une nomination qui l’aura marqué profondément. Par contre, c’est dans la controverse qu’elle terminera son mandat à la tête de l’OIF.

L’ex-gouverneure générale du Canada et ancienne secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Michaëlle Jean, rencontre Esther Bégin pour discuter de sa fuite du régime dictatorial haïtien de Papa Doc Duvalier, de sa jeunesse passée à Thetford Mines et de son ascension aux plus hautes sphères de la diplomatie internationale. Elle devient la première femme noire gouverneure générale du Canada alors que les États-Unis élisent le premier président noir de son histoire, une nomination qui l’aura marqué profondément. Par contre, c’est dans la controverse qu’elle terminera son mandat à la tête de l’OIF.

Aujourd’hui, je discute du « branding » avec Charles Morin, co-fondateur et directeur de création pour l’agence créative Les Prétentieux, située à Thetford Mines. Charles nous parle de son expérience en matière de marketing et dans la gestion de l’image de marque. Une image de marque moderne et bien conçue, ça n’a pas de prix …

Michaëlle Jean becomes Canada’s first black governor general. Michaëlle Jean was born in Port-au-Prince, Haiti in 1957. When Jean was 10 years old, her father was arrested and tortured for his opposition to dictator François “Papa Doc” Duvalier. In 1968, shortly after his release, the family moved to Thetford Mines, Quebec, where Michaëlle was amazed to find snow. She was a brilliant student with an ability for languages. Her education at the University of Montreal, University of Perouse, University of Florence and the Catholic University of Milan gave her an upper hand in literature and languages. She is fluent in French, English, Italian, Spanish and Creole. During her studies, between 1979 and 1987, Jean worked with Quebec shelters for battered women. Wanting to get into journalism, she arrived back in Haiti in February 1986 just as Duvalier’s son, Baby Doc, and his corrupt regime were coming to an end. Her work on that story led her to join Radio-Canada in 1988 with a career in reporting and hosting many programs. In 1999 she moved over to the English network of CBC Newsworld to host the Passionate Eye and Rough Cuts. She returned to the French station with a higher profile, her own show and a trail of awards for her work. On August 4, 2005, the country discovered that yet another well-known broadcaster would become the next governor general of Canada (replacing former broadcaster Adrienne Clarkson and Roméo LeBlanc). In taking on the job of the queen’s representative, Jean became the first black woman to hold the post. To help with the transition to the official residence at Rideau Hall on September 27, 2005, Jean and her husband Jean-Daniel Lafond agreed to their daughter’s one request: Marie-Eden would get a dog. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Thetford Mines, ville minière Introduction à l’émission (Éric Brunet) Tour d’horizons Thetford Mines (Émilie Nepveu) Moisonneuse batteuse Histoire des mines au Québec (Jimmy Pham) Asbestos Entrevue avec Louis Lauzier-Jobin sur la Charrette des étudiants au baccaulauréat en urbanisme (Éric) On est-tu ben quand on est chaud Entrevue avec Simon Mérineau, étudiant au baccalauréat et gagnant de la Charrette À cause de toi Survie des villes minières (Charles Denommé) Boss man Tour de table et clôture de l’émission (Éric Brunet) Party like hell

En este ltimo domingo antes de las celebraciones de Navidad les presento una de esas pelculas que nos prestan un pasado que imaginamos nuestro. Se trata de una pelcula canadiense, en medio de la nieve, en el mes de la Navidad. Esta pelcula se llama Mon oncle Antoine, Mi to Antonio, Fue filmada en 1971 en la regin que hoy se conoce como Thetford Mines. Siendo considerada como una de las mejores pelculas dentro el cine canadiense, fue filmada con un presupuesto mnimo de 750.000 dlares y fue posible gracias al apoyo de la Oficina nacional de Cine de Canad.