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Ralentissement économique aux États-Unis. Airbus, confiant malgré l’incertitude causée par les tarifs de Trump. Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qubPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
Janette Bertrand a 100 ans aujourd’hui! Ralentissement des opérations à l’aéroport Montréal-Trudeau. Jour de budget au Québec. À quel endroit seront les chefs aujourd’hui? Nouveaux sondages. Le CF Montréal congédie encore son entraîneur. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ralentissement informatique à l’aéroport Trudeau. Québec déposera son budget aujourd’hui. Les chefs seront à quel endroit aujourd’hui? Le CH affronte les Blues. Une nouveauté signée Audrey-Louise Beauséjour. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:37:42 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Hier, le baromètre GSC et Altares annonçait un chômage record pour les chefs d'entreprise en 2024. Signal d'alarme ou simple rattrapage après la crise du Covid ? À l'incertitude interne du pays, s'ajoute celle liée au retour de Trump. Assiste–t-on à la construction d'un nouveau modèle économique ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Éric Heyer Économiste; Isabelle This Saint-Jean Économiste, professeure à Sorbonne Paris Nord
durée : 02:30:08 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Les enjeux internationaux - Mark Carney, un politicien néophyte à la tête du gouvernement canadien La question du jour - Philosophie : quel avenir pour les départements universitaires ? L'invité des matins - Ralentissement économique : un modèle à bout de souffle ? - réalisation : Félicie Faugère
À surveiller aujourd’hui: annonce sur le TGV, . 2 femmes en or cette semaine au Théâtre du Nouveau-Monde. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce mardi 4 février, l'analyse du "crack" sur le marché des cryptos a été faite par IJean Guillou, co-fondateur et directeur des investissements chez Vancelian, dans Tout pour investir, présenté par Lorraine Goumot, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:13 - Le brief éco - Les cadres ne sont pas épargnés par la baisse des recrutements dans les entreprises françaises. Une tendance qui ressort clairement du dernier baromètre trimestriel publié,mardi, par l'Association pour l'emploi des cadres (Apec).
L'essentiel des nouvelles le 27 janvier 2025---Assurances auto et habitation moins chères -> https://bit.ly/infobref-assurances-mois-cheres---Plusieurs autres ministres fédéraux ont annoncé leur soutien à Mark Carney La Caq va de nouveau accepter les dons politiques Le Canada pourrait atteindre le budget-cible de l'Otan d'ici 2 ansUn ancien soldat canadien détenu en Afghanistan a été libéréTrump a sanctionné la Colombie parce qu'elle a refusé le retour de migrants des États-UnisLe ralentissement de l'immigration va nuire à la croissance de l'économie canadiennePostes Canada obtient un prêt d'un milliard $ du fédéral pour maintenir ses activitésL'enseigne de magasins La Source a disparu Un FNB de Vanguard qui reproduit l'indice S&P 500 sera sans doute bientôt le plus grand au mondeDes téléphones équipés de TikTok se vendent à prix d'or sur eBay--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la publicité-commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Terre tourne sur elle-même, mais cette rotation ralentit progressivement. Environ 1,4 millisecondes s'ajoutent à la durée d'une journée tous les 100 ans. Bien que ce ralentissement soit imperceptible au quotidien, ses conséquences, sur le long terme, sont significatives pour notre planète et ses habitants. 1. Allongement des journéesLa première conséquence est évidente : les journées deviennent de plus en plus longues. Si ce phénomène se poursuit sur des millions d'années, une journée pourrait durer 25 heures, voire davantage. Cet allongement impacte les cycles naturels, notamment les rythmes circadiens des êtres vivants, qui sont adaptés à une alternance de 24 heures entre lumière et obscurité. 2. Influence gravitationnelle de la LuneLe ralentissement de la rotation terrestre est en grande partie causé par les forces de marée exercées par la Lune. Ces forces créent un transfert d'énergie, ralentissant la Terre et provoquant l'éloignement progressif de la Lune d'environ 3,8 centimètres par an. À long terme, cette modification des interactions Terre-Lune pourrait changer la stabilité des marées et affecter les écosystèmes côtiers. 3. Modifications climatiques et géophysiquesUn ralentissement significatif de la rotation pourrait également avoir des conséquences sur le climat. Une Terre tournant plus lentement aurait des jours et des nuits plus longs, entraînant des variations extrêmes de température. Les journées prolongées exposeraient les continents à un ensoleillement plus intense, tandis que les longues nuits favoriseraient des refroidissements drastiques. De plus, la répartition de la masse de la Terre changerait légèrement avec un ralentissement accru, ce qui pourrait influencer les plaques tectoniques et la fréquence des séismes. 4. Impact sur la mesure du tempsEnfin, le ralentissement de la rotation de la Terre a des implications sur la façon dont nous mesurons le temps. Les horloges atomiques, qui sont extrêmement précises, montrent que la durée d'une journée n'est plus parfaitement alignée avec la rotation terrestre. Pour compenser cette différence, des "secondes intercalaires" sont ajoutées aux horloges universelles, permettant de maintenir la synchronisation entre le temps atomique et le temps solaire. Bien que ce ralentissement soit un processus naturel, ses effets sur l'environnement et nos sociétés pourraient devenir plus visibles à mesure qu'il s'accélère sur des échelles de temps astronomiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le gain de poids au niveau abdominal avec l'âge n'est pas le fruit du hasard. Ce phénomène, particulièrement fréquent, s'explique par des mécanismes biologiques spécifiques qui favorisent le stockage des graisses dans cette région plutôt qu'ailleurs. 1. Répartition hormonale des graissesLes hormones jouent un rôle clé dans la localisation des graisses. Chez les femmes, la ménopause entraîne une baisse des œstrogènes, une hormone qui favorise le stockage des graisses sur les hanches et les cuisses (répartition gynoïde). Après la ménopause, ce stockage devient androïde, favorisant l'accumulation de graisses autour du ventre. Chez les hommes, la diminution progressive de la testostérone, qui aide à maintenir la masse musculaire et limite le stockage des graisses, conduit également à une accumulation abdominale. Le ventre est particulièrement sensible à ces changements car il possède une densité élevée de récepteurs hormonaux, notamment pour le cortisol (hormone du stress) et l'insuline, qui influencent directement le stockage des graisses. 2. Nature de la graisse abdominaleLa région abdominale est unique car elle stocke deux types de graisses : la graisse sous-cutanée (sous la peau) et la graisse viscérale (autour des organes internes). Avec l'âge, la proportion de graisse viscérale augmente. Ce type de graisse est métaboliquement actif et réagit fortement aux déséquilibres hormonaux, au stress et aux modifications métaboliques, ce qui explique pourquoi cette région est privilégiée pour le stockage des graisses. 3. Influence du cortisolLe cortisol, l'hormone du stress, joue un rôle majeur dans l'accumulation abdominale. Le ventre dispose de nombreux récepteurs au cortisol, ce qui le rend particulièrement réactif en cas de stress chronique. Avec l'âge, les niveaux de stress augmentent souvent, aggravant l'accumulation de graisses dans cette zone. 4. Ralentissement du métabolismeAvec l'âge, la masse musculaire diminue (sarcopénie), et le métabolisme basal ralentit. Le corps brûle donc moins de calories au repos, favorisant le stockage des excès caloriques sous forme de graisses, particulièrement dans l'abdomen. Cette localisation proche des organes vitaux pourrait être un vestige évolutif, garantissant une réserve d'énergie facilement mobilisable en cas de besoin. Le ventre grossit spécifiquement avec l'âge en raison d'une combinaison d'effets hormonaux, d'une accumulation accrue de graisse viscérale, et d'une réponse exacerbée au stress. D'autres régions du corps, comme les bras ou les jambes, sont moins sensibles à ces mécanismes car elles possèdent moins de récepteurs hormonaux et de capacité à stocker de la graisse viscérale. Une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et une gestion du stress sont essentielles pour limiter cette accumulation et ses impacts sur la santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ralentissement dans le secteur du crowfunding. Les investisseurs se pressent encore, mais le financement participatif souffre de la hausse des taux hypothécaires. Virya Energy, une filiale du groupe Colruyt va implanter une unité de production d'hydrogène à Engis près de Liège. La première pierre d'un écosystème en Wallonie. BNP Paribas est la première des grandes banques en Belgique à baisser ses taux sur l'épargne. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google Podcasts See omnystudio.com/listener for privacy information.
Il est l'auteur de « 2030… Le travail a changé », aux éditions du Cherche-Midi. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le gain de poids au niveau abdominal avec l'âge n'est pas le fruit du hasard. Ce phénomène, particulièrement fréquent, s'explique par des mécanismes biologiques spécifiques qui favorisent le stockage des graisses dans cette région plutôt qu'ailleurs. 1. Répartition hormonale des graissesLes hormones jouent un rôle clé dans la localisation des graisses. Chez les femmes, la ménopause entraîne une baisse des œstrogènes, une hormone qui favorise le stockage des graisses sur les hanches et les cuisses (répartition gynoïde). Après la ménopause, ce stockage devient androïde, favorisant l'accumulation de graisses autour du ventre. Chez les hommes, la diminution progressive de la testostérone, qui aide à maintenir la masse musculaire et limite le stockage des graisses, conduit également à une accumulation abdominale. Le ventre est particulièrement sensible à ces changements car il possède une densité élevée de récepteurs hormonaux, notamment pour le cortisol (hormone du stress) et l'insuline, qui influencent directement le stockage des graisses. 2. Nature de la graisse abdominaleLa région abdominale est unique car elle stocke deux types de graisses : la graisse sous-cutanée (sous la peau) et la graisse viscérale (autour des organes internes). Avec l'âge, la proportion de graisse viscérale augmente. Ce type de graisse est métaboliquement actif et réagit fortement aux déséquilibres hormonaux, au stress et aux modifications métaboliques, ce qui explique pourquoi cette région est privilégiée pour le stockage des graisses. 3. Influence du cortisolLe cortisol, l'hormone du stress, joue un rôle majeur dans l'accumulation abdominale. Le ventre dispose de nombreux récepteurs au cortisol, ce qui le rend particulièrement réactif en cas de stress chronique. Avec l'âge, les niveaux de stress augmentent souvent, aggravant l'accumulation de graisses dans cette zone. 4. Ralentissement du métabolismeAvec l'âge, la masse musculaire diminue (sarcopénie), et le métabolisme basal ralentit. Le corps brûle donc moins de calories au repos, favorisant le stockage des excès caloriques sous forme de graisses, particulièrement dans l'abdomen. Cette localisation proche des organes vitaux pourrait être un vestige évolutif, garantissant une réserve d'énergie facilement mobilisable en cas de besoin. Le ventre grossit spécifiquement avec l'âge en raison d'une combinaison d'effets hormonaux, d'une accumulation accrue de graisse viscérale, et d'une réponse exacerbée au stress. D'autres régions du corps, comme les bras ou les jambes, sont moins sensibles à ces mécanismes car elles possèdent moins de récepteurs hormonaux et de capacité à stocker de la graisse viscérale. Une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et une gestion du stress sont essentielles pour limiter cette accumulation et ses impacts sur la santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:15 - Le brief éco - La Banque centrale européenne (BCE) baisse une nouvelle fois ses taux d'intérêt et surveille de très près la situation de la France et de l'Allemagne.
Le rouble est à son plus bas niveau depuis février 2022 et le début de l'offensive militaire terrestre russe en Ukraine, un peu plus de 110 roubles pour 1 dollar. Et malgré les sanctions occidentales, l'économie russe « semble » tenir le coup. Pourtant, plusieurs signaux laissent entendre l'inverse. Décryptage. Officiellement, tout va bien puisque la Russie partage de moins en moins de données. Dans les grandes lignes, l'économie du pays semble avoir bien résisté aux sanctions, mais des faiblesses apparaissent. Ce qui est le plus frappant, c'est l'inflation galopante. Toujours d'après les chiffres officiels, la hausse du niveau général des prix est de 9%, mais d'après plusieurs médias et instituts indépendants, l'inflation est plutôt dans les alentours de 20%-21%. Cela se traduit très concrètement dans le quotidien des Russes. Le prix d'un kilo de pommes de terre a augmenté de 73% depuis le début de l'année, pratiquement le double pour le beurre. À écouter aussiComment expliquer l'étonnante résilience de l'économie russe?Comment expliquer ces hausses impressionnantes ? Déjà, les sanctions occidentales. Elles viennent peser sur la santé financière russe, notamment en raison des limitations d'importations. Elles font nécessairement augmenter les prix des produits de base comme le lait, le pain, la viande ou le poisson. Mais aussi pour des raisons propres à la situation dans laquelle se trouve la Russie. Elle est dans une économie de guerre et dépense beaucoup pour son offensive en Ukraine. Environ 40% de son budget est consacré au fonctionnement de son industrie militaire et à la rémunération de ses soldats. En tout cas, les autorités veulent se montrer à la manœuvre. Le procureur général a notamment ordonné une enquête sur cette hausse des prix et il s'engage à apporter une réponse pour apaiser l'inquiétude de l'opinion publique. À lire aussiRussie: un braquage pour 20 kilos de beurre illustre l'explosion des prixTaux directeur de 21% Une voix s'élève et s'inquiète de cette tendance, celle du patron de Rostec. Rostec, c'est le plus grand conglomérat industriel russe. Il produit pratiquement toutes les armes et équipements destinés à la guerre en Ukraine. Son directeur met en garde contre un ralentissement de la production et parle de risque de faillite. La raison, c'est le taux directeur de la Banque centrale russe. Il est aujourd'hui de 21%. À titre de comparaison, celui des États-Unis est de 4,75%. Ce qui a comme conséquences la difficulté pour l'industrie russe d'exporter et d'emprunter tant ce taux est important. Une croissance qui ralentit La croissance russe reste certes positive, mais elle ralentit. Le Fonds monétaire international table pour le moment sur une croissance de 3,4% pour cette année, un peu plus de 1% pour 2025. Ralentissement de la croissance expliqué par la pénurie de main-d'œuvre. En effet, les travailleurs sont au front, environ 500 000 Russes ont été tués au combat, d'autres ont fui le pays. Mais surtout, la Russie fait face à un déclin démographique. À plus de 1 000 jours de guerre, Moscou semble ainsi arriver à un tournant. Il est économique, avec une croissance faible et une inflation importante, ce qu'on appelle la stagflation. Cette situation, c'est bien l'autre front pour Vladimir Poutine, à savoir « trouver un équilibre entre le beurre et les canons » !
Ce mardi 26 novembre, la diminution de la création dans le monde de la Tech a été abordée par Anthony Morel, dans Culture IA, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Mardi 19 novembre, la baisse des investissements des entreprises étrangers en France a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Mardi 19 novembre, la baisse des investissements des entreprises étrangers en France a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:40 - Le brief éco - L'industrie du luxe contribue au dynamisme commercial de la France à l'étranger, mais s'il veut continuer de s'imposer, le secteur doit élargir sa clentèle en tentant de séduire les jeunes notamment.
Dans l'épisode du jour, je commence par vous partager une guidance qui met en lumière ce sur quoi nous avons travaillé grâce à notre introspection profonde liée à nos traumatismes.Cette phase nous a demandé beaucoup de repos et d'adaptabilité.Aujourd'hui, cela nous permet de prendre de nouvelles décisions et de passer à l'action pour réaliser nos projets. La guidance nous invite à ne pas aller plus vite que la musique, de nous laisser le temps de mettre en place les choses et d'écouter nos élans créatifs tout en respectant notre énergie et notre plaisir de faire. Si nous créons avec le coeur, nous allons récolter les fruits de notre investissement et attirer l'abondance.Je vous partage également un code énergétique afin de vous permettre d'apaiser vos émotions et vos pensées.N'hésitez pas à partager l'épisode avec vos proches, et si le cœur vous en dit, vous pouvez me laisser un commentaire sur le podcast.Je vous embrasse,Virginie SOPHIAhttps://www.virginiesophia.com/Pour accéder au soin énergétique Libération du stress : https://www.virginiesophia.com/produit/soin-energetique-liberation-du-stress/Pour accéder aux codes énergétiques pour se Libérer du stress: https://www.virginiesophia.com/produit/codes-dactivation-energetiques-liberation-du-stress/Méditation libération du stress : https://www.virginiesophia.com/produit/meditation-liberation-blocages-emotionnels/Si vous souhaitez vous offrir mes livres canalisés :Prières à mon âme : https://www.virginiesophia.com/produit/prieres-mon-ame/Prières à mon âme version audio :https://www.virginiesophia.com/produit/prieres-a-mon-ame-version-audio/Entends nous : https://www.virginiesophia.com/produit/le-livre-entends-nous/Ce que la Source m'a confié :https://www.virginiesophia.com/produit/ce-que-la-source-ma-confie/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ralentissement de l'inflation. La frontière est encore une passoire. La rencontre Dubé-Dutrizac avec Alexandre Dubé et Benoit Dutrizac Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Consommer de l'alcool en prenant des antibiotiques peut avoir divers effets sur l'organisme. 1. Impact sur le métabolisme des antibiotiques : - Ralentissement du métabolisme : L'alcool et certains antibiotiques sont métabolisés par les mêmes enzymes hépatiques. Boire de l'alcool peut ralentir le métabolisme des antibiotiques, augmentant ainsi leur concentration dans le sang, ce qui peut accroître le risque d'effets secondaires. - Diminution de l'efficacité : Dans certains cas, l'alcool peut au contraire accélérer le métabolisme des antibiotiques, diminuant leur concentration dans le sang et réduisant leur efficacité pour traiter l'infection. 2. Réactions spécifiques : Effet de type disulfirame (Antabuse) : - Certains antibiotiques lorsqu'ils sont couplés avec de l'alcool peuvent provoquer une réaction de type disulfirame. - Symptômes : Cette réaction provoque des nausées, des vomissements, des bouffées de chaleur, des maux de tête, une accélération du rythme cardiaque, et parfois une hypotension sévère. Cela se produit parce que l'alcool est métabolisé en acétaldéhyde, un composé toxique normalement éliminé rapidement par une enzyme que certains antibiotiques justement, inhibent ! 3. Augmentation des effets secondaires : - Toxicité hépatique : La combinaison d'alcool et d'antibiotiques peut augmenter le risque de toxicité hépatique, surtout avec des antibiotiques comme l'isoniazide et la rifampicine utilisés pour traiter la tuberculose. - Effets gastro-intestinaux : L'alcool peut irriter la muqueuse gastro-intestinale, augmentant ainsi les effets secondaires gastro-intestinaux des antibiotiques tels que les nausées, les vomissements, et les douleurs abdominales. 4. Impact sur le système immunitaire : - L'alcool affaiblit le système immunitaire, ce qui peut compromettre la capacité de l'organisme à lutter contre l'infection, rendant le traitement antibiotique moins efficace. 5. Déshydratation et effets sur la guérison : - L'alcool est un diurétique, ce qui peut entraîner une déshydratation. La déshydratation peut compliquer la guérison en affaiblissant l'état général du corps et en aggravant les effets secondaires des antibiotiques. 6. Altération de la vigilance et des fonctions cognitives : - L'alcool peut intensifier les effets secondaires neurologiques de certains antibiotiques, comme la somnolence, les étourdissements ou la confusion, ce qui peut être dangereux, surtout si l'on doit conduire ou utiliser des machines. Conclusion :Il est généralement recommandé d'éviter l'alcool pendant un traitement antibiotique pour éviter ces effets néfastes. Même si certains antibiotiques n'ont pas de réaction directe avec l'alcool, l'effet combiné sur l'organisme affaibli et en guérison n'est jamais idéal. Il est préférable de suivre les conseils de votre médecin ou pharmacien concernant les interactions spécifiques avec l'alcool pour le type d'antibiotique que vous prenez. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'économie pakistanaise pourrait perdre jusqu'à 300 millions de dollars en raison des perturbations du réseau internet causées par l'imposition d'un pare-feu national. Depuis juillet, les réseaux sont jusqu'à 40% plus lents que la normale. Le Pakistan a déjà bloqué l'accès au réseau social X depuis les élections de février, au cours desquelles l'ancien Premier ministre emprisonné, Imran Khan, a remporté le plus grand nombre de sièges malgré la répression et l'interdiction de son parti. De notre correspondante à Lahore,Il est plus de minuit, à Lahore. Shafique Wains et ses deux associés sont à la tâche devant leurs ordinateurs. Ils sont assistants informatique pour des centres d'appel basés aux États-Unis et en Europe. Dix minutes seulement après qu'il ont pris leur posten un message d'erreur s'affiche sur leurs écrans : le réseau internet a été interrompu.« La connexion sécurisée et le protocole de transfert de fichiers ont été déconnectés. D'habitude, cela se produisait une fois par semaine, ou tous les trois ou quatre jours. Mais depuis juillet, cela se produit 10 à 15 fois par jour. »Shafique Wains, PDG de Wains Solutions, a perdu 30% de ses clients au cours des dernières semaines en raison des interruptions constantes du réseau internet : « J'ai créé cette entreprise en avril 2023 et nous avons connu une croissance jusqu'à récemment. Depuis le mois dernier, elle s'est arrêtée à cause des perturbations de l'internet. Je crains que d'ici l'année prochaine, nous ne devions déménager dans un bureau plus petit ou travailler à distance depuis notre domicile. »Shafique Wains et ceux qui travaillent comme lui, en freelance sur internet, paient un lourd prix. Certaines plateformes qui mettent en lien les clients et les travailleurs indépendants ont suspendu temporairement les comptes de milliers de Pakistanais. Umair, qui fait du marketing numérique, en a fait l'expérience : « Le site Fiverr a envoyé une notification à nos clients pour les informer que nous n'étions pas disponibles pour un nouveau travail. Nous ne gagnons pas beaucoup d'argent et nous ne recevons pas d'aide du gouvernement, ce qui est frustrant et déprimant. »À lire aussiLe Pakistan veut mieux réguler la liberté d'expression sur internetDélocalisation des bureaux à l'étrangerPlusieurs multinationales au Pakistan, lasses des interruptions internet, ont délocalisé leurs bureaux à l'étranger. Selon les médias locaux, l'installation d'un pare-feu national destiné à contrôler et à réguler le web est à l'origine de la dégradation du réseau. Ces problèmes sont apparus alors que l'armée pakistanaise – l'institution la plus puissante du pays – affirme lutter contre ce que l'on appelle le « terrorisme numérique ». Mais les analystes estiment que la principale cible des perturbations numériques est le parti du chef de l'opposition emprisonné, Imran Khan, qui jouit toujours d'une grande popularité et qui est soutenu par une base d'électeurs jeunes et férus de technologie.Le gouvernement nie mais ne donne aucune réelle explication, regrette Noghat Dad. Elle est directrice de l'ONG Digital Rights Foundation : « Nous appelons cela un pays démocratique. Nous ne sommes pas la Russie, nous ne sommes pas la Chine. Nous ne sommes pas un autre pays où l'on donne l'exemple de l'installation d'un système de pare-feu. En fait, nous devons être très clairs sur la direction que nous voulons prendre en tant que pays, puis être clairs et transparents vis-à-vis de nos concitoyens, en leur disant que c'est la direction que nous adoptons et que c'est là que nous allons. »Fuite des cerveauxLes autorités pakistanaises ont franchi un pas, estime Usama Khilji, directeur d'un organisme de surveillance d'internet à Islamabad : « Cela montre vraiment que l'espace de dissidence et d'exercice des droits constitutionnels démocratiques dans ce pays, tels que la liberté d'expression, le droit à la vie privée, le droit à l'information et le droit à la subsistance, se rétrécit de plus en plus. »Usama Khilji met en garde contre une fuite des cerveaux qui s'accentuerait. Plus de 100 000 personnes qualifiées auraient déjà quitté le Pakistan au cours de ces deux dernières années en raison de la crise économique.À lire aussiPakistan: le réseau social X bloqué pour des raisons de «sécurité nationale»
L'économie pakistanaise pourrait perdre jusqu'à 300 millions de dollars en raison des perturbations du réseau internet causées par l'imposition d'un pare-feu national. Depuis juillet, les réseaux sont jusqu'à 40% plus lents que la normale. Le Pakistan a déjà bloqué l'accès au réseau social X depuis les élections de février, au cours desquelles l'ancien Premier ministre emprisonné, Imran Khan, a remporté le plus grand nombre de sièges malgré la répression et l'interdiction de son parti. De notre correspondante à Lahore,Il est plus de minuit, à Lahore. Shafique Wains et ses deux associés sont à la tâche devant leurs ordinateurs. Ils sont assistants informatique pour des centres d'appel basés aux États-Unis et en Europe. Dix minutes seulement après qu'il ont pris leur posten un message d'erreur s'affiche sur leurs écrans : le réseau internet a été interrompu.« La connexion sécurisée et le protocole de transfert de fichiers ont été déconnectés. D'habitude, cela se produisait une fois par semaine, ou tous les trois ou quatre jours. Mais depuis juillet, cela se produit 10 à 15 fois par jour. »Shafique Wains, PDG de Wains Solutions, a perdu 30% de ses clients au cours des dernières semaines en raison des interruptions constantes du réseau internet : « J'ai créé cette entreprise en avril 2023 et nous avons connu une croissance jusqu'à récemment. Depuis le mois dernier, elle s'est arrêtée à cause des perturbations de l'internet. Je crains que d'ici l'année prochaine, nous ne devions déménager dans un bureau plus petit ou travailler à distance depuis notre domicile. »Shafique Wains et ceux qui travaillent comme lui, en freelance sur internet, paient un lourd prix. Certaines plateformes qui mettent en lien les clients et les travailleurs indépendants ont suspendu temporairement les comptes de milliers de Pakistanais. Umair, qui fait du marketing numérique, en a fait l'expérience : « Le site Fiverr a envoyé une notification à nos clients pour les informer que nous n'étions pas disponibles pour un nouveau travail. Nous ne gagnons pas beaucoup d'argent et nous ne recevons pas d'aide du gouvernement, ce qui est frustrant et déprimant. »À lire aussiLe Pakistan veut mieux réguler la liberté d'expression sur internetDélocalisation des bureaux à l'étrangerPlusieurs multinationales au Pakistan, lasses des interruptions internet, ont délocalisé leurs bureaux à l'étranger. Selon les médias locaux, l'installation d'un pare-feu national destiné à contrôler et à réguler le web est à l'origine de la dégradation du réseau. Ces problèmes sont apparus alors que l'armée pakistanaise – l'institution la plus puissante du pays – affirme lutter contre ce que l'on appelle le « terrorisme numérique ». Mais les analystes estiment que la principale cible des perturbations numériques est le parti du chef de l'opposition emprisonné, Imran Khan, qui jouit toujours d'une grande popularité et qui est soutenu par une base d'électeurs jeunes et férus de technologie.Le gouvernement nie mais ne donne aucune réelle explication, regrette Noghat Dad. Elle est directrice de l'ONG Digital Rights Foundation : « Nous appelons cela un pays démocratique. Nous ne sommes pas la Russie, nous ne sommes pas la Chine. Nous ne sommes pas un autre pays où l'on donne l'exemple de l'installation d'un système de pare-feu. En fait, nous devons être très clairs sur la direction que nous voulons prendre en tant que pays, puis être clairs et transparents vis-à-vis de nos concitoyens, en leur disant que c'est la direction que nous adoptons et que c'est là que nous allons. »Fuite des cerveauxLes autorités pakistanaises ont franchi un pas, estime Usama Khilji, directeur d'un organisme de surveillance d'internet à Islamabad : « Cela montre vraiment que l'espace de dissidence et d'exercice des droits constitutionnels démocratiques dans ce pays, tels que la liberté d'expression, le droit à la vie privée, le droit à l'information et le droit à la subsistance, se rétrécit de plus en plus. »Usama Khilji met en garde contre une fuite des cerveaux qui s'accentuerait. Plus de 100 000 personnes qualifiées auraient déjà quitté le Pakistan au cours de ces deux dernières années en raison de la crise économique.À lire aussiPakistan: le réseau social X bloqué pour des raisons de «sécurité nationale»
Ses profits baissent, tout comme ses ventes de marchandises et d’essence. Cette tendance qui perdure depuis 3 trimestre commence à inquiéter les investisseurs. Après deux années désastreuses, l’industrie mondiale du jouet se rétablit, grâce à l’univers des Pokemon et aux adultes qui achètent des Lego créés spécialement pour eux. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donne des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Jeudi 29 août, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Zoé Mohl, investisseur chez Balderton Capital, et Jérome Marin, fondateur de la newsletter Cafetech.fr. Ils se sont penchés sur la levée de 1.3 milliard de dollars de Balderton Capital, la croissance de Nvidia ralentit, et la possibilité d'une nouvelle levée de fonds d'OpenAI, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Chaque jour, votre coaching financier : on vous coache pour vous aider à devenir meilleur investisseur.
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Ce vendredi 12 avril, l'inquiétude de la FMI face à la dégradation de la productivité qui, selon cette institution, est le principal facteur responsable du ralentissement de l'économie, a été abordée par Stéphane Pedrazzi dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 12 avril, l'inquiétude de la FMI face à la dégradation de la productivité qui, selon cette institution, est le principal facteur responsable du ralentissement de l'économie, a été abordée par Stéphane Pedrazzi dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:27 - Le monde est à nous - Alors que l'UE a décidé d'interdire la vente des véhicules à moteur thermique à partir de 2035, les ventes de voitures électriques baissent sensiblement en Allemagne.
L'inflation, c'est un panier global de l'Insee qui prend en compte le prix des services (quand vous faîtes appel à un artisan par exemple), mais aussi les prix de l'énergie, de l'essence et les prix alimentaires dans les grandes surfaces. Or, depuis quelques mois, ce sont les prix du gaz, de l'électricité et du carburant qui ont beaucoup baissé. Pas forcément les prix du panier de courses.
Une vidéo d'un jeune couple chinois dont les difficultés à posséder un appartement mettent en lumière le ralentissement économique du pays a captivé la nation. Traduction : A video of a young Chinese couple whose struggles to own a flat shed light on the country's economic downturn has captivated the nation. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Une vidéo d'un jeune couple chinois dont les difficultés à posséder un appartement mettent en lumière le ralentissement économique du pays a captivé la nation.Traduction :A video of a young Chinese couple whose struggles to own a flat shed light on the country's economic downturn has captivated the nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les similitudes - ou pas - entre Juraj Slafkovsky des Canadiens de Montréal et Quinton Byfield des Kings de Los Angeles, le retour de Jacques Martin à Ottawa et le ralentissement d'Alexander Ovechkin. Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Antoine Roussel du 98.5 FM et Richard Labbé et Alexandre Pratt de La Presse. Le sommaire Bloc 1 00:30 - En novembre, défaite de 4-0 face aux Kings. En décembre, défaite 4-0 face aux Kings. Même genre de match? 14:00 - Plusieurs voient une similitude entre Quinton Byfield et Juraj Slafkovsky. Et vous? 25:10 - En dépit des modifications sur l’avantage numérique, les Canadiens sont zéro en trois. Bloc 2 28:25 - Les Canadiens sont à 4 points de la dernière place pour accéder aux séries éliminatoires. Est-ce que la chaîne débarque ce week-end face aux Sabres de Buffalo et les Predators de Nashville? 40:20 - Jacques Martin est de retour avec les Sénateurs d'Ottawa. Que doit en penser l'entraîneur D.J. Smith? Bloc 3 47:00 - Maple Leafs de Toronto: John Klingberg blessé, Joseph Woll blessé. 49:45 - Alexander Ovechkin: 1500 points, mais 5 buts en 25 matchs cette saison. Ralentissement?Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
Ce mardi 28 novembre, la situation économique du pays, notamment les signaux clairs de ralentissement, a été abordée par Rafik Smati, chef d'entreprise dans le digital et fondateur d'Objectif France, Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyse et Prévision de l'OFCE, et Christian Saint-Etienne, professeur au CNAM et membre du Cercle des économistes, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 27 novembre, les signaux qui démontrent le ralentissement de l'économie française, ainsi que la décision de S&P, qui se prononcera vendredi sur la note de la dette souveraine de la France, ont été abordés par Philippe Aghion, professeur au Collège de France et membre du Cercle des économistes, Augustin Landier, professeur à HEC, et Robin Rivaton, directeur général de Stonal et fondateur de Real Estech, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Selon les données de l'Association des constructeurs automobiles européens, la part du marché des voitures électriques est en baisse en Europe. Malgré ce recul, le 100 % électrique reste en augmentation sur un an, mais ce ralentissement de fin d'année pourrait se prolonger dans le temps.
durée : 00:04:46 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Le Gulf Stream, gigantesque tapis roulant océanique, est suspecté depuis plusieurs années de ralentir. Mais le manque de données de terrain limitait la force de ces assertions. Une nouvelle étude révèle avec certitude que ce courant chaud a ralenti de 4 % dans les 40 dernières années.
En Chine, la vente directe en streaming peut-elle contribuer à la revitalisation des campagnes et permettre de trouver un emploi localement aux jeunes qui fuient vers les mégalopoles ? Selon les chiffres du ministère chinois du Commerce, en août dernier, les zones rurales comptaient plus de 17 millions de ces influenceurs sur les chaînes vidéo des réseaux sociaux. De notre correspondant à Pékin, avec Louise May du bureau de Pékin,Suning se trouve à moins de 200 kilomètres de Pékin, autant dire une promenade à l'échelle de ce pays continent. Et pourtant, c'est bien l'impression d'un retour en arrière, loin de la vie trépidante de la capitale chinoise, que ressent le voyageur pendant ces trois heures de trajet avant d'arriver à ce petit comté de la province du Hebei - qui compte 340 000 habitants -, au nord du fleuve Jaune.Dans le train, il y a la fumée de cigarette qui s'échappe des toilettes, l'odeur du thé et des nouilles instantanées dans les compartiments couchettes ouverts sur le couloir. Il y a aussi le film qui défile par la fenêtre du vieux train vert, ses paysages de champs de maïs et de prairies en cinémascope, avec des moutons noirs et blancs que les voyageurs comptent pour passer le temps. Un eldorado numérique Le TGV n'est pas encore arrivé ici, mais le live streaming [la diffusion en direct, NDLR] est partout dans les villages, comme chez monsieur Liu. Oreilles décollées, sourire accueillant, cet entrepreneur de 36 ans a repris l'affaire familiale spécialisée dans le matériel de pêche.« On a commencé les ventes en direct l'année dernière, raconte-t-il. Avec un téléphone portable, une personne peut s'adresser à une foule de clients. C'est comme si on était dans un hypermarché. On a des clients dans toutes la Chine. Et puis il y a tous ces jeunes diplômés qui après avoir terminé leurs études, tentent une première expérience dans le live streaming. » « C'est un métier pour les jeunes, il n'y a pas de vieux influenceurs », ajoute le jeune patron qui suit les fluctuations des connexions et des ventes sur son ordinateur comme le lait de soja sur le feu. L'entreprise aurait déjà embauché plus d'une dizaine de jeunes du cru et pas simplement celles et ceux qu'on voit à l'écran. Faux cils, maquillage épais, cette jeune femme, croisée chez une autre commerçant du comté, mouline dans le vide avec une longue canne à pêche : « Par ici, vous pouvez espérer gagner entre 500 à 650 euros par mois dans les ateliers ou dans les commerces, confie cette dernière après avoir décroché des projecteurs et de son smartphone. Or certains livestreamers gagnent cela en une journée. Et ils s'achètent des voitures, des appartements. Bon après, on est tellement nombreux maintenant à faire de la vente en direct sur internet que c'est difficile de percer. » Dans cet eldorado des nouveaux métiers du numérique, il y a ces paysans du net qui pour certains deviennent de véritables stars. Mais il y a tous ceux qui encadrent ces ventes en ligne : les agents de service qui répondent le plus vite possible aux questions des clients, les modérateurs de commentaires etc. Pêche à l'emploi Le live streaming, nouvel eldorado de la jeunesse fatiguée de l'usine ou des livraisons ? Et à Suning, l'emploi est-il au bout de la ligne ? Plus de 6 500 magasins d'articles pour la pêche à la ligne ont en effet été recensés dans le comté. Une activité qui aurait permis de trouver du travail à un quart de la population locale, rapporte le quotidien Jiang Minyu. Selon le directeur du Centre de services de développement de l'économie numérique local, cité par le journal, 30 000 habitants de la région travaillent directement dans le commerce électronique et 85 000 sont employés dans l'emballage des produits, la production de vidéo et autres travaux connexes. Chez Monsieur Liu, quatre livestreamers se relaient pour les ventes, à raison de 16 heures de sessions par jour. Les heures de pointes arrivant en fin de journée : « quand les gens rentrent du travail, ils ont du temps pour le shopping », explique-t-il. L'étage au-dessus des studios sert d'entrepôt au matériel, avec des rayonnages entiers remplis de cannes à pêche destinés à tous types de clients, sur un marché du loisir qui ne cesse de prendre de l'ampleur, notamment la pêche en tant que divertissement. En Chine, les armes à feux sont interdites et il n'y a pas de chasseurs. En revanche, de plus en plus de Chinois vont tâter le bouchon. La pêche sportive attire un public de plus en plus jeune. Les moins de 24 ans représentent 22% des 140 millions pêcheurs amateurs du pays, indique le China Daily, ce qui contribuerait à ces ventes exceptionnelles qui font les gros titres. En juillet dernier, un « radio diffuseur villageois » aurait ainsi attiré, selon China News, 150 000 téléspectateurs lors d'une diffusion en directe de trois heures. Le volume des transactions aurait dépassé les 13 000 euros.Miracle ou mirage ? « Il est de plus en plus difficile de gagner sa vie dans les grandes villes comme travailleurs migrants. Il n'y a plus assez d'emploi, insiste Monsieur Liu. Si vous restez dans votre région d'origine et que vous faites de la vente en direct, vous pouvez gagner davantage. Chaque année, des gens deviennent riches ici avec le live streaming. »Outre le matériel de pêche, la spécialité locale ce sont les tee-shirts, explique encore le chauffeur qui nous conduit devant un centre de distribution où les live streamers viennent s'approvisionner en vêtements qu'ils vendront en ligne. En ce début d'après-midi, les boutiques de ce village commercial sont vides. « Les influenceurs sont au travail, la plupart sont passés ce matin, ils travaillent à domicile près des usines », affirme un gardien. Dans un des magasins, monsieur Wu applique des autocollants à imprimer sur des sweatshirts qu'il passe ensuite sous sa nouvelle machine à presser. « Les affaires sont plutôt bonnes, il y a quelques jours, j'ai vendu quelques milliers de sweatshirts à la Russie », dit-il. « Nous sommes dans une ville du vêtement et 20% des jeunes ici font de la vente en ligne en direct. » Un miracle de la vente en streaming. Cette patronne d'usine est plus mesurée : « Cette année, les ventes ne sont pas très bonnes. Avec la vague de chaleur, on a vendu moins de polos. Et puis, ajoute Madame Xu, il y a tous ces jeunes qui se lancent dans la vente en ligne. Certains parlent pendant des heures, mais devant personne. Faute de clients, ils finissent par jeter l'éponge. »En attendant, selon les chiffres officiels, cette numérisation des campagnes aurait contribué au retour de 12,2 millions de personnes dans leur village natal, créant plus de 34 millions d'emplois ruraux.
durée : 00:58:56 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Hausse des coûts de production et augmentation des défaillances d'entreprises d'un côté, baisse des impôts et amélioration des taux de marge de l'autre : quelles perspectives pour les entreprises françaises ? - invités : Nadine Levratto Économiste et directrice de recherches au CNRS; Mathieu Plane Economiste, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE; Alexandre Montay Délégué général du METI (Mouvement des entreprises de taille intermédiaire)
durée : 00:06:15 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Plombée par les trois années de Covid, l'économie chinoise ne parvient toujours pas à redémarrer. La plupart des indicateurs évoluent de manière défavorable, menaçant ainsi directement la croissance du géant asiatique. L'"usine du monde" continue à produire, mais la cadence n'est plus la même.
Ce jeudi 31 août, la récession allemande en 2023 et la proposition des solutions au ralentissement de la croissance économique en Europe ont été abordées par Patrick Artus, directeur de la Recherche et des Études de Natixis, Christian Chavagneux, éditorialiste de l'hebdomadaire Alternatives Économiques, et Roland Gillet, professeur d'économie à Paris-Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 31 août, les éventuelles solutions pour lutter contre le ralentissement de la croissance économique, notamment la possibilité d'une pause sur les politiques monétaires et le réinvestissement des dividendes, ont été abordées par Patrick Artus, directeur de la Recherche et des Études de Natixis, Christian Chavagneux, éditorialiste de l'hebdomadaire d'Alternatives Économiques, et Roland Gillet, professeur d'économie à Paris-Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
(00:00:43) La vie à Moscou sous la menace des drones (00:04:11) Le ralentissement de l'économie chinoise. Analyse de Philippe Aguignier (00:16:07) La guerre des goûts (4/5): le bortsch, en rediffusion
Pendant la pandémie, le marché immobilier a explosé, ce qui a fait grimper les prix des propriétés de manière stratosphérique. Après les tentatives de la Banque du Canada de freiner l'inflation et selon certains facteurs plus locaux, l'envolée immobilière laisse place à un atterrissage, qui n'est toutefois pas homogène à l'échelle de la province.Invitée: Laurianne Croteau, journaliste de donnéesÉquipe :Philippe Papineau, animateurLaurianne Croteau, journalisteXavier Kronström Richard, réalisateurFélix Deschênes, recherchisteAlexis Elina, composition musicale originalePour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.com