Et si, à l’heure où les réseaux sociaux vampirisent nos cerveaux, prendre le temps d'ouvrir un livre était devenu un acte de résistance ? "Les Gens Qui Lisent Sont Plus heureux", c’est un podcast consacré au plaisir de la lecture sous toutes ses formes. Mes invités sont écrivains mais aussi chanteur…
Si vous êtes des fidèles de ce podcast, vous vous souvenez que Laurent Gounelle était l'un de mes premiers invités, à sa création en 2018. Nous nous retrouvons trois ans plus tard dans un monde bouleversé par la pandémie de coronavirus. Mais ne comptez sur Laurent pour céder au pessimisme ambiant. Depuis "L'homme qui voulait être heureux", en 2008, cet auteur singulier véhicule à travers la fiction les vertus du développement personnel et les méthodes qui l'ont aidées à changer de vie. "Intuitio", son nouveau roman publié chez Calmann-Lévy, prolonge sa quête du bien-être et de la réalisation de soi à travers une intrigue policière étonnante. Timothy Fischer, son héros, est un écrivain qui mène une existence sans relief jusqu'au jour où le FBI fait appel à lui pour mettre la main sur l'homme le plus recherché d'Amérique. Pour cela, il va devoir apprendre à accéder à son intuition, et exploiter des ressources insoupçonnées chez la plupart d'entre nous…
Adeline Dieudonné a fait une entrée fracassante sur la scène littéraire en 2018 avec "La vraie vie", l'histoire d'une ado aux prises avec la violence du monde des adultes. Ce premier roman à la fois tendre, surréaliste et cruel, s'est vendu à plus de 300.000 exemplaires et a été traduit dans une vingtaine de langues. Il a également valu à son auteure une pluie de récompenses comme le Prix du Roman Fnac et le Renaudot des lycées. Autant dire qu'on attendait la suite avec impatience. Avec "Kérosène", publié aux éditions de l'Iconoclaste, Adeline Dieudonné confirme son goût pour l'humour noir et les personnages déjantés. Une caissière, une prof de pole dance, un dragueur compulsif, une nounou philippine, une famille de gynécos, un dauphin lubrique et un cheval abandonné… Ils sont une quinzaine, humains et animaux, à se croiser au fil des pages de ce roman qui a comme point de départ une station-service, sur une aire d'autoroute. C'est drôle, trash et poétique. Tout simplement irrésistible. Et j'avais hâte d'en parler avec son auteure, de passage par Paris au début du printemps…
Son destin est aussi surprenant que son pouvoir de conviction. Issu de l'aristocratie camerounaise, Ludovic-Hermann Wanda a passé sa jeunesse auprès de sa mère, en banlieue parisienne. A l'âge de 20 ans, il est incarcéré à Fleury-Mérogis pour trafic de stupéfiants. Derrière les barreaux, cet élève doué mais obsédé par le paraître se passionne pour la littérature. De lecteur, il va devenir écrivain et raconter son histoire dans "Prisons", un premier roman détonant paru en 2018. On le retrouve aujourd'hui avec "Balance Ta Haine" (Editions de l'Antilope), une fiction qui épingle les préjugés qui gangrènent la société française, aussi bien que ses propres démons. De son amour de langue française, celui qu'on surnomme "Black Dandy" a donné naissance à une méthode d'apprentissage du verbe qu'il transmet aussi bien aux jeunes des quartiers difficiles qu'à ses clients chefs d'entreprise. Avec la conviction que pour s'intégrer, il faut d'abord savoir s'exprimer…
C'est un Marc Levy combatif et inspiré qu'on retrouve avec "Le Crépuscule des Fauves", le deuxième volet de la saga 9, entamée en septembre dernier avec "C'est arrivé la nuit". Ses héros ? Une bande de hackers de plusieurs nationalités qui partent en guerre contre une mystérieuse organisation qui manipulent nos informations personnelles par le biais des nouvelles technologies. Tout sauf de la fiction à en croire l'auteur aux 55 millions de livres vendus. "À des fins commerciales et à des fins de manipulation politique et sociétale, des entreprises collectent en permanence des données à notre insu et les ré-agrègent pour nous profiler et pour modifier la façon dont nous pensons", explique-t-il dans cet épisode.
Ses mots riment, ses mots cognent. Ses mots apaisent aussi. En ce début d'année, Abd al Malik revient dans l'actualité avec un livre intitulé "Réconciliation" qui vient de paraître chez Robert Laffont. Dans cet essai revigorant, le rappeur de 45 ans utilise sa plume pour lancer un appel à pacifier notre République. Un vaste programme, me direz-vous, mais c'est avec l'enthousiasme, la générosité et l'érudition qui le caractérisent que l'ancien leader du groupe N.A.P. s'adresse à nous. Depuis le début de sa carrière, Abd al Malik se bat pour faire tomber les murs qui séparent ses concitoyens, à travers la musique, le cinéma, le théâtre ou encore la littérature. Avec l'idée qu'il faut faire confiance aux artistes, à leur regard et à leur sensibilité, pour éclairer une période propice aux tensions, de la rue aux réseaux sociaux.
L'assassinat de Samuel Paty, le 16 octobre dernier, a rappelé à chacun d'entre nous la place centrale qu'occupent les enseignants dans notre République. Dans notre société. Dans notre existence, tout simplement. Pour leur rendre hommage, 20 personnalités ont accepté, à la demande des éditions Pocket et Robert Laffont, de participer à un ouvrage collectif baptisé "Lettre à ce prof qui a changé ma vie – Enseigner la liberté". Comédien récompensé aux Molières et aux César, Philippe Torreton ne serait pas devenu celui qu'il est aujourd'hui sans un certain Monsieur Désir. Un professeur de Français qui a suggéré à ses parents de l'inscrire à un cours de théâtre pour le faire sortir de sa coquille…
C'est un artiste à fleur de peau. Un chanteur à l'aise avec les mots qui caressent et qui claquent, pourquoi pas les deux à la fois. Déjà auteur de deux romans, Cali nous donne de ses nouvelles en cette fin d'année avec "Eparpillés", un recueil de poésies publié par les éditions Invenit dans la collection Le chant des possibles. Son enfance, ses amours, ses idoles, ses rêves et ses regrets… L'auteur de "C'est quoi le bonheur" se livre avec la rage, la fantaisie, la tendresse et la sincérité qui le caractérisent. Ça nous fait du bien à nous. Et ça lui a sans doute fait du bien à lui. Il faut dire que Cali a vécu une drôle d'année 2020. Le 13 mars dernier, il publiait "Cavale", un huitième album splendide qu'il s'apprêtait à défendre sur les routes de France. Et puis le confinement est arrivé, brisant cet amoureux de la scène dans son élan, comme des millions de musiciens à travers le monde. C'est chez son ami et éditeur, l'écrivain Eric Poindron, que j'ai retrouvé Cali fin novembre près de Paris, dans un appartement rempli de livres et de bonnes ondes, quelques jours avant la réouverture des librairies.
En quatre ans à peine, Nicolas Beuglet est devenu la nouvelle sensation du polar en vendant plus de 800.000 exemplaires de sa trilogie consacrée à l'inspectrice norvégienne Sarah Geringen. L'écrivain lui fait aujourd'hui une infidélité avec Grace Campbell, l'héroïne de son nouveau roman, "Le Dernier Message", qui vient de paraître chez XO. Grace, c'est une flic écossaise qui après avoir été mise au placard par sa hiérarchie, est envoyée enquêter sur le meurtre de l'un des pensionnaires d'un monastère tout droit sorti du "Nom de la rose". Nicolas Beuglet a le chic pour construire des intrigues machiavéliques où la science et nos peurs les plus irrationnelles se mêlent de manière étonnante. Et dessiner des personnages qui luttent pour surmonter les épreuves à un moment crucial de leur vie… Ancien journaliste à la télévision, Nicolas Beuglet a mis plusieurs années, et un burn out au passage – pour se consacrer à l'écriture. Je l'ai retrouvé chez son éditeur, pour un entretien sans tabou, à l'heure où l'actualité semble chaque jour dépasser un peu plus la fiction…
Pendant le confinement, certains auteurs m'ont confié qu'ils avaient été incapable d'écrire la moindre ligne, soudain submergés par les problèmes du quotidien. D'autres estimaient qu'il était encore trop tôt pour faire écho de la pandémie dans leurs romans. Didier van Cauwelaert, lui, a fait tout l'inverse. Durant cette période aussi inédite qu'incertaine, l'auteur de Un aller simple, prix Goncourt en 1994, a imaginé une fiction étonnante intitulée L'inconnue du 17 mars, qui vient de paraître chez Albin Michel. C'est l'histoire d'un ancien prof devenu SDF qui a l'heure où la France s'apprête à s'enfermer à double tour, croise la route d'une créature de rêve qui ressemble à s'y méprendre à son amour de jeunesse… De ce point de départ de comédie romantique, Didier van Cauwelaert tisse une fable surréaliste et philosophique qui brasse tous les grands débats du moment. La science, l'écologie, la politique, la solidarité et l'amour, bien sûr…
On a découvert Gringe au début des années 2000 aux côtés d'un certain Orelsan. Ensemble ils étaient les Casseurs Flowters, un duo de rappeurs qui a décroché deux Victoires de la musique et s'est donné la réplique à la télévision dans la série Bloqués, puis au cinéma dans le film Comment c'est loin. Quelques mois après le succès d'Enfant lune, son premier solo, Guillaume Tranchant – c'est son vrai nom - dévoile ses talents d'écrivain avec Ensemble, on aboie en silence, qui paraît chez Wagram Livres / Harper Collins. Le jeune quadragénaire y raconte sa relation complexe avec Thibault, son petit frère, diagnostiqué schizophrène à l'âge de 21 ans. Et dont l'artiste a mêlé les écrits aux siens pour donner naissance à un texte étonnant.
Depuis "Le Champ de personne" en 1995, Daniel Picouly a puisé dans sa jeunesse l’inspiration de quelques uns de ses plus beaux romans. Il y retourne pour notre plus grand plaisir dans le tout dernier, "Longtemps je me suis couché de bonheur", qui vient de paraître chez Albin Michel. C’est l’histoire d’un adolescent de milieu modeste, élevé dans un petit pavillon en banlieue parisienne, qui croise la route et les mots de Marcel Proust grâce à un professeur pas tout à fait comme les autres. La transmission, c’est l’une des grandes batailles de Daniel Picouly. Rappelez-vous qu’il a lui-même enseigné, publié des manuels scolaires et présenté sa propre émission culturelle à la télévision, "Café Picouly", à la fin des années 2000. Cette volonté féroce d’apprendre, de découvrir et de partager est au cœur de ce nouveau roman où Daniel nous embarque avec humour, tendresse et gourmandise. Cet entretien a été réalisé à Paris chez son éditeur, après une période de confinement particulièrement fertile pour lui. Ecoutez…
Il y a 20 ans tout juste, les lecteurs français faisaient connaissance avec un jeune homme dont les histoires d’exil et d’abandon, le style âpre et sensible allaient faire de lui l’un des écrivains les plus passionnants de sa génération. Depuis "Je vais bien, ne t’en fais pas", Olivier Adam publie à un rythme soutenu, des romans pour adultes comme "Poids Léger", "Des Vents Contraires" et tout récemment "Une Partie de Badmington". Mais aussi pour les adolescents, un univers qu’il a exploré dans plusieurs titres parus à l’Ecole des Loisirs.C’est dans la collection R, chez Robert Laffont, qu’Olivier revient faire un tour du côté de la littérature dite "Young Adult" avec "Les Roches Rouges", deux ans après "La Tête sous l’eau", en cours d’adaptation pour la télévision. Jeunes adultes, vraiment ? Ironiquement Antoine et Leïla, ses deux héros mentent au sujet de leur âge. Lui parce qu’il veut la séduire. Elle parce qu’elle est devenue mère bien trop tôt. Parce qu’ils veulent fuir la violence et la grisaille de leur vie de banlieue, ils vont prendre la route du Sud pour s’inventer un destin.C’est chez lui, à Montmartre, qu’Olivier Adam m’a reçu pour parler ce nouveau roman à l’énergie contagieuse, après une période de confinement qui s’est révélée particulièrement créative pour toute sa famille, écoutez plutôt… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Avec plus de 700.000 exemplaires en 2019, Virginie Grimaldi est la romancière qui vend le plus en France. Un conte de fées moderne qui est né sur Internet lorsqu’il y a dix ans, elle lance un blog humoristique qui attire l’attention de ses premiers lecteurs.Cette jeune maman bordelaise rêve d’écrire depuis toujours. Et grâce à ce succès en ligne, elle prend confiance en son talent et signe en 2015 son premier best-seller, "Le premier jour du reste de ma vie"…Virginie Grimaldi raconte des histoires qui font du bien, portées par des personnages féminins confrontés à des moments souvent cruciaux de leur vie. C’est encore le cas avec son nouveau roman, "Et que ne durent que les moments doux", qui vient de paraître chez Fayard.Il y a Lili, une toute jeune femme dont le petit garçon est né prématuré. Et Elise, une mère dont les deux enfants majeurs ont pris leur envol.C’est de ce roman choral, encore plus personnel que les précédents, et de son incroyable histoire, que Virginie a bien voulu parler dans cet épisode… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invitée est la journaliste et romancière Colombe Schneck. Comme moi, vous l’avez peut-être découverte à la fin des années 1990 dans l’émission Arrêts sur images, où elle décryptait chaque semaine l’actu des médias.Ce que vous ne saviez peu-être pas, c’est que Colombe avait été stagiaire quelques années plus tôt au bureau du journal Le Monde à New York, la ville qui inspire son dernier roman, "Nuits d’été à Brooklyn" (Stock).Nous sommes en août 1991 et Esther, son héroïne française, tombe sous le charme de Frederick, un professeur de littérature, spécialiste de Flaubert. Il est noir, marié et père d’une adolescente.Leur histoire d’amour impossible se déroule au moment où le quartier de Crown Heights, où cohabitent juifs orthodoxes et afro-américaines, la mort accidentelle d’un petit garçon va entraîner une flambée de violences qui fait écho aux tensions qui parcourt aujourd’hui l’Amérique. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Guillaume Musso : "Écrire un nouveau roman, c’est 50% d’excitation et 50% de terreur !" Dans cet épisode, mon invité est le romancier français Guillaume Musso. Fidèle à son rythme d’un livre par an, Guillaume Musso accompagne la réouverture des librairies avec "La vie est un roman" (Calmann-Lévy), un thriller à tiroirs qui ravira ses fans de la première heure comme les nouveaux. Et ils sont toujours plus nombreux puisque depuis 9 ans, cet ancien prof d’éco est l’écrivain qui vend le plus en France, avec encore 1,4 millions d'exemplaires en 2019. C’est dans son ancien appartement parisien, reconverti en atelier d'écriture, que Guillaume m’a reçu pour parler de ce nouveau roman nourri par son amour de la lecture et des écrivains. Tout commence à New York, dans une immense tour de verre où la romancière Flora Conway vit avec sa fille Carrie en prenant soin de se tenir à l’écart du cirque médiatique et de l’adulation de son public. Lors d’une partie de cache-cache, l’enfant disparaît. Portes et fenêtres sont fermées, les caméras de surveillance ne témoignent d’aucune intrusion dans l’appartement… Le mystère est total et il serait cruel d’en dire plus, sinon que "La vie est un roman" est un Musso encore plus addictif que les précédents grâce à sa construction imprévisible et à l’intensité de héros qui luttent contre leurs démons. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité n’est pas un romancier, mais un homme qui œuvre toute l’année pour propager le plaisir de la lecture. Vincent Monadé est depuis 2013 le directeur du Centre National du Livre, l’établissement public qui soutient l’ensemble de la chaîne du livre, terriblement fragilisée par la période de confinement.Depuis le 11 mai, les librairies ont rouvert dans toute la France. Mais la bataille ne fait que commencer pour un secteur qui subit depuis déjà la concurrence des séries télé, des jeux vidéo ou encore des réseaux sociaux. Comment préserver les librairies indépendantes et les petites maisons d’édition ? Comment aussi transmettre le virus de la lecture à la nouvelle génération ?Ce sont des chantiers passionnants que Vincent Monadé a accepté d’évoquer avec moi… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Depuis le succès mondial de ses "Fourmis", Bernard Werber s’est imposé comme l’une des figures les plus singulières de la littérature française. Entre science-fiction, spiritualité et polar, son œuvre interroge sans cesse les progrès et les dérives de notre civilisation. Dans "Troisième Humanité", paru en 2012, il décrivait la propagation d’un virus pas si différent de celui qui paralyse actuellement la planète.Confiné chez lui à Paris, Bernard a accepté d’être le parrain du concours d’écriture destiné aux 15-20 ans, organisé par l’UNICEF et le Livre de Poche. Son thème ? "Objectif Terre : un futur à sauver". En plein écriture d’un nouveau roman, il m’a accordé quelques instants pour parler du monde d’aujourd’hui. Et de nos lendemains incertains. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
En plein confinement, le groupe Editis a proposé à ses auteurs de contribuer à un recueil inédit intitulé "Des mots par la fenêtre". Une collection de 64 textes mise en vente au prix de 4,99 euros sur le site Lisez.com.L’intégralité des bénéfices sera reversée à la Fondation Hôpitaux de Paris Hôpitaux de France, dans une période où les personnels soignants font preuve d’un courage et d’un dévouement sans faille dans la lutte contre le coronavirus.Dans ce numéro, c’est Erik Orsenna qui a accepté d’échanger avec moi par téléphone. Prix Goncourt en 1988 pour "L’exposition coloniale", homme engagé, défense de la lecture et de l’environnement, c'est une personnalité qui promène sa curiosité, son érudition et son enthousiasme sur le monde qui l’entoure.Avec humour et humilité, un brin de révolte aussi, il m’a livré son regard, précieux, sur les événements que nous traversons. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité est le romancier Julien Sandrel. Un podcast pas comme les autres puisque nous devions nous rencontrer le 17 mars dernier, avant d’annuler notre rendez-vous en raison de l’épidémie de coronavirus. C’est finalement par téléphone que nous avons échangé au sujet de son nouveau livre, "Les Etincelles" (Calmann-Lévy), et de la période de confinement qui bouleverse la vie de chacun d’entre nous.Julien Sandrel est un auteur dont la carrière a démarré sur les chapeaux de roues en 2018 avec "La Chambre des merveilles", l’histoire bouleversante d’une mère qui tente de sortir son fils du coma en réalisant ses rêves les plus fous. Grâce au succès de ce premier roman, en cours d’adaptation au cinéma, Julien a quitté le monde de l’entreprise pour se consacrer à l’écriture.Les Etincelles, c’est l’histoire de Phoenix, une jeune femme qui a abandonné son rêve de devenir pianiste après la mort accidentelle de son père. Jusqu’au jour où elle fait une découverte qui va tout remettre en question. Et l’entraîner sur la piste d’une multinationale prête à mettre en péril la santé de ses employés pour quelques dividendes de plus…Comme de nombreux écrivains, Julien a dû renoncer à aller à la rencontre de ses lecteurs pour la sortie de son roman. Il est confiné chez lui à Paris avec sa compagne et leurs deux enfants. Un quotidien inédit qu’il a accepté de partager avec moi le temps d’un entretien forcément différent des autres. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Tatiana De Rosnay voit double ! L’auteure de "Elle s’appelait Sarah" est de retour en ce début d’année 2020 avec la sortie en poche de L’Envers du décor et autres nouvelles (Pocket) et en grand format d’un tout nouveau roman, "Les Fleurs de l’ombre" (Robert Laffont), dont l’intrigue est ouvertement inspirée de la formidable série d’anticipation britannique "Black Mirror". C’est l’histoire de Clarissa Katseff, écrivain à succès, fraichement séparée de son compagnon de longue date. Nous sommes dans un futur proche et l’héroïne s’installe dans un appartement ultra-moderne où elle bénéficie d’un assistant virtuel qui va, peu à peu, s’immiscer dans son quotidien. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Diane Ducret est une femme qui a déjà connu plusieurs vies. Adolescente, elle a été championne d’équitation, avant de renoncer à la compétition suite à un grave accident. Après une longue période de rééducation, elle s’installe à Paris où elle décroche une maîtrise d’histoire de la philosophie à la Sorbonne avant d’entamer une carrière de journaliste. Elle travaille pour le magazine télé "Des racines et des ailes", pour la chaîne Histoire, pour Europe 1 ou encore le Huffington Post.En 2011, Diane publie "Femmes de dictateur", consacré comme son nom l’indique aux épouses de pires tyrans du 20e siècle. Neuf ans après ce best-seller qui lance sa carrière d’écrivain, et presque autant de livres entre temps, elle est de retour avec "La Dictatrice" (Flammarion), un roman d’anticipation qui ravira celles et ceux qui ont lu "La Servante Ecarlate" de Margaret Atwood ou "Le Pouvoir" de Naomi Alderman. Nous sommes en 2023 et Aurore Henri, une jeune reporter de guerre française blessée en Irak, assiste médusée à la dislocation de l’Union Européenne. Emprisonnée après avoir jeté une pierre au visage de l’un de ses dirigeants, elle devient l’icône d’une nouvelle génération qui va la porter au pouvoir, à ses risques et périls. Diane Ducret décrit un futur proche. Mais son roman fait écho de manière troublante au chaos qui secoue notre continent. Et si sa dictatrice frappait à nos portes plus tôt que prévu ? Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Si je vous dis "Love Me Tender", vous pensez forcément à la ballade langoureuse d’Elvis Presley. Le nouveau roman de Constance Debré qui vient de paraître chez Flammarion a le même titre mais c’est une mélodie plus rock qu’elle propose. Un chant de révolte, à la fois intimiste et universel. "Love Me Tender" est la suite directe de "Play Boy", paru en 2018. Un livre dans lequel la petite fille de Michel Debré, l’un des fondateurs de la Ve République, racontait sa rupture avec la grande bourgeoisie dans laquelle elle a grandi. Avec le métier d’avocat pénaliste, qu’elle a exercé pendant plusieurs années afin de se consacrer à l’écriture. Mais aussi avec le père de son fils pour vivre pleinement son attirance pour les femmes. "Love Me Tender" explore les conséquences directes de cette nouvelle vie. Privée de son fils par son ex-mari, Constance se débat avec l’hypocrisie de la société, le chagrin qui la guette et les histoires d’amour sans lendemain. Le style est brut, dépouillé, sans concession. C’est un roman à l’énergie dévorante dont je suis allé discuter avec son héroïne, chez son éditeur, par une après-midi d’orage… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
En ce début d’année, son visage s’affiche en grand format dans les couloirs du métro parisien. Barbe, bonnet, blouson de cuir et tatouages, Niko Tackian a de faux airs de rock star lorsqu’il débarque dans les bureaux de son éditeur pour nous parler de son nouveau roman, "Celle qui pleurait sous l’eau" (Calmann-Lévy). Depuis une dizaine d’années, cet ancien auteur de BD est l’un des artisans les plus prolifiques du polar à la française. A la télévision où il a créée avec Franck Thilliez la série "Alex Hugo" qui cartonne sur France 2 depuis 2014. Et donc aussi en librairies avec les enquêtes de Tomar Khan, un flic borderline qui officie à la Brigade Criminelle, à Paris.Dans "Celle qui pleurait sous l’eau", Tomar et son équipe enquêtent sur la mort d’une jeune femme retrouvée les veines ouvertes dans le bassin de la piscine Pailleron, dans le XIXe arrondissement. Un suicide comme tant d’autres, en apparence. Sauf pour Rhonda, la coéquipière et compagne de Tomar, qui soupçonne un drame plus complexe…Si Niko Tackian maîtrise à merveille les codes du polar, nerveux, rythmé et bien documenté, l’une de ses grandes forces réside dans sa manière habile d’inscrire son intrigue dans une actualité brûlante, celle des violences faite aux femmes. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Michel Bussi, 54 ans, est la star discrète du thriller à la française. Derrière Guillaume Musso, il était l’an dernier le deuxième plus gros vendeur de romans dans l'Hexagone avec plus de 946.000 exemplaires écoulés. Un succès qu’il savoure à sa juste valeur, lui qui a connu les faveurs du grand public sur le tard. Depuis "Nymphéas Noirs", en 2011, il enchaîne les best-sellers à coups d’intrigues machiavéliques. Dans "Au soleil redouté" (Presses la Cité), en librairie le 6 février 2020, Michel Bussi nous embarque aux îles Marquises où cinq lectrices ont remporté un concours pour participer à un atelier d’écriture avec leur auteur préféré. Bien vite, l’un des protagonistes disparaît. Et les vacances de rêve se transforment en cauchemar où chaque protagoniste devra se méfier de son voisin jusqu’au retournement final… De passage par Paris, Michel Bussi m’a reçu chez son éditeur, au sommet d’un tour ultra-moderne du XIIIe arrondissement, par une matinée glaciale de janvier, loin du cadre ensoleillé de ce qui s’annonce comme l’un des grands succès de ce début d’année… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La première fois que j’ai entendu parler de David Lagercrantz, c’était pour sa biographie de son compatriote, le célèbre footballeur Zlatan Ibrahimovic. En 2013, ce journaliste spécialiste des affaires criminelles se voit confier la lourde tâche de succéder au regretté Stieg Larsson, le créateur de la saga policière Millenium. Sous sa plume, le journaliste d’investigation Mikael Blomqvist et la sulfureuse Lisbeth Salander vivent de nouvelles aventures qui puisent leurs intrigues dans les maux de notre époque. L’intégrisme religieux, la montée des populismes à travers l’Europe, la cybercriminalité… Après Ce qui ne me tue pas et La Fille qui rendait coup pour coup, David Lagercrantz a publié à la rentrée La Fille qui devait mourir, un sixième tome de Millenium qui sera pour lui le dernier. De passage à Paris, il m’a accordé cet entretien passionnant que je vous propose d’écouter en anglais, avec le délicieux accent suédois de l’auteur… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Si le nom d’Hadrien Raccah ne vous est pas familier, vous avez sans doute entendu parler de "L’Invitation". Depuis le printemps dernier, et pour quelques semaines encore, Gad Elmaleh et Philippe Lellouche se donnent la réplique dans cette pièce hilarante qui se joue guichets fermés à Paris. Une belle revanche pour son auteur qui après avoir monté son premier spectacle à l’âge de 22 ans, n’a pas toujours connu le succès qu’il espérait. C’est dans un registre totalement différent qu’il fait ses premiers pas d’écrivain avec "Huit mètres carrés", son premier roman publié chez Michel Lafon. Ce texte intimiste, cruel et mélancolique met en scène Benjamin, un jeune père de famille qui se rappelle l’histoire d’amour passionnée qu’il a vécue avec Olivia, la belle Brésilienne qui brisé son cœur. A moins que ce soit l’inverse… Une fois n’est pas coutume, c’est dans les loges d’un Théâtre, celui de la Madeleine où se joue "L’Invitation", mais aussi le spectacle de l'avocat Eric Dupont-Moretti qu'il a écrit, que je suis allé à la rencontre de mon invité pour un entretien aussi chaleureux que spontané. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invitée est la romancière Géraldine Dalban-Moreynas. En 2017, cette patronne d’une agence de communication change de vie en lançant une boutique de déco dont elle fait la promo sur Instagram. Lorsqu’elle annonce à ses abonnés qu’elle a retrouvé le manuscrit d’un roman, écrit dix ans plus tôt, la machine s’emballe. Contactée par plusieurs maisons d’édition, elle signe chez Plon et publie à la fin de l’été "On ne meurt pas d’amour", se payant le luxe de devancer Amélie Nothomb dans le classement des meilleures ventes d’une célèbre boutique en ligne.Dans un style brut, intense, parfois troublant, Géraldine raconte la passion destructrice entre une femme sur le point de se marier et son nouveau voisin, jeune père de famille. Récompensée par le Prix du Premier roman début novembre, cette entrepreneuse aux multiples casquettes est encore sur un petit nuage lorsqu’elle me reçoit dans un loft bien connu de ses followers… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
C'est un écrivain aussi charmeur qu’iconoclaste. Lieutenant de police originaire de Montpellier, Romain Puertolas a connu un succès foudroyant en 2013 avec L'Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea. Ce roman aussi loufoque qu’ébouriffant a séduit plus d’1,5 millions de lecteurs à travers le monde. Et offert à son auteur une nouvelle carrière, sinon une nouvelle vie.On le retrouve aujourd’hui avec La police des fleurs, des arbres et des forêts (Albin Michel), une enquête policière qui se déroule dans un petit village de la France des années 1960. Mais qui a bien pu tuer, et découper en petits morceaux, un jeune homme sans histoire ? Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité est Christophe Girard, adjoint au maire de Paris en charge de la culture. Depuis quelques temps déjà, j'avais envie d'inviter une personnalité politique à participer à ce podcast. Oui mais qui ? A tort ou à raison, j'ai souvent l'impression que les gens qui nous gouvernent se servent de la culture, et de la littérature en particulier, pour s'acheter une épaisseur romanesque qui deviendrait presque embarassante une fois qu'ils sont élus.Christophe Girard, c'est une toute autre histoire. C'est un élu qui avant de faire de la politique, chez les Verts puis au Parti socialiste, a connu le monde de l'entreprise à travers ses fonctions de haut dirigeant au sein de la maison Yves Saint Laurent et du groupe LVMH. Passionné d'art sous toutes ses formes, ce diplômé de littérature japonaise a également écrit quatre livres dont "Père comme les autres", qui racontait son parcours de militant et de papa homosexuel.C'est dans son bureau à l'Hôtel de Ville de Paris que je suis allé le rencontrer pour parler des livres qu'il aime, de la place de la littérature dans nos quotidiens hyper connectés. Et du rôle que la culture pourrait occuper, ou pas, dans la prochaine campagne municipale... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Avec "La Maison", son troisième roman publié chez Flammarion, Emma Becker a signé l’un des chocs de la rentrée littéraire 2019. Sur le fond, comme sur la forme puisque son auteure a vécu et travaillé pendant deux ans et demi dans une maison close, à Berlin, pour nourrir ce texte à la fois tendre, poétique, drôle et cru. À l'heure actuelle du mouvement #MeToo, Emma Becker, 30 ans, pose un regard inattendu sur les rapports hommes-femmes, la mécanique du désir et les relations sexuelles tarifées. Ses propos, très francs, lui ont déjà valu quelques critiques sur les réseaux sociaux. Elle les assume et les réitère dans cet entretien sans concession qu’elle m’a accordé alors que "La Maison" figure parmi les favoris des grands prix littéraires de l’année. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je reçois Alexis Michalik, acteur, metteur en scène, scénariste et désormais écrivain puisqu’il vient de publier "Loin", son premier roman aux éditions Albin Michel. Alexis Michalik, c’est le météore qui a conquis le théâtre français en l’espace de quelques années avec "Le Porteur d’Histoire", "Le Cercle des illusionnistes" puis "Edmond". Cette pièce, qui raconte les coulisses de la création de "Cyrano de Bergerac", a remporté pas moins de 5 Molière.En janvier dernier, son auteur en a fait un film qui a séduit près de 700.000 spectateurs…En cette rentrée littéraire, c’est le Michalik écrivain qu’on découvre avec "Loin". Antoine, un jeune homme bien comme il faut, est sur le point d’épouser sa petite amie lorsqu’il découvre une carte postale qui remet en question l’histoire familiale qu’on lui a raconté toute sa vie. Avec Laurent, son meilleur ami, et Emma, sa jeune sœur, il embarque pour un voyage imprévisible à travers l’Europe, sur la piste de ses origines. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité est une légende vivante de la littérature américaine : Bret Easton Ellis J’étais encore adolescent lorsque j’ai découvert "American Psycho", son roman le plus célèbre, le deuxième seulement après Les lois de l'attraction. Je me rappelle que le personnage de Patrick Bateman, le banquier serial killer, amateur de musique pop et de costume sur mesure, m’a autant envoûté qu’effrayé à l’époque. Avec ce livre hyper controversé, Ellis, 27 ans à l'époque, portait un regard visionnaire et acéré sur les dérives de l’Amérique capitaliste. De "Glamorama" à Suites Impériales, le Californien n’a eu de cesse de titiller la bonne conscience de son pays, avec le même mélange de violence et d’humour, de mélancolie aussi. Paru au printemps dernier, son dernier livre intitulé "White" n’est pas un roman mais un essai où Bret Easton Ellis épingle le nouveau règne du politiquement correct qui gangrène d’après lui la société américaine. Après nous avons rendu visite il y a quelques mois, l’écrivain est revenu faire un tour en France en cette fin septembre, invité d’honneur du Salon Fnac Livres à Paris. Quelques heures avant de remettre le Prix du roman Fnac 2019 à la romancière Berangère Cournut pour "De pierre et d’os", paru aux éditions Le Tripode, Bret Easton Ellis m’a accordé un entretien de 30 minutes que je vous livre sans filtre, ni trucage… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour cet épisode, je suis parti à la rencontre de Sophie Fontanel. Figure des grandes années de Canal +, cette formidable journaliste de mode, passée par "Cosmopolitan", "Elle" et "Le Nouvel Observateur", est également une romancière à succès qui puise son inspiration dans son amour de la poésie, son sens de l’humour, ses histoires personnelles douloureuses aussi. Le petit dernier s’intitule "Nobelle", avec 2 L. La précision a son importance. Et a priori c’est une fiction. Son héroïne, c’est Annette Comte, une romancière qui s’apprête à recevoir le Prix Nobel, à Stockholm. Durant son discours de remerciement, elle se souvient de l’année de ses 10 ans. Et plus précisément de cet été où elle a croisé la route du beau Magnus, durant des vacances de famille dans le Sud de la France."Nobelle" raconte la naissance du sentiment amoureux et l’éclosion d’un talent précoce avec un savant mélange de douceur, de sensualité… et de cruauté. C’est un délice de lecture dont je suis allé m’entretenir avec son auteure chez elle, dans son appartement en plein cœur de Paris. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité n’est pas un écrivain mais l’un des plus grands réalisateurs ET scénaristes de l’histoire du cinéma américain : Monsieur Woody Allen ! J’ai profité de sa visite à Paris à l’occasion de la sortie en France le 18 septembre de son nouveau film, "Un jour de pluie" à New York, pour parler avec lui de son rapport à l’écriture. Saviez-vous qu’il était le recordman du nombre de nominations à l’Oscar du meilleur scénario ? 16 fois nommés, il l’a remporté 3 fois, contre 1 seul trophée du meilleur réalisateur. Curieusement, Woody Allen n’a encore jamais publié de roman. Hasard ou pas, le héros de son nouveau film interprété par Timothée Chalamet se nomme Gatsby, comme le héros de Scott Fitzgerald. C’est un jeune homme qui après avoir grandi à New York dans une famille qu’il déteste, y revient un week-end un peu à contrecoeur avec sa petite amie qui a décroché une interview avec un grand cinéaste pour le journal de l’université. Si Woody Allen a beaucoup tourné à l’étranger ces dernières années, New York reste la ville de ses plus grands classiques. Et une source inépuisable d’inspiration pour lui. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité est un jeune écrivain dont le père a accompagné la vie des Français pendant de nombreuses années. Laurent Decaux n’est autre que le fils d’Alain Decaux, immense historien et homme des médias qui nous a quitté en 2016. Quelques mois plus tard, Laurent reprenait le flambeau en publiant "Le Seigneur de Charny", un roman qui embarquait ses lecteurs au cœur de la France médiévale. Une période pleine de violence et d’intrigues qu’il revisite à nouveau avec "Le Roi Fol", en libraires le 12 septembre chez XO Editions. Son roi, c’est Charles VI, un jeune monarque confronté aux rivalités politiques, aux mœurs légères de son épouse. Et à la maladie inexplicable qui peu à peu le ronge. Laurent Decaux décrit une période sombre, enfiévrée et brutale à un rythme effréné qui ravira les fans des fresques historiques de Ken Follett et de la série "Game of Thrones". Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je pars à la rencontre du producteur de télévision Thierry Bizot. Avec son associé Emmanuel Chain, il dirige Elephant, une société à l’origine de quelques uns des programmes préférés des Français. Des magazines comme "Sept à Huit" et "Les Pouvoirs extraordinaires du corps humain". Des fictions aussi comme "Parents mode d’emploi" ou "Fais pas ci, pas fais pas ça", un immense succès que Thierry Bizot a imaginé avec son épouse Anne Giafferi.Lorsqu’il a encore un peu de temps dans son emploi du temps bien chargé, ce passionné de belles histoires écrit des livres. En 2008, il racontait sa conversion dans "Catholique Anonyme", un récit porté à l’écran avec "Qui a envie d’être aimé ?" Cet été, il a publié "Un petit coup de jeune", un roman à la fois drôle et mélancolique aux éditions Seuil.C’est l’histoire d’Eric Sadge, un chroniqueur télé qui se réveille un matin de 2017 à l’hôpital après un accident qui lui a fait oublier les 16 dernières années de sa vie. Il pense avoir 35 ans, il en a réalité 51. Et le monde dans lequel il se retrouve a bien changé… Thierry Bizot m’a reçu dans les locaux d’Elephant, pour parler de ce roman savoureux, de lecture, de télévision et de spiritualité aussi… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je vous propose un entretien exceptionnel en VO avec l’écrivain américain James Frey. Disponible le 21 août prochain chez Flammarion, son nouveau roman intitulé "Katrina" sera l’un des temps forts de la rentrée littéraire. En 2003, ce natif de Cleveland a 34 ans lorsqu’il publie "Mille Morceaux", un véritable phénomène d’édition. Présenté comme les mémoires d’un toxicomane repenti, dans un style brutal, percutant et sans concession, le livre vaut à son jeune auteur d’être invité sur le plateau de la célèbre Oprah Winfrey. Le hic, c’est que James a légèrement romancé son coup d’éclat littéraire. Pour ne pas dire beaucoup. La presse lui tombe dessus à bras raccourci, le traite d’imposteur et il est obligé d’avouer la supercherie, en dépit de son indéniable talent d’écrivain qu’il confirme avec "Mon Cousin Léonard", "L.A. Story" et "Le Dernier Testament de Ben Zion Avrohom". Ces dernières années, James Frey s’était consacré à la littérature jeunesse avec des sagas vendues à prix d’or au cinéma. Le truc, c’est qu’il n’était pas très heureux. Et que tôt ou tard, l’écrivain sulfureux des débuts devait refaire surface. C’est chose faite avec "Katrina", sorte de préquelle de "Mille Morceaux", à la fois drôle, tragique, sensuel. Je vous propose d’écouter cet entretien en version originale, sans doublage ni trucage. Même si avec James Frey, on ne sait jamais tout à fait où se situe la vérité. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, mon invité est l’écrivain Marc Levy, sans doute l’un des romanciers français les plus populaires de ces 20 dernières années."Ghost in Love", son 20e roman publié chez Robert Laffont, raconte l’histoire d’un pianiste classique dont le père, récemment décédé, revient dans sa vie sous la forme d’un spectre plutôt facétieux.S’il réside à New York depuis plusieurs années, Marc retrouve régulièrement la France pour partager quelques moments avec ses proches, et bien sûr ses lecteurs.C’est dans l’hôtel parisien où il a pris ses quartiers, à deux pas de l’Elysée, que je suis allé le retrouver pour parler de ce nouveau page turner savoureux. Et de plein d’autres choses encore… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je suis allé faire un tour à la librairie des Batignolles, 48 rue des Moines, dans le 17e arrondissement à Paris. Depuis deux ans, Benoît Authier a repris cette librairie indépendante où il conseille les clients du quartier avec ses deux équipiers, Priscilla et Simon. Chez eux, aucun préjugé. On vend les best-sellers du moment – Musso, Thilliez, Norek. Et plein d’autres choses encore !Figurez-vous que je les ai découvert grâce à leur compte Instagram, qu’ils ont ouvert en début d’année pour partager leurs coups de cœur avec des lecteurs sans cesse plus connectés. Tapez le #Bookstagram, et vous aurez une petite idée du phénomène.À l’approche des vacances, j’ai demandé à Benoît et son équipe de me donner quelques conseils de lecture. Pour moi, mais aussi pour ma fille de 6 ans puisque la Librairie des Batignolles accorde un espace conséquent à la littérature jeunesse ! Et comme vous allez l’entendre, je ne suis pas reparti les mains vides… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je suis allé à la rencontre de l’immense écrivain algérien Mohammed Moulessheoul, plus connu du grand public sous le pseudonyme féminin de Yasmina Khadra. Un personnage au destin hors norme qui m’a donné rendez-vous dans un café de la Porte Maillot, son quartier général à Paris, par une après-midi pluvieuse du mois de juin."Morituri", "Les Hirondelles de Kaboul", "L’Attentat", "Ce que le jour doit la nuit"… Ces romans qui ont fait le tour du monde sont l’œuvre d’un homme qui a dû se battre pour assouvir sa passion de la littérature. Contre le destin quand son père décida de l’envoyer à l’école militaire, à l’âge de 9 ans. Contre sa hiérarchie qui voyait d’un mauvais œil sa passion pour les mots. Contre les préjugés lorsqu’il révéla en 2001 qui est l’homme qui se cache derrière ce pseudonyme composé des deux prénoms de son épouse.Quelques mois après avec "Khalil", dans lequel il se mettait dans la peau de l’un des terroristes du 13 novembre 2015, Yasmina Khadra embarque le lecteur au Maroc, à Tanger, avec son dernier roman, "L’outrage fait à Sarah Ikker" (Editions Julliard). Cette ode à une cité qui fascine depuis des millénaires prend la forme d’un polar urbain, nerveux, et profondément humain. On y suit l’enquête menée par le lieutenant de police Driss Ikker, sous le choc après l’agression sexuelle dont a été victime sa compagne… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Capitaine Marleau, c’est elle. Ou presque. Derrière l’héroïne de la série de France 3, interprétée par l’exubérante Corinne Masiero, se cache une romancière aussi discrète qu’inventive. Elsa Marpeau, 43 ans, est l’une des voix les plus singulières du thriller à la française, partageant sa plume et son temps entre la littérature et le petit écran.Dans "Son autre mort" (Gallimard), son dernier roman, cette agrégée de lettres modernes, passionnée de roman noir, met en scène Alex, une quadra bien tranquille qui tient un gite rural avec son mari et leurs deux enfants. Jusqu’au jour où Charles Berrier, un célèbre écrivain, débarque chez eux pour chercher l’inspiration. Le soir de son anniversaire, l’auteur à succès essaie de violer la jeune femme qui le tue en cherchant à se défendre. Prise au piège d’un terrible engrenage, elle décide de s’inventer une nouvelle identité pour se rapprocher de l’entourage de la victime. Et trouver celui ou celle qui aurait pu commettre le crime à sa place… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je pars à la rencontre de l’écrivain Bernard Minier. Originaire d’un petit village au pied des Pyrénées, ce romancier a longtemps écrit pour des histoires qui sont restées dans ses tiroirs. Il est contrôleur des douanes, en banlieue parisienne, lorsqu’il se décide enfin à envoyer son premier roman aux éditeurs. Nous sommes en 2010, et Bernard Minier a 50 ans lorsque "Glacé" devient la nouvelle sensation du thriller. Grâce aux aventures de l’inspecteur Martin Servaz, son auteur change de vie et devient l’une des pointures du genre en France. Aujourd’hui il publie son 7e roman, "M, le bord de l’abîme" (X0 Editions), l’histoire d’une jeune française engagée par un géant des nouvelles technologies dont le siège est basé à Hong Kong. Un thriller noir, intense, futuriste, mais tant que ça, dont je suis allé m’entretenir avec Bernard au sommet d’une célèbre tour parisienne. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je pars à la rencontre de l’écrivain Grégoire Delacourt. Pendant près de deux décennies, cet ancien publicitaire a loué ses talents aux plus grandes marques avant de publier son premier roman, "L’écrivain de la famille", à l’âge de 50 ans.Depuis le succès de "La liste de mes envies" en 2011, adapté au cinéma avec Mathilde Seigner et Marc Lavoine, il revient en libraires à intervalles réguliers. Il y a eu "La première chose qu’on regarde", "Danser au bord de l’abîme", "La femme qui ne vieillissait pas"..."Mon père", qui vient de paraître chez Jean-Claude Lattès, est l’un de ses romans les plus courts. L’un des plus violents aussi. C’est un huis clos étouffant dans lequel un homme est confronté au prêtre qu’il accuse d’avoir abusé de son petit garçon.De ce sujet en prise directe avec l’actualité, Grégoire Delacourt a su éviter tous les écueils pour livrer une fiction à la fois intime et universelle. Nous nous sommes retrouvés début mars chez son éditeur, pour parler de ce roman choc. Et bien d'autres choses encore. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans ce numéro, j’ai non pas un mais deux invités : William Lafleur et Marie Pellan, co-auteurs du roman "Le Hussard Noir" (Flammarion).William Lafleur, vous avez peut-être entendu parler de lui à travers son double numérique, Monsieur le prof, papa d’un blog et d’un compte Twitter qui balancent aussi bien sur les incohérences de l’Education nationale que les travers d’une génération d’élèves nourrie aux réseaux sociaux. Après un premier roman intitulé "Point Final" (Michel Lafon), paru en 2013, il s’est associé à Marie Pellan, prof de lettres en zone d’éducation prioritaire pour donner naissance à un thriller détonnant. "Le Hussard Noir", c’est Thomas Debord, un jeune prof qui, lassé de ne pas être entendu, décide un matin de prendre en otage sa classe pour porter un message auprès des médias. Une fiction plus vraie que nature ? Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode mon invité n’est pas un écrivain mais un confrère, Bernard Lehut, l’homme qui murmure à l’oreille des plus grands auteurs, sur les ondes de RTL.Bernard, vous pouvez l’entendre Du lundi au vendredi à 9h dans l’émission Laissez-vous tenter, et le dimanche à 12h45 dans son rendez-vous à lui, Les livres ont la parole. Sur une antenne où les infos brûlantes, et pas toujours souriantes, s’enchaînent les unes après les autre, ce pilier de la plus grande radio de France est pour moi une référence dans son domaine. Par son professionnalisme, son éclectisme, son plaisir tout simplement de faire vivre l’actualité littéraire. C’est à Neuilly sur Seine, dans les locaux de RTL où s’est installée après son déménagement au printemps 2018, que Bernard Lehut m’a reçu. L’occasion d’échanger sur notre métier de journalistes culturels. Et d’évoquer aussi le Grand Prix RTL Lire qui sera remis dans quelques jours au Salon du Livre, à Paris. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je pars à la rencontre d'Audrey Dana. Comédienne chez Claude Lelouch, Philippe Lioret, Bertrand Blier ou encore Olivier Nakache et Eric Toledano, elle est passée à la réalisation en 2014 avec "Sous la jupe des filles", une comédie qui cartonne en France avec plus d’1 million d’entrées. Aujourd’hui, c’est la romancière qu’on découvre avec Fa(m)illes, son premier roman. Dès la première page, on est pris à la gorge par ce récit à la première personne d’une enfance absolument hors du commun. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
NOUVEAUTE !!!!Les livres, c'est de l'échange et du partage. Je vous invite donc TOUS, auditeurs, à venir discuter et échanger au sein du GROUPE FACEBOOK "Les gens qui lisent sont plus heureux"VENEZPARLER DES LIVRES QUI VOUS ANIMENTdes auteurs que vous souhaiteriez entendre.Venez débattre, échanger, partager.Venez dire à quel point lire VOUS REND HEUREUX=> cela se passe ici : https://www.facebook.com/groups/308252543287882/ Entrée libre et gratuite !-----------------------------------------------------------Concernant cet épisode La journaliste Cécile Pivot publie son premier roman intitulé "Battements de cœur". La description au scalpel de l’histoire d’amour entre deux êtres que tout oppose. Dans cet épisode, mon invité est la romancière Cécile Pivot. Son nom de famille vous dit quelque chose ? Normal, c’est l’une des filles du journaliste Bernard Pivot, le mythique présentateur d’Apostrophes, aujourd’hui président de l’Académie Goncourt. Cécile a longtemps travaillé dans la presse avant de se lancer dans l’écriture en 2017 avec "Comme d’habitude", le récit de son combat quotidien auprès de son fils autiste. Journaliste comme son père, elle a écrit avec lui "Lire !", un vibrant plaidoyer pour le plaisir de la lecture, paru l’an dernier. En ces premiers jours de 2019, c’est son premier roman de fiction qu’elle dévoile. "Battements de cœur", c’est son titre, met en scène Anna et Paul, deux êtres que tout oppose. Elle est éditrice, bavarde, Parisienne, dans l’âme. Il est paysagiste, taiseux, foncièrement amoureux de la nature. Leur histoire d’amour semble impossible ? Ils vont la vivre à 100 à l’heure, en dépit de leurs différences et de leurs vies passées, jusqu’au jour où le doute s’installe… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je pars à la rencontre de Nicolas Mathieu. Le 7 novembre dernier, ce Lorrain de naissance a décroché le si convoité prix Goncourt pour son deuxième roman, "Leurs enfants après eux". Une fresque intime qui puise dans ses souvenirs de jeunesse dans la France des années 1990, dans une région sinistrée par la désindustrialisation. Ses héros, ce sont Anthony, Steph et Hacine, trois adolescents qu’on va suivre durant quatre étés, entre amour et violence, du triomphe de "Smells Like Teen Spirit" de Nirvana à celui de l’équipe de France de Zinédine Zidane. Titulaire d’une maîtrise en cinéma – son mémoire portait sur le réalisateur américain Terence Malick – Nicolas Mathieu a pris son temps avant de publier son premier roman, le polar "Aux animaux la guerre", en 2014. Alors que "Leurs enfants après eux" caracole en tête des ventes, ce papa d’un petit garçon vit toujours à Nancy où il partage son temps entre l’écriture et son job de community manager. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans ce numéro, je pars à la rencontre de l’écrivain français Olivier Norek. C’est dans un bar à Pantin, en Seine-Saint-Denis, que nous nous sommes donnés rendez-vous. Ce département, il le connaît bien puisqu’il y a été flic pendant 18 ans, avant d’en faire le théâtre de ses trois premiers polars. Avec "Entre deux mondes", paru en 2017 chez Michel Lafon, Olivier a signé sans doute son livre le plus ambitieux. Une enquête à la fois haletante et sensible qui promène le lecteur de la Syrie au bord du chaos à la jungle de Calais. Pour l’écrire, il s’est plié à un long travail de terrain qui n’est, au fond, pas si différent de son ancien métier. "Entre deux mondes" vient d’être édité en poche chez Pocket et sera bientôt adapté au cinéma par Gilles Paquet-Brenner, le réalisateur de "Elle s’appelait Sarah" avec Kristin Scott-Thomas et "Dark Places" avec Charlize Theron. Au moment où vous écouterez ce podcast, Olivier, lui, sera en train de mettre la touche finale à son prochain roman, "Surface", qui paraîtra l’an prochain. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, je pars à la rencontre de Laurent Gounelle. "Je dis souvent que j’ai eu la crise de la cinquantaine à 23 ans", sourit cet ancien chargé d’études financières, devenu écrivain sur le tard. Du monde de l’entreprise au métier d’écrivain, il aura dû tout envoyer valser pour accéder au bonheur. "C’est quand j’ai tout perdu que je me suis autorisé à écouter mon cœur et à faire ce que j’aimais", dit-il à propos de la profonde dépression qu’il a traversée. Avant la publication de "L’homme qui voulait être heureux", son premier roman en 2008, il a parcouru le monde et découvert les méthodes de développement personnel, qu’il est revenu un temps enseigner en France dans les entreprises. Aujourd’hui c’est à travers les romans qu’il transmet, à sa manière, les clés du bonheur. Dans "Je te promets la liberté", son nouveau roman (Calmann-Lévy), Laurent Gounelle met en scène Sybille Shirdoon, une jeune femme en situation d’échec, aussi bien professionnel que personnel. Jusqu’à sa rencontre avec un homme mystérieux qui prétend pouvoir installer en elle une toute autre personnalité. Heureux bienfaiteur ou dangereux manipulateur ? C’est ce qu’elle va bientôt découvrir... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
C'est l'histoire d'un succès qui surprend encore son auteur. En 2012, Joël Dicker n'avait que 27 ans lorsque "La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert" est devenu un phénomène. Ce roman policier complexe de plus de 700 pages va séduire des millions de lecteurs à travers le monde. Et décrocher le grand prix du roman de l'Académie Française, ainsi que le Goncourt des lycéens. Forcément, les producteurs de cinéma vont se rapprocher du prodige, qui dans un premier temps refuse toutes les sollicitations. Jusqu'à sa rencontre avec Jean-Jacques Annaud, le réalisateur de "L'Ours" et "L'Amant" qui lui propose d'en faire une mini-série en 10 épisodes, histoire de ne pas trahir les nombreux personnages et intrigues parallèle du livre. Avec le comédien Patrick Dempsey en tête d'affiche, "La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert" est l'événement de cette fin d'année à la télévision française. L'occasion rêvée d'aller à la rencontre de Joël Dicker, juste avant la diffusion des deux premiers épisodes, le 21 novembre sur TF1. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.