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La semaine de vos émotions, c'est une émotion différente décortiquée tous les jours du 31 juillet au 6 août grâce à des anciens épisodes, parmi nos préférés. L'été, le temps semble plus lent, parfois même il s'arrête et on se retrouve face à soi même. On prend enfin le temps de mettre des mots sur ce que l'on ressent, de faire le point, parfois même de prendre des résolutions pour être une meilleure version de soi à la rentrée. C'est pourquoi chez Louie, on a décidé de vous proposer une semaine pour plonger au cœur de vous même. Cet épisode a été diffusé une première fois le 20 janvier 2020.--Vous voyez, cette émotion qui vous ronge quand vous observez avec attention le visage de la personne que vous aimez lire un message sur son téléphone ? Le pincement au cœur que vous avez en regardant sur les réseaux sociaux l'ascension phénoménale de votre ancien.ne camarade de promo ? Ou encore l'angoisse passagère qui vous traverse quand votre meilleur.e ami.e vous délaisse pour quelqu'un d'autre… ? Ce sentiment, qui peut nous faire parfois perdre tout discernement, c'est la jalousie.Pour mieux en comprendre les ressorts, Agathe Le Taillandier, qui a grandi au sein d'une fratrie de quatre frères et sœurs, a d'abord interrogé sa mère pour qu'elle l'aide à se souvenir de ses toutes premières crises de jalousie. Elle a aussi rencontré le psychiatre et psychanalyste Serge Hefez et la psychothérapeute Anne-Clothilde Ziegler. Et pour savoir si ceux qui ont des mœurs dites plus libres peuvent être eux aussi touchés par la jalousie, Agathe a parlé avec la critique d'art Catherine Millet. Cette dernière, qui se définit comme libertine, a publié en 2011 un livre, La vie sexuelle de Catherine M, qui fut autant un scandale qu'un succès littéraire. A lire sur le sujet :Catherine Millet, autrice de Jour de Souffrance, publié chez Flammarion.Catherine Millet, autrice de La vie sexuelle de Catherine M, publié au Seuil.La psychothérapeute Anne-Clotilde Ziegler, autrice de La jalousie amoureuse, publié chez Solar. L'écrivaine Annie Ernaux, autrice de L'occupation, publié chez Gallimard.L'écrivain Marcel Proust, auteur de A la recherche du temps perdu, publié chez Gallimard.Le neuropsychiatre Jean-Michel Oughourlian, auteur de Cet autre qui m'obsède, publié chez Albin Michel.Le philosophe Nicolas Grimaldi, auteur de Essai sur la jalousie, publié chez PUF.Et vous, vous êtes-vous déjà surpris.e à être jaloux.se ? Racontez-le nous à hello@louiemedia.comAgathe Le Taillandier a réalisé cet épisode. Charlotte Pudlowski et Cyrielle Bedu étaient à la rédaction en chef. Maureen Wilson était responsable éditoriale. Nicolas Vair a assuré la création sonore. Benoît Daniel l'enregistrement et Jean-Baptiste Aubonnet le mixage. Nicolas de Gélis a composé le générique et Jean Mallard a réalisé l'illustration.La retranscription de cet épisode est disponible ici. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce dernier entretien d'"À voix nue", le peintre Bernard Dufour parle à nouveau de son expérience du film tourné avec Jacques Rivette, de l'écriture de son autobiographie dans une recherche de totale franchise, puis de sa relation avec ses modèles qu'il tient à distance. Dans le cinquième et dernier des entretiens d'"À voix nue" que lui consacrait Catherine Millet en 1993, le peintre Bernard Dufour revient sur l'expérience qu'avait été pour lui sa participation au tournage de La Belle Noiseuse, le film de Jacques Rivette, et les difficultés qu'il avait eu à se remettre au travail à la suite de ce tournage. Un moment de creux dans sa peinture qu'il avait mis à profit en se consacrant à l'écriture d'un texte autobiographique qui l'occupait encore à l'époque de l'enregistrement de cette série d'"À voix nue" et qui sera publié deux ans plus tard sous le titre Au fur. Son projet autobiographique était de tout dire Après le tournage du film La Belle Noiseuse pendant lequel Bernard Dufour dit s'être senti dépossédé de lui-même et avoir créé un grand désordre dans son travail de peintre, il a décidé de continuer son autobiographie entamée avec L'Oranger des Osages publié en 1990. "Mon objet autobiographique était de tout dire", affirme-t-il y compris des choses dangereuses pour lui. C'est cela qu'il recherche dans les écrits autobiographiques, une franchise totale, sinon cela n'a pas d'intérêt. Bernard Dufour et ses modèles, "un rapport complexe et énigmatique" La relation avec les modèles qui, comme Emmanuelle Béart dans La Belle Noiseuse, posent nues pour lui, fait partie des questions que Bernard Dufour aborde dans cet ultime entretien. Ses modèles ne sont jamais des professionnelles mais il sait que ces femmes "vont aimer être regardées nues". S'il peut éprouver du désir pour elles, surtout elles "doivent restées très lointaines", à distance, dans "un rapport complexe et énigmatique". "Les heures où j'attends le modèle sont des heures de fantasmes délirants", se plait-il à révéler. Retrouvez l'intégralité de la série "A voix nue" avec Bernard Dufour Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Bernard Dufour, la poursuite du réel, proposé par Albane Penaranda. Par Catherine Millet A voix nue - Bernard Dufour 5/5 (1ère diffusion : 07/05/1993) Avec Bernard Dufour, peintre Réalisation Nicole Salerne Édition web : Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:29:24 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Deuxième temps de la série "A voix nue" avec le peintre Bernard Dufour qui parle ici du sens de ses tableaux, de la peinture du réel telle qu'il la conçoit, de sa fascination pour les tableaux de Matisse, du Titien et de tous ces peintres du réel. Un tableau ne peut avoir un seul sens, une seule signification. Et le sens d'une peinture échappe à son créateur et appartient essentiellement au regardeur. C'est ce qu'affirmait le peintre Bernard Dufour dans le deuxième entretien d'"À voix nue" que lui consacrait la critique d'art Catherine Millet en 1993. La peinture énigmatique de Bernard Dufour À la question de savoir à quoi il veut contraindre le spectateur, quel sens il veut donner aux tableaux non conceptuels, il répond "ambiguïté", car "c'est vanité de ne penser qu'il n'y a qu'un sens", ajoute-t-il. La peinture conceptualiste ne l'intéresse pas du tout, au contraire de ce qu'il appelle "la peinture énigmatique" ou "peinture du réel". Dans la peinture conceptualiste il voit un sens obligatoire, une peinture programmée. Ce n'est pas ce qu'il recherche mais bien le "phénomène de pur réel". La quête du réel dans la peinture Cet entretien est l'occasion pour Bernard Dufour de dire l'enthousiasme que suscitent en lui la liberté totale, la rigueur dans le plaisir de peindre qu'il voit dans l'ouvre de Matisse, ce qu'il désigne comme la volupté de sa peinture. "Matisse est quelqu'un qui ne se délabre jamais", affirme-t-il. Peintre en quête du réel, résolument allergique à la peinture conceptualiste, Bernard Dufour salue les grandes figures de la peinture du réel qui se sont élevées "contre l'ordre idéologique de leur époque", à savoir Masaccio, Rembrandt, Goya, Cézanne, et Giacometti. Et de conclure que toute la peinture académique n'est que "trompe-l'oil". Retrouvez l'intégralité de la série "A voix nue" avec Bernard Dufour Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Bernard Dufour, la poursuite du réel, proposé par Albane Penaranda. A voix nue - Bernard Dufour 2/5 (1ère diffusion : 04/05/1993) Par Catherine Millet Avec Bernard Dufour, peintre Réalisation Nicole Salerne Édition web : Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:29:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le peintre Bernard Dufour, dans ce troisième entretien de la série "À voix nue", parle de la différence entre réalité et réel en partant du récit du suicide de sa femme quarante ans auparavant. "Quelle différence faites-vous entre le réel et la réalité ?". C'est par cette question que Catherine Millet ouvre le troisième temps de la série "À voix nue" qu'elle consacrait au peintre Bernard Dufour en 1993. Pour répondre à cette question le peintre ne peut qu'évoquer l'évènement fondateur qu'a été dans sa vie la découverte dans son atelier, un jour de mai 1953, de celle qui était alors sa femme, suicidée d'un coup de révolver. Un évènement dont il fut très longtemps incapable de parler. Un événement fondateur de la vie de Bernard Dufour : le suicide de sa femme en 1953 En mai 1953, lorsqu'il découvre le cadavre ensanglanté de sa femme, Bernard Dufour parle de réalité mais d'une réalité qui n'a duré qu'un instant fugace, une "fulgurance" qu'il n'a jamais pu reconstituer dans sa tête depuis quarante ans. Il n'a pas pu reprendre contact avec ce cadavre en raison de l'imbroglio qui s'est formé en lui alors qu'une accumulation d'événements extérieurs subis (enquête de police, travail de la justice, plainte contre X...) sont venus s'emmêler et ont formé avec le concours de son imagination, ce qu'il appelle un "gouffre". La fulgurance de la réalité abolie par le réel "Je n'ai pas théorisé cette question de réalité et de réel", affirme Bernard Dufour mais en faisant ce travail d'anamnèse, il s'est rendu compte que la réalité du suicide de sa femme a été abolie dans l'instant même. Il s'est trouvé ensuite confronté au réel de sa mort : "La réalité a été instantanément abolie pour être remplacée par le réel." Cet événement lui a fait comprendre la différence entre voir et regarder. Même si ses toiles ne portent pas la trace de ce cadavre, "je ne me suis jamais préoccupé de cette image", dit-il, la maturation de tout cela l'a conduit à passer de l'abstrait au figuratif au début des années soixante et a déterminé ce qu'allait être son travail de peintre : l'abolition de la réalité par le réel. Retrouvez l'intégralité de la série "A voix nue" avec Bernard Dufour Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Bernard Dufour, la poursuite du réel, proposé par Albane Penaranda. Par Catherine Millet A voix nue - Bernard Dufour 3/5 (1ère diffusion : 05/05/1993) Avec Bernard Dufour, peintre Réalisation Nicole Salerne Édition web : Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:29:01 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce quatrième temps de la série "À voix nue", le peintre Bernard Dufour parle de sa participation au film "La Belle Noiseuse" de Jacques Rivette sorti en 1991, et ce faisant de sa manière de travailler la toile et d'explorer la structure de ses tableaux. Dans le quatrième des entretiens "À voix nue" que Catherine Millet a réalisés avec Bernard Dufour en 1993, l'évocation du tournage de La Belle Noiseuse est l'occasion d'entendre le peintre parler très concrètement de la manière dont il travaille. Bernard Dufour, la main de Michel Piccoli Bernard Dufour raconte avoir activement participé au tournage de La Belle Noiseuse, le film de Jacques Rivette, s'impliquant exactement comme il l'aurait fait seul dans son atelier. D'ailleurs c'est bien son atelier qui a été reconstitué pour le film. Quand Michel Piccoli, alias Édouard Frenhofer dans le film, peint, c'est la main de Bernard Dufour qui tient le pinceau et travaille au nu de Marianne incarnée par Emmanuelle Béart. "Jamais aucun film n'avait montré ça", affirme Bernard Dufour alors qu'on y voit la progression du travail d'un peintre, les détails des gestes, même si ce peintre est en l'occurrence caché. Devenir le maître d'une forme en dessinant par cour Organiser la peinture à partir de la première chose fixée sur la toile, c'est ce qui est important pour Bernard Dufour et c'est ce qu'il nous apprend dans cette émission. Il détaille sa façon de travailler : "Je ne gomme jamais, je dessine toujours à la plume et à l'encre noire pour donner quelque chose de complètement décisif." Il cherche à constituer "quelque chose de totalement irrémédiable" comme point de départ. Peintre des corps des femmes, il parle du "plaisir de tracer une grande courbe", comme si sa main parcourait réellement le corps d'une femme, "dessiner des fesses à la grandeur nature c'est les caresser", ajoute-t-il. Pour arriver à cela, il n'hésite pas à beaucoup dessiner jusqu'à devenir "maître d'une forme" en la dessinant par cour. Retrouvez l'intégralité de la série "A voix nue" avec Bernard Dufour Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Bernard Dufour, la poursuite du réel, proposé par Albane Penaranda. Par Catherine Millet A voix nue - Bernard Dufour 4/5 (1ère diffusion : 06/05/1993) Avec Bernard Dufour, peintre Réalisation Nicole Salerne Édition web : Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:06:47 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Une Nuit autour de Bernard Dufour pour découvrir le parcours au long cours d'un peintre passé de l'abstraction au figuratif dans les années 1960 et qui n'a cessé de rechercher le réel à travers la représentation du corps des femmes et de la mort. Un programme d'archives proposé par Albane Penaranda. Né à Paris en 1922, mort en 2016 dans l'Aveyron, dans sa maison du Pradié où il avait son atelier depuis les années soixante-dix, Bernard Dufour est tout sauf un artiste de tout repos. À l'occasion du centenaire de sa naissance, partons à la découverte de celui-là même qui désignait le sexe et la mort comme les deux pôles de sa création et, pour ne pas sembler céder à une quelconque bienséance, disait "pornographie" quand on parlait d'érotisme à propos de sa peinture. Une peinture dans laquelle il avait fait entrer la figuration au début des années soixante, en payant cher de tourner ainsi le dos à la pure abstraction qui dominait alors. L'intime, l'autobiographie, Martine sa femme, le mas du Pradié. ses autoportraits regardant dans les yeux le regardeur. le corps des femmes, leurs sexes dévoilés sans pudeur. l'obsession du réel et le refus de tout réalisme, de tout conceptualisme. Parviendrons-nous à faire voir quelque chose de la peinture de Bernard Dufour dans cette Nuit ? Certainement, en l'écoutant parler de ses toiles, de ses livres et de ses photographies, des femmes de sa vie et de la tragédie violente de leurs morts ; en l'écoutant parler des opéras d'Alban Berg, du Gilles de Watteau, d'André Breton collectionneur, de La Belle Noiseuse et de la lignée des peintres qu'il ne quittait pas des yeux : Rembrandt, Goya, Cézanne, Giacometti . Tout au long de cette Nuit, lors notamment d'entretiens avec Catherine Millet, Alain Veinstein et Pierre Descargues, nous entendrons une parole libre, crue, enthousiaste et passionnée. Bernard Dufour, la poursuite du réel, un programme d'archives proposé par Albane Penaranda. Par Albane Penaranda Réalisation Antoine Larcher Bernard Dufour, la poursuite du réel (1ère diffusion : 20/11/2022) Avec la collaboration de Hassane M'Béchour Indexation web : Odile Dereuddre, Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
durée : 00:30:37 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce premier entretien d'"A voix nue", le peintre Bernard Dufour raconte ses écrits autobiographiques en parallèle à sa peinture. Dans ses confidences se mêle une réflexion sur ces deux activités et comment elles lui permettent chacune à sa façon d'attraper le réel, comme une quête permanente. La peinture a traversé la vie de Bernard Dufour. En 1993, à l'âge de 70 ans, il se confiait au micro de son amie et critique d'art Catherine Millet dans une série d'"A voix nue". Le premier entretien porte sur sa réflexion autour de l'écriture autobiographique et de ses autoportraits. Bernard Dufour entre travail d'écriture et autoportraits Après avoir été la main de Michel Piccoli alias Frenhofer dans le film de Jacques Rivette La Belle Noiseuse sorti en 1991, Bernard Dufour explique avoir eu du mal à reprendre sa peinture après la coupure qu'avait été le tournage. Il s'est alors mis à l'écriture sur soi, tel "un essai d'anamnèse", "une remémoration de [sa] vie de peintre". "Tout mon travail de peintre depuis les années 60 est complètement autobiographique", affirme-t-il mais à la question de savoir comment les deux activités d'écriture autobiographique et de création d'autoportraits se complètent, se répondent, il ne pense pas que l'écriture ait une "répercussion" sur sa peinture. Il voit ces deux activités complètement "séparées", sans "retentissement" de l'une par rapport à l'autre. "Attraper le réel" selon Bernard Dufour Attraper le réel. C'est ce que n'aura cessé de chercher Bernard Dufour à travers sa peinture. Il revient inlassablement sur son passage de l'abstraction au figuratif qui lui a posé de graves problèmes, comme à tout autre peintre qui s'y est essayé. C'est là que tout s'est joué, dit-il, en 1958 lorsqu'il a commencé à peindre des figures monstrueuses. Toujours "à la poursuite du réel", il a alors compris que le réel ne pouvait passer que par la représentation du corps des femmes. Ce qui l'intéresse dans le réel, "c'est la difficulté de dire le réel", le "soupçon" de ne pas être honnête envers soi-même et en cela il propose une peinture qui évite de "confortabiliser le spectateur", il parle de ses tableaux comme "des tableaux de désordre". Retrouvez l'intégralité de la série "A voix nue" avec Bernard Dufour Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Bernard Dufour, la poursuite du réel, proposé par Albane Penaranda. Par Catherine Millet A voix nue - Bernard Dufour 1/5 (1ère diffusion : 03/05/1993) Avec Bernard Dufour, peintre Réalisation Nicole Salerne Édition web : Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
Les innovations liées au numérique deviennent une véritable mine d'or pour certains artistes. Certains médias en parlent mieux que d'autres, comme la revue d'art contemporain de référence : Art Press. L'histoire d'Art Press débute en 1972. Comme beaucoup d'autres revues d'art, ce mensuel dédié à la création contemporaine a opté pour le papier glacé. Sur ce support de qualité, on peut tenter de capter au mieux l'émotion de l'artiste, dans toutes ses couleurs et contrastes. Quand est arrivé Internet, Art Press a transposé une partie de sa production éditoriale sur le web et a voulu mettre en avant les arts numériques. Pour marquer le coup pour ses 50 ans d'existence mais aussi pour montrer que la revue vit avec son temps, Art Press a organisé un événement, mi-janvier à Paris, au Centre Pompidou. Caroline Renaux et Séverine Peyron dit Thouard s'y sont rendues pour L'atelier des médias. Elles y ont notamment tendu leur micro à Catherine Millet et Aurélie Cavanna. Mondoblog audio fait entendre le blogueur congolais Prince Ley Ntontolo. Dans Lettre à mon fils, il s'adonne à un exercice difficile : celui de partager son expérience de vie. Une façon poétique pour mettre en avant l'amour paternel.
La vie d'Artiste de Catherine MLe naturel de Catherine Millet est désarmant : un air discret mais déterminé, une simplicité non feinte, un petit côté aussi Sagan qu'elle adore, le même regard affûté, un petit gabarit, une certaine autorité sans en avoir l'air... Quelqu'un qui aurait beaucoup vécu et observé. Une amoureuse de la littérature mêlée à un goût viscéral pour la liberté mais aussi de la jouissance et de l'émotion esthétique... Son désir originel très tôt formulé était de vivre auprès des artistes... « Mes rêves m'avaient transportée trop loin pour que je me contente d'espérer réussir mon bac, faire des études et ainsi de suite... », écrit-elle dans son dernier ouvrage très joliment écrit « Commencements ». Elle raconte son histoire : celle d'une jeune fille modeste de banlieue dont le goût pour la littérature l'a conduit (il faut se replacer dans le contexte des années 50) à Saint-Germain des prés dans l'emblématique 6e arrondissement de Paris grâce à un homme qui comptera beaucoup, son premier compagnon, Daniel Templon (incontournable galeriste et marchand d'art contemporain, basé à Paris, Bruxelles et New York).Catherine Millet connue du grand public pour son livre «La vie sexuelle de Catherine M», dont la sortie, en 2001, a été fracassante (une femme racontant sans fioritures son libertinage) estime que l'ambition intellectuelle est étroitement liée à une ambition sociale.Catherine Millet est aussi la cofondatrice de la revue « Art Press » créée il y a tout juste 50 ans, et dont elle est toujours à la tête. Un magazine devenu une référence dans le milieu de l'art. Catherine Millet est une théoricienne importante de l'art contemporain. Elle nous livre ses réflexions sur l'art...Les artistes cités au cours de l'interview sont :Le peintre Sam SzafranLe réalisateur Albert SerraLes plasticiennes Jeanne Vicéral et Paula RegoL'écrivain et compagnon de Catherine Millet : Jacques HenricLes galeries citées sont :La galerie Daniel TemplonLa galerie LelongLa galerie MaeghtLa galerie GagosianLa galerie Suzanne Tarasièveet toutes les galeries à découvrir lors de vos balades dans le quartier du Marais à Paris.
Dans cet épisode j'ai souhaité mettre en avant une initiative qui a vu le jour il y a quelques mois au Beaux Arts de Montpellier. Cette initiative elle s'appelle Trashpress et elle réunit des étudiants et des étudiantes qui ont souhaité contester l'existence de la biennale Art Press… Pour celles et ceux qui n'auraient pas suivi, Art Press c'est sans doute la plus grosse revue spécialisée en art contemporain en France. Elle a été fondée au début des années 1970 par Catherine Millet qui est encore aujourd'hui sa rédactrice en chef. Énormément de colère se cristallise autour de la figure de cette femme et de la revue Artpress car depuis le début du mouvement MeToo, Catherine Millet a beaucoup pris la parole et s'est positionnée comme l'une des figures d'opposition aux luttes féministes et intersectionnelles en France. Pour vous donner quelques exemples : seulement quelques mois après le début du mouvement MeToo elle signe notamment la tribune sur le droit à être importunée au côté d'autres personnalités comme Catherine Deneuve. Et l'année dernière en 2021, au moment des révélations concernant Claude Lévèque qui est accusé de pédocriminalité, ArtPress diffuse une tribune signée par une poignée de personnalités du monde de l'art et de la culture qui apportent leur soutien à l'artiste. Cette tribune elle ne passe pas auprès d'un grand nombre de contributeur·ices de la revue qui se fendent quelques jours plus tard d'une contre tribune pour se désolidariser du média et apporter leur soutien aux personnes ayant été victimes de Claude Lévèque. Aujourd'hui, Art Press c'est le symbole de ce monde de l'art réactionnaire qui soutient la division de l'homme et de l'artiste et lutte contre les mouvements féministes et décoloniaux. Alors quand le MOCO annonce qu'il accueillera la deuxième édition de la biennale « Après l'école » organisée par la revue, ça coince. Les Beaux Arts d'Annecy, de Grenoble, de Toulouse et de Lyon décident de boycotter l'évènement et de nombreux artistes refusent d'exposer leur travail dans le cadre de cet événement. En réponse à cela, trois étudiantes du MOCO crée Trashpress. Une manière pour elles de soutenir les artistes refusant.es et de signifier qu'aujourd'hui, la voix des étudiantes et des artistes émergent.es compte et qu'iels sont agissantes. C'est pour parler de leur initiative et en soutien à celle-ci que j'ai décidé de les recevoir dans le quarantième épisode de PRÉSENT.E. Je suis donc ravie d'accueillir Meryam, en 4e année au Moco et Émeline et Anouk qui sont en 5eme année là bas. Crédits : Présent.e est un podcast produit, réalisé et diffusé par Camille Bardin. Cet entretien a été enregistré le 2 octobre 2022 entre Paris et Montpellier. Réalisation et mixage : Camille Bardin. Générique : David Walters.
durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce dernier entretien d'"À voix nue", le peintre Bernard Dufour parle à nouveau de son expérience du film tourné avec Jacques Rivette, de l'écriture de son autobiographie dans une recherche de totale franchise, puis de sa relation avec ses modèles qu'il tient à distance. - invités : Bernard Dufour artiste, peintre, photographe, écrivain
durée : 00:29:24 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Deuxième temps de la série "A voix nue" avec le peintre Bernard Dufour qui parle ici du sens de ses tableaux, de la peinture du réel telle qu'il la conçoit, de sa fascination pour les tableaux de Matisse, du Titien et de tous ces peintres du réel. - invités : Bernard Dufour artiste, peintre, photographe, écrivain
durée : 00:30:37 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce premier entretien d'"A voix nue", le peintre Bernard Dufour raconte ses écrits autobiographiques en parallèle à sa peinture. Dans ses confidences se mêle une réflexion sur ces deux activités et comment elles lui permettent chacune à sa façon d'attraper le réel, comme une quête permanente. - invités : Bernard Dufour artiste, peintre, photographe, écrivain
durée : 00:29:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le peintre Bernard Dufour, dans ce troisième entretien de la série "À voix nue", parle de la différence entre réalité et réel en partant du récit du suicide de sa femme quarante ans auparavant. - invités : Bernard Dufour artiste, peintre, photographe, écrivain
durée : 00:29:01 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans ce quatrième temps de la série "À voix nue", le peintre Bernard Dufour parle de sa participation au film "La Belle Noiseuse" de Jacques Rivette sorti en 1991, et ce faisant de sa manière de travailler la toile et d'explorer la structure de ses tableaux. - invités : Bernard Dufour artiste, peintre, photographe, écrivain
Le MO.CO Montpellier accueille la 2ème édition d'Après l'école, biennale artpress, ce qui rejoint sa vocation première comme le souligne Numa Hambursin, l'école d'art MO.CO ESBA étant au cœur de l'écosystème des deux centres d'art contemporains : MO.CO Hôtel des collections et MO.CO La Panacée. Ce panorama qui regroupe 32 artistes diplômé.e.s d'écoles d'art françaises est aussi le reflet de l'engagement de la revue artpress qui va fêter ses 50 ans, nous rappelle Catherine Millet. Réparti en 3 lieux : MO.CO La Panacée, le Musée Fabre et l'Espace Baguet ce panorama est placé sous le prisme des « ambivalences du présent » choisi par les commissaires : Etienne Hatt, rédacteur en chef adjoint d'artpress et Romain Mathieu, critique d'art et professeur à l'Ecole Supérieure d'Art et Design de Saint-Etienne.
Après "Une enfance de rêve", Catherine Millet poursuit dans la veine autobiographique avec "Commencements", le récit de ses débuts dans le monde de l'art contemporain. Son histoire personnelle, ses rencontres amicales et amoureuses, son passage à l'âge adulte, sont étroitement mêlés à la découverte de ce milieu dont elle choisit de faire son métier. Elle brosse le portrait d'une époque et d'une génération, marquée par des artistes dont les carrières se sont poursuivies jusqu'à aujourd'hui.
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.
aux éditions Flammarion. Entretien avec Jean-Michel Devésa. Rentrée littéraire automne 2022.
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Catherine Millet tente de détisser le mystérieux entrecroisement de hasards, de désirs confus, d'opportunités plus ou moins bien comprises qui conduisent une jeune fille sans bagage, sans argent et sans grande culture à quitter sa banlieue pour le Saint-Germain-des-Prés des artistes et des galeries d'art. La vie intime et la vie professionnelle inéluctablement se mêlent. L'époque, c'est Mai-68 à Paris et l'émergence du quartier de SoHo à New York, l'apparition d'un art qui ne ressemble pas à l'art, la naissance de ce qu'on appelle aujourd'hui « l'art contemporain ». Invitée : Catherine Millet, pour son roman autobiographique Commencements, publié aux éditions Flammarion, l'autrice du sulfureux La vie sexuelle de Catherine M. raconte sa jeunesse dans le Saint-Germain-des-Prés des années 68 et ses rencontres avec de jeunes artistes.
Catherine Millet tente de détisser le mystérieux entrecroisement de hasards, de désirs confus, d'opportunités plus ou moins bien comprises qui conduisent une jeune fille sans bagage, sans argent et sans grande culture à quitter sa banlieue pour le Saint-Germain-des-Prés des artistes et des galeries d'art. La vie intime et la vie professionnelle inéluctablement se mêlent. L'époque, c'est Mai-68 à Paris et l'émergence du quartier de SoHo à New York, l'apparition d'un art qui ne ressemble pas à l'art, la naissance de ce qu'on appelle aujourd'hui « l'art contemporain ». Invitée : Catherine Millet, pour son roman autobiographique Commencements, publié aux éditions Flammarion, l'autrice du sulfureux La vie sexuelle de Catherine M. raconte sa jeunesse dans le Saint-Germain-des-Prés des années 68 et ses rencontres avec de jeunes artistes.
durée : 00:54:13 - Le masque et la plume - par : Jérôme Garcin - Pour cette émission de la rentrée, place à la littérature. Au programme de ce dimanche 11 septembre, les livres de Sally Rooney, Yannick Haenel, Catherine Millet ou encore Russel Banks. - réalisé par : Xavier PESTUGGIA
durée : 01:48:20 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Catherine Millet publie "Commencements" aux éditions Flammarion : l'autoportrait d'une génération spontanée qui a inventé l'art conceptuel
Philippe Vandel et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance.
Philippe Vandel et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance.
durée : 00:56:29 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - La critique d'art, commissaire d'exposition, directrice d'Artpress et écrivain Catherine Millet revient sur la fabrication de ses livres et son processus créatif lors d'un entretien au long cours avec Arnaud Laporte.
durée : 00:54:21 - L'Heure bleue - Après "Une enfance de rêve", Catherine Millet publie "Commencements" (Flammarion), son quatrième livre autobiographie dont les récits ont des points de départ différents.
Depuis ses deux attentats au marteau contre l'urinoir de Marcel Duchamp en 1993 puis en 2006, l'artiste Pierre Pinoncelli est connu dans le monde entier pour cet acte iconoclaste et subversif. Souvent mal interprétée par la presse, cette double performance, et les procès qui l'ont suivie, ont occulté le reste de son œuvre : ses peintures des années 60, et les nombreux happenings percutants qu'il a réalisés. Pinoncelli a aspergé André Malraux de peinture rouge en 1969, braqué une banque pour protester contre l'apartheid en 1975, et il s'est mutilé en 2002 pour dénoncer la violence des FARC en Colombie. Souvent motivé par des revendications politiques, Pinoncelli a été au bout de ses idées et s'est exprimé par des gestes souvent choquants, qui nous interrogent.Avec Sarane Alexandrian, Frédéric Altmann, Ben, Ingrid Betancourt, Robert Bouquet, André Clerget, Wilson Diaz, Jean Ferrero, Roger Gailleurd, Claude Gilli, Michel Guinle, Odette Lepage, Made, Catherine Millet, Didier Ottinger, Emmanuel Pierrat, Catherine Pineau, Patrice Quéréel, Gustavo Racines, Odette Rottier, Claudia Patricia Sarria, Michel Ragon, Jacques André Rouillot, Alexandre de la Salle, Daniel von Weinberger, Michel Zélazo, Gérard Zlotykamien.Bonus DVD :Pierre Pinoncelli, Diogène en garde à vue (4 min.)ORLAN, Interview épineuse (4 min.)Didier Ottinger, Duchamp, Pinoncelli (13 min.)Emmanuel Pierrat, Les Procès Pinoncelli (4 min.)Patrice Quéréel, Le Cimetière mondial de l'art (7 min.)Jacques Villeglé, L'Attentat culturel contre André Malraux (1 min.)Version française - AC3 stéréo - 16/9DVD Pal Multizones
ESSENTIEL, les rendez-vous du jeudi – Un monde de livres présenté par Josyane Savigneau qui reçoit Vincent Roy, journaliste et écrivain, critique littéraire et éditeur et Catherine Millet, critique d'Art et écrivain
Welcome to The Philosophy of Sex, long-play, I'm your host Caroline Moreau-Hammond. You might remember the name Jeanne Proust from our third episode of season 1 ‘Why is sex still taboo?'. Professor and Philosopher, Jeanne Proust (no relation to Marcel Proust) is a post-doctoral teaching fellow at Fordham University and an adjunct professor at New York University and Pace University in the United States. She has studied Philosophy and Visual Arts in Bordeaux, Berlin, and Paris and her PhD dissertation at the Panthéon-Sorbonne focused on the pathologies of willpower, both in philosophical and psychological perspectives, but her interests are wide including, Ethics, Philosophy of Technologies, Bioethics, Feminist theory, and Aesthetics. Jeanne is an advocate for a widening of philosophical education beyond academic frontiers; she regularly gives public talks in philosophy and produces her own podcast, "Can You Phil It?” which aims to make philosophical texts and ideas accessible to a wider audience.In this episode, Jeanne and I examine taboo, the important role transgression plays in desire, the trivialisation of sexuality and the need for more nuanced conversations about taboo and sexuality. Because we weren't able to include everything in Episode 1 of The Philosophy of Sex, please enjoy our full interview. Resources:Can You Phil It podcast: Apple & Spotify Recommended reading by Jeanne: Virginie Despentes, King Kong Theory, 2006.Michael Sandel, What Money Can't Buy: The Moral Limits of Markets, 2012. Andrea Dworkin, Pornography: Men Possessing Women, 1981. Catherine Millet, The Sexual Life of Catherine M., 2001Ann Cahill, Overcoming objectification, A Carnal Ethics, 2011. Connect with us:@becuming.meBecuming takes the frustration out of finding the perfect sex toy by sending you personalised recommendations. Check it out at www.becuming.me. Credits:Creator & host: Caroline Moreau-HammondEditor & original music: Zoltan Fecso Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:53:28 - L'Heure bleue - par : Anne-Sophie DAZARD, Laure Adler - Dans le cadre de la rétrospective dédiée à Georgia O'Keeffe jusqu'au 8 décembre, au Centre Pompidou, Catherine Millet, Camille Viéville et Marie Garraut sont dans l'Heure Bleue.
De l'amour à l'anxiété, en passant par l'hypersensibilité et la colère, découvrez le LIVRE “EMOTIONS”. Il poursuit la réflexion sur une dizaine d'émotions, enrichi de sublimes illustrations et infographies. Un livre à s'offrir ou à offrir, à lire, à redécouvrir, à garder, à chérir... pour continuer jour après jour votre immersion dans la jungle de vos émotions ! A retrouver dans toutes les librairies, sur leslibraires.fr et sur les plateformes de vente en ligne.---Tout l'été, l'équipe d'Émotions vous propose d'écouter ou de réécouter d'anciens épisodes d'Émotions. Aujourd'hui, un épisode sur la jalousie. Un épisode écrit, tourné et monté par la journaliste Agathe Le Taillandier.Vous voyez, cette émotion qui vous ronge quand vous observez avec attention le visage de la personne que vous aimez lire un message sur son téléphone ? Le pincement au cœur que vous avez en regardant sur les réseaux sociaux l'ascension phénoménale de votre ancien.ne camarade de promo ? Ou encore l'angoisse passagère qui vous traverse quand votre meilleur.e ami.e vous délaisse pour quelqu'un d'autre… ? Ce sentiment, qui peut nous faire parfois perdre tout discernement, c'est la jalousie.Pour mieux en comprendre les ressorts, Agathe Le Taillandier, qui a grandi au sein d'une fratrie de quatre frères et sœurs, a d'abord interrogé sa mère pour qu'elle l'aide à se souvenir de ses toutes premières crises de jalousie. Elle a aussi rencontré le psychiatre et psychanalyste Serge Hefez et la psychothérapeute Anne-Clothilde Ziegler. Et pour savoir si ceux qui ont des mœurs dites plus libres peuvent être eux aussi touchés par la jalousie, Agathe a parlé avec la critique d'art Catherine Millet. Cette dernière, qui se définit comme libertine, a publié en 2011 un livre, La vie sexuelle de Catherine M, qui fut autant un scandale qu'un succès littéraire. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:57:43 - Femmes puissantes - par : Léa Salamé - L'écrivaine sulfureuse raconte sa passion pour l'art contemporain et l'écriture. Elle évoque le succès de son livre "La vie sexuelle de Catherine M", son rapport au sexe, à la nudité, au plaisir et à la liberté. - invités : Catherine Millet - Catherine Millet : Critique d'art et écrivain - réalisé par : Helene Bizieau
PODCAST EKPHRASIS. Julie Gabrielle Chaizemartin nous propose une heure de conversation avec celles et ceux qui pensent, qui écrivent et qui vivent l'art. Cette semaine, rencontre avec Catherine Millet, écrivaine, critique d’art et co-fondatrice de la revue Artpress. Cette interview a été enregistrée au mois de février entre deux confinements. Comment art et littérature s’articulent dans son parcours de vie, comment art et littérature s’influencent dans ses écrits autobiographiques. L’autobiographie, le grand sujet de Catherine Millet. Elle est en train de préparer un prochain livre d’ailleurs. D’elle, j’ai lu la somme actualisée sur l’art contemporain en France puis très récemment, deux de ses romans autobiographiques, dont la lecture m’a happée, le style aussi. « La Vie sexuelle de Catherine M. » évidemment et « Jour de Souffrance », deux récits conçus comme un diptyque. Mais comme j’écris aussi dans Artpress, je lui demande ce que représente Artpress aujourd’hui dans l’univers de l’art contemporain, Artpress, cette revue qu’elle a fondée et qui va avoir 50 ans l’année prochaine… et la critique d’art, quel regard porte-t-elle dessus ? A-t-elle évolué et de quelle manière ? © Crédit photo : JOEL SAGET/AFP
Lors des quatrièmes rencontres internationales de l'École de psychanalyse des forums du champ lacanien, l'écrivaine et critique d'art Catherine Millet a été interrogée sur les paradoxes du désir. Elle déclarait alors: «Une des fonctions de l'art, c'est de nous présenter soit des images, soit des objets qu'on croit pouvoir reconnaître au premier abord, et puis qui très vite se révèlent autres, sinon l'envers de ce qu'on attend.» Qu'attendait Philomène le soir où elle envoya un message privé à un humoriste célèbre sur Instagram? Quand la discussion prit une tournure de plus en plus intime? Et quand rendez-vous fut donné? Peu de choses. Et pourtant, la relation avançant, ce qui se révéla à elle ne manqua pas de l'étonner. Une histoire racontée au micro de Benjamin Saeptem Hours. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Transfert). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook. Ce dixième épisode des histoires courtes de Transfert a été produit et réalisé par Slate.fr, sous la direction de Christophe Carron, Benjamin Saeptem Hours et Sarah Koskievic avec Aurélie Rodrigues. La musique a été composée par Arnaud Denzler.
Lors des quatrièmes rencontres internationales de l'École de psychanalyse des forums du champ lacanien, l'écrivaine et critique d'art Catherine Millet a été interrogée sur les paradoxes du désir. Elle déclarait alors: «Une des fonctions de l'art, c'est de nous présenter soit des images, soit des objets qu'on croit pouvoir reconnaître au premier abord, et puis qui très vite se révèlent autres, sinon l'envers de ce qu'on attend.» Qu'attendait Philomène le soir où elle envoya un message privé à un humoriste célèbre sur Instagram? Quand la discussion prit une tournure de plus en plus intime? Et quand rendez-vous fut donné? Peu de choses. Et pourtant, la relation avançant, ce qui se révéla à elle ne manqua pas de l'étonner. Une histoire racontée au micro de Benjamin Saeptem Hours. Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Transfert). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook. Ce dixième épisode des histoires courtes de Transfert a été produit et réalisé par Slate.fr, sous la direction de Christophe Carron, Benjamin Saeptem Hours et Sarah Koskievic avec Aurélie Rodrigues. La musique a été composée par Arnaud Denzler.
Parlem de la vida sexual de Catherine Millet, llibertins barrocs, i el #metoo ocult d'un premiat escriptor.
La reflexión de Manuel Jabois sobre la entrevista en la que Catherine Millet dice que ha habido una regresión en la forma de vivir la sexualidad femenina
En compagnie de Catherine Millet, corédactrice du texte, Peggy Sastre et Lætitia Strauch-Bonart reviennent sur la « tribune Deneuve ». Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:57:50 - Les Masterclasses - par : Julie Gacon - Tenant à être considérée comme un écrivain et non une écrivaine, Catherine Millet se livre au micro de Julie Gacon, sur le métier de critique d'art, sa vie d'écrivain, et l'importance de Dali, George Bataille ou D.H. Lawrence dans son travail. - réalisation : Clotilde Pivin - invités : Catherine Millet Critique d'art, commissaire d'exposition, écrivain
durée : 00:57:50 - Les Masterclasses - par : Julie Gacon - Tenant à être considérée comme un écrivain et non une écrivaine, Catherine Millet se livre au micro de Julie Gacon, sur le métier de critique d'art, sa vie d'écrivain, et l'importance de Dali, George Bataille ou D.H. Lawrence dans son travail. - réalisation : Clotilde Pivin - invités : Catherine Millet Critique d'art, commissaire d'exposition, écrivain
Isabelle Wéry was one of the winners from the EUPL 2013 issue, namely from Belgium. The EUPL team spoke with Isabelle ahead of a culture event with other EUPL winners in Brussels, Belgium. Isabelle Wéry is a Belgian actress, theatre director and author. Born in Liège, she studied acting at INSAS in Brussels until 1991. In parallel with her work as an actress with a variety of directors, she writes and creates her own theatre works. Three times nominated for the Prix de la Critique de Théâtre Belge (for the Seul en Scène category), she received the prize in 2008 for her original theatre piece La tranche de Jean-Daniel Magnin. Her written debut for the stage was with La mort du cochon, for which she received her first nomination for the Prix du Theatre. At the Théâtre de la Vie, she directed her two other texts: Mademoiselle Ari nue and Juke-Box et Almanach. Ceci est mon corps, based on La vie sexuelle de Catherine M by Catherine Millet, is one of her latest creations for the stage. She also wrote Le Bazar des organes for the Compagnie SKBL, touring all over France. She is also the author of the novel Monsieur René, an imaginary biography of the Belgian actor René Hainaux, as well as Saisons culottes amis (Yvette's Poems), published in 2010. In 2013, her short story Skaï was published as part of a collection of Belgian authors, Feuillton, and her novel Marilyn désossée was published in 2013. Find out more.
Isabelle Wéry was one of the winners from the EUPL 2013 issue, namely from Belgium. The EUPL team spoke with Isabelle ahead of a culture event with other EUPL winners in Brussels, Belgium. Isabelle Wéry is a Belgian actress, theatre director and author. Born in Liège, she studied acting at INSAS in Brussels until 1991. In parallel with her work as an actress with a variety of directors, she writes and creates her own theatre works. Three times nominated for the Prix de la Critique de Théâtre Belge (for the Seul en Scène category), she received the prize in 2008 for her original theatre piece La tranche de Jean-Daniel Magnin. Her written debut for the stage was with La mort du cochon, for which she received her first nomination for the Prix du Theatre. At the Théâtre de la Vie, she directed her two other texts: Mademoiselle Ari nue and Juke-Box et Almanach. Ceci est mon corps, based on La vie sexuelle de Catherine M by Catherine Millet, is one of her latest creations for the stage. She also wrote Le Bazar des organes for the Compagnie SKBL, touring all over France. She is also the author of the novel Monsieur René, an imaginary biography of the Belgian actor René Hainaux, as well as Saisons culottes amis (Yvette’s Poems), published in 2010. In 2013, her short story Skaï was published as part of a collection of Belgian authors, Feuillton, and her novel Marilyn désossée was published in 2013. Find out more.
Vous voyez, cette émotion qui vous ronge quand vous observez avec attention le visage de la personne que vous aimez lire un message sur son téléphone ? Le pincement au cœur que vous avez en regardant sur les réseaux sociaux l'ascension phénoménale de votre ancien.ne camarade de promo ? Ou encore l'angoisse passagère qui vous traverse quand votre meilleur.e ami.e vous délaisse pour quelqu'un d'autre… ? Ce sentiment, qui peut nous faire parfois perdre tout discernement, c'est la jalousie.Pour mieux en comprendre les ressorts, Agathe Le Taillandier, qui a grandi au sein d'une fratrie de quatre frères et soeurs, a d'abord interrogé sa mère pour qu'elle l'aide à se souvenir de ses toutes premières crises de jalousie. Elle a aussi rencontré le psychiatre et psychanalyste Serge Hefez et la psychothérapeute Anne-Clothilde Ziegler. Et pour savoir si ceux qui ont des mœurs dites plus libres peuvent être eux aussi touchés par la jalousie, Agathe a parlé avec la critique d'art Catherine Millet. Cette dernière, qui se définit comme libertine, a publié en 2011 un livre, La vie sexuelle de Catherine M, qui fut autant un scandale qu'un succès littéraire. A lire sur le sujet :Catherine Millet, autrice de Jour de Souffrance, publié chez Flammarion.Catherine Millet, autrice de La vie sexuelle de Catherine M, publié au Seuil.La psychothérapeute Anne-Clotilde Ziegler, autrice de La jalousie amoureuse, publié chez Solar. L'écrivaine Annie Ernaux, autrice de L'occupation, publié chez Gallimard.L'écrivain Marcel Proust, auteur de A la recherche du temps perdu, publié chez Gallimard.Le neuropsychiatre Jean-Michel Oughourlian, auteur de Cet autre qui m'obsède, publié chez Albin Michel.Le philosophe Nicolas Grimaldi, auteur de Essai sur la jalousie, publié chez PUF.Et vous, vous êtes-vous déjà surpris.e à être jaloux.se ? Racontez-le nous sur Instagram, Twitter ou à hello@louiemedia.com See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
LA MOBILISATION CONTINUE POUR #UNETROTTINETTEPOURLAURA #ONLACHERIEN !! Face aux grèves SNCF, mobilisez-vous et donnez vos trottinettes pour permettre à Laura Domenge de jouer son spectacle! Suivez les dernières infos à propos de la mobilisation et de notre actualité sur Instagram @openbayes. Open Bayes ! Votre nouvelle émission tous les jeudis soir à partir de 20h sur New’s FM. Le talk show des Alpes qui vous permettra de répondre à la question : c’est quoi les bayes ? Autrement dit, quoi de neuf sur Grenoble et ailleurs ! Notre invitée : La talentueuse humoriste parisienne Laura Domenge à l'occasion de son passage à Grenoble. On a évoqué pêle-mêle son nouveau spectacle, son parcours et les questions liées au sexisme... Une émission instructive et drôle! Au sommaire ce soir : 1) Le portrait chinois de l’invitée Teaser du spectacle de Laura Domenge "En personnes" - au Petit Palais des Glaces Si elle était un livre : Lisa-Loup et le Conteur par Mylène Farmer (Editions Anne Carrère, 2003) 2) Les bayes de l’invité : Laura Domenge nous parle de la première du rodage de son futur spectacle en avant première. Comment elle écrit un spectacle (spoiler : elle est très bordélique), et ce qu’elle aime dans ses autres activités très variées (presse, radio, web). Laura Domenge - WondHer - Allô la vie (extraits Golden Network) - Disponible sur Instagram 3) L’open baye du soir : Mathis Druelle (déjà invité dans la deuxième émission) nous parle d’un nouveau contraceptif révolutionnaire. Seul problème : il consiste pour les hommes en une piqûre dans les… 4) La musique de l’invité : Sans logique par Mylène Farmer (Ainsi sois je…, 1988). Laura Domenge nous parle de cette artiste libre qui a littéralement réussi a se déifier. 5) Le baye d’actu de l’invitée : On évoque le livre de Laura Domenge Merci, fallait pas - Le Sexisme expliqué à ma belle-mère (First Editions, 2019). Retour sur la démarche de son livre et les enjeux du féminisme actuel. Extrait du court-métrage "LA MÉCANIQUE SEXISTE" réalisé par Marine Spaak ("Mention spéciale du jury" - Concours Ton court pour l'égalité 2016) sous licence CC-BY Extrait du sketch Laurent Dommage par Laura Domenge (2019) Pour aller plus loin : Faiminisme - Quand le sexisme passe à table de Nora Bouazzouni (Nouriturfu, 2017) Le Manifeste des 343 - La pétition signée en 1971 pour la dépénalisation de l'avortement dans le n°334 du magazine Le Nouvel Observateur Tribune collective signée par une centaine de femmes dont Catherine Millet, Ingrid Caven et Catherine Deneuve et publiée dans le Monde le 9 janvier 2018 : « Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle » 6) Le parcours de l’invitée : Retour sur son enfance dans les théâtres, son passage dans la troupe des sales gosses, et Les Strapantins, une troupe de théâtre qu'elle a montée à 18 ans. Elie Kakou - Madame Sarfati : la compagnie des sales gosses (Live au Zénith de Paris 1995) Casting Sales Gosses #1 sur Paris Première, 'Compagnie Les sales gosses' 7) L’instant narration : Mathilde nous raconte un féminicide, histoire terrible et terriblement banale... Les musiques entendues dans l’émission : Pré-générique : Générique du Téléthon composé par Marc Goldfeder (1987) Générique : Parov Stellar – Catgroove / All Night (The Art of Sampling, 2013) Pour le portrait chinois : China-PiPa · 徐梦圆 (China-PiPa – 2016) Pour la rubrique de Mathis : Musik im Hintergrund: Happy People von CyrroN (CyrroN Soundcloud: https://soundcloud.com/uhlmann-roland) Y'a pas que les grands qui rêvent par Mélody (Danse ta vie, 1991) Pour l’instant narration : Musique de percussion, puissant et relaxant Tribal Rhythm de la chaine YouTube Musique Apaisante et Bien Etre (sous licence Creative Commons BY 3.0) Fantasy Elven Music - The Voice of the Forest par BrunuhVille (2015) Merci Pierrick pour les anecdotes partagées.Remerciements très chaleureux à Sylvie Ferrié !! Rendez-vous le 2 janvier prochain avec le scientifique Samuel Vergès pour parler de l'incroyable expédition 5300! Nos meilleurs voeux pour les fêtes de fin d'année. Passez-les avec ceux que vous aimez, et pensez aussi à ceux qui sont seuls. On vous aime! L'équipe d'Open Bayes
Les rencontres de Catherine Schwaab qui reçoit Catherine Jacob, actrice, co auteur avec Franck Leclerc du livre "Hommes/Femmes ce qu'elles en disent..." paru aux éditions Pygmalion À propos du livre : «Hommes/Femmes ce qu'elles en disent...» paru aux éditions Pygmalion Jane Evelyn Atwood, Brigitte Bardot, Bérénice Bejo, Jane Birkin, Marie-Claude Bomsel, Hermine de Clermont-Tonnerre, Anny Courtade, matali crasset, Edith Cresson, Mireille Dumas, Nanou Garcia, Nathalie Garçon, Marielle Goitschel, Francine Gomez, Claudie Haigneré, Gwendoline Hamon, Adriana Karembeu, Brigitte Lahaie, Caroline Loeb, Ariane Massenet, Macha Méril, Catherine Millet, Martine Monteil, Michèle Mouton, Orlan, Anne-Sophie Pic, Marina Picasso, Babette de Rozières, Anouche Setbon, Chouchane Abello-Tcherpachian, Sylvie Testud, France Zobda... Catherine Jacob et Franck Leclerc ont interrogé ces personnalités exceptionnelles, abordant leur vision des relations hommes/femmes et la place de ces dernières dans notre société. Chacune s'est racontée sans fard. Ce qu'elles en disent, ce qu'ils en pensent, comment les choses avancent... Les réponses se trouvent entre ces pages.
durée : 00:59:04 - Les Masterclasses - par : Arnaud LAPORTE, Julie Gacon - Catherine Millet se livre sur son approche de la critique d'art et sur sa vie d'écrivain (elle tient à être considérée comme un écrivain et non un écrivaine). - invités : Catherine Millet - Catherine Millet : Critique d'art, commissaire d'exposition, écrivain - réalisé par : Clotilde PIVIN
durée : 00:59:04 - Les Masterclasses - par : Arnaud LAPORTE, Julie Gacon - Catherine Millet se livre sur son approche de la critique d'art et sur sa vie d'écrivain (elle tient à être considérée comme un écrivain et non un écrivaine). - invités : Catherine Millet - Catherine Millet : Critique d'art, commissaire d'exposition, écrivain - réalisé par : Clotilde PIVIN
“La nouvelle terreur féministe: actions violentes, théorie du genre, PMA, parité, écriture inclusive… enquête sur une inquisition”: Ces quelques lignes ont fait la couverture du magazine Valeurs Actuelles le 15 mai 2019. Loin d’être anodins, ces mots résument un concept bien précis et peu connu en France: le backlash, en français, “contrecoup”, ou encore “retour de bâton”, qui freine les femmes dans l’avancée de leurs droitsQuels sont les visages du backlash aujourd’hui ? Comment se définit-il ? De quel discours parle t-on ? Clémentine et Anne-Laure vous donnent les clés pour comprendre et affronter le backlash.Références entendues dans cet épisode: La couverture de Valeurs Actuelles, publiée le 15 mai 2019 La série Killing Eve, réalisée par Phoebe Waller-Bridge avec l’actrice Sandra Oh, connue pour son rôle dans la série Grey’s AnatomyLa une du magazine Society paru le 17 mai 2019 et l’interview de Virginie DespentesLa série Vernon Subutex tirée de la saga du même nom, réalisée par Cathy Verney et diffusée sur Canal+Les Out D’or, la cérémonie de remise de prix de la visibilité LGBTIOcéan, comédien, humoriste, chanteur et chroniqueur françaisKiddy Smile, artiste, producteur et DJ français Rebecca Chaillon, autrice, metteuse en scène, performeuse et comédienne françaiseL’Etat d’Alabama aux Etats-Unis a adopté la loi la plus restrictive du pays en matière d’avortement, en interdisant toutes les interruptions volontaires de grossesse, sauf si la mère court un danger mortel, sans exception pour les cas d’inceste ou de viol. Elle assimile l’avortement à un homicide.Le texte de la journaliste américaine Susan Faludi, “Backlash, la guerre froide contre les femmes”, sorti en 1993 aux Éditions des FemmesL’article de Paul Preciado publié dans LibérationL’ouvrage intitulé “Antiféminismes et masculinismes d’hier et d’aujourd’hui”, aux éditions PUFLe chercheur Albert O’Hirschman et son livre, “Deux siècles de rhétorique réactionnaire”, aux éditions FayardLe tumblr “Women Against Feminism”, créé en 2013Le mouvement des Antigones Le cas Aziz Ansari, et le backlash contre l’article du pureplayer Babe.net La série de Pauline Mokor sur les centres éducatifs fermés, disponible sur France Culture avec l’interview de la sociologue Coline Cardi La Une de Marianne sur les “obsédés du genre et de la race” du 11 avril 2019L’éditorial d’Usbeck et Rica sur la supposée “guerre des sexes” La tribune de Catherine Deneuve et Catherine Millet dans Le Monde publiée le 9 janvier 2018L’écrivaine et militante éco-féministe StarhawkL’article intitulé “La tyrannie des minorités” publié dans l’ExpressLa plainte déposée par Denis Baupin, accusé d’avoir agressé et harcelé sexuellement plusieurs élues et collaboratrices d’Europe Ecologie Les VertsL’humoriste, scénariste, acteur, producteur Louis C.K, accusé d’exhibition sexuelle et harcèlement sexuel Le film Liaison Fatale d’Adrian Lyne sorti en 1987 avec Michael Douglas et Glenn CloseLa série Game of Thrones réalisé par David Beniof et D.B WeissLa série de Diego Vivanco et Ana Maria Parra intitulée “L’éternelle sorcière” sur NetflixL’essai de Bret Easton, “White”, aux éditions Robert LaffontL’humoriste, comédienne et scénariste française Blanche GardinL’article du New York Times sur Woody AllenL’illustratrice et autrice de bande-dessinée française Anouk RicardLa BD “Couscous Bouzon” sortie en 2011 aux éditions GallimardLa BD “Boule de feu” d’Anouk Ricard en collaboration avec l’artiste Etienne Chaize aux éditions 2024La série Tuca et Bertie réalisée par Lisa Hanawalt disponible sur NetflixL’association de femmes journalistes Prenons la UneQuoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes, animée par Clémentine Gallot et Anne Laure Pineau. Réalisée par Aurore Meyer Mahieu, montée et mixée par Laurie Galligani, coordonnée par Laura Cuissard.
En Resaltadores, ésta vez Gustavo Noriega y Luciana Vázquez conversaron sobre textos que han leído o están leyendo. El de Mariana Enríquez, La hermana menor, sobre la vida de Silvina Ocampo; La vida sexual de Catherine M., de la controversial francesa Catherine Millet; Una mujer en Berlín de autora anónima y escrito en el final de la 2ª Guerra Mundial; los cambios de paradigmas de films sobre un mismo relato: El cuento de la criada de la canadiense Margaret Atwood; el libro-mortal- de fin del siglo XVI, del creador de Robinson Crusoe, Daniel Defoe y su Diario del año de la peste.
Pour ce onzième épisode de Quoi de meuf, Mélanie Wanga et Clémentine Gallot parlent du consentement et de la culture du viol.Du côté de la pop culture, vous retrouverez dans cet épisode les séries Girls, Gossip Girl et Skam ainsi que le film Sixteen Candles (Seize bougies pour Sam).Enfin, Clémentine et Mélanie répondent à Hélène qui demande des conseils pour sensibiliser la Direction des Ressources Humaines de son entreprise à la question du harcèlement au travail.L’actu de Mélanie et Clémentine (00:26)Le thème de l’épisode : le consentement et la culture du viol (02:32)Le moment Pop culture (25:48)Les recommandations culturelles (29:42)Le courrier des auditrices (32:50) Les références entendues dans l’épisodeLe magazine féministe de Montreuil, La Voyeuse, dont le dernier exemplaire parle de l’équipe de roller derby les Nasty PêcheressesL’association Mémoire traumatique et Victimologie de la psychiatre Muriel SalmonaLe documentaire “Sexe sans consentement” de Delphine Dhilly et Blandine Grosjean, diffusé dans Infrarouge (France 2, 2018)La série d’épisodes sur le consentement du podcast américain The Heart, présenté par Kaitlin Prest (2017)La tribune pour défendre la “liberté d’importuner”, signée par 100 femmes dont Catherine Millet et publiée dans Le Monde (2018)L’article de Marie Krischen sur le “danger” du concept de “zone grise” du consentement, dans Buzzfeed (2018)Le livre Ces hommes qui m’expliquent la vie de Rebecca Solnit (2014)Un article du Monde sur les accusations contre Aziz Ansari (2018)Un article de madmoiZelle sur l’affaire Emma Sulkowicz (2015)L’infographie du New York Times qui met en avant 45 témoignages sur le consentement à l’université (2018)Le livre Blurred Lines : Rethinking Sex, Power and Consent on Campus de Vanessa Grigoriadis (2017)La vidéo sur “Le consentement expliqué aux enfants” (2017)La chronique de Maïa Mazaurette sur le “consentement enthousiaste”, dans Le Monde (2017)Le film Sixteen Candles (Seize bougies pour Sam) de John Hughes (1984)La série Gossip Girl de Josh Schwartz et Stephanie Savage (2007-2012), d’après les livres de Cecily von ZiegesarLa série Skam de Julie Andem (2015-2017)L’épisode 19 de la saison 2 de la série Girls de Lena Dunham (2012-2017)L’épisode “Qui sont les harceleurs au travail” du podcast Les couilles sur la table de Victoire Tuaillon produit par Binge AudioLes recommandations culturellesMélanie : la série Younger de Darren Star, avec Sutton Foster, Debi Mazar, Hillary DuffClémentine : le Spectacle alimentaire en attendant la pension de Laurie Peret au théâtre Le République : 1 boulevard Saint-Martin, 75003 ParisCet épisode est rendu possible par La Servante Écarlate, le roman de Margaret Atwood, publié par Robert Laffont aux éditions Pavillons Poche. Un partenariat avec l'association Rêv'Elles.Pour retrouver le podcast Après la première page, c’est ici Pour poser une question à Clémentine et Mélanie : hello@quoidemeuf.netPour s'inscrire à la géniale newsletter Quoi de meuf : http://quoidemeuf.net/Quoi de Meuf est une émission de Mélanie Wanga et Clémentine Gallot produite par Nouvelles Écoutes. Réalisée par Aurore Meyer Mahieu, montée et mixée par Laurie Galligani.
Quand Marie-Louise Arsenault rencontre Catherine Millet, on ressent l’extrême besoin de liberté de l’auteure de La vie sexuelle de Catherine M.
Lynn and Jen break down the https://babe.net/2018/01/13/aziz-ansari-28355 article about Aziz Ansari to talk about seduction, sexual scripts, and harassment. In a tribune at the "World", a collective of 100 women, including Catherine Millet, Ingrid Caven and Catherine Deneuve, affirms its rejection of a certain feminism that expresses a "hatred of men". http://lemde.fr/2AHboay Finally, another article from a man who pushed the boundaries as a "nice guy". http://bit.ly/2n8ZnWt
Picasso érotique dans l'art contemporain Conversation entre Catherine Millet, écrivain, directrice de la revue Artpress et Diana Widmaier-Picasso, historienne de l’art et co-commissaire de l’exposition.
Et voici notre 19e émission...avec un changement de casting! Nous sommes tristes que Marjorie nous quitte...mais heureuses d'accueillir Amandine parmi nous! Au programme : -"Une Enfance de Rêve" de Catherine Millet, disponible chez Flammarion, et en poche chez J'ai Lu -"Berezina" de Sylvain Tesson, disponible aux Editions Guérin -"L'Enfer de Church Street" de Jake Hinkson, traduit par Sophie Aslanides, disponible chez Gallmeister Comme toujours nos coups de cœur sur le site
Après-midi de conversations "Les Passations de l'esprit" animé par Donatien Grau, Hans-Ulrich Obrist du 17 novembre 2012. Si l'on en croit l'opinion commune, le dialogue entre l'art et la littérature vivants se serait arrêté avec les surréalistes. Or récemment, les interactions entre artistes qui lisent, et écrivains qui admirent la création contemporaine, se sont ré-agencées d'une façon extrêmement active, autour d'une tangence des sensibilités. Ce dialogue rend nécessaire l'organisation d'un programme permettant d'exposer et de renforcer les mouvements en cours, tout en les inscrivant dans une histoire qui est bien celle de l'art et de la littérature des cinquante dernières années. C'est la visée des « passations de l'esprit », un programme dont le titre a été choisi par la poétesse et peintre Etel Adnan, co-organisé par Donatien Grau et Hans-Ulrich Obrist. Un tel titre manifeste une volonté affichée de diversité. Car c'est bien aux « passations » du pouvoir de l'esprit que ce cycle cherche à donner vie.
Après-midi de conversations "Les Passations de l'esprit" animé par Donatien Grau, Hans-Ulrich Obrist du 17 novembre 2012. Si l'on en croit l'opinion commune, le dialogue entre l'art et la littérature vivants se serait arrêté avec les surréalistes. Or récemment, les interactions entre artistes qui lisent, et écrivains qui admirent la création contemporaine, se sont ré-agencées d'une façon extrêmement active, autour d'une tangence des sensibilités. Ce dialogue rend nécessaire l'organisation d'un programme permettant d'exposer et de renforcer les mouvements en cours, tout en les inscrivant dans une histoire qui est bien celle de l'art et de la littérature des cinquante dernières années. C'est la visée des « passations de l'esprit », un programme dont le titre a été choisi par la poétesse et peintre Etel Adnan, co-organisé par Donatien Grau et Hans-Ulrich Obrist. Un tel titre manifeste une volonté affichée de diversité. Car c'est bien aux « passations » du pouvoir de l'esprit que ce cycle cherche à donner vie.
Concert de Bob Ashley, présenté par Catherine Millet et Jacqueline Caux. Les 40 ans d'art press. Concert du 14 décembre 2012
Catherine Millet s'entretient avec Michel Houellebecq. Entretien du 13 décembre 2012.Les 40 ans d'art press.
Lecture d'un texte autour de William Faulkner par Pierre Guyotat, présenté par Catherine Millet. Lecture du 15 décembre 2012. Les 40 ans d'art press.
Concert de Bob Ashley, présenté par Catherine Millet et Jacqueline Caux. Les 40 ans d'art press. Concert du 14 décembre 2012
Concert de Bob Ashley, présenté par Catherine Millet et Jacqueline Caux. Les 40 ans d'art press. Concert du 14 décembre 2012
Dernier forum organisé par les rencontres EntreVues de Belfort, le samedi 1er décembre 2012.