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1️⃣ Présentation de l'invité : Olivier Bon, l'un des fondateurs d'Experimental Group, illustre parfaitement l'esprit entrepreneurial. Partis de rien, lui et ses associés ont su bâtir un empire dans l'hôtellerie et la restauration en misant sur leur passion pour l'Hospitality et en cassant les codes établis. Leur parcours atypique et leur détermination ont mené à la création d'un groupe qui révolutionne le secteur par son approche unique et son ADN bien marqué. Avec la création de leurs hôtels, Experimental Goup a su réinventer l'expérience hôtelière en proposant des établissements qui allient confort, esthétique et service personnalisé. L'Hôtel des Grands Boulevards en est un parfait exemple, avec son rooftop, son bar à cocktails et son restaurant, il incarne la vision d'un hôtel parfait selon Olivier et ses associés. 2️⃣ Notes et références : La Grande Épicerie Lavinia The Cocktail Database Fernando Castellon La Maison du Whisky Cocktail Spirits The Box à New York Mama Shelter Champagnes Billecart La Compagnie des Vins Surnaturels Moueix Salon Equiphôtel BPI France Cheval Blanc Accor Institut Lyfe Le livre : Influence et Manipulation de Robert B. Cialdini 3️⃣ Pour contacter l'invité : Instagram : @olivierbonexperimental Email : olivier@expegroup.com Cet épisode est produit en partenariat avec Experimental Group. Un grand merci aux équipes pour leur collaboration et leur professionnalisme. 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : LoungeUp Découvrez LoungeUp : www.loungeup.com / contact@loungeup.com / +33 (0)1 84 16 82 20 Bénéficiez de -10% sur la première année d'abonnement, ainsi que -20% sur le paramétrage de la solution (réservé aux nouveaux clients, pour tout abonnement débutant avant juillet 2024) Pour découvrir la solution en live, demandez une démonstration en ligne ici Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:05:00 - Olivier Bon 00:10:55 - Les premiers pas dans l'événementiel 00:15:25 - Le marché des bars à cocktails 00:20:20 - L'ouverture d'Experimental Cocktail Club 00:30:40 - Développement du groupe et premiers pas dans l'hôtellerie 00:45:05 - Expansion internationale 00:50:40 - Philosophie et gestion de l'entreprise 01:00:05 - Approche RSE et Clef Verte 01:05:00 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur : La newsletter d'Hospitality Insiders, pour ne rien rater Linkedin, pour poursuivre la discussion Instagram, pour découvrir les coulisses Merci de votre fidélité et à bientôt !
In this episode, we continue our stroll along the Grands Boulevards, exploring some wild stories, literati, and even an assassination attempt that resulted in the brand new Garnier Opera house being built. And I get to chat about some of my favourite Parisians from the past, including General Thomas-Alexandre Dumas, the Revolutionary hero & father of writer Alexandre Dumas. For photos, check out my website! Thanks as always to Bremner Fletcher for technical expertise, and general know-how. The Improbable Walks theme music is performed by David Symons, New Orleans accordionist extraordinaire.
In this episode, we celebrate the holidays with a stroll past the Opera Garnier. Bright department store windows, glittering performances, and even cinema lights: the Grands Boulevards has it all. This is where the Lumiere Brothers introduced film to Paris audiences, and where Nadar ran his 19th-century photography studio. As always, for more info, links, and photos, check out my website! Thanks as always to Bremner Fletcher for technical expertise, and general know-how. The Improbable Walks theme music is performed by David Symons, New Orleans accordionist extraordinaire.
Hier soir, les mélomanes à Paris devaient choisir. C'était soit direction l'Accor Arena à Bercy pour le premier des quatre shows parisiens de l'icône Madonna. Beaucoup d'encre a coulé à propos de ce show, de sa démesure, de sa folie, de sa puissance. Du côté des Grands Boulevards, une autre grande star foulait la scène du Grand Rex. Sheila donnait déjà le troisième concert parisien de cette tournée qui célèbre 60 ans d'une carrière exceptionnelle. Qu'on soit ou non attaché à sa musique, Sheila force le respect : 60 ans de carrière, 70 millions d'albums vendus, plusieurs tubes planétaires dont un Spacer absolument indépassable. Des fans inconditionnels, tellement heureux de pouvoir chanter les Rois Mages, Little Darling, Gloria ou Bang Bang. Et puis franchement, à 78 ans, tenir presque 3h de concert, toute seule, en dansant, sans s'assoir une seule fois sur un tabouret, ça force le respect. En tout cas, que ce soit pour Madonna ou Sheila, dans une époque où les réseaux sociaux voudrait nous faire croire que les femmes de plus de 40 ans ça n'existe pas : nos deux queens ont fait hier encore la démonstration du contraire. À 19h sur la Tsugi Radio, on continue la teuf avec un des résidents de Funky French League et remixeur de Sheila, Young Pulse passe par les platines de la Tsugi Radio. Juste avant, on se promène dans le cœur de Poisson de Jean Fromageau qui aujourd'hui en pince pour la pop psyché de Paper Tapes. Mais auparavant plongeons dans les nouveautés de la semaine et d'abord avec un retour qui fait bien plaisir.
L'invité de C dans l'air du 5 mai : Henry Buzy-Cazaux (président de l'Institut du management des services immobilier) Hier, la Ville de Paris a annoncé qu'elle allait interdire la création de nouveaux meublés touristiques dans des zones en proie au « surtourisme », où on manque de logements toute l'année, dans le cadre de son futur Plan local d'urbanisme (PLU). Pour Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire socialiste de Paris, “l'enjeu est simple, c'est d'essayer de réguler, voire de juguler, la pression du marché qui fait réduire le stock de logements disponibles au profit des résidents permanents vers des usages détournés”. Parmi ces quartiers figurent Paris Centre, le canal Saint-Martin, les Grands Boulevards, les Champs-Elysées ou encore Montmartre. Cette mesure ne s'appliquera pas aux propriétaires qui louent occasionnellement leur résidence principale dans la limite de 120 jours par an. Dans le même temps, la Ville de Paris va interdire les nouveaux meublés touristiques de loueurs professionnels dans les zones d'hyperconcentration touristique concernées par le manque de logements, pour protéger les résidents permanents de la capitale face à l'explosion des locations de type Airbnb. C'est l'une des mesures structurelles du futur plan local d'urbanisme (PLU), qui sera débattu lors du prochain Conseil de Paris au mois de juin. Henry Buzy-Cazaux reviendra sur ce contexte tendu du logement dans les grandes villes et comment réguler la pression du marché immobilier locatifs.
durée : 01:47:41 - Le grand atelier - par : Vincent Josse, Amel KHALDI, Marie Mougin - C'est un ancien gamin de Paris qui parle avec nostalgie des salles de cinéma de son quartier, les Grands Boulevards et des films qu'il a aimés, les films muets vus avec son grand-père au Max Linder, les westerns ou les films avec Pierre Richard. - invités : Michel HAZANAVICIUS, Sandrine Kiberlain, Quentin DUPIEUX, Jean-Pascal Zadi - Michel Hazanavicius : Réalisateur, scénariste et producteur, Sandrine Kiberlain : Actrice et chanteuse, Quentin Dupieux : Réalisateur, scénariste et artiste de musique électronique, Blutch : Dessinateur et auteur de bande dessinée, Jean-Pascal Zadi : Acteur et réalisateur - réalisé par : Karen DEHAIS
Aujourd'hui, pour ce nouvel épisode je suis avec Olivier Bon, un ancien fêtard repenti devenu entrepreneur à succès.Olivier est cofondateur et co-dirigeant de l'Experimental Group. Il s'agit de l'une des grandes success story des dix dernières années dans le monde de l'hôtellerie et de la restauration.Vous avez surement déjà entendu parlé de l'Hôtel des Grands Boulevards, ou d'Il Palazzo Experimental à Venise ou de l'Henrietta Hotel à Londres. Tout un ensemble d'hôtels mais aussi de bars qu'Olivier Bon et ses compères ont créé il y a maintenant quelques années.Dans cet épisode on a parlé de plein de sujets autour de l'hôtellerie et de la restauration, de comment il avait trouvé sa voie, de comment il s'était reconverti et avait créé cette entreprise avec ses anciens copains.Un épisode que j'ai trouvé très intéressant, parce qu'il parle beaucoup d'écoutes client, de rester sur le terrain et c'est ça justement qui a fait le succès de l'Experimental Group.Je vous souhaite la meilleure écoute possible !Notes et références de l'épisode :Lien du site de l'Experimental Group :Pour retrouver Olivier :Sur InstagramSur l'Insta de l'Experimental GroupLivres cités dans l'épisode :Le Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gensSiddhartha de Herman Hess1. Faites vous coacher par moi !DEMIAN, un concentré de 10 ans d'expérience d'entrepreneur. Les formations DEMIAN vous apportent des outils et méthodes concrètes pour développer votre projet professionnel. Il s'agit d'un concentré maximal de valeur et d'expérience pour qu'en quelques heures vous gagniez l'équivalent d'années de travail. Découvrez DEMIAN !2. La NewsLa News du vendredi est une mini newsletter pour vous nourrir en plus du podcast. C'est une newsletter très courte, à lire en 5mn top chrono de ce qui m'a marqué dans les dernières semaines : livres à lire, réflexions, applis à télécharger, citations, films ou documentaires à voir etc. Pour la recevoir, il n'y a qu'à s'abonner à la newsletter sur mon site !3. Des conseils concrets sur ma chaîne YouTubeEnvie de lancer votre propre podcast ? De bénéficier de conseils sur quel matériel utiliser ? Ma nouvelle chaîne YouTube est faite pour vous !4.Contactez-moi ! Si le podcast vous plaît, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feed-backs (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître) c'est simplement de laisser un avis 5 étoiles ou un commentaire sur l'application iTunes. Ça m'aide vraiment, alors n'hésitez pas :)Pour me poser des questions ou suivre mes tribulations c'est par ici :Sur Instagram @paulinelaigneauSur LinkedIn @pauline laigneauSur YouTube Pauline LaigneauSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:09:59 - Les Nuits de France Culture - Les Décraqués - Témoignages pour faits divers (1/2) Dans cet épisode, Françoise Treussard recueillait les témoignages étonnants de Patrice Delbourg, Gilbert Lascault, Jean-Bernard Pouy et Emmanuel Brouillard : beaucoup de fantaisie et d'humour pour témoigner du vol d'un tapis roulant. Tout le monde aime lire les faits divers. Mais aimerait-on témoigner d'un fait divers ? * Le journaliste Félix Fénéon recueillait dans la presse des faits divers dans la presse et en inventait d'autres, créant un nouveau genre littéraire. Dans cet épisode des Décraqués, Françoise Treussard invitait Jean-Bernard Pouy, Gilbert Lascault, Emmanuel Brouillard, Patrice Delbourg et Patrice Minet, à cet exercice de témoignages. Avec humour, ils vont décrire, chacun à leur tour, ce qui se serait passé, un certain mardi après-midi, en réponse à cette annonce d'appel à témoins par la Ratp : Il s'est passé quelque chose mardi dernier vers 17h10, un groupe d'environ 7 à 11 personnes a emprunté le tapis roulant de la station Opéra dans le sens Auber Haussmann, hors contrairement à l'usage établi, ces personnes ne l'ont pas rendu. On soupçonne une action de disciples de Guy Debord adepte de ce que les situationnistes appellent la dérive. La Ratp recherche un témoin ayant assisté à la scène pour orienter ses recherches dans l'affaire de ce vandalisme d'un nouveau genre. Par Bertrand Jérôme et Françoise Treussard Réalisation Monique Bailly Les Décraqués - Témoignages pour faits divers 1/2 (1ère diffusion : 01/07/2004) Indexation web : Véronique Vecten, Documentation Sonore de Radio France
Somnifère vous raconte ce soir l'histoire de Suzie, une quadragénaire célibataire qui aime s'installer à la terrasse des cafés pour rêvasser et observer le défilé des passants. Et dans un café des Grands Boulevards, elle va faire une rencontre inattendue… C'est une nouvelle de l'auteur Pego intitulée « L'observatrice ». Et juste avant cela, un voyage auditif pour faire le vide en ce lundi de reprise et s'endormir paisiblement. Soutenez Somnifère · S'abonner à la version premium de Somnifère, c'est contribuer à faire vivre ce podcast et lui permettre d'exister et de rester indépendant. En échange, vous bénéficiez de l'accès à un espace privé pour écouter le podcast sans publicité. Vous pouvez écouter cette version premium depuis votre espace personnel ou directement depuis Apple Podcast, Castbox, Google podcast, etc. Plus d'infos : https://somniferelepodcast.com · Si vous écoutez Somnifère depuis Apple Podcast, vous pouvez vous abonner à la version premium sans pub directement depuis l'appli. Bonne nuit perso du jeudi · Pour un bonne nuit perso dans le podcast du jeudi, partagez Somnifère sur vos réseaux sociaux (story insta, post Facebook, etc) puis envoyez-moi un message sur en me précisant votre prénom et le nom de votre ville, ou si vous êtes abonné(e) à la version premium, envoyez-moi un mail à morphee@somniferelepodcast.com. Réseaux sociaux Insta : https://www.instagram.com/somniferelepodcast/ FB : https://www.facebook.com/somniferelepodcast Et si vous aimez ce podcast, merci de le soutenir en vous y abonnant, en le notant ou en laissant un commentaire sur la plateforme sur laquelle vous l'écoutez
durée : 00:09:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Les Décraqués - Témoignages pour faits divers (1/2) Dans cet épisode, Françoise Treussard recueillait les témoignages étonnants de Patrice Delbourg, Gilbert Lascault, Jean-Bernard Pouy et Emmanuel Brouillard : beaucoup de fantaisie et d'humour pour témoigner du vol d'un tapis roulant. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Bernard Pouy écrivain; Gilbert Lascault; Emmanuel Brouillard; Patrice Delbourg écrivain; Patrice Minet Acteur, écrivain et homme de radio; Françoise Treussard
durée : 00:02:16 - Faux billet France Bleu Breizh Izel - En mai les week-ends à rallonges se succèdent, la foule urbaine se réfugie vers les bords de l’hexagone, loin des Grands Boulevards
Rediffusion de l'épisode avec Dorothée Meilichzon, l'architecte qui signe les plus beaux projets d'hotels du moment... -- Pour ce troisième épisode de DECODEUR, le podcast de celles et ceux qui font la déco aujourd'hui, je reçois Dorothée Meilichzon, la célèbre architecte et designer d'intérieur qui a signé de nombreux lieux très en vogue tels que l'hôtel des Grands Boulevards, l'Hôtel Paradis, le Bachaumont, le Balagan, la compagnie des vins à Paris, Londres ou NY... (etc.) Dorothée nous parle de sa façon de travailler au bureau ou avec ses clients, de la vie de chantier qui peut être parfois difficile, de sa manière de s'approprier les nouveaux projets, de son admiration pour d'autres architectes, de son son style "maximaliste" comme elle le dira, bref si vous voulez en savoir plus sur l'envers du décor, je crois que c'est le moment de tendre l'oreille. Dorothée parle aussi vite qu'elle travaille beaucoup, elle sait ce qu'elle veut et où elle va et vous verrez, c'est très enthousiasmant d'entendre quelqu'un de si passionné et énergique... alors bonne écoute comme on dit ! Et si le podcast vous plait n'hésitez pas à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes, à laisser un commentaire ou 5 étoiles, et à suivre @decodeur sur Instagram... A tout de suite ! >> Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes > à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis") > à suivre @decodeurpodcast sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir les 55 autres épisodes déjà en ligne > à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...! Merci beaucoup
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Derek Woolfenden, cinéaste, critique, animateur de ciné-club et surtout grand cinéphile et occupant du cinéma La Clef, à Paris. Depuis septembre 2019, ce cinéma est occupé par le collectif Home Cinéma, qui lui a permis de rouvrir ses portes et ses projecteurs - fermés depuis 2018, par ordre du propriétaire pour une raison obscure. Derek et son équipe projettent chaque soir un film et font vivre les salles de ce cinéma de quartier - devenu un bastion de la cinéphilie libre, puissante et indépendante.Sans nous parler directement de son combat au jour le jour au sein du cinéma, en ouvrant ses salles et en y projetant des films plus éclectiques et superbes les uns que les autres, il évoque ceux qui l’aident à vivre, qui le font pleurer, danser ou encore crier de rage. Il nous a parlé du premier film qui a fait naître en lui le goût de la cinéphilie (La femme au portrait, de Frtitz Lang). Il évoque également les salles qui ont bercé sa jeunesse, ainsi que son amour des VHS et des couleurs « qui bavent » sur le petit écran de la télévision (La ligne Rouge, Terence Malick). Il finit cette interview en dédiant « à tous ces fils de pute qui m’ont dit que je n’y arriverai pas » son combat cinématographique, son combat de vie. I. PORTRAIT - 7’09 Un combat au cinéma : le combat final de Zatoichi (Kenji Misumi, 1962) -7’09 Une salle de cinéma : Le Max Linder; La Cinémathèque Française des Grands Boulevards, le quartier latin… - 15’05 Une scène de sexe au cinéma : Pulsion (B. De Palma, 1980) - 19’31 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 23’27 VHS, enregistrements ect… : la frénésie cinéphile de Derek - 23’27 Des films à projeter en plein air : Safety Last (Harrold Lloyd); Fenêtre sur cour (A. Hitchcock) - 32’09 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 36’08 Film-matrice de la cinéphilie : La femme au portrait (F. Lang) -36’08 CARTE BLANCHE - 40’08 Un grand amour de Beethoven, A. Gance (1937) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 45’57 Un film que tu as aimé projeter : Romanzo Popolare (M. Monicelli) - 45’57 Un film à montrer aux ados : Carrie au bal du diable (B. De Palma) - 50’59 Un film détesté (mais peut-être recommandé) : Joker (Todd Philips) - 55’05 REFUGE - 1’06’54 Blue Collar (Paul Schrader, 1978) Cutter’s Way (Ivan Passer, 1981)
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Derek Woolfenden, cinéaste, critique, animateur de ciné-club et surtout grand cinéphile et occupant du cinéma La Clef, à Paris. Depuis septembre 2019, ce cinéma est occupé par le collectif Home Cinéma, qui lui a permis de rouvrir ses portes et ses projecteurs - fermés depuis 2018, par ordre du propriétaire pour une raison obscure. Derek et son équipe projettent chaque soir un film et font vivre les salles de ce cinéma de quartier - devenu un bastion de la cinéphilie libre, puissante et indépendante.Sans nous parler directement de son combat au jour le jour au sein du cinéma, en ouvrant ses salles et en y projetant des films plus éclectiques et superbes les uns que les autres, il évoque ceux qui l’aident à vivre, qui le font pleurer, danser ou encore crier de rage. Il nous a parlé du premier film qui a fait naître en lui le goût de la cinéphilie (La femme au portrait, de Frtitz Lang). Il évoque également les salles qui ont bercé sa jeunesse, ainsi que son amour des VHS et des couleurs « qui bavent » sur le petit écran de la télévision (La ligne Rouge, Terence Malick). Il finit cette interview en dédiant « à tous ces fils de pute qui m’ont dit que je n’y arriverai pas » son combat cinématographique, son combat de vie. I. PORTRAIT - 7’09 Un combat au cinéma : le combat final de Zatoichi (Kenji Misumi, 1962) -7’09 Une salle de cinéma : Le Max Linder; La Cinémathèque Française des Grands Boulevards, le quartier latin… - 15’05 Une scène de sexe au cinéma : Pulsion (B. De Palma, 1980) - 19’31 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 23’27 VHS, enregistrements ect… : la frénésie cinéphile de Derek - 23’27 Des films à projeter en plein air : Safety Last (Harrold Lloyd); Fenêtre sur cour (A. Hitchcock) - 32’09 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 36’08 Film-matrice de la cinéphilie : La femme au portrait (F. Lang) -36’08 CARTE BLANCHE - 40’08 Un grand amour de Beethoven, A. Gance (1937) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 45’57 Un film que tu as aimé projeter : Romanzo Popolare (M. Monicelli) - 45’57 Un film à montrer aux ados : Carrie au bal du diable (B. De Palma) - 50’59 Un film détesté (mais peut-être recommandé) : Joker (Todd Philips) - 55’05 REFUGE - 1’06’54 Blue Collar (Paul Schrader, 1978) Cutter’s Way (Ivan Passer, 1981)
"Se sentir d’un pays auquel ne nous rattache ni la terre, ni l’hérédité, pas la moindre goutte de sang… Proche par les seules voies du cœur, liens invisibles qu’on aura mis quarante années à dénouer… Je suis de l’Ecosse comme on est d’une autre destinée. Les Ecossais nous aiment. Ce n’est pas si fréquent. Cela remonte aux Stuart, à des guerres anciennes qu’ils gardent en mémoire, quand nous les avons oubliées. Qu’on ne soit pas d’Ecosse comme on est d’Angleterre me semble une évidence. Moins du nationalisme, qu’une solide « Tradition ». Si j’étais svelte, je m’offrirais cette coquetterie : le kilt, et tous les accessoires, flashes, chaussettes en laine, épingle, ceinture celtique. Pour comme disait Boris Vian, « ne pas crever sans avoir porté une robe sur les Grands Boulevards ». D’Édimbourg ma fille m’a ramené une large écharpe de tartan vert et bleu, merveille d’élégance. Dieu fasse que je ne la perde jamais, rien ne me peinerait davantage. Se joindre aux chœurs de Murrayfield, entonner Flowers of Scotland… La moindre cornemuse me donne le frisson. Et me bouleverse comme jamais la voix rocailleuse de Rod Stewart, soudain si douce pour Auld Lang Syne. "And surely you will buy your cup / And surely I'll buy mine / And we'll take a cup o'kindness yet / For auld lang syne". Me ravissent bien sûr les noms des Single Malts, surtout les gaëliques, imprononçables : « Auchroisk », « Bruichladdich », « Bunnahabhain », « Usquaebeach ». En posséder des dizaines, partir avec de vrais amis en voyages de recherche : comparer - sans modération aucune - les arômes, saveurs, subtilités… sans y laisser jamais le peu de santé qui reste. Pour fuir le confinement, je m’offre un dram de ce subtil Fettercairn qu’un ami cher m’offrit pour mon anniversaire. Et j’avance dans la Trilogie Ecossaise de Peter May. Trois enquêtes policières marquées d’un humanisme rude, sauvage comme une odeur de tourbe, sur une île du nord-ouest qui l’est tout autant. Je n’y survivrais pas deux semaines ! Mais cela me renvoie vers Aout 2001. Deux intenses émotions. Nous sommes sans le savoir tout proche du 11 septembre, renaissance de ce monde inhumain qui nous voit ces jours-ci confinés. Et nous revenons d’Ecosse, chaque journée là-bas vécue comme un voyage aux sources de l’imagination dont Inverness serait le climax. Depuis l’âge de huit ans, je rêvais du Loch Ness. Un article de France-Soir m’apprenait qu’il s’y cachait peut-être un animal mystérieux, - mammifère ou poisson, qui pouvait dire-, un monstre hantant les eaux du Lac depuis des millénaires, à moins qu’à plusieurs ils aient fondé une dynastie échappant à l’insatiable besoin des hommes de toujours tout savoir, à défaut de comprendre. L’irruption de Nessie fut plus une bénédiction, un bonheur, et la revanche d’un imaginaire qui depuis ma naissance m’était confisqué. Comment dire le manque qu’aura signifié dans ma vie l’interdiction formelle de croire au Père Noel ; si ridicule que cela sonne dans la bouche d’un sexagénaire, cela m’a marqué. A jamais. Le Père Noel, « ce mensonge qu’on raconte aux enfants pour les manipuler », jurait la mère. Ce qui était pernicieux, pervers, c’était m’instrumentaliser pour affirmer son propre rêve de toute-puissance, et me voler ma place d’enfant en me déguisant en surdoué à qui on ne la fait pas. Pour que l’Ecosse lointaine conserve sa magie, il fallait que le rêve ne fût pas trop vite calmé par le voyage. Je ne l’ai fait qu’à 43 ans, et n’y suis pas depuis retourné. Mais cela se fera : quand bien même elle ne sera qu’un piège à touristes en mal de mystère et d’ésotérisme désuet, j’irai visiter la Chapelle Roselyn. Car je suis un Ecossais. Reconnu comme tel par mes Pairs, et par eux Accepté. Je suis de l’Ecosse comme on est d’une victoire de l’imaginaire et du symbole, sur le Réel qui étouffe. Loin de tout confinement, physique ou mental, l'Ecosse est à jamais mon Graal, terre ultime d'évasion." Hervé Resse --- Send in a voice message: https://anchor.fm/emilie-soulez/message
Cette semaine, place à un épisode singulier, dédié au thème de la décoration dans les restaurants. Il est né d'une rencontre entre A Poêle et Selency, mon site favori pour chiner des pièces vintage, et à l'heure où la décoration ne compte plus du tout pour du beurre dans les lieux de restauration – du boui-boui au 3 étoiles –, nous avons eu à cœur d'explorer les recettes de restaurateurs/designers qu'on aime. Cet épisode a été enregistré en live, début décembre, dans les bureaux de Selency, en compagnie de Charlotte Cadé, la fondatrice du site Selency, Dorothée Meilichzon, architecte d'intérieur, de Simone Tondo, chef de Racines, et de Théo Pourriat, restaurateur et co-propriétaire de Septime, Septime La Cave, Clamato et d'Une Ile.La déco, façon d'affirmer son identité ? Doit-elle être en phase avec la cuisine ? Y-a-t-il un style français dans la déco des restos ? Comment donner une âme à un restaurant ? Quelles sont les couleurs qui coupent/stimulent l'appétit ? Et les futures tendances ?Lors de cette table ronde, nous avons parlé d'expériences globales (1:19), de transformer les contraintes en atouts (4:45), d'âme des lieux (10:20), des nappes qui peuvent apporter de la lumière (12:45), de réfléchir en vivant le lieu et de se mettre à la place du client (15:50), de mobilier ancien qui a plus d'authenticité que le neuf (17:32), de mettre sa propre personnalité en avant (21:31), d'imaginer un lieu dans la durée (24:35) et des formes organiques, naturelles, végétales, tendance en déco, qui répondent finalement à ce qu'on peut trouver dans l'assiette (30:45).En savoir plus :Sur www.selency.fr, retrouvez des pièces vintage pour meubler et donner une âme à vos intérieurs, restaurants, cafés, hôtels, entreprises etc. Pour en savoir plus sur le service pro : pro@selency.comDorothée Meilichzon est architecte d'intérieur et designer (qui a notamment réalisé la déco des établissements de l'Experimental Group, l'Hôtel des Grands Boulevards, le Balagan ou le Bachaumont). Son agence : www.chzon.comSimone Tondo est le chef de Racines 8, passage des Panoramas, 75002 ParisThéo Pourriat est restaurateur et co-propriétaire de Septime (80, rue de Charonne, 75011 Paris), Septime La Cave, Clamato et d'Une Ile dans le Perche.Dans les précédents épisodes d'A Poêle, vous pouvez retrouver des histoires de chef.fe.s sensibles à l'environnement décoratif et l'ambiance des lieux, comme Simone Tondo, Pierre Touitou ou Alexandre Giesbert. Rendez-vous sur votre appli podcast préféré ou sur le site apoele-lepodcast.com.Pour ceux qui découvrent le podcast, bienvenue et n'oubliez pas de vous abonner sur votre appli ou sur Instagram pour ne manquer aucun épisode !Cet épisode a été réalisé par Julie Gerbet et Studio OchantaMusique par Santiago WalschPhoto : Karel Balas (Henrietta Restaurant à Londres, design Dorothée Meilichzon) Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
On part en cavale ? Pour rester en partie à l'abri du froid, je vous donne rendez-vous pour une cavale dans les passages couverts ! Eh oui, le nom énigmatique de cet épisode vient de là ! Nous allons explorer l'histoire des passages couverts, mais aussi en découvrir un peu plus sur l'Opéra Comique et la Bourse. Rendez-vous au métro Richelieu-Drouot (lignes 8 et 9), et on finira la cavale entre les métros Le Peletier (7) et Grands Boulevards (8 ou 9), donc vous pourrez choisir quel chemin vous convient le mieux. Merci d'écouter Cavale et Confiture, si ça vous a plu, n'hésitez pas à en parler autour de vous, et à mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ! Pour ne pas vous perdre, le trajet de la cavale est ici : http://bit.ly/2ZbwnjH Repères de l'épisode : 01:15 : Station Richelieu Drouot 02:45 : Rue Laffite 04:30 : Le passage des Princes 06:54 : Place Boildieu et l'Opéra Comique 11:10 Le Centorial 12:35 La Rue des Colonnes & la Bourse 18:20 Passage des Panoramas 20:24 Passage Jouffroy 22:40 Passage Verdeau Références de l'épisode : - Pop up store Harry Potter (Passage des Princes), Dosanko Larmen (40 rue Saint Anne), La Maison du Roy @lamaisonduroy Musique de fond : Unfriendly Me by Martijn de Boer (NiGiD) (c) copyright 2015 Licensed under a Creative Commons Attribution Noncommercial (3.0) license. http://dig.ccmixter.org/files/NiGiD/48712 Ft: Admiral Bob
Alma Brami publie régulièrement des romans, au Mercure de France depuis quelques années mais c'est surtout en tant qu'auteure de théâtre qu'elle est invitée dans cet Entre Voix. Après avoir été jouée l'été dernier au festival d'aVignon, sa première pièce, L'Ombre, a été programmée sur les Grands Boulevards au studio Marie Bell. Alma Brami raconte à l'antenne la genèse de ce monologue dont la préfiguration a été imaginée pour le Paris des Femmes en 2015, et mis alors en espace par Mathilda May. Il s'agissait alors d'un texte d'une vingtaine de minutes, intitulé Mardi c'est le jour du poulet. L'interprétation de Dédeine Volk-Leonovitch, qui se révéla prodigieuse, a convaincu Alma Brami d'écrire une version plus longue, adaptée à un seule-en-scène d'une heure dix, qu'elle lui mitonna aux petits oignons. Vous apprendrez au cours de l'interview combien le contexte des violences conjugales n'est pas étranger à la conception de la pièce. Alma Brami revient aussi sur ses romans, et sur son expérience du théâtre en tant que comédienne. Elle parle aussi de Hong Kong où elle vit depuis plusieurs années et où elle s'apprêtait à retourner. Nul doute que c'est une écrivaine à suivre en littérature adulte et jeunesse, comme comédienne et comme auteure de théâtre.
Dans cet épisode, on va à la rencontre de Dorothée Meilichzon. Elle est designer et depuis 10 ans avec son agence elle imagine les hôtels, bar et restaurants. Son travail ? vous l’avez forcément déjà vu en photos dans la presse ou même sur Instagram. Dorothée invente des décors à forte personnalité́, des lieux de vie conviviaux, où l’on vient s’amuser, rencontrer des gens et passer un bon moment. Ce qui est important pour elle, c’est d’offrir une expérience globale et hyper cohérente à toutes celles et ceux qui viendront partager un verre, un diner ou une nuit dans les espaces qu’elle imagine. Dorothée pense TOUT, de la cuisine, à la décoration, au mobilier en passant par le logo et la typographie de la carte du restaurant. On peut citer par exemple à Paris, l’hôtel paradis, l’Hôtel Grands Boulevards mais aussi Le café pinson. A Londres, elle a signé l’hôtel Henrietta. Et dans l’épisode on revient en détail ses deux derniers projets, à Venise et à Minorque. On termine comme d’habitude par parler des personnalités qui l’inspirent et de sa définition du beau. Je ne vous en dis pas plus … très bonne écoute ! °° OÙ RETROUVER L’UNIVERS ET LE TRAVAIL DE DOROTHEE ? °° Sur leur site internet : http://www.chzon.com Sur Instagram : https://www.instagram.com/dorotheemeilichzon/ °° SUIVEZ MOI SUR INSTAGRAM@ouestlebeau°° Découvrez mes 2 rdv journaliers : >> en story avec la chronique « Où est le beau aujourd’hui sur Instagram ? » >> tous les soirs sur mon mur, avec la publication de la « sélection du jour » dans laquelle je mets à l’honneur une personnalité ou un lieu inspirant. °° CREDITS °° Où est le beau ? est un Podcast créé et réalisé par Hélène Aguilar Edition et montage : Paco Del Rosso Identité graphique : Catherine Sofia Musique libre de droits
Paris thường được mệnh danh là xứ sở của các bảo tàng, triển lãm. Trong những tháng qua, có rất nhiều triển lãm lớn thu hút đông đảo người xem. Đối với những ai ưa tìm hiểu về văn hóa, lịch sử Paris thì không thể không nói tới triển lãm « Paris lãng mạn, 1815-1848 ». Được tổ chức trong vòng gần 4 tháng, từ cuối tháng 05 đến cuối tháng 09/2019, triển lãm « Paris lãng mạn, 1815-1848 » gồm hai không gian trưng bày, một tại Petit Palais, bảo tàng Mỹ Thuật thành phố, một tại bảo tàng về Cuộc Sống Lãng Mạn tại Paris. Nếu như đến với bảo tàng Cuộc Sống Lãng Mạn, công chúng được chìm đắm vào một không gian văn học nửa đầu thế kỷ 19, xoay quanh khoảng 100 hiện vật, thì tại bảo tàng Mỹ Thuật Petit Palais, người xem sẽ có một chuyến dạo chơi qua những địa điểm nổi tiếng của Paris, để có cái nhìn toàn cảnh về đời sống chính trị, văn hóa, nghệ thuật tại « kinh đô ánh sáng » cách nay trên dưới 2 thế kỷ. Tấm gương phản chiếu toàn cảnh Paris Hơn 600 hiện vật trong nhiều lĩnh vực nghệ thuật, từ hội họa, điêu khắc, đến phục trang, đồ trang sức, đồ nội thất … được trưng bày trong 8 khu vực chính tại bảo tàng Petit Palais. Không gian triển lãm được bố trí không phải theo lĩnh vực sáng tạo nghệ thuật mà theo các khu phố nổi tiếng của Paris thời đó. Các nhà tổ chức đã thiết kế cho du khách một chuyến đi mà mỗi chặng tham quan tương ứng với một thời điểm trong ngày, từ lúc bình minh tới khi màn đêm buông xuống. Người xem ngược dòng lịch sử thong thả dạo bước ở khu phố La-tinh, Palais Royal, dạo quanh nhà thờ Đức Bà, ngắm nhìn nội thất sang trọng nơi sinh sống của hoàng tộc bên trong điện Tuileries, chiêm ngưỡng phòng trưng bày nghệ thuật tại điện Louvre, khám phá xưởng sáng tác của các nghệ sĩ cách nay hai thế kỷ, tận hưởng không khí náo nhiệt tại các khu phố thời thượng hay thả bộ đến khu phố tập trung nhiều rạp hát. Nhưng Paris không chỉ có những nơi chốn hào nhoáng, mà đâu đó thấp thoáng những con phố nhếch nhác, những em bé chân tay lấm lem, ăn mặc rách rưới. Paris đâu chỉ là chốn hội hè, phồn hoa mà có cả những thời khắc lịch sử rối ren. Về cách bố trí, sắp đặt, trả lời phỏng vấn của RFI Việt ngữ, bà Cécilie Champy-Vinas, quản đốc về điêu khắc của bảo tàng Petit Palais, một trong các chuyên gia phụ trách công tác tổ chức, giám sát triển lãm « Paris lãng mạn 1815-1848 » giải thích kỹ hơn : « Như chị đã nói, triển lãm rất phong phú, đa dạng. Vì thế, để đơn giản hóa mọi chuyện và làm cho chuyến tham quan thú vị, vui vẻ hơn, chúng tôi đã tưởng tượng ra một cuộc dạo chơi trong Paris. Lộ trình tham quan triển lãm được sắp xếp thực sự như một chuyến đi dạo trong Paris. Du khách được dẫn dắt từ điểm này đến điểm khác. Quý vị biết đấy, đầu thế kỷ 19 đã có rất nhiều cẩm nang du lịch mô tả thành phố Paris. Thủ đô thời đó đã được chia thành các khu phố, cũng gần giống như ngày nay, mỗi khu phố có một nét đặc thù riêng. Dựa vào điều này, chúng tôi đã gắn cho mỗi nơi một lĩnh vực sáng tạo. Chẳng hạn, chúng ta bắt đầu từ Tuileries. Đây từng là một cung điện nhưng nay thì không còn nữa. Điện Tuileries, nằm ngay gần điện Louvre, trước là nơi ở của các nhà vua. Tại khu vực trưng bày này, người xem biết thêm về triều đình, các hoạt động bảo trợ nghệ thuật của hoàng gia, các nhân vật chính trị nổi tiếng thời đó, chẳng hạn công tước vùng Orléan - con trai của vua Louis Philippe. Tiếp theo, chúng ta thả bước đến điện Palais Royal, không xa cung điện Tuileries lắm. Palais Royal hiện vẫn còn. Vào thời bấy giờ, Palais Royal quả đúng là một trung tâm thương mại, có nhiều nhà hàng và các điểm vui chơi giải trí rất đa dạng. Mọi du khách đều đổ về đó. Vì thế, chúng tôi cho trưng bày về thời trang chẳng hạn. Vì ở đó có rất nhiều cửa hàng bán các đồ quý nên chúng tôi cũng giới thiệu nhiều hiện vật có liên quan đến thời trang và nghệ thuật trang trí. Sau đó, chúng ta sẽ qua điện Louvre. Cung điện là nơi diễn ra các Salon - triển lãm. Vì thế, chúng tôi trưng bày các tác phẩm hội họa, điêu khắc, giới thiệu các nghệ sĩ nổi tiếng thời đó và tất cả các nghệ sĩ có tác phẩm được trưng bày ở thời kỳ đó, chẳng hạn công chúng có thể thấy các tác phẩm của danh họa Delacroix. Tiếp nữa, chúng ta đi đến Notre Dame. Quý vị sẽ đi theo lộ trình kiểu như vậy, tất cả được chia thành 8 khu vực. Địa điểm cuối cùng là Grands Boulevards, khu phố của các nhà hát ». Để có bộ sưu tập 600 tác phẩm quý giá trong nhiều lĩnh vực sáng tạo nghệ thuật, đưa người xem chìm đắm vào không gian Paris thế kỷ 19, ban tổ chức triển lãm đã được tổng cộng gần 100 bảo tàng, viện nghệ thuật cho mượn hiện vật, đa phần là trong nước Pháp, đặc biệt là bảo tàng Lịch Sử Paris Carnavalet. Chuyên gia phụ trách công tác tổ chức, giám sát triển lãm, Cécilie Champy-Vinas cho biết: « Mục đích ban đầu của chúng tôi là tôn vinh các bộ sưu tập từ các bảo tàng của thành phố Paris. Vì thế mà phần lớn, không phải tất cả, nhưng đa phần các tác phẩm là từ các bảo tàng lớn của Paris, trong đó có Petit Palais và cả Carnavalet (bảo tàng về lịch sử thành phố Paris). Hiện giờ bảo tàng Carnavalet đang đóng cửa để tu bổ, nâng cấp để mở lại vào năm tới. Bảo tàng này cho chúng tôi mượn rất nhiều kiệt tác của họ. Tất cả các hiện vật như trang phục, phụ trang, giày dép đều do bảo tàng phục trang Galliera cho chúng tôi mượn. Đây đều là các bảo tàng trực thuộc thành phố Paris. Ngoài ra, chúng tôi còn mượn tác phẩm từ các bảo tàng lớn của Pháp, có rất ít hiện vật mượn từ nước ngoài, chỉ một vài tác phẩm thôi, rất ít. Các bảo tàng của Pháp thì có Louvre, bảo tàng Nghệ thuật trang trí, bảo tàng của các vùng như Angers, Nantes, Lyon. » 1815-1848, giai đoạn ít được biết đến Tại sao các nhà tổ chức lại chọn giai đoạn nửa đầu thế kỷ 19, cụ thể là từ năm 1815 đến năm 1848 ? Bà Cécilie Champy-Vinas trả lời: « Ý tưởng tổ chức triển lãm là từ giám đốc Christophe Leribaut (giám đốc bảo tàng Petit Palais). Ông ấy muốn tổ chức một cuộc triển lãm về thời kỳ trước của thời đã được nói đến cách nay vài năm, cũng tại Petit Palais, vào năm 2014. Triển lãm đó có tên gọi Paris 1900, nói về thành phố Paris thời Triển Lãm Hoàn Cầu 1900. Petit Palais cũng được xây dựng đúng vào năm 1900 để phục vụ Triển Lãm Hoàn Cầu. Triển lãm lớn lần này cũng thể hiện tinh thần « Paris lãng mạn ». Ý tưởng của chúng tôi là ngược dòng thời gian để trở về giai đoạn mà Paris ít được biết đến. Petit Palais là bảo tàng do thành phố quản lý. Đây là bảo tàng mỹ thuật của Paris. Chúng tôi có các bộ sưu tập rất phong phú về thế kỷ 19, và chúng tôi muốn tôn vinh giá trị của thời kỳ vừa lãng mạn vừa ít được biết đến này. Tôi nghĩ rằng ở Pháp ai cũng được học ở trường về các bài thơ của Victor Hugo, Alfred de Musset nhưng đối với đa phần công chúng thì đó cũng là thời kỳ cách nay khá lâu. Chúng tôi muốn tôn vinh giai đoạn có rất nhiều sáng tác phong phú trong mọi lĩnh vực sáng tác nghệ thuật. Công chúng biết đến một vài tên tuổi nổi tiếng, như trong văn học thì có Victor Hugo, Gérard de Nerval, trong hội họa thì có Delacroix. Về âm nhạc thì có thể mọi người biết thêm Liszt và Chopin. Đúng là các nghệ sĩ đó được nhắc đến nhiều trong công chúng. Cuộc triển lãm này cho thấy rõ là ngoài họ ra thì còn có rất nhiều nghệ sĩ khác, nhưng ngày nay dường như họ đang chìm vào quên lãng ». 1815-1843 là giai đoạn phong phú về văn hóa, nghệ thuật và có nhiều ý nghĩa về lịch sử, với nhiều biến động chính trị chỉ trong một thời gian ngắn. Nhưng đây lại là thời kỳ ít được biết đến.Chuyên giaCécilie Champy-Vinas lý giải phần nào : « Vâng, đúng là như vậy, về mặt lịch sử, đó là một giai đoạn rất quan trọng, bởi vì đó là thời kỳ Cách Mạng kết thúc, hoàng đế Napoléon bị lật đổ, và chế độ Quân Chủ được thiết lập lại tại Pháp, nhưng lại bị ngắt quãng. Thực ra, đã có hai cuộc Cách mạng, Cách mạng 1830 và 1848, thậm chí còn dẫn tới nền Đệ Nhị Cộng Hòa ngắn ngủi. Đó là một giai đoạn đầy biến động về mặt chính trị. Điều này cũng giải thích tại sao giai đoạn này có thể không được biết đến nhiều như các thời kỳ khác, nó quá phức tạp về mặt lịch sử. Vì thế, điều mà chúng tôi đề xuất không phải là tổ chức một kỳ triển lãm thực sự về lịch sử nước Pháp mà là nói về lịch sử của Paris nhưng thông qua khía cạnh về văn hóa, văn minh. Paris có nền văn minh xuất sắc, nổi bật. Chúng tôi làm điều đó bằng cách giới thiệu rất, rất nhiều tác phẩm trong mọi lĩnh vực, không chỉ hội họa và điêu khắc. Như chị đã xem, có nhiều trang phục, quần áo và đồ trang sức. Có rất nhiều hiện vật, nhiều nhạc cụ nữa … Đây quả thực là một cuộc triển lãm về nền văn minh ». Sinh thời, hoàng đế Napoléon mơ ước đưa Paris trở thành thủ đô chính trị của cả châu Âu, sự ra đi của Hoàng đế Napoléon đương nhiên có những ảnh hưởng không nhỏ tới sự phát triển của kinh thành Paris. Tuy nhiên, không vì thế mà thành phố mất vẻ hấp dẫn. Paris vẫn biết cách giữ gìn vị thế là một trung tâm văn hóa, nghệ thuật hàng đầu thế giới, thu hút nhiều tài năng từ khắp nơi, trong đó phải kể tới các nghệ sĩ Rossini, Liszt, Chopin ...
Nous rencontrons Léo, projectionniste au Max Linder, un cinéma parisien mythique, situé sur les Grands Boulevards. Depuis la révolution du numérique au cinéma, et donc le déclin du 35 mm, le jeune homme ne passe plus autant dans sa cabine de projection : les grosses machines et les disques durs ont remplacés les bobines et les pellicules, et le travail de projection de films a été en partie automatisé. Du coup en plus de son activité de projectionniste, ses tâches sont plus diverses... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour ce troisième épisode de DECODEUR, le podcast de celles et ceux qui font la déco aujourd'hui, je reçois Dorothée Meilichzon, la célèbre architecte et designer d'intérieur qui a signé de nombreux lieux très en vogue tels que l'hôtel des Grands Boulevards, l'Hôtel Paradis, le Bachaumont, le Balagan, la compagnie des vins à Paris, Londres ou NY... (etc.) Dorothée nous parle de sa façon de travailler au bureau ou avec ses clients, de la vie de chantier qui peut être parfois difficile, de sa manière de s'approprier les nouveaux projets, de son admiration pour d'autres architectes, de son son style "maximaliste" comme elle le dira, bref si vous voulez en savoir plus sur l'envers du décor, je crois que c'est le moment de tendre l'oreille. Dorothée parle aussi vite qu'elle travaille beaucoup, elle sait ce qu'elle veut et où elle va et vous verrez, c'est très enthousiasmant d'entendre quelqu'un de si passionné et énergique... alors bonne écoute comme on dit ! Et si le podcast vous plait n'hésitez pas à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes, à laisser un commentaire ou 5 étoiles, et à suivre @decodeur sur Instagram... A tout de suite !
Une décennie après la fermeture du mythique club parisien des Grands Boulevards, quelles soirées font encore battre le cœur lesbien de la capitale? L'esprit libertaire et décomplexé du Pulp y règne-t-il encore? de nouvelles identités lesbiennes ont-elles émergé? En compagnie De Fany Corral, ex-programmatrice du Pulp, cofondatrice du label Kill The Dj et co-organisatrice du festival Loud & Proud, de Rag, Dj, cofondatrice du collectif Barbieturix et organisatrice des soirées Wet For Me, et de Sophie Morello, Dj et organisatrice des soirées La Kidnapping, nous avons cherché à savoir comment les lesbiennes habitent la fête en 2018. Conférence animée par Faustine Kopiejwski et enregistrée au Festival Inrocks 2018 à la Gaîté Lyrique. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Bobo Léon nous livre ses impressions sur le film documentaire LE PROCÈS CONTRE MANDELA ET LES AUTRES de Nicolas Champeaux et Gilles Porte. " Bouleversant ! " " Un film d'une richesse absolue. " " Passionnant " Bobo en live des Grands Boulevards pour ce podcast! Comme d'hab' il marche avec son micro à la main juste apres être allé voir un film. En l'occurence il sort de la séance du film documentaire Le Procès contre Mandela et les autres. Et il en sort bouleversé !!! 263 heures d'enregistrement du procès, un énorme travail d'archive.
" Bouleversant ! " " Un film d'une richesse absolue. " " Passionnant " Bobo en live des Grands Boulevards pour ce podcast! Comme d'hab' il marche avec son micro à la main juste apres être allé voir un film. En l'occurence il sort de la séance du film documentaire Le Procès contre Mandela et les autres. Et il en sort bouleversé !!! 263 heures d'enregistrement du procès, un énorme travail d'archive.
This week it's comedian Sebastian Marx, discussing the French language, performing comedy in French (even though he's an American), and of course, Paris. Join us for the 30-minute chat, and consider signing up as a flaneur on Patreon to see our 50-minute Walk Show on the Grands Boulevards of Paris (where we ended up on the stage of a local theatre). And last, but not least, Happy Birthday Seb!! Here's more on his new show, The French Language Explained by an American.
Depuis le milieu du XVIIIe siècle, il existe une « civilisation nocturne » à Paris qui a largement contribué à établir la réputation mondiale de la « ville lumière ». D'abord dominée par les fêtes royales ou princières, la nuit parisienne a progressivement été « privatisée » par des entrepreneurs spécialisés(restaurants, bals, cabarets, mais aussi maisons closes...), qui ont progressivement attiré des visiteurs du monde entier autour de lieux bien précis : d'abord le Palais-Royal, puis les Grands Boulevards, puis Montmartre, puis Montparnasse, puis St-Germain-des-Prés... Avec, à chaque étape, une constante nostalgie pour un « âge d'or » supposé disparu. Historien, journaliste et écrivain, Antoine de Baecque a notamment écrit une histoire des Nuits Parisiennes (éditions du Seuil, 2015), puis été commissaire d'une exposition sur le même thème à l'Hôtel de Ville (nov 2017-janvier 2018).
durée : 00:59:36 - C'était les années 60 - par : Philippe Garbit - L’été à Paris, en 1967 ? Des touristes (bientôt on pourra en accueillir encore plus grâce aux avions gros porteurs), qui respirent l’air très pur, en terrasse sur les Grands Boulevards ou vers l’Opéra, à 6 heures du soir. - réalisé par : Clotilde Pivin
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Le Conseil de Paris a présenté la semaine dernière un Plan Vélo : 150 millions d'euros pour développer les circulations douces dans la capitale. L'objectif : que le vélo représente dès 2020 près de 15% des déplacements effectués (pour 3% aujourd'hui). La mairie espère ainsi réduire le bruit et la pollution urbaine "pour faire de Paris une ville plus agréable, plus douce, plus vivante" et désengorger le trafic routier. Manque de pistes cyclables, impossibilité de rouler à contresens des voitures, manque de places de stationnement... La municipalité veut remédier à tout ça pour faire de Paris une capitale mondiale du vélo d'ici cinq ans. Réaliste ? Pour en parler, nous recevons Christophe Najdovski, maire-adjoint chargé de toutes les questions relatives aux transports, à la voirie, aux déplacements et à l'espace public. En seconde partie, on reste à Paris mais cette fois c'est à pied qu'on va se balader. On part (re)découvrir l'histoire du cinéma dans les rues de Paris... Paris est en effet la ville la plus filmée au monde : il y a près de 3 tournages par jour. Juliette Dubois organise des ciné-balades, de véritables plongées dans les coulisses du cinéma... "Monuments célèbres, bâtisses inconnues, passages discrets, restaurants réputés, salles oubliées" des lieux où été tourné des scènes mythiques ou plus anecdotiques. Prochaine balade à venir : les 25 et 26 avril sur les Grands Boulevards en partenariat avec Paris fait son cinéma. Pour finir Eddy vous embarque au Japon avec le son tout foufou de Magical Power Mako... Présentation : Fiona Guitard / Co-interview : Loïc Gazar / Chronique : Eddy Lebreton / Réalisation : Rony Astasie / Web et coordination : Elsa Landard
Le Conseil de Paris a présenté la semaine dernière un Plan Vélo : 150 millions d'euros pour développer les circulations douces dans la capitale. L'objectif : que le vélo représente dès 2020 près de 15% des déplacements effectués (pour 3% aujourd'hui). La mairie espère ainsi réduire le bruit et la pollution urbaine "pour faire de Paris une ville plus agréable, plus douce, plus vivante" et désengorger le trafic routier. Manque de pistes cyclables, impossibilité de rouler à contresens des voitures, manque de places de stationnement... La municipalité veut remédier à tout ça pour faire de Paris une capitale mondiale du vélo d'ici cinq ans. Réaliste ? Pour en parler, nous recevons Christophe Najdovski, maire-adjoint chargé de toutes les questions relatives aux transports, à la voirie, aux déplacements et à l'espace public. En seconde partie, on reste à Paris mais cette fois c'est à pied qu'on va se balader. On part (re)découvrir l'histoire du cinéma dans les rues de Paris... Paris est en effet la ville la plus filmée au monde : il y a près de 3 tournages par jour. Juliette Dubois organise des ciné-balades, de véritables plongées dans les coulisses du cinéma... "Monuments célèbres, bâtisses inconnues, passages discrets, restaurants réputés, salles oubliées" des lieux où été tourné des scènes mythiques ou plus anecdotiques. Prochaine balade à venir : les 25 et 26 avril sur les Grands Boulevards en partenariat avec Paris fait son cinéma. Pour finir Eddy vous embarque au Japon avec le son tout foufou de Magical Power Mako... Présentation : Fiona Guitard / Co-interview : Loïc Gazar / Chronique : Eddy Lebreton / Réalisation : Rony Astasie / Web et coordination : Elsa Landard
From Ballet to Cabaret in Paris with Jessica Terrier Jessica Terrier is a young tour guide in Paris who takes us on a walk from the Ballet to the Cabaret with stops at the Palais Royal, the Opéra Gargner, les Grands Boulevards, the Folies Bergères, and–you can’t miss that!– her favorite café. She also talks […] Click here for show notes and photos. Click here to support the show when you shop on Amazon. Click here to review the show on iTunes. The post From Ballet to Cabaret in Paris, Episode 53 appeared first on The Join Us in France Travel Podcast.