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Da ist er wieder - der Segelreporter Podcast. Nach einer Pause sind wir mit neuer Besetzung am Start. Alle 14 Tage sprechen SR-Chefredakteur Carsten Kemmling und Autor Stephan Boden über verschiedene Theme aus dem Segelsport, über Regatten, Fahrtensegeln, Boote und Leute. Die Themen heute: - Wie ist der Stand bei den Segelreportern? - Was ist denn bei den Franzosen los? Die Fälle Clarisse Crémer und Kevin Escoffier. - Sail GP - Über Delfine, Crashes und über Geschwindigkeiten um die 40 Knoten - Boote- Wie ist eigentlich die Entwicklung im Bootsmarkt? Warum werden Boote immer größer und teurer? Und was ist mit den gebrauchten? - Am Ende stellen wir uns noch eine gemeinsame Aufgabe
En cette fin d'année Tip & Shaft vous propose d'écouter ou de ré-écouter les 2 épisodes de Navigantes les plus suivis en 2023. Votre podcast revient dans son format habituel le 10 janvier, toute l'équipe de Tip & Shaft vous souhaite, avec quelques jours d'avance, une très bonne année 2024.Véritable pilier des projets de son mari Jean, Anne Le Cam n'était pourtant absolument pas prédestinée à se retrouver embarquée sur ses projets au long cours. A la fin des années 80, elle débarque à Port-la-Forêt “pour se reconstruire”, elle n'en dira pas plus. Elle travaille d'abord pour Nautisme en Finistère, “une expérience merveilleuse”, qui va lui permettre de mettre en avant sa capacité à monter des projets et son sens de l'humain.Dans le même temps, elle devient la compagne de Jean Le Cam, sans pour autant être une fan de voile et de course au large, confiant : “Je ne sais pas si j'ai vraiment une histoire d'amour avec la mer et les bateaux.” Ce qui ne l'empêche pas d'accompagner ce dernier dans ses aventures maritimes, tournées depuis maintenant vingt ans autour du Vendée Globe. Elle trouve aussi le temps de monter son restaurant, Le Kinawa, à quelques mètres du pôle Finistère de Port-la-Forêt, dont Jean est un pilier. ”Au départ, je devais faire des plats pour que les marins les emportent en mer, finalement, c'est devenu un restaurant. J'ai repris des études, car ça ne s'invente pas”.Tout en faisant tourner la boutique, Anne Le Cam vit de l'intérieur les courses et les tours du monde de son mari, l'aide dans la recherche de sponsors, le porte quand il est en mer et… soigne son cancer du sein. Ça fait beaucoup. “Je pense que nous les femmes, on a une énergie assez considérable”, explique-t-elle. Lors de la dernière campagne de Vendée Globe de Jean, elle était chef du projet, cravachant aux côtés de son marin de mari pour que le projet voie le jour. “Etre au départ était déjà une sacrée victoire”.Quand il est en mer, elle prend son rythme - “Je suis un peu libre, je fais ma vie” sourit-elle - mais toujours à l'affût d'un appel et présente s'il a besoin de parler. “Quand il y a eu l'accident de Kevin (Escoffier), je l'ai eu en pleurs, il pensait qu'il ne le retrouverait pas, et puis Kevin est monté à bord, ça a été les montagnes russes de l'émotion.” Ces derniers temps, même si elle n'est jamais très loin du chantier dans lequel Jean construit son nouveau bateau, Anne a décidé de prendre un peu de recul, parce qu'elle aimerait ouvrir un nouveau chapitre en s'adonnant à un rêve de toujours : écrire. Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.Première diffusion le 24 mai 2023Rediffusé le 27 décembre 2023Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girls
Sur le papier, la voie de Nicolas Lunven était toute tracée : avec un père participant à plusieurs reprises de la Course de l'Aurore, la filiation semblait évidente. Sauf que non : les exploits paternels datent d'avant sa naissance, en 1982, et il commence par des croisières familiales. Mais bon sang ne saurait mentir, et il embarque en course dès l'adolescence. Mais pas de formation en voile légère ni par la Mini Transat : Lulu, comme beaucoup l'appellent, fait ses armes en habitable, et en particulier sur le Tour Voile, auquel il participera 11 fois. En tentant sa chance lors du Challenge Esoir Crédit Agricole, c'est la révélation : le Figaro sera sa passion. Charles Caudrelier l'appelle pour prendre la barre de son Figaro en 2007, et il finit premier bizuth. Deux ans plus tard, il remporte la Solitaire, à 25 ans, au milieu des cadors de l'époque. Sa carrière est lancée : Solitaire, TFV, Sydney-Hobart, il enchaîne et s'autorise une pause en 2014, pour participer à la Volvo Ocean Race sur Mapfre. L'expérience est de courte durée, mais elle confirme que Nicolas Lunven entre désormais dans la catégorie des équipiers recherchés puisqu'il embarque sur l'Imoca Safran. Et s'il retourne en Figaro ensuite, c'est pour survoler la saison 2017 et entrer dans le club fermé des doubles vainqueurs de l'épreuve. Sa carrière s'accélère et le téléphone sonne : nouvelle Volvo Ocean Race sur Turn The Tide On Plastic, nouvelle saison en Imoca, avec PRB puis Initiatives-Coeur, pige chez Banque Pop pour remplacer Clarisse Crémer pendant sa grossesse, retour à The Ocean Race avec Malizia et, finalement, en septembre de cette année, il remplace Kevin Escoffier à la barre d'Holcim-PRB. Voilà comment, à 40 ans, on devient un candidat plus que sérieux au départ du prochain Vendée Globe. Avec rigueur, sérieux et discrétion. Mais ne vous fiez pas à sa réputation tranquille : derrière son regard clair, Lulu sait faire aller - très - vite les bateaux.... Diffusé le 6 octobre 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Voilier, le magazine pour les passionnés de voile de Bateaux.com
Ce jeudi 14 septembre 2023, Team Holcim PRB a annoncé l'arrivée de deux nouveaux skippers en remplacement de Kevin Escoffier. Pour ce projet de Vendée Globe 2024 et The Ocean Race 2025, l'équipe a fait le choix d'un homme et d'une femme. 👉 Lire l'article et voir les photos. En savoir plus sur les sujets abordés dans cet épisode : IMOCA Nicolas Lunven Holcim-PRB Le magazine Bateaux.com apporte un éclairage nouveau aux plaisanciers au travers de 12 chaines d'information : Voilier.com MotorBoat.fr SemiRigide.com Multicoque.com Regate.com NavigationFluviale.com GrandeCroisiere.com Conseils Techniques Equipement et Accastillage SuperYachts.fr Culture Nautique GlisseNews.com Avec une diffusion en 5 langues (Français 🇫🇷, Anglais 🇺🇸, Allemand 🇩🇪, Italien 🇮🇹 et Espagnol 🇪🇸) et un lectorat reparti dans plus de 140 pays 🌍, Bateaux.com est considéré comme la première commaunauté de plaisanciers avec le réseau social dédié au nautisme Yacht-Club.com. Bateaux.com est édité de concert avec le magazine BoatIndustry.fr à destination des professionnels de la plaisance 🇫🇷, qui se décline à l'international avec BoatIndustry.de pour l'allemand 🇩🇪, BoatIndustry.com pour l'anglais 🇺🇸, BoatIndustry.es pour l'espagnol 🇪🇸 et BoatIndustry.it pour l'italien 🇮🇹. ✉️ N'hésitez pas à nous envoyer un commentaire ou une news en cliquant ici. 👉 Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles si l'information vous a plu 🙏.
Voilier, le magazine pour les passionnés de voile de Bateaux.com
Alors que le milieu de la voile de compétition est secoué par l'affaire Kevin Escoffier, un média comme le nôtre se doit de réfléchir à sa place dans le débat, la plaisance et la société en général. 👉 Lire l'article et voir les photos. En savoir plus sur les sujets abordés dans cet épisode : Égalité Femme-Homme Edito Bateaux Le magazine Bateaux.com apporte un éclairage nouveau aux plaisanciers au travers de 12 chaines d'information : Voilier.com MotorBoat.fr SemiRigide.com Multicoque.com Regate.com NavigationFluviale.com GrandeCroisiere.com Conseils Techniques Equipement et Accastillage SuperYachts.fr Culture Nautique GlisseNews.com Avec une diffusion en 5 langues (Français 🇫🇷, Anglais 🇺🇸, Allemand 🇩🇪, Italien 🇮🇹 et Espagnol 🇪🇸) et un lectorat reparti dans plus de 140 pays 🌍, Bateaux.com est considéré comme la première commaunauté de plaisanciers avec le réseau social dédié au nautisme Yacht-Club.com. Bateaux.com est édité de concert avec le magazine BoatIndustry.fr à destination des professionnels de la plaisance 🇫🇷, qui se décline à l'international avec BoatIndustry.de pour l'allemand 🇩🇪, BoatIndustry.com pour l'anglais 🇺🇸, BoatIndustry.es pour l'espagnol 🇪🇸 et BoatIndustry.it pour l'italien 🇮🇹. ✉️ N'hésitez pas à nous envoyer un commentaire ou une news en cliquant ici. 👉 Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles si l'information vous a plu 🙏.
Ce 122e épisode est consacré à The Ocean Race avant le départ le 15 juin de la septième et dernière étape entre La Haye et Gênes, avec deux marins qui seront de la partie, Benjamin Dutreux, skipper de Guyot Environnement-Team Europe, et Benjamin Schwartz, à la barre de Holcim-PRB. Ce dernier explique d'abord comment il a pris le relais au dernier moment de Kevin Escoffier aux commandes de l'Imoca suisse avec un équipage remodelé, tandis que le premier détaille le défi technique, logistique et financier auquel a dû faire face l'équipe de Guyot Environnement-Team Europe pour être au départ de la sixième étape à Aarhus. Une étape que les deux marins racontent, avec notamment un passage mémorable dans le fjord de Kiel devant des milliers de personnes, puis un finish qui a tourné de peu à l'avantage de 11th Hour Racing Team devant Holcim-PRB et Team Malizia. Benjamin Schwartz termine en présentant les enjeux de la dernière étape vers Gênes. Diffusé le 13 juin 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Véritable pilier des projets de son mari Jean, Anne Le Cam n'était pourtant absolument pas prédestinée à se retrouver embarquée sur ses projets au long cours. A la fin des années 80, elle débarque à Port-la-Forêt “pour se reconstruire”, elle n'en dira pas plus. Elle travaille d'abord pour Nautisme en Finistère, “une expérience merveilleuse”, qui va lui permettre de mettre en avant sa capacité à monter des projets et son sens de l'humain. Dans le même temps, elle devient la compagne de Jean Le Cam, sans pour autant être une fan de voile et de course au large, confiant : “Je ne sais pas si j'ai vraiment une histoire d'amour avec la mer et les bateaux.” Ce qui ne l'empêche pas d'accompagner ce dernier dans ses aventures maritimes, tournées depuis maintenant vingt ans autour du Vendée Globe. Elle trouve aussi le temps de monter son restaurant, Le Kinawa, à quelques mètres du pôle Finistère de Port-la-Forêt, dont Jean est un pilier. ”Au départ, je devais faire des plats pour que les marins les emportent en mer, finalement, c'est devenu un restaurant. J'ai repris des études, car ça ne s'invente pas”. Tout en faisant tourner la boutique, Anne Le Cam vit de l'intérieur les courses et les tours du monde de son mari, l'aide dans la recherche de sponsors, le porte quand il est en mer et… soigne son cancer du sein. Ça fait beaucoup. “Je pense que nous les femmes, on a une énergie assez considérable”, explique-t-elle. Lors de la dernière campagne de Vendée Globe de Jean, elle était chef du projet, cravachant aux côtés de son marin de mari pour que le projet voie le jour. “Etre au départ était déjà une sacrée victoire”. Quand il est en mer, elle prend son rythme - “Je suis un peu libre, je fais ma vie” sourit-elle - mais toujours à l'affût d'un appel et présente s'il a besoin de parler. “Quand il y a eu l'accident de Kevin (Escoffier), je l'ai eu en pleurs, il pensait qu'il ne le retrouverait pas, et puis Kevin est monté à bord, ça a été les montagnes russes de l'émotion.” Ces derniers temps, même si elle n'est jamais très loin du chantier dans lequel Jean construit son nouveau bateau, Anne a décidé de prendre un peu de recul, parce qu'elle aimerait ouvrir un nouveau chapitre en s'adonnant à un rêve de toujours : écrire. Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft. Diffusé le 24 mai 2023 Post production : Grégoire Levillain Générique : All the summer girls
Ce 118e épisode refait le match de la quatrième étape de The Ocean Race entre Itajai et Newport avec trois de ses protagonistes, l'Irlandais Damian Foxall, vainqueur à bord de 11th Hour Racing Team, Nicolas Lunven, navigateur sur Malizia, deuxième de cette étape, et Sébastien Simon qui a eu l'infortune de subir un démâtage sur Guyot Environnement-Team Europe. Tous commencent par revenir sur leur état d'esprit avant le coup d'envoi de cette étape, entre nécessité de “faire quelque chose sur une étape parfaite pour le bateau” pour 11th Hour Racing Team, bonne dynamique à poursuivre pour Malizia, vainqueur de l'étape précédente, et envie de prendre chaque étape “comme une nouvelle course” pour Guyot Environnement -Team Europe, qui sortait d'un abandon sur l'étape 3. Les trois marins racontent le début de course au large du Brésil, puis comment ils ont appris le démâtage de Holcim-PRB. Damian Foxall explique que, pour avoir lui-même connu des démâtages, il a ressenti “une connexion viscérale” avec l'équipage de Kevin Escoffier, dont Nicolas Lunven salue la transparence sur les causes de l'avarie. La suite de cette étape a été marquée par un duel de plus d'une semaine entre 11th Hour Racing Team et Malizia, Damian Foxall ayant eu l'impression de vivre “un long Figaro”. Sébastien Simon raconte ensuite comment Guyot Environnement-Team Europe s'est fait décrocher, notamment à cause de la casse de la downline d'un foil, qui permet de descendre l'appendice, ce qui n'a pas empêché le plan VPLP-Verdier, une fois la réparation effectuée, de battre son record sur 24 heures dans les alizés, avec 573 milles. Damian Foxall raconte ses sensations à haute vitesse, proches selon lui de celles qu'il a connues en MOD70, ce qui lui fait dire que les Imoca sont des “monomarans”. Sébastien Simon revient ensuite sur le démâtage de Guyot Environnement-Team Europe survenu le 9 mai lors d'un passage de front, alors que l'équipage avait joué la prudence en réduisant considérablement la toile, il détaille comment il a fallu réagir très vite pour sécuriser le bateau puis le convoyage sous gréement de fortune vers Halifax (Canada), avec au passage un ravitaillement de gasoil “rock'n roll” en pleine mer. Pour finir, Damian Foxall raconte la joie et le soulagement ressentis à l'arrivée par l'équipage américain de 11th Hour Racing Team de s'imposer à domicile, avec au classement général des compteurs quasiment remis à zéro entre les trois premiers, “comme si on partait d'Alicante”, sourit l'Irlandais. Diffusé le 16 mai 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Ce 114e épisode refait le match de la troisième étape de The Ocean Race, la plus longue de l'histoire de la course autour du monde en équipage (12 750 milles), en compagnie de Kevin Escoffier, skipper de Holcim-PRB, deuxième de cette étape et leader au classement général, et de Sam Davies, qui faisait partie de l'équipage de Biotherm, quatrième de l'étape et au général. Cette dernière évoque une étape “épique”, mal débutée par Biotherm, contraint de retourner au port après un planté lors du parcours préliminaire au Cap, couru, selon Kevin Escoffier, “dans des conditions qu'on n'accepte pas dans nos courses en France”, Holcim-PRB ayant fait une pointe à 38-39 noeuds ! D'où des consignes de prudence pour l'équipage mené par le Malouin qui va cependant très vite s'échapper à la faveur des avaries de ses concurrents et d'un meilleur positionnement à l'avant d'une dépression. Ce qui lui a permis de compter presque 600 milles de marge après quelques jours de course, “une avance conséquente que nous n'avons pas pu concrétiser par la suite, en partie à cause de la limite des glaces”, explique Kevin Escoffier, tout de même passé en tête à la scoring gate de Tasmanie, où étaient attribués la moitié des points de l'étape. En effet, Biotherm, 11th Hour Racing Team et Malizia Seaexplorer ont peu à peu comblé leur retard, Sam Davies confiant une “légère frustration” de passer la scoring gate en quatrième position, en raison d'un léger déficit de vitesse par rapport à ses concurrents. Kevin Escoffier détaille ensuite les conditions dans lesquelles Holcim-PRB a battu le record des 24 heures (595 milles contre 539 auparavant), évoquant une “meilleure heure à 27,8 noeuds de moyenne” et estimant que le record en monocoque de Comanche (618 milles) aurait pu être battu à l'occasion, mais n'était pas l'objectif de son équipage. Sam Davies raconte une traversée du Pacifique assez calme avec une zone de molle à l'avant de la flotte agissant “comme la safety-car en Formule 1” et avait pour conséquence de sans cesse regrouper la flotte, au point qu'elle a parfois eu l'impression “d'être en stage d'entraînement à Port-la-Forêt”, avec les quatre bateaux à vue. Finalement, Malizia Seaexplorer et Holcim-PRB sont parvenus à creuser un petit écart quand le vent a forci juste avant le Horn, Kevin Escoffier estimant que le plan VPLP de Boris Herrmann a “un petit plus dans les conditions de mer plus solides”. Les deux marins racontent leur passage du cap Horn, le troisième pour le Malouin, le quatrième pour Sam Davies, qui explique que “la fête a été vite gâchée” sur Biotherm, privé d'aériens et obligé de finir l'étape sans indication de direction et de force du vent. Le bateau de Paul Meilhat va ensuite subir une casse de foil après une collision avec un ofni, ce qui ne l'empêchera pas de menacer dans les derniers milles de l'étape 11th Hour Racing Team, lui aussi handicapé. Kevin Escoffier raconte de son côté une fin d'étape au cours de laquelle les deux bateaux de tête ont “enchaîné les dépressions”, dont une dernière dans laquelle, suite à un problème électronique, Holcim-PRB a connu deux départs à l'abattée et cassé des lattes, ce qui a permis à Malizia-Seaexplorer de creuser un petit écart et de l'emporter à Itajai. “C'est la seule phase un peu frustrante” de l'étape, estime le skipper, cependant très satisfait de la terminer avec 9 points, comme Team Malizia, et de rester solidement installé en tête du général. “Tout est encore à faire”, modère le Malouin qui dévoile au passage la composition de son équipage pour la quatrième étape. The Ocean Race est terminé pour Sam Davies qui va retrouver la semaine prochaine son Imoca Initiatives Coeur avec une rentrée programmée début mai sur la Guyader Bermudes 1000 Race. Diffusé le 11 avril 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
« A la maison, on avait le droit à la télé pour regarder du sport. » Voilà comment, enfant, Marine Derrien s'est prise de passion pour le sport, au point, confie-t-elle, d'avoir « tout fait pour être dans les coulisses ». Avec réussite, puisque, à 38 ans, elle peut se targuer d'un parcours riche et varié, tant en France qu'à l'étranger. Diplômée de commerce international, elle effectue ainsi son premier stage outre-Manche auprès du tandem constitué d'Ellen Mac Arthur et de Mark Turner, deux personnalités qui vont la marquer pour toujours. « Ellen a été un modèle, elle ne se posait pas de question et mettait tout en œuvre pour réussir ce qu'elle avait décidé, Mark, c'est mon mentor. » Ce dernier l'embauche comme responsable logistique sur les Extreme Sailing Series, elle passe ensuite par Luna Rossa sur la Coupe de l'America 2013 à San Francisco, puis devient bras droit de Bruno Dubois au sein de l'équipe Dongfeng Race Team, engagé sur la Volvo Ocean Race 2013-2014. « Un des souvenirs les plus forts de toute ma carrière restera le démâtage du bateau et tout ce qu'il a fallu mettre en œuvre pour que l'équipe puisse repartir ensuite. » Marine Derrien revient ensuite en France, directrice des opérations événementielles pour OC Sport Pen Duick, oeuvrant sur des courses comme la Solitaire du Figaro ou la Route du Rhum : « Le retour a été rude ; à l'étranger, je n'avais jamais ressenti que le fait d'être une femme puisse être une entrave, on me choisissait pour ce que je savais faire, en France, c'était différent. » Elle prend un nouveau virage en 2020, choisissant de réintégrer des équipes professionnelles. D'abord au sein de TR Racing, la structure de Thomas Ruyant, sur le Vendée Globe 2020, ensuite, depuis mai 2021, en tant que team manager de Holcim PRB, l'équipe de Kevin Escoffier, actuellement en tête de The Ocean Race. Là encore, elle a dû s'imposer : « Au départ, il a fallu assoir mon autorité au sein de l'équipe et autour, bien faire comprendre que c'était moi le chef. » Avant d'ajouter : « Je pense que j'apporte de la rondeur, j'aime mener une équipe dans la bienveillance. » Marine Derrien estime pour finir que si la féminisation a progressé dans l'univers de la voile de compétition, « il faut des femmes à des postes à grosses responsabilités ! » Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft. Diffusé le 15 mars 2023. Post production : Grégoire Levillain Générique : All the summer girls
Ce 106e épisode de Pos. report revient sur la deuxième étape de The Ocean Race avec le Britannique Sam Goodchild, vainqueur à bord d'Holcim PRB, et Anne Beaugé, on-board reporter sur Biotherm, l'Imoca de Paul Meilhat, deuxième de cette étape de 4 600 milles entre le Cap Vert et Le Cap, en Afrique du Sud. Cette dernière commence par raconter comment, après une première carrière dans la mode et la publicité, elle s'est prise de passion pour la mer, au point de se lancer en Mini 6.50 puis en Class40, avant de revenir à l'image, ce qui lui a valu d'être contactée par Paul Meilhat pour faire partie des on-board reporters de Biotherm sur The Ocean Race. De son côté, Sam Goodchild explique que c'est lui qui a postulé auprès de Kevin Escoffier, skipper d'Holcim PRB, lui qui confie avoir toujours été attiré par The Ocean Race, “une course mythique” dans le monde anglo-saxon. Nous commençons ensuite à dérouler le fil de la deuxième étape, avec un premier enjeu majeur, le passage de Pot-au-noir, qui a vu Guyot Environnement-Team Europe prendre le pouvoir grâce à une option à l'est que ses concurrents n'ont pas voulu suivre. “On n'y croyait pas, chapeau à eux”, commente Sam Goodchild. Place ensuite à un premier speed-test lors du bord de reaching vers le Brésil, des conditions pas évidentes lorsqu'on doit, comme Anne Beaugé, tenir une caméra ou un appareil photo, tant les conditions sont parfois bien inconfortables à bord des Imoca lancés à haute vitesse. Cette dernière décrit au passage sa journée type, rythmée par les envois d'images à l'organisation. Sam Goodchild raconte ensuite la stratégie du contournement de l'anticyclone de Sainte-Hélène, puis le dernier tronçon entre l'Amérique du Sud et Le Cap, qu'il a fallu négocier par une route très sud, proche de la limite des glaces. La fin de l'étape a totalement redistribué les cartes, en raison d'une dorsale anticyclonique sur la route, nos deux invités racontant comment ils ont vécu les 24 dernières heures, finalement favorables à Holcim PRB, arrivé avec 16 minutes et 45 secondes d'avance sur Biotherm, 25 minutes et 31 secondes sur 11th Hour Racing. Nous finissons par évoquer l'avenir, Sam Goodchild confirmant qu'il va se lancer sur un projet de Vendée Globe - bientôt officialisé -, d'où un programme bien chargé cette année, Anne Beaugé souhaitant quant à elle continuer à collaborer avec des équipes et/ou des courses. Diffusé le 14 février 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
This month's edition of Shirley Robertson's Sailing Podcast comes from the Spanish port of Alicante, long time home to the Ocean Race, as the fourteenth edition of this famous round the world adventure gets underway with a dramatic new look.On what is the fiftieth anniversary of what was originally called the Whitbread Round The World Race, then became famous as the Volvo Ocean Race and is now being sailed as simply The Ocean Race, Shirley Robertson presents her podcast from the start of the thirty two thousand nautical mile odyssey. In this edition she talks to skippers and crew members from each of the five foiling IMOCA entrants, and catches up with Ocean Race Co-President, Johan Salen, to talk thorough the class changes, and the future of the Race.Now being sailed in the IMOCA class, the superfast foiling monohulls more familiar to Vendee Globe fans, much of the dockside chat was over sailing these solo-orientated speed machines with a crew, and how sailing from the almost fully covered cockpits was a huge departure for this race.In Part 1 of this two part podcast, Robertson talks all things Ocean Race with three of the five IMOCA teams taking on the challenge, including Charlie Enright of '11th Hour Racing'....:"It almost requires a more natural sailor, because you are trying to do it with less feedback, if that makes sense, so it's more seat of the pants, it's more feeling, it's really unique to be sailing inside and down below."From 'Holcim PRB', French offshore skipper Kevin Escoffier is also in PArt 1..: "You have to discover new ways of feeling it, the vibration, the sounds of the foils...anybody who has sailed a dinghy will know, if they close their eyes, they will feel the boat."Part 1 also includes guest appearances from The Ocean Race race village with one time winner of the Volvo Ocean Race, Ian Walker, and Team SCA Volvo skipper Sam Davies. Episode 1 then wraps up with two time Ocean Race sailor Annie Lush of 'Guyot environnment' discussing the differences between this edition of the race and her two previous editions.This edition of The Ocean Race is a fascinating new era - in Part 2 of this podcast, Robertson talks with Co-President of the Race, Johan Salen, two time Volvo Ocean Race sailor Annie Lush, British offshore sailor Will Harris of Team Malizia and to IMOCA regular, Route du Rhum winner Paul Meilhat, skippering 'Biotherm'. This edition of the podcast is in two parts and is available to listen to via the podcast page of Shirley's own website - www.shirleyrobertson.com/podcast or via most popular podcast outlets, including Apple Podcasts, Spotify, Google Podcast and aCast. The podcast is produced and written by Tim Butt - for further enquires, please contact podcast@shirleyrobertson.com. Support the show
Ce 101e épisode de Pos. Report est consacré à The Ocean Race, dont le départ de la première étape est donné le 15 janvier d'Alicante à destination du Cap Vert, en compagnie de Kevin Escoffier, skipper de l'Imoca Holcim-PRB, et de Nicolas Lunven, navigateur à bord de Malizia-Seaexplorer, le bateau de Boris Herrmann. Les deux marins commencent par revenir sur la régate in-port disputée dimanche à Alicante dans des conditions instables qui ont souri à Malizia-Seaxplorer, vainqueur, “une belle récompense pour l'équipe technique” selon Nicolas Lunven, en référence au travail effectué par cette dernière pendant les fêtes (voir ci-dessous). On effectue ensuite un retour en arrière avec Kevin Escoffier qui raconte comment The Ocean Race, initialement non prévue, s'est rajoutée au programme de l'équipe, le nouveau propriétaire de PRB, le Suisse Holcim, y ayant vu l'opportunité de communiquer à l'international. D'où “une grosse charge de travail” pour l'équipe et “une pression technique parce qu'il ne fallait pas qu'on ait des soucis”, notamment sur la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, dont le Malouin a pris la quatrième place. Nicolas Lunven explique quant à lui comment il a été contacté assez en amont par Boris Herrmann, qui, depuis le début, avait fait part de son intention de courir The Ocean Race. Les deux marins détaillent ensuite leurs équipages respectifs, la répartition des rôles à bord et une préparation minimale, notamment pour Kevin Escoffier qui, avant le départ de la première étape dimanche, n'aura navigué que quelques jours avec son équipage. La course contre la montre s'est intensifiée ces derniers mois du fait de la participation des deux bateaux à la Route du Rhum, avec des contrariétés dans les deux équipes : la blessure de Sam Goodchild du côté de Holcim PRB - l'Anglais devait faire le convoyage retour des Antilles -, la découverte de problèmes sur les deux foils de Malizia-Seaxplorer pour le team de Boris Herrmann, qui a réussi à en récupérer deux en fin de construction chez Avel Robotics, d'où des fêtes très chargées pour l'équipe technique qui a dû les finir, les adapter et les installer. Nous évoquons ensuite avec nos deux invités les designs respectifs des deux bateaux, Kevin Escoffier comparant son bateau à "une voiture de WRC" (rallye), celui de Boris Herrmann à "un 4x4", puis les enjeux techniques d'une course qui, avec seulement cinq bateaux au départ, ne peut pas trop se permettre d'en perdre en route. Interrogés sur le favori de The Ocean Race, ils citent tous les deux 11th Hour Racing Team, parti le premier, Nicolas Lunven voyant également Holcim-PRB “bien placé”. Nous finissons par évoquer la première étape vers le Cap Vert, avec pour enjeu principal la sortie de Méditerranée qui fait dire à Kevin Escoffier que souvent, “le premier qui passe à Gibraltar a de bonnes chances de creuser l'écart”. Diffusé le 10 janvier 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Ce 99e épisode de Pos. Report propose une rétrospective de quelques grands faits marquants de l'année 2022, commentés par trois journalistes spécialisés dans la voile de compétition, Jacques Guyader (Ouest-France), Stéfan L'Hermitte (L'Équipe) et Paul Gury (Voile Magazine). Nous commençons par revenir rapidement sur l'élection du Marin de l'Année, avec un titre pour Jean-Baptiste Bernaz que Stéfan L'Hermitte juge mérité car il estime qu'une victoire, en l'occurrence au championnat du monde d'ILCA 7 (Laser) pour le Varois, “se mesure à l'adversité”, très forte dans cette discipline olympique. Jacques Guyader trouve de son côté “que ça n'a pas de sens de mélanger des choux et des carottes” dans cette élection, à savoir marins olympiques et coureurs au large. Nous ouvrons ensuite une page Imoca, avec une domination sur la saison du trio Thomas Ruyant-Charlie Dalin-Jérémie Beyou, “les plus entraînés, les plus expérimentés, les plus talentueux et ceux qui ont les meilleurs bateaux”, selon Jacques Guyader. Paul Gury estime cependant que “le jeu va s'ouvrir” l'an prochain, avec notamment Maxime Sorel, “qui a fait une course extraordinaire” sur la Route du Rhum, ou Kevin Escoffier, tandis que la performance sur le Rhum de Justine Mettraux, 7e, est également soulignée. Nous fermons ce chapitre par la prochaine Ocean Race dont ce sera la première en Imoca, “un pari” que Jacques Guyader, malgré seulement 5 bateaux au départ, voit gagnant dans le temps, persuadé qu'ils seront le double lors de l'édition suivante. Place ensuite à la classe Ultim, marquée cette année par “l'affaire Gabart vs la classe", “une sorte de rupture de digue pour la voile qui était jusqu'ici à l'écart d'une certaine vision du monde”, pour Stéfan L'Hermitte, tandis que Jacques Guyader pense que les “prochaines semaines seront décisives” pour la résolution, ou non, du conflit. D'un point de vue sportif, Paul Gury note que “l'écart se réduit entre le Maxi Edmond de Rothschild et Banque Populaire et SVR Lazartigue”, ce qui promet dans la perspective de l'Arkea Ultim Challenge Brest, première course autour du monde en solitaire qui s'élancera dans un an. Nous enchaînons par le circuit Figaro avec la domination sans partage cette saison de Tom Laperche, vainqueur notamment de la Solitaire du Figaro, dont l'édition 2022 aura été “celle de la jeunesse” pour Paul Gury qui, comme nos autres invités, s'interroge sur le devenir d'une classe soumise à une forte concurrence, notamment de la part de la Class40 et de la classe Mini 6.50, “qui permettent de raconter des histoires”, selon Jacques Guyader. Nos invités commentent ensuite la saison de SailGP, circuit qui ne convainc ni Stéfan L'Hermitte, qui l'estime “à contre-temps” avec un côté business trop marqué, ni Jacques Guyader, même s'il reconnaît qu'il est de “très haut niveau avec le gratin mondial”. Nous finissons par évoquer la voile olympique et les chances de l'équipe de France de briller dans un an et demi lors des Jeux de Paris 2024. Diffusé le 13 décembre 2022 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Faut-il vraiment présenter Jean Le Cam ? Faut-il tenter de résumer une carrière débutée en 1978... et toujours en cours, 44 ans plus tard ? Devenu une véritable rock star adulée du grand public sur le tard, le Roi Jean, qui a fini par admettre son surnom, est une légende, tout simplement. Quel marin peut se targuer d'avoir gagné trois fois la Solitaire, navigué sur Pen Duick VI avec Tabarly, avoir été sauvé par Vincent Riou puis sauvé Kevin Escoffier, et préparer une sixième participation consécutive au Vendée Globe ? A l'âge où le Français moyen profite de la retraite, lui envisage tranquillement d'aller virer une énième fois un cap Horn, dont il a fait son jardin, ou presque. De la course au large à la française, Le Cam a tout vécu - à l'exception de la Mini Transat. Après une première participation à la Solitaire du Figaro en 1978 - l'année où le regretté Mike Birch gagne la mythique première édition du Rhum -, puis une Whitbread sur Euromarché avec Tabarly, le jeune Finistérien est un pilier de la saga Jet Services, puis du circuit Formule 40, à la fin des années 1980. Quelques années plus tôt, il a créé CDK avec Gaétan Gouérou et Hubert Desjoyeaux, son ami d'enfance, qui a donné son nom au bateau avec lequel il a brillé lors du dernier Vendée Globe. Puis ce sont les années 1990 dédiées au Figaro, une décennie pendant laquelle il va bâtir les fondamentaux de sa légende : trois victoires dans la Solitaire, une autre dans la transat AG2R, en six saisons. Le Roi Jean règne sur le figarisme, il est temps de passer à l'Orma. Des trois saisons qu'il passe sur son multicoque de 60 pieds Bonduelle, Jean Le Cam dit tout simplement : "Ce sont des bateaux de fous". En basculant, en 2008 dans la classe Imoca, le Quimpérois va retrouver le plaisir et entamer une relation fusionnelle avec une course qu'il va faire sienne : le Vendée Globe. Cinq éditions où se mêlent podiums, chavirage, sauvetages, régate au couteau mais aussi répliques mythiques et fulgurances stylistiques. Pour son sixième tour, Le Cam part avec un projet neuf et innovant - un scow sans foils - et, changement important, un budget quasi bouclé deux ans avant le départ. Une nouveauté pour un marin qui continue, saisons après saisons, d'avoir la course dans la peau - tout simplement. Diffusé le 4 novembre 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Faut-il vraiment présenter Jean Le Cam ? Faut-il tenter de résumer une carrière débutée en 1978... et toujours en cours, 44 ans plus tard ? Devenu une véritable rock star adulée du grand public sur le tard, le Roi Jean, qui a fini par admettre son surnom, est une légende, tout simplement. Quel marin peut se targuer d'avoir gagné trois fois la Solitaire, navigué sur Pen Duick VI avec Tabarly, avoir été sauvé par Vincent Riou puis sauvé Kevin Escoffier, et préparer une sixième participation consécutive au Vendée Globe ? A l'âge où le Français moyen profite de la retraite, lui envisage tranquillement d'aller virer une énième fois un cap Horn, dont il a fait son jardin, ou presque. De la course au large à la française, Le Cam a tout vécu - à l'exception de la Mini Transat. Après une première participation à la Solitaire du Figaro en 1978 - l'année où le regretté Mike Birch gagne la mythique première édition du Rhum -, puis une Whitbread sur Euromarché avec Tabarly, le jeune Finistérien est un pilier de la saga Jet Services, puis du circuit Formule 40, à la fin des années 1980. Quelques années plus tôt, il a créé CDK avec Gaétan Gouérou et Hubert Desjoyeaux, son ami d'enfance, qui a donné son nom au bateau avec lequel il a brillé lors du dernier Vendée Globe. Puis ce sont les années 1990 dédiées au Figaro, une décennie pendant laquelle il va bâtir les fondamentaux de sa légende : trois victoires dans la Solitaire, une autre dans la transat AG2R, en six saisons. Le Roi Jean règne sur le figarisme, il est temps de passer à l'Orma. Des trois saisons qu'il passe sur son multicoque de 60 pieds Bonduelle, Jean Le Cam dit tout simplement : "Ce sont des bateaux de fous". En basculant, en 2008 dans la classe Imoca, le Quimpérois va retrouver le plaisir et entamer une relation fusionnelle avec une course qu'il va faire sienne : le Vendée Globe. Cinq éditions où se mêlent podiums, chavirage, sauvetages, régate au couteau mais aussi répliques mythiques et fulgurances stylistiques. Pour son sixième tour, Le Cam part avec un projet neuf et innovant - un scow sans foils - et, changement important, un budget quasi bouclé deux ans avant le départ. Une nouveauté pour un marin qui continue, saisons après saisons, d'avoir la course dans la peau - tout simplement. Diffusé le 28 octobre 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
durée : 00:02:02 - France Bleu Loire Océan - Reportage
Pendant les fêtes, Tip & Shaft rediffuse les deux épisodes d'Into The Wind les plus écoutés en 2021. Première rediffusion cette semaine avec l'épisode #36 de Kevin Escoffier, le plus écouté cette année, enregistré fin mai, quelques semaines après son naufrage et son sauvetage dans par Jean Le Cam dans le Vendée Globe. --- Première diffusion le 23 mai 2021 Il fut d'abord joueur de rugby, déjà attiré par la mer. Mais quand on est malouin, bercé par les départs de Route du Rhum, avec un père – Franck-Yves Escoffier – marin-pêcheur-coureur, on est tôt ou tard rattrapé par la patrouille… A 41 ans, Kevin Escoffier est un cas rare : celui d'un ingénieur passionné, passé des bureaux d'études pointus, où il a participé à la conception de machines hors normes, aux courses au large les plus engagées. Après ses études, il est lancé dans le grand bain par Michel Desjoyeaux qui le recrute chez Mer Agitée, où il participe à la conception du Multi50 de son père – avec qui il gagne la Transat Jacques Vabre 2005 – et du PRB sur plan Farr de Vincent Riou pour le Vendée Globe 2008. Avant de rentrer chez Banque Populaire, pour la construction de Banque Populaire V, le plus grand trimaran de course du monde… Il a beau être passionné, l'envie de naviguer ne cesse de grandir. Avec Pascal Bidégorry, skipper Banque Populaire à l'époque, il gagne sa place à bord et devient un naviguant indispensable, établissant nombre de records, dont le Jules Verne. Quand le Basque, débarqué du team Banque Pop, s'engage auprès de Charles Caudrelier sur Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2014-15, les deux hommes font appel à Kevin Escoffier. Le Malouin s'éclate et reviendra dans l'édition suivante pour gagner avec eux. L'ingénieur fera des allers-retours entre le BE de Banque Populaire et ses engagements en équipage, jusqu'à ce que Vincent Riou l'appelle pour lui succéder chez PRB. Sans jamais avoir participé à la Solitaire du Figaro, il s'aligne au départ du dernier Vendée Globe, le préparant en quelques mois où l'on comprend vite qu'il sera à l'aise après nombre de podiums en 2019 avec Nicolas Lunven. Il est dans le paquet de tête quand son Imoca s'ouvre en deux sous ses pieds, le 30 novembre. On connaît l'histoire : sauvé par Jean Le Cam, avec qui il traverse l'Indien, Kevin Escoffier est rapatrié par la Marine nationale à La Réunion. Rien qui ne le décourage de repartir pour le Vendée Globe 2024, avec le soutien de son sponsor. En attendant, Kevin Escoffier est retourné, une fois de plus, chez Banque Populaire, non plus au bureau d'études, mais comme équipier d'Armel Le Cléac'h sur le nouvel Ultim pour la prochaine Transat Jacques Vabre. Un parcours, dense et original, que le skipper de PRB raconte pendant 2h30 avec passion et franchise, et ce ton toujours clair, précis, direct. Générique : In Closing – Days Past Post-production : Clovis Tisserand
durée : 00:51:23 - Par Jupiter ! - par : Charline Vanhoenacker, Alex VIZOREK - Bonjour la France Inter ! Aujourd'hui, Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek reçoivent le navigateur Armel Le Cléac'h, tout juste revenu de la course Transat Jacques Vabre où il est arrivé troisième avec son compagnon Kevin Escoffier. - réalisé par : François AUDOIN
durée : 00:51:23 - Par Jupiter ! - par : Charline Vanhoenacker, Alex VIZOREK - Bonjour la France Inter ! Aujourd'hui, Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek reçoivent le navigateur Armel Le Cléac'h, tout juste revenu de la course Transat Jacques Vabre où il est arrivé troisième avec son compagnon Kevin Escoffier. - réalisé par : François AUDOIN
Comme tous les mois, Pos. Report se mue en club de la presse, en recevant trois journalistes pour commenter l'actualité voile du moment. Pour ce 49e épisode, nos invités sont Hélène Cougoule, grand reporter au service des sports de Canal +, Stéfan L'Hermitte, grand reporter à L'Equipe, et François-Xavier de Crécy, rédacteur en chef de Voile Magazine. Avec eux, nous commençons par évoquer l'arrivée de la Mini Transat EuroChef et les victoires de Pierre Le Roy en proto et d'Hugo Dhallenne en série (sur deux plans David Raison). François-Xavier de Crécy confie avoir été impressionné par « les moyennes assez dingues » tenues à certains moments par le premier, rappelant par ailleurs que David Raison a « initié un mouvement de fond en repensant le scow », qui commence à toucher également les bateaux de croisière. Stéfan L'Hermitte loue de son côté « l'école de la liberté » qu'est la Mini Transat, une épreuve qui continue à accueillir des profils très différents, notamment des étrangers et des femmes, bien plus représentés sur cette course que dans d'autres. Nous ouvrons ensuite une page Transat Jacques Vabre en balayant les quatre classes de bateaux. Hélène Cougoule, qui a consacré un épisode de l'émission Intérieur Sport au duo Armel Le Cléac'h/Kevin Escoffier, analyse la performance des deux skippers de Banque Populaire XI, deuxièmes ce mardi, qui « remplissent pour l'instant leur mission », avec « une target toujours devant », à savoir le Maxi Edmond de Rothschild, le favori, qui tient pour l'instant son rang. En Imoca, nos trois invités soulignent « la maturité incroyable » d'une classe et de marins qui, pour reprendre les mots d'Hélène Cougoule, ont bénéficié au Havre d'un « effet Vendée Globe assez génial ». Pour eux, la transat donne pour l'instant lieu à « la hiérarchie attendue », avec trois bateaux de tête - LinkedOut, Charal, Apivia - menés par « trois skippers qui ont des revanches à prendre », selon Stéfan L'Hermitte. François-Xavier de Crécy évoque ensuite la régate en Ocean Fifty, « une classe en pleine bourre qui rappelle un peu l'Orma », tandis que nous achevons cet épisode par la Class40, qui, pour Stéfan L'Hermitte, « reste une classe assez accessible et réunit un beau mix générationnel, un mouvement qu'il faut encourager. » Hélène Cougoule souligne de son côté la bonne prestation du duo féminin Amélie Grassi/Marie Riou sur La Boulangère Bio, mis à l'eau un mois avant le départ. Diffusé le 16 novembre 2021 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Clovis Tisserand
Ombline Roche et Julien Pearce vous accompagnent chaque jour de la semaine dès les premières lueurs du soleil avec de l'information et de la convivialité. L'émission parfaite pour commencer la journée du bon pied, et informer.
durée : 00:36:40 - Le téléphone sonne - Dimanche prochain débutera la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre. Avec un nombre de participants record et de nouveaux aménagements, cette course s'annonce pleine de surprises. Ce soir, posez toutes vos questions aux navigateurs Armel Le Cléac'h et Kevin Escoffier !
Vainqueur du dernier Vendée Globe, Yannick Bestaven reçoit Flo Masnada chez lui à La Rochelle, à quelques mètres seulement de son monocoque Maître Coq.Le skipper revient sur ses débuts en canoé kayak et en planche à voile sur le bassin d'Arcachon avant de bifurquer vers la voile et la course au large au détour d'une rencontre avec Yves Parlier (02:16).Il revient évidemment sur sa victoire sur le Vendée Globe 2020-2021, une victoire d'équipe comme il aime le souligner (08:20) alors que 12 personnes sont présentes autour de lui pour la réussite du projet.Yannick se souvient aussi des moments clés de ce tour du monde victorieux (15:21) : le départ, le sauvetage de Kevin Escoffier, le passage du Cap Horn ainsi que la vie à bord et sa gestion du sommeil (23:50). "J'essayais de ne pas dormir plus de 60 minutes d'affilée", explique-t-il.Enfin, il revient sur ses sensations de retour sur terre, la victoire mais aussi la suite avec les règles sanitaires qui n'ont pas été simples à gérer (33:55).C'est tout cela que le skipper raconte cette semaine dans le podcast "Belle Trace", sur Eurosport. Bonne écouteEcoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Abdelatif Benazzi : "Mon premier haka ? J'ai regardé dans mon pantalon pour voir ce qu'il y avait"Samir Aït Saïd : "A Paris, ça va être un happy ending"Grégory Coupet : "Je suis parti du stage de Tignes à cause de ma relation avec Domenech et j'ai fait demi-tour grâce à ma maman"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport iciAnimation : Flo MasnadaProduction : Bababam Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce 42e épisode de Pos. Report est consacré à classe Ultim, avec deux invités qui prendront le départ le 7 novembre de la Transat Jacques Vabre : Kevin Escoffier, co-skipper d'Armel Le Cléac'h sur le Maxi Banque Populaire XI, et Thomas Rouxel, qui accompagnera Thomas Coville sur Sodebo Ultim 3. Nos deux invités commencent par raconter comment ils ont préparé cette année la transat en double, avec notamment un fonctionnement à quatre sur Sodebo Ultim 3, avec en plus Matthieu Vandame et Corentin Horeau, un dispositif qui permet, selon Thomas Rouxel « d'avoir des regards extérieurs et d'alterner les duos. » Kevin Escoffier confie de son côté que la priorité, sur Banque Populaire XI, mis à l'eau fin avril dernier, est tournée vers la fiabilité, en particulier des nombreux systèmes à bord (safrans rétractables, montée et descente des foils, réglage du rake…). L'ancien patron du bureau d'études du Team Banque Populaire détaille les principales différences entre le précédent trimaran, Banque Populaire IX, perdu sur la Route du Rhum 2018, et le dernier sorti, dont le centre de gravité est plus avancé, ce qui lui permet de « naviguer bow down, avec le nez qui pique, afin d'être beaucoup plus stable à la gîte et plus facile. » Thomas Rouxel explique de son côté les dernières évolutions sur Sodebo Ultim 3, avec notamment des nouveaux safrans de flotteurs rétractables et plus profonds, « pour gagner en fiabilité et en contrôle. » Les deux marins évoquent également la concurrence, du nouveau SVR Lazartigue, sur lequel, selon Kevin Escoffier, les architectes et l'équipe de MerConcept « ont poussé le curseur aérodynamique très loin », au Maxi Edmond de Rothschild, qu'ils considèrent tous les deux comme le favori de la Transat Jacques Vabre, en passant par Actual Ultim 3, qu'ils estiment capable de tirer son épingle du jeu sur la transat en double. Pour finir, Kevin Escoffier évoque son projet Imoca toujours soutenu par PRB, avec un bateau en cours de construction en Angleterre au chantier Carrington qu'il attend à Lorient « pour Noël ». Avec une mise à l'eau au printemps prochain, l'intéressé n'excluant pas de participer à The Ocean Race en plus de la Route du Rhum fin 2022. Thomas Rouxel continuera sans doute de son côté à accompagner Thomas Coville en Ultim, tout en restant attentif à d'autres projets. Diffusé le 28 septembre 2021 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Clovis Tisserand
Le naufrage a finalement connu un dénouement heureux. Jean Le Cam a réussi le sauvetage, en pleine nuit. Il cohabite pendant plusieurs jours avec Kevin Escoffier à bord de son bateau… Mais pour poursuivre son tour du monde en solitaire, il doit désormais le débarquer. Ensuite, seulement, la course reprendra pour Jean, alors que le tourbillon médiatique débutera pour Kevin. Vous entendrez dans ce sixième épisode : Jacques Caraës, le directeur de course du Vendée Globe ; Kevin Escoffier, “le naufragé” ; Fabienne Morin, responsable communication de PRB ; Yannick Bestaven, skipper de Maître Coq, qui a remporté le Vendée Globe fin janvier ; et Sabrina Millien, la femme de Kevin. Ce sixième et dernier épisode raconte ainsi l'après, une fois Kevin sauvé.
Il est environ 2 heures du matin, dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre 2020, quand Jean Le Cam retrouve Kevin Escoffier. Il est naufragé, dans son radeau de survie, depuis 11 heures. La mer est toujours chaotique, mais moins déchaînée qu'en fin d'après-midi. Cette fois, les conditions du sauvetage semblent réunies. la tension, déjà immense, monte encore d'un cran. Le dénouement est proche. Vous entendrez dans ce cinquième épisode : Kevin Escoffier ; Jean Le Cam, sur son bateau Yes We Cam ; Jean-Jacques Laurent, président de PRB ; Jacques Caraës, directeur de course du Vendée Globe ; et Sabrina Millien, la femme de Kevin. Ce cinquième épisode raconte le sauvetage, le moment où l'émotion atteint son maximum… ainsi que les heures et les jours qui suivent.
A terre, les heures sans nouvelle de Kevin Escoffier sont de plus en plus longues, ce soir du 30 novembre. En mer, l'inquiétude est identique… L'annonce de la nouvelle glace tous les coureurs, l'un des leurs a déclenché sa balise de détresse. Le premier skipper dérouté est Jean Le Cam. Il arrive sur place à 17 heures 04 et repère aussitôt Kevin dans son radeau de survie. Mais l'issue de l'histoire n'est pas proche pour autant. Vous entendrez dans ce quatrième épisode : Jean Le Cam, le skipper de Yes We Cam ; Jacques Caraës, le directeur de course ; bien sûr Kevin Escoffier ; Yannick Bestaven, skipper de Maître Coq ; et Sébastien Simon, skipper de Arkéa-Paprec. Ce quatrième épisode raconte, comme le précédent, toute cette soirée d'angoisse, mais cette fois vécue sur l'eau. Là où PRB a disparu, là où Kevin est recherché, dans les fameuses mers du Sud.
Littéralement cassé en deux après avoir planté dans une vague, le bateau PRB a pris l'eau. Kevin Escoffier n'a pas eu d'autre choix que d'embarquer dans son radeau de survie. Il envoie quelques mots pour les prévenir que son bateau coule. Deux heures plus tard, la presse est informée de ce brutal accident, sans plus de détails : “Kevin Escoffier déclenche sa balise de détresse, Jean Le Cam se déroute”. Vous entendrez dans ce troisième épisode : Sabrina Millien, la femme de Kevin ; Fabienne Morin, responsable communication de PRB ; Jacques Caraës, directeur de course ; Franck-Yves Escoffier, le père ; et Jean-Jacques Laurent, patron de PRB. Ce troisième épisode raconte ce qui a été vécu à terre. L'angoisse qui va grandir heure après heure, pour les proches de Kevin… Mais aussi le calme et la sérénité de la cellule de crise.
Pour son premier Vendée Globe, Kevin Escoffier réalise un début de course très convaincant, il est en troisième position après trois semaines en mer. Mais tout s'arrête net, le lundi 30 novembre 2020, en début d'après-midi. Son bateau PRB plante dans une vague et se casse en deux. L'étrave, l'avant du bateau, se replie à angle droit : une avarie que personne n'avait jusque-là imaginé. Avant l'action, l'instinct de survie, l'état d'alerte, c'est d'abord la stupeur. Vous entendrez dans ce deuxième épisode : Kevin Escoffier ; Fabienne Morin, responsable communication du projet PRB ; Jacques Caraës, directeur de course ; Jean-Jacques Laurent, président de PRB ; et Sabrina Millien, la femme de Kevin. Ce deuxième épisode raconte les minutes qui suivent l'accident, et les deux premières heures passées par Kevin dans son radeau de survie, alors que Jean Le Cam est dérouté pour lui porter secours.
Tous les quatre ans depuis 1989, le Vendée Globe raconte des histoires hors du commun… C'est l'une de ces histoires que ce podcast “Onde de choc” va vous raconter. Celle du naufrage, et du sauvetage, de Kevin Escoffier. En 2020, à 40 ans, Kevin Escoffier prend le départ de son premier Vendée Globe, un tour du monde en 80 jours, en solitaire. Une course comme nulle autre, qu'il prépare depuis un an et demi, sous les couleurs orange et noir de PRB. Vous entendrez dans ce premier épisode : Kevin Escoffier ; Sabrina Millien, la femme de Kevin ; Franck-Yves Escoffier, le père de Kevin ; Jean-Jacques Laurent, président de PRB, le sponsor de Kevin ; et Jacques Caraës, directeur de course. Ce premier épisode raconte toute la préparation au Vendée Globe de Kevin Escoffier, et les premières semaines de course. Du dimanche 8 novembre, jour du départ, au lundi 30 novembre, jour de l'accident…
Il fut d'abord joueur de rugby, déjà attiré par la mer. Mais quand on est malouin, bercé par les départs de Route du Rhum, avec un père - Franck-Yves Escoffier - marin-pêcheur-coureur, on est tôt ou tard rattrapé par la patrouille... A 41 ans, Kevin Escoffier est un cas rare : celui d'un ingénieur passionné, passé des bureaux d'études pointus, où il a participé à la conception de machines hors normes, aux courses au large les plus engagées. Après ses études, il est lancé dans le grand bain par Michel Desjoyeaux qui le recrute chez Mer Agitée, où il participe à la conception du Multi50 de son père - avec qui il gagne la Transat Jacques Vabre 2005 - et du PRB sur plan Farr de Vincent Riou pour le Vendée Globe 2008. Avant de renter, à 26 ans, chez Banque Populaire, pour la construction de Banque Populaire V, le plus grand trimaran de course du monde... Il a beau être passionné, l'envie de naviguer ne cesse de grandir. Avec Pascal Bidégorry, skipper Banque Populaire à l'époque, il gagne sa place à bord et devient un naviguant indispensable, établissant nombre de records, dont le Jules Verne. Quand le Basque, débarqué du team Banque Pop, s'engage auprès de Charles Caudrelier sur Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2014-15, les deux hommes font appel à Kevin Escoffier. Le Malouin s'éclate et reviendra dans l'édition suivante pour gagner avec eux. L'ingénieur fera des allers-retours entre le BE de Banque Populaire et ses engagements en équipage, jusqu'à ce que Vincent Riou l'appelle pour lui succéder chez PRB. Sans jamais avoir participé à la Solitaire du Figaro, il s'aligne au départ du dernier Vendée Globe, le préparant en quelques mois où l'on comprend vite qu'il sera à l'aise après nombre de podiums en 2019 avec Nicolas Lunven. Il est dans le paquet de tête quand son Imoca s'ouvre en deux sous ses pieds, le 30 novembre. On connaît l'histoire : sauvé par Jean Le Cam, avec qui il traverse l'Indien, Kevin Escoffier est rapatrié par la Marine nationale à La Réunion. Rien qui ne le décourage de repartir pour le Vendée Globe 2024, avec le soutien de son sponsor. En attendant, Kevin Escoffier est retourné, une fois de plus, chez Banque Populaire, non plus au bureau d'études, mais comme équipier d'Armel Le Cléac'h sur le nouvel Ultim pour la prochaine Transat Jacques Vabre. Un parcours, dense et original, que le skipper de PRB raconte pendant 2h30 avec passion et franchise, et ce ton toujours clair, précis, direct. Générique : In Closing – Days Past Post-production : Clovis Tisserand
Le lundi 30 novembre 2020, le Vendée Globe, d'ordinaire évocateur de rêve, vire au cauchemar. Un coureur déclenche sa balise de détresse et se retrouve dans un radeau de survie, en quelques minutes. “Onde de choc” raconte, en une série de six épisodes, cette histoire intense du naufrage et du sauvetage, de Kevin Escoffier, skipper du bateau PRB. Cette histoire y est racontée par ceux qui l'ont vécu, en mer et à terre. Le point de départ de ce documentaire est aussi la volonté de raconter cette histoire, restée sans image, par l'audio. Elle commence par le récit des neuf témoins et se poursuit surtout dans votre imaginaire…
Pour ce 26e épisode de Pos. Report, place à la classe Ultim, au moment où le nouveau Maxi Banque Populaire XI est mis à l'eau ce mardi 27 avril à Lorient. Nos invités sont justement le directeur du bureau d'études du Team Banque Populaire, Gautier Levisse, et Yves Le Blevec, skipper d'Actual Ultim 3 (ex Macif), remis à l'eau deux semaines plus tôt sous ses nouvelles couleurs. Nos deux invités racontent les derniers préparatifs avant ce cérémoniel, toujours important dans la vie d'un projet, Gautier Levisse précise ensuite en quoi le Maxi Banque Populaire XI est différent du précédent, le IX, perdu lors de la Route du Rhum 2018, avec un accent plus important mis sur le mode vol, donc sur les recherches aérodynamiques qui deviennent une priorité lorsque les bateaux ne touchent quasiment plus l'eau. Yves Le Blevec raconte de son côté ses toutes premières sensations à bord de son trimaran qui, estime-t-il, lui fait franchir deux paliers, tant ce plan VPLP est différent de son précédent bateau. Pour l'aider dans sa découverte d'Actual Ultim 3, il confie au passage s'appuyer sur des marins aux compétences diverses, venus effectuer quelques navigations à bord. Le navigateur de La Trinité-sur-Mer explique également comment son équipe a dû adapter son fonctionnement à sa nouvelle machine, avec le recrutement de trois personnes supplémentaires, et évoque des objectifs sportifs forcément revus à la hausse, estimant être capable de viser la victoire sur la Route du Rhum 2022. Quant à Gautier Levisse, il commente le retour de Kevin Escoffier, son prédécesseur à la tête du bureau d'études, au sein du Team Banque Populaire pour seconder Armel Le Cléac'h sur la Transat Jacques Vabre. Nos invités finissent en faisant le point sur un sujet qui a fait beaucoup de vagues au sein de la classe Ultim 32/23, celui de l'asservissement, que l'un comme l'autre ne considèrent pas aujourd'hui comme la panacée, car éminemment complexe à mettre en place. Diffusé le 27 avril 2021 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Clovis Tisserand
Justin Chisholm's guest on the latest episode of The Yacht Racing Podcast is the French solo offshore racing skipper Charlie Dalin.Dalin hit the headlines earlier this year after he claimed the line honours victory in the Vendee Globe 2020-21 singlehanded non-stop around-the-world race.Despite being first home Charlie was not the overall winner.The time allowance awarded to fellow Frenchman Yannick Bestaven for his part in the search and rescue operation to save PRB skipper Kevin Escoffier put Dalin down to second place in the overall rankings. Nevertheless, to lead the Vendee Globe fleet home at his first attempt at sailing's toughest around-the-world race is an incredible achievement.During the interview Dalin shares his insight on what it is like to race around the world alone on a state-of-the-art foiling IMOCA 60. He shares the highs and the low points of his race and explains what it is like to race through the Southern Ocean – arguably the world's most inhospitable environment – for the first time.We also find out about the extra pressure Dalin felt being amongst the leaders in the most tightly fought Vendee Globe race ever, and discover just how tough that foil bearing repair was to carry out – all alone at the bottom of the world.--- Send in a voice message: https://anchor.fm/yacht-racing-podcast/message
Nous sommes aujourd'hui avec Sabrina Millien. Sabrina est maman, belle maman, entrepreneuse – elle a crée La Colloc, lieu de travail et de vie à Lorient, et elle est l'épouse d'un marin de course au large, Kevin Escoffier. Dans cette vie à 200 à l'heure qu'ils ont choisi, comment composent-ils et trouvent-ils leur équilibre de couple, de famille, dans le respect des choix de chacun ? Sabrina revient sur le naufrage de Kevin cette année, au cours du Vendée Globe. Elle nous raconte les heures d'angoisse, l'attente, et puis au bout d'un moment la certitude que ça irait. Elle nous raconte comment elle a préservé ses enfants, et comment la vie continue après cette épreuve, avec la prochaine course en ligne de mire. Mille mercis Sabrina pour la puissance de ce récit. Ce podcast a été créé par @franginfrangine et est produit par @blablastudioprod.
À l'occasion du 9e Vendée Globe, qui s'est achevé sur la victoire de Yannick Bestaven, Ouest-France vous a proposé "La Saga Vendée Globe", une série de podcasts qui raconte en détail un fait marquant par édition. Dans ce dixième épisode, retour sur le tour du monde du vainqueur du cœur de ce Vendée Globe 2020-2021 : Jean Le Cam, dit le Roi Jean ! Philippe Joubin a couvert en tant que journaliste tous les Vendée Globe depuis sa création en 1989. Dans la série de podcasts « La Saga Vendée Globe, il nous raconte en détail un fait marquant par édition du tour du monde en solitaire sans escale, dont le départ a été donné pour la neuvième fois le 8 novembre dernier, aux Sables-d'Olonne, en Vendée. Au cours de cette édition 2020, un marin a remporté tous les suffrages du public : Jean Le Cam. Son talent, sa faconde, ses bons mots, sa gueule, ses exploits aussi à commencer par le sauvetage de Kevin Escoffier, ont fait de lui le vainqueur du cœur de ce Vendée Globe-là. C'est pourquoi nous vous proposons de revivre : « Le tour du monde du Roi Jean » ! Bonne écoute.
SEASON #2 of OFF WATCH starts today with a dramatic story of survival that captured the whole of the sporting world.
Jean Le Cam 4e du Vendée Globe, sa première interview ! Grandiose ! L'arrivée de Jean Le Cam marquera l'hisoitre du Vendée Globe. Acclamé le long du chenal des Sables d'Olonne, Jean Le Cam vient d'en terminer avec son cinquième tour du monde en solitaire et sans escale. Après avoir dévoilé de gros problèmes structurels survenus sur son bateau "Hubert", qui auraient pu le mener à l'abandon, il a avoué ne jamais avoir vécu une course aussi difficile. Jean a mené une cadence incroyable sur un bateau d'ancienne génération. In fine, Jean le Cam est 4e, du fait de la bonification obtenue lors du sauvetage de Kevin Escoffier. La place du con, comme il le déclarait il y a quelques jours lors d'une vacation...Regarder cette émission en vidéo, sur la chaîne YouTube d'ActuNautique Yachting Art, la Web TV de la mer et des bateaux Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
À Yannick Bestaven qui vient de gagner le Vendée Globe, à Kevin Escoffier qui a franchi la ligne d'arrivée en premier et à tous les autres skippers qui ont vécu coupés du monde pendant 80 jours, qu'est-ce qu'on pourrait dire pour résumer l'actu? Que le Conseil Fédéral pose des milliards sur la table pour qu'on se fasse tester, que les entreprises à l'arrêt ne fassent pas faillite et que les chômeurs évitent de fini à l'aide sociale, que la France désobéit en attendant un probable reconfinement, que la Pologne a un (gros) problème avec l'avortement, que les moufles de Bernie Sanders vont tenir chaud à pas mal de monde et… que Guy Parmelin ne parle toujours pas allemand.
L'intensité ne baisse pas en tête du Vendée Globe et ce matin, l'allemand Boris Hermann est passé second, dépassant Louis Burton, sur bureau Vallée 2, avance qu'il a consolidée toute la journée, puisqu'il le devance ce soir à 18h00 de près de 40 milles nautiques, ce qui peut paraître peu in fine, mais qui est beaucoup dans le contexte actuel et à moins de 460 milles de la ligne d'arrivée.Si Charlie Dalin conduit toujours la course avec brio, 85 milles devant Boris Herrmann, il ne devrait toutefois pas être proclamé vainqueur de ce 9e Vendée Globe, en l'absence de coup de théâtre, les bonifications dont bénéficient Jean le Cam, Yannick Bestaven et Boris Herrmann, obtenues lors du sauvetage de Kevin Escoffier, devant rebattre les cartes. L'effet de ces bonifications sera d'autant plus important que la remontée de l'Atlantique ne s'est pas déroulée comme prévu cette année, avec des dépressions malicieuses qui ont bloqué les bateaux de tête, empêchant des skippers comme Charlie Dalin et Thomas Ruyant de faire le break ! Résultat des courses, 5 bateaux sont dans un mouchoir de poche et les 6 heures de bonification de Boris Herrmann et 10 heures 15 de Bestaven vont fondamentalement changer les choses.Regarder cette émission sur la chaîne YouTube d'ActuNautique Yachting Art, la Web TV de la mer et des bateaux Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour ce treizième épisode de Pos. Report, le podcast de Tip & Shaft consacré chaque semaine au Vendée Globe, nous recevons Jacques Caraës, le directeur de course, et Sébastien Josse, consultant météo de la direction de course, trois participations au Vendée Globe au compteur. Avec eux, nous évoquons le « finish de folie » de la neuvième édition et l'incertitude qui risque de planer jusqu'au bout, avec 700 derniers milles qui peuvent encore accoucher de nombreux scénarios différents en fonction des variations du vent à l'approche des Sables d'Olonne - où les premiers sont attendus mercredi. Dans quel ordre ? Suspense. D'autant que le jeu des bonifications dont bénéficieront Boris Herrmann (6 heures) et Yannick Bestaven (10 heures 15 minutes) pour avoir participé au sauvetage de Kevin Escoffier peut chambouler le classement sur l'eau. Jacques Caraës explique comment cette incertitude sportive engendre un véritable casse-tête pour l'organisation protocolaire et logistique des arrivées, renforcé par le fait que le chenal des Sables d'Olonne n'est pas accessible à marée basse. Ce qui pourrait conduire des skippers à patienter dans la nuit de mercredi à jeudi dans leur bateau, à moins qu'ils ne préfèrent rejoindre le ponton de Port Olona en semi-rigide. Sébastien Josse et Jacques Caraës tirent par ailleurs part les premiers enseignements de cette neuvième édition très atypique, le premier ayant pour projet de s'aligner sur le Vendée Globe 2024. Diffusé le 25 janvier 2021 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Clovis Tisserand
El invitado de CodigoZero es Hubert Lemonnier, miembro de la Dirección de Regata de la Vendée Globe, que contará como se organizan y los detalles del rescate de Kevin Escoffier. Le acompañan Hoy nos acompañan el periodista Carlos Pich y el regatista Aleix Gelabert.
When skipper Kevin Escoffier's boat broke in half during a storm during the famous Vendée Globe sailing race, he found himself drifting in a life raft, alone at sea. He sent out one text message before his phone died, it said: I am sinking. This is not a joke. MAYDAY. His competitor Jean Le Cam received his distress signal and changed course find him. But when he arrived it was getting dark and there was no sign of Kevin... Any comments please email us on outlook@bbc.com Presenter: Emily Webb Producer: Laura Thomas Picture: Kevin Escoffier's rescue Credit: Marine Nationale / Défense
Kevin Escoffier s'est lancé dans son premier Vendée Globe. C Breton vous a proposé de suivre son aventure durant cette course mythique. De retour chez lui, il revient sur sa course, son naufrage et la façon dont il a vécu ces moments intenses.
Kevin Escoffier, le skippeur de PRB sauvé par Jean le Cam durant le Vendée Globe, revient sur son aventure écourtée mais marquée par des histoires humaines très fortes.
Près de quatre semaines se sont écoulées depuis le départ du Vendée Globe. Isabelle Joschke navigue entre ses émotions. Observer son bateau sur la cartographie la réjouit, elle qui n'a pas vu de terre depuis le 8 novembre. Apprendre le naufrage de Kevin Escoffier la bouleverse, elle qui a déjà dû faire face à de lourdes avaries dans le passé. Se justifier d'avoir peur la met en colère, elle qui est seule en mer. Parvenir à gérer les mauvaises surprises du Vendée Globe la rend chaque fois un peu plus confiante dans ses capacités, elle qui traverse des conditions infernales. Accepter que peut-être elle ne finira pas cette course la libère d'un poids, elle qui avait justement pour objectif de franchir la ligne d'arrivée. Et on finit en surfant avec elle sur une vague de légèreté vers le Cap Leeuwin... Bonne écoute.
Neuvième épisode de votre podcast d'info-divertissement préféré (normalement le dernier en confinement, on croise les doigts), présenté par Bapt, avec Max, Emma, Dorian et Edouard ! Au programme cette semaine : - Les moments de la rédac : Une partie fine en pleine pandémie en Belgique, les chansons de Noël, un arrêté municipal pour le Père Noël et des lettres d'amour retrouvées après plus d'un siècle ! - La chronique de Dorian : Romain Grosjean et Kevin Escoffier, deux sportifs français miraculés - Le temps mort de Bapt : Blind-test de musiques de jeux vidéo - Le conseil d'Emma : la série Dash et Lily - Et bien sûr le MaxiQuiz de Max !
Cette nuit à 3h54 heure française, la direction de course du 9e Vendée Globe a confirmé que l'opération de transfert de Kevin Escoffier depuis Yes We Cam vers la frégate de la Marine nationale Nivôse était pleinement réussi. Le skipper de l'Imoca PRB s'est d'abord jeté à l'eau avant d'être récupéré à bord d'un semi-rigide de la Marine Nationale à 3H10, avant d'être accueilli par l'équipage du Nivôse. Kevin fait vers route vers la terre tandis que Jean Le Cam à bord de Yas we Cam a repris sa route en solitaire sur la course. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Yacht Racing Life website editor Justin Chisholm and 2016-17 Vendee Globe skipper Conrad Colman breakdown what has proved to be a thrilling seven days in the Vendee Globe solo around the world yacht race.Amongst other things the pair discuss:– Alex Thomson's shock withdrawal from the race, including speculation on what the British skipper might do next – Kevin Escoffier's spectacular mid-ocean sinking and equally amazing night time liferaft rescue by fellow competitor Jean Le cam– The repair prospects for Sam Davies and Sebastien Simon as they both head towards Cape Town in search of calmer conditions– Louis Burton's impressive surge into second place on a tried and trusted boat that won the previous edition– A quick update from Conrad on the Sodebo Ultim crew's progress on their Jules Verne Trophy record attempt--- Send in a voice message: https://anchor.fm/yacht-racing-podcast/message
Le sauvetage de Kevin Escoffier, aussi rapidement, a quasiment été miraculeuse pour Jacques Caraës, directeur de course. Dans cette émission de Courses et Régates, il en détaille l'organisation, la tension et l'inquiétude qui régnaient au PC course, et l'heureux dénouement... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans le Press Club, des nouvelles de Boris Herrmann après le sauvetage en mer de Kevin Escoffier dans le Vendée Globe. Monaco Matin revient sur le récit du navigateur allemand après la folle péripétie survenue entre lundi et mardi au large de l'Atlantique Sud.Le journal décrit “un homme marqué par l'événement de la nuit” et pour cause, le skipper du Sea Explorer - Yacht Club de Monaco est de ceux qui ont été déroutés pour tenter de porter secours à Kevin Escoffier, qui a dû activer sa balise de détresse dans les 40e rugissants
In this Global Sports Channel Radio Show Bonus Episode we cover an amazing 72 period in world sport when two Frenchmen were very lucky to cheat death. In the Vendee Globe, arguably the world's toughest sailing race, one person, one boat, 26'000 Nautical Miles. As the boats reached the Southern Ocean French sailor Kevin Escoffier was dramatically rescued by fellow Frenchmen Jean Le Cam. This heroic ordeal is captured in this episode. In the Bahrain Formula One Grand Prix, the fifteenth round of the 2020 Formula One World Championships disaster struck French Driver from the Haas Racing Team, Romain Grosjean. At over 220 kilometres per hour his car rifled into the safety barriers, destroying his car, as well as the safety rails. Grosjean who is currently in a local hospital was extremely lucky to escape with minor abrasions.
Cette nuit, Jean le Cam est parvenu à retrouver Kevin Escoffier, à s'approcher de lui suffisamment près pour le faire monter à bord. Tout est bien qui finit bien, mais l'Imoca de Kevin Escoffier a sombré, après s'être brisé en deux, à hauteur de la cloison avant... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Face à Manchester United, le PSG a l'occasion de se qualifier pour les huitièmes de finale de Ligue des champions (21 heures), l'OM s'impose face à l'Olympiakos (2-1) et met fin à une série de 13 défaites de suite en C1, l'incroyable sauvetage de Kevin Escoffier et Romain Grosjean espère recourir en F1 avant la fin de la saison. Retrouvez l'actualité sportive dans votre Flash L'Equipe.
Kevin Escoffier est sain et sauf : il est en sécurité à bord de Yes we Cam, l'imoca de Jean le Cam.C'est à 2h18 cette nuit que la bonne nouvelle nous est parvenue du PC de la course, situé sur les quais de port olonna, aux sables d'Olonne.C'est un immense soulagement pour l'ensemble de la famille de Kevin Escoffier, du team PRB , de tous les acteurs du Vendée Globe en mer aussi bien qu' à terre et aussi de tous les passionnés qui suivent à la course en perrmanence, notamment dans notre émission Courses et Regates..Les heures depuis le dernier message envoyé de Kevin juste avant qu'il n'embarque d'urgence à bord de son radeau de survie ont été interminables. Tout a été mis en œuvre pour retrouver le Malouin ballotté dans son radeau de survie à la frontière avec l'océan Indien, à 600 milles dans le sud ouest du Cap de Bonne Espérance. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
C'est un épisode n° 5 exceptionnel de Pos. Report que nous vous proposons ce mardi, en compagnie d'Hubert Lemonnier, adjoint à la direction de course du Vendée Globe auprès de Jacques Caraës, et de Pascal Bidégorry, qui a collaboré avec Charlie Dalin dans la préparation de ce Vendée Globe, proche de Kevin Escoffier, avec qui il a couru deux fois la Volvo Ocean Race à bord de Dongfeng Race Team. Enregistré 9 heures après le sauvetage de Kevin Escoffier par Jean Le Cam, cet épisode va nous ouvrir, grâce à Hubert Lemonnier, les portes de la direction de course et de vivre heure par heure cette nuit de recherche du skipper de PRB. En complément, le récit de Pascal Bidégorry, qui suit à terre depuis chez lui les opérations, offre une plongée rare dans les coulisses d'une incroyable opération de sauvetage. Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Clovis Tisserand
La quatrième semaine de course du Vendée Globe 2020 débute au plus mal. Ce 30 novembre, Kevin Escoffier (PRB), qui occupait la 3e place, a déclenché sa balise de détresse lundi alors qu'il naviguait dans les 40es Rugissants. Jean Le Cam est arrivé sur zone pour le récupérer, alors qu'il se trouvait dans son radeau de survie. Philippe Joubin auteur de la série " La saga du Vendée Globe" nous raconte les heures qui ont précédé le naufrage du skipper jusqu'à son sauvetage par Jean Le Cam. Bonne écoute. Réalisation : Ronan Coquelin Crédit son : www.vendeeglobe.org
C'est l'inquiétude qui règne ce soir dans le Vendée Globe. alors que le leader de la course, Charlie Dalin, va passer le Cap de Bonne Espérance dans les heures qui viennent, Kevin Escoffier a déclenché sa balise de secours cet azprès midi à 14h46. Il a informé son équipe qu'il y avait de l'eau à bord de son imoca PRB. 3 skippers se sont déroutés pour lui porter assistance... Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Marseille veut relever la tête face à l'Olympiakos en Ligue des champions (21 heures), les Bleues affrontent le Kazakhstan dans une ambiance tendue (21 heures), Romain Grosjean sauvé par le halo de sa monoplace sur le GP du Bahreïn et les recherches continuent pour retrouver Kevin Escoffier sur le Vendée Globe. Retrouvez l'actualité sportive dans votre Flash L'Equipe.
3e nuit de course sur le Vendée Globe 2020 - Dans une mer très formée, deux heures environ avant de virer, en allant faire son contrôle de routine à l'avant du bateau, Kevin Escoffier s'est rendu compte qu'il avait une grosse voie d'eau à bord. C'est une vanne de foil tribord qui sert à évacuer l'eau du puits de foil qui a cassé laissant s'infiltrer des litres d'eau dans PRB. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Kevin Escoffier s'élance pour son premier Vendée Globe, la mythique course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance. Habitué des tours du monde en équipage, il va affronter seul, à la barre de son IMOCA, ce nouveau défi, sous les couleurs de PRB. Le skipper, originaire de Saint-Malo, est un outsider ambitieux de cette course qui fait rêver tous les marins.