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Il disposait probablement du plus petit budget de cette édition du Vendée Globe : 900 000 € au total pour les trois saisons et la course, qu'il termine en 27e position, après un peu plus de 91 jours de mer. Pas question pour Sébastien Marsset, malgré ces bouts de ficelles, de renoncer à la régate : d'où le concept de "sobriété performante" revendiqué par le Nantais, né à Paris voilà un peu plus de 40 ans.Formé sur le tas, à l'école de l'habitable et du convoyage, d'abord, à l'Ecole nationale de voile où il passe son brevet d'Etat, ensuite, il se lance, après de nombreuses régates en équipage, dans le circuit mini : 4 saisons d'apprentissage, avant d'être recruté comme petite main chez Groupama, pour des coups de main techniques ponctuels. Toujours dispo, toujours candidat, il finit par être embarqué comme technicien et navigateur de moins de 30 ans remplaçant d pour la Volvo Ocean Race 2011-2012 remportée par l'équipe de Franck Cammas.Le solide gaillard, connu pour son impact physique et son engagement, change de dimension, le téléphone se met à sonner : l'équipe Spindrift l'appelle pour naviguer sur l'ex Maxi Trimaran Banque Populaire, puis c'est Alvimedica qui l'engage pour la Volvo 2014-2015 - où il court, cette fois, toutes les étapes sauf une - avant de retourner boucler un Trophée Jules Verne avec Spindrift, sans parler des circuits GC32 et match racing avec l'équipage de Yann Guichard.Il passe ensuite au solo en Claass40 mais doit abandonner le Rhum 2018, enchaîne avec la Solitaire l'année suivante avant d'être recruté par Romain Attanasio sur son projet Imoca. C'est là que son projet de Vendée Globe prend corps, un peu ralenti par le Covid l'année suivante. En 2021, il accomplit une nouvelle saison avec Romain Attanasio, sur l'ex-Malizia, goûtant au foiler, mais il est temps de voler de ses propres ailes en Imoca : en 2022, il achète l'ancien Delta Dore à Erik Nigon et se lance dans les qualifs du Vendée Globe, montant une petite équipe commando qui l'emmène au départ avec le plus vieux bateau de la flotte.Un Vendée Globe où il prend du plaisir, malgré une remontée de l'Atlantique difficile, et qui lui donne immédiatement envie de recommencer ! Mais pas à n'importe quel prix, lui qui sait les sacrifices que demande cette épreuve : pour 2028, Sébastien veut jouer avec les foilers, visant un bateau d'occasion de la génération 2020 et un budget largement redimensionné. Trois mois après son retour, il y travaille déjà - "le large me manque".Diffusé le 5 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
This is one of my favorite podcast episodes to date! In this conversation, I dive into the "behind the music"—both literally and figuratively—of one of country music's rising stars and the world of professional sailing. Through it all, you'll get to know two extraordinary individuals: Caroline Jones and Nick Dana.Caroline Jones is a talented singer-songwriter and the only female member of the Grammy-winning Zac Brown Band. Nick Dana, on the other hand, is a world-class professional sailor with an impressive career that includes competing in the Volvo Ocean Race and America's Cup. I've known Nick since he was a toddler (a fact that reveals my age), as I was close friends with his late older brother. It was such a joy to catch up with these two incredibly accomplished individuals—who also happen to be married! Caroline shares her journey into music, her creative process, and the inspirations behind her songwriting. We discuss her skyrocketing career, from touring with legends like Jimmy Buffett to performing in stadiums with the Zac Brown Band. She also talks about her latest single, No Tellin', and her upcoming tour. Nick gives us a glimpse into his life as a professional sailor, detailing his path to success, the challenges of competing in events like the Volvo Ocean Race, and the thrill of sailing in the prestigious America's Cup.We also explore their beautiful love story—how they were serendipitously set up (thanks to some well-placed meddling by Nick's mom and sister!), fell in love just before the COVID-19 lockdowns, and how their relationship has transformed their lives and careers. Caroline even shares how she once vowed never to marry, only to find herself happily embracing both marriage and parenthood.This episode is packed with inspiration, laughter, and heartfelt moments. You won't want to miss it! If you enjoy the show, please rate and review. Be sure to follow us on Instagram @TheInterviewWithLeslie. A new podcast is released every Wednesday.
On this episode of the Osborne Adventure Podcast, I sit down with Matt Knighton, director, adventure photographer, and award-winning filmmaker. Matt shares his experiences as the Onboard Reporter for Abu Dhabi Ocean Racing during their winning 2014-2015 Volvo Ocean Race. He reflects on what it was like to race around the world on a Volvo 65, what it means to be a sailor, and offers candid insights into our upcoming expedition.From the intensity of offshore racing to the human dynamics that define success at sea, this episode dives into the grit, storytelling, and reality of life at sea.Join us for an honest, unexpected, and engaging conversation about the intersection of sailing, adventure, and the stories that shape us.CLICK HERE to leave a comment or ask a question.CLICK HERE to check out our t-shirts, hoodies and hats!CLICK HERE to check out the Safe Bed Model 100 by Safe Place Bedding and use discount code "sleepwell10" for a 10% discount on anything on the site.A Huge Thanks to our Partners!Battle Born BatteriesGoDuRonstanTylaska MarineWichard GroupYacht SolutionsFor more information visit our website:www.osborneadventure.comDonate Today (Osborne Adventure is a 501c3 nonprofit):https://www.osborneadventure.com/donationsFollow Us on Instagram:www.instagram.com/osborneadventure
Over de aflevering Het levensverhaal van de gast in deze aflevering van ‘Achter het Vermogen', Frank van Beuningen, leest als een jongensboek. Van zeer vermogende afkomst, geen talent voor studeren, en op jonge leeftijd op Wall Street terecht gekomen. Dat ging hem goed af, want rekenen kon hij wél. Via New York en Londen naar een Frans zeiljacht om in de jaren '70 mee te doen aan de beroemdste zeilrace ter wereld, The Whitbread Around the World Race; de voorloper van de Volvo Ocean Race. Daarna werd hij grondlegger van een wereldberoemd watersportmerk, was hij de man die Ben & Jerry's naar Europa bracht, en nu is hij vooral bezig om vermogende mensen zover te krijgen dat ze hun geld inzetten om iets goed te doen voor de planeet. Frank van Beuningen, telg van een beroemde familie, gaat in ‘Achter het Vermogen' in gesprek met Art Rooijakkers. Over de podcast Achter het Vermogen is een wekelijkse podcast van BNR, mede mogelijk gemaakt door ING private banking. In deze podcast vragen we Nederlanders wat hun belangrijkste drijfveer is. Geen gesprek over bezittingen, bankrekeningen en miljoenen, maar over wat hen inspireert, wat hen motiveert en welke lessen ze hebben geleerd bij het opbouwen van hun vermogen. We vragen ze om verder te kijken dan henzelf. Over de presentator Journalist en presentator Art Rooijakkers (1976) heeft een behoorlijk palmares als het gaat om het presenteren en maken van radio- en televisieprogramma's. Voor BNR Nieuwsradio interviewt Art gasten in het programma ‘The Big Five'. Met zijn innemende manier van interviewen weet Art snel tot de essentie te komen, en geeft hij gasten de vrijheid om zichzelf te zijn achter de microfoon. Daarnaast is Art bekend als presentator van programma's als ‘Peking Express' en ‘Expeditie Robinson', en presenteert hij op dit moment het SBS6-programma ‘Nieuws van de Dag'.
Tip & Shaft vous propose d'écouter ou de ré-écouter les 2 épisodes d'Into The Wind les plus suivis de l'année 2024. Votre podcast revient dans son format habituel le vendredi 10 janvier. D'ici là, toute l'équipe de Tip & Shaft vous souhaite une très bonne année 2025 !-- Chez Into The Wind, Charles Caudrelier n'est pas un invité comme les autres, pour la simple et bonne raison, qu'il a été le tout premier à venir passer du temps devant notre micro. C'était le 6 octobre 2018 et il était alors le récent et inoubliable vainqueur de la Volvo Ocean Race 2017-2018, skipper de Dongfeng Race Team. Il affichait alors déjà un solide palmarès et sa victoire dans la Volvo couronnait un parcours d'exception.Mais 6 ans plus tard, c'est un autre Charles Caudrelier que nous avons invité, avec de nouvelles histoires à nous raconter. Car entre temps, le vainqueur de la Solitaire du Figaro 2004 a sacrément étoffé son CV : quelques semaines après ce premier enregistrement, il a en effet fait son entrée dans le Gitana Team en compagnie de Franck Cammas et... remporté depuis toutes les courses auxquelles il a participé - à l'exception de la Transat Jacques Vabre 2023 - à bord de l'Ultim Edmond de Rothschild.Le Fastnet, la Brest Atlantiques, la Transat Jacques Vabre 2021, et, bien sûr, la Route du Rhum Destination Guadeloupe en 2022 et puis, cette année, l'Arkéa Ultim Challenge l'ont vu franchir la ligne d'arrivé en tête. A 50 ans, il peut se targuer d'afficher désormais une carrière hors norme.Dans cet épisode en deux parties, Charles Caudrelier revient longuement sur ces 6 années intenses et incroyables au sein du Gitana Team.Un moment rare avec un marin d'exception.Rediffusé le 27 décembre 2024Diffusé le 17 mai 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode, we sit down with Martine Grael, a two-time Olympic gold medalist, World Champion, and Pan-American Games champion, who is now making history as the first female driver in SailGP. Martine is also leading the Mubadala Brazil SailGP Team, the first-ever South American team to compete in the high-stakes SailGP Championship.We caught up with Martine in the team hangar in Dubai, just days before the season opener. During our conversation, Martine takes us on an inspiring journey:How her childhood on the outskirts of Rio de Janeiro and growing up in a family of sailors shaped her passion for the sport.The setbacks she faced on her road to Olympic glory and how she used those moments to fuel her comeback.Insights from her experiences in the grueling Volvo Ocean Race and what it taught her about teamwork and perseverance.Her excitement and vision as she steps into her role as driver for the Mubadala Brazil SailGP Team.Martine's story is one of resilience, determination, and trailblazing achievements.Follow Martine on Instagram: https://www.instagram.com/martinegrael/ Learn more about SailGP & Martine: https://sailgp.comhttps://sailgp.com/teams/mubadala-brazil/martine-grael If you've been enjoying our episodes, don't forget to show your support by hitting the subscribe/follow button wherever you're listening so you never miss an episode.We'd also love to hear from you! Leave us a 5-star review and follow @themettleset on Instagram, YouTube, and LinkedIn. Your support helps us continue bringing you incredible stories like Martine's!Dawn
C'est l'histoire d'un marin très recherché, qui enchaîne embarquements et coups d'éclat, mais n'a pas vraiment suivi les voies d'accès traditionnelles à la voile de compétition. Né à Lyon dans une famille où personne ne pratique le bateau, c'est grâce à... son prof de judo qu'il découvre la voile en Méditerranée. C'est là qu'il va progressivement faire son trou et se spécialiser dans l'électronique et la navigation sur des bateaux de propriétaires, de plus en plus gros, tout en suivant des études en géologie à Lyon.En 2014, il embarque sur l'ex VOR 70 SFS avec Lionel Péan, qui sillonne en course toute la Grande Bleue. Deux ans et demi plus tard, début 2017, il tente sa chance et candidate chez Dongfeng : il participe à la campagne victorieuse de Charles Caudrelier et des siens dans la Volvo Ocean Race, en charge, dans l'équipe technique, de l'électronique.Cette fois c'est le grand bain, il a été repéré et est appelé par Spindrift, tandis que l'équipe Dongfeng l'encourage à assumer ses envies de Figaro, lui qui n'a jamais couru en solitaire. Il se jette à l'eau en 2019 et le bizuth explose sur la Solitaire avec une 6e place et même, du jamais vu, un titre de champion de France élite de course au large.Désormais installé à Lorient, son téléphone sonne de plus en plus souvent : tout en enchaînant les stand-by et les tentatives de Trophée Jules Verne avec Spindrift, il gagne le championnat d'Europe mixte de course au large avec Marie Riou, est recruté pour The Ocean Race Europe sur Corum, puis navigue à bord d'Holcim-PRB sur The Ocean Race, où il finit skipper après l'affaire Escoffier.Fin 2023, il doit participer à la Transat Jacques Vabre avec Nicolas Troussel, mais le sponsor finit par renoncer après un démâtage sur le Défi Azimut. En 2024, il découvre le Class40 avec Fabien Delahaye (1er et 2e sur la Normandy Channel Race et Québec Saint-Malo) et le duo Alberto Riva-Jean Marre (2e sur la Niji 40). Il intègre le team Gitana pour cet hiver, avant que le maxi-trimaran Edmond de Rothschild ne démâte à Gibraltar. Le téléphone sonne quelques jours plus tard et l'équipage de Sodebo le récupère pour le Trophée Jules Verne.Pour la saison prochaine, il n'a rien de prévu, pour le moment. Ça ne saurait durer...Diffusé le 15 novembre 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parfois il faut atteindre un certain âge pour comprendre pourquoi un projet s'impose à vous. C'est ce qui est arrivé à Eric Peron, quand il a décidé de se lancer dans la préparation de l'Arkea Ultim Challenge : tout à coup, il a compris qu'il rêvait de tour du monde depuis son enfance et le départ du deuxième Vendée Globe.Ce n'était pas forcément écrit : fils de voileux installés en Finistère - sa mère a rencontré son père en portant réclamation contre lui en régate ! - il plonge d'abord dans la régate en optimist, en 420 et en 470, jusqu'à rentrer en équipe de France. Mais le rêve olympique est inatteignable, alors le jeune Péron se lance en Figaro au mitan des années 2000, avec une première Transat AG2R en 2004, à 23 ans, puis une première Solitaire en 2006. Il va devenir un habitué de la classe, intégrant le team Skipper Macif, et multipliant les places d'honneur, en particulier sur la transat en double.Le figariste change de dimension en intégrant l'équipage de Dongfeng sur la Volvo Ocean Race 2014-2015 : il adore, et la petite graine d'un tour du monde en solo commence à grandir. Il revient au Figaro, multiplie les embarquements en Imoca et en Class40 sur des Transat Jacques Vabre (2015, 2017, 2019, 2021). Il pense même pouvoir s'aligner au départ du Vendée Globe, avant que son sponsor, en faillite, ne le plante et le laisse avec des dettes...Eric Péron raconte bien les hauts et les bas de la vie de skipper-entrepreneur - un statut endossé par contrainte, mais qu'il a appris à apprécier, alors il se lance en Ocean Fifty sur le Rhum 2022, et décide de s'aligner au départ de l'Arkea Ultim Challenge : "Ce projet, c'est toute ma vie", explique-t-il tout simplement. Une préparation commando et un sponsor arrivé quelques semaines plus tôt vont lui permettre d'aller au bout de son rêve.Comme tous ceux qui ont participé à l'épreuve, bouclée en 66 jours, il en revient marqué, physiquement et psychologiquement, et le raconte avec beaucoup de franchise, d'une voix douce, en cherchant parfois ses mots pour trouver le ton juste.Rien qui ne l'empêche de vouloir repartir à nouveau, et en Ultime si possible...Diffusé le 4 octobre 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Een nieuwe aflevering van de Vaarplezier Podcast met Bouwe Bekking, bekend van o.a. vele Volvo Ocean Race deelnames. Bert en Arjen praten via een videoverbinding met Bouwe in Denemarken over de start van zijn carrière in het windluwe Deventer, De Philips Innovator, de meer dan 800.000 gezeilde mijlen, deelname aan 8 Volvo Ocean Races, het racen met J-klasses en de frostbites die je kunt oplopen onderweg.
A GREGARIO entrevistou com exclusividade Paolo Simion, um cyclor do Team Prada Luna Rossa, uma das mais tradicionais equipes que disputam a America's Cup, tradicional evento de vela mundial, disputado desde 1851. O italiano Paolo Simion foi ciclista profissional e campeão na pista na estrada. Tem três Giro d´Itália no currículo, dentre outras provas. Porém, em 2022, ele se juntou ao PRADA LUNA ROSSA como CYCLOR, que nada mais é do que a combinação das funções de CICLISTA (cyclist) e VELEJADOR (sailor).Essa é uma função exclusiva da F1 da vela mundial, AMERICA'S CUP, que acontece de Agosto a Outubro deste ano em Barcelona. São seis equipes na disputa, com barcos que chegam a 90 km/h. Cada equipe tem mais de 100 membros e os orçamentos superam os US$ 100 milhões.O Cyclor tem a função de pedalar para gerar energia para mover as velas. Na tripulação de 8 pessoas, 4 são Cyclors.E já que o assunto é Vela, trazemos também um ídolo da modalidade no Brasil: TORBEN GRAEL. Multi medalhista em Olimpíadas, Campeonatos Mundiais e Volvo Ocean Race. Em 2000 e 2013, Grael fez parte da Equipe Prada Luna Rossa. Nesta entrevista ele fala da modalidade America's Cup, e da sua experiência.venha nessa RODA: https://instabio.cc/gregario This podcast uses the following third-party services for analysis: Chartable - https://chartable.com/privacy
C'est l'histoire d'un gars que rien ne prédestinait à la voile et qui est entré en début d'année, à moins de 40 ans, dans le club fermé des skippers d'Ultims à avoir bouclé un tour du monde en solitaire.Car si le skipper d'Actual Ultim 3 est breton des Côtes d'Armor, c'est par hasard qu'il découvre la voile, lors d'une sortie scolaire. Mais c'est le coup de foudre, à 8 ans.Optimist, Laser, 470, ses premiers amours sont olympiques, avant que le Figaro et sa Solitaire ne l'appellent, non sans un rapide détour par le Mini, mais aussi les trimarans (Brossard, Sodebo, Sopra).Il sera donc figariste, passé par la sélection Challenge Espoir Région Bretagne, un taulier de la classe, décrochant deux podiums en 2018 et 2019, et gagnant trois étapes en 9 participations.Capable, aussi de pas de côté, avec une Volvo Ocean Race avec Mapfre en 2015, qui le fait grandir et progresser.Après une décennie en Figaro, il ressent l'envie de souffler. Et comme il l'a toujours fait, depuis sa première demande de stage, il n'hésite pas à pousser les portes et provoquer le destin : une petite pige dans le team Actual en 2021 se transforme en embarquement sur la Transat Jacques Vabre avec Yves Le Blévec en Ultim, qui lui confie les clés du plan VPLP pour l'Arkea Ultim Challenge.Comme ses concurrents, il en rentre barbu, fourbu. Et surtout transformé par 64 jours d'une odyssée engagée, un peu folle.Et la suite ? La même chose ! Il le dit en début d'épisode, pour lui les deux plus beaux bateaux du monde sont l'Optimist et l'Ultim...Diffusé le 14 juin 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Phay Mac Mahon started his career in production management in 1976 with Bob Geldof and The Boomtown Rats. Since then he has worked with some of the biggest names in the industry, including Pink, Shakira, George Michael, Aerosmith, Def Leppard, Nicki Minaj, Ricky Martin and Garth Brooks. Phay has also provided Production Management for corporate clients such as Volvo Ocean Race, Orange Arrows Formula One, Gulf Air Formula One, Guinness and South African Breweries Phay has just returned from Japan with the Red Hot Chili Peppers who he is now touring North America with. This episode is sponsored by AVL Media Group and ROE Visual. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/geezersofgear/message
Chez Into The Wind, Charles Caudrelier n'est pas un invité comme les autres, pour la simple et bonne raison, qu'il a été le tout premier à venir passer du temps devant notre micro. C'était le 6 octobre 2018 et il était alors le récent et inoubliable vainqueur de la Volvo Ocean Race 2017-2018, skipper de Dongfeng Race Team. Il affichait alors déjà un solide palmarès et sa victoire dans la Volvo couronnait un parcours d'exception.Mais 6 ans plus tard, c'est un autre Charles Caudrelier que nous avons invité, avec de nouvelles histoires à nous raconter. Car entre temps, le vainqueur de la Solitaire du Figaro 2004 a sacrément étoffé son CV : quelques semaines après ce premier enregistrement, il a en effet fait son entrée dans le Gitana Team en compagnie de Franck Cammas et... remporté depuis toutes les courses auxquelles il a participé - à l'exception de la Transat Jacques Vabre 2023 - à bord de l'Ultim Edmond de Rothschild.Le Fastnet, la Brest Atlantiques, la Transat Jacques Vabre 2021, et, bien sûr, la Route du Rhum Destination Guadeloupe en 2022 et puis, cette année, l'Arkéa Ultim Challenge l'ont vu franchir la ligne d'arrivé en tête. A 50 ans, il peut se targuer d'afficher désormais une carrière hors norme.Dans cet épisode en deux parties, Charles Caudrelier revient longuement sur ces 6 années intenses et incroyables au sein du Gitana Team.Un moment rare avec un marin d'exception.Diffusé le 24 mai 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chez Into The W!nd, Charles Caudrelier n'est pas un invité comme les autres, pour la simple et bonne raison, qu'il a été le tout premier à venir passer du temps devant notre micro. C'était le 6 octobre 2018 et il était alors le récent et inoubliable vainqueur de la Volvo Ocean Race 2017-2018, skipper de Dongfeng Race Team. Il affichait alors déjà un solide palmarès et sa victoire dans la Volvo couronnait un parcours d'exception.Mais 6 ans plus tard, c'est un autre Charles Caudrelier que nous avons invité, avec de nouvelles histoires à nous raconter. Car entre temps, le vainqueur de la Solitaire du Figaro 2004 a sacrément étoffé son CV : quelques semaines après ce premier enregistrement, il a en effet fait son entrée dans le Gitana Team en compagnie de Franck Cammas et... remporté depuis toutes les courses auxquelles il a participé - à l'exception de la Transat Jacques Vabre 2023 - à bord de l'Ultim Edmond de Rothschild.Le Fastnet, la Brest Atlantiques, la Transat Jacques Vabre 2021, et, bien sûr, la Route du Rhum Destination Guadeloupe en 2022 et puis, cette année, l'Arkéa Ultim Challenge l'ont vu franchir la ligne d'arrivé en tête. A 50 ans, il peut se targuer d'afficher désormais une carrière hors norme.Dans cet épisode en deux parties, Charles Caudrelier revient longuement sur ces 6 années intenses et incroyables au sein du Gitana Team.Un moment rare avec un marin d'exception.Diffusé le 17 mai 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Varmt välkommen till avsnitt 138 i Idrott-och ledarskapspodden. I det här avsnittet får du möta Gurra Krantz. Gurra är skepparen som har kappseglat internationellt i 35 år och utmanat sig själv och sin besättning i 4 jorden runt seglingar och 2 Americas Cup. Han har bland annat deltagit i Whitbread Round the world race/ Volvo Ocean Race som vaktchef på båtarna The Card (1989) och Intrum Justitia (1993) samt som skeppare på Swedish Match (1997) och Team SEB (2001). Han har även som nämnt deltagit i Sveriges America's Cupseglingar 1987 samt 1991/92 som skeppare. Han har skrivit 3 böcker och 2019 kunde Krantz ses i premiärsäsongen av Kanal 5-programmet Över Atlanten där han var skeppare. Han har sedan även varit skeppare i säsong 2, 4, 5 och 6 (2020, 2022, 2023 och 2024) och säsong 7 är redan inspelad och sänds i höst. Idag jobbar Gurra som föreläsare, skriver böcker och seglar och han driver sedan några år tillbaka Gåshaga Marina där han får möjlighet att använda alla sina erfarenheter inkl. sina kunskaper som båtbyggare och segelmakare. I det här avsnittet berättar Gurra hur han behåller lugnet under press, hur man håller ihop och leder ett team under tuffa och ibland livshotande förhållanden, som när masten går sönder mitt i en kappsegling som den gjorde under Volvo Ocean Race 2001 i den 5:e etappen. Gurra delar med sig av vad han upplever är de viktigaste ledaregenskaperna och vad en lagkamrat behöver för att vara just en lagkamrat och mycket mer. Varmt välkommen till ett spännande och inspirerande avsnitt och vi önskar dig trevlig lyssning! Vill du också bli mentalt stark ifrån grunden för att hålla i längden så gå in på Jenny's träningscenter online; trainforbalance.newzenler.com där du hittar inspiration och filmer om grunderna i mental träning. Här hittar du också flera onlinekurser om just mental träning. Och vill du veta mer om vad som är på gång i Jenny's verksamhet så gå in på www.jennyhagman.com eller följ henne på instagram @jenny_hagman. Tack för att du lyssnar och ta hand om dig och varandra! Kram från Team Train for Balance och Jenny Hagman
Sharon was a teenager heading for trouble when she discovered sailing. Starting in the Bay of Islands, New Zealand, Sharon watched Maiden race around the world with an incredible international team of women. They inspired her with the determination and belief that if they could do it, then maybe with a lot of hard work and determination, so could she. Every opportunity to sail was taken. Sharon discovered her passion, the need for camaraderie, the endless adventure seeking and new challenges to overcome. She wanted to race around the world, but the opportunity to compete in the Europe Class at the Olympic Games came first as the age of 22. At the 1996 Atlanta games, she finished 5th and competed again in Athens in 2004, placing 7th in the Yngling yacht. She has raced around the world 3 times, logging more than 107,000 offshore miles. The first was as part of Tracy Edwards' first all-female crew, to attempt the Jules Verne non-stop round the world record. She then joined the crew of Amer Sports Too, in the Volvo Ocean Race in 2001/02. Sharon has won sailing titles in multiple classes and holds 5 world speed records. A country girl at heart, she has been an inspiration to many, a great leader and passionate coach. Join Sharon's race crew in 2024 & 2025: https://oceansailingexpeditions.com/racewithsharon
Avec ses lunettes rondes et son air de jeune homme de bonne famille, on donnerait facilement le bon Dieu sans confession à Fabien Delahaye. Ses adversaires... un peu moins ! Car à même pas 40 ans, le discret Normand a déjà parcouru un sacré bout de chemin, et souvent en tête de la flotte.Jugez plutôt. Issue d'une famille éloignée de la voile, il découvre la pratique par le biais de l'école. S'ensuivent de longues années de voile légère, en Equipe, en 420 puis en 470, à Ouistreham, où il apprend la rigueur du support olympique. Mais le large le tente pour devenir pro : les études bouclées, il se lance dans les sélections en Mini et en Figaro, avant de monter son propre projet.A 24 ans, il se jette dans le grand bain, et apprend à nager assez vite : 1er bizuth pour sa première saison, vainqueur de la transat AG2R avec Armel Le Cléac'h l'année suivante, 2e de la Solitaire et champion de France pour sa troisième saison ! Les trois saisons suivantes il court sous les couleurs de Skipper Macif, multipliant les places d'honneur, remportant au passage la Transat Jacques Vabre en 2013, avec Sébastien Rogues en Class40.En 2015, saturé de Figaro, il découvre l'Imoca avec Jean-Pierre Dick, qu'il accompagne dans son dernier Vendée Globe. Puis c'est Charles Caudrelier qui le recrute pour analyser la performance de Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2017-2018, remportée par l'équipe franco chinoise. A l'occasion, Fabien Delahaye développe une expertise reconnue en la matière, pour laquelle il est souvent sollicité.Sevré de la vie de marin à terre, il retrouve ensuite le circuit Figaro pour trois saisons, entrecoupées Transat Jacques Vabre en Class40 (2019) ou en Imoca (2021), puis de coaching et d'analyse de performance ; ces saisons denses - parfois plus de 200 jours sur l'eau - sont sa marque de fabrique.A l'image de nombreux figaristes, il s'est engagé depuis 2022 dans un projet Class40, avec Legallais, et un bateau neuf à la clé. Après une Transat Jacques Vabre abrégée pour cause d'avarie, il a remis son plan Lombard à l'eau le dernier jour de février, avant de le convoyer à Lorient en solo depuis Caen, histoire de préparer une saison chargée. Il a promis que cette année, il ne ferait que du Class40. Stakhanoviste, on vous dit !Diffusé le 15 mars 2023Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire Levillain
Avec ses lunettes rondes et son air de jeune homme de bonne famille, on donnerait facilement le bon Dieu sans confession à Fabien Delahaye. Ses adversaires... un peu moins ! Car à même pas 40 ans, le discret Normand a déjà parcouru un sacré bout de chemin, et souvent en tête de la flotte.Jugez plutôt. Issue d'une famille éloignée de la voile, il découvre la pratique par le biais de l'école. S'ensuivent de longues années de voile légère, en Equipe, en 420 puis en 470, à Ouistreham, où il apprend la rigueur du support olympique. Mais le large le tente pour devenir pro : les études bouclées, il se lance dans les sélections en Mini et en Figaro, avant de monter son propre projet.A 24 ans, il se jette dans le grand bain, et apprend à nager assez vite : 1er bizuth pour sa première saison, vainqueur de la transat AG2R avec Armel Le Cléac'h l'année suivante, 2e de la Solitaire et champion de France pour sa troisième saison ! Les trois saisons suivantes il court sous les couleurs de Skipper Macif, multipliant les places d'honneur, remportant au passage la Transat Jacques Vabre en 2013, avec Sébastien Rogues en Class40.En 2015, saturé de Figaro, il découvre l'Imoca avec Jean-Pierre Dick, qu'il accompagne dans son dernier Vendée Globe. Puis c'est Charles Caudrelier qui le recrute pour analyser la performance de Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2017-2018, remportée par l'équipe franco chinoise. A l'occasion, Fabien Delahaye développe une expertise reconnue en la matière, pour laquelle il est souvent sollicité.Sevré de la vie de marin à terre, il retrouve ensuite le circuit Figaro pour trois saisons, entrecoupées Transat Jacques Vabre en Class40 (2019) ou en Imoca (2021), puis de coaching et d'analyse de performance ; ces saisons denses - parfois plus de 200 jours sur l'eau - sont sa marque de fabrique.A l'image de nombreux figaristes, il s'est engagé depuis 2022 dans un projet Class40, avec Legallais, et un bateau neuf à la clé. Après une Transat Jacques Vabre abrégée pour cause d'avarie, il a remis son plan Lombard à l'eau le dernier jour de février, avant de le convoyer à Lorient en solo depuis Caen, histoire de préparer une saison chargée. Il a promis que cette année, il ne ferait que du Class40. Stakhanoviste, on vous dit !Diffusé le 8 mars 2023Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire Levillain
Exceptionnellement cette semaine, Tip & Shaft vous propose de réécouter à l'occasion de l'arrivée des trois premiers concurrents de l'Arkea Ultim Challenge- Brest, les trois épisodes d'Into The Wind qui leur ont été consacrés. De Charles Caudrelier, grand vainqueur, à Armel Le Cléac'h, troisième, en passant par Thomas Coville, deuxième ; revivez leurs carrières à travers ces épisodes enregistrés le 18 septembre 2018 pour Charles Caudrelier, le 1er avril 2020 pour Armel Le Cléac'h et le 1er janvier 2022 pour Thomas Coville.-- Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur.L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer !Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout.Première diffusion le 21 janvier 2022Rediffusé le 1er mars 2024Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot.En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur).C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore.Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016.Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012.Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.Première diffusion le 21 janvier 2022Rediffusé le 1er mars 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis Tisserand
Exceptionnellement cette semaine, Tip & Shaft vous propose de réécouter à l'occasion de l'arrivée des trois premiers concurrents de l'Arkea Ultim Challenge- Brest, les trois épisodes d'Into The Wind qui leur ont été consacrés. De Charles Caudrelier, grand vainqueur, à Armel Le Cléac'h, troisième, en passant par Thomas Coville, deuxième ; revivez leurs carrières à travers ces épisodes enregistrés le 18 septembre 2018 pour Charles Caudrelier, le 1er avril 2020 pour Armel Le Cléac'h et le 1er janvier 2022 pour Thomas Coville.-- Les marins français qui peuvent aligner deux victoires dans la Volvo Ocean Race sur leur CV ne sont pas légion ; ceux qui peuvent prétendre être montés sur le podium lors des trois dernières éditions encore moins ; et un seul d'entre eux peut se targuer d'ajouter une Solitaire du Figaro et plusieurs Transat Jacques Vabre à son palmarès : il s'appelle Charles Caudrelier.A 44 ans, le skipper de Dongfeng Race Team vient de consacrer une décennie à courir l'exigeante Volvo Ocean Race, couronnée par une incroyable victoire sur le fil en juin dernier à la barre du bateau chinois.Pour ce premier numéro d'Into The Wind, il revient longuement sur son parcours, depuis ses premiers bords en baie de la Forêt, jusqu'à l'option victorieuse au large des côtes du Danemark, cet été. Un entretien plein d'anecdotes et de révélations, où Charles Caudrelier, désormais star en Chine, ne fait pas mystère de son envie de retourner au solitaire.Première diffusion le 18 septembre 2018Rediffusé le 1er mars 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis Tisserand -----------------Pour vous abonner à Tip & Shaft, le média des professionnels et des passionnés de voile de compétition, c'est par ici : www.tipandshaft.com/abonnement
This month, Shirley Robertson's Sailing Podcast hosts one of offshore sailing's most accomplished names, as multiple world record holder Brian Thompson drops in for a two part chat about being one of the fastest offshore sailors on the planet.By his own admission, multihull expert Brian Thompson doesn't even know himself how many offshore World Records he's held, but in his opening chat with Robertson, the modest British sailor does admit to knowing for a fact that no one in sailing has ever held more than he has! From Trans-Atlantics to circumnavigations, the final figure is up in the forties, a fact Brian attributes to a long time spent sailing with American adventurer Steve Fossett...:"Steve was a remarkable guy who was obsessed, and fascinated with breaking world records, and not just in sailing, but in all sorts of sports, so I think it all started with him, and we probably got fifteen world records with Steve, and later on with Lloyd Thornburg on Phaedo, we got another ten. Sometimes I've done the same record multiple times...round Britain three times, round the world twice, so in all I've probably broken near forty world records!"Further into this first Episode, Robertson and Thompson discuss Brian's first circumnavigation record onboard Fossett's PlayStation, called Cheyenne at the time of the record attempt, and his growing ability to safely sail big boats fast in big seas. It's now something that Thompson is well known for, and as his career developed, he was in increasing demand, finding himself on a star studded ABN AMRO I as stand in helm for a southern ocean Volvo Ocean Race leg that would prove pivotal to the team's overall Race win...:"I really concentrate on getting a maximum VMG where there is a sweet spot where if you go half a degree lower you're just going to fall of the cliff and stop. You could be a little bit higher, and you're doing a nice boat speed, and it's all very easy but to be gaining that extra one or two degrees of depth you have to play with fire, and I really enjoy that!"Into Part 2 and the sailing chat continues as Brian reveals the many difficulties experienced throughout much of his solo Vendee Globe campaign of 2008, before moving onto his sensational Jules Verne record onboard Loick Peyron's Banque Populaire V, a forty five day, thirteen hour record that stood for five years.This edition of the podcast is in two parts and is available to listen to via the podcast page of Shirley's own website - www.shirleyrobertson.com/podcast or via most popular podcast outlets, including Apple Podcasts, Spotify, Google Podcast and aCast. The podcast is produced and written by Tim Butt - for further enquires, please contact podcast@shirleyrobertson.com.Support the show
Tip & Shaft vous propose d'écouter ou de ré-écouter les 2 épisodes d'Into The Wind les plus suivis de l'année 2023. Votre podcast revient dans son format habituel le vendredi 12 janvier. D'ici là, toute l'équipe de Tip & Shaft vous souhaite une très bonne année 2024 !On l'avait laissé, en mai 2019, à la fin de l'enregistrement de l'épisode 6 d'Into The Wind, sur une petite frustration : celle d'avoir balayé en une poignée de minutes un monument du sport français - la victoire de Groupama dans la Volvo Ocean Race 2011-2012 - et un autre sommet du sport auquel peu de coureurs au large se sont attaqués : la Coupe de l'America. Mais Franck Cammas - à l'époque fraîchement nommé coskipper du Gitana Team - était attendu pour une réunion et nous avions déjà largement dépassé l'horaire prévu...Un peu moins de trois ans plus tard, la carrière de l'Aixois a continué, toujours aussi riche : après trois saisons où il a tout gagné avec Charles Caudrelier à bord de l'Ultim Edmond de Rothschild, il a repris sa liberté, même s'il est de l'équipage en standby pour une tentative de Trophée Jules Verne. Deux dossiers d'envergure sont sur son bureau : sa collaboration avec le Charal Sailing Team pour la conception et le développement de Charal 2 de Jérémie Beyou, avec qui il participera à la prochaine Transat Jacques Vabre, et son implication dans le défi français pour la 37e Coupe de l'America mené par Stéphane Kandler et Bruno Dubois, qui, si elle n'est pas officielle, est corroborée par de nombreuses sources.Il n'en fallait pas moins pour qu'on lui propose de s'asseoir quelques heures en plein hiver pour creuser les sujets survolés trop vite lors de notre premier enregistrement et s'attarder sur sa nouvelle vie de "freelance" lui qui, pour la première fois depuis deux décennies, n'est plus au centre d'un projet. Et on n'a pas été déçu : 3 heures de discussion denses et détaillées, où l'on plonge avec lui dans les arcanes de la technique, de l'humain et de la gestion de projet au plus haut niveau. Passionnant ! Première diffusion le 13 janvier 2023 Rediffusé le 29 décembre 2023Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire Levillain
In this exhilarating episode of Shipshape, we sit down with the renowned sailor, Rome Kirby, for an intimate look into his life on the high seas. From his early days being inspired by his father, Jerry Kirby, to his monumental victory in the 2013 America's Cup with Oracle Team USA, Rome shares his journey, experiences, and the lessons learned along the way.Dive deep into the world of professional sailing as Rome discusses the challenges of the Volvo Ocean Race, the evolution of high-speed foiling catamarans, and his take on the future of sailing technology. Get an insider's view of what it takes to conquer the oceans and the mindset needed to thrive in one of the most demanding sports.Rome also touches on the importance of teamwork, innovation, and sustainability in sailing, and gives us a glimpse into his personal life and future aspirations. Whether you're a sailing enthusiast or just love a good adventure story, this episode is an inspiring deep dive into the life of a sailing champion. Merrill CharetteBrought to you by SHIPSHAPE.PRO - Innovative platform that bridges the gap in marine repair& MIDA.PRO - Marine Industry Digital Agency - Web dev / MarketingPodcast - SHIPSHAPE INTERNATIONAL OCEAN INSIGHTSupport the show
Julia Huvé a débuté sa carrière il y a plus de 25 ans sur un coup d'audace : à l'époque étudiante en maîtrise des techniques et langages des médias à la Sorbonne, elle tape à la porte des bureaux de 6e Sens, le défi français pour la Coupe de l'America. "La Coupe, la Nouvelle-Zélande, je voulais faire partie de l'aventure, j'ai même proposé de faire les cafés." Elle fait beaucoup plus puisqu'elle est embauchée dans l'équipe de la communication, point de départ de douze années dans cet univers de la Coupe, entre défis tricolores successifs et organisation de l'épreuve elle-même. "C'était tellement riche de travailler avec des Italiens, des Anglais, des Espagnols…" L'opportunité se présente ensuite de travailler auprès de Thomas Coville et Sodebo, auprès duquel elle va construire une histoire au long cours, ce qui lui fait dire : "Arriver à un degré de confiance avec le skipper pour qui tu travailles, c'est le plus important." Multipliant parallèlement les expériences – auprès notamment de Kito de Pavant, du Gitana Team, de Spindrift racing et de l'équipe Dongfeng Race Team pendant la Volvo Ocean Race 2017-2018 -, la « communicante » voit son métier évoluer de façon drastique : "La vidéo a changé tellement de choses ! Avoir des mediaman à bord par exemple, c'est génial." Aujourd'hui, à 45 ans, elle est directrice de la communication de l'Imoca, qui n'a cessé de se développer ces dernières années. "Je suis fière de ce qu'on a réussi à faire avec cette classe", confie celle qui, lors de cet entretien, rend un vibrant hommage à Pierre, son compagnon, et à sa mère, très présente pour l'aider à jongler entre sa vie à 200 à l'heure autour du monde et celle de maman de deux filles. "Sans elle, je n'aurais pas pu faire tout ça." Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft. Diffusé le 13 décembre 2023 Post production : Grégoire Levillain Générique : All the summer girls
Il fait penser à ces grands profs de fac qui vous marquent longtemps, ceux dont les cours magistraux se dégustent comme des spectacles, et dont vous savez, en sortant de l'amphi, que vous êtes moins bête que lorsque vous êtes rentré. Jean-Yves Bernot est de ceux-là : référence absolue de son domaine - la stratégie météo - et formidable pédagogue - il a écrit des dizaines de bouquins, que tous les coureurs ont dans leur bibliothèque. Il naît loin de la mer - pas très longtemps après la guerre même s'il ne veut pas dire son âge ! -, mais passe ses vacances en Bretagne. Ce sont les Glénans (l'école) qui l'embarqueront définitivement vers le vent et les vagues : après un bac + 5 en maths à Reims, il bifurque vers l'océanographie à Brest - mais l'appel de la course est le plus fort. Le Triangle Atlantique (1975), les courses du Rorc, la Solitaire du Figaro (1983) forgent le marin qui se retrouve très vite à la table à cartes, où il n'est pas manchot, à l'époque où le GPS n'est pas encore arrivé. Fort en équations, passionné de météo, il accompagne dans les années 1980 les débuts de MacSea (bientôt MaxSea), pionnier des logiciels de navigation. C'est là qu'il développe sa méthode, associant expérience maritime, climatologie, routage et - surtout - stratégie : son expertise est là, dans l'exercice de la prise de décision. Très vite, tout le monde s'arrache Bernot, devenu "le Sorcier" qui sait lire entre les isobares. Jeantot, Poupon, le Corum Sailing Team, le Pôle Finistère course au large, feront appel à lui. Le Rochelais (il s'y est installé en 1983) continue à naviguer sur The Race (2001) et la Volvo Ocean Race (2001-2002). Le tour du monde est son domaine : les participants au Vendée Globe se préparent avec lui ; MacArthur, Joyon, Gabart sont routés pour leurs records victorieux. Mais jamais il n'a renoncé à former les débutants et les amateurs, "ouvrir les portes" est un atavisme familial pour ce fils d'instit. Sur la Transat Jacques Vabre 2023, il route François Gabart et Tom Laperche, avant d'accompagner le second sur l'Arkea Ultim Challenge-Brest. Des heures à venir, derrière les écrans, à ausculter le ciel, l'océan et les cerveaux des marins. Diffusé le 20 octobre 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Sur le papier, la voie de Nicolas Lunven était toute tracée : avec un père participant à plusieurs reprises de la Course de l'Aurore, la filiation semblait évidente. Sauf que non : les exploits paternels datent d'avant sa naissance, en 1982, et il commence par des croisières familiales. Mais bon sang ne saurait mentir, et il embarque en course dès l'adolescence. Mais pas de formation en voile légère ni par la Mini Transat : Lulu, comme beaucoup l'appellent, fait ses armes en habitable, et en particulier sur le Tour Voile, auquel il participera 11 fois. En tentant sa chance lors du Challenge Esoir Crédit Agricole, c'est la révélation : le Figaro sera sa passion. Charles Caudrelier l'appelle pour prendre la barre de son Figaro en 2007, et il finit premier bizuth. Deux ans plus tard, il remporte la Solitaire, à 25 ans, au milieu des cadors de l'époque. Sa carrière est lancée : Solitaire, TFV, Sydney-Hobart, il enchaîne et s'autorise une pause en 2014, pour participer à la Volvo Ocean Race sur Mapfre. L'expérience est de courte durée, mais elle confirme que Nicolas Lunven entre désormais dans la catégorie des équipiers recherchés puisqu'il embarque sur l'Imoca Safran. Et s'il retourne en Figaro ensuite, c'est pour survoler la saison 2017 et entrer dans le club fermé des doubles vainqueurs de l'épreuve. Sa carrière s'accélère et le téléphone sonne : nouvelle Volvo Ocean Race sur Turn The Tide On Plastic, nouvelle saison en Imoca, avec PRB puis Initiatives-Coeur, pige chez Banque Pop pour remplacer Clarisse Crémer pendant sa grossesse, retour à The Ocean Race avec Malizia et, finalement, en septembre de cette année, il remplace Kevin Escoffier à la barre d'Holcim-PRB. Voilà comment, à 40 ans, on devient un candidat plus que sérieux au départ du prochain Vendée Globe. Avec rigueur, sérieux et discrétion. Mais ne vous fiez pas à sa réputation tranquille : derrière son regard clair, Lulu sait faire aller - très - vite les bateaux.... Diffusé le 6 octobre 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
✨ La retraite SUP & yoga « retour aux origines » en Nouvelle-Calédonie. Une immersion de 4 jours en tribu au coeur de l'une des plus belles vallées de l'île. Tu vas faire l'expérience d'une déconnection de ton quotidien, en immersion totale dans la vie d'une tribu. En nature, au rythme de l'eau, de ta pratique de yoga et de tes coups de pagaies. ——————— L'invité de cette semaine est une connaissance de longue date, c'est avant tout un des meilleurs amis de mon frère Tom champion de freestyle de kitesurf. J'ai connu Antoine lorsqu'il était sur le circuit mondial en kite, ce que moins de gens savent c'est qu'avant cela il avait été champion d'Europe en planche olympique. Mais sa vie a véritablement basculée lorsqu'il a découvert le kitesurf. Cette discipline continue de guider son destin entre média man pour les courses au large et présentateur télé, Antoine Auriol est toujours en quête du vent. Antoine c'est la liberté incarnée. Il se fout des chemins tracés et dessine sa vie comme il l'entend. Je me sens très proche de lui par nos mode de vie, alors forcément après tant d'années et de beaux projets réalisés, j'avais hâte de l'inviter au micro d'Oleti ! Dans cet épisode, on te parle : de son parcours en lien avec l'océan de comment avoir la foi pour se reconvertir de l'importance d'avoir une vision du quotidien d'un coureur au large de la Volvo océan race des émissions de télé d'Antoine de son mindset pour mener à bout tous ses projets Outil cité dans cet épisode : la retraite SUP & yoga « retour aux origines » la formation SUP yoga teacher training le pack SUP yoga starter Poussé par le vent notre chaîne YouTube Réserve ton cours de yoga à Nouméa en me contactant au 53 62 28 Si tu as apprécié cet épisode, n'hésite pas à laisser une note et un commentaire sur iTunes, Apple Podcast ou la plateforme d'écoute de ton choix ! Cela aide le podcast à se faire connaitre et ça me fait plaisir de te lire ! ————————————— ✨ Plus de contenu sur mon site internet ✨ Notre tour du monde en voilier à la recherche des plus beaux spots de glisse ✨ Mon actualité sur instagram ✨ Ma page facebook ✨ Notre newsletter salée "Avec du coeur tout est possible »
Chaque mercredi du 2 au 16 août, Tip & Shaft vous propose de ré-écouter 3 épisodes de Navigantes, le podcast des femmes en course et des femmes de la course. Celles qui régatent, au large comme entre trois bouées, mais aussi celles qui œuvrent à terre, sous les projecteurs ou non. Première invitée : Justine Mettraux, la navigatrice engagée. Écoutez-la dans Navigantes #5, enregistré le 16 novembre 2022. Justine Mettraux est une femme engagée. D'abord engagée dans ses projets et dans la recherche de la performance. Sa progression parle pour elle : première femme sur la deuxième marche du podium de la Mini Transat (2013), elle enchaîne quatre participations à la Solitaire du Figaro, avec une 7e place à la clé en 2017, deux à la Volvo Ocean Race, des courses en Class40 et Imoca, et prendra le départ du prochain Vendée Globe pour la première fois. Engagée, la skipper de Teamwork l'est aussi en faveur de la mixité et de la cause des femmes de la course au large. Elle fait partie des premières à avoir porté en France le Magenta Project, association anglo-saxonne qui a pour but d'aider les navigatrices à faire leur place dans le monde de la voile. Elle a été mentor de jeunes navigatrices espagnoles et italiennes dans ce large réseau mondial qui se met en place. « La sororité, c'est primordial », estime-t-elle. A 36 ans, Justine Mettraux, polyvalente et très talentueuse, a longtemps été l'équipière idéale, celle qu'on allait chercher – et c'est encore le cas puisqu'elle fera partie de l'équipage américain 11th Hour Racing Team sur la prochaine Ocean Race -, mais aujourd'hui, elle entame un parcours sur SON Imoca, Teamwork, l'ancien Charal 1 de Jérémie Beyou. « Ça arrive peut-être un peu tard dans ma carrière, mais je suis riche de toutes les expériences passées », analyse la Suissesse dans cet épisode enregistré moins d'une semaine avant le départ de sa première Route du Rhum en Imoca. Malgré la fatigue et un emploi du temps hyper chargé, elle a pris le temps de raconter son cheminement vers l'excellence, mais également de parler de sa famille, notamment de ses quatre frères et sœurs tous marins professionnels aujourd'hui. « On n'était pas du tout destinés à la voile… et puis on a déménagé près du lac et mon père a acheté un bateau… ». Voilà comment Justine Mettraux est devenue navigante… Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft. Première diffusion le 16 novembre 2022 Rediffusé le 2 août 2023 Post production : Grégoire Levillain Générique : All the summer girls
Ce 118e épisode refait le match de la quatrième étape de The Ocean Race entre Itajai et Newport avec trois de ses protagonistes, l'Irlandais Damian Foxall, vainqueur à bord de 11th Hour Racing Team, Nicolas Lunven, navigateur sur Malizia, deuxième de cette étape, et Sébastien Simon qui a eu l'infortune de subir un démâtage sur Guyot Environnement-Team Europe. Tous commencent par revenir sur leur état d'esprit avant le coup d'envoi de cette étape, entre nécessité de “faire quelque chose sur une étape parfaite pour le bateau” pour 11th Hour Racing Team, bonne dynamique à poursuivre pour Malizia, vainqueur de l'étape précédente, et envie de prendre chaque étape “comme une nouvelle course” pour Guyot Environnement -Team Europe, qui sortait d'un abandon sur l'étape 3. Les trois marins racontent le début de course au large du Brésil, puis comment ils ont appris le démâtage de Holcim-PRB. Damian Foxall explique que, pour avoir lui-même connu des démâtages, il a ressenti “une connexion viscérale” avec l'équipage de Kevin Escoffier, dont Nicolas Lunven salue la transparence sur les causes de l'avarie. La suite de cette étape a été marquée par un duel de plus d'une semaine entre 11th Hour Racing Team et Malizia, Damian Foxall ayant eu l'impression de vivre “un long Figaro”. Sébastien Simon raconte ensuite comment Guyot Environnement-Team Europe s'est fait décrocher, notamment à cause de la casse de la downline d'un foil, qui permet de descendre l'appendice, ce qui n'a pas empêché le plan VPLP-Verdier, une fois la réparation effectuée, de battre son record sur 24 heures dans les alizés, avec 573 milles. Damian Foxall raconte ses sensations à haute vitesse, proches selon lui de celles qu'il a connues en MOD70, ce qui lui fait dire que les Imoca sont des “monomarans”. Sébastien Simon revient ensuite sur le démâtage de Guyot Environnement-Team Europe survenu le 9 mai lors d'un passage de front, alors que l'équipage avait joué la prudence en réduisant considérablement la toile, il détaille comment il a fallu réagir très vite pour sécuriser le bateau puis le convoyage sous gréement de fortune vers Halifax (Canada), avec au passage un ravitaillement de gasoil “rock'n roll” en pleine mer. Pour finir, Damian Foxall raconte la joie et le soulagement ressentis à l'arrivée par l'équipage américain de 11th Hour Racing Team de s'imposer à domicile, avec au classement général des compteurs quasiment remis à zéro entre les trois premiers, “comme si on partait d'Alicante”, sourit l'Irlandais. Diffusé le 16 mai 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Comme Roland Jourdain, Jean-Luc Nélias est un enfant de l'école de voile du Cap-Coz, cette bande de sable qui ferme la lagune de Port-la-Forêt ; et comme Bilou, deux ans plus jeune et ami de toujours, Jean-Luc Nélias va grandir dans l'écosystème de ce Finistère sud béni des dieux de la régate, où se côtoient, dans les années 1970 et 1980, Jean Le Cam, les frères Desjoyeaux, Marc Guillemot, Bretrand de Broc, Patrick Morvan et d'autres. Les études vite larguées, passionné de planche, il débute par quelques convoyages, embarque sur Pen Duick VI pour accompagner la transat Lorient-Les Bermudes en, 1983, régate avec Bilou sur son cata de 40 pieds Caisse d'Epargne, et fait vite son trou ; c'est une époque "d'aventuriers" et de "traîne-savates", où "tout est possible". Tout s'enchaîne : il progresse, court le SORC, embarque sur Jet Services - il est du tragique chavirage de 1985 - puis rencontre Jean Maurel qui l'emmène sur Elf Aquitaine, gagnant ensemble Québec-Saint-Malo, le Tour de l'Europe... En 1991, il mène son premier projet solo à bord de Cimarron, où il finit 3e de La Baule-Dakar, mais il poursuit surtout une carrière d'équipier recherché, se spécialisant dans la navigation. Il navigue avec Roland Jourdain (AG2R 1992), Laurent Bourgnon (Course de l'Europe 1993), Franck Cammas (AG2R 1996), Paul Vatine (Transat Jacques Vabre 1997), Thierry Peponnet (AG2R 1998), Marc Guillemot (Transat Jacques Vabre 1999)... et multiplie les participations au Tour de France à la voile pour faire bouillir la marmite. Il vit ensuite la belle époque des trimarans Orma à la tête de son propre projet, entre 2000 et 2003, avec Belgacom, embarquant Mich Desj et Loïck Peyron, avant de découvrir la Solitaire pour la première fois en 2004, gagnant le classement bizuth à 40 ans passés ! Il passe ensuite à l'Imoca avec Bilou, encore, et entre ensuite chez Groupama pour remporter avec Franck Cammas la Volvo Ocean Race en 2011 ; il rempile avec les Espagnols de Mapfre lors de l'édition suivante. Puis, c'est l'aventure Sodebo avec Thomas Coville, pendant 7 ans. Avant qu'une annonce dans Tip & Shaft, en 2021, n'attire son attention : Apivia recherche son team manager pour emmener Charlie Dalin décrocher le Vendée Globe . A 58 ans, le voilà patron d'équipe, découvrant la vie en CDI chez MerConcept, l'entreprise de François Gabart. Fidèle à lui-même, toujours aussi direct, Jean-Luc Nélias l'avoue : ça n'est pas facile tous les jours. Mais cela reste de la voile de haut niveau, une discipline qu'il pratique depuis quatre décennies. Diffusé le 5 mai 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
L'histoire de Conrad Colman, c'est celle d'un type qui accorde ses paroles et ses actes - même si ça lui prend du temps. Et qui trouve, qu'au fond, les Néo-Zélandais - dont il est - et les Français ont beaucoup en commun. Né en 1983 d'un père américain qui a tout plaqué pour naviguer et d'une mère néo-zélandaise, il grandit à Auckland après le décès de son père quand il n'a que 11 mois. Il pratique la voile comme tout petit Kiwi qui se respecte, mais arrête quand il rejoint seul, à 15 ans, les Etats-Unis. Installé dans le Colorado, il pratique le VTT à haut niveau pendant ses études, créé une marque de vélo et largue tout en 2007, avec un seul objectif : participer au Vendée Globe 2016-2017, neuf ans plus tard. Il atterrit à Cowes, La Mecque anglaise de la course, reprend des cours de voile, en donne dans la foulée, devient voilier, régate en long et en large dans le Solent, achète en Italie un cata pour s'engager dans la Transat anglaise, puis abandonne prudemment l'idée pour viser la Mini transat 2009, qu'il finit 24e en bateau de série. L'année suivante, il s'installe à Lorient, court le Rhum en Class40 et l'année suivante encore remporte la Global Ocean Race, tour du monde en Class40 en double avec autant d'équipiers que d'escales. Un premier tour du monde, et l'échéance du Vendée Globe qui se rapproche... Il découvre l'Imoca en travaillant pour Bertrand de Broc, puis embarque avec Nandor Fa pour la Barcelona World Race, courue en 2015 ; dans les mois qui suivent il achète l'ex Maisonneuve (plan Lavranos) et s'aligne au départ du Vendée Globe 2016... comme prévu. C'est là qu'il gagne ses galons de "Crazy Kiwi" : au large du Portugal, après 100 jours de course, il démâte et finit sous gréement de fortune entrant dans la légende du Vendée Globe. Essoré physiquement et mentalement, il s'accorde une pause, en travaillant comme journaliste pour la Volvo Ocean Race, mais il a prévu de repartir pour un nouveau Vendée Globe. Après une saison en Figaro, il loue l'ancien Sill de Roland Jourdain, mais le Covid balaye le projet - il doit renoncer. Un renoncement forcément temporaire : en 2021, il rachète l'ancien V & B de Maxime Sorel, et court toute la saison Imoca 2022, histoire de sécuriser sa sélection pour le Vendée Globe - pour lequel il cherche encore des partenaires. Il vous raconte tout ça avec un grand sourire, des yeux très clairs et une forme de simplicité impressionnante. Et on comprend beaucoup mieux son surnom... Diffusé le 21 avril 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Jede Sportart hat neben den Olympischen Spielen oder ähnlichem sein ganz eigenes sportliches Großereignis. So auch der Segelsport mit dem Ocean Race.Was das Ocean Race überhaupt ist, warum es auf einer Stufe mit Tour de France und Iron Man auf Hawaii genannt werden kann und warum es ein wichtiges Tool im Kampf gegen den Klimawandel ist darüber reden wir dieses mal im Podcast. The Ocean Race Deutscher Seglerverband Du möchtest deinen Podcast auch kostenlos hosten und damit Geld verdienen? Dann schaue auf www.kostenlos-hosten.de und informiere dich. Dort erhältst du alle Informationen zu unseren kostenlosen Podcast-Hosting-Angeboten. kostenlos-hosten.de ist ein Produkt der Podcastbude.Gern unterstützen wir dich bei deiner Podcast-Produktion.
The Making Magic Creativity Podcast: Special Episode "How To Stay Afloat When Life Pushes You Down" with Dee Caffari Support this podcast: https://anchor.fm/shaun-jay/support SPONSORS: Interested in sponsoring the next episode? Email us at makingmagicpodcast@gmail.com and let's make it happen Learn More About Dee Caffari: https://www.deecaffari.co.uk/ LISTEN TO THE SHOW ON YOUR FAVORITE PODCAST APP Apple Podcasts: http://bit.ly/makingmagiconapple Spotify: http://bit.ly/makingmagicspotify Google Podcasts: http://bit.ly/makingmagicgoogle About Dee: Dee Caffari has sailed around the world six times. She is the first woman to have sailed single-handed and non-stop around the world in both directions and the only woman to have sailed non-stop around the world a total of three times. In 2006 Dee became the first woman to sail solo, non-stop, around the world against the prevailing winds and currents and was awarded an MBE in recognition of her achievement. Dee Caffari - Radio Broadcaster Dee recently led ‘Turn the Tide on Plastic' – the first mixed gender youth team to compete in the Volvo Ocean Race 2017/18; with a strong sustainability message. Off the water, the issue of single use plastic in our oceans gained huge momentum and has inspired many people to take action in their day to day lives. Dee will continue to highlight the vital importance of reducing our dependence on plastics. Outside of sailing, Dee continues to showcase her talents as a presenter and on the motivational speaker circuit. Dee also spends time supporting her chosen charities and is Chair of the World Sailing Trust, a new global charity that will promote the health of oceans and grow participation of the sport to protect its future. --- Support this podcast: https://anchor.fm/shaun-jay/support
Comment, lorsqu'on est belge, fils d'une coiffeuse et d'un footballeur pro, installés à Genval, au sud de Bruxelles, parvient-on à s'attaquer pour la seconde fois, à 60 ans passés, à la conquête de la Coupe de l'America ? La question résume en une poignée de mots plus de quatre décennies d'une vie trépidante passée à courir la planète et les compétitions de voile : celle de Bruno Dubois, actuel team manager de l'équipe française de SailGP et du défi Orient Express Team, annoncé le 2 février 2023... C'est sur le lac près de chez lui que le jeune Dubois fait ses premières armes et accroche tout de suite à la pratique. Dès 10 ans, il commence les premières régates ; mais au cœur des années 1970 où il grandit, bercées par le flower power, c'est le voyage qui l'attire : après une année de service passée à régater, il prend la route pour le Brésil puis les Antilles. A son retour, en 1983, il n'a plus qu'une idée en tête : participer à la Mini Transat. Il finit premier Muscadet et sait qu'il a trouvé sa voie. Il enchaîne avec Québec Saint-Malo, le Tour de France à la voile, la Course de l'Europe, et se retrouve - à 28 ans - skipper de Rucanor Sport pour la Whitbread 1989 : c'est là qu'il rencontre Peter Blake, Pierre Fehlmann, Grant Dalton... Il entre ensuite chez North Sails à Toronto, au Canada, d'où est originaire son épouse. Il entame au sein de la voilerie américaine une longue carrière d'un quart de siècle - d'abord à l'étranger puis en France -, qui va lui permettre de côtoyer et de naviguer avec l'élite de la course, en France comme à l'étranger, tant en course au large (Imoca, Ultimes, VOR65) qu'en régate (Americas' Cup), tout en développant fortement la marque en Europe. En 2014, il entame une nouvelle phase de son parcours en quittant North Sails et en devenant le team manager de Dongfeng Race Team dans la Volvo Ocean Race, avec Charles Caudrelier à la barre. Il n'a cessé d'enchaîner depuis : il prend les mêmes fonctions chez Groupama Team France avec Franck Cammas pour la Coupe de l'America en 2017, revient chez Dongfeng pour une victoire sur la Volvo en 2018, puis dans l'équipe chinoise de SailGP avant d'être transféré chez les Français en 2020. Et, début 2023, il revient à la Coupe, avec Stéphane Kandler, une vieille connaissance. Un épisode dense et original, où Bruno Dubois nous emmène dans les coulisses, et pas que sur l'eau ! Diffusé le 17 février 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Matthew Gregory is the founder and CEO of Ockam.Ockam empowers developers to build applications that can Trust Data-in-Motion across complex, variable, and hostile networks.Matthew has a diverse background in cloud-native open-source software development. While at Microsoft he led Azure's pivot to Open Source. He was at Heroku during his formative years, and he built the Weather API that your favorite weather app probably uses. He is also a former America's Cup and Volvo Ocean Race navigator.Connect with Behind Company Lines and HireOtter Website Facebook Twitter LinkedIn:Behind Company LinesHireOtter Instagram Buzzsprout
Comment, lorsqu'on est belge, fils d'une coiffeuse et d'un footballeur pro, installés à Geneval, au sud de Bruxelles, parvient-on à s'attaquer pour la seconde fois, à 60 ans passés, à la conquête de la Coupe de l'America ? La question résume en une poignée de mots plus de quatre décennies d'une vie trépidante passée à courir la planète et les compétitions de voile : celle de Bruno Dubois, actuel team manager de l'équipe française de SailGP et du défi Orient Express Team, annoncé le 2 février 2023... C'est sur le lac près de chez lui que le jeune Dubois fait ses premières armes et accroche tout de suite à la pratique. Dès 10 ans, il commence les premières régates ; mais au cœur des années 1970 où il grandit, bercées par le flower power, c'est le voyage qui l'attire : après une année de service passée à régater, il prend la route pour le Brésil puis les Antilles. A son retour, en 1983, il n'a plus qu'une idée en tête : participer à la Mini Transat. Il finit premier Muscadet et sait qu'il a trouvé sa voie. Il enchaîne avec Québec Saint-Malo, le Tour de France à la voile, la Course de l'Europe, et se retrouve - à 28 ans - skipper de Rucanor Sport pour la Whitbread 1989 : c'est là qu'il rencontre Peter Blake, Pierre Fehlmann, Grant Dalton... A son retour, il entre chez North Sails à Toronto, au Canada, d'où est originaire son épouse. Il entame au sein de la voilerie américaine une longue carrière d'un quart de siècle - d'abord à l'étranger puis en France -, qui va lui permettre de côtoyer et de naviguer avec l'élite de la course, en France comme à l'étranger, tant en course au large (Imoca, Ultimes, VOR65) qu'en régate (Americas' Cup), tout en développant fortement la marque en Europe. En 2014, il entame une nouvelle phase de son parcours en quittant North Sails et en devenant le team manager de Dongfeng Race Team dans la Volvo Ocean Race, avec Charles Caudrelier à la barre. Il n'a cessé d'enchaîner depuis : il prend les mêmes fonctions chez Groupama Team France avec Franck Cammas pour la Coupe de l'America en 2017, revient chez Dongfeng pour une victoire sur la Volvo en 2018, puis dans l'équipe chinoise de SailGP avant d'être transféré chez les Français en 2020. Et, début 2023, il revient à la Coupe, avec Stéphane Kandler, une vieille connaissance. Un épisode dense et original, où Bruno Dubois nous emmène dans les coulisses, et pas que sur l'eau ! Diffusé le 10 février 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
On l'avait laissé, en mai 2019, à la fin de l'enregistrement de l'épisode 6 d'Into The Wind, sur une petite frustration : celle d'avoir balayé en une poignée de minutes un monument du sport français - la victoire de Groupama dans la Volvo Ocean Race 2011-2012 - et un autre sommet du sport auquel peu de coureurs au large se sont attaqués : la Coupe de l'America. Mais Franck Cammas - à l'époque fraîchement nommé coskipper du Gitana Team - était attendu pour une réunion et nous avions déjà largement dépassé l'horaire prévu... Un peu moins de trois ans plus tard, la carrière de l'Aixois a continué, toujours aussi riche : après trois saisons où il a tout gagné avec Charles Caudrelier à bord de l'Ultim Edmond de Rothschild, il a repris sa liberté, même s'il est de l'équipage en standby pour une tentative de Trophée Jules Verne. Deux dossiers d'envergure sont sur son bureau : sa collaboration avec le Charal Sailing Team pour la conception et le développement de Charal 2 de Jérémie Beyou, avec qui il participera à la prochaine Transat Jacques Vabre, et son implication dans le défi français pour la 37e Coupe de l'America mené par Stéphane Kandler et Bruno Dubois, qui, si elle n'est pas officielle, est corroborée par de nombreuses sources. Il n'en fallait pas moins pour qu'on lui propose de s'asseoir quelques heures en plein hiver pour creuser les sujets survolés trop vite lors de notre premier enregistrement et s'attarder sur sa nouvelle vie de "freelance" lui qui, pour la première fois depuis deux décennies, n'est plus au centre d'un projet. Et on n'a pas été déçu : 3 heures de discussion denses et détaillées, où l'on plonge avec lui dans les arcanes de la technique, de l'humain et de la gestion de projet au plus haut niveau. Passionnant ! Diffusé le 20 janvier 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
This month's edition of Shirley Robertson's Sailing Podcast comes from the Spanish port of Alicante, long time home to the Ocean Race, as the fourteenth edition of this famous round the world adventure gets underway with a dramatic new look.On what is the fiftieth anniversary of what was originally called the Whitbread Round The World Race, then became famous as the Volvo Ocean Race and is now being sailed as simply The Ocean Race, Shirley Robertson presents her podcast from the start of the thirty two thousand nautical mile odyssey. In this edition she talks to skippers and crew members from each of the five foiling IMOCA entrants, and catches up with Ocean Race Co-President, Johan Salen, to talk thorough the class changes, and the future of the Race.Now being sailed in the IMOCA class, the superfast foiling monohulls more familiar to Vendee Globe fans, much of the dockside chat was over sailing these solo-orientated speed machines with a crew, and how sailing from the almost fully covered cockpits was a huge departure for this race.In Part 1 of this two part podcast, Robertson talks all things Ocean Race with three of the five IMOCA teams taking on the challenge, including Charlie Enright of '11th Hour Racing'....:"It almost requires a more natural sailor, because you are trying to do it with less feedback, if that makes sense, so it's more seat of the pants, it's more feeling, it's really unique to be sailing inside and down below."From 'Holcim PRB', French offshore skipper Kevin Escoffier is also in PArt 1..: "You have to discover new ways of feeling it, the vibration, the sounds of the foils...anybody who has sailed a dinghy will know, if they close their eyes, they will feel the boat."Part 1 also includes guest appearances from The Ocean Race race village with one time winner of the Volvo Ocean Race, Ian Walker, and Team SCA Volvo skipper Sam Davies. Episode 1 then wraps up with two time Ocean Race sailor Annie Lush of 'Guyot environnment' discussing the differences between this edition of the race and her two previous editions.This edition of The Ocean Race is a fascinating new era - in Part 2 of this podcast, Robertson talks with Co-President of the Race, Johan Salen, two time Volvo Ocean Race sailor Annie Lush, British offshore sailor Will Harris of Team Malizia and to IMOCA regular, Route du Rhum winner Paul Meilhat, skippering 'Biotherm'. This edition of the podcast is in two parts and is available to listen to via the podcast page of Shirley's own website - www.shirleyrobertson.com/podcast or via most popular podcast outlets, including Apple Podcasts, Spotify, Google Podcast and aCast. The podcast is produced and written by Tim Butt - for further enquires, please contact podcast@shirleyrobertson.com. Support the show
This month's edition of Shirley Robertson's Sailing Podcast comes from the Spanish port of Alicante, long time home to the Ocean Race, as the fourteenth edition of this famous round the world adventure gets underway with a dramatic new look.On what is the fiftieth anniversary of what was originally called the Whitbread Round The World Race, then became famous as the Volvo Ocean Race and is now being sailed as simply The Ocean Race, Shirley Robertson presents her podcast from the start of the thirty two thousand nautical mile odyssey. In this edition she talks to skippers and crew members from each of the five foiling IMOCA entrants, and catches up with Ocean Race Co-President, Johan Salen, to talk thorough the class changes, and the future of the Race.Now being sailed in the IMOCA class, the superfast foiling monohulls more familiar to Vendee Globe fans, much of the dockside chat was over sailing these solo-orientated speed machines with a crew, and how sailing from the almost fully covered cockpits was a huge departure for this race.The format of this new look Ocean Race is covered in Episode 1 of this two part edition - in this episode, British offshore sailor Will Harris, sailing the Race with Boris Herrmann's "Team Malizia" explains amongst other things, the challenge of sailing from the fully covered cockpit of the new designs of IMOCA...:"We're always looking at the sensors and the numbers because when you're inside these boats that's really all you've got to go off, it's how these boats are sailed now, it's not so much about what you feel in the helm, or what you feel by looking at the sails."This edition of The Ocean Race is a fascinating new era, and the discussions within the podcast certainly reflect that. Revealing the decisions made to move the Race forward, Episode 2 continues with Robertson's talk with Co-President of the Race, Johan Salen, which makes for interesting listening, Robertson also talks to IMOCA regular, Route du Rhum winner Paul Meilhat, skippering 'Biotherm'. This edition of the podcast is in two parts and is available to listen to via the podcast page of Shirley's own website - www.shirleyrobertson.com/podcast or via most popular podcast outlets, including Apple Podcasts, Spotify, Google Podcast and aCast. The podcast is produced and written by Tim Butt - for further enquires, please contact podcast@shirleyrobertson.com. Support the show
On l'avait laissé, en mai 2019, à la fin de l'enregistrement de l'épisode 6 d'Into The Wind, sur une petite frustration : celle d'avoir balayé en une poignée de minutes un monument du sport français - la victoire de Groupama dans la Volvo Ocean Race 2011-2012 - et un autre sommet du sport auquel peu de coureurs au large se sont attaqués : la Coupe de l'America. Mais Franck Cammas - à l'époque fraîchement nommé coskipper du Gitana Team - était attendu pour une réunion et nous avions déjà largement dépassé l'horaire prévu... Un peu moins de trois ans plus tard, la carrière de l'Aixois a continué, toujours aussi riche : après trois saisons où il a tout gagné avec Charles Caudrelier à bord de l'Ultim Edmond de Rothschild, il a repris sa liberté, même s'il est de l'équipage en standby pour une tentative de Trophée Jules Verne. Deux dossiers d'envergure sont sur son bureau : sa collaboration avec le Charal Sailing Team pour la conception et le développement de Charal 2 de Jérémie Beyou, avec qui il participera à la prochaine Transat Jacques Vabre, et son implication dans le défi français pour la 37e Coupe de l'America mené par Stéphane Kandler et Bruno Dubois, qui, si elle n'est pas officielle, est corroborée par de nombreuses sources. Il n'en fallait pas moins pour qu'on lui propose de s'asseoir quelques heures en plein hiver pour creuser les sujets survolés trop vite lors de notre premier enregistrement et s'attarder sur sa nouvelle vie de "freelance" lui qui, pour la première fois depuis deux décennies, n'est plus au centre d'un projet. Et on n'a pas été déçu : 3 heures de discussion denses et détaillées, où l'on plonge avec lui dans les arcanes de la technique, de l'humain et de la gestion de projet au plus haut niveau. Passionnant ! Diffusé le 13 janvier 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Ce 101e épisode de Pos. Report est consacré à The Ocean Race, dont le départ de la première étape est donné le 15 janvier d'Alicante à destination du Cap Vert, en compagnie de Kevin Escoffier, skipper de l'Imoca Holcim-PRB, et de Nicolas Lunven, navigateur à bord de Malizia-Seaexplorer, le bateau de Boris Herrmann. Les deux marins commencent par revenir sur la régate in-port disputée dimanche à Alicante dans des conditions instables qui ont souri à Malizia-Seaxplorer, vainqueur, “une belle récompense pour l'équipe technique” selon Nicolas Lunven, en référence au travail effectué par cette dernière pendant les fêtes (voir ci-dessous). On effectue ensuite un retour en arrière avec Kevin Escoffier qui raconte comment The Ocean Race, initialement non prévue, s'est rajoutée au programme de l'équipe, le nouveau propriétaire de PRB, le Suisse Holcim, y ayant vu l'opportunité de communiquer à l'international. D'où “une grosse charge de travail” pour l'équipe et “une pression technique parce qu'il ne fallait pas qu'on ait des soucis”, notamment sur la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, dont le Malouin a pris la quatrième place. Nicolas Lunven explique quant à lui comment il a été contacté assez en amont par Boris Herrmann, qui, depuis le début, avait fait part de son intention de courir The Ocean Race. Les deux marins détaillent ensuite leurs équipages respectifs, la répartition des rôles à bord et une préparation minimale, notamment pour Kevin Escoffier qui, avant le départ de la première étape dimanche, n'aura navigué que quelques jours avec son équipage. La course contre la montre s'est intensifiée ces derniers mois du fait de la participation des deux bateaux à la Route du Rhum, avec des contrariétés dans les deux équipes : la blessure de Sam Goodchild du côté de Holcim PRB - l'Anglais devait faire le convoyage retour des Antilles -, la découverte de problèmes sur les deux foils de Malizia-Seaxplorer pour le team de Boris Herrmann, qui a réussi à en récupérer deux en fin de construction chez Avel Robotics, d'où des fêtes très chargées pour l'équipe technique qui a dû les finir, les adapter et les installer. Nous évoquons ensuite avec nos deux invités les designs respectifs des deux bateaux, Kevin Escoffier comparant son bateau à "une voiture de WRC" (rallye), celui de Boris Herrmann à "un 4x4", puis les enjeux techniques d'une course qui, avec seulement cinq bateaux au départ, ne peut pas trop se permettre d'en perdre en route. Interrogés sur le favori de The Ocean Race, ils citent tous les deux 11th Hour Racing Team, parti le premier, Nicolas Lunven voyant également Holcim-PRB “bien placé”. Nous finissons par évoquer la première étape vers le Cap Vert, avec pour enjeu principal la sortie de Méditerranée qui fait dire à Kevin Escoffier que souvent, “le premier qui passe à Gibraltar a de bonnes chances de creuser l'écart”. Diffusé le 10 janvier 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Tip & Shaft vous propose d'écouter ou de ré-écouter l'épisode d'Into The Wind le plus suivi de l'année 2022. Votre podcast revient dans son format habituel le vendredi 13 janvier. D'ici là, toute l'équipe de Tip & Shaft vous souhaite une très bonne année 2023 ! Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur. L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer ! Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout. Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot. En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur). C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore. Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016. Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012. Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.
Cette semaine, Tip & Shaft vous propose d'écouter ou de réécouter le tout premier épisode d'Into The Wind, enregistré en septembre 2018, dont l'invité était celui qui, quatre ans plus tard, s'est imposé mercredi en Ultim sur la Route du Rhum-Destination Guadeloupe en moins de 7 jours, Charles Caudrelier. Ce dernier, qui n'avait alors pas intégré le Gitana Team, sortait tout juste d'une victoire au bout du suspense sur la Volvo Ocean Race à la tête de l'équipage de Dongfeng Race Team. Depuis, son palmarès s'est étoffé, avec, entre autres, la Brest Atlantiques en 2019, le Fastnet et la Transat Jacques Vabre en 2021, la Finistère Atlantique et le Rhum cette année... Les marins français qui peuvent aligner deux victoires dans la Volvo Ocean Race sur leur CV ne sont pas légion ; ceux qui peuvent prétendre être montés sur le podium lors des trois dernières éditions encore moins ; et un seul d'entre eux peut se targuer d'ajouter une Solitaire du Figaro et plusieurs Transat Jacques Vabre à son palmarès : il s'appelle Charles Caudrelier. A 44 ans, le skipper de Dongfeng Race Team vient de consacrer une décennie à courir l'exigeante Volvo Ocean Race, couronnée par une incroyable victoire sur le fil en juin dernier à la barre du bateau chinois. Pour ce premier numéro d'Into The Wind, il revient longuement sur son parcours, depuis ses premiers bords en baie de la Forêt, jusqu'à l'option victorieuse au large des côtes du Danemark, cet été. Un entretien plein d'anecdotes et de révélations, où Charles Caudrelier, désormais star en Chine, ne fait pas mystère de son envie de retourner au solitaire. Diffusé le 18 septembre 2018 Rediffusé le 18 novembre 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Published 11 September 2022We chat to Jack Boutell, the Australian/English/French round the world sailor who won the Volvo Ocean Race with the Chinese.If you want to know how to make it, Jack's story is one to listen to. He put everything into his opportunities and now he is reaping the rewards. It's a great story and his adventure continues.We also talk Maxi Worlds and SailGP, give the heads up on the Etchells worlds, Hobie Worlds and the Star Worlds.#barkarate #sailingpodcast #barkaratesailorslarger #barkarateconversations #worldsailingofficial #sailing #boat #ocean #sport #voile #sail #sea #offshore #sailors #sailingworld #extremesailing #foils #yacht #yachts #saillife #instayacht #sailingblog #instasail #sailgp #11thhourteam #theoceanrace #lasolitairedufigaro #etchellsclass #hobieworlds
Chaque vendredi, du 29 juillet au 19 août, Tip & Shaft vous propose sa série estivale baptisée Un été de navigatrices. Nous avons en effet choisi de rediffuser quatre épisodes d'Into The Wind où l'on retrouve des femmes qui vont sur la mer en course, en solitaire ou en équipage. Et si nous avons choisi de mettre les femmes en avant cet été, c'est que Tip & Shaft lance fin septembre un nouveau podcast dédié aux femmes en course. Baptisé “Navigantes”, il sera animé par Hélène Cougoule et donnera la parole à toutes celles qui régatent, au large ou entre trois bouées, en solitaire ou en équipage. Troisième invitée d'Un été de navigatrices, la Suissesse Justine Mettraux, avec un épisode d'Into The Wind (le numéro 27) enregistré début 2021 à Larmor-Plage. Depuis, celle qui termina deuxième de la Mini Transat 2013 en série, avant d'enchaîner une Volvo Ocean Race avec Team SCA et plusieurs participations au circuit Figaro Beneteau, a pris de l'expérience en Imoca, notamment au sein de l'équipe 11th Hour Racing Team, disputant The Ocean Race Europe en juin 2021 puis la Transat Jacques Vabre l'automne suivant, malheureusement interrompue sur démâtage. Fin juillet 2022, le partenaire de ses débuts en course au large, Teamwork, a annoncé qu'il se lançait à ses côtés pour une première campagne de Vendée Globe, rachetant Charal 1, l'ex Imoca de Jérémie Beyou, dont l'équipe, BeYou Racing, va accompagner la skipper helvète vers ce premier tour du monde en solitaire. __ C'est l'histoire d'une jeune Suissesse dont les parents se destinaient à l'agriculture dans la campagne fribourgeoise… et qui est devenue l'une des femmes marins les plus capées de sa génération. À 34 ans, Justine Mettraux, dont les quatre frères et sœurs ont été eux aussi happés par la passion de la course, compte déjà une solide expérience, des Surprises du lac Léman de sa jeunesse à la Volvo Ocean Race. Formée au sein de l'incontournable Centre d'Entraînement à la Régate de Genève, elle a cumulé les saisons en Surprise, en Farr30, en D35, en Mini, en Figaro et en Volvo 65, sans oublier quelques piges en Class40. Deuxième de la Mini-Transat en 2013 en bateau de série, elle enchaîne immédiatement par une participation à la Volvo Ocean Race au sein de l'équipage féminin de Team SCA avant de se lancer dans 4 saisons de Figaro (7e de la Solitaire en 2017), entrecoupées d'une Transat Jacques Vabre (4e en Class40 en 2017) Aussi à l'aise en solitaire qu'en équipage, Justine Mettraux fait partie des rares femmes capables d'intégrer un team sur The Ocean Race, dont elle a fait son prochain objectif. Avant, un jour, de s'aligner sur le Vendée Globe. Première diffusion le 8 janvier 2021 Rediffusé le 12 août 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Chaque vendredi, du 29 juillet au 19 août, Tip & Shaft vous propose sa série estivale baptisée Un été de navigatrices. Nous avons en effet choisi de rediffuser quatre épisodes d'Into The Wind où l'on retrouve des femmes qui vont sur la mer en course, en solitaire ou en équipage. Et si nous avons choisi de mettre les femmes en avant cet été, c'est que Tip & Shaft lance fin septembre un nouveau podcast dédié aux femmes en course. Baptisé "Navigantes", il sera animé par Hélène Cougoule et donnera la parole à toutes celles qui régatent, au large ou entre trois bouées, en solitaire ou en équipage. Deuxième invitée d'Un été de navigatrices, une certaine Marie Riou, avec un épisode d'Into The Wind (le numéro 22) enregistré chez elle en presqu'île de Crozon, à l'automne 2020. Depuis, celle qui fut, entre autres, vainqueure inoubliable de la Volvo Ocean Race 2017-2018 à bord de Dongfend Race Team, a poursuivi sa route, goûtant à l'Imoca à bord de Corum pour The Ocean Race Europe en 2021, au Class40 avec Amélie Grassi sur La Boulangère Bio lors de la dernière Transat Jacques Vabre. Et même, en juin dernier, à un titre de champion du monde militaire avec Jean-Baptiste Bernaz en J80 alors qu'elle attendait un heureux évènement... Un épisode à retrouver sur notre site et sur toutes les plateformes d'écoute. __ Les femmes qui ont gagné quatre titres de champions du monde en voile légère tout en comptant une victoire dans la Volvo Ocean Race ne sont pas légion sur la planète voile. La Française Marie Riou, 39 ans, appartient à ce cercle très fermé. La native de Plougastel, au bord de la rade de Brest, tombée dans la voile toute petite dans le sillage d'un père et de deux frères passionnés, a connu un début de carrière fulgurant, devenant championne du monde et d'Europe de 420 en 1999 (avec Anne-Claire Le Berre). L'enchaînement s'avère ensuite plus difficile mais après quelques années de recul, la voilà de retour par le match-racing où les titres s'accumulent et l'emmènent aux JO de Londres en 2012 en compagnie de Claire Leroy, qui règne alors sur la discipline. Puis c'est la rencontre - les retrouvailles à - avec Billy Besson et l'enchaînement incroyable de quatre titres de champions du monde de Nacra 17 en 4 ans - ainsi qu'un titre de marins de l'année en 2015 - qui font d'eux les grandissimes favoris des jeux de Rio 2016. Après la blessure de Billy et l'échec de Rio, la voilà qui rebondit et embarque en 2017 sur Dongfeng pour une inoubliable campagne qui voit le projet franco-chinois remporter la Volvo Ocean Race. Et Marie Riou d'être désignée Rolex Sailor of The Year en 2018. Puis c'est l'aventure SailGP - seule femme de la flotte sur ces catas à foils qui se baladent à 50 noeuds -, du Diam24, une nouvelle campagne olympique avec Benjamin Schartz vers Paris 2024... Au fil de deux heures de discussion, on découvre la trajectoire d'une femme directe et authentique, naviguant au gré des rencontres. Tranquillement, discrètement, Marie Riou se bâtit brique par brique un palmarès incroyable sur tous les supports. Un parcours éclectique doré sur tranche, sans doute loin d'être fini. Première diffusion le 23 octobre 2020 Rediffusé le 5 août 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain Photo : Martin Kéruzoré/Volvo Ocean Race
Chaque vendredi, du 29 juillet au 19 août, Tip & Shaft vous propose sa série estivale baptisée Un été de navigatrices. Nous avons en effet choisi de rediffuser quatre épisodes d'Into The Wind où l'on retrouve des femmes qui vont sur la mer en course, en solitaire ou en équipage.Et si nous avons choisi de mettre les femmes en avant cet été, c'est que Tip & Shaft lance fin septembre un nouveau podcast dédié aux femmes en course. Baptisé "Navigantes", il sera animé par Hélène Cougoule. Première invitée, Sam Davies, évidemment, avec un épisode d'Into The Wind (le numéro 5), enregistré en juillet 2019, alors qu'elle vient tout juste de remporter la Sardinha Cup avec Yann Eliès et qu'elle prépare la Transat Jacques Vabre 2019 avec Paul Meilhat, qu'elle terminera 7e. Depuis, Sam Davies s'est aligné au départ du dernier Vendée Globe qu'elle a abandonné au large de l'Afrique du Sud après une violente collision avec un ofni. Mais Madame Davies a mis un point d'honneur à boucler la boucle hors course pour revenir aux Sables d'Olonne après avoir réparé. Après une nouvelle Transat Jacques Vabre bouclée en 5e position avec Nicolas Lunven l'an dernier, elle prépare le prochain Vendée Globe, toujours sous les couleurs d'Initiatives Coeur, avec un bateau neuf sur plan Sam Manuard, qu'elle engagera cet automne sur la Route du Rhum.. Un épisode à retrouver sur notre site et sur toutes les plateformes d'écoute. __ La dernière ligne de son palmarès en dit long : mi-avril, Sam Davies a remporté avec Yann Eliès, la Sardinha Cup*, première épreuve officielle du nouveau Figaro 3. Les cadors de la voile française l'ont bien compris : à 44 ans, l'Anglaise joue dans la cour des grands. Fille de marins, ingénieure diplômée de Cambridge, Samantha Davies affiche un riche et long parcours : Mini-Transat, Solitaire du Figaro, Transat AG2R, Transat Jacques Vabre, Vendée Globe (elle se classe 3e de son premier en 2009), elle skippe un équipage entièrement féminin lors de la Volvo Ocean Race 2014-2015 et change de dimension. En 2017, elle succède à Tanguy de Lamotte à la barre de l'Imoca Initiatives Coeur. Et vise désormais le prochain Vendée Globe, pour lequel elle peut prétendre à une place sur le podium. Pour Into The Wind, elle revient longuement sur son parcours de chaque côté de la Manche, confortablement installée dans le carré de la goélette familiale. *podcast enregistré avant cette course. Première diffusion le 15 avril 2019 Rediffusé le 29 juillet 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain Photo : Initiatives Cœur
Il s'est mis au bateau... pour pouvoir faire de la planche à voile ! Trois décennies plus tard, Thomas Rouxel, 40 ans fin novembre, peut se targuer d'une carrière discrète mais brillante d'équipier recherché, lui qui est désormais le co-skipper de Thomas Coville à bord de Sodebo Ultim 3. Des parents restaurateurs à Erquy qui casent les deux frères à l'école de voile pour l'été et c'est parti : Optimist puis Equipe avec son aîné, il enchaîne avec le 420 et c'est le déclic "du jour au lendemain", avec les résultats qui arrivent et emmènent les frères Rouxel au championnat du monde. Pour autant, la vraie passion du jeune Thomas reste... le funboard : "Si on m'avait laissé choisir, je n'aurais fait que de la planche". Ils enchaînent avec le 470, s'installent à Brest pour leurs études en fac de sport, deviennent sportifs de haut niveau. Leur avenir olympique est un peu bouché, à cause d'un gabarit "pas idéal du tout", alors le jeune Rouxel glisse presque naturellement vers l'habitable, découvert en parallèle : First Class 8, match racing, Tours de France à la voile, Melges 24... Presque par hasard, il découvre en 2003 le Figaro via le Challenge Crédit Agricole, embarque ensuite avec Benoît Petit et se retrouve en 2006 au départ de sa première Solitaire du Figaro. Cinq saisons de Figaro 2 vont faire de lui un figariste qui joue dans le haut du tableau, avec trois places dans les 10 sur la Solitaire, une deuxième place sur le Trophée BPE Belle-ïle Marie-Galante et une victoire, après le déclassement de Nicolas Lunven, sur la Transat Bénodet-Martinique, sans parler d'une cinquième place avec Nicolas Troussel lors de l'AG2R 2010 - "une rencontre qui a beaucoup compté pour moi". Pas mal pour un marin qui, lors de sa première transat, en 2006, avait conclu à son arrivée : "Plus jamais ça !" Il est ensuite recruté par Sébastien Josse pour naviguer sur le MOD70 Gitana, et c'est un nouveau déclic : la navigation en multicoque comble le planchiste - et le touche-à-tout - qu'il est toujours. En 2014, c'est au tour de Charles Caudrelier de l'appeler pour embarquer dans l'aventure incroyable du projet Dongfeng, où un petit groupe de marins français se rend en Chine sélectionner des navigants avant de partir autour du monde sur la Volvo Ocean Race - la seule course qui le faisait rêver, ado - pour décrocher une incroyable troisième place. Une tentative de trophée Jules Verne en 2015 sur Spindrift et c'est à nouveau Sébastien Josse qui le rappelle pour embarquer sur le tout nouveau Gitana 17 : l'occasion pour "Tom Roux", comme beaucoup le surnomme, d'entrer dans le club très fermé des barreurs d'Ultime. Il signe chez Sodebo quand Gitana se sépare de Sébastien Josse en 2019 et développe sa capacité à voler au large, tout en continuant les piges en Figaro ou en IRC, convaincu, comme nombre de marins, que varier les supports, "c'est bon pour la performance". Sans cacher, désormais, ses envies d'un projet à lui en Ocean Fifty... et sans en faire, non plus "une fin en soi" en équipier "épanoui" qu'il est. ---- Diffusé le 13 mai 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Julien Badoil/Studio Juno
Shirley Robertson's Sailing Podcast this month features one of the most respected names in boat building, as Jason Carrington takes to the mic to discuss his phenomenal career in the sport. Carrington has been at the forefront of high performance boat building for several decades, but as his chat with Robertson reveals, his achievements in the boat shed are more than matched by an impressive career offshore.In this two part edition, Part 1 sees Carrington reveal how a childhood spent on the water in Lymington (UK) led to an apprenticeship at the groundbreaking Green Marine, under the tutelage of the pioneering Bill Green himself. It wasn't long before Carrington was impressing as a bowman, and was soon setting off on his first Whitbread attempt on the 1993/94 "Fortuna" campaign with British Whitbread stalwart Lawrie Smith. It was the first of four Whitbred / Volvo campaigns for Carrington, his second seeing him again take on the Round the World race with Smith onboard "Silk Cut"....:"Sailing with Lawrie was wonderful, I remember my first glimpse of the Southern Ocean, I've never been with anyone that sailed so hard in the Southern Ocean...I was on the handles on deck....Lawrie was in the hatch and I looked and said 'this is crazy' and Lawrie just said "This is when you make the miles!.""Carrington's tales of sailing the 93/94 and 97/98 Whitbread are told with a very obvious enthusiasm that hides nothing of his love for the camaraderie and hardships of round the world sailing. As the Whitbread transitioned to the Volvo Ocean Race, it's Carrington's memories of building Volvo60 "Assa Abloy" that then begin to reveal a glimpse of the attention to detail he's since become famous for...:"(Our sponsor) wanted the coach roof to be red and I caused such a fuss about 'why are we putting this paint on the boat, it's heavier, we don't need that paint' and I worked out per square metre what that was gonna weigh and I said 'No, we're not painting it red', I even phoned the sponsor...there was no compromise!"From a lap of the planet on "Assa Abloy", tales from Carrington's sailing career then take in a Jules Verne attempt with Ellen MacArthur onboard catamaran "Kingfisher 2", as this epiosde wraps up. In Part 2 of this month's pod, Carrington then discusses his final Volvo Ocean Race another onboard "Ericsson", before the chat turns to life inside the boat shed, and the formation in 2017 of the now world renowned Carrington Boats.Robertson's two part podcast with Jason Carrington is a fascinating glimpse into the career of a man that has played a pivotal role in the progression of the sport of sailing, and reveals a passionate character driven by a very obvious and deep rooted love of the sport of competitive yacht racing.This edition of the podcast is in two parts and is available to listen to via the podcast page of Shirley's own website, at www.shirleyrobertson.com/podcast or via most popular podcast outlets, including Apple Podcasts, SpotifySupport the show (https://www.buymeacoffee.com/sailingpodcast)
Shirley Robertson's Sailing Podcast this month features one of the most respected names in boat building, as Jason Carrington takes to the mic to discuss his phenomenal career in the sport. Carrington has been at the forefront of high performance boat building for several decades, and in this, Part 2 of his chat with Robertson, much of the discussion relates to his work inside the boat shed as he builds some of the world's fastest racing machines.This Episode begins with the discussion around Carrington's final Volvo Ocean Race, onboard "Ericsson", one of the first Volvo 70s, again built under the watchful eye of Carrington, before the chat turns to life in the boat yard and the formation in 2017 of the now world renowned Carrington Boats.Based in Hythe, on the UK's south coast, Carrington Boats have recently been responsible for the build of some of sailing's most talked about race machines, most notably the latest iteration of Alex Thomson's "Hugo Boss" and Ben Ainslie's 2021 America's Cup AC75 "Britannia". Carrington talks passionately about the difficulties of building foiling yachts at the very cutting edge of the sport, and does not shy away from the responsibilities that such complex projects bring. Carrington's interview reveals a modest character, keen to remind Robertson that the men and women of the boat shed are often the unsung heroes of a successful campaign...:"There's building boats and there's building boats, but these type of boats, you've got to be very good at what you do, they're not in the spotlight, but they should be really."Robertson's two part podcast with Jason Carrington is a fascinating glimpse into the career of a man that has played a pivotal role in the progression of the sport of sailing, and reveals a passionate character driven by a very obvious and deep rooted love of the sport of competitive yacht racing.This edition of the podcast is in two parts and is available to listen to via the podcast page of Shirley's own website, at www.shirleyrobertson.com/podcast or via most popular podcast outlets, including Apple Podcasts, SpotifySupport the show (https://www.buymeacoffee.com/sailingpodcast)