French writer
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Le 14 juin dernier, c'était le 160ème anniversaire de la naissance de Bernard Lazare, dont on ne connait pas toujours son rôle historique.Haim Musicant nous rappelle que cet écrivain et journaliste juif nimois a été, bien avant Emile Zola, le premier à se mobiliser pour le capitaine Dreyfus.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
There are all kinds of films ... films that entertain us, films that move us, and those that are important. This best picture winner does all that. The Life of Emile Zola is a movie that will stir up your emotions as it relates to the world of today. A world that is divisive and full of the powers that be that control our world ... for both good and bad. This William Dieterlie-directed film, about the life of the famous French author, Emile Zola, and his batter to help free a man who was treated as a scapegoat and wrongly imprisoned. Great performances by Paul Muni and Joseph Schildkraut lead the wonderful cast of this Best Picture winner to lofty heights. But does it still deserve to be recognized as the best of 1937?Listen to film critic Jack Ferdman's take on it as he analyzes everything about The Life of Emile Zola, as well as many other films from that year, and hear which film he gives his Rewatch Oscar of 1937.Download, listen, and share ALL Rewatching Oscar episodes.SUBSCRIBE and FOLLOW Rewatching Oscar:Website: https://rewatchingoscar.buzzsprout.comApple Podcasts/iTunesSpotifyGoogle PodcastsiHeart RadioPodchaserPodcast AddictTuneInAlexaAmazon Overcasts Podcast Addict Player FMRSS Feed: https://feeds.buzzsprout.com/1815964.rssWebsite: https://rewatchingoscar.buzzsprout.comSocial Media Links: Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram, BlueSkyShare your thoughts and suggestions with us through:Facebook Messanger or email us atjack@rewatchingoscar.com or jackferdman@gmail.comMusic by TurpacShow Producer: Jack FerdmanPodcast Logo Design: Jack FerdmanMovie (audio) trailer courtesy of MovieClips Classic TrailersMovie (audio) clips courtesy of YouTubeSupport us by downloading, sharing, and giving us a 5-star Rating. It helps our podcast continue to reach many people and make it available to share more episodes with everyone.Send us a text
For years, listeners have been requesting an episode devoted to the French novelist, journalist, playwright, and public intellectual Émile Zola (1840-1902). In this episode, Jacke talks to author Robert Lethbridge, whose new book Émile Zola: A Determined Life presents a comprehensive exploration of the life, work, and times of the celebrated French literary polymath. PLUS Jacke takes a look at some news that a ghost story by Graham Greene - perhaps the only one he ever wrote - has recently emerged from the literary graveyard. AND FINALLY Russian-American poet and co-editor of The Penguin Book of Russian Poetry Irina Mashinski stops by to discuss her choice for the last book she will ever read. Additional listening: 501 The Naked World (with Irina Mashinski) 420 Honoré de Balzac 390 Victor Hugo The music in this episode is by Gabriel Ruiz-Bernal. Learn more at gabrielruizbernal.com . "Two Butterflies" performed by Gabriel Ruiz-Bernal and Allison Hughes. Help support the show at patreon.com/literature or historyofliterature.com/donate . The History of Literature Podcast is a member of Lit Hub Radio and the Podglomerate Network. Learn more at thepodglomerate.com/historyofliterature . Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Send us a textIn this episode, we talk about the winners and nominees of the 10th Academy Awards. The Life of Emile Zola won for Outstanding Production. Was it the right choice? We also talk about the Best Actor and Best Actress Awards for 1937. Luise Rainer and Spencer Tracy won those awards. Click and listen!
durée : 00:03:45 - Au collège Emile Zola de Royan la sonnerie change toutes les semaines
C'est une affaire dont on parle beaucoup en France, le déménagement d'une école maternelle à cause d'un point de deal, un point de vente de drogue. Hier lors d'un referendum local, les parents d'élèves de l'école Emile Zola, à Saint Ouen près de Paris, ont approuvé le départ des enfants vers d'autre locaux. La polémique est vive, car cette décision apparaît comme un recul du service public devant la délinquance.
Depuis plusieurs années maintenant, le trafic de drogue gangrène de plus en plus les villes de France. Notamment à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, où la cour de l'école Emile Zola est investie par les trafiquants. Face à cela, les parents d'élèves devront décider s'ils doivent ou non déplacer plusieurs classes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis plusieurs années maintenant, le trafic de drogue gangrène de plus en plus les villes de France. Notamment à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, où la cour de l'école Emile Zola est investie par les trafiquants. Face à cela, les parents d'élèves devront décider s'ils doivent ou non déplacer plusieurs classes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis plusieurs années maintenant, le trafic de drogue gangrène de plus en plus les villes de France. Notamment à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, où la cour de l'école Emile Zola est investie par les trafiquants. Face à cela, les parents d'élèves devront décider s'ils doivent ou non déplacer plusieurs classes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 24 avril 1866. Charles Monselet, chroniqueur pour « Le Journal illustré », hebdomadaire, créé deux ans plus tôt, se positionnant sur le créneau des illustrés destinés aux familles de la classe moyenne, disponible en kiosque, le dimanche, pour la modique somme de 10 centimes, s'interroge sur les codes qui régissent le genre littéraire dans lequel il exerce ses talents. Il écrit : « Ô mes confrères ! enseignez-moi les rubriques de votre profession ; apprenez-moi comment on intéresse, comment on plaît, comment on s'empare de l'attention et surtout comment on la retient ; révélez-moi les moyens par lesquels on force les passants à se retourner. Il y a des charmeurs de lecteurs comme il y a des charmeurs de serpents. Enseignez-moi l'air qui captive et qui séduit. » Le moins que l'on puisse dire, c'est que notre homme va exceller dans cette discipline et dans d'autres. Érudit, poète, grand gastronome, journaliste et critique littéraire, dramaturge, romancier, amateur de bons mots, peu avare dans l'art de décocher les flèches, Monselet, passionné par le XVIIIe siècle, sera le témoin précieux d'une bonne partie du suivant. Salué, fêté, de son temps, il va pourtant rejoindre la cohorte des oubliés de la postérité. Il n'a pas eu le génie de son ami Victor Hugo ou celui d'un Flaubert, d'un Zola, ceux-là qui ont rejoint le panthéon des flamboyants, mais il mérite d'être redécouvert car, comme beaucoup d'autres seconds ou petits rôles de l'histoire de la littérature, il est un magnifique baromètre de compréhension d'une époque. Une époque qui, comme la nôtre aujourd'hui, est marquée par le monde des médias. Donnons sa revanche à Charles Monselet … Avec nous : Valérie André, directrice de recherches en histoire de la littérature à l'ULB et Paul Aron, professeur de littérature à l'Université libre de Bruxelles, directeur de recherche honoraire au FNRS. « Abécédaire Monselet » ( avec Jean-Didier Wagneur et la collaboration de Françoise Cestor) ; éd. Du Lérot. Sujets traités : Charles Monselet, poète, grand gastronome, journaliste et critique, littéraire, dramaturge, romancier, Victor Hugo, Gustave Flaubert, Emile Zola Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Stéphane Bern nous raconte le destin hors-norme d'un écrivain dont l'œuvre l'était tout autant, hors-norme : Honoré de Balzac, le père de “Comédie Humaine” qui a été honoré par ses pairs de son vivant, mais aussi - différemment - 40 ans après sa mort, par Emile Zola et le sculpteur Rodin qui l'a immortalisé avec un bronze qui a fait beaucoup parler... Comment Balzac est-il devenu un monument de la littérature ? Pourquoi Auguste Rodin a-t-il été choisi afin de réaliser une statue à son effigie ? Comment le sculpteur a-t-il mené l'enquête pour représenter fidèlement l'écrivain ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Isabelle Collet, conservatrice générale, cheffe du département scientifique et des collections du Musée Rodin et commissaire, avec Marine Kisiel, de l'exposition "Corps In.visibles, une enquête autour de la robe de chambre de Balzac", présentée au Musée Rodin jusqu'au 2 mars 2025. Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Mathieu Fret. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Jean-Christophe Piot. Journaliste : Armelle Thiberge.
Stéphane Bern nous raconte le destin hors-norme d'un écrivain dont l'œuvre l'était tout autant, hors-norme : Honoré de Balzac, le père de “Comédie Humaine” qui a été honoré par ses pairs de son vivant, mais aussi - différemment - 40 ans après sa mort, par Emile Zola et le sculpteur Rodin qui l'a immortalisé avec un bronze qui a fait beaucoup parler... Comment Balzac est-il devenu un monument de la littérature ? Pourquoi Auguste Rodin a-t-il été choisi afin de réaliser une statue à son effigie ? Comment le sculpteur a-t-il mené l'enquête pour représenter fidèlement l'écrivain ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Isabelle Collet, conservatrice générale, cheffe du département scientifique et des collections du Musée Rodin et commissaire, avec Marine Kisiel, de l'exposition "Corps In.visibles, une enquête autour de la robe de chambre de Balzac", présentée au Musée Rodin jusqu'au 2 mars 2025. Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Mathieu Fret. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Jean-Christophe Piot. Journaliste : Armelle Thiberge.
Qui se souvient de Madame Zola ? Née Eléonore, dans un milieu populaire, devenue Gabrielle l'affranchie parmi les peintres de l'époque et épouse l'ami de Cézanne, Emile Zola. Zola l'auteur des Rougon Macquart, 20 volumes de l'Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire, Zola le chef de file des Dreyfusards dénonçant dans J'accuse le complot ourdi contre le capitaine juif et toujours à ses côtés, Alexandrine. Flamboyante Zola est le troisième roman de Jean-Louis Milesi. Il décrit la part d'ombre d'un monument de la littérature, sa double vie conjugale, ses mensonges, sa peur de vieillir sans enfant. Une histoire qui pour une fois se raconte du point de vue de son épouse, Alexandrine.Jean-Louis Milesi est l'invité de Sur le pont des arts. Flamboyante Zola vient de sortir aux Presses de la cité. Au programme de l'émission :Chronique Pionnières de la culture Marjorie Bertin nous raconte la vie d'Artemisia Gentileschi. Cette peintre issue du caravagisme est l'une des rares femmes de l'époque moderne à avoir pu vivre de son art.Reportage Direction Kigali au Rwanda, notre correspondante Lucie Mouillaud nous fait découvrir la danse des Intore. Cet art, pratiqué par les jeunes combattants d'élite issus de la noblesse tutsie, est entré au patrimoine mondial immatériel de l'Unesco en décembre 2024.Playlist du jour- Sarabland - Senny Camara et Cory Seznec - Matcha Queen – Yoa- Need Me - Rita Ange Kagaju feat Kivumbi King.
Qui se souvient de Madame Zola ? Née Eléonore, dans un milieu populaire, devenue Gabrielle l'affranchie parmi les peintres de l'époque et épouse l'ami de Cézanne, Emile Zola. Zola l'auteur des Rougon Macquart, 20 volumes de l'Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire, Zola le chef de file des Dreyfusards dénonçant dans J'accuse le complot ourdi contre le capitaine juif et toujours à ses côtés, Alexandrine. Flamboyante Zola est le troisième roman de Jean-Louis Milesi. Il décrit la part d'ombre d'un monument de la littérature, sa double vie conjugale, ses mensonges, sa peur de vieillir sans enfant. Une histoire qui pour une fois se raconte du point de vue de son épouse, Alexandrine.Jean-Louis Milesi est l'invité de Sur le pont des arts. Flamboyante Zola vient de sortir aux Presses de la cité. Au programme de l'émission :Chronique Pionnières de la culture Marjorie Bertin nous raconte la vie d'Artemisia Gentileschi. Cette peintre issue du caravagisme est l'une des rares femmes de l'époque moderne à avoir pu vivre de son art.Reportage Direction Kigali au Rwanda, notre correspondante Lucie Mouillaud nous fait découvrir la danse des Intore. Cet art, pratiqué par les jeunes combattants d'élite issus de la noblesse tutsie, est entré au patrimoine mondial immatériel de l'Unesco en décembre 2024.Playlist du jour- Sarabland - Senny Camara et Cory Seznec - Matcha Queen – Yoa- Need Me - Rita Ange Kagaju feat Kivumbi King.
Tom Kearney is a Hampstead resident of over a quarter of a century and year-round swimmer at the nearby Ponds. He has a life well lived. In this podcast we talk about that life and the very special place that swimming in open water has in it. The late Al Alvarez, poet and author of the book ‘Pond Life', Tom's friend in Hampstead, brought him to swimming at The Ponds, something that he says has saved his life. On the eighteenth of December 2009, Tom was knocked over by a bus in London's Oxford Street, and was in near-death coma for two weeks, making a miraculous recovery subsequently. We talk about how the accident transformed his life, and how daily swimming is central to this transformation. We talk about poetry and The Ponds. About the central importance of family, of living each day to the full. About his campaigning for bus safety in London - ‘If you shut up truth, and bury it underground it will but grow' (Emile Zola). For Tom, campaigning and swimming outside all year round are not dissimilar - they're uncomfortable, require both physical and mental stamina, and every time you do it you achieve something that, in a different life, you'd have thought impossible. We talk about how life is serious business, but there is plenty of time for laughter, especially in relation to the East German Ladies Swimming Team (a Hampstead Men's Pond thing), which Tom is also a central part of. Tom brims with positivity, a Hampstead intellect who swims and appreciates all that life can offer.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
L'autrice, âgée de 57 ans, nous reçoit dans la chambre de bonne dans le Marais, à Paris, où elle écrit ses livres, à l'occasion de la publication ces derniers mois de son roman, « Jour de Ressac ». Maylis de Kerangal évoque son enfance dans les immeubles Perret, au Havre, auprès d'un père navigateur et d'une mère prof puis au foyer à s'occuper de ses cinq enfants. La télé occupe une place centrale, même si ses parents aiment organiser de nombreuses sorties en extérieur. Elle s'intéresse très vite à des livres empreints d'une certaine noirceur, des contes de fées à Emile Zola. Puis elle rejoint Paris pour ses études, se tournant vers les sciences humaines. Elle travaille à la confection de guides de voyage, doit s'arrêter pour des raisons de santé ét écrit son premier roman. L'écriture deviendra très vite alors le centre de sa vie. Maylis de Kerangal parle longuement de son travail littéraire, de son rapport au lieu, à la langue, aux sentiments et de son dernier livre « Jour de ressac ». Elle revient, enfin, sur son rapport à la mode : « J'ai une passion pour des vêtements que je ne peux pas porter. J'aime beaucoup la haute couture, mais je n'ai pas forcément les moyens de m'en acheter. J'aime l'idée de l'exclusivité, de la perfection, aussi. L'idée d'un vêtement qui soit issu d'ateliers où les gestes et les matières relèvent d'un certain savoir-faire. J'admire énormément ça. »Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Juliette SavardRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bienvenidos una vez más a un Spaces donde hoy hablare de mi. Decir la verdad me ha convertido en un paria, pero prefiero ser un desterrado en la luz que un cómplice en la oscuridad. Los que me conocen saben que llevo 8 años enjuiciado por haber hablado de un caso donde personas poderosas supuestamente estarían envueltas en temas de pederastia. Mi vida cambió de raíz aquel 24 de febrero de 2016 cuando dos policías del grupo EDITE de Castellón, el grupo de la guardia civil de delitos telemáticos, entraron en mi casa gracias a un auto dictado un dia antes por el juzgado de instrucción numero 5 de Vinaroz. Recuerden que entró la policía judicial al domicilio familiar para registrarlo ¡por una denuncia de injurias y calumnias! ¡Algo que no podrán encontrar en ningún otro caso aqui en España! Ese fin de semana celebramos el cumpleaños de mi hija, imagínense. Mi espada de Damocles me ha hecho morir y renacer ya unas cuantas veces, la ultima con la renuncia de mi penúltimo abogado el 13 de mayo de 2024. Les recuerdo “a los malos” que ajusticiar en dia 13 de mayo es cómo hacerlo cuando fusilaban madrileños los franceses pero sumando un 10, esto es, el numero de Dios. Y Dios tiene unos planes inescrutables. Hable largo y tendido sobre todo esto en tres podcast titulados: UTP297 13 Malditos secretos, UTP298 Bar España y los fusilamientos del 13 de mayo y UTP299 13 cervezas con torreznos. Para el que no lo sepa y venga de nuevas les aviso que estoy con medidas cautelares desde el primer momento que me entrevisto la jueza que lleva el procedimiento y aún lo sigue llevando hasta que se inicie el juicio oral. Estamos hablando que desde el 4 de junio de 2019 se me prohibió manifestar o expresar cualquier opinión sobre los hechos a que se refiere este procedimiento por cualquier medio o procedimiento, incluidas las redes sociales mientras que dure la tramitación del presente procedimiento y hasta que recaiga resolución firme que ponga fin al mismo salvo dictado de nueva resolución modificando la presente. Dicho esto, queda poco margen para decir nada más. Ademas de que en todos y cada uno de los papeles que mi penúltimo abogado ponía en mi conocimiento provenientes del juzgado numero 5 de Castellón se me recordaba el cumplimiento del Reglamento Europeo 679/2018 y la Ley 50/1981, de 30 de diciembre, avisándome de que todo el procedimiento es confidencial, que quedaba prohibida su transmisión o comunicación publica por cualquier medio…o sea, que no puedo contar absolutamente nada. Sin embargo, todos hemos sido testigos de cómo en televisión se divulgan todo tipo de datos de los procedimientos judiciales más diversos. Los periodistas afines al sistema pueden publicitar prácticamente cualquier cosa sin trabas, mientras que los que estamos fuera de ese círculo nos enfrentamos a restricciones constantes. Una vez dictada la apertura del juicio oral, como ha sucedido en mi caso, el procedimiento deja de ser secreto. Es entonces cuando es legal hablar de ello, siempre respetando la protección de datos sensibles como nombres completos, DNIs, domicilios o información personal. Yo sin haber sido sentenciado ya he sido “juzgado” entre comillas por algunos medios periodísticos que han publicado mi nombre y los dos apellidos completos, parece que ese dia no habían iniciales para los parias. Yo ni siquiera puede contestar a los medios escritos que cuentan medias verdades, datos inexactos o incluso mentiras tan gordas como la Luna. Mis labios están sellados gracias a las medidas cautelares, por eso no se que pretendían los de Equipo de investigación conmigo, investigación negra que curiosamente, no impidió que dicho equipo de La Sexta localizara mi domicilio y tratara de sonsacarme información que, como ya he explicado, no podia compartir ni con ellos ni con nadie. Así me encuentro en esta situación lamentable: no puedo contaros las múltiples peripecias judiciales y vivenciales que estoy atravesando, muchas de ellas tan variadas como pintorescas. No soy el Lute, pero siento que hasta las gallinas me miran con recelo, como mirarían a un auténtico paria. Me hago la pregunta de porque, tal y como se comenta en mi primer libro, “Blasco Ibáñez desvelado”, en el caso Dreyfus apareció un periodista, Emile Zola con su carta “J ́accuse” que tanta importancia revistió en el “affair Dreyfus” y en el que yo denomino “caso maldito” no aparece ninguno. La wikipedia, esa herramienta del mal, dice sobre este caso: ”Es el Caso Dreyfus, la injusta condena de un militar, de origen judío, envuelto en el deshonor de una acusación de traición fraguada a base de pruebas falsas y silencios “. ¿Quizás al no ser yo judío, masón, del Opus Dei, jesuita, liberal, multimillonario, un erudito, satanista o cualquier otra cosa impide que ningún periodista ni ningún medio se digne a dirigir sus ojos en tan delicado procedimiento? ¡Qué la jueza ha rebajado la petición de pena del fiscal a unos 40 años y se me exige la presentación de una fianza conjunta y solidaria entre los 9 acusados que quedamos de mas de 2 millones y medio de euros! ¡Y se nos da la friolera de un dia para reunir tal cantidad! ¡Y eso no es noticiable! Larga y afilada es la espada de Damocles que ya roza mi sien, mientras yo, arrodillado y en silencio penitente, espero el momento en que atraviese mi carne, brote mi sangre y esta riegue el suelo como un tributo inevitable. Estoy condenado a entregarme como alimento a sus demonios, esos que se disfrazan de dioses, a sus tertulianos “expertos”, a su codicia insaciable y a su deseo de aplastar mis pensamientos y esparcirlos como cenizas. Y yo, sin embargo, debo envainar mi propia espada, someterme al escarnio, recibir las patadas en las costillas, y callar, como si la dignidad no me perteneciera. Eso es lo que nos sucede a los parias. Me pregunto dónde están esas cuentas con miles y miles de seguidores, esos youtubers famosos, esos disidentes de renombre que inundan las redes sociales con su presencia. ¿Por qué ninguno de ellos quiere entrevistarme o contar conmigo para algún programa, podcast, articulo, no sé? Y no me refiero a los falsos disidentes, esos que desde sus programas en horario estelar atrapan en sus telarañas a los pobres que, medio despiertos, caen en su campo de influencia. No mencionaré sus nombres, porque poco a poco la gente empieza a darse cuenta: todos repiten el mismo discurso, todos actúan al unísono, como en Fuenteovejuna. Nunca mejor dicho, porque tratan a su audiencia como si fueran un rebaño de borregos. Todos esos falsos disidentes nunca contarán conmigo, con un paria al que no pueden moldear ni utilizar para sus fines. Mi presencia les es incómoda, porque no encajo en su teatro de apariencias. La búsqueda de la verdad no está entre sus intereses; lo que realmente persiguen es el prestigio, el dinero fácil, los lujos que tanto desprecian de palabra pero ansían en secreto, y sobre todo, alimentar un ego desmesurado. Mientras predican justicia y libertad, se aseguran de no poner en riesgo su posición cómoda y privilegiada. Para ellos, la verdad es un medio para el espectáculo, no un fin en sí misma. ¿Y vds, que pueden hacer vds? Pues hacer de adivinos y explorando mis visceras repartidas por el suelo dictaminar a través de los omentos como hacían los antiguos oráculos romanos. Deben fiarse mas por su instinto que por lo que yo pueda contarles ya que lo que puedo contarles es…nada. A todos esos oídos infames que estarán escuchando esto, a todos esos correveidiles que harán de correos para el mal con mayusculas que se oculta en este llamado caso Bar España, en este caso maldito, solo puedo decirles que hoy no sacaran nada de este técnico preocupado. Mi corazón está con los niños que siguen siendo abusados, no solo aqui, en todo el mundo, y mi alma está en paz con Dios. Podéis seguir torturandome, clavando en mi costado vuestros poderosos puñales pero nunca extraeréis de mí nada mas que la verdad y la compasión. Sí, os compadezco porque vuestros corazones duros como el acero son fríos también como dicho metal y nunca entenderéis porque una persona como yo, que no tenia absolutamente ningún problema en su vida y vivia holgadamente, haya terminado inmolándose ante vuestros duros y fríos corazones. Allá vosotros con lo que hagáis en esta vida porque el castigo eterno lo tendréis mas que merecido. Series los jefecillos en el infierno, y allí no se ficha, allí se trabaja eternamente en una desidia sin principio ni final. Vosotros seréis los funcionarios que nunca se cansan de comer gusanos y putear a la gente por siempre jamas. Asi que lo siento en el alma pero mi espada envainada, no en señal de rendición, sino en ademan de cambio de ciclo, de punto de inflexión, que haga que muchos más guerreros no den su brazo a torcer. Son muchos los ya fallecidos en el caso maldito, Reinaldo Colas, Nuria Carque y otros, el ultimo Joaquin Crespo Marques, Ximo para los amigos, el cual falleció el 30 de septiembre del 2022 y el cual sigue apareciendo en los autos del procedimiento en la zona de acusados…no habéis tenido la decencia siquiera de retirar su nombre. Me callo ya. No entrarán moscas en mi boca por contar absolutamente nada del caso maldito y su interminable procedimiento, que ya roza los 10.000 folios. Una vez abierto, ya no es secreto... aunque para la prensa, en toda esa montaña de papel, no hay nada que consideren digno de titular. Porque para la prensa, hablar de un paria como yo no tiene ningún interés. Al fin y al cabo, cientos de miles de parias mueren cada día, millones son encarcelados, silenciados, vilipendiados y borrados de cualquier memoria colectiva. Somos la letra pequeña en la gran historia de sus telediarios. Mi caso maldito no es más que otro punto invisible en el vasto lienzo del olvido. Y, como paria, eso es exactamente lo que soy para ellos: invisible. Así que, esto es todo lo que tengo que deciros, que no puedo contar absolutamente nada de un procedimiento del cual ya se dictó apertura del juicio oral el 13 de diciembre de 2021. Sí, otro 13. Mi segundo abogado, voy ya por el cuarto, me decía que hasta que el procedimiento no tuviera la altura de un niño de diez años no había que preocuparse. De momento tiene la altura de uno de 9. Ya saben la querencia que tienen con ese numero los oscuros. Jakim Boor, seudónimo utilizado por Francisco Franco decía esto en el diario oficial del régimen, «Arriba», 26 de marzo de 1950: «La masonería no tiene prisa; sabe esperar, recuenta sus fuerzas, mueve sus peones, los previene y el día tal a la hora prevista y en el distrito elegido, generalmente el de un juez afecto, realiza su crimen. Un agente, o varios, de Policía masones estarán prevenidos en los lugares próximos al suceso. Lo demás es fácil: se borran las huellas, se falsea el atestado y el juez extrema su celo masónico desviando la justicia, así como la Prensa o la opinión. Y si aun así se fracasase, se cuenta con hermanos en las altas esferas para poder evitar lo irremediable. Los indultos, las amnistías y hasta las fugas preparadas hacen el resto«. Una supuesta cita bíblica dice tal que así: “Dios le da las peores batallas a sus mejores guerreros.” No existe tal cita en la Biblia. La única cita que nos habla sobre algo parecido la encontramos en Corintios 10:13: “No os ha sobrevenido ninguna tentación que no sea humana; pero fiel es Dios, que no os dejará ser tentados más de lo que podéis resistir, sino que dará también juntamente con la tentación la salida, para que podáis soportar.” Se suele decir que Dios nos prueba y el demonio nos tienta. Pero “pruebas” y “tentaciones” realmente son la misma palabra griega, “peirasmos”. Buscando su etimología veremos que significa prueba, situación difícil o reto pero también tentación o incitación al mal y por último calamidad o sufrimiento. Todo va unido y todo proviene de Dios. Todo. Estas últimas palabras marcaron el final de mi primer libro, Blasco Ibáñez desvelado, una obra de la que me siento profundamente orgulloso. No solo por lo que representa para mí, sino por lo que simboliza para todos aquellos que creyeron en un paria como yo y me ayudaron a transformar mi conocimiento en palabras, mi lucha en tinta, y mis pensamientos en un legado. Este libro no es solo mío; es también de esas almas generosas, maravillosas, que, a su manera, participaron en darle vida. Hoy tengo el honor de contar con algunas de esas personas que confiaron en mí, que me dieron la oportunidad de convertirme en escritor, que no es poca cosa decir. Porque en este mundo, donde las palabras han dejado de ser meros sonidos para convertirse en las armas más potentes de las guerras modernas, este humilde paria logró empuñarlas. Este libro es mucho más que una obra; es un testimonio de resistencia, un acto de fe compartida, y el sueño cumplido de alguien que, a pesar de todo, se atrevió a escribir su verdad. ………………………………………………………………………………………. Libres o esclavos de Manuel Valera Jamás hemos vivido tiempos como los presentes, tiempos en que el poder ejerce con violencia su influjo para no permitir bajo ningún concepto voces que pongan en duda las afirmaciones hechas desde las instituciones, todas ellas en manos de las élites que gobiernan el mundo. Ni siquiera es necesario negar -el término negacionista lo han empleado hasta desgastarlo queriendo señalar con él a cualquiera que no baile el agua al discurso oficial-. Basta con ejercer un mínimo de actitud crítica, escéptica, racional, normal… para ser censurado, silenciado o tachado de loco o conspiranoico -otro insulto de diseño-. Las redes sociales no escapan a este mecanismo. Twitter está tomado por el discurso oficial. La libertad es vigilada, otorgada, luego no es libertad, sino sucedáneo de la misma: o sea, mentira. El poder exige una masa babeante que rumie todos los mensajes que se inoculan mediante los medios de comunicación y demás plataformas del discurso oficial -aquí debemos incluir la ficción, tan sufragada y censurada como los telediarios o los comunicados oficiales-. Así las cosas, no hay experto independiente al que se le dé voz. Sólo lo que ellos digan. A pesar de que el discurso oficial es la voz de unos criminales que mienten, promueven el odio, lanzan mensajes encaminados a la destrucción de la sociedad y hasta presionan para que los incautos que siguen atendiendo a la oficialidad se dejen matar. No hay más que libres o esclavos. No queda término medio. Son las dos partes en que ha quedado dividida la sociedad, sin vuelta atrás ya. Una masa de atemorizados, desinformados, obedientes a las órdenes genocidas de los de arriba. Y enfrente, los apestados por el sistema. Los libres. Los que dicen que todo cuanto se afirma en materia económica, social, sanitaria, bélica, climática, racial, educacional, política, histórica… todo es mentira. Libres o esclavos. Y en cada esclavitud, recordemos, existe una asunción de la misma. A los libres nos pueden matar, pero no esclavizar. Para ser esclavo, hay que estar de acuerdo en ser vilipendiado por el criminal de arriba y por sus miserables empleados. Hay que salir a aplaudir a las ocho a los balcones de la vergüenza. Aplaudir a los que te están asesinando. Libres o esclavos. No hay más. Muchas gracias Manuel, nos despedimos con tu articulo recordando a nuestros oyentes que no tengan miedo y cuiden de sus familias. Nos vemos. ………………………………………………………………………………………. Conductor del programa UTP Ramón Valero @tecn_preocupado Un técnico Preocupado un FP2 IVOOX UTP http://cutt.ly/dzhhGrf BLOG http://cutt.ly/dzhh2LX Ayúdame desde mi Crowfunding aquí https://cutt.ly/W0DsPVq Invitados Dra Yane #JusticiaParaUTP @ayec98_2 Médico y Buscadora de la verdad. Con Dios siempre! No permito q me dividan c/izq -derecha, raza, religión ni nada de la Creación. https://youtu.be/TXEEZUYd4c0 …. Fernando Beltrán @nenucosinpanial Astrólogo y dibujante y poeta a ratos y criticón a veces y miles mundos más, todo para no bostezar. @venusmelibra …. ToniM @ToniMbuscadores …. Conocimiento para el alma | Editorial @ConluzEditorial Literatura, Arte, Historia, Opinión... las humanidades ponen luz a nuestra existencia, volvamos a estudiarlas con otra mirada #conluz ………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: AYUDA A TRAVÉS DE LA COMPRA DE MIS LIBROS https://tecnicopreocupado.com/2024/11/16/ayuda-a-traves-de-la-compra-de-mis-libros/ UTP297 13 Malditos secretos https://www.ivoox.com/utp297-13-malditos-secretos-audios-mp3_rf_128737399_1.html UTP298 Bar España y los fusilamientos del 13 de mayo https://www.ivoox.com/utp298-bar-espana-fusilamientos-del-13-audios-mp3_rf_128824891_1.html UTP299 13 cervezas con torreznos https://www.ivoox.com/utp299-13-cervezas-torreznos-audios-mp3_rf_129022962_1.html Libres o esclavos https://mvalera.es/libres-o-esclavos/ ………………………………………………………………………………………. Música utilizada en este podcast: Tema inicial Heros ………………………………………………………………………………………. Epílogo DLD - A PARTIR DE MAÑANA https://www.youtube.com/watch?v=aaXpUjdN5G4
France's most influential writer of its time, Emile Zola , becomes the champion of the victim, even at his own, perhaps fatal expense. We're joined by his great granddaughter, who speaks of the cost Zola paid in fighting for freedom.
Bienvenue dans le 1er épisode d'histoire de travaux de cette rentrée sur Le Chantier ! J'espère que vous allez tous bien et que vous êtes prêts pour un nouveau récit de rénovation... Cette fois-ci, vous allez entendre le témoignage d'Antoine qui vit dans un endroit unique : l'île du Platais, une île sur la Seine à 25 minutes du centre de Paris, sur laquelle on ne peut aller que si l'on est invité ! Alors comment on s'organise quand on achète et rénove une maison sur une île sans pont ?
#acıtatlımayhoş Emile Zola ve ünlü ressam Renoir'dan şeftali benzetmeleri, Japonya'da yetiştirilen dünyanın en tatlı şeftalileri... Aylin Öney Tan şeftalinin izini sürüyor, hikayeler anlatıyor.
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Listen as two grown men cry because "Make Way For Tomorrow" got them thinking about the limited time we all get with our parents. They also talk about embarrassing creative compromises made by the producers of "The Life of Emile Zola". Connect with us: Never Did It on YouTube: https://www.youtube.com/@neverdiditpod Never Did It on Letterboxd: https://letterboxd.com/bradgaroon/list/never-did-it-podcast/ Brad on Letterboxd: https://letterboxd.com/bradgaroon/ Jake on Letterboxd: https://letterboxd.com/jake_ziegler/ Never Did It on Facebook: https://www.facebook.com/neverdiditpodcast Hosted by Brad Garoon & Jake Ziegler
Emile Zola et Paul Cézanne ont partagé des pans entiers de leur enfance aixoise. Devenus adultes, les succès de l'écrivain, les difficultés du peintre, auront-ils raison de leur amitié d'enfance ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Emile Zola, Noel Streatfeild, and romantic books – welcome to Tea or Books? episode 130! In the first half of this episode, we do a topic suggested by Lindsey – do books need a romantic storyline? In the second half, we
07 Banderas falsas y militares masones Como hemos venido desarrollando en esta serie de videos, el poder-religión, base fundamental que pasa desapercibida para la inmensa mayoría de la gente, opera en la sombra y trasciende fronteras, épocas y tipos de gobierno. Los grises funcionarios son uno de los gremios que forman parte de ese engranaje del poder-religión en la sombra. (poner video del globo Blasco Berlanga globo.mp4)) La figura de Blasco Ibáñez se ha utilizado para ejercer presión entre las masas populares para crear la ilusión que el pueblo también puede ejercer poder, desde la prensa o desde la tribuna del Congreso de los Diputados. Pero las cosas en realidad son bastante más grises y normalmente se planifican a muchos años vista ya que estas viejas castas que detentan el poder real se transmiten el conocimiento de padres a hijos “ad infinitum”. Leyendo el ensayo escrito por José Mas y Maria Teresa Mateu titulado “Vicente Blasco Ibáñez : ese diedro de luces y de sombras” financiado por todos nosotros y patrocinado por la Generalitat Valenciana me di cuenta de que tal y como cuentan los propios autores, todo eran luces. “Creemos haber abordado el estudio de Blasco Ibáñez con cierta novedad y, aunque en el título se alude a las luces y a las sombras, hemos procurado recoger sobre todo las luces: que otros recojan, si lo quieren, las sombras.” En el capítulo 5 vimos como se referían al editor Cabrerizo como si hubiera conocido a un joven Blasco aficionandolo a la lectura, pero una simple búsqueda nos arroja que Cabrerizo murió cuando Blasco tenia 1 año y 10 meses, esa es la credibilidad que debemos otorgar a “las luces”. La verdadera relación entre Blasco y el editor provenía de la tía de Blasco y muy posiblemente su entrada en la masonería sobrevendria por ello. El editor reconocía ser “uno de los fundadores de la Asociación de la Virgen del Pilar de Zaragoza, establecida en la Iglesia parroquial de los Santos Juanes” y los padres de Vicente Blasco Ibáñez decidieron bautizarlo y registrarlo en la Iglesia de los santos Juanes de Valencia. La hermana de su madre y el editor Cabrerizo compartían casa en el padrón municipal de Calatayud como podemos leer en el libro “Los amores de Blasco Ibáñez”: “Doña Ramona Ibáñez había llegado a Valencia llamada por una tía suya, doña Vicenta Martínez Torralva, natural de Calatayud, que contaba sesenta y dos años en la fecha del casamiento de doña Ramona. Doña Vicenta Martínez aparece en el padrón municipal de 1868 como domiciliada en la casa número 11 de la calle de Embajador Vich, en el mismo lugar y casa que habitaba el famoso editor don Mariano de Cabrerizo.” Roca nos cuenta un poco mas en la biografía sobre Blasco Ibáñez: “En medio de las conmociones de la época, el hogar de los Blasco vive en la paz y la prosperidad de un negocio convertido en floreciente gracias a la actividad de Gaspar y a la energía de su mujer. Con ellos vive también la tía Angela, hermana de doña Ramona. Con frecuencia visitan a la madrina en la calle de Embajador Vich, o en la casa que Cabrerizo tiene en la Alameda. Una casa amplia, con extenso jardín. Don Mariano de Cabrerizo tuvo muchísimas veces sobre sus rodillas al niño. Ya viejo, octogenario, Cabrerizo jugaba con él. ¿Qué quieres ser tú?, le preguntaba. Y como el pequeño le mirase con asombro, él mismo se respondía: «Librero. Eso es. Serás librero, como yo. Es un oficio digno de ser estimado. Cabrerizo falleció en Valencia a la edad de ochenta y cuatro años, el día 10 de diciembre de 1868. Pocos meses después todos los bienes del famoso editor eran sacados a pública subasta.” Vemos una relación de la hermana de la madre de Blasco con la masonería a través del editor Cabrerizo. Pero es que podemos relacionar a Pilar Blasco Ibáñez, hermana de Vicente Blasco Ibáñez con la masonería también. Su marido fue Alberto Carsí Lacasa, geólogo de profesión, ocupo cargos importantes durante la República. Teniendo como nombre simbólico CANOPUS al acceder por primera vez a la masonería a través de la logia Cosmos, estuvo también en la Logia Salud, Estabilidad y Poder. Llegó a poseer el grado 33 siendo Soberano Gran Inspector General. Tuvo que huir a Francia al igual que muchos otros masones conocidos tras la llegada al poder de Franco. Esta serie de videos no pretende eclipsar ni desacreditar a nadie; al contrario, nuestro objetivo es poner el foco en las cosas que no suelen contarse. En este caso, y brevemente, nos referiremos a los autores de este ensayo, quienes, tras una breve investigación, descubrimos que llevan muchos años colaborando juntos. Concretamente, los vemos trabajando juntos en la creación de 'Guiones didácticos' y en el libro de texto de Primero de B.U.P. de Lengua Española del año 1975, así como en el libro 'Literatura II: Literaturas Hispánicas' para el segundo año de B.U.P. Ellos dos solitos iniciaron la andadura a la lectura de los jóvenes que desperezándose de la dictadura de Franco tenían que entrar en el reinado de Juan Carlos I y su “democracia”. A la profesora de literatura Maria Teresa Mateu Mateu, doblemente Mateu, la vemos en el BOE de 31 de agosto de 1970, con Franco presente, pidiendo renunciar a su cargo de vocal titular del Tribunal de oposiciones a plazas de Profesores agregados de “Lengua y Literatura Españolas” de Institutos Nacionales y Secciones Delegadas de Enseñanza Media. Es decir, las mismas personas que tenían influencia en lo que se leía durante el régimen de Franco volvieron a tener influencia en lo que se leería durante la democracia. Apaguemos el foco sobre el dedo y miremos La Luna, esa enorme luminaria que nos indica que las idas y venidas de cárceles y entradas y salidas del pais del escritor valenciano no fueron tan duras como parece. El propio Blasco en “Los muertos mandan”, escrito en 1909, nos deja algunas perlas. Curiosamente es el texto de presentación que eligen José Mas y Maria Teresa Mateu para su ensayo: “Venía de Valencia, del penal de San Miguel de los Reyes, llamado Niza, a causa de la dulzura de su clima, por los habituales pensionistas de dichos establecimientos. Hablaba con orgullo de esta casa, lo mismo que un rico estudiante recuerda los años pasados en una universidad inglesa o alemana. Altas palmeras sombreaban los patios, ondeando su capitel de plumas por encima de los tejados. Desde las rejas llegaba a verse toda la extensión de la huerta valenciana, con los frontones triangulares y blancos de sus barracas, y más allá el Mediterráneo, una faja azul inmensa, tras cuyo lomo se ocultaba el peñón natural, la isla amada. Tal vez había pasado por ella el viento cargado de emanaciones salinas y ardores vegetales que se colaba como una bendición en las hediondas cuadras del presidio, ¡qué más podía desear un preso!... La vida era dulce, se comía a sus horas, siempre de caliente; había orden, y el hombre no tenía más que obedecer, dejarse llevar”. Nos narran también alguna de sus primeras escaramuzas con el poder: “A los dieciséis años tuvieron lugar dos hechos importantes en la vida de Blasco: la composición de un soneto en el que se invitaba a degollar a todos los monarcas de Europa y la fuga del domicilio paterno para instalarse en Madrid, ciudad en la que era más fácil seguir su vocación de novelista. El poema contra la realeza le acarreó un proceso que al final fue sobreseído teniendo en cuenta la juventud del poeta.” En el ensayo del profesor Pablo Ramos González del Rivero titulado “Vicente Blasco Ibáñez, alter ego del joven que escribía basura romántica” apunta que: “lo que Blasco Ibáñez escribió entre 1883 y 1894, esto es, en un periodo aproximado de once años, “es aproximadamente el 75% del volumen de lo que escribirá luego en treinta y seis”. El ciclo correspondiente al de su obra repudiada es, de hecho, el más prolífico con diferencia de toda su carrera como novelista.” En julio de 1890 dirigirá una manifestación contra Cánovas del Castillo que provocaría su huida a París. Desde allí colaborará con El Correo de Valencia, con sus «Crónicas de un emigrado». Un año más tarde regresará a Valencia al concedérsele la amnistía. En el capítulo nueve hablaremos de “sus andanzas” en París, pero creanme que no lo paso mal. Durante esa época, escribió voluminosos libros propagandísticos como 'Historia de la Revolución Española' (1890-91), 'La araña negra' (1892), 'Viva la República' (1893) y 'Los fanáticos' (1894). A estos se suman 'París e impresiones de un emigrado' (1891) y el 'Catecismo Federal Republicano' (1892). En estos folletines, los realistas, los carlistas, los curas y los jesuitas son retratados como los villanos, mientras que los alter egos de Blasco, como el anarquista Gabriel Luna en 'La Catedral', Guzmán en 'Viva la República' —un español exiliado por la persecución inquisitorial que comparte los anhelos revolucionarios del pueblo francés— y Agramunt en 'La araña negra', son presentados como los héroes. La dualidad promulgada por la Revolución Francesa está servida. El tema de la Luna es muy recurrente en él con textos como “Piedra de Luna”, “El papa del mar”refiriéndose al papa Luna o “Luna Benamor”. Hay un libro escrito en 1917 y publicado en 1929 por Aleister Crowley titulado “La hija de la Luna. Intrigas magicas del Bien y del Mal” que nos recuerda al libro publicado en 1926 por Blasco “Piedra de Luna”. En el fondo ambos libros hablan sobre los hijos de la Luna. Fritz Springmeier y Cisco Wheeler nos contaron lo que es un hijo de la Luna en su libro “Como los illuminati lograron crear un indetectable y esclavo de control mental total”. “Los rituales actuales llevados a cabo para crear a un niño de la luna son descritos en detalle en 3 de los escritos de Crowley. Una vaga descripción de los rituales puede ser vista al leer el libro de "Niño de la Luna". El ritual se realiza en la villa apodada "El Nido de las Mariposas". La villa era en realidad un templo ocultista tapizado con geometría sagrada. Tenía figuras de sátiros, faunos y ninfas. Tenía estatuas de Artemis. Muchos artículos de plata y estrellas de 9 puntas estaban en la villa, debido a que todos estos objetos son relativos a la Luna en la magia. La mujer que estaba embarazada estaba rodeada de objetos relativos a la luna. La influencia de la luna es repetidamente invocada. Un altar pequeño y triangular de plata de Artemis es usado. Hay una fuente sagrada donde la mujer es lavada. El número 9, el cual es sagrado para la luna va acompañado con su respectiva escuadra. Las plegarias son hechas a Artemis, y hay una recreación de la captura de Diana por Pan. La mujer es entrenada para identificarse a si misma en lo que se conoce como Abuela Luna (en el libro es simplemente llamada Diana o Luna) por medio de identificar sus pensamientos y acciones con las deidades que uno está queriendo invocar.” El nuevo Arzobispo de Valencia, Beato Ciriaco María Sancha y Hervás, tomó posesión en 1892 y como consecuencia de los alborotos promovidos por tal hecho, fueron detenidos todos los redactores de La Bandera Federal entre ellos Blasco. Para nosotros se trató de lo que hoy día llamaríamos un acto creado por la disidencia controlada. Sancha fue arzobispo de Valencia entre 1892 y 1898, nombrado por el papa León XIII en plena guerra entre masonería e iglesia católica. Poco después, en 1902, escribió “Cuento de Sancha la serpiente” donde una pequeña serpiente crece hasta llegar a matar al niño que la había alimentado de pequeña. Poca broma con el blasquismo como leemos en un artículo publicado en marzo de 1911, en el número 194 de la revista Por esos mundos, con la entrevista de Enrique González Fiol a Blasco Ibáñez donde cuenta como estaba reclutando a un ejército al estilo de los masones italianos, los carbonarios alrededor de 1889. Resulta curioso como vemos entre los emblemas de los carbonarios, una rama de la masonería, el típico gorro frigio y el haz de lictores o fasces, manojo de flechas unido por una cinta roja, que luce por ejemplo la Guardia Civil aqui en España. “Luego fundó una juventud revolucionaria... Como no podía conquistar hombres para sus ideas, se dedicó á reclutar muchachos... Aquellos muchachos de entonces, constituyen la generación actual, y muchos son ó han sido concejales y diputados. Creó una organización revolucionaria al estilo de los carbonarios, pero sin ceremonias, organización militar secreta. Los afiliados sólo le conocían á él y á sus dos ayudantes, que formaban el tribunal, pero entre sí no se conocían. Llegó á reclutar cinco mil hombres armados, mejor dicho que se creían armados, porque... En la calle de Malaenes, en las afueras de Valencia, en el último piso, domicilio de un pintor de paredes, se reunía el tribunal para la admisión de neófitos. Todos llegaban diciendo lo mismo: Bueno. Yo en esta societat no entre, si no hiá serietat... Y sobre tot, armes. («Yo no entro en esta sociedad si no hay seriedad. Y sobre todo, armas.» Traducción del autor.). ¿Seriedad? Allí estaba el tribunal más serio que se ha visto jamás. ¿Armas? «Ché, fulano—decía Blasco á uno de sus ayudantes—, baixa un fusil.» Y se le enseñaba un fusil traído de una bohardilla. Bueno, sí, un fusil es ben poc, decía el entusiasta neófito. ¡Che, baixa un atre!, replicaba Blasco. Y se le bajaba otro. El neófito empezaba a creer en el armamento, pero Blasco, para acabar de convencerle, repetía: Che, baixa un atre. Y se le bajaba otro. Y volvía á repetirse la orden. Pero cuando iban á cumplirla, él decía: Bueno. Ya hay bastantes para convencerse de que no estamos desarmados. No bajes otro, que vamos á acabar por no poder movernos aquí... Y no se bajaba el cuarto fusil, porque no tenían más que tres. Eran tres chassepots, procedentes de los zuavos de Argelia, con la bayoneta ondulada como la espada flamígera de San Elías. A la par que ejecutaba este reclutamiento, echó a la calle un semanario que causó gran sensación: La bandera federal, cuyos lectores eran sus cinco mil reclutas.” Este episodio de Blasco es digno de una película de Berlanga. En 1893 Blasco es vuelto a encerrar por otra denuncia a La Bandera Federal junto con Herrero y Llopis. El 11 de abril de 1894 se producen disturbios callejeros por la peregrinación a Roma desde Valencia, lo que provoca la huida de Blasco. El 21 de abril le escribe una carta a su padre hablándole de como le trataba la autoridad: “Anoche a las tres de la madrugada la guardia civil y dos delegados del gobierno civil de Barcelona me detuvieron en la fonda, conduciéndome a la cárcel con todas las consideraciones y respetos, y estoy aquí en esta cárcel mejor que en un hotel. Todo Sabadell está indignadísimo. Le acompañó la hoja que ha circulado a miles inmediatamente por la ciudad”. Al regresar el 29 de abril es encarcelado, cinco días más tarde será puesto en libertad bajo fianza. En un artículo titulado “Blasco Ibáñez, como nunca” donde entrevistan a su hija libertad nos cuenta: “Libertad Blasco (Hija), también recuerda en 'Blasco Ibáñez, su vida y su tiempo' el «No puede ser... No puede ser...» que su progenitor exclamó la noche que doña Ramona sufrió un derrame cerebral. Fue el 12 de mayo de 1894. Una fecha marcada en la historia personal y profesional del autor ya que ese día se estrenaba en Valencia la única obra escrita por él para teatro. En el teatro Apolo de la ciudad, los intérpretes Ramona Valdivia y Fernando Díaz de Mendoza iban a poner sobre las tablas el montaje de 'El juez'. Pero Blasco, que había comido con el director de la obra, sólo pudo acudir a su casa de noche. Allí, don Gaspar, su padre, tenía preparado el ataúd para su esposa. Ese día, en el que el literato tuvo «sentimientos antagónicos», según su hija, no pudo salir a recibir el tributo del público por el éxito del espectáculo.” Por cierto, la obra no tuvo ningún éxito y no volvió a incursionar en ese género literario y como vemos curiosamente el nombre de la protagonista nos recuerda a su madre y obviamente el juez a su suegro. Justo 6 meses más tarde, el 12 de noviembre de ese año se publica el primer número de “El Pueblo”, fundado y dirigido por Blasco aunque como vimos en el capítulo 5 de esta serie titulado Teosofía y manos escondidas, la masonería estaría detrás de la creación de una red de prensa, casinos y centros de educación para combatir el poder de la Iglesia. Según nos cuenta una científica del CESIC en “Vicente Blasco Ibáñez y la literatura de propaganda filomasónica”, dos años antes, en 1892 se puso en marcha aquel proyecto del que un Blasco masón fue participe. El 30 de diciembre El Pueblo será denunciado por vez primera por la publicación de un artículo, denuncia a la que seguirían otras muchas en muy breves intervalos de tiempo. El 24 de febrero de 1895 estalla en Cuba la guerra y las editoriales de El Pueblo tronaban contra dicha guerra. Como consecuencia de un artículo es procesado e ingresa en la cárcel el 6 de septiembre. De allí saldrá bajo fianza 35 días más tarde. De momento ha estado preso unos 40 días más algunas detenciones de horas. El 17 de marzo de 1895 cae el gobierno de Sagasta como consecuencia del asalto a las oficinas de los periódicos El Resumen y El Globo que criticaron los destinos militares de Cuba. El año 1896 comienza con un juicio por su artículo «En pleno absolutismo» que concluye con un fallo absolutorio. El estado de sitio se declara ese año en varios momentos y contextos en España, principalmente como respuesta a las tensiones y disturbios tanto internos como en sus posesiones ultramarinas. Uno de los eventos más significativos de ese año fue el estallido de la Revolución Filipina que comenzó en agosto de 1896. Al proclamarse el estado de sitio huye a Italia disfrazado de marinero, regresando en junio y quedando en libertad provisional. En “Vicente Blasco Ibáñez : ese diedro de luces y de sombras” podemos leer: “El 4 de junio de 1896 se presentó Blasco Ibáñez ante las autoridades militares, quienes le otorgaron la libertad provisional; tal situación de precariedad no arredró al periodista, quien siguió publicando en El Pueblo vibrantes artículos contra la guerra colonial y contra una ley injusta que permitía comprar por mil quinientas pesetas la exención del servicio militar. Transcribamos el comienzo del artículo “Carne de pobres” aparecido el día 19 de agosto: “¿Tienes mil quinientas pesetas? ¿No? Pues dame a tu hijo. Sois pobres y esto basta. Lleváis sobre vuestra frente ese sello de maldición social que os hace eternos esclavos del dolor. En la paz, debéis sufrir resignados y agotar vuestro cuerpo poco a poco para que una minoría viva tranquila y placenteramente sin hacer nada; en la guerra, debéis morir para que los demás, que por el dinero están libres de tal peligro, puedan ser belicosos desde su casa. Resignaos: siempre ha habido un rebaño explotado para bien y tranquilidad de los de arriba.” El propio Blasco escribe sobre su consejo de guerra donde al final es condenado a dos años de prisión correccional: “La escena pasó en un dormitorio, en 1896, pidiendo para mí el fiscal —un coronel— una condena de catorce años de presidio. Dicha escena tuvo una teatralidad que no olvidaré nunca. Después de larguísimo debate, me fue leída la sentencia, por la noche, en medio del patio, entre bayonetas y a la luz de un candil. Se había rebajado la pena a cuatro años de presidio, de los que pasé catorce meses encerrado en uno de los dos penales que tenía entonces Valencia, un convento viejo, situado en el centro de la ciudad y con capacidad para trescientos penados, si bien estaban más de mil. Allí perdí hasta el nombre, sustituido por un número (...) Una parte de mi reclusión la pude pasar, por especial y secreto favor de los empleados, en la enfermería del establecimiento, entre tísicos y cadáveres. Allí compuse un cuento: “El despertar del Buda”…” De esos dos años Blasco pasaría en la cárcel 14 meses que contando los 40 días anteriores, arrojan unos 465 días. El propio Blasco en marzo de 1911 le contó en una entrevista a Enrique González Fiol como fue tratado allí: “Como benevolencia especial, se me consintió dormir en la enfermería del hospital.” En aquella época morían los presos por la tisis y supuestamente Blasco los tenía por allí muriendo pero prefería estar en la enfermería. “…Porque al menos tenía un camastro. Los presidiarios dormían en el suelo, sobre un montón de paja unos; otros encima del petate…” El 28 de marzo de 1897 se le conmutó la pena de prisión por la de destierro. El 31 marchará a Madrid, regresando amnistiado a Valencia, el 18 de septiembre. Le sorprende allí la gran riada del 13 de noviembre, que causa graves inundaciones en la ciudad de Valencia. Sin embargo, las peores inundaciones ocurren el 18 de noviembre, cuando el río Júcar inunda Alcira, la pequeña ciudad valenciana que Blasco eligió luego como escenario de su novela 'Entre naranjos’. “¡Al mar los campos y plantaciones de los que, abusando de la sequedad de su cauce, fueron extendiendo lentamente los límites de sus fincas, haciendo producir cosechas al lecho de las aguas que estas acaban de reconquistar! ¡Abajo los paredones, las vallas, las obras de que los ingenieros se mostraban orgullosos, como si la ciencia pudiera a la larga vencer la fuerza de los elementos! …Sigue el río su obra de destrucción, arrastrando hacía el mar todo cuanto encuentra; muebles y víveres, bestias y viviendas; y ¡oh contraste de la vida!: lo que allá arriba, en los campos, es destrucción y muerto, abajo, en la playa, es remedio de la miseria… …Son los pescadores del rio revuelto, los hijos de la miseria que, exponiendo su vida, encuentran medios de subsistencia en la misma desgracia, registrando las entrañas a la avenida para apoderarse de lo que ha robado. El saco de harina que arrebataron las aguas de algún molino de lo más alto de la provincia será mañana pan tierno y caliente en muchas barracas; el cerdo ahogado estará pronto convertido en embutidos: el vino de tos llanos de Liria calienta gratuitamente los estómagos de esos extraños pescadores del cataclismo; los maderos que cabeceaban sobre la avenida se transformarán en nuevas viviendas; y las sillas, las cómodas, los espejos, vueltos en si después de una loca carrera de tumbos y choques, no podrán explicarse cómo han pasado del estudi del labriego, perfumado por el olor acre del trigo y las frutas, al cuartucho adornado con redes, por cuyas ventanas entra el soplo salitroso y vivificante del mar. …” En 1898 Blasco consigue el apoyo de miles de lectores para defender a su maestro Emilio Zola, con motivo de su carta “J ́accuse” que tanta importancia revistió en el “affair Dreyfus”. ”Es el Caso Dreyfus, la injusta condena de un militar, de origen judío, envuelto en el deshonor de una acusación de traición fraguada a base de pruebas falsas y silencios “. No voy a entrar en quién fue el capitán Dreyfus, tratado como si fuera una víctima de la peste, recluido en la inhóspita Isla del Diablo. El tuvo dos juicios en 1898 y 1899, en ambos fue declarado culpable pero en 1906 su inocencia fue reconocida oficialmente por la Corte de Casación a través de una sentencia que anuló el juicio de 1899. Rehabilitado, el capitán Dreyfus fue reintegrado al Ejército con el rango de comandante; luego participará en la Primera Guerra Mundial. De lo que sí hablaré es de la pertenencia a la masonería de Emilio Zola como reconocen innumerables paginas masónicas en todo el mundo ademas de haber sido nombrado Oficial de la Orden Nacional de la Legión de Honor como nuestro escritor protagonista. Una de las principales logias de España, instalada en Madrid, fue La Logia Ibérica. Logia que tenía tantos hermanos masones que se pusieron el nombre simbólico de Zola que se conoció como Emile Zola, logia Ibérica no 7 aunque oficialmente no se reconoce este nombre como podemos leer en el articulo “La Logia Ibérica. La logia durante el siglo XIX”: “Fue fundada con el nombre de Luz de Mantua el 10 de febrero de 1870 (era vulgar). Ingresó en el Gran Oriente de España, el 12 de enero de 1881, bajo cuya obediencia trabajo hasta que en el año 1889 fue extinguido dicho Gran Oriente como Potencia regular para la constitución del Grande Oriente Español. El 7 de julio de 1889 se afilió e instaló en la Federación del Grande Oriente Español, con el número 7 entre los Talleres activos de la Columna Federal. El 14 de diciembre de 1889 se fusionó con la Respetable Logia Hijos del Progreso, número 53, y adoptó el nombre de “Ibérica”. El 1 de enero de 1909 se incorporó a ella la logia El Progreso número 88.” En otros países como Argentina se fundaron logias con el nombre conjunto de defensor y defendido como podemos leer en este trabajo histórico sobre La logia Zola Dreyfuss de Punta Alta: “…respecto al porqué de la elección del nombre de la nueva logia no hallamos hasta el momento documentación que nos brinde la respuesta, pero si analizamos el contexto histórico, podemos esbozar alguna. En este sentido desde fines del siglo XIX y las primeras décadas del XX, surgió en Europa una creencia a la que se denominó el mito de la conspiración judía mundial" Sus partidarios aseguraban que existía un gobierno secreto israelita que mediante organizaciones encubiertas, controlaba los partidos políticos y gobiernos, la prensa y la opinión pública, los bancos y la economía, cuyo único objetivo era lograr dominar el mundo entero.” Resulta cuando menos curioso que desde una organización discreta se nos hable de conspiraciones en la sombra. Tampoco vamos a hablar en profundidad sobre una “conspiración judía mundial” pero solo hay que ver quienes son los principales propietarios de la banca, los medios de comunicación, Hollywood, la industria del porno, etc. Se comenta por ejemplo que la logia B’nai B’rith (Hijos del Pacto) es la que coordina a nivel mundial el resto de logias y organizaciones masónicas y paramasónicas como los rotarios, recomendaría que revisaran las personas que han sido premiadas por esta logia. El investigador Jüri Lina en “Arquitectos del engaño” pág 162, nos dice: “Los Archivos Especiales de Moscú contienen documentos que muestran a B’nai B’rith (Hijos del Pacto) como superior a todas las demás ramas de la masonería, de hecho constituye una especie de masonería dentro de la masonería. Las 1.090 logias de B’nai B’rith no tienen nombres, sólo números. El Presidente de B’nai B’rith Internacional es Richard D. Heideman. B’nai B’rith la fundaron con el nombre de Bundesbriider doce masones judíos alemanes el 13 de octubre de 1.843 en el Café Saint Germain de Nueva York. En la orden sólo se admiten judíos y medio judíos. La logia estadounidense B’nai B’rith trabaja muy estrechamente con los Illuminati. B’nai B’rith está representada en la ONU por su Fundación («Lexikon des Judentums»). El 12 de septiembre de 1.874 se firmó un convenio en Charleston entre B’nai B’rith y el Consejo Supremo del Rito Escocés, sobre su extensa cooperación y la formación de una confederación general de logias israelíes. Firmaron este documento Armand Levi y Albert Pike, alias Limud Enhoff, su nombre masónico, gran maestro del Palladium.” ¿Se acuerdan de Leo Taxil y como se había inventado una orden masónica satánica llamada Palladium? Sobre estas y otras cuestiones pueden leer en mi artículo titulado “EL OCTÁGONO SATÁNICO Y LAS MASÓNICAS ELECCIONES FRANCESAS” donde queda negro sobre blanco la relación del presidente Macron con la banca judía Rothschild y la masonería. Por cierto, todo un caballero de Colón, el señor Domenico Margiotta escribió en 1895 un libro titulado “El Paladismo. Culto de Satán-Lucifer dentro de las logias masónicas”. Libro que por desgracia no está traducido al castellano pero que nos habla claramente del ocultismo que se respira dentro de las logias. En la madrugada del 15 al 16 de febrero de 1898 se produce la voladura del Maine en La Habana. El 25 de abril Estados Unidos declara la guerra a España. El hundimiento de aquel barco es reconocido hoy día como uno de los primeros casos de bandera falsa creados por los Estados Unidos. En junio El Pueblo es denunciado. Primer suplicatorio al Congreso para procesar a Blasco. El 27 de octubre es detenido e ingresa en la cárcel por escribir un manifiesto para exigir que la fábrica de gas suministre gas gratis a la ciudad de Valencia, siendo puesto en libertad el 31 de octubre. Ha pasado 5 días en la cárcel. Francisco Pérez Puche nos cuenta porque entro en la cárcel en su articulo “El año más intenso. El 98 de Vicente Blasco Ibáñez”: “La visita de Blasco a la prisión se debía a un artículo sobre el conflicto del gas, contra los excesos del tristemente famoso monsieur Touchet, el administrador de la fábrica de los herederos del marqués de Campo. El hombre había subido las tarifas del combustible y además no quería cumplir el compromiso de suministrar gratuitamente el fluido para el alumbrado público suscrito años atrás por el patricio valenciano con su ciudad. “ Es lo que tienen las empresas privadas que quieren recoger beneficios. Concretamente la ciudad de Valencia es conocida entre las empresas suministradoras de electricidad como una mal pagadora y por ello van cambiando de compañía cada pocos años. Esto produce denuncias de estas compañías que terminan ante el Tribunal Superior de Justicia (TSJ) de la Comunitat Valenciana y normalmente no se pagan o terminan en un acuerdo ya que dichas compañías también le deben dinero a la Hacienda pública y ya saben aquello de “perro no come perro”. 1898 fue un año intenso para España: “…el estado de guerra y otras restricciones a los derechos constitucionales, el mismo día de julio de 1898 en que se supo que la flota del almirante Cervera había sido destruida en la embocadura de la bahía de Santiago de Cuba…” El Gobierno del masón Sagasta decidió enviar una escuadra al Caribe y como almirante jefe escogió a Pascual Cervera, otro hermano masón, el cual lo único que hizo fui hundir nuestra flota sacando los barcos de día y en fila de a uno para deleite de la escuadra americana que solo tuvo que practicar “tiro al pato”. Con su negligente actuación causó el hundimiento de 4 cruceros y 2 contratorpederos y la muerte de casi 350 marineros. El bando yanki solo tuvo un muerto. No confundirlo con el comandante también destinado en Cuba Julio Cervera Baviera, también masón. El propio ministro de la guerra Segismundo Bermejo y Merelo o el ministro de estado Segismundo Moret y Prendergast eran asimismo masones. Ni que decir del submarino inventado por Isaac Peral y que la armada se negó a desarrollar, es más, el propio gobierno de España filtró los planos del submarino en el BOE de la época facilitando así a todas las otras naciones el desarrollo de sus propios submarinos. Lo de Cuba acabó en una venta encubierta de los restos de nuestro imperio a Estados Unidos. Tanto es así que Estados Unidos indemnizó a España; léase el Tratado de París de 1898. Volviendo a nuestro hilo conductor Pérez Puche nos habla del Vicente Blasco Ibáñez preso: “A las diez en punto de la noche del lunes, 31 de octubre de 1898, se abrió el portón de la cárcel de San Gregorio, en la calle de San Vicente, y sonaron los primeros aplausos. Un grupo de periodistas y no pocos militantes, junto con el abogado republicano Vicente Dualde esperaba la salida de la prisión del diputado Vicente Blasco Ibáñez. Abrazos, palmadas en la espalda, sonoros saludos. El director de la penitenciaria, José Manuel Maldonado. despidió con mucho afecto al más famoso de sus presos, a quien había tenido el honor de custodiar durante cinco días, desde que el juzgado militar se lo encomendara el jueves anterior. La cárcel de San Gregorio no era precisamente el Hotel de Roma, pero algunos presos notables, como el diputado, escritor y periodista Vicente Blasco Ibáñez lograban ver bastante atenuados sus rigores.” “…el diputado Blasco pudo gozar de una inmunidad parlamentaria que su abogado, el incansable Dualde, no iba a tardar en refrendar. Leer la prensa, tener libros y recado de escribir, recibir cada mañana un buen desayuno y disponer de despacho eran algunos de los gajes del prisionero, gracias a sus correligionarios y al generoso trato del director del correccional.” En el artículo “Blasco Ibáñez, como nunca”, leemos: “El director de la prisión tuvo la deferencia de tenerlo en la enfermería. Y es más, Blasco Ibáñez. Un gran aficionado a la música, era un «admirador apasionado de Wagner». En aquel momento, el tenor Francisco Viñas interpretaba su ópera favorita 'Lohengrin'. El escritor valenciano, desde su celda, pudo escuchar por teléfono la interpretación del cantante al que apodaba el Caballero del Cisne. «El director de la Compañía de Teléfonos, el señor Perucho, había instalado un aparato telefónico que conectaba la celda que ocupaba Blasco Ibáñez con un escenario donde los tramoyistas sostenían varios auriculares y un empleado de la telefónica se encargaba de nadie pudiera cortar la comunicación», escribe la autora.” Blasco sumaba ya la friolera de 470 días en “la cárcel” entrecomillas. Nada más salir de la cárcel podemos leer: “Le habían aclamado en la calle, incluso con bandas de música; cuándo salió de la prisión y al ser elegido diputado por la ciudad de Valencia y su distrito, con más de seis mil votos, en marzo de 1898. Tenía entonces 31 años; “ Junto a su gran rival en la prensa, Teodoro Llorente Olivares, el director de «Las Provincias», fue invitado el 21 de enero de 1899 por el alcalde en funciones de Valencia Miguel Sales a tomar una decisión histórica, determinar donde se construiría la estación del Norte. Aquel año loco, Valencia tuvo otros dos alcaldes, Pascual Guzmán Pajarón y Juan Lorda Morera. Curiosamente la compañía de trenes que operaría dicha estación, la Compañía del Norte, había heredado las líneas de la antigua AVT del fallecido marqués de Campo cuyos herederos habían logrado meter en la cárcel a Blasco por el caso Touchet unos años antes. Vicente Blasco Ibáñez cedió el periódico El Pueblo a sus trabajadores en el año 1905. Esta decisión fue una de las muchas que supuestamente reflejaban sus ideas progresistas y su compromiso con el movimiento obrero y republicano en España. Pero “el caballero audaz” nos lo muestra de otra manera: “Los infelices obreros soportaron la pesada carga, sin documento alguno que justificara su propiedad; trabajaron gratis y a medio sueldo varios meses, y cuando El Pueblo tuvo la vida asegurada y rendía ganancias, se apoderó Blasco de nuevo del periódico y arrojó de su casa a los cajistas, motivando su proceder una huelga de tipógrafos, que fracasó porque el director se trajo personal de Barcelona y Madrid. Consiguió en unas elecciones, apoyado por los conservadores silvelistas de Llorente, ser diputado a Cortes, y en las municipales obtuvo mayoría de concejales, cada uno de los cuales, al ser proclamado candidato, entregaba a Blasco una cuota de dos mil a cinco mil pesetas, según la importancia del puesto que después quería desempeñar en el Ayuntamiento, exigiéndoles como condición a los elegidos que le entregasen la dimisión en blanco.” Tres años antes había inaugurado el espectacular chalet de la Malvarrosa, del cual nos sigue contando Carretero Novillo: “En cuanto tuvo mayoría en el Ayuntamiento, comenzó a construirse un magnífico chalet en la Malvarrosa, con materiales y obreros que pagaba Valencia; pues todo era de la Corporación municipal, con cargo a las obras del Nuevo Matadero, que entonces comenzó a construirse. Para pagar los jornales de estos obreros, el Ayuntamiento le entregaba, diariamente, diez volantes, de los llamados «de carro, equivalente, cada uno de ellos, a diez pesetas, más un número bastante crecido de los llamados de peón». Persuadido de su influencia sobre la masa popular, promovió numerosos mitines y algaradas, tomando como pretexto la cuestión religiosa en sus diferentes manifestaciones, pues que esto era lo que halagaba las masas en aquel tiempo, que costaron muchas vidas, que el Blasco capitaneaba hasta el momento en que aparecía la Guardia civil, pues hombre teórico, y no de acción, abandonaba a los suyos en aquel instante. El negocio más fabuloso que realizó en Valencia Blasco Ibáñez, fué el obligar a sus concejales que arrendasen los Consumos a determinada entidad, lo cual le valió, en cuanto se adjudicó, un millón de pesetas, y después, cada año, la Compañía Arrendataria-Salmón y Compañía le entregaba quinientas mil pesetas. Tengo ante mí una carta de Blasco que pone de manifiesto el negocio. Hay un membrete que dice: El Diputado a Cortes por Valencia». Querido amigo: Lo del arriendo de los Consumos está ya arreglado. He escrito a Manolo y Pepe Trocher sobre esto. La Arrendataria me ha prometido, además de lo que tú sabes, que designaremos nosotros el personal, y tengo la seguridad de dos grandes empleos para Gastaldo y Cañizares y para otros más. En fin, que esto... nos dará inmensa fuerza. Manolo, a quien escribo, se avistará contigo para que el periódico, y la mayoría de concejales, marchéis de acuerdo. Que el periódico no cometa ninguna imprudencia; que no ataque con saña lo del arriendo. Vigilad a Manent para que no cometa ninguna imbecilidad. Encárgale a Ávalos que no meta la pata en este asunto. Seremos los amos de Valencia; pienso (fijate bien) dejar arreglado nuestro asunto, antes de partir con Luis Canalejas. Procuraré aprovechar la ocasión ya que esta gente está contenta (el Gobierno) y esto más nos encontramos. En tu discreción confío. Rompe esta carta, que tú eres descuidado. Un abrazo de tu fraternal amigo. Vicente.» No es posible negar que el destinatario de esta carta-y lo prueba el que la epístola haya llegado hasta mí-; era, efectivamente, un hombre «descuidado». Como prueba, también, que ya, entonces, nuestro héroe era «de cuidado»... Fué, en aquella época, cuando Blasco, por el precio de una máquina rotativa vieja, vendió a Rodrigo Soriano un acta de diputado a Cortes por Valencia. El impetuoso Soriano no pudo aguantar mucho tiempo las rapiñas de Blasco. Riñeron y vino aquella campaña furiosa, a la que ya me he referido, y en la que ambos se dirigieron crueles insultos.” Nótese lo de fraternal en la despedida de la carta, ya saben, entre masones anda el juego. ………………………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: Bibliografia completa https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/su_obra_bibliografia/ Cronología de Vicente Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/autor_cronologia/#anyo_1900 Cronologia literaria Blasco Ibáñez https://anyblascoibanez.gva.es/va/cronologia-literaria Time line de su vida https://www.timetoast.com/timelines/vicente-blasco-ibanez-5ac50faf-ff35-40dd-be42-708435362932 Galeria de imágenes https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fimages%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fgraf%2Fcronologia%2F03_cro_blasco_ibanez_retrato_1018_s.jpg&tbnid=s0ix0VfxLAJ4aM&vet=12ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ..i&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fautor_cronologia%2F&docid=rpcl3y5OiYotjM&w=301&h=450&q=Mar%C3%ADa%20Blasco%20blasco%20iba%C3%B1ez&hl=es&client=firefox-b-d&ved=2ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ Capítulo 7 Vicente Blasco Ibáñez : ese diedro de luces y de sombras https://bivaldi.gva.es/es/consulta/registro.cmd?id=318 https://www.cervantesvirtual.com/obra/vicente-blasco-ibanez--ese-diedro-de-luces-y-de-sombras/ BOE 1 Octubre 1970 https://www.boe.es/boe/dias/1970/10/01/pdfs/A16218-16218.pdf Libros de BUP 1era etapa democrática https://datos.bne.es/persona/XX1150186.html https://dialnet.unirioja.es/servlet/libro?codigo=222347 https://dialnet.unirioja.es/servlet/libro?codigo=159914 Las novelas históricas olvidadas de Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/descargaPdf/las-novelas-historicas-olvidadas-de-blasco-ibanez/ La hija de la Luna - Aleister Crowley https://www.abretelibro.com/foro/viewtopic.php?t=124204 COMO LOS ILLUMINATI LOGRARON CREAR UN INDETECTABLE Y ESCLAVO CONTROL MENTAL TOTAL https://www.academia.edu/44186118/COMO_LOS_ILLUMINATI_LOGRARON_CREAR_UN_INDETECTABLE_Y_ESCLAVO_CONTROL_MENTAL_TOTAL El año más intenso. El 98 de Vicente Blasco Ibáñez / Francisco Pérez Puche https://www.cervantesvirtual.com/obra/el-ano-mas-intenso-el-98-de-vicente-blasco-ibanez-/ Cuento de Sancha la serpiente https://ciudadseva.com/texto/sancha/ ¿Qué simbolizan las fasces romanas y la espada del actual escudo de la Guardia Civil? https://confilegal.com/20180828-que-simbolizan-las-fasces-romana-y-la-espada-del-actual-escudo-de-la-guardia-civil/ Blasco Ibáñez, como nunca https://www.lasprovincias.es/culturas/201701/28/blasco-ibanez-como-nunca-20170128184131.html NORTE (6). EL LARGO PARTO DE UNA ESTACIÓN https://fppuche.wordpress.com/2017/07/01/norte-6-el-largo-parto-de-una-estacion/ Confesiones, 1911- Parte II http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201911 Carta de Vicente Blasco Ibáñez a Gaspar Blasco (su padre). Sabadell, 21 de abril de 1894 [Transcripción] https://www.cervantesvirtual.com/obra/carta-de-vicente-blasco-ibanez-a-gaspar-blasco-su-padre-sabadell-21-de-abril-de-1894-785513/ https://www.cervantesvirtual.com/obra-visor/carta-de-vicente-blasco-ibanez-a-gaspar-blasco-su-padre-sabadell-21-de-abril-de-1894-785513/html/833941e6-0d48-4978-9d06-22867260119e_2.html#I_0_ La carta en imagen https://www.cervantesvirtual.com/obra-visor/carta-de-vicente-blasco-ibanez-a-d-ramon-su-padre-sabadell-21-de-abril-de-1894-785511/html/42bf125d-3fd1-4814-bce5-7370c83b723b_6.html La riada del 1897 http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201897 Caso Dreyfus https://es.wikipedia.org/wiki/Caso_Dreyfus Émile Zola https://es.wikipedia.org/wiki/%C3%89mile_Zola Pertenencia a la masonería de Emilio Zola https://www.logiaariadna.org/copia-de-historia-de-la-glse La Logia Ibérica. La logia durante el siglo XIX https://elobrero.es/historalia/69134-la-logia-iberica-la-logia-durante-el-siglo-xix.html EL GAS LEBÓN https://valenciablancoynegro.blogspot.com/2014/03/el-gas-lebon.html Trencadís 03/pág 26 Touchet y la fabrica de gas https://revistatrencadis.org/trencadis-03/ La logia Zola Dreyfuss de Punta Alta https://issuu.com/archivohistorico/docs/revista_el_archivo_32 La logia Jovellanos (1912-1939) Memoria e historia borradas por el franquismo/Yván Pozuelo Andrés https://www.palabradeclio.com.mx/src_pdf/La_1563335040.pdf Hijos del pacto y la masonería https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1071032054500986880 https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1059749998835970049 Hilo la historia se repite masonería y judaísmo independencia cataluña https://twitter.com/disfrazad0/status/913515494468210688 El papel de la masonería en las revoluciones rusas de 1917 https://twitter.com/Jadouken10/status/927674418926637056 Configuración de la Matrix . El Triángulo de Poder I https://twitter.com/anti_jesuita/status/937121964862398469 Configuración de la Matrix . El Triángulo de Poder II https://twitter.com/anti_jesuita/status/937241922535657472 Configuración de la Matrix . El Triángulo de Poder III Ejercicio práctico. – Lluís Companys. https://twitter.com/anti_jesuita/status/937317728058335233 Revolución masónica Francesa https://twitter.com/jfrsanchez/status/1066307092129169408 EL OCTÁGONO SATÁNICO Y LAS MASÓNICAS ELECCIONES FRANCESAS https://tecnicopreocupado.com/2017/05/11/el-octagono-satanico-y-las-masonicas-elecciones-francesas/ EL HUNDIMIENTO DEL MAINE, UN CASO DE BANDERA FALSA https://navegandoenelrecuerdo.blogspot.com/2014/06/el-hundimiento-del-maine-un-caso-de.html ¿Falsa bandera en el 'Maine'? 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SEGISMUNDO MORET Y PRENDERGAST https://www.uned.es/universidad/inicio/unidad/museo-virtual-historia-masoneria/sala-v-historia-de-la-masoneria-en-espana/segismundo-moet-y-prendergast.html Julio Cervera Baviera https://es.wikipedia.org/wiki/Julio_Cervera_Baviera Julio Cervera y Baviera, Masones filatelizados https://fesofi.es/noticias/julio-cervera-y-baviera-personajes-masones-filatelizados/ Un fallo favorable a Iberdrola obliga a cambiar la 'problemática' tasa de suministros de València https://valenciaplaza.com/un-fallo-favorable-a-iberdrola-obliga-a-a-cambiar-la-problematica-tasa-de-suministros-de-valencia NORTE (6). EL LARGO PARTO DE UNA ESTACIÓN CAPÍTULO 4. (1898-1905) Un tiempo malo para España https://fppuche.wordpress.com/2017/07/01/norte-6-el-largo-parto-de-una-estacion/ José María Carretero Novillo https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mar%C3%ADa_Carretero_Novillo EL NOVELISTA QUE VENDIO A SU PATRIA O TARTARIN, REVOLUCIONARIO. (TRISTE HISTORIA DE ACTUALIDAD) https://www.iberlibro.com/NOVELISTA-VENDIO-PATRIA-TARTARIN-REVOLUCIONARIO-TRISTE/972584489/bd Centro Documental de la Memoria Histórica. Fotografia masónica https://pares.mcu.es/ParesBusquedas20/catalogo/find?idAut=100189&archivo=1&tipoAsocAut=1&nomAut=Fotograf%C3%ADa+mas%C3%B3nica Obra “El Juez” de Blasco Ibáñez https://bdh-rd.bne.es/viewer.vm?id=0000112901&page=1
On a special episode of An Oscar For Arnold, Sonny and Tom sit down with Jemima McEvoy, a wealth reporter at Forbes, for the podcast's first ever interview. Jemima recently published an article titled "How Arnold Schwarzenegger Became a Billionaire," and the boys were lucky enough to have her join the podcast to discuss Arnold, his wealth, and her career covering wealthy people. The topics of conversation include Arnold's successful investments, his not-so-successful investments, his personality, his divorce, and the time Mark Cuban almost drove Jemima to the airport. If you're curious as to how Arnold Schwarzenegger acquired his ten-figure fortune, you've come to the right place. And if you're just here for the jokes and people shooting the shit, you're still in the right place. Even with a guest, there's still time for everyone's favorite opening segment, Arnold in a Famous Role. Today, Jemima joins the boys as they discuss whether Arnold could win an Oscar if he played Joseph Schildkraut's role in "The Life of Emile Zola," a 1937 role that tackled a story about antisemitism without ever mentioning antisemitism. How did they do it? Not very well, it seems. But Arnold would be taking over a role played by a fellow Austrian actor, so his shot here might not be too bad. Unfortunately the character is French, but we're just gonna ignore that part.You can follow Jemima McEvoy on Twitter @jemimamcevoy.Click HERE to read her article "How Arnold Schwarzenegger Became a Billionaire".Hosted by Sonny de Nocker (@swankysonny) and Tom Price (@thomas_price22).Theme by Josh Britt (jbrittmusic.com)Instagram: AnOscarForArnoldTwitter: @AnOscar4ArnoldTikTok: AnOscarForArnoldContact: AnOscarForArnold@gmail.com
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Semaine spéciale "Historiquement Vôtre voit tout en grand". Episode 3/5 : Stéphane Bern raconte, à l'occasion du premier jour des soldes, ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle. Ou la véritable histoire des grands magasins parisiens… Quel contexte économique et social a permis le développement des grands magasins ? Quelle révolution commerciale a accompagné leur naissance ? Comment ont-ils démocratisé la mode ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Amélie Gastaut, conservatrice en chef du département Design graphique et publicité du musée des Arts décoratifs de Paris, commissaire générale de l'exposition "La naissance des grands magasins. 1852-1925"
Semaine spéciale "Historiquement Vôtre voit tout en grand". Episode 3/5 : Stéphane Bern raconte, à l'occasion du premier jour des soldes, ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle. Ou la véritable histoire des grands magasins parisiens… Quel contexte économique et social a permis le développement des grands magasins ? Quelle révolution commerciale a accompagné leur naissance ? Comment ont-ils démocratisé la mode ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Amélie Gastaut, conservatrice en chef du département Design graphique et publicité du musée des Arts décoratifs de Paris, commissaire générale de l'exposition "La naissance des grands magasins. 1852-1925"
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle.
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Bienvenidos a un Spaces especial donde les había prometido contarles una noticia bomba sobre mi situación procesal, sobre mi procedimiento judicial. Para el que no lo sepa y venga de nuevas les aviso que estoy con medidas cautelares desde el primer momento que me entrevisto la jueza que lleva el procedimiento y aún lo sigue llevando hasta que se inicie el juicio oral. Estamos hablando de que desde el 4 de junio de 2019 se me prohibió manifestar o expresar cualquier opinión sobre los hechos a que se refiere este procedimiento por cualquier medio o procedimiento, incluidas las redes sociales mientras que dure la tramitación del presente procedimiento y hasta que recaiga resolución firme que ponga fin al mismo salvo dictado de nueva resolución modificando la presente. Dicho esto, queda poco margen para decir nada más. Ademas de que en todos y cada uno de los papeles que mi abogado pone en mi conocimiento provenientes del juzgado numero 5 de Castellón se me recuerda el cumplimiento del Reglamento Europeo 679/2018 y la Ley 50/1981, de 30 de diciembre que me avisa de que todo el procedimiento es confidencial, que queda prohibida su transmisión o comunicación publica por cualquier medio…o sea, que no puedo contar absolutamente nada. Esto nos deja en la triste situación de que yo no puedo comentaros las peripecias judiciales y vivenciales que estoy padeciendo, que son muchas, variadas y pintorescas. No soy el Lute pero las gallinas me miran raro. Me hago la pregunta de porque como en el caso Dreyfus apareció un periodista, Emile Zola con su carta “J ́accuse” que tanta importancia revistió en el “affair Dreyfus”. La wikipedia, esa herramienta del mal dice sobre este caso: ”Es el Caso Dreyfus, la injusta condena de un militar, de origen judío, envuelto en el deshonor de una acusación de traición fraguada a base de pruebas falsas y silencios “. ¿Quizás al no ser yo judio, masón, del opus Dei, jesuita, liberal, multimillonario, un erudito, satanista o cualquier otra cosa impide que ningún periodista ni ningún medio se digne a dirigir sus ojos en tan delicado procedimiento? ¡Qué la jueza ha rebajado la petición de pena del fiscal a 40 años y se me exige la presentación de una fianza conjunta y solidaria entre los 9 acusados que quedamos de mas de 2 millones y medio de euros! ¡Y se nos da la friolera de un dia para reunir tal cantidad! ¡Y no es noticiable! Larga y dura es la espada de Damocles que ya roza mi sien…y yo simplemente arrodillado y en silencio penitente debo esperar que penetre mi carne y riegue con ella el suelo. Debo entregarme como alimento a sus demonios que fingen ser dioses, a sus expertos, a su codicia desmedida y sus ansias de espachurrar mis sesos por el piso. Y yo, simplemente debo envainar mi espada y soportar las patadas en las costillas sin decir esta boca es mía. ¿Y vds, que pueden hacer vds? Pues hacer de adivinos y explorando mis visceras repartidas por el suelo dictaminar a través de los omentos como hacían los antiguos oráculos romanos. Deben fiarse mas por su instinto que por lo que yo pueda contarles ya que lo que puedo contarles es…nada. A todas esas orejas infames que estarán escuchando esto, a todos esos correveidiles que harán de correos para el mal con mayusculas que se oculta en este caso, en este caso maldito, solo puedo decirles que hoy no sacaran nada de este técnico preocupado. Mi corazón esta con los niños que siguen siendo abusados, no solo aqui, en todo el mundo, y mi alma esta en paz con Dios. Podreis seguir torturandome, clavando en mi costado vuestros poderosos puñales pero nunca extraeréis de mi nada mas que la verdad y la compasión. Sí, os compadezco porque vuestros corazones duros como el acero son fríos también como dicho metal y nunca entenderéis porque una persona como yo que no tenia absolutamente ningún problema en su vida y vivia holgadamente ha terminado inmolándose ante vuestras duras y frías vísperas. Allá vosotros con lo que hagáis en esta vida porque el castigo eterno lo tendréis mas que merecido. Series los jefecillos en el infierno, y allí no se ficha, allí se trabaja eternamente en una desidia sin principio ni final. Vosotros, los funcionarios que se cansan de comer gusanos y putear a la gente por siempre jamas. Asi que lo siento en el alma pero mi espada envainada, no en señal de rendición, sino en ademan de cambio de ciclo de punto de inflexión que haga que muchos más guerreros no den su brazo a torcer. Son muchos los ya fallecidos en el caso maldito, el ultimo Joaquin Crespo Marques, Ximo para los amigos, el cual falleció el 30 de septiembre del 2022 y el cual sigue apareciendo en los autos del procedimiento en la zona de acusados…no habéis tenido la decencia siquiera de retirar su nombre. Me callo ya, no entraran moscas en mi boca por culpa de contar absolutamente nada del caso maldito y su procedimiento maldito. Así que, esto es todo lo que tengo que deciros, que no puedo contar absolutamente nada de un procedimiento del cual ya se dictó apertura del juicio oral el 13 de diciembre de 2021. 2 años, 4 meses, y 24 días mas tarde aqui estoy yo sin poder decir absolutamente nada mientras cualquier periodista podría ofrecer en exclusiva cualquier parte del procedimiento que va ya para los 10.000 folios. Una vez abierto ya no es secreto. Mi segundo abogado, voy ya por el tercero, me decía que hasta que el procedimiento no tuviera la altura de un niño de diez años no había que preocuparse. De momento tiene la altura de uno de 9. Ya saben la querencia que tienen con eso numero los oscuros. No os aburro más con mi procedimiento, el que sepa entender entenderá que en la muerte esta el cambio y que mañana por mucho que se empeñen los satánicos pederastas saldrá el Sol. ………………………………………………………………………………………. Invitados: Placeb0 @Placeb0Mad Contra los totalitarismos. Buscador de la verdad. …. ToniM @ToniMbuscadores …. Ira @Genes72 …. Dra Yane #JusticiaParaUTP @ayec98_2 Médico y Buscadora de la verdad. Con Dios siempre! No permito q me dividan c/izq -derecha, raza, religión ni nada de la Creación. https://youtu.be/TXEEZUYd4c0 …. UTP Ramón Valero @tecn_preocupado Un técnico Preocupado un FP2 IVOOX UTP http://cutt.ly/dzhhGrf BLOG http://cutt.ly/dzhh2LX Ayúdame desde mi Crowfunding aquí https://cutt.ly/W0DsPVq ………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: Hoy han perdido https://www.youtube.com/watch?v=WB4qvca22PE PETICIÓN ANTE EL PARLAMENTO EUROPEO CASO BAR ESPAÑA https://tecnicopreocupado.com/peticion-ante-el-parlamento-europeo/ Según la fiscalía tengo "peligrosidad criminal” https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1783521305049932126 Piden 40 años de cárcel y una fianza millonaria a un pequeño blogger simplemente por hacer su labor https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1477193643375091712 KINGDOM - Animated Short Film https://www.youtube.com/watch?v=MA3iscoypcY Caso Dreyfus https://es.wikipedia.org/wiki/Caso_Dreyfus Émile Zola https://es.wikipedia.org/wiki/%C3%89mile_Zola Pertenencia a la masonería de Emilio Zola https://www.logiaariadna.org/copia-de-historia-de-la-glse Justicia para Un Técnico Preocupado https://www.gofundme.com/f/49mcb-justicia-para-un-tecnico-preocupado?utm_campaign=p_cp+share-sheet&utm_content=undefined&utm_medium=copy_link_all&utm_source=customer&utm_term=undefined Las cuentas claras y el chocolate espeso https://tecnicopreocupado.com/2018/05/13/las-cuentas-claras-y-el-chocolate-espeso/ Las cuentas claras y el chocolate espeso II https://tecnicopreocupado.com/2018/10/15/las-cuentas-claras-y-el-chocolate-espeso-ii/ Las cuentas claras y el chocolate espeso III https://tecnicopreocupado.com/2019/10/26/las-cuentas-claras-y-el-chocolate-espeso-iii/ Las cuentas claras y el chocolate espeso IV https://tecnicopreocupado.com/2021/06/10/las-cuentas-claras-y-el-chocolate-espeso-iv-nueva-defensa/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon.212925/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japon --- Segunda Parte https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-segunda-parte.213422/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (III) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-iii.213743/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (IV) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-iv.213979/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (V) https://web.archive.org/web/20170726080442/http://burbuja.info/inmobiliaria/temas-calientes/214350-terremoto-y-tsunami-escala-9-japon-v.htmL Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (VI) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-vi.215098/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (VII) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-vii.215915/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón VIII https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-viii.217430/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (IX) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-ix.217591/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (X) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-x.219405/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (XI) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-xi.224402/ Terremoto y tsunami escala 9 en Japón (XII) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/terremoto-y-tsunami-escala-9-en-japon-xii.233697/ Desastre nuclear de Fukushima (XIII) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xiii.241631/ Desastre nuclear de Fukushima (XIV) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xiv.255830/ Energía: Desastre nuclear de Fukushima (XV) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/energia-desastre-nuclear-de-fukushima-xv.285278/ Desastre nuclear de Fukushima (XVI) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xvi.319489/ Desastre nuclear de Fukushima (XVII) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xvii.392375/ Desastre nuclear de Fukushima (XVIII) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xviii.456205/ Desastre nuclear de Fukushima (XIX) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xix.472407/ Desastre nuclear de Fukushima (XX) https://www.burbuja.info/inmobiliaria/threads/desastre-nuclear-de-fukushima-xx.565187/ intro sobre Vicente Blasco Ibáñez https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1785632664436760706 UTP296 Blasco Ibáñez, tras el velo https://www.ivoox.com/utp296-blasco-ibanez-tras-velo-audios-mp3_rf_128574930_1.html Fosa Papaya https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1474670465062948864 Candidato de Lituania para Eurovisión https://twitter.com/terra_cremada/status/1787226572887327048 UTP105a Victoria en abril, el fin de la pandemia y el subidón del Bitcoin https://www.ivoox.com/utp105a-victoria-abril-fin-la-audios-mp3_rf_66397752_1.html Tor fue creado por el gobierno de EE.UU como herramienta de código abierto para el espionaje https://hipertextual.com/2011/03/tor-fue-creado-por-el-gobierno-de-ee-uu-como-herramienta-de-codigo-abierto-para-el-espionaje Tor (red de anonimato) https://es.wikipedia.org/wiki/Tor_(red_de_anonimato) Las ramas del árbol de Pujol https://twitter.com/tecn_preocupado/status/819653779251466241 Caso Banca Catalana https://twitter.com/tecn_preocupado/status/1050694609729392640 Jordi Evole premiado por la logia Blasco Ibáñez https://twitter.com/filtradano/status/1090963507712061442 PONIENDO EL CASCABEL AL GATO: JORDI EVOLE https://tecnicopreocupado.com/2014/03/06/poniendo-el-cascabel-al-gato-jordi-evole/?utm_source=blogsterapp&utm_medium=twitter ………………………………………………………………………………………. Música utilizada en este podcast: Tema inicial Flash de propaganda UTP300 bluenotes by airtone (c) copyright 2021 Licensed under a Creative Commons Attribution (3.0) license. https://dig.ccmixter.org/files/airtone/64427 Heros ………………………………………………………………………………………. Epílogo Redimi2 - HARTO https://youtu.be/gO29QWKMerM?feature=shared
Welcome to the Paint The Medical Picture Podcast, created and hosted by Sonal Patel, CPMA, CPC, CMC, ICD-10-CM. Thanks to all of you for making this a Top 15 Podcast for 3 Years: https://blog.feedspot.com/medical_billing_and_coding_podcasts/ I'd love your continued support of this content-rich, value-add podcast to help you succeed in the business of medicine: https://podcasters.spotify.com/pod/show/sonal-patel5/support Sonal's 11th Season starts up and Episode 11 features a Newsworthy update on the OIG Work Plan for February 2024. Sonal's Trusty Tip and compliance recommendations focus on a new update on modifier -59 in the RHC and FQHC settings. Spark inspires us all to reflect on quantity versus quality based on the inspirational words of Emile Zola. Thanks to Advanced Coding Services: Website: https://advancedcodingservices.com/ Paint The Medical Picture Podcast now on: Spotify for Podcasters: https://podcasters.spotify.com/pod/show/sonal-patel5 Spotify: https://open.spotify.com/show/6hcJAHHrqNLo9UmKtqRP3X Apple Podcasts: https://podcasts.apple.com/us/podcast/paint-the-medical-picture-podcast/id1530442177 Google Podcasts: https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9hbmNob3IuZm0vcy8zMGYyMmZiYy9wb2RjYXN0L3Jzcw== Amazon Music: https://music.amazon.com/podcasts/bc6146d7-3d30-4b73-ae7f-d77d6046fe6a/paint-the-medical-picture-podcast Breaker: https://www.breaker.audio/paint-the-medical-picture-podcast Pocket Casts: https://pca.st/tcwfkshx Radio Public: https://radiopublic.com/paint-the-medical-picture-podcast-WRZvAw Find Paint The Medical Picture Podcast on YouTube: https://www.youtube.com/channel/UCzNUxmYdIU_U8I5hP91Kk7A Find Sonal on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/sonapate/ And checkout the website: https://paintthemedicalpicturepodcast.com/ If you'd like to be a sponsor of the Paint The Medical Picture Podcast series, please contact Sonal directly for pricing: PaintTheMedicalPicturePodcast@gmail.com --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/sonal-patel5/message Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/sonal-patel5/support
On today's show, Dune Part 2 is here!!! And it has been seen by us in IMAX. Paul Atreides Muad'Dib himself, Chani, Lady Jessica, and Gurney Halleck are all here. But first, we'll be going over movie and TV show news, and what we've been watching including True Detective: Night Country, The Taste Of Things, Shōgun, and finish up with our Letterboxd assignments. Write into the show at MidnightFilmSociety@gmail.com and @bisickle on Threads. Subscribe on Pocketcasts, Google Podcasts, and Spotify. Rate and review it on Apple Podcasts. Tell a friend, family member, or stranger. Sam Mendes Fab Four Movies Mickey 17 delayed until January 31, 2025 I Saw The TV Glow Trailer Bill Skarsgard is Machine Gun Kelly as the new Crow Paramount + Peacock In Talks To Possibly Merge SAG 2024 Award Winners (Oppenheimer has won Golden Globe, Bafta, Critics Choice, SAG, DGA, and PGA. Only the 11th time a movie has won the SAG, DGA, and PGA together.) Take in the sheets. Oscar Predictions
Helen and Gavin chat about the Oscar-nominated Short Documentaries, Animated, and Live Action movies, with a couple of Highly Commended thrown in for good measure, and it's Week 5 of the list of Oscar Best Picture Winners from 1937 and 1938; The Great Ziegfeld, and The Life of Emile Zola.
Michael Pearce is a writer, painter, teacher and curator, as well as the founder of The Representational Art Conference (TRAC). His book "Kitsch, Propaganda and the American Avant-Garde" uncovers one thing Lenin, Hitler and Roosevelt had in common: A keen eye for art as state propaganda. Avoiding the old-fashioned vs modern dichotomy, Pearce shows the cultural historical roots of employing both figurative and abstract painting to further political correctness. Pearce traces it back to 19th century socialist thinking, and goes in-depth on the ideas of philosophers like Proudhon and Saint-Simon, as well as the protests of Emile Zola. First and foremost, however, he shows how the the American government and a few wealthy families made Avant-garde art into the preferred art form of the 20th century, casting it as the antidote to the sentimentality of kitsch.
How do you make comics without all the frustration? Without feeling lousy and inadequate all the time? With the Terrible Anvil of daily deadlines! And a community, and mindset shift about what it means to make comics and art. Jess Ruliffson and Tom Hart are working through the whole process, one piece at a time, turning frustration into fun and glee.Episode 1 - What Part of Comics is the Hardest?Recorded at SAW on Zoom What is The Terrible Anvil? Tom and I were bantering one day on a call and one of us said HEY WE SHOULD MAKE A PODCAST LIKE THIS! So, it's a podcast. Each week, we grapple with the BIG QUESTIONS about making comics. The "terrible anvil" itself is from nineteenth century badboy Emile Zola, who opined, "One forges one style on the terrible anvil of daily deadlines." (Emile looks a little unimpressed with us, but I am deeply impressed with his immaculate sense of style here in this 1902 photograph.) What is this podcast like? We record with a live (Zoom) audience, so there's some participation in that sense, but mostly, we build the structure of each week's episodes by soliciting questions from members of the SAW community in the Comics Flow and Publish group. This week's question was: What Part of Comics is Hardest? We talked about drawing, suffering, self-doubt, the inner critic, LOTS of good stuff! See below for a little recap of the first podcast! What is "bootleggers"? Jess Ruliffson is one of SAW's instructors and she's making a book! The Bootlegger's Guide to Comics. What is a bootlegger? A bootlegger is someone who by hook or crook will make their art, abandoning the gatekeepers, rules, inner and external critics, literary best practices, and any other sort of puffery or obstacle that's cluttering the way to making their best work. Basically, being the kind of unfancy version of yourself and making art IS THE BEST VERSION of yourself to make the story you want to tell. How do we decrease suffering when we make our comics? What is the hardest part of the struggle? Some responses from our COMICS and FLOW crew: Uli B: "Convincing people that the thing you want to tell is worth telling." Beth T: "I love every part of making comics in the comics sense of thing. In terms of the whole creative process, it's in the early stages of a project, wrangling some sense into the many too many ideas I have that always frustrates me most. I always just want things to solidify FASTER so I can get to work (or to parts of the process that feel more like work). I am not a patient person. " Sarah W: "For me, the worst part is drawing, but also feeling driven to tell stories that I am not sure people really want to hear. So then I end up in a morass of despair because I feel like I MUST but then, because I'm not sure anyone really wants to hear it, I also feel cringey and vulnerable." Some little bits and highlights from our call: Jess: Leverage the things that are weird. Nancy M: I think you are giving us permission to be artists or graphic novelists without being published? that our work doesn't have to live up to a publisher's standard to put it out there. I feel like that standard keeps me from starting. Tom: Who are these people you think don't want to hear your ideas? Austin Kleon! Katherine B: "I heard Linda Barry, in a podcast, say (something like) it's not the author's job to judge the work, just make it." Jess: Judge vs audience (can we be either of those to ourselves?) Tom: do we do a thing if something like it already exists? Are we perhaps worried we're not unique BUT TOTALLY WEIRD instead? Also Tom (one of my favorite moments): "I'm not the artist my writer wish he was." Jess: Draw the worst version purposely in the thumbnails and it delights me Plus, this is already so bad, how can it be worse?? ......intentionally exaggerating the badness of it. Exposure therapy. Greatness is what I'm striving for, but badness is already inside me. Make the bad version, exaggerate it, let it be a communication device.... Darlene: That's why it's important for me to have community and share work because someone else always sees something in my work I didn't see or even understand. To join us on a live call, find us over in the events section of the Comics FLOW + PUBLISH group over here. https://learn.sawcomics.org/The recordings will soon be a podcast that you can listen to on your favorite podcast platform. Happy Making! Jess #TerribleAnvil #Bootleggers Get full access to How to Make a Graphic Novel at sawcomics.substack.com/subscribe
Vous aimez Stéphane Bern ? Vous allez adorer l'historienne Virginie Girod ! Aujourd'hui, en sa compagnie, vous allez découvrir les destins des deux génies de la littérature que sont Emile Zola et Charles Baudelaire, et la façon dont ils ont consacré leur œuvre aux humbles et marginaux.
A compelling study of medical and literary imaginations, Anne Linton's Unmaking Sex: The Gender Outlaws of Nineteenth-Century France (Cambridge University Press, 2022) examines the complex relationship between modes of seeing, thinking, and writing intersex bodies and lives. In this project, Linton brings a rich archive of medical cases from 1800 to 1902 into dialogue with canonical nineteenth-century authors (Honoré de Balzac, Théophile Gautier, and Emile Zola), as well as an impressive range of less well-known writers and popular fictions that captivated French readers during the period. Challenging the (Foucauldian) emphasis on the principle of a "true sex" that apparently preoccupied French doctors following the Napoleonic Code's regulation of sexual identification (within three days of birth), Linton looks at multiple instances in which the instability of sex, the uncertainties of bodies and their stories, came up again and again for medical and other observers. Revisiting the well-known case of Herculine Barbin, Linton situates Barbin's own account within the wider medical and literary worlds of nineteenth-century France. The book's earlier chapters lay a historical groundwork for subsequent closer readings of fictions that responded and contributed to a broader cultural fascination with sexual and gender identities, desires, and ambiguities. While historically specific in its research and arguments, Unmaking Sex offers much to readers interested in the past and present politics of medical, legal, and cultural debates surrounding intersex people, with implications well beyond the French context. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire. She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
A compelling study of medical and literary imaginations, Anne Linton's Unmaking Sex: The Gender Outlaws of Nineteenth-Century France (Cambridge University Press, 2022) examines the complex relationship between modes of seeing, thinking, and writing intersex bodies and lives. In this project, Linton brings a rich archive of medical cases from 1800 to 1902 into dialogue with canonical nineteenth-century authors (Honoré de Balzac, Théophile Gautier, and Emile Zola), as well as an impressive range of less well-known writers and popular fictions that captivated French readers during the period. Challenging the (Foucauldian) emphasis on the principle of a "true sex" that apparently preoccupied French doctors following the Napoleonic Code's regulation of sexual identification (within three days of birth), Linton looks at multiple instances in which the instability of sex, the uncertainties of bodies and their stories, came up again and again for medical and other observers. Revisiting the well-known case of Herculine Barbin, Linton situates Barbin's own account within the wider medical and literary worlds of nineteenth-century France. The book's earlier chapters lay a historical groundwork for subsequent closer readings of fictions that responded and contributed to a broader cultural fascination with sexual and gender identities, desires, and ambiguities. While historically specific in its research and arguments, Unmaking Sex offers much to readers interested in the past and present politics of medical, legal, and cultural debates surrounding intersex people, with implications well beyond the French context. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire. She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history
A compelling study of medical and literary imaginations, Anne Linton's Unmaking Sex: The Gender Outlaws of Nineteenth-Century France (Cambridge University Press, 2022) examines the complex relationship between modes of seeing, thinking, and writing intersex bodies and lives. In this project, Linton brings a rich archive of medical cases from 1800 to 1902 into dialogue with canonical nineteenth-century authors (Honoré de Balzac, Théophile Gautier, and Emile Zola), as well as an impressive range of less well-known writers and popular fictions that captivated French readers during the period. Challenging the (Foucauldian) emphasis on the principle of a "true sex" that apparently preoccupied French doctors following the Napoleonic Code's regulation of sexual identification (within three days of birth), Linton looks at multiple instances in which the instability of sex, the uncertainties of bodies and their stories, came up again and again for medical and other observers. Revisiting the well-known case of Herculine Barbin, Linton situates Barbin's own account within the wider medical and literary worlds of nineteenth-century France. The book's earlier chapters lay a historical groundwork for subsequent closer readings of fictions that responded and contributed to a broader cultural fascination with sexual and gender identities, desires, and ambiguities. While historically specific in its research and arguments, Unmaking Sex offers much to readers interested in the past and present politics of medical, legal, and cultural debates surrounding intersex people, with implications well beyond the French context. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire. She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/gender-studies
A compelling study of medical and literary imaginations, Anne Linton's Unmaking Sex: The Gender Outlaws of Nineteenth-Century France (Cambridge University Press, 2022) examines the complex relationship between modes of seeing, thinking, and writing intersex bodies and lives. In this project, Linton brings a rich archive of medical cases from 1800 to 1902 into dialogue with canonical nineteenth-century authors (Honoré de Balzac, Théophile Gautier, and Emile Zola), as well as an impressive range of less well-known writers and popular fictions that captivated French readers during the period. Challenging the (Foucauldian) emphasis on the principle of a "true sex" that apparently preoccupied French doctors following the Napoleonic Code's regulation of sexual identification (within three days of birth), Linton looks at multiple instances in which the instability of sex, the uncertainties of bodies and their stories, came up again and again for medical and other observers. Revisiting the well-known case of Herculine Barbin, Linton situates Barbin's own account within the wider medical and literary worlds of nineteenth-century France. The book's earlier chapters lay a historical groundwork for subsequent closer readings of fictions that responded and contributed to a broader cultural fascination with sexual and gender identities, desires, and ambiguities. While historically specific in its research and arguments, Unmaking Sex offers much to readers interested in the past and present politics of medical, legal, and cultural debates surrounding intersex people, with implications well beyond the French context. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire. She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/literary-studies
A compelling study of medical and literary imaginations, Anne Linton's Unmaking Sex: The Gender Outlaws of Nineteenth-Century France (Cambridge University Press, 2022) examines the complex relationship between modes of seeing, thinking, and writing intersex bodies and lives. In this project, Linton brings a rich archive of medical cases from 1800 to 1902 into dialogue with canonical nineteenth-century authors (Honoré de Balzac, Théophile Gautier, and Emile Zola), as well as an impressive range of less well-known writers and popular fictions that captivated French readers during the period. Challenging the (Foucauldian) emphasis on the principle of a "true sex" that apparently preoccupied French doctors following the Napoleonic Code's regulation of sexual identification (within three days of birth), Linton looks at multiple instances in which the instability of sex, the uncertainties of bodies and their stories, came up again and again for medical and other observers. Revisiting the well-known case of Herculine Barbin, Linton situates Barbin's own account within the wider medical and literary worlds of nineteenth-century France. The book's earlier chapters lay a historical groundwork for subsequent closer readings of fictions that responded and contributed to a broader cultural fascination with sexual and gender identities, desires, and ambiguities. While historically specific in its research and arguments, Unmaking Sex offers much to readers interested in the past and present politics of medical, legal, and cultural debates surrounding intersex people, with implications well beyond the French context. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire. She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/medicine
A compelling study of medical and literary imaginations, Anne Linton's Unmaking Sex: The Gender Outlaws of Nineteenth-Century France (Cambridge University Press, 2022) examines the complex relationship between modes of seeing, thinking, and writing intersex bodies and lives. In this project, Linton brings a rich archive of medical cases from 1800 to 1902 into dialogue with canonical nineteenth-century authors (Honoré de Balzac, Théophile Gautier, and Emile Zola), as well as an impressive range of less well-known writers and popular fictions that captivated French readers during the period. Challenging the (Foucauldian) emphasis on the principle of a "true sex" that apparently preoccupied French doctors following the Napoleonic Code's regulation of sexual identification (within three days of birth), Linton looks at multiple instances in which the instability of sex, the uncertainties of bodies and their stories, came up again and again for medical and other observers. Revisiting the well-known case of Herculine Barbin, Linton situates Barbin's own account within the wider medical and literary worlds of nineteenth-century France. The book's earlier chapters lay a historical groundwork for subsequent closer readings of fictions that responded and contributed to a broader cultural fascination with sexual and gender identities, desires, and ambiguities. While historically specific in its research and arguments, Unmaking Sex offers much to readers interested in the past and present politics of medical, legal, and cultural debates surrounding intersex people, with implications well beyond the French context. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire. She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/intellectual-history
Cesur Münevverler Çıkmadı, Bari Bugün de Bir Emile Zola Olsaydı!.. *Keşke günümüzde de entelektüellerden Dreyfus Davası'ndaki Emile Zola'nın yiğitliği gibi ki aslında bizim tarihimizde öyle binlercesi vardır ama bu konu açılınca ilk planda batıya bakmanın neticesi olarak o akla gelir bir yiğitliği gösterenler olsaydı. İnsan ne kadar arzu ederdi, alnını yere koyan, secde eden insanlardan bir kaç tanesi, en azından Mekke'deki müşrikler gibi, binlerce ailenin yüreğini sızlatan, binlerce insanı vazifelerini yaptığından dolayı gadre uğratan zalimler güruhuna karşı “yeter artık” falan deyip entelektüelce bir tavır sergileseydi, samimi bir ses yükseltseydi, herkes dilsiz şeytanlık durumuna düşmeseydi, keşke!.. İnsan ne kadar arzu ederdi!.. Ahiretlerini kurtaracaklardı. Maalesef aynı cürmün cezasını paylaşacaklar; birileri cürüm işleyerek, diğerleri de cürüm karşısında sessiz kalarak o cürme iştirak ettiklerinden dolayı, o cürmün cezasını müşterek olarak çekecekler öbür tarafta. Ve yine bizim canımız yanacak, onları öyle gördükçe, yüreğimiz sızlayacak; ciğerimize zıpkın saplanmış gibi bir acı duyacağız. Cenâb-ı Hak tez zamanda aklını yitirmiş kimselerin tutulmuş akıllarının zincirlerini, bağlarını çözsün, doğruyu göstersin, hakiki imana ulaştırsın, zulümden vazgeçirsin. *O üç insanla boykota son verildi ama işkence ve çileler bi'set-i seniyyenin on üçüncü senesine kadar öyle devam etti. “Acaba algı operasyonlarıyla bu insanları inandıkları şeyden vazgeçirebilir miyiz? Haydi bir fasıl daha, haydi bir fasıl daha!..” Kullanmadıkları argüman kalmadı: İnsan öldürmeden alın da, mahrum etmeye, zincir vurmaya, bir kaç günde sadece bir su sunmaya… kadar işkencenin en utandırıcılarını yaptılar. Fakat hiçbir Müslümanı sindiremediler . *Ashab-ı Kiram eziyet ve işkencelere boyun eğmedi zira onların insibağı çok güçlüydü. Sanki Allah (celle celaluhu) İnsanlığın İftihar Tablosu'nu hususi bir donanımla gönderdiği gibi, O'na hakiki ümmet olabilecek o babayiğitleri de hususi O'nun için hazırlamış. Bu açıdan da sahabeyle kimse boy ölçüşemez. Cenâb-ı Hak bizi onların arkasından yürüyenlerden eylesin. Bu video 26/04/2015 tarihinde yayınlanan “En Büyük Tehlike ve Boykot” isimli bamtelinden alınmıştır. Tamamı burada: https://www.herkul.org/bamteli/bamtel...
Melvyn Bragg and guests discuss Emile Zola's greatest literary success, his thirteenth novel in a series exploring the extended Rougon-Macquart family. The relative here is Etienne Lantier, already known to Zola's readers as one of the blighted branch of the family tree and his story is set in Northern France. It opens with Etienne trudging towards a coalmine at night seeking work, and soon he is caught up in a bleak world in which starving families struggle and then strike, as they try to hold on to the last scraps of their humanity and the hope of change. With Susan Harrow Ashley Watkins Chair of French at the University of Bristol Kate Griffiths Professor in French and Translation at Cardiff University And Edmund Birch Lecturer in French Literature and Director of Studies at Churchill College & Selwyn College, University of Cambridge Producer: Simon Tillotson Reading list: David Baguley, Naturalist Fiction: The Entropic Vision (Cambridge University Press, 1990) William Burgwinkle, Nicholas Hammond and Emma Wilson (eds.), The Cambridge History of French Literature (Cambridge University Press, 2011), particularly ‘Naturalism' by Nicholas White Kate Griffiths, Emile Zola and the Artistry of Adaptation (Legenda, 2009) Kate Griffiths and Andrew Watts, Adapting Nineteenth-Century France: Literature in Film, Theatre, Television, Radio, and Print (University of Wales Press, 2013) Anna Gural-Migdal and Robert Singer (eds.), Zola and Film: Essays in the Art of Adaptation (McFarland & Co., 2005) Susan Harrow, Zola, The Body Modern: Pressures and Prospects of Representation (Legenda, 2010) F. W. J. Hemmings, The Life and Times of Emile Zola (first published 1977; Bloomsbury, 2013) William Dean Howells, Emile Zola (The Floating Press, 2018) Lida Maxwell, Public Trials: Burke, Zola, Arendt, and the Politics of Lost Causes (Oxford University Press, 2014) Brian Nelson, Emile Zola: A Very Short Introduction (Oxford University Press, 2020) Brian Nelson (ed.), The Cambridge Companion to Emile Zola (Cambridge University Press, 2007) Sandy Petrey, Realism and Revolution: Balzac, Stendhal, Zola, and the Performances of History (Cornell University Press, 1988) Arthur Rose, ‘Coal politics: receiving Emile Zola's Germinal' (Modern & contemporary France, 2021, Vol.29, 2) Philip D. Walker, Emile Zola (Routledge, 1969) Emile Zola (trans. Peter Collier), Germinal (Oxford University Press, 1993) Emile Zola (trans. Roger Pearson), Germinal (Penguin Classics, 2004)
Melvyn Bragg and guests discuss Emile Zola's greatest literary success, his thirteenth novel in a series exploring the extended Rougon-Macquart family. The relative here is Etienne Lantier, already known to Zola's readers as one of the blighted branch of the family tree and his story is set in Northern France. It opens with Etienne trudging towards a coalmine at night seeking work, and soon he is caught up in a bleak world in which starving families struggle and then strike, as they try to hold on to the last scraps of their humanity and the hope of change. With Susan Harrow Ashley Watkins Chair of French at the University of Bristol Kate Griffiths Professor in French and Translation at Cardiff University And Edmund Birch Lecturer in French Literature and Director of Studies at Churchill College & Selwyn College, University of Cambridge Producer: Simon Tillotson Reading list: David Baguley, Naturalist Fiction: The Entropic Vision (Cambridge University Press, 1990) William Burgwinkle, Nicholas Hammond and Emma Wilson (eds.), The Cambridge History of French Literature (Cambridge University Press, 2011), particularly ‘Naturalism' by Nicholas White Kate Griffiths, Emile Zola and the Artistry of Adaptation (Legenda, 2009) Kate Griffiths and Andrew Watts, Adapting Nineteenth-Century France: Literature in Film, Theatre, Television, Radio, and Print (University of Wales Press, 2013) Anna Gural-Migdal and Robert Singer (eds.), Zola and Film: Essays in the Art of Adaptation (McFarland & Co., 2005) Susan Harrow, Zola, The Body Modern: Pressures and Prospects of Representation (Legenda, 2010) F. W. J. Hemmings, The Life and Times of Emile Zola (first published 1977; Bloomsbury, 2013) William Dean Howells, Emile Zola (The Floating Press, 2018) Lida Maxwell, Public Trials: Burke, Zola, Arendt, and the Politics of Lost Causes (Oxford University Press, 2014) Brian Nelson, Emile Zola: A Very Short Introduction (Oxford University Press, 2020) Brian Nelson (ed.), The Cambridge Companion to Emile Zola (Cambridge University Press, 2007) Sandy Petrey, Realism and Revolution: Balzac, Stendhal, Zola, and the Performances of History (Cornell University Press, 1988) Arthur Rose, ‘Coal politics: receiving Emile Zola's Germinal' (Modern & contemporary France, 2021, Vol.29, 2) Philip D. Walker, Emile Zola (Routledge, 1969) Emile Zola (trans. Peter Collier), Germinal (Oxford University Press, 1993) Emile Zola (trans. Roger Pearson), Germinal (Penguin Classics, 2004)
Move over, Dracula. Eat your heart out Edward Cullen. A new sexy vampire is in town, and he just happens to be a PRIEST! Park Chan-Wook reunites with the wonderful Song Kang-ho to put his own stamp on the popular genre with 2009's THIRST. Inverse's Hoi-Tran Boi joins us to chat about this darkly funny (and devilishly sound-designed) film, an adaptation of Emile Zola's classic novel Thérèse Raquin. How do the rules of vampirism translate to a culture where everything is cooked with garlic? This episode is sponsored by: Passages (mubi.com/passages) Indeed (indeed.com/check) Firstleaf (firstleaf.com/check) Join our Patreon at patreon.com/blankcheck Follow us @blankcheckpod on Twitter and Instagram! Buy some real nerdy merch at shopblankcheckpod.myshopify.com or at teepublic.com/stores/blank-check