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When you reach a certain age, you can feel as though you're forgotten, whether that's because you've suddenly reached the age of grandmothers in books who sit and knit while adoring their grandchildren, or because you are no longer seen as anything but the extension of the family unit. Aged to Perfection, the debut novel by author Niloufar Lamakan, is one of a recent batch of romantic comedy novels that turns this preconception on its head. With a leading lady in her early 60s who wants to go out and enjoy life - and by that I don't mean sitting on her deck with a sherry as people bring her a birthday cake that could set a house on fire...Sophia has a goal: 52 dates in 52 weeks. She's in her new romantic era. Join me today as I talk with Niloufar about Aged to Perfection, the preconceived belief that women in their 60s are old and past it, and why she wrote this novel. Niloufar online Instagram Facebook Buy the book Amazon Waterstones Indie Bookstores
In this conversation, Dr. Nellie, an endocrinologist, discusses her journey in the field of endocrinology, particularly focusing on obesity as a chronic disease. She emphasizes the importance of understanding obesity beyond lifestyle choices, highlighting the role of genetics, hormones, and medical conditions like PCOS. The discussion also covers current treatment options for obesity, the barriers patients face in accessing these treatments, and the importance of early intervention. Dr. Nellie advocates for a compassionate approach to treating obesity, urging healthcare professionals to remove the stigma and blame often associated with weight issues.
Le 8 janvier 2020, un avion de ligne ukrainien qui vient de décoller de l'aéroport de Téhéran s'écrase moins de deux minutes après son envol. Que s'est-il passé, alors que l'Iran a engagé une riposte contre les troupes américaines en Irak en lançant des missiles ? Après plusieurs jours de déni, les autorités iraniennes finissent par reconnaître la vérité : un missile iranien a abattu l'avion. Par erreur, affirment-elles. Trois ans après, l'autrice franco-iranienne Négar Djavadi revient sur ce drame qui a coûté la vie à 176 personnes et, parmi elles, sa cousine Niloufar. ► À écouter aussi sur RFI : La dernière place, de Négar Djavadi, la géopolitique de l'intime
L'émission 28 Minutes du 29/08/2023 Le crash du vol PS752 en 2020: les racines de la révolte iranienne ?Le 8 janvier 2020, le vol 752 reliant Téhéran à Kiev s'écrase, six minutes après son décollage. 176 personnes perdront la vie. Quelques jours plus tard, le gouvernement iranien avoue avoir abattu l'avion. Traumatisme national, cet incident constitue un des événements à l'origine du mouvement révolutionnaire qui s'est emparé de l'Iran en 2023. Négar Djavadi, scénariste et écrivaine franco-iranienne, s'empare de ce moment et retrace, à partir de la mort de sa cousine Niloufar tuée dans le crash, l'histoire de sa famille et celle de son pays d'origine. Elle publie “La dernière place” aux éditions Stock et vient nous en parler dans 28 Minutes. L'abaya interdite à l'école : défense de la laïcité ou police du vêtement ?“Là où la République est testée, nous devons faire bloc”. Dimanche 27 août, le Ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse de France Gabriel Attal a annoncé l'interdiction du port de l'abaya — cette robe longue traditionnelle portée par certaines élèves musulmanes — en classe et à l'école. Le gouvernement dénonce un “prosélytisme religieux”, “une attaque politique” ou encore “une atteinte à la laïcité”. Si la droite acquiesce et félicite cette décision espérée depuis un moment, la gauche, elle, y voit “une police du vêtement”. Les chiffres des atteintes à la laïcité sont en tout cas en forte hausse dans les établissements scolaires : elles ont augmenté de 120% entre l'année scolaire 2021/22 et 2022/23, essentiellement concernant le port de signes ou de tenues religieuses. Alors que penser de cette interdiction ? On en débat. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 29 août 2023 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
In conversation with Ekki Maas from the indie band Erdmöbel. The members of the cult band from Cologne assume that when you listen to music, you have to think for yourself so that something happens to you - and that that's what's actually exciting. We talk about the song Hoffnungsmaschine, which we address in its German and Persian versions. It's also about the cooperation with the Iranian singer and journalist Niloufar, and the cooperation with the many video artists, some of whom produce the cinematic experiments that go with the songs independently of the band.
Stadt.Raum.Frau* – Queer-feministische Perspektiven auf Architektur, Stadtplanung und Aktivismus
Architektin Niloufar Tajeri im Gespräch mit Friederike Landau-DonnellyÜber das Thema Architektur und Intersektionalität spricht Kulturgeografin Friederike Landau-Donnelly mit der Architektin Niloufar Tajeri. Niloufar war bis März 2022 wissenschaftliche Mitarbeiterin am Institut für Geschichte und Theorie der Architektur und Stadt (GTAS) der TU Braunschweig und ist Mitbegründerin der Initiative Hermannplatz. Das Gespräch zwischen Niloufar und Friederike fand im Januar 2022 statt.Weitere Informationen zu Niloufar Tajeri und den Themen der Episode:Niloufar TajeriNiloufar Tajeri und Jorinde Schulz, Neuköllner Null-Toleranz und sozialräumlicher Rassismus – Wie mit der Debatte um die »Clankriminalität« (Verdrängungs)-Politik gemacht wird (www.rosalux.de)Henri Lefebvre und das Recht auf StadtHenri Lefebvre, Das Recht auf Stadt (Buch)Henri Lefebvre und das Recht auf Stadt (dérive N° 60)Stadtsoziologie von Henri Lefebvre – Die beschädigte urbane Gesellschaft (taz.de)Claudia Jones und IntersektionalitätThe Forgotten Legacy of Claudia Jones: a Black Communist Radical Feminist (www.versobooks.com)Claudia Jones: Foremother of World Revolution (The Journal of Intersectionality, Vol. 3, No. 1, Summer 2019)Intersektionalität: »E.T. nach Hause telefonieren?« (www.bpb.de)Materialsammlung zum Thema Intersektionalität (www.gwi-boell.de)Initiative Hermannplatzinitiativehermannplatz.noblogs.orgKaufhausumbau am Hermannplatz – Ohne Beteiligung geplant (taz.de)Die TV-Doku Frauen bauen ist noch bis zum 24. September 2022 in der 3sat-Mediathek verfügbar.Stadt.Raum.Frau* ist ein Podcast von argon.labProduzentin: Johanna BehreAutorin und Moderatorin: Friederike Landau-DonnellyRedaktion und Produktion: Sabine ReicheltSchnitt, Sounddesign & Musik: Joscha GrunewaldStudio: We Are Producers, BerlinGrafik: Konstantin Gramalla Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Welcome to another episode of The Action and Ambition Podcast! Joining us today is Niloufar Banisaied, the co-Founder of the new Alpha Gay Dating and Chat, the safest and largest social networking app for gay, bi, trans, and queer people that does not sell your data and is used globally. Its mission is to create a digital home where the LGBTQ+ community feels they belong and are supported and where they can find love. They strive to ensure that Alpha is a safe space where people can be sexually and emotionally open about their wants and needs. Don't miss a thing on this. Tune in to learn more!
Privées d'éducation, forcées de porter le voile intégrale, bannies de la politique et des médias, les femmes disparaissent peu à peu de l'espace public en Afghanistan. Le régime taliban a mis en place une version rigoriste de la charia islamique qui ne laisse aucune place à celles qui représentent plus de la moitié de la population. Reléguées au rang de « mineure sous tutelle d'un proche masculin », les femmes ont perdu l'ensemble de leurs droits acquis au cours de la République afghane d'Afghanistan, soutenue entre 2001 et 2021 par la communauté internationale. Exclues de nombreux emplois dans la fonction publique et dans le secteur privé, la contribution économique qu'elles représentaient pour le pays a disparu, et l'ONU l'évalue même à un milliard de dollars, soit jusqu'à 5% du PIB de l'Afghanistan. « L'avenir est un immense trou noir », confient plusieurs Afghanes résignées à subir leur sort dicté par un régime qui déteste les femmes. De notre envoyée spéciale à Kaboul, Cléa Broadhurst, et notre correspondante, Sonia Ghezali Lundi 15 août 2022, dans les rues de Kaboul, des centaines de combattants et sympathisants du régime célèbrent leur victoire sur les États-Unis et leurs alliés. Drapeaux blancs et noirs de l'Émirat flottent aux fenêtres de Corolla et de Jeep. Des haut-parleurs diffusent des Nasheed, ces chants religieux musulmans. Sur le toit d'un immeuble, Zholya Parsi observe ces scènes de joie, sous la pluie. « Même le ciel pleure sur la misère du peuple afghan. Il y a un an, l'Afghanistan tombait entre les mains des talibans et tous les rêves, tous les espoirs des filles et des garçons afghans ont été anéantis », déplore-t-elle. Zholya, ancienne institutrice, milite pour les droits des femmes depuis que les talibans ont pris le pouvoir. En ce jour, elle porte une robe rouge pour défier les fondamentalistes religieux et un voile noir en signe de deuil. « Je crois qu'ils rient sur notre mort, sur la mort de notre âme. Leurs voix résonnent à mes oreilles comme une bombe atomique qui explose. Ils sont en train de fêter l'anniversaire de notre destruction. Ils célèbrent la misère du people afghan » Pour défendre ses droits, Zholya Parsi prend des risques, comme samedi 13 août, lorsqu'elle a organisé une manifestation réprimée violemment par des combattants talibans qui tiraient en l'air à balles réelles pendant de longues minutes. ► À écouter aussi : Afghanistan : une manifestation de femmes dispersée par les tirs des talibans à Kaboul Dans l'ouest du pays, à Herat, Niloufar a choisi de se battre avec sa plume. Écrivaine, elle publie des textes et des poèmes contre l'obscurantisme. Elle confie : « J'ai très très peur. Chaque jour quand je me mets mes chaussures pour sortir, je me dis que je ne rentrerai peut-être pas. C'est très difficile, mais on essaie, le gouvernement n'aime pas que les femmes travaillent. C'est pour ça qu'on doit être prudentes. » La pression est permanente pour cette militante féministe qui enseigne la littérature à l'université et dont un ami militant a été arrêté il y a un an. Elle dit être en permanence sur ses gardes. « J'évoquais en classe Syngué Sabour, le roman d'Atiq Rahimi. L'héroïne parle de ses sentiments. L'une de mes étudiantes s'est exclamée : Ah non ! Vous ne devriez pas parler de ces choses-là en classe ». Malgré les risques, Niloufar refuse de renoncer à son combat. « C'est notre responsabilité, notre responsabilité en tant qu'être humain de rester mobilisé. Je sais qu'un jour, je risque de perdre ma vie à cause de ça, mais ça n'a pas importance. », s'exclame-t-elle. Le 15 août est désormais un jour férié en Afghanistan. Pour Niloufar et de nombreuses femmes afghanes, il s'agit d'un jour noir. ► À écouter aussi : Afghanistan : les femmes au destin brisé envisagent le pire
Privées d'éducation, forcées de porter le voile intégrale, bannies de la politique et des médias, les femmes disparaissent peu à peu de l'espace public en Afghanistan. Le régime taliban a mis en place une version rigoriste de la charia islamique qui ne laisse aucune place à celles qui représentent plus de la moitié de la population. Reléguées au rang de « mineure sous tutelle d'un proche masculin », les femmes ont perdu l'ensemble de leurs droits acquis au cours de la République afghane d'Afghanistan, soutenue entre 2001 et 2021 par la communauté internationale. Exclues de nombreux emplois dans la fonction publique et dans le secteur privé, la contribution économique qu'elles représentaient pour le pays a disparu, et l'ONU l'évalue même à un milliard de dollars, soit jusqu'à 5% du PIB de l'Afghanistan. « L'avenir est un immense trou noir », confient plusieurs Afghanes résignées à subir leur sort dicté par un régime qui déteste les femmes. De notre envoyée spéciale à Kaboul, Cléa Broadhurst, et notre correspondante, Sonia Ghezali Lundi 15 août 2022, dans les rues de Kaboul, des centaines de combattants et sympathisants du régime célèbrent leur victoire sur les États-Unis et leurs alliés. Drapeaux blancs et noirs de l'Émirat flottent aux fenêtres de Corolla et de Jeep. Des haut-parleurs diffusent des Nasheed, ces chants religieux musulmans. Sur le toit d'un immeuble, Zholya Parsi observe ces scènes de joie, sous la pluie. « Même le ciel pleure sur la misère du peuple afghan. Il y a un an, l'Afghanistan tombait entre les mains des talibans et tous les rêves, tous les espoirs des filles et des garçons afghans ont été anéantis », déplore-t-elle. Zholya, ancienne institutrice, milite pour les droits des femmes depuis que les talibans ont pris le pouvoir. En ce jour, elle porte une robe rouge pour défier les fondamentalistes religieux et un voile noir en signe de deuil. « Je crois qu'ils rient sur notre mort, sur la mort de notre âme. Leurs voix résonnent à mes oreilles comme une bombe atomique qui explose. Ils sont en train de fêter l'anniversaire de notre destruction. Ils célèbrent la misère du people afghan » Pour défendre ses droits, Zholya Parsi prend des risques, comme samedi 13 août, lorsqu'elle a organisé une manifestation réprimée violemment par des combattants talibans qui tiraient en l'air à balles réelles pendant de longues minutes. ► À écouter aussi : Afghanistan : une manifestation de femmes dispersée par les tirs des talibans à Kaboul Dans l'ouest du pays, à Herat, Niloufar a choisi de se battre avec sa plume. Écrivaine, elle publie des textes et des poèmes contre l'obscurantisme. Elle confie : « J'ai très très peur. Chaque jour quand je me mets mes chaussures pour sortir, je me dis que je ne rentrerai peut-être pas. C'est très difficile, mais on essaie, le gouvernement n'aime pas que les femmes travaillent. C'est pour ça qu'on doit être prudentes. » La pression est permanente pour cette militante féministe qui enseigne la littérature à l'université et dont un ami militant a été arrêté il y a un an. Elle dit être en permanence sur ses gardes. « J'évoquais en classe Syngué Sabour, le roman d'Atiq Rahimi. L'héroïne parle de ses sentiments. L'une de mes étudiantes s'est exclamée : Ah non ! Vous ne devriez pas parler de ces choses-là en classe ». Malgré les risques, Niloufar refuse de renoncer à son combat. « C'est notre responsabilité, notre responsabilité en tant qu'être humain de rester mobilisé. Je sais qu'un jour, je risque de perdre ma vie à cause de ça, mais ça n'a pas importance. », s'exclame-t-elle. Le 15 août est désormais un jour férié en Afghanistan. Pour Niloufar et de nombreuses femmes afghanes, il s'agit d'un jour noir. ► À écouter aussi : Afghanistan : les femmes au destin brisé envisagent le pire
In onze Verre Geluiden-serie komen we vandaag uit in Afghanistan. Het land waar precies een jaar geleden de Taliban weer de macht grepen. En waar sindsdien de economie instortte, miljoenen mensen honger lijden en meisjes en vrouwen veel van hun rechten verloren. De toekomst is somber - al is er ook verzet. Niloufar Rahim, arts en bestuurslid van diaspora-vereniging Keihan leert ons de muziek van de revolutionaire artiesten van Afghanistan kennen. Presentatie: Tim de Wit Muziek uit de uitzending: Sarban | Bya Ki Barem Ba Mazar Ustad Abdul Wahab Madadi Sarzamine man, originele artiest: Dawood Sarkhosh, lyrics: ustad Amir jan Saboori Song: Qahramaan (champion), artiest: Aryana Sayeed
In Afghanistan zijn protesten zonder toestemming sinds dit weekend verboden. Toch zijn vrouwen die eerder de straat op gingen om voor hun rechten te demonstreren niet van plan te stoppen. Ook journalisten proberen hun werk te blijven doen. In podcast De Dag hun verhalen. Niloufar is directeur van een Afghaanse televisiezender en zij vertelt voor het eerst onder haar echte naam hoe ze vanuit Nederland een groep journalisten in Kabul aanstuurt om verslag te doen van de protesten en hoe de Taliban daar tegen optreden. Vrouwen en journalisten hebben steeds minder bewegingsvrijheid en het geweld neemt toe, zegt ze. Ook correspondent Aletta André hoort dat van de vrouwen met wie zij, vanuit haar standplaats India, contact heeft. Ze sprak onder meer de 30-jarige promovenda Farah. Ze weet hoe gevaarlijk het is om zich uit te spreken, maar ze is vastbesloten om dat toch te blijven doen. "Als we niet nu onze stem laten horen, wat vertellen we dan later aan onze kinderen?" Reageren? Mail dedag@radio1.nl
Dans ce 172 ème épisode, Marie Bongars te raconte la vie de Niloufar Ardalan, considérée comme la meilleure joueuse de football d'Iran, sa participation à une compétition internationale viendra mettre en lumière les restrictions des droits de ses concitoyennes…Bonne écoute!Si vous souhaitez nous contacter, n'hésitez pas à le faire…Par mail : unesacreepairedovaires@gmail.comPar instagram : https://www.instagram.com/unesacreepairedovaires/?hl=frSi vous souhaitez recevoir les transcriptions de ce podcast, vous pouvez me contacter via l'une de ces deux adresses.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Niloufar Nourbakhsh discusses her multifaceted career, which spans the gamut from being an internationally renowned composer, pianist, and teacher to wide-ranging advocacy for social change. Topics discussed include the connections between politics and music, the Zohra Orchestra (Afghanistan's first all-female orchestra), teaching composition vs. teaching piano, the New York Philharmonic Very Young Composers Program, music education in Iran, and the Iranian Female Composers Association. In the interview, Niloufar recommends several Iranian women composers who write fantastic piano music: Aftab Darvishi, Negin Zomorodi, Nina Barzegar, Homa Samiei, and Anoush Moazzeni.
Today we have a wonderful double guest episode. We have the honor to speak two quickly rising stars in the contemporary classical music world, Anahita Abbasi and Niloufar Iravani. We talk about their music, their lives in Iran as well as in America/Europe, and the Iranian Female Composers Association (IFCA). In our discussions we destroy myths Americans might have of Iran and bridge the distance between our two countries. Guests: Anahita Abbasi - http://www.anahitaabbasi.com/ ( http://www.anahitaabbasi.com/?fbclid=IwAR1KWmexjYRospm1kViCAbd31DeM33tLFhHMn6jEasi4saL2PVSUqEd22_A ) Niloufar Iravani - http://www.niloufariravani.com/ ( http://www.niloufariravani.com/?fbclid=IwAR1hKvc1V8buL0zKyA1OAwvuzCTVpS90K0kWP06KxpHGIjduzY6m_P8JT48 ) Hosts: William F. Montgomery - http://www.williammontgomerycomposer.com/ Hillary Lester - http://thehealthymusiciansite.com/ Music Excerpts: Why The Trees Were Murmuring - Anahita Abbasi. Performed by La Jolla Symphony. Conducted by Steven Schick. February 8th & 9th, 2020 ©2019 Seven, Fixed Media - Niloufar Iravani © 2017 Distorted Attitudes I (for flute, clarinet, piano, violin, cello, and contrabass) - Anahita Abbasi. ©2013 Energetic: Movement I of the Maze (for string quartet) - Niloufar Iravani © 2017 Disturbed Attitudes III: Scattered (for voice and tam-tam) - Anahita Abbasi ©2014 Links: http://schallfeldensemble.com/ ( http://schallfeldensemble.com/?fbclid=IwAR3mkFMh3q89Qj9SBMqFYnneUt7VlVlfiOcy80lQn91mCCHM4E50VjwvbNs ) If you want to find out more about the Iranian Female Composer Association, contact here: connect.ifca@gmail.com Support this podcast at — https://redcircle.com/sounds-of-the-world/donations
In episode 4 I speak with Niloufar Lamakan who is the genius behind the Instagram account fabulousinmy60s. As the name suggests she is single and in her 60s but has the vibrancy and energy of someone much younger. After chatting about some of her experiences in the dating game, which the salsa lovers out there might like in particular, we then chat about her unique idea for her book, which will be about the adventures of the main character, Fanny Fabulous... need I say anymore!?
Im Gespräch mit der Bloggerin, Mediencoach und Brandmanagerin Niloufar Behradi-Ohnacker erfahren wir in der zweiten Folge, wie Kreativität für mehr gesellschaftliche Chancengleichheit sorgen und wie wichtig kreatives Denken für den beruflichen Werdegang sein kann. Niloufar erzählt uns außerdem, wie sie als Mediencoach Schülerinnen und Schüler sowie Studierende und Lehrende dazu inspiriert, selbst mit digitalen Tools kreativ zu werden.
In this half Persian, half English episode, Arman and Niloufar from Talksio Podcast join PGP for a conversation about what life is like right now for the youth in Iran. Niloufar shares her own experiences. We discuss where people meet, where young...
In this half Persian, half English episode, Arman and Niloufar from Talksio Podcast join PGP for a conversation about what life is like right now for the youth in Iran. Niloufar shares her own experiences. We discuss where people meet, where young...
In this half Persian, half English episode, Arman and Niloufar from Talksio Podcast join PGP for a conversation about what life is like right now for the youth in Iran. Niloufar shares her own experiences. We discuss where people meet, where young people go out, dating life, "machin bazi", getting arrested for not wearing the hijab properly, the difference of life between the ultra wealthy and poor, and more.
Jennifer Williams interviews composer, pianist and educator Niloufar Nourbakhsh – winner of the 2nd Hildegard Competition, recipient of a 2019 Female Discovery Grant from OPERA America, and a founding member and co-director of the Iranian Female Composers Association. We discuss the unwilling hero in her new work, “We the Innumerable;” her new perspectives on the future of technology in music; current developments in Iran’s opera scene; and her vision for the future of the Iranian Female Composers Association. --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app
Football writer Niloufar Momeni is our guest on the newest podcast of Team Melli Talk. Niloufar has been covering football for over twenty years and she shares her input on the current state of Iranian football. This is a podcast you do not want to miss! www.womenforfootball.com
This week, we bring you a conversation on the latest dramatic political developments in Sudan with Elsadig Elsheikh, the Director of the Global Justice program at the Haas Institute at UC Berkeley Later in the program, award-winning multidisciplinary artist, and author Niloufar Talebi joins us to talk about her new opera Abraham in Flames, inspired by the stunning imagery of the late iconic Iranian poet Ahmad Shamlou's life and poetry.
This week, we bring you a conversation on the latest political developments in Sudan with Elsadig Elsheikh, the Director of the Global Justice program at the Haas Institute at the University of California, Berkeley. Later in the program, award-winning multidisciplinary artist and author Niloufar Talebi joins us to talk about her new opera Abraham in Flames, inspired by the stunning imagery of the late iconic Iranian poet Ahmad Shamlou. Image: https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Sudanese_protestors_chanting.jpg The post May 3, 2019: Sudan's Latest with Elsadig Elsheikh, Plus; A New Opera by Artist Niloufar Talebi appeared first on KPFA.
Yassin ist mit seinem Partner in Crime Audio88 schon seit 10 Jahren im Geschäft, doch mit seinem Debüt-Album ließ der Rapper sich bis ins Jahr 2019 Zeit. “YPSION” ist ein persönliches Album geworden, das viele musikalische Überraschungen beinhaltet. Während seine vergangenen Produktionen mit Audio88 überwiegend mit Zynismus und Häme punkteten, gewährt Yassin auf seinen Solowerk autobiografische Einblicke in sein Leben. "Wenn ich morgen Ciao sage, dann ist alles was ich sagen musste auf dem Album" Auch kritische Auseinandersetzungen mit der politischen Lage und zwischenmenschliche Beziehungen fanden ihren Platz auf dem Album. Sensible Themen, für die Yassin überraschend feinfühlige Worte fand. Yassin im Interview Was als Beauty-Talk über graue Haare startete, mündete schließlich in ein länger als geplantes und tiefgründiges Gespräch. Dabei redeten Niloufar und Yassin zum Beispiel über Frauen in der Fanbase und wie seine Musik auf sie wirkt. Zynismus und Humor waren weitere Themen und natürlich das Album und die Hintergründe über einzelne Songs von “Ypsilon”.
Dendemann ist zurück! Genau genommen war er nie wirklich weg. Neben einigen musikalischen Features trat er in den letzten Jahren vor allem mit seiner Tätigkeit als Kapellmeister im Neo Magazin Royal in Erscheinung. Was in den letzten 8 Jahren allerdings fehlte – und von seinen Fans sehnlichst erwartet wurde, war ein neues Album. Kommenden Freitag ist es nun endlich soweit: Dendemann, die “Galionsfigur der Verdrossenheit” (wie er sich selbst nennt) veröffentlicht sein neues Album “da nich für!”. Als Hauptproduzenten sicherte sich Dendemann die musikalische Unterstützung von The Krauts, sowie bei einzelnen Songs die von Kitschkrieg und Torky Tork. Im Gesamten ist Dendemann damit ein herausragendes und zeitgemäßes Album gelungen, das sich vom aktuellen Hip-Hop gleichermaßen abhebt, sowie auch einpasst. Das fehlende Puzzleteil sozusagen, das den Sound und die Attitude der ersten Hochzeit des deutschen Raps in den Neunzigerjahren in die Gegenwart hievt. Und das, ohne als Hörer das Gefühl zu haben, dass er es damit allen Recht machen wollte. Ganz im Gegenteil legt Dendemann mit diesem Album die Latte wieder einmal mindestens eine Kerbe höher und zeigt, wie man mit viel Wortwitz und Talent Geschichten erzählt. Storytelling at it’s best, grob eingeordnet in zwei Themengebiete: zum einen hört man gesellschaftskritische Songs, zum anderen geht es um Hip-Hop. Dendemann im Interview Niloufar und ich hatten das Vergnügen mit Dendemann über sein Album zu sprechen und wir freuen uns sehr, dass daraus ein (wie ich finde) sehr interessantes Gespräch wurde. Song für Song hangeln sich Dendemann und Niloufar durch sein Album und analysieren und interpretieren dabei jeden einzelnen Tune. Zudem verrät Dende uns, ob und wie er selbst den Dancefloor rockt, ob es eine “Dendefrau” gibt und erfahren, warum die Themenlosigkeit anderer Rapper ihm in die Karten spielt. Gute Unterhaltung.
Yassin ist mit seinem Partner in Crime Audio88 schon seit 10 Jahren im Geschäft, doch mit seinem Debüt-Album ließ der Rapper sich bis ins Jahr 2019 Zeit. “YPSION” ist ein persönliches Album geworden, das viele musikalische Überraschungen beinhaltet. Während seine vergangenen Produktionen mit Audio88 überwiegend mit Zynismus und Häme punkteten, gewährt Yassin auf seinen Solowerk autobiografische Einblicke in sein Leben. "Wenn ich morgen Ciao sage, dann ist alles was ich sagen musste auf dem Album" Auch kritische Auseinandersetzungen mit der politischen Lage und zwischenmenschliche Beziehungen fanden ihren Platz auf dem Album. Sensible Themen, für die Yassin überraschend feinfühlige Worte fand. Yassin im Interview Was als Beauty-Talk über graue Haare startete, mündete schließlich in ein länger als geplantes und tiefgründiges Gespräch. Dabei redeten Niloufar und Yassin zum Beispiel über Frauen in der Fanbase und wie seine Musik auf sie wirkt. Zynismus und Humor waren weitere Themen und natürlich das Album und die Hintergründe über einzelne Songs von “Ypsilon”.
Dendemann ist zurück! Genau genommen war er nie wirklich weg. Neben einigen musikalischen Features trat er in den letzten Jahren vor allem mit seiner Tätigkeit als Kapellmeister im Neo Magazin Royal in Erscheinung. Was in den letzten 8 Jahren allerdings fehlte – und von seinen Fans sehnlichst erwartet wurde, war ein neues Album. Kommenden Freitag ist es nun endlich soweit: Dendemann, die “Galionsfigur der Verdrossenheit” (wie er sich selbst nennt) veröffentlicht sein neues Album “da nich für!”. Als Hauptproduzenten sicherte sich Dendemann die musikalische Unterstützung von The Krauts, sowie bei einzelnen Songs die von Kitschkrieg und Torky Tork. Im Gesamten ist Dendemann damit ein herausragendes und zeitgemäßes Album gelungen, das sich vom aktuellen Hip-Hop gleichermaßen abhebt, sowie auch einpasst. Das fehlende Puzzleteil sozusagen, das den Sound und die Attitude der ersten Hochzeit des deutschen Raps in den Neunzigerjahren in die Gegenwart hievt. Und das, ohne als Hörer das Gefühl zu haben, dass er es damit allen Recht machen wollte. Ganz im Gegenteil legt Dendemann mit diesem Album die Latte wieder einmal mindestens eine Kerbe höher und zeigt, wie man mit viel Wortwitz und Talent Geschichten erzählt. Storytelling at it's best, grob eingeordnet in zwei Themengebiete: zum einen hört man gesellschaftskritische Songs, zum anderen geht es um Hip-Hop. Dendemann im Interview Niloufar und ich hatten das Vergnügen mit Dendemann über sein Album zu sprechen und wir freuen uns sehr, dass daraus ein (wie ich finde) sehr interessantes Gespräch wurde. Song für Song hangeln sich Dendemann und Niloufar durch sein Album und analysieren und interpretieren dabei jeden einzelnen Tune. Zudem verrät Dende uns, ob und wie er selbst den Dancefloor rockt, ob es eine “Dendefrau” gibt und erfahren, warum die Themenlosigkeit anderer Rapper ihm in die Karten spielt. Gute Unterhaltung.
Dendemann ist zurück! Genau genommen war er nie wirklich weg. Neben einigen musikalischen Features trat er in den letzten Jahren vor allem mit seiner Tätigkeit als Kapellmeister im Neo Magazin Royal in Erscheinung. Was in den letzten 8 Jahren allerdings fehlte – und von seinen Fans sehnlichst erwartet wurde, war ein neues Album. Kommenden Freitag ist es nun endlich soweit: Dendemann, die “Galionsfigur der Verdrossenheit” (wie er sich selbst nennt) veröffentlicht sein neues Album “da nich für!”. Als Hauptproduzenten sicherte sich Dendemann die musikalische Unterstützung von The Krauts, sowie bei einzelnen Songs die von Kitschkrieg und Torky Tork. Im Gesamten ist Dendemann damit ein herausragendes und zeitgemäßes Album gelungen, das sich vom aktuellen Hip-Hop gleichermaßen abhebt, sowie auch einpasst. Das fehlende Puzzleteil sozusagen, das den Sound und die Attitude der ersten Hochzeit des deutschen Raps in den Neunzigerjahren in die Gegenwart hievt. Und das, ohne als Hörer das Gefühl zu haben, dass er es damit allen Recht machen wollte. Ganz im Gegenteil legt Dendemann mit diesem Album die Latte wieder einmal mindestens eine Kerbe höher und zeigt, wie man mit viel Wortwitz und Talent Geschichten erzählt. Storytelling at it’s best, grob eingeordnet in zwei Themengebiete: zum einen hört man gesellschaftskritische Songs, zum anderen geht es um Hip-Hop. Dendemann im Interview Niloufar und ich hatten das Vergnügen mit Dendemann über sein Album zu sprechen und wir freuen uns sehr, dass daraus ein (wie ich finde) sehr interessantes Gespräch wurde. Song für Song hangeln sich Dendemann und Niloufar durch sein Album und analysieren und interpretieren dabei jeden einzelnen Tune. Zudem verrät Dende uns, ob und wie er selbst den Dancefloor rockt, ob es eine “Dendefrau” gibt und erfahren, warum die Themenlosigkeit anderer Rapper ihm in die Karten spielt. Gute Unterhaltung.
Yassin ist mit seinem Partner in Crime Audio88 schon seit 10 Jahren im Geschäft, doch mit seinem Debüt-Album ließ der Rapper sich bis ins Jahr 2019 Zeit. “YPSION” ist ein persönliches Album geworden, das viele musikalische Überraschungen beinhaltet. Während seine vergangenen Produktionen mit Audio88 überwiegend mit Zynismus und Häme punkteten, gewährt Yassin auf seinen Solowerk autobiografische Einblicke in sein Leben. "Wenn ich morgen Ciao sage, dann ist alles was ich sagen musste auf dem Album" Auch kritische Auseinandersetzungen mit der politischen Lage und zwischenmenschliche Beziehungen fanden ihren Platz auf dem Album. Sensible Themen, für die Yassin überraschend feinfühlige Worte fand. Yassin im Interview Was als Beauty-Talk über graue Haare startete, mündete schließlich in ein länger als geplantes und tiefgründiges Gespräch. Dabei redeten Niloufar und Yassin zum Beispiel über Frauen in der Fanbase und wie seine Musik auf sie wirkt. Zynismus und Humor waren weitere Themen und natürlich das Album und die Hintergründe über einzelne Songs von “Ypsilon”.
Yassin ist mit seinem Partner in Crime Audio88 schon seit 10 Jahren im Geschäft, doch mit seinem Debüt-Album ließ der Rapper sich bis ins Jahr 2019 Zeit. “YPSION” ist ein persönliches Album geworden, das viele musikalische Überraschungen beinhaltet. Während seine vergangenen Produktionen mit Audio88 überwiegend mit Zynismus und Häme punkteten, gewährt Yassin auf seinen Solowerk autobiografische Einblicke in sein Leben. "Wenn ich morgen Ciao sage, dann ist alles was ich sagen musste auf dem Album" Auch kritische Auseinandersetzungen mit der politischen Lage und zwischenmenschliche Beziehungen fanden ihren Platz auf dem Album. Sensible Themen, für die Yassin überraschend feinfühlige Worte fand. Yassin im Interview Was als Beauty-Talk über graue Haare startete, mündete schließlich in ein länger als geplantes und tiefgründiges Gespräch. Dabei redeten Niloufar und Yassin zum Beispiel über Frauen in der Fanbase und wie seine Musik auf sie wirkt. Zynismus und Humor waren weitere Themen und natürlich das Album und die Hintergründe über einzelne Songs von “Ypsilon”.
Dendemann ist zurück! Genau genommen war er nie wirklich weg. Neben einigen musikalischen Features trat er in den letzten Jahren vor allem mit seiner Tätigkeit als Kapellmeister im Neo Magazin Royal in Erscheinung. Was in den letzten 8 Jahren allerdings fehlte – und von seinen Fans sehnlichst erwartet wurde, war ein neues Album. Kommenden Freitag ist es nun endlich soweit: Dendemann, die “Galionsfigur der Verdrossenheit” (wie er sich selbst nennt) veröffentlicht sein neues Album “da nich für!”. Als Hauptproduzenten sicherte sich Dendemann die musikalische Unterstützung von The Krauts, sowie bei einzelnen Songs die von Kitschkrieg und Torky Tork. Im Gesamten ist Dendemann damit ein herausragendes und zeitgemäßes Album gelungen, das sich vom aktuellen Hip-Hop gleichermaßen abhebt, sowie auch einpasst. Das fehlende Puzzleteil sozusagen, das den Sound und die Attitude der ersten Hochzeit des deutschen Raps in den Neunzigerjahren in die Gegenwart hievt. Und das, ohne als Hörer das Gefühl zu haben, dass er es damit allen Recht machen wollte. Ganz im Gegenteil legt Dendemann mit diesem Album die Latte wieder einmal mindestens eine Kerbe höher und zeigt, wie man mit viel Wortwitz und Talent Geschichten erzählt. Storytelling at it’s best, grob eingeordnet in zwei Themengebiete: zum einen hört man gesellschaftskritische Songs, zum anderen geht es um Hip-Hop. Dendemann im Interview Niloufar und ich hatten das Vergnügen mit Dendemann über sein Album zu sprechen und wir freuen uns sehr, dass daraus ein (wie ich finde) sehr interessantes Gespräch wurde. Song für Song hangeln sich Dendemann und Niloufar durch sein Album und analysieren und interpretieren dabei jeden einzelnen Tune. Zudem verrät Dende uns, ob und wie er selbst den Dancefloor rockt, ob es eine “Dendefrau” gibt und erfahren, warum die Themenlosigkeit anderer Rapper ihm in die Karten spielt. Gute Unterhaltung.
Das musikalische Intro zum Wochenende um den 4. Advent und auch dem letzten vor Weihnachten, haben wir Niloufar von den Blogrebellen zu verdanken. Entschleunigung durch warme Frauenstimmen voller Jazz und Soul. So lässt sich das Tempo der Woche etwas runterdrehen. Niloufar: "Ein Mix, der in einer kalten Jahreszeit nur aus den tollsten, wärmsten Frauenstimmen besteht. Sie haben alle auf ihre Art eine Schwere, die mich immer wieder Anzieht. Das Wort “Schwerkraft” ist das schönste, was es im Deutschen gibt. Es beschreibt einen allgegenwärtigen Zustand, den wir Menschen täglich spüren aber deren Bedeutung für unser Gemütszustand ist uns selten klar. Zumindest bilde ich mir, dass es einen Gemütszustand “Schwerkraft” gibt."
Das musikalische Intro zum Wochenende um den 4. Advent und auch dem letzten vor Weihnachten, haben wir Niloufar von den Blogrebellen zu verdanken. Entschleunigung durch warme Frauenstimmen voller Jazz und Soul. So lässt sich das Tempo der Woche etwas runterdrehen. Niloufar: "Ein Mix, der in einer kalten Jahreszeit nur aus den tollsten, wärmsten Frauenstimmen besteht. Sie haben alle auf ihre Art eine Schwere, die mich immer wieder Anzieht. Das Wort “Schwerkraft” ist das schönste, was es im Deutschen gibt. Es beschreibt einen allgegenwärtigen Zustand, den wir Menschen täglich spüren aber deren Bedeutung für unser Gemütszustand ist uns selten klar. Zumindest bilde ich mir, dass es einen Gemütszustand “Schwerkraft” gibt."