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Retrouvez l'émission C'est pas tous les jours Dimanche animée par Guillaume Daret tous les dimanches 18h à 20 heures sur BFMTV.
durée : 00:55:08 - franceinfo: Les informés - Les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet.
Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête": L'épisode retrace les dernières heures tumultueuses de la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre, après un bras de fer avec le président Macron qui voulait initialement nommer Sébastien Lecornu.Les auditeurs et chroniqueurs commentent les implications politiques de cette nomination surprise, notamment les relations tendues entre Bayrou et les partis de droite et de gauche.La chronique de Fabien Lecoeuvre analyse les raisons qui ont poussé Macron à choisir Bayrou, en mettant en avant ses origines rurales, son parcours politique marqué par les échecs et son talent pour transformer ses défauts en qualités.Les invités, dont des auditeurs, expriment leur désespoir face à l'instabilité politique et leur manque de confiance envers la classe politique.L'émission évoque également les futurs enjeux du gouvernement Bayrou, notamment la composition du gouvernement et les relations avec les partis d'opposition.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
"Ce qui compte, c'est la méthode". Emmanuel Macron a reçu, ce mardi 10 décembre, l'ensemble des forces politiques s'inscrivant selon lui dans l'arc républicain. Tous, à l'exception du Rassemblement national et de la France insoumise. Au cours de ces entretiens qui se sont déroulés dans le jardin d'hiver du palais présidentiel, le président de la République a tenu à fixer une nouvelle méthode qui réponde à la situation politique inédite qui découle de la dissolution et de la censure du gouvernement de Michel Barnier.
Avec : Aurélie Trouvé, députée NFP-LFI de Seine-Saint-Denis. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Retrouvez l'intégralité de "Europe Soir Week-end" avec Pascale de La Tour du Pin et ses invités, sur Europe 1.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la nomination du futur Premier ministre.
Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête": L'émission revient sur les tractations en cours à l'Élysée pour la nomination du prochain Premier ministre, avec des tensions entre différents groupes politiques comme les Républicains et les macronistes.Les invités analysent les déclarations d'Emmanuel Macron lors de son allocution de la veille, où il a notamment rejeté la responsabilité de la situation politique sur les électeurs.Des témoignages d'auditeurs artisans et entrepreneurs évoquent les difficultés économiques qu'ils rencontrent, entre charges sociales élevées et manque de soutien du gouvernement.La possibilité d'organiser une émission spéciale avec des auditeurs pour recueillir leurs propositions et doléances est évoquée.Des informations sur les jeux d'alliances et de rivalités entre différents responsables politiques comme Gabriel Attal, Laurent Wauquiez ou Bruno Retailleau sont détaillées.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:20:24 - Journal de 12h30 - A la conférence pour le climat de l'ONU, un premier projet d'accord publié ce matin a été largement rejeté.
durée : 00:20:24 - Journal de 12h30 - A la conférence pour le climat de l'ONU, un premier projet d'accord publié ce matin a été largement rejeté.
durée : 00:14:56 - Journal de 7 h - Le nouveau Premier ministre, sous la menace des déficits, entame une semaine de tractations et selon les premiers signaux, il ne faut pas attendre de rupture économique.
durée : 00:14:56 - Journal de 7 h - Le nouveau Premier ministre, sous la menace des déficits, entame une semaine de tractations et selon les premiers signaux, il ne faut pas attendre de rupture économique.
Les jours se suivent et se ressemblent à Matignon, l'heure est aux consultations pour Michel Barnier. Toujours le même objectif : échapper à une motion censure dès le discours de politique générale et pour cela avoir un gouvernement aussi large que possible.
Il est apparu pour la première fois publiquement aux côtés d'Emmanuel Macron à l'occasion de la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques : Michel Barnier a endossé son costume de Premier ministre. Il lui faut maintenant former son gouvernement. L'attente sera probablement moins longue que pour sa nomination, mais les tractations sont toujours en cours. Qui peut rester ? Être nommé ? De quels partis ? Pour faire quoi ? Éclairage signé Thomas Despré et Marie-Bénédicte Allaire, du service politique de RTL.
durée : 00:14:57 - Journal de 18h - Pendant que des tractations sont en cours entre Washington, Jérusalem et le Caire pour parvenir à un accord de trêve, les populations civiles meurent jour après jour à Gaza. Des Palestiniens tués par les bombes, des Israéliens pris en otage depuis le 7 octobre et morts depuis.
durée : 00:14:57 - Journal de 18h - Pendant que des tractations sont en cours entre Washington, Jérusalem et le Caire pour parvenir à un accord de trêve, les populations civiles meurent jour après jour à Gaza. Des Palestiniens tués par les bombes, des Israéliens pris en otage depuis le 7 octobre et morts depuis.
Tractations, coulisses et trahisons... Retour sur l'une des séquences les plus inattendues des élections législatives : l'alliance d'Eric Ciotti avec le Rassemblement national.
Tous les matins à 7h50, Amélie Rosique prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Elle utilise toute son expérience de journaliste pour rendre les sujets les plus compliqués accessibles à tous. Un rendez-vous indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
Après la victoire surprise du Nouveau Front populaire aux législatives, l'heure est aux tractations. Emmanuel Macron s'est adressé aux Français dans une lettre dans laquelle il explique que "personne ne l'a emporté". Des propos qui ne passent pas dans le camps de l'opposition, pour qui le président "prend la démocratie en otage" en ne nommant pas un Premier ministre issu de la coalition victorieuse. Dans ses conditions, quelles alliances pour une majorité ?
durée : 00:12:15 - Journal de 7 h - A gauche mais aussi à droite, on tente de s'organiser. Edouard Philippe propose une coalition entre le bloc central, les LR et les sociaux-démocrates, les précisions dans ce journal.
durée : 00:12:15 - Journal de 7 h - A gauche mais aussi à droite, on tente de s'organiser. Edouard Philippe propose une coalition entre le bloc central, les LR et les sociaux-démocrates, les précisions dans ce journal.
À la Une de la presse, ce mercredi 10 juillet, les tractations en France pour le nouveau gouvernement. Des négociations regardées avec pessimisme à l'étranger. L'incarcération à Dubaï d'une ressortissante irlandaise, victime de violences domestiques présumées, pour voir tenté de se suicider. Les scandales en série du XV de France. Et la défaite des Bleus en demi-finale de l'Euro face à l'Espagne.
https://www.pauljorion.com France : Des gouvernements de coalition, ça s'est déjà vu États-Unis : Catastrophes climatiques et démocratiques
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.
Passée la surprise, le temps des tractations : la classe politique française entame des discussions pour bâtir une improbable majorité et désigner un Premier ministre au lendemain de législatives qui ont accouché d'une Assemblée fragmentée en trois blocs. Selon des données actualisées lundi, avec 193 sièges, le nouveau Front populaire (NFP, gauche) devient la première force politique, le camp présidentiel arrive deuxième avec 164 sièges et le Rassemblement national (RN) et ses alliés n'arrivent finalement que troisième position avec 143 sièges.Qui va gouverner la France ? La question reste entière et pas simple à résoudre. Dans cet épisode nous vous livrons l'analyse de l'adjointe au chef du service politique de l'AFP Sophie Deviller. A quelques jours du début des JO de Paris, nos voisins européens et au-delà observent aussi la France plus ou moins sereinement, comme en témoignent nos correspondants à Moscou, Berlin et Bruxelles.Dans cet épisode: Hervé Rouach, chef du service politique, Jérémy Marot, adjoint au chef du service politique, Raphaël Hermano, rédacteur en chef France, Sophie Huet, rédactrice en chef centrale, Toni Cerdà, journaliste au pôle international, Sophie Deviller, adjointe au chef du service politique de l'AFP, Gabriel Bourovitch, journaliste au service politique, Catherine Triomphe, envoyée spéciale à Moscou, Yacine Le Forestier directeur du bureau de l'AFP à Berlin, Emma Charlton correspondante de l'AFP à Bruxelles.Réalisation : Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferSur le terrain : Viken Kantarci Marseille, Emilie Delwarde et Arnaud Richard à Paris.Un épisode préparé pour vous dans la nuit avec Sarah Miansoni et Boubacar Diallo.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Le journal RTL avec Rachel Saadoddine du 08 juillet 2024.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.
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Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des stratégies misent en place pour contre le RN au second tour des Législatives.
Les candidats aux Législatives ont jusqu'à 18h pour se déclarer en préfecture. Dimanche soir, on comptait plus de 300 triangulaires possibles dans le pays à l'issue du premier tour. A l'arrivée, combien y en aura-t-il vraiment ? On en parle avec Julien Fautrat et Arthur Bellier du service politique de RTL.
Ecoutez Le journal RTL avec Agnès Bonfillon du 01 juillet 2024.
durée : 00:20:31 - Journal de 12h30 - Le parti Les Républicains ne cesse de recevoir des appels du pied et des appels à la raison de la part du Rassemblement national et de Renaissance, pour qui le soutien de la droite est capital. Éric Ciotti, le chef du parti, se positionne finalement pour une alliance avec le RN. - invités : Vincent Tiberj Sociologue, professeur d'université à Sciences Po Bordeaux
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
durée : 00:20:31 - Journal de 12h30 - Le parti Les Républicains ne cesse de recevoir des appels du pied et des appels à la raison de la part du Rassemblement national et de Renaissance, pour qui le soutien de la droite est capital. Éric Ciotti, le chef du parti, se positionne finalement pour une alliance avec le RN. - invités : Vincent Tiberj Sociologue, professeur d'université à Sciences Po Bordeaux
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
La gauche se met en ordre de marche. Les ex-partenaires de la Nupes se sont mis d'accord pour des candidatures uniques sous l'appellation d'un "Nouveau Front populaire", mais tous les détails restent encore à régler.
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Rencontres, alliances et candidatures. Dès l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, un compte-à-rebours s'est enclenché. À dix-neuf jours du premier tour des élections législatives anticipées, chacun s'organise, dans une certaine urgence, et affine sa stratégie. Objectif : obtenir la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 289 députés élus. Le moyen pour y parvenir ? S'allier. Résumé des dernières alliances et tractions en cours avec Marie-Pierre Haddad, journaliste à RTL. "Deux minutes pour comprendre" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
À peine l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale digérée, s'ouvre déjà la campagne des élections législatives, pour un scrutin qui aura lieu les dimanche 30 juin et 7 juillet. Les Français sont donc appelés à voter dans moins de trois semaines maintenant. Ça va venir vite, très vite, et en premier lieu pour les candidats. Explications signées Arthur Bellier pour RTL. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 10 juin 2024
À peine l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale digérée, s'ouvre déjà la campagne des élections législatives, pour un scrutin qui aura lieu les dimanche 30 juin et 7 juillet. Les Français sont donc appelés à voter dans moins de trois semaines maintenant. Ça va venir vite, très vite, et en premier lieu pour les candidats. Explications signées Arthur Bellier pour RTL.
C'est un séisme politique dans la nation Arc-en-ciel… « Pour la première fois depuis la fin de l'apartheid, depuis 1994, l'ANC, le parti de Nelson Mandela, va devoir s'allier avec ses principaux rivaux pour se maintenir au pouvoir, sur fond de montée du populisme dans le pays » : constat dressé par Le Monde Afrique.En effet, à l'issue des élections législatives, l'ANC est en net recul. Le parti du président Ramaphosa « perd 71 sièges au Parlement », s'exclame The Citizen à Johannesburg, « soit 17% de ses voix par rapport au scrutin de 2019 », avec 159 sièges contre 230.L'Alliance démocratique, le DA, passe de 84 à 87 députés. Et le parti MK de l'ancien président Jacob Zuma « a surpris la nation entière avec 58 sièges. »« Que cela vous plaise ou non, le peuple a parlé ! », a lancé dimanche soir le président Ramaphosa. C'est ce que rapporte notamment le Daily Sun. Cyril Ramaphosa qui « a exhorté les partis à accepter les résultats des élections. »L'ANC diviséeAlors faute de majorité, c'est une coalition de partis qui va gouverner le pays. « Les portes de la coalition sont ouvertes » désormais, pointe le Mail & Guardian. « Le secrétaire général de l'ANC, Fikile Mbalula, et le chef de l'Alliance démocratique, John Steenhuisen, ont annoncé que des discussions allaient s'ouvrir », relève le journal qui précise que « l'ANC a d'ores et déjà fait savoir qu'elle n'accepterait aucune proposition qui poserait la mise à l'écart de Ramaphosa comme condition préalable, affirmant qu'il s'agissait d'une “zone interdite“ et que les parties souhaitant négocier avec cette condition préalable devraient "l'oublier". »Au sein de l'ANC, les avis sont partagés, pointe encore le Mail & Guardian : « il existe un puissant lobby qui prône une coalition avec l'EFF de Julius Malema, ex-figure de l'ANC, qui a recueilli un peu plus de 9% des voix, mais il en existe un autre, qui inclut Ramaphosa et Mbalula, et qui est favorable à la formation d'un gouvernement d'unité nationale », avec une alliance sur sa droite, avec l'Alliance démocratique.Un accord déjà négocié ?D'après le Sunday Independant, autre quotidien sud-africain, un accord aurait déjà été négocié entre l'ANC et l'Alliance démocratique. Un accord qui stipulerait que « l'Alliance démocratique prendrait la tête du Parlement, qui assure la fonction de contrôle de l'Exécutif, tandis que l'ANC, de son côté, dirigerait l'exécutif et occuperait tous les postes ministériels. »Un projet dénoncé par le site IOL, Independant On line. « Il serait inouï, écrit-il, que l'ANC, "mouvement de libération" entre dans une coalition avec la principale "opposition", dont la partie historique est gravée dans l'ère de l'apartheid et dont il s'oppose avec véhémence aux politiques. L'Alliance démocratique n'a jamais changé et n'a jamais prétendu vouloir changer. Sa politique est claire : protéger les intérêts des Blancs et du capital blanc. (…) Aujourd'hui, dénonce encore IOL, nous assistons à un moment décisif, celui du retour des Blancs au pouvoir via des accords détournés, conclus par des politiciens et forcés par des entreprises ou des "investisseurs" blancs. »Exercice d'équilibrisme à haut risque…En tout cas, constate Le Monde Afrique, « l'ANC n'a désormais plus d'autre choix que de s'allier avec un ou plusieurs de ses principaux concurrents. Un exercice d'équilibrisme à haut risque pour la jeune démocratie sud-africaine qui vit le crépuscule de la domination d'un parti. Face à ce défi, l'Afrique du Sud est à la croisée des chemins, pointe le journal. L'ANC pourrait faire alliance avec l'EFF, formation d'extrême-gauche, et/ou le MK de Jacob Zuma, qui souhaitent tous les deux réviser la Constitution pour permettre notamment une confiscation de certaines terres par l'État sans compensation. Ou bien le parti pourrait s'allier (donc) avec son principal opposant, l'Alliance démocratique, qui plaide pour des réformes libérales et passe pour un modèle de gouvernance au niveau local. Deux scénarios se dessinent, souligne l'analyste politique Mike Law, interrogé par Le Monde Afrique. D'un côté, affirme-t-il, un gouvernement aux tendances populistes, de l'autre, une relation plus stable entre deux partis centristes. Les prochaines semaines seront cruciales. La première perspective affole les marchés, quand la seconde a tout pour les rassurer. Et si l'option d'une coalition avec l'Alliance démocratique, éventuellement élargie à de plus petits partis, semble emporter la préférence des plus hauts dirigeants de l'ANC, une profonde ligne de fracture divise le mouvement alors que chacun pose ses conditions sur la table. »
C'est un séisme politique dans la nation Arc-en-ciel… « Pour la première fois depuis la fin de l'apartheid, depuis 1994, l'ANC, le parti de Nelson Mandela, va devoir s'allier avec ses principaux rivaux pour se maintenir au pouvoir, sur fond de montée du populisme dans le pays » : constat dressé par Le Monde Afrique.En effet, à l'issue des élections législatives, l'ANC est en net recul. Le parti du président Ramaphosa « perd 71 sièges au Parlement », s'exclame The Citizen à Johannesburg, « soit 17% de ses voix par rapport au scrutin de 2019 », avec 159 sièges contre 230.L'Alliance démocratique, le DA, passe de 84 à 87 députés. Et le parti MK de l'ancien président Jacob Zuma « a surpris la nation entière avec 58 sièges. »« Que cela vous plaise ou non, le peuple a parlé ! », a lancé dimanche soir le président Ramaphosa. C'est ce que rapporte notamment le Daily Sun. Cyril Ramaphosa qui « a exhorté les partis à accepter les résultats des élections. »L'ANC diviséeAlors faute de majorité, c'est une coalition de partis qui va gouverner le pays. « Les portes de la coalition sont ouvertes » désormais, pointe le Mail & Guardian. « Le secrétaire général de l'ANC, Fikile Mbalula, et le chef de l'Alliance démocratique, John Steenhuisen, ont annoncé que des discussions allaient s'ouvrir », relève le journal qui précise que « l'ANC a d'ores et déjà fait savoir qu'elle n'accepterait aucune proposition qui poserait la mise à l'écart de Ramaphosa comme condition préalable, affirmant qu'il s'agissait d'une “zone interdite“ et que les parties souhaitant négocier avec cette condition préalable devraient "l'oublier". »Au sein de l'ANC, les avis sont partagés, pointe encore le Mail & Guardian : « il existe un puissant lobby qui prône une coalition avec l'EFF de Julius Malema, ex-figure de l'ANC, qui a recueilli un peu plus de 9% des voix, mais il en existe un autre, qui inclut Ramaphosa et Mbalula, et qui est favorable à la formation d'un gouvernement d'unité nationale », avec une alliance sur sa droite, avec l'Alliance démocratique.Un accord déjà négocié ?D'après le Sunday Independant, autre quotidien sud-africain, un accord aurait déjà été négocié entre l'ANC et l'Alliance démocratique. Un accord qui stipulerait que « l'Alliance démocratique prendrait la tête du Parlement, qui assure la fonction de contrôle de l'Exécutif, tandis que l'ANC, de son côté, dirigerait l'exécutif et occuperait tous les postes ministériels. »Un projet dénoncé par le site IOL, Independant On line. « Il serait inouï, écrit-il, que l'ANC, "mouvement de libération" entre dans une coalition avec la principale "opposition", dont la partie historique est gravée dans l'ère de l'apartheid et dont il s'oppose avec véhémence aux politiques. L'Alliance démocratique n'a jamais changé et n'a jamais prétendu vouloir changer. Sa politique est claire : protéger les intérêts des Blancs et du capital blanc. (…) Aujourd'hui, dénonce encore IOL, nous assistons à un moment décisif, celui du retour des Blancs au pouvoir via des accords détournés, conclus par des politiciens et forcés par des entreprises ou des "investisseurs" blancs. »Exercice d'équilibrisme à haut risque…En tout cas, constate Le Monde Afrique, « l'ANC n'a désormais plus d'autre choix que de s'allier avec un ou plusieurs de ses principaux concurrents. Un exercice d'équilibrisme à haut risque pour la jeune démocratie sud-africaine qui vit le crépuscule de la domination d'un parti. Face à ce défi, l'Afrique du Sud est à la croisée des chemins, pointe le journal. L'ANC pourrait faire alliance avec l'EFF, formation d'extrême-gauche, et/ou le MK de Jacob Zuma, qui souhaitent tous les deux réviser la Constitution pour permettre notamment une confiscation de certaines terres par l'État sans compensation. Ou bien le parti pourrait s'allier (donc) avec son principal opposant, l'Alliance démocratique, qui plaide pour des réformes libérales et passe pour un modèle de gouvernance au niveau local. Deux scénarios se dessinent, souligne l'analyste politique Mike Law, interrogé par Le Monde Afrique. D'un côté, affirme-t-il, un gouvernement aux tendances populistes, de l'autre, une relation plus stable entre deux partis centristes. Les prochaines semaines seront cruciales. La première perspective affole les marchés, quand la seconde a tout pour les rassurer. Et si l'option d'une coalition avec l'Alliance démocratique, éventuellement élargie à de plus petits partis, semble emporter la préférence des plus hauts dirigeants de l'ANC, une profonde ligne de fracture divise le mouvement alors que chacun pose ses conditions sur la table. »
durée : 00:04:39 - Micro européen - par : Marie-Christine VALLET - Comment l'Italie aborde-t-elle les élections européennes ? Daniele Zappala, journaliste correspondant à Paris du quotidien "Avvenire", évoque les spéculations sur l'hypothèse de tentatives de dialogues entre d'une part le parti Fratelli d'Italia de Giorgia Melloni pour le groupe européen "Conservateurs et réformistes européens", et d'autre part pour le groupe "Identité et Démocratie", le Rassemblement national.
Les partis politiques poursuivent leurs discussions pour désigner leurs représentants au sein du Conseil présidentiel de transition, instance chargée de prendre la suite d'Ariel Henry, démissionnaire, et de mener le pays à des élections libres et démocratiques. La presse fait état de négociations parfois laborieuses. « Ce collège est un pas vers une résolution partielle de la crise en Haïti, estime Gédéon Jean, directeur exécutif du CARDH, car cette formule reflète les grandes tendances politiques issues des propositions reçues par la Caricom. » Le défenseur des droits de l'homme dispose d'informations laissant croire que les représentants de chaque parti ou mouvement seront bien désignés dans les délais impartis, c'est-à-dire d'ici à ce soir.La presse rappelle elle aussi qu'il faudra d'autres mesures pour améliorer la situation. Le National écrit par exemple « L'opposition, elle, s'échine désormais à trouver des représentants pour un Conseil présidentiel encore improbable. La Communauté internationale se perd dans des rencontres interminables. La seule certitude se trouve désormais dans l'incertain. Car, ceux qui savent faire parler la poudre, ils ne s'arrêteront pas de si tôt. » Gédéon Jean confirme « le chaos se poursuit : les institutions publiques ne fonctionnent pas, les produits de première nécessité et médicaments sont rares, de nombreux hôpitaux restent fermés et le pays n'est pas dirigé puisque le Premier ministre et plusieurs ministres sont à l'étranger en ce moment. » Quel rôle pour les gangs ?La capitale vit toujours sous le joug des groupes criminels dont certains ont rejeté l'accord trouvé au début de la semaine sous l'égide de la Caricom. « Les gangs, via Jimmy Chérizier, le porte-parole du G9 et de la coalition Viv Ansanm, étaient clairs et voulaient participer à une solution politique, rappelle le directeur exécutif du CARDH. Nous pensons que c'est très dangereux et que la Communauté internationale comme les acteurs locaux doivent faire très attention dans ce contexte où les gangs émergent comme une force. Va-t-on les accepter comme un acteur ou va-t-on donner les moyens nécessaires à l'État pour les contenir ? C'est une question de choix. » Gédéon Jean estime qu'il faut mettre en place une force capable de faire face aux gangs. Quel plan B après la suspension de la mission multinationale kenyane ?L'annonce de Nairobi « nous a surpris, reconnaît Gédéon Jean, puisqu'ils étaient dans un processus assez intéressant malgré un problème de financement. Cela complique encore la situation. Peut-être faut-il une solution intermédiaire ? » Solution évoquée par l'ancien ambassadeur canadien Henri-Paul Normandin, il rappelle qu'après « la chute du régime Aristide, une force intérimaire de Marines américains, de Canadiens et de Français a pavé la voie à la mission des Nations unies. » Le directeur exécutif du CARDH approuve, rappelant que les Haïtiens ont un besoin urgent d'aide pour rétablir la sécurité à Port-au-Prince.
durée : 00:55:06 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Jean-François Achilli et Bérengère Bonte, les informés débattent de l'actualité du mercredi 10 janvier
C'est donc en tant que premier ministre que Gabriel Attal a dîné, le 9 janvier, avec Emmanuel Macron à l'Élysée, quelques heures seulement après sa nomination. Le conseil des ministres, prévu ce 10 janvier, est annulé en attendant l'annonce de la composition du nouveau gouvernement. Quand le nouveau gouvernement sera-t-il formé ? Cela ne devrait pas être long. Emmanuel Macron et Gabriel Attal ont commencé à travailler dessus. C'est le président, dans les faits, qui dessine l'équipe et son premier ministre peut influencer les choix et poser un ou deux veto.
Gabriel Attal a été nommé ce mardi 9 janvier Premier ministre et devient à 34 ans le plus jeune chef du gouvernement de l'histoire de la République française. Le ministre de l'Éducation nationale, qui a connu une ascension spectaculaire, succède à Elisabeth Borne, contrainte lundi à la démission. Populaire, fin politique et fidèle parmi les fidèles, Gabriel Attal semble cocher toutes les cases pour le chef de l'État. L'analyse de Virginie Martin, politologue et professeure-chercheuse à Kedge Business School.
À en croire les spéculations, Emmanuel Macron pourrait se laisser tenter par un remaniement, afin de marquer le début d'une nouvelle dynamique pour son quinquennat. Plusieurs possibilités s'offrent à lui. Le remaniement pourrait-il concerner Élisabeth Borne ? Pour quand serait-ce le changement ? Qui pourrait prendre la place de la première Ministre ? Explications d'Arthur Bellier, journaliste politique à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
À en croire les spéculations, Emmanuel Macron pourrait se laisser tenter par un remaniement, afin de marquer le début d'une nouvelle dynamique pour son quinquennat. Plusieurs possibilités s'offrent à lui. Le remaniement pourrait-il concerner Élisabeth Borne ? Pour quand serait-ce le changement ? Qui pourrait prendre la place de la première Ministre ? Explications d'Arthur Bellier, journaliste politique à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
À en croire les spéculations, Emmanuel Macron pourrait se laisser tenter par un remaniement, afin de marquer le début d'une nouvelle dynamique pour son quinquennat. Plusieurs possibilités s'offrent à lui. Le remaniement pourrait-il concerner Élisabeth Borne ? Pour quand serait-ce le changement ? Qui pourrait prendre la place de la première Ministre ? Explications d'Arthur Bellier, journaliste politique à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
Nous sommes désormais dans le contexte d'une majorité relative fracturée, au bord du divorce, où les alliés se rebiffent pour peser davantage.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Après la motion de rejet votée par les députés, les tractations politiques autour du projet de loi immigration entrent dans le vif. Le salut passe par la Commission mixte paritaire (CMP) qui réunira lundi 18 décembre sept députés et sept sénateurs pour s'entendre sur un texte soumis au vote des deux Assemblées. Le rapport de force joue en la faveur de la droite et du centre et c'est notamment pour cette raison que les députés LR ont voté en faveur de la motion de rejet. Entretien avec Anne-Laure Blin, députée Les Républicains de la 3ᵉ circonscription de Maine-et-Loire et porte-parole du groupe LR à l'Assemblée nationale.
durée : 00:23:01 - La COP28 de Dubaï joue les prolongations : Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mardi 12 décembre à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie.
A moins d'un mois et demi avant le référendum sur une voix indigène au Parlement, la campagne du oui profite de ce week-end pour intensifier ses efforts dans le pays. Objectif, impliquer les électeurs et convaincre les indécis. De son côté, la campagne du non prévoit un événement à grande échelle dans les semaines à venir.
A moins d'un mois et demi avant le référendum sur une voix indigène au Parlement, la campagne du oui profite de ce week-end pour intensifier ses efforts dans le pays. Objectif, impliquer les électeurs et convaincre les indécis. De son côté, la campagne du non prévoit un événement à grande échelle dans les semaines à venir.
durée : 00:15:05 - Journal de 8 h - Le Parti populaire a remporté hier soir les élections législatives anticipées mais les résultats sont bien plus serrés que prévus. Sans majorité absolue ni d'un côté, ni de l'autre, la course aux alliances va commencer.
durée : 00:15:05 - Journal de 8 h - Le Parti populaire a remporté hier soir les élections législatives anticipées mais les résultats sont bien plus serrés que prévus. Sans majorité absolue ni d'un côté, ni de l'autre, la course aux alliances va commencer.
durée : 00:15:05 - Journal de 8 h - Le Parti populaire a remporté hier soir les élections législatives anticipées mais les résultats sont bien plus serrés que prévus. Sans majorité absolue ni d'un côté, ni de l'autre, la course aux alliances va commencer.
À la Une de ce journal de l'Afrique, la libération du journaliste français Olivier Dubois, détenu depuis 711 jours au Mali. Il a atterri à Niamey, ce lundi. Le sourire aux lèvres, il a remercié le gouvernement français et les autorités nigériennes. Décryptage avec nos invités en plateau : Serge Daniel, journaliste correspondant au Mali pour RFI et France 24, Wassim Nasr, spécialiste des réseaux jihadistes à France 24 et Arnaud Froger, responsable du bureau Afrique de RSF.
durée : 00:09:54 - Journal de 18h - La réforme des retraites : le gouvernement veut aller vite tout en évitant le 49.3. Que vont faire les partis d'opposition ? De leur côté les syndicats appellent à durcir le mouvement de grève avec une nouvelle journée de mobilisation mercredi.
Quel avenir politique pour l'Irak ? Après plus d'un an de paralysie, un nouveau Premier ministre a été désigné pour former un gouvernement. Il s'agit de Mohammed Chia al-Soudani, un politicien chiite réputé proche de l'Iran. Il lui reste une quinzaine de jours pour annoncer son gouvernement. Peut-il redonner espoir aux Irakiens ? Marie-Charlotte Roupie, correspondante de France 24, est allée à la rencontre d'habitants de Bagdad et d'analystes politiques pour connaître leurs attentes.
durée : 00:58:02 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Le 21 octobre 2022, la leader du parti post-fasciste "Fratelli d'Italia", victorieuse aux élections parlementaires du 25 septembre 2022, Giorgia Meloni, devrait être nommée présidente du Conseil italien par la coalition de droite. - invités : Laurent Perpigna Iban Journaliste indépendant; Marie-Anne Matard-Bonucci professeure d'histoire contemporaine à l'université Paris 8; Anna Bonalume Journaliste au magazine italien L'Espresso; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
Le président Emmanuel Macron est silencieux mais il s'active en consultant les chefs de partis politiques pour trouver des voix de passage et tenter d'éviter le blocage et l'immobilisme. Roselyne Febvre en parle avec Pierre Jacquemain de la revue Regards et Bruno Jeudy de Paris Match.
À la une de la presse, ce mercredi 22 juin, les tractations, en France, pour résoudre le blocage politique à l'Assemblée, après le séisme des législatives. Une scission, en Italie, au sein du Mouvement 5 Étoiles, sur fond de divergences autour du soutien apporté à l'Ukraine. Le retour en grâce de MBS, le prince-héritier d'Arabie saoudite. Et le "non" du Qatar au sexe hors mariage pendant la Coupe du monde de football.
Chaque jour à 7h25 sur RMC, Charles Magnien décrypte la communication politique aux côtés d'Apolline Malherbe. Chaque jour, Apolline de Malherbe accompagnée de Charles Magnien, donne rendez-vous aux auditeurs RMC et téléspectateurs de RMC Story pour une matinale d'information, de débat et d'opinion unique. Avec une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Les auditeurs et téléspectateurs sont plus que jamais au cœur des échanges. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Story. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h).
Les tractations en vue des élections législatives, prévues en juin, battent déjà leur plein. À gauche, à droite et dans le camp de la majorité, l'heure est aux négociations pour tenter de trouver la formule gagnante. Bruno Jeudy, rédacteur en chef politique à Paris Match, et Pierre Jacquemain, rédacteur en chef de la revue Regards, en parlent autour de Marc Perelman.
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - A suivre ce soir, sur Twitch comme à la télévision : le grand débat de l'entre deux tours. De l'ordre des thèmes abordés aux plans de coupes : tout a été prévu et négocié.
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - A suivre ce soir, sur Twitch comme à la télévision : le grand débat de l'entre deux tours. De l'ordre des thèmes abordés aux plans de coupes : tout a été prévu et négocié.
On défait le débat de l'entre deux tours... Température d'ambiance, plans de coupe et hauteur des chaises. On va vous faire pénétrer dans les coulisses des tractations sans fin des candidats. Au menu également, le VAR, l'assistance vidéo devait mettre fin aux polémiques arbitrales dans le foot, c'est rappé... Et puis révisez votre code : un nouveau panneau débarque sur les routes de France. Ecoutez On défait le monde avec Marion Calais du 18 avril 2022
A l'approche des Présidentielles 2022, découvrez La Grosse Élection, l'émission qui porte un regard critique, piquant et acerbe sur l'actualité de la campagne !La revue de presse du Monde Moderne, tous les matins à 9h : https://www.twitch.tv/lemondemoderne Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Direction la Bourgogne Franche-Comté où les Verts sont verts de rage. Ils ont failli lâcher la présidente sortante Marie-Guite Dufay. Après avoir rallié la socialiste, ils étaient persuadés que la fusion se ferait à la proportionnelle de leur résultat et qu'ils obtiendraient une quinzaine de places éligibles. Mais Marie-Guite Dufay ne leur en a accordé que 8. En Corse, les indépendantistes restent indépendants. Sur les quatre listes qualifiés pour le second tour des élections territoriales de l'île de Beauté, trois sont nationalistes. En ne faisant qu'une elles pourraient comptabiliser au moins 50% des suffrages face à la liste de droite unie de Laurent Marcangeli. Mais pas d'alliance à l'horizon... La phrase du jour est signée Édouard Philippe. Pour l'ex-premier ministre, "tout le monde savait qu'organiser les élections en ce moment, ce serait un désastre". "C'est facile de refaire le match", regrette un cadre d'En Marche.
La médiation suit son cours entre l'État du Michigan et la pétrolière Enbridge dans le dossier de la fermeture possible de la ligne 5 du pipeline. Ottawa a décidé de jouer la carte juridique, en présentant mardi un mémoire devant une cour fédérale américaine pour empêcher cette fermeture, laquelle se traduirait par la perte possible de milliers d'emplois au Canada. Entre-temps, la gouverneure du Michigan menace de saisir les profits d'Enbridge provenant de l'opération de la canalisation. On fait le point avec Carol Montreuil, vice-président de l'Association canadienne des carburants. Est-ce que le gouvernement Trudeau aurait dû agir plus tôt devant les tribunaux dans le dossier de la fermeture possible du pipeline de la ligne 5? Le projet de loi C-10 qui vise à assujettir les YouTube et Facebook de ce monde aux mêmes règles que les diffuseurs traditionnels favorise-t-il la censure, comme le disent les conservateurs? On en débat avec les observateurs politiques Sheila Copps (LIB), Marc-André Leclerc (PCC), Farouk Karim (NPD) et Richard Nadeau (BQ). Au tour du Manitoba d'annoncer qu'il cesse d'administrer le vaccin d'AstraZeneca en première dose. La province emboîte le pas à l'Alberta, à la Saskatchewan et à l'Ontario qui ont fait la même annonce plus tôt cette semaine. Esther Bégin discute de l'impact de ces décisions sur la campagne de vaccination avec la docteure Maryse Guay, professeure titulaire à l'Université de Sherbrooke au département des Sciences et de la Santé communautaire.
Quel sera le nom du maire de Marseille ? Réponse samedi, après un fol suspense. Car dans la cité phocéenne, les élections municipales, dont le scrutin était dimanche dernier, jouent les prolongations.L’écologiste Michèle Rubirola est arrivée largement en tête au second tour, mais elle ne dispose que d’une majorité relative. Le Printemps marseillais dispose de 42 conseillers municipaux (sur 101 élus), alors qu’il faut au moins 51 élus pour jouir de la majorité absolue.Résultat : il va falloir négocier et faire des alliances pour arracher le siège de maire lors d’un « troisième tour » décisif samedi matin, lors d’un conseil municipal.Les tractations et manœuvres se font et défont jusqu’à la dernière minute. L’ancienne sénatrice socialiste Samia Ghali, qui, avec huit conseillers municipaux, joue le rôle d’arbitre, réclame ce vendredi matin le poste de première adjointe à Michèle Rubirola.Tractations jusqu'à la dernière minuteJeudi après-midi, c’est à droite qu’ont fusé les annonces et déclarations tonitruantes. Martine Vassal, candidate Les Républicains, a annoncé renoncer à la succession de Jean-Claude Gaudin au profit de Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône.Quelques heures après, un deuxième élu LR, Lionel Royer-Perreaut, annonçait sa candidature dissidente LR, affirmant avoir connaissance d'« ententes en cours avec le Front national » de la part du camp de Guy Tessier.Les neuf conseillers municipaux Rassemblement national pourraient-ils dynamiter l’élection ? De quel poids Bruno Gilles (trois sièges), le candidat divers droite, dispose-t-il ?Dans Minute Papillon !, notre podcast d’actualité quotidien, on analyse aujourd’hui les hypothèses de ce scénario fou avec le chercheur en sciences politiques Nicolas Maïsetti et l’un des correspondants de 20 Minutes à Marseille, Adrien Max, qui a suivi la campagne.Un podcast de Jean Saint-Marc, journaliste 20 Minutes à Marseille. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
durée : 00:04:03 - Le Billet politique - par : Frédéric Says - Fusion ou pas ? Les listes définitives doivent être déposées en préfecture avant demain à 18 heures.
durée : 00:02:27 - Le brief politique - À quelques jours du premier tour des municipales, les grandes manœuvres ont démarré pour préparer les alliances de second tour, notamment à Paris et Marseille.
Sommaire : Le CHU de Rouen victime de ransomware Petite révolution dans le monde de la formation professionnelle Tractations entre HP et Xerox Le chiffre du marché : 3,7 millions d’euros Pratique : comment se protéger quand on utilise un Wi-Fi public ?
durée : 00:29:02 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - par : Olivier Ciechelski - En cet été 1972, Reykjavik doit être le théâtre d’un épisode majeur de la Guerre Froide : le Championnat du Monde des échecs qui opposera le Soviétique Boris Spassky à l’Américain Bobby Fischer. - réalisation : Vincent Decque
durée : 00:29:02 - Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties - par : Olivier Ciechelski - En cet été 1972, Reykjavik doit être le théâtre d’un épisode majeur de la Guerre Froide : le Championnat du Monde des échecs qui opposera le Soviétique Boris Spassky à l’Américain Bobby Fischer. - réalisation : Vincent Decque
durée : 00:14:53 - Journal de 12h30 - Les tractations sur le partage des postes à pourvoir à la tête des principales institutions européennes se poursuivent, ce matin. Et après une nuit blanche infructueuse il semble qu'un compromis soit sur la table, même si la situation reste encore très volatile.