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Au cours de ce nouveau format, je t'embarque avec moi dans l'aventure Shimla. Comme un vocal que j'enverrai à un.e ami.e, je te partage en toute authenticité, de manière brute, mes ressentis et l'avancée du périple. Dans cet épisode, je te parle de : mes ressentis sur l'Arabie saoudite mon passage à la COP28 l'arrivée à Oman comment on rencontre des familles localesla cohabitation avec Johan. J'espère que cet épisode te fera voyager.Belle écoute ! ☀️ ---
durée : 00:04:00 - Le Biais d'Esther Duflo - par : Esther Duflo - Pour évaluer la COP28, trois grands segments sont jaugés : la mitigation, l'adaptation et la compensation. Avec des "progrès" par endroit, un "manque de sérieux et de bonne volonté" à d'autres, puis "des promesses, mais il faut se mettre au travail".
durée : 02:00:23 - Les Matins du samedi - par : Quentin Lafay - . - invités : Rémy Rioux Directeur général de l'Agence française de développement; Fanny Petitbon Coordinatrice du travail de plaidoyer de CARE France; Felipe Gálvez Haberle réalisateur; Olivier Tesquet Journaliste à la cellule enquête de Télérama
Tercer Milenio 360 Internacional te lleva lo más relevante de la actualidad, medio ambiente, ciencia, tecnología y el Fenómeno Anómalo No Identificado / OVNI, en lo que consideramos, las verdaderas noticias.
LM publica los detalles de esta convención a la que asistieron más de 70.000 personas emitiendo toneladas de CO2.
Nora Cabrera, Directora de Nuestro Futuro AC
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Victor Orban a mis son veto à un nouveau soutien budgétaire à l'Ukraine.8 corps ont été récupérés par l'armée israélienne à Gaza dont celui d'un des otages franco israéliens Elya Toledano.Joe Biden a été visé par une enquête en destitution approuvée par les républicains majoritaires à la chambre des représentants.La COP 28 a abouti à un accord qui appelle à faire une transition hors des énergies fossiles afin d'atteindre la neutralité carbone en 2050.
La Cop28 di Dubai, la 28esima conferenza sul clima delle Nazioni Unite, ha sancito per la prima volta l'uscita dalle fonti fossili, con l'obiettivo di raggiungere le emissioni zero entro il 2050. Con questo accordo storico sul “Global Stocktake” è stato messo nero su bianco per la prima volta l'abbandono dei combustibili fossili. Il testo, approvato all'unanimità dai 198 paesi che hanno partecipato alla riunione, contiene una sorta di manuale delle linee guida da seguire per contenere gli effetti del cambiamento climatico. In questo episodio parliamo di un argomento di cui si è parlato poco in Italia e spieghiamo quali sono le fasi che gli Stati dovranno seguire. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ágora busca explicación e interpretación del acuerdo alcanzado en la COP28 de Dubái con Alejandro Caparrós, catedrático de Economía de la Energía en la Universidad de Durham (Reino Unido) e investigador en el CSIC. ¿Hasta dónde se ha llegado realmente en esta COP28? ¿Cuál es la situación del planeta? ¿Qué aspectos técnica y económicamente han avanzado más para la transición energética? Además, el programa acude al Museo de Ciencias Naturales de Unizar para disfrutar con el profesor Miguel Calvo de la exposición ‘Una Pizca de Sal' y, por otro lado, descubre con el divulgador Juan José Ortega la historia del Vasa: un flamante e increíble barco del siglo XVII que se hundió irremediablemente nada más salir del puerto de Estocolmo. ‘El Vasa, tragedia Histórica y gloria científica'.
Hablamos en Washington con Frances Colón del Center for American Progress; en Bogotá con el representante liberal Juan Carlos Losada, y en Ciudad de México con Verónica Calderón de CNN en Español
Luis Herrero entrevista a David Vieites, director del departamento de Biogeografía y Cambio Global del Museo Nacional de Ciencias Naturales del CSIC.
Gli aiuti a Kiev e la possibilità di aprire i negoziati per l'adesione dell'Ucraina all'Unione europea saranno al centro del vertice del Consiglio europeo che comincia oggi. I 197 paesi riuniti alla conferenza delle Nazioni Unite sui cambiamenti climatici si sono accordati per la prima volta sull'impegno per un graduale allontanamento dai combustibili fossili.CONDavide Maria De Luca, giornalista, da KievGabriele Crescente, editor di ambiente di InternazionaleLINKVertice europeo: https://youtu.be/FQLWoAcGgiw?si=ZefU-EB9e64bQtQ8&t=127Cop28: https://www.youtube.com/watch?v=wSQyQ1MwadMAlbero di natale: https://www.instagram.com/reel/C0cZurQilax/?igshid=MjM0N2Q2NDBjYg==Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/podcastScrivi a podcast@internazionale.it o manda un vocale a +39 3347063050Consulenza editoriale di Chiara Nielsen.Produzione di Claudio Balboni e Vincenzo De Simone.Musiche di Tommaso Colliva e Raffaele Scogna.Direzione creativa di Jonathan Zenti.
L'accord a été arraché hier matin, mercredi, de haute lutte, et a été salué par de nombreux observateurs : pour la première fois, le texte final parle d'énergies fossiles, de transition hors de ces systèmes… mais pour beaucoup de journaux du continent, c'est insuffisant. « Ces sommets sur le climat finissent toujours, comme des montagnes, par accoucher de petites souris » maugréée Le Pays, qui en veut pour preuve que le texte final « ne parle plus de ‘sortie' du pétrole, du gaz, et du charbon, un thème qui a été des mois durant le leitmotiv de plus d'une centaine de pays. »La question des énergies fossiles a tout de même été au cœur des discussions, au détriment du continent, dénonce Le Monde Afrique. D'abord, car ce sujet soulève des inégalités : « si dans les débats tendus des dernières heures, l'attention s'est focalisée sur l'hostilité des gros pays producteurs, analyse Le Monde Afrique, la présidence émiratie a aussi dû entendre le refus du continent de ne pouvoir utiliser ses ressources naturelles, alors que la moitié de sa population reste privée d'accès à l'énergie. »Le sujet des responsabilités passé à la trappe Ainsi de « l'impact disproportionné de la crise climatique sur l'Afrique », qui devait, souligne Le Monde Afrique, être « ‘explicitement' reconnu dans l'accord final. » Conclusion : « il n'en a rien été. » Pourtant, « les émissions historiquement cumulées de gaz à effet de serre du continent représentent 3 % » seulement du total mondial. Aujourd'hui au Faso détaille : « l'Afrique affiche la plus faible consommation d'énergie primaire par habitant dans le monde » avec des chiffres près de 20 fois moins élevés que ceux des États-Unis. Reprenant les termes d'un document envoyé par le groupe Afrique au patron de la COP, Sultan al-Jaber, Jeune Afrique pointe de son côté qu'il est « non seulement irréaliste, mais aussi injuste, d'attendre des pays en développement qu'ils supportent le fardeau de [la] transition » hors des énergies fossiles, alors même que de nombreux pays africains font face à des dettes extrêmement élevées.Quelques dispositifs de compensationD'abord avec la mise en œuvre du fonds pertes et dommages ; ensuite, car les participants ont donné leur feu vert pour tripler la capacité de production mondiale d'énergies renouvelables. Des compensations donc « promises au pays pauvres (…) qui subissent de plein fouet l'appétit d'ogre des nations riches » éructe Wakat Séra, pour qui cela reste une absurdité : « l'essentiel n'est-il pas, plutôt, d'arrêter l'émission des gaz à effet de serre ? » Bref, pour le journal burkinabè, cette COP de Dubaï n'est « qu'une foire de plus. » En témoigne, ironise-t-il, la quantité d'énergie dépensée pendant ce sommet, « à travers la meute d'avions qui a traversé la planète, (…) les climatiseurs et cuisines des hôtels et des lieux de réunion qui ont tourné à plein régime, etc. »Il semblerait presque, conclut le journal, que tout soit fait « pour que les mots des COP ne puissent jamais venir à bout des maux de la terre. »En RDC, le compte à rebours s'accélère avant les élections généralesPlus que six jours avant ce scrutin d'envergure ! Sur la façade de la Commission électorale à Kinshasa, le décompte s'affiche en grand… et dans le pays, les candidats s'affairent. Sauf qu'à moins d'une semaine du scrutin, demeure cette interrogation, formulée par Jeune Afrique : les 44 millions d'électeurs du pays « pourront-ils tous voter ? »Le magazine se fait l'écho de l'inquiétude, qui, croit-il savoir, « ne cesse de croître dans les rangs de la Ceni, du gouvernement, et de la communauté internationale. » En cause : les problèmes logistiques qui entravent la livraison du matériel dans les bureaux de vote.Machines à voter, procès-verbaux, bulletins de vote : autant d'outils qui risquent de ne pas arriver à destination à temps, en raison particulièrement « de moyens aériens très limités », raconte Jeune Afrique.Pour faire face, apprend-on, l'exécutif pourrait donc se tourner vers un appui pourtant sur le départ : la Monusco, la mission de l'Onu dans le pays. Encore déployée dans trois provinces de l'est, cette force pourrait élargir son aide… elle a en tout cas « été informée des difficultés de la Céni. » Céni qui, de son côté, continue de faire façade et l'assure : « les élections auront bel et bien lieu le 20 décembre. »
durée : 02:29:59 - Les Matins - par : Guillaume Erner - . - invités : Amy Dahan Historienne des sciences, mathématicienne, directrice de recherche émérite au CNRS, co-auteure avec Stefan C. Aykut de « Gouverner le Climat ? 20 ans de négociations climatiques ».; Christian de Perthuis Professeur d'économie et fondateur en 2010 de la chaire “Economie du climat” à Paris-Dauphine
¿Cómo valoran las principales organizaciones ecologistas el acuerdo al que se ha llegado en la COP28 para el "principio del fin" de los combustibles fósiles? Hablamos con Mar Asunción, responsable del programa de Clima y Energía de WWF España. Escuchar audio
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durée : 00:35:32 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - La COP28 se clôt ce mercredi 13 décembre et signe un « éloignement progressif » des énergies fossiles. Pour certains, il s'agit d'un texte historique ; pour d'autres, d'une situation catastrophique très justement évitée.
durée : 00:12:12 - L'invité d'un jour dans le monde - La COP28 se clôt ce mercredi 13 décembre et signe un « éloignement progressif » des énergies fossiles. Pour certains, il s'agit d'un texte historique ; pour d'autres, d'une situation catastrophique très justement évitée.
durée : 00:35:32 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - La COP28 se clôt ce mercredi 13 décembre et signe un « éloignement progressif » des énergies fossiles. Pour certains, il s'agit d'un texte historique ; pour d'autres, d'une situation catastrophique très justement évitée.
Si chiude la Cop28, con un accordo definito da più parti “storico”. Ma è davvero così? Lo chiediamo a Ferdinando Cotugno, giornalista del Domani inviato a Dubai. Il Congresso USA nega ancora lo sblocco dei fondi all’Ucraina. L’Assemblea generale ONU approva la risoluzione sull’immediato cessate il fuoco e Biden striglia Netanyahu: “Israele rischia di perdere consenso a livello internazionale”. Gerusalemme inizia ad allagare i tunnel di Gaza. Ne parliamo con Vittorio Emanuele Parsi, professore ordinario di relazioni internazionali e studi strategici all’Università Cattolica di Milano. Superbonus: il Mef ribadisce lo stop alla proroga, una sentenza del Tar del Lazio sancisce l’improcedibilità in caso di abusi o difformità dell’edificio. Sentiamo Giuseppe Latour del Sole 24 Ore.
La COP28 realizada en Dubai no ha logrado hasta ahora llegar a un acuerdo para elaborar una propuesta final. Las grandes diferencias radican entre aquellos países que quieren una eliminación progresiva de los combustibles fósiles y aquellos que solo desean una reducción en su uso y producción.
¿Cómo disminuir nuestras emisiones de CO2 en la atmósfera? Estos años han surgido proyectos experimentales para capturar el carbono y almacenarlo en el suelo. Una tecnología presentada como la solución perfecta para luchar contra el cambio climático. Otros, en cambio, la consideran como peligrosa. Desde Dubái, por nuestro enviado especialPara los productores de petróleo, es la panacea: capturar el carbono directamente desde un pozo petrolero, una fábrica de acero o de cemento, permitiría evitar que se fugue en el aire, lo que agrava el calentamiento global.Esta tecnología, llamada Captura y Almacenamiento del carbono en el suelo, conocida como CCS, en inglés, podría ser una buena excusa para seguir explotando combustibles fósiles por muchos años más. Pero ¿qué tan eficiente es este método? “El carbono se puede capturar de dos formas: en el aire libre o bien durante los procesos industriales con técnicas químicas. Luego, está la parte del transporte y el almacenamiento del dióxido de carbono. Y esta cadena es lo que es difícil de hacer. Es la innovación que todavía no ha llegado”, recuerda Felipe Sánchez, investigador Stockholm Environment Institute (SEI) en Suecia y especialista en descarbonización. Dicha tecnología ha sido desarrollada originalmente por el sector petrolero para capturar el carbono e inyectarlo en los pozos petroleros para facilitar la extracción. Y con las crecientes preocupaciones por el clima, se pensó que esta técnica podría ser utilizada para enterrar el CO2 y así mitigar nuestras emisiones de gases de efecto invernadero. El año entrante, la empresa suiza Climateworks estrenará por ejemplo una segunda planta des descarbonización del aire en Islandia. Pero juntas, estas instalaciones solo permitirán retirar 40.000 toneladas de CO2 de la atmósfera al año, equivalente a las emisiones anuales de 8.600 coches. Una gota en el océano de nuestras emisiones de gases de efecto invernadero. “Ya se está capturando el CO2 en estas plantas, el problema es que se necesita demasiada energía. En Islandia hay energía renovable porque tienen la geotérmica. Entonces ¿en cuál parte se va a poder desarrollar este sistema? Pocas”, advierte Felipe Sánchez.Además de su costo muy alto, de la necesidad de disponer de energía renovable, la captura del carbono suscita dudas porque implica almacenar en el suelo grandes cantidades de CO2 con riesgos de fugas en caso de sismos. Por ahora según los ambientalistas reunidos en la Cop28 de Dubái, el mundo no puede basar su política climática en estas tecnologías.Los países petroleros, los lobbies industriales, así como estados unidos en cambio sí quieren apostar por este método.
Julia Otero analiza la negociación en la Cumbre del Clima y el desacuerdo tras el borrador presentado por Sultan Al Yaber.
durée : 00:23:01 - La COP28 de Dubaï joue les prolongations : Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mardi 12 décembre à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie.
El presidente López Obrador anunció que enviará 2 polémicas iniciativas de ley antes de que termine su mandato. La primera medida se centra en una reforma administrativa para desaparecer ciertos organismos autónomos como el INAI, el IFT y la Cofece. Según él, “no sirven para nada” y “son gastos superfluos”. AMLO también reveló que presentará una iniciativa de ley para prohibir la comercialización de vapes en México, después de que la Suprema Corte de Justicia de la Nación lo permitiera. Dijo que no quiere ser cómplice de un negocio que daña la salud de jóvenes. La medida para mandar a volar los organismos autónomos está programada para 2024, mientras que la propuesta sobre vapes se espera antes de que termine el año.Además… Reyes Rodríguez Mondragón, presidente del TEPJF, anunció que no renunciará como magistrado a pesar de la presión de sus colegas; Filipinas presentó una queja diplomática contra China tras dos incidentes el finde; el príncipe Harry fue condenado a pagar más de 60,000 dólares a los editores del medio Mail on Sunday; y ¡Ve marcando el 7 de enero en tu calendario porque ya tenemos a los nominados para los Golden Globes 2024!Por último, mirando #ElVasoMedioLleno, en Sipoo, Finlandia, las caminatas guiadas por el Parque Nacional Sipoonkorpi están revolucionando el cuidado de la salud mental. Para enterarte de más noticias como estas, síguenos en nuestras redes sociales. Estamos en todas las plataformas como @telokwento. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
El mercado de bonos de carbono que defienden arduamente los países petroleros suscita críticas de las ONG sobre su real utilidad para luchar contra el cambio climático. Este mecanismo financiero, objetos negociaciones en la Cop28, permite a empresas financiar proyectos de conservación del bosque en otros países. Desde la Cop28 en Dubái “Los fondos públicos y filantrópicos no son no es suficiente para garantizar los derechos de los pueblos locales y mantener sus bosques. Creemos nosotros que –los bonos de carbono- son un mecanismo importante porque puede traer fondos”.Desde la Cop28, Beto Borges, director de la ONG Forest Trends Communities es de los que creen en el mercado de bonos de carbono. Su organización conecta a transnacionales que quieren compensar sus emisiones de CO2 financiando proyectos de reforestación o de conservación de los bosques en América latina. Un mecanismo llamado mercado voluntario de carbono, al que recurrió la comunidad indígena Surui de Brasil en 2013 para proteger el bosque. “Fue un un proyecto que solicitó el pueblo Surui”, recuerda Borges. “Nosotros vendimos bonos de carbono a la empresa Natura de cosméticos de Brasil y también a la FIFA. El proyecto recibió 500.000 dólares y la plata que entró con la venta de los bonos de carbono se estableció en un fondo fideicomiso y tuvo impacto inmediato en en contener la la deforestación”, detalla el dirigente de la ONG Forest Trend.Sin embargo, la llegada de estos fondos, aunque pudo ayudar un tiempo a la comunidad a luchar contra la tala ilegal en sus tierras, generó divisiones que llevaron a la suspensión del proyecto. Entrevistado por RFI, Borges lamenta la imagen negativa que arrojan los ejemplos de malas prácticas en algunas comunidades rurales de América latina sobre el mecanismo de mercado voluntarios de carbono.Campesinos estafadosEn los últimos años, se han multiplicado los escándalos en torno a este sistema de compensación de carbono con bonos de mercado. En México, por ejemplo, campesinos del centro del país no recibieron ni el 30% del dinero prometido por la petrolera BP para reforestar varias hectáreas.En Colombia, la justicia suspendió un proyecto de bonos de carbono firmados por el gobernador de Nariño a espaldas de comunidades indígenas del territorio ancestral de Cumbal. En sintonía con la mayoría de los representantes de ONG ambientalistas presentes en la Cop28 Alejandro Alemán, coordinador de la Red de Acción climática, principal coalición de ONG ambientales de América latina tiene serias reservas sobre este sistema. “El aporte de ese tipo de mecanismos a las reducciones reales de gases de efecto invernadero es sumamente limitado. Estas supuestas reducciones de emisiones se hubieran dado sí o sí con la venta de bono de carbono o no”, dijo a RFI. “En la práctica, estas supuestas reducciones de emisiones, la atmósfera no los ve desde nuestro punto de vista. En su gran mayoría son un juego de suma cero. Lo que creemos es que las soluciones prácticas y reales están en la reducción de emisiones en la fuente”, insiste Alemán. A pesar de estas críticas, muchos estados quieren salvar los créditos de carbono y negocian en la COP28 nuevos mecanismos para implementarlos. En particular los países petroleros que apuestan a los proyectos de compensación de emisiones de CO2 para seguir extrayendo crudo y, de esta manera, mantener su renta petrolera.En África, una empresa de Emiratos Árabes Unidos por ejemplo tomo el control de tierras que equivalen a la superficie de Reino Unido, para vender créditos de carbono.
La COP 28 atteindra-t-elle ses objectifs ? A quoi ressemblera la déclaration finale de la conférence sur le climat ? Toutes les questions des auditeurs sur le fonds destiné aux pays du Sud, sur les engagements en faveur des énergies renouvelables, sur la sortie des combustibles fossiles. Avec Anne-Cécile Bras, journaliste spécialiste des questions environnementales, envoyée spéciale à Dubaï, présentatrice de l'émission C'est pas du vent.Et Sébastien Treyer, directeur général de l'IDDRI, Institut du Développement Durable et des Relations Internationales.
La COP 28 atteindra-t-elle ses objectifs ? A quoi ressemblera la déclaration finale de la conférence sur le climat ? Un fonds destiné aux pays du Sud, des engagements sur les énergies renouvelables, des négociations sur la sortie des combustibles fossiles...Emission spéciale, vos questions et réactions. Avec Anne-Cécile Bras, journaliste spécialiste des questions environnementales, envoyée spéciale à Dubaï, présentatrice de l'émission C'est pas du vent.Et Sébastien Treyer, directeur général de l'IDDRI, Institut du Développement Durable et des Relations Internationales.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la mobilisations des pays pétroliers à la COP 28 pour protester contre la réduction de l'utilisation des énergies fossiles.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 8 décembre 2023. Avec cette semaine : Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur. Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique. Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. QUELLE POLITIQUE POUR COMBATTRE LA MENACE ISLAMISTE EN FRANCE ? L'attaque mortelle perpétrée le 2 décembre contre un touriste germano-philippin par un jeune Français fiché S, près de la tour Eiffel, confirme la persistance de la menace islamiste. Quelques semaines après Arras, en plein conflit Hamas-Israël et à huit mois des JO, les inquiétudes grandissent. Selon les différents services antiterroristes français, cette menace serait pour beaucoup le fait d'adolescents de 13 à 18 ans fascinés par la violence et enfermés dans une sorte de bulle numérique. Les prisons françaises accueillent aujourd'hui 391 détenus terroristes islamistes et 462 détenus de droit commun susceptibles de radicalisation. Déjà emprisonné pour terrorisme, et ayant fait l'objet d'un suivi psychiatrique, le profil de l'assaillant relance la polémique entre responsabilité psychiatrique et idéologie radicale. « Entre 25 % et 40 % des personnes suivies pour radicalisation sont concernées par des maladies mentales », assure Gérald Darmanin, favorable à ce que les pouvoirs publics puissent exiger une « injonction de soins pour une personne radicalisée suivie pour troubles psychiatriques ». Un préfet, et non un médecin, pourrait ainsi forcer un radicalisé souffrant de problèmes psychiatriques à continuer son traitement. « L'analyse psy, elle est fondamentale. Mais il faut la combiner avec une solide connaissance de la dimension idéologique, parce que si on prend de l'idéologie pour de la folie, on fait des erreurs d'évaluation », souligne le chercheur Hugo Micheron, spécialiste du djihadisme. Autre mesure envisagée par le ministre de l'Intérieur, et par le président du Rassemblement national, celle de durcir la « rétention de sûreté », c'est-à-dire le maintien dans une forme de détention des cas jugés toujours menaçants à l'issue de leur peine. Le ministre de l'Économie et des Finances a déploré, pour sa part, que la publication d'images, faisant l'apologie du terrorisme, ne fasse l'objet d'« aucune sanction » pénale, contrairement au partage de contenus pédopornographiques. L'attentat confirme les craintes d'une importation de la guerre au Proche-Orient, l'auteur ayant évoqué la mort de Palestiniens à Gaza pour expliquer son geste. Depuis le 7 octobre et les attaques du Hamas contre Israël, l'ensemble des pays européens ont accru leur niveau de vigilance. Tout comme la France, l'Espagne et la Belgique ont notamment renforcé la protection des synagogues. Au-delà des interrogations autour du suivi psychiatrique défaillant et des services de renseignement débordés, il y a la problématique des « sortants » : ces personnes condamnées pour terrorisme, qui ont purgé leur peine, et qui restent suivies de près. Le ministre de l'Intérieur a déclaré que, depuis qu'il y a des condamnations pour terrorisme, 340 personnes radicalisées qui ont purgé leur peine sont sorties de prison. « L'année prochaine, ce sera entre 30 et 35 personnes », a-t-il ajouté. *** LA PREMIÈRE COP VRAIMENT GÉOPOLITIQUE « Critique », « cruciale », « charnière » : du 30 novembre au 12 décembre la Conférence des Nations unies sur le changement climatique, la COP28 rassemble à Dubaï, l'un des Émirats arabes unis - septième producteur mondial de pétrole- plus de 70.000 personnes (dirigeants, lobbies, ONG ou journalistes...). L'année 2023 devrait être la plus chaude jamais enregistrée dans le monde. Les effets de ce réchauffement climatique s'aggravent : fonte des glaciers, sécheresses à répétition, pénurie d'eau, perte de la biodiversité … D'après une étude de l'agence ONU Climat, publiée mi-novembre, les engagements climatiques actuels des pays mènent à 2% de baisse des émissions mondiales en 2030 comparé à l'année 2019, loin de la réduction de 43% recommandée par le GIEC. Hypothétique sortie du pétrole, fonds pour aider les pays les plus vulnérables au changement climatique, mobilisation de la finance mondiale pour l'adaptation, bilan des efforts consentis par les États pour réduire leurs émissions ... Le programme est chargé et cristallise déjà des débats entre pays du Nord, et du Sud. Lors de l'ouverture de la conférence, le président émirati de la COP28, le sultan al-Jaber a évoqué « le rôle des combustibles fossiles ». Il avait estimé auparavant que la réduction des énergies fossiles est « inévitable et essentielle », se gardant toutefois de fixer un calendrier. Seule une vingtaine de pays, dont la France, plaident franchement pour la fin de l'ensemble des énergies fossiles. Dès le premier jour de la COP, la création d'un fonds « pertes et dommages » climatiques pour les pays les plus vulnérables a été également actée. Historique, cette décision a été saluée par une ovation debout des délégués des 196 pays participants. A ce stade, 720 millions de dollars ont été récoltés. En outre, les Émirats ont promis la création d'un fonds de 30 milliards de dollars pour aider ces pays à conduire leur transition énergétique. Pour la première fois depuis huit ans, les 196 États et l'Union européenne doivent évaluer les progrès réalisés par les pays depuis la signature de l'Accord de Paris de 2015. Ses signataires s'étaient engagés à maintenir l'augmentation de la température « bien en dessous » de 2,0 °C, et de préférence de 1,5 °C, par rapport aux niveaux préindustriels. Les débats les plus difficiles portent sur l'engagement des pays à réduire l'utilisation du charbon, du pétrole et du gaz, gros émetteurs de CO2. La COP28 se déroule dans un contexte géopolitique tendu lié à la guerre en Ukraine, et le conflit qui fait rage dans la bande de Gaza au Proche-Orient. Certains dirigeants présents à Dubaï, notamment les présidents israélien et français ont mené des négociations, en marge de la conférence, pour aboutir à la libération des otages détenus par le Hamas.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:48:58 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Victor Matet, les informés débattent de l'actualité du dimanche 10 décembre 2023.
Tercer Milenio 360 Internacional te lleva lo más relevante de la actualidad, medio ambiente, ciencia, tecnología y el Fenómeno Anómalo No Identificado / OVNI, en lo que consideramos, las verdaderas noticias.
durée : 00:42:56 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Laetitia Krupa, les informés débattent de l'actualité du samedi 9 décembre 2023.
Tras una semana de la cumbre del clima, la COP28, que se está celebrando en Dubai, el camino hacia el posible abandono de los combustibles fósiles es el principal escollo para llegar a acuerdos entre los países. Hablamos desde Dubái con Pedro Zorrilla Miras, representante de la delegación deGreenpeace Internacional en la COP28. Escuchar audio
C dans l'air du 7 décembre 2023 - Antoine Buéno, essayiste et conseiller au Sénat, auteur de Faut-il une dictature verte ? La COP28 a débuté le 30 novembre et se termine le 12 décembre à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Huit ans après l'adoption de l'Accord de Paris, l'urgence climatique frappe plus que jamais à la porte, et les États devront accroître leurs ambitions pour rectifier le tir. La mention d'une sortie progressive des énergies fossiles est l'un des grands enjeux de la conférence de l'ONU pour le climat. Antoine Buéno, essayiste et conseiller au Sénat en charge du suivi de la commission du développement durable, auteur de Faut-il une dictature verte ? publié aux éditions Flammarion. Il reviendra sur les enjeux de cette COP 28 et nous expliquera en quoi la démocratie et le libéralisme sont les meilleurs outils pour mener la transition écologique.
durée : 00:07:33 - franceinfo junior - Alors qu'elle se termine le 12 décembre, franceinfo junior explique la COP28 aux enfants avec le journaliste "environnement" de franceinfo, Etienne Monin.
Nora Cabrera, Directora de Nuestro Futuro AC
La Cop28 e “il disco rotto” dell'emergenza climatica Le previsioni meteo secondo Google La Coppa Davis all'Italia di Sinner I flop della nuova Rai Gli italiani al volante
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur la vie d'Ali Bongo trois mois après le coup d'État au Gabon et sur l'annulation de la mission d'observation de l'Union européenne. COP28 : lancement d'un fonds pour les pays vulnérables Lors du premier jour de la COP28, un fonds consacré à la réparation des catastrophes climatiques a été lancé. Comment les ressources de ce fonds seront-elles réparties et utilisées ? Ce fonds s'ajoute-t-il aux précédentes promesses des 100 milliards de dollars à destination des pays du Sud ? Avec Jeanne Richard, envoyée spéciale à Dubaï pour la COP28 Gabon : trois mois après sa chute, que devient Ali Bongo ?Trois mois après le coup d'État qui l'a renversé, l'ancien président du Gabon, Ali Bongo se trouve toujours dans sa résidence. Est-il réellement libre de ses mouvements, comme l'affirme le nouveau régime ? Une procédure judiciaire a-t-elle été lancée contre lui ? Pourrait-il partir en exil ? Avec Yves-Laurent GOMA, correspondant de RFI au Gabon. Élections en RDC : l'Union européenne annule sa mission d'observation Comment expliquer le retrait inattendu des observateurs européens, à seulement trois semaines du scrutin ? Élections en RDC : quel impact aura l'absence des observateurs de l'UE ? Quelles conséquences l'annulation de la mission des observateurs européens pourrait-elle avoir sur le scrutin ? Élections en RDC : un groupe d'experts maintenu par l'UE ? Malgré le retrait des observateurs, l'Union européenne va-t-elle maintenir un groupe d'experts électoraux ? Avec Bob Kabamba, professeur de Sciences politiques à l'Université de Liège.
durée : 00:06:14 - La COP28 à Dubaï : pour la première fois, une journée entière consacrée aux conséquences du réchauffement climatique sur notre santé.
Aunque escuchamos voces que abogan por abandonar de inmediato los combustibles fósiles, hay que tener en cuenta que las grandes corporaciones de petróleo y gas están haciendo importantes esfuerzos e invirtiendo masivamente para asegurar opciones energéticas de baja intensidad de carbono. La transición energética debe ser gradual. Estamos viendo estos días, que grandes compañías petroleras siguen cerrando fusiones y adquisiciones, fortaleciendo su posición en un mercado todavía de altísima demanda de combustibles fósiles, especialmente de gas natural, pero enfocados en un proceso de descarbonización cada vez más exigente.
durée : 00:14:28 - Journal de 8 h - Faire le pari du nucléaire pour lutter contre le réchauffement climatique... C'est une des solutions proposées par une vingtaine de pays dont la France ce matin à la COP28 à Dubaï.
durée : 00:10:19 - Journal de 18h - Un engagement non-contraignant pour l'heure mais dont se félicite la présidente de la Commission européenne, Usrsula von der Leyen qui y voit "un message très fort envoyé aux investisseurs et aux marchés financiers."
durée : 00:14:28 - Journal de 8 h - Faire le pari du nucléaire pour lutter contre le réchauffement climatique... C'est une des solutions proposées par une vingtaine de pays dont la France ce matin à la COP28 à Dubaï.
Hablamos con el historiador Rafael Simón Jiménez, profesor de la Universidad Metropolitana de Caracas; con la analista ecuatoriana Julieta Herrería, y en Dubái con Mónica Monsalve, periodista de "El País"
Hoy arranca la cumbre mundial climática COP28 en Dubái, Emiratos Árabes, y el gobierno de Gustavo Petro mostrará como principal apuesta de protección al ecosistema su ambicioso programa contra la deforestación, que ya bajó en un 70 por ciento la tala en 2023, principalmente en departamentos amazónicos. En Guaviare, una de esas regiones, la tendencia no fue la misma. Grupos disidentes bajaron la guardia ante la deforestación de bosques como una forma de presionar la mesa de negociación con el gobierno. En el episodio de hoy hablamos de cómo en Guaviare está el núcleo de la apuesta contra la deforestación y, al mismo tiempo, el ejemplo perfecto de cómo se le puede quemar la casa al presidente, mientras muestra sus logros en Dubái.Para saber más puede leer y escuchar:Con la Paz Total baja la deforestación amazónica, pero sube la violencia.Huevos Revueltos con deforestación amazónicaQueremos saber cómo nos fue este año y preparar el siguiente. Ayúdanos llenando esta breve encuesta de los Huevos.Si anda interesado en el Curso de Inmersión de 2024 de La Silla, acá encuentra toda la información.Elija ser Súperamigo. Puede ser parte de nuestra comunidad acá.Un espacio de cuña en Huevos Revueltos puede ser suyo, excepto para contenido político y electoral. Si tiene interés, escriba a socampo@lasillavacia.comChequeo de datos: Camilo Garzón, periodista de La Silla Vacía. Producción: Sergio García y Fernando Cruz, periodistas de La Silla Vacía.Foto de portada: Facebook de Hollman Morris
La conferencia climática abre sus puertas en Dubái en medio de una polémica sobre el perfil de su presidente. Sultán Ahmed Al Jaber, ministro de Industria de Emiratos Arabes Unidos, séptimo productor mundial de petroleó, desempeña también el cargo de presidente de la principal empresa petrolera del país. Su trayectoria de empresario del sector de la energía fósil había levantado acusaciones de conflicto de intereses. El hombre que llevará la batuta de estas negociaciones en la Cop28 en Dubái es Sultán Ahmed Al Jaber, quien acumula las funciones de ministro de Energía y de Presidente de Adnoc, la principal empresa petrolera de Emiratos Árabes Unidos, séptimo productor mundial de oro negro y que planea aumentar su capacidad de producción en el futuro. Ello, a pesar de las recomendaciones de los científicos que llaman a eliminar las energías fósiles para evitar el calentamiento global.“Celebrar la cumbre en Emiratos Árabes, que es uno de los países más productores y con mayores emisiones per cápita (25 toneladas de CO2 por habitante), no parece, a priori, una buena decisión”, denuncia Javier Andaluz, responsable de asuntos climáticos en Ecologistas en Acción. El activista teme, al igual que cientos de otras ONG ambientalistas, que el perfil de Al Jaber sea un freno para las ambiciones climáticas.“Se rechaza que no solamente nos acoja a un país con fuertes intereses en la industria fósil, sino, además, que quien va a presidir las negociaciones climáticas sea un alto directivo de la empresa nacional de petróleos de Abu Dhabi”, detalla Andaluz, entrevistado por RFI en vísperas de la apertura de la Cop28.“Si bien es cierto que la presidencia [nota: rotativa de la Cop] no negocia directamente los textos, sino que son los países, su labor de mediación puede hacer de filtro para que propuestas como esa necesaria puesta de fecha de fin a los combustibles fósiles, pues no salgan de este acuerdo”, teme Javier Andaluz. El perfil de sultán Ahmed Al Jaber y la organización de la Cop28 en un país petrolero, que construye islas artificiales en el mar y pistas de esquí en pleno desierto, reactivó también el debate sobre la presencia de los lobbies de las industrias fósiles en las negociaciones internacionales. En el pasado, el lobby petrolero –empresas y estados- han logrado, por ejemplo, incluir en las negociaciones soluciones muy controvertidas para compensar las emisiones de gases de efecto invernadero, como la captación del CO2, para evitar tener que reducir las efectivamente.Una COP presidida por un país petrolero “es una paradoja”, admite la experta colombiana en políticas climáticas Isabel Cavelier Adarve. “Principalmente porque existe el riesgo muy real de que esos intereses económicos se interpongan en la capacidad política de ese país de liderar un consenso ambicioso. Sin embargo, una paradoja siempre tiene dos caras. Y la otra cara de esta paradoja es que es fundamental que todos los países del mundo, incluyendo los países que dependen del petróleo o del carbón, pues hagan parte de la solución. Eso quiere decir que ningún país debe estar excluido de hacer parte de la solución”, matiza Cavelier, quien asesoró a varios conflictos latinoamericanos en negociaciones climáticas.Sultán Ahmed Al Jaber se defendió de las acusaciones de conflictos de intereses y recordó que también preside una empresa de energías renovables. Según él, los combustibles fósiles sólo se podrán abandonar cuando el mundo tenga la capacidad de reemplazarlas por energías renovables. En julio, Emiratos Árabes Unidos se unieron al objetivo común de muchos países de triplicar la producción de energías renovables de aquí a 2030. Pero en paralelo, forma parte del grupo de países petroleros que abogan por la captura y almacenamiento de carbono, técnicas que están lejos de poder absorber los miles de millones de toneladas de Co2 que agravan el cambio climático.ONG denuncian la presencia de los grupos de intereses petrolerosA pocos días de la Cop28, la ONG Corporate Accountability publicó un informe en el que alerta sobre la presencia de representantes de empresas contaminantes de petróleo y gas en las negociaciones de la ONU sobre el clima. “En los últimos 20 años han asistido al menos 7.200 veces a las negociaciones de la ONU”, indican los autores del informe.“El informe reconfirma que lamentablemente las cumbres de cambio climático y los organismos supranacionales son controlados por las empresas que destruyen el Planeta. Es repudiable que las empresas que más emiten gases de efecto invernadero, que impulsan el calentamiento, se presenten a las cumbres”, estima el abogado ecuatoriano ambientalista Pablo Fajardo de la Union de afectados y afectadas por Chevron Texaco.“Desde la COP9 de 2003, los empleados declarados de las empresas de combustibles fósiles han asistido a las negociaciones un mínimo de 945 veces. El personal declarado de las ‘5 grandes' petroleras -ExxonMobil, Chevron, Shell, BP y TotalEnergies- ha asistido un mínimo de 267 veces”, detalla el informe. Brenna TwoBears, Coordinadora Principal de Keep It In The Ground de la Red Indígena Medioambiental, afirmó que los lobbies de los combustibles fósiles superaron en número a la cantidad de indígenas que asistieron a la COP26 en Glasgow en 2021, en torno a un 200%. En la Cop27 en Egipto, se registró el récord de 636 lobistas de las energías fósiles acreditados, un 25% más que el año anterior. El presidente del gigante francés de la extracción petrolera TotalEnergies, Patrick Pouyané, asistió por ejemplo a la Cop27 invitado por la presidencia egipcia.La ausencia de reglas claras para evitar los conflictos de intereses es a menudo criticada. El 27 de noviembre pasado, la cadena británica BBC reveló informes internos según los cuales la presidencia emiratí de la COP28 incluyó temas de proyectos petroleros en las discusiones privadas previas a la Cop28.
Oggi parliamo di Roma che perde la competizione per Expo 2030 (che va all'Arabia Saudita), dei piani poco green degli Emirati Arabi per la cop28 e della nuova legge Ue contro i trafficanti. ... Qui il link per iscriversi al canale Whatsapp di Notizie a colazione: https://whatsapp.com/channel/0029Va7X7C4DjiOmdBGtOL3z Per iscriverti al canale Telegram: https://t.me/notizieacolazione ... Qui gli altri podcast di Class Editori: https://milanofinanza.it/podcast Musica https://www.bensound.com. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:06:32 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Une étude scientifique cherche à établir la responsabilité des anciennes puissances coloniales dans la crise climatique. Les émissions de CO2 d'il y a 170 ans continuent de contribuer au réchauffement de la planète. La question des aides du Nord vers les Suds sera débattue à la COP28 dès jeudi.