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Ébranlés par le rapprochement entre Washington et Moscou et sonnés par la brutale altercation entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Washington, les alliés de Kiev ont tenté, dimanche 2 mars, de resserrer les rangs. Invités par le Premier ministre britannique, 15 bdirigeants européens, dont Emmanuel Macron, ont affiché leur engagement à soutenir l'Ukraine et à se réarmer face à la Russie. Répondant favorablement à l'appel lancé par le futur chancelier allemand Friedrich Merz, qui invite l'Europe à se préparer « au pire scénario » d'une Otan dépourvue de la protection nucléaire américaine, le président français s'est dit prêt à « ouvrir la discussion » sur la dissuasion nucléaire européenne. Le décryptage de Camille Grand, directeur du programme Défense au Conseil européen pour les relations internationales (ECFR) et ancien secrétaire général adjoint de l'Otan. À lire aussiGuerre en Ukraine: l'Europe tente de reprendre la main sur les négociations voulues par Trump
Semaine #10. Chaque lundi matin nous servons le SILEXpresso, un condensé vocal de 3mn sur nos vues macro et allocation. Retrouvez également le Silexpresso, et bien plus encore, sur l'app SPARK :https://go.silex-partners.com/download/my_SPARK_appHosted by Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.
Bonjour à tous,Ce matin, les marchés financiers traversent une zone de turbulences marquée par des baisses significatives tant sur les marchés traditionnels que sur le secteur des cryptomonnaies. Voici les points clés à retenir :1. Marchés traditionnels : tensions géopolitiques et incertitudes politiquesPression accrue des États-Unis sur la Chine : L'administration Trump a intensifié ses mesures contre Pékin, notamment en restreignant davantage les investissements chinois dans des secteurs technologiques clés aux États-Unis. Cette escalade a provoqué des remous sur les marchés, affectant particulièrement les entreprises technologiques exposées à la Chine. Incertitudes politiques en Allemagne : Les récentes élections fédérales ont conduit à des négociations de coalition prolongées, créant une incertitude politique qui pèse sur les marchés européens. Le DAX a toutefois montré une certaine résilience, enregistrant une légère hausse de 0,62 %. 2. Secteur des cryptomonnaies : chute notable et facteurs aggravantsBaisse significative du Bitcoin : Le Bitcoin a enregistré une baisse de près de 5 % en 24 heures, tombant sous la barre des 90 000 $. Cette tendance baissière est attribuée à un essoufflement de la demande et à des sorties de capitaux des produits d'investissement liés aux cryptomonnaies. Piratage majeur de Bybit : La plateforme d'échange Bybit a été victime d'un piratage historique, avec un vol estimé à 1,5 milliard de dollars en Ethereum. Cet incident a exacerbé la panique sur le marché et contribué à la chute des prix des principales cryptomonnaies. 3. Stratégie et perspectivesGestion de la volatilité : Dans ce contexte incertain, il est crucial d'adopter une approche prudente. Diversifier ses investissements, éviter les décisions impulsives et se concentrer sur des actifs fondamentaux solides sont des stratégies recommandées.Opportunités à long terme : Malgré la volatilité actuelle, les fondamentaux de certaines entreprises et technologies restent robustes. Une analyse approfondie et une vision à long terme peuvent permettre d'identifier des opportunités d'investissement intéressantes.Citation du jour : "La patience est la clé de tout investissement réussi." – Warren BuffettRestons vigilants et informés pour naviguer au mieux dans ces eaux agitées.
Avec David Ben Ishay, nous avons abordé une étape cruciale dans l’accord sur les otages. Après 501 jours de guerre, des libérations étaient attendues, mais de nombreuses incertitudes planaient encore, notamment sur le sort de la famille Bibas. Entre espoir et angoisse, la société israélienne était en pleine réflexion, tandis que la gestion de la crise par le gouvernement soulevait des questions sur les responsabilités politiques et l’avenir du pays.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:06:32 - L'invité de 6h20 - Après la décision prise par Donald Trump de couper le robinet des aides internationales, aujourd'hui, de nombreuses ONG et agences de l'ONU sont dans l'incertitude. Kevin Goldberg, directeur général de l'ONG Solidarités International, est notre invité à 6h20.
Incertitudes nationales et internationales, restrictions budgétaires, la Collectivité européenne d'Alsace maintiendra le cap en s'appuyant sur les valeurs sûres de l'Alsace. Outre l'action sociale qui constitue la plus lourde dépense de la CeA, le sujet de STOCAMINE, le RPASS mis en service à compter de 2027, les projets de la Collectivité ne manquent pas. En ce début d'année, période propice aux vœux, Frédéric Bierry, Président de la Collectivité européenne d'Alsace s'est confié à notre micro quant aux défis à venir en cette nouvelle année 2025, après avoir dressé un bilan sur 2024.Le lien vers l'article complet : https://azur-fm.com/news/alsace-les-voeux-de-frederic-bierry-president-de-la-collectivite-2400Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Coup d'envoi lundi prochain (20 janvier 2025) du second mandat de Donald Trump. Le 47è président des États-Unis prendra les rênes d'une économie qui se porte plutôt bien, comparativement à la zone euro, la crise énergétique avec l'augmentation des prix du gaz ayant plutôt épargné les États-Unis. À une semaine de son départ, lundi 13 janvier au Département d'État, Joe Biden prononçait un discours dressant un bilan de son action dans le monde et se couvrant de félicitations. Il a dit laisser à la nouvelle administration des « cartes très fortes à jouer » alors que le retour de Donald Trump est un échec personnel pour Joe Biden. L'accord qui vient d'intervenir entre Israël et le Hamas sur un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages est certainement l'une de ces cartes. Il avait été proposé par Joe Biden, il y a huit mois. La pression mise par Donald Trump depuis son élection et l'affaiblissement du Hamas auront fait le reste. Donald Trump va-t-il renforcer le leadership américain ? Quelle issue au conflit en Ukraine ? Doit-on s'attendre à la confrontation du siècle entre la Chine et les États-Unis ? Qu'est-ce qui s'impose à l'Europe avec l'arrivée de Donald Trump ?Invités : Célia Belin, directrice du Bureau parisien de l'ECFR, European Council on Foreign Relations. Experte des questions américaines et transatlantiques et auteure de « Des démocrates en Amérique », éd. Fayard Laurence Nardon, responsable du programmes Amériques à l'IFRI. « Géopolitique de la puissance américaine », PUF en 2024. Podcast hebdomadaire sur la politique américaine « New Deal » Stephen Dreyfuss, avocat américain, ancien procureur à NY, ancien président de la Chambre de commerce franco-américaine à NY et ancien président de l'Union Internationale des Avocats Axel Krause, ancien rédacteur en chef de l'International Herald Tribune à Paris et ancien correspondant de Business Week à Paris, Moscou et Washington.
« Daniel Chapo, président élu du Mozambique, a prêté serment hier matin dans une capitale, Maputo, placée sous haute sécurité, relève Le Monde Afrique. Après trois mois de violences, de pillages et de grèves à répétition qui paralysent le pays depuis la proclamation des résultats de l'élection du 9 octobre, le centre-ville de Maputo était quadrillé par les forces de l'ordre. Une autorisation était nécessaire pour accéder aux abords de la place de l'indépendance où se tenait la cérémonie d'investiture du successeur de Filipe Nyusi. Le premier défi de Daniel Chapo sera de sortir le pays de son marasme politique et d'une crise post-électorale qui a déjà fait plus de 300 morts. »« L'investiture de Daniel Chapo comme président du Mozambique, un événement censé marquer un nouveau départ pour ce pays d'Afrique australe, plonge en réalité le pays dans une atmosphère de tension et d'incertitude, renchérit Afrik.com. Tandis que les partisans de l'opposant Venancio Mondlane multiplient les appels à manifester, les promesses d'unité et de dialogue du nouveau chef d'État sont mises à rude épreuve. »Election volée ?Venancio Mondlane qui conteste toujours la victoire de Daniel Chapo. Et ses partisans ne faiblissent pas. « L'image est malheureusement classique en Afrique, soupire Ledjely en Guinée. Une élection à la régularité plus que douteuse. Mais un pouvoir qui s'en moque et une opposition déterminée à obtenir par la rue la victoire qui lui a été refusée par les urnes. Et une répression aveugle et sourde menée par des forces de l'ordre (…). »Pour le site guinéen, « il est évident pour tout le monde que la victoire du président a été volée. Mais puisque les institutions en charge de certifier les résultats se sont rangées du côté du mensonge, on ne peut que s'en contenter. L'élection que revendique aujourd'hui Daniel Chapo, le candidat du FRELIMO, ressemble beaucoup à celle d'Ali Bongo Ondimba en 2016 face à Jean Ping ou à la victoire attribuée en 2018 à Félix Tshisekedi face à Martin Fayulu. »Examen de conscience pour le FRELIMO ?Pour Le Pays à Ouagadougou, que l'élection ait été volée ou pas, « le soutien populaire dont bénéficie le leader de l'opposition est le signe que le parti historique au pouvoir est aujourd'hui loin de répondre aux aspirations du peuple mozambicain. » Et, « au-delà de la décision de la Cour constitutionnelle, poursuit le quotidien ouagalais, les résultats fortement contestés de ce scrutin, appellent le FRELIMO à une véritable introspection. Et ce, dans un contexte sous-régional où d'autres partis historiques comme l'ANC en Afrique du Sud ou encore la Zanu-PF au Zimbabwe connaissent un net recul au sein de leurs opinions nationales. C'est dire aussi la montagne de défis qui attendent le nouveau président, pointe encore Le Pays, à commencer par l'apaisement du climat social. Il lui appartient donc de savoir tendre la main à l'opposition à l'effet d'ouvrir un dialogue constructif ainsi que des négociations visant à mettre fin aux violences en cours dans le pays. »Vers un partage du pouvoir ?WakatSéra, toujours au Burkina s'interroge en écho : « jusqu'où ira donc le FRELIMO pour garder la main, dans un pays où son pouvoir ne fait plus recette, notamment auprès d'une jeunesse désabusée, confrontée au manque d'emploi, à une économie exsangue et à la vie chère, et guettée par un avenir sans perspective réelle ? Le FRELIMO finira-t-il par lâcher du lest pour répondre à la volonté du peuple (…) ? Le FRELIMO acceptera-t-il, ou sera-t-il contraint, d'une manière ou d'une autre, à partager le pouvoir avec son opposition, à défaut de quitter les affaires ? Qui pourra trouver les solutions à cette équation à plusieurs inconnues ? Tout porte à croire que chaque partie restera campée sur sa position, prête à tirer la corde, jusqu'à la casser ! »Enfin, on revient au Monde Afrique pour qui « Daniel Chapo ne peut aujourd'hui sortir de l'impasse politique qu'en tendant la main à l'opposition. “Il faudrait que, dans les prochains jours, Daniel Chapo nomme un gouvernement avec des ministres issus des partis de l'opposition et de la société civile mozambicaine, considère Eric Morier-Genoud, professeur d'histoire de l'Afrique à l'université Queen's de Belfast. C'est nécessaire, poursuit-il, pour créer un gouvernement inclusif et lancer une nouvelle dynamique dans le pays“. »
« Daniel Chapo, président élu du Mozambique, a prêté serment hier matin dans une capitale, Maputo, placée sous haute sécurité, relève Le Monde Afrique. Après trois mois de violences, de pillages et de grèves à répétition qui paralysent le pays depuis la proclamation des résultats de l'élection du 9 octobre, le centre-ville de Maputo était quadrillé par les forces de l'ordre. Une autorisation était nécessaire pour accéder aux abords de la place de l'indépendance où se tenait la cérémonie d'investiture du successeur de Filipe Nyusi. Le premier défi de Daniel Chapo sera de sortir le pays de son marasme politique et d'une crise post-électorale qui a déjà fait plus de 300 morts. »« L'investiture de Daniel Chapo comme président du Mozambique, un événement censé marquer un nouveau départ pour ce pays d'Afrique australe, plonge en réalité le pays dans une atmosphère de tension et d'incertitude, renchérit Afrik.com. Tandis que les partisans de l'opposant Venancio Mondlane multiplient les appels à manifester, les promesses d'unité et de dialogue du nouveau chef d'État sont mises à rude épreuve. »Election volée ?Venancio Mondlane qui conteste toujours la victoire de Daniel Chapo. Et ses partisans ne faiblissent pas. « L'image est malheureusement classique en Afrique, soupire Ledjely en Guinée. Une élection à la régularité plus que douteuse. Mais un pouvoir qui s'en moque et une opposition déterminée à obtenir par la rue la victoire qui lui a été refusée par les urnes. Et une répression aveugle et sourde menée par des forces de l'ordre (…). »Pour le site guinéen, « il est évident pour tout le monde que la victoire du président a été volée. Mais puisque les institutions en charge de certifier les résultats se sont rangées du côté du mensonge, on ne peut que s'en contenter. L'élection que revendique aujourd'hui Daniel Chapo, le candidat du FRELIMO, ressemble beaucoup à celle d'Ali Bongo Ondimba en 2016 face à Jean Ping ou à la victoire attribuée en 2018 à Félix Tshisekedi face à Martin Fayulu. »Examen de conscience pour le FRELIMO ?Pour Le Pays à Ouagadougou, que l'élection ait été volée ou pas, « le soutien populaire dont bénéficie le leader de l'opposition est le signe que le parti historique au pouvoir est aujourd'hui loin de répondre aux aspirations du peuple mozambicain. » Et, « au-delà de la décision de la Cour constitutionnelle, poursuit le quotidien ouagalais, les résultats fortement contestés de ce scrutin, appellent le FRELIMO à une véritable introspection. Et ce, dans un contexte sous-régional où d'autres partis historiques comme l'ANC en Afrique du Sud ou encore la Zanu-PF au Zimbabwe connaissent un net recul au sein de leurs opinions nationales. C'est dire aussi la montagne de défis qui attendent le nouveau président, pointe encore Le Pays, à commencer par l'apaisement du climat social. Il lui appartient donc de savoir tendre la main à l'opposition à l'effet d'ouvrir un dialogue constructif ainsi que des négociations visant à mettre fin aux violences en cours dans le pays. »Vers un partage du pouvoir ?WakatSéra, toujours au Burkina s'interroge en écho : « jusqu'où ira donc le FRELIMO pour garder la main, dans un pays où son pouvoir ne fait plus recette, notamment auprès d'une jeunesse désabusée, confrontée au manque d'emploi, à une économie exsangue et à la vie chère, et guettée par un avenir sans perspective réelle ? Le FRELIMO finira-t-il par lâcher du lest pour répondre à la volonté du peuple (…) ? Le FRELIMO acceptera-t-il, ou sera-t-il contraint, d'une manière ou d'une autre, à partager le pouvoir avec son opposition, à défaut de quitter les affaires ? Qui pourra trouver les solutions à cette équation à plusieurs inconnues ? Tout porte à croire que chaque partie restera campée sur sa position, prête à tirer la corde, jusqu'à la casser ! »Enfin, on revient au Monde Afrique pour qui « Daniel Chapo ne peut aujourd'hui sortir de l'impasse politique qu'en tendant la main à l'opposition. “Il faudrait que, dans les prochains jours, Daniel Chapo nomme un gouvernement avec des ministres issus des partis de l'opposition et de la société civile mozambicaine, considère Eric Morier-Genoud, professeur d'histoire de l'Afrique à l'université Queen's de Belfast. C'est nécessaire, poursuit-il, pour créer un gouvernement inclusif et lancer une nouvelle dynamique dans le pays“. »
Au programme de cette Matinale :Le journal de la rédaction pour décrypter l'essentiel de l'actualité comptable, financière et extra-financièreLe dossier du mois avec Emmanuel Paret, associé et Directeur de la doctrine comptable de KPMG & Xavier Carsin, Directeur au sein de KPMG Avocats, s'expriment sur les conséquences comptables et sociales, pour les entreprises, de l'absence de loi de finances et de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025
durée : 00:08:41 - L'INVITE franceinfo soir - Jérôme Guedj, porte-parole du PS et député de l'Essonne, était l'invité de franceinfo soir, mardi 14 janvier.
2025 est synonyme de grands défis et surtout de grands enjeux pour l'économie mondiale. Certains mots vont faire la Une de l'actualité économique. Avant de les évoquer tout au long de l'année, découvrons-les ensemble ! S'il y a un mot que vous allez beaucoup entendre cette année, c'est le mot protectionnisme. Cela pour de multiples raisons mais la première, c'est l'arrivée à la Maison Blanche de Donald Trump. La politique économique du futur président américain est bien le gros dossier de ce début d'année 2025. Parmi les mesures phares de repli sur soi qu'il envisage, l'application de droits de douane de 10 à 20 % sur toutes les importations. Cela pourrait aller jusqu'à 60% pour les produits chinois. On ne sait toujours pas si ces menaces sont réelles ou s'il s'agit d'un premier pas, ou plutôt d'un coup de pied dans la négociation, mais cette intensification des tensions commerciales pourrait entraver la croissance des échanges mondiaux !À lire aussiCanal de Panama, Canada, Groenland: le rêve expansionniste de Donald TrumpIncertitude Le Fonds Monétaire international ne prend pas de pincettes et l'a même expliqué dans ses dernières perspectives de l'économie mondiale: « Préparez-vous à des temps incertains ». La présidence de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, elle, est beaucoup plus catégorique, affirmant que l'incertitude sera « abondante en 2025 ». Incertitudes on l'expliquait en raison de la politique de Donald Trump à la tête de la première économie mondiale. Incertitude également expliquée par les conflits en cours à travers le monde, et en premier lieu, celui au Proche-Orient. Sur le long terme, il pourrait avoir des effets négatifs sur le marché de l'énergie. Chine – Europe – États-Unis Il y a aussi la situation de la Chine qui compte dans cet équilibre mondial. Puisque si les taxes douanières américaines sont appliquées, Pékin devra trouver de nouveaux partenaires et mettre au point de nouvelles alliances. Mais on l'a dit, ça va se compliquer avec les États-Unis. Les entreprises chinoises pourraient être tentées d'intensifier leur concurrence en Europe mais ça pourrait être tout aussi compliqué avec les Européens. La raison ? C'est que l'industrie européenne est à la peine, en partie parce que la concurrence chinoise est justement féroce. C'est donc l'une des priorités de la nouvelle commission européenne, la sécurité économique des 27. Cela se traduit, comme aux États-Unis, par une hausse des taxes, c'est déjà acté pour les voitures électriques chinoises, jusqu'à 38%. Et puisqu'on parle d'Europe, impossible de ne pas évoquer le moteur du continent, l'Allemagne, empêtrée dans des crises politiques, économiques et sociales. Berlin va devoir revoir cette année son modèle, investir massivement et revoir ses règles de l'endettement si elle veut éviter de nouvelles fermetures d'usines et des dizaines de milliers de licenciements comme c'est aujourd'hui le cas avec Volkswagen par exemple. À lire aussiComment l'Allemagne tente de sauver son industrie et son économieRésilience Mais il y a quand même du positif. Si on regarde du côté de la croissance, les indicateurs sont au vert ! D'après l'OCDE, l'organisation de coopération et de développement économiques, la croissance mondiale pour cette année 2025 devrait rester positive, les prévisions parlent d'une tendance autour de 3%. Les économies du monde devraient ainsi rester résilientes et la désinflation, c'est-à-dire la baisse de l'inflation, devrait continuer. Les taux d'intérêts devraient aussi diminuer. Vous l'aurez compris, 2025 s'annonce une nouvelle fois riche en actualité économique, nul doute qu'elle sera aussi riche en surprises !
Pendant que Justin Trudeau réfléchit à son avenir, la valeur du dollar canadien est à son plus bas depuis le début de la pandémie. Les exportateurs sont inquiets et la crise politique qui secoue la capitale fédérale ne fait rien pour rassurer.
En mode #milestone à la veille de fêter mon 40e anniversaire. Incertitudes ?Non, plutôt un gros paquet d'espoirs.
(00:00:39) Incertitudes de la démocratie: les interrogations d'étudiants en relations internationales (00:06:05) Quel avenir pour le parti démocrate aux Etats-Unis? Interview Suzi LeVine
durée : 00:59:10 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Alors que le mois d'octobre a été marqué par des inondations impressionnantes en France et en Espagne, la capacité de notre système d'assurance à affronter la multiplication des sinistres pose question. Dans quelle mesure le changement climatique bouleverse-t-il l'écosystème assurantiel français ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Myriam Merad Directrice de recherches CNRS UMR LANSADE (Laboratoire d'Analyse et de modélisation des systèmes de décision); Laurence Barry Actuaire, co-titulaire de la chaire PARI (Programme de Recherche sur l'Appréhension des Risques et des Incertitudes ; ENSAE/Sciences Po) et chercheure affiliée au CREST
La guerre en Ukraine rebat la carte des approvisionnements mondiaux, et en particulier celui de l'uranium. Plus le temps passe, plus il y a des raisons légitimes de croire que l'Occident pourrait pâtir du conflit. Le premier signal d'alarme de cette rentrée a été tiré par le directeur général de Kazatoprom, la société étatique du Kazakhstan, qui produit à elle seule la moitié des volumes du pays : le responsable a expliqué que les acheteurs asiatiques étaient de si bons clients qu'il serait très facile de leur vendre l'essentiel de la production du groupe.Par souci de diversification, le minier kazakh dit vouloir cependant maintenir ses exportations vers les États-Unis et l'Europe, même si la logistique s'avère plus complexe. L'année dernière, Kazatoprom a encore envoyé la moitié de sa production vers ces destinations occidentales.À écouter aussiMichaël Levystone: «L'Asie centrale est devenue une plaque tournante des échanges est-ouest»Incertitudes sur la production kazakheMais jusqu'à quand le Kazakhstan résistera-t-il à la pression de la Russie ? La question est d'autant plus légitime que le géant russe Rosatom détient des parts dans cinq des 14 gisements de Kazatoprom, selon le Financial Times.Les besoins croissants en uranium de la Russie et de la Chine pour alimenter leur programme de développement nucléaire sont un autre argument qui ne plaide pas en faveur de l'approvisionnement de l'Occident. L'incertitude sur la production kazakhe n'arrange rien : Kazatoprom a abaissé le mois dernier, lors de la présentation de ses résultats semestriels, ses prévisions de 17 % pour 2025, en raison d'un manque de visibilité sur l'approvisionnement en acide sulfurique et de retards pris dans la construction d'infrastructures. Le groupe a, par ailleurs, décidé de n'annoncer ses plans de production pour 2026 que l'été prochain. À lire aussiEn Ouzbékistan, Emmanuel Macron cherche à sécuriser l'approvisionnement en uranium de la FranceMenace de restrictions russes à l'exportationLa question des volumes à l'exportation disponibles pour les marchés occidentaux se pose donc plus que jamais, même si Kazatomprom assure pouvoir honorer tous ses engagements l'année prochaine et même si les européens ont « depuis fort longtemps diversifié, à travers la planète, leur approvisionnement en uranium naturel », explique un expert de la filière.Le sujet est encore plus d'actualité depuis que le président russe Vladimir Poutine a demandé le 11 septembre à son gouvernement d'étudier l'opportunité de limiter des exportations d'uranium, mais aussi de nickel et de titane. Une déclaration en réponse aux sanctions prises par l'Occident et qui ne serait pas sans conséquence si elle se concrétisait : Rosatom contrôle près de la moitié de la capacité mondiale d'enrichissement d'uranium et compte, parmi ses clients, les États-Unis et l'Europe. À lire aussiAu sommet de l'OCS, «il y a une forme de partage d'intérêts entre la Russie et la Chine en Asie centrale»
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donne des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Après 15 jours d'interruption, la fête des Jeux continue à Paris.Certes, pointe le Times à Londres, « la cérémonie d'ouverture paralympique hier soir semblait moins innovante que celle des Jeux il y a cinq semaines, mais c'était tout de même la première cérémonie paralympique organisée à l'extérieur d'un stade, et cela l'a rendu encore plus impressionnante. »« Les XVIIe Jeux Paralympiques ont débuté sous un ciel bleu puis ont illuminé la nuit, s'exclame leGuardian, autre quotidien britannique, apportant au handisport la même énergie et la même joie qui ont jusqu'à présent caractérisé cet été historique. Au cours des onze prochains jours, de nouveaux héros apparaitront, de nouvelles histoires seront racontées et, peut-être, restera un héritage de changement positif pour les personnes en situation de handicap. »En tout cas, « devant 35.000 spectateurs sur la place de la Concorde, la cérémonie, rythmée par des danses audacieuses et expressives et par un défilé de 128 nations concurrentes mais non moins en liesse, cette cérémonie a donné l'image d'un pays toujours “en fête“. »Au-delà des différences…Une fête réussie également pour Le Soir à Bruxelles : « environ 500.000 spectateurs le long de l'avenue des Champs-Elysées asphaltée pour l'occasion, 65.000 rassemblés sur ou aux alentours d'une place de la Concorde réaménagée, des millions de téléspectateurs et une douce température estivale qui contrastait étrangement avec celle qui avait prévalu lors de la cérémonie des Jeux “classiques“ : c'est sûr, s'exclame le quotidien belge, la soirée d'ouverture des Jeux paralympiques 2024 restera elle aussi dans les mémoires au rayon des bons souvenirs. Ephémères et éternels à la fois, du genre à vous faire sentir importants, et peu importaient les différences de genre, d'âge, de couleur, de religion ou de… handicap (…) au moins le temps de cette soirée hors du temps, dans ce cadre somptueux du Paris qu'on aime (…). »Alors au cours de cette cérémonie, « beaucoup de références à la culture française, remarque Le Tempsà Genève, mais comme lors des JO, la volonté de Thomas Jolly et du chorégraphe Alexander Ekman était de livrer également un message politique : celui de l'inclusivité, du changement de regard sur le handicap, sans trahir toutefois la réalité. Le paradoxe était ainsi au cœur du spectacle, relève encore le quotidien suisse : celui d'une société qui se veut inclusive mais qui reste emplie de préjugés envers les personnes en situation de handicap. C'est ainsi qu'Alexander Ekman a notamment raconté l'histoire de deux groupes évoluant de la Discorde à la Concorde et utilisant la créativité pour combler la distance qui les sépare. Au final, ils se sont retrouvés pour une sportographie. Unis, ils ont brandi des drapeaux blancs symbolisant ces nouveaux Jeux inclusifs dont l'histoire reste à écrire. Cette performance collective rejoint l'idéal d'une nouvelle compétition sportive qui réunirait tous les athlètes, sans distinction. »L'envie d'oublier…Pour Libération à Paris, cette parenthèse des Jeux paralympiques est bienvenue en cette période politique pour le moins troublée en France…« Unité, fraternité, sororité, optimisme, confiance, joie… Ces mots nous ont accompagnés pendant toute la durée des Jeux olympiques et ils nous ont sacrément manqué depuis plus de deux semaines que nous avons sombré dans la crise politique, soupire Libé. Incertitudes, trahison, fébrilité, colère, chaos, peur… le contraste a été rude entre l'esprit de fête de la première moitié du mois d'août et l'esprit de défaite qui marque la seconde. Les Jeux paralympiques qui démarrent ce jeudi sont attendus avec une double impatience, pointe encore Libération. S'entremêlent l'envie de vibrer à nouveau collectivement devant le spectacle d'athlètes cherchant à dépasser leurs différences et à offrir le meilleur de ce que l'être humain peut sportivement donner, mais aussi l'envie d'oublier, l'espace d'une dizaine de jours, les divisions et les cris de colère qui risquent d'assombrir cette rentrée politique, sociale et scolaire. »En tout cas hier soir, relève Le Figaro, « l'émotion était bien là. » Le Figaro qui se projette : « qu'en sera-t-il le 8 septembre prochain, pour la cérémonie de clôture ? Cette fois, le Stade de France sera transformé en dancefloor géant. La soirée a été confiée au producteur Romain Pissenem, numéro un mondial des grandes soirées électro qui a fait appel à Jean-Michel Jarre, Kungs, Offenbach et bien d'autres stars de la French touch. » Ça promet…
Sat, 20 Jul 2024 08:08:09 +0000 https://morningbull.podigee.io/1002-new-episode f772ca1e19ce4ee692cb0a28c6404d12 full Le point de situation sur Trump, Roche, l'obésité, les chiffres qui ne plaisent pas, le doute qui plane et la volatilité qui porte biens son nom. no Swiss Bliss,Morningbull,Swissquote,Bourse,Finance,Suisse,Roche,Novartis,ABB,Richemont,Swatch Thomas Veillet et Vincent Ganne vous proposent un tour d'horizon de toutes les classes d'actifs
Au sommaire: (00:00:41) Une raison d'être et des incertitudes pour les 75 ans de l'OTAN (00:07:49) UK: les premiers pas de Keir Starmer, interview de Thibaud Harrois (00:15:17) Des musiciens de Gaza en exil tentent de faire vivre leur art
Vendredi 5 juillet, les deux inquiétudes par rapport à l'émission obligataire : le taux auquel la France allait devoir emprunter et la demande des investisseurs, ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Vendredi 5 juillet, les deux inquiétudes par rapport à l'émission obligataire : le taux auquel la France allait devoir emprunter et la demande des investisseurs, ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:59:43 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Nous recevons aujourd'hui Caroline Arnould, Directrice Générale de CAFPI (courtier en prêt immobilier et rachat de crédits) et Jean-François Labbé de l'APIA (Administrateurs Professionnels Indépendants et Associés) pour décrypter les incertitudes que les Législatives font peser sur notre économie.
[Épisode 360] [Mindset] C'est fait je quitte mon travail, mais je stage plusieurs mois en reconversion, alité à cause d'une opération chirurgicale... - Mon site: https://www.photorealisme-3d.fr - Groupe fb: https://www.facebook.com/groups/491838749209075/ - Page fb: https://www.facebook.com/photorealisme3d - Contact : kevin@photorealisme-3d.fr
Si un possible retour, bien que timide, des introductions en Bourse était perceptible en début d'année, le climat semble moins favorable, à l'image de Golden Goose, qui vient de reporter son introduction à la bourse de Milan. L'analyse de Laurent Grassin, directeur de la rédaction de Boursorama. Ecorama du 25 juin 2024, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
Malgré la dissolution, l'Agence France Trésor a réussi à placer avec succès la dette de l'Etat avec 10,5 milliards d'euros d'OAT à moyen terme et 2,25 milliards d'euros d'OAT indexées sur l'inflation. Bien que cette opération se soit bien passée, y a-t-il toujours un risque de perte d'appétit des investisseurs étrangers pour la dette française ? L'analyse de Jean-François Robin, directeur de la recherche chez Natixis. Ecorama du 24 juin 2024, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
Incertitudes politiques Podcast économie et marchés Athymis gestion en date du 24 juin 2024 Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
Les parlementaires d'Afrique du Sud doivent désigner ce matin le président du pays au Cap. Un vote précédé cette nuit d'un accord de dernière minute annoncé par l'African National Congress... objectif : former le « GNU », le gouvernement de coalition autour de l'ANC. Lors d'un point presse, le secrétaire général de l'ANC, Fikile Mbalula s'explique sur les raisons des négociations tardives.« Union nationale » : la presse sud-africaine diviséePour The Star, le gouvernement de coalition est une « lueur d'espoir » : le quotidien de Johannesbourg voit le GNU comme « un test grandeur nature de coopération, un exemple de comment différentes entités peuvent mettre de côté leurs différences pour le bien commun et pour améliorer la vie des Sud-Africains ».Le Mail and Guardian appelle lui au « règne de la maturité » : pour le journal de gauche, le GNU apporte un semblant d'équilibre dans un moment incertain de l'histoire de l'Afrique du Sud. Le vœu du M&G, « c'est que ceux qui ont négocié de bonne foi se retrouvent dans le nouveau leadership sudafricain », et que « ceux qui s'entêtent à refuser le dialogue soient mis à l'écart ».Business Day rappelle ainsi que MK le parti dissident de l'ex président Jacob Zuma rejette l'accord d'union nationale, tout comme les EFF du dirigeant populiste Julius Malema. Le média économique partage les prédictions d'analystes pour qui « le GNU ne va pas s'avérer très stable - en raison notamment de possibles désaccords sur la gestion des finances du pays et notamment le poids de la fonction publique ». Un GNU jugé « improbable » car il regroupe « trois vieux partis, l'ANC, l'Alliance démocratique et le Parti Inkatha de la liberté qui ne se sont jamais appréciés ».RDC : le gouvernement de Judith Suminwa confronté aux rebelles ADF et M23« Deux grosses épines dans le pied de la Première ministre » d'après La Tempête des Tropiques... le journal de Kinshasa déplore l'aggravation de la situation sécuritaire et la crise humanitaire dans la province du Nord-Kivu ces dernières semaines.Pour le quotidien, les autorités sont « obligées de changer de stratégie » pour y restaurer la paix mais aussi au Sud-Kivu et en Ituri.Actualité.CD sert ainsi de mégaphone à la colère de La Voix des Sans Voix... L'association de défense des droits humains dénonce « la persistance des tueries dans l'Est du pays » malgré la présence des troupes de la SADC [d'Afrique australe] et de la Monusco... Pour la VSV, « la population continue d'être massacrée et de vivre dans des conditions infrahumaines » et ce « trois ans après l'instauration de l'État de siège ».Les derniers massacres commis par les rebelles ADF inquiètent particulièrement. Politico RDC parle de la dernière attaque des rebelles ougandais : plus de 40 morts dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu, « alors qu'aucune pression militaire n'est exercée » selon le média en ligne.Le conflit Teke-Yaka, autre source de préoccupation en RDCLe député national Garry Sakata accorde une interview à Actualité CD pour parler de la guerre entre les deux communautés en cours depuis 2022. À l'origine un conflit foncier dans le Mai Ndombe, qui s'étend désormais dans cinq provinces de l'ouest congolais, jusqu'aux limites de Kinshasa. Les affrontements ont provoqué des centaines de morts et le déplacement de dizaines de milliers de villageois dans la région.Pour l'élu du territoire de Bagata, il ne faut pas « de dialogue dans les salles climatisées » de Kinshasa « entre des chefs de villages qui n'ont suivi la situation que par voie de presse […] les papiers signés n'ont pas permis de paix durable, et sur le terrain on ne ressent absolument rien » affirme Garry Sakata, qui demande à la justice militaire « de se déployer avec l'aide de l'État » dans ce conflit afin de poursuivre les auteurs de « crimes contre l'humanité » (au sens du Code pénal militaire congolais).La Cédéao « responsable de l'escalade entre le Bénin et le Niger »AllAfrica, le site d'information panafricain décrète dans un édito « la faillite » de l'organisation de l'Afrique de l'Ouest « en matière de règlements des conflits ». « Une médiation extérieure au continent » est « L'alternative qui semble hélas se dessiner » entre Cotonou et Niamey. « Il faut éviter que les conflits de basse intensité se muent en belligérance au regard des vulnérabilités des pays du continent. Il faut écarter la belligérance économique où l'on essaie de s'étouffer mutuellement. Ce serait catastrophique pour la sécurité des états dans cette zone » juge AllAfrica qui espèrent que « la raison et les vertus du dialogue finiront par s'imposer ».
Nouvelle séance de correction à la Bourse de Paris. Les investisseurs craignent l'issue des élections législatives anticipées. Ce qui se traduit par un écart entre le rendement allemand à 10 ans et son équivalent français à près de 80 points de base. L'analyse de John Plassard, spécialiste en investissement chez Mirabaud. Ecorama du 14 juin 2024, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com
Les parlementaires d'Afrique du Sud doivent désigner ce matin le président du pays au Cap. Un vote précédé cette nuit d'un accord de dernière minute annoncé par l'African National Congress... objectif : former le « GNU », le gouvernement de coalition autour de l'ANC. Lors d'un point presse, le secrétaire général de l'ANC, Fikile Mbalula s'explique sur les raisons des négociations tardives.« Union nationale » : la presse sud-africaine diviséePour The Star, le gouvernement de coalition est une « lueur d'espoir » : le quotidien de Johannesbourg voit le GNU comme « un test grandeur nature de coopération, un exemple de comment différentes entités peuvent mettre de côté leurs différences pour le bien commun et pour améliorer la vie des Sud-Africains ».Le Mail and Guardian appelle lui au « règne de la maturité » : pour le journal de gauche, le GNU apporte un semblant d'équilibre dans un moment incertain de l'histoire de l'Afrique du Sud. Le vœu du M&G, « c'est que ceux qui ont négocié de bonne foi se retrouvent dans le nouveau leadership sudafricain », et que « ceux qui s'entêtent à refuser le dialogue soient mis à l'écart ».Business Day rappelle ainsi que MK le parti dissident de l'ex président Jacob Zuma rejette l'accord d'union nationale, tout comme les EFF du dirigeant populiste Julius Malema. Le média économique partage les prédictions d'analystes pour qui « le GNU ne va pas s'avérer très stable - en raison notamment de possibles désaccords sur la gestion des finances du pays et notamment le poids de la fonction publique ». Un GNU jugé « improbable » car il regroupe « trois vieux partis, l'ANC, l'Alliance démocratique et le Parti Inkatha de la liberté qui ne se sont jamais appréciés ».RDC : le gouvernement de Judith Suminwa confronté aux rebelles ADF et M23« Deux grosses épines dans le pied de la Première ministre » d'après La Tempête des Tropiques... le journal de Kinshasa déplore l'aggravation de la situation sécuritaire et la crise humanitaire dans la province du Nord-Kivu ces dernières semaines.Pour le quotidien, les autorités sont « obligées de changer de stratégie » pour y restaurer la paix mais aussi au Sud-Kivu et en Ituri.Actualité.CD sert ainsi de mégaphone à la colère de La Voix des Sans Voix... L'association de défense des droits humains dénonce « la persistance des tueries dans l'Est du pays » malgré la présence des troupes de la SADC [d'Afrique australe] et de la Monusco... Pour la VSV, « la population continue d'être massacrée et de vivre dans des conditions infrahumaines » et ce « trois ans après l'instauration de l'État de siège ».Les derniers massacres commis par les rebelles ADF inquiètent particulièrement. Politico RDC parle de la dernière attaque des rebelles ougandais : plus de 40 morts dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu, « alors qu'aucune pression militaire n'est exercée » selon le média en ligne.Le conflit Teke-Yaka, autre source de préoccupation en RDCLe député national Garry Sakata accorde une interview à Actualité CD pour parler de la guerre entre les deux communautés en cours depuis 2022. À l'origine un conflit foncier dans le Mai Ndombe, qui s'étend désormais dans cinq provinces de l'ouest congolais, jusqu'aux limites de Kinshasa. Les affrontements ont provoqué des centaines de morts et le déplacement de dizaines de milliers de villageois dans la région.Pour l'élu du territoire de Bagata, il ne faut pas « de dialogue dans les salles climatisées » de Kinshasa « entre des chefs de villages qui n'ont suivi la situation que par voie de presse […] les papiers signés n'ont pas permis de paix durable, et sur le terrain on ne ressent absolument rien » affirme Garry Sakata, qui demande à la justice militaire « de se déployer avec l'aide de l'État » dans ce conflit afin de poursuivre les auteurs de « crimes contre l'humanité » (au sens du Code pénal militaire congolais).La Cédéao « responsable de l'escalade entre le Bénin et le Niger »AllAfrica, le site d'information panafricain décrète dans un édito « la faillite » de l'organisation de l'Afrique de l'Ouest « en matière de règlements des conflits ». « Une médiation extérieure au continent » est « L'alternative qui semble hélas se dessiner » entre Cotonou et Niamey. « Il faut éviter que les conflits de basse intensité se muent en belligérance au regard des vulnérabilités des pays du continent. Il faut écarter la belligérance économique où l'on essaie de s'étouffer mutuellement. Ce serait catastrophique pour la sécurité des états dans cette zone » juge AllAfrica qui espèrent que « la raison et les vertus du dialogue finiront par s'imposer ».
Ce mercredi 12 juin, Antoine Larigaudrie est revenu sur les performances des principaux marchés boursiers et les tendances du moment dans Morning Briefing, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C dans l'air du 20 mai 2024 : Mort d'Ebrahim Raïssi : incertitudes en Iran Nos experts : • FRÉDÉRIC ENCEL - Docteur en géopolitique - Maître de conférences - Sciences Po Paris • ALAIN BAUER - Professeur au CNAM, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement • AGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l'IREMMO, Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient • DAVID RIGOULET-ROZE - Politologue - Chercheur associé à l'IRIS, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques • CHIRINNE ARDAKANI (via skype) - Avocate franco-iranienne au Barreau du Val d'Oise, membre du collectif Iran Justice
L'édito d'Anne Rosencher qui revient sur l'accident d'hélicoptère dont a été victime Ebrahim Raïssi. Avec les journalistes Mariam Pirzadeh et Georges Malbrunot on revient également sur le mandat d'intérêt émis contre Netanyahou et les dirigeants du Hamas. Diffusé le lundi 20 mai 2024 à 19h sur France 5. Tous les jours, Anne Rosencher décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
Le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps a convoqué jeudi un groupe de 25 joueurs pour disputer l'Euro-2024 (14 juin-14 juillet en Allemagne) avec quelques surprises. N'Golo Kanté, cadre historique des Bleus qui évolue aujourd'hui dans le championnat saoudien, fait ainsi son grand retour et le jeune attaquant Bradley Barcola a été appelé pour la première fois. Le débrief complet de la liste de Deschamps avec Florian Gazan, Éric Silvestro et Nicolas Georgereau.
La présence de la princesse Kate, hospitalisée en janvier, à un événement officiel a été annoncée avant d'être retirée, suscitant de nombreuses interrogations outre-Manche.
Incertitudes, lassitude, découragement et peurs... Quel espoir reste-t-il pour l'avenir des jeunes ? Selon le Baromètre sur la jeunesse 2021, les jeunes éprouvent de plus en plus de difficultés à se projeter dans le futur et le pessimisme gagne du terrain. Crises sanitaire et économique, guerres, environnement, terrorisme... Toutes ces problématiques les alertent et les concernent. Et face à ces crises, leurs projets professionnels et personnels s'effondrent, leurs rêves deviennent des cauchemars. Alors comment les jeunes appréhendent-ils leur avenir ? Comment redonner espoir à leurs rêves ? À l'occasion de la sortie du documentaire-série « Rêves ».Avec :• Arthur Pérole, chorégraphe et co-réalisateur avec Pascal Catheland de la série documentaire Rêves.• Fabrice Rousselot, directeur de la rédaction, The Conversation France à l'origine de l'enquête Jeune(s) en France, réalisée en octobre 2023 pour The Conversation France par le cabinet George(s). Une étude auprès d'un échantillon représentatif de plus de 1 000 personnes qui permet de mieux cerner les engagements des 18-25 ans, les causes qu'ils défendent et leur vision de l'avenir.• Les témoignages de Sara et Louise, 2 ans après le tournage. Et en fin d'émission, L'Afrique qui gagne de Rafiki Fariala, réalisateur centrafricain qui vient de sortir le documentaire « Nous, étudiants ! » sur un groupe d'étudiants à Bangui, leurs galères et leur détermination. Un portrait réalisé par Charlie Dupiot.République centrafricaine. Nestor, Aaron et Benjamin sont des étudiants en économie à l'Université de Bangui. Rafiki, le réalisateur, les a rencontrés en première année, ils ont étudié ensemble, ils ont lutté ensemble et chaque jour inventé des moyens de survivre. Ils ont aussi rêvé de leur avenir ensemble. Les examens approchent. Chacun est à la croisée des chemins. Programmation musicale :► Bichotag - Karol G ► Lonely At The Top - Asake
Incertitudes, lassitude, découragement et peurs... Quel espoir reste-t-il pour l'avenir des jeunes ? Selon le Baromètre sur la jeunesse 2021, les jeunes éprouvent de plus en plus de difficultés à se projeter dans le futur et le pessimisme gagne du terrain. Crises sanitaire et économique, guerres, environnement, terrorisme... Toutes ces problématiques les alertent et les concernent. Et face à ces crises, leurs projets professionnels et personnels s'effondrent, leurs rêves deviennent des cauchemars. Alors comment les jeunes appréhendent-ils leur avenir ? Comment redonner espoir à leurs rêves ? À l'occasion de la sortie du documentaire-série « Rêves ».Avec :• Arthur Pérole, chorégraphe et co-réalisateur avec Pascal Catheland de la série documentaire Rêves.• Fabrice Rousselot, directeur de la rédaction, The Conversation France à l'origine de l'enquête Jeune(s) en France, réalisée en octobre 2023 pour The Conversation France par le cabinet George(s). Une étude auprès d'un échantillon représentatif de plus de 1 000 personnes qui permet de mieux cerner les engagements des 18-25 ans, les causes qu'ils défendent et leur vision de l'avenir.• Les témoignages de Sara et Louise, 2 ans après le tournage. Et en fin d'émission, L'Afrique qui gagne de Rafiki Fariala, réalisateur centrafricain qui vient de sortir le documentaire « Nous, étudiants ! » sur un groupe d'étudiants à Bangui, leurs galères et leur détermination. Un portrait réalisé par Charlie Dupiot.République centrafricaine. Nestor, Aaron et Benjamin sont des étudiants en économie à l'Université de Bangui. Rafiki, le réalisateur, les a rencontrés en première année, ils ont étudié ensemble, ils ont lutté ensemble et chaque jour inventé des moyens de survivre. Ils ont aussi rêvé de leur avenir ensemble. Les examens approchent. Chacun est à la croisée des chemins. Programmation musicale :► Bichotag - Karol G ► Lonely At The Top - Asake
Les incertitudes demeurent, selon The New Humanitarian. Le site internet spécialiste des questions humanitaires parle d'un accord de paix inachevé. Le média donne ainsi la parole à d'anciens combattants tigréens, comme cette jeune femme qui survit aujourd'hui avec 35 dollars par mois : « Elle se dit oubliée, traitée comme un vieux chewing-gum » et attend une hypothétique réintégration dans la société. Une illustration des nombreux ratés de la démobilisation un après la fin de la guerre.Dans un autre reportage au Tigré, le Addis Standard affiche le dénuement des ex-miliciens dans les camps dits de transit, le manque de médicaments, de nourriture.Selon The New Humanitarian, ce processus de démobilisation, le plus important jamais envisagé, concerne plus de 370 000 combattants et doit durer cinq ans avec l'aide des Nations unies. Le problème, c'est que personne ne veut payer la facture totale de 850 millions de dollars avec le gouvernement éthiopien. Un énorme risque selon un diplomate cité par le média en ligne car la plupart des ex-combattants ont encore des armes.Opacité dans l'attribution de blocs gaziers dans l'est de la RDCUne enquête co-signée par l'agence Reuters et The Bureau of Investigative Journalism pointe des irrégularités dans les résultats de l'appel d'offre émis par le gouvernement. Ce dernier concerne l'extraction d'hydrocarbures notamment autour du Lac Kivu. La société canadienne Alfajiri y a remporté l'une des zones en jeu et ce alors qu'elle ne présentait pas les garanties financières nécessaires, selon un rapport de présélection. Il faut dire que la société a été créée trois semaines après l'annonce de la mise aux enchères des marchés d'exploitation.L'enquête révèle aussi comment Alfajiri a vu son offre technique nettement réévaluée à la hausse, même si la société n'a pas démontré qu'elle employait du personnel qualifié dans un premier temps.L'affaire fait en tout réagir en RDC : sur Actualité.CD, la plateforme « Le Congo n'est pas à vendre », déplore l'absence de transparence dans le choix des lauréats. Son porte-parole s'insurge : « Il faut arrêter de sélectionner des sociétés qui n'ont pas les compétences. » Le ministère congolais des Hydrocarbures indique de son côté avoir respecté les évaluations du rapport final de sélection des offres.« L'empire de papier » d'un entrepreneur kényanJulius Mwale est présenté comme le principal investisseur de villes intelligentes comme Akon City dans la région de Thiès au Sénégal. Sauf que, nous révèle Mediapart, ce milliardaire autoproclamé est régulièrement accusé de laisser des factures impayées et ses projets n'ont jamais abouti. Akon City est toujours un chantier en friche aujourd'hui.L'enquête détaille donc comment Julius Mwale s'affiche auprès de chefs d'État et a réussi à convaincre des mannequins sud-africains, d'anciens militaires américains et donc la popstar américaine Akon, de financer ces soi-disant projets de « smart cities » au risque d'être condamné.Julius Mwale est ainsi dans le collimateur de la justice, aux États-Unis ou encore au Kenya pour ne pas avoir réglé plus de deux millions de dollars de factures ces quinze dernières années. L'une des plaignantes cingle : « C'est un escroc, un fraudeur, je ne comprends pas comment il fait pour être encore dans le coup... » L'avocat de Julius Mwale, lui, « dénonce une enquête diffamatoire aux relents racistes qui semble discréditer les personnes noires comme des escrocs ».Les célébrations des Springboks continuent en Afrique du SudLes rugbymen sud-africains font encore la fête comme l'a constaté la télévision eNCA. Près d'une semaine après leur victoire à la Coupe du monde en France, les champions ont commencé leur tour d'honneur dans un bus à impériale sur l'avenue centrale de la capitale Pretoria. Autour d'eux, des dizaines de milliers de supporters et le président Cyril Ramaphosa.Pour terminer en musique, le quotidien The Star raconte comment les Springboks ont sabré le champagne avec le chanteur Zakes Bantwini et son tube « Mama Thula ».
Ecoutez Lenglet-Co du 24 avril 2023 avec François Lenglet.
durée : 01:00:05 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Confrontés aux défis du réchauffement climatique, jouons-nous à la roulette russe, quand il s'agit de donner une valeur au carbone, aujourd'hui et à l'avenir ? S'interroge l'économiste Christian Gollier.
durée : 00:59:08 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Le traité de l'Élysée a été signé il y a soixante ans. A l'occasion de la commémoration de ce symbole de la réconciliation entre les deux pays, un conseil des ministres franco-allemand se tient le 22 janvier à Paris. Qu'en est-il du moteur de la construction européenne qui semble au point mort ? - invités : Daniel Cohn-Bendit Ancien député européen; Daniela Schwarzer Directrice exécutive pour l'Europe et l'Eurasie de l'Open Society et Membre du Conseil d'administration de l'Institut Jacques Delors; Joseph de Weck Historien, politologue et journaliste, directeur Europe de Greenmantle (cabinet de conseil en risques macroéconomiques et géopolitiques basé à Paris)
Un deuxième groupe de soldats kényans de la force régionale est-africaine en République démocratique du Congo est arrivé mercredi à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu sous la menace d'une attaque des rebelles du M23 toujours à l'offensive. L'incertitude demeure sur Kibumba, localité dont le M23 dit s'être emparé.
Croissance ou rentabilité ? Le débat refait surface alors que les investisseurs sont beaucoup plus regardant sur les business models depuis 6 mois. Exit les levées de fonds gigantesques et les valorisations démesurées. Incertitudes sur l'économie, inflation à 2 chiffres en zone euro, remontée des taux, l'environnement a radicalement changé. Je suis allé voir l'un de ces champions de la croissance de la French Tech, PayFit. C'est une solution de gestion de paie simple et automatisée qui s'adresse aux TPE/PME. Une vraie réussite jusqu'ici avec 1000 salariés, près de 10.000 clients et 200.000 employés dont la fiche de paie est gérée par la scale-up. Retour sur un très joli parcours et questions pour le futur : où sera PayFit dans quelques années ? Le co-fondateur, Firmin 30 ans, reçoit tech 45' au siège parisien, à 5 mn de la gare Saint Lazare, bon épisode ! PayFit en chiffres = Présence dans 4 pays, France puis Espagne et Allemagne depuis 2018 + Royaume-Uni en 2019 1000 salariés PayFit 10.000 clients pro (TPE, PME) 200.000 employés utilisent la solution tous les mois Financement = près de 500M€ levés au total Valorisation : 1,8 Md€ Aller plus loin leur mega-tour (254M) de début 2022 (Itw à Challenges) leur clip de l'automne 2022
L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi.
L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi.
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Confrontés aux défis du réchauffement climatique, jouons-nous à la roulette russe, quand il s'agit de donner une valeur au carbone, aujourd'hui et à l'avenir ? S'interroge l'économiste Christian Gollier. - invités : Christian Gollier Economiste de l'incertain et directeur de l'Ecole d'économie de Toulouse