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Sur le continent, le défi des infrastructures est immense. L'Afrique accuse dans ce domaine un déficit de financement de plus de 100 milliards de dollars par an. Un déficit d'autant plus difficile à combler que les pays donateurs diminuent leur participation. Sur le continent, de plus en plus d'acteurs appellent à l'augmentation des financements africains, pour réduire la dépendance extérieure. De notre correspondante à Luanda, Alors que de nombreux pays occidentaux ont réduit cette année leur enveloppe dédiée à l'aide au développement, les pays africains doivent plus que jamais repenser leur mode de financement des infrastructures. Un défi mais aussi une opportunité. « Ce sont les aides qui ont diminué, ce qui est une très bonne chose, parce que c'est de la dette, juge Amine Idriss Adoum, directeur en charge des infrastructures à l'agence de développement de l'Union africaine-NEPAD. Nous croyons de plus en plus que l'Afrique ne peut pas se développer avec de l'argent qui vient de l'extérieur. L'Afrique doit se développer avec un financement qui est domestique. » À lire aussiL'Afrique doit-elle renoncer à l'aide publique au développement ? Mobiliser le financement domestique Ce financement domestique existe, mais il reste difficile à mobiliser pour les projets locaux. « Nous accusons souvent les pays étrangers, les médias internationaux de parler du risque en Afrique. Mais nous devons faire le premier pas nous-mêmes, estime l'économiste. Nous avons environ 4 000 milliards de dollars d'actifs qui appartiennent à nos différents fonds de pension, à nos fonds souverains, etc. Et, malheureusement, ces actifs ne sont pas investis en Afrique dans des activités productives », déplore-t-il. Pour attirer les investisseurs privés, il est nécessaire de rendre les projets d'infrastructures plus attractifs car le continent souffre d'une perception de risque élevé. « Un problème fondamental pour le financement des infrastructures en Afrique, c'est le coût très élevé du capital, explique Federico Bonaglia, directeur adjoint du centre de développement de l'OCDE. Pour réduire ce coût du capital, il faut que les projets soient bien ficelés. » Rendre les projets bancables Une priorité donc pour rassurer les investisseurs, y compris ceux du continent : avoir des projets bancables. Nombre d'entre eux, comme les projets hydroélectriques dans le bassin du Congo, le plus notable étant le barrage du grand Inga, sont en effet enlisés depuis des années. Notamment à cause de problèmes de gouvernance. « Si vous devez investir dans la production d'électricité, vous devez être sûr qu'il y a quelqu'un qui va acheter cette électricité, souligne Federico Bonaglia. Et ceci touche à des sujets tels que la gouvernance d'entreprise. Un exemple qui a réussi, c'est l'Egypte avec l'énergie solaire. Parce qu'ils ont travaillé sur ces questions, justement, de gouvernance d'entreprise et de qui va racheter derrière l'énergie qui sera produite. » Au sommet de Luanda, l'Alliance des institutions financières multilatérales africaines, a sélectionné avec le NEPAD, l'agence de développement de l'UA, onze projets prioritaires, avec un objectif de financement d'un montant initial de 1,5 milliard de dollars. Parmi eux : une liaison maritime entre les îles des Comores ou encore une voie ferrée entre le Tchad et le Cameroun. À lire aussiBanque africaine de développement: le nouveau président invite à «changer de paradigme» face aux défis du continent
A 10h, ce jeudi 4 décembre 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Chirinne Ardakani, avocate, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de : Christophe Gleizes, le monde du foot doit-il se mobilier ?
Comment embarquer toute une communauté éducative dans une démarche de transition durable ? Comment transformer les intentions en actions concrètes ? C'est le défi que relève la Haute École Léonard de Vinci avec son Plan Transition. Dans ce nouvel épisode du podcast "L'Heure de Fourche", Julie Robeet, chargée de projet pour le Plan Transition, partage cette expérience collective. Elle revient sur la genèse du plan, les stratégies de mobilisation et les actions mises en œuvre autour de quatre axes : l'enseignement et la recherche, la gouvernance interne, la gestion environnementale, ainsi que la santé et le bien-être. Un témoignage riche en exemples concrets et en conseils pour tout établissement qui souhaite s'engager dans une démarche similaire. Abonnez-vous au podcast pour ne rien manquer des prochains épisodes et suivez-nous sur les réseaux sociaux : SeGEC
Invités :Véronique Jacquier, journaliste.Olivier Benkemoun, journaliste politique.Alain Madelin, ancien ministre.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:11 - L'invité de la rédaction d'ICI Lorraine - Sandy Richard, présidente de l'association "Plus jamais ça, stop au harcèlement", rencontre Emmanuel Macron lors de sa visite dans les Vosges ce vendredi 28 novembre. Elle s'inquiète de ne plus voir la lutte contre le harcèlement progresser. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À la veille du grand retour du service militaire, qui devrait être annoncé demain par Emmanuel MACRON… Un service volontaire mais qui raconte bien le changement d'époque que nous traversons où la guerre redevient une réalité concrète… Nous allons en débattre avec nos invités : faut-il oui ou non remettre l'armée au cœur de la Nation comme le pense Emmanuel MACRON ? On en débat ce mercredi 26 novembre avec nos invités : - Bénédicte CHÉRON Historienne, maître de conférences à l'Institut Catholique de Paris, autrice de Le Soldat méconnu - les soldats et leurs armées, état des lieux aux éditions Armand Colin (septembre 2018), autrice de Mobiliser. Rétablir le service militaire le grand malentendu, à paraître en janvier aux éditions du Rocher - Romain HUËT Maître de conférences à l'Université Rennes 2, ethnographe des violences, auteur de La guerre en tête. Sur le front de la Syrie à l'Ukraine (Presses Universitaires de France, 24 janvier 2024) - Jean-Marie BOCKEL Ancien secrétaire d'État à la Défense, ancien sénateur du Haut-Rhin - Marc PÉRÉ Maire de L'Union, conseiller départemental de Haute-Garonne- Michel GOYA Ancien colonel des troupes de marine, historien, essayiste, auteur du livre Théorie du combattant (paru le 23 octobre 2025, Editions Perrin)
À la veille du grand retour du service militaire, qui devrait être annoncé demain par Emmanuel MACRON… Un service volontaire mais qui raconte bien le changement d'époque que nous traversons où la guerre redevient une réalité concrète… Nous allons en débattre avec nos invités : faut-il oui ou non remettre l'armée au cœur de la Nation comme le pense Emmanuel MACRON ? On en débat ce mercredi 26 novembre avec nos invités : - Bénédicte CHÉRON Historienne, maître de conférences à l'Institut Catholique de Paris, autrice de Le Soldat méconnu - les soldats et leurs armées, état des lieux aux éditions Armand Colin (septembre 2018), autrice de Mobiliser. Rétablir le service militaire le grand malentendu, à paraître en janvier aux éditions du Rocher - Romain HUËT Maître de conférences à l'Université Rennes 2, ethnographe des violences, auteur de La guerre en tête. Sur le front de la Syrie à l'Ukraine (Presses Universitaires de France, 24 janvier 2024) - Jean-Marie BOCKEL Ancien secrétaire d'État à la Défense, ancien sénateur du Haut-Rhin - Marc PÉRÉ Maire de L'Union, conseiller départemental de Haute-Garonne- Michel GOYA Ancien colonel des troupes de marine, historien, essayiste, auteur du livre Théorie du combattant (paru le 23 octobre 2025, Editions Perrin)
La COP 30 s'est achevée à Belém sur un accord jugé décevant. Dix ans après Laudato Si', la question du rôle des chrétiens dans la lutte climatique revient avec force. Pierre-Hugues Dubois reçoit Dominique Serra-Coatanea, enseignante en éthique et théologie morale aux facultés Loyola. Elle décrypte ce que ces conclusions en demi-teinte disent de notre responsabilité face à l'urgence écologique.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans VDJ, notre émission d'actu, cette semaine on revient sur les mouvements sociaux de septembre, les mobilisations de la gen Z à travers le monde… Et on se demande comment continuer à lutter efficacement face à un pouvoir qui se radicalise de plus en plus. Bref, la routine!__NOUS SOUTENIR : https://www.helloasso.com/associations/motus-et-langue-pendue@motuslemedia / motuslemedia.fr
durée : 00:04:17 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - La finance bleue a été présentée lors du Forum de Monaco en juin dernier. La Banque mondiale a lancé un programme spécifique baptisé Problue, coordonné par Julien Million, spécialiste principal des pêches au sein de l'institution. Il nous éclaire sur ce que recouvre la finance bleue. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
Dans une France en pleine crise politique, le début de l'automne est aussi marqué par une profonde grogne sociale. Après le mouvement « Bloquons tout », et entre deux journées de grève à l'appel des syndicats, c'est au tour des agriculteurs de descendre dans la rue. La FNSEA, le principal syndicat agricole, appelle ce vendredi à une journée d'actions pour protester contre la signature d'un accord de libre échange entre l'Union européenne et les pays du Mercosur, en Amérique latine. À lire aussiAccord UE-Mercosur: les pays d'Amérique du Sud plus enthousiastes que l'Union européenne
Emmanuel Macron est attendu ce soir à la tribune de l'ONU pour un discours qui fera date au cours duquel le Président français doit annoncer la reconnaissance par son pays de l'Etat de Palestine. Dans le sillage du Royaume-Uni, du Canada et de l'Australie hier dimanche. Au total ce sont plus de 145 Etats membres de l'ONU qui ont franchi le pas. Comment ces initiatives peuvent-elles se traduire ? Quel est l'état des opinions ? Quels sont les freins qui perdurent ? Pour en débattre Insaf REZAGUI, docteure en droit international de l'Université Paris cité, membre du collectif Yaani, elle a coordonné le dernier numéro de la revue Recherches internationales sur le droit international et la Palestine David Rigoulet-Roze, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques, spécialiste du Moyen-Orient, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégiques(IFAS) Yves Bertoncini, enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP business school, consultant en Affaires européennes
Emmanuel Macron est attendu ce soir à la tribune de l'ONU pour un discours qui fera date au cours duquel le Président français doit annoncer la reconnaissance par son pays de l'Etat de Palestine. Dans le sillage du Royaume-Uni, du Canada et de l'Australie hier dimanche. Au total ce sont plus de 145 Etats membres de l'ONU qui ont franchi le pas. Comment ces initiatives peuvent-elles se traduire ? Quel est l'état des opinions ? Quels sont les freins qui perdurent ? Pour en débattre Insaf REZAGUI, docteure en droit international de l'Université Paris cité, membre du collectif Yaani, elle a coordonné le dernier numéro de la revue Recherches internationales sur le droit international et la Palestine David Rigoulet-Roze, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques, spécialiste du Moyen-Orient, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégiques(IFAS) Yves Bertoncini, enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP business school, consultant en Affaires européennes
Je discute avec Élisabeth Fontaine, consultante et évaluatrice HAS, de LA question : Comment redonner du sens au travail dans nos établissements et services ?Nous partons de l'évaluation HAS et passons par le cas des résidences autonomies.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Considérés comme des ambassadeurs qui font rayonner la France à l'étranger, les expatriés français pourraient être un support essentiel pour relever les défis que connaît la France aujourd'hui. Maxime Beutin est diplômé en intelligence économique travaillant sur l'aspect stratégique des Français de l'étranger.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Intéressé.e par notre formation Yaniro Leadership Program ? Prenez rendez-vous avec Yasmine ici !Voulez-vous former les managers avec la méthode do it yourself ? Obtenez toutes les ressources ici !Résumé de l'épisode
durée : 00:21:48 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Avec Claire Thoury, sociologue et présidente du Mouvement associatif depuis 2021, et Christophe Robert, sociologue et délégué général de la Fondation pour le Logement des Défavorisés. - invités : Claire Thoury, Christophe ROBERT - Claire Thoury : Sociologue, présidente du Mouvement associatif, Christophe Robert : Délégué général de la Fondation Abbé Pierre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:21:48 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Avec Claire Thoury, sociologue et présidente du Mouvement associatif depuis 2021, et Christophe Robert, sociologue et délégué général de la Fondation pour le Logement des Défavorisés. - invités : Claire Thoury, Christophe ROBERT - Claire Thoury : Sociologue, présidente du Mouvement associatif, Christophe Robert : Délégué général de la Fondation Abbé Pierre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une crise qui dure... et qui devient permanente, ça vous dit certainement quelque chose ! Mobiliser quand tout est incertain, on en parle dans notre nouvelle table ronde avec Patrick, Samir et Carline Un contexte de crise qui dure dans le temps, un sentiment d'urgence quotidien, au sein de la direction comme des équipes... Ce sentiment d'être en crise permanente, c'est une situation qu'on rencontre de plus en plus souvent chez nos clients. Le risque, ça serait de serrer les dents en attendant que ça passe, et mettre tout en pause en se disant qu'on ne maîtrise rien. Pourtant, il y a bien des cartes à jouer pour engager les équipes ! On vous explique 3 leviers à activer pour continuer de mobiliser vos équipes quand tout vous paraît incertain : Faire parler du métier : à tout niveau, prendre toutes les occasions possibles pour mener des discussions sur votre produit ou service. C'est toujours passionnant et valorisant pour les équipes, en particulier les experts. Faites venir des personnes du terrain en Codir pour éclairer un sujet, parler de l'activité quotidienne plutôt de que KPI impersonnels dans les séminaires ou ateliers... On a plein d'idées à vous partager ! Travailler sur les équipes : le fonctionnement de travail, les interactions entre services, les formations, le rôle des managers... Autant de sujets qui passent trop souvent à la trappe mais qui sont structurants pour le long terme. Oser penser au (très) long terme : soigner les relations avec ses partenaires commerciaux, sociaux, c'est toujours utile même sans prédire les plans de transfo de son Corpo dans 2 ans. Vous vous sentez en crise depuis très, trop longtemps ? Vous avez la sensation de ne plus rien maîtriser du contexte ? Amis managers, vous pouvez travailler les sujets qui sont dans vos mains. L'occasion pour vous de traiter des sujets souvent dépriorisés et de mobiliser vos équipes ! Nous sommes Albus conseil et nous provoquons le changement dans vos organisations ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Merci à @HaierOfficial, leader mondial du gros électroménager*, qui soutient le média pour cette série d'épisodes ! Retrouvez leurs produits sur : https://bit.ly/Extraterrien-HaierAujourd'hui, nous plongeons dans la carrière et l'univers de Julien Benneteau, ancien joueur de tennis professionnel, champion de double à Roland-Garros et ex-capitaine de l'équipe de France féminine de Fed Cup. De ses premiers souvenirs de sport, à ses années de formation loin de chez lui, Julien se confie sur les moments clés et les grands défis de son parcours.Dans cet entretien sincère et passionnant, il partage ses réflexions sur la formation à la française, la gestion de la pression, la longévité sur le circuit, et ce qui fait la magie ou la difficulté de jouer devant le public français. Il revient sur ses émotions fortes vécues en double, ses victoires mémorables contre Nadal et Federer, mais aussi sur les leçons tirées de ses finales perdues.Pour ceux qui s'intéressent à l'humain derrière le sportif, Julien nous livre aussi son regard sur l'équilibre vie pro/perso, la gestion des réseaux sociaux et des paris en ligne, sans oublier ses ambitions pour la suite, entre consulting, médias et aventures entrepreneuriales. Installez-vous confortablement : vous êtes sur le point de découvrir l'une des voix les plus attachantes et lucides du tennis français. Bonne écoute ! #tennis #sport #tennisman*Partenariat ou collaboration commerciale**Source : Euromonitor International Limited*Chapitres : 00:00 Premiers échanges sur carrière et tennis06:59 Un parcours sportif fait de détours10:38 Savoir trancher au bon moment18:56 Les étapes clés chez les jeunes25:00 L'aventure folle vers l'US Open28:06 Une finale difficile à digérer36:57 Ce que deviennent les meilleurs Français41:26 Comment le rôle du DTN a changé46:12 Mobiliser les joueuses en équipe de France52:43 Trouver le bon état d'esprit58:10 Ce que l'argent change dans une carrière01:01:08 Quand les juniors dominent le monde01:09:31 Rester passionné malgré la frustration01:14:02 Quand la pression mentale devient trop forte01:17:48 Vivre sa passion au-delà du terrain
Anne Pardigon-Marchand, Learning and Solutions Manager chez Thales, nous dévoile comment elle s'appuie sur ses talents naturels pour créer des liens, mettre en mouvement et porter des projets jusqu'à leur réussite.Avec un parcours riche en expériences dans le recrutement, le marketing stratégique et le conseil RSE, Anne incarne la capacité à mobiliser les capacités de chacun au service de projets ambitieux.Son Top 5 ? Relator, Responsibility, Individualization, Activator et Self-Assurance.« Ce qui me différencie, c'est que j'impose un rythme assez rapide. Je vois très vite où on veut aller, je me mets très vite en action. Je suis très créative, je ne me donne pas de limites. Je ne m'interdis pas... J'aime apprendre, donc je suis très curieuse de ce que les gens vont partager. »Dans ce témoignage authentique, Anne nous révèle comment elle utilise son énergie communicative et son talent d'individualisation pour créer des relations de confiance, tout en guidant les équipes avec assurance vers un cap clair. Elle nous explique comment son talent de Self-Assurance, relativement rare, lui donne cette capacité à savoir intuitivement où aller et à prendre les risques nécessaires.Comment combiner une relation authentique et profonde avec le besoin d'action et de résultats ? Comment moduler son assurance naturelle pour mettre les autres à l'aise ? Comment rester fidèle à soi-même dans un environnement structuré ?Autant de questions passionnantes qu'Anne aborde avec sincérité et humour.Culture Talents est un podcast proposé par Le Labo des Talents.Animation : Florence HardyRéalisation : César Defoort | Natif.--Florence Hardy et les coachs du Labo des Talents sont certifiés par Gallup, cependant nous précisons que Le Labo des Talents n'est pas affilié ni ne représente Gallup.Les idées que nous partageons ici ne sont pas officiellement contrôlées, approuvées ou soutenues par Gallup Inc.Gallup®, CliftonStrengths® et les 34 noms de thèmes de CliftonStrengths® sont la propriété de Gallup, Inc. Pour plus d'informations, rdv sur www.gallup.com.Envie d'en savoir plus ? Au Labo on est toujours ravis d'échanger, faites-nous signe sur Linkedin ou sur www.labodestalents.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
145% de surtaxes pour les produits chinois importés aux Etats-Unis : c'est le résultat d'une guerre commerciale lancée par Donald Trump, guerre qui a viré rapidement au duel. La Maison Blanche a suspendu la majeure partie de ses droits de douane, les importations des autres pays ne sont plus taxées “qu'à” la hauteur de 10%. En face, Pékin répond de manière bien organisée : droits de douane à 125% et des mesures économiques très ciblées. Le pays cherche aussi à conforter ses alliances. Et si la Chine profitait de la crise pour rebattre les cartes de la scène géopolitique et économique mondiale ?Pour en débattre : -Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, professeure à sciences PO, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE- Benjamin Bürbaumer maître de conférences en sciences économiques au Centre Emile Durkheim/Sciences Po Bordeaux, auteur du livre Chine/Etats-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (éditions La Découverte)
145% de surtaxes pour les produits chinois importés aux Etats-Unis : c'est le résultat d'une guerre commerciale lancée par Donald Trump, guerre qui a viré rapidement au duel. La Maison Blanche a suspendu la majeure partie de ses droits de douane, les importations des autres pays ne sont plus taxées “qu'à” la hauteur de 10%. En face, Pékin répond de manière bien organisée : droits de douane à 125% et des mesures économiques très ciblées. Le pays cherche aussi à conforter ses alliances. Et si la Chine profitait de la crise pour rebattre les cartes de la scène géopolitique et économique mondiale ?Pour en débattre : -Stéphanie Balme, directrice du Centre de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, professeure à sciences PO, spécialiste de la diplomatie scientifique, de la Chine globale et des relations Chine-US-UE- Benjamin Bürbaumer maître de conférences en sciences économiques au Centre Emile Durkheim/Sciences Po Bordeaux, auteur du livre Chine/Etats-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (éditions La Découverte)
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs La manifestation de soutien organisée le 6 avril, à Paris, par le Rassemblement national, n'a pas mobilisé les foules, mais elle a été une nouvelle occasion pour Marine Le Pen d'attaquer « le système » et la justice. Un article de Yunnes Abzouz, Pascale Pascariello et Laura Wojcik publié dimanche 6 avril 2025 et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 1er avril 2025 : "Marine Le Pen inéligible, allez-vous vous mobiliser ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Didier Giraud, agriculteur, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Frédéric Farah et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:58:12 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les programmes Désarmer, Démobiliser, Réintégrer (DDR) de l'ONU veulent permettre aux combattants de déposer les armes. Déployés dans plus d'une soixantaine de pays depuis les années 1990, ces programmes ne répondent pas toujours aux besoins des populations des pays concernés. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Nathalie Duclos Professeure de science politique à l'université de Tours; Mathilde Tarif Docteure en science politique spécialisée sur la République centrafricaine, chercheuse post-doctorante au CERAPS à l'université de Lille
Mobiliser l'épargne des Belges pour financer le secteur de La Défense ? Arrêtez le sketch ! L'argent des Belges ne dort et n'attend pas d'être dirigé vers le réarmement. Arrêtons de faire croire à la population qu'il y a un trésor caché qu'on va enfin libérer. On entend souvent et partout en ce moment qu'on va mobiliser l'épargne des Belges ou des Européens pour financer le réarmement de notre bon vieux continent. Franchement, qui croit encore à cette histoire ? Comme si des milliards dormaient bien sagement sur des comptes en banque, en mode on attend patiemment qu'un ministre vienne nous réveiller pour aller sauver l'Europe. Spoiler alert, cet argent ne dort pas. Non seulement il bosse déjà, mais en plus si on le détourne vers l'armement, ça va forcément coincer quelque part. Et ça, bizarrement, personne n'en parle. Mobiliser l'épargne des Belges ou des Européens, ça veut surtout dire en priver d'autres. Premier constat l'épargne des Belges, ce n'est pas un matelas. C'est un moteur. Parce que oui, quand vous mettez votre argent sur un compte d'épargne ou une assurance vie, il ne prend pas des vacances aux Bahamas en attendant des jours meilleurs. Il bosse, il tourne, il finance… Mots-Clés : crédits immobiliers, maison, emprunte, banque, entreprises, PME, machine, crédit financé, projets, infrastructure, transition énergétique, coffre, obligations d'Etat, innovation, parking, autoroute, armement, défense, conséquences, chars d'assaut, missiles, taux d'intérêt, emprunt, cash, transition écologique, énergies renouvelables, tech verte, planète, booster, financement, secteurs, vases communicants, basique, lever de la dette, relouer, budget, impôts, dépenses sociales, niches fiscales, vendre, illusion, cagnotte secrète, déplacement de flux, pans de l'économie, réarmer l'Europe, choix politique, prioritaire, menace, russe, conséquences, final. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Gauthier le Bret et ses invités débattent des politiques qui devraient se mobiliser pour déposer une proposition de loi pour éviter une fermeture de chaîne.
A 10h, ce vendredi 21 février 2025, les GG : Bruno Poncet, cheminot, Marie-Sophie Bufarull, secrétaire, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : "Prêts à mobiliser votre épargne pour financer la défense ?"
Le "plan blanc" est un dispositif d'urgence mis en place dans les hôpitaux français pour faire face à des situations exceptionnelles ou des crises majeures, nécessitant une mobilisation rapide et coordonnée des moyens humains et matériels de l'établissement. Institué par la loi du 9 août 2004 relative à la santé publique, ce plan est destiné à répondre efficacement à des événements tels qu'une catastrophe naturelle, un attentat, une épidémie, ou encore un afflux massif de patients. Les objectifs du plan blancLe plan blanc vise à garantir la continuité et la qualité des soins dans des situations de tension extrême. Il permet notamment de :1. Augmenter la capacité d'accueil : En réorganisant les services pour libérer des lits et accueillir un grand nombre de patients.2. Mobiliser du personnel : En rappelant des équipes médicales et paramédicales supplémentaires grâce à des astreintes ou des renforts extérieurs.3. Optimiser les ressources matérielles : En assurant la disponibilité d'équipements médicaux, de médicaments, et en organisant une logistique adaptée. Déclenchement et mise en œuvreLe déclenchement du plan blanc est décidé par la direction de l'hôpital, en coordination avec l'Agence Régionale de Santé (ARS) et parfois les autorités nationales. Il repose sur une évaluation précise de la situation et des besoins. Une fois activé, plusieurs actions clés sont mises en place :- Réorganisation des services : Certains soins non urgents, comme des interventions programmées, peuvent être décalés ou annulés pour prioriser les urgences.- Gestion des flux : Les patients sont répartis selon leur gravité grâce à un triage médical rigoureux.- Coordination avec d'autres structures : Les hôpitaux voisins, les cliniques privées, et les services de secours sont souvent impliqués pour mutualiser les efforts. Un outil crucial en cas de criseLe plan blanc a été activé à de nombreuses reprises, notamment lors des attentats terroristes de 2015 ou pendant la pandémie de COVID-19, où il a permis aux hôpitaux d'adapter rapidement leur organisation face à un afflux massif de patients. Il joue un rôle fondamental dans la résilience du système de santé français, bien qu'il mette parfois en lumière les limites structurelles des établissements en termes de personnel ou d'équipements. En résumé, le plan blanc est un dispositif essentiel pour gérer les crises sanitaires en mobilisant et coordonnant efficacement les ressources hospitalières. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Mobiliser l'épargne des Français pour la dette ? Bordeaux : une église cernée par des dealers
Dans cet épisode de Happy Work, je partage des conseils concrets pour traverser une crise avec votre équipe, sans panique, mais avec bienveillance et efficacité.
durée : 00:39:24 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - L'analyse psychologique d'Emmanuel Macron, décrit par le sociologue Marc Joly comme un "pervers narcissique", interroge : qu'est-ce que les analyses psychiatriques et psychologiques apportent au débat public ? Est-ce le rôle des psychiatres d'analyser le politique ? - réalisation : François Richer - invités : Serge Hefez Psychiatre psychanalyste; Patrick Lemoine Psychiatre, docteur en neurosciences; Patrick Weil Historien, directeur de recherche au CNRS, professeur invité à l'université de Yale et à l'Ecole d'économie de Paris.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.
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La route vers la Maison Blanche passe par Atlanta… C'est ce qu'a déclaré Kamala Harris lors de son passage en Géorgie, il y a deux semaines, pour un meeting au sujet de la défense du droit à l'avortement. La Géorgie, c'est l'État qui compte le plus d'électeurs afro-américains acquis à la cause démocrate. À moins d'un mois de la présidentielle, la candidate démocrate mise sur le vote des Noirs pour remporter cet État pivot et ses 16 grands électeurs. Mais encore faut-il que les Afro-Américains se mobilisent le jour du vote. Beaucoup se sont abstenus aux dernières élections, or chaque voix compte dans cet État où la victoire risque de se jouer, comme en 2020, à seulement quelques milliers de voix de différence entre les candidats. Du coup, sur le terrain, de nombreuses associations se mobilisent pour mobiliser le vote noir. De notre correspondant à Atlanta,Kaleb Harden sillonne un quartier de la classe moyenne afro-américaine dans la banlieue d'Atlanta. Ici, les pelouses sont impeccables, les maisons alignées à l'identique. Cet étudiant afro-américain travaille pour l'organisation We Vote We Win qui cherche à mobiliser l'électorat noir en faveur des démocrates.Kaleb ne sonne pas à n'importe quelle porte. Sur son téléphone, une application lui indique uniquement les adresses d'électeurs noirs qui n'ont pas voté aux dernières élections. C'est le cas de Tyler Wallace, agent immobilier de 21 ans, qui pourrait voter pour la première fois de sa vie le 5 novembre prochain, mais qui n'a pas l'intention de se mobiliser : « Je ne sais pas, je ne m'intéresse pas trop à la politique. J'ai tellement de choses à gérer en ce moment. La vie, la carrière, tout ça… »Alors, pour tenter de la convaincre, Kaleb déploie son argumentaire pro-Kamala Harris : « D'un côté, tu as Donald Trump qui roule pour les riches, de l'autre, tu as Kamala Harris qui défend les travailleurs… »L'abstention des hommes noirs, défi majeur pour Kamala HarrisEn Géorgie, ils représentent un tiers de l'électorat. 90% votent démocrates, mais un tiers d'entre eux ne se sont pas mobilisés lors la dernière présentielle. Pire, certains comme Tyler Wallace ont encore du mal à imaginer une femme présidente des États-Unis : « J'y réfléchirais à deux fois avant de voter pour une femme. Je pourrais le faire, mais il faudrait que je sois sûr qu'elle ne prend pas ses décisions pour changer le pays sur le coup de ses émotions. »Tyler l'avoue, ses connaissances sur Kamala Harris sont plutôt limitées : « Je ne sais rien sur elle. Je crois qu'elle est Noire, non ? »En revanche, le jeune homme a une image plutôt positive de Donald Trump, forgée à coup de vidéos sur internet : « Tout ce que je sais sur lui, c'est ce qu'en montre internet. Les mèmes, les vidéos marrantes… Je ne sais pas si je l'aime bien, je ne sais pas ce qu'il fait pour nous, mais je le trouve marrant. »À l'inverse, sa petite amie Jordan est quant à elle bien décidée à voter le 5 novembre, même si elle n'est pas très sûre du nom de la candidate démocrate : « Je pense voter pour Kamala. C'est comme ça qu'on dit son nom ? Kamala ? Oui, je vais voter pour elle parce qu'elle défend les droits des femmes et qu'elle a la même couleur de peau que moi. »Cette différence entre le vote des femmes et des hommes noirs, c'est ce qu'on appelle le « gender gap » aux États-Unis. Un « gender gap » que Kamala Harris doit impérativement résorber, car chaque voix compte pour gagner la Géorgie. Dans cet État clé, en 2020, Joe Biden l'avait emporté avec seulement 12 000 voix d'avance sur Donald Trump.
Mobiliser des fonds privés pour sauvegarder des forêts primaires. C'est l'objectif du fonds Sengire en Lituanie. Il est né en 2020, d'un petit groupe d'amis réunis autour de Mindaugas Survila, un biologiste devenu documentariste. Grâce à des dons de particuliers, mais aussi d'entreprises, l'association achète des parcelles dans le but de les protéger pour qu'elles redeviennent des forêts primaires dans plusieurs dizaines d'années et contribuent ainsi à la biodiversité. Pour aller plus loin : Dans les bois par Mindaugas SurvilaÀ lire aussiPourquoi les forêts de mangrove sont importantes pour la biodiversité?
Selon une étude du Shift Project de 2019*, 78% des ingénieurs interrogés estiment que leurs études supérieures ne les ont pas du tout ou pas tellement formés aux enjeux du réchauffement climatique à l'œuvre, l'effondrement de la biodiversité, la raréfaction des ressources disponibles, notamment énergétiques, ainsi que les conséquences sociales de ces bouleversements. À 95%**, ils considèrent que ces sujets devraient figurer dans la formation initiale des ingénieurs. Quel est le rôle des ingénieurs face à ces enjeux ? Pourquoi et comment adapter les formations ? Cette émission est une rediffusion du 20 mars 2024.Avec :• Damien Amichaud, consultant en Transition écologique et chef de projet au Shift Project, une association française et un laboratoire d'idées pour l'atténuation du changement climatique et la réduction de la dépendance de l'économie aux énergies fossiles• Nicolas Freud, directeur adjoint en charge de la Transformation socio-écologique, directeur adjoint de l'INSA Lyon, Institut National des Sciences Appliquées, en charge de la transformation socio-écologique• Nicolas Langaney, étudiant en dernière année à l'INSA Lyon. *The Shift Project, Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat (mars 2019) **The Shift Project & Alumni for the Planet, Enquête sur les connaissances et compétences pour l'ingénieur du XXIe siècle (mars 2022). En ouverture d'émission, L'école autour du monde, nouvelle chronique de l'actualité de l'éducation. Aujourd'hui, Juliette Pietraszewski, correspondante de RFI à Singapour : Chat GPT dans l'éducation des jeunes Singapouriens. Programmation musicale : • À la montagne - Hier • Street Dance - Skarra Mucci, L'Entourloop.
Suite de la conversation de l'épisode 137 "Mobiliser face aux bascules systémiques et se préparer aux chocs".On clarifie pas mal de choses sur le besoin de solutions rapides, le déni de complexité, la pensée systémique, des stratégies séduisantes mais contre-productives et la mise en action concrète. Arthur est spécialisé dans l'identification et la caractérisation des vulnérabilités des systèmes complexes, il s'intéresse au métabolisme des sociétés humaines et évalue les risques de délitement voire d'effondrements. Il travaille aussi sur les questions d'alerte et de résilience.Interview enregistrée le 11 mai 202400:00 - Retour sur la conversation avec Arthur Keller01:36 - Discussion sur la suite de la première conversation02:56 - Questionnement sur l'aspect mobilisation07:01 - Mise en concurrence de deux approches07:14 - Débat sur la pensée unique et l'omerta12:27 - Injonction à l'optimisme et critique du solutionnisme17:59 - Remise en question de la croissance économique24:56 - Débat sur l'atténuation vs. les solutions25:51 - Impact psychologique des discours pessimistes27:51 - L'importance des alertes malgré l'absence de réponses51:37 - Préparer la résilience territoriale53:16 - Bâtir un plan B sociétal54:31 - Transition vers le plan C57:45 - Identifier la méthode globale---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
1ère partieReconsidérer en urgence nos méthodes et postures contre-productives : sortir du déni, dépasser les stratégies hors-sujet, mieux anticiper les risques et préparer la résilience, dès maintenant. Alors que nous entrons dans l'ère des chocs (énergétiques, économiques, climatiques, entre autres), nous ne sommes pas prêts. Nous pensons poser les bonnes questions, mettre en place des stratégies opérantes, mais ne sommes-nous pas dans le déni ou dans l'erreur ?Pour Arthur Keller, nous faisons clairement fausse route, nous continuons de refuser de regarder la réalité en face : il est probable que nos trajectoires ne changent pas et que donc nous n'éviterons pas des chocs. Il faut donc mieux préparer ce scénario pour ne pas avoir à le subir totalement.Arthur Keller est spécialisé dans l'identification et la caractérisation des vulnérabilités des systèmes complexes, il s'intéresse au métabolisme des sociétés humaines et évalue les risques de délitement voire d'effondrements. Il travaille aussi sur les questions d'alerte et de résilience.Interview enregistrée le 6 mars 2024 De quoi parle-t-on ? 00:00 - intro08:05 - La Nature des Systèmes Complexes12:18 - Les Aveugles et les Éléphants16:34 - L'Application de la Systémique22:46 - Les Leviers et l'Échelle du Changement24:43 - Les Mécanismes de l'Auto-Organisation26:28 - Les Décisions qui Changent le Système28:50 - Les Symptômes et les Solutions37:59 - Complexité de la situation et luttes intersectionnelles41:09 - Les défis de la surcharge informationnelle45:09 - Compétences nécessaires pour engager le changement---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
L'art et la photographie peuvent-ils nous mobiliser ?