Podcasts about sos homophobie

Avec Brahim NAÏT-BALK, retrouvez "Homomicro, le podcast qui se prend aux mots", avec l'invité du jour: Lucile JOMAT, La présidente de SOS Homophobie nous présente le rapport de SOS Homophobie de 2024 sur les violences et les agressions homophobes. Interview par Valérie BAUD Ainsi que le Cercle des Chroniqueurs : - Daniel CONRAD « Le Crash Test » : "HOCKNEY : La biographie" de Sam ELLIOT (éditions Larousse)  / "HAPPY TIME : Le guide des sorties LGBTQIA+" de Luc BIECQ et Yannick BARBE (FIRST Éditions)   - Éric GARNIER « C'Est À Lire » : "Chansons 1922" de Antonio BOTTO (introduction par Fernando CUROPOS), un livre de poésie paru chez Erosonix - Nathan HILLAIREAU « Les Sons de la Fierté » : "Boogie Oogie Oogie" de A Taste of Honey / "Cheri, Cheri Lady" de Modern Talking Réalisation / Montage : Nathan Hillaireau Soutenez-nous sur PayPal !

Clémentine Pottier-Amel, présidente de l'association Territoires de Fiertés & Alexandrine Kienlen, administratrices territoriales en formation

Clémentine Pottier-Amel, présidente de l'association Territoires de Fiertés & Alexandrine Kienlen, administratrices territoriales en formation

REDIFF - Malgré les avancées de la société à ce sujet, assumer son homosexualité reste une étape encore difficile à franchir dans de nombreuses familles. Associations citées : - Association Contact : www.asso-contact.org Ligne d'écoute : 0 805 69 64 64 (gratuit et anonyme) - SOS Homophobie : www.sos-homophobie.org Ligne d'écoute : 01 48 06 42 41 - Le Refuge : le-refuge.org Ligne d'écoute : 06 31 59 69 50 - Centre LGBTQI+ : centrelgbtparis.org Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 07 mars 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Cette saison, Caroline Dublanche accueille les auditeurs dès le dimanche soir de 23h à 1h et du lundi au jeudi à 22h.

Cette année, les marches des visibilités organisées à quelques jours des élections législatives en France ont été très politisées. Les participants ont brandi des pancartes et scandé des slogans contre le Rassemblement national. Un message relayé par plusieurs appels émanant de la communauté LGBT+ à faire barrage à l'extrême droite, en votant pour l'alliance de gauche, le Nouveau Front populaire. Dans un contexte de regain de haine et de violence à l'égard des minorités. Reportage auprès de la communauté LGBT+ de Strasbourg. De notre correspondante à Strasbourg, Dans les loges du Petit tigre, un bar du centre-ville de Strasbourg, une dizaine d'artistes drag se préparent pour leur show. Assise devant un miroir, Mizkeen termine son maquillage. Ce drag queer strasbourgeois craint que ce ne soit son dernier spectacle si le parti d'extrême droite Rassemblement national (RN) sort gagnant des législatives : « Peut-être que demain, on ne pourra plus faire de shows comme celui-là parce qu'on aura peur pour nos vies, peur de nous faire tabasser en sortant, peur d'avoir des descentes de groupuscules fascistes dangereux et qu'on ne pourra pas se protéger nous, ni notre public. »Mizkeen fait partie de House of Diamonds, l'un des collectifs drag strasbourgeois à l'origine de l'appel à faire barrage à l'extrême droite. Signé par près de 600 collectifs et artistes drag à travers la France, ce texte dénonce une banalisation de la violence à l'égard de toutes les personnes minorisées et l'impute au parti de Marine le Pen.« Chaque pourcentage que le RN gagne sont des agressions supplémentaires : homophobes, transphobes, mais aussi racistes, xénophobes, misogynes… dénonce Mizkeen. J'ai des amis qui, depuis les européennes et la dissolution de l'Assemblée nationale, se font de plus en plus insulter dans la rue. Qui disent qu'aujourd'hui c'est quasi quotidien. Donc clairement, on a peur. »À lire aussi«On les aimait morts ou dans le placard»: quand la France condamnait l'homosexualitéUne augmentation des agressions anti-LGBT+Dans le public ce soir-là, plusieurs membres de la communauté LGBT partagent cette inquiétude, comme Léon (19 ans), jeune homme gay en visite depuis Paris : « La dernière chose que j'ai entendue qui moi personnellement m'a fait particulièrement peur, c'est l'agression de trois personnes du Gud, syndicat étudiant d'extrême droite, envers une personne LGBT. Et ils ont dit ouvertement que dans trois semaines, ils pourraient tabasser des gays ouvertement. »Même sentiment chez Cécile (21 ans), une étudiante libanaise qui a fui son pays, où elle était persécutée en tant que lesbienne. « Je suis venue pour trouver de la sécurité, mais en France, je ne suis pas en sécurité. Pas du tout, assure-t-elle. Je reçois beaucoup de harcèlement physique et moral. J'ai toujours peur de m'afficher devant les gens et la politique joue un grand rôle dans ça. »À lire aussiSoirée législatives à Nevers vue par les militantsEn 2023, SOS Homophobie a en effet constaté une nette hausse (+30 %) des agressions physiques anti-LGBT. Et la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) a relevé un recul de la tolérance à l'égard de toutes les minorités entre 2022 et 2023.Les pays passés à l'extrême droite comme mauvais présagePour Flora Giros, présidente de la Station – une association dédiée à l'accueil des personnes LGBT+ à Strasbourg - Emmanuel Macron est en partie responsable de cette situation : « On a vraiment été très choqués par les propos de Macron qui qualifiait d'"ubuesque" cette proposition du Nouveau Front populaire visant à changer le genre sur les papiers d'identité. La façon dont ça a été dit par le président encourage une panique morale pour essayer de gagner les voix d'extrême droite. Il nous utilise et ça pour nous, ça a été extrêmement violent. »Depuis les européennes, l'association qui comme d'autres associations LGBT+ en France a reçu des menaces, multiplie les actions pour sensibiliser au danger que représente le RN pour toutes les minorités. « Le RN, là où il est présent dans les mairies, on voit les associations LGBT qui voient leurs subventions coupées. Et très clairement, le RN dit qu'il va combattre "l'idéologie LGBT+", dit qu'il va interdire la PMA aux couples lesbiens par exemple… Et ce qu'on voit bien, c'est que dans les autres pays où l'extrême droite est arrivée au pouvoir - la Pologne, la Russie évidemment - c'est un recul énorme des droits des personnes LGBT+ » déplore Flora Giros.Et de mettre en garde : une fois que le mal est fait, revenir en arrière s'avère beaucoup plus compliqué. À lire aussiLGBTI+ : y a-t-il un recul des droits ?

Pour en débattre :- Flora Bolter, codirectrice de l'Observatoire LGBT+ à la Fondation Jean Jaurès France- Anais Perrin Prevelle, présidente de l'association OUtrans- Julia Torlet, présidente et porte-parole SOS Homophobie.

C'est le mois des fiertés LGBTI+ aux quatre coins du monde. En France il connaitra son apogée ce samedi avec la grande marche qui traversera Paris. Les droits des personnes LGBTI+ progressent dans de nombreux pays mais régressent dans d'autres. Et la hausse du nombre d'actes homophobes a de quoi inquiéter.Comment expliquer la dualité de ces situations ? Comment provoquer un sursaut ? Parviendra-t-on un jour à une homogénéité mondiale sur ces questions ? Pour en débattre :- Flora Bolter, codirectrice de l'Observatoire LGBT+ à la Fondation Jean Jaurès France- Anais Perrin Prevelle, présidente de l'association OUtrans- Julia Torlet, présidente et porte-parole SOS Homophobie.

TW : mention de violences lgbtphobesCet épisode vient chercher de nombreux moments, certains que l'on préfère enfouir. Je m'efforce depuis le début de ce podcast d'écrire sur la joie de vivre ici, sur les ruralités qui peuvent être révolutionnaires, puis je suis tombée sur cet article qui raconte l'histoire de deux mecs en couple qui décident de vendre leurs commerce dans un petit village de Bretagne car il y a beaucoup trop d'homophobes. Et là je réalise que même si j'essaie d'écrire une autre histoire et de donner de la joie, des perspectives, je ne peux pas éviter d'écrire un épisode sur les lgbtphobies. Je peux pas m'empêcher de me questionner sur ce que c'est les lgbtphobies, est-ce que c'est les petites remarques du quotidien, est-ce que c'est subtil, est-ce quand on sent que la personne n'est pas ouverte, est-ce que c'est des agressions physiques, verbales, est-ce que c'est tout ça à la fois ? Est-ce que c'est le fait que les gens soient ignorants, et qu'ils ne veulent pas s'éduquer ? Est-ce que c'est se placardiser parfois ? Je voudrais comprendre ce que nous font nos territoires. Comment on vit dans des endroits sans représentation, comment on dénoue tout ça, comment on n'est pas tout le temps en colère. J'ai vécu des lgbtphobies dans des grandes villes, dans des petites villes, partout. Je ne pourrais pas accepter que l'endroit où je suis née ne m'accepte pas, je ne pourrais pas accepter que l'endroit où je vis, où je travaille ne m'accepte pas. Je sais que nos vies sont ponctuées de ces violences. Je sais que les vivre ici peut nous faire nous demander, pourquoi je reste là ? Est-ce que j'ai besoin de rester là ? Vous écoutez Champs queers, épisode 3, Discriminations & lgbtphobies. Une série documentaire d'Elodie Potente. SOS Homophobie, ligne d'écoute : 01 48 06 42 41 / 3919 pour les victimes de violences conjugales ou https://commentonsaime.fr/ / Eqtas.e : https://www.instagram.com/eqtas.e/Pour que Champs queers continue, soutenez le podcast sur Tipeee !Abonnez-vous à ma newsletter !Merci à Théo et Kevin, et à Gabi l'antilope queer du Luberon

Malgré les avancées de la société à ce sujet, assumer son homosexualité reste une étape encore difficile à franchir dans de nombreuses familles. Associations citées : - Association Contact : www.asso-contact.org Ligne d'écoute : 0 805 69 64 64 (gratuit et anonyme) - SOS Homophobie : www.sos-homophobie.org Ligne d'écoute : 01 48 06 42 41 - Le Refuge : le-refuge.org Ligne d'écoute : 06 31 59 69 50 - Centre LGBTQI+ : centrelgbtparis.org Témoignage de Bernard Bousset sur 'RTL Bonsoir !' : https://audmns.com/KepRQxQ Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 07 mars 2024. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Cette saison, Caroline Dublanche accueille les auditeurs dès le dimanche soir de 23h à 1h et du lundi au jeudi à 22h.

Le retrait du maillot arc-en-ciel qui a fait débat dans le monde du football en mai dernier va se décider ce jeudi 16 novembre lors d'une réunion de la Ligue de football professionnel. Plusieurs associations de lutte contre l'homophobie sont conviées, dont la Licra, Foot Ensemble, SOS Homophobie, Fondation pour le Sport Inclusif, PanamBoyzs and Girlz, l'UNFP et l'UNECATEF.La saison dernière avait été marquée par le refus de plusieurs joueurs de porter le maillot floqué arc-en-ciel. Décryptage de Yoann Lemaire, ancien footballeur et président de l'association Foot Ensemble.

Avec Brahim NAÏT-BALK, retrouvez « Homomicro, le Podcast qui se prend aux mots », avec les invité(es) du jour: - Alexandre ADET , membre du Club de football « PanamBoyz & Girlz United » qui fête ses 10 ans cette année! avec Brahim NAÏT-BALK - Isabelle BAUTHIAN présente son roman illustré « Les Choses Sérieuses » aux éditions Steinkis, interviewée par Annabelle GUIRAUD - Julia de "SOS Homophobie" interviewée par Valérie BAUD Ainsi que le Cercle des Chroniqueurs: - Nicolas RIVIDI dans « Le Plus de l'Actu » nous parle de la Marche des Fiertés de Paris nouvelle version  - Valérie BAUD dans « J'Écris ton Nom » nous parle des "Out'Or" et raconte aussi son expérience de la Marche des Fiertés de Paris Réalisation: Anatole Maschas Montage: Nathan Hillaireau Soutenez-nous sur PayPal !

Dans ce nouvel épisode de Voix Queer : le Mois des Visibilités 2023 Le 17 mai était la journée internationale de lutte contre les LGBTIphobies. SOS Homophobie a sorti son rapport annuel qui fait état d'une augmentation de 5% des agressions signalées entre 2021 et 2022. Avec une augmentation de 27% de témoignages de transphobie. Pour parler de ce sujet important on accueillera dans le studio Raven de Reboo-T & Prisme, Vincent de Reboo-T, Maurice de Simili Queer et Mehdi pour une chronique. L'émission est en direct tous les jeudis soir en direct sur RBS (91.9 FM à Strasbourg) de 20h à 21h. Juin'69 : Insta ⁠⁠⁠⁠⁠@juin69.asso⁠⁠⁠⁠⁠ Facebook ⁠⁠⁠⁠⁠@juin69.asso ⁠⁠⁠⁠⁠Marie : Insta ⁠⁠⁠⁠⁠@marie_furlan_⁠⁠⁠⁠⁠ Prisme : Insta @association_prisme Facebook @associationprisme Reboo-T : Facebook @AssociationRebooT Simili Queer : In sta @similiqueer Maurice : Insta @mauricestyle

durée : 00:15:37 - Journal de 22h - Être gay ou trans, c'est encore aujourd'hui s'exposer à des violences verbales ou physiques. Les chiffres sont en hausse. L'association SOS Homophobie et la Fondation Jean Jaurès publient chacune un rapport ce mardi. - invités : Flora Bolter Co-directrice de l'Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean Jaurès

durée : 00:15:37 - Journal de 22h - Être gay ou trans, c'est encore aujourd'hui s'exposer à des violences verbales ou physiques. Les chiffres sont en hausse. L'association SOS Homophobie et la Fondation Jean Jaurès publient chacune un rapport ce mardi. - invités : Flora Bolter Co-directrice de l'Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean Jaurès

Cette semaine, les filles discutent ensemble d'accès à l'éducation sexuelle et aux droits sexuels quand on est mineur. Vous n'êtes pas sans savoir que l'éducation à la sexualité doit commencer dès l'école et que ce devoir n'est pas toujours appliqué. Et parfois, on reste démuni face aux questions qu'on peut se poser sur la sexualité, le consentement, la contraception ou sa propre identité quand on est jeune.  Naya, en compagnie d'Anissa, d'Elvire et de leur invitée Ynaée Benaben, co-fondatrice de l'association En avant toutes, parlent de leur propre apprentissage de la sexualité mais également ce qui se passe derrière les portes de l'école à ce propos.  Bonne écoute !  Naya : Twitter @misundergirl Instagram @misundergirl Twitch Lazy_Naya Elvire Duvelle-Charles : Twitter @ElvireDCharles Instagram @elviredcharles ClitRevolution @clitrevolution sur Instagram  Anissa : Instagram @6nissa Tiktok @6nissa  Youtube @6nissa  Les références entendues dans l'épisode :  Les ateliers de l'Égalité de l'association En Avant Toutes. N'hésitez pas à faire une demande pour votre école, ou celle de votre enfant.  Le Guide du Zizi sexuel, ZEP et Hélène Bruller Les mangas gay Yaoi  La série Nip/tuck Le dico des filles, le top du sexisme, TV5 Monde Le magasine Jeune et Jolie  Le Journal intime de Georgia Nicolson  Le site Premièresfois.fr pour les jeunes entre 10 et 14 ans qui se posent des questions Le planning Familial et son numéro 0800 08 11 11 Les associations : Le MAG jeunes LGBT+, Sos Homophobie, Acceptess-T et Out Trans

La semaine mondiale du glaucome se tient du 12 au 18 mars. Maladie des yeux entraînant la destruction progressive du nerf optique, le glaucome peut mener à la cécité. On estime qu'après 70 ans, une personne sur 10 sera touchée par cette maladie. Dans 30 % des cas, la transmission est héréditaire. Souvent asymptomatique, la destruction du nerf optique se fait donc en silence jusqu'à un stade avancé. Comment prévenir le glaucome ? Comment permettre un diagnostic précoce ? Comment freiner sa progression ? Quelle prise en charge existe-t-il ? Dr Christophe Orssaud, ophtalmologue et neurophtalmologue, responsable de l'Unité fonctionnelle d'ophtalmologie à l'Hôpital européen Georges-Pompidou à Paris Dr Magloire Nzolantima, chirurgien ophtalmologiste et directeur général à la Clinique ophtalmologique LAEL VISION, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo. ► En fin d'émission, nous parlons de l'annonce du collectif « Cas d'école », regroupant trois associations – Sidaction, le Planning Familial et SOS Homophobie – de poursuivre l'État français pour non-respect de la loi. Elles pointent du doigt le non-respect des trois séances annuelles d'éducation à la sexualité à l'école, pourtant obligatoires. Nous en parlons avec Marion Athiel, membre du bureau et porte-parole du Planning familial pour le collectif.

La semaine mondiale du glaucome se tient du 12 au 18 mars. Maladie des yeux entraînant la destruction progressive du nerf optique, le glaucome peut mener à la cécité. On estime qu'après 70 ans, une personne sur 10 sera touchée par cette maladie. Dans 30 % des cas, la transmission est héréditaire. Souvent asymptomatique, la destruction du nerf optique se fait donc en silence jusqu'à un stade avancé. Comment prévenir le glaucome ? Comment permettre un diagnostic précoce ? Comment freiner sa progression ? Quelle prise en charge existe-t-il ? Dr Christophe Orssaud, ophtalmologue et neurophtalmologue, responsable de l'Unité fonctionnelle d'ophtalmologie à l'Hôpital européen Georges-Pompidou à Paris Dr Magloire Nzolantima, chirurgien ophtalmologiste et directeur général à la Clinique ophtalmologique LAEL VISION, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo. ► En fin d'émission, nous parlons de l'annonce du collectif « Cas d'école », regroupant trois associations – Sidaction, le Planning Familial et SOS Homophobie – de poursuivre l'État français pour non-respect de la loi. Elles pointent du doigt le non-respect des trois séances annuelles d'éducation à la sexualité à l'école, pourtant obligatoires. Nous en parlons avec Marion Athiel, membre du bureau et porte-parole du Planning familial pour le collectif.

Dans ce nouvel épisode de Voix Queer : être queer en politique On parle très souvent dans cette émission de représentation, de l'importance de la visibilité, notamment pour les personnalités publiques et/ou de manière générale les personnes qui prennent la parole dans les médias, sur les réseaux ou autre. Aujourd'hui on va parler de politique, et plus précisement d'être queer en politique. Comment gérer son identité quand on a un mandat politique ? Peut-on vraiment être qui on est, publiquement ? Comment se positionner sur des sujets liés à notre communauté sans qu'on nous reproche de ne pas être objectif.objectif ? Ce sont ces questions et tant d'autres qu'on se posera avec les invité.e.s de ce soir : Marie Cau, première mairesse trans de France à Tilloy-lez-Marchiennes, Floriane Varieras, adjointe à la Ville de Strasbourg ancienne membre de SOS Homophobie et Joël Steffen, également adjoint à la Ville de Strasbourg et ancien membre de FestiGays. Au niveau des chroniques Mehdi sera avec nous. Cette émission que le sujet du jour traite bien d' “être” queer en politique, les partis et étiquettes politiques de nos invité.e.s ne nous intéressent pas ce soir, nous allons parler de elleux en tant que personnes queer dans la sphère politique. L'émission est en direct tous les jeudis soir en direct sur RBS (91.9 FM à Strasbourg) de 20h à 21h. Juin'69 : Insta @juin69.asso Facebook @juin69.asso Marie : Insta @marie_furlan_ Marie Cau : Insta @marie_cauofficiel Floriane Varieras : Facebook @florianevarieras Insta @florianevarieras Joël Steffen : Facebook @joelsteffen

61% des personnes s'identifiant comme lesbiennes indiquent ne jamais se protéger lors de relations sexuelles avec des partenaires occasionnelles et 46% ne connaissent pas les moyens de protection ou ne savent pas s'en servir. Ce constat alarmant s'explique au travers de deux facteurs : l'absence d'information sur la santé sexuelle des personnes queer et la formation lacunaire - voire inexistante- de la part du corps médical. Cette idée reçue repose sur le principe qu'il n'y aurait pas de pénétration, et donc pas de risque d'attraper une infection ou maladie sexuellement transmissibles (IST et MST). Il existe pourtant des risques, d'autant plus que bon nombre des infections sexuellement transmissibles sont asymptomatiques. Dans cet épisode, j'ai souhaité comprendre d'où vient cette désinformation et quelles en sont les conséquences sur les personnes concernées. Pour cela, j'ai rencontré Mélanie (Parlons Lesbiennes), Lucile (SOS Homophobie) et Lou & Léontin (Sapphosutra), qui nous partagent leurs vécus et leurs constats sur ce sujet encore très tabou, tant dans la communauté LGBTQIA+ qu'hétérosexuelle.Cet épisode est le troisième d'une série sur l'invisibilisation des lesbiennes. Après avoir parlé de l'invisibilisation de celles-ci dans les médias et productions audiovisuelles avec Lauriane Nicole, puis de l'impact de la pornographie dans la perception de cette communauté avec Fanchon Mayaudon-Courtel, je m'intéresse ici à notre sexualité. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉPISODE :Le guide Sur le bout des lèvres, par SOS Homophobie et illustré par Lou, de SapphosutraCul nu, courts érotiques, Cy Jung, éditions KTMB.A-BA du sexe entre meufs et personnes queer, Allison Moon, Éditeur Goater EditionsLes petites faveurs, Colleen Coover, DecitreAnthologie Douteuses (2010—2020) – Élodie Petit & Marguerin Le Louvier, Éditions douteusesThe Lesbian Sex Haiku Book (with Cats!) : Anna Pulley, Flatiron BooksLesbia Magazine Archives Recherches Cultures Lesbiennes (ARCL)Etude sur la sexualité FSF, Suisse, 2020CREDITS :Ecriture, production et réalisation : Noémie GMÜRMixage : Alice KRIEFAmbiances : Odezenne - Gomez - O.V.N.I. - INSTRU, Pop Porn (Bagarre Remix) - Venus VNR, Plaisir de France & Barbara Carlotti En Mono Comme Ca InstrumentalGénérique : Version instrumentale de "Herbes Mauves" de PLAISIR DE FRANCE & Barbara CarlottiIllustration : Calypso Redor Soutenez le podcast Entre Eux Deux sur PatreonSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/entre-eux-deux. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Will God answer your prayer if you don't end with, "In Jesus' name, Amen?" Learn what praying in the name of Jesus really means. I taught this week on the call of Abraham and the development of God's missionary call through the nation of Israel as they were responsible to communicate the truth of God to the cultures around them. They were given that great commission. The great commission didn't start in Matthew 28. It started with Abraham in Genesis 12 —the first three verses there —Abraham, chosen by God to raise up a nation who would then be God's priests to the world so that they would be a blessing to all of the nations. They had a unique role in the great monotheistic religion. The Jews were supposed to reflect morality to the world. Israel was to witness to the name of God. When they talked about the name of God and witnessing to God's name, that does not mean that they were to let everybody know what they called God, "Yahweh." Their goal wasn't to cover the countryside with evangelists who just let everybody know what the right word for God was. It meant something different. ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆ https://linktr.ee/jacksonlibon --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- #face #instagram #amour #take #couple #garden #tiktok #psychology #beyou #near #love #foryou #money #ForYouPizza #fyp #irobot #theend #pups #TikToker #couplegoals #famille #relation #doudou #youtube #twitter #tiktokers #love #reeĺs #shorts #instagood #follow #like #ouy #oyu #babyshark #lilnasx #girl #happybirthday #movie #nbayoungboy #deviance #autotrader #trading #khan #academy #carter #carguru #ancestry #accords #abc #news #bts #cbs #huru #bluebook #socialmedia #whatsapp #music #google #photography #memes #marketing #india #followforfollowback #likeforlikes #a #insta #fashion #k #trending #digitalmarketing #covid #o #snapchat #socialmediamarketing

Aujourd'hui, nous recevons dans notre format Œil pour Œil Lucile Jomat, présidente de l'association SOS Homophobie. Lucile Jomat nous parlera des luttes LGBT. Qui sont ceux qui subissent de la LGBTIPHOB*ES ? Qui sont les agr*sseurs ? Est-ce que le combat LGBT est compris par tout le monde ? Y'a-t-il des tensions internes au combat LGBT ? La société est-elle suffisamment perméable aux luttes LGBT ? Le gouvernement devrait-il en faire plus ? Antonin sur les réseaux : Insta - https://www.instagram.com/antoninmaring/ Twitter - https://twitter.com/antoninmaring Lucile Jomat sur les réseaux : Facebook - https://www.facebook.com/lucile.jomat Twitter - https://twitter.com/LucileJomat Sos Homophobie sur les réseaux : Insta - https://www.instagram.com/soshomophobie/?hl=fr Facebook - https://www.facebook.com/SOS-homophobie-318022358532 Twitter - https://twitter.com/SOShomophobie 00:00 : Introduction 01:39 : Quel est le contexte actuel sur l'homophob*e ? 04:01 : Quelle tranche d'âge subit l'homophob*e ? 05:50 : Y-a-t-il une égalité des droits aujourd'hui ? 06:21 : Quels sont les droits que les LGBT ne possèdent pas ? 07:29 : Comment se positionne SOS Homophob*e par rapport aux barrières morales ? 09:09 : La société française est-elle en retard par rapport à d'autres pays ? 10:43 : Le féminisme 12:16 : Avez-vous des tensions internes ? 15:12 : Comment vous positionnez-vous par rapport aux luttes LGBT dans le monde ? 16:47 : L'Iran et les personnes LGBT. 17:32 : Avez-vous des associations internationales ? 18:02 : Avez-vous des attentes pour l'élection présidentielle ? 20:00 : Le fait que des jeunes se revendiquent, est-ce un effet de mode ? 22:13 : Êtes-vous satisfait d'Emmanuel Macron et de son mandat ? 23:20 : Quel est le pourcentage de personnes LGBT en France ? 23:40 : Quelle personnalité souhaiterais-tu voir dans ce format de vidéo ? 24:10 : As-tu une citation qui t'inspire, te guide ? 24:29 : Conclusion A propos du format : Œil pour œil est un format d'interview sous forme de débat qui tentera de vous faire comprendre les points de vue d'invité(e)s engagé(e)s par des questions tranchantes et simples qui permettent d'échanger des perspectives, leur "Œil" qui doit être défendu et argumenté pour ne pas s'attirer les contradictions qu'oppose Antonin, notre "Œil" de contradiction. Finalement au Crayon, on veut juste pouvoir discuter de sujets sensibles calmement et avec notre raison. Discutons ! #Médias #SOS HOMOPHOBIE #oeilpouroeil #lecrayon Merci à Lucile Jomat ! Le Crayon Trace tes contours ! Retrouvez Le Crayon sur tous les réseaux ! Si vous représentez une structure qui souhaite innover à la pointe des tendances, nous proposons du conseil en communication sur les réseaux sociaux. Sollicitez un RDV avec nous : https://lecrayonmedia.fr/ ► Youtube : https://youtu.be/xfycmf-HSqI ► Instagram : https://www.instagram.com/lecrayonmedia/ ► Twitter : https://twitter.com/lecrayonmedia/ ► LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-crayon-politique/ ► Discord : https://discord.gg/FPYpsWP ► Facebook : https://www.facebook.com/lecrayonmedia/ ► Tipeee : https://fr.tipeee.com/le-crayon ► Newsletter : http://urlr.me/BJPyk

17 novembre 2012, le premier cortège de la Manif pour tous écrasait les pavés parisiens. Alors que ce mouvement prend de l'ampleur, réunissant des milliers de familles en France pour protester contre l'ouverture du mariage et de l'adoption aux personnes de même sexe, Augustin a 12 ans. Petit dernier d'une fratrie de cinq, il est emmené à la manifestation par ses parents. Au micro de Rozenn Le Carboulec, il se remémore cette drôle de période qu'il voit d'un œil bien différent aujourd'hui – lui qui s'est découvert gay à 17 ans et l'a, depuis, partagé avec sa famille.Au travers de leurs souvenirs, ressurgissent ces mois de déversement de violences homophobes, éclairés par les témoignages de militant·e·s mobilisé·e·s à l'époque et par l'analyse de Béatrice Fracchiolla, experte en science du langage, pour mieux déjouer la rhétorique du mouvement.Avec Lucile Jomat, présidente de l'association SOS HomophobieNicolas Gougain, ancien porte-parole de l'Inter-LGBTAlix Béranger, militante féministe, ex-activiste au sein du collectif Oui oui ouiBéatrice Fracchiolla, enseignante chercheuse en sciences du langage à l'Université de LorrainePour aller plus loin :Le rapport sur les LGBTphobies de SOS Homophobie en 2014 : https://ressource.sos-homophobie.org/Rapports_annuels/Rapport_homophobie_2014.pdf L'article de Béatrice Fracchiola, Violence verbale dans le discours des mouvements antagonistes : le cas de “Mariage pour tous” et “Manif pour tous” : https://journals.openedition.org/aad/1940?gathStatIcon=true&lang=en Le site du collectif Oui oui oui : http://ouiouioui.org/ L'extrait du journal Inter Soir du du 5 octobre 2014 provient des archives de l'INA que nous remercions pour son autorisation.Offrez-vous l'affiche du documentaire sonore Au Nom du fils pour soutenir l'association Acceptess-T et la lutte pour les droits des personnes transgenre : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/soutenez-l-association-acceptess-t-avec-le-podcast-quouirMerci à Livi, qui facilite l'accès aux soins pour toutes et tous, de soutenir Quouïr. Infos : livi.frQuouïr est une série conçue et réalisée par Rozenn Le Carboulec, produite par Nouvelles Écoutes, mixée par Marthe Cuny et coordonnée par Gaïa Marty.Direction artistique : Aurore Meyer-MahieuPrise de son studio : Adrien Beccaria à l'Arrière-Boutique.Si vous avez une question ou un commentaire à nous faire parvenir, rendez-vous sur les réseaux sociaux de Nouvelles Écoutes.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

durée : 00:43:45 - Le Temps du débat - par : Quentin Lafay, Aliette Hovine - Apparus successivement depuis 2017, les mouvements #Meetoo, #Meetogay et #Meetooinceste prônent une libération de la parole des victimes de violences sexuelles. Comment ces mouvements ont-ils réussi à voir le jour ? Qu'ont-ils en commun ? Comment convertir une parole intime en acte politique ? - réalisation : Louise André - invités : Axelle Jah Njiké autrice et militante féministe; Sandrine Rousseau Économiste, vice-présidente de l'université de Lille, ancienne porte-parole nationale d'Europe Écologie Les Verts; David Malazoué vice-président de SOS Homophobie; Marylin Maeso philosophe et essayiste

durée : 00:04:35 - Le reportage de la rédaction - Cette année, de nombreuses causes sociétales ont animé l'actualité et pour les soutenir, des personnes s'engagent. Toute la semaine, France Culture vous propose leur portrait. Rencontre aujourd'hui avec Pascal Lelièvre, bénévole depuis dix ans à l'association SOS Homophobie.

Tomber amoureux/se  amène beaucoup de peur. Découvrir que cette attirance est pour une personne de même sexe est un réel chamboulement intérieur qui soulève beaucoup de questionnement, sur soi, mais avant tout sur notre société.  C'est à travers l'histoire de Marc Aurèle, que nous allons répondre et repenser notre environnement, social, familial, et politique.   -Comment gérer la crise identitaire intérieure quand on fait face à un questionnement aussi profond que sur son orientation sexuelle ? Changer son système de croyances, pour trouver l'épanouissement personnel.  -Quels sont les conseils à connaitre avant de faire son coming out ? Les relations son entourage proche ou éloigné (famille, amis, collègues).   – Qu’est ce que cela va changer dans ma vie ? Les répercussions de notre politique sur les minorités.  Cet épisode est avant tous là pour apprendre et s'ouvrir aux autres. Pour que chacun se sente visible, écouté, et en totale sécurité d'exprimer qui il est.  Les associations : - SOS Homophobie: 01 48 06 42 41 Ligne d'écoute anonyme.  – Le refuge : 06 31 59 69 50 prévenir l’isolement et le suicide des jeunes LGBT+ (hébergement/accompagnement de 18 à 25 ans en situation de rejet familial.)

Durée : 8:54 - Le 17 mai c'est l'IDAHOT : l'international day against homophobia and transphobia...depuis quelques jours l'association SOS Homophobie a publié son rapport annuel sur l'homophobie en France, cette publication a reçu un certain écho dans les médias, mais de quoi parle-t-on exactement ?  Les articles qui ont permis la rédaction de cette chronique : - sur l'IDAHOT, sur l'IDAHOT à Nantes  (on appréciera ou pas, les termes employés par France 3 : "les personnes de sensibilités gays lesbiennes etc."  et l'utilisation du mot transexuelle en lieu et place du mot transgenre, il y a encore du boulot) - sur le rapport de SOS Homophobie - l'article du Monde - l'article de France Inter - l'article de BFM - sur Emmanuel Macron, sur Agnès Thill et sur Nathalie Loiseau - sur le capitalisme et le patriarcat les écrits de Christine Delphy et de Sylvia Federici - le documentaire  La Révolution du Désir - le film Pride BONUS Si vous souhaitez suivre Queen Kong, vous pouvez le faire ici   

Durée : 8:54 - Le 17 mai c'est l'IDAHOT : l'international day against homophobia and transphobia...depuis quelques jours l'association SOS Homophobie a publié son rapport annuel sur l'homophobie en France, cette publication a reçu un certain écho dans les médias, mais de quoi parle-t-on exactement ?  Les articles qui ont permis la rédaction de cette chronique : - sur l'IDAHOT, sur l'IDAHOT à Nantes  (on appréciera ou pas, les termes employés par France 3 : "les personnes de sensibilités gays lesbiennes etc."  et l'utilisation du mot transexuelle en lieu et place du mot transgenre, il y a encore du boulot) - sur le rapport de SOS Homophobie - l'article du Monde - l'article de France Inter - l'article de BFM - sur Emmanuel Macron, sur Agnès Thill et sur Nathalie Loiseau - sur le capitalisme et le patriarcat les écrits de Christine Delphy et de Sylvia Federici - le documentaire  La Révolution du Désir - le film Pride BONUS Si vous souhaitez suivre Queen Kong, vous pouvez le faire ici   

Avec Pauline Verduzier.Cette semaine, on vous fait une petite visite guidée. Malmenée, dénigrée, bien trop méconnue bien que puissante, vous ne l’aurez peut-être pas deviné mais cet épisode de Quoi de Meuf sera bien consacré au… périnée !Et pour cause, cet ensemble de muscles qui s’étire du pubis au coccyx et soutient nos organes en bas de l'abdomen mériterait bien un peu plus de notre attention pour tous les bons et loyaux services qu’il nous rend.Références entendues dans l’épisode : La Ligue du LOL constitue une trentaine de membres d’un groupe Facebook – la Ligue du LOL – sont accusés de s’être livrés à du cyberharcèlement depuis 2009, en particulier sur Twitter.Le reportage de Clémentine dans le magazine Causette sur l’accès à l’IVG aux USLe gynécologue américain Arnold Kegel connu, entre autre, pour avoir inventé un périnéomètre et l’exercice de Kegel Le physiothérapeute français Alain Bourcier formé à la méthode KegelL’article de Slate sur la rééducation périnéaleLe Collège des gynécologues obstétriciens français L’étude relayée par le Collège National des Sages-Femmes sur la rééducation périnéaleL’article d’une américaine qui raconte dans Slate avoir suivi des séances de rééducation du périnée Le livre de la sage-femme Anna Roy intitulé “On en parle de mon périnée?” aux éditions LEDUC.SLe compte Twitter “@RespectePerinée” et l’association Perinelle pour sensibiliser les sportivesL’article d’RTL Girls sur le vaginisme L’article d’RTL Girls sur le concept de “vaginalité” La journaliste Renée Greusard, autrice du livre “Enceinte, tout est possible” aux éditions J.C LattèsL’article du Temps sur le tabou du périnée dans l’intimité La doctoresse norvégienne Katarina LaineL’oeuf de Yoni, aussi appelé œuf énergétique, est un objet ovoïde en pierre précieuse ou semi-précieuse qui se place à l'intérieur du vagin qui permet de développer un périnée toniqueLe livre “Les dialogues du périnée” d’Alain Boursier et Dr Jean Juras aux éditions Odile JacobLe livre de la kinésithérapeute Clémentine Siméon intitulé “Périnée: tout ce que vous avez toujours voulu savoir… sans jamais oser le demander !” aux éditions de l’OpportunLe compte Instagram Princesse PérinéeLa californienne Kim Anami qui a développé l’haltérophilie du périnée : le kung-fu vaginal La sexologue suisse Patrizia AnexLa kinésithérapeute Annabelle Salvi-Chaïdakis qui travaille avec des boules de geisha. France Culture, et l’émission les Pieds sur Terre ont traité le sujetL’article de Santé Magazine pour apprendre aux hommes à muscler leur périnéeLa BD de Rupert et Mulot intitulée “La technique du périnée”, aux éditions DupuisLe film de Rémi Bezançon, Un heureux évènement, avec Louise Bourgoin et Pio MarmaiLa série The Bold Type créée par Sarah WatsonLa série Clit Révolution réalisée par Elvire Duvelle-Charles et Sarah ConstantinLe film Gloria Bell réalisé par Sebastian LelioLe clip d’Emilie Jouvet “Entre filles, on ne risque rien” La brochure d’SOS Homophobie sur les IST entre femmesQuoi de Meuf est une émission de Nouvelles Écoutes, animée par Clémentine Gallot et Paulien Verduzier. Réalisée par Aurore Meyer Mahieu, montée et mixée par Laurie Galligani, coordonnée par Laura Cuissard.

Pour cette troisième d’Ovaires Bookées, on ne change pas une équipe qui gagne. Au programme : de la franche rigolade, de la musique, de l’engagement et de belles histoires. À nos côtés pour cette émission consacrée aux droits et à la visibilité des personnes lgbtqi+, Nico vieille lesbienne féministe (oui oui c’est elle qui se présente ainsi) et Michel de Sos Homophobie délégation Picardie. Tendez l’oreille on vous présente le Festival Idahot * qui vous attend toutes et tous du 14 au 19 mai à Amiens pour lutter contre toutes les formes de discriminations faites aux personnes LGBTQI+, ici à Amiens. *International Day Against Homophobia and Transphobia

Vous avez zappé les infos ? 20 Minutes vous a concocté un récap' audio. « Minute Papillon ! », c’est deux minutes à écouter sur les supports de 20 Minutes (desktop, site et application mobile) et les réseaux sociaux. Vous pouvez aussi l’écouter sur iTunes, Deezer, Pippa, Soundcloud et sur les applications de podcast, iOS et Android, sur l’application Google Podcasts (pour Android) ou encore sur l’enceinte connectée Alexa.Au programme ce midi :- «Les retraités ne seront pas perdants», Bruno Le Maire l’affirme en réponse à l’annonce d’Edouard Philippe sur les prestations sociales dimanche. - Dans l’avion retour d’Irlande, le pape s’est exprimé sur l’homosexualité. Des propos que SOS Homophobie dénonce comme graves, irresponsables et incitant à la haine. - Le boxeur américain Curtis Harper a frappé une seule fois les gants de son adversaire avant de quitter le ring, perdant par forfait pour protester contre sa rémunération.Yasmina CardozeCrédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits -Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Cuisine - Nctrnm freearchivemusic.org Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

SUR LES PLACES - "La PMA pour toutes n'est pas une question d'éthique." Joël Deumier, président de SOS Homophobie. Les consultations pour les États généraux de la Bioéthique vont durer encore deux mois. Deux mois pendant lesquels tout le monde peut aller sur le site etatsgenerauxdelabioethique.fr pour apporter sa contribution sur divers sujets, y compris la PMA. Pour Joël Deumier, il ne s'agit pourtant pas d'une question d'éthique. Il faudrait pour lui aligner simplement les droits des femmes homosexuelles sur ceux des couples hétérosexuels. Et éviter à tout prix de voir se transformer le débat sur la PMA en un pugilat sur la légitimité ou non des couples homosexuels à fonder une famille.

Hier, mercredi 17 mai, c'était la journée internationale de lutte contre l'homophobie, l'occasion de faire le point sur la situation des gays, lesbiennes, bi, trans, queers, inter-sexes en France. Pour ce faire, on reçoit Sylvie Gras, déléguée Île-de-France au sein de SOS-Homophobie. L'association a publié son rapport annuel et révèle une hausse des témoignages de personnes ayant été victimes de comportements homophobes, notamment sur internet.  L'association sera présente à Beaubourg dimanche pour une après-midi de sensibilisation. "On est passé d'une situation où les personnes homosexuelles devaient se cacher à une situation où elles peuvent faire appel à la loi si elles sont agressées ou insultées." On reçoit ensuite Marcel Katuchevski et Matthieu Gounelle. Le premier est dessinateur, le second est scientifique. Tous deux participent au mouvement Grand trouble. Ce dernier a donné lieu à une exposition que vous pouvez découvrir jusqu'au 31 juillet à la Halle Saint Pierre. De la photographie au dessin en passant par la sculpture, il s'agit de mélanger différentes personnalités, techniques, formes d'art dans l'idée de représenter les préoccupations de notre société. Côté chronique, Pitoum nous parle vaguement de l'Allemagne à un moment. Enfin, Jérémy Lachal, directeur général de Bibliothèques sans frontières, nous présente le projet La Grande bibliothèque du Panthéon qui a lieu ce week-end. Présentation: Camille Molza / Co-interviews : Mahaut Butler & Julien Abou  / Chronique :  Pitoum / Réalisation : Rémy Dussart / Web :  La Rédaction / Coordination : Elsa Landard & Marion Guichaoua.

Sujet du Jour : Impôts - Dettes - Fiscalité - On fera également un débat d'un point de vue politique > EN 2EME PARTIE : LES ACTUS > En Politique : Duel de l'entre deux tours (un désastre), Bilan de François Hollande > En LGBT : L Inter LGBT s explique, Sos Homophobie se positionne à son tour, Dates des marches 2017, Marion Marechal Le Pen garante de l abolition du mariage pour tous,

Sujet du Jour : Sidaction 2017, Nous parlerons entre autres des chiffres, de préventions, ainsi que les avancées de la recherche > En 2eme Partie : LES ACTUS > En Politique : Attaque terroriste à Londres, Les 11 candidats officiels aux présidentielles, Nouveaux délais de prescription depuis 2017 > En LGBT : François Hollande accueille les LGBT+ à l'Elysée, Marine Le Pen accuse C8 de manipulation, A Toulouse la pride est menacée, Youtube censure des contenus LGBT+, Nouvelle Enquête SOS Homophobie

Les agressions homophobes ont-elles diminué en 2015 ? C'est ce que laisse penser un rapport publié par SOS Homophobie, qui montre une baisse significative des actes homophobes. Un rapport qu'il faut tout de même nuancer, comme le précise notre invité Grégory Pierresteguy, bénévole à SOS Homophobie et coordinateur du rapport annuel.En effet, seuls les actes signalés sont recensés dans ces chiffres qui cachent peut-être un nombre important de victimes qui n'ont pas osé porter plainte. SOS Homophobie pointe également du doigt à travers ce rapport l'homophobie ordinaire, notamment chez les jeunes, et surtout internet. Des domaines dans lesquels intervient l'association auprès de différents publics pour les sensibiliser à ces expressions ou pratiques homophobes qui sont trop souvent banalisés."Ces chiffres sont représentatifs du nombre de personnes qui sont aptes à témoigner des actes homophobes qu'elles ont pu connaître. Certains témoigneront quand ils se feront insulter, mais d'autres trouveront ça normal et ne témoigneront pas. C'est difficile de dire que c'est une représentation fidèle dl'homophobie en France."Mieux connaître la culture des réfugiés qui arrivent en France, c'est ce que propose le Refugee Food Festival. Un festival qui vous propose de venir déguster un bon repas dans l'un des onze restaurants participants.Ces plats seront préparés par des chefs réfugiés venus d'Iran, d'Inde ou encore de Syrie, dans des lieux de rencontres et de partage, afin de présenter les différentes cultures de ces chefs et donner à travers la cuisine une autre vision des réfugiés. Un festival porté par Louis et Marion, avec nous en plateau, qui reviennent d'un tour du monde culinaire qu'ils racontent dans leur livre Very Food Trip."La cuisine, c'était aussi un formidable alibi pour nous pour aller à la rencontre de personnes extraordinaires (...) la cuisine révèle beaucoup de choses sur une ville, un pays, une culture, et des familles." MarionEnfin Erwan raconte dans sa chronique la triste histoire du groupe Gabriel Saglio et Les Vieilles Pies, privé de fête de la musique à Villers-Cotterêts pour ne pas avoir signé une clause de neutralité politique, comme l'exigeait la mairie frontiste de la ville. Présentation : Alban Barthélémy / Réalisation : Jinnie Jung / Co-interview : Léa Capuano et Manon Deverdet  / Chronique : Erwan Duchateau / Coordination : Elsa Landard et Camille Regache / Web : Erwan Duchateau

Sujet du jour > Les nouveaux escrocs et manipulateurs, que ce soit en amour, sur internet ou moralement ... Ne nous laissons pas avoir !!! > En 2eme Partie > LES ACTUS > En politique : La decheance de la nationalité, Charlie Hebdo 1 an deja, Prevision d un nouveau remaniement ministeriel > En LGBT : Tetu revient mais sur internet, Les nouvelles resolutions selon SOS Homophobie, Polemique avec l emission TPMP

A ministra da Saúde da França, Marisol Touraine, anunciou na última quarta-feira que os homossexuais masculinos poderão doar sangue na França a partir de 2016. Os gays estavam proibidos de realizar a prática desde 1983, quando houve uma forte incidência de infecção por HIV nessa população. Porém as severas restrições da nova medida dividem opiniões entre o movimento gay. Enquanto algumas entidades as consideram estigmatizantes e discriminatórias, outras apóiam. Em um primeiro momento, segundo a ministra, os homossexuais apenas poderão doar sangue se não tiverem feito sexo nos últimos doze meses. No caso da doação apenas do plasma, o tempo de abstinência cai para quatro meses. Os heterossexuais apenas têm restrições caso tenham trocado de parceira ou tenham tido relações sem preservativo - quando terão que ficar quatro meses em abstinêcia antes de doar. As associações de defesa dos direitos dos homossexuais SOS Homophobie, Fédération LGBT e Act-up Paris condenaram a estigmatização dos gays. Anthony Roux, vice-presidente do SOS Homophobie, considera a medida hipócrita. "Essa medida vai permitir reinserir no sistema de doação de sangue os homens que tiveram relações sexuais com outros homens ao longo da vida. Mas nós não achamos que isso seja suficiente, pois passamos de uma proibição permanente a uma condição de abstinência sexual de doze meses. E, evidentemente, a maioria dos gays não fica abstinente por 12 meses. Então essa medida é relativamente hipócrita e, no final, não vai permitir aos homossexuais doar seu sangue como anunciado pela ministra da saúde." Para Anthony, as restrições aplicadas aos gays são uma forma de homofobia. ""Devemos ser claros. Doar sangue não é um direito, mas, por outro lado, é um dever cívico. E, quando excluímos toda uma parte da população unicamente se baseando em uma de suas características, como neste caso a orientação sexual, há uma verdadeira estigmatização. É também uma forma de homofobia legitimada pelo poder público. Isso provoca um impacto sobre a sociedade. O que nós pedimos é que as restrições para a doação de sangue não sejam mais baseadas no critério de população de risco, mas de comportamento de risco. E que todas as contra-indicações à doação sejam baseadas nas práticas sexuais das pessoas, e não simplesmente na orientação sexual." Passo importante Já outros grupos, como Inter-LGBT e Aides, são menos críticos. Michel Mangin, responsável pelas questões de saúde do Inter-LGBT, participou das discussões no Ministério da Saúde que levaram à recente autorização. Ele vê a medida como uma passo importante. "Na verdade, chegamos a essa decisão colocando em primeiro lugar a segurança da transfusão de sangue, que é um elemento muito importante para nós. Efetivamente os critérios são muito rígidos para os homens que têm relações sexuais com outros homens. Mas, por enquanto, é uma boa etapa, que deve evoluir, segundo a ministra. Esperamos novos dados científicos, que serão coletados durante o primeiro ano da medida, que deverão permitir a redução desse critério." Michel explica por que acha que as restrições são justificáveis: "Sabemos que toda a população é afetada. Mas a prevalência entre os homossexuais é muito elevada, chegando a 17%. Enquanto que, na população em geral, o índice é de 1%. Para reduzir o critério de doze meses de abstinência, é necessário combater a epidemia de HIV, trabalhar os meios de prevenção, fazer campanha para a realização do teste. Devemos, antes de tudo, combater a epidemia". Regras brasileiras No Brasil, as regras para os gays são parecidas com as da França, como explica Gustavo Torres, do departamento de comunicação da Fundação Pró-Sangue, de São Paulo. "A portaria que define as regras para a doação de sangue, 2.712, de 12 de novembro de 2013, define que homens que tiveram relações sexuais com outros homens devem ficar 12 meses em abstinência para doar". O diretor da Associação Brasileira de Hematologia, Hemoterapia e Terapia Celular, Dante Langhi Jr., explica o porquê da restrição no Brasil. "A explicação técnica diz que é um caso em que há um aumento no risco de transmissão de doenças", diz. Os heterossexuais, tanto homens quanto mulheres, também devem ficar 12 meses em abstinência no Brasil caso tenham se relacionado com várias pessoas ou se tiverem tido relações sexuais sem proteção.

Le 5 mars dernier, SOS Homophobie publiait une "Enquête nationale sur la visibilité des lesbiennes et la lesbophobie". La lesbophobie qu'est-ce que c'est réellement ?  Tania Lejbowicz, co-référence de la Commission lesbophobie basée à Paris, nous explique les chiffres de cette enquête, sa réalisation, ce que ça nous dit sur la situation des lesbiennes aujourd'hui.  Sont-elles plus visible aujourd'hui ? Plus victimes de violence en comparaison au couple gay dans un espace public imprégné de vieux restes de la société patriarcale ?  En deuxième partie de l'émission, on reçoit Gary Monginod des Indie Guides, une application pour découvrir la ville d'une autre façon.  Loin des monuments et autres attrape-touristes , il nous explique comment découvrir la ville, la vraie, celle que les artistes et les acteurs de la vie culturelle chérissent. Bien loin du mouvement hipsters on découvre le Musée du flipper, des boutique de disquaire passionnés, des galeries photo atypique... 50 adresses de lieux animés qui sont l'occasion de rencontres dans les villes de Paris, Madrid, Berlin, Rotterdam ... et bientôt Istanbul et même Tokyo ! Et comme toujours des chroniques ! Maud nous tient informés de l'actu' et des bons plans étudiants en nous parlant du tremplin Amplitude du Beside Label. Fanny, bien qu'absente des studios, ne nous laisse pas dans l'horreur de n'avoir rien à dire au prochains dîners avec les beaux-parents, puisqu'elle est là par téléphone avec ses web-potins très utiles et très sérieux !   Présentation : Thibaud Texeire / Réalisation : Tiffany Batistel / Co-interview : Florence Dauly et Guillaume Gonçalves /Reportage : Thibaud Texeire / Chronique : Maud Wailly et Fanny Malek / Web : Laura Démocrite / Coordination : Elsa Landard

Le 5 mars dernier, SOS Homophobie publiait une "Enquête nationale sur la visibilité des lesbiennes et la lesbophobie". La lesbophobie qu'est-ce que c'est réellement ?  Tania Lejbowicz, co-référence de la Commission lesbophobie basée à Paris, nous explique les chiffres de cette enquête, sa réalisation, ce que ça nous dit sur la situation des lesbiennes aujourd'hui.  Sont-elles plus visible aujourd'hui ? Plus victimes de violence en comparaison au couple gay dans un espace public imprégné de vieux restes de la société patriarcale ?  En deuxième partie de l'émission, on reçoit Gary Monginod des Indie Guides, une application pour découvrir la ville d'une autre façon.  Loin des monuments et autres attrape-touristes , il nous explique comment découvrir la ville, la vraie, celle que les artistes et les acteurs de la vie culturelle chérissent. Bien loin du mouvement hipsters on découvre  le Musée du flipper, des boutique de disquaire passionnés, des galeries photo atypique... 50 adresses de lieux animés qui sont l'occasion de rencontres dans les villes de Paris, Madrid, Berlin, Rotterdam ... et bientôt Istanbul et même Tokyo ! Et comme toujours des chroniques ! Maud nous tient informés de l'actu' et des bons plans étudiants en nous parlant du tremplin Amplitude du Beside Label. Fanny, bien qu'absente des studios, ne nous laisse pas dans l'horreur de n'avoir rien à dire au prochains dîners avec les beaux-parents, puisqu'elle est là par téléphone avec ses web-potins très utiles et très sérieux !   Présentation : Thibaud Texeire / Réalisation : Tiffany Batistel / Co-interview : Florence Dauly & Guillaume Gonçalves /Reportage : Thibaud Texeire / Chronique : Maud Wailly & FannyMalek / Web :  Laura Démocrite / Coordination : Elsa Landard