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Maxime Le Forestier

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Invité culture
«La chanson française un peu beaucoup passionnément», un livre et une déclaration d'amour à la musique

Invité culture

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 4:26


L'invité culture est le journaliste Didier Varrod, directeur musical de Radio France. Il publie La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément. aux éditions Le Robert. Une balade en 21 chapitres dans l'histoire de la chanson française. RFI : La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément, c'est le titre de l'ouvrage en forme de déclaration d'amour que vous consacrez à votre passion, qui est aussi celle de beaucoup de gens dans le monde pour la chanson française. Il compte 21 chapitres, 21 moments qui retracent l'histoire moderne de cette chanson. Et en vous lisant, on comprend une chose essentielle : cette chanson française est aussi le miroir de la société dans toutes ses dimensions, ses revendications, ses soubresauts et ses crises. Didier Varrod : Contrairement à ce qu'avait dit Serge Gainsbourg sur un plateau de télévision, j'ai toujours pensé que la chanson était un art majeur, même si ce n'est pas un art académique. Je comprends la nuance gainsbourienne qui consiste à dire que pour faire de la peinture, il faut un apprentissage académique, il faut connaître toute l'histoire de la peinture, mais pour moi, la chanson m'a élevé « au grain ». C'est vrai que la littérature, les livres, le cinéma, ont été importants, mais la chanson a été une sorte de tuteur qui m'a accompagné dans mon éducation, dans mes prises de conscience, dans mes émotions et dans mon identité. Je pense que c'est comme ça pour beaucoup de Françaises et de Français et de gens dans le monde entier, d'ailleurs. Parce que la musique est « un cri qui vient de l'Intérieur », comme disait Bernard Lavilliers. C'est un terrain de jeu commun, un terrain qui fabrique du bien commun, du vivre-ensemble. Pour moi, c'est aussi une langue. Le français est peut-être ma première langue maternelle, mais la chanson française, en quelque sorte, est une deuxième langue. Elle m'a permis de communiquer avec des gens. Elle m'a permis d'entrer dans l'intimité des artistes que j'ai rencontré. Pour moi, elle fait socle. Et, j'ai toujours pensé aussi que si demain il y avait une catastrophe nucléaire ou une catastrophe épouvantable, et que dans un endroit secret était protégés des disques et des vinyles, on pourrait alors comprendre ce qu'était la France des années 1950 à aujourd'hui, rien qu'à travers des chansons. C'est pour ça qu'elle a cette importance pour moi. Dans ce livre, vous partez souvent d'un cas particulier, d'une rencontre, d'une anecdote, pour exhumer une tendance générale dans la chanson française. Prenons le cas des rapports entre le monde politique et la chanson. Est-ce que les personnels politiques ont toujours courtisé les chanteurs et chanteuses ? A contrario, est-ce que les artistes ont eu besoin des politiques ? C'est un phénomène qui est apparu progressivement avec l'émergence de la société du spectacle pour reprendre les termes de Guy Debord. Il est vrai que dans les années 1950 et les années début des années 1960, les artistes, la chanson d'un côté et le monde politique, de l'autre, étaient deux territoires relativement distincts. Ce qui a changé, c'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il y a une nouvelle catégorie sociologique qui apparait : la jeunesse. Dans les années 1950  ou 1940, voire avant la guerre, il n'y avait pas d'adolescence. L'adolescence n'était pas considérée comme une catégorie sociale à l'instar des enfants et des adultes. Et souvent d'ailleurs, les artistes qui sont issus des années 1960 le racontent. Leur révolution, c'est ça. C'est la prise en compte tout d'un coup d'une catégorie nouvelle qui s'appelle la jeunesse, l'adolescence. Et pour le coup, elle arrive avec sa propre langue, ses propres désirs d'apparence, sa volonté de se distinguer par des vêtements, par la musique, et puis progressivement par du cinéma, puis dans les années 1980 avec la BD.  Et ça, le monde politique le comprend... À partir du moment où cette catégorie est identifiée, elle devient attractive, et elle est convoitée par le personnel politique. D'autant plus avec l'instauration par Valéry Giscard d'Estaing (président de la France entre 1974 et 1981, NDLR) du droit de vote à 18 ans où, finalement, on sort de l'adolescence. Et on comprend que cette adolescence construit aussi les premières utopies, les premières convictions politiques. Je pense que ce qui a rapproché finalement le monde politique et le monde de la musique, c'est à la fois le courant des yéyés, la période de mai 1968, et aussi après les années s1970, la prise en compte de la jeunesse comme une véritable catégorie socioprofessionnelle. Et cette chanson française n'évolue pas en vase clos. Elle se fait la caisse de résonance des luttes de l'époque, des injustices, des combats. Il y a toujours eu une chanson d'auteur qui avait comme préoccupation de raconter le monde et de raconter en chanson quelles étaient les préoccupations sociales et politiques de leurs auteurs. Il y a eu, comme je le raconte dans le livre, des compagnons de route du Parti communiste français, notamment avec Jean Ferrat qui était un artiste extrêmement populaire à l'époque. À côté, il y avait des acteurs comme Yves Montand et Simone Signoret. Toute une sphère artistique très en lien avec le Parti communiste. Mais dans les années 1970, la France rattrape son retard dans la culture politique. John Fitzgerald Kennedy (président des États-Unis de 1961 à 1963, NDLR) est passé par là. Il a fait de sa campagne électorale, une campagne spectacle où le show business commençait à intervenir dans la vie politique américaine. Et du coup, Giscard, quand il arrive en 1974, applique un peu cette recette. Avec une volonté de resserrer les liens avec la sphère artistique. D'ailleurs, il vise les jeunes. Il fait fabriquer des t-shirts et il les fait porter aux artistes qui sont les plus populaires, les plus emblématiques. On a des photos de Claude François ou de Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan avec le t-shirt « Giscard à la barre ». La chanson française se fait l'écho des revendications et des cris, enfin des revendications, des injustices, des combats. Dans les années 1970, il y a une nouvelle scène française, une nouvelle chanson française qui est une chanson d'auteur, portée par des auteurs, compositeurs, interprètes et non plus seulement par des interprètes qui se contentaient de faire des adaptations de standards américains ou anglais. Donc, à partir du moment où cette génération d'auteurs est arrivée, elle s'est inscrite dans la tradition française, celle de l'écrit qui dit quelque chose du monde, et qui existait déjà, du reste, dans les années 1920 ou 1930, avec des chanteurs qui utilisaient la chanson pour raconter à la fois leur intériorité, mais aussi leur relation au monde et leur volonté d'émancipation. Dans les années 1970, il y a la volonté d'accompagner un désir de changement, d'alternance. Il faut se remettre dans l'esprit une chose : à l'époque, les gens pensaient que l'alternance politique n'était qu'une utopie, qu'elle n'arriverait jamais. Dès lors, nous n'avions pour y croire que quelques enseignants qui nous enseignaient une vision alternative du monde. Et puis, nous avions les chanteurs. Renaud, Bernard Lavilliers, Alain Souchon, Daniel Balavoine qui exprimaient à travers leurs mots une conscience ouvrière, une volonté de changer le monde. Pour mon cas personnel, j'ai toujours pensé que les chansons de Renaud ont été bien plus efficaces que tous les cours d'éducation civique que je subissais à l'école. Quant à Balavoine, je le considère un peu comme un tuteur, un grand frère qui m'a appris la vie, qui m'a appris quel était le prix de l'émotion, qui m'a appris à « m'emporter pour ce qui m'importe », puisque c'était une des grandes phrases de Balavoine, « je m'emporte pour ce qu'il m'importe ». Alors, est-ce que pour autant les chansons changent le monde ? C'est Jean-Jacques Goldman qui a posé de façon assez judicieuse la question, sans réellement y répondre. Mais en tout cas, elles accompagnent les soubresauts politiques, elles accompagnent les mutations, et parfois, elles sont simplement la bande originale d'un moment. Chaque révolution à ses chansons. Dans ce livre, vous abordez aussi un chapitre très intéressant, c'est l'irruption du rap dans les années 1990 et la difficulté qu'a eue l'industrie musicale à intégrer le rap dans le champs de vision. Il a fallu le succès de MC Solaar, expliquez-vous, pour que finalement, on se rende compte que les banlieues avaient quelque chose à dire. Et elles le disaient d'une façon différente, mais qui était aussi de la chanson française. J'ai eu la chance de vivre personnellement ce moment. Je suis en 1991 appelé à la direction artistique de Polydor. Je ne suis pas un enfant du rap, loin de là. J'ai acheté quelques 45 tours de rap, Sugar Hill Gang qui tournait sur ma platine tout le temps. On commençait à voir des breakers comme Sydney à la télévision. Mais pour moi, c'était quand même un monde un peu étranger. Et quand j'arrive en 1991 chez Polydor, qui est vraiment le label très imprégné de chanson française, Serge Reggiani, Renaud, Maxime Le Forestier etc, il y a toute une nouvelle pop française qui émerge avec Niagara, Mylène Farmer, Patricia Kaas. Et au milieu, il y a une espèce de d'électron libre qui s'appelle MC Solaar, avec un projet hybride entre la chanson et le rap. Ce n'est pas tout à fait du rap au sens où on croit l'entendre, et ce n'est pas tout à fait de la chanson. Et de cette hybridité va naître effectivement une culture qui est celle du rap populaire qui va débouler sur les antennes de toutes les radios. Pourquoi l'industrie musicale a eu autant de mal à intégrer le rap dans ses raisonnements ? Parce que ces jeunes gens n'avaient jamais eu la chance d'être visibles, ni à la radio ni à la télé. Faut quand même rappeler que jusque dans les années 1980, il n'y a pas de « blacks » à la télé, il n'y a pas d'arabes à la télé. Et quand on les voit, c'est soit parce qu'il y a des émeutes, soit parce que tout d'un coup, il y a un élan collectif antiraciste. Donc tout d'un coup, cette jeunesse que l'on ne connaît pas arrive et remet en question la manière traditionnelle de faire la chanson. La chanson, ce n'est plus forcément un couplet, un refrain, un couplet, un refrain. Ça peut être un flow qui dure pendant trois minutes sans refrain. Ça peut être – oh scandale ! – l'arrivée du sampling dans cette musique. Et ce sampling déstabilise une partie des gens de la chanson française qui se disent « mais enfin, ils ne peuvent pas composer leur propre rythmique, ils ne peuvent pas employer un batteur et un bassiste pour créer une rythmique ! ». Et la chanson française a aussi refusé quelque part cette irruption de ce mode d'expression qui était nouveau, spontané, et aussi extrêmement écrit, mais dans une langue qui n'était pas tout à fait la langue académique. Et c'est vrai que finalement, Solaar a réussi à imposer une image de grand sage. Et il a réussi, tout d'un coup, à intéresser les tenants du patrimoine de la chanson française, c'est à dire les Aznavour, les Gainsbourg, les Juliette Gréco, tous ces artistes vraiment très patrimoniaux qui avaient connu la poésie surréaliste, qui avaient connu Boris Vian, qui avaient connu Jacques Canetti. Donc ça a été pour moi magnifique de vivre à la fois cette émergence, de comprendre aussi que ça grattait, que ça n'allait pas être facile. Finalement, puisque j'ai toujours une vision un peu historique de la chanson, je me dis que ce n'est pas si loin de ce qu'ont vécus dans les années 1960 Eddy Mitchell, Dick Rivers, Johnny Hallyday qui – comme par hasard – étaient tous des mômes issus des quartiers populaires, de la banlieue, qu'on n'appelait pas encore banlieue, et qui s'exprimaient avec des rythmes et des mots qui n'étaient pas ceux de la génération d'avant. On voit à nouveau avec le rap l'émergence d'une musique stigmatisée par l'establishment, adoubée par la rue et par le public. C'est ça qui est très intéressant. Mais encore aujourd'hui, on s'aperçoit par exemple avec la mort de Werenoi, une partie de la France s'interroge. C'est juste le plus gros vendeur de disque en France ! Et moi, je voulais aussi raconter ce long chemin de croix qu'ont vécu les rappeurs pourtant installés depuis le début des années 1990. Je ne vous dis pas le nombre de courriers que reçoit la médiatrice de France Inter (station de radio où travaille Didier Varrod, NDLR) tous les jours, toutes les semaines pour râler en disant « mais comment vous pouvez passer cette musique qui n'est pas de la musique ? ». On a eu la même chose avec la musique électronique. Mais c'est pour dire encore qu'aujourd'hui, même si cette musique-là est majoritaire économiquement dans le pays et qu'elle draine effectivement la majorité de la jeunesse, elle n'est pas la musique majoritaire pour l'institution. Dans ce livre, vous évoquez beaucoup d'artistes qui vous ont marqués. On ne va pas tous les citer. Il y a Véronique Sanson, bien évidemment. Et puis, vous parlez de Mylène Farmer. Et en lisant le chapitre sur Mylène Farmer, je me suis dit : est-ce que la chanson française fabrique des mythes ? Ou est-ce que ce sont les mythes qui s'incarnent dans la chanson française, comme ils pourraient s'incarner en littérature ou ailleurs ? C'est une question que je me suis posée plusieurs fois en écrivant ce chapitre sur Mylène Farmer. Est-ce qu'elle est née pour devenir mythologique, avec la volonté de le devenir ? Ou est-ce que finalement, c'est l'histoire de la chanson française dans son évolution qui a fabriqué ce mythe ? En fait, je pense très honnêtement que, c'est l'histoire de la chanson française qui crée le mythe autour de Mylène Farmer. Même si Mylène Farmer, quand elle arrive au début des années 1980, se nourrit d'un certain nombre de mythologies très fortes, de figures mythologiques qui cultivent à la fois le secret, un univers un peu sombre, etc. Mais en fait, c'est en regardant l'histoire de la chanson que l'on s'aperçoit que finalement, ce mythe va naître et se muscler et s'intensifier. Cette identité, parfois, se transmet de père en fils. Vous abordez parmi tous les phénomènes que génère la chanson dans une société. Celui de l'héritage et des familles : les Higelin, les Chedid, les Gainsbourg.. La chanson française, serait-elle transmissible génétiquement, si je puis dire ? C'est l'une de ses singularités. Et en fait, c'est un questionnement que j'ai eu parce souvent, quand on me présente un artiste, je me dis « Tiens, c'est la fille de ou le fils de... ». Il y a quand même ce truc en France qui rend un peu suspect la légitimité ou l'intégrité, lorsque l'on est fille ou fils de ou petit-fils ou petite fille de. Et c'est vrai que c'est une question. En fait, c'est l'une des singularités de l'histoire de la chanson française. Il y a Gainsbourg, il y a Chedid, il y a Hardy, Dutronc, France Gall... Une partie de l'histoire de la chanson s'est construite, édifiée et fut nourrie par ces familles. Et c'était aussi peut-être leur rendre alors ce qui m'a aussi poussé. J'ai beaucoup hésité à écrire ce chapitre, jusqu'au moment où je suis allé voir le spectacle d'Alain Souchon avec ses deux fils. Au départ, je me disais « Mais il ne peut pas faire un spectacle tout seul ou avec Laurent Voulzy (son complice de scène NDLR) ». Et en fait, de voir ces trois personnalités liées par le sang, par un amour inconditionnel et construire une œuvre d'art à l'intérieur d'une histoire de la chanson, ça m'a bouleversé. Je me suis dit : « Il faut rendre hommage à cette volonté de revendiquer à ciel ouvert une histoire de famille. » Et puis après, il y a aussi une dimension dans les histoires de famille que l'on aborde assez peu. C'est le phénomène de la statue du Commandeur, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'artistes qui sont tellement impressionnés par l'image de la mère ou du père qui se disent « comment puis-je le dépasser ? ». Ce n'est pas simple pour tout le monde. Oui, et j'aurais pu aussi d'ailleurs évoquer dans le livre toutes les histoires de famille qui ont échoué, ou en tout cas, ces histoires d'enfants qui ont eu moins de succès ou ont eu plus de difficultés que leur maman ou leur papa. Et ça fera peut-être l'objet d'un tome 2, mais ce n'est jamais très agréable d'écrire sur les échecs. Mais ce que vous racontez là est vraiment juste. Quand on parle de Thomas Dutronc par exemple (fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy, tous deux artistes NDLR), c'est quand même génial. Une jeune garçon, un fils de, avec un père et une mère qui ont marqué la chanson... Il fait son apprentissage en secret se disant « si j'ai une chance de réussir, il ne faut pas que je sois chanteur, ou en tout cas, il ne faut pas que mon fantasme premier soit d'être dans la lumière ». Et c'est très bouleversant, parce qu'en fait, il va devenir un immense musicien en s'imposant la clandestinité. Il est devenu guitariste de jazz manouche, pour aller dans un monde qui n'était ni celui de son père, ni celui de sa mère. Donc il y a des très belles histoires dans cette épopée de la chanson française.

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«La chanson française un peu beaucoup passionnément», un livre et une déclaration d'amour à la musique

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Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 4:26


L'invité culture est le journaliste Didier Varrod, directeur musical de Radio France. Il publie La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément. aux éditions Le Robert. Une balade en 21 chapitres dans l'histoire de la chanson française. RFI : La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément, c'est le titre de l'ouvrage en forme de déclaration d'amour que vous consacrez à votre passion, qui est aussi celle de beaucoup de gens dans le monde pour la chanson française. Il compte 21 chapitres, 21 moments qui retracent l'histoire moderne de cette chanson. Et en vous lisant, on comprend une chose essentielle : cette chanson française est aussi le miroir de la société dans toutes ses dimensions, ses revendications, ses soubresauts et ses crises. Didier Varrod : Contrairement à ce qu'avait dit Serge Gainsbourg sur un plateau de télévision, j'ai toujours pensé que la chanson était un art majeur, même si ce n'est pas un art académique. Je comprends la nuance gainsbourienne qui consiste à dire que pour faire de la peinture, il faut un apprentissage académique, il faut connaître toute l'histoire de la peinture, mais pour moi, la chanson m'a élevé « au grain ». C'est vrai que la littérature, les livres, le cinéma, ont été importants, mais la chanson a été une sorte de tuteur qui m'a accompagné dans mon éducation, dans mes prises de conscience, dans mes émotions et dans mon identité. Je pense que c'est comme ça pour beaucoup de Françaises et de Français et de gens dans le monde entier, d'ailleurs. Parce que la musique est « un cri qui vient de l'Intérieur », comme disait Bernard Lavilliers. C'est un terrain de jeu commun, un terrain qui fabrique du bien commun, du vivre-ensemble. Pour moi, c'est aussi une langue. Le français est peut-être ma première langue maternelle, mais la chanson française, en quelque sorte, est une deuxième langue. Elle m'a permis de communiquer avec des gens. Elle m'a permis d'entrer dans l'intimité des artistes que j'ai rencontré. Pour moi, elle fait socle. Et, j'ai toujours pensé aussi que si demain il y avait une catastrophe nucléaire ou une catastrophe épouvantable, et que dans un endroit secret était protégés des disques et des vinyles, on pourrait alors comprendre ce qu'était la France des années 1950 à aujourd'hui, rien qu'à travers des chansons. C'est pour ça qu'elle a cette importance pour moi. Dans ce livre, vous partez souvent d'un cas particulier, d'une rencontre, d'une anecdote, pour exhumer une tendance générale dans la chanson française. Prenons le cas des rapports entre le monde politique et la chanson. Est-ce que les personnels politiques ont toujours courtisé les chanteurs et chanteuses ? A contrario, est-ce que les artistes ont eu besoin des politiques ? C'est un phénomène qui est apparu progressivement avec l'émergence de la société du spectacle pour reprendre les termes de Guy Debord. Il est vrai que dans les années 1950 et les années début des années 1960, les artistes, la chanson d'un côté et le monde politique, de l'autre, étaient deux territoires relativement distincts. Ce qui a changé, c'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il y a une nouvelle catégorie sociologique qui apparait : la jeunesse. Dans les années 1950  ou 1940, voire avant la guerre, il n'y avait pas d'adolescence. L'adolescence n'était pas considérée comme une catégorie sociale à l'instar des enfants et des adultes. Et souvent d'ailleurs, les artistes qui sont issus des années 1960 le racontent. Leur révolution, c'est ça. C'est la prise en compte tout d'un coup d'une catégorie nouvelle qui s'appelle la jeunesse, l'adolescence. Et pour le coup, elle arrive avec sa propre langue, ses propres désirs d'apparence, sa volonté de se distinguer par des vêtements, par la musique, et puis progressivement par du cinéma, puis dans les années 1980 avec la BD.  Et ça, le monde politique le comprend... À partir du moment où cette catégorie est identifiée, elle devient attractive, et elle est convoitée par le personnel politique. D'autant plus avec l'instauration par Valéry Giscard d'Estaing (président de la France entre 1974 et 1981, NDLR) du droit de vote à 18 ans où, finalement, on sort de l'adolescence. Et on comprend que cette adolescence construit aussi les premières utopies, les premières convictions politiques. Je pense que ce qui a rapproché finalement le monde politique et le monde de la musique, c'est à la fois le courant des yéyés, la période de mai 1968, et aussi après les années s1970, la prise en compte de la jeunesse comme une véritable catégorie socioprofessionnelle. Et cette chanson française n'évolue pas en vase clos. Elle se fait la caisse de résonance des luttes de l'époque, des injustices, des combats. Il y a toujours eu une chanson d'auteur qui avait comme préoccupation de raconter le monde et de raconter en chanson quelles étaient les préoccupations sociales et politiques de leurs auteurs. Il y a eu, comme je le raconte dans le livre, des compagnons de route du Parti communiste français, notamment avec Jean Ferrat qui était un artiste extrêmement populaire à l'époque. À côté, il y avait des acteurs comme Yves Montand et Simone Signoret. Toute une sphère artistique très en lien avec le Parti communiste. Mais dans les années 1970, la France rattrape son retard dans la culture politique. John Fitzgerald Kennedy (président des États-Unis de 1961 à 1963, NDLR) est passé par là. Il a fait de sa campagne électorale, une campagne spectacle où le show business commençait à intervenir dans la vie politique américaine. Et du coup, Giscard, quand il arrive en 1974, applique un peu cette recette. Avec une volonté de resserrer les liens avec la sphère artistique. D'ailleurs, il vise les jeunes. Il fait fabriquer des t-shirts et il les fait porter aux artistes qui sont les plus populaires, les plus emblématiques. On a des photos de Claude François ou de Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan avec le t-shirt « Giscard à la barre ». La chanson française se fait l'écho des revendications et des cris, enfin des revendications, des injustices, des combats. Dans les années 1970, il y a une nouvelle scène française, une nouvelle chanson française qui est une chanson d'auteur, portée par des auteurs, compositeurs, interprètes et non plus seulement par des interprètes qui se contentaient de faire des adaptations de standards américains ou anglais. Donc, à partir du moment où cette génération d'auteurs est arrivée, elle s'est inscrite dans la tradition française, celle de l'écrit qui dit quelque chose du monde, et qui existait déjà, du reste, dans les années 1920 ou 1930, avec des chanteurs qui utilisaient la chanson pour raconter à la fois leur intériorité, mais aussi leur relation au monde et leur volonté d'émancipation. Dans les années 1970, il y a la volonté d'accompagner un désir de changement, d'alternance. Il faut se remettre dans l'esprit une chose : à l'époque, les gens pensaient que l'alternance politique n'était qu'une utopie, qu'elle n'arriverait jamais. Dès lors, nous n'avions pour y croire que quelques enseignants qui nous enseignaient une vision alternative du monde. Et puis, nous avions les chanteurs. Renaud, Bernard Lavilliers, Alain Souchon, Daniel Balavoine qui exprimaient à travers leurs mots une conscience ouvrière, une volonté de changer le monde. Pour mon cas personnel, j'ai toujours pensé que les chansons de Renaud ont été bien plus efficaces que tous les cours d'éducation civique que je subissais à l'école. Quant à Balavoine, je le considère un peu comme un tuteur, un grand frère qui m'a appris la vie, qui m'a appris quel était le prix de l'émotion, qui m'a appris à « m'emporter pour ce qui m'importe », puisque c'était une des grandes phrases de Balavoine, « je m'emporte pour ce qu'il m'importe ». Alors, est-ce que pour autant les chansons changent le monde ? C'est Jean-Jacques Goldman qui a posé de façon assez judicieuse la question, sans réellement y répondre. Mais en tout cas, elles accompagnent les soubresauts politiques, elles accompagnent les mutations, et parfois, elles sont simplement la bande originale d'un moment. Chaque révolution à ses chansons. Dans ce livre, vous abordez aussi un chapitre très intéressant, c'est l'irruption du rap dans les années 1990 et la difficulté qu'a eue l'industrie musicale à intégrer le rap dans le champs de vision. Il a fallu le succès de MC Solaar, expliquez-vous, pour que finalement, on se rende compte que les banlieues avaient quelque chose à dire. Et elles le disaient d'une façon différente, mais qui était aussi de la chanson française. J'ai eu la chance de vivre personnellement ce moment. Je suis en 1991 appelé à la direction artistique de Polydor. Je ne suis pas un enfant du rap, loin de là. J'ai acheté quelques 45 tours de rap, Sugar Hill Gang qui tournait sur ma platine tout le temps. On commençait à voir des breakers comme Sydney à la télévision. Mais pour moi, c'était quand même un monde un peu étranger. Et quand j'arrive en 1991 chez Polydor, qui est vraiment le label très imprégné de chanson française, Serge Reggiani, Renaud, Maxime Le Forestier etc, il y a toute une nouvelle pop française qui émerge avec Niagara, Mylène Farmer, Patricia Kaas. Et au milieu, il y a une espèce de d'électron libre qui s'appelle MC Solaar, avec un projet hybride entre la chanson et le rap. Ce n'est pas tout à fait du rap au sens où on croit l'entendre, et ce n'est pas tout à fait de la chanson. Et de cette hybridité va naître effectivement une culture qui est celle du rap populaire qui va débouler sur les antennes de toutes les radios. Pourquoi l'industrie musicale a eu autant de mal à intégrer le rap dans ses raisonnements ? Parce que ces jeunes gens n'avaient jamais eu la chance d'être visibles, ni à la radio ni à la télé. Faut quand même rappeler que jusque dans les années 1980, il n'y a pas de « blacks » à la télé, il n'y a pas d'arabes à la télé. Et quand on les voit, c'est soit parce qu'il y a des émeutes, soit parce que tout d'un coup, il y a un élan collectif antiraciste. Donc tout d'un coup, cette jeunesse que l'on ne connaît pas arrive et remet en question la manière traditionnelle de faire la chanson. La chanson, ce n'est plus forcément un couplet, un refrain, un couplet, un refrain. Ça peut être un flow qui dure pendant trois minutes sans refrain. Ça peut être – oh scandale ! – l'arrivée du sampling dans cette musique. Et ce sampling déstabilise une partie des gens de la chanson française qui se disent « mais enfin, ils ne peuvent pas composer leur propre rythmique, ils ne peuvent pas employer un batteur et un bassiste pour créer une rythmique ! ». Et la chanson française a aussi refusé quelque part cette irruption de ce mode d'expression qui était nouveau, spontané, et aussi extrêmement écrit, mais dans une langue qui n'était pas tout à fait la langue académique. Et c'est vrai que finalement, Solaar a réussi à imposer une image de grand sage. Et il a réussi, tout d'un coup, à intéresser les tenants du patrimoine de la chanson française, c'est à dire les Aznavour, les Gainsbourg, les Juliette Gréco, tous ces artistes vraiment très patrimoniaux qui avaient connu la poésie surréaliste, qui avaient connu Boris Vian, qui avaient connu Jacques Canetti. Donc ça a été pour moi magnifique de vivre à la fois cette émergence, de comprendre aussi que ça grattait, que ça n'allait pas être facile. Finalement, puisque j'ai toujours une vision un peu historique de la chanson, je me dis que ce n'est pas si loin de ce qu'ont vécus dans les années 1960 Eddy Mitchell, Dick Rivers, Johnny Hallyday qui – comme par hasard – étaient tous des mômes issus des quartiers populaires, de la banlieue, qu'on n'appelait pas encore banlieue, et qui s'exprimaient avec des rythmes et des mots qui n'étaient pas ceux de la génération d'avant. On voit à nouveau avec le rap l'émergence d'une musique stigmatisée par l'establishment, adoubée par la rue et par le public. C'est ça qui est très intéressant. Mais encore aujourd'hui, on s'aperçoit par exemple avec la mort de Werenoi, une partie de la France s'interroge. C'est juste le plus gros vendeur de disque en France ! Et moi, je voulais aussi raconter ce long chemin de croix qu'ont vécu les rappeurs pourtant installés depuis le début des années 1990. Je ne vous dis pas le nombre de courriers que reçoit la médiatrice de France Inter (station de radio où travaille Didier Varrod, NDLR) tous les jours, toutes les semaines pour râler en disant « mais comment vous pouvez passer cette musique qui n'est pas de la musique ? ». On a eu la même chose avec la musique électronique. Mais c'est pour dire encore qu'aujourd'hui, même si cette musique-là est majoritaire économiquement dans le pays et qu'elle draine effectivement la majorité de la jeunesse, elle n'est pas la musique majoritaire pour l'institution. Dans ce livre, vous évoquez beaucoup d'artistes qui vous ont marqués. On ne va pas tous les citer. Il y a Véronique Sanson, bien évidemment. Et puis, vous parlez de Mylène Farmer. Et en lisant le chapitre sur Mylène Farmer, je me suis dit : est-ce que la chanson française fabrique des mythes ? Ou est-ce que ce sont les mythes qui s'incarnent dans la chanson française, comme ils pourraient s'incarner en littérature ou ailleurs ? C'est une question que je me suis posée plusieurs fois en écrivant ce chapitre sur Mylène Farmer. Est-ce qu'elle est née pour devenir mythologique, avec la volonté de le devenir ? Ou est-ce que finalement, c'est l'histoire de la chanson française dans son évolution qui a fabriqué ce mythe ? En fait, je pense très honnêtement que, c'est l'histoire de la chanson française qui crée le mythe autour de Mylène Farmer. Même si Mylène Farmer, quand elle arrive au début des années 1980, se nourrit d'un certain nombre de mythologies très fortes, de figures mythologiques qui cultivent à la fois le secret, un univers un peu sombre, etc. Mais en fait, c'est en regardant l'histoire de la chanson que l'on s'aperçoit que finalement, ce mythe va naître et se muscler et s'intensifier. Cette identité, parfois, se transmet de père en fils. Vous abordez parmi tous les phénomènes que génère la chanson dans une société. Celui de l'héritage et des familles : les Higelin, les Chedid, les Gainsbourg.. La chanson française, serait-elle transmissible génétiquement, si je puis dire ? C'est l'une de ses singularités. Et en fait, c'est un questionnement que j'ai eu parce souvent, quand on me présente un artiste, je me dis « Tiens, c'est la fille de ou le fils de... ». Il y a quand même ce truc en France qui rend un peu suspect la légitimité ou l'intégrité, lorsque l'on est fille ou fils de ou petit-fils ou petite fille de. Et c'est vrai que c'est une question. En fait, c'est l'une des singularités de l'histoire de la chanson française. Il y a Gainsbourg, il y a Chedid, il y a Hardy, Dutronc, France Gall... Une partie de l'histoire de la chanson s'est construite, édifiée et fut nourrie par ces familles. Et c'était aussi peut-être leur rendre alors ce qui m'a aussi poussé. J'ai beaucoup hésité à écrire ce chapitre, jusqu'au moment où je suis allé voir le spectacle d'Alain Souchon avec ses deux fils. Au départ, je me disais « Mais il ne peut pas faire un spectacle tout seul ou avec Laurent Voulzy (son complice de scène NDLR) ». Et en fait, de voir ces trois personnalités liées par le sang, par un amour inconditionnel et construire une œuvre d'art à l'intérieur d'une histoire de la chanson, ça m'a bouleversé. Je me suis dit : « Il faut rendre hommage à cette volonté de revendiquer à ciel ouvert une histoire de famille. » Et puis après, il y a aussi une dimension dans les histoires de famille que l'on aborde assez peu. C'est le phénomène de la statue du Commandeur, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'artistes qui sont tellement impressionnés par l'image de la mère ou du père qui se disent « comment puis-je le dépasser ? ». Ce n'est pas simple pour tout le monde. Oui, et j'aurais pu aussi d'ailleurs évoquer dans le livre toutes les histoires de famille qui ont échoué, ou en tout cas, ces histoires d'enfants qui ont eu moins de succès ou ont eu plus de difficultés que leur maman ou leur papa. Et ça fera peut-être l'objet d'un tome 2, mais ce n'est jamais très agréable d'écrire sur les échecs. Mais ce que vous racontez là est vraiment juste. Quand on parle de Thomas Dutronc par exemple (fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy, tous deux artistes NDLR), c'est quand même génial. Une jeune garçon, un fils de, avec un père et une mère qui ont marqué la chanson... Il fait son apprentissage en secret se disant « si j'ai une chance de réussir, il ne faut pas que je sois chanteur, ou en tout cas, il ne faut pas que mon fantasme premier soit d'être dans la lumière ». Et c'est très bouleversant, parce qu'en fait, il va devenir un immense musicien en s'imposant la clandestinité. Il est devenu guitariste de jazz manouche, pour aller dans un monde qui n'était ni celui de son père, ni celui de sa mère. Donc il y a des très belles histoires dans cette épopée de la chanson française.

RADIO LOCALITIZ
La 200ieme - Chansons sur l'écriture

RADIO LOCALITIZ

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 53:11


Tonton Mick vient nous partager ses connaissances en chanson francophone à travers plusieurs émissions, généreusement illustrées en chansons et parsemées d'interviews, d'anecdotes ou commentaires. Le Coin de Tonton Mick : https://www.radiolocalitiz.fr/le-coin-de-tonton-mick/    Titres diffusés : Alexandre Poulin - L'écrivain Linda Lemay - Drôle de mine Barcella - Claire fontaine Maxime Le forestier - Blues blanc pour un crayon noir Anne Sylvestre - Ecrire pour ne pas mourir Les fussoirs – Litres et ratures Ricet Barrier - La ponctuation Samuel Leroy – Un rapport succinct Bernard Joyet – Ratures Charles Aznavour – Ecrire Pourkoituripa – Ecrire Valérie Barrier – Ecrire Pierre Cléon - Croquons les mots               Lili Cros et Thierry Chazelle – Les chansons colibris             Soutenez-nous sur helloasso.com !

Fréquence Plus : Evènement
Yves Jamait était l'invité de Room Service

Fréquence Plus : Evènement

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 28:15


Yves Jamait était l'invité de Room Service ce vendredi 03 octobre de 9h à 10h. Yves Jamait nous a présenté son nouvel album "Maxime et moi", hommage vibrant à Maxime Le Forestier, sorti le 26 septembre dernier qu'il emmène en tournée dès le 16 octobre avec un concert au Cèdre à Chenôve, en Côte d'Or puis une tournée 2026 qui fera étape au Grand Kursaal de Besançon le 06 mars ou encore à La Commanderie de Dole le 22 avril. En parallèle, Yves Jamait est en tournée avec un deuxième spectacle "Accordéonnez-moi", accompagné de Frédérique Langlais et Samuel Garcia, deux virtuoses de l'accordéon. Ils revisitent l'univers artistique d'Yves Jamait sous un jour nouveau, entre tradition française et modernité acoustique, à découvrir notamment vendredi 17 octobre au Cèdre à Chenôve.

RADIO LOCALITIZ
Chansons sur des dates marquantes

RADIO LOCALITIZ

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 43:58


Tonton Mick vient nous partager ses connaissances en chanson francophone à travers plusieurs émissions, généreusement illustrées en chansons et parsemées d'interviews, d'anecdotes ou commentaires. Le Coin de Tonton Mick : https://www.radiolocalitiz.fr/le-coin-de-tonton-mick/  Titres diffusés : Bénabar – Bon anniversaire Frasiak – 21 janvier 1958 Maxime Le forestier - Février de cette année là Julos Beaucarne - Chanson pour Loulou Hubert Félix Thiéfaine - 22 mai Serge Lama - Le 15 juillet à cinq heures Charlélie Couture - La balade du mois d'août 75 Georges Brassens - Le 22 septembre Jean- Jacques Goldman - Né en 1917 à Leidenstadt Michel Delpech - Inventaire 66 Fabulous Trobadors - L'anniversaire             Soutenez-nous sur helloasso.com !

Le 13/14
Bevinda raconte "Mon frère" de Maxime Le Forestier

Le 13/14

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 5:24


durée : 00:05:24 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Tout cet été, nous réécoutons les entretiens de Frédéric Pommier. Aujourd'hui, c'est avec la chanteuse Bevinda. Elle évoque "Mon frère" de Maxime Le Forestier, chanson qui lui a permis de mieux comprendre la sensation de manque qui l'habite depuis toujours. (Rediffusion de l'émission du 11/06/2025) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le 13/14
Bevinda raconte "Mon frère" de Maxime Le Forestier

Le 13/14

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 5:33


durée : 00:05:33 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Elle sera en concert le 18 juin au Studio de l'Ermitage à Paris. Au micro de Frédéric Pommier, la chanteuse Bevinda témoigne de son affection pour la chanson "Mon frère" de Maxime Le Forestier, une chanson qui lui a permis de mieux comprendre la sensation de manque qui l'habite depuis toujours.

La partition
«Né quelque part», la partition de Maxime Le Forestier

La partition

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 3:57


Dans cet épisode, Ombline Roche nous raconte le parcours de Maxime Le Forestier, figure emblématique de la chanson française. Après une traversée du désert dans les années 80, marquée par l'émergence de nouveaux courants musicaux, l'artiste décide de s'éloigner des thématiques qui ont fait son succès. Mais lorsqu'il revient sur le devant de la scène avec l'album 'Né quelque part', Maxime Le Forestier connaît un véritable retour en grâce, avec un son plus ouvert sur le monde et des textes engagés. Découvrez les coulisses de ce comeback réussi d'un artiste qui a su s'adapter aux évolutions de son époque.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans le Tempo
De Daniel Darc à Pete Doherty, l'homme de l'ombre Frédéric Lo nous raconte sa carrière

Dans le Tempo

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 111:27


▶ Dans le Tempo # 93 Dans ce nouvel épisode du podcast des passionnés de musique, Salman et Daz reçoivent le compositeur, parolier, réalisateur et arrangeur Frédéric Lo. Homme de l'ombre, Frédéric mène une carrière prolifique et passionnante, mais discrète, en solo ou au service des autres. Passionné par le rock et la pop britannique, Fred connaît des débuts difficiles artistiques. Il finit par rencontrer le succès en relançant la carrière de l'écorché vif Daniel Darc, ex-membre du groupe Taxi Girl. C'est en effet lui qui compose l'album "Crèvecoeur", ce qui lui ouvrira de nombreuses portes. Ainsi, Maxime Le Forestier, Stephan Eicher, Alex Beaupain, Alain Chamfort, Marc Lavoine ou encore Alizée vont faire appel aux talents de Frédéric Lo. On le retrouve d'ailleurs derrière l'énorme tube de l'année 2009 "Hey You", de l'éphémère groupe Pony Pony Run Run. En 2022, 18 ans après "Crèvecoeur", une autre collaboration marquante débute pour Fred, qui accompagne la renaissance - encore une - de Pete Doherty. Ensemble, ils composent et interprètent l'album "The Fantasy Life of Poetry & Crime" qui est célébré par la critique. Comment garder son identité artistique tout en se mettant au service des autres ? N'est-il pas difficile de rencontrer un plus grand succès avec les autres, que seul ? Comment gérer, notamment financièrement, les périodes d'ombre puis de lumière ? À travers toutes ces questions, Salman et Daz ont tenté de retracer un parcours qui dit beaucoup de choses sur le monde de la musique. N'hésitez pas à naviguer entre les chapitres en fonction de vos intérêts ! ▶ Sommaire : 00:00 Présentation de l'invité 03:38 Le bouillonnement des années 80 12:52 Des débuts difficiles 20:28 La collaboration avec Daniel Darc 37:52 Gérer le succès 44:05 Le tube avec Pony Pony Run Run 58:51 La collaboration avec Peter Doherty 1:23:13 Déléguer le business, ou gérer seul ? 1:27:18 Les albums solo 1:43:58 Recommandations Technique : La Bouclette Montage : François Brétéché

Yann Fadigas
100% LIFESTYLE 24 - 13 02 25 - Secrets du "Roi Lion" / zoom sur San Francisco / céphalées

Yann Fadigas

Play Episode Listen Later Feb 13, 2025 61:30


100% LIFESTYLE - Tous les jeudis : - De 19H à 20H sur RDL 103.5 FM en Centre Alsace - A l'écoute partout à cette heure sur le direct live sur www.rdl68.fr / http://rdl68.fr/playlist/100-lifestyle/ - En PODCAST sur SOUNDCLOUD chaque JEUDI à 21H Dans ce numéro, Anne-Claire & Yann vous proposent : - En route pour l'aventure (voyage/Yann): Lombard Street, Golden Gate Bridge: en route pour San Francisco ! - La minute soignante (santé & bien-être/Anne-Claire): Zoom sur les céphalées ou maux de tête - Chanson Story (histoire d'un tube/Yann): "L'histoire de la vie" (Le Roi Lion), 1994 - La question des auditeurs: Marthe demande pourquoi le fromage fait-il des fils quand il fond ? - Trucs & astuces (Anne-Claire): Tout savoir sur la congélation / décongélation MUSIQUES: "Home", Tom Leeb, 2024 "L'histoire de la vie", Le Roi Lion, 1994 "Nous sommes un", Le Roi Lion 2, 1999 EXTRAITS: "San Francisco", Maxime Le Forestier, 1972 "So far away from LA", Nicolas Peyrac, 1975 "Divinere", Ludovico Einaudi, 2006 "L'air du vent", Pocahontas, 1995 "Circle of life", The Lion King, 1994 "L'amour brille sous les étoiles", Le Roi Lion, 1994 "Du fromage et du pain", Bourvil, 1962 "Let's go", David Guetta et Jaden Bojsen, 2024 Important: Je ne touche aucun droits d'auteur sur ces chansons. Les droits reviennent intégralement aux auteurs/compositeurs/interprètes. Diffusion: Jeudi 19H - 20H en direct sur RDL (103.5 FM dans le Centre Alsace) ecouterradioenligne.com/rdl-colmar/ Une production RDL 103.5 FM Tous droits réservés

C'était, il y a...
C'était, il y a... - Maxime Le Forestier

C'était, il y a...

Play Episode Listen Later Feb 9, 2025


Maxime Le Forestier - C'était, il y a...

Les Petites Ondes
Les 2nd du lycée Lucie Aubrac - Partie 2

Les Petites Ondes

Play Episode Listen Later Nov 3, 2024


Les élèves de seconde 9 du lycée Lucie Aubrac ont imaginé des sujets autour de quatre thématiques principales : la maison, dehors, la ville, l'espace. Après deux jours de préparation et d'écriture, les lycéen et lycéennes ont enregistré 3 émissions en studio.   Dans Le monde qui nous entoure, Brian, Clément, Youssef,  Wael et Curtis nous parlent d'éruptions solaires et tendent le micro à un businessman bien connu, obnubilé par l'espace.  Avec Brian en présentateur, Clément en chroniqueur, Wael en journaliste, Curtis en invité et Youssef à la réalisation.  Musique : David Bowie, Space Oddity Dans Ça se passe aujourd'hui, Maeva, Iris, Ines et Arthur nous parlent de violences domestiques et des différentes perceptions du mot "maison" en fonction de l'âge. Avec Iris en présentatrice et chroniqueuse, Ines en journaliste, Maeva en invitée et Arthur à la réalisation. Musique : Tiakola, Ryflo & Oskoov, Manon B / Laylow, HELP!!! / Maxime Le Forestier, San Francisco  Dans Tout sur la ville, Ahmed, Aïssa, Charles, Assia, Suleiman et Lisa nous parlent du vote d'extrême droite dans les zones rurales, du sport en ville et de sociologie des zones urbaines. Avec Aïssa en présentatrice et journaliste, Charles en chroniqueur, Assia en invitée, Suleiman en journaliste sportif, Ahmed en invité et Lisa à la réalisation.  Musique : Cavetown, Devil Town  Un atelier réalisé les 16, 17 et 18 octobre 2024 et animé Mahaut DE LATAILLADE et Mélissande BRY dans le cadre des ateliers d'initiation aux pratiques radiophoniques organisés par Radio Campus Paris.  

Les Petites Ondes
Les 2nd du lycée Lucie Aubrac - Partie 2

Les Petites Ondes

Play Episode Listen Later Nov 3, 2024


Les élèves de seconde 9 du lycée Lucie Aubrac ont imaginé des sujets autour de quatre thématiques principales : la maison, dehors, la ville, l'espace. Après deux jours de préparation et d'écriture, les lycéen et lycéennes ont enregistré 3 émissions en studio.   Dans Le monde qui nous entoure, Brian, Clément, Youssef,  Wael et Curtis nous parlent d'éruptions solaires et tendent le micro à un businessman bien connu, obnubilé par l'espace.  Avec Brian en présentateur, Clément en chroniqueur, Wael en journaliste, Curtis en invité et Youssef à la réalisation.  Musique : David Bowie, Space Oddity Dans Ça se passe aujourd'hui, Maeva, Iris, Ines et Arthur nous parlent de violences domestiques et des différentes perceptions du mot "maison" en fonction de l'âge. Avec Iris en présentatrice et chroniqueuse, Ines en journaliste, Maeva en invitée et Arthur à la réalisation. Musique : Tiakola, Ryflo & Oskoov, Manon B / Laylow, HELP!!! / Maxime Le Forestier, San Francisco  Dans Tout sur la ville, Ahmed, Aïssa, Charles, Assia, Suleiman et Lisa nous parlent du vote d'extrême droite dans les zones rurales, du sport en ville et de sociologie des zones urbaines. Avec Aïssa en présentatrice et journaliste, Charles en chroniqueur, Assia en invitée, Suleiman en journaliste sportif, Ahmed en invité et Lisa à la réalisation.  Musique : Cavetown, Devil Town  Un atelier réalisé les 16, 17 et 18 octobre 2024 et animé Mahaut DE LATAILLADE et Mélissande BRY dans le cadre des ateliers d'initiation aux pratiques radiophoniques organisés par Radio Campus Paris.  

Good Morning Music
Maxime Le Forestier (San Francisco), une chanson bleue adossée à la nostalgie

Good Morning Music

Play Episode Listen Later Oct 9, 2024 7:35


Extrait : « … ils partent jouer au hippie à San Francisco et s'installent plusieurs semaines durant dans une maison de style victorien dans le quartier du Castro, au sein d'une communauté composée de mille personnages pittoresques. À son retour à Paris, il reçoit une lettre accompagnée de dessins de la part de ses anciens colocataires, mais ne parlant presque pas anglais, il leur répond en composant une chanson faite de souvenirs et de réflexions tirées de son séjour américain, sans savoir qu'elle va devenir l'un des plus grands succès des années 70 en France … »Pour commenter les épisodes, tu peux le faire sur ton appli de podcasts habituelle, c'est toujours bon pour l'audience. Mais également sur le site web dédié, il y a une section Le Bar, ouverte 24/24, pour causer du podcast ou de musique en général, je t'y attends avec impatience. Enfin, si tu souhaites me soumettre une chanson, c'est aussi sur le site web que ça se passe. Pour soutenir Good Morning Music et Gros Naze :1. Abonne-toi2. Laisse-moi un avis et 5 étoiles sur Apple Podcasts, ou Spotify et Podcast Addict3. Partage ton épisode préféré à 3 personnes autour de toi. Ou 3.000 si tu connais plein de monde. Good Morning Music Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les petits papiers
Carnet de mots musicaux avec Zazie,Maxime Le Forestier, Robert Charlebois et Catherine Graindorge

Les petits papiers

Play Episode Listen Later Sep 30, 2024 14:56


Les secrets et histoires autour du métier et des instruments de musique d'une chanteuse, d'une violoniste et de deux chanteurs. Du canada à Bruxelles en passant par la France, Zazie, Catherine Graindorge, Maxime le Forestier et Robert Charlebois font des confidences sur leur rapport à leur instrument de prédilection et sur leur métier. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Entrez sans frapper
Le 17h00 d'Hélène Maquet, Maxime Le Forestier, La suite de "1984" d'Orwell

Entrez sans frapper

Play Episode Listen Later Sep 10, 2024 23:43


À 17h00, retrouvez « Le 17h00 d'Hélène Maquet ». "Paroles, Paroles" de Sébastien Ministru : "Né quelque part" de Maxime Le Forestier. Les sorties BD de Xavier Vanbuggenhout : - "Journal de 1985" de Xavier Coste (Sarbacane) - "Ligne de fuite" de Sylvain Savarin et Robert Cullen (Blueman) À partir de 16h00, Jérôme Colin et ses chroniqueurs vous offrent toute l'actualité culturelle : cinéma, musique, littérature, théâtre… Toujours avec une touche d'humour. Après Bagarre dans la Discothèque, le jeu musical décalé, Jérôme reçoit un grand invité et, dans la dernière demi-heure, avec Hélène Maquet, Julie Morelle et les chroniqueurs, ils vous emmènent dans la bonne humeur vers la nouvelle émission d'info de fin de journée. 1h30 de plaisir intelligent. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

De Sandwich
Uitzending van 14 juli 2024

De Sandwich

Play Episode Listen Later Jul 14, 2024 106:37


Uur 1 1.         Fly me to the moon – Peggy Lee 2.         El condor pasa – Simon & Garfunkel 3.         Il n'est jamais trop tard – Thomas Dutronc 4.         Onder aan de dijk – Thé Lau & Sarah Bettens 5.         Trouble in the fields – Maura O'Connell 6.         California dreamin' – Diana Krall 7.         Über meine Seele führt mein Weg – Georg Danzer & Klaus Perez Salado 8.         Boarn – Nathalie Baartman & Bakelied 9.         Come in from the cold – Joni Mitchell 10.       Urge for going – Tom Rush 11.       Quero você – Almério & Maria Bethania 12.       De wedstrijd – Bram Vermeulen 13.       Give me the simple life – June Christy   Uur 2 1.         And so it goes – Billy Joel 2.         Down by the riverside – Louis Armstrong 3.         Saraiman – Ladaniva 4.         Hoe laat – Frédérique Spigt  5.         In the sweet by and by – Dolly Parton & Altan 6.         We have all the time in the world – Elbow 7.         Né quelque part – Maxime Le Forestier & Salif Keita 8.         Money love – Ayo 9.         Eendjes voeren – Gerard Cox 10.       Sugar (Thema uit De Fabriek) – Ruud Bos 11.       Ama theleis na akous s'agapo – Mirela Pachou 12.       Deze zomer – Yentl & De Boer 13.       I want you back – Infinity Song 14.       I want you – Bob Dylan

La Vie d'avant
1972 - Nicole Bellac et l'expérience hippie en Californie

La Vie d'avant

Play Episode Listen Later Jun 15, 2024 9:20


Nicole est une jeune femme française qui vit en communauté à Berkeley, la célèbre ville universitaire près de San Francisco. On est en 1972, l'année où Maxime Le Forestier sort sa chanson en hommage aux habitants d'une maison bleue adossée à la colline. A Berkeley dans les années 60, des manifestations étudiantes contre la guerre du Vietnam avaient lieu tous les jours sur le campus. Puis la contestation s'est étendue à tous les aspects de la société : mariage, sexualité, travail, éducation... Et le mouvement hippie était né. Nicole nous explique comment ça marche concrètement. *** Crédits podcast *** Documentalistes : Anne Brulant - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Stagiaire : Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.

La Vie d'avant
1972 - Nicole et l'expérience hippie en Californie

La Vie d'avant

Play Episode Listen Later Jun 15, 2024 9:20


Nicole est une jeune femme française qui vit en communauté à Berkeley, la célèbre ville universitaire près de San Francisco. On est en 1972, l'année où Maxime Le Forestier sort sa chanson en hommage aux habitants d'une maison bleue adossée à la colline. A Berkeley dans les années 60, des manifestations étudiantes contre la guerre du Vietnam avaient lieu tous les jours sur le campus. Puis la contestation s'est étendue à tous les aspects de la société : mariage, sexualité, travail, éducation... Et le mouvement hippie était né. Nicole nous explique comment ça marche concrètement. *** Crédits podcast *** Documentalistes : Anne Brulant - Textes : Elsa Coupard, Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Vincent Dupuis, Guillaume Solignat, Laurent Thomas - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) avec l'aimable autorisation d'Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Stagiaire : Edith Monnier - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA. *** Crédits archive *** Extrait de l'émission télévisée "Variances". Reportage de Claude Gallot. Productrice Michèle Arnaud - ORTF - 11/10/1972

Radio AlterNantes FM
«Je chante en attendant que ça sèche». 09 mai 2024

Radio AlterNantes FM

Play Episode Listen Later May 9, 2024


Vu sur «Je chante en attendant que ça sèche». 09 mai 2024 „Je chante en attendant que ça sèche“, une émission tellement bête que l'intelligence artificielle ne pourrait pas la concevoir. Proposée par Yves Averty, avec le soutien de Francis Ayrault. Au programme du numéro 27 : Les Conseils de la fée des Lilas, Les Agamemnoz – Tizi Ouzou, Idir, Maxime Le Forestier, Brahim Izri – San […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM

Code source
Centenaire et coach vocale de stars, Raymonde Viret se raconte

Code source

Play Episode Listen Later May 8, 2024 17:00


Pour Raymonde Viret, qui vient de souffler ses 100 bougies, la retraite attendra… Née il y a un siècle, le 12 avril 1924, elle continue de recevoir chaque semaine des « élèves » dans son appartement du Ve arrondissement de Paris pour les entraîner à « placer » leur voix.Depuis les années 1970, cette ancienne chanteuse, entrée dans la Résistance à l'âge de 16 ans, dispense des cours bien particuliers aux adultes qui viennent la voir. Qu'ils soient artistes, comédiens ou encore avocats, la coach vocale parvient à déceler leurs failles intimes à travers le timbre de leur voix et le rythme de leur souffle.Quelques stars ont bénéficié de son écoute et de ses enseignements, comme son acteur chouchou Jacques Weber, le comédien François Morel, ou encore le chanteur Maxime Le Forestier.Pour Code source, Raymonde Viret a accepté de raconter son parcours au micro d'Ambre Rosala.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Le Parisien, INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

PRIXM - Les Chauds de la Bible
La trahison de Judas : un sale coup entre amis ?

PRIXM - Les Chauds de la Bible

Play Episode Listen Later Mar 8, 2024 16:23


Pourquoi Judas Iscariote est-il l'archétype du traître ? Comment trahit-il Jésus et que fait-il ensuite ? Pourquoi se suicide-t-il ? Quel parallèle peut-on dresser entre Judas et Pierre ?Réponse avec Lady Gaga, les Beatles, Luv Resval, Maxime Le Forestier et Alec R. Costandinos !

Les petits papiers
Frédéric Lo, musicien, réalisateur, compositeur

Les petits papiers

Play Episode Listen Later Mar 7, 2024 37:33


Frédéric Lo est musicien, réalisateur, arrangeur, compositeur, chanteur… C'est avec l'album « Crevecoeur » qui ramène Daniel Darc au devant de la scène en 2004 qu'il se fait connaitre d'un public plus large. Depuis, il multiplie les collaborations, de Stéphan Eicher à Bill Pritchard en passant par Maxime Le Forestier, Alain Chamfort, Cali, Poly Poly Run Run, Marc Lavoine, Alex Beaupain, Alain Chamfort… En 2022, c'est le britannique Peter Doherty qui fait alliance avec lui le temps d'un album à quatre mains « The Fantasy life of Poetry & Crime », ils partiront ensuite sur les routes ensemble pour fouler les planches de nombreuses scènes européennes. Vingt ans après la sortie de Crevecoeur et dix ans après la disparition de Daniel Darc, il réalise « Cœur sacré » un album qui revisite les chansons de Darc avec de nombreux invités. Dans les Petits Papiers, il évoque le mystère de la musique, la façon dont il envisage ses rôles de réalisateur et d'arrangeur, les raisons pour lesquelles il fait de la musique et celles qui l'ont malgré tout poussé dans une autre voie avant d'oser se lancer. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

RADIO LOCALITIZ
LE COIN DE TONTON MICK S4E25 - Chansons sur le corps

RADIO LOCALITIZ

Play Episode Listen Later Feb 19, 2024 47:42


Tonton Mick vient nous partager ses connaissances en chanson francophone à travers plusieurs émissions, généreusement illustrées en chansons et parsemées d'anecdotes ou commentaires. Le Coin de Tonton Mick : https://www.radiolocalitiz.fr/le-coin-de-tonton-mick/ Titres diffusés : Francis Cabrel - L'encre de tes yeux : https://music.apple.com/fr/album/lencre-de-tes-yeux/270148936?i=270148953 Charlotte Nartz - Cernée : https://music.apple.com/fr/album/cernée/1674517332?i=1674518432 Les Ogres de Barback - Il y a ta bouche (feat. Lior Shoov & Magyd Cherfi) : https://music.apple.com/fr/album/il-y-a-ta-bouche-feat-lior-shoov-magyd-cherfi/1449153619?i=1449153638 Hervé Peyrard - Sur nos lèvres : https://music.apple.com/fr/album/sur-nos-lèvres/1674374011?i=1674374023 Manu Lods - Les épaules de mon père : https://music.apple.com/fr/album/les-épaules-de-mon-père/528767167?i=528767382 Maxime Le Forestier - Le steak ou "Complainte de ceux qui ont le ventre vide, considérée comme une gaudriole par ceux qui ont le ventre plein": https://music.apple.com/fr/album/le-steak-ou-complainte-de-ceux-qui-ont-le-ventre/1443752473?i=1443752478 Danielle Messia - De La Main Gauche : https://music.apple.com/fr/album/de-la-main-gauche/1443487153?i=1443487273 Govrache - Mal aux mains : https://music.apple.com/fr/album/mal-aux-mains/1484059393?i=1484059448 Barcella - La queue de poisson : https://music.apple.com/fr/album/la-queue-de-poisson/398534930?i=398536457 Pierre Louki - Les fesses de la Marquise : https://music.apple.com/fr/album/les-fesses-de-la-marquise/393159542?i=393159557 Gari Grèu - Nos pieds (feat. Moussu T) : https://music.apple.com/fr/album/nos-pieds-feat-moussu-t/1488166024?i=1488166319 Julie Lagarrigue - Le tango des squelettes : https://music.apple.com/fr/album/le-tango-des-squelettes/1596169732?i=1596169736   Soutenez-nous sur helloasso.com !

Les Normands sont formidables FB Normandie Caen
Maxime Le Forestier chante Brassens à Bayeux

Les Normands sont formidables FB Normandie Caen

Play Episode Listen Later Jan 25, 2024 5:04


durée : 00:05:04 - Les Normands sont formidables - Salle comble pour la "Soirée Brassens"

Sold Out
S05E09 - Rose LÉANDRI, Productrice et Agent d'Artiste iconique

Sold Out

Play Episode Listen Later Jan 10, 2024 50:36


Benjamin Biolay, Julien Clerc, Renaud, Alain Souchon, Serge Gainsbourg, Jane Birkin, Jean-Louis Aubert, Maxime Le Forestier, Jacques Dutronc, Muriel Robin et tant d'autres… Rose Léandri les a représentés tout en étant leur productrice de spectacles…On ne pouvait pas rêver mieux pour ce premier épisode de l'année 2024... Si vous avez moins de 20 ans, vous ne connaissez peut-être pas Rose Léandri. Et pourtant, c'est une véritable icône qui ne s'est jamais exprimée qui nous fait l'honneur de parler à ce micro aujourd'hui.Rose Léandri a atterri par le plus grand des hasards dans ce métier, débutant comme "petite main" au sein de l'agence artistique ArtMédia Variétés, avant de devenir manageuse et productrice des plus grands artistes français…Celle qui a produit jusqu'à 700 concerts en une année a inventé le «  360° »  avant tout le monde, et a même inventé des métiers Elle nous raconte sa success story complètement folle.Souvent crainte, Rose Léandri n'a fait aucune concession dans sa carrière, avec un unique objectif : celui de mettre les artistes dans les meilleurs conditions et que les salles soient pleines. C'est un pari réussi puisqu'aujourd'hui, même en ayant arrêté son activité,  Alain Souchon continue à ne vouloir être managé que par elle !On tente de résumer plus de 40 ans d'un parcours inouï en seulement 50 minutes… Chiche ?Merveilleuse et douce année à vous. Plein de surprises à venir, on en parle vite !Sold Out, le podcast pour se glisser dans les coulisses du spectacle vivant. Avec le soutien de DELIGHT.Production : Big Red Machine / Réalisation : Marc H'LIMI / Interview et programmation : Marc GONNET / Créations visuelles et réseaux sociaux : Emilie BARDALOU

Tribu - La 1ere
Raconter les villes en chansons

Tribu - La 1ere

Play Episode Listen Later Jan 8, 2024 25:26


Invité: Jean-François Staszak. De nombreuses chansons populaires parlent de villes. Parfois directement, parfois en toile de fonds. Il suffit de penser à "San Francisco" de Maxime Le Forestier, ou "Nantes", de Barbara, ou encore "New York, New York" de Frank Sinatra. Pourquoi les paysages urbains sont-ils si présents dans le répertoire musical? Quels sont les imaginaires véhiculés par ces chansons? Tribu reçoit Jean-François Staszak, professeur de géographie à l'Université de Genève. Avec Raphaël Pieroni, il a orchestré ce livre "Villes enchantées. Chansons et imaginaires urbains", chez Georg Editeur.

Ces chansons qui font l'actu
Ces chansons qui font les fêtes. "Mon frère" de Maxime Le Forestier ou l'amour de la fratrie qui n'a jamais existé

Ces chansons qui font l'actu

Play Episode Listen Later Jan 5, 2024 6:11


durée : 00:06:11 - Ces chansons qui font les fêtes - par : Bertrand DICALE - Pendant ces vacances d'hiver, nous explorons l'amour – toutes les formes d'amour. Aujourd'hui, un grand classique célébrant un frère qui n'est jamais né, ce qui n'est pas une figure rare dans notre culture.

Vertigo - La 1ere
Claude Lemesle, auteur de tubes

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Jan 5, 2024 8:04


Il a dans ses cahiers plus de 1000 chansons enregistrées par des artistes aussi divers que Joe Dassin, Nicole Croisille, Maxime Le Forestier, Carlos, Michel Sardou, Melina Mercouri ou Serge Reggiani. Claude Lemesle était de passage en Suisse à lʹinvitation de Célina Ramsauer et de Lʹassociation au fil de la chanson. Une occasion unique de disserter sur lʹart dʹécrire des chansons. Cette semaine, chaque jour aura sa chanson. Par Pierre Philippe Cadert. Aujourdʹhui: "Il faut vivre" Serge Reggiani.

Vertigo - La 1ere
Claude Lemesle, auteur de tubes

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Jan 4, 2024 8:38


Il a dans ses cahiers plus de 1000 chansons enregistrées par des artistes aussi divers que Joe Dassin, Nicole Croisille, Maxime Le Forestier, Carlos, Michel Sardou, Melina Mercouri ou Serge Reggiani. Claude Lemesle était de passage en Suisse à lʹinvitation de Célina Ramsauer et de Lʹassociation au fil de la chanson. Une occasion unique de disserter sur lʹart dʹécrire des chansons. Cette semaine, chaque jour aura sa chanson. Par Pierre Philippe Cadert. Aujourdʹhui: "Dans la ville endormie" Dalida.

Vertigo - La 1ere
Claude Lemesle, auteur de tubes

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Jan 3, 2024 8:33


Il a dans ses cahiers plus de 1000 chansons enregistrées par des artistes aussi divers que Joe Dassin, Nicole Croisille, Maxime Le Forestier, Carlos, Michel Sardou, Melina Mercouri ou Serge Reggiani. Claude Lemesle était de passage en Suisse à lʹinvitation de Célina Ramsauer et de Lʹassociation au fil de la chanson. Une occasion unique de disserter sur lʹart dʹécrire des chansons. Cette semaine, chaque jour aura sa chanson. Par Pierre Philippe Cadert. Aujourdʹhui: Desperado" Gilbert Becaud.

Vertigo - La 1ere
Claude Lemesle, auteur de tubes

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Jan 2, 2024 9:09


Il a dans ses cahiers plus de 1000 chansons enregistrées par des artistes aussi divers que Joe Dassin, Nicole Croisille, Maxime Le Forestier, Carlos, Michel Sardou, Melina Mercouri ou Serge Reggiani. Claude Lemesle était de passage en Suisse à lʹinvitation de Célina Ramsauer et de Lʹassociation au fil de la chanson. Une occasion unique de disserter sur lʹart dʹécrire des chansons. Cette semaine, chaque jour aura sa chanson. Par Pierre Philippe Cadert. Aujourdʹhui: la folie" Maxime Le Forestier et Camille.

Vertigo - La 1ere
Claude Lemesle, auteur de tubes

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Jan 1, 2024 10:06


Il a dans ses cahiers plus de 1000 chansons enregistrées par des artistes aussi divers que Joe Dassin, Nicole Croisille, Maxime Le Forestier, Carlos, Michel Sardou, Melina Mercouri ou Serge Reggiani. Claude Lemesle était de passage en Suisse à lʹinvitation de Célina Ramsauer et de Lʹassociation au fil de la chanson. Une occasion unique de disserter sur lʹart dʹécrire des chansons. Cette semaine, chaque jour aura sa chanson. Par Pierre Philippe Cadert. Aujourdʹhui: "Salut les amoureux" Joe Dassin.

#LeDriveRTL2
LIVE - Vianney interprète "Je Veux Quitter Ce Monde Heureux" dans #LeDriveRTL2 (21/12/23)

#LeDriveRTL2

Play Episode Listen Later Dec 21, 2023 2:50


Vianney était de retour dans #LeDriveRTL2 ce vendredi 8 décembre 2024. Il a parlé de son nouvel album de duo "à 2 à 3" avec Eric Jean-Jean et a interprété trois titres en live dans les studios de RTL2, son nouveau single "Comment on fait", le maintenant classique "Beau Papa" ainsi qu'une reprise de Maxime Le Forestier, "Je Veux Quitter Ce Monde Heureux".

#LeDriveRTL2
LIVE - Vianney interprète "Comment on fait" dans #LeDriveRTL2 (21/12/23)

#LeDriveRTL2

Play Episode Listen Later Dec 21, 2023 2:27


Vianney était de retour dans #LeDriveRTL2 ce vendredi 8 décembre 2024. Il a parlé de son nouvel album de duo "à 2 à 3" avec Eric Jean-Jean et a interprété trois titres en live dans les studios de RTL2, son nouveau single "Comment on fait", le maintenant classique "Beau Papa" ainsi qu'une reprise de Maxime Le Forestier, "Je Veux Quitter Ce Monde Heureux".

Million Dollar Session
BLUE FOR BLUES

Million Dollar Session

Play Episode Listen Later Sep 23, 2023 60:07


Chris Rea, Jeff Beck, Plora Purin, Stan Guetz, Dutronc/Mitchell, Joue Scofield, Docteur John, Ray Charles/Bonnie Raitt, Keb Mo/Taj Mahal, Virginie Técheney, Maxime Le Forestier, Michel Korb/San Severino..

Ces chansons qui font l'actu
Ces chansons qui font l'été. "Éducation sentimentale" de Maxime Le Forestier (1972), l'amour hors du temps

Ces chansons qui font l'actu

Play Episode Listen Later Aug 10, 2023 5:30


durée : 00:05:30 - Ces chansons qui font l'été - par : Bertrand DICALE - Tout l'été, nous parlons chaque jour d'une grande chanson d'amour. Aujourd'hui, un des plus grands classiques de Maxime, dû à la plume d'un poète et parolier singulier, Jean-Pierre Kernoa.

Les Nuits de France Culture
Une nuit avec Léo Ferré entouré de ses amis

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 14, 2023 341:42


durée : 05:41:42 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - "Avec le temps... une nuit avec Léo Ferré", le 1er janvier 1988 Léo Ferré parcourt, avec ses amis et en chansons, sa vie et son ouvre. Une émission exceptionnelle, en immersion dans l'univers de l'artiste durant six heures. Retour en 1988, sur France Culture la nuit du 1er janvier est consacrée à Léo Ferré... Ses amis, peintres, poètes, philosophes, hommes politiques, musiciens... ont répondu présents pour écouter à ses côtés les chansons de Léo et pour parler de son ouvre et de sa vie. "Avec le temps... une nuit avec Léo Ferré", une émission exceptionnelle de près de six heures, avec autour de Léo Ferré, Maxime Le Forestier, Jean-Pierre Chabrol, Jacques Attali, Jean-Claude Casadesus, Jean Vasca, Francis Claude, Anne-Marie Houdebine, Paco Ibanez. Un long entretien avec Ferré, entrecoupé d'archives d'actualités sur les anarchistes, la guerre d'Espagne, les congés payés, Léon Blum, etc. De Léo Ferré on entend au cours de l'émission : Le Mal aimé (2'20) / (enregistrement 1957, bande appartenant à Léo Ferré), Avec le temps (5'25), Graine d'ananar (2') avec Jean-Pierre Chabrol, Le Flamenco de Paris (3'20), Le Bateau espagnol (4'30). Par Louis-Jean Calvet et Marc Legras Réalisation Claude Guerre Avec le temps - Une nuit avec Léo Ferré (1ère diffusion : 01/01/1988) Avec Léo Ferré, Jean-Michel Boris, Jean-Claude Casadesus, Jean-Pierre Chabrol, Jacques Attali, Francis Claude, Maxime Le Forestier, Anne-Marie Houdebine, Paco Ibanez, Sapho, Catherine Sauvage et Jean Vasca Indexation web : Documentation sonore de Radio France

5 Heures
Quel premier bilan Jean Dujardin fait-il après 20 ans de carrière ?

5 Heures

Play Episode Listen Later Mar 21, 2023 48:00


Comment, dans un entretien pour « La semaine des 5 heures », l'acteur français définit-il son parcours à l'occasion de son nouveau film « Sur les chemins noirs » ? Entre une résidence future à Las Vegas, un nouveau quadruple album et un documentaire, quelles sont les priorités de U2 ? Comment Alexandra Lamy tente-t-elle un virage dramatique dans « La chambre des merveilles » ? Pourquoi la chanteuse Jain, repérée pour ses morceaux électro-pop fait-elle un virage folk ? Que va proposer Maxime Le Forestier en 2024 ? Pourquoi Roger Waters n'est pas le bienvenu en Pologne ? Et qui retrouve-t-on comme invité dans un nouveau morceau de Skrillex ? Toutes les réponses sont dans « La semaine des 5 heures » de ce mardi 21 mars

Par Jupiter !
Maxime Le Forestier

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Jan 30, 2023 8:02


durée : 00:08:02 - La chronique d'Aline Afanoukoé - par : Aline AFANOUKOE - Si Maxime Le Forestier chante Brassens et bien toutes les générations chantent Le Forestier.

Par Jupiter !
Le questionnaire de Maxime Le Forestier

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Jan 30, 2023 2:45


durée : 00:02:45 - Le questionnaire JupiProust - Notre invité Maxime Le Forestier a accepté de répondre à notre questionnaire !

Par Jupiter !
Le chanteur Maxime Le Forestier

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Jan 30, 2023 50:47


durée : 00:50:47 - C'est encore nous - par : Charline Vanhoenacker - Bonjour la France Inter ! Aujourd'hui, Charline Vanhoenacker et Thomas Croisière reçoivent le chanteur Maxime Le Forestier !

Les concerts d'inter
Maxime Le Forestier et Bancal chéri

Les concerts d'inter

Play Episode Listen Later Dec 19, 2022 54:54


durée : 00:54:54 - Côté Club - par : Laurent Goumarre - Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités reçoit Maxime Le Forestier pour un album live et Bancal chéri pour son disque "Tokoto". Bienvenue au Club !

Laissez-vous Tenter
Maxime Le Forestier raconte sa dernière tournée sans sa guitare : "J'ai pris goût à ne pas penser à ma guitare, ça m'a paru d'un confort, c'est marrant de découvrir ça à mon âge"

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Dec 13, 2022 6:53


"On a fini par trouver une date", c'est le nom de l'enregistrement de la dernière tournée de Maxime Le Forestier qui vient de paraitre. Un live dans lequel l'artiste revisite cinquante ans de chansons. Son premier album célèbre, en effet, cet automne ses cinquante ans. On y retrouvait "San Francisco" mais aussi "Mon frère", "La rouille" ou "Education Sentimentale". L'artiste les interprétait toutes dans son tour de chant malicieusement baptisé "On a fini par trouver une date". Il faut dire qu'il a reprogrammé certains concerts quatre fois. Qu'importe, le public a répondu présent pour applaudir celui qui montait sur scène pour la première fois sans guitare. Le chanteur se confie sur cette première fois, mais aussi sur l'écriture, son répertoire devenu populaire, pourquoi il dort avant ses concerts et sa nouvelle tournée Brassens.

Culture en direct
Maxime Le Forestier : "Brassens est l'équivalent pour la chanson de Bach pour la musique classique"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Nov 22, 2022 54:59


durée : 00:54:59 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Cinquante ans après son premier album qui avait fait date avec sa célébrissime "Maison bleue accrochée à la colline", Maxime Le Forestier signe un double album en concert, "On a fini par trouver une date". Une balade musicale dans son œuvre qui nous donne l'occasion de retracer son parcours. - invités : Maxime Le Forestier Auteur-compositeur-interprète français

House for life by Wallys
Wallys French Pop Remixes 5

House for life by Wallys

Play Episode Listen Later Oct 16, 2022 49:18


Ade , Serge Gainsbourg , Marie Flore , France Gall , Maxime Le Forestier , L'Impératrice , Julien Clerc , Juliette Armanet , Clara Luciani, Zazie , Desireless , Izia , Celine Dion

Les Nuits de France Culture
Maxime le Forestier : "Les chansons de Brassens coulent et sont fluides comme s'il les avait improvisées"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 21, 2022 35:25


durée : 00:35:25 - Les Nuits de France Culture - Maxime le Forestier : "Les chansons de Brassens coulent et sont fluides comme s'il les avait improvisées"

Les Nuits de France Culture
Maxime Le Forestier : "Brassens a chanté la langue d'une époque"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 21, 2022 10:30


durée : 00:10:30 - Les Nuits de France Culture - Maxime Le Forestier : "Brassens a chanté la langue d'une époque"

Les Nuits de France Culture
Maxime Le Forestier : "Brassens fascinait une salle avec rien, un quart de sourire avant une vanne"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 20, 2022 34:59


durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - Maxime Le Forestier : "Brassens fascinait une salle avec rien, un quart de sourire avant une vanne"

DJ Lindsay's podcast
50 ans de chanson française 1

DJ Lindsay's podcast

Play Episode Listen Later Jul 14, 2022 74:27


Aujourd'hui, 14 juillet, voici un mix de certaines des plus belles chansons françaises. Le premier d'une série. 21 chansons qui n'ont pas pris beaucoup de rides, malgré le temps qui passe. Bonne écoute à tous. 1. Je suis un homme - Zazie, 2. J'en rêve encore - De Palmas, 3. Le Sud - Nino Ferrer, 4. Ce n'est rien - Julien Clerc, 5. Christine - Christine and The Queens, 6. Comment est ta peine - Benjamin Biolay, 7. Sur un prélude de Bach - Maurane, 8. On the road again - Bernard Lavilliers, 9. Le chanteur - Daniel Balavoine, 10. Déjeuner en paix - Stéphane Eicher, 11. Marcia Baïla - Les Rita Mitsouko, 12. Le dîner - Bénabar, 13. La grenade - Clara Luciani, 14. Tu verras - Claude Nougaro, 15. Divine Idylle - Vanessa Paradis, 16. Les mots bleus - Christophe, 17. Je reviendrai à Montréal - Robert Charlebois, 18. Né quelque part - Maxime Le Forestier, 19. J'y vais - Patrick Fiori/Florent Pagny, 20. Mademoiselle chante le blues - Patricia Kaas, 21. L'autre Finistère - Les Innocents.