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“La prescription, une aberration ? Un déni de justice ? Une violence faite aux victimes ?” Jean Danet nous livre son avis. Jean Danet a été avocat au Barreau de Nantes de 1979 à 2000, spécialisé en droit pénal. Il a présidé le Syndicat des Avocats de France en 1999-2000. Il est depuis 2001 avocat honoraire. Enseignant-chercheur à l'Université de Nantes jusqu'en 2019 et membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2015 à 2019, ses nombreuses publications ont notamment porté sur la prescription et la procédure pénale. Il publie “Prescriptions et justice pénale. Contre les illusions de l'éternité” aux Editions dialogues. Merci pour votre écoute Le fin Mot c'est également en direct tous les jours de la semaine de 18h30 à 19h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Le fin Mot sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23283 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQTransversales : notre collection de reportages infos longue forme : https://audmns.com/WgqwiUpN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:46 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 13 mai sur TF1, Emmanuel Macron a évoqué un possible recours au référendum pour débloquer certaines réformes. Est-ce une réponse aux blocages démocratiques ou un outil du populisme ? À l'heure où la parole politique se délite, le vote direct interroge notre manière de décider ensemble. - réalisation : François Richer - invités : Raphaël Doan Agrégé de Lettres classiques, enseignant à Sciences Po Paris, essayiste ; Dominique Rousseau Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
durée : 00:37:46 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 13 mai sur TF1, Emmanuel Macron a évoqué un possible recours au référendum pour débloquer certaines réformes. Est-ce une réponse aux blocages démocratiques ou un outil du populisme ? À l'heure où la parole politique se délite, le vote direct interroge notre manière de décider ensemble. - réalisation : François Richer - invités : Raphaël Doan Agrégé de Lettres classiques, enseignant à Sciences Po Paris, essayiste ; Dominique Rousseau Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
L'actu culture-médias de ce mercredi 16 avril : À Paris, une vaste exposition retrace à partir de ce jeudi l'œuvre du photographe Robert Doisneau. Sarah Siré a été nommée directrice générale et artistique du Théâtre des Martyrs. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a présenté mardi son rapport annuel. Le premier volet de la saga ‘Star Wars'/'La Guerre des étoiles”, sorti en 1977 va ressortir dans sa version originale. Une version que le réalisateur George Lucas voulait bannir à tout jamais des écrans. Présenté par Nicolas Bogaerts. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une vie de combats Après avoir vécu l'enfer à Auschwitz, elle devient la première femme à occuper certains postes politiques en France. Parmi ses combats gagnés : la légalisation de l'avortement en France. Porteuse du projet de loi sur l'IVG Après ses études, Simone se lance dans la politique et entre dans la magistrature en 1957. Elle est alors âgée de 30 ans. Elle devient haut fonctionnaire dans l'administration pénitentiaire et se bat pour améliorer le sort des détenus. En 1970, elle devient la première femme secrétaire générale du Conseil Supérieur de la magistrature. Cette ascension politique lui permet de devenir ministre de la Santé sous le gouvernement de Valéry Giscard d'Estaing. C'est ce qui l'amène à être la porteuse au Parlement du projet de la loi sur l'intervention volontaire de grossesse qui dépénalise l'avortement. Jusque-là, avorter pour une raison non médicale était un délit, passible de prison. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Battling Siki, le champion de boxe français effacé de l'histoire : la vie devant soi (1/4) [INEDIT] Battling Siki, le champion de boxe français effacé de l'histoire : le survivant (2/4) [INEDIT] Battling Siki, le champion de boxe français effacé de l'histoire : un adversaire invincible (3/4) [INEDIT] Battling Siki, le champion de boxe français effacé de l'histoire : un combat à vie (4/4) Une production Bababam Originals Ecriture et réalisation : Celia Brondeau Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les nouveaux chiffres de l'Organisation internationale (OIM) pour les migrations montrent que le nombre de familles délogées a triplé en l'espace d'un an, du fait des violences orchestrées par les groupes armés. Entretien avec Grégoire Goodstein, le représentant de l'OIM en Haïti. RFI : Quels sont les grands mouvements de population causés par les accès de violence qui secouent Haïti ? Les déplacés partent des quartiers situés dans la périphérie de la capitale. Soit en essayant de se recentrer dans les zones sécurisées qui ne représentent plus que 15% de la ville, soit vers les provinces. Et davantage vers le sud du pays, car le Nord est de plus en plus sujet aux attaques des gangs. Le problème des déplacements vers la province, c'est que les gangs encerclent la capitale et établissent des check-points. Ces traversées représentent une véritable prise de risque. RFI : Quelles sont les conditions de vie dans les camps de déplacés qui se multiplient aux abords de Port-au-Prince ? En l'espace d'un an, la situation s'est dégradée, d'autant qu'un certain nombre de ces camps sont situés hors des zones sécurisées et restent difficiles d'accès. La vie et l'approvisionnement y sont difficiles, qu'il s'agisse de nourriture, d'eau ou des conditions sanitaires, qui font partie du minimum vital. RFI : Qui accueille les familles qui prennent le risque de partir vers la province ?La majorité d'entre elles sont hébergées dans des familles d'accueil, chez des proches ou des connaissances qui partagent leur maison et qui sont déjà en difficulté. Lorsque l'on parle d'un million de déplacés du fait des violences, il faut ajouter à ce chiffre les communautés d'accueil qui ont aussi besoin d'assistance. L'ensemble des services publics a du mal à fonctionner, ce qui confère un rôle essentiel aux organisations internationales qui agissent en complément de l'État. Or, en 2024, faute de bailleurs, les Nations-unies n'ont pu financer leurs missions humanitaires en Haïti qu'à hauteur de 42 ou 43% des sommes demandées. C'est insuffisant et nous ne savons pas ce que 2025 nous réserve. Une nouvelle impulsion pour l'appareil sécuritaire haïtien ?Les autorités haïtiennes viennent d'installer un nouveau secrétaire d'État chargé de la sécurité publique : Mario Andrésol reprend du service et sa nomination semble faire l'unanimité. C'est un homme expérimenté, formé en Haïti, aux États-Unis et en France, qui a fait carrière dans l'armée avant d'entrer dans la police et de grimper tous les échelons de l'institution policière. Il a été directeur de la PNH, la police nationale, entre 2005 et 2012, et crédité à l'époque de résultats notables dans la lutte contre les groupes armés. D'après Le Floridien, l'un des journaux de la diaspora haïtienne, basé à Miami, c'est « l'un des rares hauts fonctionnaires doté d'une connaissance approfondie des mécanismes du banditisme et son passage à la PNH avait permis d'affaiblir un certain nombre de réseaux criminels ».Il est de retour, sa nomination est encourageante, mais il va falloir du concret, prévient Le Nouvelliste, qui liste tout ce qui lui manque : « Il faut d'urgence, écrit Frantz Duval, un budget, des moyens, du personnel qualifié pour revitaliser la secrétairerie d'État à la Sécurité publique alors qu'elle est coincée entre le ministère de la Justice, celui de l'Intérieur, la Primature, le Conseil Supérieur de la Police Nationale, le nouveau Conseil National de Sécurité et la présidence ». Autre point, souligne le Nouvelliste, Mario Andrésol « devra soigner ses relations avec la communauté internationale et les pays amis qui financent, surveillent et produisent des rapports sur la sécurité en Haïti. Parmi ces mastodontes, il devra se faire une place et faire la différence ». Les adieux de Joe BidenLe rideau tombe après quatre ans de présidence américaine. Il y aura, certes, d'autres discours cette semaine devant les représentants des forces armées ou les maires de villes moyennes, indique le New York Times. Mais celui de ce soir, en prime time, résonne comme un adieu aux Américains. Et. NBC nous en livre quelques éléments en avant-première. Le président sortant « devrait insister sur son bilan économique et environnemental, la croissance de l'emploi, les investissements dans les énergies renouvelables, la lutte contre le changement climatique. Et saluer la gestion de la pandémie de Covid19 ». Prise de parole prévue à 20h heure de Washington, soit 2h du matin, heure française. Quel rôle pour Elon Musk ? Analyse de Romuald ScioraLe milliardaire libertarien a désormais pour mission de sabrer dans les dépenses fédérales américaines avec l'aval de Donald Trump. Éclairage du chercheur Romuald Sciora, directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris, à l'occasion de la sortie de son nouvel ouvrage à paraître aujourd'hui : L'Amérique éclatée, plongée au cœur d'une nation en déliquescence. « Ironiquement, Elon Musk est porteur d'une mission qui est de réformer, restructurer l'État fédéral qui est entré en déliquescence depuis quelques décennies et qui est la colonne vertébrale des États-Unis. Le constat est juste mais les remèdes que proposent Donald Trump et Elon Musk ne feront qu'accélérer le processus de dislocation de l'Union. Car un pouvoir plus autoritaire à Washington, à la Viktor Orban, ne fédérera pas la majorité des Américains autour du gouvernement et suscitera plutôt le rejet d'une large partie de la population. »« Les interventions d'Elon Musk en Europe s'inscrivent dans une stratégie de contre-révolution culturelle, une guerre anti-woke lancée contre les valeurs progressistes que Trump, Musk et Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison Blanche, jugent décadentes. Ces interférences dans la politique européenne, au Royaume-Uni ou ailleurs, ont pour but de déstabiliser le système multilatéral, y compris l'Union européenne. Il ne s'agit pas seulement de montrer aux Américains qu'il y a un nouveau shérif en ville et aux élites de Washington qui est le patron. »« Elon Musk a pris une place considérable dans le paysage politique américain, il est aujourd'hui très proche de Trump, ils passent leur temps ensemble. Or, Elon Musk a besoin de Donald Trump pour mener à bien la mission qu'il s'est fixée, qui consiste à œuvrer pour le transhumanisme, à mener la conquête spatiale pour sauver l'humanité. C'est un personnage habité, qui incarne le « pouvoir spirituel » là où Trump possède le pouvoir temporel. Mais cela dit, ils sont en quelque sorte otages l'un de l'autre. Essayez de vous débarrasser de l'homme le plus riche du monde... C'est une alliance qui devrait perdurer au moins jusqu'au 4 juillet 2026, date à laquelle Elon Musk est censé boucler la restructuration de l'État fédéral. Et c'est le jour où nous fêterons le 250è anniversaire des États-Unis. » L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreDans une tribune libre, le président de la Collectivité territoriale de Guyane, Gabriel Serville, s'interroge sur la volonté de l'État en matière d'évolution institutionnelle des départements d'Outre-mer.
« Sans le Conseil supérieur de la justice, je ne serais pas magistrate »C'est ce que m'a confié Najat Arbib, vice-présidente du Tribunal de première instance de Liège.Najat a grandi à Liège, dans l'est de la Belgique, dans un quartier populaire.Fille d'immigrés marocains, elle décide de faire des études de droit pour, dit-elle, «comprendre mes droits ».Elle devient avocate mais n'imagine pas un seul instant qu'elle pourrait devenir magistrate.Elle le dit elle-même : « J'étais pleine de préjugés »Après avoir travaillé au parquet comme juriste, elle découvre l'existence du Conseil supérieur de la justice (CSJ), une institution créée après le scandale de l'affaire Dutroux pour restaurer la confiance entre la justice et les citoyens.Najat décide de tenter sa chance... et ça marche !Depuis, elle est également devenue membre du Conseil supérieur de la justice, auquel elle reconnaît un rôle essentiel dans l'humanisation de la justice.Les missions du CSJ :Sélectionner et nommer les magistratsContrôler la justice via des audits et des enquêtesDonner des avis, notamment sur des propositions de loiTraiter les plaintes des justiciablesJe vous invite à écouter cet entretien inspirant avec Najat Arbib. Il est fait pour vous, surtout si vous n'osez pas rêver grand à cause de vos croyances limitantes.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La CSRD prendra une importance majeure dès le début de l'année prochaine. Pour vous préparer, nous lançons une série de trois épisodes capsules dédiés à ce sujet.
durée : 02:58:54 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - RISS, Jordan Bardella, Anne Levade, Dominique Rousseau, SCH et Inès Besbes sont les invités de ce mercredi. - invités : Jordan Bardella, Anne LEVADE, Dominique ROUSSEAU - Riss : Dessinateur de presse et caricaturiste français, Jordan Bardella : Président du Rassemblement national et député européen, Anne Levade : Professeure de droit public à l'université Paris I panthéon-Sorbonne, présidente de l'Association française de droit constitutionnel, Dominique Rousseau : Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006., SCH : Rappeur
durée : 00:58:50 - Être et savoir - par : Louise Tourret - Quelles étaient et quelles sont les qualités d'un.e bon.ne ministre, hier et aujourd'hui ? La question se pose alors que l'arrivée d'Anne Genetet au poste de ministre de l'Éducation nationale, a créé la surprise. - réalisation : Peire Legras - invités : Alain Boissinot Ancien directeur de l'enseignement scolaire, ancien recteur d'Académie, ancien président du Conseil Supérieur des Programmes; Laurent Frajerman Sociologue et historien, chercheur associé au CERLIS de l'Université de Paris Cité
Les investissements publics sont un peu à la traine en Belgique. Ils n'atteindront pas les objectifs fixés pour 2030. Trump, ovationné par la convention républicaine à Milwakee cette nuit. Il s'est choisi un colistier : l'écrivain JD Vance, ancien militaire, raciste et complotiste... Limiter les allocations de chômage dans le temps, c'est un tabou social qui pourrait sauter. Le Conseil Supérieur de l'Emploi est pour. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
La polémique est née d'accusations venues du Burkina Faso. C'est en Une du LeFaso.net : « Le président Ibrahim Traoré dénonce "un centre des opérations à Abidjan pour déstabiliser le pays, deux bases françaises au Bénin qui forment et équipent des terroristes" ». « Des pistes ont été réaménagées, des avions atterrissent, des gens équipent et forment des terroristes là-bas », accuse le capitaine Ibrahim Traoré. Des accusations précédemment rejetées par la France et jeudi par le Bénin. À Cotonou, c'est le porte-parole du gouvernement béninois qui s'est exprimé, nous dit La Nouvelle Tribune. Wilfried Léandre Houngbedji contre-attaque, même, « C'est », dit-il, « l'hôpital qui se moque de la charité. Les attaques terroristes enregistrées par le Bénin à ce jour, dont la grande majorité a été déjouée par nos Forces de défense et de sécurité, sont l'œuvre de gens venant de l'autre côté de nos frontières avec le Burkina Faso et le Niger ». « Une chose est certaine », accuse le porte-parole du gouvernement béninois, « le populisme n'a qu'une seule vertu : c'est de déplacer les problèmes en faisant semblant de les régler. Tôt ou tard, les populations se rendront compte qu'elles ont été abusées. »Arrestations et intimidationsÀ la Une également, la prochaine élection présidentielle au Rwanda. Le scrutin aura lieu lundi prochain, « mais nul besoin d'être grand clerc pour se douter que l'alternance ne devrait pas être de saison », écrit Enjeux Africains, qui titre « Kagame, encore et toujours ». Pas de surprise à attendre donc, car, nous dit-on, « depuis qu'il est au pouvoir, son parti, le Front patriotique rwandais, réprime toute opposition et voix discordante. Arrestations, intimidations, assassinats empêchent les candidats sérieux de l'opposition de se présenter à la magistrature suprême face à lui ». « Déjà réélu trois fois pour des septennats, le président sortant concourt cette fois pour un mandat de cinq ans ». À 67 ans, et grâce à « une révision constitutionnelle adoptée en 2015 (...) il peut rester au pouvoir jusqu'en 2034 ». Et ce n'est pas tout, accuse Enjeux Africains. « Kigali apporte un soutien indéniable aux rebelles du M23 dans le Nord-Kivu, déstabilisant le voisin congolais. Certains États membres de l'Union européenne commencent à demander au pouvoir rwandais de retirer ses troupes de l'est de la République démocratique du Congo. Et ce, afin de préserver les relations de bon voisinage dans la région des Grands lacs », conclut Enjeux Africains. DiplomatieLa République Démocratique du Congo, il en est encore question avec cette polémique autour de Koffi Olomide.« Le célèbre chanteur congolais a été recadré par le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication », titre Objectif-Infos pour des propos jugés « dégradants » et « démobilisant » envers les troupes des Forces Armées de la République Démocratique du Congo engagées au front dans l'Est du pays ». Lors d'une émission de télévision, Koffi Olomide avait notamment déclaré : « Il n'y a pas de guerre. On nous tape. On nous gifle. On fait de nous ce qu'on veut. J'ai vu les camions de ces gens-là qui viennent tranquillement et personne pour les empêcher. J'ai vu que nos militaires vont à la guerre à moto. J'ai des larmes. Il n'y a pas de guerre ». Ces propos, précise Objectif-info, « ont suscité l'indignation de la part du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication, qui a estimé qu'ils pouvaient porter atteinte au moral des troupes et nuire aux efforts de guerre ». Le chanteur a fait amende honorable. Parlant de lui-même à la troisième personne du singulier, il a ainsi déclaré : « on a parlé et on s'est très bien compris. J'ai retenu que le chanteur Koffi Olomide est aussi l'ambassadeur de la culture de notre pays, il devrait peut-être distiller plus de diplomatie dans son discours même si ce qu'il dit est vrai et fondé ». À l'appui de ces propos : une photo du chanteur, qui pose avec son passeport congolais, bien en évidence.
La polémique est née d'accusations venues du Burkina Faso. C'est en Une du LeFaso.net : « Le président Ibrahim Traoré dénonce "un centre des opérations à Abidjan pour déstabiliser le pays, deux bases françaises au Bénin qui forment et équipent des terroristes" ». « Des pistes ont été réaménagées, des avions atterrissent, des gens équipent et forment des terroristes là-bas », accuse le capitaine Ibrahim Traoré. Des accusations précédemment rejetées par la France et jeudi par le Bénin. À Cotonou, c'est le porte-parole du gouvernement béninois qui s'est exprimé, nous dit La Nouvelle Tribune. Wilfried Léandre Houngbedji contre-attaque, même, « C'est », dit-il, « l'hôpital qui se moque de la charité. Les attaques terroristes enregistrées par le Bénin à ce jour, dont la grande majorité a été déjouée par nos Forces de défense et de sécurité, sont l'œuvre de gens venant de l'autre côté de nos frontières avec le Burkina Faso et le Niger ». « Une chose est certaine », accuse le porte-parole du gouvernement béninois, « le populisme n'a qu'une seule vertu : c'est de déplacer les problèmes en faisant semblant de les régler. Tôt ou tard, les populations se rendront compte qu'elles ont été abusées. »Arrestations et intimidationsÀ la Une également, la prochaine élection présidentielle au Rwanda. Le scrutin aura lieu lundi prochain, « mais nul besoin d'être grand clerc pour se douter que l'alternance ne devrait pas être de saison », écrit Enjeux Africains, qui titre « Kagame, encore et toujours ». Pas de surprise à attendre donc, car, nous dit-on, « depuis qu'il est au pouvoir, son parti, le Front patriotique rwandais, réprime toute opposition et voix discordante. Arrestations, intimidations, assassinats empêchent les candidats sérieux de l'opposition de se présenter à la magistrature suprême face à lui ». « Déjà réélu trois fois pour des septennats, le président sortant concourt cette fois pour un mandat de cinq ans ». À 67 ans, et grâce à « une révision constitutionnelle adoptée en 2015 (...) il peut rester au pouvoir jusqu'en 2034 ». Et ce n'est pas tout, accuse Enjeux Africains. « Kigali apporte un soutien indéniable aux rebelles du M23 dans le Nord-Kivu, déstabilisant le voisin congolais. Certains États membres de l'Union européenne commencent à demander au pouvoir rwandais de retirer ses troupes de l'est de la République démocratique du Congo. Et ce, afin de préserver les relations de bon voisinage dans la région des Grands lacs », conclut Enjeux Africains. DiplomatieLa République Démocratique du Congo, il en est encore question avec cette polémique autour de Koffi Olomide.« Le célèbre chanteur congolais a été recadré par le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication », titre Objectif-Infos pour des propos jugés « dégradants » et « démobilisant » envers les troupes des Forces Armées de la République Démocratique du Congo engagées au front dans l'Est du pays ». Lors d'une émission de télévision, Koffi Olomide avait notamment déclaré : « Il n'y a pas de guerre. On nous tape. On nous gifle. On fait de nous ce qu'on veut. J'ai vu les camions de ces gens-là qui viennent tranquillement et personne pour les empêcher. J'ai vu que nos militaires vont à la guerre à moto. J'ai des larmes. Il n'y a pas de guerre ». Ces propos, précise Objectif-info, « ont suscité l'indignation de la part du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication, qui a estimé qu'ils pouvaient porter atteinte au moral des troupes et nuire aux efforts de guerre ». Le chanteur a fait amende honorable. Parlant de lui-même à la troisième personne du singulier, il a ainsi déclaré : « on a parlé et on s'est très bien compris. J'ai retenu que le chanteur Koffi Olomide est aussi l'ambassadeur de la culture de notre pays, il devrait peut-être distiller plus de diplomatie dans son discours même si ce qu'il dit est vrai et fondé ». À l'appui de ces propos : une photo du chanteur, qui pose avec son passeport congolais, bien en évidence.
durée : 00:38:26 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Alors qu'à l'issue du second tour des élections législatives de 2024, aucune majorité claire n'émerge à l'Assemblée, que prévoit notre Constitution pour faire face à cette nouvelle situation politique ? Allons-nous vers un blocage institutionnel ou une nouvelle ère politique ? - invités : Dominique Rousseau Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.; Jean-Pierre Jouyet ancien secrétaire général de la présidence de la République (2014-2017), auteur de Est-ce bien nécessaire Monsieur le Ministre ? (Albin Michel oct 2023) ; Anita Hausser Journaliste politique
durée : 00:38:26 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Alors qu'à l'issue du second tour des élections législatives de 2024, aucune majorité claire n'émerge à l'Assemblée, que prévoit notre Constitution pour faire face à cette nouvelle situation politique ? Allons-nous vers un blocage institutionnel ou une nouvelle ère politique ? - invités : Dominique Rousseau Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.; Jean-Pierre Jouyet ancien secrétaire général de la présidence de la République (2014-2017), auteur de Est-ce bien nécessaire Monsieur le Ministre ? (Albin Michel oct 2023) ; Anita Hausser Journaliste politique
durée : 00:25:45 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - À 8h20, les constitutionnalistes Anne Levade et Dominique Rousseau sont les invités du Grand Entretien. - invités : Anne LEVADE, Dominique ROUSSEAU - Anne Levade : Professeure de droit public à l'université Paris I panthéon-Sorbonne, présidente de l'Association française de droit constitutionnel, Dominique Rousseau : Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
durée : 00:25:45 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - À 8h20, les constitutionnalistes Anne Levade et Dominique Rousseau sont les invités du Grand Entretien. - invités : Anne LEVADE, Dominique ROUSSEAU - Anne Levade : Professeure de droit public à l'université Paris I panthéon-Sorbonne, présidente de l'Association française de droit constitutionnel, Dominique Rousseau : Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
Une vie de combats Après avoir vécu l'enfer à Auschwitz, elle devient la première femme à occuper certains postes politiques en France. Parmi ses combats gagnés : la légalisation de l'avortement en France. Porteuse du projet de loi sur l'IVG Après ses études, Simone se lance dans la politique et entre dans la magistrature en 1957. Elle est alors âgée de 30 ans. Elle devient haut fonctionnaire dans l'administration pénitentiaire et se bat pour améliorer le sort des détenus. En 1970, elle devient la première femme secrétaire générale du Conseil Supérieur de la magistrature. Cette ascension politique lui permet de devenir ministre de la Santé sous le gouvernement de Valéry Giscard d'Estaing. C'est ce qui l'amène à être la porteuse au Parlement du projet de la loi sur l'intervention volontaire de grossesse qui dépénalise l'avortement. Jusque-là, avorter pour une raison non médicale était un délit, passible de prison. Pour découvrir un autre récit passionnant, cliquez ci-dessous : L'affaire Spotlight, enquête sur la pédophilie dans l'Église catholique : des journalistes chevronnés (1/4) L'affaire Spotlight, enquête sur la pédophilie dans l'Église catholique : prêt à tout pour la vérité (2/4) L'affaire Spotlight, enquête sur la pédophilie dans l'Église catholique : des révélations fracassantes (3/4) L'affaire Spotlight, enquête sur la pédophilie dans l'Église catholique : une vérité aux résonances mondiales (4/4) Une production Bababam Originals Ecriture et réalisation : Celia Brondeau Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 18 février 2020 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Comment faire le ménage » au sein de l'institution judiciaire ? C'est la Une du quotidien 24 Heures à Dakar. « Les rideaux se sont refermés, hier, sur les Assises de la Justice, relève le journal. Les membres de la Commission Réformes, dans leur rapport, ont pointé "beaucoup de récriminations portant sur le fonctionnement de la Justice, particulièrement lors de ces dernières années marquées par un contentieux électoral très controversé ayant comme conséquence des arrestations suivies parfois de condamnations". »Alors des recommandations ont été émises à l'issue de ces Assises, précise 24 Heures : « la limitation des pouvoirs du procureur de la République ; une plus grande compétence au juge d'Instruction ; l'instauration d'un juge des libertés et de la détention ; la mise en place d'une Cour constitutionnelle en lieu et place du Conseil Constitutionnel ; une nouvelle organisation du Conseil Supérieur de la magistrature pour le rendre plus autonome avec des pouvoirs élargis pour en faire un organe délibératif et pas seulement consultatif et enfin une Révision des Codes existants (Code Pénal, Code de Procédure Pénale, Code de Procédure Civile, Code de la Famille). »Réaction du ministre de la Justice, Ousmane Diagne, que l'on peut lire notamment sur le site d'information Senego : « il est désormais impératif de traduire nos discussions en actions concrètes. » Pour lui, précise Senego, « les recommandations issues de ce dialogue doivent être mises en œuvre avec rigueur et détermination. Ainsi, s'engage-t-il au nom du gouvernement, à la modernisation en profondeur de la justice. »Vœux pieux ?Le chantier est considérable, pointe pour sa part Le Pays au Burkina Faso : « entre surpopulation carcérale, lenteurs procédurières donnant parfois lieu à de longues périodes de détention préventive, déficit de personnel judiciaire, manque de matériel et de moyens financiers sur fond d'immixtion de l'Exécutif dans son fonctionnement, la justice sénégalaise doit opérer sa mue pour répondre aux attentes des Sénégalais en ayant comme boussole l'équité et la qualité du service. C'est dans ce sens que sont attendues les réformes qui sortiront de ces concertations, à côté de la modernisation du secteur à travers la numérisation de certains services, qui est l'autre volet de ces assises nationales (…). En tout état de cause, conclut Le Pays, l'importance de ces assises qui visent à "réconcilier la Justice avec le justiciable", n'est plus à démontrer. Cela dit, on ose espérer que (…) les changements espérés ne resteront pas des vœux pieux. »D'autres priorités ?En tout cas, cette réforme de la justice n'est qu'un des nombreux chantiers que le nouveau pouvoir sénégalais entend mener à bien… mais pour certains ça n'était pas forcément la priorité…En effet, relève le site d'information Seneplus. Il y a « des lenteurs et des déceptions croissantes concernant plusieurs promesses électorales. (…) Malgré les engagements pris durant la campagne, le prix des denrées alimentaires n'a pas encore connu de baisse significative. (…)Dans le domaine de la bonne gouvernance, des appels à candidatures vantés comme une mesure phare pour promouvoir la transparence et l'égalité des chances n'ont pas encore été lancés. »Et puis pour ce qui concerne la liberté de la presse, pointe encore Seneplus, « l'affaire du général Souleymane Kandé, récemment nommé "attaché de défense et de sécurité" à New Delhi, a provoqué des remous. Des journalistes ont été convoqués par les autorités, après avoir critiqué cette nomination, entraînant une vague de protestations de la part des associations de presse. Ces convocations sont perçues comme une atteinte à la liberté de la presse, un domaine où des améliorations avaient (pourtant) été promises. »Des médias muselés ?D'ailleurs, « la pression s'accentue sur les médias », note pour sa part WalfQuotidien. « Sale temps pour les patrons et les acteurs de la presse, affirme le journal. Ils subissent une pression incommensurable de la part des nouvelles autorités. Le fisc et l'inspection du travail sont envoyés pour les "museler". Et pendant que le Premier ministre dit n'avoir pas de comptes à rendre aux journalistes, les comptes du groupe de presse Avenir Communication ont été bloqués par l'administration fiscale. »Alors, poursuit WalfQuotidien, « suite à cette situation critique marquée par l'annulation de l'exonération fiscale "décrétée" par le Président Macky Sall et le blocage des comptes d'Avenir Communication, les patrons de presse sénégalais ont décidé de se faire entendre. Pour ce faire, ils vont se réunir en urgence ce mercredi. »
« Comment faire le ménage » au sein de l'institution judiciaire ? C'est la Une du quotidien 24 Heures à Dakar. « Les rideaux se sont refermés, hier, sur les Assises de la Justice, relève le journal. Les membres de la Commission Réformes, dans leur rapport, ont pointé "beaucoup de récriminations portant sur le fonctionnement de la Justice, particulièrement lors de ces dernières années marquées par un contentieux électoral très controversé ayant comme conséquence des arrestations suivies parfois de condamnations". »Alors des recommandations ont été émises à l'issue de ces Assises, précise 24 Heures : « la limitation des pouvoirs du procureur de la République ; une plus grande compétence au juge d'Instruction ; l'instauration d'un juge des libertés et de la détention ; la mise en place d'une Cour constitutionnelle en lieu et place du Conseil Constitutionnel ; une nouvelle organisation du Conseil Supérieur de la magistrature pour le rendre plus autonome avec des pouvoirs élargis pour en faire un organe délibératif et pas seulement consultatif et enfin une Révision des Codes existants (Code Pénal, Code de Procédure Pénale, Code de Procédure Civile, Code de la Famille). »Réaction du ministre de la Justice, Ousmane Diagne, que l'on peut lire notamment sur le site d'information Senego : « il est désormais impératif de traduire nos discussions en actions concrètes. » Pour lui, précise Senego, « les recommandations issues de ce dialogue doivent être mises en œuvre avec rigueur et détermination. Ainsi, s'engage-t-il au nom du gouvernement, à la modernisation en profondeur de la justice. »Vœux pieux ?Le chantier est considérable, pointe pour sa part Le Pays au Burkina Faso : « entre surpopulation carcérale, lenteurs procédurières donnant parfois lieu à de longues périodes de détention préventive, déficit de personnel judiciaire, manque de matériel et de moyens financiers sur fond d'immixtion de l'Exécutif dans son fonctionnement, la justice sénégalaise doit opérer sa mue pour répondre aux attentes des Sénégalais en ayant comme boussole l'équité et la qualité du service. C'est dans ce sens que sont attendues les réformes qui sortiront de ces concertations, à côté de la modernisation du secteur à travers la numérisation de certains services, qui est l'autre volet de ces assises nationales (…). En tout état de cause, conclut Le Pays, l'importance de ces assises qui visent à "réconcilier la Justice avec le justiciable", n'est plus à démontrer. Cela dit, on ose espérer que (…) les changements espérés ne resteront pas des vœux pieux. »D'autres priorités ?En tout cas, cette réforme de la justice n'est qu'un des nombreux chantiers que le nouveau pouvoir sénégalais entend mener à bien… mais pour certains ça n'était pas forcément la priorité…En effet, relève le site d'information Seneplus. Il y a « des lenteurs et des déceptions croissantes concernant plusieurs promesses électorales. (…) Malgré les engagements pris durant la campagne, le prix des denrées alimentaires n'a pas encore connu de baisse significative. (…)Dans le domaine de la bonne gouvernance, des appels à candidatures vantés comme une mesure phare pour promouvoir la transparence et l'égalité des chances n'ont pas encore été lancés. »Et puis pour ce qui concerne la liberté de la presse, pointe encore Seneplus, « l'affaire du général Souleymane Kandé, récemment nommé "attaché de défense et de sécurité" à New Delhi, a provoqué des remous. Des journalistes ont été convoqués par les autorités, après avoir critiqué cette nomination, entraînant une vague de protestations de la part des associations de presse. Ces convocations sont perçues comme une atteinte à la liberté de la presse, un domaine où des améliorations avaient (pourtant) été promises. »Des médias muselés ?D'ailleurs, « la pression s'accentue sur les médias », note pour sa part WalfQuotidien. « Sale temps pour les patrons et les acteurs de la presse, affirme le journal. Ils subissent une pression incommensurable de la part des nouvelles autorités. Le fisc et l'inspection du travail sont envoyés pour les "museler". Et pendant que le Premier ministre dit n'avoir pas de comptes à rendre aux journalistes, les comptes du groupe de presse Avenir Communication ont été bloqués par l'administration fiscale. »Alors, poursuit WalfQuotidien, « suite à cette situation critique marquée par l'annulation de l'exonération fiscale "décrétée" par le Président Macky Sall et le blocage des comptes d'Avenir Communication, les patrons de presse sénégalais ont décidé de se faire entendre. Pour ce faire, ils vont se réunir en urgence ce mercredi. »
Pour la quatrième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la cinquième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 5 et 6 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous finalisons ce rendez-vous hebdomadaire avec la rencontre de deux intervenants de la table ronde "Quand l'intelligence artificielle s'invite dans les métiers de l'image : jusqu'où iront les bots et les robots ?" avec Alexandra Bensamoun, professeure de droit privé et personnalité qualifiée au Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique - ministère de la Culture et l'artiste photographe Eric Tabuchi.
durée : 00:58:54 - Être et savoir - par : Louise Tourret - À quoi peuvent aboutir les mobilisations pour un "plan d'urgence 93", contre les groupes de niveaux, contre les fermetures de classes ? - invités : Julien Reynier Professeur d'Histoire-Géographie au collège (académie de Créteil); Louise Paternoser Enseignante en école maternelle (académie de Créteil) et co-secrétaire du syndicat CGT Educ'action 93; Alain Boissinot Ancien directeur de l'enseignement scolaire, ancien recteur d'Académie, ancien président du Conseil Supérieur des Programmes; Valérie Pécresse Présidente de la Région Île-de-France, ancienne ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche puis du Budget
durée : 00:41:48 - Une semaine en France - par : Claire Servajean - Trois mots seulement ce matin du 9 février : Badinter est mort. Et avec lui, une vision intangible et universelle des droits humains. Le 18/20 consacre une émission spéciale au parcours de vie et aux combats de l'ancien garde des sceaux, penseur et figure républicaine française. - invités : Maurice SZAFRAN, Thomas Legrand, Jean-Noël Jeanneney, Aminata Niakate, Laure Heinich, Dominique ROUSSEAU, Olivier Faure, Bernard Bousset, Jacques Attali - Maurice Szafran : Journaliste et écrivain, directeur général du groupe Challenge, Thomas Legrand : Journaliste, éditorialiste., Jean-Noël Jeanneney : Historien, ancien président de Radio France, Aminata Niakate : Avocate, Laure Heinich : Avocate au Barreau de Paris et écrivaine, Dominique Rousseau : Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006., Olivier Faure : Professeur d'Histoire contemporaine à l'Université Jean Moulin-Lyon 3. Spécialiste de l'histoire de la santé et de la protection sociale., Bernard Bousset : Militant pour la cause homosexuelle, Jacques Attali : Économiste et écrivain - réalisé par : Juliette GOUX
Le 28 février 2017, après l'annonce par TF1 d'un débat qui ne devait réunir que les 5 principaux candidats à l'élection présidentielle, les réclamations fusaient au Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA). Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.
L'alcool est partout, de toutes les fêtes et de tous les événements ! Dès leur première sortie, les jeunes y sont confrontés, et la consommation démarre de plus en plus tôt. Pourtant, consommer de l'alcool avant 25 ans endommage le développement du cerveau et prédispose à l'alcoolisme ainsi qu'à des troubles psychologiques et comportementaux. Quelles sont les conséquences des excès ? Comment prendre conscience des dangers ? Comment profiter autrement ? Changer le rythme de consommation tout en continuant à s'amuser est possible ! Vincent Liévin et Thomas Orban décortiquent les problématiques liées à l'alcool chez les jeunes et leur entourage. Sans jugement ni stigmatisation, à travers des témoignages, des études scientifiques, des enquêtes et des QR codes renvoyant à des vidéos, ils livrent des conseils pratiques pour boire en société sans devenir dépendant et pour échanger sur le sujet, entre jeunes et entre adultes. On en parle avec Thomas Orban médecin généraliste depuis plus de vingt-cinq ans, expert auprès du Conseil Supérieur de la santé et membre permanent de son groupe Santé mentale, membre de la Société française d'alcoologie, il a co-créé le Certificat Inter-Universitaire en Alcoologie et mis sur pied de nombreuses formations en alcoologie pour les généralistes et Vincent Liévin journaliste indépendant spécialisé dans le domaine médical depuis vingt-cinq ans. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:08:46 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Lors de son discours devant le Conseil constitutionnel à l'occasion du 65ᵉ anniversaire de la Constitution, Emmanuel Macron a mis l'accent sur la question du référendum. Élargissement à plus grand nombre de sujets, mise en œuvre plus simple... que peuvent changer les référendums ? - invités : Dominique Rousseau Professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
Le Conseil supérieur de la magistrature a publié son rapport annuel pour l'année 2022, et nous avons décidé de consacrer un épisode de notre podcast à l'examen de ce document important. Au cours de cet épisode, nous examinerons les principales conclusions du rapport, ainsi que les défis auxquels le Conseil supérieur de la magistrature a dû faire face cette année. Nous discuterons également de l'importance de l'indépendance de la justice et de la manière dont le Conseil supérieur de la magistrature veille à ce que cette indépendance soit maintenue. Le Conseil a joint en annexe sa collaboration aux Etats généraux de la justice. Le rapport annuel du Conseil supérieur de la magistrature est un document essentiel pour comprendre l'état de la justice en France de manière générale. Mais ce rapport est un aussi rapport de fin de mandature. Il dresse ainsi un bilan des 4 dernières années. Il fait oeuvre aussi de transmission et mérite à ce titre qu'on s'y arrête tant l'institution a évolué d'elle-même, parfois sans le moindre cadre législatif / réglementaire pour se saisir de nouvelles questions. Au cours de cet épisode, nous examinerons avec Grégory Portais, professeur de droit public, au sein de la Prépa ISP, les missions du Conseil supérieur de la magistrature, ainsi que son rôle dans la nomination et la carrière des magistrats. Nous discuterons également des défis auxquels le Conseil supérieur de la magistrature est confronté dans l'exercice de ses fonctions, notamment en ce qui concerne les relations entre mission parlementaire et indépendance de la justice.
durée : 00:39:13 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Alors que la 2e demande de Référendum d'initiative partagé a été rejetée par le Conseil constitutionnel, la place du dispositif interroge : sa procédure n'a jamais abouti. Répond-il aux attentes démocratiques ? Faut-il l'améliorer, renouveler les institutions, ou tendre vers la démocratie directe ? - invités : Hélène Landemore Politiste et philosophe, maîtresse de conférences en science politique à l'université de Yale (Etats-Unis); Dominique Rousseau professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.; Nicolas Roussellier professeur d'histoire politique à Sciences Po
durée : 00:15:45 - Journal de 22h - Le Conseil constitutionnel a validé "l'essentiel" de la réforme des retraites. L'essentiel, c'est notamment ce report de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans. En parallèle, il décide de censure six articles considérés comme des "cavaliers sociaux". - invités : Dominique Rousseau professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
Journaliste grand reporter, Mémona Hintermann est connue pour avoir affronté les zones de guerre les plus dangereuses de notre histoire récente afin d'informer nos concitoyens de la manière la plus précise et la plus honnête possible. En publiant « Une journaliste ne devrait pas dire ça ? » (Hugo Doc 348 p. 18,55€), cette femme courageuse nous dévoile bien des aspects de son engagement sur le terrain. Celle qui siégea en tant que membre du Conseil Supérieur de l'Audiovisuelle nous fait aussi partager son point de vue sur le paysage médiatique d'aujourd'hui. Rencontre avec une personnalité passionnante.
Mon invitée du jour est engagée pour les droits des femmes depuis 40 ans. Sylvie Pierre-Brossolette a d'abord été une grande journaliste, puis elle est devenue membre du Conseil Supérieur de l'audiovisuel. Aujourd'hui, elle est la présidente du HCE, le Haut Comité à l'Egalité entre les femmes et les hommes. Dans cet épisode, découvrez le parcours d'exception de Sylvie Pierre-Brossolette !
Attendu depuis des années, le Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique a pris forme. Ses membres ont été nommés mi-novembre par le roi Mohammed VI. Parmi eux : Jamil Salmi, expert mondial en matière de réforme de l'enseignement supérieur. Interview. L'équipe "Le Scan" par TelQuel Média : Présentation, écriture : Landry Benoit Interview et réalisation : Mathilda Peyronie Soutenez un média indépendant. Abonnez-vous à Telquel : https://telquel.ma/abonnement/
Nos enfants sont sans cesse exposés à des aliments de mauvaise qualité nutritionnelle. En Belgique, un enfant sur six est en surpoids. La publicité pour ces produits s'adresse très souvent directement à eux. Que ce soit à la télévision, au supermarché, sur les réseaux sociaux, via des applications smartphone. Comment les préserver de ces flux publicitaires ? Y-a-t-il un réel impact sur leur santé ? Comment comprendre les mécanismes utilisés par les marketeurs ? La législation actuelle peut-elle réguler le secteur publicitaire ? On en parle avec Hélène Alexiou, diététicienne au Conseil Supérieur de la Santé, Laurence Doughan, experte en politique nutritionnelle pour le SPF Santé publique, Karine Charry ,chercheuse dans le domaine du marketing à l'UCLouvain et Minh Giang Do Thi, secrétaire d'instruction au CSA.
Episode de rentrée après la pause estivale où Lionel Boscher accueille Gérard Boudon, pilote du groupe "EAU" au sein du Conseil Supérieur de la Transition Ecologique de la FFGolf. Depuis près de 20 ans, Gérard Boudon est l'expert "EAU" au sein de la Fédération. Son rôle est d'assister les clubs pour toutes les questions liées à la gestion de l'eau sur de spoints en particulier comme les restrictions d'arrosage comme cela a été le cas au cours de cet été 2022 que de manière globale sur les moyens pour économiser l'eau dans les structures. Gérard Boudon détaille les missions du Conseil Supérieur de la Transition Ecologique et leurs différentes interactions avec les clubs de golf. Cette émission revient évidemment sur l'actualité de l'été où les golfs ont été pris à partie par quelques politiciens et ont fait le buzz sur les réseaux sociaux afin de donner et d'expliquer la réalité du terrain avec des chiffres précis et le contexte juridique dans lequel les golfs évoluent. Un épisode informatif et pédagogique pour connaître et mieux appréhender le sujet de la consommation de l'eau des golfs en France.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 12 juillet, Cédric Decoeur a reçu Sarah Thirion, stratégiste actions chez TP ICAP Europe, Sébastien Korchia, Directeur de la gestion collective chez UBS La Maison de Gestion, Mathieu Bailly, DG délégué d'Octo AM, Frédéric Puzin, président de Corum, et Mathieu Berthaud, directeur général de Mon Partenaire Patrimoine, Aude Kersulec, journaliste BFM Business, Charles François, gérant de portefeuilles à Floroy, Boris Vienne, porte-parole du Conseil Supérieur du Notariat, Stéphane Ceaux-Dutheil, responsable du site Technibourse.com, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Laetitia Baldeschi, responsable des études et de la stratégie chez CPR AM, Nicolas Doze, éditorialiste BFM Business, et Chauncey Schmitt, chef de projet patrimonial de net-investissement.fr, dans l'émission BFM Patrimoine sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 12 juillet, Cédric Decoeur a reçu Aude Kersulec, journaliste BFM Business, Charles François, gérant de portefeuilles à Floroy, Boris Vienne, porte-parole du Conseil Supérieur du Notariat, Stéphane Ceaux-Dutheil, responsable du site Technibourse.com, Jean-Louis Cussac, trader pour compte propre chez Perceval Finance Conseil, Laetitia Baldeschi, responsable des études et de la stratégie chez CPR AM, Nicolas Doze, éditorialiste BFM Business, Mathieu Berthaud, directeur général de Mon Partenaire Patrimoine, et Chauncey Schmitt, chef de projet patrimonial de net-investissement.fr, dans l'émission BFM Patrimoine sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le 30 juin 2017 s'éteignait Simone Veil à l'âge de 89 ans. Cette femme au parcours singulier est connue pour son engagement en faveur du droit des Femmes et notamment pour son combat pour légaliser l'avortement. A une époque où se droit fondamental est remis en cause dans certains pays, nous vous proposons de redécouvrir le parcours de celle qui a permis aux françaises de disposer librement de leur corps. Après avoir vécu l'enfer à Auschwitz, elle devient la première femme à occuper certains postes politiques en France. Parmi ses combats gagnés : la légalisation de l'avortement en France. Porteuse du projet de loi sur l'IVG Après ses études, Simone se lance dans la politique et entre dans la magistrature en 1957. Elle est alors âgée de 30 ans. Elle devient haut fonctionnaire dans l'administration pénitentiaire et se bat pour améliorer le sort des détenus. En 1970, elle devient la première femme secrétaire générale du Conseil Supérieur de la magistrature. Cette ascension politique lui permet de devenir ministre de la Santé sous le gouvernement de Valéry Giscard d'Estaing. C'est ce qui l'amène à être la porteuse au Parlement du projet de la loi sur l'intervention volontaire de grossesse qui dépénalise l'avortement. Jusque-là, avorter pour une raison non médicale était un délit, passible de prison. Ecoutez la suite de cette histoire incroyable dans ce podcast. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Amy Winehouse, la destruction d'une diva Janis Joplin, la reine de la soul qui ne trouvait pas sa place Jimi Hendrix, le guitariste hors-norme qui n'avait pas de limites Ecriture et réalisation : Celia Brondeau Voix : Andréa Brusque Si vous souhaitez écouter les épisodes sans interruption, rendez-vous sur la chaîne Bababam+ d'Apple Podcasts : https://apple.co/3NQHV3I Abonnement True Story : https://apple.co/3auE6D9 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:15:07 - Journal de 22h - Le Rassemblement national entre en force à l'Assemblée en faisant élire 89 députés, du jamais vu dans l'histoire du parti lepéniste. Emmanuel Macron, lui, n'a pas réussi à décrocher la majorité absolue. Il va recevoir à l'Elysée les chefs des partis représentés au Palais Bourbon. - invités : Dominique Rousseau professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
durée : 00:15:07 - Journal de 22h - Le Rassemblement national entre en force à l'Assemblée en faisant élire 89 députés, du jamais vu dans l'histoire du parti lepéniste. Emmanuel Macron, lui, n'a pas réussi à décrocher la majorité absolue. Il va recevoir à l'Elysée les chefs des partis représentés au Palais Bourbon. - invités : Dominique Rousseau professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
durée : 00:51:43 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Conversation autour du droit, et de tous ses états, avec Dominique Rousseau et Daniel Soulez Larivière. - invités : Dominique Rousseau professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.; Daniel Soulez Larivière avocat au Barreau de Paris
durée : 00:56:15 - Les Nuits de France Culture - "Crise démocratique : la faute aux institutions de la Cinquième République ?" Dominique Rousseau, Bastien François, Jean Pick et Frédéric Rouvillois débattaient sur ce thème dans "Du Grain à moudre" quelques semaine avant l'élection présidentielle de 2007. - invités : Dominique Rousseau professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.; Bastien François politiste, professeur de science politique à Paris I, militant EELV; Frédéric Rouvillois professeur de droit public à l'Université Paris Descartes
#Conseil_Supérieur_de_la_Magistrature : A t'il des conséquences sur la Démocratie ? --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radio-awleda/message
Conseil National des Barreaux, Conseil Supérieur du Notariat, Ordre des avocats de paris, ordre des architectes, des géomètres experts, des vétérinaires, des experts-comptables, des sages femmes, des masseurs kinésithérapeuthes, des médecins, des infirmiers, des chirurgiens dentistes, et des pédicures podologues etc Et les syndics alors ? Eh bien nous avons posé la question à Pierre Edouard Lagraulet, brillant avocat pratiquant le droit de la copropriété et des ensembles immobiliers, le droit des copropriétés en difficulté, le droit des baux commerciaux et professionnels, le droit des professions immobilières et de leur responsabilité. Notre invité est également l'auteur d'un ouvrage de référence : Le syndic de copropriété, publié aux Editions Edilaix. Une émission animée par Anne-Sandrine Di Girolamo. Lisez ici son portrait publié par le magazine Forbes : Anne-Sandrine Di Girolamo "La joie de faire exister."
Athlétisme, cécifoot, goalball, basket-ball en fauteuil roulant... sont quelques-unes des disciplines sportives pratiquées aux Jeux paralympiques qui ont réuni plus de 4 300 athlètes, lors des derniers jeux de Rio au Brésil en 2016.Rediffusion Le sport de haut niveau n'est plus réservé aux personnes valides, mais au-delà de la vitrine de ces évènements internationaux, la pratique sportive à tous âges et tous niveaux, peut-elle être un facteur d'inclusion pour les personnes handicapées ? Comment développer des infrastructures adaptées ? Comment améliorer la visibilité du handisport ? Du 17 au 23 mai 2021, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA), en partenariat avec le gouvernement français et le Comité Paralympique et Sportif Français (CPSF) organisent l'opération «Jouons ensemble» pour promouvoir la visibilité du parasport. Avec : - Laetitia Bernard, journaliste à Radio France et championne de France en sauts d'obstacle handisport. Auteure de Ma vie est un sport d'équipe (Stock) - Camille Guillou, membre du Comité départemental du Finistère de la Fédération française handisport - Abdel Rahman Ouorou Barè, président du Comité national paralympique du Bénin. Membre de l'équipe du Bénin de basket-ball en fauteuil roulant. Du 7 au 8 août 2021, Abdel Rahman Ouorou Barè participera au tournoi international, organisé par l'association Enfants du Bénin debout, avec l'équipe nationale du Bénin de basket-ball en fauteuil roulant. Programmation musicale : ► Handicapés - L'Originale K ►Attaa Adwoa - Bosom P Young
Nathalie Sonnac, professeure de Sciences de l'Information et de la Communication et membre du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) de 2015 à 2021, revient sur les enjeux d'une forte concentration des médias possédés par de puissants acteurs financiers. Dans cet entretien, des solutions sont envisagées pour contrer ce fléau qui bouscule l'industrie de l'Information et de la Communication, et dans le même temps pour aider à la transparence de l'information. Photo : Bertrand Guay/ AFP
Bien entendu, il sera beaucoup question de déchets nucléaires à la COP26, a fortiori quand le président Macron a décidé de jouer la carte de petites centrales nucléaires réparties sur tout l'Hexagone. Or, petites ou grandes installations de ces réacteurs sont toutes pourvoyeuses de déchets mortels quasiment indestructibles. Durant ce même temps, le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) de Belgique, là où des centrales fissurées depuis des années sont rafistolées en catimini, le CSS, donc, publiait un rapport accablant estimant que « sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, l'énergie nucléaire de fission, telle que déployée actuellement, ne peut pas prétendre satisfaire aux principes du développement durable. » Ce concert d'avis divergents qui seront débattus à Glasgow, ne doit pas faire oublier les dégâts causés à la planète avec des éléments autres que l'uranium, la matière première tant appréciée par l'industrie nucléaire. Rappelons la durée de vie de certains déchets afin, justement, de participer dans notre quotidien à élaborer un environnement moins pollué : une cigarette sans filtre et un mouchoir en papier jetés dans la nature, mettront trois mois avant de disparaître, une pelure de banane de 3 à 6 mois, un journal près d'un an, une allumette quelque 6 mois, une cigarette avec filtre lui faudra près de deux années, alors qu'un chewing-gum aura besoin d'un lustre et une boîte en alu, genre cannette, un briquet et un gobelet en plastique, près d'un siècle, oui, une centaine d'années ! Un siècle pour un sac en plastique et une carte SIM et quatre siècles pour une bouteille en verre. Assurément, la politique des déchets s'adresse aussi à tous les citoyens !
Bien entendu, il sera beaucoup question de déchets nucléaires à la COP26, a fortiori quand le président Macron a décidé de jouer la carte de petites centrales nucléaires réparties sur tout l'Hexagone. Or, petites ou grandes installations de ces réacteurs sont toutes pourvoyeuses de déchets mortels quasiment indestructibles. Durant ce même temps, le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) de Belgique, là où des centrales fissurées depuis des années sont rafistolées en catimini, le CSS, donc, publiait un rapport accablant estimant que « sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, l'énergie nucléaire de fission, telle que déployée actuellement, ne peut pas prétendre satisfaire aux principes du développement durable. » Ce concert d'avis divergents qui seront débattus à Glasgow, ne doit pas faire oublier les dégâts causés à la planète avec des éléments autres que l'uranium, la matière première tant appréciée par l'industrie nucléaire. Rappelons la durée de vie de certains déchets afin, justement, de participer dans notre quotidien à élaborer un environnement moins pollué : une cigarette sans filtre et un mouchoir en papier jetés dans la nature, mettront trois mois avant de disparaître, une pelure de banane de 3 à 6 mois, un journal près d'un an, une allumette quelque 6 mois, une cigarette avec filtre lui faudra près de deux années, alors qu'un chewing-gum aura besoin d'un lustre et une boîte en alu, genre cannette, un briquet et un gobelet en plastique, près d'un siècle, oui, une centaine d'années ! Un siècle pour un sac en plastique et une carte SIM et quatre siècles pour une bouteille en verre. Assurément, la politique des déchets s'adresse aussi à tous les citoyens !
Dans son édito de ce lundi 25 octobre 2021, Fabrice Grosfilley évoque l'étude menée par le Conseil Supérieur de la Santé sur le nucléaire, et ses dangers sur le plan environnemental et sanitaire.
A l'occasion de la Journée mondiale du droit à l'avortement ce mardi 28 septembre, (ré)écoutez l'incroyable histoire de celle qui s'est battue pour sa vie et celle de toutes les femmes : Simone Veil. Après avoir vécu l'enfer à Auschwitz, elle devient la première femme à occuper certains postes politiques en France. Parmi ses combats gagnés : la légalisation de l'avortement en France. Porteuse du projet de loi sur l'IVG Après ses études, Simone se lance dans la politique et entre dans la magistrature en 1957. Elle est alors âgée de 30 ans. Elle devient haut fonctionnaire dans l'administration pénitentiaire et se bat pour améliorer le sort des détenus. En 1970, elle devient la première femme secrétaire générale du Conseil Supérieur de la magistrature. Cette ascension politique lui permet de devenir ministre de la Santé sous le gouvernement de Valéry Giscard d'Estaing. C'est ce qui l'amène à être la porteuse au Parlement du projet de la loi sur l'intervention volontaire de grossesse qui dépénalise l'avortement. Jusque-là, avorter pour une raison non médicale était un délit, passible de prison. Une histoire incroyable à écouter dans ce podcast. Ecriture et réalisation : Celia Brondeau Voix : Andréa Brusque Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Se yon prensip lalwa, pou pini yon krim fòk gen yon lwa pou sa - nulla pena sine lege. Se pou sa dwa penal blije presi, fòk definisyon yo klè pou jij la ka pwononse jijman l. Kidonk, pou pini kadejak ak lòt agresyon sekyèl, fòk nou klè sou kisa egzakteman yo ye. Se sa nou pral wè ansanm nan atelye jodi a ki baze sou definisyon agresyon seksyèl yo anvan nou resevwa envite nou, Me Dilia Lemaire, ansyen jij nan Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire (CSPJ). *** Plis nan kozekiltivyol.com/s02e02 *** Li pase tou nan 8 radyo lokal. Lis radyo a disponib nan kozekiltivyol.com/radyo.