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Radio Dante incontra i musicisti e le atmosfere di Samādhi, la prima residenza musicale organizzata sull'isola di Procida nel golfo di Napoli. In un'atmosfera incantata nel 500esco Palazzo D' Avalos, sei artisti hanno creato musiche ispirate ai quattro elementi naturali. Durante la tre giorni gli spettatori hanno potuto assistere al processo creativo dei musicisti fino al concerto finale. Suggestioni e connessioni nell'evento promosso da Alessandro Butera con il patrocinio del Comune di Procida. Impegnati in questa l'indagine creativa i musicisti Francesca Del Duca, percussioni e canto; Edoardo Petretti, tastiere e fisarmonica; Marco Zenini, basso elettrico; Pasquale Benincasa, percussioni; Bruno Belardi, live electronics; lo stesso Butera, chitarra e mohan veena; Marcello Smigliante Gentile al mandoloncello; Michele Lubrano Lavadera, live video. L'evento ha anche visto la partecipazione strofinarsi di Mario Tronco noto musicista e direttore d'orchestra, fondatore dell'Orchestra di Piazza Vittorio .A cura e riprese e montaggio di Gilda Notarbartolo
Deuxième épisode de notre série à la découverte du passé et du présent africain de la ville éternelle. « Si tu es à Rome, vis comme les Romains » nous dit l'adage ; mais est-ce possible ici quand on est Noir, venu d'Afrique, débarqué dans une capitale et un pays : l'Italie, où l'immigration est finalement une réalité récente ? Cette question a pris de l'ampleur ces dix dernières années, avec l'afflux continu de bateaux en provenance d'Afrique sur les côtes sud de l'Italie.Rien qu'entre janvier et septembre 2023, on a dénombré 130 000 personnes entrées par l'Italie, soit le double de l'année précédente sur la même période. De quoi faire prospérer l'extrême droite qui, avec son discours anti-immigration, est arrivée au pouvoir. Mais ces chiffres cachent une réalité bien plus complexe, car la plupart de ceux qui arrivent en Italie, n'y restent pas et s'en vont pour d'autres pays d'Europe. Ceux que nous allons entendre ici, ont décidé, eux, d'y rester. Et c'est dans leur quotidien que nous allons voyager : celui d'Africaines et d'Africains que la vie, le travail, l'amour ou les chemins de l'exil ont amené à vivre à Rome… presque comme des Romains.Un reportage en deux épisodes de Vladimir Cagnolari initialement diffusé en octobre 2023. En savoir plus : Sur Pape Kanouté, griot, musicien et écrivain sénégalais, installé à Rome depuis 1995 Sur Balkissa Maïga, actrice d'origine malienne vivant à Rome et très investie dans l'aide aux immigrés africains Sur l'action de l'association Baobab Experience qui vient en aide aux migrants qui transitent par Rome Sur l'Orchestra di Piazza Vittorio, un orchestre emblématique du cosmopolitisme de Rome Sur notre premier épisode de cette série Rome l'Africaine #01 : parmi les fantômes de l'empire colonial italien.
Deuxième épisode de notre série à la découverte du passé et du présent africain de la ville éternelle. « Si tu es à Rome, vis comme les Romains » nous dit l'adage ; mais est-ce possible ici quand on est Noir, venu d'Afrique, débarqué dans une capitale et un pays : l'Italie, où l'immigration est finalement une réalité récente ? Cette question a pris de l'ampleur ces dix dernières années, avec l'afflux continu de bateaux en provenance d'Afrique sur les côtes sud de l'Italie.Rien qu'entre janvier et septembre 2023, on a dénombré 130 000 personnes entrées par l'Italie, soit le double de l'année précédente sur la même période. De quoi faire prospérer l'extrême droite qui, avec son discours anti-immigration, est arrivée au pouvoir. Mais ces chiffres cachent une réalité bien plus complexe, car la plupart de ceux qui arrivent en Italie, n'y restent pas et s'en vont pour d'autres pays d'Europe. Ceux que nous allons entendre ici, ont décidé, eux, d'y rester. Et c'est dans leur quotidien que nous allons voyager : celui d'Africaines et d'Africains que la vie, le travail, l'amour ou les chemins de l'exil ont amené à vivre à Rome… presque comme des Romains.Un reportage en deux épisodes de Vladimir Cagnolari initialement diffusé en octobre 2023. En savoir plus : Sur Pape Kanouté, griot, musicien et écrivain sénégalais, installé à Rome depuis 1995 Sur Balkissa Maïga, actrice d'origine malienne vivant à Rome et très investie dans l'aide aux immigrés africains Sur l'action de l'association Baobab Experience qui vient en aide aux migrants qui transitent par Rome Sur l'Orchestra di Piazza Vittorio, un orchestre emblématique du cosmopolitisme de Rome Sur notre premier épisode de cette série Rome l'Africaine #01 : parmi les fantômes de l'empire colonial italien.
Buongiorno a tutte e tutti, benvenute e benvenuti all'asolto di Sveja, la rassegna stampa indipendente su Roma che cambia ogni giorno. Oggi è mercoledì 28 febbraio è alla conduzione c'è Valerio Renzi, giornalista di Fanpage.it.Molestie sessuali e abusi all'università la Sapienza: le testimonianzeEducatrici in rivolta contro il blocco delle graduatorieCrollo del Globe Theatre: amministratore di Atr verso il processoRoma Capitale ha bisogno di assumere ma il Governo blocca tuttoI nuovi nidi di Roma: dove saranno e quando saranno prontiIl sindaco battibecca con il comitato anti degrado a Piazza Vittorio: chi si deve occupare dei consumatori di crack?Sveja è un progetto sostenuto da Periferiacapitale, il programma per Roma della fondazione Charlemagne.Foto di Miriam Aly
ll 30 novembre 1941 è nato Alberto Ginulfi, che dai banchi del mercato di Piazza Vittorio è arrivato fino a parare un rigore a Pelè.Ieri/Oggi recupera e racconta attimi di vite giallorosse nel giorno in cui sono accaduti, pochi o tanti anni fa.
Deuxième épisode de notre série à la découverte du passé et du présent africain de la ville éternelle. « Si tu es à Rome, vis comme les Romains » nous dit l'adage ; mais est-ce possible ici quand on est Noir, venu d'Afrique, débarqué dans une capitale et un pays : l'Italie, où l'immigration est finalement une réalité récente ? Cette question a pris de l'ampleur ces dix dernières années, avec l'afflux continu de bateaux en provenance d'Afrique sur les côtes sud de l'Italie.Rien qu'entre janvier et septembre 2023, on a dénombré 130.000 personnes entrées par l'Italie, soit le double de l'année précédente sur la même période. De quoi faire prospérer l'extrême droite qui, avec son discours anti-immigration, est arrivée au pouvoir. Mais ces chiffres cachent une réalité bien plus complexe, car la plupart de ceux qui arrivent en Italie, n'y restent pas et s'en vont pour d'autres pays d'Europe. Ceux que nous allons entendre ici, ont décidé, eux, d'y rester. Et c'est dans leur quotidien que nous allons voyager : celui d'Africaines et d'Africains que la vie, le travail, l'amour ou les chemins de l'exil ont amené à vivre à Rome… presque comme des Romains.Un reportage de Vladimir Cagnolari. En savoir plus :- Sur Pape Kanouté, griot, musicien et écrivain sénégalais, installé à Rome depuis 1995- Sur Balkissa Maïga, actrice d'origine malienne vivant à Rome et très investie dans l'aide aux immigrés africains- Sur l'action de l'association Baobab Experience qui vient en aide aux migrants qui transitent par Rome- Sur l'Orchestra di Piazza Vittorio, un orchestre emblématique du cosmopolitisme de Rome- Sur notre premier épisode de cette série Rome l'Africaine #01 : parmi les fantômes de l'empire colonial italien.
La rassegna stampa di giovedì 14 Settembre è a cura di Luca DammiccoSul Corriere la conta dei danni dopo l'attacco hacker subìto da Zètema, fonti ufficiose parlano di 80 milioni di dati sottratti. Bel problema.Repubblica racconta invece di come, grazie a semplice sistema di bot, pochi intermediari turistici riescano ad acquistare instantaneamente tutti i biglietti per visitare i Fori e il Colosseo, rivendendoli tramite pacchetti a prezzi maggiorati. L'Antitrust sta indagando.Sempre su repubblica: il caso treni di ieri, con il 40% per cento delle corse cancellate a causa dei ritardi nella manutenzione alle ruote dei treni usurate dai binariIl Messaggero continua la sua campagna conflittuale nei confronti del progetto di Tram Termini-Aurelio e trova una sponda nell'opposizione in Consiglio Comunale.Il tempo invece si dedica al progetto dello stadio della A.S.Roma raccontando l'ennesima criticità, ovvero un vecchio progetto di ampliamento dell'Umberto I nella stessa area.Ricordiamo i prossimi appuntamenti in cui ci sarà anche Sveja:- 23 settembre ad Artena per Diaspore,viaggio tra vissuti e fili linguistici. Incontro pubblico con la scrittriceIgiaba Scego e la poetessa Rahma Nur, introduce Alessandro Coltré e modera Adil Mauro- 29, 30 settembre e 1 ottobre, MULTI, nei giardini di Piazza Vittorio, organizzato da Lucy - Sulla culturae Slow Food Roma, nato nell'ambito dell'Estate Romana.Sveja è un progetto di comunicazione indipendente sostenuto da Periferiacapitale, il programma per le periferie promosso dalla Fondazione Charlemagne, e da Guido Larcher. È possibile ascoltarla in podcast iscrivendosi alla newsletter o tramite Spreaker e Spotify.
La rassegna stampa di lunedì 11 settembre è a cura di Marica FantauzziIniziamo con le parole del collettivo del Quarticciolo Ribelle che risponde ai racconti sul quartiere apparsi sui quotidiani in questi giorni.Le prime pagine sono dedicate alla riapertura delle scuole nel Lazio tra mancanza di personale e ristrutturazioni mancate.Si parla anche del pessimo stato del trasporto pubblico in vista del Giubileo (mancano 500 giorni) e della campagna antitram che prosegue senza freni sul quotidiano di Caltagirone. Continuano, nel frattempo, a morire i detenuti. Uno a seguito di un infarto a Viterbo durante una protesta e un altro, di appena 21 anni, si è tolto la vita nel carcere di Regina Coeli.Sul dibattito attorno alla chiusura di questo carcere segnaliamo l'articolo di Valentina Calderone apparso sul Manifesto. Ricordiamo i prossimi appuntamenti in cui ci sarà anche Sveja:- 23 settembre ad Artena per Diaspore,viaggio tra vissuti e fili linguistici. Incontro pubblico con la scrittrice Igiaba Scego e la poetessa Rahma Nur, introduce Alessandro Coltré e modera Adil Mauro- 29, 30 settembre e 1 ottobre, MULTI, nei giardini di Piazza Vittorio, organizzato da Lucy - Sulla cultura e Slow Food Roma, nato nell'ambito dell'Estate Romana.Sveja è un progetto di comunicazione indipendente sostenuto da Periferiacapitale, il programma per le periferie promosso dalla Fondazione Charlemagne, e da Guido Larcher. È possibile ascoltarla in podcast iscrivendosi alla newsletter o tramite Spreaker e Spotify.Domani a questi microfoni ci sarà Luca PerettiLa foto "Scuola superiore al Trullo di Roma" è di Tano D'Amico.
Sabato 4 febbraio a Roma si è tenuto un corteo in solidarietà con lo sciopero della fame di Alfredo Cospito, contro 41 bis ergastolo e ostatività, organizzato da diversi collettivi politici dell'area anarchica romana, dai collettivi universitari di sinistra, come Cambiare Rotta e di studenti medi come Osa, ma sostenuta anche da tutte quelle associazioni e individui che ultimamente si sono schierate in difesa di Cospito. Dopo il concentramento in Piazza Vittorio, circa 1000 persone, forse qualcuna di meno, hanno sfilato in corteo fino a Largo Preneste. Vicini al punto di arrivo, su via Prenestina all'altezza di via Giovenale, la coda del corteo è stata caricata dalle forze dell'ordine, per qualche centinaio di metri, risultando in 3 fermi e due feriti. Una cronaca in presa diretta di Lorenzo Boffa
Ciao, sono Michela e sono dottoranda in Italianistica presso la Ohio State University, negli Stati Uniti.Oggi vi parlo del romanzo di Amara Lakhous, intitolato “Scontro di civiltà per un ascensore a piazza Vittorio”, pubblicato per la prima volta nel 2006 da E/O Edizioni e vincitore del premio Flaiano.Amara Lakhous è un antropologo, scrittore, e giornalista algerino e cittadino italiano. “Scontro di civiltà” è il suo romanzo più famoso e nel 2010 ne è strato tratto un film diretto da Isotta Toso.Lakhous, prendendo ispirazione dalla propria esperienza migrante e dai suoi studi in antropologia, propone un romanzo che narra i rapporti fra diverse culture e identità in Italia. “Scontro di civiltà” è un romanzo geniale, perché attraverso le rigide convenzioni del racconto giallo, dà spazio a personaggi che solitamente non hanno voce, e lo fa leggerezza e umanità. Proprio per questo motivo “Scontro di civiltà” è anche una storia corale. Ogni personaggio, di diversa estrazione culturale e sociale, propone il proprio punto di vista sui fatti legati al delitto. Questa scelta narrativa permette alle lettrici e ai lettori di osservare come i pregiudizi e le esperienze personali influenzino la nostra percezione dello straniero. La trama del romanzo è abbastanza semplice. Ci troviamo nel quartiere Esquilino, a Roma, e più specificatamente in un condominio in cui vivono persone di diversa provenienza etnica e culturale. Dopo il rinvenimento del corpo di Lorenzo Manfredini, detto “il gladiatore”, nell'ascensore del palazzo, la polizia interroga gli abitanti e coloro che gravitano attorno a Piazza Vittorio. La narrazione si snoda attraverso i diversi interrogatori e digressioni che danno spazio ai pensieri dei vari personaggi, in particolare quelli di Amedeo, un uomo misterioso di cui non è chiara la nazionalità.Raramente ho letto un romanzo così divertente e leggero, e al tempo stesso capace di narrare con estrema acutezza temi scottanti e attuali quali il razzismo sistemico, migrazione e immigrazione, integrazione, barriere sociali e linguistiche che incontrano sia coloro che arrivano in Italia, sia coloro che italiani lo sono, ma in fondo non si sentono mai completamente italiani. Il romanzo ci spinge a ripensare con umanità alla figura dell'immigrato, ma è anche in grado di farci riflettere sulla complessità dell'essere italiani.Uno dei personaggi, Parviz Mansoor Samadi mette in piena luce quanto la nazionalità sia un concetto in fondo molto più fluido di quanto non si pensi:“Amedeo è Italiano? Qualsiasi risposta non risolverà il problema. Ma poi chi è italiano? Chi è nato in Italia, ha un passaporto italiano, carta d'identità, conosce bene la lingua, porta un nome italiano e risiede in Italia? Come vedete la questione è molto complessa. Adesso, almeno, vi basti sapere che Amedeo conosce l'italiano meglio di milioni di italiani sparsi come cavallette ai quattro angoli del mondo”Se siete appassionati di romanzi gialli con una spiccata vena umoristica e una pungente critica sociale, questo romanzo vi terrà col fiato sospeso.
Lorenzo Pavolini"Festival del Mondo Antico"RiminiMercoledì 20 luglio 2022, ore 21:30Festival del Mondo Antico, Rimini"Il consenso e il regime fascista"con Lorenzo Pavolini, Francesco Filippi, Laura FontanaLorenzo PavoliniVicedirettore della rivista letteraria Nuovi Argomenti, Lorenzo Pavolini collabora da oltre vent'anni con Rai Radio3 curando le letture dei romanzi Ad alta voce oltre alle trasmissioni Wikiradio, Pantheon e Zazà.Partecipa a diversi progetti teatrali (recentemente ha adattato per la scena il romanzo di Moravia La donna leopardo). Ha pubblicato i romanzi Senza rivoluzione (Giunti 1997, premio Grinzane Cavour esordiente), Essere pronto (peQuod, 2005), Accanto alla tigre (Fandango, 2010, Marsilio/Feltrinelli 2019, finalista Premio Strega), Tre fratelli magri (Fandango 2012), Si sente in fondo? Avventure dell'ascolto (Ediesse, 2013), L'invenzione del vento (Marsilio 2109, finalista premio Flaiano). Ha curato tra l'altro Italville – New Italian Writing (Exile Edition, 2005) e l'edizione integrale delle Interviste impossibili (Donzelli 2006). Per la regia del documentario sonoro Ninnananna di Natale, musica e storie dall'Orchestra di Piazza Vittorio ha vinto il Prix International de la Radio URTI 2003.Lorenzo Pavolini"Accanto alla tigre"FandangoLorenzo è uno scrittore alle prese con teatro, riviste, radio e crede di possedere una visione politica consolidata. Vive a Roma nel quartiere Esquilino. Lì si mescolano due idee molto diverse dell'Italia contemporanea: quella multietnica, del mercato di piazza Vittorio e dei negozi cinesi e quella nazionalista rappresentata da un centro sociale di estrema destra. In quel pezzo di Italia c'è un altro dissidio, quello che Lorenzo coltiva sin dall'adolescenza dentro di sé, un dissidio che affonda le radici nel suo cognome. Lo stesso del nonno Alessandro, raffinato intellettuale ma soprattutto fascista implacabile, fondatore delle Brigate nere e anima della Repubblica di Salò. Lorenzo scopre chi era suo nonno a scuola, quando vede su una pagina del libro di storia una foto, quella immagine di piazzale Loreto, in cui Benito Mussolini, Claretta Petacci e gli altri gerarchi sono appesi a testa in giù. Tra loro un uomo a torso nudo pende sotto una pensilina su cui è scritto in stampatello: Pavolini. Tanti anni dopo l'autore prova a capire chi sia stato veramente suo nonno, cosa lo abbia spinto a cavalcare con tanta ostinazione la sua tigre. Ricostruisce così una storia fatta di reticenze, conflitti e timori riguardo il rapporto tra lui, la sua famiglia e l'eredità di quel cognome. Un romanzo di memorie e passione che attraversa l'Italia di questi anni dove ancora la notte giovani mani scrivono sui muri la scritta "Pavolini eroe" e le sue frasi celebri sono slogan di nuovi estremismi.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
Oggi giovedì 6 aprile 2022 al microfono Nicola Villa della rivista “Gli asini”.Dopo l'open day dell'iniziativa “la città dei 15 minuti”, non si risolvono i disagi per fare la CIE, la carta d'identità elettronica: gli appuntamenti si danno almeno a 90 giorni. Un sindaco in smart-working: Gualtieri ancora positivo da quasi un mese prova a governare a distanza in video collegamento. Rimandato il consiglio straordinario sui rifiuti, che doveva esserci oggi, sulla discarica di Albano al 21 aprile. Riforma costituzionale capitale c'è l'accordo sul testo per i poteri legislativi dalla Regione al Comune. L'università La Sapienza è prima nella classifica QS per la Storia antica e l'archeologia. La morte del dottor Marco Nardelli, il pediatra della Garbatella. La chiusura del mobilificio Grilli a Piazza Vittorio. Cinema: 4 film dimenticati che raccontano la Roma tossica. Qualche segnalazione finale: l'as Roma torna a Bodo, la Formula E all'Eur, il festival Baba Jaga di fumetto dall'est e i sonetti del Corbaccio di Graziano Graziani.Sveja è un progetto di comunicazione indipendente sostenuto da Periferiacapitale, il programma della Fondazione Charlemagne. E da Guido Larcher.
Testo e foto di Filippo Neri Audio (progetto cultura per ipovedenti) di @tepare
«La mia città è bellissima». È la dichiarazione d'amore di Samuel, voce e frontman dei Subsonica nonché giudice dell'edizione 2019 di X-Factor, alla sua Torino. Dove è nato nel 1972. E dove ha fondato, insieme agli amici Max Casacci e Boosta, il gruppo rock elettronico più famoso d'Italia. «La mia città ha sempre lottato per restare in vita e lo ha fatto con la forza delle sue idee», racconta tra una pausa e l'altra delle prove per il gran finale di X Factor 2019. «Torino è una città multietnica: qui abitano persone provenienti da tutte le regioni d'Italia e questa varietà porta sempre ricchezza». E se nel suo cuore non possono mancare luoghi iconici, come la Mole o i Murazzi, ce ne sono altri più intimi e particolari. Come il Cinema Massimo o Piazza Vittorio. «Ci sono ancora oggi dei locali che portano la musica in città, come Hiroshima Mon Amour, Giancarlo 2 (che oggi si chiama Magazzino Sul Po), Gli Amici del Po, OFF TOPIC in zona Gasometri tra Vanchiglia e Vanchiglietta, Cap 10100, anche questo molto bello, sul fiume. Sono posti che, ognuno a suo modo, combattono una guerra sotterranea e silenziosa contro l'avvento del “grande niente”, lottando per portare la musica di qualità in città».
Debuttò come narratore nel 1951 nella storica collana diretta da Elio Vittorini "I gettoni" di Einaudi con I compagni sconosciuti, seguito nel 1964 da Notizie degli scavi. Lucentini conobbe Carlo Fruttero negli anni cinquanta: i due scrittori si incontrarono in un bistrot a Parigi, attraverso amici comuni. Si videro di nuovo cinque anni dopo a Torino presso l'editore Giulio Einaudi e iniziarono una fruttuosa collaborazione, che durò più di quarant'anni: oltre ai libri e agli articoli scritti a quattro mani, Fruttero & Lucentini diressero per Mondadori la collana di fantascienza Urania e curarono diverse antologie di narrativa. Franco Lucentini si è suicidato a Torino, lanciandosi nella tromba delle scale della sua abitazione di piazza Vittorio Veneto. Proprio come si era tolto la vita un altro scrittore torinese, Primo Levi. Nell'abitazione c'era la moglie, che in un primo tempo non si è accorta di nulla, e che ha poi avvertito la polizia. Prima del suicidio, nessun comportamento anomalo aveva fatto intuire la decisione, così estrema e irreversibile del marito, che era da tempo malato. Lo scrittore si è lanciato dal pianerottolo del quarto piano, dove c'è il suo appartamento. Le sue ceneri riposano al Cimitero monumentale di Torino.
Con lo sguardo rivolto al mare attori come Toni Servillo, Marco D'Amore e Beppe Servillo, musicisti come L'Orchestra di Piazza Vittorio, gli Avion Travel, Gianni D'Argenzio , scrittori come Donato Cutolo e molti altri artisti raccontano storie di migrazione e integrazione sotto la sapiente direzione artistica di Francesco Massarelli e la regia di Luisa Galdo, che nel Ma6 Studio di Massimo Righetti con Vania Amitrano parlano di "RiVolti al Mare", disponibile su Amazon Prime Video.
E' un chitarrista italiano, produttore e fondatore dei Subsonica, nato a Torino nel 1963. È inoltre compositore e autore della maggior parte dei testi del gruppo, produttore musicale, tecnico del suono, ex direttore del Traffic - Torino Free Festival, membro del collettivo di musica per conferenze scientifiche Deproducers, e del progetto elettronico Demonology Hi-Fi. È anche sperimentatore di musica realizzata con suoni e rumori della natura e di scenari urbani, molti dei quali prodotti dal 2009 nel proprio Andromeda Studio Torino, che ha prodotto artisti, band e sviluppando progetti elettronici. A diciotto anni scopre post punk e new wave, e viene coinvolto dai Carmody in un progetto di “new wave surrealista”. Ben presto nello studio-cantina apprende tecniche di registrazione, sequencer, batterie elettroniche e arrangiamento, diventando membro a tutti gli effetti del progetto. A ventidue anni milita nei Deafear, gruppo torinese di punta della scena dark primi '80. Diplomatosi in arti fotografiche, lavora come assistente presso lo studio cinematografico (artigianale) del padre Ferruccio Casacci, in Piazza Vittorio, ex-sede di Casasonica. E da lì progetta il suo luminoso e sonoro futuro.
Attorno al ponte che oggi collega piazza Vittorio Veneto con la chiesa della Gran Madre di Dio ruota una storia avvincente e ricca di avvenimenti. Uno storia iniziata negli anni del Bonaparte, quando a Torino si parlava francese e la città doveva dar lustro all'impero, testimoniandone la grandezza.
Attorno al ponte che oggi collega piazza Vittorio Veneto con la chiesa della Gran Madre di Dio ruota una storia avvincente e ricca di avvenimenti. Uno storia iniziata negli anni del Bonaparte, quando a Torino si parlava francese e la città doveva dar lustro all'impero, testimoniandone la grandezza.
Dalle indagini archeologiche condotte su un settore degli Horti Lamiani nasce il Museo-Ninfeo di Piazza Vittorio presso il Palazzo della Fondazione Enpam, che presto sarà visitabile da tutti grazie ad un eccellente allestimento museale.
Ospite della puntata l'Orchestra di Piazza Vittorio
Ospite della puntata l'Orchestra di Piazza Vittorio
Ospiti telefonici: Alida Baldari Calabria, ha interpretato la Fata Turchina bambina nel Pinocchio di Garrone; Mario Tronco, fondatore e direttore artistico dell'Orchestra di Piazza Vittorio.
ira rubini, cult, Fiorenzo Grassi, Elfo Puccini, AGIS, chiusura teatri. Orchestra Piazza Vittorio, David di Donatello, Il Flauto Magico di PIazza Vittorio, libro La paura delle malattie, Alessandro Bartoletti, Barbara Sorrentini, 250° Tartini, La stanza di Tartini, pubblicazione epistolario, Paolo Da Col
ira rubini, cult, Fiorenzo Grassi, Elfo Puccini, AGIS, chiusura teatri. Orchestra Piazza Vittorio, David di Donatello, Il Flauto Magico di PIazza Vittorio, libro La paura delle malattie, Alessandro Bartoletti, Barbara Sorrentini, 250° Tartini, La stanza di Tartini, pubblicazione epistolario, Paolo Da Col
ira rubini, cult, Fiorenzo Grassi, Elfo Puccini, AGIS, chiusura teatri. Orchestra Piazza Vittorio, David di Donatello, Il Flauto Magico di PIazza Vittorio, libro La paura delle malattie, Alessandro Bartoletti, Barbara Sorrentini, 250° Tartini, La stanza di Tartini, pubblicazione epistolario, Paolo Da Col (seconda parte)
ira rubini, cult, Fiorenzo Grassi, Elfo Puccini, AGIS, chiusura teatri. Orchestra Piazza Vittorio, David di Donatello, Il Flauto Magico di PIazza Vittorio, libro La paura delle malattie, Alessandro Bartoletti, Barbara Sorrentini, 250° Tartini, La stanza di Tartini, pubblicazione epistolario, Paolo Da Col (prima parte)
ira rubini, cult, Fiorenzo Grassi, Elfo Puccini, AGIS, chiusura teatri. Orchestra Piazza Vittorio, David di Donatello, Il Flauto Magico di PIazza Vittorio, libro La paura delle malattie, Alessandro Bartoletti, Barbara Sorrentini, 250° Tartini, La stanza di Tartini, pubblicazione epistolario, Paolo Da Col (prima parte)
ira rubini, cult, Fiorenzo Grassi, Elfo Puccini, AGIS, chiusura teatri. Orchestra Piazza Vittorio, David di Donatello, Il Flauto Magico di PIazza Vittorio, libro La paura delle malattie, Alessandro Bartoletti, Barbara Sorrentini, 250° Tartini, La stanza di Tartini, pubblicazione epistolario, Paolo Da Col (seconda parte)
Ospiti in studio: Leandro Piccioni e Mario Tronco, anime dell'Orchestra di Piazza Vittorio.
Con lo scrittore Davide Longo percorriamo Piazza Vittorio, una delle più grandi della città, senz'altro meno appariscente di altre piazze-salotto come Piazza San Carlo o Piazza Carignano ma emblematica di una certa torinesità per la ...
con Gianfranco Cabiddu, Mario Tronco, Fabrizio Bentivoglio e Carlo Cotti
In this episode, Catherine discusses the true story Mrs. Sherlock Holmes by Brad Ricca with her friend and former co-worker Melody. Books Mentioned Clash of Civilizations over an Elevator in Piazza Vittorio by Amara Lakhous Small Fry by Lisa Brennan-Jobs Author Tessa Dare’s books dedication page Non-book recommendations Trees and simple pleasures Miss Fisher’s Murder Mysteries on Netflix Next Month’s Book is Salt Houses by Hala Alyan. Follow Catherine on instagram @infinitelypreferabook See what Catherine is reading at goodreads.com/infinitelypreferabook
l fatto della settimana riguarda nuovamente gli SGOMBERI di palazzi occupati da famiglie e singoli di diverse origini. Ma questa volta abbiniamo una buona notizia con una brutta! Iniziamo da quest’ultima. Dopo anni di occupazione di un palazzo prestigioso vicino a Piazza Vittorio da parte dei neofascisti di CasaPound, dopo mesi di interpellanze e richieste di sgombero anche da parte del Comune di Roma e promesse del Ministro dell’Interno ( amico dei CasaPound ! ) di dare il via libera allo sgombero come ad altri in Italia e nella Capitale, giorni fa è arrivata una nota del Ministero dell’Economia proprietario dell’Immobile, che dichiara ufficialmente la NON URGENZA di quello sgombero : ma guarda un po’! In compenso, poiché esiste e resiste un’Altra Italia e un’Altra Roma anche fra le Istituzioni, le Proprietà private e il mondo associativo, negli stessi giorni di questa settimana nella medesima città Capitale d’Italia, si è svolto uno sgombero “indolore”, programmato, preparato, organizzato con il consenso progressivo degli occupanti (italiani e stranieri), della Proprietà di una Banca, del Municipio 1, del Comune di Roma, della Regione Lazio ( ATER ). Fino al 1989 nel Palazzo di via Carlo Felice c’erano stati i dipendenti della Banca d’Italia. Nel 2004 dopo anni di inutilizzo, era stato occupato dall’associazione Action con molte famiglie senza casa. All’inizio di questo 2019, dopo 14 anni di occupazione da parte di 70 persone, 29 famiglie con 22 minori (italiani, eritrei, sudamericani, tunisini, rumeni), il Palazzo di Via Carlo Felice è stato liberato il 20 febbraio senza alcuna irruzione all’alba, nessuna protesta, nessuna sorpresa perché gli abitanti aspettavano di lasciare lo stabile già da fine novembre. Come è stato possibile? Con una attenta preparazione e collaborazione fra occupanti, associazioni e istituzioni pubbliche e private, è stato fatto un censimento, gli occupanti sono stati inseriti in una graduatoria sulla base del reddito e delle situazioni familiari di difficoltà: alcuni saranno ricollocati nelle strutture del Comune o dell’Ater -Regione Lazio, altri nelle strutture della società della Banca d’Italia. Per due anni pagheranno solo le spese di acqua, luce e gas. “Tutti gli interessati hanno già sottoscritto un progetto di inclusione sociale. Per tutta la durata delle operazioni sarà presente la Sala Operativa Sociale di Roma Capitale, svolgendo attività di mediazione e aiuto”, così si legge in una nota pubblicata sul sito del Comune di Roma. “Le strutture in cui si trasferiranno gli ex occupanti garantiranno ai minorenni la possibilità di continuare la scuola”. Tra gli sgomberi senza soluzione a cui Roma si sta abituando, la formula applicata alla liberazione del Palazzo di Via Carlo Felice forse potrebbe e dovrebbe diventare un modello da adottare. La Presidente del Municipio 1, Sabrina Alfonsi ha precisato: “Un nuovo modo di intervenire sulle situazioni di occupazione è possibile, rovesciando la prospettiva e partendo dalle garanzie per il rispetto dei diritti delle persone per arrivare al rispetto del principio di legalità”. Noi intanto aspettiamo di capire cosa succederà invece al Palazzo occupato da CasaPound con le sue insegne, le numerose e vistose videocamere di controllo all’ingresso, le guardie del corpo, come fosse la sede di una Istituzione Pubblica! Ma dopo il caso della Nave Diciotti e l’applicazione dell’Immunità Parlamentare per il Ministro dell’Interno e per tutto il Governo assieme a lui, abbiamo già capito che nell’Italia 2019, finché dura, appunto la Legge NON è uguale per tutti e si possono sequestrare le persone e occupare Palazzi, stando sicuri che qualcuno ti difenderà e impedirà che queste azioni illegali possano continuare.
IL FLAUTO DI PIAZZA VITTORIO CABIDDU FIORE GEMELLO COLANGELI DANIELE BARRACO DE GREGORI FRANCESCO
Episode 32 : Rencontre littéraire avec Amara Lakhous: Choc des civilisations pour un ascenseur à piazza Vittorio Divorce à la musulmane à Viale Marconi. Rencontre littéraire autour des romans d'Amara Lakhous, Choc des civilisations pour un ascenseur Piazza Vittorio, et Divorce à la musulmane à Viale Marconi, animée par Dr. Karim Ouaras, sociolinguistique à l'Université de Mostaganem, chercheur associé au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC) et directeur adjoint du Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA). Cette rencontre est programmé dans le cadre du Cycle des conférences Arts et Lettres au Maghreb, organisé le 20 février 2018 au CEMA, à Oran. L'auteur: Dans ce podcast, l’auteur Amara Lakhous revient sur son parcours atypique, son écriture hors normes et ses aventures linguistiques. Amara, faut-il le rappeler, est un écrivain algérien d’expression italienne. Il est né à Alger en 1970, vit à Rome depuis 1995. Il est journaliste, anthropologue et romancier. Il a obtenu une licence en Philosophie à l’Université d’Alger. Il obtient une maîtrise et un doctorat en anthropologie à Sapienza - Università di Roma. Il est venu à la littérature par la lecture, entre autres, de Madame Bovary de Flaubert et par le biais du cinéma italien. Parmi ces publications, l’on peut citer : - Choc des civilisations pour un ascenseur à piazza Vittorio (Éditions Barzakh 2008) - Divorce à la musulmane à Viale Marconi (Éditions Barzakh 2012) - Querelle autour d’un petit cochon italianissime à San Salvario (Éditions Barzakh 2014) - L’Affaire de la pucelle de la rue Ormea (Éditions Barzakh 2017) L’accent sera mis dans ce podcast sur deux de ses romans, Choc des civilisations pour un ascenseur à piazza Vittorio et Divorce à la musulmane à Viale Marconi. Le premier roman a eu un succès foudroyant, couronné par le prix international Flaiano 2006 qu’il partage avec l’œuvre de l’écrivain espagnol Enrique Vila Matas. L’histoire de cette comédie policière se déroule dans un immeuble de Piazza Vittorio, un quartier multi-ethnique de la capitale italienne, Rome. L’histoire s’articule autour d’un ascenseur qui devient une scène sur laquelle les identités, les cultures, les religions et les classes sociales se côtoient, se frottent et se confrontent. C’est un vrai patchwork migratoire qui met en relief la peur de l’Autre et l’impossibilité du vivre ensemble. Ce roman, nourri de réflexions anthropologiques et historiques, donne à réfléchir sérieusement sur la question épineuse de l’émigration/immigration. C’est une comédie sociale où le drame et l’humour font bon ménage. Le second roman a d’abord été écrit en arabe, paru chez les éditions Ikhtilef en 2010, sous le titre El qahira assaghira, puis réécrit en italien. Il sera traduit en langue française par Elise Gruau et co-édité, par les éditions Barzakh et Actes Sud, en 2012 Ce roman se veut un clin d’œil au film italien culte Divorce à l’italienne de Pietro Germi. Il est miné de sous-intrigues et de tensions. Amara Lakhous met en avant une satire sociale et une vision critique du phénomène de l’émigration/immigration. C’est aussi un roman très dense et très profond dans le sens où il interroge les archaïsmes religieux (entre autres, l’excision), les préjugés et les stéréotypes de tout bord. Il revient longuement sur la question du mariage et du divorce dans la tradition musulmane, le terrorisme, les discours médiatiques, l’hypocrisie des uns et des autres. C’est un regard sans concession à la fois sur les migrants musulmans et les occidentaux. En dénonçant les injustices et les inégalités, l’auteur a essayé tout au long de son roman, de défaire les préjugés au sujet des migrants et des musulmans. Réalisation et montage: Hayet Lansari, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
Ospiti: L'Orchestra di Piazza Vittorio
Ospiti: L'Orchestra di Piazza Vittorio
Ospiti: L'Orchestra di Piazza Vittorio
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The whole world, within a square The post Abel Ferrara, Christina and Anna Ferrara – Piazza Vittorio #Venezia74 appeared first on Fred Film Radio.
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Vele addio: cominciati i trasferimenti delle famiglie. Carla Manzocchi - Roma: la cabina Acea è dentro un esercizio commerciale. Due giorni senza luce a Piazza Vittorio. Ing. Serafino Cianetti, Arieti SPA.
Liberate il martire Bekzhanov. Riccardo Noury, portavoce Amnesty International - Roma: cane morto per overdose a Piazza Vittorio. Elia Ceoli, padrona del cane.
Conductor Mario Tronco arrived in Rome from Sicily in 2002 and was immediately fascinated by the multi-ethnic Piazza Vittorio in the heart of the historical Esquiline district. Fascinated by the sounds and languages that, like music, rise through the courtyards outside his windows he dreamed of having an orchestra which would bring together all these sounds. This is the extraordinary story of the Orchestra di Piazza Vittorio.
La Carmen rivisitata da Mario Martone con Iaia Forte e l'Orchestra di Piazza Vittorio; il giovane jazzista siciliano Francesco Cafiso; l'anteprima del film "Nessuno si salva da solo" con il regista Sergio Castellitto
Riccardo Tesi, PresenteRemoto, AccorsaAgricantus, Tuareg, Hala HalaAntonello Paliotti, Italia 3, Pizzica TarantinaOrchestra di Piazza Vittorio, Sona, SandinaBeppe Gambetta, Rendez-Vous, Dio e' mortoFabrizio De Andre', Vol. 1, Bocca di rosaFrancesco De Gregori, bootleg, Il bandito e il campioneFrancesco Forni, Tempi meravigliosi, non adessoCollettivo Angelo Mai, Vol. 1, fiori rariPino Marino, pino marino, l'aqua e la pazienzaCantodiscanto, Malmediterraneo, BanderaClaudio DeAngeli, ...lassu' nell'Oregon, GigiFilippo Gambetta, andirivieni, KevatMax Manfredi, Live in blu, La fiera della MaddalenaAlfio Antico, Anima 'ngignusa, Anima 'ngignusaRiccardo Tesi, PresenteRemoto, Il primo bacio