Leslie Rijmenams parle de vos initiatives positives sur Nostalgie. Petites idées pour grandes solutions... Pas de fatalisme, que des pistes pour aller de l'avant et des raisons d'espérer.
On a parfois une image un peu figée . Que nenni ! Ce vendredi et samedi, c'est le Printemps des bibliothèques dans 85 communes de Wallonie et de Bruxelles. L'occasion de pousser la porte de ces lieux de culture, qui n'ont plus rien de poussiéreux : soirées pyjama à Nivelles, auberge espagnole littéraire à Waremme, karaoké et camping familial à Franière, escape games dans les rayons de la bibliothèque de Grâce-Hollogne ou promenade contée à la tombée de la nuit à Farciennes… tout est bon pour redécouvrir le monde du livre. A l'étranger aussi, certains rusent de créativité pour faire connaitre la culture à toutes et tous. Dans le quartier de Cankaya, à Ankara, en Turquie, existe un lieu très particulier : la bibliothèque des éboueurs. Cette initiative est née du simple constat que les livres trouvés dans les poubelles méritaient mieux que la benne. Résultat : des milliers d'ouvrages désormais accessibles à tous… et même un camion-bibliothèque pour aller à la rencontre des familles.Chez nous aussi, les bibliobus continuent de faire escale dans les villages oubliés du réseau culturel. Car l'accès au livre, à l'imaginaire, à la culture, ce n'est pas un luxe : c'est un outil d'égalité et d'émancipation. Selon l'UNICEF, les enfants qui n'ont pas de livre à la maison ou de façon plus large, qui ne sont pas au contact de la culture, ont 30% de chances en moins d'acquérir des compétences de base que les autres enfants qui y ont accès.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams, à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Cultivée la toute première fois dans la région qui deviendra le Pérou, il existe aujourd'hui 4000 variétés de pommes de terre dans le monde. Parmi elles : 200 sont consommées en Belgique.Face aux géants de nos assiettes comme le riz et le blé, la pomme de terre demande moins du surface cultivable pour produire une quantité de nourriture équivalente, tout en consommant moins d'eau. Par ailleurs, sa culture génère moins de gaz à effet de serre, ce qui en fait une option plus respectueuse du climat. Attention cela dit : la pomme de terre est encore trop souvent issue de l'agriculture intensive... bourrée de produits phytosanitaires qui nuisent à la biodiversité et à la santé des consommateurs. Les monocultures favorisent également l'érosion des sols. Si vous avez un espace chez vous pour faire un potager bio, c'est maintenant qu'il faut les planter ! Prudence tout de même : certaines espèces sont incompatibles entre elles. On oublie la proximité avec les carottes (les pommes de terres libèrent des substances toxiques néfastes aux carottes). Les courges étouffent pour leur part les plants de patates et les tomates, faisant partie de la même famille que les pommes de terre, favorisent la propagation de maladie quand elles sont touchées. A l'inverse, n'hésitez pas à marier cultures de pommes de terre et de haricots qui fixent l'azote dans le sol. Le chou repoussent les insectes nuisibles et ses feuilles protègent les cultures de la lumière directe du soleil.Envie de mettre les mains dans la terre ou de soutenir une culture durable et respectueuse de la biodiversité ? Pensez à l'agriculture régénératrice qui laisse le temps au sol de se régénérer, d'optimiser le cycle de l'eau, de ne pas être appauvri, d'être nourri et plus résilient face aux fluctuations du climat. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
"L'idée de base, c'était de permettre à tout un chacun de mener son projet éditorial de l'écriture à la vente dans la librairie en passant par l'impression du livre sur place" explique Vincent Demulière, co-fondateur de Quartier Libre, la première librairie coopérative de Bruxelles.Depuis quelques semaines, il est désormais possible d'y imprimer son propre ouvrage grâce à une imprimante 3D. Fondée en 2019, cette librairie porte pour valeur première la bibliodiversité. Elle défend et promeut la lecture mais aussi la diversité des productions éditoriales via la biblio-diversité. Des ateliers y sont notamment organisés. A découvrir au 374 Chaussée d'Alsemberg, à Uccle.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Son objectif : créer des jardins plus durables et plus proches de la nature dans leur manière de fonctionner. "On va regarder comment on va agencer ces différents éléments par rapport au aux différents éléments qui ont une influence comme l'ombre, le soleil, le vent, le sol" explique Anatole. "Ensuite, on va regarder comment on peut faire le plus possible de connexion entre les éléments pour qu'ils puissent travailler ensemble et que les uns utilisent les produits des autres pour que ce soit le plus efficace possible. L'idée, c'est d'imiter la nature en créant de la résilience." Pereniah, fait partie de la coalition belge des éco-preneurs Kaya qu'on met en avant chaque mois dans Y'a de l'idée. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
En 2009, une étude de l'université du Sussex (Angleterre) a démontré que la lecture pouvait réduire le stress de 68% par rapport à son niveau initial. Elle permettrait aussi de diminuer les symptômes de la dépression. La lecture est en effet un moyen de se sentir moins seul face à une potentielle difficulté.En Belgique, de plus en plus d'écoles mettent en place « le quart d'heure lecture » : que ce soit pour commencer la journée ou pour se calmer après la récré, cette activité permet aux élèves de se plonger dans un univers bien à eux… voire de voir leur niveau de lecture augmenter.L'association des éditeurs belges a d'ailleurs lancé une campagne baptisée "Tout le monde lit". Sur son site internet, on découvre une boite à outils, des témoignages, des podcasts… pour donner et cultiver le goût de la lecture. Parmi les moyens pour se stimuler : les clubs de lecture. Il y en a pour tous les goûts et sous diverses formules. N'hésitez pas à vous informer pour voir s'il en existe près de chez vous, auquel cas, il existe des clubs de lecture en ligne. Notez aussi cette formule inédite : le Slow Reading Club, un club de lecture en conscience et itinérant : vous prenez le livre de votre choix et vous lisez avec d'autres personnes qui lisent autour durant une heure, au calme. Isa nous parlait aussi de l'Intime festival à Namur. Initié par Benoit Poelvoorde en 2013, il s'est depuis imposé comme une référence dans le milieu littéraire francophone.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
En 2024, 2 153 938 espèces étaient répertoriées dans le monde : majoritairement des animaux invertébrés (1 489 932 espèces dont, principalement des insectes (1 053 578 espèces)). Les vertébrés comptent 75 923 espèces, les végétaux 425 679 espèces, les champignons 157 648 espèces. Sans compter les millions voire milliards d'espèces inconnues… et les bactéries ! Un insecte symbole de la biodiversité : l'abeille. Sans elle, et les autres insectes pollinisateurs, peu de vie. Aujourd'hui, 75% des cultures alimentaires dépendent de la pollinisation. On peut contribuer à leur sauvegarde en plantant des fleurs mellifères, en ne tondant pas trop notre pelouse (et surtout pas au mauvais moment : on évite les mois d'avril et de mai !), en bannissant les pesticides et les produits chimiques pour préserver le sol. Car c'est dans le sol que vivent les micro-organismes qui transforment les déchets organiques en humus, cette couche supérieure du sol qui rend la terre fertile et permet aux plantes de pousser). Sans cette biodiversité invisible, les sols s'appauvrissent, deviennent secs, moins productifs et, par effet domino, c'est tout le reste de la chaine alimentaire qui souffre. Ce n'est qu'en gardant sur terre, beaucoup d'espèces, des espèces qui qui ont encore la capacité de s'adapter génétiquement (parce qu'elles sont justement nombreuses) et des espèces qui interagissent entre elles, qu'on pourra tous continuer de vivre : Dans un monde qui ne suffoque pas parce qu'il y a encore assez d'arbres pour capter le CO2 et rafraichir l'atmosphèreDans un monde avec moins de risque d'inondation et de glissements de terrain car il y encore assez de forêts, de racines pour maintenir la terre en place… Dans un monde où on peut encore s'inspirer de la faune et de la flore pour faire des médicaments ou des technologies + censéesDans un monde où tout le monde mange à sa faim pcq il y a encore assez d'insectes pollinisateurs et des sols fertilesDans un monde + cool aussi où on peut se ressourcer, dans la nature… et respirer à plein poumons !Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Info de qualité, espèce en voie de disparition ?Aujourd'hui, comme pour bien d'autres titres de presse écrite, les ventes d'Imagine s'effondrent. Sarah Frères, co-rédactrice en chef, déplore le fait que le public soit totalement inondé d'informations, jusqu'à l'indigestion.Et pourtant... on a tendance à l'oublier mais "on a le choix sur de ce qu'on consomme" explique-t-elle. "On peut choisir de ne s'abonner qu'à un grand quotidien et un un magazine, il y a en fait une multitude de médias qui existent et on peut choisir de couper certains canaux qui volent notre temps d'attention. Les réseaux sociaux sont évidemment un exemple très parlant parce qu'en fait on scrolle pendant des heures et puis on ne passe pas ce temps nécessairement à lire des médias beaucoup plus lents".Elle poursuit : "Une étude récente prouve que beaucoup de Belges ne sont pas prêts à payer pour de l'information. Pourtant on voit bien qu'il y a beaucoup de gens qui sont prêts à payer pour du divertissement qui payent 10 € par mois pour avoir Netflix ou Disney+, Amazon ou même Spotify. Mais par contre, mettre 10 € par mois pour de l'information, ça ne va pas ?! Mais on ne peut pas avoir accès à de l'information de qualité si on n'est pas prêt à payer pour ça l'information de qualité. Mais ça a un coût en fait!"Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Voici nos trucs pour une chasse aux œufs un peu différente : Faites vos œufs vous-mêmes en coulant du chocolat fondu dans des moules réutilisablesAchetez des œufs de Pâques en vrac chez un chocolatier ou dans une épicerie de vracCherchez d'autres objets dans le jardin (ou à la maison) et échangez-les à la fin de la chasse contre de vrais chocolatsGlissez les œufs dans des bocaux ou dans des tissus réutilisables. Voici une super technique de furoshiki pour faire des emballages avec des oreilles de lapin.Colorez naturellement vos œufs durs (betterave pour le rouge, curcuma pour le jaune, chou rouge pour le bleu...)Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Habitat groupé, maison kangourou, colocation… il est parfois difficile de faire la différence entre ces 3 formules. Si d'autres êtres humains ne sont jamais bien loin, voici ce qui les distingue : Maison kangourou : c'est un bâtiment constitué d'un logement principal et d'une habitation secondaire et autonome. Exemple : des parents qui commencent à prendre de l'âge vivent à la même adresse que leurs enfants tout en restant indépendants, mais proches les uns des proches. Parfait pour s'entraider ! Colocation : tout le monde habite dans le même espace (maison ou appartement), il n'y a que les chambres qui offrent un vrai espace d'intimité. Habitat groupé : c'est un lieu de vie où habitent plusieurs ménages : chacun dispose de son appartement, de sa maison… mais se retrouve autour d'espaces collectifs (buanderie, jardin, salle de jeux…). Ce type d'habitat est aussi doté d'une véritable volonté de vivre de manière collective, avec une philosophie commune (très souvent, de solidarité et de vision durable et économique de l'habitat)Ecoutez la suite dans notre chronique.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
D'après Powerful Ageing, ce programme de renforcement musculaire, 80% des bénéficiaires sont satisfaits. Mais ce projet fait aussi grincer des dents. La chaine néerlandaise NOS a notamment reçu des témoignages de personnes qui se sont senties contraintes d'accepter. D'autres parlent même de "chantage". Des esprits critiques estiment aussi que ces conditions d'accès plus strictes sont un moyen pour les communes de faire des économies en étant plus. En attendant, prenons l'info pour ce qu'elle est : si, tout simplement, ne pas se mettre au renforcement musculaire quand les tâches de la vie quotidienne deviennent un peu trop compliquées ? Quelques idées d'exercices : quand vous prenez les poussières sur le haut de vos meubles, mette-vous sur la pointe des pieds, redescendez sur vos talons et recommencezpour prendre les poussières d'une table basse : faites un squatquand vous aspirez : faite une fente à chaque pas (vous fléchissez une jambe de manière à former un angle droit entre le mollet et la cuisse, en gardant le dos droit)Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Une ferme située près de Ypres, la ferme Lovely a lancé son asbl : "Les poules heureuses" voici 25 ans. Objectif de départ : récupérer les poules issues d'élevages industriels pour leur offrir une vie nettement plus calme. Pour votre info, les poules pondeuses doivent pondre sans discontinuer durant 18 mois. Après ce laps de temps, l'industrie ne les juge plus assez productive... et les envoie à l'abattoir ! Un destin bien malheureux quand on sait qu'une poule vie, en moyenne, entre 5 et 10 ans. C'est pour dénoncer ces pratiques et sauvegarder le bien-être animal que l'association "Les poules heureuses" a vu le jour.Aujourd'hui, elle cajole plutôt les poules qui ont été abandonnées ou maltraitées par des particuliers. Elle renvoie également de bonnes âmes vers d'autres refuges belges ou d'autres élevages qui ont des poules à donner en s'assurant de leur bien-être futur. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
"Traditionnellement, dans beaucoup d'entreprise, la seule solution proposée était une ligne téléphonique impersonnelle... cet outil n'était pas vraiment utilisé. Nous on s'est dit qu'avec la technologie actuelle, on pouvait probablement mieux comprendre ce que cherche la personne et lui recommander une ressource qui lui correspond" explique Matthieu Gilson, co-fondateur d'Evoluno.Gestion du stress, réduction de l'anxiété, communication... cette application donne toute une série d'activités "selfcare" que l'utilisateur peut effectuer à son rythme. Et à côté de cette approche préventive, Evoluno propose également une approche curative avec une redirection vers un expert, un psy, un coach...Ce sont les employeurs qui souscrivent à cette application de bien-être. Ceux-ci peuvent recevoir des données (anonymes!) quant à santé mentale globale des travailleurs... ce qui leur permet, si le besoin s'en fait sentir, de rectifier le tir... Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
On sait à quel point les transitions précipitées en maison de repos peuvent difficilement être vécues par les personnes concernées et leur entourage. C'est pour éviter ce genre de douleur qu'Ergo 2.0 a vu le jour il y a quelques années. Objectif : créer un grand réseau d'ergothérapeutes de proximité, partout en Wallonie et à Bruxelles, dans un esprit « village ». Son approche est axée sur la prévention, l'amélioration de la qualité de vie des bénéficiaires et la création de lien social. Aujourd'hui, des centaines de seniors y sont affiliés mais l'objectif est d'atteindre les 1800 bénéficiaires d'ici fin 2025.Et ce n'est pas tout ! L'asbl cherche des seniors prêts à tester son projet pilote baptisé « Bien chez moi 2.0 » Il s'agit d'un service de téléassistance 24h/7, 7j/7 qui permet non seulement de sécuriser la réalisation des activités quotidiennes tout en pouvant rapidement détecter l'apparition d'une fragilité et/ou d'un changement d'habitude de vie. Ce programme est totalement gratuit et est proposé : Aux personnes de plus de 65 ans en lien avec un service d'aide aux familles (SAFA)Aux bénéficiaires de l'allocation personne âgéeAux personnes en situation de handicap reconnuEnvie de tester ce projet-pilote ? Plus d'infos sur le site d'Ergo 2-0.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
La bibliothèque de l'université de Coimbra, au Portugal, compte parmi les plus belles du monde. On y recense 250 000 livres dont certains n'ont pas de prix. Et pour les protéger, les équipes y laissent vivre une colonie de chauve-souris depuis 200 ans. La nuit, elles y mangent les larves et les insectes qui pourraient endommager ses précieux ouvrages. Dans les Caraïbes, la turritopsis nutricula est une méduse qui un superpouvoir : l'immortalité. En tout cas, elle dispose de gênes lui permettant de régénérer ses cellules indéfiniment. De quoi inspirer les recherches en médecin régénérative. Le biomimétisme est un sujet absolument passionnant. Les animaux et les végétaux ont tellement de choses à nous apprendre pour inspirer nos technologies. Quelques exemples : Transports : le Shinkansen, train à grande vitesse japonais inspiré du martin-pêcheurSanté : des seringues inspirées de la trompe du moustique pour une piqûre avec un minimum de douleurTextile : des vêtements ultra-flexibles et ultra-résistants grâce à l'analyse de la structure des écailles de poissonsArchitecture : à Barcelone, la structure intérieure de la basilique de la Sagrada Familia sont inspirées ddes arbres... pour améliorer sa stabilité Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Aujourd'hui, Ekillibre met en lien 200 écoles de Wallonie et de Bruxelles avec près de 30 traiteurs. Son but : proposer une alternative aux repas scolaires industriels, tant au niveau des aliments choisis qu'à celui des méthodes de préparation.Aujourd'hui, ce ne sont pas moins de 8000 enfants qui reçoivent des repas par ce biais. Certains traiteurs voient leurs revenus augmenter... ou en viennent même à engager du personnel supplémentaire."Ces traiteurs ont déjà le personnel, le matériel, les véhicules pour leurs activités principales" explique Benoit Leplae, fondateur d'Ekillibre. "Et nous, on arrive avec des propositions où en fait on va rentabiliser tout ça le matin ou le temps de midi en période scolaire qui sont des périodes creuses. Le traiteur rentabilise encore plus tout ce qu'il a. Et après derrière, on en a quelques un qui grandissent avec nous et qui engagent du personnel."Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Appelle Alice a tout d'abord été pensé entre des étudiants, la zone de police Montgomery à Bruxelles, le CPVS de Bruxelles et les Taxis Verts. Dans un premier temps, il a été initié sur le campus d'Alma mais il est désormais accessible partout en région bruxelloise.Objectif : permettre aux victimes de violences sexuelles d'accéder rapidement et anonymement à un lieu sur où elles pourront être accompagnées avec bienveillance.Tu es concernée ? Voici comment ça marche :Appelle Alice au 02 349 44 22 : une personne formée t'écoute, te rassure et t'explique les options sans pression.Un taxi sécurisé t'est envoyé : le chauffeur est formé à la prise en charge des victimesLe rendez-vous est fixé dans un endroit sécurisé et si ce n'est pas possible, il y a toujours une solutionUne fois arrivé.e dans le CPVS, tu es complètement pris.e en charge par une équipe médicale et psychologique. A partir de ce moment-là, « Appelle Alice » laisse la main au CPVS qui te donne tous les soins nécessaires et les infos pour t'accompagner dans tes besoins.Si Appelle Alice est effectif à Bruxelles, le projet pourrait s'étendre d'autres villes belges dans les prochains mois mais aussi à d'autres pays.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Plus de 800 étudiant.e.s français.e.s bénéficient aujourd'hui d'un studio à prix réduit dans des exploitations agricoles. Avantages pour elles et eux : un prix concurrentiel et un cadre calme et vert pour étudier. Avantages pour les fermier.e.s : faire découvrir l'univers de la ferme à des plus jeunes et bénéficer d'un revenu complémentaire à la fin du mois. Campus vert est une initiative qui n'est développée qu'en France, mais qui sait- elle fera peut-être des petits en Belgique. Chez nous, sachez qu'il existe des kots intergénérationnels où les étudiant.e.s logent chez des personnes âgées, à prix réduit, en échange de moments partagés ensemble ou de petits services (faire les courses, sortir les poubelles...) : c'est 1 toit 2 âges. Dans un tout autre registre, histoire d'allier loisir et nature, testez le golf champêtre ou agrogolf. Votre mission : éviter les bouses et mettre la balle (de type handball) dans un trou (grand) avec un manche en bois terminé par un sabot. En Belgique, plusieurs formes proposent ce golf à la ferme : la Ferme de la Bourgade à Somme-Leuze (le 5 et 6 avril, la Ferme y célèbrera les 20 ans de son agrogolf), à la Ferme du Planois à Hennuyères, à la Ferme Monville à Stoumont ou encore à la ferme de Gerard Sart à Dalhem.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Start-Up Heroes propose aux élèves de 5e et 6e primaires, ainsi qu'aux trois premières années du secondaire, de développer leur propre mini-entreprise écoresponsable au sein de leur école. Ces projets peuvent prendre la forme de potagers bio ou de mini-marchés, permettant aux enfants de mettre en pratique les matières vues en classe, telles que les sciences, la géographie, l'économie et la citoyenneté.Comment ça se déroule ? Avec deux ateliers mensuels pour découvrir l'entrepreneuriat de manière ludique, une réflexion sur la création et la forme de la mini-entreprise, un accompagnement par des entrepreneurs locau, un développement de stratégies de communication et enfin, la présentation finale du projet aux parents en juin.L'initiative est soutenue par des partenaires de poids tels que la FOA (l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture), le WWF et Be Planet.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Sa mission : aider les agriculteurs aujourd'hui pour mieux se projeter dans les cultures de demain. "Il est essentiel d'envisager de nouvelles cultures et de nouvelles filières, au lieu de simplement adapter les systèmes existant [ce qu'on mettra plus en lien avec l'agro-météorologie et sa vision plus court-termiste, NDLR]. Mon conseil à tous les agriculteurs qui se lancent - car il en faut - c'est d'arrêter de mettre des sparadraps sur des fissures et de changer de vase". Pour lui, le changement climatique est à aborder comme un défi qui nécessite de nouvelles approches et qui ouvre la voie à de nouvelles opportunités. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
La fondatrice des Pépites vertes, partage ses conseils pour trouver sa voie dans les métiers de la transition écologique... mais pas que ! Son ouvrage offre des méthodes concrètes pour rédiger un CV percutant et aligner ses valeurs avec son travail.Et même si votre emploi n'est pas directement lié à l'environnement, le livre propose des stratégies pour sensibiliser vos collègues et initier des changements au sein de votre entreprise. Parmi les ressources partagées: L'atlas des actions des Collectifs. Quelques suggestions d'actions :Organiser l'atelier "2 tonnes" pour sensibiliser à l'empreinte carboneMettre en place la Fresque du climat pour comprendre les enjeux climatiquesCréer une carte collaborative des restaurants et magasins éco-responsablesAfficher l'empreinte carbone des plats en cafétériaLancer une collecte de matériel numérique usagéOrganiser des visites d'entreprises en transitionMettre en place des comités de réflexion sur la transition écologiqueJe bosse pour ma planète, c'est de Claire Pétreault et c'est édité chez Eyrolles.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
"En Belgique, plus d'une personne sur trois doit renoncer aux soins dentaires" et le manque d'accès au soin concerne d'autant plus les personnes déjà fragilisées. C'est le message partagé par Michael Gabai, dentiste fondateur et fondateur de l'asbl DentalFLUX.Ce projet pilote vise à assure un accès équitable aux soins de la bouche, essentiels à la santé globale portée par DoucheFLUX. Cette dernière association aide les personnes sans-abri ou mal logée sous plein d'aspects pour faciliter l'accès aux droits fondamentaux. Elle met notamment à leur disposition des douches, des machines à lessiver, des consignes, un centre de jour, des accompagnements pour tenter de trouver une solution durable de logement, une bibliothèque de rue… Et elle intègre aussi désormais ce projet de bus dentaire mobile."Aujourd'hui, quand une personne sans chez-soi à mal aux dents, elle préfère prendre un Dafalgan qu'aller se faire soigner car c'est trop cher pour elle. Mais au final c'est pire : car quand le problème sera tellement important qu'elle devra vraiment aller chez le dentiste, le soin va être douloureux, handicapant et va coûter plus cher aux finances publiques qu'un soin préventif. D'où l'intérêt de faire de la prévention, là où ces personnes se trouvent" explique Laurent d'Ursel, co-fondateur de DoucheFLUX. Il suit de très près le lancement de ce cabinet dentaire inédit et rappelle à quel point prévenir les problèmes dentaires en évitant de gros soucis comme des pertes de dents, par exemple, c'est aussi conserver la dignité de la personne.Chaque semaine, le bus DentalFlux s'installera désormais devant une série d'associations. Les soins prodigués seront entièrement gratuits.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie Nostalgie et www.nostalgie.be.
Dans cette interview de Serge Zaka, auteur de l'ouvrage "Orages sur le climat" aux éditions Harper Collins, nous abordons :L'impact du changement climatique sur l'agriculture et les écosystèmes (notamment les printemps précoces peu favorables à la biodiversité)La nécessité d'anticiper et d'adapter nos cultures avec une vision long-termiste pour garantir la sécurité alimentaireLes opportunités économiques liées au changement climatique en passant par le développement de nouvelles filières (Serge Zaka nous parle notamment des fruits / légumes / légumineuses qui pourront se faire une place au soleil en Belgique, si on s'y prend à temps)La limite des effets positifs du changement climatique et les risques d'un réchauffement excessif, dont l'effondrement des rendements de l'industrie agricoleLes conséquences géopolitiques de l'agroclimatologie : l'histoire démontrant que les problèmes d'approvisionnement alimentaire compte parmi les sources d'instabilité politique et socialeL'impact sur les prix alimentairesLa distinction entre l'agro-météorologie et l'agroclimatologieLes stratégies d'adaptation pour l'agriculture actuelle et futureLe manque de formations en agroclimatologie et la nécessité de voir se développer des approches interdisciplinairesLe rôle de la communication et de la sensibilisation : Serge Zaka se sert notamment de son art et des photos tirées de sa passion pour les orages (il est chasseur d'orages) pour avertir le grand publicDans cette longue interview, Serge Zaka délivre à la fois un message alarmant et encourageant, nous poussant à prendre le taureau par les cornes dès maintenant et à penser (et agir!) "out of the box".Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Avant toute chose, sachez que la semaine du vélo commence ce 24 mars à Liège. Au programme jusqu'au 30 : des projections, conférences, tests vélo, formations, ballades au coeur de la ville... et le petit dej offert sur les pistes cyclables ce matin pour lancer cette première édition ! 3 idées remarquées à Bike Brussels : Le vélo cargo modulable Moduleo : ce vélo est doté d'une roue avant et de deux roues arrières. Entre ces roues, on peut placer un adulte, des enfants, un caisson pour transporter jusqu'à 70 kg de matériel. Et l'idée a même été remarquée par les sapeurs-pompiers... Ozo, un kit pour transformer son vélo classique en vélo avec assistance électrique : les avantages sont à la fois financiers et écologiques. La micro-caravane pour vélo Jabiru : il s'agit d'une tente gonflable qui se gonfle au-dessus d'une remorque vélo. A louer à partir d'une trentaine d'euros par jour pour voir si le concept vous plait.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Le saviez-vous ? Le mycélium (la racine fibreuse du champignon) permet de fabriquer des matériaux de construction, des emballages, du textile... Et pour développer cette filière, l'entreprise bruxelloise Perma Fungi est parvenue à lever près de 2 millions d'euros pour finaliser son usine à Forest. Cette installation devrait devenir la plus grande chaine de production de myco-matériaux d'Europe.Dans le cadre de la campagne européenne de promotion des champignons, le centre flamand pour la promotion des produits agricoles, le VLAM, rappelle à quel point le champion est LE produit d'économie circulaire par exemple. Sa culture repose sur le recyclage. "Pour en produire, on utilise des déchets agricoles comme la paille et le fumier. Après la récolte, ce substrat peut être rendu à la terre et contribue à la séquestration du carbone dans les sols."Production durable, recettes, histoire de la culture champignonnière, bienfaits, steak de champignons… Envie de découvrir tout le potentiel et le trésor insoupçonné des champignons européens, rendez-vous ici.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Chaque année, Gilles Duvivier passe près d'un mois non-stop dans sa forêt de 12 hectares située près de Huy. On y retrouve des milliers de bouleau desquels il collecte 2 litres par jour entre la fin février et la fin mars, à l'aube du printemps."En fin d'été, le bouleau s'et préparé à cette saison-ci et aujourd'hui il commence à pomper de l'eau dans le sol et la mélange aux différents minéraux, oligoéléments etc qu'il a stocké dans ses racines en prévision de ce moment" explique Gilles Duvivier. C'est une substance très drainante qui, au fur et à mesure de sa fermentation, va gagner en goût.Pour quels effets ? De la vitalité, de la souplesse, un nettoyage du corps et une réparation des blessures. La sève de bouleau se boit fraiche (elle se conserve peu longtemps) en cure de 21 jours mais est déconseillée aux femmes enceintes et allaitantes, aux personnes souffrant de pathologies rénales, aux personnes allergiques ou sous traitement spécifique. En cas de doute, n'hésitez pas à demander un avis médical.Gilles travaille pour Ma forêt, une petite entreprise affilié à la coalition Kaya, la coalition belge des éco-preneurs mise en lumière chaque mois dans Y'a de l'idée.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
L'eau recouvre en moyenne 70% de la Terre. Plus de 97% de cette eau est de l'eau salée et les près de 3% d'eau qu'il reste est de l'eau douce... preuve que c'est une denrée rare. Cette eau provient principalement des glaciers (à 69%), le reste vient des nappes phréatiques (30%) et 1% sont des aux de surface (lacs, fleuves, rivières...). Il n'y a donc qu'une toute petite fraction de l'eau douce qui est directement consommable par l'être humain. Les glaciers sont d'une grande importance : car ils nous fournissent en eau douce, qu'ils contribuent à la circulation océanique et qu'ils refroidissent la terre. Leur fonte accélère le dérèglement climatique. Glaciers ne pas pas confondre avec la banquise ! Contrairement aux idées reçues, la fonte de la banquise ne fait pas augmenter le niveau de l'eau, contrairement à la fonte des glaciers. Ecoutez notre métaphore pour comprendre... Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Comment fêter la Saint-Patrick ce 17 mars ? En allant au pub après le boulot. Et car sans alcool, la fête peut aussi être folle, sachez qu'il existe désormais une Guinness 0%. L'art de vivre à l'Irlandaise s'appelle le "craic" (à prononcer : "krak"). En gros, ça veut dire : "viens on va s'amuser entre potes..." La culture est très festive, pleine d'auto-dérision, d'altruisme et de respect pour l'environnement, les Irlandais adorent aussi le travail fait à fond sans détruire les autres et une étude de 2022 révèle que 97% des Irlandais se considèrent comme heureux dans la vie. Autre enseignement de cette étude : les Irlandais seraient les personnes les moins colériques d'Europe. Selon l'Indice mondial de la paix, le pays fait aussi partie des 3 pays les plus surs du monde, derrière l'Islande et devant l'Autriche. Enfin, sachez que des visites guidées un peu particulières ont été initiées il y a plus de 10 ans à Dublin. Ces visites sont assurées par des personnes sans domicile fixe qui connaissent extrêmement bien la vie. De quoi changer de regard, leur offrir une chance de s'en sortir et de se réinsérer dans la société. Nom de l'initiative : My Streets Irland. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
Fondée en 2018 par Noémie Seggers et 3 autres avocates, l'asbl Casa Legal est tout d'abord le fruit d'une frustration : celle, ressentie par le passé par ces professionnelles du droit ne ne pas pouvoir prendre en charge leurs dossiers de A à Z."Prenons l'exemple d'une femme étrangère sans papiers, victime de violence avec enfants. Cette femme devrait, dans l'idéal, s'adresser à plusieurs avocats pour régler ses problèmes : un avocat en droit des étrangers, un avocat en droit de la famille, un avocat en droit pénal et éventuellement un avocat en droit social. Dans les faits, c'est très compliqué de coordonner une défense autour de cette personne quand les avocats exercent de manière isolée".C'est pourquoi Noémie et d'autres avocates ont décidé de lancer une asbl pour regrouper, tout ce petit monde, dans un lieu comment. Et pour offrir une approche complète, on y retrouve aussi d'autres types de professions telles que des assistants sociaux (recherche de logement, démarches auprès du CPAS, inscription à des formations...) et des psychologues. "C'est une prise en charge globale pour mieux accompagner et défendre la personne, mais aussi renforcer son autonomie et lui faire mieux comprendre ses propres droits".Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
La plateforme Localisy est win-win pour tout le monde :D'abord pour les consommateurs qui vont pouvoir découvrir les commerces près de chez eux, - que ce soit des épiceries, des caves à vin, des magasins de jouets, des friperies, des librairies, il y a de tout : vous pouvez voir quels sont les produits disponibles, accéder à des prix concurrentiels… vous allez pouvoir soutenir l'économie local.Et bien sur les commerces locaux qui vont pouvoir améliorer leur visibilité et attirer plus de clients grâce à cet outil tout-en-un. En 10 ans, le fondateur Guillaume Petta, a collaboré avec des centaines de commerçants qui se sentent démunis démunis face aux outils de marketing sur le net… Difficile pour eux de s'en sortir dans tout l'univers du référencement, des algorithmes, des pubs sur les réseaux sociaux, de l'intelligence artificielle qui est en train d'exploser… Pour eux, il semble très compliqué de faire le poids face aux géants de l'e-commerce qui sont armés pour ça…"Et c'est bête en fait : parce que comme ces magasins sont parfois mal référencés, nous, consommateurs, on ne les voit pas, on est directement dirigés vers les grandes plateformes… Or, ben c'est quand même mieux de faire vivre l'économie locale…" C'est pour le aider dans leur difficultés que Localisy est né. Son objectif : toucher 1000 commerces de proximité d'ici fin 2025.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Voici nos 3 suggestions : Passez le pré-casting de la Ligue Braille pour devenir lecteur pour les personnes aveugles ou malvoyantes. C'est l'opération #JeLisPourToi. La Ligue tient un stand à la Foire du Livre. Dans une cabine d'enregistrement, vous pourrez vous adonner à l'exercice dans les conditions du direct. En 2024, la Ligue Braille a permis à plus de 1500 personnes aveugles ou malvoyantes d'avoir accès aux romans de leurs choix. La Bibliothèque de la Ligue Braille dispose de près de 30 000 livres en audio, 7000 en braille et près de 5000 en grands caractères. L'an dernier 53 980 prêts ont été effectués, contre 39 793 en 2023. « La demande augmente chaque année, particulièrement pour les livres audio », explique Michèle Dubois, Responsable des Services Culture et Loisirs de la Ligue Braille.Participez aux Journées Wallonnes de l'Eau : nettoyage des rivières, balades pour découvrir la faune et la flore, visites guidées, expos, ciné-débats… pas moins de 300 activités seront organisées entre le 14 et le 30 mars pour découvrir l'eau sous tous ses aspects (biodiversité, santé publique, énergie verte…). Demandez le programme !Testez des vélos, des trottinettes et des solutions de micro-mobilité inédits à Bike Brussels : que vous soyez un cycliste du quotidien, un passionné d'aventure ou simplement curieux, ce salon est l'occasion de découvrir les dernières innovations en matière de mobilité active et durable autour de 110 exposants. Bike Brussels aura lieu du 21 au 23 mars à Tour et Taxis. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Angoissé par l'actu morose et surtout le flux d'infos bazardées à longueur de journée ? Bonne nouvelle, on a des pistes pour faire baisser la pression (et de bonnes suggestions lectures) :Optez pour des médias constructifs : qui offrent une vision de l'info à 360 degrés, nuancées en ne misant pas tout sur des titres racoleurs, sensationnalistes, polarisants.Tournez vous vers des contenus porteurs de solutions qui vous permettront de transformer votre angoisse en actionChoisissez des moments précis pour vous informer, supprimez les push pour arrêter la perfusion et éviter l'inforexie et l'infobésité.Gardez et cultivez votre esprit critique, prenez de la hauteur, remettez les choses en contexte et tentez de relever le débat en vous entourant d'avis différents et argumentés.N'oubliez jamais que s'il y a plein de choses qui ne vont pas, il y a aussi plein de choses qui vont bien.Soyez conscients de la manière dont fonctionnent les médias et les réseaux sociaux grâce à ces livres très instructifs qui offrent des pistes de réflexion et de solution :Les médias, le monde et moi de Anne-Sophie NovelFactfullness de Hans RoslingYou are what your read de Jodie JacksonConstructive News de Hulrik HaagerupVous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Il est question ce matin d'une étude des chercheurs de l'université d'Oxford. Et cette étude, elle vient répondre à cette question résumée par Femme Actuelle : quels sont les facteurs principaux qui entrent en jeu dans le vieillissement d'une personne et le risque de développer une maladie chronique ?Les résultats ont été publiés dans la revue Nature. La grande ligne, c'est que « les facteurs environnementaux expliquent 17 % de la variation du risque de décès, contre moins de 2 % expliqués par la prédisposition génétique ». Ça, c'est le constat général.Les chercheurs ont étudié le développement de certaines maladies auprès d'un demi-million de personnes. Le but de cette étude était de voir les effets de facteurs environnementaux sur le développement de ces maladies.Ils sont variés : la taille et le poids à l'âge de 10 ans, le tabagisme maternel à la naissance, l'emploi, le revenu, le niveau d'activité physique ou encore le lieu de résidence. Et sur base ces facteurs et d'autres, les chercheurs ont voulu s'intéresser sur l'apparition d'une vingtaine de maladies. Et ils vont corréler cela avec la présence de certaines protéines dans le sang, ce qu'ils appellent « l'horloge du vieillissement ».Les auteurs de l'étude affirment que « le tabagisme, le statut socioéconomique, l'activité physique et les conditions de vie ont eu le plus d'impact sur la mortalité et le vieillissement biologique ». La consommation de tabac et le statut socioéconomique sont associés à une vingtaine de maladies, l'activité physique à une quinzaine. Quant au risque génétique, il serait surtout présent dans les risques de démence et le cancer du sein. La conclusion, c'est que les expositions environnementales « ont eu un effet plus important sur les maladies du cœur, des poumons et du foie ».Mais tout n'est pas perdu ! Pour les chercheurs, « il est possible d'influencer nos risques de développer des problèmes de santé ». Arrêter le tabac, bouger plus, peuvent exercer une influence positive sur notre santé cardiaque et circulatoire.
C'est de santé dont il est question aujourd'hui et d'une possible avancée dans le domaine de la recherche sur la maladie d'Alzheimer. Cette maladie reste la forme la plus courante de démence. Environ 55 millions de personnes dans le monde sont touchées par cette maladie. Selon pharma.be, un Belge sur cinq développe cette maladie et même une femme sur trois. L'OMS a avancé le chiffre de 220 000 Belges atteints aujourd'hui de démence.La recherche démarrée il y a quatre décennies avance. Plus de 40 milliards de dollars ont été investis dans le développement d'un traitement et l'an dernier, 127 médicaments étaient à l'étude dans près de 170 essais cliniques. Et c'est un enjeu crucial, car l'impact de la maladie d'Alzheimer, toujours selon pharma.be, devrait coûter 250 milliards d'euros à l'horizon 2030.Comment explique-t-on cela ? Il faut tout d'abord comprendre comme la maladie se déclare. Tout commence au niveau d'une protéine, TAU, présente dans les neurones dans notre cerveau. En cas d'Alzheimer, cette protéine est modifiée. Elle va s'agrégée et ces regroupements vont se déposer dans l'ensemble du cerveau. Ces regroupements vont avoir comme conséquence d'altérer les fonctions cognitives de la personne malade.Dans le cas de cette personne qui devait développer la maladie et qui ne l'a pas fait. La revue Nature explique que le patient a été porteur d'une mutation. Selon Le Quotidien du médecin, les chercheurs ont remarqué que ces fameux regroupements de protéines se sont déposés à l'arrière du cerveau et ne se sont pas répandus dans l'ensemble du cerveau.Pour les chercheurs, cela s'expliquerait entre autres par une exposition importante à la chaleur comme facteur environnemental. Ils auraient également remarqué un grand nombre de « protéines de choc thermique » qui sont des cellules produites en réponse à une exposition à des conditions de stress. Tout ça aurait contribué à freiner le développement de la maladie.
On va s'intéresser à une région du monde bien spécifique ce matin : l'Afrique. Une région du globe qui bénéficie d'une importante biodiversité. Mais la question que certains se sont posés, c'est : d'où vient-elle cette importante biodiversité ?Parmi les personnes intriguées par cette question, il y a des chercheurs de l'Université de Californie. Et ils se sont rendu compte que l'explosion de cette biodiversité sur le continent africain avait un lien à un évènement qui s'est produit dans l'espace.L'origine serait à trouver du côté d'une supernova. Petit rappel ce qu'est une supernova : ce sont de gigantesques explosions, parmi les plus énergétiques de l'histoire de l'humanité, comme le précise le Journal du Geek. Le site donne une idée de la quantité d'énergie qu'une supernova dégage : c'est la bombe d'Hiroshima larguée un milliard de fois par seconde pendant une trentaine d'années.Un dégagement d'une si grande quantité d'énergies, on s'en doute, ça laisse des traces. Notamment des minéraux organiques, comme le fer-60. On en a retrouvé par exemple en Antarctique, il y a quelques années. Ce fer-60, il se retrouve piégé dans certaines couches de la Terre remontant à des millions d'années. Visiblement, notre Terre a été irradiée par une supernova il y a deux millions et demi d'années. Et ça aurait duré pendant près de 100 000 ans.Les chercheurs de l'Université de Californie ont eu vent d'une autre étude. Elle portait sur les micro-organismes des lacs de la vallée du Grand Rift, dans l'est de l'Afrique. C'est là que se trouve le lac Tanganyika. Dans certains de ces lacs, l'autre étude pointe un pic important de biodiversité. Plein de nouveaux virus sont nés très rapidement.Ce fameux pic correspond assez bien aux rayonnements de la supernova dont je vous parlais précédemment. Car l'énergie dégagée par ces supernovas sont suffisantes pour modifier de l'ADN et donc créer de nouvelles espèces. C'est donc ainsi qu'il se pourrait qu'un phénomène spatial ait influencé l'explosion de la biodiversité en Afrique.Les auteurs ne sont pas sûrs à 100 %, mais ils estiment qu'il s'agit d'une hypothèse qui tient bien la route.
Ce matin dans Y'a de l'idée, on va s'intéresser aux villes et aux beaux jours. Les températures commencent à remonter avec l'arrivée du printemps. Mais je vais plutôt vous parler de l'été, période durant laquelle ces dernières années, on constate que nos centres-urbains se réchauffent toujours plus.Le changement climatique avec sa hausse des températures et l'accroissement des sécheresses ne risquent pas d'arranger grand-chose. C'est pour ça que l'on planche sur différentes solutions pour ramener de l'air dans les villes.Réintroduire du végétal dans nos villes restent le choix n°1 et le plus facile pour faire redescendre la température. Tout d'abord parce que ces végétaux créent de l'ombre, logique, pour nous, humains, mais aussi cela permet d'abaisser la température des bâtiments aux alentours.Mais il y a un second effet de la présence d'arbres :ça s'appelle l'évapotranspiration. Les arbres transpirent l'eau recueillie au niveau du sol. Ça permet de faire baisser la température. Recouvrir les toits de végétaux permettrait de faire baisser la chaleur en ville. L'Agence française de la transition écologique estime que recouvrir 6 % des toits d'une ville comme Toronto, au Canada, permettrait de gagner un à deux degrés en ville.Le CNRS, le Centre français de la recherche scientifique affirme que cela passerait aussi par une réorganisation de l'aménagement du territoire. Les chercheurs qui se sont penchés sur la question se sont rendu compte que plus une ville est « organisée » au niveau de son territoire, au plus la chaleur y est piégée.À l'inverse, dans les centres historiques, moins organisés, la chaleur s'échappe plus vie. Ce sont des travaux conséquents, mais réorganiser les plans de secteur seraient aussi une solution afin de créer des couloirs d'air. Le site Forêt Nature pointe également un projet dans la région de Baden en Suisse où des couloirs ont été taillés dans une forêt à proximité. Car la nuit, les forêts produisent comme je vous le disais tout à l'heure de l'évaporation, ce qui permet de rafraichir l'air en fin de nuit.Et puis il y a aussi la couleur des sols des villes : Los Angeles a repeint certaines de ses rues il y a huit ans en blanc. Résultat : -10°C par endroits. En d'autres lieux, on abandonne l'asphalte pour remettre des pavés ou des sols naturels pour aider les infiltrations d'eau.
A quoi servent les câlins ? En quoi consiste le rôle de câlineur ou de câlineuse de bébés ? Comment et pourquoi cette initiative est-elle née ? Comment se passe la relation entre les câlineurs, les enfants, les parents, le personnel hospitalier et quelles sont les conditions pour se lancer dans cette grande et belle aventure ? Nous avons posé toutes ces questions à Mélanie McCluskey, co-initiatrice de ce projet rempli de sens qui vise à donner un souffle de vie supplémentaire à des nouveaux-nés qui en ont bien besoin. Concrètement, ce "relais tendresse" se traduit par des moments de câlinage (bercer, dorloter, réconforter, chanter) afin que les bébés puissent bénéficier d'un maximum de chaleur et de tendresse lors de leur hospitalisation.Le nouveau site sera bientôt mis en ligne pour trouver toutes les infos, en voici l'adresse : lescalineursdebebes.com.Cette interview dure 18 minutes et est très complète. Si toutefois, vous avez d'abord envie de commencer par un résumé du projet, on vous suggère d'écouter cette séquence plus courte.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Pour vivre, un bébé a besoin d'être câliné et rassuré. Et ce besoin est encore plus marqué car il est hospitalisé, dans un univers perçu comme stressant et angoissant.Les câlineurs de bébés ont ainsi vu le jour pour offrir réconfort, chaleur et sécurité aux bébés de 0 à 18 mois hospitalisés et apporter un relais aux parents et au personnel soignant. Concrètement, ce "relais tendresse" se traduit par des moments de câlinage (bercer, dorloter, réconforter, chanter) afin que les bébés puissent bénéficier d'un maximum de chaleur et de tendresse lors de leur hospitalisation.Les nourrissons sont pris en charge à la demande du personnel soignant et, bien entendu, en accord avec les parents.Retrouvez ici l'interview intégrale de Mélanie McCluskey, câlineuse et co-initiatrice de ce projet.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Etienne Pitz est administrateur de Pêle-Mêle, enseigne de livres de seconde main et d'autres objets de la pop culture qu'on retrouve, désormais, près de la Bourse de Bruxelles, mais aussi à Ixelles et à Waterloo. Plus qu'un lieu d'échanges pécuniaires, cette institution est aussi un lieu d'échanges sociaux. "Les clients aiment fouiller comme dans une bibliothèque, et y socialiser" explique Etienne Pitz. Chez ¨Pêle-Mêle, on se sent un peu comme à la maison et son histoire florissante prouve à quel point il est tout à fait possible d'aller écologie et économie. "L'écologie est juste une autre façon de l'envisager."Pêle-Mêle fait partie de la coalition d'éco-preneurs Kaya, mise en avant mensuellement dans Y'a de l'idée.
Le carnaval de Rio, c'est la samba, la musique endiablée, les costumes étincelants ! Des costumes aux multiples strass, perles, paillettes… souvent amenés à se retrouver dans le meilleur des cas à l'incinérateur et dans le pire, dans l'océan alerte Fashion Takes Actions.Mais des créateurs se mobilisent pour rendre la mode et la fêtes plus durables.Une créatrice brésilienne Frances Sansao a notamment créé une marque de paillettes écologiques qui se composent d'algues et de pierres de mica. Si elles ont un aspect plus irrégulier et moins brillant que les paillettes en plastique et en aluminium, elles se décomposent en 3 jours et ne sont pas néfastes pour l'environnement.Petite astuce : pour faire vos paillettes vous-mêmes : mélangez quelques gouttes de colorant alimentaires liquide avec du sel ou du sucre.Par ailleurs, Natalia Lombardi, une chercheuse brésilienne en textile durable s'intéresse aujourd'hui de près aux matériaux qui pourraient rendre les costumes moins impactants pour l'environnement. Elle s'est notamment penchée sur l'agar, substitut de la gélatine animale, qui parvient à faire des merveilles. En y incorporant des fleurs, des décos, des colorants naturels, du mica, des pigments… les ils parent merveilleusement bien les tenues festives.Autre piste : le cuir mycélien ou cuir de champignon. Fabriqué à base de la racine fibreuse du champignon, il nécessite moins d'eau et moins d'énergie qu'un cuir animal ou un vêtement synthétique.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
En Tanzanie, des rats géants ont été dressés pour reconnaitre des produits issus du braconnage. Leurs avantages : ils se faufilent partout, mettent peu de temps à être formés et coûtent beaucoup moins cher que les chiens renifleurs. Au Népal, les alpinistes qui veulent gravir l'Everest dans l'Himalaya sont soumis à de nouvelles obligations. L'accès passe désormais de 11 000 à 15 000 dollars en pleine saison. Une somme qui servira au nettoyage des déchets mais aussi aux opérations de secours. Depuis 2024, le gouvernement népalais oblige les alpinistes à porter des traceurs pour faciliter les recherches en cas d'accident. Mais il les oblige aussi à se munir de sacs pour porter leurs excréments. Ces sacs déjà utilisés en Antarctique sont biodégradables, ils contiennent un produit chimique qui aide à sécher et à solidifier la matière fécale tout en éliminant les mauvaises odeurs. Aujourd'hui, l'Everest est une poubelle à ciel ouvert . En 2021, une opération menée par des soldats népalais accompagnés de sherpas sur l'Everest et cinq sommets environnants avait conduit à descendre plus de 35 tonnes de déchets, dont environ 18 tonnes pour les seuls camps de base. Et selon les chiffres de l'ONG Sagarmatha Pollution Control Committee, il y aurait 3 tonnes d'excréments humains entre le camp un au pied de l'Everest et le camp quatre, vers le sommet. Le problème ? "Ça pue et le risque sanitaire est réel."Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
L'ASBL BforB est une association qui vise à soutenir les entrepreneurs face à des soucis personnels, des soucis qui peuvent avoir une conséquence sur sa vie d'entrepreneur. L'association a présenté fin de semaine dernière les résultats d'une enquête menée par l'UCM auprès d'un demi-millier de chefs d'entreprise sur la santé mentale et le bien-être des entrepreneurs.On apprend que 70 % des entrepreneurs se retrouvent confrontés un jour dans leur existence à un accident de vie. Ça peut être la maladie, un accident, le deuil d'un proche ou encore un burn-out. Ces évènements peuvent avoir une incidence tant sur l'entourage des entrepreneurs pour près de la moitié d'eux, mais aussi sur leur entreprise pour deux tiers.Autre chiffre marquant de cette enquête : quatre entrepreneurs sondés sur dix estiment qu'ils ne s'arrêtent jamais de travailler. Pour deux tiers des personnes interrogées, celles-ci se déclarent dans l'impossibilité de faire face aux imprévus. Presque tous les entrepreneurs disent avoir ressenti un isolement accru à la suite d'un accident de vie.70 % des entrepreneurs sondés ont anticipé en souscrivant à des assurances combinées. Concernant l'aide, plus de la moitié disent s'être déjà tournés vers leur entourage proche. Plus interpellant, la quasi-totalité des personnes interrogées n'ont pas bénéficié ou ne connaissent pas les structures d'accompagnement vers lesquelles se tourner, dans le public ou dans le privé. Or, ils trouveraient opportun d'être accompagné en cas de coup dur.
Ce samedi matin, je vous embarque avec moi, direction les Îles Féroé. Des îles situées au nord de l'Écosse, à mi-chemin entre la Norvège et l'Islande. Il s'agit d'une province autonome du Danemark. Alors oui, les collines verdoyantes, c'est un très bon début, mais il y a encore autre chose qui est verdoyant là-bas !Les toits de bons nombres d'habitations sont en tourbe. C'est ce que nous ont rappelé plusieurs médias récemment, la RTBF et France Télévisions notamment, qui ont fait des reportages sur cette spécificité locale. D'autant que ça dépasse maintenant le cadre des simples habitations. La tourbe est utilisée pour le toit d'hôtels et autres bâtiments.C'est du local ! Il suffit littéralement de se baisser pour découper des carrés de tourbes qui vont orner le toit des maisons féringiennes. (On parle des Îles Féroé, mais ça se fait ailleurs en Scandinavie.) Ça demande peu d'entretienl. C'est un excellent isolant thermique, mais aussi phonique : c'est silencieux, on attend assez peu ce qui se passe au-dessus de nos têtes. Tant pis pour ceux qui aiment entendre le bruit de la pluie qui tombe quand on est bien au chaud chez soi.Toutefois, l'herbe ne retient pas l'eau. Mais les toits en tourbe ont besoin de beaucoup d'eau. Ce qui n'est pas un problème pour les Îles Féroé, où il pleut environ 260 jours par an… Ce qui n'est pas tellement un problème en Belgique, au vu de la pluie tombée chez nous ces derniers mois. Mais ce n'est certainement pas réplicable dans le sud de l'Europe par exemple.
Certaines communes rusent de créativité (et parfois aussi de bon sens) pour éviter les embouteillages de touristes, et la destruction de l'environnement induite par leur venue. Voici quelques exemplesInterdiction de déposer une serviette de plage sur la plage de Stintino en Sardaigne. Pourquoi ? Pour éviter d'emporter le sable avec soi.Interdiction de faire des châteaux de sable sur la plage d'Eraclea (nord-est) pour éviter aux sauveteur de trébucher. Cette même interdiction s'applique sur la plage de Sylt, en Allemagne pour préserver le littoral.Interdiction de glaner des galets sur les plages française : pris en flagrant délit, cela pourrait vous coûter 1500 euros.Interdiction de fumer des joints dans l'épicentre d'Amsterdam, dans le fameux quartier rouge. Chaque année, les coffee shops attirent 3 millions de touristes dans la capitale néerlandaise, les autorités veulent éviter le tourisme du cannabis.Interdiction de réserver sa place sur la plage avant 9h du matin sur la plage de Calpe, en Espagne. Amende possible : 250 euros. Tout autre objet laissé sans surveillance pendant plus de trois heures pourrait aussi être emporté. A Torrox, les personnes qui réservent leur place avec une serviette ou une chaise longue et qui s'absentent plusieurs heures risquent aussi une amende. Interdiction de faire des selfies dans de plus en plus de lieux touristiques populaires. Une étude publiée dans le Journal of Travel Medicine en 2022 a identifié 379 décès liés aux selfies au cours des 13 années précédentes. Cela fait une moyenne de 29 morts par an dûs à des chutes du haut de falaise, d'accidents avec des trains, des rencontres dangereuses avec des animaux sauvages provoquées par l'envie criante de faire un selfie...Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Une maison modulaire est une maison construite avec des modules standards. Ceux-ci vont être emboités pour faire une maison à votre image et adaptable à vos besoins. Vous êtes en couple et un enfant arrive ? Vous pourrez tout à fait construire une pièce en plus, à terme, dans le prolongement de la maison voire même, sur le toit. Ces maisons mettent entre 3 à 6 mois pour être construite en usine. Pour le placement, une journée suffit pour le placement et le raccordement à l'eau, à l'électricité... Vous avez trop d'espace ? Vous pourrez alors revendre un module pour qu'il soit réutilisé.Si en Belgique, certaines sociétés sont spécialisées dans les maisons modulaires dans lesquelles on peut vivre au quotidien (telles que Moxx), d'autres sont spécialisées dans les studios de jardin modulaire. L'idée des Woodcab a été développée par Arthur Dumont de Chassart, ingénieur architecte. En plein covid, le télétravail se généralise et certaines personnes veulent être coupées de leur espace de vie pour travailler en toute tranquilité, tout en rester chez elles : ainsi nait l'idée du bureau de jardin en kit. Y'a de l'idée : les panneaux modulaires perforés qui constituent l'intérieur de ces abris de jardin "augmentés". Ces trous permettent d'y attacher du mobilier et de le faire évoluer en fonction des usages. Ces studios de jardin ont une taille comprise entre 6 et 20 mètres carrés, sont chauffés en hiver et ventilés en été. L'habitat modulaire, c'est aussi une solution pour des proches qui ont besoin d'assistance, encore suffisamment autonomes mais dont vous auriez envie de vous rapprocher. Il existe désormais des maisons de soin modulaires, à installer dans votre jardin. Celles-ci sont parfaitement équipées, raccordées à l'eau, l'électricité... de votre maison et suffisamment proche que pour pouvoir vous occuper, au quotidien d'une personne qui a besoin d'assistance.Détail important : informez-vous auprès de votre commun quand au permis de bâtir, indispensable à partir d'une certaine taille. Les conditions varient en fonction des régions. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Un groupe de réflexion britannique vient de sortir la première étude qui a tenté de quantifier l'impact environnemental du football… Et cette fois, en allant plus loin dans la démarche. Ils ont analysé ce qui contribuait "indirectement" au réchauffement climatique. Par exemple : les sponsors dont font partie de grandes compagnies aériennes ou fournisseurs d'énergie qui ont, potentiellement, un impact sur le comportement des supporters et des téléspectateurs. En incluant les partenariats commerciaux, le foot pèserait environ 65 millions de donne de CO2 par an. En enlevant les les sponsors de l'équation, le bilan annuel serait plutôt de 15 millions de tonnes équivalent CO2. Les principaux coupables ? Les championnats nationaux qui attirent plus d'un million de personnes dans les stades par saisons et par tournoi ET bien sur, les championnats internationaux dont la Coupe du monde (qui est le pire élève). Au total, ces 2 types de championnats sont responsables de 93% des émissions totales du football. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Premier réflexe : de désolidariser de notre téléphone. En mode détox, on attend une demi-heure avant de l'allumer le matin et on l'éteint pendant 10, 30, 60 minutes avant de dormir. On enlève les notifs et on se fixe un temps délimité pour scroller. Objectif : remettre dans notre vie du temps disponible, ce qui ne veut pas forcément dire du temps à rentabiliser. Sans précipitation, on se permet de rêvasser et de ne rien faire ! Les mots clés : observer, contempler, s'émerveiller... Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Comment la radio parle-t-elle du changement climatique mais comment s'active-t-elle, aussi, au quotidien pour changer les choses ? C'est le thème de cette Journée Mondiale de la Radio 2025 !Chez Nostalgie, au-delà des contenus de sensibilisation tels que Y'a de l'idée et 17 Chansons pour changer le monde, en coulisses, on s'active aussi pour respecter la planète et les humains qui y vivent. Plus qu'un pouvoir, les médias ont une responsabilité.Vous saviez par exemple que tous nos studios étaient alimentés à l'énergie solaire ? Qu'un responsable commercial veille à ce qu'un maximum de cadeaux qu'on vous offre aient du sens et un minimum d'impact sur l'environnement ? Idem pour les goodies qu'on vous offre lors des événements comme des tote bags, des drapeaux, des mugs...Vous saviez que toute la déco des labyrinthes d'Halloween était chinée, issue de la seconde main ? Que tout le chocolat offert lors des chasses aux œufs était issu du commerce équitable, encore une fois dans une volonté de respecter les producteurs de cacao (et leurs conditions de travail) et la planète ? Au-delà de ça, chaque année, les radios de NGroup offrent 100 minutes de pub gratuites à des associations qui, sans cette opération, n'auraient pas l'occasion de le faire (ça représente tout de même plus d'un million d'euros en valeur financière dont NGroup se passe pour ouvrir la voie (et la voix) à des associations qui veulent changer le monde !Profitons-en aussi pour remercier nos auditeurs et nos auditrices pour leur générosité à l'occasion de grandes opérations telles que le Nostalgie Magic tour ou la Mission Recyclage qui visent, non seulement, à donner une seconde vie à des jouets et des électroménagers mais aussi à réduire les inégalités en aidant des personnes dans le besoin.Psssst : Chaque année, Nostalgie et ses petites sœurs (Nostalgie+, NRJ, NRJ+, Chérie) sortent leur rapport d'impact. Celui de 2024 est en cours de finalisation, encore un peu de patience ;-)Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Les Pays-Bas sont le plus grand exportateur de fleurs coupées au monde. Cela dit, même si vous habitez en Belgique, mieux vaut vous en remettre à des roses du Kenya. Ecologiquement parlant, même si l'impact du transport est énorme pour les roses kenyanes qui doivent parcourir 10 000 kilomètres, ces roses n'ont pas besoin d'être chauffées sous serre et éclairées toute l'année (comme c'est le cas au Pays-Bas) vu le climat africain est particulièrement propice à leur pousse. Vous voulez toujours optez pour des roses ? Préférez les fair trade ! Grâce au commerce équitable, les personnse qui travaillent dans les fermes ont un salaire décent, leurs conditions de travail sont réglementées, elles ont accès aux soins de santé... Optez aussi pour des fleurs bio qui ne contiennent pas de pesticides (certaines espèces de fleurs contiennent des centaines de fois plus de résidus de pesticides que certains fruits et légumes). Et si vous voulez bien changer vos habitudes, n'hésitez pas à opter pour des bouquets de fleurs séchées, glanées dans nos champs, choisir des fleurs locales et de saison (vive les bouquets de violettes ou de mimosas ! Les branchages ou les bulbes à fleurs sont aussi très romantiques). Ou alors pourquoi pas offrir n atelier : de la cueillette au bouquet. Il y a plein d'idées sur le site Belgium Slow Flowers : ce site recense les productrices et les producteurs de fleurs qui poussent près de chez vous et qui les cultivent dans le respect de la nature et des cycles. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
D'après l'info du Guardian relayée dans le Courrier International, les principaux consommateurs de champagne (les Français et les Américains) en boivent moins qu'avant. Les clients ont non seulement tendance à se tourner vers des bulles moins chères... voire vers plus de bulles du tout. Le Dry January et la Tournée minérales sont de grosses actions qui visent à attirer notre attention sur notre consommation, sur notre capacité, ou non, à totalement décrocher durant un moins et à s'interroger sur l'alcool social. Chez les jeunes, il devient de plus en plus fréquent de ne pas boire. Aux Etats-Unis, un sondage Gallup révélait que l'été derniers, 40% dse jeunes de 18 à 34 ans ne buvaient pas d'alcool (alors qu'ils n'étaient qu'environ 30% au début des années 2000). En Belgique, près de 20% des jeunes ont fait le choix de ne jamais commencer à boire. On assiste aussi à de plus en plus d'événements où l'alcool est interdit ainsi qu'à des sober challenges. De quoi pousser le secteur à se réinventer pour l'avenir ? Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
"Parfois ces personnes pensent qu'elles n'ont rien à faire ensemble car elles sont différentes, il y a mêmes des préjugés" note Emilie Vervust. "Alors, avec 1 km², on crée un programme unique où, grâce à l'art et aux médias, on organise des rencontres entre des groupes de personnes qui n'ont pas l'habitude d'interagir ensemble. Elles vont se rencontrer, découvrir une richesse culturelle de leur quartier et créer un projet médiatique avec leurs souvenirs (podcast, expo, pièce de théâtre, vidéo...)".Pour l'instant, cette initiative est encore assez restreinte (elle a été menée dans 3 quartiers de Bruxelles) mais l'objectif est d'en faire quelque chose de réplicable, à Bruxelles et ailleurs. Pour plus d'info, surfez sur le compte Instagram @lelaboratoirebrussels.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
C'est Laura Dethier, infirmière de formation et danseuse qui a voulu rassembler ses deux passions pour faire du bien autour d'elle.Le programme Quand on danse est actuellement organisé par le Groupe santé CHC avec des danseurs, spécialement formés de la Mosa Ballet School. Ceux-ci se rendent dans 9 maisons de repos du Grand Liège (Mehagne, Heusy, Banneux, Landenne)… pour faire danser les ainés.Qu'ils dansent debout, assis, en fauteuil roulant, juste avec les bras ou simplement en fermant les yeux, le premier objectif est de réveiller les âmes et de réchauffer les cœurs. La danse permet de créer du lien, de rompre la solitude, d'améliorer la confiance en soi, de travailler la mémoire… mais elle a aussi bien des vertus physiques en agissant sur la mobilité, la coordination, la souplesse, l'équilibre. Car ils inspirent, connectent, transforment, d'autres ateliers ont aussi été mis sur pied pour les personnes atteintes du cancer ou de la maladie de Parkinson. Cette formation est dispensée par Care to Dance, un programme de danse adaptée aux personnes malades.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.