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Leslie Rijmenams parle de vos initiatives positives sur Nostalgie. Petites idées pour grandes solutions... Pas de fatalisme, que des pistes pour aller de l'avant et des raisons d'espérer.

Nostalgie Belgique


    • Sep 30, 2025 LATEST EPISODE
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    Un livre qui lutte contre les stéréotypes de genre : "Et toi, tu veux faire quoi plus tard?"

    Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 3:18


    Quand on demande aux enfants ce qu'ils veulent faire plus tard, les réponses sont souvent colorées de stéréotypes. Pompiers et astronautes pour les garçons, infirmières ou institutrices pour les filles. Et pourtant, les passions et les métiers n'ont pas de genre. C'est ce que démontre le livre Et toi, tu veux faire quoi plus tard ?, paru chez Albin Michel et signé par Audrey Derquenne, avec des illustrations pleines de fraîcheur de Marie-Lou Lesage (@les_ptites_meufs).Ce guide des métiers pas comme les autres s'attaque aux idées reçues. Sur la couverture, on découvre des femmes dans des métiers encore trop perçus comme masculins : cheffe de caserne pompier, astrophysicienne, secouriste de montagne, menuisière… À l'intérieur, chaque portrait met en avant des parcours réels, souvent semés d'embûches mais toujours inspirants.On y croise Amandine, conductrice poids lourd. Après un premier essai sur une bétonneuse, elle se prend de passion pour ce métier, affronte les remarques sexistes, réussit son certificat de transport et fonde avec son compagnon une entreprise florissante de camions céréaliers. On découvre aussi Pascal, passionné de cuisine devenu esthéticien à 50 ans. Son choix de réorientation, atypique, prouve qu'il n'est jamais trop tard pour embrasser une nouvelle vocation.Le livre donne également la parole à Willy, sage-femme, ou Vinh, prothésiste ongulaire : autant d'hommes qui ont choisi des métiers souvent associés aux femmes. Tous racontent leur déclic, leurs difficultés mais aussi la fierté d'exercer une profession qui leur ressemble.Chaque portrait est accompagné d'un encadré pratique : principales missions, qualités requises, niveau d'études… De quoi aider les lecteurs à mieux comprendre le quotidien de ces métiers et à se projeter, sans se laisser limiter par les clichés.Et toi, tu veux faire quoi plus tard ? n'est pas qu'un simple livre de témoignages, c'est un outil pédagogique et inspirant qui ouvre le champ des possibles, pour les jeunes… et pour les adultes qui les accompagnent.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Solidarité : des détecteurs de logement et des propriétaires solidaire qui aident les réfugiés à trouver un toit

    Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 2:47


    Depuis plus de 30 ans, l'asbl Convivial agit à Bruxelles pour faciliter l'installation durable des réfugiés et primo-arrivants. Car s'intégrer passe par l'apprentissage de la langue, l'accès à l'emploi… mais avant tout par un toit. Le logement, première étape vers une vie digne et autonome, reste pourtant un défi immense.Convivial propose deux manières concrètes d'agir :Devenir “détecteur de logement”, c'est simplement rester attentif : signaler à l'association un panneau à louer, un bien libre mentionné dans une conversation, une annonce repérée… Autant de pistes précieuses pour trouver des logements disponibles. Pour le devenir : detecteurslogements@convivial.be ou 0488 20 31 05Être “propriétaire solidaire”, c'est accepter de louer un bien à un prix raisonnable, en partenariat sécurisé avec l'association. Convivial s'occupe de la garantie locative, des assurances, de la rédaction du bail et reste disponible en cas de souci, rassurant ainsi propriétaires comme locataires. Pour le devenir : proprietairessolidaires@convivial.be ou 0488 20 31 05Car pour les réfugiés, l'accès au logement est encore plus complexe : pas ou peu de réseau, méconnaissance du marché, préjugés de certains bailleurs… L'objectif de Convivial est clair : multiplier les opportunités grâce à des citoyens mobilisés et créer des mises en relation sécurisées.Intéressé ? Le 1er octobre, une soirée de rencontre aura lieu dans les locaux de Convivial à Anderlecht dès 18h30 (Place de la Vaillance 15D) Au programme : présentation du projet et témoignages de propriétaires déjà engagés.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Daar Daar : le site qui traduit le meilleur de la presse flamande et rapproche les communautés linguistiques

    Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 3:29


    En Belgique, on ignore souvent ce qui se passe de l'autre côté de la frontière linguistique. C'est précisément pour combler ce fossé qu'est né Daar Daar, un site fondé en 2015 par deux journalistes de la VRT, David Charlier et Joyce Hazard, et un professeur de sciences politiques français. Leur objectif : rendre accessible en français le meilleur de la presse flamande et germanophone, souvent méconnue en Wallonie et à Bruxelles.Sur le site, on retrouve des articles traduits par de vrais traducteurs – pas par une intelligence artificielle – qui offrent un autre regard sur l'actualité belge. Opinions, analyses, portraits : autant de contenus qui enrichissent la compréhension mutuelle entre communautés. Là où certains voient une barrière, Daar Daar construit des ponts.Mais le projet ne s'arrête pas là. L'équipe, composée aujourd'hui d'une dizaine de personnes, a lancé Awel Awel, une plateforme gratuite d'apprentissage du néerlandais. Elle s'appuie sur des articles légers de Daar Daar pour proposer des exercices autocorrectifs et du matériel pédagogique aux enseignants. Une manière ludique de pratiquer la langue en lien direct avec l'actualité.Daar Daar organise également des ateliers bilingues et des formations interculturelles pour aider à surmonter les malentendus culturels. Car oui, les Wallons et les Flamands n'ont pas toujours les mêmes codes : là où les francophones aiment les mails chaleureux et les bises, les Flamands privilégient l'efficacité et vont droit au but. Comprendre ces différences permet d'éviter bien des incompréhensions, notamment dans le monde professionnel.Le projet propose aussi des rencontres jeunesse, pour que des étudiants francophones et néerlandophones apprennent à se connaître, à débattre et à travailler ensemble. Et pour ses dix ans, Daar Daar part en tournée en Wallonie et à Bruxelles : quizz, rencontres, échanges conviviaux avec les donateurs et sympathisants. L'initiative a aussi lancé Dring Dring, le podcast qui vous fait découvrir la Flandres à vélo.Un projet citoyen, indépendant et utile, qui ne vit que grâce au soutien de ses lecteurs. Soutenir Daar Daar, c'est miser sur une Belgique plus unie et moins cloisonnée.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Des pommes, des vergers hautes tiges et des achats groupés : faites vos jus, votre cidre et des économies

    Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 2:45


    L'automne est la saison idéale pour planter et récolter, et deux initiatives originales mettent les fruits à l'honneur. À Bruxelles, l'association Velt organise jusqu'au 1er octobre un achat groupé d'arbres fruitiers. Pommier, poirier, mûrier ou arbustes à petits fruits : près de 50 espèces sont proposées dans un catalogue en ligne, avec 10 % de réduction grâce à la commande collective. Les arbres, issus des Pépinières de la Hunelle, seront à retirer fin novembre dans différents points de la capitale. Une démarche qui s'inscrit dans la tendance de végétalisation des villes, déjà visible à Forest où la commune teste l'adaptation d'arbres fruitiers au réchauffement climatique. Depuis 7 ans, l'association a déjà permis de planter 7 500 arbres et vise désormais les 10 000, notamment via la création de vergers participatifs gérés collectivement par les habitants.Cap ensuite sur le pays de Herve, à Battice, où Adeline et Léandre ont relancé la tradition des vergers haute tige. Ces grands pommiers, essentiels à la biodiversité, avaient quasiment disparu depuis les années 50. Dans leur cidrerie-distillerie Constant-Berger, ils transforment les récoltes locales en cidres, jus et eaux-de-vie. Et mieux encore : les particuliers peuvent apporter leurs propres pommes (minimum 100 kg) pour fabriquer leur cidre. Après fermentation, chaque lot repart avec environ 150 canettes par 100 kg de fruits. Pour les amateurs sans pommiers, le pressoir propose aussi jus et produits maison à base de pommes de petit calibre.Et si vous n'habitez pas près de Liège ? Pas de panique : la Wallonie regorge de pressoirs accessibles aux particuliers. Parmi eux :Pépipom (Namur)Ferme du Champ d'Oiseau (Andenne)Ferme de l'Estangue (Bon Villers, Hainaut)Verger Marchal (entre Tournai et Péruwelz)Pom d'Happy (Ellezelles)Pressoir du Verger de GaumeDe quoi redécouvrir les vergers comme espaces vivants, nourriciers et conviviaux, qu'ils soient urbains ou ruraux.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Harcèlement et la règle des 5 "D" : que faire et comment agir quand on est témoin ?

    Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 3:00


    À l'occasion des Journées de l'engagement à l'ULB, l'association Touche pas à ma pote rappelle son combat : lutter contre le harcèlement sexiste dans l'espace public. Active depuis 2012, l'association intervient dans les écoles secondaires, les hautes écoles et les universités, via des ateliers interactifs de deux heures mêlant théorie et pratique. Leur objectif : montrer que chacun peut jouer un rôle, en particulier les témoins.Car dans une situation de harcèlement, il n'y a pas seulement un auteur et une victime, mais souvent aussi des témoins qui peuvent agir. Pour cela, l'asbl propose une méthode simple et concrète : celle des « 5 D ».Distraire : détourner l'attention du harceleur en engageant la conversation avec la victime (« Tiens, ça va ? », « Quelle heure est-il ? »).Diriger : s'adresser directement à l'auteur pour marquer son désaccord, si on s'en sent capable.Déléguer : alerter une personne ressource autour de soi (un passant, un agent de sécurité, un professeur).Documenter : filmer, prendre une photo ou une note vocale pour fournir une preuve si la victime souhaite porter plainte.Dialoguer : aller vers la victime après les faits, lui demander si elle va bien et lui montrer qu'elle n'est pas seule.Cette méthode vise à donner des outils concrets pour réagir, chacun à sa manière, sans se mettre en danger, mais toujours avec un même but : ne pas laisser la victime isolée.Touche pas à ma pote rappelle aussi qu'elle collabore avec la Ligue d'impro professionnelle. Des comédien·ne·s se rendent dans les écoles secondaires pour jouer des saynètes face aux ados liées au harcèlement de rue. Et le débat peut commencer... Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Dans la tête d'une araignée : pourquoi il ne faut pas tuer cette bestiole à l'intelligence surprenante

    Play Episode Listen Later Sep 22, 2025 4:08


    Elles sont 52 000 espèces dans le monde, composées à 80 % d'eau, et suscitent pourtant phobies et frissons : les araignées. Un quart des Européens en ont peur, 5 à 10 % en sont phobiques, alors qu'elles n'ont jamais tué personne sur notre continent. Pourtant, elles sont essentielles à l'équilibre écologique. Chaque année, elles consomment entre 400 et 800 millions de tonnes d'insectes, soit plus que ce que les humains mangent de viande et de poisson. Sans elles, les ravageurs pulluleraient et nos cultures seraient menacées.Mais leur rôle ne s'arrête pas là. Certaines font preuve d'une intelligence surprenante : la petite saltique africaine planifie ses trajets de chasse en anticipant et mémorisant le chemin pour atteindre sa proie. D'autres étonnent par leurs stratégies amoureuses : chez la pisaure admirable, le mâle doit offrir un cadeau nuptial enroulé de soie pour espérer s'accoupler. Les plus rusés emballent parfois… de simples débris !Longtemps incomprises, ces créatures sont pourtant fascinantes : leur soie est l'un des matériaux naturels les plus résistants, leurs comportements nuptiaux ou sociaux sont d'une ingéniosité rare, et elles inspirent des recherches en biomimétisme. Comme le rappelle l'éthologue Raphaël Jeanson dans son ouvrage Dans la tête d'une araignée, comprendre et admirer ces animaux, c'est aussi apprendre à les respecter.Alors, la prochaine fois que vous en croisez une dans votre maison, souvenez-vous : elles ne remontent pas des canalisations mais glissent simplement dans la baignoire ou l'évier. Et plutôt que de l'écraser, aidez-la à retrouver sa liberté : elle est bien plus précieuse vivante.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    La laine belge, cette richesse locale sous-exploitée : comment et pourquoi revaloriser ce textile durable ?

    Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 3:38


    Saviez-vous que la Wallonie compte 95 000 moutons, soit près de 285 tonnes de laine par an ? Pourtant, cette ressource précieuse est très peu exploitée localement : trop de toisons finissent stockées, brûlées ou envoyées en Chine pour une transformation peu durable et de qualité médiocre. C'est pour inverser la tendance que six entrepreneuses ont lancé le salon Made in Wool, ce dimanche à Court-St-Etienne, réunissant 70 exposants.Le but ? Montrer que la laine belge mérite mieux. Car ses atouts sont nombreux : elle protège aussi bien du froid que du chaud, isole du bruit, résiste au feu, est hypoallergénique et biodégradable. De plus, un vêtement en laine peut durer 30 ans, preuve de sa durabilité. La laine est aussi une matière renouvelable : comme nos cheveux, elle repousse chaque année.Le salon mettra en avant des créations variées : vêtements, chaussettes, bijoux, luminaires, mais aussi feutres, isolants ou objets de décoration. On y rappellera aussi les étapes de transformation : lavage, cardage (démêlage), tricotage, tissage ou feutrage. C'est ce travail artisanal et industriel qui donne toute sa valeur à la laine.Au-delà de la créativité, il y a un enjeu économique : recréer une demande locale pour permettre aux éleveurs de vendre leur laine à un prix juste et sortir du cercle vicieux de la sous-valorisation. Made in Wool entend démontrer que cette ressource peut être une richesse pour nos territoires, nos artisans et notre planète.Infos pratiques et programme complet sur madeinwool.be.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Les bienfaits du sauna : traditions nordiques et versions insolites autour du monde

    Play Episode Listen Later Sep 18, 2025 4:09


    Depuis mardi, la Belgique célèbre les Journées nationales du sauna, organisées par l'association belge du sauna. L'occasion de mettre en avant une pratique ancestrale venue du Nord, inscrite depuis 2020 au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Présent depuis plus de 2000 ans, le sauna a évolué des fosses creusées dans la terre aux cabanes en bois, jusqu'à devenir un véritable art de vivre.Un rituel classique dure entre 10 et 15 minutes, suivi d'une immersion froide ou d'une douche glacée, puis d'un temps de repos. Les bienfaits sont multiples : réduction du stress, amélioration du sommeil, soulagement des tensions musculaires, meilleure circulation sanguine et élimination des toxines. Une parenthèse sans écrans ni distractions, où l'on se recentre sur l'essentiel.Mais le sauna sait aussi surprendre. En Lettonie, le Beer Spa de Riga propose un sauna parfumé à la bière, accompagné de gommages au houblon et de massages aux bouquets de bouleau. Dans le folklore local, le « Pirts » reste un rituel sacré mêlant chaleur, nature et purification. À Montréal, le Bota Bota, installé sur une péniche, permet de profiter du panorama urbain en se relaxant. Et aujourd'hui, certains constructeurs proposent même des cabanes flottantes privées.En Belgique, l'originalité prend la forme d'un sauna mobile, un tonneau sur remorque ou une tente chauffée au feu de bois, idéal pour un événement festif. Quant au Japon, il innove avec le « sabus », des bus réaménagés en saunas itinérants, où les boutons d'arrêt sont devenus diffuseurs de vapeur. Preuve que cette tradition millénaire continue d'inspirer partout dans le monde.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Semaine de la mobilité : comment les vélos (individuels, long tail ou cargo) réduisent les bouchons en ville

    Play Episode Listen Later Sep 16, 2025 3:30


    La Semaine de la mobilité s'ouvre aujourd'hui et met en lumière un mode de transport qui séduit de plus en plus : le vélo. Près d'un Belge sur cinq l'utilise pour se rendre au travail. Avec 10 % sur un vélo classique et 8 % sur un vélo électrique, la Belgique se hisse dans le top 3 européen, derrière les Pays-Bas et la Suède.Si la question écologique n'est jamais loin, le vélo séduit d'abord et avant tout car il fait gagner du temps et réduit la congestion du trafic. Depuis plusieurs années, on voit émerger de nouveaux modèles adaptés à la vie urbaine : long tails (chargement à l'arrière, idéal pour transporter les enfants) et vélos cargo (chargement à l'avant, plus spacieux). Plus coûteux à l'achat, ils remplacent pourtant efficacement une voiture. C'est le pari d'Etienne Richelle, fondateur de Bike 43, qui conçoit ses vélos à Anderlecht dans un atelier de travail adapté. Son ambition : contribuer à remplacer jusqu'à 10 000 voitures à Bruxelles.Reste la question de la sécurité. Pour se sentir à l'aise sur la route avec ces vélos plus imposants, il faut des infrastructures cyclables sûres, insiste Etienne. Les vols et le manque de parkings vélo font aussi partie des freins. Mais avec les assurances adaptées et un bon équipement pour contrer la météo, le vélo reste une alternative fiable et pratique.Le message de cette semaine n'est pas d'imposer le vélo à tous, mais d'inviter chacun à tester une alternative à la voiture : vélo, covoiturage, transports publics… C'est une question de solidarité : moins de voitures, c'est moins de bouchons et plus de fluidité pour tout le monde. Et rappelons-le : la mobilité la plus simple, économique et bénéfique pour la santé reste… la marche.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Semaine de la mobilité : des enfants en calèche pour aller à l'école, des petits policiers et des applis de covoiturage et d'autopartage

    Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 4:02


    La Semaine de la mobilité débute demain, avec un objectif clair : explorer des alternatives à la voiture individuelle. Partout en Belgique, écoles, entreprises et citoyens sont invités à repenser leurs trajets. Certaines initiatives se veulent aussi originales que pédagogiques : à Vielsalm, les élèves de primaire se mueront en « petits policiers » pour rappeler aux parents mal garés les règles de sécurité ; à Louvain-la-Neuve, une entreprise installe des pédaliers sous les bureaux pour allier travail et activité physique ; et à Welkenraedt, les enfants iront à l'école en calèche ! Voici la carte virtuelle des actions ouvertes aux citoyen·ne·s.Le point d'orgue sera le dimanche sans voiture, à Bruxelles mais aussi à Ath, Spa et dans plusieurs villes flamandes comme Gand. L'occasion rêvée de redécouvrir la ville autrement et de réfléchir à des solutions durables comme le covoiturage. Saviez-vous que dans 4 voitures sur 5, il n'y a qu'un seul passager ? En mutualisant les trajets, on réduit les bouchons, on partage les frais et, via des outils comme Mobicalendar ou la plateforme Carpool (déjà 12 000 utilisateurs), on bénéficie même d'avantages fiscaux.Et pour aller plus loin, des applis comme Cozywheels permettent le partage de véhicules entre particuliers : une façon d'optimiser un bien qui reste à l'arrêt 95 % du temps et qui coûte en moyenne 7000 € par an.Le thème de cette édition est « la mobilité pour tous », avec un focus en Wallonie sur la santé. Car au-delà de la pollution, la sédentarité liée à la voiture augmente les risques de maladies cardiovasculaires et de stress. Une raison de plus pour marcher, pédaler, partager et choisir des modes de transport plus actifs et durables.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Maladie d'Alzheimer : au Japon, le restaurant des commandes erronées sensibilise à la démence

    Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 3:46


    À Tokyo, un lieu insolite bouscule les habitudes : le « restaurant des commandes erronées ». Ici, dans 4 cas sur 10, vos plats ne correspondent pas à votre commande… et c'est normal. Les clients sont volontairement servis par des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'idée ? Transformer l'erreur en expérience, sensibiliser le public et prolonger l'inclusion des malades dans la vie active.Ces journées spéciales ne sont pas quotidiennes : le restaurant fonctionne habituellement avec des serveurs valides, mais une fois par mois, des patients prennent le relais, reconnaissables à leur tablier orange, couleur associée au Japon à la communication sur la démence. Un geste symbolique dans un pays où plus de 6 millions de personnes vivent avec Alzheimer.En Belgique, la démence touche environ 220 000 personnes, dont 140 000 atteintes d'Alzheimer. Cette maladie neurodégénérative détruit progressivement les cellules nerveuses, affectant mémoire, langage, raisonnement et autonomie. Si elle reste incurable, les progrès récents de la recherche — avec près d'une centaine de traitements en développement — permettent de ralentir son évolution et d'atténuer les symptômes, à condition d'un diagnostic précoce.Des associations comme Alzheimer Belgique, Stop Alzheimer ou la Ligue Alzheimer offrent soutien, formation et ressources précieuses aux familles. Et la recherche continue : une récente étude allemande suggère que la maladie pourrait se manifester d'abord par une perte d'odorat, ouvrant la voie à un dépistage plus précoce.Un restaurant où l'erreur devient un outil de sensibilisation, un rappel que l'inclusion et la bienveillance font aussi partie du soin.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Trois rendez-vous inspirants : mieux manger, agir pour le climat, repenser l'éducation

    Play Episode Listen Later Sep 11, 2025 3:54


    Vous aimez manger, agir et réfléchir à l'avenir ? Trois rendez-vous arrivent dans les prochaines semaines en Wallonie et en Brabant wallon, chacun avec une approche différente mais tous reliés par une même envie : construire un futur plus durable, plus joyeux et plus solidaire.Le premier rendez-vous s'adresse aux gourmandes et gourmands curieux : le festival de l'alimentation durable « Manger mieux demain », organisé les 28 et 29 septembre à la ferme de Hors Champs à Gembloux. L'événement mettra à l'honneur les producteurs locaux et les pratiques culinaires responsables. Sur place : un grand marché de producteurs, des dégustations et des démonstrations par des chefs, mais aussi une multitude d'ateliers participatifs. Parmi eux :Concevoir et rédiger des recettes durables, avec Marie Gourmandise, blogueuse culinaire engagée.Créer un potager au naturel, animé par Melting Green, pour apprendre les bases du jardinage respectueux de la biodiversité.Découverte du kombucha, cette boisson fermentée à base de levures et bactéries, saine et tendance.Charcuteries et terrines revisitées, pour aborder la tradition sous un angle durable.Et ce n'est pas tout : on parlera aussi circuits courts, vin belge (avec le château de Bioul) et transmission culinaire. De quoi titiller les papilles tout en nourrissant la réflexion.Deuxième rendez-vous, plus créatif et engagé : les ateliers préparatoires à la marche pour le climat prévue le 5 octobre. Parce qu'une marche, ça se prépare, des artistes proposent dès à présent des ateliers ouverts à toutes et tous pour créer costumes, décors collectifs et pancartes. L'objectif : donner une dimension festive, colorée et joyeuse à cette mobilisation citoyenne. En parallèle, le site coalitionclimat.be propose un quiz ludique pour découvrir son « profil climat » : un outil qui oriente chacun vers des actions adaptées à son degré d'engagement et ses freins éventuels. Une façon originale d'impliquer tout le monde, du plus convaincu au plus hésitant.Enfin, un troisième rendez-vous concerne l'éducation et la famille : le festival « Out of the Books », qui se tiendra à la Sucrerie de Wavre du 1ᵉʳ au 3 octobre. Cet événement propose conférences, stands et rencontres pour réfléchir à l'école de demain. Cinq axes seront particulièrement mis en avant :La ludopédagogie, pour apprendre autrement grâce au jeu.Les nouvelles technologies, avec un focus sur le rôle positif que pourrait jouer l'intelligence artificielle en classe.Les pédagogies actives, qui mettent l'élève au centre de l'apprentissage.Les besoins spécifiques, pour rendre l'école plus inclusive.Le bien-être et la lutte contre le harcèlement, car un climat scolaire apaisé est essentiel aux apprentissages.Parents, enseignants et directeurs y trouveront des outils pratiques. Et bonne nouvelle : pour les enseignants, la participation peut être intégrée dans le programme de formation continue.Trois événements, trois façons de se reconnecter à nos assiettes, à notre planète et à nos enfants. Trois invitations à agir, chacun à sa manière, pour façonner ensemble un avenir plus durable.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Solidarité : on vous présente "Better", le "Tinder" du don philanthropique en Belgique

    Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 3:36


    Vous aimeriez soutenir une association mais vous ne savez pas toujours laquelle choisir ? La plateforme belge Better propose une solution innovante et simple : un don récurrent, personnalisé selon vos valeurs. Après inscription, vous créez votre profil et sélectionnez les causes qui vous tiennent à cœur : climat, santé, éducation, inclusion, précarité… Ensuite, vous fixez le montant que vous pouvez donner chaque mois (à partir de 5 €, la moyenne étant de 15 €).Chaque mois, vous recevez une vidéo présentant une association correspondant à vos affinités. Si elle vous séduit, vous validez votre soutien pour le mois ; sinon, vous pouvez « swiper » pour découvrir une autre proposition. D'où le surnom de « Tinder de la philanthropie ». Résultat : jusqu'à 12 associations soutenues par an, parmi un réseau qui compte déjà 35 partenaires et qui s'élargit chaque année.Ce système profite aussi aux associations, qui consacrent en moyenne 40 % de leur temps à la recherche de fonds. Better leur libère un espace précieux pour se concentrer sur leur mission. Et pour les donateurs, même un petit montant a de l'impact : 10 000 personnes qui donnent 5 € par mois, c'est 50 000 € générés !Parmi les associations déjà partenaires : Kick Cancer, qui lutte contre le cancer des enfants ; BeCode, qui forme au numérique les publics précarisés ; ou NoJavel, qui redistribue des invendus alimentaires. Une nouvelle façon de donner, plus moderne, plus simple et plus collective, à découvrir sur better-app.org.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Enjeux écologiques et solidaires : 60 animateurs de Good Planet sensibilisent les écoles et les entreprises

    Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 2:50


    Connaissez-vous GoodPlanet ? Depuis plus de 25 ans, cette association belge facilite le passage à la durabilité, surtout auprès des jeunes. Son équipe d'une soixantaine d'animateurs spécialisés (alimentation, biodiversité, déchets…) se rend directement dans les classes, de la primaire au secondaire, pour sensibiliser les élèves à l'écologie de manière fun et interactive.Les ateliers sont variés : Climate School, pour comprendre le dérèglement climatique et réfléchir aux solutions ; Cultiver demain, pour initier les élèves des filières agricoles à l'agroécologie ; ou encore La chasse aux matières premières, qui invite les enfants à explorer la composition des smartphones et tablettes afin de saisir l'importance du recyclage et de l'économie circulaire.En parallèle, GoodPlanet organise 6 challenges annuels. Le premier de cette rentrée, le 19 septembre, s'intitule Bougeons mieux : une journée dédiée à la mobilité douce, où les écoles sont invitées à imaginer des actions créatives pour inciter les élèves à venir à vélo, à pied ou en transport public. D'autres défis suivront, autour de l'alimentation locale, de la réduction des déchets, de l'énergie, de l'eau et de la reconnexion à la nature.Au-delà du monde scolaire, l'association intervient aussi dans les entreprises, avec des ateliers sur le numérique responsable, la mobilité ou encore le tourisme durable. Une démarche qui prouve que chacun peut agir, quel que soit son âge ou son cadre. Plus d'infos : goodplanet.be.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Grande première en Belgique : une école de cuisine 100 % végétale ouvre ses portes à Bruxelles

    Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 3:36


    C'est une petite révolution culinaire : Oxalis, la première école de cuisine 100 % végétale en Belgique, s'installe à Auderghem (chaussée de Wavre). À partir du 11 septembre 2025, particuliers et professionnels pourront y découvrir les multiples facettes d'une cuisine sans produits d'origine animale. Une ouverture qui répond à une demande croissante : 1 Belge sur 3 mange désormais végétarien au moins une fois par semaine.Oxalis rassemble une douzaine de chefs-formateurs spécialisés en alimentation durable, pâtisserie et boulangerie végétales, fermentation ou encore cuisine vivante. Les particuliers pourront suivre des ateliers de 3 à 4 h autour de thématiques gourmandes comme les sushis, les mezze, le barbecue végétal ou encore les classiques belges revisités. Pour les plus jeunes, des ateliers parents-enfants sont aussi prévus. Les professionnels de l'horeca ne sont pas en reste : une formation de 8 modules ou des cours thématiques leur permettront de se spécialiser dans la « cuisine du futur ».L'école est portée par Corentin Crutzen, chef passionné et pédagogue, convaincu que la transition alimentaire passera par le végétal. Parrainée par le chef étoilé René Mathieu, Oxalis organise une journée portes ouvertes le samedi 6 septembre avec ateliers découverte, avant le lancement officiel des cours le 11 septembre.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Santé mentale : un forfait mobile dégressif, une compétition pour ne rien faire à Séoul et un triathlon pas comme les autres

    Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 4:08


    Et si réduire nos écrans devenait aussi bon pour la planète que pour notre moral ? En France, la coopérative TeleCoop lance le premier forfait mobile dégressif. Votre facture s'ajuste automatiquement à votre consommation réelle : un forfait de 80 Go à 20 €, mais si vous n'en utilisez que 9, vous paierez 16 € le mois suivant. Un double bénéfice : moins de temps d'écran, donc moins de risques d'anxiété ou de dépression, et moins d'impact écologique, puisqu'1 giga de données mobilise l'équivalent de 200 litres d'eau pour les serveurs (ou un bain).Dans un autre registre, à Séoul, des centaines de personnes se sont rassemblées pour la Space Out Competition. Le principe : rester 90 minutes immobiles et silencieux, sans téléphone ni discussion, sous l'œil du public et de capteurs cardiaques. Une manière symbolique de ralentir dans une mégalopole qui ne dort jamais.Enfin, connaissez-vous le Mindful Triathlon ? Pas de vélo ni de nage, mais une combinaison de course, yoga et méditation guidée, organisé depuis 10 ans dans plusieurs grandes villes du monde. Un "triathlon du bien-être" qui, espérons-le, finira par poser son tapis en Belgique. Les prochaines éditions auront lieu les 20 et 21 septembre à Milan, le 27 à Venise et le 4 octobre à Rome.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Ateliers numériques : le codage, la programmation, l'informatique... bien plus qu'un truc de geek

    Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 3:31


    Selon une enquête relayée par The Times, 4 adolescents sur 10 disent manquer des compétences numériques nécessaires pour décrocher un emploi. Un paradoxe pour une génération née avec un smartphone à la main, mais qui ne maîtrise pas forcément les outils digitaux, et encore moins l'intelligence artificielle. D'où l'importance de sensibiliser dès le plus jeune âge, idéalement à l'école, à ces savoirs devenus essentiels.En attendant que le numérique entre partout dans les programmes, des solutions existent déjà à travers des ateliers extrascolaires. L'asbl CoderDojo propose gratuitement des clubs de programmation en Belgique, tandis que CodeNPlay offre des ateliers et stages pour les enfants du primaire. À Bruxelles, MolenGeek accompagne jeunes, adultes et même seniors pour réduire la fracture numérique. D'autres, comme Logiscool, organisent des cours hebdomadaires payants pour les enfants dès la 2ᵉ primaire.Animés par des étudiants en informatique, ces cours initient les enfants à l'usage basique d'un ordinateur, à la navigation sécurisée sur internet, mais aussi à la programmation. Avec des outils visuels et ludiques, ils apprennent pas à pas à créer leurs propres jeux vidéo. Au-delà de la technique, l'objectif est d'acquérir une logique algorithmique, de développer la créativité, la concentration, la persévérance… et surtout la confiance en soi. Une vraie utilité publique, alors que démarre la période d'inscriptions aux activités extrascolaires.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Larecup.be : une nouvelle plateforme de seconde main pour consommer local, circulaire et solidaire

    Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 3:17


    62 000 tonnes de biens et ressources sont récupérées chaque année en Wallonie et à Bruxelles, et près de 20 % trouvent une seconde vie en réemploi local. Le textile arrive en tête des dons, représentant plus de la moitié des produits collectés. C'est dans ce contexte que voit le jour larecup.be, une nouvelle plateforme belge d'achat d'occasion, lancée par la fédération Ressources.À première vue, on pourrait la comparer à Vinted, Marketplace ou 2ememain. Mais la différence est de taille : sur larecup.be, rien n'est vendu entre particuliers. Ici, chaque achat soutient l'économie sociale. Concrètement, vous achetez auprès de ressourceries, d'opérateurs de l'économie circulaire ou encore d'associations comme Les Petits Riens. Résultat : pas de risque d'arnaque, des produits contrôlés et vérifiés, et en prime des prix 50 à 70 % inférieurs au neuf.La plateforme propose un large choix : vêtements, déco, électroménager (avec une garantie d'un an), vélos, livres, mais aussi un secteur inédit : les matériaux de construction reconditionnés. Une avancée cruciale quand on sait que 50 % de l'empreinte écologique d'une maison est liée aux matériaux utilisés. Acheter via larecup.be, c'est donc réduire son empreinte, soutenir 2000 travailleurs de l'économie circulaire et privilégier le circuit court.Lancée officiellement ce matin, la plateforme ambitionne de rendre le réemploi plus simple, plus accessible et surtout plus local. Car consommer différemment, c'est aussi prendre soin de notre environnement… et de notre santé.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Voitures solaires : les étudiants belges brillent au championnat du monde en Australie

    Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 4:06


    Direction l'Australie pour le Bridgestone World Solar Challenge, la course mythique de 3000 km entre Darwin et Adélaïde. Tous les deux ans, les meilleures équipes du monde s'y affrontent avec des véhicules futuristes propulsés uniquement par l'énergie du soleil. Cette année, la Belgique a encore brillé : nos jeunes ingénieurs ont décroché la médaille de bronze, à seulement quelques secondes du podium supérieur.Depuis 20 ans, une équipe rattachée à la KU Leuven et à l'UCL conçoit une nouvelle voiture solaire tous les deux ans. Pour cette édition, vingt étudiants fraîchement diplômés ont consacré une année entière, travaillant jour et nuit, pour réaliser leur rêve : « Infinite Apollo », un bolide de 6 mètres de long, 170 kg seulement, recouvert de panneaux solaires. Capable d'atteindre 170 km/h, il roule en moyenne à 80-90 km/h et offre une autonomie de 300 km grâce à sa batterie intégrée. Plus incroyable encore, son système « Bounce » lui permet de s'abaisser pour réduire sa consommation d'énergie et de se relever sur route accidentée.Si ces prototypes ne sont pas encore destinés à nos routes, ils ouvrent des perspectives : demain, les voitures hybrides pourraient intégrer des panneaux solaires pour prolonger leur autonomie et réduire leur consommation. En attendant, nos étudiants prouvent une fois de plus que la Belgique est à la pointe mondiale de l'innovation durable, et qu'avec de l'audace et de la passion, tout devient possible.

    Mobilité et trajets scolaires : Bana Community, une plateforme d'entraide qui rassure les familles

    Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 3:41


    Pour beaucoup de parents, les journées ressemblent à un marathon : quitter le travail à l'heure, courir chercher les enfants à l'école, les conduire au foot, à la danse ou au solfège… Impossible de se dédoubler, et pourtant, on veut être partout à la fois. C'est pour répondre à ce casse-tête que la Bana Community a vu le jour.Lancée en 2021 à Nivelles, cette plateforme devenue asbl met en relation les parents et des accompagnateurs de confiance, tous vérifiés et habitués à être au contact des enfants : étudiants, professeurs, éducateurs, seniors actifs, parents ou encore baby-sitters. L'idée est simple : partager et sécuriser les trajets des enfants, qu'ils soient quotidiens ou exceptionnels.Deux formules existent : l'accompagnateur peut inclure votre enfant dans un trajet déjà prévu, rémunéré 2 € par tranche de 15 minutes et par enfant, ou bien réaliser un trajet privé, au tarif du taxi social (0,43 €/km). Et pas seulement en voiture : les trajets se font aussi à pied, à vélo ou en transports publics, encourageant ainsi la mobilité douce.La communauté a même créé le programme Bana Buddies, primé par le Piéton Award en Wallonie. Celui-ci forme les adolescents dès 15 ans à accompagner les plus jeunes en toute sécurité. Résultat : un peu d'argent de poche pour les ados, une responsabilisation bienvenue, de la convivialité pour les enfants, et une vraie respiration pour les parents. Une solution concrète, collective et rassurante pour transformer la course effrénée du quotidien en un rythme plus serein.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Nos amis les chiens : des banques alimentaires pour animaux de compagnie et des toutous dans les hôpitaux

    Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 3:43


    C'est la Journée mondiale du chien et l'occasion parfaite pour rappeler à quel point nos compagnons à quatre pattes occupent une place centrale dans nos vies. En Belgique, plus d'un foyer sur deux possède aujourd'hui un animal domestique, un chiffre qui a explosé depuis la crise du covid. Mais accueillir un chien représente aussi un vrai budget, et certaines familles précarisées doivent parfois envisager l'impensable : l'abandon, faute de moyens.Pour éviter cela, des initiatives solidaires existent. Comme la BAPAC, une banque alimentaire pour animaux fondée à Courcelles, qui distribue chaque mois entre 150 et 300 kilos de nourriture, moyennant une participation symbolique. Ou encore les Gamelles du cœur, en région bruxelloise, qui soutiennent non seulement les bénéficiaires du CPAS mais aussi les personnes sans abri et leurs fidèles compagnons.Au-delà de l'aide matérielle, les chiens sont aussi de précieux alliés pour la santé et le moral. À Bruxelles, à l'hôpital des enfants, la petite chienne Tika contribue à réduire le stress des jeunes patients en soins intensifs. À Liège, l'asbl Un chien pour un sourire accompagne depuis plus de 20 ans les enfants hospitalisés grâce à la présence réconfortante d'animaux. Et dans plusieurs maisons de repos, les visites de chiens redonnent le sourire aux résidents, réduisent l'isolement et apportent du réconfort.Un bel hommage, en ce jour particulier, à ceux qui nous accompagnent, nous apaisent et nous rappellent combien la complicité entre l'homme et le chien est unique.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    "Tu ne peux pas changer les choses mais tu peux changer quelque chose"

    Play Episode Listen Later Aug 25, 2025 3:31


    Y'a de l'idée" est de retour dans la Nosta Family ! Rendez-vous le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 7h15.Une chronique quasi quotidienne pour réveiller l'inspiration et rappeler que des solutions existent, partout autour de nous, pour rendre notre quotidien plus doux et plus aligné.Depuis 2014, "Y'a de l'idée" met en lumière celles et ceux qui s'engagent, parfois à petite échelle, parfois à grande, pour transformer nos vies et notre société. Transition écologique, solidarité, santé, éducation, technologies ou économie collaborative : chaque domaine regorge d'initiatives qui nous prouvent qu'un avenir plus apaisé est possible. C'est cette "mélodie du bonheur" que la chronique veut amplifier, loin de la naïveté mais proche de l'essentiel : préserver notre santé mentale et cultiver l'espoir. Comme l'écrivait Toshikazu Kawaguchi dans Le café où vivent les souvenirs : "Tu ne peux pas changer les choses, mais tu peux changer quelque chose".Et si vous deveniez vous aussi les passeurs d'idées ? Envoyez vos témoignages, coups de cœur et découvertes à idee@nostalgie.be : l'association locale que vous admirez, une boîte à livres croisée en vacances, un compte Instagram qui inspire, ou simplement une petite habitude du quotidien qui rend la vie plus douce. Ensemble, avec toutes ces petites pierres, nous construisons un monde plus humain. Et chaque matin, à 7h15, "Y'a de l'idée" vient en faire l'écho.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie.be et sur toutes les plateformes d'écoute.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] « Quand on danse » : quand la danse s'invite dans les maisons de repos et auprès des malades

    Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 3:28


    Grâce à l'énergie de Laura Dethier - infirmière de formation - et de danseurs spécialement formés, les aînés, qu'ils soient debout, assis ou en fauteuil roulant, retrouvent le plaisir du mouvement et partagent des instants précieux, bien au-delà de la maladie et des différences d'âge. C'est Laura Dethier, infirmière de formation et danseuse qui a voulu rassembler ses deux passions pour faire du bien autour d'elle.Le programme Quand on danse est actuellement organisé par le Groupe santé CHC avec des danseurs, spécialement formés de la Mosa Ballet School. Ceux-ci se rendent dans 9 maisons de repos du Grand Liège (Mehagne, Heusy, Banneux, Landenne)… pour faire danser les ainés.Premier objectif : réveiller les âmes et de réchauffer les cœurs. La danse permet de créer du lien, de rompre la solitude, d'améliorer la confiance en soi, de travailler la mémoire… mais elle a aussi bien des vertus physiques en agissant sur la mobilité, la coordination, la souplesse, l'équilibre.Car ils inspirent, connectent, transforment, d'autres ateliers ont aussi été mis sur pied pour les personnes atteintes du cancer ou de la maladie de Parkinson. Cette formation est dispensée par Care to Dance, un programme de danse adaptée aux personnes malades.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] Les congés les plus insolites proposés par les entreprises à leurs employé·e·s

    Play Episode Listen Later Aug 11, 2025 3:47


    Aux Philippines, un député un précédemment déposé un projet de loi pour un "congé cœur brisé" à prendre en cas de rupture. Les personnes qui souffrent d'un chagrin d'amour peuvent prendre jusqu'à 3 jours de congé;Depuis 2017, en Angleterre, une entreprise du monde du spectacle octroie jusqu'à 4 jours de congés aux employés qui ont eu une soirée un peu trop arrosée.Une grande marque de prêt-à-porter offre un jour de congé par an à ses salariés pour fêter leur anniversaire.Depuis quelques années, certaines entreprises octroient des congés pour l'adoption d'un animal de compagnie. Au Japon, plusieurs sociétés offrent un jour de congé "gaming leave" pour profiter de la sortie d'un jeu vidéo très attendu. Dans la même veine, certaines entreprises offrent un congé "série" pour binge-watcher tranquille une série qui vient de sortir.En Angleterre et aux Etats-Unis, le "duvet day" est relativement célèbre : ce congé "cocoon" permet aux travailleurs qui ont la flemme de rester un jour sous la couette.Enfin, au Japon et en Angleterre, il y a des congés "non-fumeurs" : une manière de remercier les non-fumeurs de ne jamais faire de "pauses cigarette" et de ne pas tomber malade à cause de la clope. Un patron a estimé que le temps perdu par les employés à aller fumer flirtait avec les 16 jours de travail par an !Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] Pour protéger les victimes de violences sexuelles : « Appelle Alice » et un taxi viendra te chercher

    Play Episode Listen Later Aug 4, 2025 3:31


    Cette chaîne de solidarité est pensée pour accompagner, écouter et rassurer, du premier appel jusqu'au soutien médical et psychologique, et qui pourrait bientôt inspirer d'autres villes en Belgique… et ailleurs.Objectif : permettre aux victimes de violences sexuelles d'accéder rapidement et anonymement à un lieu sur où elles pourront être accompagnées avec bienveillance.Tu es concernée ? Voici comment ça marche :Appelle Alice au 02 349 44 22 : une personne formée t'écoute, te rassure et t'explique les options sans pression.Un taxi sécurisé t'est envoyé : le chauffeur est formé à la prise en charge des victimes. Le rendez-vous est fixé dans un endroit sécurisé et si ce n'est pas possible, il y a toujours une solutionUne fois arrivé.e dans le CPVS, tu es complètement pris.e en charge par une équipe médicale et psychologique. A partir de ce moment-là, « Appelle Alice » laisse la main au CPVS qui te donne tous les soins nécessaires et les infos pour t'accompagner dans tes besoins.Si Appelle Alice est effectif à Bruxelles, le projet pourrait s'étendre d'autres villes belges dans les prochains mois mais aussi à d'autres pays.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] Le bonheur et les mots qui le qualifient aux 4 coins du monde

    Play Episode Listen Later Jul 28, 2025 3:00


    On y avait réfléchi à l'occasion de la Journée mondiale des solitudes. Et on s'était rendu compte que les relations étaient au cœur d'une vie épanouie. Voici comment, parfois, des petits gestes, du bénévolat à une simple conversation, peuvent transformer notre quotidien… et celui des autres.Si le bonheur est universel, sa conception peut, elle, varier d'une culture à l'autre. Tour d'horizon des mots (et des philosophies) qui définissent cet état de bien-être. On passera notamment par l'Ecosse, l'Irlande, Hawaii ou encore la Finlande.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] Commerce équitable : jouez avec nous au Juste Prix !

    Play Episode Listen Later Jul 21, 2025 3:41


    La semaine du commerce équitable s'est déroulée du 2 au 12 octobre 2024. Le commerce équitable fait partie des Objectifs de Développement Durable de l'ONU.Premier jeu : "Le juste prix". Trouvez avec nous le montant que doit toucher un producteur de lait pour que ses frais de production soient couverts et que son salaire minimum soit garanti, pour un litre de lait.Deuxième jeu : "Des chiffres et des lettres". Avec les lettres suivantes : O-C-A-C-A, trouvez un des produits fair trade les plus vendus au monde. Parmi les produits très populaires, il y a le chocolat, les bananes, le café, les fleurs, le sucre, le coton...Enfin dernier jeu pour la route :" Questions pour un champion". Jouez avec nous : "Je suis conçu pour résister à des vitesses élevées, atteignant parfois plus de 100 km/h lorsqu'on me tape dedans. Je suis généralement composé de plusieurs panneaux, assemblés pour créer une forme aussi ronde que possible… ou ovales… tout dépend de ma pratique. Je suis utilisé dans des sports collectifs : comme le foot, le rugby, le basket, le volley. Mon histoire remonte à l'Antiquité et je suis labellisée Fair Trade depuis 2008."Alors ?Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] Papy Booom : des speed dating inter-homes et des sorties en discothèque pour les seniors

    Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 3:51


    Grâce à Youssef Kaddar et son équipe, speed dating, olympiades et même soirées en discothèque redonnent le sourire et tissent des liens précieux dans les maisons de repos. Une belle leçon d'énergie et de solidarité intergénérationnelle.L'objectif de Papy Booom : rompre l'isolement, casser la solitude, créer du lien et apporter de la joie aux personnes âgées.Au départ, Papy Booom était "juste" une websérie à retrouver sur YouTube. Mais l'idée s'est élargie.A l'initiative de cette asbl, Youssef Kaddar organise des speed dating inter-homes pour trouver l'amour et des amis, des Olympiades inter-homes pour se challenger mais aussi... des sorties en discothèque ! L'une d'elles s'est déroulée au Mirano à Bruxelles.Si Papy Booom va principalement dans des maisons de repos de Molenbeek, elle convie de plus en plus de résidences d'autres communes bruxelloises à ses événements.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] Fash fashion : l'impact écologique de la mode (et combien de temps porter son jean ?)

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 4:52


    En pleine période de soldes, on s'est demandé si on n'avait pas tout intérêt à repenser notre façon de consommer la mode ? Entre chiffres édifiants sur la surproduction textile et astuces pour une garde-robe plus responsable, vous allez découvrir comment acheter moins mais mieux, prolonger la vie de vos vêtements et faire rimer style avec durabilité. Parce que chaque choix compte pour la planète… et pour notre avenir ! D'après Ecoconso, 1 vêtement sur 3 présent dans notre garde-robe ne serait jamais porté.Pourtant, chaque année, ce ne seraient pas moins de 100 milliards de vêtements qui seraient vendus selon l'ADEME et, d'après McKinsey, près de deux tiers de l'ensemble de la production mondiale finissent dans des décharges ou des incinérateurs. Un véritable désastre écologique.La solution : acheter moins mais mieux. Comment ? En procédant par étape : 1. Trier et simplifier sa garde-robe, 2) prolonger la vie de ses vêtements, 3) emprunter et louer des tenus, 4) choisir des vêtements de seconde main et 5) acheter des vêtements écologiques et éthiques quand on ne sait pas faire autrement. C'est le b.a-ba de la pyramide de la mode durable.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    [BEST OF DE L'ÉTÉ] : La bibliothèque des éboueurs lancée à Ankara pour faire circuler la culture au lieu de la détruire

    Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 4:12


    Certains rusent de créativité pour faire connaitre la culture à toutes et tous. Dans le quartier de Cankaya, à Ankara, en Turquie, existe un lieu très particulier : la bibliothèque des éboueurs. Cette initiative est née du simple constat que les livres trouvés dans les poubelles méritaient mieux que la benne. Résultat : des milliers d'ouvrages désormais accessibles à tous… et même un camion-bibliothèque pour aller à la rencontre des familles.Chez nous aussi, les bibliobus continuent de faire escale dans les villages oubliés du réseau culturel. Car l'accès au livre, à l'imaginaire, à la culture, ce n'est pas un luxe : c'est un outil d'égalité et d'émancipation. Selon l'UNICEF, les enfants qui n'ont pas de livre à la maison ou de façon plus large, qui ne sont pas au contact de la culture, ont 30% de chances en moins d'acquérir des compétences de base que les autres enfants qui y ont accès.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams, à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Et si on vous offrait 100 minutes pour changer le monde ?

    Play Episode Listen Later Jun 29, 2025 2:39


    Clap de fin pour cette saison de Y'a de l'idée, mais c'est pas pour autant qu'on fera une pause au niveau de la solidarité ! Notre opération 100 minutes pour changer le monde revient pour une 11e édition consécutive, toujours avec le même objectif : offrir une tribune à celles et ceux qui, sur le terrain, œuvrent pour plus de justice, d'inclusion, de lien social ou de durabilité.À la clé ? Un espace publicitaire de 100 minutes sur nos antennes (Nostalgie, Nostalgie+, NRJ, NRJ+ et Chérie) pour promouvoir leur action.L'année dernière, 15 associations ont été soutenues. Parmi elles :Cozywheels, plateforme de partage de voitures et vélos entre voisins. Bras dessus, bras dessous, qui lutte contre l'isolement des personnes âgées. Sur le bout des doigts, seule compagnie de théâtre bilingue français–langue des signes.RadiOrg, pour la mise en lumière et la défense des droits des personnes atteintes de maladies rares.Escapade, qui propose un parrainage pour enfants isolés.Team4Job, un programme de mentorat emploi intergénérationnel.Si vous connaissez ou faites partie d'une association qui répond à cette philosophie, rendez-vous sur nostalgie.be pour déposer votre candidature avant le 23 août.Et si vous avez vent d'une belle initiative, locale ou à l'autre bout du monde, n'hésitez pas à nous écrire à idee@nostalgie.be. Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Tourisme durable : comment le domaine des Trois Tilleuls assure la régénération écologique et minimise son empreinte carbone

    Play Episode Listen Later Jun 28, 2025 3:25


    Le Domaine des Trois Tilleuls, c'est est bien plus qu'un lieu de séjour. C'est un projet familial, éthique et écologique, porté par Tanguy Thibaut de Maisières ses frères et sœurs. Tous désirent faire vivre leur patrimoine, en assurer la résilience économique tout en répondant aux défis contemporains. Leur solution ? La création d'un mini-village composé de quatre cabanes en bois, conçues avec un souci aigu de l'impact environnemental. La question de base était la suivante : Comment à la fois minimiser l'empreinte carbone et créer un impact environnemental positif ?Les cabanes, sur pilotis et sans fondations, fonctionnent avec des toilettes sèches et un système de recyclage de l'eau. Une conception pensée pour ne pas abîmer le sol, mais au contraire, le nourrir. Les revenus générés servent à des actions concrètes de régénération, comme la plantation de saules le long d'une rivière érodée : "tout un système de régénération".Mais l'ambition du domaine va au-delà de la nature. Il s'agit aussi de proposer une expérience transformative pour les visiteurs : "Vivre un moment qui leur permet ensuite de repartir et de vouloir potentiellement avancer sur leur chemin, pouvoir se régénérer" explique Tanguy.Le Domaine des Trois Tilleuls est un projet faisant partie de la coalition belge des écopreneurs Kaya, mise en avant chaque mois dans Y'a de l'idée. Et son propriétaire en est convaincu : "être entouré, c'est essentiel. On est tellement nombreux à vouloir faire bouger les lignes mais on ne le voit pas, car on reste tous dans notre coin". Aujourd'hui, Tanguy a trouvé sa raison d'être: "concevoir un lieu où l'ensemble du Vivant peut vivre en harmonie".Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Avez-vous bien écouté "Y'a de l'idée" cette année ? Interro surprise pour tester vos connaissances !

    Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 3:30


    Cette année encore, votre chronique sur la transition écologique, économique et sociale a mis en lumière des initiatives constructives qui visent un monde plus joyeux, plus solidaire, plus respectueux de la planète et des humains. On a notamment pris la direction d'Ankara en Turquie où cela fait plusieurs années que des éboueurs ont lancé un projet pour favoriser l'accès à la culture. De quoi s'agissait-il ? La réponse ici ! En France, une maison d'édition baptisée Novice a le chic de donner leur chance à des écrivains en herbe. Que fait-elle exactement ? La réponse ici ! A l'occasion du blue monday, on avait parlé des mots qualifiant le bonheur dans diverses parties du monde. On avait notamment souligné tout l'art de vivre à l'irlandaise. Découvrez ce terme bien spécifique.Autre mot mis en avant dans Y'a de l'idée cette saison : la maison kangourou. Sa configuration favorise l'entraide et la réduction des coûts. Découvrez à qui s'adresse ce genre d'habitat partagé.Enfin, l'asbl bruxelloise Papy Booom propose des concepts fun et pavés de bonnes intentions dans les maisons de retraite. Il est question de speed dating inter-homes mais pas que...Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Vacances, camping et van life : des applis pour tous les goûts et tous les styles

    Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 4:06


    Quelques idées pour vous inspirer : Park4night : la bible des personnes qui aiment la van life. Même logique pour Campy avec ses filtres "bonne pizza", "piscine chauffée", "randonnées", "enfants"... et Campercontact.Welcome to my garden : pour planter votre tente gratuitement dans le jardin d'un particulier (mais sans commodités) Campspace : un particulier vous accueille dans son jardin, avec parfois une infrastructure comme une cabane... France Passion : vous dormez gratuitement chez des vignerons, chez des apiculteurs ou encore des producteurs de fromageAgricamper Italia : vous logez dans des fermes bio, des oliveraies... avec des dégustations à la cléNaturiste par nature : l'application pour les adeptes de la tenue d'Adam, pour trouver des spots naturistes à la campagne en France. Un petit truc : n'hésitez pas à filtrer et à choisir des lieux calmes, spécialement conçus pour les enfants, animaux de compagnie bienvenus... Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    "Osez croire en vos rêves et rendez-les possibles" : le message de Madame Bricola, bricoleuse pro

    Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 2:34


    Anne Liesse alias Madame Bricola a de l'or dans les mains, et une bonne dose d'audace. Cette Bruxelloise passionnée de bricolage depuis l'enfance a lancé son activité de rénovation légère et de réparation… à vélo cargo ! Mais au-delà du geste pratique, Anne manie aussi le marteau pour déconstruire les clichés : oui, une femme peut manier la disqueuse, le marteau-piqueur ou la scie sauteuse – et en faire un métier porteur de sens.Elle nous parle de son parcours, de son envie de contribuer à une société plus juste, et de son projet d'économie circulaire autour des objets chargés d'histoire. Une voix inspirante qui rappelle que croire en ses rêves, c'est parfois aussi réparer un peu le monde.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Musique et solidarité : 3 initiatives qui soutiennent, réconfortent et luttent contre la précarité culturelle

    Play Episode Listen Later Jun 21, 2025 2:27


    Le 21 juin, c'est la fête de la musique. L'occasion de célébrer les rythmes qui nous rassemblent, qui font danser les corps… et vibrer les cœurs. Mais si la musique est un langage universel, son accès reste parfois inégal. Alors, pour que chacun puisse en profiter, certaines initiatives font bouger les lignes.À Bruxelles, l'Ancienne Belgique distribue des tickets solidaires : plus de 6.000 places de concert offertes depuis trois ans à des personnes en situation de précarité ou nouvellement arrivées en Belgique. Un geste simple, financé par des dons, quelques centimes sur une boisson ou quelques euros ajoutés au prix du billet.Même élan du côté des Festivals de Wallonie, qui proposent eux aussi des tickets solidaires. Une manière d'ouvrir la musique classique – parfois mêlée à des sonorités électro – à un public plus large, curieux ou peu habitué.De son côté, le collectif Sounds for the Soul organise des mini-concerts acoustiques dans des hôpitaux ou des maisons de repos, apportant des instants de réconfort là où on ne les attend pas.Enfin, l'asbl Remua fait entrer la musique dans les écoles de quartiers fragilisés à Bruxelles et à Liège. Chant, percussions, découvertes musicales… Une clé d'expression pour les enfants qui en ont souvent le plus besoin.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

    Fun et gourmandes : 3 manières insolites de découvrir des boulangeries artisanales

    Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 3:37


    Et si votre prochain jogging vous emmenait… dans une boulangerie ? C'est le concept original des Bakery Runs, lancé à Bruxelles par Tartine et Boterham, le guide des meilleures boulangeries artisanales à Bruxelles et en Walonie. Une fois par mois, des groupes de coureurs parcourent 15 km à un rythme tranquille, avec trois pauses gourmandes dans des boulangeries locales. On visite les coulisses, on rencontre les artisans… et on déguste leurs spécialités. La première édition a lieu le samedi 28 juin à 9h30 à Schaerbeek. Participation : 10 €.Pas fan de course à pied ? Les Bakery Tours sont faits pour vous : des balades de deux heures dans différents quartiers de Bruxelles, ponctuées d'arrêts dans des boulangeries soigneusement sélectionnées. Le prochain a lieu ce samedi 21 juin à Saint-Gilles, avec des passages chez La Boule, Boulengier et Ginko. Attention, les places sont limitées et les prochaines dates ne reviendront qu'à la rentrée.Et en France, certaines boulangeries se transforment carrément en pistes de danse ! Avec les Bakery Sessions, le DJ Aazar installe ses platines au milieu des croissants pour ambiancer les petits-déjeuners. Bob Sinclar lui-même a joué dans une boulangerie parisienne en mars dernier. Objectif : faire vivre autrement ces lieux emblématiques. Une idée qui pourrait bien traverser la frontière… Toutes les infos pratiques sur nostalgie.be.

    Sommeil et éducation : pourquoi faire la grasse matinée et commencer les cours plus tard semblent tout benef pour ces étudiants suédois

    Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 3:51


    Le collège de Kronängsskolan près de Stokholm a décidé de décaler l'heure de début des cours de 8h15 à 9h15. Et les effets sont flagrants : moins d'absences, moins de stress, des élèves plus attentifs… et des profs plus détendus.L'école s'appuie sur une étude scientifique qui prouve qu'à la puberté, le rythme biologique se décale. Les ados s'endorment plus tard, mais doivent quand même se lever tôt — d'où un manque de sommeil chronique, lié à des troubles de l'attention, de la mémoire, voire de l'humeur ou du métabolisme. Résultat : une petite heure de plus au lit, et tout le monde se sent mieux.Les profs aussi sont plus détendus, et l'heure dégagée le matin est mise à profit deux fois par semaine pour un accompagnement plus individualisé. Seule contrainte : une fin de journée décalée à 16h… mais qui semble plutôt bien acceptée.A noter que manquer de sommeil nous ferait nous sentir… plus vieux que notre âge réel. Or, ce ressenti, appelé "âge subjectif", joue un vrai rôle sur notre santé mentale. En Suède, des chercheurs ont même montré que les personnes qui se sentent plus jeunes que leur âge vivent plus longtemps… et en meilleure santé. Vous aimez ce contenu ? Abonnez-vous, partagez et donnez-lui des étoiles pour propager les idées qui font avancer le monde !Une chronique signée Leslie Rijmenams, à retrouver sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Construction durable : pourquoi isoler son habitation avec des matériaux biosourcés... et le faire en été ?

    Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 3:29


    Les matériaux biosourcés, composés à 70 % de matières naturelles comme le bois, la cellulose, l'herbe ou le chanvre, s'imposent comme une alternative durable et performante. Leur utilisation est d'autant plus cruciale que la construction est le deuxième secteur le plus émetteur de CO₂, devant la mobilité !Arnaud Vierendeel, patron d'Isolution le rappelle : "Il vaut mieux bien isoler nos bâtiments avant de s'attaquer à la mobilité." En effet, la moitié des émissions du secteur provient de la fabrication des matériaux : opter pour des biosourcés, beaucoup moins énergivores à produire, c'est agir concrètement pour le climat.Ces matériaux offrent aussi d'excellentes performances acoustiques et protègent du froid comme de la chaleur, été comme hiver. De quoi passer un été au frais, sans climatisation, et un hiver bien au chaud.Côté prix, l'écart avec les isolants synthétiques s'est réduit, grâce à la hausse du coût de l'énergie. Et en Wallonie, des surprimes soutiennent l'usage des biosourcés, encourageant ainsi l'emploi local et la réindustrialisation.En résumé : mieux isoler, c'est réduire jusqu'à 70 % des pertes de chaleur, lutter contre la précarité énergétique et soutenir une filière locale, tout en préservant la planète.Vous aimez ce contenu ? Abonnez-vous, partagez et donnez-lui des étoiles pour propager les idées qui font avancer le monde !Une chronique signée Leslie Rijmenams, à retrouver sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Nouveaux récits : changer le monde, c'est (aussi) changer d'histoires

    Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 2:55


    Difficile de nous défaire des récits dominants et des imaginaires colletifs. Activiste pour la justice climatique, Colas Van Moorsel nous invite à inventer, collectivement, des histoires qui donnent envie d'agir et de rêver à un futur positif. Selon lui, trois grands secteurs ont un impact considérable sur la manière dont on perçoit le monde. Et notamment le cinéma. "Imagine l'impact que ça pourrait avoir de voir des films pendants un an où c'est juste normal d'aller à l'école à vélo, où c'est normalisé de manger de la viande une fois par semaine. Il est essentiels que des mediums comme le cinéma, la pub, les influenceuses et influenceurs... montrent qu'on peut très bien être très heureux ou heureuse en ayant un mode de vie par exemple plus écoresponsable".Pour mettre en lumière les récits dominants qui véhiculent des modèles peu durables ou des visions alarmistes qui freinent l'action, Colas organise l'atelier "La fresque des nouveaux récits". Celui-ci permet de faire comprendre les freins socio-cognitifs et à co-écrire ensemble des histoires positives, inspirantes et solidaires. Son but : imaginer un futur désirable, conciliant respect des limites planétaires et justice sociale, et montrer que d'autres façons de vivre sont non seulement possibles, mais aussi souhaitables.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Océan climat et biodiversité : comment agir pour protéger le premier poumon de la planète?

    Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 4:31


    La moitié de notre oxygène vient de la mer, soit un souffle sur deux ! Grâce au phytoplancton, ces microalgues microscopiques, l'océan est le premier poumon de la planète. En captant le CO2 et en rejetant de l'oxygène via la photosynthèse, il régule notre climat et rend la vie possible.Mais cet équilibre est fragile et est menacé. Le dérèglement climatique réchauffe les eaux, les rend plus acides, et nuit à la survie du plancton et de toutes les espèces qui y vivent, y compris coraux qui sont les véritables forêts de nos mers. À cela s'ajoutent la surpêche, les filets géants qui raclent les fonds marins, et les déchets plastiques qui étouffent les écosystèmes. Résultat : tout l'océan souffre, et la biodiversité marine s'effondre peu à peu.Alors que se tient à Nice la conférence « Océan » de l'ONU, chacun peut agir, même à petite échelle. Un outil utile pour les consommateurs : le Consoguide du WWF. Il classe les poissons à consommer selon leur impact écologique, leur période de reproduction ou leur méthode de capture. Un bon moyen de faire des choix plus éclairés, sans renoncer au plaisir de manger du poisson.Car préserver les mers, c'est préserver notre souffle, notre alimentation… et notre avenir.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Réconfort et mieux être pour les femmes atteintes du cancer : rencontre avec la fondatrice de "Un foulard pour un sourire"

    Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 2:42


    Et si un foulard devenait un outil de reconstruction ? L'association Un foulard pour un sourire mêle art et bienveillance : elle imprime ses tableaux sur des tissus doux, adaptés aux peaux sensibilisées, pour en faire des foulards ou des vêtements confortables et colorés.L'idée ? Aider les femmes à retrouver une forme de féminité et de confiance en elles, malgré les traitements, la perte de cheveux ou les changements physiques. Couleurs vives, coupes adaptées, relooking et coaching : chaque geste compte pour réconcilier le corps avec l'image qu'on en a, et permettre à ses bénéficiaires de se sentir belles.Ce projet lumineux et profondément humain est totalement gratuit pour les bénéficiaires.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Alimentation saine, durable et de proximité : à quoi servent les légumeries ?

    Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 2:54


    À Chênée, en province de Liège, Terra Alter opère comme un intermédiaire entre les producteurs locaux et les cuisines collectives.Arthur Lismonde est responsable de cette légumerie. Sur place, il nous explique que 90 % des légumes traités proviennent des fermes liégeoises, garantissant ainsi fraîcheur et proximité. "Dès leur livraison, les produits bio passent dans une éplucheuse qui prépare les légumes pour ensuite être finalisés par des opérateurs minutieux. Ce procédé, qui allège considérablement le travail des collectivités – cantines, crèches, hôpitaux, écoles – crée un véritable pont entre l'agriculture et la restauration collective".Terra Alter va bien au-delà du simple traitement des légumes. En favorisant un circuit court, cette initiative renforce les liens avec les agriculteurs qui n'hésitent pas à livrer directement leurs surplus. Mêlant tradition et modernité, le projet s'inscrit dans la dynamique des premières ceintures alimentaires instaurées en 2013, visant à décarboner et démocratiser une alimentation de qualité pour tous.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Justice climatique : et si on construisait le monde de demain avec des nouveaux récits rassembleurs et positifs ? (ITW complète)

    Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 14:07


    C'est quoi un récit et c'est quoi un récit dominant ? En quoi sont-ils si importants dans notre manière de voir et de percevoir le monde, de l'imaginer ? Pourquoi nous paralysent-ils parfois ou nous démotivent ? Quels sont les secteurs qui peuvent particulièrement se remuer pour tenter de changer les perceptions et imaginer d'autres possibles dans un monde meilleur ?Avec Colas Van Moorsel, fondateur de la chaine Autrement, nous verrons pourquoi il est important - si pas vital - de créer de nouveaux récits, ensemble, plus positifs, plus désirables, pour imaginer et façonner un futur souhaitable, notamment face aux enjeux climatiques.Après tout, qui voudrait d'un monde dystopique comme il est si régulièrement dépeint dans les films? Nous verrons comment nous mettre en action et comment nous rassembler pour faire société et imaginer une vie future heureuse. On vous le dit déjà : une des clés, c'est participer à la Fresque des Nouveaux Récits.La suite dans l'interview complète de Colas Van Moorsel.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Habitat partagé : des colocations pour les parents solos avec leurs enfants

    Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 4:06


    Quand on élève un enfant seul, tout repose sur ses épaules : les repas, les factures, l'organisation, les imprévus… Pour alléger ce quotidien souvent épuisant, l'initiative Ernest Living propose un habitat partagé pensé pour les parents solos. À Bruxelles et bientôt à Namur, des maisons sont réaménagées avec des chambres privées, des cuisines communes et des espaces collectifs pensés pour favoriser l'entraide.Faire les courses ensemble, partager un repas, garder les enfants à tour de rôle… ici, la solidarité est au cœur du projet. Et le modèle séduit : à Koekelberg, les loyers restent abordables, et les liens créés entre habitantes permettent de rompre l'isolement tout en allégeant la charge mentale.Une solution concrète dans un contexte bien réel : à Bruxelles, un tiers des familles sont monoparentales, et dans la majorité des cas, ce sont des femmes qui portent seules toute la responsabilité. Avec Ernest Living, c'est une forme d'économie solidaire et humaine qui se met en place, à taille humaine.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Blocus sans panique : les applis qui transforment la révision en réussite

    Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 2:54


    Plusieurs applications au menu du jour pour rendre l'étude un peu plus fun, voir un peu plus fluide. Studizy, une application belge imaginée par deux anciens étudiants en droit qui connaissent bien la galère des examens. Leur idée ? Partir du profil de chaque étudiant – mémoire visuelle, auditive, logique, habitudes de travail – pour proposer un parcours de révision vraiment personnalisé. Rétroplanning sur-mesure, fiches synthétiques, cartes mentales, quiz, podcasts de révision à écouter partout : Studizy devient une boîte à outils modulable qui s'adapte à chaque façon d'apprendre, pour réduire la charge mentale et structurer les révisions. Anki et Quizlet pour les flashcards et les quiz Uptime pour résumer l'essentiel en 5 minutesMindNode et XMind pour organiser visuellement ses idées. De quoi transformer la corvée du blocus en un défi plus accessible et même, parfois, stimulant.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Quand les musées soignent : à Sprimont, les médecins peuvent rédiger des prescriptions muséales

    Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 2:25


    Dans cette approche complémentaire à un suivi thérapeutique classique, l'art devient un outil de soin émotionnel, mental, mais aussi social. Née à Montréal en 2018, cette idée a déjà conquis une dizaine de musées à Bruxelles. Et elle arrive aujourd'hui en Wallonie, avec un tout premier établissement pionnier : le Centre d'interprétation de la pierre de Sprimont, en province de Liège.Ici, deux options s'offrent aux patient.e.s : venir librement visiter le musée sur présentation de leur prescription, ou s'inscrire à un cycle d'ateliers encadrés, proposés deux mercredis par mois. Objectif : rompre avec l'isolement, découvrir son environnement sous un nouveau regard… et rencontrer d'autres personnes.À Sprimont, c'est la pierre bleue, omniprésente dans la région, qui sert de fil conducteur. Une manière poétique et sensorielle de se reconnecter à son territoire, à ses émotions… et à soi.Une démarche qui illustre une tendance plus large : celle de reconnaître la culture comme un véritable levier de santé publique. En 2019, l'OMS recommandait déjà la pratique artistique comme moyen de renforcer le bien-être. Aujourd'hui, même l'exposition à l'art – en tant que spectateur – est envisagée comme un soutien précieux.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Santé, habitat, planète : quels matériaux choisir pour construire ou rénover sans (se) faire du mal ?

    Play Episode Listen Later May 31, 2025 4:43


    Lorsqu'on construit ou qu'on rénove, on pense rarement à questionner les matériaux proposés. Par habitude ou par manque d'information, le réflexe est souvent d'accepter ce que l'entrepreneur ou l'architecte recommande. Pourtant, ces matériaux ont un poids bien réel sur notre environnement… et sur notre qualité de vie.C'est pour faire évoluer les pratiques que l'architecte Margaux Cambier, experte et ambassadrice en matériaux de construction durables a cofondé fondé Natura Mater, une entreprise de conseil et de formation destinée aux professionnels du bâtiment. Son objectif : faire sortir les matériaux durables de la niche… pour en faire la norme.Car selon elle, réfléchir aux matériaux, c'est autant une question d'écologie que de santé publique. Qualité de l'air intérieur, humidité, acoustique : autant d'aspects influencés par ce que l'on choisit d'intégrer à nos murs. Et ce n'est pas un détail : nous passons 90 % de notre temps à l'intérieur, alors que l'air intérieur est jusqu'à 8 fois plus pollué que l'air extérieur.Chez Natura Mater, la méthode repose sur trois grands axes :Réemploi, d'abord : éviter de produire ce qui existe déjà.Biosourcé, ensuite : utiliser des matériaux comme le chanvre, l'herbe, ou même… les coquillages, qui captent du CO₂ et régulent naturellement l'environnement intérieur.Improve, enfin : recourir à des matériaux classiques, mais améliorés, comme la chaux ou le verre bas carbone, quand les deux premières options ne suffisent pas.L'idée n'est pas d'imposer, mais de guider. De proposer des alternatives locales, simples, parfois inattendues, mais toujours pertinentes. Parce que dans un monde en transition, chaque mètre carré compte.Natura Mater fait partie de KAYA, la coalition belge des écopreneurs que Y'a de l'idée met en avant chaque mois.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Etudiants engagés : les HERA Awards récompensent des mémoires qui changent le monde et ouvrent l'esprit

    Play Episode Listen Later May 26, 2025 3:48


    En cette période de blocus, un petit clin d'œil à tous les étudiants et étudiantes qui planchent sur leur mémoire ou leur thèse. Un travail de longue haleine, souvent dans l'ombre… mais qui peut parfois rayonner bien au-delà des murs de l'université.Chaque année, la Fondation pour les Générations Futures lance un appel à candidatures pour ses HERA Awards. Ces prix récompensent les travaux de fin d'études qui abordent les enjeux du développement durable, quel que soit le domaine : droit, économie, éducation, agriculture, architecture… ou même culture !Voici 3 exemples : Sobriété dans les musées : Oriane Tasiaux, de l'Université de Liège. Elle s'est interrogée sur le fonctionnement des musées à l'heure de la transition écologique. Faut-il continuer à accumuler les œuvres à tout prix ? À multiplier les expositions itinérantes malgré leur empreinte carbone ? Sa recherche interroge cette logique d'abondance permanente et propose des alternatives plus sobres et durables.Reconstruire autrement après un séisme : Alice Rigaut, étudiante en architecture à Tournai a voyagé dans les villages touchés par le séisme au Maroc en 2023. De ces rencontres est née une réflexion très concrète : comment reconstruire en respectant les traditions locales, en utilisant des matériaux disponibles sur place comme la pierre ou le bois… tout en pensant aussi à la vie collective ? Dans ses projets : une école, une bergerie, une laverie — des lieux pensés pour recréer du lien, de l'activité, et un vrai renouveau local. Femmes et agriculture durable : Sophie Henrotte, de l'UCLouvain a exploré un sujet rarement mis en lumière : le rôle du genre dans les pratiques agricoles durables. Les femmes, dit-elle, seraient souvent plus enclines à adopter des pratiques respectueuses du vivant — mais dans un secteur encore très patriarcal, leur parole a du mal à se faire entendre. Son mémoire propose des leviers concrets : soutien, formation, groupes de solidarité entre agricultrices… pour mieux faire reconnaître leur rôle essentiel dans la transition agroécologique.Ces travaux ont en commun une approche systémique, engagée, qui vise à construire des solutions pour demain. Et ils montrent à quel point les jeunes générations ont des choses à dire — et à proposer.

    Economie du zèbre VS licornes : et si l'entreprise pensait plus "robustesse" que "performance" ?

    Play Episode Listen Later May 25, 2025 3:08


    À quoi ressemblerait une économie qui ne serait plus guidée uniquement par le profit, la course à la croissance et la rentabilité immédiate ? Une économie qui aurait pour boussole le bien commun, la coopération, la résilience… Une économie, en somme, qui préférerait les zèbres aux licornes.Si le concept de l'économie du zèbre est encore jeune, il prend de l'ampleur. Cette philosophie est née aux Etats-Unis il y a près de dix ans avec une volonté : celle de faire émerger un nouveau modèle entrepreneurial. Un modèle économiquement viable, bien sûr, mais aussi socialement et écologiquement bénéfique.Les entreprises zébrées sont comme des écosystèmes. Elles ne travaillent pas contre la société, mais avec elle, voire pour elle. "L'idée, c'est de faire le bien en faisant bien" explique Anne Gillet, co-organisatrice de l'événement "L'économie zébrée : un espoir réel pour une nouvelle ère de la prospérité". Elle fixe rendez-vous le 5 juin 2025 à Uccle.Au programme : des conférences, des témoignages, mais aussi des moments de réseautage pour créer des ponts, faire émerger des idées et pourquoi pas, initier de nouveaux projets zébrés en Belgique francophone.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Se loger autrement : le co-living, ce type de colocation où chacun garde son intimité

    Play Episode Listen Later May 24, 2025 3:07


    Maison Cokoon, c'est le projet de Christophe Parot et Anne Lange, désireux d'offrir des maisons de co-living à tous types de profils. Y'a de l'idée a été visité la maison d'Ixelles, qui, à l'image de celle ouverte à Uccle, offre à chaque locataire "une suite avec une kitchenette et une salle de bain privée". A côté de ça, ils partagent "un grand jardin, une cuisine commune, des repas et de la bienveillance". On y croise des jeunes actifs, des parents solo, des diplomates de passage en quête de simplicité organisationnelle ou encore des seniors en quête d'ancrage et de contacts... tout en gardant leur intimité. Le mot d'ordre : le respect. Preuve en est l'espace que les locataires peuvent privatiser pour inviter leur famille ou leurs amis sans déranger le reste de la maison. Une alternative aux colocations traditionnelles, qui donne un goût de foyer à celles et ceux qui vivent seul.e.s. Et une piste de réflexion, aussi, pour réinventer le vivre-ensemble à tout âge.D'autres projets comme Cohabs ou Ikoab explorent cette voie du logement partagé nouvelle génération. Une tendance qui n'a pas fini de faire parler d'elle…Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.

    Claim Y'a de l'idée

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