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Émission du 19 Mars 2025, les pieds sur terre, la tête dans les étoiles- Ojectif Mayday ! Un dialogue de Luigi- Des fusées nazies aux astrocapitalistes du new-space, une rencontre avec Irénée Régnauld, rencontre de Namé, Luigi aux ciseaux*- Les nazes et les nazis – entretien d'embauche par Namé feat le Frigo- « A tous les DDO attention au départ ! », dialogue de Luigi- Brasser du vide, une astro-capsule de Namé- New colonialism, projection martienne de LuigiMUSIQUESPortishead – Wandering starRien Virgule – Les intrus du cosmosIppon – Space MajorAvec les voix, les stylos et les souris du Frigo, de Luigi et de Namé* auteur d'un ouvrage publié à la Fabrique : https://lafabrique.fr/une-histoire-de-la-conquete-spatiale/Image : 1950, premier lancement d'une fusée à Cap Canaveral en Floride
Direction Fort Pierce en Floride. On est ici à 2h au nord de Miami, à 1h au Sud de Cap Canaveral, devant une clinique où l'on pratique l'avortement. Tout autour du bâtiments des opposants à l'IVG tentent de dissuader les femmes qui viennent ici. A tel point que des bénévoles escortent les jeunes femmes depuis leur voiture jusqu'à l'entrée. Ecoutez L'Amérique dans tous ses états avec Arnaud Tousch du 22 août 2024.
Direction Fort Pierce en Floride. On est ici à 2h au nord de Miami, à 1h au Sud de Cap Canaveral, devant une clinique où l'on pratique l'avortement. Tout autour du bâtiments des opposants à l'IVG tentent de dissuader les femmes qui viennent ici. A tel point que des bénévoles escortent les jeunes femmes depuis leur voiture jusqu'à l'entrée. Ecoutez L'Amérique dans tous ses états avec Arnaud Tousch du 22 août 2024.
This is the USA Time Podcast : the LCE English class presentations about the United States of America. Enjoy !Les élèves de la classe d'anglais LCE vous présentent "USA Time", leur podcast sur les Etats Unis. Enjoy !Podcast réalisé les élèves avec l'encadrement de Mme Dulong (enseignante en anglais) et Mme Dubos (enseignante documentaliste).Episode 12 (finale) : Alexandra and Camille are talking about NASA and the American Space program, then present Cape Canaveral / Alexandra et Camille nous parlent de la NASA et du programme spatial Américain, puis présentent Cap Canaveral".Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
José Raul Mulino, un avocat de 64 ans, a obtenu plus de 34% des suffrages, neuf points devant son principal adversaire, l'ancien consul Ricardo Lombana. Le correspondant de RFI Grégoire Pourtier raconte comment, en février 2024, son prédécesseur Ricardo Martinelli avait dû abandonner la bataille électorale après avoir été condamné à dix ans de prison pour blanchiment. Son vice-président potentiel, José Raul Mulino, avait alors repris le flambeau – sans avoir son charisme. Sa victoire connue, il a interpelé son « ami » Ricardo Martinelli, lui lançant : « mission accomplie ».Dans la presse panaméenne, La Estrella rappelle qu'après avoir été condamné, Ricardo Martinelli s'était réfugié le 7 février dernier (2024) dans l'ambassade du Nicaragua, avant de désigner José Raul Mulino, pour le remplacer à la candidature pour la présidence. Ce qui, écrit Mi Diario Panama, n'a pas été un handicap pour Mulino, qui était déjà « un acteur clé de la politique panaméenne ». La question, écrit La Estrella, est maintenant de savoir « quelle sera l'influence de Martinelli dans son administration », d'autant, écrit Midiario, que le nouveau président a déjà promis à son prédécesseur de l'aider – dans le cadre de la loi, provoquant « beaucoup de froncements de sourcils ». Peut-être est-ce la raison pour laquelle José Raul Mulino a promis dans son discours de victoire « un gouvernement d'unité, qui ne cherche pas les confrontations », rapporte La Prensa. Et déjà, écrit Midiario, « Mulino a surpris en révélant qu'il avait parlé avec son adversaire Romulo Roux, avec qui il prévoit de se réunir pour discuter de la manière d'avancer ensemble pour le bien du pays ».La question est, explique Claire Nevache-Weill, doctorante à l'Université libre de Bruxelles et chercheuse associée au Centre international d'études politiques et sociales au Panama, de savoir si le nouveau président va octroyer une grâce présidentielle à son prédécesseur pour qu'il puisse sortir de l'ambassade, ou un sauf-conduit pour qu'il puisse s'exiler au Nicaragua. En tous cas, l'élection de ce dimanche montre que Ricardo Martinelli « continue d'être un personnage de premier plan de la politique panaméenne », capable de mobiliser 30% d'électeurs à chaque élection. Et il continue d'avoir « une relation directe avec la société panaméenne » – par l'intermédiaire du réseau X notamment. Ce sera très difficile pour le nouveau président de faire l'impasse sur les opinions de son prédécesseur, d'autant que les deux-tiers de la population, selon les enquêtes d'opinion, estiment que la justice agit de manière partiale concernant Ricardo Martinelli. Et les cinq ans de sa présidence ont été cinq années de croissance historique du Panama.Mais aujourd'hui, explique la chercheuse, le pays n'est pas dans une bonne situation économique ou sociale – avec notamment un accès à l'eau potable déficient, qui a empiré ces dernières années pour cause de changement climatique, et une croissance urbaine non maîtrisée. Autres sujets : la corruption, et les contrats miniers – la grande mine de cuivre de Panama Minera a connu six semaines de conflit social l'an dernier (2023), « le plus important de ces 35 dernières années ».Enfin, sur la question de l'immigration, le président, alors qu'il était candidat, a eu des positions extrêmement conservatrices, parlant de fermer la frontière et d'empêcher les migrants de rentrer par la frontière avec la Colombie. L'an dernier, il y a eu environ 2 000 entrées par jour – 500 000 sur l'année, pour un pays de 4 millions d'habitants. Un chiffre à nuancer, explique Claire Nevache-Weill, puisqu'il s'agit d'une migration de transit – directement d'une frontière à l'autre, par bus. Si la pression est importante pour la région de la frontière, cette crise reste lointaine pour le reste du pays – et n'a donc pas eu beaucoup d'impact sur la campagne électorale. En Haïti, « les États-Unis vont enfin commencer à équiper la PNH »« Des équipements du package de 70 millions de dollars d'aide à la sécurité d'Haïti doivent arriver sous peu », écrit Le Nouvelliste. Selon une source du journal, la police devrait recevoir, courant mai début juin 2024, dix blindés. La PNH doit aussi recevoir des drones. D'ici fin mai, un contingent kenyan de la mission multinationale de soutien à la sécurité doit arriver à Port-au-Prince, « leur base principale est en chantier dans les parages de l'aéroport international Toussaint Louverture », mais « les troupes du Kenya seront aussi déployées sur d'autres sites », affirme cette source. Gazette Haïti reprend un article du Miami Herald daté de vendredi, dans lequel un responsable américain affirme que le déploiement initial doit coïncider avec l'arrivée du président kenyan William Ruto à Washington le 23 mai – une visite d'État pour marquer le 60éme anniversaire des relations diplomatiques entre les États-Unis et le Kenya. Retour de la pluie et fin du rationnement électrique en Équateur Les coupures d'électricité doivent cesser ce lundi 6, jusqu'à dimanche prochain (12 mai 2024). Les pluies de ces derniers jours, explique El Universo, ont permis d'améliorer les niveaux des réservoirs, et se sont ajoutées à l'achat d'énergie à la Colombie, selon le ministre de l'énergie.Les coupures avaient débuté le 16 avril 2024, suite à la sécheresse que connaît le pays, rappelle Vistazo. En plus de la sécheresse, les chutes de la production du secteur électrique seraient aussi dues à un supposé sabotage actuellement en cours d'investigation. L'ancienne ministre de l'Énergie avait été poussée à la démission par le président Daniel Noboa et accusée, avec 21 autres personnes, de « trahison à la patrie ». Décollage prévu ce lundi pour StarlinerLe vaisseau de Boeing se prépare à décoller de Cap Canaveral avec ses premiers astronautes – dans le cadre d'un contrat avec la NASA.LeWashington Post souligne que le décollage est prévu alors que le géant de l'aérospatiale fait face aux problèmes de sa division aéronautique – une porte qui disparaît en plein vol, laissant un trou béant ; des lanceurs d'alerte qui affirment avoir été menacés pour avoir parlé de problèmes de sécurité… Mais le programme Starliner a lui aussi connu toute une série de problèmes qui ont retardé son lancement de plusieurs années.Le vol de ce lundi (6 mai 2024) est un vol d'essai. Objectif : voir comment le vaisseau se comporte dans l'espace, avec un équipage. Si tout va bien, une journée après son décollage, Starliner va s'amarrer à la station spatiale internationale. Dans le journal de La 1èreEn Guyane, des rendez-vous à la sous-préfecture de Saint-Laurent du Maroni facturés entre 20 et 250 euros : c'est ce que dénoncent les étrangers qui entament les démarches pour régulariser leur situation, la prise de rendez-vous avec l'administration étant gratuite…
Vous allez vivre le frisson du lancement spatial depuis le mythique Cap Canaveral de la NASA. À bord de la formidable fusée Falcon 9 de SpaceX, vous ressentirez chaque détail du voyage vers les étoiles, depuis la préparation intense jusqu'à l'exaltation du décollage. Vous serez cet astronaute, traversant les couches de l'atmosphère avec une authenticité saisissante. Préparez-vous pour une expérience unique, où suspense et aventure spatiale se mêlent dans un ballet cosmique inoubliable.Immersion sonore : ImportanteVers l'infiniProduction : Aurélien Hérault, Damien Maric, Chloé LuizardChargée de production : Agathe LedeinAuteur : Sébastien CarassouComédienne : Julie DumasStudio : Load StudioHabillage Sonore : Illustrason Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le cadre d'une campagne intitulée "Message in a Bottle", la NASA propose au public d'envoyer leur nom sur la prochaine mission Europa Clipper, qui explorera la lune de Jupiter, Europa, en octobre 2024.Pour participer, les intéressés peuvent faire graver leur nom sur des micropuces aux côtés d'un poème intitulé "In Praise of Mystery : Un poème pour Europa", écrit par la poétesse américaine Ada Limón. Ces micropuces serviront de message dans une bouteille et entameront un voyage de plusieurs milliards de kilomètres à mesure que la sonde spatiale étudiera le potentiel de vie sous la surface glacée d'Europe. Pour rejoindre cette initiative, les personnes peuvent se rendre sur le site web go.nasa.gov/MessageInABottle, où elles peuvent s'inscrire, lire le poème et regarder une vidéo animée d'Ada Limón récitant son œuvre. Le site propose également un souvenir téléchargeable, une image des noms des participants sur un message dans une bouteille avec Europa et Jupiter en arrière-plan. Les participants sont également encouragés à partager leur enthousiasme sur les réseaux sociaux en utilisant le hashtag #SendYourName.Cette initiative "Message in a Bottle" s'inscrit dans la continuité des précédents projets de la NASA, tels que la mission Artemis I et divers engins spatiaux martiens, qui ont vu des millions de personnes envoyer leur nom. Dirigée par le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA en Californie du Sud, la mission Europa Clipper est actuellement en cours d'assemblage et devrait être lancée depuis Cap Canaveral, en Floride. Au cours de son voyage, le vaisseau spatial parcourra une distance impressionnante de 2,6 milliards de kilomètres pour atteindre le système de Jupiter, où il est prévu d'arriver en 2030. Pendant sa mission, la sonde se mettra en orbite autour de Jupiter et effectuera environ cinquante survols d'Europe, collectant ainsi des données essentielles sur son océan souterrain, sa croûte glacée et son atmosphère. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le cadre d'une campagne intitulée "Message in a Bottle", la NASA propose au public d'envoyer leur nom sur la prochaine mission Europa Clipper, qui explorera la lune de Jupiter, Europa, en octobre 2024. Pour participer, les intéressés peuvent faire graver leur nom sur des micropuces aux côtés d'un poème intitulé "In Praise of Mystery : Un poème pour Europa", écrit par la poétesse américaine Ada Limón. Ces micropuces serviront de message dans une bouteille et entameront un voyage de plusieurs milliards de kilomètres à mesure que la sonde spatiale étudiera le potentiel de vie sous la surface glacée d'Europe. Pour rejoindre cette initiative, les personnes peuvent se rendre sur le site web go.nasa.gov/MessageInABottle, où elles peuvent s'inscrire, lire le poème et regarder une vidéo animée d'Ada Limón récitant son œuvre. Le site propose également un souvenir téléchargeable, une image des noms des participants sur un message dans une bouteille avec Europa et Jupiter en arrière-plan. Les participants sont également encouragés à partager leur enthousiasme sur les réseaux sociaux en utilisant le hashtag #SendYourName. Cette initiative "Message in a Bottle" s'inscrit dans la continuité des précédents projets de la NASA, tels que la mission Artemis I et divers engins spatiaux martiens, qui ont vu des millions de personnes envoyer leur nom. Dirigée par le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA en Californie du Sud, la mission Europa Clipper est actuellement en cours d'assemblage et devrait être lancée depuis Cap Canaveral, en Floride. Au cours de son voyage, le vaisseau spatial parcourra une distance impressionnante de 2,6 milliards de kilomètres pour atteindre le système de Jupiter, où il est prévu d'arriver en 2030. Pendant sa mission, la sonde se mettra en orbite autour de Jupiter et effectuera environ cinquante survols d'Europe, collectant ainsi des données essentielles sur son océan souterrain, sa croûte glacée et son atmosphère. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Il y a 37 ans, se produisait l'accident de la navette de la Nasa Challenger, qui se désintégrait 73 secondes après son décollage. Un drame qui voyait les sept membres de l'équipage mourir alors que la navette venait de s'envoler depuis la base de lancement de Cap Canaveral, en Floride.
Dans cet épisode Andréa Brusque vous fait découvrir l'une des plus célèbres missions spatiales au monde. Catastrophe transformée en succès, son happy-ending a été repris par Hollywood dans un film avec Tom Hanks. Son nom : La mission Apollo 13. De la catastrophe dans l'espace au dénouement spectaculaire, découvrez sa True Story. Une mission à haut risque Le 11 avril 1970, Cap Canaveral. La Nasa s'apprête à faire décoller leur fusée Saturne 5 direction la lune. Trois astronautes sont harnachés devant leur tableau de bord. L'ambiance est paisible dans l'habitacle de la fusée, même si un léger stress se fait ressentir, ils ont tous les trois hâte de marquer l'histoire. Les trois astronautes quittent enfin l'atmosphère terrestre, la vue est à couper le souffle, c'est le début de leur long voyage de quatre jours jusqu'à la lune. Pendant deux jours, tout se passe pour le mieux, le 13 avril, les astronautes passent même à la télévision grâce à une caméra embarquée à bord. Mais c'est moins d'une journée après la fin de cette apparition que la mission va prendre une tournure désastreuse... Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Elon Musk, l'homme d'affaires de génie qui a fait de ses rêves une réalité Le diamant bleu de la couronne, le plus célèbre des joyaux maudits Le Yéti, l'abominable homme des neiges qui provoque la terreur des alpinistes Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Voix : Andréa Brusque Production : Bababam (montage Célia Brondeau, Antoine Berry Roger) Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Un demi-siècle après la mission Apollo, les États-Unis se lancent à nouveau à la conquête de la Lune. Après des mois d'attente, la Nasa a procédé cette semaine au lancement de la mission Artémis depuis la base de Cap Canaveral en Floride. La réussite de cette première mission – sans astronaute à bord – est non seulement cruciale pour le retour de l'Homme sur la Lune mais doit permettre aussi de préparer de futurs voyages vers Mars. Jean-François Clervoy, spationaute à l'Agence spatiale européenne, est notre invité.
Après deux reports cet été, le Space Launch System de la mission Artemis a pu quitter le sol de Cap Canaveral, en Floride pour se diriger vers la Lune. la planète connaît un important regain d'intérêt pour l'habiter et surtout servir de point d'étape vers Mars. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur les enjeux de cette nouvelle conquête de la Lune.Vous souhaitez prendre la parole et nous aider à poursuivre le développement de nos podcasts et plus largement des services « Les Echos » ? Nous vous invitons à rejoindre notre panel de lecteurs pour partager très prochainement votre opinion sur nos podcasts en suivant ce lien.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2022. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Yann Verdo et Florian Maussion (journalistes aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Joe Marino/UPI/Shutterstock/SIPA. Sons : France 24, La Tordue « Lune » (2007), SciNews, NASA, Les aventures de Tintin « On a marché sur la lune » (1992). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bonjour à tous et bienvenue sur le ZDTech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je suis Pierre et aujourd'hui je vais vous expliquer comment la NASA a, après une enquête minutieuse, réussi à résoudre un problème situé à plus de 23 milliards de kilomètres de chez nous. Alors que la NASA est actuellement aux prises avec son programme Artemis 1, l'agence spatiale américaine a réglé un autre problème plus lointain et pourtant tout aussi problématique. A des années-lumière de nos pénates, il se trouve en effet que le vaisseau spatial Voyager 1, lancé il y a 45 ans, transmettait depuis le début d'année des données bien mystérieuses. Après de nombreuses recherches, les ingénieurs de la NASA ont trouvé la cause de cette faille pour le moins critique. Et non, pas de bonhommes verts à signaler, la réponse à cet imbroglio tiendrait en réalité à ordinateur zombie qui n'aurait jamais dû être utilisé pour relayer les données de télémétrie du vaisseau. Résultat des courses : le système d'articulation et de contrôle d'attitude de Voyager 1, qui maintient son antenne dirigée vers la Terre, a commencé au début de l'année à renvoyer des informations qui ne reflétaient pas ce qui se passait réellement à bord. La sonde "avait commencé à envoyer les données de télémétrie par le biais d'un ordinateur de bord dont on savait qu'il avait cessé de fonctionner il y a des années, et l'ordinateur a corrompu les informations", a indiqué la NASA pour expliquer le phénomène. Pour autant, si les données renvoyées vers la Terre semblaient invalides, le reste de la sonde était pour sa part en bonne santé, cette dernière continuant à recueillir et à renvoyer des données scientifiques. Le problème a beau être désormais résolu, ses causes semble encore difficile à déterminer pour l'agence spatiale américaine, qui craignent désormais l'effet boule de neige. Du côté de la NASA, on indique donc que les recherches se poursuivent pour déterminer la nature du problème, en croisant les doigts pour que cette crise n'hypothèque pas l'avenir du vaisseau spatial le plus éloigné de la Terre. Lancé de Cap Canaveral en septembre 1977, Voyager 1 se trouve désormais à plus de 23 milliards de kilomètres de la Terre. Premier objet fabriqué par l'homme à pénétrer dans l'espace interstellaire, la sonde s'occupe désormais de mesurer la densité de la matière à l'endroit où elle se trouve. Si son odyssée se poursuit, le vaisseau devrait toutefois un jour sortir des radars de la NASA et quitter notre bon vieux système solaire... Même si, rassurez-vous, ce ne sera pas avant très, très longtemps.
Dimanche 4 septembre 2022, les Chiliens sont appelés aux urnes pour se prononcer sur le projet de nouvelle Constitution. Un texte rédigé pendant un an par une assemblée constituante paritaire. Une nouvelle loi fondamentale pour remplacer celle héritée de la dictature Pinochet. À six jours du vote, état des lieux avec notre invité. Les partisans et les opposants à la nouvelle Constitution proposée au Chili se sont affrontés hier, 28 août 2022, dans le centre de Santiago après que deux manifestations opposées ont convergé au même endroit. Des événements qui se sont produits lors du dernier week-end de campagne avant le référendum du 4 septembre, au cours duquel quinze des près de vingt millions d'habitants du pays sont appelés aux urnes avec un vote obligatoire pour valider ou rejeter la nouvelle Constitution. Les derniers sondages donnent toujours le camp du « non », « rechazo », en tête grâce à « une campagne très offensive, sur les réseaux sociaux notamment, voire très agressive », souligne notre invité l'historien Franck Gaudichaud, spécialiste du Chili à l'Université Toulouse Jean-Jaurès. Mais à quelques jours du scrutin, la surprise pourrait venir des abstentionnistes. « Il y a près de 50% d'abstention dans toutes les dernières élections, et la grande inconnue réside notamment chez les jeunes et les classes populaires car le vote dimanche sera obligatoire », résume-t-il. En octobre 2020, les électeurs avaient voté à 78% « pour » l'idée de rédiger une nouvelle Constitution après le vaste mouvement social de 2019, mais « les premiers mois du gouvernement Boric ont fait beaucoup de déçus », relève Franck Gaudichaud, il y a donc « un possible vote sanction, et ce serait pour le président de gauche une défaite personnelle ». Le décollage d'Artemis reporté Le décollage de la nouvelle fusée de la Nasa pour la Lune, la plus puissante du monde, a été annulé lundi 29 août, en raison d'un problème technique. Cinquante ans après le dernier vol d'Apollo, la mission Artemis 1 doit marquer le début du programme américain de retour sur la Lune, qui doit permettre à l'humanité d'ensuite atteindre Mars. Une déception donc pour l'Agence spatiale américaine, qui devra désormais viser les prochaines dates de repli, mais une « déception mesurée », nous rapporte David Thomson, notre envoyé spécial à Cap Canaveral en Floride. Déception aussi pour les dizaines de milliers d'Américains venus assister au tir de lancement. Artemis, nouveau motif de fierté nationale pour les Américains nous explique notre correspondant. Venezuela et Colombie renouent leurs relations diplomatiques rompues depuis trois ans Bogota et Caracas ont renoué formellement leurs relations diplomatiques avec l'arrivée à Caracas dimanche 28 août 2022 de l'ambassadeur colombien désigné par le nouveau président Gustavo Petro. Le Venezuela et la Colombie avaient annoncé déjà il y a quelques semaines leur intention d'échanger des ambassadeurs. Outre l'échange d'ambassadeurs, le processus de normalisation entre les deux pays prévoit la réouverture complète de la frontière de plus de 2 000 km qui sépare les deux pays, totalement fermée aux véhicules depuis 2015 et rouverte seulement aux piétons depuis fin 2021. Plus de 8 millions de Colombiens vivent du commerce bilatéral avec le Venezuela. L'un des objectifs de cette reprise des relations est de rétablir les relations commerciales entre les deux pays. ► À lire aussi : Les enjeux derrière la reprise des relations entre la Colombie et le Venezuela À la Une du Journal de la 1ère À partir du mois de décembre, Air Caraïbes va suspendre ses rotations entre Paris et l'île de Saint-Martin. ► Écouter le Journal d'Outre-mer La 1ère
Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m'appelle Guillaume Serries, et aujourd'hui je vous explique pourquoi les vaisseaux spatiaux autonomes débarquent à bord de l'ISS, la station spatiale internationale. Grosse actu la semaine dernière, où l'on apprenait via une kyrielle d'articles que Uber Eats passait à la livraison autonome dans la bonne ville de Los Angeles. Et petite actu, en tout cas en matière de nombre d'articles, la station spatiale internationale était ravitaillée pour la première fois par un module autonome. Oui, un vaisseau spatial autonome qui ravitaille l'ISS avec 400 kilos de fret. Son doux nom est Starliner, et son concepteur est tout simplement le géant de l'aéronautique Boeing. Vendredi soir dernier donc, le vaisseau spatial CST-100 Starliner, dépourvu de tout équipage, s'est amarré presque tout seul à la station spatiale internationale. Le vaisseau Starliner avait quitté la Terre quelques heures plus tôt, propulsé par une fusée Atlas V tirée depuis Cap Canaveral, en Floride. Mais pas question de laisser Starliner se planter tout seul, surtout dans cette mission qui reste un test. Starliner a donc avant tout effectué une série de démonstrations de systèmes afin de vérifier que le vaisseau spatial était "sain" et pouvait manœuvrer en toute sécurité. Puis les contrôleurs au sol à Houston, au Texas, ont utilisé les systèmes autonomes du Starliner pour guider le vaisseau spatial sur l'orbite. Et dans la station spatiale, les astronautes surveillaient scrupuleusement le module, prêts à prendre son contrôle en cas de souci. Mais il s'avère que tout s'est bien passé. Pour le dire clairement, Starliner s'est amarré tout seul. Le système d'amarrage utilisé par Starliner est le même que celui de la capsule Crew Dragon de SpaceX. Il permet le transfert d'énergie, de données, de commandes, d'air, de communications et potentiellement d'eau, d'oxygène et de gaz pressurisant. La réussite de cette manœuvre n'était pas écrite. Le vol automatisé de Starliner vers ISS est l'aboutissement de huit années de travail. Il s'agit du second vol sans équipage du Starliner. Le premier vol avait été effectué en 2019, mais le vaisseau spatial avait dû revenir sur Terre avant de s'amarrer à la station spatiale en raison de problèmes de logiciel. Cet essai en vol a surtout permis de recueillir des données pour certifier le vaisseau spatial pour des missions avec équipage. Car oui, Starliner peut transporter jusqu'à quatre membres d'équipage. En clair, les passagers n'auront pas à piloter le module. Sinon, Starliner doit revenir sur Terre cette semaine. Tout seul comme un grand.
À Cap Canaveral en Floride, tout le monde est sur le pied de guerre. L'évènement est de taille aujourd'hui : il s'agit de réussir l'envol de la navette spatiale Challenger et de ses 7 passagers à bord. Ce décollage aurait dû avoir lieu le 22 janvier, il a été repoussé au 23, puis au 24 à cause de retards, et finalement au 28 en raison de conditions météorologiques défavorables. Au petit matin d'ailleurs, le pas de tir est en partie gelé, on décale encore de deux heures. Il est exactement 11h38 heure américaine. Les moteurs de la navette s'activent. Au sol, le public, les familles des astronautes, les équipes de la NASA ont les yeux rivés sur le grand oiseau blanc. Ce soir dans "Jour J", retour sur l'explosion de la navette spatiale américaine et sur une image dramatique, fascinante, et silencieuse qui a marqué tous ceux qui l'ont vue en direct. Notre invité sera Olivier Sanguy, responsable de l'actualité spatiale à la Cité de l'espace.
Nous sommes donc le 21 juillet 1969. Au siège de la NASA, à Houston au Texas, tout le monde retient son souffle. Il est 22h56, heure américaine, lorsque des millions de gens aperçoivent sur leur écran de télévision, un homme en combinaison blanche descendre d'une échelle. L'image est sombre, mais peu importe. Il s'appelle Neil Armstrong, il est astronaute. Il s'apprête à entrer dans l'Histoire, devenant le premier homme à poser le pied sur la Lune, après un voyage de 4 jours et 6 heures depuis Cap Canaveral, en Floride. Retour ce soir dans "Jour J" de 20h à 21h sur le premier pas de l'homme sur la Lune. Notre invité sera Olivier Sanguy, responsable de l'actualité spatiale à la Cité de l'espace. Texte de Bastien Robin
Nous sommes donc le 21 juillet 1969. Au siège de la NASA, à Houston au Texas, tout le monde retient son souffle. Il est 22h56, heure américaine, lorsque des millions de gens aperçoivent sur leur écran de télévision, un homme en combinaison blanche descendre d'une échelle. L'image est sombre, mais peu importe. Il s'appelle Neil Armstrong, il est astronaute. Il s'apprête à entrer dans l'Histoire, devenant le premier homme à poser le pied sur la Lune, après un voyage de 4 jours et 6 heures depuis Cap Canaveral, en Floride. Ses quelques mots deviendront les plus célèbres du XXe siècle. Texte de Flavie Flament Ecoutez Jour J avec Flavie Flament du 23 décembre 2021
En 2013, à Cap Canaveral, la Nasa, qui n'en peut plus de payer des fortunes pour l'entretien d'une de ses rampes de lancement devenue inutile, décide d'en concéder l'utilisation à l'un des nouveaux acteurs privés du secteur. Mais alors que Space X pensait récupérer facilement le bail, voici que Blue Origin, l'entreprise spatiale financée par Jeff Bezos, s'intéresse elle aussi à ce pas de tir vieillissant. Et elle bénéficie du soutien de la puissante alliance fondée par Boeing et Lockheed Martin. Entre les nouveaux concurrents, la guerre s'intensifie… Merci de soutenir notre programme en cliquant sur les offres de nos sponsors.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Depuis Cap Canaveral, en Floride, Lionel Gendron raconte les coulisses du dernier décollage de SpaceX, qui a propulsé Thomas Pesquet vers la Station spatiale internationale (ISS). Un "moment fou" auquel le journaliste a assisté ébahi vendredi 23 avril, mais aussi un lancement à hauts risques que les proches du spationaute français ont vécu avec angoisse, fierté et émotion. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
Depuis Cap Canaveral, en Floride, Lionel Gendron raconte les coulisses du dernier décollage de SpaceX, qui a propulsé Thomas Pesquet vers la Station spatiale internationale (ISS). Un "moment fou" auquel le journaliste a assisté ébahi vendredi 23 avril, mais aussi un lancement à hauts risques que les proches du spationaute français ont vécu avec angoisse, fierté et émotion. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:02:49 - Grand angle - Le vol habité de la Nasa et de SpaceX vers la Station spatiale internationale (ISS), avec à son bord le Français Thomas Pesquet, décollera ce vendredi de Cap Canaveral en Floride. Un décollage auquel assisteront le frère de Thomas Pesquet et son meilleur ami. Gregory Philipps les a rencontrés
Ce 23 avril 2021, à onze heures quarante-neuf minutes et deux secondes précisément l'astronaute français Thomas Pesquet devrait décoller de Cap Canaveral pour rejoindre la Station spatiale internationale (ISS). Une fois arrivé, l'astronaute français ne chômera pas. On en parle avec Rémi Canton, chef de projet de la Mission Alpha et responsable du Cadmos (Centre d'Aide au Développement des Activités en Micropesanteur et des Opérations Spatiales) au CNES ( Centre national dʹEtudes Spatiales) à Toulouse, interrogé par Sarah Dirren.
Le lancement de la mission Alpha à bord de Space X a eu lieu sans encombre à Cap Canaveral à 11 h 49 min 2 s ! L'Européen Thomas Pesquet est à bord de cette capsule Crew Dragon avec trois autres astronautes, l'Américain Shane Kimbrough, qui commande, l'Américaine Megan MacArthur, chargée du pilotage, et le japonais Akihiko Hoshide. Tous les quatre vont passer six mois dans la station spatiale internationale, à 400 km d'altitude, après 24 heures de voyage. Et dans trois mois, Thomas Pesquet prendra le commandement de la station, une première pour un Français.
Il était 11h49 quand l'astronaute français Thomas Pesquet, ses coéquipiers américains Shane Kimbrough et Megan McArthur, et japonais Akihiko Hoshide, ont décollé à bord du vaisseau Crew Dragon de SpaceX. Au départ de Cap Canaveral en Floride, ils sont partis rejoindre la Station spatiale internationale. Au programme, des centaines d'expériences scientifiques. Le décryptage de la mission avec Nathalie Tinjod, chargée des relations internationales et cheffe du projet histoire à l’Agence spatiale européenne.
Dans une semaine … le jeudi 22 avril … Thomas Pesquet partira pour une deuxième mission à bord de la station spatiale internationale … Il partira à bord de la capsule Crew-2 Dragon de SpaceX … La fusée décollera de Cap Canaveral en Floride après le fameux compte à rebours … Mais qui a inventé le compte à rebours ? Avant de lancer une fusée on compte 10, 9, 8 etc jusqu'à 1 et feu ! Pendant ces 10 secondes des milliers de mesures sont réalisées en temps réel à différents niveaux de la fusée pour vérifier que tout est en ordre parce qu'une fois parti c'est trop tard … Mais en fait ce compte à rebours est plus une tradition qu'une nécessité technique … En 1929 Fritz Lang réalise le film « Une femme dans la Lune ». Il propose, pour la première fois en images animées, le lancement d'une fusée et pour rendre ce lancement plus dramatique, Fritz Lang imagine un compte à rebours. Il crée ainsi du suspense et tient le spectateur en haleine. Et cette tradition perdure à chaque lancement de fusée. En fait c'est du folklore !
Alors que nous ne gardons en majorité de 2020 que des mauvais souvenirs, changeons d'air pour aller respirer celui de Mars. Je ne garantis pas votre survie longtemps… S'il nous est encore impossible de nous rendre sur la planète rouge, quelques rovers et autres bijoux de technologie peuvent, eux, s'y rendre sans trop de problème. Ils sont indispensables à la compréhension de l'évolution de cette planète située à quelques 225 millions de kilomètres. S'ils arrivent à évoluer sur la planète sans aucune difficulté majeure, il faut cependant réussir à les faire atterrir sans encombre. Ces missions sont préparées plusieurs années avant le lancement et requiert le travail et les calculs de plusieurs centaines de scientifiques. Aujourd'hui, focus sur la mission Mars 2020 de la NASA. Une mission américaine, oui, mais une mission à laquelle le CNES (Centre National des Études Spatiales) et le CNRS (Centre National de Recherche Scientifique) ont largement contribué. La France aussi va atterrir sur Mars dans quelques jours ! Pile à l'heure : La mission Mars 2020 a décollé le 30 juillet 2020 de Cap Canaveral, Floride, Êtats-Unis. Après un voyage de plus de 6 mois autour du Soleil, la sonde s'apprête à rentrer dans l'atmosphère de Mars en vue de l'atterrissage de son rover Perseverance, le 18 février 2021. "In English, please!" : EN : "As the countdown to Mars continues, the perseverance of humanity launching the next generation of robotic explorers to the Red Planet!" FR : "Alors que le compte à rebours vers Mars se poursuit, la persévérance de l'humanité lance la prochaine génération d'explorateurs robotiques sur la planète rouge !"
À Cap Canaveral ce dimanche, quatre astronautes - trois Américains et un Japonais - ont décollé dans une fusée Falcon 9 de la compagnie d'Elon Musk, SpaceX. Direction la Station spatiale internationale (ISS) pour rejoindre deux Russes et une Américaine, à bord du laboratoire orbital où ils passeront six mois, cette fois aux mains de la Nasa. Les États-Unis reprennent donc la course aux étoiles sous pavillon privé. Est-ce un retour à la "souveraineté américaine" après des années sous dépendance russe ? En quoi la conquête spatiale se trouve-t-elle relancée par ces rivalités entre États ?
Dans les années 80, Judith Resnik vit son rêve. Elle est astronaute pour la Nasa et la deuxième femme américaine à s'être rendue dans l'espace. En janvier 1986, elle embarque à bord de la navette Challenger avec le reste de l'équipage.Cette femme moderne sera l'une des victimes de la tristement mémorable explosion de Challenger. Cet épisode de Chasseurs de science vous propose de revivre ce tragique épisode de l'histoire de l'aérospatiale aux côtés de Judith.Pour aller plus loin :28 janvier 1986 : explosion de la navette spatiale ChallengerIna : il y a 25 ans, la navette Challenger explosaitLe 12 avril 1981, premier vol d'une navetteColumbia : toutes les leçons n'auraient pas été tirées après ChallengerDécouvrez le documentaire de la chaîne Stardust sur le drame de Challenger.Rendez-vous sur CielMania pour y lire l'article de Jean-Baptiste Feldmann sur le mémorial lunaire créé en hommage à ces astronautes.Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.Transcription du podcast :Bienvenue dans Chasseurs de science, un podcast produit par Futura. Je suis Julie et je serai votre guide temporelle au cours de cette excursion. Aujourd'hui, nous partons pour le pas de lancement de la navette Challenger, en Floride. Vous écoutez Chasseurs de science, si ce podcast vous plaît, n'hésitez pas à nous soutenir en le partageant sur les réseaux sociaux et en nous laissant une note sur les plateformes de diffusion.En janvier 1978, Judith Resnik a 29 ans et elle vient de recevoir une nouvelle qui va bouleverser sa vie : elle est sélectionnée pour devenir astronaute pour la Nasa parmi plusieurs milliers de candidats. Elle prévient immédiatement ses parents Marvin et Sarah, tout deux immigrants d'Ukraine. Tout sourit à Judith. L'année précédente, elle a obtenu un doctorat en génie électrique et elle occupe un poste d'ingénieur à l'Institut national de la santé à Bethesda. Devenir l'une des premières femmes astronautes, c'est juste incroyable !Après l'annonce de sa sélection, Judith intègre un programme d'entraînement qui lui permet de devenir spécialiste de mission. À ce poste, elle sera en charge d'une partie bien précise des missions scientifiques que devront réaliser les astronautes une fois dans l'espace. Six ans après son entrée à la Nasa, Judith prend part à la mission Discovery. Elle est la seule femme de son équipage.Le 30 août 1984, alors que la navette décolle du pas de tir 39A du Kennedy Space Center à Cap Canaveral, elle sait que son nom marquera l'histoire avec un grand H. En effet, à ce moment-là, elle devient la deuxième femme américaine à rejoindre l'espace, et seulement la quatrième au niveau international, après deux astronautes russes et sa compatriote Sally Ride.Elle expérimente alors la sensation indescriptible d'impesanteur, voit ses cheveux flotter autour de sa tête et tous les outils qu'elle manipule ne jamais retomber sur le sol. À bord de Discovery, une image de Judith fera le tour du monde. Devant les caméras, elle brandit un carton où elle avait inscrit « Hi Dad ! » (« Salut, Papa ! »), en sachant pertinemment que son père suivait avec attention ses aventures spatiales.Après le succès du premier vol de Discovery, Judith intègre immédiatement un autre programme ambitieux de la Nasa : STS 51-L Challenger. La mission doit se dérouler comme suit. Le premier matin sera dédié à la préparation de la mise en orbite du satellite TDRS-B ; l'après-midi à son déploiement. Le deuxième jour, le programme de suivi de la comète Halley débute et Christa McAuliffe, deuxième femme de l'équipage et institutrice tiendra le premier cours donné depuis l'espace à des enfants. Les jours 3, 4 et 5 seront destinés à la mise en orbite du satellite Spartan. Judith est en charge de manier le bras robotique de la navette pour le déployer. Enfin, le retour de l'équipage est prévu 144 heures et 34 minutes après leur départ.Tout est organisé au millimètre. Judith et ses collègues connaissent par coeur les gestes et les procédures pour faire face à toutes les situations. Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu.Dès le lancement, la 25e mission de Challenger accumule les couacs. Le 22 janvier 1986 à 15h43, sur le pas de tir B, tout est prêt pour le décollage. Mais la météo fait des siennes. On reprogramme le lancement le 23, puis le 24 janvier. Challenger est toujours clouée au sol. Le 25 janvier, c'est une tempête de l'autre côté de l'Atlantique qui empêche le départ. Le mauvais temps atteint la Floride, repoussant encore le lancement. La tension est palpable entre les astronautes. Arriveront-ils à décoller un jour ? Une nouvelle date est planifiée : le 27 janvier 1986 à 9h37. Repoussée encore. Cette fois-ci, c'est une trappe qui refuse de se fermer.Finalement, la navette Challenger décolle le 28 janvier 1986 à 11h38, soit 2 heures après l'heure prévue. Un logiciel qui pilote le système anti-incendie connaît une panne alors qu'on remplit les réservoirs externes d'hydrogène liquide, avant le départ. Dans le cockpit, Judith et le reste de l'équipage échangent un regard. Challenger quitte enfin le sol de la Floride et son funeste destin est scellé.Seulement 0.678 secondes après le décollage, les spectateurs au sol voient une inquiétante fumée grise s'échapper de l'arrière du fuselage. Le père et le frère de Judith sont présents. Entre 0,836 et 2,5 secondes, la fumée se fait plus dense. La navette prend de la vitesse et rencontre ses premiers vents de haute altitude à 37 secondes. En réponse au cisaillement du vent, le système de navigation augmente la puissance des propulseurs pour maintenir la direction de la navette.58 secondes. Une petite flamme apparaît. Elle grandit rapidement et l'ordinateur de bord alerte sur la diminution de la pression dans le propulseur droit. De toute évidence, il fuit. À l'intérieur, l'équipage surentraîné est prisonnier. Les sept astronautes n'ont aucun moyen de sortir de Challenger. La navette n'est pas équipée de sièges éjectables et la présence d'un système d'évacuation a été jugée « d'une utilité limitée ».À 64 secondes, le feu change de couleur, signe que l'hydrogène s'est mêlé aux flammes. L'ordinateur de bord tente de mettre fin au drame qui se joue, en vain. 73 secondes. Le réservoir d'hydrogène liquide perd son dôme et plus de 1.200 tonnes de carburant alimentent le brasier. En un battement de cil, Challenger explose à 46.000 pieds d'altitude dans le ciel de Cap Canaveral. La navette se désintègre dans une boule de feu entourée d'une fumée brune sous les yeux horrifiés du personnel de la Nasa, des spectateurs et de la famille et des amis de l'équipage.Judith Resnik, spécialiste de mission,Christa McAuliffe, spécialiste des charges utiles,Gregory Jarvis, spécialiste des charges utiles,Francis Scobee, commandant,Ronald McNair, spécialiste de mission,Ellison Onizuka, spécialiste de mission,et Michael Smith, pilote, ont disparu en même temps que Challenger. Les restes de la navette spatiale finissent leur course dans l'océan à 334 km/h, emportant avec eux tout espoir de retrouver des survivants. La Nasa lance immédiatement une mission pour récupérer les débris de la navette et d'éventuels restes humains. Le corps de Judith est le premier retrouvé au milieu des décombres. Elle n'avait que 36 ans.Devant son écran de télévision, sa mère, Sarah, a vu l'explosion. Elle se rend chez une voisine en criant : « Ils sont morts là-haut. Ils sont morts, ils sont morts ! » La nuit du drame, le président Ronald Reagan rend hommage aux victimes lors d'un discours devant le Congrès. Trois jours après, une cérémonie nationale, retransmise en direct, se tient au Centre spatial de Houston en présence de plus de 10.000 personnes.Une commission chargée d'enquêter sur les circonstances de l'accident est créée par le président américain. Richard Feynman en est l'un des membres les plus célèbres. Il remarque que les estimations de fiabilité communiquées par la Nasa étaient irréalistes et divergeaient totalement de celles faites par les ingénieurs. Il déclare alors : « Pour qu'une technologie soit couronnée de succès, la réalité doit prendre le dessus sur les relations publiques, car on ne peut pas tromper la Nature. »L'enquête n'a pas permis d'établir avec certitude les causes de la mort de l'équipage. Le rapport émet l'hypothèse, sans assurance, que les astronautes auraient perdu conscience peu avant l'explosion. Judith Resnik et ses collègues deviennent alors des héros, mais ils étaient avant tout des femmes et des hommes avec des amis, une famille et des collègues qui se souviennent d'eux.Michael Coates, pilote sur la première mission de la navette Discovery, se rappelle de Judith – ou Judy, comme ses proches l'appelaient – en ces termes : « C'était quelqu'un qui comptait beaucoup. Elle vivait, travaillait et s'amusait intensément. Elle n'était pas parfaite, elle était têtue, et elle devait toujours avoir son mot à dire. Mais à la fin d'un dispute, elle souriait et c'était tout. On se sentait à l'aise avec elle. À bien des égards, c'était une astronaute idéale. Elle laissera un grand vide. »Merci d'avoir écouté Chasseurs de science. La musique de cet épisode a été composée par Patricia Chaylade. Au texte et à la narration : Julie Kern. Merci à Vincent Heidelberg, qui prête sa voix à Michael Coates. Rendez-vous sur sa chaîne Youtube Stardust pour y découvrir son documentaire consacré à l'histoire de Challenger.Si vous appréciez notre travail, n‘hésitez pas à nous laisser un commentaire et cinq étoiles sur les plateformes de diffusion pour nous soutenir et améliorer notre visibilité. Vous pouvez aussi vous abonner sur Spotify, Deezer et Apple Podcast pour ne plus manquer un seul épisode. Quant à moi, je vous retrouverai bientôt pour une future expédition temporelle dans Chasseurs de science. À bientôt ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Bertrand Piccard est un explorateur qui a été le premier homme à avoir fait le tour du monde avec un avion solaire. Sa boussole intérieure, c’est l’inconnu. Il va là où personne n’est encore jamais allé. C’est ainsi qu’il devient aussi un des premiers hommes à faire le tour du monde en ballon en 20 jours et qu’il milite aujourd’hui avec la fondation Solar Impulse pour montrer que l’équation économique peut fonctionner avec la protection de l’environnement. Un destin que son héritage familial pouvait lui promettre. Petit fils d’un grand savant qui a inspiré Hergé pour le personnage du Professeur Tournesol, il est aussi fils d’un océanographe et se promenait à 11 ans à Cap Canaveral pour voir décoller les fusées Apollo. Mais lui dira que c’est un destin qu’il a construit. En saisissant les choix importants quand ils se sont présentés à lui. Au micro d’Anaïs Raoux, il raconte le sens qu’il a trouvé dans sa vie, l’importance du cheminement intérieur, des synchronicités, d’intuition et même des conversations passionnantes qu’il avait avec sa mère. Une femme dont il parle peu, et pourtant, qui a largement influencé sa vie. Bonne écoute !
Au programme ce mercredi ! On veut des vacances et des voyages ! Dans ce dernier épisode de Mercredi ! avant les grandes vacances d’été, Hélène et Louise vous amènent en voyage aux États-Unis. Départ : New-York > Arrivée : Los Angeles. 3868 miles (soit 6225km) de parcours en passant par Philadelphie, Washington, Cap Canaveral, Houston et l’Arizona. Elles suivent les traces de Némo en Amérique, de Nicole Bacharan et Dominique Simonnet (Editions Seuil). Pour perfectionner son anglais, il décide d’entreprendre ce voyage. En fait, il existe plusieurs livres qui parle d’un jeune garçon qui a perdu la mémoire. Il ne se souvient plus de rien, ni de sa famille, ni de qui il est. A travers ces histoires, il réalise un parcours initiatique pour devenir un grand et accessoirement retrouver la mémoire ;) Autres livres parus : « Le Livre de Némo », « Némo dans les étoiles », « Némo en Egypte »... Mercredi ! prend aussi des vacances ! Mais heureusement ton émission sera en rediffusion tout l’été au même horaire sur ta radio préférée. (Ouf !) Et aussi, en réécoute en podcasts sur le site de L’Armada. On se retrouve à la rentrée le mercredi 2 septembre, mais d’ici là, passe de bonnes vacances surtout. Les musiques de l’émission : New-York - Alicia Keys et Jay Z Taxi Driver - Bernard Hermann (extrait theme) New-York - Liza Minelli (extrait) Streets of Philadelphia - Bruce Springteen Le dernier des Mohican - theme Just the two of us - Grover Washington Jr Space Coast - Space coast theme Kokomo - The beach boys Halo - Texas Kill - Jimmy eat world Côte Ouest - Générique Unfinished Sympathy - Massive Attack Malibu - Hole + Diffusion sonore du reportage « Mission réussie pour Spacex à Cap Canaveral » diffusée par Euronews Crédit photo : Photo de la carte tirée du livre « Némo en Amérique » (prise par Louise)
Au programme ce mercredi ! On veut des vacances et des voyages ! Dans ce dernier épisode de Mercredi ! avant les grandes vacances d’été, Hélène et Louise vous amènent en voyage aux États-Unis. Départ : New-York > Arrivée : Los Angeles. 3868 miles (soit 6225km) de parcours en passant par Philadelphie, Washington, Cap Canaveral, Houston et l’Arizona. Elles suivent les traces de Némo en Amérique, de Nicole Bacharan et Dominique Simonnet (Editions Seuil).Pour perfectionner son anglais, il décide d’entreprendre ce voyage. En fait, il existe plusieurs livres qui parle d’un jeune garçon qui a perdu la mémoire. Il ne se souvient plus de rien, ni de sa famille, ni de qui il est. A travers ces histoires, il réalise un parcours initiatique pour devenir un grand et accessoirement retrouver la mémoire ;) Autres livres parus : « Le Livre de Némo », « Némo dans les étoiles », « Némo en Egypte »... Mercredi ! prend aussi des vacances ! Mais heureusement ton émission sera en rediffusion tout l’été au même horaire sur ta radio préférée. (Ouf !) Et aussi, en réécoute en podcasts sur le site de L’Armada. On se retrouve à la rentrée le mercredi 2 septembre, mais d’ici là, passe de bonnes vacances surtout. Les musiques de l’émission : New-York - Alicia Keys et Jay ZTaxi Driver - Bernard Hermann (extrait theme)New-York - Liza Minelli (extrait)Streets of Philadelphia - Bruce SpringteenLe dernier des Mohican - themeJust the two of us - Grover Washington JrSpace Coast - Space coast themeKokomo - The beach boysHalo - TexasKill - Jimmy eat worldCôte Ouest - GénériqueUnfinished Sympathy - Massive AttackMalibu - Hole Diffusion sonore du reportage « Mission réussie pour Spacex à Cap Canaveral » diffusée par Euronews
Au programme ce mercredi ! On veut des vacances et des voyages ! Dans ce dernier épisode de Mercredi ! avant les grandes vacances d'été, Hélène et Louise vous amènent en voyage aux États-Unis. Départ : New-York > Arrivée : Los Angeles. 3868 miles (soit 6225km) de parcours en passant par Philadelphie, Washington, Cap Canaveral, Houston et l'Arizona. Elles suivent les traces de Némo en Amérique, de Nicole Bacharan et Dominique Simonnet (Editions Seuil). Pour perfectionner son anglais, il décide d'entreprendre ce voyage. En fait, il existe plusieurs livres qui parle d'un jeune garçon qui a perdu la mémoire. Il ne se souvient plus de rien, ni de sa famille, ni de qui il est. A travers ces histoires, il réalise un parcours initiatique pour devenir un grand et accessoirement retrouver la mémoire ;) Autres livres parus : « Le Livre de Némo », « Némo dans les étoiles », « Némo en Egypte »... Mercredi ! prend aussi des vacances ! Mais heureusement ton émission sera en rediffusion tout l'été au même horaire sur ta radio préférée. (Ouf !) Et aussi, en réécoute en podcasts sur le site de L'Armada. On se retrouve à la rentrée le mercredi 2 septembre, mais d'ici là, passe de bonnes vacances surtout. Les musiques de l'émission : New-York - Alicia Keys et Jay Z Taxi Driver - Bernard Hermann (extrait theme) New-York - Liza Minelli (extrait) Streets of Philadelphia - Bruce Springteen Le dernier des Mohican - theme Just the two of us - Grover Washington Jr Space Coast - Space coast theme Kokomo - The beach boys Halo - Texas Kill - Jimmy eat world Côte Ouest - Générique Unfinished Sympathy - Massive Attack Malibu - Hole + Diffusion sonore du reportage « Mission réussie pour Spacex à Cap Canaveral » diffusée par Euronews Crédit photo : Photo de la carte tirée du livre « Némo en Amérique » (prise par Louise)
La fusée de SpaceX a réussi à placer deux astronautes de la Nasa sur orbite. Un vol sans précédent dans l’histoire spatiale, puisque ce premier vol habité depuis dix ans aux États-Unis a été opéré par une entreprise privée, la société SpaceX, du groupe américain de l’industriel Elon Musk. De quoi enflammer l’enthousiasme de Sud-Ouest. Lequel journal entrevoit dans ce vol « des signes d’une nouvelle ère, jusque-là dominée par les États ». Et ce journal souligne que la fusée, cette nuit, a pris son vol « du pas de tir 39A, à Cap Canaveral ». C’est de-là que décollèrent « les missions Apollo d’exploration de la Lune dans les années 1960 et 1970 », rappelle Sud-Ouest. Elon Musk, la nuit dernière, a donc en quelque sorte rejoué Objectif Lune. Françaises jihadistes, La grande évasion Dans les prisons kurdes en Syrie, c’est plutôt La Grande Évasion qu’ont rejoué des Françaises jihadistes qui se sont échappées, avec, notamment, la complicité en France. Treize d’entre elles sont en cavale. Selon Le Parisien Dimanche, depuis la première offensive militaire turque dans le nord-est de la Syrie en octobre dernier, « une vingtaine de jihadistes françaises se sont évadées (de trois) prisons et camps kurdes ». Une source proche des services de renseignement français confie à ce journal que ces femmes font notamment « appel à des passeurs rémunérés jusqu’à 10 000 euros. (…) Des circuits de financement d’évasions ont été identifiés jusqu’en France et démantelés », signale cette source au Parisien Dimanche. Lequel journal précise que ces prisonnières en cavale sont « originaires de la région parisienne, du Nord, de la Bretagne ou encore de la Côte d’Azur ». Certaines ont été reprises mais, selon le Centre d’analyse du terrorisme, cité par ce journal, « au 8 mai, treize d’entre elles étaient encore dans la nature (dont) Hayat Boumeddiene, veuve du terroriste de l’Hyper Cacher Amedy Coulibaly », en référence à l’attentat du 9 janvier 2015, porte de Vincennes à Paris. L’Organisation chinoise de la santé C’est fait. Donald Trump a décidé de couper les ponts avec l'OMS. Le président américain accuse l’Organisation mondiale de la santé d’être une marionnette de Pékin. Avis partagé en France par le magazine Le Point. Selon cet hebdomadaire, dans la crise du coronavirus, « il ne fait pas de doute que l’OMS a lourdement failli ». Cet hebdomadaire, toutefois, en rend responsable Donald Trump lui-même. Car « la crise de l’OMS est surtout emblématique de la déliquescence du système multilatéral sous les coups de boutoir de Donald Trump. Le retrait désordonné des États-Unis laisse les organisations internationales à la merci de la Chine, qui s’en sert comme levier pour promouvoir son modèle total-capitaliste », estime ce magazine. Raoult le sniper Cette crise du coronavirus a aussi fait émerger une figure désormais connue dans le monde entier, le professeur marseillais Didier Raoult et son traitement à base de chloroquine. Et cette semaine, Didier Raoult « tire à vue ». C’est la Une de L’Express, magazine auquel le célèbre médecin marseillais a accordé un long entretien « Un échange exigeant et "musclé" durant lequel Raoult sulfate à tout-va », formule L’Express. Les journalistes ? Didier Raoult les accuse, nous accuse, de ne pas travailler « assez », et ceux de L’Express de poser des questions « à la con » ! Le bilan du coronavirus ? « À Paris, des quadragénaires sont morts. À Marseille, il n’y en a pas, dit-il à L’Express. (…) Nous, à (l’Institut hospitalier de Marseille), on a eu un mort de moins de 70 ans qui avait reçu le traitement hydroxychloroquine et azythromycine, et aucun en dessous de 60 ans. À Paris, la moitié des gens décédés du Covid-19 avaient moins de 70 ans. C’est honteux », fulmine-t-il encore, avant d’ajouter : « On m’a dit que je traite les jeunes, qui ne meurent pas. Sauf qu’à Paris, il y en a qui meurent ! Chez nous, non. » Comme le conseille L’Express, paraphrasant une « célèbre caricature sur l’affaire Dreyfus », le Pr Raoult, « mieux vaut ne pas en parler durant un dîner en famille ». Jean-Marc Morandini dans le collimateur des juges Du nouveau dans « l’affaire Jean-Marc Morandini ». La justice française requiert le renvoi de l’animateur de télévision devant un tribunal. Selon Le Parisien Dimanche, « le 3 avril dernier, le parquet de Paris a requis le renvoi en correctionnelle de l’animateur de Cnews et NRJ 12 pour corruption de mineur de plus de 15 ans, des soupçons qu’il conteste ». Selon une avocate de Jean-Marc Morandini interrogé par ce journal, « ce réquisitoire est vide (…) et d’autant plus surprenant qu’il intervient alors que plusieurs (…) demandes d’actes (de la défense) sont en cours ». La dernière séance Salut confraternel pour conclure à un magazine français qui vient pour la première fois de sortir un numéro dont il se serait bien passé, le magazine de cinéma Première, qui publie en effet sur Internet son premier numéro « qui ne sera pas disponible en kiosque. » « C’est surtout la première fois de son histoire que le magazine sort alors que les salles de cinéma, elles, sont fermées », souligne Première. Courage donc à l’équipe de Première qui a « hâte que ce virus soit éradiqué » afin de lui permettre de nous « redonner encore plus envie de retourner dans les salles ! ». Pour que ce numéro de Première ne soit pas sa dernière séance…
Chaque samedi, Alain Cirou fait un point sur l'actualité scientifique. Dimanche soir, une sonde européenne doit être lancée depuis le site de Cap Canaveral aux Etats-Unis. La destination de la mission Solar Explorer : le soleil, afin de comprendre le fonctionnement de cette étoile et de prévoir ses sautes d'humeur.
Au moment où les premiers (très nombreux) résultats de la sonde Parker Solar Probe sont publiés dans un supplément spécial de Astrophysical Journal (plus de 50 articles d'un coup consacrés aux seulement deux premières orbites de la sonde sur ses 24 prévus! nous y reviendrons...), c'est une autre sonde d'exploration du Soleil qui va prendre son envol dans quelques jours, lancée par une fusée Atlas V depuis Cap Canaveral : une sonde conjointe entre les agences spatiales européenne et américaine, Solar Orbiter. Après une série de rebonds autour de Vénus et de la Terre, la sonde aura pour objectif d'étudier le Soleil à l'aide de nombreux instruments, dans une orbite très elliptique et hors écliptique. La mission est présentée cette semaine dans Nature Astronomy.
durée : 00:54:48 - Du vent dans les synapses - par : Daniel FIEVET - Le 19 janvier 2006 à Cap Canaveral est lancée la sonde New Horizons. Destination Pluton et la ceinture de Kuiper où gravitent des centaines de milliers d'objets recelant d'indices sur l'origine du système solaire. François Forget, planétologue, nous raconte, cet après-midi, cette aventure extraordinaire. - invités : François FORGET, Bruno LEANDRI - François FORGET, Bruno LEANDRI
durée : 00:54:48 - Du vent dans les synapses - par : Daniel FIEVET - Le 19 janvier 2006 à Cap Canaveral est lancée la sonde New Horizons. Destination Pluton et la ceinture de Kuiper où gravitent des centaines de milliers d'objets recelant d'indices sur l'origine du système solaire. François Forget, planétologue, nous raconte, cet après-midi, cette aventure extraordinaire. - invités : François FORGET, Bruno LEANDRI - François FORGET, Bruno LEANDRI
Le Cosy Corner 58, où il est entre autres question de : eshop compulsif et Cap Canaveral [00:00:00 - 00:30:00] La quête éternelle du kebab [00:31:20 - 00:51:00] Le grand frère, l'Urban Kiz, l'Australie et le reste [00:52:20 - 01:28:30] Samurai Showdown et les écoles du jeu de combat [01:29:40 - 02:12:20] Cosy Culture Clubs Triple Threat (Show Me A Hero / Judgment / For The King) [02:14:50 - 02:45:00] Remerciements [02:58:02] La page Patreon du Cosy Corner : https://www.patreon.com/lecosycorner -- playlist -- - Jack Stauber - I Understand - Modest Mouse - The Good Times Are Killing Me - Electrelane - Between The Wolf And The Dog - Alicia Keys feat. Nicki Minaj - Girl on Fire (Inferno Version) - Nujabes Feat. Shing02 - Battlecry (Samurai Champloo OST) - Lemon Jelly - His Majesty King Raam - ALB - Steady As They Thank (Cosy Corner 58 Special Thanks)
Wird Ursula von der Leyen heute zur EU-Kommissionspräsidentin gewählt? Die Bundesverteidigungsministerin kandidierte nicht als Spitzenkandidatin, sondern war überraschend vom Europäischen Rat benannt worden. Noch ist unklar, ob sie eine Mehrheit unter den 751 Abgeordneten des Europaparlaments findet – bis zuletzt warb sie um die Stimmen der Abgeordneten. Über die Abstimmung spricht Mounia Meiborg mit Steffen Dobbert, Politikredakteur bei ZEIT ONLINE. Heute vor 50 Jahren startete in Cap Canaveral die Apollo-11-Mission – vier Tage später betrat Neil Armstrong als erster Mensch den Mond. Wie es dazu kam, dass die USA den Wettlauf ins All gegen die Sowjetunion gewannen und ob bei der Apollo-11-Mission wirklich alles glattlief, erzählt Alina Schadwinkel, Redakteurin im Wissensressort von ZEIT ONLINE. Und sonst so? Warum die niederländische Stadt Utrecht die Dächer ihrer Bushaltestellen bepflanzt. Mitarbeit: Johann Stephanowitz, Anne Schwedt Moderation: Mounia Meiborg
Bienvenue dans le treizième épisode de ce podcast !Aujourd’hui, nous allons proposer un épisode un peu différent sous forme de journal de bord. Ce journal de bord couvrira la planification et le déroulement de notre voyage initialement prévu vers les Bahamas au départ de la Floride.Pour le premier chapitre de ce journal de bord, nous effectuerons un tour d’horizon des préparatifs nécessaires pour un tel voyage. Nous discuterons des différents éléments que nous avons pris en compte que ce soit en terme de survie ou terme d’information aéronautique. Nous irons en détail sur les spécificités de la Floride au niveau des loueurs d’avion par rapport à Plus One Flyers dont nous avait parlé Vincent lors de l’épisode 8.Image : Projet de trajet initialPour le second chapitre du journal de bord, nous parlerons des nombreuses péripéties du premier jour du voyage. Nous parlerons en détail du lâcher sur le Cessna 172 du loueur avant de discuter du processus de décision qui nous a amené à modifier quelque peu nos projets de voyage. Nous décrirons ensuite la première étape de notre nouveau trajet vers Key West.Image : Une vue des KeysImage : Une autre vue des KeysPour le troisième chapitre du journal de bord, nous regrouperons le récit du 2ème et du 3ème jour de ce voyage en avion. Nous repartons de Key West pour rejoindre Cap Canaveral avec une escale à Miami Opa Locka. L’objectif de cette journée était de survoler les installations du Kennedy Space Center et de voir la Falcon 9 Block 5 sur le pas de lancement qui devait faire ses essais ce jour-là.Image : VAB et pas de lancement 39AImage : Piste d’atterrissage de la navette spatiale et VABImage : Piste d’atterrissage de la navette spatialePour conclure, nous parlerons du trajet de notre dernier jour en faisant une petite parenthèse sur quelques spécificités des vols aux États-Unis. Nous ferons également le point sur ce voyage et ses diverses péripéties.Image : Tracé de notre deuxième jour de volConclusionAinsi se conclut donc le treizième épisode. J’espère qu’il vous a plu et je vous invite à vous abonner sur votre application de podcast favoris. Également, n’hésitez pas à laisser un avis 5 étoiles sur iTunes ce qui permettra à d’autres personnes de découvrir ce podcast.Si vous avez des questions, des remarques ou des suggestions, n’hésitez pas à utiliser le formulaire de contact.Si vous voulez recevoir des notifications lors de la sortie des nouveaux épisodes, vous pouvez vous inscrire à la newsletter dans la barre latérale droite de notre site. Vous pouvez également nous suivre sur Twitter sur @ParlonsAviation et sur Facebook.CréditsPhotos plane trip : SoizicCe podcast est proposé sous licence Creative Commons BY-NC-ND 3.0.