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L‘ORGANISATION SPIRITUELLE.- LE PLAN DES APÔTRES ET LES RÉSULTATS.ACTES 6:5-7 --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/haitianhelpinghands/support
Ce vendredi 23 juillet, les dix défis de la reprise post-Covid notamment la réorganisation du travail ont été abordés par Jean-Marc Daniel, Emmanuel Lechypreet Nicolas Doze dans la chronique Le débat, dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le joueur de Baseball Québécois Otto Lopez parle de sa magnifique saison avec les Fisher Cats du New Hampshire sur les ondes de Danradiosport.com Visité le site au www.Danradiosport.com
Le joueur de Baseball Québécois Francisco Hernandez qui évolue dans l'organisation des Cards de st Louis parle de sa saison sur les ondes de Danradiosport.com Visité le site au www.Danradiosport.com
30e semaine que le CUBE du publicitaire de l'année se balade de métier en métier en Suisse romande. Ce vendredi, il est auprès d'Ariane Rustichelli, directrice de l'Organisation des Suisses de l'Etranger. L'occasion de voir comment la 5e Suisse reste en contact avec la mère patrie. Un podcast également disponible sur: Apple Podcast https://podcasts.apple.com/ch/podcast/cominmag/id1526101611?l=fr Anchor https://anchor.fm/cominmag Google Podcast https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9hbmNob3IuZm0vcy8xYmRjZjE5OC9wb2RjYXN0L3Jzcw Spotifiy https://open.spotify.com/show/3uFVrP7kAMuAMM4av61q3j --- Send in a voice message: https://anchor.fm/cominmag/message
Partie avec Olivier Oddou : Avant même l'arrivée des radios libres dans les années 80, les radios publiques et périphériques étaient régulièrement en partenariat avec les concerts d'artistes. Les radios organisaient aussi leurs propres émissions-concerts dans leurs studios, des “radio-crochets” qui permettaient de découvrir de nouveaux talents.À partir du milieu des années 80, NRJ présente une certaine importance en audience et commence à devenir partenaire de gros concerts. En premier lieu en double partenariat avec les généralistes, elle obtient ensuite rapidement l'exclusivité pour la plupart des concerts des grandes stars des jeunes : Madonna, Phil Collins, Michael Jackson, Prince, etc. Puis à la fin des années 80, Fun Radio organise pour la première fois à Bercy “la plus grande discothèque du monde”, un concert privé avec 15 000 personnes. Au début des années 90, Fun récidive avec cette fois-ci “Dance Machine”, des concerts animés par les animateurs de l'époque (Difool, Cauet, Bill, ...). Tout cela diffusé en direct à la radio, mais aussi à la TV sur M6. Plus récemment, Skyrock réunit 40 000 personnes au Stade France pour “Urban Peace”Ces dernières années, la tendance est à la proximité, l'intimité et l'exclusivité. RTL2 a été l'une des premières a initier le mouvement avec ses concerts “très très privés”, réservant un artiste aux auditeurs de la station. De nombreuses radios locales indépendantes créent aussi des évènements privés et intimistes avec quelques auditeurs, ou même organisent de grands concerts gratuits, à l'instar de Tendance Ouest (“Tendance Live”). Quant aux radios nationales généralistes, on peut constater qu'elles sponsorisent toujours régulièrement quelques concerts et gardent aussi la particularité d'enregistrer des évènements en studio (Le Grand Studio RTL, les sessions à la Maison de la Radio)Extraits :1-“Salut les Copains” sur Europe 1 avec Daniel Filipacchi et Johnny Hallyday en invité, suivi d'un reportage sur le concert place de la nation le 23 juin 1963 relayée par l'émission (source [https://www.youtube.com/watch?v=m554ivgGiLs])2-Dance Machine 4 avec Difool et Cauet (source [https://www.dailymotion.com/video/x2l1rr])3-Urban Peace 3 en 2013 avec Difool, Romano, Le Belge et Fred de Skyrock (source [https://www.youtube.com/watch?v=652CJXwVIko])4- Bande promo de Tendance Live Résonance au Havre, concert du 14 juillet 2017 (source [https://www.youtube.com/watch?v=bBQ_SjmBIEg])Animation / réalisation : Anthony GourraudIntervenants : Olivier Oddou, Julien VigierCrédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars')Voix off : Estelle Hubert [http://estellehubert.com]
Partie avec Olivier Oddou : Avant même l'arrivée des radios libres dans les années 80, les radios publiques et périphériques étaient régulièrement en partenariat avec les concerts d'artistes. Les radios organisaient aussi leurs propres émissions-concerts dans leurs studios, des “radio-crochets” qui permettaient de découvrir de nouveaux talents.À partir du milieu des années 80, NRJ présente une certaine importance en audience et commence à devenir partenaire de gros concerts. En premier lieu en double partenariat avec les généralistes, elle obtient ensuite rapidement l'exclusivité pour la plupart des concerts des grandes stars des jeunes : Madonna, Phil Collins, Michael Jackson, Prince, etc. Puis à la fin des années 80, Fun Radio organise pour la première fois à Bercy “la plus grande discothèque du monde”, un concert privé avec 15 000 personnes. Au début des années 90, Fun récidive avec cette fois-ci “Dance Machine”, des concerts animés par les animateurs de l'époque (Difool, Cauet, Bill, ...). Tout cela diffusé en direct à la radio, mais aussi à la TV sur M6. Plus récemment, Skyrock réunit 40 000 personnes au Stade France pour “Urban Peace”Ces dernières années, la tendance est à la proximité, l'intimité et l'exclusivité. RTL2 a été l'une des premières a initier le mouvement avec ses concerts “très très privés”, réservant un artiste aux auditeurs de la station. De nombreuses radios locales indépendantes créent aussi des évènements privés et intimistes avec quelques auditeurs, ou même organisent de grands concerts gratuits, à l'instar de Tendance Ouest (“Tendance Live”). Quant aux radios nationales généralistes, on peut constater qu'elles sponsorisent toujours régulièrement quelques concerts et gardent aussi la particularité d'enregistrer des évènements en studio (Le Grand Studio RTL, les sessions à la Maison de la Radio)Extraits :1-“Salut les Copains” sur Europe 1 avec Daniel Filipacchi et Johnny Hallyday en invité, suivi d'un reportage sur le concert place de la nation le 23 juin 1963 relayée par l'émission (source [https://www.youtube.com/watch?v=m554ivgGiLs])2-Dance Machine 4 avec Difool et Cauet (source [https://www.dailymotion.com/video/x2l1rr])3-Urban Peace 3 en 2013 avec Difool, Romano, Le Belge et Fred de Skyrock (source [https://www.youtube.com/watch?v=652CJXwVIko])4- Bande promo de Tendance Live Résonance au Havre, concert du 14 juillet 2017 (source [https://www.youtube.com/watch?v=bBQ_SjmBIEg])Animation / réalisation : Anthony GourraudIntervenants : Olivier Oddou, Julien VigierCrédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars')Voix off : Estelle Hubert [http://estellehubert.com]
Dans ce podcast, les associées de Viaconseil, Joëlle Vincent et Caroline Maranda, proposent différentes démarches pour faciliter… The post Épisode 25 : Comment assurer le transfert des connaissances lorsqu'une personne clé quitte l'organisation? appeared first on Viaconseil.
durée : 00:02:07 - Esprit sport - La numéro 2 mondiale Naomie Osaka ne veut pas parler aux médias cette année lors du Tournoi de Roland-Garros, qui débute dans deux jours. "J’écris ceci pour dire que je ne répondrai à aucune question de la presse pendant Roland-Garros", annonce-t-elle sur Twitter, ceci dans me but de préserver sa santé mentale.
durée : 00:54:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1964, France Culture proposait une série de documentaires "1940-1944 : La Résistance, témoignages et documents pour servir l'histoire" pour les 20 ans de la Libération, parmi eux une série thématique sur la presse et la littérature clandestine, avec un volet consacré à l'année 1941. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Emmanuel d'Astier de la Vigerie Résistant et compagnon de la Libération, écrivain, journaliste, militaire et homme politique français
Face à la crise sanitaire, les banques ont montré qu’elles étaient capables de réagir vite notamment avec le PGE. Et après ? Selon Memo Bank “elles se sont concentrées sur le prêt garanti par l’État et ont su simplifier leurs procédures d’octroi de financements pour répondre aux besoins immédiats des PME, qui ont donc goûté à une forme de vitesse et d’efficacité inédite. Mais comme dit le proverbe : chassez le naturel, il revient au galop… Les banques auront tôt fait de retomber dans l’ornière de leurs habitudes, où le temps long des décisions s’accorde mal avec les attentes des entrepreneurs“. Comment ce type de relation entre les dirigeants de PME et les organismes financiers peut-il changer ? Quelles sont les attentes de part et d’autres ? Retour sur un enjeu crucial au moment de la reprise, avec mon invité Jean-Daniel Guyot Président du Directoire Memo Bank L’article Jean-Daniel Guyot Président du Directoire Memo Bank : “Améliorer l’intégration de la banque au processus et à l’organisation des PME” : Financement des PME : perspectives est apparu en premier sur La Bourse et la Vie TV L'information éco à valeur ajoutée.
Télétravail, flex office… Comment la nouvelle organisation du travail au sein des entreprises impacte-t-elle la gestion sociale ? En cette période, nombreuses sont les entreprises qui mettent en œuvre des plans d'actions stratégiques pour faire face à des difficultés économiques impactant leur organisation et leurs collaborateurs.
Chaque année, les Tunisiens découvrent au moment du ramadan les fameux feuilletons, de plus en plus nombreux. Ces feuilletons explorent des sujets tabous et controversés, provoquant le débat au sein de la société tunisienne, en majorité conservatrice. Reportage de notre correspondante à Tunis, Lilia Blaise Après le repas de rupture du jeûne, Fatma, retraitée et Amine son fils de 34 ans, ont pour tradition de regarder les feuilletons du ramadan, des productions originales tunisiennes qui ne passent que pendant le mois saint. « On attend avec impatience que ça commence quand on est en famille, un peu comme maintenant. Nous sommes tous réunis et nous regardons les feuilletons et après on en parle et on en débat, c’est une tradition », nous explique Fatma. Mais pour elle, le charme des feuilletons d’antan n’est plus le même. « Les feuilletons ont un peu changé, par rapport au ramadan, le contenu de certains est quand même est un peu osé », remarque Fatma. Osés à cause de scènes de violences, souvent plus pour un public averti. Mais depuis la Révolution, les feuilletons adoptent aussi une liberté de ton et de contenu. Cette année, Amine, a été séduit par Harga, une nouvelle production sur l’immigration clandestine. « Le rôle que peut jouer une œuvre audiovisuelle c’est surtout par sa fonction éducative et pédagogique. Harga remplit cette fonction car il traite d’un sujet très sensible et très important en Tunisie » assure-t-il. Dans le quartier de Sidi Bou Saïd, Fatma, 37 ans et consultante en communication, aime regarder seule les feuilletons et non pas en famille. Elle suit un drame intitulé Ouled El Ghoul, plus porté sur les affaires de mœurs. « Il y a des sujets assez tabous qui sont abordés tels que le viol, le harcèlement sexuel, les grossesses extraconjugales... Je trouve ça bien que ces sujets soient abordés », explique-t-elle. Certains vont parfois trop loin comme une caméra cachée, qui met en scène une vaccination contre le Covid-19, aux effets mortels. L’Organisation mondiale de la santé a demandé sa suspension. Au marché de l’Ariana, Afef Souissi secrétaire médicale, se dit révoltée par l’émission, alors que le pays est en pleine campagne de vaccination. « Cela donne l’impression que la vaccination c’est pas bien et ça effraye les gens » déplore-t-elle. Des débats et des polémiques qui donnent chaque année beaucoup de travail à la HAICA, une instance qui régule le paysage audiovisuel. Depuis 2013, Nouri Lajmi en est le président. « On est littéralement inondé par les plaintes. C’est à mon sens une prise de conscience extraordinaire. Par sa participation je pense que le citoyen peut être aussi un co-régulateur » témoigne-t-il. Un citoyen régulateur mais aussi critique face à des feuilletons qui battent malgré tout, tous les ans, des records d’audience.
durée : 00:03:05 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Menacée d’être déclarée « organisation extrémiste », l’organisation de l’opposant emprisonné Alexei Navalny s’est auto-dissoute pour protéger ses membres. Les médias sont aussi sous pression. L’espace politique pour une opposition à Poutine se réduit.
durée : 00:03:05 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Menacée d’être déclarée « organisation extrémiste », l’organisation de l’opposant emprisonné Alexei Navalny s’est auto-dissoute pour protéger ses membres. Les médias sont aussi sous pression. L’espace politique pour une opposition à Poutine se réduit.
Une organisation parfaite sans action ne vaut rien. Mais une action sans organisation est aussi limitée. Tout est toujours une question d’équilibre. Retrouvez les notes de l’épisode : https://lecarnetpetillant.com/2021/04/19/la-limite-de-lorganisation-qui-vous-bloque/ Rejoignez-moi sur Instagram : https://www.instagram.com/le.carnet.petillant/ Inscrivez-vous au contenu exclusif de Carnet Pétillant : https://7a7fae82.sibforms.com/serve/MUIEANbexxWMhKb0VQbTC_xEdFrM2kELVN-yEjnp-dFpVArYDKALde-AuBjldrW6ZkIek0R9GFnFiomokyIR3vqU4JocitwFCNeMDKmZpoecgbhsW2xhkb9AQ2PJWTwGkkD9ncSL1T2ZbdAEljjBWJXchobJBhf7oENXdBGb0SICXJYBkixxppD-mowI-Dw1I49pLm9GscIOyhjc
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ont signé un mémorandum d’accord visant à intensifier leur collaboration et à améliorer l’accès aux services de santé dans les pays francophones.
Entre reports et nouvelles dates, gestion d'un budget serré et billetterie fermée, joueurs capricieux et forfait en pagaille, comment se déroule la vie des patrons de tournoi ? Sarah Pitkowski, Eric Salliot et Nicolas Jamain se plongent dans le quotidien des directeurs d'évènement de tennis avec Denis Naegelen, patron des Internationaux de Strasbourg.
durée : 00:05:26 - Le 7H50 l'invité de la rédaction - Philippe Ribot, maire de Saint-Privat-des-Vieux, conseiller départemental UDI et président de l'association des maires du Gard était l'invité du 7h50 ce mardi 13 avril sur France Bleu Gard Lozère.
La crise économique provoquée par la pandémie de Covid-19 a accru les inégalités, y compris celles entre les hommes et les femmes. Le rapport annuel du Forum économique de Davos consacré aux inégalités de genre vient le confirmer. En moyenne dans le monde, et cela cache de grandes disparités, l’écart entre hommes et femmes a été comblé à 68% (sachant que 100% représente la parité). Cette moyenne est en recul de 0,6 point de pourcentage par rapport à la précédente étude. Cela peut sembler léger comme recul, mais cela porte à plus de 135 le nombre d’années pour atteindre la parité au niveau mondial. Trente-six ans de plus que ce qui avait été annoncé l’an dernier, un calcul établi sur la base de la trajectoire des améliorations de ces dernières années. Et pour l’instant, le rapport 2021 ne reflète pas complètement l’impact de la crise. L’indicateur s’est, à vrai dire, plutôt dégradé au niveau politique. Mais les rapporteurs estiment que lorsque l’effet de la pandémie sera pleinement pris en compte, l'indicateur portant sur l’économie pourrait être révisé à la baisse. L’Organisation internationale du travail a en effet mis en avant que 5% des travailleuses avaient perdu leur emploi en 2020 contre 3,9% pour les hommes. Les femmes sont plus représentées dans les secteurs les plus affectés par la crise. Au-delà de l’accès à l’emploi, c’est l’accès à l’encadrement qui semble plus compliqué. Le Forum économique mondial a travaillé en partenariat avec LinkedIn. Le réseau social professionnel a remarqué un déclin des embauches des femmes à des postes de direction, un retour d’un ou deux ans en arrière dans plusieurs secteurs. Les auteurs du rapport s’inquiètent aussi d’effets potentiellement durables de cette crise sur les inégalités de genre. La crise a encore accéléré la digitalisation. Alors, le Forum économique mondial a étudié huit secteurs incarnant les « emplois de demain ». Or sur les huit, seulement deux ont atteint la parité. Dans la plupart, les femmes sont sous-représentées. Elles ne constituent que 14% des effectifs dans le Cloud, 32 % dans la data et l’intelligence artificielle. Les « jobs de demain » sont encore très masculins. Le rapport appelle donc à des politiques de relance favorables aux femmes Certaines initiatives en ce sens ont déjà émergé. Dès avril 2020, une commission de l'État d'Hawaï a esquissé un « plan féministe pour la relance ». Au niveau fédéral, dans le plan américain pour les infrastructures annoncé hier, la Maison Blanche a pris soin de souligner sa volonté de réduire les inégalités y compris entre hommes et femmes. Joe Biden demande, par exemple, au Congrès de consacrer 25 milliards de dollars au développement des services d’aide à l’enfance, leur carence ayant un impact sur l’emploi, particulièrement celui des femmes. L’Union européenne, elle, a listé l’égalité hommes-femmes parmi les critères auxquels elle serait attentive dans l’utilisation des fonds du plan de relance. Mais, la part dévolue à cet objectif n’a pas été chiffrée contrairement à celle destinée aux enjeux climatiques. Des voix se sont élevées, s'inquiétant du fait que deux des objectifs majeurs, le climat et la digitalisation, soient des secteurs plus masculins. C'est ce qu'a dénoncé entre autre, le collectif féministe « half of it » (la moitié). Un mouvement qui a fait mouche par exemple en Italie, l’Italie qui est en queue de peloton de la région Europe de l’Ouest du classement du Forum de Davos et 63e mondiale. Rome, première bénéficiaire de l’aide européenne, a malgré tout érigé les femmes au rang des trois priorités du volet « inclusion sociale » doté de 10% des fonds. Le plan présenté par le gouvernement prévoit entre autre une enveloppe pour l’accueil des enfants en bas âge et des aides fiscales pour l’embauche des femmes. Le programme n’est pas encore finalisé. Alors, hier, des membres du mouvement il Giusto mezzo, (le juste milieu), ont écrit à Mario Draghi pour que 50% du plan de relance aille à l'emploi des femmes.
Entrevue avec Paulin Bordeleau, entraîneur du Collège Esther-Blondin Midget AAA : on discute de Cole Caufield, qu'il connait bien. Cole Caufield va bientôt se joindre à l'organisation du Canadien. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L’Opep et ses dix alliés ont décidé ce jeudi d’ouvrir prudemment les robinets. Ils vont progressivement augmenter leur production quotidienne à partir du mois de mai. L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés menés par la Russie ont décidé d’augmenter le niveau actuel de production de 350 000 barils par jour en mai, encore d'autant en juin et de 450 000 en juillet. Cette hausse est jugée modeste par les analystes, car on est encore très loin des niveaux de production d'avant la crise. En effet, le cartel des producteurs a déjà réduit sa production d'au moins 7 millions de barils par jour l'an dernier, une mesure sans précédent qui consistait à soutenir jusqu'à aujourd'hui les prix du brut face à une faible demande provoquée par la crise sanitaire. De son côté, l’Arabie saoudite, chef de file de l’Opep, a décidé aussi d’augmenter progressivement sa production quotidienne qu’elle avait volontairement réduite d’un million de barils par jour en février dernier. Une sortie de crise à l'horizon Les pays producteurs ont convenu d’ouvrir les vannes, constatant que l’économie mondiale se redresse doucement, notamment grâce aux politiques de relance dans les principaux pays consommateurs de brut. Les campagnes de vaccination laissent également présager qu’une sortie de crise est possible pour ces pays à partir de l’été En décidant de relever modestement leur production, l’Opep et ses alliés ont voulu se montrer prudents face une pandémie qui réserve toujours de surprises. En effet, l’Europe connaît une troisième vague de contaminations imposant un renforcement des mesures de restrictions et le virus se propage à grande vitesse sur des pays qui sont autant de marchés porteurs pour l’or noir, comme l’Inde.
L’Organisation mondiale contre la torture a relevé une hausse des actes de torture dans le monde, hors situation de détention.
C'est l'une des conséquences de la pandémie sur le transport marchand : l'Europe et l'Amérique manquent de conteneurs. La faute à qui ? Au déséquilibre entre une Asie qui a repris ses activités commerciales et l'Occident qui est juste en train de redémarrer. Cette pénurie sans précédent dans l'histoire de l'économie a fait s'envoler les prix. Aujourd'hui, pour transporter la marchandise dans ces gros caissons de navires, il faut payer quatre fois plus cher qu'il y a un an. Dix jours à l’avance ! Avant la pandémie, c’était le délai pour transporter les marchandises. Aujourd’hui, il faut multiplier ce délai par cinq ! Cinquante jours pour réserver les fameux caissons de navires. En un an, des prix multipliés par quatre et des délais sans précédent dans l’histoire du commerce moderne mondial. Les navires sont bloqués dans les ports. Donc empêchés de repartir, bon nombre de bateaux ont dû garder leurs marchandises à bord. L'Asie a ensuite repris ses exportations avant les autres pays. D'où des transits décalés par rapport au trafic précédant la pandémie et les confinements. L’essor des produits électroniques Françoise Huang, auteure d’une étudie sur le sujet pour l’assureur Euler-Hermes. Pour elle, ce déséquilibre entre l'offre et la demande de conteneurs, ne profitera à aucune puissance mondiale : « La situation ne profite qu'aux vendeurs de conteneurs ! explique-t-elle. Dès l’été dernier, on a vu la demande de produits électroniques monter en flèche en Europe. C’est bien évidemment lié à la forte hausse du télétravail et du divertissement sur internet. La Chine a repris ses exportations bien avant le reste de l’Europe et de l’Amérique. Le transfert de marchandises s'est considérablement décalé. Finalement, ce manque de conteneurs vides entraîne leurs hausses de prix. » L’OMC doit intervenir Les transporteurs sont inquiets. Ils savent que désormais, le monde n'est pas à l'abri d'autres vagues épidémiques comme celles du Covid-19. Pour Fabrice Accary directeur de l’AUTF, l’association française des chargeurs de fret, il est urgent d'agir maintenant à condition que cette action soit soutenue au niveau international : « L’économie mondiale est en grande souffrance. Comment faire diminuer les prix des conteneurs ? C’est une affaire de régulation internationale. L’Organisation mondiale du commerce doit intervenir. Ce sont aux politiques d’agir. Les dirigeants des pays européens, des États-Unis et d’Afrique devraient s’unir pour convaincre l’OMC de réguler le marché avec des règles mondiales s’appliquant à l’Occident comme au reste de l’Asie. » Le monde relocalisé, oui mais pas à 100% L’opticien français Kriss vient d’annoncer le rapatriement en France d’une partie de la fabrication de ses 300 000 verres de lunettes haut de gamme. Ce concept et cette volonté du monde d’après… Très en vogue depuis un an et le début de la pandémie consiste à rapprocher les usines de production. Cette relocalisation de la Chine et de l’Asie vers l’Occident serait une bonne idée, mais elle est impossible à réaliser dans une économie en recherche du moindre coût. C’est en tout cas l’avis de Max Jammot, économiste à l’Agence Ellisphère : « La France, estime-t-il, avec la volonté du président Macron de relocaliser une partie de l’économie, notamment sanitaire (médicaments, masques…) me paraît possible sur le court et moyen terme. Mais ce sera impossible pour d'autres secteurs industriels. Prenez l’électroménager. La différence du prix de la main d’œuvre est trop importante entre l'Asie et les pays d'Europe de l'ouest. En Chine, l’heure de travail coûte 50 centimes. En Europe, c’est 25 euros l’heure dans les entreprises de produits ménagers, SEB, par exemple. » Conteneur, le prix fort jusqu’en été 2021 Quant au retour à la normale, cette baisse du prix des conteneurs, tant attendue, aucun des économistes interrogés n’a osé se prononcer. En revanche, ce dont ils sont certains, et tous… c’est que le prix fort va durer. Au moins jusqu’à la fin de cet été 2021.
Nous fonctionnons tous différemment. Certains ont besoin d’une organisation digitale. Certains ont besoin du contraire et vont alors se tourner vers une organisation avec du papier. Certains auront besoin d’une organisation cadrée alors que d’autres se tourneront un système plus flexible. L’organisation parfaite pour tous n’existe pas. Ce n’est pas parce que vous regardez une vidéo YouTube d’une personne qui vous présente son organisation - qui fonctionne pour elle - qu’en l’appliquant à votre vie cela fonctionnera à coup sûr. Par contre, il existe une organisation parfaite pour votre vie. En général, le plus compliqué c’est de la trouver. Par contre, ce qui nous concerne tous, c’est que toute organisation doit faire preuve d’adaptation. Retrouvez les notes de l’épisode : https://lecarnetpetillant.com/2021/03/08/ladaptation-comme-cle-de-lorganisation/ Rejoignez-moi sur Instagram : https://www.instagram.com/le.carnet.petillant/ Inscrivez-vous au contenu exclusif de Carnet Pétillant : https://7a7fae82.sibforms.com/serve/MUIEANbexxWMhKb0VQbTC_xEdFrM2kELVN-yEjnp-dFpVArYDKALde-AuBjldrW6ZkIek0R9GFnFiomokyIR3vqU4JocitwFCNeMDKmZpoecgbhsW2xhkb9AQ2PJWTwGkkD9ncSL1T2ZbdAEljjBWJXchobJBhf7oENXdBGb0SICXJYBkixxppD-mowI-Dw1I49pLm9GscIOyhjc
Interview de Caroline Dommen, chercheuse spécialiste des questions de commerce et de genre, associée à l’Institut international de développement durable.
John Lenertz est médecin généraliste et médecin secouriste. Mais il a maintenant une nouvelle casquette, celle du chef du centre de vaccination contre le coronavirus qui doit ouvrir ses portes aux Tanzmatten de Sélestat ce mercredi 3 mars. Il nous raconte les difficultés rencontrées lors de sa mise en place, ses avantages par rapport à l'ancien centre basé à l'hôpital ou encore comment les choses vont se passer sur place pour les personnes qui viendront se faire vacciner.
L’Organisation mondiale de la santé intensifie ses efforts pour endiguer les épidémies d’Ebola en Guinée et en République démocratique du Congo, notamment pour renforcer la surveillance, la recherche des contacts, les tests et les traitements. La vaccination a été lancée en RDC et plus de 11.000 doses de vaccin sont attendues dimanche en Guinée.
Sama Lukonde Kyenge, 43 ans, a été nommé Premier ministre. Il est celui à qui incombe la responsabilité de traduire en acte les promesses de Félix Tshisekedi. Plusieurs dossiers sont déjà sur sa table. Après la formation du gouvernement, il lui faudra s'attaquer à plusieurs dont celles des élections. ACTUALITE.CD un podcast sur les attentes de la société civile et des acteurs politiques. Pour ce premier épisode, écoutez le député Patrick Muyaya qui revient sur l'urgence de penser déjà au financement du processus électoral.
Pas facile de commencer sa vie professionnelle au temps du Covid-19. Les jeunes sont parmi les plus affectés par la hausse du chômage, et donc par la baisse de leur revenu. Les 18-25 ans ont été frappés plus durement que leurs aînés sur le plan économique. L’Organisation internationale du travail (OIT) estime que la perte d’emploi causée par la pandémie est de 3,7% pour les adultes, et de 8,7% pour les jeunes, presque trois fois plus ! Ceux qui avaient un petit boulot dans le tourisme ou la restauration, ont été les premiers à le perdre ; et il y a aussi l’immense cohorte de tous ceux qui voient leur arrivée sur le marché du travail empêchée, faute d’embauche. Car en situation de crise, avant de licencier, une entreprise cesse d’abord de recruter. On parle déjà de génération perdue, cette génération est-elle condamnée? Elle sera durablement pénalisée nous démontrent deux économistes du FMI dans une étude publiée en décembre dernier. Ils ont analysé, compilé toutes les enquêtes déjà réalisées sur le sujet des générations sacrifiées par une crise économique dans les pays les plus riches, où on dispose de ces données statistiques, et ils constatent que dans tous ces pays les effets négatifs sur les jeunes s'étalent sur des décennies. Une entrée ratée dans la vie active écrête durablement les revenus futurs. Dix ou quinze ans plus tard une génération malheureuse gagne encore moins que ceux qui ont démarré l’année juste avant la crise. Et cela quel que soit leur niveau d’éducation. La paupérisation des plus fragiles d'entre eux favorise le passage à la criminalité, elle engendre des problèmes de santé sur le long terme, et même un déclin de l’espérance de vie. Pour les jeunes Américains qui prévoyaient d'entrer sur le marché du travail en 2020, les deux chercheurs estiment qu’ils perdront environ un an et demi d’espérance de vie et 7% de revenus par an par rapport à ceux qui ont commencé à travailler en 2019 et cela au moins jusqu’à leurs quarante ans. À moins que des amortisseurs d’urgence ne soient mis en place pour leur venir en aide. En France, tout le monde s’accorde sur le besoin de solidarité avec ces jeunes mais pas forcément sur les modalités Des fonds exceptionnels ont été débloqués deux fois l'an dernier pour leur venir en aide mais le gouvernement refuse de pérenniser le dispositif en élargissant au moins de 25 ans le versement du RSA, le revenu de solidarité active, une mesure demandée surtout par les partis de gauche. Leur argument: chez les jeunes la pandémie redouble des difficultés économiques qui étaient déjà là avant le coronavirus, il est urgent d'y remédier.
Les élections de novembre ne laissaient que peu de doutes : avec 83% des voix, le parti d’Aung San Suu Kyi, la Ligue pour la démocratie, a remporté, haut la main, le scrutin. Mais après une décennie de transition démocratique, l’armée s’est à nouveau saisie du pouvoir juste avant la réunion du nouveau Parlement, comme lorsque les militaires avaient refusé la victoire de la LND lors des élections de 1988. La prix Nobel de la paix, avait alors été assignée à résidence, et la communauté internationale lui avait apportée un large soutien. Mais, depuis l’arrivée au pouvoir de la « dame » de Rangoon en 2015, l’ONU a accusé la Birmanie d’intentions génocidaires envers les Rohingyas. L’Organisation s’est désolidarisée du gouvernement d’Aung San Suu Kyi qui a défendu les exactions de l’armée birmane en 2017. Comment en est-on arrivé à cette situation ? À quoi s’attendre pour les mois, les années à venir ? « Je ne me sens pas en sécurité, je suis mal à l'aise. Et tous ici, nous avons peu d'espoir » : les mots de ce moine, anonyme, de Mandalay donnent le ton. Depuis le 1er février, l’armée a repris le pouvoir par la force, clamant que des fraudes électorales les ont poussés au coup d’État. Pierre Prakash, directeur adjoint du programme Asie de l’ONG Crisis Group, estime que la victoire écrasante de la Ligue pour la démocratie, le parti d’Aung San Suu Kyi, a été un camouflet pour l’armée : « Ce à quoi on a affaire en Birmanie, ce sont des militaires qui n’acceptent pas le processus démocratique qui a été enclenché il y a maintenant dix ans, qui ont vécu les dernières élections du mois de novembre comme une humiliation. Ils n’arrivent pas à accepter le résultat, qui prouve en même temps la popularité d’Aung San Suu Kyi, et le rejet d’un rôle politique pour les militaires - parce que leur parti contrôlé a été complètement écrasé par la Ligue pour la Démocratie. » Un général ambitieux Pierre Prakash explique aussi que le commandant en chef de l’armée birmane, Min Aung Hlaing, devait prendre sa retraite cet été et n’a jamais caché ses aspirations politiques. L’ambition personnelle serait donc un des facteurs de la situation actuelle… Le Senior General (son titre officiel) a promis de nouvelles élections l'année prochaine. « Des prétextes », estime l’historien Jean Louis Margolin, qui semblent « davantage destinés à la communauté internationale », et « permettent aux protecteurs de l’armée birmane, en particulier les Chinois, de ne pas faire grand chose et dire ‘vous voyez il y a peut-être une porte de sortie’ ». Jean Louis Margolin, y voit aussi « la possibilité d’organiser des élections complètement truquées, où seuls des partisans de l’armée pourraient se présenter et où, évidemment, les résultats de ses élections ne feraient qu'entériner le coup d'État. » Les experts s’accordent pour dire que sans intervention extérieure, la promesse d’un retour à la vie civile d’ici un an semble difficile à envisager, au regard du passé tumultueux de la Birmanie. Il s’agirait aujourd’hui de trouver le levier international, sous formes de sanctions par exemple, qui pourrait changer la donne. Quels recours ? Après les attaques de l’armée contre les Rohingyas en 2017, la communauté internationale, qui soutenait « la transition vers l’ouverture économique et la bonne gouvernance, a littéralement retiré son soutien », explique Sophie Boisseau du Rocher, de l'Institut français des relations internationales : « Les investissements et le nombre de touristes occidentaux ont chuté, et donc madame Aung San Suu Kyi a été prise dans une espèce de dilemme. Elle ne pouvait pas poursuivre la trajectoire démocratique sans les moyens rendus possibles grâce à l’aide de l’Occident. Et c’est aussi un peu notre responsabilité qu’il faut remettre en cause. » Selon la spécialiste, la rivalité sino-américaine pourrait changer la donne, car la Birmanie est « un pays indispensable pour la projection de force dans l’océan Indien ». Et les Chinois le savent bien... « Il y a donc une inquiétude aujourd’hui, très palpable, au sein des forces armées occidentales, sur le fait que certaines villes birmanes pourraient être utilisées par la marine chinoise pour déployer des forces dans l’océan Indien », explique Sophie Boisseau du Rocher. Un argument qui pourrait inciter le président américain Joe Biden à agir beaucoup plus vite et de façon peut-être plus incisive qu’il ne l’aurait fait. Ainsi « les sanctions ne sont pas suffisantes, du fait précisément du désintérêt de l’Occident depuis août 2017, les sanctions auraient peu d'impact sur l’économie birmane aujourd’hui », estime la spécialiste, « mais peut-être qu’un argument sécuritaire plutôt dirigé contre la Chine aurait plus de poids. » Désobéissance et contestation Dans le pays, les appels à la désobéissance civile se multiplient, au point que l’armée a exigé, dans les jours qui ont suivi le coup d’Etat, que le réseau social Facebook soit bloqué. L’auteur Frédéric Debomy explique que les militaires savent bien que l’internet en Birmanie, c’est largement Facebook, devenu un outil « essentiel ». Les appels à la désobéissance civile ont basculé sur Twitter. Les hashtags #HearthevoiceofMyanmar, écoutez la voix de la Birmanie, et #RespectOurVotes, respectez notre vote, ont été repris des millions de fois. Les Birmans s’organisent donc autrement : « Ce qui est intéressant, c’est que ce sont parfois des Birmans qui n’ont pas des profils de militants, qui ne s’étaient pas jusque-là engagés. Cela peut donc laisser penser que ce mouvement est un mouvement fort, et que des gens décidés vont trouver des solutions. » D’ailleurs, même les médecins, indispensables à l’armée en temps de pandémie, ont lancé un appel à la grève dans de nombreuses villes à travers le pays comme l'explique à RFI une chirurgienne qui a souhaité gardé l'anonymat : « Certains ont cessé le travail et d'autres porteront un bandeau rouge pour signifier qu'ils sont prêts à soigner les patients, mais qu'ils refuseront dorénavant de recevoir des instructions de l'armée. » La contestation s’est intensifiée dans les jours qui ont suivi le coup d'État. Dans les rues birmanes, on pouvait voir étudiants et professeurs faire le salut à trois doigts, un geste de résistance emprunté aux films américains Hunger Games. De son côté, l’armée poursuit ses arrestations, malgré les nombreuses condamnations internationales. Au moins 150 responsables politiques et militants auraient été arrêtés. Lors de son discours de politique étrangère cette semaine, le président américain Joe Biden a exhorté les généraux putschistes à « renoncer au pouvoir ». En revanche, à l'ONU, le Conseil de sécurité a exprimé sa « profonde préoccupation » et a appelé à la libération des détenus, sans pour autant condamner le coup d'État, ce que refusaient logiquement la Chine, principal soutien de la Birmanie aux Nations unies, et la Russie.
durée : 00:07:57 - Associations iséroises
durée : 00:08:22 - L'interview - Le site Les Jours publie une nouvelle série d'enquêtes qui explore le rôle que joue Internet dans la perpétuation de l'Etat islamique. Le journaliste Thierry Lévêque s'est intéressé à Abdel Khamallah, un Français qui gérait la propagande de l'organisation terroriste depuis son canapé.
- L’OMS met en garde contre l’échec moral que constituerait l’accaparement par les pays riches du vaccin contre la Covid-19. - L’Organisation internationale pour les migrations plaide pour l’inclusion des migrants dans les campagnes de vaccinations européennes. - Le chef des opérations de paix de l’ONU a entamé une visite au Mali.
L’écriture, la création et, de manière générale, le travail des indépendants nécessitent temps, concentration et discipline. À travers leurs expériences, personnalités et habitudes, Mélanie, Estelle et Lionel dévoilent leur organisation et leurs « trucs » pour gérer au long cours leurs projets. Mélanie rappelle d’abord que l’indépendance est souvent un peu fantasmée, et qu’elle laisse en réalité peu de temps et d’énergie en dehors du travail… Il est important de connaître ses limites. Estelle dévoile son absence d’horaires réguliers, et sa méthode de fonctionnement « à la tâche », quand Lionel parle de la difficulté à se mettre à l’écriture et des bienfaits du time-blocking. Références citées - John Gardner, The Art of Fiction (et non Elements, comme cité dans le podcast) - David Allen, S’organiser pour réussir, la méthode Getting Things Done
Le Niger est dans l’entre-deux-tours. Le 21 février prochain, le candidat du PNDS, parti au pouvoir, Mohamed Bazoum fera face à l’opposant Mahamane Ousmane, candidat de la coalition Cap 20-21. Dans une déclaration bilan du 1er tour, l’opposition dénonce la façon dont s’est déroulée la première partie du scrutin. Qu’en disent les observateurs ? L’Organisation internationale de la Francophonie avait envoyé au Niger une Mission d’information et de contacts du 21 au 30 décembre 2020. Notre invité est Antoine Michon, Directeur des affaires politiques et de la gouvernance démocratique à l’OIF. RFI : Qu’est-ce que vous retenez de la mobilisation à laquelle on a assisté lors du premier tour de l’élection présidentielle au Niger ? Antoine Michon : La campagne, tous les observateurs nous ont dit qu’elle était un peu morose, comparée aux campagnes précédentes. Je pense qu’il y a un facteur d’explication dans la situation sanitaire, qui a sans doute limité les rassemblements et la participation dans la rue. Mais le jour de l’élection, les citoyens et les citoyennes sont sortis et le taux de participation, qui est quasiment de 70 %, est particulièrement élevé. Comment est-ce que l’on peut expliquer cette mobilisation, selon vous ? Je pense que c’est une élection qui a comporté beaucoup d’enjeux pour les citoyens nigériens. C’est un renouvellement complet de la classe politique, puisqu’ils élisaient président, députés, mais aussi leurs conseillers locaux (au début décembre) et ils sont dans un contexte, on le sait, d’insécurité au Sahel, qui je pense rendait les enjeux importants. Ce que l’on a constaté, c’est aussi qu’il y avait eu une forte mobilisation des jeunes et notamment des jeunes femmes, qui s’étaient enrôlé(e)s massivement sur le fichier électoral – il y avait 55 % de femmes dans le fichier électoral – et que l’on a vus participer, très nombreux, et très nombreuses, le jour de l’élection. Est-ce que cela veut dire que l’insécurité qui sévit dans certaines régions du pays n’a pas pesé sur la mobilisation des électeurs ? Ce qui était notable et très heureux, c’est qu’effectivement il n’y a pas eu d’incident sécuritaire le jour du scrutin. Quelques jours après, malheureusement, il y a eu un très grave incident. Ce que l’on a remarqué, c’est qu’au niveau de l’enrôlement, il y a eu un moindre enregistrement dans certaines régions, mais ceci correspond malheureusement à des régions où les personnes ont été déplacées. Il y a effectivement quelques endroits assez limités où le vote n’a pas pu être organisé, mais cela reste limité si l’on compare avec le Burkina Faso, qui a tenu des élections tout récemment et qui vit aussi la même menace terroriste. L’impact sécuritaire a été beaucoup plus important, parce qu’il y a eu des régions entières où le vote ne pouvait pas être organisé en dehors des principales localités. L’opposition, dans une déclaration, ce mardi, dénonce toute une série d’irrégularités et parle « d’élections les plus frauduleuses de l’histoire de notre démocratie ». Est-ce que cela correspond à ce que vous avez pu constater en tant qu’OIF sur le terrain ? On est dans un contexte de campagne électorale, donc je ne vais pas commenter une déclaration politique. Mais le constat qui a été fait par notre mission, par les observateurs nationaux avec lesquels nous avons travaillé, par les autres missions d’observation internationale, c’est une élection qui a été bien organisée et qui s’est déroulée de manière transparente. Bien sûr, il y a des constats qui ont été faits de cas d’achats de conscience et dans certains cas de bourrages des urnes. Cela a été relevé par certains. Mais cela reste, je pense, quelque chose de très isolé et je suis certain que, ceux qui estiment qu’il y a eu des situations de fraude, feront des recours devant la Cour constitutionnelle qui doit encore valider les résultats. Les acteurs nigériens, même s’ils contestent cette élection, restent dans le cadre légal. Pas de violence, pas de débordements comme on a pu en voir en Côte d’Ivoire ou en Guinée… Comment est-ce que vous l’expliquez ? Je pense qu’il y a un attachement profond des responsables politiques, des acteurs politiques des partis et des Nigériens eux-mêmes, à un règlement des différends par les voies légales et à la recherche d’un consensus politique. Ce qui sans doute a joué, c’est que le processus était inclusif. Il y avait trente candidats. Mais tout de même, Hama Amadou n’avait pas pu se présenter, le principal opposant… Pour les raisons que vous connaissez. C’est une décision de justice qui a ensuite été confirmée par la Cour constitutionnelle, c’est un élément qu’il ne m’appartient pas de commenter… Mais trente candidats, cela a permis, je pense, une large participation. Cela explique sans doute aussi cette large mobilisation et aux élections législatives il y avait plus de cent partis. Mais tout de même, on en parlait à l’instant, est-ce que le fait qu’Hama Amadou - le principal opposant - ne se présente pas, n’est pas un bémol important à la représentativité de cette élection ? Je pense que le fait qu’il ait, lui, appelé à voter pour un candidat, a été un facteur positif, dans le sens qu’effectivement il a permis à chacun de trouver une représentation dans cette élection. Est-ce que le changement annoncé à la tête du pouvoir, le fait que Mahamadou Issoufou ne se représente pas pour un troisième mandat, a été selon vous, un élément, aussi, de pacification de ce scrutin ? Il a suivi la Constitution et cela a sans doute, effectivement, contribué à cette volonté des Nigériens et des Nigériennes de marquer leur attachement à leurs institutions démocratiques. Cela conforte la démocratie nigérienne. C’est certain. ►À écouter aussi : Invité Afrique - Seidik Abba (Journaliste): «Le second tour de la présidentielle au Niger reste ouvert»
Après cinq ans de querelles entre opposants défenseur de l'environnement et supporters, l'aéroport du Machu Picchu verra bien le jour ! Classée au Patrimoine de l'humanité, cette ancienne forteresse inca est le pilier du tourisme péruvien. La pandémie de Coronavirus a retardé le commencement des travaux mais le gouvernement vient d'annoncer que son ouverture reste prévue pour 2025. C'est un air coréen qui a résonné en ce début janvier dans une école primaire de cette région isolée, près du Machu Picchu. Les élèves ont reçu la visite du patron de l’entreprise sud-coréenne chargée des premiers travaux sur les terrains du futur aéroport. Sans aucun doute la volonté de gagner la confiance des populations en tentant de convaincre les derniers réticents. Artisanat et randonnées, la manne touristique Comme dans toutes les grandes transformations rurales, des agriculteurs ont dû vendre leurs terres et s’exiler. Mais l’agriculture n’est pas tellement soutenue par le pouvoir central. C’est l’artisanat qui prime dans les vallées de cette citadelle inca. Exode rural et fuite des jeunes vers les villes Face aux pétitions des défenseurs de l’environnement, le gouvernement a joué la carte de l’enrichissement. Dans tous leurs discours, les dirigeants politiques ont mis en avant les retombées économiques. Cinq millions de voyageurs transiteront chaque année par l’aéroport de Chinchero (à 60 km du Machu Picchu.) Beaucoup de jeunes délaissent déjà les travaux de la terre. Ils voient dans cet aéroport la chance de trouver un emploi en ville. Bénéfices annuels : 5 milliards de dollars Lissel Quiroz,est péruvienne, sociologue de l'Amérique latine. Elle comprend le dilemme des habitants, témoins des manifestations écologiques et séduits par l’essor touristique dans cette région de la cordillère des Andes : « Le site est déjà engorgé ! Imaginez, des milliers de personnes par jour descendent et montent les chemins du Machu Picchu. L’UNESCO en classant cette citadelle au patrimoine culturel et naturel mondial, avait estimé un seuil acceptable à 2 500 visites quotidiennes ! Le sanctuaire est situé à près de 2 500 m au milieu de montagnes. Cependant, c’est au-delà qu’il faut regarder, le paysage de toute la région va changer. » Les derniers sondages en faveur de l’aéroport La chercheuse souligne qu’un aéroport n’arrive jamais seul ! Des hôtels, des restaurants et toutes sortes de commerces se construiront dans toute la région de Cuzco et à Chinchero, (le lieu de construction du futur aéroport.) Lissel Quiroz estime que ce sont les personnes âgées qui pâtiront le plus de ces transformations. Les jeunes ne circuleront peut-être pas facilement, ils reviendront moins en famille pour s’occuper des aînés. Pollution atmosphérique et assèchement du lac Durant toutes ces années de protestation, les manifestants écologistes ont souligné le risque de pollution et même l’assèchement du bassin hydraulique du lac Piuray, qui sert de réserve d’eau aux habitants. Pourtant touchés par de nombreux cas de Coronavirus, les habitants de Cuzco et de la région continuent d’emprunter les trains et les autobus vers Lima, la capitale. Des transports publics qu’ils dénoncent régulièrement. Pas assez fréquents et de piètre qualité. Leurs dernières manifestations, le mois dernier, ont été très suivies. Cela montre leur crainte d’assister à l’augmentation des embouteillages et au manque de trains. Caméras de surveillance, visites limitées le gouvernement promet de protéger le site Corruption, pollution, saccage culturel… Pour contrer toutes ces accusations, le gouvernement péruvien a décidé de jouer la carte de la transparence. Le mont Machu Picchu, et toutes les constructions du sanctuaire datent du XIVe siècle. Les pierres du temple du Soleil comme celles des autres monuments sont empilées sans mortier. L’an dernier encore, des vandales ont détruit des murs. Sous surveillance de l’Unesco En 2019, le gouvernement a adopté une loi sur demande de l’Unesco. Elle fixe le maximum de 2 600 visites par jour. Promenades limitées à trois heures. Le site s’est aussi doté de nouvelles caméras et de parcours fléchés contournant les monuments et chemins les plus fragiles. Pour l’Unesco, tous ces efforts devront être maintenus dans une gestion intelligente des flux de touristes venant du nouvel aéroport. Face à la lenteur des changements, et surtout encouragée par l’annonce de la construction de l’aéroport de Chinchero, l’Unesco avait fini par menacer. Lima a frôlé le déclassement du site. L’Organisation des Nations unies voulait le placer sur sa liste des monuments mondiaux en péril. Cesar Moreno-Triana s'en souvient très bien, il est en charge du site au sein des Nations Unies : « Pendant des années, une question importante, l’élimination des déchets, n’a pas été prise en compte. Nous avons réussi à obtenir avec le pouvoir de Lima et les autorités locales la construction d’un incinérateur et d’une usine pour les plastiques ». L’Unesco n’a pas de pouvoir de contrainte. Elle ne peut que conseiller, les services de César Moréno-Triana seront très vigilants sur la préservation des sites, des populations et de la ville de Cuzco à 30 km du Machu Picchu. Pour cet aéroport, il a été demandé un rapport strict sur les impacts des constructions à venir. Des bilans réguliers devront être effectués. La pandémie de Covid-19 a retardé les travaux mais le gouvernement reste confiant, il annonce l’ouverture dans trois ans en 2025.
durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Croyances religieuses et croyances politiques en compagnie de Marcel Gauchet. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Marcel Gauchet philosophe et historien, directeur d'études à l'EHESS
Oranges, mandarines, citrons... Leur consommation a ponctuellement rebondi pendant l’épidémie de Covid-19, mais la tendance est plutôt à la stagnation de la demande mondiale d’agrumes, alors que la production explose, de l’Égypte à la Turquie. Face au risque de saturation, les pays producteurs s’organisent pour la première fois. Les 60 pays producteurs d’oranges, mandarines, citrons et autres pamplemousses introduisent enfin un zeste de coopération entre eux. L’Organisation mondiale des agrumes (World Citrus Organisation), créée en septembre de l’an dernier, vient de tenir son premier congrès mondial au début du mois de novembre, le premier « Global Citrus Congress ». Il était temps pour cette filière. Deuxième en volume après la banane avec 13 millions de tonnes échangées par an, elle restait très opaque et fragmentée en une multitude d’acteurs. Menace de surproduction La peur d’un effondrement des prix a motivé les pays producteurs à s’unir. Après une forte croissance de la consommation d’agrumes dans l’ex-Union soviétique et au Moyen-Orient dans les années 2000, ces marchés-clés ne progressent plus depuis 2013. La crise économique en Russie et l’embargo de Moscou sur les produits agricoles européens sont passés par là. La demande stagne dans l’Union européenne, même pour la mandarine, star du début des années 2010. La consommation décline au Japon. Le marché du pamplemousse s’est effondré du fait de ses interactions négatives avec les médicaments. Il n’y a plus que deux régions du monde où la demande d’agrumes progresse : les autres pays d’Asie dont la Chine, et l’Amérique du Nord. Améliorer les statistiques et promouvoir ces agrumes auprès des consommateurs Or l’avalanche de produits grossit depuis que l’Égypte et la Turquie se sont lancées dans les plantations d’agrumes, avec des coûts très bas. Le marché reçoit près de 10% d’oranges supplémentaires depuis trois ans, mais les statistiques manquent, souligne Éric Imbert, économiste du Cirad. Cet organisme français de recherche agronomique a été chargé d’analyser les données que lui livreront désormais les pays membres de l’Organisation mondiale des agrumes. Un effort de transparence qui devrait permettre aux acteurs de la filière de ne plus avancer à l’aveuglette et de faire les bons choix, notamment de variétés. La nouvelle organisation mondiale des agrumes sera également chargée de mieux promouvoir ces fruits auprès du consommateur. Le citron est le seul qui ne connaît pas la crise, et il le doit en grande partie aux confessions santé de la chanteuse Beyoncé ! Or les autres agrumes ont aussi un fort potentiel, en témoigne le rebond de 30% de la consommation d’oranges observé au pic de l’épidémie de Covid-19.
durée : 00:52:57 - Accès direct - Donnez de la force aux malades et aux chercheurs !
L’Organisation mondiale de la Santé estime que 466 millions de personnes souffrent de déficience auditive incapacitante dans le monde, dont 34 millions d'enfants. En France, la surdité affecte 6 % des 15-24 ans, et plus de 65 % des 65 ans et plus. L’un des principaux freins à l’inclusion des personnes sourdes est la communication. La langue des signes s’impose un peu plus chaque année dans notre société. Notre invité du jour est Sébastien Sellier, Directeur du développement de l’association Signes de sens.
durée : 00:01:59 - De l'autre côté du Rhin France Bleu Alsace
durée : 00:07:28 - L'interview - Ahmed Nasser Al-Raisi, inspecteur général de la police aux Émirats arabes unis, est candidat à la présidence d'Interpol. Deux britanniques l'accusent d'avoir fermé les yeux sur des actes de torture dont ils auraient été victimes. Le journaliste Mathieu Martiniere a recueilli le témoignage de l'un d'eux pour Mediacités.
Entrevue avec Coralie Laperrière, une des porte-parole de l’organisation « Wake up calice » : Un bien cuit pour accueillir Gilbert Rozon à son arrivée au palais de Justice de Montréal. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Delphine Falcoz est une jeune entrepreneure, chef de projets experte. Elle partage son expérience et les apports de la gestion de projets dans sa vie quotidienneSite : www.supp-projects.comLinkedIn : http://linkedin.com/company/supp-projectsYouTube : https://www.youtube.com/channel/UCDFcNWk5gk6Rnl-EqSVRhVQFacebook : https://www.facebook.com/productivYou/Pinterest : https://fr.pinterest.com/productivyou/Twitter : https://twitter.com/productivYouInstagram : https://www.instagram.com/productivyou/Tipee : https://www.tipeee.com/productiv-youPatreon : https://www.patreon.com/productivyouYoutube : https://www.youtube.com/c/Productivyou2015
durée : 00:04:49 - Invité de 08h15 France Bleu Limousin - Notre invité est Lou père Benoît, le président des commerçants des Halles Gaillardes à Brive