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Qu'est-ce que le PRP ? Quelles sont les bonnes indications des PRP dans la gonarthrose ? Quelles sont les contre-indications des PRP ? Comment le médecin doit s'organiser pour réaliser une injection de PRP à son patient ? Quel conseil transmettre aux auditeurs ? Le Pr Elvire Servien, rhumatologue praticien hospitalier à l'hôpital Saint-Antoine à Paris et membre du GRIIP, le Groupe de Recherche International sur les Injections de Plaquettes, répond à vos questions. Invitée : Dr Karine Louati – Hôpital Saint-Antoine – Paris https://www.aphp.fr/service/service-38-073 Le Dr Louati déclare ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Quel est le principe de l'embolisation des artères géniculées dans la gonarthrose ? Quelles sont les données d'efficacité et de tolérance disponibles ? Quelles sont les études à faire ou celles à envisager ? Pour quelles autres indications la technique d'embolisation est-elle utilisée ? Quel conseil apporter aux rhumatologues ? Le Pr Christian Roux, rhumatologue au CHU de Nice, répond à vos questions. Invité : Pr Christian Roux – CHU de Nice https://www.chu-nice.fr/offre-de-soins/neurosciences-cliniques-rhumatologie/rhumatologie/consultation Le Pr Roux déclare ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Quels types d'orthèses peuvent être prescrits dans la gonarthrose ? Pour qui, quand et comment prescrire une orthèse ? Existe-il des recommandations spécifiques ? En pratique, les patients acceptent-ils ces appareillages ? Quel conseil donner aux auditeurs ? Le Pr Christelle Nguyen, rhumatologue et médecin de médecine physique et réadaptation au sein du service de Rééducation de l'Hôpital Cochin à Paris, répond à vos questions. Invité : Pr Christelle Nguyen – Hôpital Cochin – Paris https://www.aphp.fr/service/service-52-021 Le Pr Nguyen déclare des liens d'intérêts avec le laboratoire Thuasne. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Pourquoi proposer de la rééducation dans la gonarthrose ? Quels bénéfices en attendre ? Quels sont les principes de la rééducation en termes de kinésithérapie ou d'auto-exercices ? Quels sont les freins de l'auto-rééducation et comment y faire face ? Le Pr Yves Henrotin, professeur en kinésithérapie et réadaptation fonctionnelle au CHU Sart-Tilman à Liège, répond à vos questions. Invité : Pr Yves Henrotin – CHU Sart-Tilman – Liège https://www.chuliege.be/jcms/m2_16988141/fr/site-du-sart-tilman Le Pr Henrotin déclare ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Quel est le principe de l'embolisation des artères géniculées dans la gonarthrose ? Quelles sont les données d'efficacité et de tolérance disponibles ? Quelles sont les études à faire ou celles à envisager ? Pour quelles autres indications la technique d'embolisation est-elle utilisée ? Quel conseil apporter aux rhumatologues ? Le Pr Christian Roux, rhumatologue au CHU de Nice, répond à vos questions. Invité : Pr Christian Roux – CHU de Nice https://www.chu-nice.fr/offre-de-soins/neurosciences-cliniques-rhumatologie/rhumatologie/consultation Le Pr Roux déclare ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Quels types d'orthèses peuvent être prescrits dans la gonarthrose ? Pour qui, quand et comment prescrire une orthèse ? Existe-il des recommandations spécifiques ? En pratique, les patients acceptent-ils ces appareillages ? Quel conseil donner aux auditeurs ? Le Pr Christelle Nguyen, rhumatologue et médecin de médecine physique et réadaptation au sein du service de Rééducation de l'Hôpital Cochin à Paris, répond à vos questions. Invité : Pr Christelle Nguyen – Hôpital Cochin – Paris https://www.aphp.fr/service/service-52-021 Le Pr Nguyen déclare des liens d'intérêts avec le laboratoire Thuasne. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Comment évaluer la nécessité d'une prothèse chez un patient gonarthrosique ? Quel est le meilleur moment pour adresser un patient au chirurgien et selon quelle imagerie ? Quel conseil donner aux auditeurs ? Le Pr Francis Berenbaum, rhumatologue au sein du service de Rhumatologie de l'Hôpital Saint-Antoine à Paris, et responsable de l'équipe « Pathologies articulaires associées aux maladies métaboliques et à l'âge » au Centre de recherche Saint Antoine, répond à vos questions. Invité : Pr Francis Berenbaum – Hôpital Saint Antoine – Paris https://www.aphp.fr/service/service-38-073 https://www.crsa.fr/equipe-francis-berenbaum.html Le Pr Berenbaum déclare des liens d'intérêts avec les laboratoires 4P PHARMA, 4Moving Biotech, Boehringer Ingelheim, Bone Therapeutics, CellProthera, Expanscience, Galapagos, Gilead, GSK, Lilly, Merck, Novartis, Pfizer, Servier, Peptinov. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Véronique Gaud-Listrat, Dr Céline Vidal, Dr Sophie Hecquet Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Qu'est-ce que le PRP ? Comment fonctionnent les injections de PRP ? Quels sont les résultats des injections de PRP dans la gonarthrose ? Quelles est la place du PRP par rapport aux autres injections ? A quel type de patient propose-t-on ce traitement ? Quels sont les effets indésirables des injections de PRP ? Y a-t-il des études en cours sur le PRP dans la gonarthrose en France ? Le Dr Florent Eymard, rhumatologue à l'hôpital Henri-Mondor à Créteil, et membre du comité de la section arthrose de la SFR, répond à vos questions. Invité : Dr Florent Eymard – Hôpital Henri-Mondor – Créteil https://www.aphp.fr/service/service-04-026 Le Dr Eymard déclare les liens d'intérêts suivants : Laboratoires RegenLab, Fidia, Expanscience, Labrha. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Sophie Hecquet, Dr Céline Vidal Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Que pensent les soignants et les patients des traitements non pharmacologiques de la gonarthrose ? Quelle est la méthodologie utilisée par la SFR et la SOFMER pour établir leurs recommandations ? Quels sont les grands principes retenus pour ces recommandations ? Au niveau pratico-pratique, quelles sont les principales recommandations proposées ? Quelles sont les pratiques non recommandées ? Le Dr Yves-Marie Pers, rhumatologue au sein du département de Rhumatologie de l'hôpital Lapeyronie du CHU de Montpellier, membre de la section arthrose de la SFR, et coordonnateur des recommandations de la SOFMER et de la SFR sur les traitements non pharmacologiques des gonarthroses, répond à vos questions. Invité : Dr Yves-Marie Pers – Hôpital Lapeyronie – CHU de Montpellier https://www.chu-montpellier.fr/fr/offre-de-soins/services/rhumatologie-213 Le Dr Pers déclare ne pas avoir de lien d'intérêt en rapport avec le sujet traité. L'équipe : Comité scientifique : Pr Jérémie Sellam, Pr Thao Pham, Dr Catherine Beauvais, Dr Sophie Hecquet, Dr Céline Vidal Animation : Pyramidale Communication Production : Pyramidale Communication Soutien institutionnel : Pfizer Crédits : Pyramidale Communication, Sonacom
Der Klinisch Relevant Podcast liefert Ärztinnen und Ärzten kostenlose und unabhängige medizinische Fortbildungsinhalte, die Du jederzeit und überall anhören kannst und die für Dich von ärztlichen Kollegen konzipiert werden. Endoprothetik spielt in unserer alternden Gesellschaft eine große Rolle. Gleichzeitig nimmt die Spezialisierung in der Durchführung von Gelenkersatz-Implantationen immer mehr zu. In diesem Podcast-Interview sprechen wir mit unserem Experten über die Indikationen für Knie-TEP, konservative Therapiemöglicheiten, operative Therapiemöglichkeiten und das postoperative Management.
Die Evidenz basierte Medizin ist ein Grundpfeiler medizinischen Handelns und ist im täglichen Leben des Arztes und Physiotherapeuten nicht mehr wegzudenken. Dr Andreas Waltering (IQWIQ) gibt uns eine Einführung in die Evidenz basierte Medizin (EBM). Anfangen mit der Entstehungsgeschichte der EBM. Die EBM wurde im Gegensatz zu Deutschland von der Ärzteschafft selber gefordert. Im deutschsprachigen Raum wurde die EBM primär eingeführt um der Fehlversorgung entgegen zu wirken. Dr Markus Laupheimer (@swisssportscare) stellt die Fragen. Wieso ist EBM wichtig? Sollen wir den Vorlieben der Chef oder Oberärzte folgen? Oder sollen wir Patientenbezogen die EBM einsetzten? EBZ ist für ein Gesundheitssystem wichtig um Therapien die nachweislich was Bewirken zu fördern und zu bezahlen. Im Gegensatz dazu sollten Therapien die Nachweislich keinen Nutzen haben nicht von der Solidargemeinschaft bezahlt werden. Systematische Übersichtsarbeiten helfen Verzerrungen von einzelnen Studien zu vermeiden um den größten Aussagewert zu erhalten. Hierarchie der Evidenz: http://canberra.libguides.com/c.php?g=599346&p=4149721 Praktisches Beispiel in der Sportmedizin gibt es viele, jedoch eines der meisten untersuchten Therapien ist die Arthroskopie bei Gonarthrose, welche keinen Vorteil zu Placebo zeigt. #Bewegungsmedizin #Evidenzbasiert Dabei sollten wir nicht vergessen “Bewegung bringt Heilung” (https://soundcloud.com/bmjpodcasts/einfuhrung-in-die-bewegungsmedizin-bewegung-bringt-heilung-mit-dr-boris-gojanovic?in=bmjpodcasts/sets/bjsm-1) Weitere links zur Evidenzbasierten Medizin: Deutsches Netzwerk Evidenzbasierten Medizin e.V. http://www.ebm-netzwerk.de/ Center of evidence-based medicine University of Oxford IQWIQ : Institut für Qualität und Wirtschaftlichkeit im Gesundheitswesen https://www.iqwig.de/ Euch einen aktiven und bewegungsreichen Tag! Nun viel Spaß mit diesem Podcast des BJSM. Und vergesst nicht uns auf Twitter @BJSM_BMJ, Facebook oder google+ zu folgen. Da gibt es regelmäßig neue updates. Für feedback oder Anregungen für neue Podcasts schreibt mir einfach eine mail markus@swisssportscare.com
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 13/19
Thu, 12 Jan 2012 12:00:00 +0100 https://edoc.ub.uni-muenchen.de/13894/ https://edoc.ub.uni-muenchen.de/13894/1/Pforte_Gudrun.pdf Pforte, Gudrun ddc:610, ddc:600,
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 06/19
Das Ziel der vorliegenden Arbeit ist die Entwicklung von dreidimensionalen Bildverarbeitungsmethoden zur in-vivo-Analyse der Biomechanik des Kniegelenks auf der Basis magnetresonanztomographischer Bilddaten. Die Verwendung eines offenen Magnetresonanztomographen ermöglicht die Generierung von Bilddatensätzen des Kniegelenks sowohl in unterschiedlichen Flexionsstellungen als auch bei gleichzeitiger Aktivierung der Beinmuskulatur. Nach Segmentierung und dreidimensionaler Rekonstruktion von Femur, Tibia und Patella können durch Einführung eines Tibiaplateau-basierten Koordinatensystems und die Berechnung einer epikondylären Achse für das Femur femoro-tibiale Translation und Rotation analysiert werden. Ein Patella-basiertes Koordinatensystem und femorale Referenzpunkte ermöglichen eine Analyse der Patellakinematik. Zudem können mittels Triangulierung segmentierter Kontaktstrecken die Größen der femoro-tibialen und femoro-patellaren Knorpelkontaktflächen bestimmt werden. Nach einer Studie zur Intra-Untersucher-Reproduzierbarkeit wird die Biomechanik im Kniegelenk in einer klinischen Studie untersucht. Verglichen werden die femoro-tibialen Translations- und Rotationsmuster, die Patellakinematik und die Größen der femoro-tibialen und femoro-patellaren Knorpelkontaktflächen einer gesunden Probanden-Gruppe, mit den Ergebnissen einer Gruppe von Patienten mit schwerer Gonarthrose. Die entwickelten Methoden erwiesen sich als sehr reproduzierbar und genau. Es konnte gezeigt werden, dass Dorsaltranslation und Außenrotation des Femur bei Knieflexion von 0° auf 90° bei schwerer Gonarthrose deutlich verringert sind. Zusätzlich kommt es bei den Arthrose-Patienten während der Knieflexion zu einer Zunahme des Patella-Tilt und des Patella-Shift nach lateral. Die Analyse der Kontaktflächen zeigte, dass es bei schwerer Gonarthrose zu einer ausgeprägten Vergrößerung der femoro-tibialen und femoro-patellaren Knorpelkontaktflächen kommt. Die entwickelten Methoden können damit zum Verständnis von Entwicklung und Verlauf von Kniegelenkserkrankungen wie der Gonarthrose beitragen.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 05/19
20 Patienten wurde während der Implantation einer Kniegelenksendoprothese bei Arthrosis deformans – operationstechnisch vorgegeben - das vordere Kreuzband komplett reseziert. Die Anamnesen und Operationssitus wurden dokumentiert. Nicht primär degenerative Veränderungen wie rheumatoide Arthritis, Z. n. Knieinfekt etc. waren die Ausschlusskriterien. Als Vergleichsgruppe gleichen Alters dienten die LCA 10 Verstorbener mit makroskopisch intakten Kniegelenken. Nach Drittelung der LCA senkrecht zur Verlaufsrichtung erfuhren die Bänder eine weitere Drittelung für die Untersuchung im Rasterelektronenmikroskop, Lichtmikroskop und Transmissionselektronenmikroskop. Für diese Arbeit wurden die jeweiligen Abschnitte nach Fixierung in KARNOVSKY-Lösung, „critical-point“-Trocknung und Kathodenbestäubung im Hochvacuum rasterelektronenmikroskopisch untersucht und photographisch dokumentiert. Die bekannte anatomische Struktur des LCA konnte durch die REM für gesunde Kniegelenke bestätigt werden. Kompakte parallelfaserige Kollagenfaszikel wurden von zartem subsynovialem und interfaszikulärem Bindegewebe eingescheidet. Die Einteilung der IFB-Gruppen nach HAUS konnte verschiedenen Regionen des LCA-Querschnitts zugeordnet werden. Fibröse, areoläre und areolär-adipöse Synovialis bildeten an der gesamten Zirkumferenz des LCA die Grenze zum Gelenkkavum. Die Kreuzbänder der Arthrose-Gruppe zeigten vielfältige Veränderungen, die als degenerativ bedingt zu klassifizieren sind: Mukoide und zystische Degeneration, Ganglien, chondroide Metaplasie, Verkalkungen/ Kalziumpyrophosphatligamentopathie, interfaszikuläre und subsynoviale Bindegewebsvermehrung, Gefäßvermehrung und –verdickung in der Synovialis. Als häufigste Form war die mukoide und zystische Degeneration bis zur Entwicklung von Ganglien darzustellen. Diese ließen sich in ihrer quasi dreidimensionalen Tiefenwirkung durch die REM sehr gut zeigen. Neben Bereichen mukoider Degenerationen fanden sich Zonen mit chondroider Metaplasie des Bandgewebes. Eine der Stärken der REM ist die Abbildung der Kalziumpyrophosphatkristalle in degenerativen „Verkalkungsherden“ der LCA. Die subsynoviale und interfaszikuläre Bindegewebsvermehrung sowie Gefäßvermehrung und -wandverdickung in der Synovialis waren als weitere Folgen der Gonarthrose zu bezeichnen. Die beschriebenen strukturellen Veränderungen der kompakten Kollagenfaszikel bedingen sicherlich eine Schwächung der mechanischen Eigenschaften des LCA. Die diskutierten Wechselwirkungen der Pathogenese genannter Degenerationen (z.B. Chondroide Metaplasie>
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 05/19
Die Kniegelenksluxation als Komplextrauma der unteren Extremität hat aufgrund der hohen Komplikationsraten eine sehr geringe Fehlertoleranz bezüglich des Therapieschemas. Gefäßläsionen in der Poplitealregion, erhebliche Weichteildefekte bis hin zum Kompartmentsyndrom und Dehnungsschäden exponierter Nerven wie des Nervus peroneus communis verschlechtern die Prognose. Deshalb müssen etablierte Therapiekonzepte unbedingt eingehalten werden. Dabei ist eine frühzeitige, situativ adäquate operative Versorgung und ein kontinuierliches Monitoring des Gefäß-Nerven-Status anzustreben. Eine in jedem Fall obligate Angiographie ist nicht indiziert, besonders dann nicht, wenn sich das operative Vorgehen des Chirurgen über die Ischämietoleranz hinaus verzögern würde. Folge einer erfolgreichen operativen Therapie sind eine hohe Kapsel-Band-Stabilität und ein früh mobilisierbares Gelenk. Die vorliegende Studie befasste sich mit den Ergebnissen der Nachuntersuchung von 30 an der ehemaligen Staatlich Orthopädischen Klinik München-Harlaching operierten Patienten, die eine Kniegelenksluxation erlitten hatten. Die Ergebnisse wurden klinisch nach dem IKDC-Evaluatiosblatt aufgearbeitet. Technisch wurden die Instabilitäten der verletzten Kniegelenke mit dem KT-1000 Arthrometer verifiziert. Zudem gingen die subjektive Funktionalität nach Lysholm sowie die Aktivitätsniveaus vor der Verletzung und zum Untersuchungszeitpunkt nach Tegner in die Bewertung mit ein. Schließlich wurde der Grad der Arthrose im verletzten Kniegelenk nach dem Arthrosescore von Jäger und Wirth klassifiziert. Hinsichtlich des Geschlechts oder der verletzten Seite konnten keine Unterschiede festgestellt werden. Bezüglich des Alters schnitten die jüngeren Patienten im Bereich der postoperativen Funktionalität besser ab als die Älteren. Was die Verletzungsart betrifft, so hatten die Verkehrsverletzten aufgrund der Begleitverletzungen und der größeren Rasanz des Verletzungsmusters eine schlechtere Prognose als die Patienten , die nach einem Sportunfall eine isolierte Kapsel-Band-Verletzung erlitten hatten. Bei Patienten mit 4-Band-Verletzungen und mehr konnten keine sehr guten Ergebnisse separiert werden im Vergleich zu den 3-Band-Verletzungen. In der technischen Verifizierung der Kreuzbandinstabilitäten wurden in über 50% chronische Instabilitäten der vorderen Kreuzbänder dokumentiert. Langfristig gesehen zeigten sich nach Evaluation mit dem IKDC-Score nur befriedigende und schlechte Ergebnisse. Für die befriedigenden Ergebnisse, also die Gruppe-C-Ergebnisse, waren in erster Linie die Instabilitäten des Kapsel-Band-Apparates verantwortlich, gefolgt von den Symptomen, die sich auf die entsprechenden Aktivitätsniveaus beziehen. Für die Gruppe-D-Ergebnisse waren in den meisten Fällen die Einschränkung des Bewegungsumfangs verantwortlich. Die subjektive Beurteilung durch den Patienten war nicht in erster Linie verantwortlich für das schlechte Gesamtergebnis. Eine limitierende Rolle spielte auch die posttraumatische Arthrose nach langjähriger chronischer Instabilität des Kniegelenkes. Die Grad-I-Gonarthrose rekrutierte sich zum Großteil aus den jüngeren Patienten (< 40 Jahre) sowie aus den 3-Band-Verletzungen, die Grad-2 und 3-Gonarthrose aus der Gruppe der Patienten mit mehr als 3-Band-Verletzungen, komplizierten Verläufen und höherem Alter (> 40 Jahre). In 86,67% konnten die Patienten wieder in ihrem ursprünglichen Beruf integriert werden. In nur 10% waren Umschulungen notwendig. Die sportliche Leistungsfähigkeit vor dem Unfall wurde hingegen in 90% der Fälle nicht mehr erreicht. Die Studie bestätigt die nur befriedigenden Ergebnisse der Literatur. Das klinische Gesamtergebnis mit knapp 60% befriedigenden und 30% schlechten Ergebnissen zeigt, dass die Fehlertoleranz des Therapieschemas sehr gering ist. In der Diskussion der Literatur zeigt sich aber auch, dass aufgrund der geringen Fallzahlen eine gewisse Uneinheitlichkeit bezüglich der Therapieschemen besteht. In jedem Fall muß eine interdisziplinäre Zusammenarbeit zwischen Gefäßchirurgen, Unfallchirurgen und Orthopäden gefordert werden, so dass diese Komplexverletzung der unteren Extremität nur an entsprechenden Schwerpunktzentren therapiert werden sollte.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 03/19
Am Beispiel des arthroskopischen Gelenkdebridements wurde mit Hilfe des Score der Knee Society überprüft, inwieweit eine Fragebogenerhebung den Ergebnissen einer klinischen Nachuntersuchung standhält. Darüber hinaus wurde am Gesamt-kollektiv die Abhängigkeit der Operationsergebnisse von verschiedenen Parametern betrachtet.Insgesamt ergab sich eine gute Korrelation zwischen Fragebogen und Nachunter-suchung vor allem im Bereich der Funktion des Kniegelenks. Das Operationsergebnis wird nach unserer Studie am ehesten vom Ausmaß des Knorpelschadens und von der Abweichung von der physiologischen Achsenstellung des Beines beeinflußt.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 02/19
In der Orthopädischen Klinik und Poliklinik des Klinikums Großhadern in München wurden von Januar 1991 bis Oktober 1996 die ersten 39 ungekoppelten Oberflächenersatzprothesen vom Typ Natural-Knee implantiert. Im Rahmen dieser klinischen und radiologischen Nachuntersuchung wurden von Januar 1996 bis April 1997 35 dieser Kniegelenke (31 Patienten) retrospektiv nach dem Knee-Society- Score, dem HSS-Score und dem Patella-Score nach Turba untersucht. Dies entspricht einer Wiederfindungsrate von 89,7%. Das Nachuntersuchungsintervall betrug dabei zwei Jahre und einen Monat. In 26 Fällen (74,3%) war die Indikation zur Operation eine Gonarthrose, in 9 Fällen (25,7%) eine rheumatiode Arthritis. Dieses Kollektiv wurde mit 36 Patienten, die im gleichen Zeitraum mit einer Knieprothese vom Typ Genesis I versorgt wurden, verglichen. Der Nachuntersuchungszeitraum betrug in dieser Gruppe zwei Jahre und vier Monate. Hier erfolgte die Operation in 26 Fällen (72,2%) wegen einer Gonarthrose und in 10 Fällen (27,8 %) wegen einer rheumatoiden Arthritis. Das Natural-Knee - Kollektiv erreichte im Knee-Society-Score im Durchschnitt postoperativ einen Knie-Score von 84,1 Punkten und einen Funktionsscore von 77,7 Punkten und damit einen Gesamtscore von 161,8 Punkten. Beim HSS-Score wurden postoperativ im Schnitt 80,1 Punkte erreicht. Nach der Klassifikation im HSS-Score wurden 42,9% (n=15) der Patienten als „sehr gut" und 40,0% (n=14) als „gut" bewertet. Nur in einem Fall wurde das postoperative Ergebnis als „mangelhaft“ eingestuft. Beim Patella-Score nach Turba wurden im subjektiven Teil durchschnittlich 2,9 Punkte, im objektiven Teil 2,8 Punkte erreicht, was jeweils der Bewertung „gut“ entspricht. Der durchschnittliche postoperative Bewegungsumfang betrug 103° (47° – 130°). Von den nachuntersuchten 35 Knieprothesen waren im Nachuntersuchungszeitraum von durchschnittlich zwei Jahren und einem Monat 30 komplikationslos, was einer Komplikationsrate von 14,3% entspricht. Das Vergleichskollektiv der Genesis I–Oberflächenersatzprothesen erreichte einen durchschnittlichen Knie-Score von 80,6 Punkten und einen Funktionsscore von 76,4 Punkten (Gesamtscore 157,0 Punkte). Beim HSS-Score wurden postoperativ im Schnitt 76,4 Punkte erreicht. 27,8% (n=10) der Patienten wurden als „sehr gut" und 41,7% (n=15) als „gut” bewertet. In vier Fällen wurde das postoperative Ergebnis als „mangelhaft“ eingestuft. Beim Patella- Score nach Turba wurden im subjektiven Teil 4,1 Punkte, im objektiven Teil 2,5 Punkte erreicht, was ebenfalls der Bewertung „gut“ entspricht. Das durchschnittliche Bewegungsausmaß betrug ebenfalls 103° (10° – 130°). In der Gruppe der Genesis I-Patienten waren von den nachuntersuchten 36 Knieprothesen im Nachuntersuchungszeitraum von durchschnittlich zwei Jahren und vier Monaten 25 ohne postoperative Komplikationen, was einer Komplikationsrate von 30,6% entspricht. Sowohl die Natural-Knee- als auch die Genesis I-Oberflächenersatzprothese haben sich im Rahmen dieser Studie in Übereinstimmung mit der einschlägigen Literatur bei einem mittleren Nachuntersuchungszeitraum von zwei Jahren und einem Monat bzw. zwei Jahren und vier Monaten als verlässlicher Gelenkersatz erwiesen. Die Natural-Knee Oberflächenersatzprothese kann, verglichen mit der bereits eingeführten und bewährten Genesis I-Oberflächenersatzprothese, die in sie gesetzten Erwartungen voll erfüllen. Die beiden Prothesenmodelle zeigten beim Vergleich ihrer Gesamtkollektive lediglich bei der Betrachtung des subjektiven Teils des Patella-Scores nach Turba einen signifikanter Unterschied zugunsten der Natural-Knee Oberflächenersatzprothese. Bei der Betrachtung des HSSScores oder des Knee-Society-Scores ergaben sich keine signifikanten Unterschiede im postoperativen Ergebnis. Anhand der Ergebnisse der hier vorliegenden Studie und im Vergleich mit der aufgeführten Literatur zeigt sich, dass bei der endoprothetischen Versorgung von Patienten mit bekannter Metallallergie durch die Verwendung der Natural-Knee Oberflächenersatzprothese in Reintitanform eine vergleichbare Alternative zu den herkömmlichen Nickel-Chrom-Kobalt- Modellen vorhanden ist. Dadurch wurde eine wichtige offene Frage bei der endoprothetischen Versorgung von Patienten mit Metallallergie gelöst. Der klinische Einsatz und der Stellenwert der Natural-Knee Oberflächenersatzprothese sind insgesamt als positiv zu bewerten.
Medizinische Fakultät - Digitale Hochschulschriften der LMU - Teil 01/19
Von 1994 bis 2000 wurden an der Berufsgenossenschaftlichen Unfallklinik Murnau 243 Patienten mit einer unzementierten Kniegelenktotalendoprothese (TKA) Typ „Motus“ versorgt. Hiervon konnten insgesamt 197 implantierte Kniegelenke bei 188 Patienten nachuntersucht werden. Der Anteil posttraumatischer Gonarthrosen (PGA) betrug 47,2% (n=93), der Anteil nicht posttraumatischer Gonarthrosen (IGA/RA) 52,8% (n=104). Diese beiden annähernd gleich großen Kollektive wurden bezüglich ihrer präoperativen Voraussetzungen und postoperativen Ergebnisse miteinander verglichen. Epidemiologische Unterschiede konnten v.a. in der Alters- und Geschlechtsverteilung beider Kollektive festgestellt werden. Das Durchschnittsalter im PGA-Kollektiv betrug 56,3 Jahre, das Durchschnittsalter im NPA-Kollektiv hingegen 70,1 Jahre. Bezüglich der Geschlechtsverteilung zeigt sich ein für TKA–Implantation untypisches Geschlechterverhältnis im PGA-Kollektiv mit hohem Männeranteil (w:m = 1:2,3) im Vergleich zum IGA/RA-Kollektiv mit einer im Literaturvergleich charakteristischen Geschlechterverteilung (m:w = 1:0,6). Die Verletzungsmuster, welche zur posttraumatischen Gonarthrose und damit zur Indikation der TKA im PGA-Kollektiv führten, waren v.a. kniegelenksnahe Frakturen und Kniegelenksbinnenverletzungen mit konsekutiver Instabilität. Aufgrund der Primärverletzungen im PGA-Kollektiv war in dieser Gruppe eine höhere Anzahl an operativen Eingriffen vor Prothesenimplantation im Vergleich zur IGA/RA Gruppe im Verhältnis von ca. 6:1 festzustellen (PGA:2.5 vs. IGA/RA: 0,4). Der Nachuntersuchungszeitraum betrug im Mittel 36,4 Monate (9 – 62 Monate). Der Zeitraum zwischen Primärtrauma und Implantation der Totalendoprothese in der PGA-Gruppe betrug im Mittel 14 Jahre. Zur Erlangung der Ergebnisse wurde folgende ausgiebige prä- und postoperative Diagnostik durchgeführt: · Patientenerhebungsbogen mit Selbstauskunft über allgemeine Zufriedenheit, Schmerzen, Gehfähigkeit, Beweglichkeit, Wiederholungsbereitschaft, Hilfsmittel, berufliche Situation · Klinische Evaluierung mittels „Knee Society Clinical Rating Score” mit Scoring von Schmerz, Bewegungsumfang, Stabilität, Gehstrecke, Treppensteigen · standardisierte radiologische Diagnostik mit Kniegelenk a.p. und stl, Patella tangential und b.B. CT-Diagnostik und Ganzbeinaufnahmen Das operative Vorgehen war standardisiert mit unzementierte Implantationstechnik, Erhalt des hinteren Kreuzbandes und generellem Patellarückflächenersatz. In den meisten oben beschriebenen Parametern zeigte sich eine deutliche Verbesserung von prä- zu postoperativem Zustand sowohl im PGA, als auch im IGA/RA-Kollektiv. Im interkollektiven Vergleich zeigten sich überwiegend bessere Ergebnisse im IGA/RA-Kollektiv. Diese Gruppe konnte insgesamt besser von der TKA-Implantation profitieren als die PGA-Vergleichsgruppe. Diese Aussage zeigt sich sowohl durch die subjektiven Patientenangaben, als auch durch die Knee-Score-Befunde und radiologischen Nachuntersuchungsbefunde. Dies deckt sich auch mit der Häufigkeit des Auftretens postoperativer Komplikationen. Diese traten im PGA-Kollektiv in einer Häufigkeit von 26,9%, im IGA/RA-Kollektiv hingegen nur mit einem Anteil von 16,3% auf. Im wesentlichen zu nennen sind hier Gelenkinfektionen, postoperative Bewegungseinschränkung, Thrombose und Embolie und Wundheilungsstörungen. Trotz diesen im Vergleich zum IGA/RA-Kollektiv insgesamt schlechteren Ergebnissen im PGA-Kollektiv ist die Wiederholungsbereitschaft in beiden Kollektiven annähernd gleich groß (PGA:86% vs. IGA/RA:87,5%) Die berufliche Wiedereingliederung im PGA-Kollektiv war zu 25,8% , im IGA/RA-Kollektiv nur zu 7,7% möglich. Diese Werte sind jedoch durch das erheblich unterschiedliche Durchschnittslebensalter in beiden Kollektiven nicht unbedingt vergleichbar (PGA:56,3 Jahre vs. IGA/RA:70,1 Jahre). Die Krankenhausverweildauer ist in beiden Kollektiven höchst unterschiedlich (PGA:61 Tg. vs. IGA/RA:25 Tg.). Dies ist im Wesentlichen auf die häufiger auftretenden postoperativen Komplikationen mit der damit notwendigen längeren stationären Therapie zu erklären. Im Wissen dieser erhobenen Ergebnisse und Befunde sehen wir die Indikation zur Implantation einer TKA bei posttraumatischen Arthrosen auch beim jüngeren Menschen als gegeben. Diese sollte jedoch aufgrund oben beschriebener Besonderheiten und den wesentlich höheren Kosten, die damit verbunden sind, den dafür spezialisierten Zentren vorbehalten bleiben.