POPULARITY
durée : 00:03:25 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le « désordre » mondial n'a pas commencé avec Trump, mais il a rejoint les détracteurs de l'ordre existant là où les États-Unis en étaient les défenseurs. Restent les Européens, nostalgiques d'un monde de règles de droit, qui doivent penser un nouvel ordre mondial avant de se le voir imposer.
durée : 00:03:25 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le « désordre » mondial n'a pas commencé avec Trump, mais il a rejoint les détracteurs de l'ordre existant là où les États-Unis en étaient les défenseurs. Restent les Européens, nostalgiques d'un monde de règles de droit, qui doivent penser un nouvel ordre mondial avant de se le voir imposer.
Ce mardi 25 février, Sasha Rubel, directrice Europe politique publique de l'IA chez AWS, et Paul-Arthur Jonville, PDG et fondateur de Mindflow, sont revenus sur l'étude concernant l'adoption et l'impact de l'IA à l'occasion de l'AWS Summit 2025, dans l'émission Tech&Co Business présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le mardi sur BFM Business.
durée : 00:03:54 - Trois du conflit en Ukraine, un rassemblement hier à Toulouse - Alors que la guerre en Ukraine franchit le cap des trois ans, les Ukrainiens sont toujours nombreux dans la région toulousaine. Entre résilience et refus de céder la paix aux conditions de la Russie, peu d'entre eux se voient revenir dans leur pays.
Trois acteurs belges au moins et des investisseurs étrangers ont marqué leur intérêt pour la reprise du site d'Audi Forest. L'usine doit fermer définitivement ses portes à la fin du mois. Roger et Roger, c'est le producteur des chips Croky notamment. Il investit 60 millions d'euros dans son usine de Mouscron pour augmenter ses capacités et moderniser son outil. Malgré la baisse des taux, les banques belges restent rentables, mais l'écart se creuse entre les petites et les grandes institutions. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Les mesures d'économie prévues par l'Arizona ne suffiront pas à résorber le déficit belge. C'est la Banque nationale de Belgique qui le dit. Les dépenses restent trop élevées. Fin de la grève chez bpost. Les facteurs ont finalement accepté de reprendre le travail. Le personnel a approuvé le projet d'accord conclu entre la direction et les syndicats. Encore un sommet pour rien. Une petite vingtaine de pays européens et alliés se sont réunis hier au sujet de l'Ukraine pour tenter de trouver une position commune face au président américain Donald Trump et au président russe Vladimir Poutine. Ils ont fait chou blanc. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
L'inflation est l'ennemi public numéro 1 de la Haute Finance depuis l'année 2022 et le processus de désinflation a permis à la Réserve fédérale (FED) de baisser le taux d'intérêt des fonds fédéraux et au S&P 500 d'établir de nouveaux records historiques. L'indice S&P 500 est-il désormais menacé par le cercle vicieux de la guerre commerciale engagée par l'Administration Trump ?
Chaque jour, votre coaching financier : on vous coache pour vous aider à devenir meilleur investisseur.
durée : 00:02:18 - Le billet sciences - En 2024, la capacité mondiale de production d'énergie solaire et éolienne a augmenté de 20%, mais ces progrès restent insuffisants pour atteindre les objectifs climatiques mondiaux. Les défis politiques et économiques freinent la transition énergétique, et les engagements pris à la COP 28 semblent encore loin d'être réalisés.
durée : 00:02:22 - Le vrai ou faux - Le député RN de l'Aude Frédéric Falcon dénonce les restrictions imposées aux logements classés F ou G, considérés comme des passoires thermiques, et assure que les travaux ne permettent pas à la majorité de ces logements d'améliorer leur performance énergétique.
durée : 00:02:18 - Le billet sciences - De nouvelles données publiées par Santé publique France mardi révèlent une progression notable de la vaccination contre les papillomavirus, notamment chez les jeunes filles de 15 ans. La France reste cependant en retard par rapport à d'autres pays européens. Le dépistage régulier demeure essentiel.
Le climat et le Brésil, ce sont les deux mots qui hantent la filière café. Plus que des mots, des facteurs de stress, car les incertitudes restent encore grandes sur la prochaine récolte brésilienne. Or, c'est le Brésil qui donne le ton des prix de l'arabica. La grande inquiétude sur la production de robusta du Vietnam a été levée à la fin de l'année dernière, et la Colombie, troisième producteur mondial, a réalisé en 2024 sa meilleure récolte depuis cinq ans, mais cela n'a pas suffi à rassurer les opérateurs. « Le marché a toujours besoin de la récolte d'arabica du Brésil pour satisfaire la demande » explique un négociant français. Or la sécheresse dramatique de la première moitié de 2024 chez le géant d'Amérique latine peut encore avoir des conséquences cette année sur la récolte qui aura lieu en mai-juin. Cette situation exceptionnelle a poussé d'ailleurs plusieurs maisons de négoce à faire des estimations au cours de la deuxième quinzaine du mois de décembre, mais ces évaluations -qui reposent sur un compte très précoce des cerises de café-, ont alimenté le stress plutôt que de calmer les esprits : la production 2025 d'arabica serait en baisse et comprise entre 34 et 42 millions de sacs (de 60 kilos), selon les sources. La fourchette est encore très large et donne de l'espoir à ceux qui préfèrent attendre courant février, voire fin février, pour avoir des informations de terrain plus représentatives et plus satisfaisantes.À lire aussiLe Brésil, source de stress continue du marché mondial du caféManque de visibilité sur les stocksLes incertitudes de la filière sont aussi entretenues par un manque de visibilité sur les stocks : le Brésil a exporté des volumes records sur l'année 2024 (plus de 50 millions de sacs), ce qui devrait en théorie se refléter dans le niveau de stocks et contribuer à une baisse des cours. Mais en Europe, l'état de ces réserves est rendu public avec retard, et les dernières données montrent au mieux une stabilisation. Aux États-Unis, premiers pays consommateurs, plus aucun chiffre n'a été communiqué depuis six mois, officiellement pour des raisons techniques.La fête du Têt limite l'offre de robustaPour l'heure, l'horizon reste donc très bouché et l'approche des fêtes du Nouvel An vietnamien (Têt) n'a rien arrangé : les producteurs de robusta se sont mis en retrait, ce qui limite l'offre globale sur le marché. Mais cet effet très conjoncturel devrait être gommé d'ici aux deux prochains semaines.En attendant, les prix ont encore battu des records la semaine dernière et comme cela fait plusieurs mois qu'ils sont à un niveau élevé, l'industrie a commencé à répercuter ces hausses. Or, quand les prix grimpent trop, ils finissent par « détruire » la demande, autrement dit par décourager les acheteurs, explique un de nos interlocuteurs. Une mécanique bien connue, qui, en retour, pourrait aider à faire baisser les prix. Mais dans quel délai ? C'est une autre inconnue.À écouter aussiLe café, un produit bientôt indisponible ?
En Ukraine, près de cinq millions de personnes ont été déplacées depuis le début de l'invasion russe à grande échelle. Elles viennent pour la plupart des régions de l'Est, notamment de la région de Donetsk, d'où elles continuent de fuir les combats. Malgré l'ordre d'évacuation totale de la population donné il y a plusieurs mois par les autorités régionales, en raison de l'avancée des troupes russes, beaucoup ne se résignent pas à quitter leur foyer qu'une fois que les bombardements s'abattent sur leurs communes. Un reportage de notre envoyée spéciale dans les régions de Dnipropetrovsk et Donetsk auprès de ceux qui partent, et de ceux qui restent. Un reportage à retrouver dans la longueur dans Accents d'Europe.À lire aussiUkraine: mille jours après l'invasion russe, l'omniprésence de la guerre au quotidien
En Ukraine, près de cinq millions de personnes ont été déplacées depuis le début de l'invasion russe à grande échelle. Elles viennent pour la plupart des régions de l'Est, notamment de la région de Donetsk, d'où elles continuent de fuir les combats. Malgré l'ordre d'évacuation totale de la population donné il y a plusieurs mois par les autorités régionales, en raison de l'avancée des troupes russes, beaucoup ne se résignent pas à quitter leur foyer qu'une fois que les bombardements s'abattent sur leurs communes. Un reportage de notre envoyée spéciale dans les régions de Dnipropetrovsk et Donetsk auprès de ceux qui partent, et de ceux qui restent. Un reportage à retrouver dans la longueur dans Accents d'Europe.À lire aussiUkraine: mille jours après l'invasion russe, l'omniprésence de la guerre au quotidien
Rubrique:theatre Auteur: ernest-grenet-dancourt Lecture: Christiane-JehanneDaniel LuttringerDurée: 15min Fichier: 13 Mo Résumé du livre audio: Comédie. Petite saynète, Elle et Lui, au retour des obsèques de … un si bon mari, si confiant ! ???? ???? Avec nos meilleurs vœux pour 2025 ???? ! Lui par Daniel Luttringer Elle et le montage par Christiane-Jehanne Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Depuis le 8 décembre, la cathédrale de Notre-Dame de Paris est de nouveau accessible au public, 5 ans après l'incendie. Mais ses deux tours restent toujours fermées. Elles ne devraient être de nouveau accessibles qu'a l'été 2025. Pourquoi les tours de Notre-Dame sont-elles toujours fermées? On pose la question à Steven Bellery, chef du service culture de BFMTV.
La Reserve Bank a décidé que les taux d'intérêts restent inchangés pour le mois de décembre et de janvier.
La Reserve Bank a décidé que les taux d'intérêts restent inchangés pour le mois de décembre et de janvier.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Les 8 et 9 décembre 1984, un rassemblement amérindien se tenait au village kali'na d'Awala, à l'ouest de la Guyane. Ce fut l'acte fondateur du militantisme autochtone guyanais. Le discours politique prononcé par Félix Tiouka est devenu un texte fondamental pour les luttes autochtones en Guyane. Un article de Helene Ferrarini (Guyaweb) publié mardi 10 décembre et lu par Christine Pâris.
durée : 00:02:07 - Le billet sciences - Après cinq longues années de reconstruction, la cathédrale Notre-Dame s'apprête à rouvrir ses portes samedi. Une cérémonie très attendue, mais qui inquiète certains collectifs de riverains qui suspectent que les niveaux de pollution au plomb, libéré par l'incendie, soient encore trop élevés.
durée : 00:05:25 - Le Journal de l'éco - Les élections professionnelles pour les très petites entreprises (TPE) sont récentes. Elles ont été créées en 2011 pour permettre aux salariés qui ne disposent pas de représentants du personnel dans leur entreprise, de participer à la mesure de la représentativité syndicale. - invités : Tristan Haute Enseignant-chercheur en science politique à l'Université de Picardie
Dans le deuxième épisode de son podcast, Yoann nous dit tout sur l'aventure Spirou et Fantasio qui l'a occupé pendant treize ans. Comment il s'est retrouvé dessinateur officiel d'une des plus célèbres licences de la BD franco belge, et comment aujourd'hui, il en sort avec un ultime album du spin off Super Groom.... ça n'est pas toujours simple de se retrouver parent adoptif d'un personnage iconique de la bande dessinée! Restent neuf savoureux albums signés du duo Yoann Vehlmann! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:42 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question posée par Cécile 4 ans. C'est la botaniste Catherine Lenne qui, à 50 ans continue à s'interroger sur le même sujet, qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Le Boost du 13 novembre en accéléré. Avec Mia Pinard et Penelope Lefebvre Mendoza.
durée : 00:11:57 - 100% ASNL, La quotidienne - Depuis la descente en Ligue 2, en 2016/2017, l'ASNL n'a pas cessé de dégringoler, jusqu'à connaître une nouvelle rétrogradation lors de la saison 2022/2023. Malgré ces échecs successifs, l'ASNL peut toujours compter sur ses nombreux supporters. Comment expliquer cette fidélité ?
Alors que la guerre entre Israël et le Hezbollah a déjà fait 1.500 victimes et près d'un million de déplacés, Emmanuel Macron inaugure ce 24 octobre une conférence de soutien au Liban, durant laquelle un appel au cessez-le-feu sera notamment discuté. Autre sujet pressant : la contribution de la communauté internationale à l'aide humanitaire.
Alors que la guerre entre Israël et le Hezbollah a déjà fait 1.500 victimes et près d'un million de déplacés, Emmanuel Macron inaugure ce 24 octobre une conférence de soutien au Liban, durant laquelle un appel au cessez-le-feu sera notamment discuté. Autre sujet pressant : la contribution de la communauté internationale à l'aide humanitaire.
Les séances boursières restent animées par les résultats d'entreprisesBonjour Benjamin,Du côté de l'Europe, le groupe l'Oréal était en repli à la suite d'un ralentissement de sa croissance au troisième trimestre compte tenu d'un marché plus difficile en Chine.Sur les trois derniers mois, les ventes ont augmenté de 3,4%, contre un rythme de 5,4% au deuxième trimestre.On peut noter également une décélération de la croissance dans la branche des produits dermatologique : elle s'établie à 1% pour le troisième trimestre contre 11% au trimestre précédent.Le titre a baissé à la clôture de près de 2.50%Outre Atlantique, un grand nom était également dans le rouge Le groupe Coca-Cola également reculait à l'ouverture du marché américain de près de 3%, à la suite de sa publication trimestrielle.Le géant du soda affiche un chiffre d'affaires en baisse de 1% pour le dernier trimestre.La société reste confiante sur ses prévisions de ventes organique pour 2024 qui devraient progresser d'environ 10%.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Élysée et l'Assemblée rétropédalent. Il était question d'une augmentation de budget assez substantielle. Finalement, il n'y en aura pas. En cette période où on appelle à l'effort de tous, on découvre un déficit abyssal et des perspectives peu réjouissantes, il y avait un gros hic. Et même le ministre de l'Économie avait reconnu que ça faisait mauvais effet. Sachant que la polémique allait enfler, le chef de l'Etat a alors souhaité que la présidence de la République donne l'exemple. Même si c'est un peu juste, Ruth Elkrief salue les gestes. Pour cette année 2024, le prix Nobel d'économie a été attribué à trois chercheurs établis aux États-Unis, Daron Acemoglu, Simon Johnson et James Robinson pour leurs recherches sur les différences de prospérité entre les nations. Il y avait les pays développés puis les autres qui suivaient à des étapes intermédiaires, et qu'ils allaient nous rattraper un jour ou l'autre. Mais on se rend compte que ce n'est pas vrai. François Lenglet pense en fait qu'il a des impasses. Il décortique les critères qui font cette différence entre les différents pays du monde. Keir Starmer est rattrapé par un scandale. Le nouveau Premier ministre travailliste britannique est pointé du doigt pour avoir reçu plus de 100 000 euros de cadeaux depuis 2019. Mais la seule chose que n'a pas faite Keir Starmer, c'est de déclarer les 5 000 livres sterling de don de vêtement offerts par Waheed Alli. En passant, Abnousse Shalmani rappelle qu'en Grande-Bretagne, les dons aux partis politiques sont autorisés à la seule condition qu'ils soient déclarés sous 28 jours. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
durée : 00:03:08 - Géopolitique - Les pays arabes restent silencieux alors que la région s'embrase. Ceux qui ont reconnu Israël se font discrets, certains parlent d'un État palestinien ; mais ils ne voient pas d'un mauvais œil l'écrasement des forces pro-iraniennes. Une guerre régionale mettrait à mal cet équilibre.
durée : 00:03:08 - Géopolitique - Les pays arabes restent silencieux alors que la région s'embrase. Ceux qui ont reconnu Israël se font discrets, certains parlent d'un État palestinien ; mais ils ne voient pas d'un mauvais œil l'écrasement des forces pro-iraniennes. Une guerre régionale mettrait à mal cet équilibre.
Les Grandes Gueules ne savent rien de ce qui les attend... Et pourtant ils vont devoir débattre sur une actu qu'ils vont découvrir en direct !
Les couples durables, dont les partenaires demeurent fidèles l'un à l'autre, font l'objet de commentaires flatteurs. Pour beaucoup, en effet, la fidélité à long terme reste un idéal difficile à atteindre.Il en va ainsi chez les humains. Mais qu'en est-il des animaux ? Pour certains d'entre eux, la fidélité n'est pas un vain mot. En effet, nombre d'espèces sont monogames, et, chez certaines d'entre elles, les partenaires restent fidèles, parfois jusqu'à la mort.C'est notamment le cas des cygnes noirs, qui ont fini par devenir une sorte d'emblème de la fidélité animale. Il faut toutefois nuancer cette affirmation.Si ces oiseaux forment bien des couples stables, il leur arrive d'avoir des "aventures" avec d'autres cygnes. Certaines études ont en effet montré que ces infidélités sexuelles étaient relativement fréquentes. Mais un cygne revient toujours vers son partenaire de prédilection.Un partage des tâchesSi les oiseaux sont plus volontiers monogames que les mammifères, par exemple, c'est qu'ils ne sont pas trop de deux pour s'occuper des petits.Pour mener cette entreprise à bien, une femelle a tout intérêt à repérer un mâle en qui elle ait confiance et à le garder auprès d'elle le plus longtemps possible. En se répartissant les tâches, il leur sera ainsi plus facile de prendre en charge leur progéniture.Car c'est plus difficile pour un oiseau que pour un mammifère. En effet, l'embryon d'un chiot, par exemple, sera mieux protégé par le ventre de sa mère que par la fragile coquille de l'œuf qui attend d'éclore.Le couple de cygnes est donc obligé de couver ces œufs et de veiller à ce que rien ne leur arrive. Une fois les oisillons sortis de leur coquille, il faut aussi les nourrir. Et les oiseaux femelles n'ont pas de lait pour abreuver leurs petits.Il leur faut donc sans cesse quitter le nid pour aller chercher leur pitance. L'un pourra s'en charger tandis que l'autre restera au nid.D'après les spécialistes, cette constante coopération, dans les soins à donner aux petits, mais aussi dans la défense de leur territoire, renforcerait encore les liens qui unissent ces oiseaux fidèles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Mehdi Ghezzar et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Une heure d'information et de débats en direct orchestrée par Julien Pasquet, avec toute la rédaction d'Europe 1 et en codiffusion avec CNEWS.
Avec notre grand invité Afrique de lundi 22 juillet, nous revenons sur la guerre du Tigré. Le conflit a opposé cette région du nord de l'Éthiopie au pouvoir fédéral, allié de l'Érythrée voisine et de plusieurs régions éthiopiennes. Selon l'Union africaine, le bilan pourrait atteindre 600 000 morts, des experts soupçonnant un génocide. En mai 2022, une commission d'enquête sur le génocide au Tigré a été mise en place par le gouvernement régional intérimaire. Notre invité est Yemane Zeray, son directeur et professeur de Sciences politiques. Il répond à Sébastien Németh. RFI : Yemane Zeray, qu'avez-vous pu documenter jusqu'à présent sur les crimes commis pendant la guerre du Tigré ?Yemane Zeray : Nous avons pu obtenir des données claires sur 665 000 foyers. Des violences sexuelles sur 488 000 femmes de 15 ans et plus. Nous avons rapporté des dommages et des pertes pour plus de 47 000 entreprises et près d'un millier d'organisations, qu'elles soient religieuses ou encore des associations, etc. Nous avons pu couvrir plus de la moitié des entités privées et sociales enregistrées au Tigré.Nous tentons d'analyser aussi les institutions gouvernementales, que ce soient les services sociaux, l'administration, les secteurs des services, de la sécurité, ainsi que les localités, nous avons pu couvrir 86 d'entre elles. Donc, nous avons tenté de toucher à tous les niveaux institutionnels.Donc pour faire ce travail, nous avons identifié six types de dommages. Les atrocités humaines, les meurtres, les tortures, les disparitions forcées, les violences basées sur le genre qui ont été utilisées comme une arme. Ensuite, les dommages économiques. Puis les dommages sur les infrastructures de types routes, l'électricité, l'eau, etc. Les dommages sur les ressources naturelles, l'environnement, que ce soient nos sols, l'eau, la biodiversité, etc. Enfin, les dommages sur les valeurs sociales et le patrimoine.Les chiffres que vous avancez sont très élevés. Comment décririez-vous l'échelle des crimes perpétrés au Tigré ?La quantité et la gravité des crimes commis sont énormes. Ils sont d'une telle gravité, c'est inimaginable de faire ça au XXIe siècle. Le nombre de personnes touchées se compte en centaines de milliers. Les dégâts se chiffrent en milliards de dollars. Personne ne s'attend à ce que le Tigré se remette rapidement. Et il y a eu de telles atrocités commises… Nous savons qu'il peut y avoir des situations anormales. Les lois nationales et internationales existent pour ça. Mais là, presque toutes les lois et droits humains ont été violés, et le type de crimes commis pour certains n'avaient jamais été vus de par le monde. Et encore moins dans cette région où les communautés sont proches. De nombreux auteurs ont la même culture, ce sont nos frères et nos sœurs. Comment de tels crimes peuvent être commis par des gens que nous connaissons si bien ? Il faut trouver un mécanisme pour qu'une telle chose ne se reproduise pas.On a des exemples de gens qui « tuaient » les morts [ils s'acharnaient sur les cadavres, NDLR], incendiaient les corps. Des cas de gens brûlant les parties génitales de femmes après les avoir violées. Le viol est déjà anormal, mais violer une femme par un groupe de plusieurs dizaines de personnes, la violer devant ses enfants, tuer son mari devant ses yeux, insérer des objets dans ses parties génitales, c'est inimaginable.Qui sont les auteurs ? Beaucoup étaient des combattants. Des forces fédérales, police et armée… les forces Amhara que ce soit police, miliciens, les forces érythréennes, les forces Afar et même des soldats somaliens.Il y avait une force de police régionale surtout dans le Sud.Les forces tigréennes (TDF, Tigray Defense Forces) ont aussi été accusées de crimes. Avez-vous pu les documenter ?Ça ne fait pas directement partie de notre mandat. Mais comme il y a eu des accusations, notamment des Nations unies, nous nous sommes penchés dessus… Les commandants TDF ne nient pas que des crimes ont été commis. Mais ils affirment que ce n'était pas systématique.Ils nous ont transmis leur code d'éthique, et les mesures qu'ils ont pris contre les auteurs de crimes. Ils ont reconnu notamment qu'une trentaine de personnes avaient été exécutées. Donc, ils ont reconnu des crimes notamment en zone Amhara, comme des pillages, des viols et autres.Mais c'était le fait d'individus isolé souhaitant se venger, ou pour l'appât du gain. Et les commandants ont tenté de limiter ces actes… Il faut rappeler que les TDF étaient en partie une force informelle, cela faisait partie d'une résistance populaire, beaucoup étaient des civils avant de s'engager, des ingénieurs, des docteurs, qui se sont retrouvés au front.L'Union Africaine a déclaré que le bilan pourrait atteindre 600 000 victimes. Que pensez-vous de ce chiffre aujourd'hui ?Je pense que c'est plus que ça. Parce que ce ne sont pas les combats directs entre les différentes forces qui ont fait le plus de victimes… Bien sûr, les affrontements ont fait plusieurs milliers de morts, mais ce qui a fait le plus de victimes, c'est la famine à cause du blocus imposé au Tigré. C'était totalement inédit, à 360 degrés autour de la région. Les Amharas, les Afars, nos voisins, sont nos frères socialement et politiquement. Si l'Érythrée nous déclare la guerre, ces régions auraient dû autoriser les populations à se réfugier. Mais ça n'a pas été possible. Les Érythréens sont socialement nos frères. Nous parlons la même langue. Pareil, si un conflit éclate avec les Amharas ou les Afar, l'Érythrée pourrait accueillir des réfugiés. Mais ça n'a pas été le cas. C'était un blocus à 360 degrés. Pendant des mois, le monde n'avait aucune idée de ce qui se passait ici. Nous étions coupés du monde. C'était totalement inédit.Avec les preuves que vous avez rassemblées, pouvez-vous affirmer que les Tigréens ont été victimes d'un génocide ?Oui. Mais, en tant que professionnels, nous n'avons pas encore diffusé de conclusion. Beaucoup de gens ici pensent qu'il s'agit d'un génocide, mais il faut pouvoir le prouver aux autres, à notre génération et à la communauté internationale. Pour cela, il faut des données précises. Et leur collecte doit respecter les normes internationales…Au début de notre mandat, c'était très difficile, mais nous avons fait de notre mieux. On a rassemblé les données, en essayant de ne pas avoir d'obstacles. Nous n'avons pas terminé. Nous avons fini le volet « données socio-économiques », pour la reconstruction. Des organisations sont en train de valider ce volet. Elles ont donné un premier accord concernant nos méthodes de travail. Donc, nous sommes confiants que nos données concernant les autres volets de nos enquêtes seront à leur tour validées.Nos enquêtes montrent que des crimes ont été commis à tous les niveaux, national et international, que ce soient des crimes de guerre, contre l'humanité ou un génocide : le génocide non seulement dans les actes, mais aussi dans les intentions…Nous avons rapporté des crimes, nous avons aussi documenté une intention de commettre un génocide. Mais il faut pouvoir relier les deux. Nous avons des indices mais il faut encore du temps.En tout cas, nous avons des preuves très concrètes et des données chiffrées qu'un génocide a été commis. Et, sans vouloir comparer les chiffres, on pourrait mettre cela en parallèle avec le Rwanda, par exemple…Le Tigré a subi un blocus total, entraînant une famine, et il y a eu des méthodes calculées pour commettre les crimes.Vous pensez qu'aujourd'hui encore, de nombreux crimes restent à découvrir ?Oui, parce qu'il y a beaucoup de régions où nous n'avons pas pu aller. Mais des gens encore aujourd'hui parviennent à s'enfuir de ces zones et rapportent des atrocités commises. Par exemple, dans le Nord, environ 52 localités sont sous le contrôle des Érythréens. Des crimes y sont encore commis, notamment la famine. Ces populations restent inaccessibles aux ONG. Vous pouvez imaginer comment elles survivent. Dans l'Ouest, nous n'avons pas non plus accès. Ni le gouvernement fédéral ni les autorités tigréennes ne peuvent y aller. Donc, nous considérons qu'il faudra enquêter sur ces zones. Mais même des zones sous contrôle du Tigré, de nouveaux crimes sont encore découverts récemment, notamment des violences sexuelles.Notre société est très conservatrice. Les femmes ne rapportent pas facilement les crimes dont elles sont victimes, même aux médecins. Ce n'est que lorsqu'elles souffrent beaucoup qu'elles sont contraintes d'aller à l'hôpital. Nous avons par exemple découvert que seules 20% des victimes se signalaient. Sur ces 20%, environ 45% ont contracté une MST, plus de 7% ont contracté le Sida, alors qu'avant la guerre le Tigré avait un taux inférieur à 1%. Vous pouvez imaginer l'impact sur les victimes, mais aussi sur la communauté. Plus de 20% ont avorté. Plus de 13% sont tombées enceinte suite à un viol. Donc, vous pouvez imaginer la crise que tout cela va entraîner sur les femmes, la communauté et ces enfants. Donc, il faut étudier aussi les conséquences qu'auront ces crimes dans le futur.Quand est-ce que votre enquête sera terminée et quelles conséquences en attendez-vous ?Je pense que nous aurons fini dans 4 mois. Ce sera un premier volume, car il y a des régions encore inexplorées. On pensait tout terminer en 6 mois, mais ce travail a pris beaucoup de temps. Au début, on ne se rendait pas compte de la nature très complexe des crimes, des défis matériels. Maintenant, nous avons une base, qu'il faudra compléter par d'autres enquêtes et que ce travail soit validé. Nous voulons que nos données reflètent la vérité.Donc vous avez des défis techniques ?Oui, il y a beaucoup d'obstacles, en termes de ressources, de professionnalisation du travail, d'équipements. Par exemple, des laboratoires. Il y a des soupçons d'utilisation d'armes interdites mais nous n'avons pas encore pu le prouver. Il y aussi des milliers de disparus et des centaines de fosses communes. Nous devons pouvoir certifier aux familles que leur fils ou leur fille a été tué. Il faut faire des tests ADN, faire de la médecine légale, nous n'en avons pas les moyens. Nos infrastructures médicales ont été détruites. Elles ne peuvent même pas gérer une maladie comme le paludisme.L'anthrax, qui avait disparu depuis 30 ans, vient juste de revenir au Tigré, près de Mekele. Donc nos services médicaux n'ont pas assez de matériel, ils doivent gérer le quotidien. C'est pour cela que la communauté internationale doit utiliser notre rapport et mener aussi des enquêtes.Vous attendez que justice soit faite après ce rapport ?Oui, elle doit être rendue. Sinon, la paix ne tiendra pas. Des millions de gens ont été touchés par cette guerre. On ne peut pas différencier civils et combattants. Tout le monde est un survivant.C'est mon cas aussi.Tout le monde est perdant dans cette guerre. Tout le monde a sa propre histoire : du pauvre au millionnaire qui avait des enfants étudiant à l'étranger. Donc, nous parlons de millions de personnes touchées maintenant et pour des années encore.La justice est là pour apaiser les individus, les familles, les communautés. La justice fera oublier la peur et vous permettra de revivre en paix, réduisant le risque de répétition et vous pourrez penser que vous pouvez vivre en paix avec vos voisins.La justice est là pour empêcher la vengeance. Si on craint une vengeance, comment peut-on vivre en paix ? Donc, la justice doit l'emporter, pour que la prochaine génération puisse vivre en paix.Faut-il juger tous les criminels ? Des personnes comme le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed ou le président érythréen Issayas Afewerki doivent-ils être poursuivis ? Et quel type de justice attendez-vous ?Tous ceux qui ont commis des crimes devraient être jugés. Surtout les leaders qui ont laissé cette guerre se dérouler. Ils devraient être les premiers à être devant une cour, y compris Abiy Ahmed, Issayas Afewerki, même les leaders tigréens s'il est prouvé qu'ils ont commis des crimes. Car la justice est là pour permettre une paix durable pour les communautés du Tigré et alentours.La justice, ce n'est pas simplement punir, ce n'est pas de la vengeance, c'est dire la vérité, et reconnaître les faits. Il faut juger pour apprendre aux prochaines générations, pour éviter que tout cela ne se reproduise. Donc, cela devrait commencer au niveau communautaire, avec une justice traditionnelle, menée par les survivants. Les communautés ont leurs propres mécanismes pour gérer ces problèmes.Le Tigré doit vivre avec ses voisins, et il y a des liens. C'est à cause des échecs politiques qu'il y a eu la guerre et que les gens sont devenus fous. Donc, il faut une forme de justice traditionnelle. Mais il y a des crimes qui violé les lois nationales et internationales. Donc, des crimes ne peuvent pas être gérés par des tribunaux éthiopiens. Des choses anormales se sont passées.La justice doit être rendue au niveau international, avec une enquête, en donnant des capacités et une exécution des procès.Ensuite, des acteurs internationaux sont impliqués dans ces atrocités. Ces acteurs ne peuvent pas être gérés au niveau national. Il faudra aussi apporter des solutions durables à tous les niveaux. La communauté internationale pourra elle aussi tirer des leçons de ce qui s'est passé, trouver peut-être de nouveaux mécanismes. Plus de trente fois, le Conseil de sécurité s'est saisi de la question, mais rien n'a changé. Donc, les communautés internationale, nationale et locale peuvent apprendre du cas tigréen.Est-ce qu'il y a des obstacles qui pourraient empêcher cette justice ? Est-ce que le politique tente d'influencer les enquêtes ?Oui, dans trois domaines. D'abord, il faut un équilibre entre l'enquête et l'accord de paix. C'est délicat, car l'accord est là alors que tous les criminels présumés sont encore aux affaires. Donc, c'est un dilemme. Difficile d'agir dans ces conditions…On craint que nos conclusions ne soient rangées au fond d'un tiroir. Et quand vous évoquez le besoin de justice, cela touche le processus de paix, et l'engagement des uns et des autres.Ensuite, il y a l'accès. À cause des politiques, il y a beaucoup de régions qui nous sont inaccessibles.Et troisièmement, au niveau international : aucun enquêteur international n'a pu venir. Très récemment seulement, la presse a pu entrer au Tigré. Donc, la politique est un obstacle. Mais il faut convaincre les gens, même ceux au pouvoir, même ceux qui ont du sang sur les mains, les convaincre que la justice est bonne pour leurs enfants, leurs communautés, s'ils veulent une société qui fonctionne en harmonie pour les générations futures.À lire aussiDossier spécial de RFI - Éthiopie, retour sur la guerre oubliée du Tigré
durée : 00:10:39 - La Question du jour - par : Quentin Lafay - Aujourd'hui se tient la première Journée internationale de commémoration du génocide de Srebrenica, 29 ans après le massacre commis dans cette enclave bosniaque au cœur d'un territoire alors contrôlé par les Serbes. - invités : Florence Hartmann Ancienne porte-parole de la procureuse du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) et correspondante du journal Le Monde pendant le conflit des Balkans
Dans l'est de la RDC, l'Ituri est toujours en proie à des violences. Le conflit entre Hema et Lendu a repris en 2017 après une quinzaine d'années de paix relative. Les antagonismes sont anciens et les deux ethnies s'étaient déjà entretuées pendant la seconde guerre du Congo. Alors que l'Ituri semble submergé par le conflit, à Bunia, le chef-lieu de la province, certains quartiers mixtes résistent aux tensions communautaires. De notre envoyée spéciale à Bunia,Autour de la table de billard, une petite dizaine de jeunes hommes entament une partie. Hema, Lendu, Alur ou encore Bira, toutes les communautés se retrouvent à Bankoko, un quartier de Bunia, la capitale de l'Ituri. Jérémy, la vingtaine, y habite depuis toujours. À ses côtés, Gloire Abasi, le président provincial du Parlement des jeunes et résidents de Bankoko : « J'aime aussi le billard, parce que le billard permet à tout le monde de se rassembler, pour qu'il y ait le vivre ensemble, ici en Ituri. »Car le conflit communautaire entre Hema et Lendu - qui s'affrontent par milices interposées depuis 2017 dans le reste de la province - déteint dans certaines zones de la ville de Bunia. Celle-ci est peuplée par une population traumatisée par ces violences qui durent depuis des décennies. « Il y a par exemple certains quartiers de Bunia où les Lendu ne peuvent pas habiter à cause de conflits qui ont eu lieu de 1998 à 2003 », explique Gloire Abasi.Historiquement, le quartier Bankoko (« les anciens » ou « les ancêtres » en lingala, l'une des langues locales) devait recevoir les militaires retraités. Il est aujourd'hui l'un des quartiers résidentiels des hauts fonctionnaires de la région. Ses quelques rues commerçantes sont traversées par des chars de l'armée congolaise et des casques bleus de l'ONU en raison de la proximité de leur caserne.Ce quartier est réputé calme et sécurisé... sauf lorsque les tensions surgissent dans les territoires limitrophes. François Kasereka est le coordinateur provincial des jeunes intercommunautaire de l'Ituri : « Chacun s'occupe de ses affaires. Il y a surtout des tensions entre jeunes qui n'essaient pas de comprendre la situation générale qui génère ce conflit. »Le 26 avril dernier, les principaux groupes armés ont signé un nouvel accord de paix. Depuis, les violences ont diminué, mais n'ont pas pour autant disparu, notamment dans les sites miniers.À lire aussiRDC: en Ituri, les signataires d'un accord de paix sceptiques malgré une baisse des violences intercommunautaires
Sylvain Duthu était l'invité du jour des Grosses Têtes. Il se lance dans une carrière solo et a interprété en live son nouveau titre, "Les jours qui restent". Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
"Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Ça nous est déjà arrivé à toutes et à tous d'avoir une chanson qui nous reste en tête. Une mélodie plus ou moins longue, quelques phrases, une série de notes coincées dans notre esprit pendant un certain temps. Et d'ailleurs cela touche 90% d'entre nous au moins une fois par semaine. Ces airs coincés dans notre cerveau, cela porte un nom : des vers d'oreilles, comme des vers de terre qui grouilleraient dans nos oreilles. C'est le psychiatre allemand Cornelius Eckert qui invente cette expression en 1979, l'esprit probablement occupé par le hit de l'époque. Et cent ans plus tôt, Mark Twain en parlait déjà dans une de ses nouvelles : le cauchemar littéraire. Mais à quoi ça tient, ce phénomène ? Est-ce la composition d'une musique qui nous pousse à la retenir ? Mais comment se débarrasser d'un ver d'oreille ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. Première diffusion : 11 janvier 2023 À écouter aussi : Qu'est-ce que “Sniffy”, cette poudre blanche à inhaler ? L'euro pourrait-il vraiment devenir une cryptomonnaie ? Quelle est la série la plus chère de tous les temps ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
A la veille d'une probable baisse des taux de la BCE et à l'avant-veille d'une statistique mensuelle sur l'emploi aux Etats-Unis très attendue, les marchés actions sont toujours déboussolés. Déboussolés à haut niveau, mais déboussolés quand même. Les catalyseurs évidents ont du mal à produire des effets depuis quelques jours.
durée : 00:25:21 - Michel Chion, compositeur (4/5) - par : Christophe Dilys - Ancien membre du Groupe de recherches musicales, également écrivain, théoricien, réalisateur, enseignant, Michel Chion est considéré comme l'un des compositeurs les plus originaux dans le domaine de la musique concrète. Portrait de ce passionné du son et du cinéma au micro de Christophe Dilys. - réalisé par : Adrien Roch
On connait tous les discours qui sont entrés dans l'histoire : celui de 1974 prononcé par Simone Veil à l'Assemblée nationale pour le droit à l'avortement, ou celui d'André Malraux, à l'occasion du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon. Mais il y a aussi celui d'Emma Gonzalez, ou encore les discours fictifs : ceux de Cyrano de Bergerac. Qu'ont de commun ces discours ? Comment convaincre, captiver, ou révolter avec des mots ?Invitée : Soledad, illustratrice du livre Les discours les plus éloquents publié chez Le Robert. Et la chronique Ailleurs nous emmène en Inde avec Emmanuel Lebrun-Damiens, conseiller de coopération et d'action culturelle à l'Ambassade de France en Inde, demain à midi (heure de Paris), pour discuter du modèle de la Villa Swagatam.
On connait tous les discours qui sont entrés dans l'histoire : celui de 1974 prononcé par Simone Veil à l'Assemblée nationale pour le droit à l'avortement, ou celui d'André Malraux, à l'occasion du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon. Mais il y a aussi celui d'Emma Gonzalez, ou encore les discours fictifs : ceux de Cyrano de Bergerac. Qu'ont de commun ces discours ? Comment convaincre, captiver, ou révolter avec des mots ?Invitée : Soledad, illustratrice du livre Les discours les plus éloquents publié chez Le Robert. Et la chronique Ailleurs nous emmène en Inde avec Emmanuel Lebrun-Damiens, conseiller de coopération et d'action culturelle à l'Ambassade de France en Inde, demain à midi (heure de Paris), pour discuter du modèle de la Villa Swagatam.
durée : 00:03:51 - Le Billet de Charline Vanhoenacker - par : Charline Vanhoenacker - Le Grand Dimanche Soir commence à ressembler à Koh-Lanta : ce soir, c'est deux micros qui sont éteints ! En espérant que la sanction ne soit pas irrévocable...
Le journal de l'économie du 01/05/2024 : les déboires de la compagnie aérienne "Bonza" et le cout de la justice en Australie sous le feu des projecteurs
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Mehdi Ghezzar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:05 - Le Reportage de la Rédaction - Décembre 2023 : la publication de Fiducia Supplicans, cette note du Vatican pour la bénédiction des couples homos, provoque des réactions virulentes chez les évêques de France. Bien que l'avancée soit notable, les catholiques LGBTQI+ ne sont toujours pas pleinement acceptés au sein de l'Église.
durée : 00:04:08 - Le Reportage de la Rédaction - Elles sont les héritières des chasses royales de François Ier. Un parfum d'Ancien régime au cœur de la République. Les chasses présidentielles de Chambord ont officiellement disparu en 2010. Mais depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron à la tête de l'Etat, elles ont connu un retour en grâce.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La mort de trois otages israéliens relance le débat au sein de cette société sur les mesures à adopter pour libérer ceux qui restent retenus dans Gaza.