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François Baroin a le vent en poupe ! De quoi rendre jaloux Alain Juppé... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 4 avril 2025, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Manœuvre, Fabrice Luchini ou encore François Baroin. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Retrouvez toutes les recommandations de lectures, partagées dans le podcast, dans la bibliothèque officielle des Insiders !Découvrez l'extrait de l'épisode 115 d'Hospitality Insiders sur le parcours de Mathilde Baroin. Mathilde Baroin est la créatrice du Young Hospitality Club !Dans cette partie de notre conversation, Mathilde nous partage les coulisses de ce club ! Retrouvez l'intégralité de l'épisode ici.Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !
Retrouvez toutes les recommandations de lectures, partagées dans le podcast, dans la bibliothèque officielle des Insiders !1️⃣ Présentation de l'invitée :La spécialité de Mathilde Baroin : réunir les êtres humains et faire que le cocktail prenne. Mais cette fois, c'est moi qui l'invite !Mathilde raconte son expérience dans l'événementiel, la vente chez Expedia ou encore chez WeWork. C'est là, qu'elle commence à se passionner pour le networking et la connexion entre les personnes. Elle a ensuite lancé le Young Hospitality Club (YHC).Le YHC est un réseau de jeunes professionnels de l'hôtellerie et de la restauration. Il met en relation les "leaders de demain" (jeunes actifs) avec les "leaders d'aujourd'hui" (entreprises partenaires). Le club propose des événements, des échanges, et des mises en relation.Il compte 400 membres. Ils représentent une soixantaine d'écoles d'hospitality management différentes à travers l'Europe.La majorité des membres sont de jeunes actifs (70%), et 30% sont des étudiants en fin de cursus.Pourquoi networker est-il si important ?À partir de quel âge est-il possible de réseauter ?Quels sont les avantages et les formats du club ?Quels sont les projets à venir pour le YHC ?Quelle est la définition de Mathilde du leadership ?Toutes les réponses dans notre échange !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le partenaire de l'épisode :FERRANDI Paris, Campus de BordeauxPrendre contact avec l'équipe dédiée au partenariat avec les entreprisesDites que vous venez d'Hospitality Insiders !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Parcours professionnel de Mathilde00:08:00 - Le concept du networking 00:14:00 - Le Young Hospitality Club (YHC)00:18:00 - Les avantages du YHC et son modèle économique00:24:00 - Les événements et les projets du YHC00:28:00 - Définition du leadership00:36:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !
Dans cette édition :Michel Barnier, Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, est renvoyé sans ménagement par les députés du Nouveau Front Populaire et du Rassemblement National après seulement trois mois de mandat.Emmanuel Macron souhaite nommer rapidement un nouveau Premier ministre, avec plusieurs candidats potentiels comme Sébastien Lecornu, Bruno Retailleau, François Bayrou, François Baroin, Roland Lescure et Bernard Cazeneuve.Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, met la pression sur Emmanuel Macron et l'appelle à démissionner, tout en assurant qu'elle soutiendra le vote d'une loi spéciale pour reconduire le budget 2024.La censure du gouvernement Barnier a des conséquences négatives pour le crédit de la France selon l'agence de notation Moody's.Les syndicats de la fonction publique maintiennent leur appel à la grève, perturbant notamment les transports aériens.La réouverture de Notre-Dame de Paris, deux ans après l'incendie, est un événement mondial avec la venue notamment de Donald Trump, les États-Unis ayant beaucoup contribué à la restauration de la cathédrale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Michel Barnier, Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, est renvoyé sans ménagement par les députés du Nouveau Front Populaire et du Rassemblement National après seulement trois mois de mandat.Emmanuel Macron souhaite nommer rapidement un nouveau Premier ministre, avec plusieurs candidats potentiels comme Sébastien Lecornu, Bruno Retailleau, François Bayrou, François Baroin, Roland Lescure et Bernard Cazeneuve.Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, met la pression sur Emmanuel Macron et l'appelle à démissionner, tout en assurant qu'elle soutiendra le vote d'une loi spéciale pour reconduire le budget 2024.La censure du gouvernement Barnier a des conséquences négatives pour le crédit de la France selon l'agence de notation Moody's.Les syndicats de la fonction publique maintiennent leur appel à la grève, perturbant notamment les transports aériens.La réouverture de Notre-Dame de Paris, deux ans après l'incendie, est un événement mondial avec la venue notamment de Donald Trump, les États-Unis ayant beaucoup contribué à la restauration de la cathédrale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le Congrès des Maires de France, qui s'achève aujourd'hui à Paris, est en ébullition face à un projet de budget qu'ils accusent de menacer l'investissement et les services publics. Patrice Bessac, successeur à Montreuil de Dominique Voynet, appelle carrément à couper le cordon ombilical avec l'Etat qui tient les maires par l'arbitraire de décisions changeantes, technocratiques et brutales. Les communes doivent retrouver une marge de manœuvres qui leur est propre avec la possibilité de lever l'impôt. De son côté, Jean-Pierre Opplert montre que la relation dégradée entre l'Etat central et les maires ne date pas d'Emmanuel Macron. Le FPIC (Fonds de Péréquation Intercommunal FPIC) instauré en 2011 par Nicolas Sarkozy, le gel de la DGF (Dotation globale de fonctionnement) décidé par François Baroin en 2011 puis son effondrement sous François Hollande avaient déjà fragilisé une institution emblématique de notre modèle démocratique. La loi NOTRe accentua ce sentiment d'hostilité du pouvoir central envers les communes rurales. Le seuil des 15000 habitants pour qu'une communauté de communes soit viable créa un monstre technocratique ingérable. En nord Côte d'Or, par exemple, une Communauté de communes rurales compte plus de 70 communes, avec autant de représentants appelés à siéger et à délibérer sur des compétences déléguées par l'Etat ! Dans ce contexte, la suppression de la taxe d'habitation apparaît comme un coup de grâce pour l'échelon communal.
Alain Juppé pique-t-il une crise face à l'ascension fulgurante de François Baroin ? Découvrez les dessous d'une rivalité politique... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.
#DessineMoiUneCollection est le premier podcast qui présente les collections du musée d'Art moderne de Troyes – Collections nationales Pierre et Denise Lévy. Le musée d'Art moderne est né de la donation de près de 2000 œuvres à l'État en 1976 par Pierre et Denise Lévy, couple d'industriels troyens et collectionneurs. Situé dans l'ancien palais épiscopal, les collections reflètent l'amour du couple Lévy pour l'art moderne de la seconde moitié du XIXe à la première moitié du XXe siècle. Elles illustrent une histoire de l'art français fondée sur la figuration sur la figuration et sur la question d'une modernité s'inscrivant dans la lignée de la tradition classique. Cette série en 11 épisodes accompagne la réouverture au public du MAM de Troyes au terme de quatre années de travaux. Le MAM présente une collection exceptionnelle répartie sur trois étages dont la scénographie a été totalement repensée avec un jardin entièrement redessiné. Didactique et richement documenté, chaque épisode d'une douzaine de minutes, emmené par le récit de la conservatrice Juliette Faivre-Préda, plonge l'auditeur dans l'univers d'un artiste, d'une œuvre ou d'une collection du musée : André Derain, Parvine Curie, Edouard Vuillard, les artistes Fauves, les Nabis, Robert Delaunay, Maurice Marinot, Henri Matisse… Avec les témoignages de : - Juliette Faivre-Préda, conservatrice du Musée d'Art moderne de Troyes - collections nationales Pierre et Denise Lévy - Eric Lombard, Directeur Général du Groupe Caisse des Dépôts, petit-fils de Pierre et Denise Lévy - Pierre Lévy, (archives de Radioscopie, émission culte de Jacques Chancel sur France Inter) - Marc Sebeyran, premier adjoint au maire de Troyes, en charge de la Culture et du Patrimoine - Scarlett Reliquet, conservatrice du Musée d'Orsay, co-commissaire et l'exposition et amie de Parvine Curie - Parvine Curie, issu d'un film de Philippe Lanfranchi projeté à l'exposition - Claudia Sindaco, restauratrice de tableaux, spécialiste des œuvres de Vuillard et des Nabis - Apolline Guérin, médiatrice culturelle des musées de Troyes - Laurent Corvaisier, artiste peintre-illustrateur et invité d'honneur du Salon du livre jeunesse de Troyes 2023 - Nadia Escoute, présidente du Salon du Livre jeunesse de Troyes - Christine Leduc, présidente de l'association les Amis du musée d'Art moderne - Christian Châtellier, restaurateur du Patrimoine - Johanna Salvant, scientifique au Centre de recherche C2RMF - Angela Lampe, conservatrice des collections moderne du Centre Pompidou - Hélène Joubert, conservatrice générale au musée du Quai Branly à Paris, qui concentre une immense collection d'Arts extra-occidentaux - François Baroin, Ancien Ministre, maire de Troyes et président de Troyes Champagne Métropole - Geneviève Taillade, petite-nièce de l'artiste et Présidente de l'Association des Amis de Derain - Ariane Smythe, paysagiste conceptrice, gérante de l'agence Métamorphose - Flavie Serrières, conservatrice-restauratrice de vitraux, artiste et présidente de la Manufacture Vincent-Petit - Thomas Morel, conservateur des collections d'Art ancien des Musées de Troyes - Jean-Louis Humbert, historien - Dominique Fiorano, responsable des collections bonneterie à l'Hôtel de Vauluisant, le Musée de la Maille, Mode et Industrie, à Troyes. La voix du podcast : La production de #DessineMoiUneCollection a été confiée à Gilles Halais qui a passé toute son adolescence à Troyes. Il y a fait ses premières armes dans des radios locales dans les années 80, avant une carrière à France Inter et France Info. Resté très attaché à Troyes et au patrimoine troyen, il met toute son expérience, sa rigueur et sa créativité au service de la réalisation soignée de cette série conçue comme une série de documentaire mêlant récits, interviews, sons d'archives et design sonore.
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À 10 jours du scrutin des élections européennes, le Rassemblement national caracole toujours loin en tête des sondages. À droite, les Républicains plafonnent autour de 7%. Un score plutôt maigre à l'heure actuelle. « Monsieur Macron a décidé de faire refaire un face à face avec le parti de Madame Le Pen. Cette élection est devenue une forme de référendum pour ou contre Emmanuel Macron. En l'occurrence contre car on voit bien le mécontentement quand on voit qu'il y a plus de 30% dans les sondages pour Jordan Bardella », commente Nadine Morano, sur le plateau des 4 Vérités, ce jeudi 30 mai, sur France 2. Les Républicains sont-ils condamnés à la seconde division ? « On (le parti LR, ndlr) pèse beaucoup plus parce que nous appartenons à un groupe politique qui représente la droite et le centre de l'ensemble des 27 pays de l'Union européennes », souligne l'eurodéputée LR. « Pour défendre efficacement l'intérêt des Français dans cet hémicycle multinational, il faut voter pour la liste de François Xavier Bellamy, qui est un président de délégation extrêmement sérieux et précis sur tous les dossiers ». De son côté, Nicolas Sarkozy s'est gardé de toute consigne de vote. Dans un entretien accordé au Figaro, l'ancien président de la République a annoncé qu'il ira bien voter le 9 juin prochain, sans toutefois « rendre public (s)on choix ». S'il a exprimé sa « sympathie » envers le candidat LR, il n'a néanmoins pas caché ses « divergences » avec « certains dirigeants actuels » de son ancien parti. « Nicolas Sarkozy n'est plus dans la politique partisane. Il ne se considère plus comme un adhérent du parti », commente Nadine Morano. « Il ne dit pas non plus dans cette interview qu'il voterait pour quelqu'un d'autre. Je suis persuadée que Nicolas Sarkozy votera pour ses amis, votera pour nous », affirme l'ancienne ministre. Gouvernement : une coalition LR / Renaissance est-elle possible ? Une chose est sûre : il y aura un après « 9 juin ». Faut-il élargir la majorité ? En coulisses, les noms de Gérard Larcher ou François Baroin circulent dans les présupposés futurs locataires de Matignon. Une coalition entre Renaissance et Les Républicains est-elle possible ? « Le président de la République n'a jamais été dans cette perspective. (…) Il a choisi le débauchage individuel. Il a aujourd'hui une majorité relative. Le pays est en train de sombrer dans le chaos », assure Nadine Morano. Alors que les yeux du monde sont rivés sur Rafah, le président de la République a évoqué la reconnaissance d'un État de Palestine mais « pas sous le coup de l'émotion ». « La position de la France a toujours été pour une solution à deux États. Mais la il ne s'agit pas d'émotion. On est face, en Palestine, à un groupe terroriste qui a attaqué Israël et qui détient encore des otages dans les tunnels de Gaza. Pour que ça s'arrête, il faut que le Hamas rende les armes, libère les otages, libère les enfants », précise l'élue. Les questions internationales sont plus que jamais au cœur de tous les enjeux des prochaines élections européennes.
Lors de la Necronomicon 2024 à Belfort, nous avons rencontré Chantal Baroin: Comédienne de doublage, elle est entre autre la voix française d'Erza dans fairy tail.
En ce début de XXème siècle, il y a vraiment l'idée chez les artistes de s'affranchir de la tradition occidentale, un peu à l'image de Gauguin qui partait à Tahiti pour découvrir autre chose. Et il y a aussi eu la mode des estampes japonaises. Peu à peu, tout ça s'estompe et les artistes se tournent vers les Arts d'Afrique et d'Océanie. A l'époque, acquérir de l'Art extra-occidental, on disait d'ailleurs « Arts primitifs », était donc une mode chez les artistes et les collectionneurs. Une mode à laquelle Pierre Lévy va s'adonner avec passion. Avec les témoignages de : - Juliette Faivre-Preda, conservatrice du musée d'Art moderne de Troyes. - Hélène Joubert, conservatrice générale au musée du Quai Branly à Paris, qui concentre une immense collection d'Arts extra-occidentaux. - François Baroin, Ancien Ministre, maire de Troyes et président de Troyes Champagne Métropole.
La news de Maxence sur le marketing : https://www.make-sense.digital/newsletter-marketing-digital-tendances-astuces-actualites/Le linkedin de Christophe : linkedin.com/in/christophe-baroinDécouvrez les secrets du Customer Advocacy dans cet épisode où nous avons l'honneur d'accueillir Christophe Baroin de "Mention Me". Expert dans les stratégies de parrainage, acquisition, et rétention de clients, Christophe plonge dans les mécanismes qui transforment les clients en véritables ambassadeurs de marque.Dans cet épisode, nous parlons :Fondements du Customer Advocacy : Découvrez les bases avec une introduction au NPS et à l'importance de la fidélisation. Stratégies Clés d'Engagement : Plongez dans les mécanismes du parrainage et les techniques avancées de rétention client. Excellence en Customer Experience : Créer des expériences mémorables qui encouragent les clients à devenir de véritables défenseurs de votre marque.
"Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Rachida Dati VS François Baroin sur X Les agriculteurs manifestent à Berlin
63 ans de carrière, un journaliste, un intervieweur de haut vol et un patron de médias qui aura marqué l'histoire de la Ve République, Culture médias revient ce matin sur le parcours médiatique de Jean-Pierre Elkabbach. Julien Dray, François Baroin, Christopher Baldelli et Philippe Thuillier lui rendent hommage au micro de Thomas Isle.
C'était un breaking-news dans notre troisième épisode, la dernière page de la (non-)fusion TF1-M6 en est presqu'un aussi cette semaine : le Groupe RTL-Bertelsmann renonce (pour le moment) à la vente du groupe M6. Toute l'équipe autour d'Alex en parle, mais elle parle surtout de la nouvelle saison, volontairement, tronquée de la Star Academy. 6 semaines, 7 primes, une finale à un horaire inconnu, pas d'incarnation de quotidienne, … Quel effet de curiosité pour cette première étape avant une nouvelle saison pleine ? Et quelle stratégie pour les éliminations ? Et quels jurés ? Et quels invités ? Et Cali ? Et Nikos, ça l'agace ? Mais aussi les rituelles audiences et Médias Express, avec pêle-mêle : le four de Master Chef, Martine Aubry sur Marne, retournez-vous, re-meutres à re-Saint-re-Malo avec re-Solo et re-Monot, Sherlock Anne Holmes, niquer Cartouche, Zoom zoom Zuméo, pan pan cul cul sur le Paf Paf, le poste en or de Kara, C Canteloup et C à Marseille, et François Baroin. Au sommaire : 0:00 - Introduction 7:09 - Les audiences 30:54 - Star Academy : un retour de courte durée 1:14:50 - Médias Express 1:48:40 - Le jeu d'Arnaud 1:52:42 - Conclusion (regardez Les Temps Changent) Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
durée : 00:03:43 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Guide du télétravail d'Amélie de Montchalin, nouveau calendrier sanitaire, manifestation des enseignants à Paris, Gérald Darmanin et l'extrême droite et la voix sexy de François Baroin, c'est l'actu du jour!
Mercredi 17 novembre, le maire LR de Cannes, David Lisnard, a été élu, à 62% des suffrages, pour succéder à François Baroin à la tête de l'Association des maires de France. Face à lui, Philippe Laurent, maire de Sceaux (UDI) et secrétaire général sortant de l'AMF, dont on le disait soutenu par la majorité présidentielle, due à la présence, à ses côtés, de nombreux élus Macron-compatibles. Dans la soirée, le président de la République, Emmanuel Macron, a réuni 1 000 élus à l'Élysée, à l'occasion du 103e congrès des maires. « On a besoin de travailler avec les maires, c'est indéniable », a commenté Sophie Cluzel, invitée sur le plateau des 4 vérités, sur France 2, jeudi 18 novembre, tenant à saluer la victoire du maire de Cannes. L'heure est-elle à la réconciliation avec les élus de terrain ? « Il y a eu les gilets jaunes, le grand débat, une interaction en direct avec Emmanuel Macron pendant des mois, la crise sanitaire et une solidarité qui s'est nouée sur le terrain entre les maires et les préfets », a ajouté, la secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées, appelant à l'action. L'objectif ? Engager « une coopération réelle entre les services de l'État et les maires. Un travail en commun sur les territoires », a rappelé l'élue. À moins de six mois du scrutin, la campagne électorale semble bel et bien lancée. Que reste-t-il du souffle de la campagne de 2017 ? « Les Français veulent aller plus vite, plus fort, nous disent les personnes sur le terrain. Il y a aussi des inquiétudes sur le pouvoir d'achat notamment. Il faut faire de la pédagogie sur ce que l'on a fait », a affirmé Sophie Cluzel. « Duoday » : briser les tabous sur le handicap En pleine semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées, le gouvernement organise, jeudi 18 novembre, le « duoday », qui vise à changer les mentalités et à encourager l'insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. Huit ministres doivent y participer, dont le Premier ministre, Jean Castex. L'idée ? Ils passeront la journée avec des demandeurs d'emploi en situation de handicap. En France, 12 millions de personnes sont concernées par le handicap, parfois invisibles. « Il y a un vrai engouement, ce n'est pas que de la communication. C'est aussi pour faire tomber les préjugés, libérer la parole. L'année dernière sur les 10 000 duos, 10 % ont conduit à une insertion professionnelle », a assuré la secrétaire d'État. « Aujourd'hui, les employeurs s'engagent pour des ressources humaines inclusives. Beaucoup d'employeurs sont démunis face aux personnes handicapées. Cette journée vise aussi à faire de la pédagogie sur le sujet », a-t-elle conclu.
CHASSE : POLÉMIQUE DE CAMPAGNE ! – 18/11/21 Invités CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique - Directeur de la rédaction - « Franc-Tireur » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique – « Marianne » FRÉDÉRIC DENHEZ Journaliste - Auteur de « La chasse. Le vrai du faux » BÉATRICE GIBLIN - Géographe - Auteure de « Le paradoxe français » A cinq mois de la présidentielle, les candidats battent la campagne et donnent un à un leur avis sur la chasse, devenue un indispensable de l'échiquier politique. Les récents accidents mortels ont mis un coup de projecteur sur une pratique qui rassemble un peu plus d'un million de personnes détentrices du permis de chasse, mais rencontre aussi une franche opposition : la pétition « Morts, violences et abus liés à la chasse : plus jamais ça ! », mise en ligne le 10 septembre dernier sur le site du Sénat a dépassé ce jeudi les 119 830 signatures. Alors que le morcellement de l'offre politique voit aujourd'hui plusieurs candidats au coude-à-coude dans les sondages – à l'extrême droite Marine Le Pen et Eric Zemmour, dans la course à la primaire Les Républicains (LR) et aussi à gauche –, les chasseurs sont dans le viseur des prétendants à l'Elysée, ces derniers pouvant faire gagner les quelques points nécessaires à la qualification pour le second tour. Une position qui n'est pas pour déplaire à la Fédération nationale des Chasseurs (FNC) qui affiche l'ambition de peser sur la campagne électorale et a prévu comme en 2017 de faire passer un grand oral à tous les candidats trois semaines avant la présidentielle. En attendant, depuis le début de l'été, la FNC a entamé une tournée de rencontres avec les candidats déclarés ou putatifs. Michel Barnier est allé voir des chasseurs de gibier d'eau en baie de Somme. Eric Zemmour a rencontré Willy Schraen et a aussi participé à un dîner avec des chasseurs. Xavier Bertrand avait, lui, annoncé lors des régionales 2021 qu'il saisirait le ministère de la Culture pour inscrire la chasse au gibier d'eau et les chasses traditionnelles au patrimoine mondial de l'Unesco. Une attitude pro-chasse que l'on retrouve chez la plupart des candidats mais qui pourrait se confronter à un autre énorme enjeu de la présidentielle 2022, l'écologie. Sur ces sujets la Macronie a décidé de poursuivre sa stratégie du « en même temps », tentant de flatter à la fois les défenseurs des animaux et les chasseurs. Ainsi le 4 octobre, alors en plein refuge SPA, Emmanuel Macron a défendu les chasseurs comme étant des « acteurs de la ruralité ». L'une des premières mesures de son quinquennat fut de diviser par deux le prix du permis de chasse, alors qu'en fin de mandat, le président a doublé l'enveloppe du plan de relance consacrée à la rénovation des refuges d'animaux - de 15 à 30 millions d'euros. De son côté, Yannick Jadot, le candidat Europe Ecologie-Les Verts ( EELV) à la présidentielle, a lui décidé de prendre une voie différente de la plupart des candidats, en annonçant sa volonté d'interdire la chasse lors des week-ends et des vacances scolaires. Chasser en solitaire plutôt que se confondre dans la meute s'avèrera-t-il payant ? Si la chasse aux voix a commencé dans le monde rural pour les candidats, celle des parrainages bat également son plein. Emails, lettres, coups de fil en série…Les maires sont très courtisés cette année, et l'élection, lors du 103e congrès de l'AMF, de David Lisnard pour succéder à François Baroin est particulièrement scrutée. Alors quel sont les enjeux de cette élection, pour les maires de France et l'exécutif, à cinq mois de la présidentielle ? Pourquoi certains maires ruraux refusent-ils d'accorder leur parrainage ? Et quel est le poids du vote chasseur en France ? Où se place-t-il sur l'échiquier politique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:19:58 - Journal de 18h - La macronie n'a pas réussi à conquérir la puissante Association des maires de France. C'est le maire de Cannes, le Républicain David Lisnard, qui va succéder à François Baroin à la présidence de l'AMF. Il a été facilement élu à la tête d'une large coalition de droite et de gauche.
durée : 00:19:58 - Journal de 18h - La macronie n'a pas réussi à conquérir la puissante Association des maires de France. C'est le maire de Cannes, le Républicain David Lisnard, qui va succéder à François Baroin à la présidence de l'AMF. Il a été facilement élu à la tête d'une large coalition de droite et de gauche.
Plusieurs centaines de maires de petites ou de grandes villes sont attendus à Paris du mercredi 17 au jeudi 18 novembre 2021. Ce sera le dernier congrès de l'Association des maires de France sous le quinquennat d'Emmanuel Macron. Le président français y prononcera un discours jeudi, alors qu'en coulisses se joue une bataille très politique pour le contrôle de cette puissante association à cinq mois de la présidentielle. D'habitude, l'élection du président de l' Association des maires de France (AMF) est une formalité, avec une liste unique, mais cette fois-ci il y a compétition. Deux maires veulent prendre la présidence de cette association qui a un poids politique important. Cela fait suite au départ de son président François Baroin, figure de la droite française, qui a fait de l'AMF un bastion d'opposition au président Macron. Un chef de l'État qui, au cours de son quinquennat, a eu une relation difficile avec les élus locaux. Il les a au départ méprisés, avant de vanter leurs mérites pendant le grand débat national de 2019. Le départ de François Baroin rebat les cartes Pour lui succéder, François Baroin a adoubé le maire Les Républicains (LR) de Cannes, David Lisnard, une figure montante de la droite, qui espère gagner ses galons au niveau national en remportant cette bataille. Mais tout cela s'est fait dans la précipitation. En face, des maires - dont certains soutiennent Emmanuel Macron - ont protesté contre ce fait accompli. Ils critiquent l'opposition systématique de l'AMF au pouvoir en place. Un autre candidat s'est déclaré, Philippe Laurent, le maire de Sceaux, en région parisienne. Il est inconnu du grand public, mais connu en revanche parmi les élus. C'est un pilier de l'AMF. Il est centriste. Son adversaire essaye de le discréditer en présentant sa candidature comme étant pilotée par Emmanuel Macron. Lui s'en défend. Il n'empêche, des maires proches de la majorité présidentielle le soutiennent. Cette élection est intéressante à 5 mois de la présidentielle Ce sera un bon baromètre du terrain. 35 000 maires sont appelés à voter. La droite est en perte de vitesse, mais toujours forte dans les territoires. Va-t-elle garder la main sur l'AMF ? Ou bien va-t-on assister à un basculement ? Ce sera intéressant à suivre dans la perspective de la présidentielle. Emmanuel Macron - c'est l'une de ses faiblesses - possède peu de relais sur le terrain, des élus l'accusent d'être déconnecté. Son parti n'est pas bien implanté. Une AMF plus conciliante pourrait l'aider dans sa campagne. Le vote aura lieu mardi et mercredi prochains.
Avec le départ précipité des troupes américaines, décidé par Joe Biden, après vingt années de présence, la dégradation rapide de la situation pourrait pousser de nombreux Afghans à l'exil. Et l'Europe s'y prépare, secrètement : « L'Europe redoute une vague afghane », lance le quotidien L'Opinion, journal dans lequel un responsable européen proche du dossier prédit une « vraisemblable vague migratoire massive », soulignant que « les Allemands sont tétanisés ». Selon L'Opinion, la Commission européenne cherche à « provisionner plusieurs centaines de millions d'euros pour faire face » dans l'urgence à une possible crise dans les prochains mois. La Turquie pourrait alors se trouver aux avant-postes de cette vague migratoire. « Nous ne ferons pas de chantage avec l'UE sur cette question », assure les officiels turcs, qui estiment toutefois que leur pays « ne doit pas garder toute la misère du monde » pour le compte des Européens, rapporte L'Opinion. Lequel journal rappelle que « les Afghans sont les premiers demandeurs d'asile en France. Devant les Ivoiriens, les Guinéens et les Pakistanais ». En France, 7 Français sur 10 sont opposés à une hausse de l'âge de départ à la retraite Selon un sondage Elabe pour Les Échos, Radio Classique et l'Institut Montaigne, « seuls 20% des Français [y] sont disposés », remarque le quotidien économique, et plus de 6 Français sur 10 plaident pour « une hausse des impôts » des plus riches pour en assurer le financement, contre 38% qui y sont opposés. Interrogées sur les régimes spéciaux de retraite, 65% des personnes sondées sont favorables à « la suppression des 42 régimes existants dont les régimes spéciaux ». Politique : l'idée d'une élection primaire pour désigner le ou la candidat(e) de la droite à la prochaine présidentielle divise les Français Selon un sondage Odoxa pour Le Figaro, 53% des Français sont opposés à l'organisation d'une primaire de la droite, contre 47% qui y sont favorables. Au sein même des sympathisants de droite, 49% se disent également opposés à la primaire, contre 51% qui y sont favorables, indique Le Figaro. Globalement, sept Français sur dix craignent que la primaire soit « facteur de division ». Des candidats à la candidature à droite, il en est un, en tout cas, qui ne se lancera pas dans la course, c'est François Baroin. Et cette fois-ci, c'est définitivement « non ». L'information avait déjà fuité dans le quotidien L'Opinion, mais ce matin, le journal Le Parisien la confirme, signalant que cet ancien ministre de Jacques Chirac « a appelé mercredi plusieurs dirigeants de LR, dont Bruno Retailleau et Brice Hortefeux, pour leur officialiser définitivement qu'il ne serait pas candidat ». Comme le formule Le Parisien, « la pression était devenue trop forte pour François Baroin ». Au sein de la radio Europe 1 en crise, les candidats au départ sont plus nombreux que prévus Alors que les préoccupations liées à une supposée reprise en main de cette station par Vincent Bolloré ont atteint le plus haut sommet ce l'État. Selon le quotidien Le Monde, « 76 salariés, dont 36 journalistes radio, ont déposé un dossier pour partir » d'Europe 1 dans le cadre d'une rupture conventionnelle collective et dont la période de volontariat s'achevait mardi 13 juillet. C'est plus que prévu, et c'est ce qui conduit Le Monde à anticiper un « grand exode » à Europe 1, étant rappelé la récente grève « de protestation contre la mainmise de Vincent Bolloré, premier actionnaire de Lagardère, maison mère d'Europe 1 », énonce ce quotidien du soir. Lequel journal signale que Vincent Bolloré « a rencontré, il y a quelques semaines, Emmanuel Macron ». Selon « une des connaissances » de Vincent Bolloré citée par Le Monde, cette rencontre « ne se serait pas bien passée. (…) L'industriel aurait peu apprécié certains propos du chef de l'État, échaudé par la tonalité conservatrice de CNews et de la reprise en main des médias de Lagardère », ajoute ce journal. Foot : on prend le même et on recommence Le sélectionneur Didier Deschamps est reconduit à la tête de l'équipe de France. Ainsi en a décidé le président de la fédération française de football. Et c'est « en trois minutes » que la question de la reconduction de Didier Deschamps à la tête de l'équipe de France de foot « a été réglée », dit Noël Le Graët au Figaro. C'est la fin d'un « vrai-faux suspense », formule ce journal, en évoquant ce « mariage qui dure » entre le président de la fédération française de football et le sélectionneur des Bleus.
« Xavier Bertrand, candidat de droite à l'élection présidentielle, est décidé à tracer sa route, s'exclame Le Monde, et ce malgré l'appel "à la responsabilité" du numéro un du parti Les Républicains, Christian Jacob. Au lendemain de l'appel de plusieurs prétendants, dont Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez, à l'organisation d'une "primaire ouverte" de la droite pour désigner un candidat pour 2022, Xavier Bertrand, qui n'est plus membre de LR, a fermé hier la porte à une participation à celle-ci. (…) Ce cavalier seul fait grincer des dents à droite, souligne Le Monde. "L'homme, ou la femme providentielle, que certains espéraient ne s'est pas imposé", affirmaient avant-hier Valérie Pécresse (ex-LR), Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau, tous les trois candidats potentiels à la présidentielle. Même ton chez Michel Barnier, autre candidat potentiel pour 2022 : "je ne crois pas qu'on puisse décréter le candidat de la droite républicaine, surtout quand on s'exclut du jeu collectif. Moi, je pense très sérieusement, que, quand on veut le soutien d'une famille politique, il faut accepter de jouer le jeu collectif de cette famille", a-t-il mis en garde. » Et Le Monde de rappeler que « Xavier Bertrand était crédité de 18 % des intentions de vote au premier tour dans un sondage publié dimanche, contre 14 % à Valérie Pécresse et 13 % à Laurent Wauquiez. Mais il reste derrière Emmanuel Macron (24 %) et Marine Le Pen (26 %). » Le retour de la machine à perdre ? Le Figaro est affligé : « A neuf mois du premier tour, les conditions d'une compétition mortifère se mettent tranquillement en place. Personne, pourtant, ne pourra feindre la surprise. Cela fait des mois que Xavier Bertrand annonce, jure et répète que jamais il ne se soumettra à une quelconque procédure de sélection. Cela fait des mois que Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau préviennent, confirment et martèlent qu'il est hors de question d'accepter la stratégie du fait accompli, que ce soit pour un candidat autoproclamé (Bertrand) ou imposé (Baroin). » Et on arrive à ce « casse-tête pour la droite », déplore encore Le Figaro. « Seul, Bertrand ne pourra pas s'imposer. Et sans Bertrand, la primaire perd de son sens. » « La droite à couteaux tirés », renchérit Le Parisien en première page. « La machine à perdre se serait-elle remise en route ? Le risque d'avoir deux candidats à droite est une hypothèse sérieuse. Avec d'un côté Xavier Bertrand, parti le premier, qui se flatte d'avoir une petite avance dans les sondages. Et de l'autre, un candidat issu d'une primaire qui pourrait être organisée à l'automne. C'est un bras-de-fer incertain et dangereux. (…) Pour la droite, poursuit Le Parisien, ne pas faire l'union, c'est le risque de l'échec et la perspective de devenir un parti de notables, performant aux élections locales mais marginalisé lors des scrutins nationaux. » La mort d'Axel Kahn À la Une également, la disparition d'Axel Kahn : « Il s'est tu, soupire Libération. Le professeur Axel Kahn est mort à 76 ans des suites d'une récidive d'un cancer. Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, ce généticien très politique avait choisi de parler, d'être omniprésent. Comme un pari qu'il s'était donné. Il voulait mettre en mots, raconter, détailler, analyser au plus près tout ce qu'il vivait. (…) Il ajoutait, aussi, pour s'en justifier : "Si je parle, c'est parce que je n'ai pas le choix. Président de la Ligue nationale contre le cancer, une association extrêmement importante, à partir du moment où elle devait annoncer que son président était obligé de quitter ses fonctions, il fallait dire que ce n'était pas par fantaisie personnelle mais que j'avais été rattrapé par la patrouille". » La « lucidité » et « l'humour », soulignent Les Dernières Nouvelles d'Alsace. « Jusqu'au bout, cet homme épris des mystères du vivant a eu l'intuition qu'apprendre c'est comprendre, que comprendre c'est aider. Militant de la science, c'était un esprit éclairé, d'une fraîcheur d'expression que ni les responsabilités ni la maladie ne semblaient pouvoir altérer. » « La mort lui était une compagne familière, relève La Croix. "Il l'a regardée venir avec les yeux ouverts, raconte son amie la psychologue Marie de Hennezel. Axel nous a offert une méditation sur la finitude et montré que les jours d'avant peuvent être beaux". »
À la Une de la presse hebdomadaire et magazine, l'Afghanistan où les militaires américains bouclent leur paquetage. Après avoir annoncé leur retrait total de ce pays d'ici fin août, les forces américaines ont évacué leur base de Bagram, où elles étaient cantonnées depuis une vingtaine d'années. Les talibans quant à eux sont déjà passés à l'attaque dans le Nord, semant ainsi la panique à Kaboul. « C'est la fin d'une ère, et peut-être bien le symbole d'une impuissance occidentale », se navre Le Parisien Dimanche. Le retrait des militaires américains d'Afghanistan devait être achevé d'ici au 11 septembre 2021 « vingt ans jour pour jour après les pires attaques terroristes conduites sur le sol américain », souligne ce journal. Comme l'admet Le Journal du Dimanche, ce retrait des Américains d'Afghanistan laisse augurer « une reprise en main qui fait déjà craindre aux ONG des droits humains une théocratisation rapide des institutions ». Le JDD redoute une « reprise en main du pays, que ce soit par le biais d'un accord politique qui tarde avec le gouvernement afghan ou à la suite d'un assaut des dernières zones sous contrôle de l'armée régulière ». De fait, les talibans en effet ont lancé aussitôt une vaste offensive dans le Nord, sans même attendre le retrait complet des troupes américaines et celles de l'Otan. Un retrait « tambour battant qu'effectue l'armée américaine, ainsi que des dernières forces de l'Otan », remarque Mediapart. Pour l'armée afghane, « le coup est rude », souligne ce journal en ligne, car « si le Nord tombe sous la coupe des talibans, on peut prévoir ensuite une offensive venue du Sud : Kaboul se retrouverait alors pris dans un étau ». Inévitablement, en effet, « la panique a saisi la capitale afghane », signale Mediapart. Présidentielle 2022, la droite vers une primaire ouverte ? Une semaine après les élections locales, la droite entamera mardi 6 juillet le processus de désignation de son (ou de sa) candidat(e) à la présidentielle de l'an prochain en France. Une majorité de Français pense que la droite peut gagner. « La grande bagarre pour savoir qui portera les couleurs de la droite en 2022 commencera mardi », révèle Le Journal du Dimanche. Selon le JDD, il sera ce jour-là proposé à la direction du parti Les Républicains « une primaire ouverte à tous les sympathisants de la droite et du centre ». Selon un sondage Ifop réalisé pour cet hebdomadaire, 62% des Français considèrent désormais que la droite « peut remporter » l'élection présidentielle de 2022. 91% des sympathisants des Républicains le pensent, mais aussi 60% de ceux de La République en marche d'Emmanuel Macron, 62% de ceux du Rassemblement national et 53% des sympathisants de gauche. Parmi ses candidats possibles, Xavier Bertrand ferait « un bon candidat » de la droite pour 46% des Français, devant Valérie Pécresse (42%), François Baroin (38%), Laurent Wauquiez (35%), Michel Barnier (32%) ou encore Bruno Retailleau (18%), rapporte le JDD. Testé pour la première fois, Éric Zemmour est perçu comme un « bon candidat » de la droite par 22% des Français. Chez les Verts, un duel fratricide en perspective Du côté des écologistes, deux prétendants à la primaire pour 2022 se sont déclarés cette semaine : le maire de Grenoble Éric Piolle et le député européen Europe Écologie-Les Verts Yannick Jadot : « Moi, candidat », lance Yannick Jadot à la Une de L'Obs, hebdomadaire dans lequel le député écologiste européen expose son projet pour une « écologie ouverte et majoritaire ». Et il y croit, lui qui dans L'Obs se dit « convaincu qu'un projet écologiste, social, républicain peut gagner en France en 2022 ». Également eurodéputé, Éric Piolle dit au Journal du Dimanche être « en capacité de se coltiner l'exercice du pouvoir, pas en deuxième rideau, mais en première ligne ». Résultat, chez les écologistes, c'est déjà « la course-poursuite », lance le JDD. Le duel Piolle-Jadot ? Il devrait « rythmer les prochains mois dans la famille écologiste, prédit Challenges. De quoi faire craindre le retour de la machine à perdre au sein d'une mouvance politique régulièrement traversée par les guerres fratricides », craint fort cet hebdomadaire.
La droite ne devrait pas manquer de prétendants pour porter ses couleurs en 2022, alors que Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, Xavier Bertrand et François Baroin sont régulièrement cités comme des candidats potentiels. Mais trouver un mode de désignation qui mette tout le monde d'accord risque de s'avérer compliqué.
La droite ne devrait pas manquer de prétendants pour porter ses couleurs en 2022, alors que Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, Xavier Bertrand et François Baroin sont régulièrement cités comme des candidats potentiels. Mais trouver un mode de désignation qui mette tout le monde d'accord risque de s'avérer compliqué.
La droite ne devrait pas manquer de prétendants pour porter ses couleurs en 2022, alors que Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, Xavier Bertrand et François Baroin sont régulièrement cités comme des candidats potentiels. Mais trouver un mode de désignation qui mette tout le monde d'accord risque de s'avérer compliqué.
durée : 00:06:18 - Invité de 08h15 France Bleu Limousin - Les Républicains donnent un coup d'accélérateur à la campagne des Régionales en Nouvelle-Aquitaine. Le candidat Nicolas Florian est en Limousin ce vendredi avec des soutiens de poids, le président des LR Christian Jacob et François Baroin pour un meeting près de Limoges.
Caroline Roux reçoit Renaud Muselier, président de la région Provence Alpes-Côte-d ’Azur et candidat aux régionales, pour débattre de l’absence d’accord avec la République en Marche concernant les élections régionales, exprimé le dimanche 2 mai par le Premier ministre Jean Castex. PACA, tout ça pour ça ? « Il n’y a jamais eu d’accord avec la République en Marche » explique le président de la région PACA. En effet, le dimanche 2 mai, une hystérie collective s’est formée lorsque le Premier ministre Jean Castex s’est exprimé sur un « certain accord » avec La République en Marche et le candidat Les Républicains. « On se retrouve dans une situation où tout cela a été clarifié hier. Je le répète, il n’y a pas d’accord avec La République en Marche » défend le candidat aux régionales. Cela n’étant pas clair pour tous, il n’y aura pas de parlementaires de La République en Marche sur la liste électorale de l’homme politique français. Dans les 4 vérités, Renaud Muselier tient à clarifier la situation concernant la réunion de crise qu’il a pu avoir avec les membres LR comme Christian Jacob ou encore François Baroin. « Les enjeux sont d’additionner les compétences pour les sorties de crise, ce n’est pas de faire un tremplin à madame Le Pen. C’est intéressant parce que de l’extrême droite à l’extrême gauche, tout le monde me dit que j’ai bien travaillé » le président de la région PACA ajoute ensuite « Moi je suis LR et je suis un LR qui sait rassembler ». LR vers une clarification ? Éric Ciotti, le président de la Commission de l’investiture explique qu’il se mettra en marge de ce mouvement et ne votera pas pour Renaud Muselier pour soi-disant trouver une solution. « J’ai constaté que beaucoup de gens se sont exprimés pour dire beaucoup de méchanceté sur moi, avec un certain niveau de violence en 48h (…), Monsieur Ciotti a tout de même des comptes à rendre » défend Renaud Muselier. Pour l’actuel président de la région Sud, « jamais personne ne tire des conséquences dans la famille politique ». « Nous sommes dans une situation où les gens ne veulent pas choisir entre madame Le Pen et Monsieur X, ça, c’est une faute majeure. Aujourd’hui je suis au carrefour de toutes ces contraintes et difficultés où ils veulent tous être ministre, président de la République » explique le candidat aux élections régionales. La victoire du Rassemblement national est possible en PACA selon Renaud Muselier : « C’est une campagne électorale, une victoire de l’adversaire est toujours possible. Cependant, ce serait quelque chose de très grave, une très grosse déflagration pour notre pays que le Rassemblement national s’empare d’une région comme la région PACA ». La peur de se faire exclure de la famille politique de Renaud Muselier est présente chez l’homme politique qui se défend en leur rappelant son parcours politique différent des autres participants.
Marine le Pen, Jean-Luc Mélenchon et très probablement Emmanuel Macron. A quatorze mois de la présidentielle, le casting commence à se dessiner. Pas à droite où faute de candidat naturel, des prétendants inimaginables il y a encore quelques mois sortent du bois. « Une machine à diviser. » N'allez pas parler de primaire avec Christian Jacob. Le patron du parti Les Républicains est « viscéralement contre » et préfèrerait qu'un candidat « naturel » émerge pour empêcher le duel entre Marine le Pen et Emmanuel Macron que prédisent tous les sondages depuis plus de trois ans. Problème : qui peut mener la droite au second tour en 2022 ? Depuis la prise de distance de François Baroin, son ami, Christian Jacob, et le parti sont orphelins. « Aujourd'hui c'est le vide », admet Bruno Retailleau qui aimerait pourtant porter les couleurs de la droite dans un an et demi. Pas de candidat naturel mais de plus en plus de prétendants C'est un paradoxe. La droite se cherche une grande figure, personne ne se détache et donc les vocations se multiplient. Certains ont envie depuis longtemps : Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Bruno Retailleau... Dans chaque camp on s'organise depuis des mois mais dans les sondages, pas de réelle percée. Mieux placé, Xavier Bertrand plafonne à 16% d'intentions de vote. Très loin de Marine le Pen et Emmanuel Macron. D'autres ont senti monter leur vocation ces derniers mois, dont trois maires. Philippe Juvin, médecin devenu très médiatique avec la crise sanitaire, David Lisnard aux avant-postes sur les masques ou encore Gaël Perdriau, dont les ambitions affichées sont moquées au sein du parti. Dernier en date à faire parler de lui : Michel Barnier. Le monsieur Brexit de l'Union Européenne suscite la curiosité depuis qu'il a expliqué début janvier qu'il souhaitait « travailler pour sa famille politique ». « Il s'organise » confirme l'une de ses proches, la députée LR de Paris Brigitte Kuster. L'ancien ministre recherche des bureaux, rencontre du monde et intègrera le comité stratégique du parti dès son retour définitif à Paris. Des candidats tous sérieux ? « On a bien un Premier ministre maire de Prades alors tout est possible » charrie un cadre du parti qui - plus sérieusement - analyse les ambitions de Philippe Juvin, David Lisnard et Gaël Perdriau comme l'illustration d'un parti « en panne de leader ». Moins de sévérité à l'égard de Michel Barnier. « ll a incontestablement la stature internationale » reconnait le député Damien Abad. « C'est un homme d'État, l'homme politique qui connait le mieux l'Europe » renchérit celle qui a travaillé à ses côtés, Brigitte Kuster. Mais Michel Barnier est-il vraiment celui que la droite attendait ? Au fond, dans le parti, beaucoup auraient plutôt envie d'un Nicolas Sarkozy, « c'est lui mon candidat naturel » sourit Eric Ciotti ; d'un Edouard Philippe... « s'il y va il fait un carton » admet un membre du bureau politique LR ou pire encore... d'un Emmanuel Macron !
Cinco anos depois da assinatura do Acordo de Paris sobre o Clima, data que é lembrada nesta sexta-feira (11), os franceses adotaram mudanças de comportamento para reduzir o impacto do aquecimento global. A população está mais consciente sobre a gravidade das mudanças climáticas, mas se dá conta de que as políticas públicas para reduzir as emissões de gases do efeito estufa ainda são insuficientes. Doze associações de estudantes publicaram uma carta aberta na imprensa, hoje, pedindo a criação de conselhos de jovens em todos as prefeituras francesas para que possam participar das decisões locais de forma inclusiva. No texto, eles dizem estar "decepcionados, preocupados, mas não resignados". "Governos, leis e empresas não vão longe o suficiente para preservar o futuro das novas gerações", afirmam. "As medidas contra os poluidores são raras ou facilmente contornadas", acrescentam os jovens. Os movimentos juvenis denunciam um mercado de trabalho que alimenta as desigualdades, "que embrutece as pessoas e provoca uma ruptura dos laços sociais". Dizem estar "indignados com as discriminações, a concorrência desumana e a banalização da violência". Os 12 coletivos entregaram cópias da carta à prefeita de Paris, a socialista Anne Hidalgo, e ao presidente da Associação dos Prefeitos da França, François Baroin. A semana do aniversário do Acordo de Paris foi marcada por uma forte polêmica entre membros da Convenção Cidadã para o Clima e o presidente Emmanuel Macron. Esse painel de 150 cidadãos, leigos em mudanças climáticas, foi criado há cerca de um ano para propor medidas que ajudem a França a alcançar a meta de reduzir em 40% suas emissões de gases de efeito estufa até 2030, em relação ao patamar de 1990. Os participantes, escolhidos na base do sorteio ou por critérios socioeconômicos representativos do conjunto da sociedade, trabalharam ao lado de especialistas em clima, sociólogos, economistas e juristas para redigir as proposições. A Convenção encerrou recentemente seus trabalhos e entregou ao presidente da República 149 medidas para diminuir as emissões. Macron havia prometido aceitar as propostas "sem filtro". Mas, no meio-tempo, surgiu a pandemia do coronavírus e a economia francesa foi duramente abalada. O presidente enviou uma carta à Convenção alertando que teria de realizar alguns "ajustes". Em uma entrevista na semana passada, Macron comentou que as conclusões dos 150 cidadãos "não eram como a bíblia ou o Alcorão". A declaração foi mal recebida por alguns membros do painel, como o cineasta Cyril Dion, diretor do documentário Devenir, e por parlamentares de oposição. Dion acusou Macron de arquitetar "um golpe" contra o trabalho dos 150. 5G, velocidade nas estradas, renovação térmica de moradias O presidente de fato recuou em três ou quatro propostas. Ele decidiu, por exemplo, não aguardar os estudos de impacto ambiental para a instalação de antenas 5G. Excluiu a criação de uma taxa de carbono local, alegando que ela poderia prejudicar a captação de investimentos, devendo ser discutida no âmbito europeu. Macron também rejeitou a redução da velocidade nas estradas de 130 km para 110 km por hora, certamente com receio de novos protestos dos Coletes Amarelos. Por outro lado, o governo aceitou a proposta de proibir a construção de novos shoppings centers com mais de 10 mil metros quadrados, como pediu a Convenção. O Executivo aceitou criar 35 aglomerações urbanas de baixas emissões. Comprometeu-se a não mais adiar a reforma de 5 milhões de habitações que consomem muita energia, uma reivindicação antiga dos ambientalistas. Decidiu proibir os voos domésticos de menos de duas horas e meia de duração, se houver um trem que faça o mesmo trajeto - a Convenção havia defendido voos de até 4 horas de duração. Os participantes do painel querem a proibição da propaganda de veículos poluentes, como os modelos do tipo SUV, e prometem permanecer irredutíveis em relação a este artigo. Atualmente, o governo transcreve as conclusões da Convenção em um novo projeto de lei sobre o clima, que será finalizado em janeiro. Macron estuda até a possibilidade de submeter as decisões a um referendo popular. Na avaliação de Thierry Pech, membro do comitê de governança da Convenção Cidadã e diretor da Fundação Terra Nova, o grande desafio do governo é encontrar um consenso entre imperativos climáticos e de justiça social. Trocar um antigo carro à gasolina por um veículo híbrido ou elétrico, assim como a velha caldeira do aquecimento doméstico por um equipamento moderno de baixo consumo energético representam despesas que nem todas as famílias podem pagar. Ao final de um ano de trabalho, os membros da Convenção dizem estar satisfeitos com essa experiência de democracia participativa "avançada" devido à complexidade do assunto e do pouco conhecimento que tinham até iniciar o processo. Os 150 aprenderam tudo sobre o clima durante as reuniões semanais. Eles tiveram direito até a uma central de consultas instalada na Universidade Sorbonne, para onde podiam mandar um e-mail ou telefonar para tirar dúvidas quando achavam que estavam sendo direcionados pelos especialistas do comitê científico. A equipe de direção da Convenção Cidadã para o Clima contou com a diplomata Laurence Tubiana, que é considerada a arquiteta do Acordo de Paris, ao lado do ex-ministro das Relações Exteriores Laurent Fabius. Essa experiência francesa influenciou outras 25 cidades que adotaram projetos semelhantes no último ano. Segundo Thierry Pech, atualmente existem convenções cidadãs para o clima em cidades da Escócia, da Inglaterra, bem como na espanhola Madri. A França tem hoje nove cidades com mais de 100 mil habitantes governadas por prefeitos ecologistas – Lyon, Bordeaux, Grenoble, Estrasburgo, Marselha – e isso também sinaliza um comprometimento dos franceses com as metas climáticas. Há cinco anos, eram apenas dois municípios. No cotidiano, os franceses utilizam mais a bicicleta para se locomover ou o transporte público, consomem menos carne, privilegiam a compra de alimentos em circuito curto de produção e evitam embalagens.
Le Podcast de l'émission IQSOG - Fenêtres Ouvertes sur la Gestion (RFG)
La révolution des organisations : pour une nouvelle architecture de l'entreprise -- Interview de Daniel Baroin, CareWan by KMPG
durée : 00:03:42 - Le journal de presque 17h17 - De la visite d'Emmanuel Macron et Gérald Darmanin dans les Alpes-Maritimes à François Baroin qui ne sera pas candidat à la présidentielle de 2022, en passant par Alain Soral encore une fois condamné pour ses propos sur les juifs, voici les actus de ce 7 octobre.
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durée : 00:02:31 - Le brief politique - Le maire de Troyes réserve son annonce aux seuls élus de droite pour l'instant.
durée : 00:03:42 - Le journal de presque 17h17 - De la visite d'Emmanuel Macron et Gérald Darmanin dans les Alpes-Maritimes à François Baroin qui ne sera pas candidat à la présidentielle de 2022, en passant par Alain Soral encore une fois condamné pour ses propos sur les juifs, voici les actus de ce 7 octobre.
Bourdes, provocations, idée à la con... les adjectifs n'ont pas manqué pour qualifier les trouvailles jugées farfelues des nouveaux maires écolos de Bordeaux ou Lyon... Ont-ils bien enfilé le costume ? Passons du temps avec Les Républicains et tentons de percer le mystère de la hype autour de François Baroin, et interrogeons-nous sur leurs potentiels candidats à la présidentielle...
La droite française est plus que jamais encalminée. Souvent pressenti comme futur candidat du parti Les Républicains, François Baroin ne le sera sans doute pas, il a la tête ailleurs. Selon Mediapart, François Baroin « est entré en discussions avancées, cet été, avec la banque américaine Morgan Stanley en vue de remplacer l’actuel directeur général de sa filiale française ». François Baroin, futur banquier ? SelonLe Figaro, l’intéressé a en tout cas pris sa décision, « il ne sera pas candidat à la présidentielle ». Clarification attendue qui tombe en pleine université d’été des Républicains, réunis depuis ce vendredi près de Paris, dans une ambiance de rentrée « morose », admet Le Figaro. François Baroin ? C’est pourtant « le meilleur espoir de la droite pour 2022 », formule Le Parisien. C’était. Dans ce quotidien, Christian Jacob, président des Républicains et premier avocat d’une candidature Baroin, murmure : « Bien évidemment, j'espère toujours », tout en refusant de « croire à un forfait » de son poulain. Quand Marine regarde la droite sombrer Un forfait attendu, donc, qui ne va assurément pas attrister les militants du Rassemblement national. Justement. Cette fin de semaine, c’est la rentrée pour Marine Le Pen. C’est à Fréjus, au sud-est de la France, que la présidente du Rassemblement national a rendez-vous cette fin de semaine avec ses militants. « Je ne crains personne », dit au quotidien Le Parisien la déjà candidate à la présidentielle de 2022 Marine Le Pen, en pointant la « désaffection profonde » de l’électorat du parti de droite Les Républicains, formation qui n’a « pas de leader naturel », ajoute-elle, et « plus rien à dire ni à proposer ». Les Républicains « continueront leur implosion », prédit la présidente du Rassemblement national dans Le Parisien. Transition bienvenue au Mali Au Mali, la concertation nationale promise par la junte aura bien lieu. Le Comité national pour le salut du peuple lance aujourd’hui le débat sur la transition politique. Pour la plus grande satisfaction des Maliens. Et comme le souligne Libération, au Mali, l’armée « est toujours dans le coup », en référence, non seulement au coup d’État militaire le mois dernier, mais aussi à l’expression signifiant que les mutins du 18 août sont, non seulement toujours aux commandes du pays, mais en plus, ils continuent de bénéficier d’un « état de grâce », souligne Libé. Pour preuve, ce quotidien fait état d’un un sondage téléphonique récent, et selon lequel « 63 % des Maliens interrogés souhaitent [que les putschistes] restent au pouvoir pour diriger la transition. Le plébiscite est surtout marqué chez les jeunes, souligne Libération. La majorité des plus de 50 ans, eux, préféreraient qu’un civil revienne rapidement aux manettes. Car cette génération avait la vingtaine en 1991, lors de la chute du général Moussa Traoré ; elle a connu la brutalité de la dictature. L’un de ses tombeurs, Amadou Toumani Touré, qui fut élu président ensuite, était lui aussi un militaire », rappelle Libé. Ouattara, un ami encombrant pour Macron Peu de commentaires dans la presse, en revanche, sur la rencontre, ce vendredi à l’Élysée, entre Emmanuel Macron et Alassane Ouattara, qui brigue un troisième mandat en Côte d’Ivoire. Et pour cause, puisqu’à l’issue de cette rencontre, l’Élysée s’est bien gardé de communiquer. Discrétion pointée par le site Internet de Libération, qui souligne le « silence assourdissant » du président français et qui se demande si, dans son discours de ce vendredi matin au Panthéon, lors de la commémoration des cent cinquante ans de la République, Emmanuel Macron n’avait pas « envoyé un message subliminal à son homologue ivoirien », en insistant dans son discours sur « l’importance de la citoyenneté et des droits qui l’accompagnent ». Étant rappelé qu’en mars dernier, Alassane Ouattara avait annoncé qu’il ne se représenterait pas et qu’en août, il a décidé du contraire, Libération signale que « ce revirement semble aujourd’hui mettre Paris, qui se passerait volontiers d’une nouvelle crise électorale en Côte d’Ivoire, dans l’embarras ». Dans Libération, le politologue ivoirien Franck Hermann Ekra déclare qu’Emmanuel Macron « devra assumer le passé de la relation entre les deux pays et ne pourra s'abriter derrière une apparente neutralité ». DansLe Figaro, le Premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko déclare qu’en présentant sa candidature pour un troisième mandat, le président Ouattara avait pris une décision « difficile ». Et Le Figaro prédit une élection présidentielle « périlleuse » en Côte d’Ivoire.
Pas de grands bouleversements… Le nouveau gouvernement dirigé par Jean Castex s’inscrit dans la trajectoire du précédent, avec une orientation centre-droit, et quelques surprises qui retiennent l’attention des commentateurs ce mardi matin. « La revenante, la verte et le tonitruant », titre Libération. Un titre qui sent bon le western-spaghetti, en hommage à Ennio Morricone, dont on a appris la mort lundi. « La revenante, la verte et le tonitruant », c’est dans l’ordre, Roselyne Bachelot à la Culture, Barbara Pompili à l’Écologie et l’avocat Éric Dupond-Moretti à la Justice. Commentaire de Libé : « Emmanuel Macron, depuis son installation à l’Élysée, s’est appliqué à se bâtir une image de déplorable directeur de ses ressources humaines. Une réputation qu’il doit à son soutien prolongé à Alexandre Benalla, au départ tonitruant de Nicolas Hulot, à son refus de se séparer plus tôt de Christophe Castaner. Il n’est pas sûr que les surprenantes arrivées au gouvernement d’Éric Dupond-Moretti à la Justice et de Roselyne Bachelot à la Culture, ou le transfert de Gérald Darmanin à l’Intérieur, lui permettent d’inverser la tendance. (…) Le casting peu renouvelé de ce premier gouvernement Castex démontre une nouvelle fois la pauvreté du vivier à la disposition du chef de l’État. » Des puncheurs ? Le Parisien n’est pas d’accord : « Après les technos, les puncheurs », s’exclame le journal. « Emmanuel Macron vient de se doter d’une équipe de combattants. Exit les personnalités les plus effacées ou qui ne parvenaient pas à porter clairement le message dans les médias, comme Nicole Belloubet ou Muriel Pénicaud… Bienvenue aux spécialistes des plateaux télé, aux habitués de la joute verbale, aux professionnels de la politique spectacle. Spectaculaire, c’est bien le mot, pointe Le Parisien, pour qualifier l’entrée au gouvernement d’Éric Dupond-Moretti au poste de ministre de la Justice (le célèbre avocat pénaliste s’apprêtait à faire une chronique judiciaire sur une radio privée) ! Roselyne Bachelot aussi va abandonner les studios de télévision pour revenir à la vie politique. Des professionnels de la com’ à deux ans d’une présidentielle, cela a du sens. » Plouf ? « Deux vedettes et après ? », s’interroge Le Midi Libre. « Roselyne et le lion. Ce n’est pas du cinéma avec des vedettes, c’est tout simplement le nouveau casting du gouvernement. Et puis c’est tout. (…) On avait oublié un élément qui, en politique, a déjà fait ses preuves : pour que tout bouge, il faut que rien ne bouge. Et c’est bien là notre déception, soupire encore Le Midi Libre, à la lecture des noms figurant dans ce gouvernement. » « Le pouvoir macroniste n’attire plus, constate Sud-Ouest ; aucune personnalité du PS, d’Europe Écologie ou de LR ne veut aujourd’hui prendre le risque de quitter un parti que les municipales ont requinqué. Quant à la marque de Jean Castex, on la cherche en vain, hormis dans cette absence de grands pôles ministériels que souhaitait Macron, mais dont le Premier ministre ne voulait pas. Encore un effet blast qui fait plouf. » Un « nouveau chemin » déjà emprunté… « Politiquement, ce remaniement n’en est en fait pas un, regrettent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. C’est une opération tiroir. Très peu de sortants et donc, par conséquent, très peu d’entrants. 8 nouveaux ministres sur 31, pas de quoi crier à la révolution. Ou ne serait-ce que dessiner un nouveau chemin. » La Charente Libre est sur la même ligne : « Le "nouveau chemin" annoncé par un Emmanuel Macron prêt à se "réinventer" ressemble beaucoup à la voie précédente. Ni coup de volant, ni changement de braquet : le conducteur de la République a choisi de garder peu ou prou la même voiture gouvernementale, délestée de quelques cylindres dévoués mais grippés (Castaner, Pénicaud, Belloubet, Ndiaye) et ornée de deux nouveaux accessoires bling-bling (Bachelot et Dupond-Moretti) pour donner un coup d’accélérateur jusqu’à 2022. » À droite toute ! En tout cas, « cap à tribord ! », se réjouit pour sa part Le Figaro. « Jean Castex, ancien secrétaire général adjoint de Nicolas Sarkozy, aura pour ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, l’un des fils spirituels de l’ancien président. Bruno Le Maire, ancien candidat à la primaire de la droite, poursuit sa tâche à la tête de l’Économie. Jean-Michel Blanquer, ami intime de François Baroin, conserve le ministère de l’Éducation nationale. À la Culture, Roselyne Bachelot, ancienne ministre de François Fillon, succède à un élu de centre-droit. Subsistent çà et là quelques Marcheurs un peu perdus dans leur propre pays, d’éminents socialistes dont la rose a fané depuis longtemps, une figure écologiste qui ne brandira pas la décroissance en étendard. S’il fallait donner une couleur à cette nouvelle équipe, dont Christophe Castaner et Nicole Belloubet ont été exfiltrés, le bleu l’emporterait largement sur le rose et sur le vert. » Bref, résume Ouest-France, « si les entrées d’Éric Dupond-Moretti à la Justice et de Roselyne Bachelot à la Culture attirent l’attention, ce gouvernement dit "de combat" est, en réalité, tout en continuité. Officiellement pensé pour affronter la crise économique et sociale qui vient, il est aussi un gouvernement de combat électoral, calibré pour conduire Emmanuel Macron à la victoire en 2022. Sans changement de cap par rapport à 2017. Mais avec un coup de barre à droite. »
Sur Europe 1, "L'Équipée sauvage" est allée à la rencontre de passants pour savoir ce qu'ils pensaient d'un invité des semaines passées, François Baroin.
Tous les soirs à 18h30, Les Grandes voix débattent autour de Nathalie Lévy sur les sujets qui font l'actualité du jour.
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Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
C’est un cataclysme sanitaire, économique et social. Sera-t-il aussi politique ? Si le virus a fait évoluer la doctrine présidentielle, il pourrait bien aussi rebattre les cartes à l’intérieur des partis. Avec une grande question : quelles conséquences à droite pour 2022 ? Une certitude, la crise du coronavirus met trois présidents de région de droite au premier plan: Valérie Pecresse (Ile-de-France), Xavier Bertrand (Hauts-de-France) et Laurent Wauquiez (Auvergne-Rhône-Alpes). Tous les trois très actifs pour produire, distribuer des masques et préparer le déconfinement. « C’est leur âge d’or car ils pallient les carences de l’État », estime le député Robin Reda. « Ils marquent incontestablement des points », ajoute un cadre du parti, pour qui « ils incarnent des solutions face à un président qui devra un jour rendre des comptes ». Mais si cette crise braque les projecteurs sur certaines personnalités de droite, d'autres brillent par leur absence, dont François Baroin. Beaucoup se demandent d'ailleurs : « Mais où est-il ? » Revenu dans les instances grâce à son ami Christian Jacob, le président de l’association des maires de France aurait pourtant « une carte à jouer », estime un député influent car les maires sont en première ligne. Et pourtant, pas un mot ou presque pour celui qui devait sauver la droite. « Cela ne nous rassure pas sur son envie », tance un déçu, tandis qu’un connaisseur du parti parle d’une « licorne de la droite » : « Jolie de loin, mais jamais là. » Un connaisseur qui rappelle que François Baroin a aussi une épine dans le pied : il est de ceux qui ont plaidé pour la tenue du premier tour des municipales, deux jours avant le début du confinement. Signe que les choses bougent : le rendez-vous de Nîmes, qui devait lui servir de rampe de lancement fin août, est maintenu, mais doit « changer de forme ». Faut-il comprendre qu’à la faveur de la pandémie, les choses s’éclaircissent à droite ? Évidemment, il est trop tôt pour répondre à cette question. Parce que la crise économique est « devant nous », insistent certains et parce qu’elle pourrait profiter « aux écologistes », rappellent d’autres. Mais certains signes ne trompent pas. La référence d'Emmanuel Macron lors de sa dernière allocution à un gouvernement d’union nationale montre que la droite reste un espace politique convoité. « Son objectif, c’est que nous n’ayons pas de candidat en 2022, il ne faut surtout pas qu’on cède à ces sirènes », décrypte un jeune député. Autre illustration d’un parti en pleine réflexion : l'appétit de moins en moins dissimulé des députés pour Xavier Bertrand, qui a pourtant quitté le parti. « Il a le bon dosage entre l’action et la critique du gouvernement », estime un élu qui a particulièrement goûté le « oui à l’union sacrée contre le Covid-19 », mais non à « l’union nationale » de Xavier Bertrand. « Cela fait de lui non plus un ennemi, mais un recours pour 2022. »
"Je ne suis pas sûr que je me dirai, à la fin, quand j'aurai fini de compter mes points retraite, que j'aurai raté ma vie si je ne suis pas président de la République. » Voilà ce que répond François Baroin lorsqu'un journaliste du Parisien l'interroge pour la énième fois sur son désir de se présenter ou non à la présidentielle. Ira, ira pas ? Ce qui est certain, c'est qu'il apparaît pour beaucoup comme le dernier véritable espoir d'un parti phagocyté depuis cinq ans par En Marche et Emmanuel Macron. Cet ancien journaliste à Europe 1, ancien avocat, ancien plus jeune député de France a en effet tout pour plaire à l'électorat traditionnel de la droite : un ancrage local (à Troyes dont il est maire depuis 1995), une expérience ministérielle fournie (à l'Économie, à l'Intérieur, à l'Outre-Mer...), une fidélité irréprochable à l'égard de ses mentors et amis politiques. Revenu dans les instances stratégiques des Républicains après avoir annoncé un provisoire retrait de la vie politique, son poste de Président de l'Association des maires de France lui donne une position idéale pour concrétiser d'éventuelles ambitions présidentielles en 2022. Du moins, si les municipales confirment le retour en forme de la droite que ses partisans attendent avec impatience après trois revers électoraux d'affilée.
Depuis l’arrivée à la tête des Républicains de Christian Jacob, les choses vont un peu mieux rue de Vaugirard. Le parti attend d’ailleurs avec gourmandise les résultats des élections municipales, persuadé qu’il peut sauver les meubles en conservant Marseille, et peut-être en créant la surprise à Paris avec la dynamique Rachida Dati. Une lueur d’espoir, mais attention, à droite, les divisions ne sont jamais loin. Une guerre larvée a d’ailleurs éclaté il y a quelques semaines. En ligne de mire : la présidentielle. Des deux côtés du ring : François Baroin et Xavier Bertrand. Illustration de ce début de combat de boxe avec la campagne municipale à Paris. En quelques jours, la candidate investie par le parti les Républicains a recu le soutien des deux hommes. C'est d'autant plus symbolique que Rachida Dati est en train « de rendre possible ce qui était encore impossible il y a quelques mois » décrypte un cadre du parti qui se régale à la lecture des derniers sondages. Jeudi 27 février, c'est Xavier Bertrand -l'homme qui avait quitté le parti avec fracas à cause de l'élection de Laurent Wauquiez- qui s'affiche avec la candidate gare du Nord à Paris. « Si les gens veulent que ça change à Paris, ils ont compris une chose : c'est Dati », lance-t-il devant les caméras présentes pour immortaliser le moment. Rachida Dati et Xavier Bertrand ont appartenu au même gouvernement sous la présidence Sarkozy. Une opération de communication qui sonne comme une réponse aux propos de François Baroin qui, mardi, s'est lui aussi affiché avec l'ancienne garde des Sceaux en lançant une pique on ne peut plus claire à l'ambitieux Xavier Bertrand : « Les temps ont été difficiles pour nous. On est pas passé loin de la catastrophe. Certains esprits sont partis. C’est leur choix. On ne regarde pas dans le rétroviseur. C’est leur responsabilité. » Un match qui a en fait débuté il y a quelques semaines. C'est que selon certains élus LR, le retour de François Baroin dans les instances du parti (à la faveur de l'élection de son ami Christian Jacob) a bouleversé le calendrier du président de la région Hauts-de-France. Depuis deux ans, Xavier Bertrand déployait une stratégie claire : le terrain, le terrain, le terrain et surtout pas de parole nationale. Virage il y a quelques semaines. L'ancien ministre multiplie d'un seul coup les gestes vers son ancien parti, puis, quelques jours plus tard, vidéo de soutien aux députés LR dans leur combat contre la réforme des retraites d'Emmanuel Macron. Le tout orchestré avec un formidable plan média. Une manière de ne pas laisser trop d’espace à un François Baroin qui pourrait bien devenir le candidat de la droite en 2022. Beaucoup s'interrogeaient sur l’envie du protégé de Jacques Chirac de revenir au centre du jeu. En s’engageant dans la campagne parisienne et en annonçant la publication d’un petit livre sur la laïcité, François Baroin commencerait-il à avancer ses pions? Peut-être bien… ► À lire aussi : 2020: la droite Jacob a-t-elle de l’avenir?
Avec Mounir Mahjoubi, Jean-Pierre Raffarin, François Baroin et Najat Vallaud-Belkacem. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:04:14 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Deux ans après avoir annoncé son retrait de la vie partisane, François Baroin amorce son retour en politique en intégrant le Conseil Stratégique du parti "Les Républicains". Il se positionne comme représentant de la droite pour les années à venir avec le potentiel appui des réseaux chiraquiens.
Jean-Pierre Elkabbach a failli être Premier ministre par procuration grâce à François Baroin, l'homme qu'il a fait entrer à Europe 1.
A quatre jours du verdict final, Marine Le Pen et Emmanuel Macron vont se retrouver seuls face à face pour un débat télévisé qui pourrait tourner à la confrontation verbale. Les deux finalistes de la présidentielle veulent défendre leurs programmes et leurs styles diamétralement opposés. « Ne pas débattre, même avec son ennemie, est une erreur. Je veux aller au corps-à-corps pour démontrer que ces idées sont de fausses solutions ». C’est en position de combattant qu’Emmanuel Macron aborde le grand rendez-vous de l’entre-deux tours. Certains pourtant l’avaient imaginé se dérober, en cas d’échange tendu avec Marine Le Pen, qui risque de jouer son va-tout. Le centriste Jean-Louis Borloo estime d’ailleurs que la candidate FN « est rodée », qu’elle est un « débatteur hors-pair », mais qu’Emmanuel Macron est « un garçon construit, qui a des convictions, de l’enthousiasme, qui veut fédérer et qui a une bonne partie des solutions pour notre pays. » Gérard Collomb, macroniste de la première heure, le dit avec d’autres mots plus directs : « je crois qu’il va démonter Marine Le Pen sur la vacuité de son programme. » Au contraire, David Rachline, le directeur de campagne de la candidate FN, annonce qu’elle va « démontrer » que son adversaire est dans la « continuité absolue » de François Hollande. Argument récurrent dans le camp frontiste, tout comme la lutte contre les élites. Après les soutiens de grands patrons à Emmanuel Macron, Marine Le Pen pense qu’il bénéficie de l’aide de « l’intégralité de l’oligarchie, le CAC 40, la Rotonde qui est en train de se partager d’ores et déjà les places. Ils ont juste oublié une chose : ils n’ont pas encore gagné. » Macron « peut faire plus » Soutenir ouvertement le candidat d’En Marche ! reste d’ailleurs peu évident pour une partie des cadres du parti Les Républicains, qui réunissaient un bureau politique. Nathalie Kosciusko-Morizet fait partie de ceux qui auraient « souhaité une position plus nette », tout en disant qu’Emmanuel Macron « peut faire plus » en s'adressant plus directement aux électeurs qui ont voté François Fillon au premier tour. C’est François Baroin qui conduira la droite pour les législatives, prédisant une « surprise », prévenant que les élus qui appellent à voter Marine Le Pen au second tour de la présidentielle ou qui se rapprochent d'Emmanuel Macron en vue des législatives des 11 et 18 juin seront exclus du parti Les Républicains. Rassembler pour les législatives Chez les Insoumis, c’est encore moins net. Les mélenchonistes sont extrêmement divisés, selon les résultats de leur consultation internet. Alexis Corbière, l’un de leurs chefs de file, « s’en doutait un peu », et veut « rassembler » cette force en vue des législatives. Du côté des socialistes, Bernard Cazeneuve, en meeting à Dijon, appelle les siens à voter pour Emmanuel Macron, pas seulement en raison du « danger » que représente Marine Le Pen mais aussi avec le « désir » de voir ce qui a été « accompli se poursuivre ».
Marine Le Pen, Emmanuel Macron et François Fillon, les trois candidats les mieux placés dans les sondages, s’invectivent à distance. La présidente du FN cherche à mobiliser le monde agricole, le candidat d’En marche ! est qualifié de « Brutus » par le camp Les Républicains (LR). « Merci de nous accueillir et de faire le tour du propriétaire, je suis ravie… » : Marine Le Pen ne boude pas son plaisir, accueillie à Pordic, Côtes d’Armor, par un exploitant agricole breton, éleveur de porcs, confronté aux difficultés de sa profession. « Personne de ceux qui ont été au pouvoir n’ont pris la peine d’y apporter des réponses », explique la candidate frontiste. « Je pense qu’ils ont des oreilles bouchées », lui répond l’éleveur. Le Pen dans un hangarDans la foulée, Marine Le Pen s’est rendue dans une exploitation laitière du Morbihan, acclamée dans un hangar, entre des ballots de paille, par quelques dizaines d’agriculteurs survoltés. « J’ai besoin de votre soutien pour mener cette belle bataille au nom du peuple. Vive la Bretagne, vive la République, et vive la France ! »Macron cible le FNLe mieux placé pour affronter Marine Le Pen au second tour, c’est pour le moment Emmanuel Macron, qui décide de la prendre directement pour cible. « Je veux parler aux électeurs du Front national, parce que je les respecte et je respecte leurs colères. Je ferai tout pour les convaincre que c’est un projet d’effondrement du pays, d’appauvrissement des classes moyennes et populaires, un projet de rétrécissement. Moi j’ai une opposante principale : Madame Le Pen », annonce le candidat d’En marche !, en déplacement à Saint Denis, près de Paris. Il y a présenté un projet « d’émancipation » des quartiers populaires.Des messieurs « en perdition »Emmanuel Macron est par ailleurs dans la ligne de mire de la droite. Les Républicains lancent une nouvelle campagne sur les réseaux sociaux avec affiches et hashtags “#macrongirouette, #macronlhéritier ou #macronitude”. « Emmanuel Macron, ancien ministre de François Hollande, mauvais génie, inspirateur, Brutus en même temps ». Des attaques de François Baroin, de François Fillon, et de leurs soutiens, qui font vivement réagir le candidat d’En marche ! : « ces messieurs sont en perdition, ils sont pris dans leurs affaires, et donc ils tapent tous azimuts. Je les laisse à leurs turpitudes et à leurs vieilles politicailleries. »
Du Daft Punk à la capelle, du Kamel Toe qui dechire tes petits classiques, du Notorious Potter, de la rumeur de complot, de la zic aleatoire qu'elle est trop belle, du ministre qui rape :c'est le Walter's Weekly Show, la Semaine de Walter, n°35 !Et y en a, du potin de pingouins !