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Le projet de construction d'une 3eme ligne de tramway dans l'agglomération dijonnaise a été présenté ce vendredi matin par François Rebsamen, président de Dijon métropole. Après une période de concertation, les travaux devraient commencer en 2028 pour s'achever en 2030. Cette 3eme ligne partira du centre commercial « les portes du sud » à Chenôve. Elle remontera en direction de la place du 1er mai (le long de la ligne T2), elle desservira ensuite le quartier de la place Wilson et le quartier des facs, pour se terminer dans la zone d'activité Cap nord (Plan ci-dessous avec le tracé de cette 3eme ligne en violet).Ecoutez également ci-dessous notre interview de François Rebsamen :
« Je respecte toutes les forces politiques, sauf le Rassemblement national. », a déclaré, mardi soir, le ministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation, François Rebsamen. Malgré ces propos controversés, le RN n'a pas voté la motion de censure contre le gouvernement Barnier, ce jeudi 16 janvier. Selon Ruth Ulkrief, le RN exploite sa position de pivot pour mener une forme de chantage, et il ne faut pas leur donner une occasion. Les applications de rencontre connaissent une chute de leur popularité. Depuis 2020, Tinder a perdu 33 % de ses utilisateurs. Bumble a enregistré une baisse de 44 % en un an, et Match a vu ses chiffres chuter de 80 % en deux ans. Pour François Lenglet, cette tendance s'explique par la lassitude, l'augmentation des rencontres décevantes, le harcèlement, le ghosting, la nostalgie des rencontres réelles et le déclin de la vie amoureuse et sexuelle chez les jeunes. Alice Weidel a été désignée par son parti, l'AFD, pour mener les élections législatives du 23 février 2025 en Allemagne. Originaire de l'Allemagne de l'Ouest et vivant en Suisse avec sa compagne d'origine sri-lankaise, elle présente un profil atypique pour une dirigeante de l'extrême droite. Abnousse Shalmani la décrit surtout comme une grande opportuniste, mais qui a quand même beaucoup de chance de gagner, parce qu'elle est d'une froideur de serpent. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 15 janvier 2025 : Rebsamen "respecte toutes les forces politiques sauf le RN", avec Stéphane Manigold, restaurateur, Didier Giraud, agriculteur à Saône-et-Loire, Zohra Bitan, fonctionnaire.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos polémiques du ministre de l'aménagement du territoire et de la décentralisation François Rebsamen qui affirme : «Je respecte toutes les forces politiques sauf le RN» et qui à forcer le gouvernement à réagir pour se désolidariser et éviter une escalade qui pourrait mener à la motion de censure de ce dernier.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur la nouvelle polémique au gouvernement avec les propos du ministre François Rebsamen qui à affirmé «respecter tous les partis sauf le RN».
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos polémiques du ministre de l'aménagement du territoire et de la décentralisation François Rebsamen qui affirme : «Je respecte toutes les forces politiques sauf le RN» et qui à forcer le gouvernement à réagir pour se désolidariser et éviter une escalade qui pourrait mener à la motion de censure de ce dernier.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 15/01/2025, il est question avec Philippe Ballard, député de l'Oise et porte-parole du RN sur la baisse de la natalité en France, la déclaration de politique générale de François Bayrou qui remet la réforme des retraites en chantier. Enfin, il est également question des propos du ministre, François Rebsamen qui "respecte LFI, toutes les forces politiques sauf le RN". Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Au sommaire de l'émission :Le député RN Philippe Ballard réagit aux propos du ministre Rebsamen qui ne respecte pas le Rassemblement National.Le député Éric Wörth commente la position floue de François Bayrou sur la réforme des retraites.La consommation de cocaïne a presque doublé en France en un an, atteignant plus d'un million de consommateurs.Sophie Davant se lance dans l'aventure de Danse avec les Stars à 60 ans, un défi personnel et physique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des propos tenus par le ministre de l'aménagement du territoire et de la décentralisation, François Rebsamen qui affirme «respecter toutes les forces politiques sauf le RN».
"BFM STORY" du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur la nouvelle polémique au gouvernement avec les propos du ministre François Rebsamen qui à affirmé «respecter tous les partis sauf le RN».
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
Si d'anciennes figures de la gauche socialiste comme Manuel Valls ou François Rebsamen ont fait leur entrée dans le gouvernement Bayrou, le Nouveau Front Populaire a de nouveau été tenu à l'écart dans la composition du cabinet. Pire, les revendications de l'alliance de la gauche ont été balayées par le Premier ministre. Les partis socialiste et communiste et dans une moindre mesure les écologistes avaient pourtant tendu la main ces dernières semaines. Au parti socialiste, Olivier Faure était poussé par son aile droite afin de se rapprocher du camp macroniste. La frange la plus sociale-démocrate envisageait ouvertement d'entrer dans un gouvernement aux côtés de représentants de Renaissance ou du Modem de François Bayrou, avec qui des échanges avaient eu lieu avant même la censure du gouvernement Barnier.Olivier Faure, dont la place de premier secrétaire est menacée lors du prochain congrès qui doit se tenir d'ici l'été, a donc choisi de jouer la carte du consensus, peu répandue ces derniers temps au PS. Mais l'aventure tourne court : avec tout d'abord la nomination de François Bayrou, puis le refus assumé de celui-ci de faire des concessions aux socialistes, aussi bien en termes de fiscalité que dans l'hyper sensible dossier de la réforme des retraites.Les rangs au sein du NFP pas forcément resserrésDe leur côté, les Insoumis ont multiplié les imprécations en direction des socialistes, accusés de diviser l'alliance pour une place au gouvernement. Les mots ont été très durs, ce qui n'a pas forcément tant dérangé que ça Olivier Faure. Car le patron du PS avait besoin de montrer en interne qu'il n'était « soumis aux Insoumis », accusation récurrente de ses opposants. Il sort donc de la séquence en ayant prouvé qu'il était capable de tenir tête à Jean-Luc Mélenchon tout en ne cédant pas aux sirènes déclinantes du macronisme.L'analyse est bien évidemment différente du côté de LFI où l'on juge que ces négociations ont prouvé qu'aucun terrain d'entente ne pouvait être trouvé avec le camp présidentiel, théorie que la formation de la gauche radicale a toujours soutenue.Un NFP divisé lors des prochaines échéances électorales ?Les tensions internes au Nouveau Front Populaire devraient s'aggraver dans un premier temps sur la question des municipales. LFI a décidé de s'investir pleinement dans ces élections qu'elle négligeait jusque-là. Or la plupart des grandes municipalités de gauche sont dirigées par des alliances socialistes-communistes-écologistes. L'irruption des Insoumis pourrait faire tanguer ces unions. Et puis il y a la présidentielle où le principe de candidatures multiples à gauche est déjà quasiment acté, avec la bataille sans merci que cela implique.
C dans l'air du 24 décembre - Gouvernement Bayrou : des revenants... et une majorité ?On prend les mêmes et on recommence. Après plusieurs jours d'intenses négociations, François Bayrou a dévoilé hier soir son gouvernement : 35 ministres et beaucoup d'anciens, à l'image d'Elisabeth Borne à l'Education, de Manuel Valls aux Outre-mer, ou encore de Gérald Darmanin à la Justice. Plusieurs figures du gouvernement Barnier sont maintenues, de Retailleau à l'Intérieur à Jean-Noël Barrot aux Affaires étrangères en passant par Rachida Dati à la Culture. À droite, peu de prises. Malgré un courrier du Premier ministre aux Républicains pour leur donner des gages sur l'autorité de l'État ou le redressement des finances publiques, Laurent Wauquiez n'a pas souhaité intégrer le gouvernement et déclare que les votes LR "se décideront texte par texte". Les nouveaux visages sont finalement minoritaires : l'ancien socialiste François Rebsamen arrive comme ministre chargé de l'aménagement du territoire, tandis qu'Eric Lombard, ancien directeur général de la Caisse des dépôts, prend le portefeuille de l'Economie. Il formera avec Amélie de Montchalin, son homologue aux finances, le duo chargé de redresser l'économie française. Une chose est sûre, François Bayrou aura échoué à élargir sa majorité au Parlement et se retrouve déjà sous la pression du RN que son prédécesseur. Marine Le Pen a d'ailleurs dénoncé sur twitter un gouvernement "qui s'appuie comme le précédent sur une absence manifeste de légitimité et une majorité introuvable".Moins de trois mois après avoir cédé sa place à Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur, Gérald Darmanin pose cette fois ses cartons à la Justice. Les deux anciens LR devraient poursuivre le coup de barre à droite sur les thèmes du trafic de drogue et de l'immigration. Une manière de couper l'herbe sous le pied au Rassemblement national. Bien qu'issus du même camp, les deux hommes portent des lignes différentes. Bruno Retailleau est un proche de Philippe de Villiers et François Fillon tandis que Gérald Darmanin s'est formé auprès de Nicolas Sarkozy, avant d'incarner l'aile droite de la macronie. Ils ont néanmoins appris à travailler ensemble lors de la dernière loi immigration, Gérald Darmanin s'appuyant sur Bruno Retailleau, alors chef des Républicains au Sénat, pour faire passer son texte. Le nouveau tandem devrait s'accorder sur une ligne de "fermeté et de rapidité dans l'exécution des réformes", comme l'assure un proche de Darmanin dans Le Parisien. Mais gare aux égos de ces deux fortes têtes.Loin de l'Élysée, des élus n'ont pas attendu la nomination du nouveau gouvernement pour "redresser les finances publiques", comme le souhaite François Bayrou. Dans les Pays de la Loire, la présidente du conseil régional, Christelle Morançais, ex-LR ralliée à Horizons, a décidé de couper 82 millions d'euros de subventions à la culture, aux sports et à l'égalité homme-femme, sur le budget 2025-2028. Bien plus que les 40 millions d'euros demandés par le gouvernement Barnier. À l'issue du vote, la numéro 2 du parti d'Édouard Philippe s'est défendue de tout excès de zèle : "C'est un budget d'économies, de choix politiques forts pour l'avenir et de recentrage sur nos compétences prioritaires". Planning familial, maisons de santé, clubs de sports, festivals… toutes ces structures ont accueilli le vote du budget avec effroi, le spectacle vivant pesant à lui seul plus de 150 000 emplois dans la région. Plus de 2 400 membres du réseau associatif et culturel local ont manifesté la semaine dernière pour dénoncer ces coupes budgétaires.Le nouveau gouvernement va-t-il pouvoir faire davantage que celui de Michel Barnier ? À quoi va ressembler la politique régalienne avec le duo Darmanin-Retailleau ? Et comment les efforts budgétaires réclamés par l'exécutif infusent déjà dans certaines régions ?Les experts : - Marc LAZAR - Historien et sociologue, professeur à Sciences po et à l'université Luiss (Rome)- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Échos- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique – Le PointPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 23 décembre - Bayrou : déjà affaibli ?Promesse tenue. Le nouveau Premier ministre François Bayrou annoncera ce soir, à 18h30, son gouvernement. Hier, l'entourage du premier ministre communiquait sur les "derniers réglages" en cours. En coulisses, les points de blocage se sont multipliés. Choisi par Emmanuel Macron pour élargir sa majorité, sans LFI ni le RN, François Bayrou peine à convaincre la droite et la gauche. Chez les Républicains, Laurent Wauquiez, a annoncé devant ses troupes qu'il avait refusé Bercy, par crainte de devoir y augmenter la fiscalité. Les socialistes, se sont d'abord dit ouvert à une collaboration avec François Bayrou, avant de constater de trop grands désaccords. Seul François Rebsamen, ex-socialiste et soutien d'Emmanuel Macron, dès 2017, se déclare "prêt" à rejoindre le gouvernement. Pendant ce temps, le RN continue de maintenir la pression. Marine Le Pen et Jordan Bardella voient d'un très mauvais œil la nomination du président de la région des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qui a battu deux fois l'extrême droite sur ses terres aux élections régionales. Plusieurs ministres pourraient ainsi garder leurs postes, à l'image de Sébastien Lecornu aux Armées, ou Bruno Retailleau à l'Intérieur. Du côté des Affaires étrangères, l'actuel locataire Jean-Noël Barrot espère rempiler, mais le poste est aussi convoité par Gérald Darmanin. Côté entrant, on parle d'un potentiel retour d'Élisabeth Borne, à l'éducation cette fois. Réponses ce soir.Au même moment, Emmanuel Macron multiplie les déplacements. Ces derniers jours, le président s'est envolé pour Bruxelles, Mayotte, Djibouti et l'Éthiopie avant de revenir dimanche matin à Paris. Dans une série d'articles publiée dans Le Monde, trois journalistes, dont la Grand reporter Ariane chemin, ont enquêté sur l'ambiance de fin de règne autour du chef de l'État. Président le plus impopulaire de la Ve République depuis Jacques Chirac, Emmanuel Macron serait plus isolé que jamais depuis la dissolution de l'Assemblée nationale. "Il n'écoute plus personne", aurait confié son épouse Brigitte Macron à plusieurs interlocuteurs. Présenté comme socialiste lors de ses débuts en politique, puis centriste avec la création de son mouvement "En marche", le président se rapproche de plus en plus de la droite, en témoignent l'influence de Nicolas Sarkozy et la nomination de Michel Barnier en septembre dernier. L'enquête du monde rapporte également des propos très polémiques, voire racistes, tenus par le président en privé, bien que l'Élysée conteste. La journaliste Ariane Chemin nous racontera l'ambiance qui règne autour de l'Élysée ces derniers mois.En Normandie, la fermeture en janvier de l'entreprise Europhane symbolise cette ambiance de renoncement. Emmanuel Macron avait promis de réindustrialiser la France, mais l'entreprise qui fabrique depuis plus d'un demi-siècle des éclairages publics aux Andelys, dans l'Eure, n'a pas pu être sauvée. Certains de ses salariés craignent de ne pas réussir à retrouver du travail en raison de leur âge avancé. C'est un nouveau plan social, après ceux annoncés chez Michelin et ArcelorMittal, deux poids lourds de l'industrie française. Preuve de ce mauvais climat économique, le Conseil national des administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires dénombrait, en octobre, 52 214 procédures collectives ouvertes d'entreprises en difficulté depuis le début de l'année, en nette accélération depuis 2023. De la distribution à l'automobile, en passant par la technologie, tous les secteurs sont touchés par les défaillances d'entreprise. La réélection en novembre dernier de Donald Trump, qui promet la guerre commerciale à de nombreux pays, ne présage rien de bon.À quoi va ressembler le gouvernement de François Bayrou ? Comment Emmanuel Macron s'est-il isolé depuis sa réélection ? Et doit-on craindre une avalanche de plans sociaux en France ?Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"- Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France info TVPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Il n'est plus maire de Dijon depuis le 25 novembre mais François Rebsamen reste quand même encore président de Dijon métropole et donc toujours aux commandes d'importantes décisions pour le territoire. Il était de passage ce mercredi chez K6 pour une longue interview. L'occasion d'évoquer avec lui de nombreux sujets comme l'affluence (assez faible) à la cité de la gastronomie, le réseau de transport dijonnais, le sport, sa nouvelle vie depuis le 25 novembre ou encore son regard sur la situation politique actuelle avec la motion de censure votée récemment à l'encontre du gouvernement.Nous lui avons aussi soumis des questions de Dijonnaises et de Dijonnais qui l'ont interpelé sur d'autres sujets. Ecoutez ci-dessous le podcast de cette interview :
Un “Muslim d'apparence” ! Cette expression qui a fait couler beaucoup d'encre dans la sphère médiatico-politique, il faut le dire, surtout à droite de l'échiquier, a été utilisée dans un tweet écrit par le chercheur Pascal Boniface le 20 octobre, en parlant de Karim Bouamrane, le maire de Saint-Ouen. Pascal Boniface répondait ainsi à une vidéo de l'élu socialiste, invité dans l'émission de France 2 "Quelle époque" et dans laquelle il ne voulait pas parler du conflit au moyen-Orient et de Gaza en particulier, affirmant que ce sujet a importé en France à des fins électoralistes ». Le post du chercheur a vu se succéder : réactions d'indignation, appels à la censure, interdictions de conférences, etc. Dernière salve d'attaques : Le maire de Dijon François Rebsamen a annoncé l'annulation des Internationales de Dijon, un événement organisé chaque année par la ville, en partenariat avec l'IRIS. Nantes Métropole de son côté a annoncé que Pascal Boniface ne sera pas associé aux prochaines éditions des Géopolitiques de Nantes. Le directeur de l'IRIS, n'a pas été épargné par cette déferlante d'attaques, jusqu'à un signalement de la LICRA au procureur de la République. Alors faut-il vraiment voir derrière ce propos un dérapage ou est-il grossièrement instrumentalisé par la droite et les censeurs de la critique de l'Etat d'Israël ? Pascal Boniface est notre invité pour tenter de répondre à cette question.
Welcome back, Alpha Squad, to another transformative episode of The Alpha Talks Show—the #1 fastest-growing podcast in the region! Today, Seif El Hakim - The Alpha, is joined by Yannick Rebsamen, a Mindset Expert and E-Commerce Business Founder whose story of resilience and triumph over adversity is nothing short of inspiring.In this episode, Yannick takes us through his incredible journey, starting as an aspiring professional footballer until a life-altering train accident at the age of 23 dramatically changed his path. Losing both his legs could have been a devastating end to his dreams, but Yannick turned this tragedy into an opportunity to rebuild his life. He founded a multi-million dollar e-commerce business just weeks after the accident, proving that with the right mindset, anything is possible.Join us as Yannick shares his powerful insights on overcoming adversity, building a thriving business from a hospital bed, and cultivating an unbreakable mind. This episode is packed with actionable wisdom for anyone facing challenges, entrepreneurs looking to scale, and individuals seeking motivation to pursue their dreams despite the odds.Tune in now to discover how Yannick Rebsamen's mindset helped him redefine success and become the Alpha in his life!
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Imagine being on the brink of signing a professional sports contract, when one night changes everything. This is the story of Yannick Rebsamen – an aspiring professional footballer whose dream career was tragically cut short when he lost both of his legs at age 23 in a terrible accident. But he didn't let that stop him. Grateful for his life, he launched an e-commerce business just one week after the accident. Today, Yannick runs a multi-million-dollar company, driven by his resilient mindset. Tune in to hear Yannick's near-death experience, insights on entrepreneurial success, approach towards life and why he believes becoming a millionaire isn't everyone's cup of tea. 0:07:47 – Yannick's childhood in Switzerland 0:11:27 – Dreams of becoming a professional footballer 0:20:45 – The tragic accident that changed his life forever 0:29:09 – Struggles after the accident 0:32:19 – Yannick's discovery after a near-death experience 0:34:58 – Launching his first e-commerce business 0:39:34 – Depression as a state of mind 0:45:05 – Can anyone become a millionaire? 0:54:10 – Measuring personal progress 0:59:00 – Three things you need to succeed Show Sponsors: IOPn: Shaping the future of the internet with revolutionary blockchain technology rooted in decentralised community ownershiphttps://iopn.io/ Socials: Spencer Lodgehttps://www.instagram.com/spencer.lodge/?hl=en https://www.tiktok.com/@spencer.lodge https://www.linkedin.com/in/spencerlodge/ https://www.youtube.com/c/SpencerLodgeTV https://www.facebook.com/spencerlodgeofficial/ Yannick Rebsamenhttps://x.com/bmic_yannick https://www.instagram.com/kfyannick_r/ https://www.linkedin.com/in/yannick-rebsamen
Este domingo se llevó a cabo el segundo debate entre las candidatas y candidato a la Presidencia de la República. En este marco, los aspirantes presentaron sus propuestas en materia de crecimiento económico, empleo e inflación, infraestructura y desarrollo, pobreza y desigualdad, cambio climático y desarrollo sustentable. Sin embargo no dejaron pasar la oportunidad para hacerse señalamientos sobre la línea 12, el colegio Rebsamen, los contratos de las empresas de la candidata del PRI.PAN.PRD.. entre los planteamientos, Xochitl Galvez propuso que quienes ganen menos de 15 mil pesos no pagarán impuestos, mientras que Alvarez Maynez propuso aumentar el salario mínimo a 10 mil pesos, en tanto que Claudia Sheimbaum sostuvo que la pobreza en el país ha disminuido por los mejores salarios que se ofrecieron en esta administración.See omnystudio.com/listener for privacy information.
18 ans après avoir remporté une première fois ce trophée, la JDA a décroché une nouvelle fois la coupe de France de basket ce week-end après s'être imposé (83-70) en finale ce samedi à l'Accor Arena de Paris Bercy face à Strasbourg. Une victoire qui arrive à point nommé après une saison en dents de scie et un exercice 2023/2024 compliqué qui aura vu le départ de l'entraineur Nenad Markovic et le retour de Laurent Legname.Après la victoire de samedi à Paris, les joueurs et le staff de la JDA sont revenus à Dijon dans la soirée pour fêter leur titre. Le trophée a ensuite été présenté ce dimanche soir à l'hôtel de ville de Dijon devant leurs supporters. Nous étions à cette soirée ce dimanche à la salle des Etats du palais des Ducs et avons pu échanger avec François Rebsamen, maire de Dijon, et Laurent Legname, entraineur de la JDA. Ecoutez ci-dessous le podcast de notre interview :
Kathrin Rebsamen, a seasoned communication professional with 20+ years of experience, champions the art of embodied communication. Rooted in the belief that feelings need a language, she guides individuals to reconnect with their bodies for authentic communication. Having worked globally in Paris, Berlin, Geneva, London, and Zurich, Kathrin excelled in communication roles for renowned brands like Calvin Klein, Peugeot, and Swiss Films. Transitioning to coaching, she integrates practices like Circling and Surrendered Leadership, emphasizing embodiment work in communication. As a Systemic Business Coach, Kathrin encourages clients to explore authentic connections and purposeful communication, bridging the corporate world with embodied presence. https://kathrinrebsamen.ch/ BOOKS:
François Rebsamen, maire de Dijon et président de Dijon métropole, s'est exprimé à notre micro sur les événements qui ont marqué sa ville en 2023 ainsi que, bien sûr, sur les projets à venir ! Municipales 2026, Foire gastronomique, trafic de drogue, plan de circulation du réseau de transport Divia, croissance de la démographie, ligne TGV Dijon – Lille, inauguration du siège de l'OIV, Tour de France et même pétanque, l'élu n'a éludé aucun sujet. Un entretien complet, en toute transparence, à retrouver ci-dessous.
Depuis l'arrivée d'Emanuel Macron et avec en plus la montée du Rassemblement National, le parti les Républicains est en perte de vitesse au niveau national. En Côte d'Or, les élus LR disposent encore d'un fort ancrage territorial avec la présence de maires de droite dans de nombreuses communes. Reste encore la ville de Dijon, dirigée par une majorité de gauche depuis la première élection de François Rebsamen en 2001. Mais pour le parti LR, le temps de l'alternance est arrivé et l'état-major côte d'Oriens prépare déjà les élections municipales de 2026, comme les Européennes de 2024. Ce lundi soir, la direction locale du parti recevait la presse pour faire le point. Ecoutez ci-dessous notre interview de François-Xavier Dugourd, le président du parti LR en Côte d'Or :
Depuis la loi Rebsamen datant de 2015, le burn-out est reconnu comme une maladie professionnelle en France. Selon une enquête de l'Observatoire de la responsabilité sociétale des entreprises, dit l'ORSE, 34% des salariés français auraient fait un burn-out en 2022. Vu les chiffres, il est donc important de l'anticiper, car certaines techniques existent. L'acteur australien Hugh Jackman par exemple a expliqué la manière dont il évite le surmenage. Dans le podcast The Tim Feriss Show, ce dernier défend la méthode des 85%, devenue virale sur les réseaux sociaux. Selon lui, se donner à 85% de ses capacités au travail permet d'améliorer ses performances, tout en préservant sa santé mentale. D'où vient la règle des 85% ? Et comment la mettre en place ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. A écouter aussi : Pourquoi la Turquie peine-t-elle à entrer dans l'Union européenne ? Qu'est-ce que le syndrome du visage vide ? D'où vient l'événement Octobre Rose ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Un conseil municipal avait lieu ce lundi 25 septembre à la mairie de Dijon. Parmi les points à l'ordre du jour, il y avait notamment la présentation du projet de construction d'un nouveau parc urbain qui sera situé au niveau du port du canal et de la cité de la gastronomie de Dijon. A l'issu du point presse précédant le conseil municipal, François Rebsamen nous a détaillé les contours de ce projet qui devrait aboutir fin 2025 ou début 2026. François Rebsamen qui nous a aussi donné sa réaction après l'annonce de l'arrêt du VYV festival. Avec le maire de Dijon, nous avons aussi échangé sur les embouteillages qui perdurent encore aux heures de pointe sur la LINO, même après les récents travaux qui ont eu lieu dans le secteur. Ecoutez ci-dessous le podcast de notre interview :
La pose de la première pierre du projet « Dauphine Dijon » a eu lieu ce vendredi 23 juin à la rue Dauphine. La cérémonie s'est tenue en présence de François REBSAMEN, maire de Dijon et président de Dijon métropole, Philippe JUNG, directeur général DEMATHIEU BARD IMMOBILIER, Jérôme BALLET, président du directoire CEBFC (Caisse d'Epargne Bourgogne Franche Comté), Briac LE LOUS, président Consumer Healthcare Groupe URGO, Marc FORTUNATO, gérant Fortuna Holding et Philippe de LAMARZELLE, directeur général DEMATHIEU BARD BÂTIMENT SUD-EST. L'ancien bâtiment construit depuis 1970 laissera donc la place à un nouveau. La première phase des travaux était celle de la déconstruction. Elle a permis de recycler de nombreux matériaux et conserver le squelette du bâtiment initial. À présent va débuter la phase principale de construction. Des innovations sont à venir, notamment un rooftop qui permettra d'avoir une vue panoramique sur le centre-ville dijonnais. Ecoutez les détails du projet donnés par Raphaël Emin, Directeur régional chez DEMATHIEU BARD IMMOBILIER.
François Rebsamen a animé une conférence de presse en prélude du Conseil municipal du 19 juin. Avant tout, une minute de silence a été observée en hommage à Lionel Bard, ancien conseiller municipal et conseiller départemental du canton de Dijon 2. Au cours des échanges, le maire de Dijon est revenu sur les rapports attestant d'une situation financière solide avec un dynamisme au niveau des projets. Il était aussi question de la reprise des parcelles du secteur du Jardin dit des Maraîchers par la ville de Dijon. À ce niveau, François Rebsamen s'est prononcé sur les membres du collectif des Lentillères. Il précise que " s'ils veulent discuter, il faudrait qu'ils le fassent de manière légale ". Le maire de Dijon est également revenu sur les nombreux projets de la ville pour 2024. Il y aura le Congrès de l'organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) et les championnats du monde de pétanque entre autres. Ecoutez François Rebsamen dans cette interview avec d'autres journalistes à la suite de cette conférence de presse.
À 46 ans, elle s'apprête, le 21 juin, à prendre la tête du premier syndicat de France. En tant que secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon succèdera à Laurent Berger qui passe la main après plus de dix ans en première ligne. Le choix de la continuité. Son arrivée à la tête de la CFDT n'est pas une surprise : elle était la numéro deux de Laurent Berger depuis le congrès de Rennes en 2018. À l'époque, elle est élue par les adhérents avec 97,97% des suffrages. C'est à peine moins que les 99% qu'elle avait obtenu quatre ans plus tôt lorsque, à 37 ans, elle était devenue secrétaire nationale en charge des questions industrielles. Elle est alors la mieux élue des dix membres de l'instance dirigeante de la CFDT.Marylise Léon connaît bien l'industrie. Elle est titulaire d'un DESS « Qualité chimique et biologique des atmosphères », l'équivalent d'un master. Après ses études, elle rejoint un cabinet de conseil où elle travaille sur les questions de sécurité environnementale en entreprise. Une période au tout début des années 2000, marquée par l'explosion accidentelle de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001. L'événement met au cœur des débats la question de la sécurité, notamment environnementale, des sites industriels. Deux ans plus tard, consciente de ses lacunes, la fédération chimie-énergie de la CFDT lui demande de former les militants sur ces questions.Sensibilisée très tôt aux questions d'environnementUn parcours qui la sensibilise aux questions d'environnement et de transition climatique quand celles-ci n'étaient pas encore à la mode. « Si on veut changer l'économie, la mettre au service de l'écologie et de la lutte contre les injustices sociales, ça ne peut pas être "fromage ou dessert", expliquait-elle en 2020. Ce qui veut dire qu'on va être confronté à des dilemmes : lorsque vous avez des secteurs entiers carbonés qui doivent aller vers une transition écologique, il va y avoir des enjeux en termes d'emploi et de travail. » La solution, veut-elle croire, c'est « la qualité du dialogue social » pour « associer les gens aux décisions qui les concernent ». Sa philosophie. En 2015, en amont de la COP21, la conférence de l'ONU sur le climat qui se déroule à Paris, elle publie même un article académique détaillant une « approche syndicale du Développement durable ».Marylise Léon prendra la tête du premier syndicat de France le jour du solstice d'été. Comme le symbole d'une page qui se tourne après un hiver et un printemps social bouillants. Une période que Laurent Berger a résumée d'une formule quasi oxymorique : « Une défaite productive. » D'un côté, les syndicats sortent vaincus : la réforme des retraites est passée, sans vote à l'Assemblée nationale, dans la douleur, mais elle a été adoptée et à partir de septembre, elle va s'appliquer. De l'autre, cela fait longtemps que les syndicats n'avaient pas été aussi populaires, ils engrangent à nouveau des adhésions et surtout, ils ont réussi à bâtir une intersyndicale solide. Et c'est en partie grâce au travail de Marylise Léon. Construire l'intersyndicale sans coup fourré« Marylise a été en responsabilité pour conduire l'intersyndicale contre la réforme des retraites pour la CFDT et moi, j'avais ce rôle pour la CGT », explique Catherine Perret, secrétaire confédérale de la CGT. Toutes les deux se connaissent donc très bien. « Nous avons des relations de confiance, très amicales. Elle avait la détermination de construire l'intersyndicale de manière franche et sans coup fourré. » Même son de cloche chez Benoît Teste, secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) : « On connaît très bien Marylise, elle a fait la preuve d'une grande ouverture d'esprit. C'est quelqu'un qui est prêt à discuter autant que Laurent Berger. Je ne doute pas qu'on aura avec elle la même capacité à travailler sur ce qui nous unit. »L'échec de la mobilisation à faire reculer le gouvernement va-t-il créer des brèches dans l'intersyndicale ? On a pu entendre, notamment dans les manifestations ou au sein des fédérations, certains et certaines regretter que l'intersyndicale n'ait pas fait le choix de durcir le mouvement. Début mars, quand les responsables syndicaux appellent à « mettre la France à l'arrêt », Marylise Léon temporisait aussitôt : « L'idée n'est pas de bloquer la France mais de bloquer cette réforme. » Les mauvaises langues en ont déduit que c'est la CFDT qui freinait des quatre fers.Critique balayée par Catherine Perret : « Il n'y avait pas de divergence majeure sur la stratégie des luttes, assure-t-elle aujourd'hui. Le 7 mars, l'ensemble des 13 organisations, toute l'intersyndicale a appelé à la grève. De mémoire de syndicaliste, ce n'était jamais arrivé. Mais force est de constater qu'on n'a pas réussi à mettre le pays à l'arrêt. » Dans ces conditions, impossible selon elle de « passer un cap supplémentaire ». L'arrivée de Marylise Léon à la tête de la CFDT, tous ceux à qui nous avons parlé en sont convaincus, est au contraire le gage de la continuité, y compris dans le dialogue intersyndical.Une succession préparée de longue dateLaurent Berger la prépare à sa succession depuis longtemps. C'est en tout cas l'impression qu'a eu François Rebsamen. En 2014, il était le ministre du Travail de François Hollande. À ce titre, l'ex-socialiste a souvent rencontré les syndicats, notamment pour les négociations sur la rénovation du dialogue social entre le Medef et les représentants des salariés. Il se souvient que Marylise Léon accompagnait presque toujours Laurent Berger, et il a eu l'impression d'assister à un début de transmission. « C'est une femme précise dans ses propositions, sincère et qui cherche toujours des solutions », se souvient l'actuel maire de Dijon.« Malheureusement à l'époque, je ne veux pas dire du mal, mais on avait un responsable du patronat, Pierre Gattaz, qui était particulièrement difficile à bouger. Mais avec opiniâtreté elle est tout de même parvenue à obtenir des avancées. Au prix de compromis, mais c'est ça le sens de la négociation et c'est bien l'esprit de la CFDT. » Laurent Berger, lui-même est « serein » au moment de passer la main. Il l'a dit à RFI lors de la dernière grande manifestation contre la réforme des retraites, le 6 juin 2023. « C'est une grande militante, une responsable aguerrie, elle a de l'expérience : elle est prête, assure-t-il. C'est la vie d'une organisation démocratique normale de passer la main de façon apaisée. Moi je suis très fier que la CFDT soit capable de le faire et d'avoir demain une secrétaire générale. »Plus de 20 ans après Nicole Notat, une femme à la tête de la CFDTPour la CFDT, ça n'est pas une première : de 1992 à 2002, Nicole Notat avait dirigé le syndicat, accompagnant aussi son virage « réformiste ». « Nous étions un peu précurseurs, rappelle Evelyne Rescanières, secrétaire générale de la Fédération CFDT Santé Sociaux. Aujourd'hui, nous avons un peu plus de femmes que d'hommes adhérents, donc c'est un juste retour des choses. » Elle n'est pas non plus inquiète de voir Laurent Berger passer la main. « Marylise est dans le paysage depuis longtemps, elle est bien identifiée des adhérents, elle a un bon contact avec les militants et les structures. On se doutait que ça allait se passer comme ça et c'est plutôt rassurant de pouvoir organiser une transition sereine dans un contexte social compliqué. »Son arrivée, après celle - plus agitée - de Sophie Binet à la tête de la CGT, va aussi contribuer à dépoussiérer un peu une intersyndicale encore trop masculine. « Je n'étais pas très fier d'être sur des photos où il y avait beaucoup d'hommes et peu de femmes, reconnaît au micro de RFI Benoît Teste de la FSU. C'est une très bonne chose que l'intersyndicale se féminise et qu'on puisse donner une image un peu plus normale de ce qu'est la société et le syndicalisme. »« Les syndicats sont sortis de leurs grottes préhistoriques », s'amusait elle-même Marylise Léon. Et si « le combat syndical n'est pas un sprint mais une course de fond », pour reprendre une formule de Laurent Berger, il n'y a pas de quoi l'effrayer : la course à pied, elle connaît. Sur internet, on trouve encore la trace de ses performances passées. En 2018, par exemple, elle a couru le semi-marathon de Paris en 2 heures, 5 minutes et 24 secondes. Dans quelques jours, commence pour elle une course de plus longue haleine encore.
À 46 ans, elle s'apprête, le 21 juin, à prendre la tête du premier syndicat de France. En tant que secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon succèdera à Laurent Berger qui passe la main après plus de dix ans en première ligne. Le choix de la continuité. Son arrivée à la tête de la CFDT n'est pas une surprise : elle était la numéro deux de Laurent Berger depuis le congrès de Rennes en 2018. À l'époque, elle est élue par les adhérents avec 97,97% des suffrages. C'est à peine moins que les 99% qu'elle avait obtenu quatre ans plus tôt lorsque, à 37 ans, elle était devenue secrétaire nationale en charge des questions industrielles. Elle est alors la mieux élue des dix membres de l'instance dirigeante de la CFDT.Marylise Léon connaît bien l'industrie. Elle est titulaire d'un DESS « Qualité chimique et biologique des atmosphères », l'équivalent d'un master. Après ses études, elle rejoint un cabinet de conseil où elle travaille sur les questions de sécurité environnementale en entreprise. Une période au tout début des années 2000, marquée par l'explosion accidentelle de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001. L'événement met au cœur des débats la question de la sécurité, notamment environnementale, des sites industriels. Deux ans plus tard, consciente de ses lacunes, la fédération chimie-énergie de la CFDT lui demande de former les militants sur ces questions.Sensibilisée très tôt aux questions d'environnementUn parcours qui la sensibilise aux questions d'environnement et de transition climatique quand celles-ci n'étaient pas encore à la mode. « Si on veut changer l'économie, la mettre au service de l'écologie et de la lutte contre les injustices sociales, ça ne peut pas être "fromage ou dessert", expliquait-elle en 2020. Ce qui veut dire qu'on va être confronté à des dilemmes : lorsque vous avez des secteurs entiers carbonés qui doivent aller vers une transition écologique, il va y avoir des enjeux en termes d'emploi et de travail. » La solution, veut-elle croire, c'est « la qualité du dialogue social » pour « associer les gens aux décisions qui les concernent ». Sa philosophie. En 2015, en amont de la COP21, la conférence de l'ONU sur le climat qui se déroule à Paris, elle publie même un article académique détaillant une « approche syndicale du Développement durable ».Marylise Léon prendra la tête du premier syndicat de France le jour du solstice d'été. Comme le symbole d'une page qui se tourne après un hiver et un printemps social bouillants. Une période que Laurent Berger a résumée d'une formule quasi oxymorique : « Une défaite productive. » D'un côté, les syndicats sortent vaincus : la réforme des retraites est passée, sans vote à l'Assemblée nationale, dans la douleur, mais elle a été adoptée et à partir de septembre, elle va s'appliquer. De l'autre, cela fait longtemps que les syndicats n'avaient pas été aussi populaires, ils engrangent à nouveau des adhésions et surtout, ils ont réussi à bâtir une intersyndicale solide. Et c'est en partie grâce au travail de Marylise Léon. Construire l'intersyndicale sans coup fourré« Marylise a été en responsabilité pour conduire l'intersyndicale contre la réforme des retraites pour la CFDT et moi, j'avais ce rôle pour la CGT », explique Catherine Perret, secrétaire confédérale de la CGT. Toutes les deux se connaissent donc très bien. « Nous avons des relations de confiance, très amicales. Elle avait la détermination de construire l'intersyndicale de manière franche et sans coup fourré. » Même son de cloche chez Benoît Teste, secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) : « On connaît très bien Marylise, elle a fait la preuve d'une grande ouverture d'esprit. C'est quelqu'un qui est prêt à discuter autant que Laurent Berger. Je ne doute pas qu'on aura avec elle la même capacité à travailler sur ce qui nous unit. »L'échec de la mobilisation à faire reculer le gouvernement va-t-il créer des brèches dans l'intersyndicale ? On a pu entendre, notamment dans les manifestations ou au sein des fédérations, certains et certaines regretter que l'intersyndicale n'ait pas fait le choix de durcir le mouvement. Début mars, quand les responsables syndicaux appellent à « mettre la France à l'arrêt », Marylise Léon temporisait aussitôt : « L'idée n'est pas de bloquer la France mais de bloquer cette réforme. » Les mauvaises langues en ont déduit que c'est la CFDT qui freinait des quatre fers.Critique balayée par Catherine Perret : « Il n'y avait pas de divergence majeure sur la stratégie des luttes, assure-t-elle aujourd'hui. Le 7 mars, l'ensemble des 13 organisations, toute l'intersyndicale a appelé à la grève. De mémoire de syndicaliste, ce n'était jamais arrivé. Mais force est de constater qu'on n'a pas réussi à mettre le pays à l'arrêt. » Dans ces conditions, impossible selon elle de « passer un cap supplémentaire ». L'arrivée de Marylise Léon à la tête de la CFDT, tous ceux à qui nous avons parlé en sont convaincus, est au contraire le gage de la continuité, y compris dans le dialogue intersyndical.Une succession préparée de longue dateLaurent Berger la prépare à sa succession depuis longtemps. C'est en tout cas l'impression qu'a eu François Rebsamen. En 2014, il était le ministre du Travail de François Hollande. À ce titre, l'ex-socialiste a souvent rencontré les syndicats, notamment pour les négociations sur la rénovation du dialogue social entre le Medef et les représentants des salariés. Il se souvient que Marylise Léon accompagnait presque toujours Laurent Berger, et il a eu l'impression d'assister à un début de transmission. « C'est une femme précise dans ses propositions, sincère et qui cherche toujours des solutions », se souvient l'actuel maire de Dijon.« Malheureusement à l'époque, je ne veux pas dire du mal, mais on avait un responsable du patronat, Pierre Gattaz, qui était particulièrement difficile à bouger. Mais avec opiniâtreté elle est tout de même parvenue à obtenir des avancées. Au prix de compromis, mais c'est ça le sens de la négociation et c'est bien l'esprit de la CFDT. » Laurent Berger, lui-même est « serein » au moment de passer la main. Il l'a dit à RFI lors de la dernière grande manifestation contre la réforme des retraites, le 6 juin 2023. « C'est une grande militante, une responsable aguerrie, elle a de l'expérience : elle est prête, assure-t-il. C'est la vie d'une organisation démocratique normale de passer la main de façon apaisée. Moi je suis très fier que la CFDT soit capable de le faire et d'avoir demain une secrétaire générale. »Plus de 20 ans après Nicole Notat, une femme à la tête de la CFDTPour la CFDT, ça n'est pas une première : de 1992 à 2002, Nicole Notat avait dirigé le syndicat, accompagnant aussi son virage « réformiste ». « Nous étions un peu précurseurs, rappelle Evelyne Rescanières, secrétaire générale de la Fédération CFDT Santé Sociaux. Aujourd'hui, nous avons un peu plus de femmes que d'hommes adhérents, donc c'est un juste retour des choses. » Elle n'est pas non plus inquiète de voir Laurent Berger passer la main. « Marylise est dans le paysage depuis longtemps, elle est bien identifiée des adhérents, elle a un bon contact avec les militants et les structures. On se doutait que ça allait se passer comme ça et c'est plutôt rassurant de pouvoir organiser une transition sereine dans un contexte social compliqué. »Son arrivée, après celle - plus agitée - de Sophie Binet à la tête de la CGT, va aussi contribuer à dépoussiérer un peu une intersyndicale encore trop masculine. « Je n'étais pas très fier d'être sur des photos où il y avait beaucoup d'hommes et peu de femmes, reconnaît au micro de RFI Benoît Teste de la FSU. C'est une très bonne chose que l'intersyndicale se féminise et qu'on puisse donner une image un peu plus normale de ce qu'est la société et le syndicalisme. »« Les syndicats sont sortis de leurs grottes préhistoriques », s'amusait elle-même Marylise Léon. Et si « le combat syndical n'est pas un sprint mais une course de fond », pour reprendre une formule de Laurent Berger, il n'y a pas de quoi l'effrayer : la course à pied, elle connaît. Sur internet, on trouve encore la trace de ses performances passées. En 2018, par exemple, elle a couru le semi-marathon de Paris en 2 heures, 5 minutes et 24 secondes. Dans quelques jours, commence pour elle une course de plus longue haleine encore.
Les joueurs du Dijon Métropole handball ont réalisé une très belle fin de saison en s'imposant ce week-end lors des phases finale de ProLigue (2eme division du championnat de France de handball). Après s'être assurés la montée en première division, les Dijonnais se sont imposés dimanche après-midi en finale au palais des sports face à l'équipe de Saran. Ce titre de champion de France a été fêté ce lundi soir à la salle des Etats de l'hôtel de ville de Dijon à l'invitation de François Rebsamen. Tous les joueurs, le staff et le président du club étaient présents. Nous en avons profité pour échanger avec Thierry Desserey, le président du DMH. Ecoutez ci-dessous le podcast de notre interview :
Ce vendredi 2 juin a eu lieu l'inauguration du nouvel échangeur d'Ahuy de la LiNo. La cérémonie s'est tenue en présence de Franck Robine, préfet de la région Bourgogne-Franche-Comté, François Rebsamen, maire de Dijon et président de Dijon métropole, François Sauvadet, président du Conseil départemental de Côte-d'Or, Michel Neugnot, 1er vice-président du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté et Dominique Grimpret, maire d'Ahuy. Cet échangeur est destiné à fluidifier le trafic durant les heures de pointe avec notamment l'ouverture de deux nouvelles bretelles d'entrée et de sortie au nord. Des aménagements pour la marche et la pratique du vélo ont aussi été mis en place. François Rebsamen, Franck Robine, François Sauvadet et Dominique Grimpret nous donnent plus de détails dans cette interview.
Le maire de Dijon et président de Dijon métropole a convié la presse ce mardi pour notamment s'exprimer sur la politique locale faite en matière de logement. Plusieurs informations ont été données. Nous avons par exemple appris qu'entre 1 000 et 1 500 nouveaux logements seront livrés cette année sur toute la métropole dijonnaise, dont 700 sur le territoire de la ville de Dijon. François Rebsamen a aussi insisté sur l'importance qu'il y est, selon lui, un mixage entre logements privés et logements sociaux dans les différents quartiers de Dijon. Concernant justement la politique faite en termes d'habitats à loyers modérés, nous avons appris que depuis début 2023, il y a 20,38% de logements sociaux à Dijon. La ville est donc en règle avec la loi qui impose au moins 20% de logements HLM dans certaines communes.Lors de ce point presse, François Rebsamen a tenu à répondre aux critiques faites par l'opposition dénonçant une urbanisation galopante à Dijon : « Depuis 2001, la surface consommée pour la construction de nouveaux logements est comparable à celle de quatre terrains de football », nous a-t-il dit, justifiant cette information par le fait que l'essentiel des constructions est aujourd'hui réalisée sur des terrains en friche et que davantage de surface avait été consommée sous l'ancien maire, Robert Poujade.Retrouvez ci-dessous le podcast de notre interview de François Rebsamen :
40 Meter! So tief fiel Cornelia Rebsamen bei ihrer Bergtour im Monte-Rosa-Massiv in eine Gletscherspalte. Ihr Überlebenskampf beginnt: «Bin ich gelähmt? Wo ist mein Partner? Wie hol ich Hilfe?» Rebsamen ist am Oberschenkel verletzt. Sie kann handeln. Und tut dies auch. Irgendwie schafft sie es, aus der tiefen Gletscherspalte mit dem Handy die Air Zermatt um Hilfe zu rufen. Die Rettungsspezialisten befreien sie aus der Spalte und die Rettungscrew der Air Zermatt fliegt die Bergbegeisterte direkt ins Inselspital nach Bern. Doch ihr Leben ist nach diesem Spaltensturz nicht mehr dasselbe.
Lors des vœux du maire de la ville de Dijon le vendredi 6 janvier, François Rebsamen a laissé entendre que des expositions dans les musées de Dijon pourraient être payantes. Pourquoi certaines expositions des musées pourraient devenir payantes ? Est-ce lié aux nouveaux partenariats avec le musée du Louvre ? Est-ce que cette décision pourrait remettre en question la politique de gratuité des musées à Dijon ?Nous avons posé ces questions à Christine Martin, adjointe au maire de Dijon déléguée à la culture.
VIDEO: Il Green Pass delle automobili ➜ www.youtube.com/watch?v=6Ju7yEpogwU&list=PLolpIV2TSebUZf755kITHNSRL7joJIZ2ZTESTO DELL'ARTICOLO ➜ www.bastabugie.it/it/articoli.php?id=7272CON IL RICONOSCIMENTO FACCIALE LA FRANCIA METTERA' TUTTI SOTTO SORVEGLIANZA di Olivier FrèrejacquesMercoledì 11 maggio 2022, tre senatori - un socialista, un centrista e un repubblicano - hanno presentato le conclusioni del loro Rapporto "Il riconoscimento biometrico nello spazio pubblico: 30 proposte per evitare il rischio di una società della sorveglianza". Scopo del testo, sulle difensive, è di rivendicare la legittimità del riconoscimento biometrico nell'armamentario francese della sicurezza; è il risultato di una missione d'informazione sul riconoscimento facciale, messa in atto nell'ottobre 2020 su iniziativa della Commissione Affari costituzionali e giustizia del Senato.Fin dal titolo si deduce che il Rapporto intende limitare il dispositivo che - a posteriori - legittimerà, approccio che la dice lunga sul rischio che questo tipo di dispositivo implica. L'argomento è sensibile: nel marzo 2022, il segretario di Stato per la transizione digitale Cédric O scartava la possibilità di ricorrere al riconoscimento facciale per le Olimpiadi di Parigi 2024.Tuttavia, il testo dovrebbe servire da documento di lavoro per elaborare un dispositivo legislativo con l'obiettivo di generalizzare il riconoscimento facciale. In sintonia con i tempi, questa tecnologia è decantata nel Rapporto per far fronte al rischio del terrorismo; da un punto di vista più generale, il suo impiego potrebbe essere rapidamente messo in atto in nome dei più elementari fini di sicurezza e il carattere "sperimentale", evocato nel Rapporto, precederebbe inevitabilmente o quasi la sua generalizzazione.Lungi dal propugnare la generalizzazione del procedimento, il Rapporto di 136 pagine elenca una serie di eccezioni per le quali il dispositivo sarebbe pertinente. Così il testo vieta «l'analisi di emozioni, salvo per fini di salute o di ricerca scientifica e con riserva di garanzie appropriate». È anche proibita «la sorveglianza biometrica a distanza in tempo reale nello spazio pubblico, salvo eccezioni molto limitate a beneficio delle forze di sicurezza». Il Rapporto invoca un principio calpestato dal legislatore francese: la sussidiarietà, affinché il «riconoscimento biometrico sia utilizzato solo quando sia veramente necessario». Evidentemente, il cursore verrà spostato in funzione delle minacce e delle paure fomentate più o meno legittimamente dalla società (virus, insicurezza, ambiente...).Il meccanismo legislativo con l'obiettivo di autorizzare un atto definendone la cornice, precede spesso la sua generalizzazione; qui, è difficile immaginare che gli attori sia pubblici che privati si limitino a un quadro restrittivo, visto che un dispositivo di riconoscimento facciale apre tanti sbocchi sia in materia di ordine che commerciali. Alcuni attori hanno appunto già suonato l'allarme, come IBM, che ha rinunciato a questa tecnologia per ragioni di ordine etico. Il Rapporto del Senato propone di inserire il riconoscimento biometrico in una legge di sperimentazione, per un periodo di tre anni, in modo da concedere al pubblico il tempo per abituarsi al dispositivo.UNA SICUREZZA DISUMANIZZATAL'utilizzo del riconoscimento facciale solleva gli stessi interrogativi della telecamera di sorveglianza, la cui efficacia, d'altronde, deve ancora essere provata. Alcuni comuni francesi hanno già fatto ricorso a tecnologie di riconoscimento di forme che permettono la dettagliata autentificazione dei "soggetti". Il business della sicurezza, molto redditizio, si annida nelle legittime inquietudini dei francesi davanti all'esplosione della violenza. Tuttavia, le telecamere non hanno la funzione di proteggere, ma di sorvegliare. Nel migliore dei casi, le forze di sicurezza potranno trovare l'aggressore; ma la telecamera non previene l'aggressione e ha un potere di dissuasione molto limitato. Invece, la sicurezza garantita da essere umani permette di intervenire e di dissuadere.L'illusione dell'efficacia della telecamera quanto alla sicurezza, o il suo carattere lucrativo, ha sedotto numerosi consiglieri comunali di tendenze politiche disparate. François Rebsamen, sindaco (ex-socialista) di Digione, precursore in materia, ha rapidamente dotato la città di telecamere. Christian Estrosi, sindaco (ex-LR) di Nizza, appassionato di gadget, ha fatto installare nella città quasi 4000 telecamere e nel giugno 2022 ha annunciato l'uscita di un nuovo software di monitoraggio. Infine, a metà strada tra la fantascienza e l'inganno, Robert Ménard sindaco (di appartenenza politica indefinita) di Béziers, ha fatto installare un sistema di telecamere di monitoraggio con altoparlanti che rimproverano in tempo reale coloro che non seguissero il catechismo civico del comune, cioè i pericolosi cittadini che non raccolgono le cacche dei loro cani!Il dibattito sull'applicazione del riconoscimento facciale è la prosecuzione di quello che riguarda l'utilizzo delle telecamere di sicurezza. L'argomento principale e di apparente buon senso è il seguente: «Non ho nulla da nascondere, dunque sono a favore.» A questa affermazione ingenua bisogna rispondere che se noi non abbiamo nulla di cui rimproverarci, lo Stato, invece, ha probabilmente qualche cosa per cui biasimarci. Le impressionanti misure di sicurezza attuate durante la crisi sanitaria hanno mostrato la gamma di possibilità e di derive alle quali può far ricorso l'apparato statale, perfino nelle nostre democrazie occidentali. Un episodio che bisogna tener ben presente quando si elegge chi andrà al potere...In materia di sicurezza, lo sviluppo delle tecnologie digitali non ha prodotto la diminuzione della criminalità. In Francia il solo settore che ha registrato un successo in termini di sicurezza nel corso degli ultimi trent'anni è quello della sicurezza stradale, nel quale lo sviluppo dei radar è stato accompagnato da un notevole progresso tecnico quanto alla qualità dei veicoli. Peraltro, in Francia non vi sono mai state tante telecamere mentre la situazione della sicurezza non è mai stata tanto scadente.PESO DELLE PAROLE E BATTAGLIA POLITICARaphaël Maurel, docente presso l'Università della Borgogna e segretario generale dell'Observatoire de l'éthique publique, ha messo in discussione il processo legislativo in corso. Punta il dito contro il Rapporto senatoriale che dice di voler evitare una «società della sorveglianza», prevedendo allo stesso tempo gli strumenti per creare tale società. D'altronde, questo professore ricorda che i processi semantici utilizzati sono obsoleti, visto che se ne trovavano già i germi nella famosa legge sulla sicurezza globale intitolata «Per una sicurezza globale che preservi le libertà». Infine, Raphaël Maurel sottolinea una ancor più grossa contraddizione del testo, che tende alla massiccia digitalizzazione del dispositivo di sicurezza proprio quando i poteri pubblici invitano alla sobrietà digitale, indotta dalle sfide ambientali.Quanto alle forze politiche, l'opposizione a leggi che introducano il riconoscimento biometrico dovrebbe paradossalmente concentrarsi a sinistra della scacchiera, visto che formazioni come Europe Écologie Les Verts o La France Insoumise vi sono chiaramente ostili, mentre il Rassemblement National ha una posizione ambigua sulla questione e sembra piuttosto ostile al riconoscimento facciale ma favorevole alla videosorveglianza.La mobilitazione contro la legge di sicurezza globale ha dimostrato che solo la sinistra prende sul serio i rischi inerenti alle politiche per la sicurezza. E tuttavia le telecamere sono costose e non forniscono alcun risultato positivo in materia di sicurezza. In caso di riluttanza del legislatore, i fornitori di telecamere potranno sempre rivolgersi a Bruxelles, che ha già previsto di legiferare in materia.Paradossalmente, l'Occidente europeo perde molto tempo ad indignarsi per le derive cinesi in termini di sicurezza, dove il riconoscimento biometrico è lo strumento per la valutazione detta del «credito sociale», mentre sta lavorando per diffondere dispositivi analoghi.
•AMLO se pronunció respecto a la destitución de Pedro Castillo •GN asegura armamento en Jalisco•Time nombra a Zelenski como al espíritu de su país •Más información en nuestro podcast
Ce lundi, lors du conseil municipal de Dijon, François Rebsamen a confirmé que c'est la société lyonnaise « GL évents » qui reprendra la gestion du parc des expositions de la ville, aux dépends de l'association «Dijon congrexpo». Sur un autre sujet, lors de la conférence de presse d'avant-conseil municipal, François Rebsamen a aussi indiqué qu'environ 60 millions d'euros seront investis en 2023 par la municipalité (pour la rénovation du palais des congrès, pour l'école Joséphine Becker ou encore pour la base nautique du lac Kir). Par rapport à la crise énergétique, le maire a indiqué que la hausse du prix de l'énergie augmentera de 10 millions d'euros pour la ville sur l'année 2023, mais que les impôts n'augmenteront pas. Retrouvez notre interview avec François Rebsamen.
Será trasladado a la CDMX Francisco Arturo Pérez Rodríguez, implicado en la tragedia del Colegio RebsamenEn el movimiento de la 4 Transformación nadie es indispensable: Ignacio MierEste 1 de diciembre se conmemora el Día Internacional de Lucha contra el SidaMás información en nuestro podcast
durée : 00:02:06 - Le vrai du faux - C'est que qu'affirme le socialiste François Rebsamen, favorable à cette mesure.
Trois heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
François Rebsamen, maire PS de Dijon et ancien ministre du Travail sous François Hollande, répond aux questions de Lionel Gougelot au sujet des rodéos urbains, de l'apprentissage, du droit de vote des étrangers et des liens du Parti socialiste et de la Nupes.
François Rebsamen était l'invité d'Europe 1 ce jeudi matin. Au micro de Lionel Gougelot, le maire PS de Dijon est revenu sur la proposition de loi du député de la majorité Sacha Houlié, qui souhaite attribuer le droit de vote aux étrangers pour les élections locales. Une initiative "très intéressante" selon François Rebsamen.
Tous les jours, dans la chronique "Le journal du Off", Jérémy Trottin vous présente toutes les informations exclusives, les indiscrétions et les coulisses autour de l'élection présidentielle 2022. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
En raison de menaces islamistes à leur encontre, entre « 30 et 50 » personnes sont placées sous protection en France, dénombre Le Parisien Dimanche. L'une d'elle dit à ce journal « que le temps n'efface rien (…) Une fatwa, ça peut vous rattraper dix, vingt ans plus tard. Même si l'un d'entre nous devient agriculteur dans la Creuse, le risque ne disparaît pas ». Le médecin urgentiste Patrick Pelloux est de ces personnes menacées. Dans Le Parisien Dimanche, il craint de voir « un signal » dans l'attentat contre Salman Rushdie, et se demande si « des cellules dormantes vont s'activer ? », si « des islamistes attendent ce signal pour agir ? (…) Ça me fait très peur. Ils sont sur du long, du très long terme », soupire Patrick Pelloux, tandis que le juriste Amine Elbahi, ancien « fixeur » de l'émission de télévision « Zone Interdite » pour un reportage sur l'islamisme à Roubaix (et qui fut aussi candidat LR aux récentes législatives en France), le confie au Parisien Dimanche. « Ils ne vous oublient jamais... » « Malheureusement, il est quasi impossible de revivre comme tout le monde quand on est sous le coup d'une fatwa », dit également Riss, chef de la rédaction de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, dans une interview au Journal du Dimanche. « Ce genre de tueurs ne lâche jamais », enchérit Bernard-Henri Lévy dans Le Journal du Dimanche. Selon ce philosophe français, Salman Rushdie doit obtenir le prix Nobel de littérature en octobre prochain. L'étranger dans l'isoloir François Rebsamen est « pour » le vote des étrangers extra-européens aux élections municipales. Dans une tribune publiée par Le Journal du Dimanche, l'ancien ministre socialiste, aujourd'hui soutien du président Macron, estime que le vote des étrangers extra-communautaires aux élections municipales en France est une question de « justice sociale ». Selon François Rebsamen, la France est « à la traîne sur ce sujet ». La mue du RN Depuis son succès aux récentes élections législatives, le Rassemblement national entend passer de la dédiabolisation à la notabilisation. C'est l'analyse du magazine L'Obs. « Après cinq semaines de travaux parlementaires, le Rassemblement national et ses 89 députés se sont fondus dans le décor de l'Assemblée. Jusqu'où ira cette quête de respectabilité ? », se demande ce journal. « À l'Assemblée nationale, la notabilisation du RN va bon train. Un train d'enfer même, et tout semble se dérouler selon le plan établi. Grâce, notamment, aux voix de la majorité, le RN et ses 89 députés – plus que La France insoumise ou Les Républicains – a obtenu deux vice-présidences de l'Assemblée, alors que Marine Le Pen n'en espérait qu'une (…) Et il s'en est fallu de peu que le RN ne décroche aussi le trophée de la commission des finances. Cerise sur le gâteau, souligne L'Obs, le 26 juillet, deux députés de ce parti ont également été élus – une première – pour siéger à la Cour de justice de la République, chargée de juger les ministres : le très proche de Marine Le Pen, Bruno Bilde, comme juge titulaire et Anaïs Sabatini comme suppléante. » Comme le pointe ce journal, ce sont-là « de nouvelles conquêtes, spectaculaires, sur le terrain de la respectabilité. Elles sont à la hauteur du score frontiste du 19 juin, mais ont aussi été remportées au nom d'une "tradition républicaine" bien française (…) ». « Qu'aurait-on dit si la classe politique avait nié les scores historiques du RN en l'ostracisant à l'Assemblée ? », interroge-t-on au sein de la majorité. Certains élus s'inquiètent cependant déjà des effets de cette institutionnalisation spectaculaire. Comme le confie l'un d'eux à L'Obs : « On a un vrai problème devant nous. Si demain il y a une dissolution, le RN l'emporte ».
Nous nous sommes entretenus avec François Rebsamen qui a notamment évoqué avec nous la hausse du prix du stationnement qui a été votée par les élus de Dijon métropole, mais aussi le projet de récupérer la gestion de la rocade et de la LINO.
Le conseil municipal de la ville de Dijon avait lieu ce lundi soir. Nous avons échangé avec François Rebsamen avant la séance.
L'annonce a été faite ce jeudi par Nathalie Koenders, première adjointe de François Rebsamen, les policiers municipaux des équipes de soirée seront armés à partir de fin novembre, à Dijon, avant une généralisation à l'ensemble des agents courant 2022.
Đến dự Hội nghị Nhà ở xã hội (Congrès HLM) lần thứ 81 diễn ra cuối tháng 9/2021, thủ tướng Pháp Castex đưa ra một số biện pháp khắc phục tình trạng thiếu hụt nhà ở tại Pháp nói chung và nhà ở xã hội nói riêng. Những biện pháp này dựa trên báo cáo của chính phủ « Phục hồi bền vững xây dựng nhà ở », do cựu bộ trưởng Rebsamen phụ trách, về hiện trạng và đề xuất giải pháp nhằm « gỡ bỏ những kìm hãm việc phát triển nhà ở ». Những chính sách này là hệ quả tiếp nối của một quá trình phát triển nhà ở suốt lịch sử công nghiệp hoá và đô thị hoá từ thế kỷ 19 đến nay, mà tốc độ xây dựng nhà ở xã hội vẫn luôn không đáp ứng đủ nhu cầu thực tế ngày càng tăng. Vấn đề nhà ở xã hội Pháp là tấm gương phản ánh quá trình thay đổi chính sách và đặc thù kinh tế, lao động, đồng thời thể hiện tầm nhìn quy hoạch đô thị và dân cư Pháp. Hình mẫu đô thị cao tầng tập trung bộc lộ những vấn nạn xã hội Khởi nguồn từ các khu đô thị cho công nhân trong cách mạng công nghiệp, khái niệm « nhà ở giá rẻ - HBM » ra đời vào cuối thế kỷ 19, là hình thức xây nhà chủ yếu cho người lao động nghèo thuê. Loại nhà này chuyển sang tên « nhà giá thuê vừa phải - HLM » vào năm 1949 và giữ nguyên tên gọi cho đến ngày nay. Sau giai đoạn cực thịnh « 30 năm huy hoàng » phục hồi lại sau Thế chiến thứ 2, khi các khu đô thị mới, đô thị vệ tinh mọc lên nhanh chóng, với hàng loạt toà chung cư cao tầng, những hạn chế của mô hình xây dựng nhà ở này dần bộc lộ. Chất lượng nhà xuống cấp, tiện nghi không còn phù hợp, đặc biệt là các vấn đề xã hội nảy sinh khi khủng hoảng dầu mỏ khiến nền kinh tế công nghiệp suy yếu. Các khu nhà ở HLM cho công nhân, dần biến thành những khu ở của người trung lưu, người nghèo, với tỉ lệ thất nghiệp tăng, đã làm xấu đi hình ảnh những khu nhà HLM. Từ cuối những năm 1970, hình thức quy hoạch Khu đô thị ưu tiên (ZUP) bị bãi bỏ, với sự phá dỡ nhiều toà nhà chung cư HLM cao tầng. Sự chối bỏ xã hội với những toà nhà chung cư cao tầng dẫn đến việc xây dựng nở rộ trở lại các khu nhà nhỏ, đô thị phát triển phân tán tràn lan quanh các đô thị trung tâm và cỡ vừa. Để đối phó với tình trạng này, chính sách xây dựng và quy hoạch những năm 90 chuyển sang đan cài nhà ở xã hội trong từng địa phương, với quy định tỉ lệ tối thiểu 20% nhà ở xã hội tại các thành phố từ 200 ngàn dân trở lên. Những toà nhà chung cư thế hệ mới này thường có số tầng hạn chế, kết hợp các tiện ích phạm vi gần, kết hợp khu nhà ở xã hội và nhà sở hữu tư nhân trong cùng một dự án, để có sự hoà nhập cảnh quan và xã hội. Thách thức mới đầu thế kỷ 21 Giá trị bất động sản tăng vọt và những tiêu chuẩn môi trường là hai thách thức lớn cho xây dựng nhà ở xã hội đầu những năm 2000. Nguồn cung nhà ở nói chung vẫn luôn thiếu hụt, mảng nhà ở xã hội lại càng gặp nhiều khó khăn. Hướng phát triển nhà ở xã hội buộc phải chuyển sang tăng cao mật độ trong các khu đô thị hiện có và cải tạo lại quỹ nhà ở xuống cấp. Để thúc đẩy và tạo điều kiện tiếp cận nhà ở cho mọi tầng lớp dân cư, chính phủ áp dụng nhiều hình thức hỗ trợ về tài chính, tín dụng, giảm thuế. Một mặt, trên quy mô quy hoạch, các đô thị hướng vào tăng mật độ trong nội đô hiện hữu để tránh phát triển đô thị phân tán, hạn chế beton hoá quỹ đất tự nhiên và đất nông nghiệp. Các đô thị vừa và nhỏ tập trung năng động hoá và cải tạo bộ mặt những khu trung tâm. Việc chú trọng vào thiết kể lại không gian công cộng, cảnh quan đô thị và hướng vào giao thông mềm, công cộng cũng nằm trong mục tiêu chung đó. Chính sách về nhà ở xã hội không tách biệt, mà nằm trong tổng thể chiến lược phát triển địa phương. Về loại hình nhà ở, những chung cư cao tầng xuất hiện trở lại ngày một nhiều hơn trong các đô thị lớn, nhưng có sự đa dạng xen cài về cách thức sở hữu và các chức năng trong cùng một tổng quy hoạch chung. Đồng thời, những công trình này phải đáp ứng thêm các tiêu chuẩn xây dựng bền vững, nâng cao tiện nghi và giảm tiêu hao năng lượng đang đặt ra ngày càng khắt khe. Gần đây, việc đưa thêm các tiêu chuẩn về nhiệt RT2020, gồm giảm phát thải carbon trong xây dựng và lựa chọn vật liệu, lại càng đặt ra nhiều tiêu chí cao chặt chẽ cho nhà ở. Việc thiết kế và xây dựng vì thế ngày càng khó khăn : phải đổi mới trước những đòi hỏi ngày càng cao, mà vẫn phải đảm bảo chi phí thấp. Người thuê nhà xã hội : xu hướng nghèo hơn và già đi Hiện nay, tại Pháp có 5,6 triệu người đang thuê nhà ở xã hội, thành phần đa dạng : 22% là gia đình cha mẹ đơn thân, người về hưu, lao động có việc làm bấp bênh, người thất nghiệp, người lao động trên tuyến đầu có hoàn cảnh phức tạp, người xin tị nạn, người mãn hạn tù. Theo chủ tịch Hội liên hiệp xã hội vì nhà ở, bà Emmanuelle Cosse, mục tiêu của nhà ở xã hội còn là « đảm bảo sự hoà trộn đa dạng thành phần xã hội (…) không có sự rạn nứt, không có khu ổ chuột ». Trước những lời chỉ trích cho rằng nhà ở xã hội ngày nay vẫn chưa dành đủ cho những đối tượng nghèo nhất, bà Cosse nhấn mạnh rằng người thuê nhà ở xã hội đang có xu hướng nghèo và già đi : 36% sống dưới ngưỡng nghèo (so với 23% trong nhóm thuê nhà tư nhân), 25% nằm trong số 10% hộ gia đình nghèo nhất (so với 8% năm 1984), và 22% là người trên 65 tuổi (so với 15% vào năm 1984). Một lý do được đưa ra lý giải cho việc khó khăn khi phân nhà cho người nghèo nhất : Những người hiện đang ở trong nhà ở xã hội khó có điều kiện mua nhà sở hữu tư nhân, bởi chênh lệch về giá nhà quá lớn. Tỉ lệ quay vòng của nhà ở xã hội giảm từ 10,3% năm 2011 xuống còn 7,7% trong năm 2020, riêng ở Paris, tỉ lệ này chỉ chiếm 3%. Hệ quả là danh sách đăng ký nhà ở ngày càng dài thêm, tăng 20% vào năm 2020 so với năm 2013. Tuy vậy, từ một góc độ khác, vẫn còn tình trạng phân nhà xã hội cho những đối tượng không được ưu tiên, hoặc các hộ có thu nhập vượt ngưỡng nhưng vẫn chậm trễ rời nhà ở xã hội. Tình trạng thiếu nhà ở xã hội càng trầm trọng do đại dịch Covid-19 Số liệu của Tổ chức hợp tác và phát triển kinh tế (OCDE), mà nhật báo Le Monde trích dẫn, chỉ ra rằng tại Pháp và nhiều nước châu Âu, giá bất động sản liên tục tăng mạnh từ hai thập kỷ, trung bình tăng 154% so với năm 2000, trong khi thu nhập trung bình chỉ tăng 18% trên cùng giai đoạn. Chênh lệch này càng thấy rõ ở các đại đô thị, giá bất động sản tại vùng Ile-de-France (Paris và vùng phụ cận) đã tăng 300% sau 20 năm. Tại Pháp, khủng hoảng Covid-19 cũng làm các ngân hàng thận trọng và giảm các hợp đồng cho vay tín dụng mua nhà, đẩy thêm nhiều người vào hoàn cảnh tạm bợ về nhà ở, phải tìm đến nhà xã hội. Theo báo cáo của F. Redsamen, trong khi vẫn thiếu nhà ở, số lượng giấy phép được cấp tại các vùng áp lực nhà ở cao, lại giảm 14% so với năm 2018. Số lượng nhà ở xây dựng giảm cả trong nhà ở sở hữu tư nhân và nhà ở xã hội, cụ thể số nhà xã hội xây mới giảm 36% so với năm 2016. Khó khăn kinh tế khi phải xây dựng giá rẻ mà vẫn phải đáp ứng những đòi hỏi chất lượng ngày càng cao, trong khi các chính sách hỗ trợ bị giảm bớt, đã làm giảm số lượng dự án, cộng thêm với sự đình trệ các công trường trong nhiều tháng có dịch Covid-19. Báo cáo này ước tính phải xây dựng thêm 500 ngàn nhà ở mới mỗi năm từ nay đến năm 2030, trong đó 250.000 nhà ở xã hội trong hai năm 2021-2022. Với điều kiện về chính sách và thực tế hiện nay, nhật báo Firago cho rằng điều này « hiếm có thể đạt được ». Chính sách cắt giảm hỗ trợ là lý do kìm hãm Cản trở chính cho việc xây dựng nhà ở trong vài năm trở lại đây, được báo cáo chỉ ra, là chính sách giảm hỗ trợ tiền thuê nhà và cắt giảm ngân sách cho địa phương trong việc xây mới, được áp dụng từ đầu nhiệm kỳ tổng thống Emmanuel Macron hồi năm 2017. Báo cáo đề xuất phục hồi thuế đất hoặc đền bù cho địa phương các thiệt hại về thuế đất cho các nhà ở xây mới, bổ sung tài chính hỗ trợ địa phương kinh phí để phát triển các dự án cải tạo đất công nghiệp bỏ hoang. Thái độ chối bỏ, không thiện cảm với việc xây dựng nhà ở xã hội của cư dân đô thị cũng được coi là một trở lực cần gỡ bỏ. Tiếp thu đánh giá, chính phủ đã thực thi đề xuất của báo cáo bằng gói hỗ trợ 130 triệu euro cho các địa phương có dự án theo hướng « tăng mật độ và cải tạo đô thị » và nhằm « hỗ trợ tái thúc đẩy xây dựng bền vững », nằm trong tổng thể các chính sách Relance - tái thiết hậu Covid-19. Riêng với nhà ở xã hội, đầu tháng 9, chính phủ công bố gói tái thiết dành 500 triệu euro cho cải tạo năng lượng trong nhà ở xã hội. Thủ tướng Jean Castex cũng hứa hẹn giải phóng các quỹ đất công để dành cho các dự án nhà ở xã hội. Tuy vậy, các nhà quản lý đầu tư nhà ở xã hội vẫn trông chờ những tuyên bố cụ thể hơn để hỗ trợ mảng xây mới. Nhật báo Le Monde cho rằng những biện pháp này tuy « cần thiết nhưng vẫn còn hạn chế », và chỉ là « phiên bản tối giản » so với những đề xuất của báo cáo. Tại Paris, trong nhiều năm gần đây, nỗ lực tạo áp lực song song với khuyến khích xây dựng trong những quận khan hiếm nhà ở xã hội mang lại một số hiệu quả thấy rõ. Ngay tại các dự án cải tạo thành nhà ở tại các khu vực trung tâm đắt đỏ và sang trọng nhất, nhà ở xã hội cũng được đưa vào với tỷ lệ theo tiêu chuẩn. Mới đây nhất, việc cải tạo công trình toà nhà thương mại cao cấp Saint Maritaine tại quận 1 ngay cạnh cung điện Louvre, bên bờ sông Seine, đã chuyển đổi 1.000m2 diện tích sàn thành gần 100 nhà ở xã hội, 1 nhà trẻ và văn phòng cho thuê. Thành phố cũng đang chuẩn bị khánh thành một dự án 250 nhà ở xã hội, cải tạo lại từ trụ sở cũ của toà nhà bộ Quốc Phòng, tại khu phố sang trọng Ilot-Saint-Germain, cách điện Invalides và trụ sở Hạ Viện vài trăm mét. Xây dựng nhà ở xã hội - một nhân tố cho phục hồi kinh tế ? Tin tưởng vào một sự chuyển biến sâu sắc hơn, trên tạp chí « Biên niên sử về Kiến trúc » (*), kiến trúc sư, nhà quy hoạch Jean-Michel Jacquet lại đánh giá việc xây dựng nhà ở xã hội có thể là một động cơ thúc đẩy phục hồi kinh tế trong giai đoạn sắp tới, với điều kiện nhà ở xã hội « phải tìm lại khuynh hướng phúc lợi công cộng của nó, bằng cách tách biệt rõ ràng khỏi dự án tư nhân ». Cũng theo ông, để làm được điều đó, các dự án nhà ở xã hội cần được giảm bớt những rằng buộc quy chuẩn xây dựng chung để có những chương trình, tiêu chuẩn riêng, phù hợp với nhu cầu và đối tượng sử dụng của từng địa phương. Tiên phong và sáng tạo về các giải pháp kỹ thuật, độc lập quản lý điều phối quỹ đất, chính sách ưu đãi thuế riêng sẽ tạo điều kiện cho các nhà quản lý nhà ở xã hội và người thiết kể được chủ động, sáng tạo hơn, đặt những mục tiêu xã hội, phát triển con người và bảo vệ môi trường của từng địa phương vào trung tâm của dự án. Có thể nói, những hạn chế và lực cản cho việc xây dựng nhà ở xã hội, vẫn còn chưa được khắc phục, lại càng khắc sâu và phơi bày nhiều mặt hơn trong cuộc khủng hoảng do dịch bệnh Covid-19. Nhưng nắm bắt nó như cơ hội để xác định lại vai trò, cải tổ lại khung pháp lý và chính sách đầu tư, có thể đưa nhà ở xã hội đóng vai trò lớn hơn trong xu hướng xây dựng đô thị bền vững và chuyển đổi sinh thái của nền kinh tế Pháp trong những năm tới đây. (*) https://chroniques-architecture.com/le-logement-social-acteur-de-la-relance-economique/
En entrevista con Manuel López San Martín, platicamos con Alejandro jurado, padre de Paola, una menor que falleció en el Colegio Rebsamen, analista internacional, a los 4 años del sismo.
Christine Leconte nous parle de son nouveau rôle : présidente du Conseil national de l'Ordre des architectes (CNOA) et des objectifs de ce nouveau Conseil, élu pour 3 ans. Elle revient également sur la commission Rebsamen pour laquelle François Rebsamen a auditionné le CNOA. SITE INTERNET : https://www.architectes.org/
Ce mois-ci les têtes brûlées de l'immobilier : Sylvain Lévy-Valensi, Henry Buzy-Cazaux, Philippe Taboret, Jean-François Buet et Bernard Cadeau sont accompagnés de Nadia Kateb. Ils nous exposent leurs coups de cœur et de gueule. Ensemble ils débattent notamment sur les conditions d'octroi des crédits immobiliers, sur les néo-agences immobilières qui cassent les prix ou encore sur l'arrivée tardive de la commission Rebsamen.
En Oaxaca preocupa la contaminación del río Los Perros en Juchitán, pues se acumulan más de 500 toneladas de basura diariamente; además, AMLO asegura que nada detiene el regreso a clases presenciales.
L'ancien ministre de François Hollande rempile pour une nouvelle mission. Le Premier Ministre Jean Castex missionne François Rebsamen pour présider la Commission nationale de relance de la... Radio Immo, première webradio d'information immobilière
Grande nouveauté cette année, chaque matin, Nicolas Canteloup offre ses précieux conseils aux invités de l'interview politique. Ce mercredi, Sonia Mabrouk reçoit François Rebsamen, maire socialiste de Dijon. François Hollande a tenu à lui adresser quelques mots.
Tous les samedis et dimanches à 18h20 et 19h20, Wendy Bouchard, remplacée aujourd'hui par Lionel Gougelot, reçoit un invité au coeur de l'actualité. Il interroge aujourd'hui le maire de Dijon François Rebsamen, président de Dijon métropole et Emmanuel Debost, médecin généralise en agglomération dijonnaise et responsable Covid d'un Ehpad.
https://ia601406.us.archive.org/33/items/11-13-20-final-mixdown/11-13-20_final_mixdown.mp3 About this Episode In this Anchored podcast episode, we will be discussing the application of art therapy and military families. We will be joined by three art therapists; Melissa Walker, Jessica Herman, and Valli Rebsamen, to discuss their work, the therapeutic practices used in art therapy, and the prevalence of mental health issues and “invisible… Continue Reading A Discussion on Art Therapy for Military Families with Melissa Walker, Jessica Herman, and Valli Rebsamen| Anchored Episode 22
durée : 00:07:30 - 18h50 franceinfo - Maire de la ville de Dijon, François Rebsamen assure toutefois qu'il fera respecter le couvre-feu dans sa commune.
A 31 años de prisión fue condenada Monica García Villegas por la muerte de 26 personas tras el colapso del Colegio Rebsamen en el sismo del 19 de septiembre del 2017. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
A 31 años de prisión fue condenada Monica García Villegas por la muerte de 26 personas tras el colapso del Colegio Rebsamen en el sismo del 19 de septiembre del 2017.
Pide Bronco unidad y austeridad en 2021 Dictan 31 años de prisión a Miss Mónica ex directora del colegio Rebsamen. Impone Francia toque de queda por covid Ya hay venta de boletos en Mazatlán
Mónica García Villegas fue declarada culpable del delito de homicidio culposo por la muerte de 26 personas entre ellas, 19 menores de edad, tras el colapso del Colegio Rébsamen en el sismo del 19 de septiembre del 2017 y la Fiscalía General de Justicia solicitó 57 años de prisión en contra de la propietaria del Colegio. Especialistas de la Universidad de Washington pronostican que para el próximo 1 de enero, nueve estados en México estén entre las localidades con mayor población infectada de COVID-19 en el mundo No somos ministerio público, ni fiscalías pero estamos para acompañarlas: Segob a víctimas de la violencia. En reunión con mujeres víctimas de violencia, la secretaria de Gobernación, Olga Sánchez Cordero aseguró que la dependencia federal no es fiscalía, ni tribunal, ni ministerio público para impartir justicia, pero sí para acompañar a las víctimas.
Justicia, castigo con cárcel a Mónica García Villegas, una disculpa pública por parte de las autoridades capitalinas y la construcción de un memorial, exigen los padres de las víctimas del Colegio Rébsamen.
Depuis 25 ans, le restaurant « Chez Guy and Family » réjouit les papilles de ses clients à Gevrey-Chambertin. Nous avons reçu ses propriétaires, Guy et Sandrine Rebsamen.
Avanzan audiencias a tres años del caso Rebsamen.Segundo informe de gobierno de la Ciudad de México será vía remota.Así va la contienda por la dirigencia de Morena.Hoy arranca el proceso electoral ordinario 2020/2021, aquí se lo explicamos.Arranca la Feria Virtual del Taxi 2020.Decomisan 95 litros de metanfetamina líquida en el aeropuerto internacional de la Ciudad de México.
Dans ce 8ème épisode du podcast Le Micro Social, la rédaction d'actuEL-CSE (Editions Législatives, groupe Lefebvre Sarrut) donne la parole à Etienne Pujol. Avocat d'entreprise au sein du cabinet BerryLaw, ancien trésorier d'Avosial, Etienne Pujol nous livre son point de vue et son analyse sur les changements opérés depuis trois ans en matière de droit du travail par le gouvernement d'Edouard Philippe et la ministre Muriel Pénicaud, auxquels ont succédé en début d'été Jean Castex et Elisabeth Borne : création du CSE, primauté donnée aux accords d'entreprise, barème pour les licenciements sans cause réelle et sérieuse, etc. Pour l'avocat d'entreprise, ces réformes ont permis aux entreprises de gérer plus souplement leurs évolutions d'effectifs, mais elles ont aussi accru la négociation collective au sein de l'entreprise. Plus qu'une rupture, ces 3 ans s'inscrivent dans une forme de continuité de l'évolution du droit du travail engagé depuis plusieurs années en France, soutient Etienne Pujol. Cette interview a été réalisée le 16 juillet 2020. Quelques repères ou time code 01:20 Les ordonnances de septembre 2017 ont permis, avec la création des CSE, une amélioration du dialogue social. 2:22 Ces réformes s'inscrivent dans une continuité par rapport aux réformes menées par Michel Sapin, François Rebsamen, Myriam El Khomri. 2:40 Les ordonnances Macron ont parachevé les réformes précédentes. 2:54 Il y a eu la volonté de consacrer le dialogue social avec une forme de coconstruction de la norme à l'échelle de l'entreprise entre les partenaires sociaux et la direction. 3:13 Ces réformes vont s'inscrire dans la durée, y compris pour les outils d'adaptation des effectifs aux difficultés économiques, comme l'accord de performance collective (APC). 4:26 Par rapport à la crise de 2008, l'arrêt brutal de l'activité en 2020 a touché tous les acteurs. La principale différence est qu'on a aujourd'hui des plans sociaux « déjudiciarisés » car tout a été fait pour éviter la voie contentieuse. 5:38 L'APC permet, dans un dialogue riche avec les partenaires sociaux, une adaptation au plus près des réalités le temps de voir comment sortir de la crise, et avec quelle organisation « cible ». 6:45 Le point qu'on peut regretter dans les ordonnances de 2017, c'est la disparition du CHSCT dans les entreprises de moins de 300 salariés. 7:20 Par rapport à la mise en place parfois abrupte du télétravail, c'est dommage. 7:49 Mais il y a une plus grande sensibilisation des élus du personnel à l'analyse du bilan et de la base économique et sociale de l'entreprise (BDES), du fait des formations au CSE. Cela concourt aussi à la richesse du dialogue social. 8:39 Sur la limitation des mandats imposée par les ordonnances ? C'est une bonne chose. Car on constatait que certains élus en fin de mandat se préoccupaient plus de leur situation personnelle que de la collectivité. 9:47 J'espère qu'on n'inversera pas la tendance, dans les prochaines années, en faveur de la négociation d'entreprise. 10:00 La France doit sortir de la confrontation salariés-directions. 10:36 Après 8 ans de réformes du droit du travail, il faudrait quand même faire une pause pour que tout le monde digère ces changements. Faisons un bilan et procédons à quelques aménagements si nécessaires, mais pas de grand soir ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Esprits Libres - François Rebsamen,Jean-Louis Bourlanges
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
20.05.2020 – Es ist nicht lange her, als wir zuletzt mit einem Interview eine für uns völlig neue Sportart entdeckten. Allerdings ist es wohl eine Premiere, dass wir eine neue Sportart kennenlernen, aber gleichzeitig feststellen müssen, dass wir einen versteckten Experten in unseren Reihen haben. Wir präsentieren stolz: Schnegg – Der unsportlich-Experte für Eissportarten, wie zum Beispiel der Bobsport. Dass Schneggs Expertise wohl mehr auf dem Papier als in der Realität existiert, sollte euch allen bewusst sein. Wahre Kenner des Sports sind jedoch die Rebsamen-Zwillinge. Rahel und Eveline Rebsamen mischten in ihrer Jugend die Leichtathletik auf (Jugend?! Eveline gehört noch heute zur Creme de la Creme der Schweizer Hürdenläuferinnen), bevor sie in den Eiskanal wechselten. Nachdem Rahel 2018 Olympialuft schnuppern konnte, schlossen sich die Zwillinge zu einem Team zusammen. Wir sprechen mit ihnen über den Bobsport, Schneggs Expertenwissen, die Ähnlichkeiten zwischen Eiskanal und Tartanbahn, mit wem sie am liebsten Partys schmeissen, was man mit Babys nicht tun sollte und vieles vieles mehr. Und was lernten wir: Ruulo glaubte bis Dato, dass ein Bob im Eiskanal mittels Lenkrad gesteuert werde. Nutri Athletic: Der Schweizer Hersteller von No Bullshit Supplements! Mit dem Promocode „unsportlich“ erhältst du 20% Rabatt auf das ganze Sortiment von Nutri Athletic. Mit diesen Supplements wird sogar das unsportlich-Trio sportlich – WTF?! Tape Design: Grip- und Performance Socken! Bleibe nicht länger unsportlich – Kaufe dir Tape Design – Socken! Mit dem Promocode „unsportlich“ erhältst du 10% auf deine Einkäufe. Check it out!
Auf der Autobahn des Lebens - dein roter Faden für die Gesetze des Lebens
What you'll learn: Whether you are a CPG startup or established company, you've dealt with the challenges of getting in-store at National Retail Channels. Today's episode is full of sage advice on how to get products in front of buyers, along with marketing strategies to raise awareness on products already in-store. As most business owners know, getting on the shelf is half the battle—it's how to stay there that matters. About our guest: Chris Rebsamen is a strategic senior sales/business development executive, with extensive 30 years' experience in the consumer product industry. He manages sales and marketing efforts in the National Retail Channel points of Distribution. Chris is driven by implementing innovation and generating new revenue at existing and new National Retail Accounts across all channels. He started Jupiter Sales and Marketing as a turnkey sales and marketing solution for CPG and consumer product companies that want to both learn and succeed in the end to end business of retail. JSM works with startups to established firms with revenues of up to $100MM per year. Key takeaways from this episode: Chris's path to founder of Jupiter Sales and Marketing—2:00 Park City, Utah's underrated entrepreneurial network—8:12 The biggest lesson startups learn the hard way when they get in-store—10:00 Top 3 retailers JSM accelerates in—10:25 The most common misconception entrepreneurs have when trying to get instore—12:55 Client example: what happens 2 years after getting in-store at Walmart?—14:00 What percent of JSM clients end up in-store? –15:10 Marketing strategies to raise product awareness once in-store—15:35 Your silent salesperson: product packaging—16:30 Sales strategies don't start with big-box retailers—17:20 Why CPG should start with regional sales stores—18:40 How to navigate tariffs on products already in-store—21:00 Pricing strategies, net margin & EBITA goals—22:20 CFO Controller: a key early investment for entrepreneurs—28:00 Key advice for entrepreneurs to hold onto capital in early stages of growth—28:45 The best strategy and channel for moving excess inventory—31:15 Get your FREE evaluation of your online sales strategy Episode References: http://www.jupitersalesandmarketing.com/ Contact Jeff Thiessen: chris@jupitersalesandmarketing.com Contact Luke: luke@retailband.com + LinkedIn Listen, Subscribe, Review: Apple Podcasts + Spotify Podcasts
Le Prix du Roman d’Entreprise et du Travail a 10 ans en 2019. A cette occasion nous avons interviewé François Rebsamen, Ministre du Travail d’avril 2014 à septembre 2015. L’ancien Ministre a choisi de nous partager deux livres qui associent les thèmes littérature et travail : Daewoo de François Bon et Les derniers jours de la classe ouvrière, d’Aurélie Filippetti. N'oubliez pas de vous abonner !
Über 20 Zentralschweizer Sportler sind an den Olympischen Winterspielen in Pyeongchang dabei. Zu ihnen gehören die Luzerner Zwillingsschwestern Rahel und Eveline Rebsamen. Die 23-jährigen sind im Bobteam von Sabina Hafner. Die erste Olympiateilnahme ist ein Traum, der in Erfüllung geht. Aber es soll für die Rebsamen-Schwestern nicht der letzte sein. Karin Strüby berichtet:
29o. programa de la 1ª temporada de “Las Lunas de Júpiter”Miércoles 27 de septiembre de 2017, 8:30 de la noche. (horario de la Ciudad de México)Con Nadia Luna e Itzel Reyes
29o. programa de la 1ª temporada de “Las Lunas de Júpiter”Miércoles 27 de septiembre de 2017, 8:30 de la noche. (horario de la Ciudad de México)Con Nadia Luna e Itzel Reyes
Le 19 mai dernier, le ministre du travail, François Rebsamen annonçait que la généralisation du CV anonyme n'aurait pas lieu comme prévu. A la place, 13 mesures pour lutter contre les discriminations en entreprise. Ce soir dans la Matinale on essaye de comprendre si cette mesure est une bonne chose. Pour en parler, on reçoit Samuel Thomas, vice président de La Maison des Potes et de l'égalité qui défend le CV anonyme. Comme toujours vous retrouvez le docteur de la rédaction, Guillaume qui a des travaux pratiques à vous faire bosser ce soir ! Et évidemment un quizz pour tester vos idées reçues. En deuxième partie d'émission place au volontariat avec le Printemps des chantiers de bénévoles et des volontariats. Les vacances d'été approchent à grand pas, pourquoi ne pas devenir bénévole en travaillant sur des chantiers à travers la France, ou même à travers le monde ? Entre bonne action, rencontres interculturelles et intergénérationnelles, Joanna Robert membre de Cotravaux, l'association à l'origine de cette campagne, est notre invitée. Et bien sûr Hugo vient pour son actu'Expo en continuant son tour des galeries. Une autre façon d'aborder l'art ! Présentation : Thibaud Texeire / Réalisation : Florian Chevassu / Co-interview : François Leroy et Laura Démocrite / Chroniques : Guillaume Gonçalves et Hugo Garros / Coordination : Elsa Landard / Web : Laura Démocrite
Le 19 mai dernier, le ministre du travail, François Rebsamen annonçait que la généralisation du CV anonyme n'aurait pas lieu comme prévu. A la place, 13 mesures pour lutter contre les discriminations en entreprise. Ce soir dans la Matinale on essaye de comprendre si cette mesure est une bonne chose. Pour en parler, on reçoit Samuel Thomas, vice président de La Maison des Potes et de l'égalité qui défend le CV anonyme. Comme toujours vous retrouvez le docteur de la rédaction, Guillaume qui a des travaux pratiques à vous faire bosser ce soir ! Et évidemment un quizz pour tester vos idées reçues. En deuxième partie d'émission place au volontariat avec le Printemps des chantiers de bénévoles et des volontariats. Les vacances d'été approchent à grand pas, pourquoi ne pas devenir bénévole en travaillant sur des chantiers à travers la France, ou même à travers le monde ? Entre bonne action, rencontres interculturelles et intergénérationnelles, Joanna Robert membre de Cotravaux, l'association à l'origine de cette campagne, est notre invitée. Et bien sûr Hugo vient pour son actu'Expo en continuant son tour des galeries. Une autre façon d'aborder l'art ! Présentation : Thibaud Texeire / Réalisation : Florian Chevassu / Co-interview : François Leroy & Laura Démocrite / Chroniques : Guillaume Gonçalves & Hugo Garros / Coordination : Elsa Landard / Web : Laura Démocrite
Hello, welcome back ladies and gentlemen!Rarely do I ever have, during a day of broadcasting, a better opportunity to clearly contrast progressive ideology and free market, freedom based ideology, and the economic principles and outcomes it creates.As you know, on this show, our main goal is to inspire and to educate, and to entertain, on the principles of economics, of free markets, on capitalism, and on freedom and liberty. In the stack today, we’re going to talk about socialism and it’s effects here.Hillary Clinton, most recently, said some things at a recent fundraiser about businesses and creating jobs. More, from the party of ‘you didn’t build that’ coming out of Hillary Clinton. Apparently, hundreds of people, if not thousands of people over the last several years, are giving up their U.S. citizenship.They’re just giving it up and moving away so we’re going to talk about why that is as well as the principles that we are adhering to right now that’s causing to flood out what is still in my opinion one of the greatest countries on Earth, one of the freest and most successful countries on Earth. Why are people leaving? French unemployment: I know it’s rare to talk about French unemployment here on this show that’s basically has an American audience. But it’s important because French unemployment is skyrocketing.It’s at all time highs. And the question is why? What’s happening over there? What’s causing unemployment rising so high? Youth unemployment in France is 50%. Half of youth in France who are looking for work can’t find a job. And we’re going to discuss why that is, what people need to do and what changes need to happen in France in order to put it back together.Then, we’ve got some other stuff in the stack. One of the surest ways to ensure your untimely death is to call the suicide prevention hotline and tell them that you’re suicidal.Man in Roy, Utah placed a call to a suicide prevention hotline at 4am Tuesday morning threatening to kill himself. Several hours later, he was shot and killed by police.So, if we have time we’ll get to that. -----If you would like to discuss anything with John about the show, email him at Jason@TheLiveShow.TVYou can also use the hashtag #TheLiveShowFollow Jason on Twitter: www.Twitter.com/TheLiveShowTVFollow Us on Facebook: www.Facebook.com/TheLiveShowTV-----If you are really enjoying the show and would like to support what we're doing at The Live Show, please consider donating to our cause. You can do that at www.Patreon.com/TheLiveShow-----Are you interested in advertising on The Live Show?Reach out to us at Advertising@TheLiveShow.TVWe’d love to talk with you.-----SponsorsTrade Pro Futures: http://tradeprofutures.com/The industry's top futures and forex trading platforms.Trade Empowered: http://www.tradeempowered.com/Learn how to day-trade, swing-trade, or become a profitable long term trader.Main Street Alpha: http://mainstreetalpha.com/A social site that links up professional successful traders with verifiable track records to capital.----- Let’s start off about this Hillary Clinton situation.If you remember back, President Obama talked with a group of supporters that people who are successful in America did not get there on their own, that if they have a large successful company that they didn’t build that. And somebody else made that happen, someone else helped them along the way. The general premise his argument is this old argument that we’re all in this together, that no single man creates an industry on his own. No he doesn’t, it always requires cooperation.But, the Democrat Party is the party of ‘it takes a village’ and they think that that’s at odds with libertarian beliefs. It’s not. No one thinks that a man gets to where he is on his own. It’s only through cooperation and, what we would say, free cooperation between people that things happen. What progressives will have you believe is that the government is responsible for the success or failure of a nation. And, that is true in the sense that the laws and mandates that it puts into place will either hamper or support the free market system. But it is not the government controls, it is not the government deciding on one hand or the other who will win or lose that ultimately determines whether or not a country is going to be successful, of whether it is adhering to these principles of free market and liberty.Hillary Clinton says,“Don’t let anybody tell you that it's corporations and businesses that create jobs. You know that old theory, trickle-down economics. That has been tried; that has failed. It has failed rather spectacularly.”And, let me break this down here.Number one, I’m going to show case possible Presidential candidate, Hillary Clinton, her stupidity as is most of the people in Washington are in their understanding of basic tenets of economics. The second thing that I am going to do is destroy this concept of trickle down economics.Hillary starts out by attacking who creates jobs. Now, she doesn’t say who actually creates jobs but the inference is if companies and corporates don’t create jobs then government must create jobs, the hirer of last resort.The second thing that she does is she tries to attach this idea of who creates jobs to the ideas of trickle down economics. Now, I would submit, she’s right in the sense that companies do not create jobs. A company is nothing more than a physical structure. A company can no more create jobs than a rock can create jobs. People create jobs. People who start companies. People who work at companies. People who make decisions inside of companies creates jobs.A corporation is nothing more than a collection of shareholders or individuals who run the company. A corporate is a box, it’s brick and mortar, it’s plaster. So you have to understand that when you are talking about a corporation, you are talking about individuals making decisions that either grow a company or destroy a company. But if a corporate does not create jobs then who does?Well, the people inside of that company do.And she talks about trickle down economics and tries to connect the fact that this theory that money will flow from the top down to the bottom. What progressives are attempting to suggest is that if you pump money directly into the poorest of people, that will in fact raise everyone up out of poverty, that the poor will have more money which means the middle class will have more money, which means they will spend money, which means that those who are at the top will get a portion of that wealth. Here’s the problem: there is no such thing as trickle down economics.This is not an economic principle. No economist in history has ever discussed or promoted a theory of trickle down economics. The word was created by progressives in an attempt to explain a economic principle that they did not understand. So, if trickle down economics is not a real thing, what is the missed understanding?Well, the misunderstanding is this. The progressives believe that free market economics requires that you pump money directly, you give money through subsidies or tax rebates to the richest people in the world and that somehow sparks growth and it will trickle down to those at the lowest level of society. And that’s why they always try to classify tax cuts for the rich as being trickle down economics.The issue is they are wildly inaccurate in what tax cuts do. Milton Friedman talks about this. What do rich people do with their money? They invest it. What do they invest it in? In companies and in stocks, which turn around and do what?They invest it in growth of their company. You see, capital investment is the key to growth.If you want a country to grow, if you want companies to grow, you have to invest in that company. Now, that can be done by the owner investing with his own capital or by going to Wall Street and saying to people ‘come invest in my company.’But what they don’t understand is when you invest in a company, the first dollars that get invested end up going to other people, not to the top 1%. They go to the workforce, they go to the contractors, they go to the research and development that goes on inside the company. It’s only after when those principles, those ideas are put to test in the free market do they see the potential for wealth coming back the other direction.What progressives fail to understand is that those people who save and invest who actually creates jobs, who actually grows the economy. It is not the fact that people at the bottom spend money. It’s the fact that people at the top, people who have money to invest and risk are willing to invest that capital. And the less capital they have to risk, the more difficult they make the process, the harder that it is going to be for an economy to grow. To illustrate my point, I want to read from Thomas Sowell.He’s so good, unlike other economists, what Thomas does is he explains the economic principles that perform best, that do the most to create the most amount of freedom and liberty for all people. He explains it in a way that every single person in America and around the world can understand.And what we’re really talking about here when we talk about corporations not creating jobs, trickle down economics is they are railing against tax cuts for corporations, tax cuts for ‘the rich’.Here’s a quote from Thomas Sowell:The “Trickle Down” Economics Straw Manhttp://capitalismmagazine.com/2001/09/the-trickle-down-economics-straw-man/The real effect of a reduction in the capital gains tax rate is that it opens the prospect — only the prospect — of greater future net profits. But that is enough to provide incentives for making current investments.Those who imagine that profits first benefit business owners — and that benefits only belatedly trickle down to workers — have the sequence completely backward. When an investment is made, whether to build a railroad or to open a new restaurant, the first money is spent hiring people to do the work. Without that, nothing happens.Money goes out first to pay expenses first and then comes back as profits later — if at all. The high rate of failure of new businesses makes painfully clear that there is nothing inevitable about the money coming back.Even with successful businesses, years can elapse between the initial investment and the return of earnings. From the time when an oil company begins spending money to explore for petroleum to the time when the first gasoline resulting from that exploration comes out of a pump at a filling station, a decade may have passed.You see, when you cut taxes on ‘the rich’, when you cut taxes on the investments people make, what you are doing is you are opening up the prospect and only the prospect of greater future net profits. And that investment that is made first goes not to the pockets of the rich and powerful, but to the worker.If you want the clearest demonstration of true trickle down economics, you need to only look as far as the recent actions taken by the Federal Reserve. One that economists like Paul Krugman, politicians like Hillary Clinton and President Obama support. And it is the idea of directly funneling money, pumping money into the economy. John Maynard Keynes is an economist who believed in the theory of deficit spending.There is absolutely a benefit to government spending during a recession. And what the Keynesians want is when the economy begins to slow down, that the Federal Reserve and the Federal government should step in and print whatever money is necessary and pump that money directly into the economy in order to stimulate to keep the economy afloat. And then as the economy comes roaring back, they suck that money out through higher taxes and through higher interest rates. Although the theory is sound, the problem is, in reality what ends up happening?What ends up happening is, we end up spending money during the deficit period and then as the market comes roaring back, nobody wants to raise taxes.No politician wants to claw that money back by raising taxes or increasing interest rates. So what we get is a constant steady increase in the dollars in circulation, in the debt the country incurs, and an increase in regulation, which is not what Keynes espoused.But the clearest form of what trickle down economics is if you look at the current spending. What they did is they injected capital directly into the economy and who did they give it to? They did that through offering 0% interest rates to the banks.The banks then reconstituted their balance sheets, they ended up loaning out that money to large corporations who they had almost no chance of losing money on at very high margins so the banks start to see record profits coming in.Now, try to get a loan for a home or a small business. Those loans are extremely hard to come by.Why? Because interest rates are so low. Nobody wants to loan out money to a small business where the risk is high and the return on investment is low.They would much rather hold that money on reserve now that they’ve reconstituted their balance sheets and loan it out as interest rates increase or they want to put their money into large corporations that have a very low chance of defaulting on the debt.And, as we see, that form of direct trickle down economics, if you want to use the term in the progressive philosophy of how we ought to be spending money, what do we see? Who gets hurt? The people that get hurt are the people at the bottom.What do we see? The greatest wealth disparity in history in the United States exists now.Why? It’s because of the very principles that the Federal Reserve and our government are promoting. That’s what’s causing this wild disparity in wealth.It has nothing to do with tax cuts for the rich. It has to do with the economic policy of progressives in Washington and a Federal Reserve that’s taking the approach of stimulating, providing assets and resources, to the richest in the United States to the detriment of the poorest.True trickle down economics is practiced by progressives, not by conservatives, certainly not by free market capitalists.We live in a society now where you are not restricted by the country that you live in, where corporations are not restricted, where individuals are not restricted. You can live, work, start a company anywhere in the world.This is how bad it’s gotten that our government is starting to create policies to keep people in. Tax policies that force companies and prevent companies from going overseas, forcing them to stay inside the country so that they can collect the tax dollars.These are the policies that we are now seeing in America. This is how our government attempts to fix the economic issues that we’re faced with. And what do you see? You see 9,000 Americans over the past 5 years have turned in their passport. 2,300 people in this year alone. Hundreds Give Up U.S. Passports After New Tax Rules Starthttp://www.bloomberg.com/news/2014-10-25/hundreds-give-up-u-s-passports-after-new-tax-rules-start.htmlThe number of Americans renouncing U.S. citizenship increased 39 percent in the three months through September after rules that make it harder to hide assets from tax authorities came into force.People giving up their nationality at U.S. embassies increased to 776 in the third quarter, from 560 in the year-earlier period, according to Federal Register data published yesterday.Tougher asset-disclosure rules that started July 1 under the Foreign Account Tax Compliance Act, or Fatca, prompted more of the estimated 6 million Americans living overseas to give up their passports. The appeal of U.S. citizenship for expatriates faded further as more than 100 Swiss banks began to turn over data on American clients to avoid prosecution for helping tax evaders.The U.S., the only Organization for Economic Cooperation and Development nation that taxes citizens wherever they reside, stepped up the search for tax dodgers after UBS AG (UBSN) paid a $780 million penalty in 2009 and handed over data on about 4,700 accounts. Shunned by Swiss and German banks and with Fatca starting, more than 9,000 Americans living overseas gave up their passports over the past five years.What does this tell us? What this tells us is that people will find a way. That you cannot legislate control over the free market. That if you do so, people will start to change their habits. Also, companies, as we’ve said before they’re nothing more than groups of people, will find a way.If you tell a company, look, you cannot incorporate overseas, guess what they say? They’ll say, that’s fine. They’ll create a company overseas, that company will buy all of the assets from company A and now it will become an overseas company. Now, we will lose all tax revenues just like we’re losing the tax revenues of those 9,000 individuals, high net worth folks, who have just decided to say ‘I’m done’. Now, I don’t care if you agree with that or not. You can call them tax dodgers or un-American. It doesn’t matter. The point is the money is gone.Those are producers. They are people that create wealth who are saying it’s so bad in America that I am willing to give up my American citizenship. Can you imagine someone in 1950 saying that?It is so bad here that I would rather be a man without a country. Or I would rather go live in Switzerland than be an American. We have got to change.Now, if you want to see what it looks like, if you want to see where we’re going, and what these policies actually look like when they’re fully implemented, you need to look at France. French unemployment hits new record highhttp://www.france24.com/en/20141024-france-unemployment-rises-new-record-high/Data from France’s labor ministry showed unemployment rose by 0.6 percent last month, after the modest 0.3 rise it experienced in August.“Let’s be honest, we are failing,” French Labor Minister François Rebsamen told Le Parisien newspaper on Friday in an unusually candid acknowledgement of France's massive unemployment problem.We can look at France right now at this very moment and we can see the outcome of the policies that we are now implementing in the United States. We can see where we're going.The belief system that President Obama, Presidential Candidate Hillary Clinton, that the entire progressive party in America, the Democrat Party supports, is one of rampant unemployment, massive problems with youth unemployment, which is what we're seeing right now. The largest youth unemployment in history. More people on food stamps, unemployment insurance, than ever in history.This is not because there was a great stock market collapse or a housing implosion. It's been nearly 8 years. It has absolutely nothing to do with that. It has to do now with the policies that are in place that are causing those problems and the perpetuation of this cycle. Man calls suicide prevention hotline, SWAT team shows up and kills himhttp://axisoflogic.com/artman/publish/Article_67905.shtmlA Roy, Utah man, Jose Calzada, 35, placed a call to a suicide prevention hotline at 4:00 a.m. Tuesday morning and threatened to kill himself, seven hour later he was shot and killed by police, according to law enforcement.According to ABC 4, neighbors described Calzada as a quiet, friendly man, who was divorced and now lived in the home with his girlfriend and her children.The first tragic mistake in this case was made when the Weber County Consolidated Dispatch Center sent officers to the residence rather than some type of crisis response team trained to deal with suicidal individuals.From previous cases, such as that of Jason Turk, who was shot twice in the face after a suicide call to 9-1-1 by his wife, or that of Christian Alberto Sierra, who was suffering from depression and had attempted suicide when police showed up and shot him four times, killing him, most know all too well what happens when you send officers to “assist” people threatening suicide.Subsequently, a SWAT team came to the residence and “negotiated” with Calzada for more than seven hours before taking his life.“At some point those negotiations failed and unfortunately the SWAT team was involved in a shooting, and the subject is now deceased,” said Roy PD spokesman Matt Gwynn.Support the show.