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durée : 02:29:58 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - / - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marc Lavergne Directeur de recherche émérite au CNRS, au laboratoire CITERS de l'Université de Tours; Xavier Timbeau Économiste, directeur de l'Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE); Giuliano da Empoli Essayiste, romancier et ancien conseiller politique de Matteo Renzi
Le Soudan accuse les Emirats arabes unis d'être le moteur d'un génocide au Darfour. Les Emirats Arabes unis sont soupçonnés de financer les Forces de soutien rapide (FSR), accusées de cibler, puis de massacrer les populations non arabes dans la région.
Al Capítol 57 de La nova mobilitat parlem amb en Manel Martínez, enginyer als Emirats Àrabs a la planta nuclear de Barakah, sobre el papel de l'energia nuclear en la transició cap a un transport més net de carboni.
durée : 00:08:15 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Plusieurs dizaines de grands narcotrafiquants français se sont établis à Dubaï ces dernières années pour fuir la justice française. Comment expliquer les refus des Emirats d'extrader ces criminels ? Assistons-nous à un tournant vers une meilleure coopération judiciaire ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Eric Serfass Procureur adjoint chargé de la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée
« Dans leur vacarme habituel, relateLe Monde Afrique, deux Mirage 2000D de l'armée française et un appareil de ravitaillement ont décollé hier vers 13 heures de la base aérienne Adji Kosseï de N'Djamena, donnant ainsi le coup d'envoi au retrait des forces françaises stationnées au Tchad. Ce départ fait suite à la décision tchadienne de rompre les accords de coopération militaire avec la France, jugés “obsolètes“ et “surannés“ par le président, Mahamat Idriss Déby. » Le troisième et dernier Mirage français au Tchad devrait décoller ce mercredi.Désormais, pointe encore Le Monde Afrique, « le Tchad semble avoir trouvé d'autres partenaires sécuritaires. Son armée a récemment utilisé des drones de fabrication turque contre Boko Haram. La Hongrie s'est positionnée mais ce sont les Emirats arabes unis qui apparaissent aujourd'hui comme l'allié privilégié, fournissant à N'Djamena du matériel militaire et lui accordant en octobre un prêt de plus d'un milliard de dollars à un taux de 1 % sur 14 ans. »La Tchad est-il en capacité de prendre le relais ?En effet, préciseJeune Afrique, « N'Djamena a acquis en Turquie trois avions de combat légers Hürkuş, dont la capacité d'attaque reste toutefois limitée. Le pays a également reçu une livraison d'Ankara de deux drones de type Anka, conçus pour les missions de renseignement, mais pouvant être équipés de charges explosives pour des missions de destruction. Ces drones ont été récemment utilisés dans l'opération anti-terroriste Haskamite, dans le bassin du lac Tchad. Le Tchad se serait également équipé de drones fabriqués aux Émirats arabes unis, qui pourraient avoir accru sa capacité militaire aérienne. »Toutefois, s'interroge un ancien ministre tchadien interrogé par le site panafricain : « est-ce que le Tchad est en capacité, aujourd'hui, de prendre le relais sur le plan de la dissuasion aérienne française ? Est-ce que, demain, si des colonnes rebelles déferlent sur N'Djamena, l'armée tchadienne aurait les moyens aériens de les stopper ? Sans doute pas », affirme-t-il, tout en déplorant que la dénonciation des accords de coopération militaire avec la France a été, dit-il, « précipitée. »La question centrale de la souverainetéEn tout cas, analyse le siteAfrik.com, « cette décision de mettre fin à la coopération militaire avec la France est avant tout une affirmation de la souveraineté du Tchad. Cette question de la souveraineté est d'autant plus importante pour le Tchad qu'il se trouve au cœur d'un Sahel instable, où les attaques djihadistes, notamment de Boko Haram, et les conflits régionaux, comme la guerre au Soudan, créent un environnement particulièrement difficile. Malgré ces défis sécuritaires, le Tchad semble déterminé à réduire la dépendance militaire vis-à-vis de la France et à promouvoir un nouvel alignement stratégique. »D'ailleurs, poursuit Afrik.com, cette « décision de rompre les accords militaires avec la France a été largement soutenue par la population tchadienne. À N'Djamena, des manifestations massives ont eu lieu, rassemblant principalement des jeunes qui scandaient des slogans en faveur de l'indépendance militaire du pays. »Surprise ?Reste que ce départ des Mirage a surpris N'Djamena… C'est ce que remarque WakatSéra au Burkina Faso. « Alors qu'il avait demandé un retrait total au bout d'environ six mois, puis dans les plus brefs délais, le gouvernement tchadien ne s'attendait, visiblement pas, à ce que Paris respecte, à la lettre, cette injonction. Les conditions de départ du reste de l'armée française, dont ses 1000 soldats, qui séjournent au Tchad, pour lui prêter main forte dans la lutte contre la rébellion et autres groupes armés, ces conditions de départ, sont toujours sur la table des discussions entre les deux pays. (…) En tout cas, pointe encore WakatSéra, ce n'est certainement pas pour revenir sur sa décision, que le gouvernement tchadien marque sa surprise, car la souveraineté, par le Tchad proclamée, ne s'en accommoderait guère, au moment où des manifestations hostiles à l'armée française ont déjà commencé. »Enfin, nous revenons au Monde Afrique qui remarque que « ce départ des Mirage français survient au moment même où Mahamat Idriss Déby a été élevé, par décret présidentiel, au rang de “maréchal du Tchad“. Signe qu'il entend asseoir ce pouvoir dont il a hérité. Sept mois après son élection contestée par l'opposition, il devient le second personnage de l'histoire du pays à porter ce titre. Le premier était son père. »
« Dans leur vacarme habituel, relateLe Monde Afrique, deux Mirage 2000D de l'armée française et un appareil de ravitaillement ont décollé hier vers 13 heures de la base aérienne Adji Kosseï de N'Djamena, donnant ainsi le coup d'envoi au retrait des forces françaises stationnées au Tchad. Ce départ fait suite à la décision tchadienne de rompre les accords de coopération militaire avec la France, jugés “obsolètes“ et “surannés“ par le président, Mahamat Idriss Déby. » Le troisième et dernier Mirage français au Tchad devrait décoller ce mercredi.Désormais, pointe encore Le Monde Afrique, « le Tchad semble avoir trouvé d'autres partenaires sécuritaires. Son armée a récemment utilisé des drones de fabrication turque contre Boko Haram. La Hongrie s'est positionnée mais ce sont les Emirats arabes unis qui apparaissent aujourd'hui comme l'allié privilégié, fournissant à N'Djamena du matériel militaire et lui accordant en octobre un prêt de plus d'un milliard de dollars à un taux de 1 % sur 14 ans. »La Tchad est-il en capacité de prendre le relais ?En effet, préciseJeune Afrique, « N'Djamena a acquis en Turquie trois avions de combat légers Hürkuş, dont la capacité d'attaque reste toutefois limitée. Le pays a également reçu une livraison d'Ankara de deux drones de type Anka, conçus pour les missions de renseignement, mais pouvant être équipés de charges explosives pour des missions de destruction. Ces drones ont été récemment utilisés dans l'opération anti-terroriste Haskamite, dans le bassin du lac Tchad. Le Tchad se serait également équipé de drones fabriqués aux Émirats arabes unis, qui pourraient avoir accru sa capacité militaire aérienne. »Toutefois, s'interroge un ancien ministre tchadien interrogé par le site panafricain : « est-ce que le Tchad est en capacité, aujourd'hui, de prendre le relais sur le plan de la dissuasion aérienne française ? Est-ce que, demain, si des colonnes rebelles déferlent sur N'Djamena, l'armée tchadienne aurait les moyens aériens de les stopper ? Sans doute pas », affirme-t-il, tout en déplorant que la dénonciation des accords de coopération militaire avec la France a été, dit-il, « précipitée. »La question centrale de la souverainetéEn tout cas, analyse le siteAfrik.com, « cette décision de mettre fin à la coopération militaire avec la France est avant tout une affirmation de la souveraineté du Tchad. Cette question de la souveraineté est d'autant plus importante pour le Tchad qu'il se trouve au cœur d'un Sahel instable, où les attaques djihadistes, notamment de Boko Haram, et les conflits régionaux, comme la guerre au Soudan, créent un environnement particulièrement difficile. Malgré ces défis sécuritaires, le Tchad semble déterminé à réduire la dépendance militaire vis-à-vis de la France et à promouvoir un nouvel alignement stratégique. »D'ailleurs, poursuit Afrik.com, cette « décision de rompre les accords militaires avec la France a été largement soutenue par la population tchadienne. À N'Djamena, des manifestations massives ont eu lieu, rassemblant principalement des jeunes qui scandaient des slogans en faveur de l'indépendance militaire du pays. »Surprise ?Reste que ce départ des Mirage a surpris N'Djamena… C'est ce que remarque WakatSéra au Burkina Faso. « Alors qu'il avait demandé un retrait total au bout d'environ six mois, puis dans les plus brefs délais, le gouvernement tchadien ne s'attendait, visiblement pas, à ce que Paris respecte, à la lettre, cette injonction. Les conditions de départ du reste de l'armée française, dont ses 1000 soldats, qui séjournent au Tchad, pour lui prêter main forte dans la lutte contre la rébellion et autres groupes armés, ces conditions de départ, sont toujours sur la table des discussions entre les deux pays. (…) En tout cas, pointe encore WakatSéra, ce n'est certainement pas pour revenir sur sa décision, que le gouvernement tchadien marque sa surprise, car la souveraineté, par le Tchad proclamée, ne s'en accommoderait guère, au moment où des manifestations hostiles à l'armée française ont déjà commencé. »Enfin, nous revenons au Monde Afrique qui remarque que « ce départ des Mirage français survient au moment même où Mahamat Idriss Déby a été élevé, par décret présidentiel, au rang de “maréchal du Tchad“. Signe qu'il entend asseoir ce pouvoir dont il a hérité. Sept mois après son élection contestée par l'opposition, il devient le second personnage de l'histoire du pays à porter ce titre. Le premier était son père. »
La réunion des Brics+, regroupant neuf pays : Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, Iran, Egypte, Emirats arabes unis et Ethiopie, a eu lieu à Kazan en Russie du 22 au 24 octobre. Que pouvons-nous tirer de cette réunion ? Est-ce que les pays africains peuvent faire confiance aux Brics+ ? Eric Topona en parle avec ses invités sous l'arbre à palabres.
Sujets traités : Justice, dans l'affaire du meurtre d'un Afghan à Colmar, les quatre condamnés font appel. Le 11 octobre dernier, la cour d'assises des mineurs du Haut-Rhin avait respectivement condamné le tireur et le fournisseur de l'arme, âgé de 17 et de 18 ans au moment des faits, à 25 et 20 ans de réclusion. Deux amis du duo, alors âgés de 20 et 21 ans, avaient eux aussi été condamnés à 10 ans de réclusion pour complicité. Ces quatre jeunes seront donc tous rejugés prochainement par une autre cour d'assises des mineurs. La victime, un réfugié afghan âgé de 27 ans, avait été tuée par arme à feu le 14 août 2022, après avoir demandé à ces jeunes de faire moins de bruit avec leur scooter.Après la collision mortelle de mercredi sur l'A35, les dépistages d'alcool et de stupéfiants se sont révélés négatifs pour les deux conductrices. Il était environ 19h30 lorsque deux véhicules se sont percutés au niveau de Colmar, dans le sens Bâle vers Strasbourg, entrainant la mort d'une femme de 81 ans. D'après les premières constations, la Peugeot 206 de l'octogénaire se trouvait déjà sur l'autoroute quand celle-ci a été percutée latéralement au niveau d'une bretelle d'accès. La conductrice du deuxième véhicule, une femme de 51 ans, a été légèrement blessée et évacuée à l'hôpital Pasteur. Cette dernière devrait être auditionnée prochainement. Une enquête est ouverte pour éclaircir les circonstances de ce drame.Débat en Alsace, après des propos de Gérald Darmanin à l'Assemblée Nationale. Lors de débats tardifs en ce début de semaine, l'ex-ministre de l'Intérieur avait pris la parole au sein de l'hémicycle en écorchant le nom du député de la circonscription de Sélestat-Erstein Charles Sitzenstuhl, avant d'ajouter, je cite « S'il était né dans le Nord-Pas-de-Calais comme moi, on n'aurait pas ces problèmes ! ». Fin de citation. Une non-polémique pour le principal intéressé, contacté par nos confères de France Bleue Alsace, qui rappelle son amitié avec Gérald Darmanin. De son côté, Emmanuel Fernandes, l'un des députés de Strasbourg, ne voit pas les choses du même œil. Sur sa page Facebook, l'élu LFI a dénoncé la glottophobie de l'ancien Ministre de l'Intérieur et affirme être allé le voir pour lui signaler.Pas moins de 80 destinations à découvrir jusqu'au 30 mars prochain. Le plan de vol pour l'hiver 2024 / 2025 sera lancé ce dimanche du côté de l'EuroAirport de Bâle- Mulhouse. De Chypre au Danemark, en passant par la Grèce et les Emirats arabes unis, ces destinations sont à découvrir sur le site euroairport.com. De nouvelles liaisons seront aussi proposées à destination de Londres, Rabat, Séville et Valence.Les œuvres de l'église Saint-Georges de Marckolsheim ont retrouvé leur emplacement d'origine ! Le Christ aux outrages et le retable évoquant la généalogie du Christ, avaient été décrochées en août 2023 dans l'objectif d'être restaurés et exposés au musée Unterlinden de Colmar. La première œuvre, un tableau classé aux monuments historiques, serait d'origine bavaroise et daterait de 1420. Le retable daterait quant à lui de la fin du XVème siècle.Et on termine ce journal par un mot de sport. On commence avec du handball. Le SAHB se déplace ce soir du côté de Caen, pour le compte de la 8ème journée de Proligue. Le coup d'envoi est à 20h30. En football, le Racing Club de Strasbourg compte bien rattraper sa défaite du week-end dernier face au Paris-Saint-Germain, 4 à 2. Pour cela, les Bleus vont affronter en Ligue 1 le FC Nantes ce dimanche à 17h au stade de la Meinau.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur la mort d'un opposant russe pro-Kiev, la reprise de la montagne Moya par l'armée soudanaise et le recours au « fracking » aux Etats-Unis. France : le fils d'Oussama Ben Laden interdit de territoire Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a prononcé « une interdiction administrative du territoire » à l'encontre d'Omar Bin Laden, fils d'Oussama Bin Laden, fondateur de l'organisation terroriste Al-Qaida. Comment expliquer cette décision alors qu'il avait vécu légalement en France pendant six ans ? Avec Amélie Beaucour, journaliste au service France de RFI. Ukraine : un opposant russe pro-Kiev tué sur le front Ildar Dadine, un opposant russe qui avait choisi de prendre les armes contre son pays pour défendre l'Ukraine, a été tué sur le front. Pourquoi s'était-il rangé du côté des Ukrainiens ? Il était membre de la Légion liberté de la Russie, quel est le poids de ce groupe de volontaires russes ? Avec Denis Strelkov, journaliste au service en langue russe de RFI. Soudan : l'armée reprend le contrôle d'un site stratégique Après plusieurs jours de combats acharnés contre les paramilitaires des Forces de Soutien Rapide (FSR), les Forces armées du Soudan ont repris la montagne Jebel Moya. Cette victoire est-elle un tournant dans la guerre ? Pourquoi l'armée du général Al-Burhan accuse-t-elle les Emirats arabes unis de soutenir les FSR ? Avec Roland Marchal, chercheur au CNRS, basé à Sciences Po Paris, spécialiste de l'Afrique de l'Est. Etats-Unis : pourquoi le « fracking » est un enjeu de la campagne électorale ? Le recours à la fracturation hydraulique, ou « fracking », a permis aux Etats-Unis de devenir le premier producteur mondial de pétrole et de gaz. Pourquoi cette technique ne fait-elle pas l'unanimité aux Etats-Unis ? Est-elle vraiment bénéfique pour l'économie américaine comme l'affirment les deus candidats ? Avec Thierry Bros, professeur à Sciences Po Paris, expert en pétrole, énergie et climat.
Wirtschaftswunder, Gesellschaftsmodell, globaler Magnet: Die erstaunliche Entwicklung Dubais unter der Lupe. In der heutigen Episode tauchen Philip Hopf und Kiarash Hossainpour tief in die acht Grundprinzipien ein, die den kometenhaften Aufstieg des Emirats zur Weltmetropole geprägt haben. Sie analysieren Dubais einzigartiges Modell der Staatsführung, seine wirtschaftliche Strategie und seinen Umgang mit Talenten aus aller Welt. Welche Lehren können andere Länder aus Dubais Erfolg ziehen? Quellen: https://hosshopf.notion.site/Das-Dubai-Paradox-Freiheit-durch-8-strenge-Regeln-1157066c0c5a807493edd992bd609ecb
Les enfants sont les premières victimes de la guerre à Gaza. Ce conflit sanglant qui oppose Israël au Hamas a déjà fait plus de 36 000 morts, dont plus de 14 000 enfants d'après les Nations-Unies. Nombre d'entre eux sont décédés faute de soins. Pour tenter de sauver quelques jeunes vies, plusieurs pays organisent des évacuations d'enfants blessés ou victimes de maladies chroniques depuis l'Égypte. Sophie Guignon a suivi un vol d'évacuation organisé par les Émirats Arabes Unis. L'objectif de la pétromonarchie du Golfe est d'accueillir 2000 Gazaouis blessés ou gravement malades. Merci pour votre écoute Le fin Mot c'est également en direct tous les jours de la semaine de 18h30 à 19h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Le fin Mot sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23283 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Un PIB multiplié par cinq en 20 ans, une politique d'investissements géants, une diversification économique tous azimuts : les Émirats Arabes Unis et leur fleuron Dubaï sont devenus une puissance majeure au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe. RFI vous propose un dossier spécial avec deux émissions tournées dans cette ville en pleine expansion et qui tente de répondre aux nombreuses critiques notamment sur son opacité financière ainsi que sur sa dépendance aux hydrocarbures. La première de ces deux émissions s'intéresse aux investissements de grande ampleur passés, en cours ou à venir aux Émirats arabes unis et plus largement dans les États du Golfe, notamment l'Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Bahreïn, le Koweït ou l'Irak. Parmi leurs grands partenaires, la France dont de nombreuses entreprises ont décidé de se lancer sur ces marchés attractifs bien que très concurrentiels. À l'occasion du sommet Vision Golfe, les 4 et 5 juin 2024 au ministère de l'Économie à Paris, nous avons décidé de leur donner la parole pour qu'elles expliquent leur choix, leurs réussites mais aussi leurs difficultés pour s'implanter dans cette région, malgré les risques géopolitiques.NOS INVITÉS :- Axel Baroux, directeur de Business France pour le Proche et le Moyen-Orient- Pascal Dufour, vice-président de Digital Virgo chargé du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique du Nord- Valérie Hawley, directrice du Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de l'Université Sorbonne - Abu Dhabi (SCAI).Transition énergétique, finance, fiscalité, tourisme, technologie, recherche, recrutement de talents : les sujets sont multiples pour cet échange rythmé par plusieurs témoignages d'acteurs économiques installés aux Emirats arabes Unis : François Dao (vice-président d'EDF Renouvelables pour la région Moyen-Orient et Afrique), Geoffrey Bunetel (directeur de cabinet du président du Groupe Chalhoub), Nathalie Martial-Braz, vice-chancelière de l'Université Paris Sorbonne Abu Dhabi, Zakaria Elabid (étudiant-chercheur au Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de la Sorbonne Abu-Dhabi).Cette émission enregistrée dans les locaux de Business France est l'un des éléments d'un large dossier que vous propose RFI à l'occasion de Vision Golfe. Reportages, analyses et vidéos pour comprendre comment Dubaï est devenue un hub économique incontournable, au carrefour de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique. Le samedi 1er juin 2024, Éco d'ici Éco d'ailleurs sera ainsi totalement consacré aux liens économiques entre Dubaï et le continent africain.
Un PIB multiplié par cinq en 20 ans, une politique d'investissements géants, une diversification économique tous azimuts : les Émirats Arabes Unis et leur fleuron Dubaï sont devenus une puissance majeure au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe. RFI vous propose un dossier spécial avec deux émissions tournées dans cette ville en pleine expansion et qui tente de répondre aux nombreuses critiques notamment sur son opacité financière ainsi que sur sa dépendance aux hydrocarbures. La première de ces deux émissions s'intéresse aux investissements de grande ampleur passés, en cours ou à venir aux Émirats arabes unis et plus largement dans les États du Golfe, notamment l'Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Bahreïn, le Koweït ou l'Irak. Parmi leurs grands partenaires, la France dont de nombreuses entreprises ont décidé de se lancer sur ces marchés attractifs bien que très concurrentiels. À l'occasion du sommet Vision Golfe, les 4 et 5 juin 2024 au ministère de l'Économie à Paris, nous avons décidé de leur donner la parole pour qu'elles expliquent leur choix, leurs réussites mais aussi leurs difficultés pour s'implanter dans cette région, malgré les risques géopolitiques.NOS INVITÉS :- Axel Baroux, directeur de Business France pour le Proche et le Moyen-Orient- Pascal Dufour, vice-président de Digital Virgo chargé du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique du Nord- Valérie Hawley, directrice du Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de l'Université Sorbonne - Abu Dhabi (SCAI).Transition énergétique, finance, fiscalité, tourisme, technologie, recherche, recrutement de talents : les sujets sont multiples pour cet échange rythmé par plusieurs témoignages d'acteurs économiques installés aux Emirats arabes Unis : François Dao (vice-président d'EDF Renouvelables pour la région Moyen-Orient et Afrique), Geoffrey Bunetel (directeur de cabinet du président du Groupe Chalhoub), Nathalie Martial-Braz, vice-chancelière de l'Université Paris Sorbonne Abu Dhabi, Zakaria Elabid (étudiant-chercheur au Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de la Sorbonne Abu-Dhabi).Cette émission enregistrée dans les locaux de Business France est l'un des éléments d'un large dossier que vous propose RFI à l'occasion de Vision Golfe. Reportages, analyses et vidéos pour comprendre comment Dubaï est devenue un hub économique incontournable, au carrefour de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique. Le samedi 1er juin 2024, Éco d'ici Éco d'ailleurs sera ainsi totalement consacré aux liens économiques entre Dubaï et le continent africain.
durée : 00:07:09 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - L'équivalent de près de deux ans de précipitations se sont abattues sur les Emirats arabes unis mardi 17 avril 2024. Emma Haziza hydrologue, experte en adaptation climatique, explique pourquoi cet épisode a pris une ampleur exceptionnelle.
durée : 00:03:17 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - En Egypte, la banque centrale vient d'annoncer une nouvelle dévaluation vertigineuse, la situation économique est tellement grave que l'état a commencé à céder des lieux emblématiques du pays à des investisseurs émiratis
Le monde a changé d'échelle, on le voit au travers de quelques chiffres absolument délirants. L'économie, c'est de la psychologie, bien entendu, mais c'est aussi des chiffres et ce sont surtout des chiffres. Mais voilà, les chiffres d'aujourd'hui n'ont plus rien à voir avec ceux d'hier ou d'avant-hier. Aujourd'hui, tout se compte en milliards de dollars, voire en milliers de milliards de dollars. Ce changement d'échelle montre à lui seul que nous sommes en train de changer de monde et sans nous en rendre compte. Prenez les sociétés cotées en Bourse. Quand Apple avait franchi, il y a quelques années à peine, la barre des 1000 milliards de dollars de capitalisation boursière, même les investisseurs les plus blasés se frottaient les yeux. Aujourd'hui, la valeur d'Apple en Bourse est de 3000 milliards de dollars. Et cet exploit n'est plus un exploit puisqu'il est aujourd'hui partagé par six autres sociétés, les sept magnifiques et il n'y a pas un gérant de bourse qui ne les a pas en portefeuille. Katie Wood, à la bourse de New-York tout le monde la connaît car elle avait réussi en 2020 l'exploit d'avoir enregistré avec l'un de ses fonds une performance de 150% car elle avait misé avant les autres sur les actions Tesla. Suite à des calculs très compliqués début d'année 2023, elle est arrivée à la conclusion qu'elle devait vendre ses actions Nvidia, qui fait partie de sept magnifiques. Mais la grande prêtresse des actions technologiques s'est plantée. Et quand je vous disais que nous avons changé d'échelle, on le voit aussi dans les levées de fonds avec Sam Altman, le PDG de OpenAI… Mots-Clés : spécialiste, puces électroniques, intelligence artificielle, résultat, chiffres délirants, fonds en actions, perte, avis, Morningstar, société, analyse, performances, fonds, monde, gérant, américain, valeur, clients, transformer, industrie, semi-conducteurs, anticiper, Emirats, investisseurs, dettes, secteur,énergie, échelle, transition, ressources, renouvelables, écologiques, Agence, internationale, sensation, serpent, aveugle. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Fin décembre 2023, le parquet de Paris annonçait qu'un avion d'une compagnie aérienne roumaine Legends Airlines et devant relier les Emirats arabes unis au Nicaragua était bloqué sur un aéroport français à Vatry dans la Marne. A son bord, 303 passagers indiens. Pourquoi avoir stoppé là cet avion qui ne faisait qu'une escale technique pour son carburant ? La police française avait anonymement été informée que ces passagers étaient susceptibles d'être victimes de traite des êtres humains. Deux hommes à bord de l'avion ont été d'abord arrêtés, ils avaient en leur possession une forte somme d'argent et les passeports de tous les passagers. L'enquête montra qu'il s'agissait d'un projet groupé d'immigration illégale aux Etats-Unis formé par des Indiens qui, pour partie, travaillaient aux Emirats et qui passaient par l'Amérique centrale où ils avaient des facilités de visas. Après 3 jours d'enquête, le 25 décembre, la quasi-totalité des passagers sont repartis en Inde, 25 ont demandé l'asile politique en France.Cette histoire de Noël illustre parfaitement l'ampleur et la complexité du fait migratoire aujourd'hui, mais elle est d'abord celle d'individus ballotés d'un pays à l'autre, de passeurs à d'autres et qui cherchent prioritairement à améliorer leurs conditions d'existence.
Les Brics, un groupe qui comptait le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud ont changé de nom : il faut désormais parler des BRICS +. En effet, cinq nouveaux pays, l'Ethiopie, l'Iran, l'Arabie saoudite, l'Egypte et les Emirats arabes unis sont depuis hier membres à part entière de l'organisation. Une vingtaine de pays étaient candidats. Ces Etats considèrent qu'ils ne sont pas assez bien représentés dans les organisations internationales, que leur poids économique, démographique, voire politique n'est pas assez considéré, et refusent un ordre mondial imposé par les puissances occidentales. Mais ils sont loin de former un groupe homogène.Avec notre invité : - Jean-Joseph Boillot, économiste conseiller à l'Iris pour les grands pays émergeants
Des nuits blanches et des heures de négociations entre les délégations de près de deux cents pays… Les derniers instants de la 28e Conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP28) ont été intenses mais déterminantes pour aboutir à un consensus. A la clé : un texte validé mercredi 13 décembre par toutes les parties présentes à ce sommet, qui se tenait cette année à Dubaï, aux Emirats arabes unis.Cet accord est qualifié « d'historique » car il mentionne pour la première fois les énergies fossiles et la nécessité d'une « transition » pour en sortir. Une mention qui était loin d'être gagnée d'avance, car les pays du Golfe et les Etats-Unis ne souhaitaient pas que ces combustibles soient précisément nommés dans le texte, contrairement à l'Union européenne, aux représentants des petites îles et à de nombreux pays d'Amérique latine.Mais cette mention suffit-elle à engager les Etats dans les faits ? Matthieu Goar est spécialiste des questions climatiques au Monde. Il fait, dans cet épisode de « L'Heure du Monde », le bilan de ce sommet pour le climat.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation : Florentin Baume. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait du discours de Sultan Al-Jaber, à Dubaï, le 13 décembre.---Retrouvez ici l'article de Matthieu Goar : COP28 : un accord historique trouvé à Dubaï sur une « transition hors des énergies fossiles »Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
C dans l'air du 12 décembre 2023 - COP28 : la fin du pétrole ! Avec un jour de retard, et après une nouvelle longue nuit de négociations, ils sont finalement parvenus à un accord. Les pays participants à la COP28 à Dubaï ont validé ce mercredi matin le texte de conclusion qui pour la première fois dans une conférence climatique de l'ONU mentionne aussi explicitement toutes les énergies fossiles. Le mot "sortie" du pétrole, du gaz et du charbon a été écarté mais un compromis a été trouvé avec la proposition des Emirats arabes unis d'appeler à une "transition hors des énergies fossiles" pour lutter contre le réchauffement climatique. Le texte ne le dit donc pas aussi directement mais certains saluent un accord historique qui donne un signal clair sur la nécessité de remplacer le pétrole, le gaz et le charbon par des énergies renouvelables et une meilleure efficacité énergétique. Sont également cités le nucléaire, les systèmes de captage et de stockage de CO² ainsi que l'hydrogène bas carbone. Il s'agit d'une décision "historique pour accélérer l'action climatique", a déclaré Sultan Al-Jaber, président émirati de cette conférence de l'ONU. Ce sommet mondial est "la COP la plus importante depuis Paris", a réagi le chef des Nations unies sur le climat, Simon Stiell. Des conclusions inattendues pour de nombreux pays, à commencer par ceux de l'Union européenne. "L'humanité a enfin fait ce que nous attendions depuis très, très longtemps. Il nous aura fallu trente ans pour arriver au début de la fin des énergies fossiles" a déclaré le commissaire européen chargé du climat Wopke Hoekstra. Le président de la République Emmanuel Macron a salué également cette "étape importante" qui "engage le monde dans une transition sans énergies fossiles", tout en appelant à "accélérer" la lutte contre le réchauffement de la planète. Car si cette COP28 marque un pas de plus vers la fin du pétrole, du gaz et du charbon, l'accord ne fixe aucune date de sortie et le texte n'est pas contraignant pour les signataires. Alors est-ce que ce sera suffisant pour enclencher bientôt une véritable sortie des énergies carbonées, principales sources des gaz à effet de serre sur la planète ? Certains comme François Gemenne, coauteur du sixième rapport du GIEC, se veulent optimistes et saluent un "signal fort" donné vers un "futur décarboné". D'autres à l'image des climatologues Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel pointent un "verre à moitié" vide pour contenir le réchauffement climatique et s'inquiètent de voir que "nous sommes toujours sur une trajectoire de +3 °C". Et ce alors qu'au même moment les thermomètres s'affolent déjà, notamment dans le sud de l'Espagne où Malaga connaît un record de chaleur pour un mois de décembre à près de 30 degrés et que les lanceurs d'alerte sur les sujets climatiques et environnementaux se retrouvent souvent confrontés à des mésaventures, des intimidations voire à des représailles. C'est le cas notamment en France de la journaliste Morgan Large. Connue pour ses enquêtes sur l'agro-industrie et les atteintes à l'environnement, elle a retrouvé à deux reprises, dont dernièrement en mars, les boulons de l'une des roues de sa voiture complètement dévissés et a porté plainte. La première découverte avait eu lieu il y a deux ans, peu de temps après avoir témoigné dans le documentaire Bretagne, une terre sacrifiée sur France 5. Reporters Sans Frontières avait alors demandé une protection policière pour la journaliste, demande qui avait été refusée. Alors quel bilan faire de la COP28 ? Est-ce un succès diplomatique pour les Emirats arabes unis (EAU) ? Quels sont les leviers utilisés par Abou Dhabi pour peser sur la scène internationale ? NOS EXPERTS : - Philippe DESSERTINE - directeur de l'Institut de Haute Finance, enseignant la finance à l'institut d'administration des entreprises de l'Université Paris I Panthéon Sorbonne et auteur de "Le grand basculement", publié chez Robert Laffont - Arnaud GOSSEMENT - avocat en droit de l'environnement, professeur associé à Paris 1 - Sharon WAJSBROT - journaliste spécialiste des Energies pour « Les Echos » - Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences à Sciences Po Paris et à la Paris School of Business, auteur de "Les voix de la puissance", chez Odile Jacob.
Les pays du monde entier ont approuvé mercredi par consensus à la COP28 à Dubaï une décision appelant à une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles. Dès l'ouverture de la séance plénière de clôture, les délégués ont adopté la décision préparée par les Emirats arabes unis, déclenchant une ovation debout et de longs applaudissements. Il s'agit d'une décision "historique pour accélérer l'action climatique", a déclaré Sultan Al Jaber, président de la conférence de l'ONU.
Alors que la COP28 vient de s'ouvrir à Dubaï, aux Emirats arabes unis, l'ONU a affirmé que l'année 2023 devrait être la plus chaude jamais enregistrée. "Il est urgent d'agir contre le dérèglement climatique", a martelé Antonio Guterres. Les négociateurs doivent faire un premier bilan de l'accord de Paris de 2015, qui trace la route à suivre pour contenir la hausse des températures à 1,5 degrés. La mise en œuvre du Fonds destiné à financer les "pertes et dommages" climatiques des pays vulnérables a d'ores et déjà été adoptée.
durée : 00:06:11 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les Émirats arabes unis auraient utilisé leur rôle de pays-hôte de la COP28, dès jeudi, pour conclure des accords pétroliers et gaziers, selon la BBC. Derrière l'affichage de bonnes intentions, l'Arabie saoudite chercherait à rendre les pays pauvres "accro" aux énergies fossiles, selon Channel 4.
Au sommaire: (00:00:44) Les Emirats comptent profiter de la Cop 28 pour signer des contrats fossiles (00:07:14) Assassinat de Samuel Paty : qu'attendre des procès ? (00:14:47) La jeunesse albanaise impatiente d'Europe
Le grand rendez-vous annuel de l'ONU sur le climat, la COP28, démarre le 30 novembre à Dubaï, aux Emirats arabes unis. Cette COP-là, est la plus importante depuis l'accord de Paris de 2015, selon certains experts. Car les Etats doivent accélérer la transition énergétique pour réduire plus rapidement leurs émissions de gaz à effet de serre.Sur place, les délégations des quelque 200 Etats participants s'engageront dans des débats acharnés jusqu'au 12 décembre, sur les manières d'y arriver et en particulier sur la sortie des énergies fossiles, responsables des trois-quarts du réchauffement planétaire.Selon l'ONU, la poursuite des engagements actuels laisse présager une hausse des températures de 3°C par rapport à l'ère pré-industrielle au cours de ce siècle.De plus en plus d'acteurs – des ONG mais aussi des pays – exigent l'interdiction de tout nouveau projet d'extraction pétrolière ou gazière pour limiter les dégâts.Mais le système économique mondial dépend encore largement du pétrole et du gaz pour produire de l'électricité, pour les transports ou encore dans l'industrie, alors comment s'en passer plus vite ?Éléments de réponse avec Lola Vallejo, directrice du programme Climat à l'DDRI, l'Institut du développement durable et des relations internationales et avec Ivan Couronne, qui coordonne l'équipe des journalistes de l'AFP qui couvre cette quinzaine cruciale pour le climat.Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Nous cherchons à nous améliorer tous les jours et avons préparé un sondage pour vous. Prenez trois minutes pour le remplir iciEt bien sûr, écrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour cette série de podcasts réalisée par l'AFP Audio en partenariat avec The Conversation, nous vous avons promis d'explorer les propositions pour accélérer la transition écologique. Les deux prochains épisodes vont nous permettre d'examiner deux solutions technologiques très débattues et qui seront abordées pendant la grande conférence annuelle de l'ONU sur le climat, la COP 28 qui démarre le 30 novembre à Dubaï, aux Emirats arabes unis. Voici, la première d'entre elles: l'énergie nucléaire. Elle était en perte de vitesse après l'accident de Fukushima au Japon en 2011, mais semble bénéficier d'un fort regain d'intérêt puisqu'elle produit de l'énergie décarbonée. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) estime que la capacité installée devrait doubler d'ici à 2050 dans le monde pour atteindre une neutralité carbone.Les partisans du nucléaire civil avancent aussi que cette énergie permettrait aux pays émergents de se développer sans augmenter leurs émissions de gaz à effet de serre.Et l'un des grands acteurs de cette expansion est le conglomérat russe Rosatom, qui multiplie les accords de coopération, notamment en Afrique.Alors qu'en est-il ? Peut-on vraiment parler de solution pour le climat ? Bienvenue dans ce nouvel épisode de Sur la Terre, un podcast de l'Agence France-Presse, en partenariat avec The Conversation. IntervenantsBrent Wanner, responsable de l'unité électricité à l'Agence internationale de l'énergie; Teva Meyer, professeur associé de géopolitique et de géographie à l'Université de Haute-Alsace, auteur de la Géopolitique du nucléaire; Fidele Ndahayo, président de la Commission pour l'énergie nucléaire du Rwanda; Mycler Schneider, coordinateur du rapport annuel sur l'industrie nucléaire World nuclear industry status report et militant anti-nucléaire; M.V. Ramana professeur au sein de l'école des affaires publiques et internationales de l'Université de Colombie-Britannique au Canada, spécialiste du nucléaire et des questions de sécurité globales. Nous avons également invité Rosatom à participer, mais nos questions sont restées sans réponses. Réalisation: Michaëla Cancela-Kieffer.Composition musicale: Nicolas Vair avec Irma Cabrero-Abanto et Sebastian Villanueva.Nous serions ravis d'avoir vos retours sur cet épisode et de savoir quels autres sujets vous souhaiteriez explorer. Alors, laissez-nous une note vocale ou un message sur WhatsApp au + 33 6 79 77 38 45, nous serons très heureux de vous écouter ! Et abonnez-vous à Ici la Terre, la newsletter de The Conversation qui sélectionne une série d'articles pour suivre et comprendre l'actualité environnementale. Sur la Terre est une série de podcasts et de textes financée par le Centre européen de journalisme dans le cadre du projet Journalisme de solutions, soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. L'AFP et The Conversation ont conservé leur indépendance éditoriale à chaque étape du projet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Actualités et gros plan. Reprise : Martin Sobek vient de l'est de la Slovaquie. Il travaille pour une organisation financiere internationale aux Emirats arabes unis. Slovaques de Pologne.
C dans l'air du 11 septembre - Séisme au Maroc : l'aide s'organise... sans la France LES EXPERTS : - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Inter, spécialiste des questions internationales - AXELLE DAVEZAC - Directrice générale - Fondation de France - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions - SLIMANE ZHEGHIDOUR - Journaliste Franco-algérien La course contre la montre est lancée au Maroc pour sauver des survivants sous les décombres et secourir les rescapés du séisme qui se retrouvent sans eau et sans abri. Dans le pays, les besoins sont d'autant plus grands que l'on approche de l'épicentre du tremblement de terre au sud-ouest de Marrakech. Une zone dévastée où des villages sont à terre, les routes coupées et souvent impraticables. Selon un bilan provisoire qui s'alourdit d'heure en heure, plus de 2 400 morts ont été découverts et les blessés ne cessent d'affluer. Face à l'ampleur de la catastrophe, de nombreux marocains se sont rués dans les hôpitaux pour donner du sang pour les victimes. Les besoins d'aide humanitaire sont immenses, même si le royaume n'a toujours pas officiellement lancé d'appel à l'aide internationale. Le régime a tout de même annoncé dimanche avoir accepté l'aide de quatre pays : l'Espagne, le Royaume-Uni, le Qatar et les Emirats arabes unis. La France a immédiatement proposé ses services samedi et a assuré, par la voix d'Emmanuel Macron, que le pays était prêt à intervenir "quand les autorités le jugeront utiles", avec des moyens de recherche et de sauvetage, qui seraient prêts à partir. Néanmoins, le Maroc n'a pas, encore, répondu favorablement à l'offre d'aide. Officiellement, Rabat entend évaluer minutieusement les besoins sur le terrain. Mais, dans un contexte de relations très dégradées depuis deux ans entre la France et le Maroc, cette "priorisation" suscite beaucoup de questions. De fait, avec cette non-réponse marocaine, certaines associations humanitaires françaises se retrouvent donc bloquées. Les ONG les plus importantes comme Médecins du Monde ou la Sécurité civile n'ont pu envoyer ni bénévoles, ni avions, ni matériels pour l'instant. En revanche, certaines équipes, au compte-gouttes, ont pu rejoindre le Maroc comme Médecins sans Frontières (MSF) qui a dépêché quatre personnes pour évaluer les besoins dans les hôpitaux. Une équipe de secouristes de Nice, spécialisée dans les recherches cynotechniques serait également sur place. Plusieurs associations expliquent que le Maroc pourrait choisir de prendre son temps pour identifier les besoins, afin de permettre une bonne coordination des secours, plutôt que de lancer comme la Turquie en février dernier un appel général et voir des centaines d'associations se rendre dans le pays, non sans une certaine confusion. Alors quelle est la situation au Maroc quarante-huit heures après le séisme ? Comment les secours s'organisent-ils ? Pourquoi les relations diplomatiques entre Rabat et Paris sont-elles particulièrement tendues depuis deux ans ? Et pourquoi la main tendue par l'Algérie au Maroc, a-t-elle une valeur spéciale après le drame ? Le ministère algérien des Affaires étrangères a proposé d'envoyer en urgence des secouristes de la protection civile et annoncé samedi la réouverture de son espace aérien, fermé depuis septembre 2021. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
N°314 / 10 septembre 2023 Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 10 septembre 2023. Avec cette semaine : Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale. Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors. Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. Le chef de l'État, « Homme-orchestre de la République » Avec la rentrée, le Président de la République se montre sur tous les fronts. Diplomatique, d'abord, avec, du 28 au 30 août, au Quai d'Orsay, la traditionnelle Conférence des ambassadeurs. Dans le quotidien L'Opinion, Jean-Dominique Merchet estime que « loin de se contenter de fixer les grandes lignes de la politique étrangère, le chef de l'État mettra les mains dans le cambouis de tous les détails de l'action extérieure de la France ». Si dans la Ve République, la diplomatie fait partie du domaine réservé du chef de l'État, l'ancien ambassadeur Michel Duclos estime toutefois que « la centralité de la fonction présidentielle dans notre dispositif diplomatique peut devenir une faiblesse, car il n'est pas sain dans le monde complexe actuel que tout repose à ce point sur les épaules d'une seule personnalité. » Dans la foulée, Emmanuel Macron a reçu, le 30 août au soir, avec Élisabeth Borne, les chefs des partis politiques représentés au Parlement, ainsi que les présidents des trois chambres Yaël Braun-Pivet (Assemblée nationale), Gérard Larcher (Sénat) et Thierry Beaudet (Conseil économique, social et environnemental), à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis. Objectif affiché du Président : trouver des « voies » pour faire « avancer » le pays, en l'absence de majorité absolue à l'Assemblée. Au menu : « la situation internationale et ses conséquences sur la France », mais aussi « les nuits d'émeutes que nous avons vécues, avec pour objectif de prendre des décisions pour renforcer l'indépendance de notre pays et rebâtir notre nation et tout ce qui la tient : la famille, l'école, le service national universel, la transmission de notre culture, notre langue, la régulation des écrans », ou encore « notre organisation et nos institutions dans tous les territoires ». Après le grand débat, les conventions citoyennes, le Conseil national de la refondation, le Président recourt maintenant à une nouvelle « innovation démocratique ». « C'est le président qui prend le volant, c'est clair et net », note le président de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), Hervé Marseille. Le 4 septembre, à l'occasion de la rentrée scolaire, Emmanuel Macron a répondu sur YouTube, aux questions du vidéaste Web Hugo Travers, dit Hugo Décrypte. Troubles dépressifs, urgence climatique, réduction des vacances d'été, harcèlement à l'école, pacte enseignant, coût de la vie, RSA, Restos du cœur… Pendant près de deux heures, le chef de l'État a abordé plusieurs sujets censés préoccuper les moins de 26 ans, en insistant sur ceux qui concernent l'éducation nationale. Le Président assume cette omniprésence. « Compte tenu des enjeux, l'éducation fait partie du domaine réservé du président », justifiait-il dans les colonnes du Point, le 23 août. L'école, « c'est le cœur de la bataille que l'on doit mener, parce que c'est à partir de là que nous rebâtirons la France », insistait-il. Pour autant, son entourage réfute le terme de « super ministre de l'Éducation ». Mais, les médias observent qu'en mettant l'école « au cœur » de son projet, Emmanuel Macron prend directement le dossier en main et se désigne comme le véritable responsable. *** G20 versus BRICS, le jeu de l'Inde Le sommet des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) du 22 au 24 août à Johannesburg, en Afrique du Sud, a été l'occasion d'affirmer une fois de plus leur force de contrepoids à l'influence occidentale. Ce bloc représente plus de 42 % de la population mondiale, 30 % de son territoire, 23 % du PIB mondial et 18 % du commerce mondial. Cependant, seuls 6 % du commerce total s'opèrent entre eux. Créé au départ avec quatre membres en 2009, les BRICS ont été rejoint par l'Afrique du Sud en 2010. Six nouveaux membres ont adhéré cette année : l'Arabie saoudite, l'Argentine, l'Egypte, les Emirats arabes unis, l'Ethiopie et l'Iran. Avec six des dix premiers producteurs de pétrole, les BRICS contrôlent désormais le marché mondial. L'arrivée de ces nouveaux « coffres-forts » qui disposent d'importantes réserves de change s'accompagne de l'entrée en force du monde arabo-musulman, avec l'Egypte et l'Iran. Ces pays ont peu en commun, si ce n'est un objectif prioritaire : le rééquilibrage de l'ordre économique mondial en leur faveur, grâce notamment à la « dédollarisation ». Comme le souligne la déclaration finale du sommet, les BRICS veulent basculer vers plus de paiements en monnaies locales : l'Inde paie déjà le pétrole russe en roupies, la Chine commence à payer le pétrole saoudien en yuans. En présidant cette année le G20, qui rassemble depuis hier à New Delhi les dirigeants des 19 économies les plus développées plus l'Union européenne, l'Inde entend préserver la pertinence du forum, le seul où les pays occidentaux côtoient les pays émergents du Sud. Les sujets ne manquent pas : guerre en Ukraine, lutte contre les effets du changement climatique, sécurité alimentaire, conflits commerciaux, solidarité avec les pays en développement, rivalité technologique avec la montée en puissance des cryptoactifs… L'absence de deux hôtes de marque - le président russe, Vladimir Poutine pour cause de sanctions, et son homologue chinois, Xi Jinping, illustre les tensions entre leurs membres. Après dix-huit mois de guerre, le forum reste profondément divisé au sujet de l'invasion russe. Plusieurs dirigeants des pays émergents sont soucieux, à l'instar de Narendra Modi, le Premier ministre indien, de ne pas choisir leur camp entre Moscou et Kyiv. Tensions également entre la Chine et l'Inde après la publication par Pékin d'une carte revendiquant des terres que l'Inde affirme posséder dans l'Himalaya où des combats ont opposé les deux armées en 2020. Défi de la montée en puissance des BRICS qui comprennent désormais l'Arabie saoudite et l'Argentine. Tout en gardant un œil inquiet sur la Chine, l'Inde navigue entre les Etats-Unis, dont elle s'est rapprochée, la Russie, qui lui est encore très utile, et quelques puissances moyennes. Au non-alignement a succédé à New Delhi le « pluri-alignement » ou « plurilatéralisme ». Celui-ci consiste à préserver la liberté de choix et d'action de l'Inde sur la scène internationale, et donc à démultiplier les relations avec un maximum d'États ou groupes d'États dans le monde, en ne se rendant dépendant d'aucun en particulier et en ignorant autant que possible les rivalités entre eux.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:43:48 - Le Magazine du week-end - par : Tiphaine de Rocquigny, Marguerite Catton - Entre janvier et mai 2023, la ville de Dubaï a accueilli 166 000 visiteurs français, et 7,39 millions de touristes au total. La cité émiratie est devenue une destination où les touristes semblent trouver sécurité et divertissement : comment expliquer l'attractivité des Émirats arabes unis ? - invités : Marc Lavergne Géopolitologue, directeur de recherche au CNRS et à l'Université de Tours; William Guéraiche Sociologue et historien, spécialiste des Philippines; Alexandre Kazerouni Politologue, spécialiste du monde musulman contemporain et des pays du pourtour du golfe Persique
C'est une petite lettre qui n'est pas passée inaperçue. Adressée au Forum économique mondial qui se tenait à Davos, en Suisse, le mois dernier (janvier 2023), elle était signée par quelque 200 millionnaires qui demandaient à être taxés. « Une mesure rendue nécessaire », expliquaient-ils, « par une société des extrêmes mise en danger par les inégalités croissantes ». Parmi ces signataires : Marlene Engelhorn, une jeune héritière autrichienne, très lucide sur l'état de son portefeuille et de sa planète. À Vienne, Céline Beal a pu la rencontrer. (Rediffusion) Les banquiers ont quitté Londres Et le nombre de banquiers millionnaires a grimpé de plus de 40 % sur l'année 2021. On en décompte, désormais, 1 957 en Europe, un record. La raison est à chercher aussi dans les délocalisations des grands établissements provoquées par le Brexit. Mais, il n'y a pas que les banquiers, beaucoup de grandes fortunes ont aussi préféré quitter le pays, par peur de la récession et de l'instabilité politique provoquées par la sortie de l'UE. Destination favorite l'Asie, les Emirats et, bien sûr, l'Europe. Marie Billon. En Suède, des inégalités qui se creusentLes inégalités relativement moins importantes sur le continent européen qu'ailleurs, notamment grâce à la redistribution sociale. Les 10 % les plus riches possèdent 58% du patrimoine, contre 77 % en Amérique latine par exemple. Mais, tout de même, les disparités se creusent au sein de chaque pays. Avec un exemple surprenant qui défie toutes les idées reçues, la Suède ! Les écarts de fortune entre riches et pauvres se creusent à un rythme effarant. Depuis 5 ans, c'est même le pays de l'OCDE où ça va le plus vite. S'il y a plus de pauvres, il y a aussi beaucoup plus de super riches. Le dernier rapport de l'Agence des Statistiques suédoise met en avant un chiffre : le nombre de milliardaires (en couronnes) est passé de 28 à 542 en 25 ans. Comment expliquer cette multiplication par 20 des personnes possédant plus de 100 millions d'euros ? C'est le résultat combiné d'une politique fiscale et bancaire très favorable aux propriétaires, alors que le marché de l'immobilier s'est envolé... Reportage à Stockholm, Carlotta Morteo. Et en France, selon le rapport sur les inégalités mondiales, une taxe de 1,6 % sur les revenus des multimillionnaires permettrait d'investir dans l'éducation, la santé et la transition écologique. Les universités européennes préfèrent le train à l'avionLes universités vont-elles se mettre au vert ? En Europe, de plus en plus de facultés ont décidé de restreindre les voyages en avion... de leurs enseignants ou chercheurs. C'est l'Université d'Utrecht, aux Pays-Bas qui, la première, a pris cette décision. Clémence Pénard. Chaque semaine, en partenariat avec ENTR, des initiatives vertueuses en Europe. La vidéo à retrouver sur leurs réseaux sociaux ! La Chronique musique de Vincent Théval Un album et un titre en forme d'hommage... I saw her standing there, une chanson des Beatles revisitée par le pianiste jazz américain Brad Mehldau.
A Catalunya hi ha m
durée : 00:59:01 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - La guerre en Ukraine affecte le crime organisé. Par où passe désormais l'héroïne venue d'Afghanistan ? Que sait-on des réseaux criminels russes ? Et du cash qui s'accumule dans les banques des Emirats du Golfe Persique ? - invités : Clotilde Champeyrache Economiste, maîtresse de conférences au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM); Fabrice Rizzoli Enseignant à Sciences Po et à l'HEIP, spécialiste de la grande criminalité et des mafias, fondateur et président de l'association Crim'HALT; Bertrand Monnet Professeur, titulaire de la chaire management des risques criminels à l'Edhec Business School; Nicolas Giannakopoulos Expert des organisations criminelles Président de l'Observatoire du crime organisé de Genève
durée : 00:04:19 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - La Conférence de Bonn sur le changement climatique s'ouvrira lundi 5 juin. C'est le prélude à la COP28 prévue à l'automne prochain aux Emirats. Cette COP n'en finit pas de créer la polémique. Au point de perdre toute crédibilité.
durée : 00:04:19 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - La Conférence de Bonn sur le changement climatique s'ouvrira lundi 5 juin. C'est le prélude à la COP28 prévue à l'automne prochain aux Emirats. Cette COP n'en finit pas de créer la polémique. Au point de perdre toute crédibilité.
« En Indonésie, la politique sanitaire oblige souvent le personnel qui sort de la faculté à pratiquer dans des zones reculées où il y a une vraie déconnexion, à la fois virtuelle et bien réelle. » Dr. Olivier Desvernois, Directeur des Opérations pour InterSystems France Dans L'hôpital du futur, @WarcoBrienza et Karim Bensaci (@Calypssa) partent à la rencontre des acteurs de la santé. Cette semaine, nous écoutons Dr. Olivier Desvernois, médecin français qui a bourlingué entre Toulouse, les Emirats Arabes Unis, l'Indonésie, la Chine et le Kazakhstan, avant de devenir le directeur des opérations chez InterSystems France, une société IT active dans l'interopérabilité des données de santé. Le dossier patient informatisé et l'interopérabilité des données sont devenus un enjeu majeur dans la politique sanitaire d'un pays puisqu'ils favorisent l'éclosion de services de soins innovants au sein et autour des hôpitaux, permettant tout à la fois: d'améliorer la qualité des soins de rationaliser les coûts de la santé d'augmenter la qualité de vie au travail pour les soignants Parmi ces services innovants, tentons encore de définir la “médecine virtuelle”: selon le blog de phoenixortho.net (en), elle désigne toute “prestation de services de santé délivrée à distance aux patients par le biais d'outils tels que le téléphone ou la vidéoconférence”. Souvent confondue avec la télémédecine, la médecine virtuelle dispose d'un champ d'application plus vaste que la capacité de voir des patients à distance. Les questions posées au Dr. Olivier Desvernois: Avant d'aborder le parcours patient, racontez-nous votre parcours de docteur (!) En comparaison avec ce que vous connaissez du système de soins français, qu'est-ce qui est mieux fait ailleurs dans le monde, de votre perspective ? L'Indonésie est un cas particulier: sa condition de pays insulaire en fait un candidat idéal pour la télémédecine ou le videophoning. En pratique, cela ressemble à quoi ? Par ailleurs, au regard de son histoire, on pourrait s'attendre à ce que les systèmes de gestion hospitaliers indonésiens soient très hétérogènes. Est-ce vrai et si oui, comment l'hôpital du futur devrait-il absorber une telle complexité ? Entre HL7 et Fihr, quels sont les standards utilisés à l'international pour l'échange des données de santé ? Quid des services de santé “ubérisés” dans des pays comme l'Indonésie ou les Emirats arabes unis, avez-vous des exemples à donner ? On voit que l'interopérabilité des données, qu'elles soient hospitalières ou pas, est un passage obligé vers toute intégration de services innovants. Compte tenu de votre expérience en tant qu'expert des deux mondes, combien de fois vous êtes-vous heurté à cette problématique des “données qui ne se parlent pas” ou des données qui ne doivent pas se parler ? À ne pas manquer: la prochaine édition des conférences Medicalytics qui se tiendront le matin du 28 septembre 2023 à la Haute Ecole de Santé La Source. Parmi les sujets abordés: interopérabilité des données de santé, digitalisation des prestations de soins, anticipation des flux patients, intelligence artificielle et télémédecine. Odiolab est partenaire de cet événement que nous allons couvrir lors des 2 prochains podcasts! Plus d'informations et inscriptions sur www.Medicalytics.ch Retrouvez les notes complètes de cet épisode, ainsi que tous nos podcasts sur le site de l'association Odiolab: www.odiolab.ch/series/l-hopital-du-futur
PSOE i Unides Podem continuen tirant-se els plats pel cap abans de la votaci
PSOE i Unides Podem continuen tirant-se els plats pel cap abans de la votaci
Et si le Maroc devenait le huitième pays à poser un engin sur la Lune ? Des négociations seraient en cours avec une société spatiale israélienne déjà alliée avec les Emirats arabe Unis. Science-fiction ou proche réalité ? Quels impacts pourraient avoir ce projet ? Récit avec Landry Benoit et interview de Hafid Boutaleb, expert en relations internationales. L'équipe "Le Scan" par TelQuel Média : Présentation : Landry Benoit Interview : Aissata Sow Archives sonores et écriture : Imane Essaidi Montage, réalisation : Adam El Harchaoui Soutenez un média indépendant. Abonnez-vous à Telquel : https://telquel.ma/abonnement/`
durée : 00:02:54 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - En effectuant une visite officielle aux Emirats arabes unis, après Moscou et avant Oman, le président syrien entame un vrai retour sur la scène internationale. Les Occidentaux n'ont plus rien à dire.
durée : 00:02:54 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - En effectuant une visite officielle aux Emirats arabes unis, après Moscou et avant Oman, le président syrien entame un vrai retour sur la scène internationale. Les Occidentaux n'ont plus rien à dire.
Au début de l'année 2022, Cécile Atta et sa famille ont appris leur déménagement futur des Emirats vers la ville de New York. Dans cet épisode bonus, retrouvez des échanges de messages audios entre Cécile Atta et Anne-Fleur Andrle tout au long de l'année 2022 : de l'annonce du départ à l'installation de la petite famille dans la ville qui ne dort jamais.Cet épisode complète l'autre épisode sorti ce jour dans lequel Cécile raconte cette nouvelle expatriation.Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
durée : 00:04:34 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Plus de deux ans après les “accords d'Abraham”, normalisant les relations entre les Émirats arabes unis et Israël, l'histoire de l'Holocauste sera incluse dans les programmes scolaires des cycles primaire et secondaire aux EAU, une décision historique très critiquée
durée : 00:04:34 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Plus de deux ans après les “accords d'Abraham”, normalisant les relations entre les Émirats arabes unis et Israël, l'histoire de l'Holocauste sera incluse dans les programmes scolaires des cycles primaire et secondaire aux EAU, une décision historique très critiquée
durée : 00:03:56 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Brigitte Macron s'est prononcée pour l'instauration d'un uniforme à l'école, le PDG de la compagnie pétrolière nationale des Emirats a été nommé président de la COP 28, et une étude scientifique établit un lien entre consommation de boissons sucrées et calvitie précoce, c'est l'actu du jour !
La baie d'Audierne, dans le sud du Finistère. Denis Ménochet nous reçoit chez lui en Bretagne, à l'occasion de la sortie du film Les Survivants de Guillaume Renusson, dans une maison en pierre proche de la mer. Un endroit qui l'« apaise » et le préserve de la frustration et du manque d'empathie qui se dégagent des grandes villes.Le comédien âgé de 46 ans évoque son enfance passée à l'étranger, aux Emirats arabes unis notamment auprès d'un père amateur de rock et de dessin et d'une mère qui l'initie très tôt à la lecture, les étés en Bretagne, sa passion pour les animaux, puis adolescent, de retour en France, pour le skateboard, son rejet de l'humour français, le tournant Inglourious Basterds, son intérêt profond pour la philosophie du jeu d'acteur et l'impact de celui-ci sur son corps, la nécessité d'être connecté à soi-même et son dégoût de tous les dogmatismes. Il revient également sur l'importance pour lui de participer à des films qui touchent à des sujets sociétaux importants comme les féminicides, la pédophilie dans l'église ou le sort réservé aux réfugiés : « C'est une fierté quand on peut mettre son art au service d'une chose plus grande que vous et qui est nécessaire. »Depuis quatre saisons, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Imène BenlachtarRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Die Fussball-Weltmeisterschaft in Katar ist die umstrittenste seit langem. Wieso? Antworten auf diese Frage gibt Guido Tognoni im Tagesgespräch. Tognoni war 11 Jahre lang Kommunikationsdirektor bei der Fifa und Berater von Sepp Blatter. Ausserdem lebte er im Golfstaat Katar. Am Ende war Brasilien zu stark: die Schweiz verlor am Montag ihr zweites WM-Gruppenspiel mit 0 zu 1. Doch nicht immer spielt der Sport die Hauptrolle bei der WM in Katar. In den letzten Monaten ging es vor allem um die skandalöse Vergabe des Turniers im Jahr 2010, um die Ausbeutung der ausländischen Gastarbeitenden sowie um die Menschenrechtsverletzungen innerhalb des Emirats. Guido Tognoni, der nicht nur die Fifa in- und auswendig kennt, sondern auch den Golfstaat Katar sagt, das Land würde sich nicht nochmals um eine WM bewerben.
Placements de produits douteux sur les réseaux sociaux, incitation à faire des investissements risqués en bourse... Ces derniers mois, de plus en plus d'influenceurs sont accusés d'escroquerie.Encore récemment, un numéro de l'émission «Complément d'enquête», diffusé sur France 2 le 11 septembre, a mis en lumière les pratiques d'une puissante structure dirigée par Magali Berdah, considérée comme la papesse du secteur.Le Parisien a déjà publié plusieurs enquêtes sur ce phénomène, comme celle du 8 septembre dernier, consacrée à Marc et Nadé Blata. Ce couple d'influenceurs français installé à Dubaï, aux Emirats arabes unis, fait l'objet de plusieurs accusations d'arnaques formulées par des centaines d'internautes, mais aussi par le rappeur Booba.Pour Code source, Ariane Riou et Paméla Rougerie, journalistes au Parisien, retracent le parcours de Marc et Nadé Blata.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Emma Jacob et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 6 mai 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée Nationale.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.L'ÉTAT DE LA GAUCHE APRÈS LES NÉGOCIATIONS ENTRE LES PARTISFort de son score au premier tour de l'élection présidentielle (21,95 %), Jean-Luc Mélenchon demande aux Français de l'élire « Premier ministre » et veut, pour les législatives, réunir la gauche sous le label « Nouvelle union populaire écologique et sociale » (NUPES). L'Insoumis a posé ses conditions pour « un programme commun partagé » et une répartition des investitures au prorata des résultats du 10 avril. Les cinq autres candidats de gauche à l'élection présidentielle ont récolté plus de 3,5 millions de voix, soit près de 10 % des suffrages exprimés. Leurs projets comportaient des divergences programmatiques plus ou moins appuyées. Le nucléaire est une pierre d'achoppement importante entre Jean-Luc Mélenchon et le communiste Fabien Roussel. Ce dernier est d'ailleurs le seul candidat de gauche à vouloir investir massivement dans l'atome. Le recul ou non de l'âge de départ à la retraite à 60 ans, ne fait pas non plus l'unanimité à gauche. Les écologistes ne se retrouvent pas dans l'idée des Insoumis de « désobéir » à certains traités européens, nécessaire selon eux pour appliquer leur programme. La fin de la participation de la France à l'Otan ne fait pas non plus consensus.Dimanche dernier, le conseil fédéral d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) a entériné un texte d'accord portant sur une centaine de circonscriptions pour leurs candidats. Hausse du smic à 1 400 euros, retraite à 60 ans, blocage des prix sur les produits de première nécessité, planification écologique et VIe République font partie des marqueurs énoncés. Quant à l'Europe, point de tensions, les deux formations s'accordent sur une longue argumentation qui prône dans le même temps la désobéissance à certaines règles européennes et le respect de l'État de droit. Pour ce qui est du nucléaire, le communiqué commun n'en dit mot.Mardi, c'est au tour du PCF de valider l'accord avec LFI pour les législatives. Les communistes reçoivent 50 circonscriptions, dont 11 pour leurs députés sortants et 5 considérées comme « gagnables. » Sur le fond, le PCF a reçu des garanties pour sa future autonomie au sein de l'intergroupe parlementaire de la Nouvelle Union populaire et Écologique et Sociale.Mercredi, le PS s'est accordé avec LFI sur soixante-dix circonscriptions, au prix d'une fracture interne. Le PS a enregistré le score le plus modeste (1,75 %) des grands partis de gauche au premier tour de la présidentielle, mais il détient le plus grand nombre de députés sortants (vingt-cinq), auxquels s'ajoutent trois élus apparentés, contre dix-huit élus pour le groupe LFI. Au PS, les fractures internes se multiplient entre les partisans de l'alliance avec LFI et les tenants d'un courant social-démocrate plus modéré à mesure que l'accord se précise. Au Conseil National socialiste réunis jeudi soir, l'union avec LFI a été entérinée.La projection Harris Interactive du 4 mai prévoit entre 50 et 100 députés de gauche si désunion au 1er tour et entre 70 et 90 si union …***LES CONSÉQUENCES DE LA GUERRE EN UKRAINE POUR LE RESTE DU MONDE Adoptant une approche de plus en plus offensive face l'invasion russe, le président américain a demandé le 28 avril au Congrès de voter une enveloppe de 33 milliards de dollars pour aider Kyiv. Il ne s'agit plus seulement d'aider l'Ukraine, mais, selon les mots du secrétaire à la Défense Lloyd Austin d'« affaiblir la Russie ». Début mars, 13,6 milliards de dollars dévolus à l'Ukraine avaient déjà été inscrits au budget. La nouvelle allocation de 33 milliards serait destinée pour les deux tiers à la seule assistance militaire. Le reste du plan se décompose entre aide humanitaire (3 milliards de dollars) et appui économique au gouvernement ukrainien. Enfin, 500 millions sont destinés à soutenir des secteurs dont l'économie s'est trouvée affectée jusqu'en Amérique par les conséquences de la guerre, comme la production céréalière et de matériaux indispensables à la fabrication d'armement et de voitures. En outre, une disposition prévoit d'attribuer au gouvernement fédéral le pouvoir de saisir et liquider les actifs d'oligarques russes gelés dans le cadre des sanctions contre Moscou, qui avoisinerait les 30 milliards de dollars, afin de financer à la fois le soutien aux millions de réfugiés, mais aussi la reconstruction de l'Ukraine.De son côté, la Commission européenne a annoncé, le 4 mai, souhaiter instaurer un embargo progressif sur le pétrole russe. Mais l'Allemagne craint des « perturbations », tandis que la Hongrie s'y oppose au nom de sa « sécurité énergétique ». De plus, l'attitude de certains producteurs de pétrole du Golfe complique les efforts de diversification d'approvisionnement des pays européens. A ce jour, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis rechignent à augmenter leur production pour infléchir les cours de l'or noir.Le marché des céréales s'enflamme également en raison de la brutale diminution des exportations céréalières ukrainiennes et des sanctions imposées à Moscou. En conséquence, les pays importateurs cherchent de nouveaux fournisseurs tandis que près de 1,7 milliard d'individus pourraient subir des pénuries. « Il faut que les pays occidentaux réfléchissent de façon urgente à des mécanismes pour éviter les émeutes de la faim et leur effet déstabilisateur dans de nombreux pays », a souligné l'ancien responsable du Département des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Jean-Marie Guéhenno, en référence notamment à l'Egypte et à l'Afrique du Nord, très dépendantes des céréales russes et ukrainiennes : « Si de tels instruments ne sont pas mis en place, cela poussera ces pays dans les bras de la Russie », met-il en garde.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.