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durée : 00:02:27 - La politique avec - Une étude passionnante a été menée sur plus de 70 000 tweets publiés sur X par les députés français entre le 1er octobre et le 31 décembre 2024.
durée : 00:53:04 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Budget, retraites, politique agricole... Marc Fesneau, député du Loir-et-Cher et président du groupe Les Démocrates (MoDem) à l'Assemblée nationale, est l'invité de Questions politiques ce dimanche 3 novembre. - invités : Marc Fesneau - Marc Fesneau : Ministre de l'Agriculture et de la souveraineté alimentaire
durée : 00:53:04 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Budget, retraites, politique agricole... Marc Fesneau, député du Loir-et-Cher et président du groupe Les Démocrates (MoDem) à l'Assemblée nationale, est l'invité de Questions politiques ce dimanche 3 novembre. - invités : Marc Fesneau - Marc Fesneau : Ministre de l'Agriculture et de la souveraineté alimentaire
C'est ça l'Amérique, saison 3Malgré des indicateurs économiques positifs, les Américains demeurent pessimistes et imaginent leur pays en récession. Comment expliquer ce paradoxe ? Et comment Trump et Harris tentent-ils de redonner confiance à la population grâce à leurs programmes économiques ? Épisode 5/8 :En 1992, le stratège démocrate James Carville a utilisé une formule qui a fait date dans la vie politique américaine : "It's the economy, stupid" ("C'est l'économie, idiot"). Dans le contexte de récession de l'époque, il voulait insister sur l'importance pour son candidat, Bill Clinton, de parler des questions économiques pour remporter l'élection. Pari réussi : le gouverneur de l'Arkansas a battu le président républicain sortant George H.W. Bush.Trente-deux ans plus tard, cette règle n'a pas pris une ride. L'économie, l'inflation en particulier, est en tête des préoccupations des Américains. Or, en la matière, la situation est paradoxale. Si les indicateurs (chômage, PIB, investissements d'avenir…) sont dans le vert, la majorité de la population déclare dans les sondages avoir l'impression de vivre dans un pays en crise et se dit pessimiste pour l'avenir.Cette réalité va-t-elle profiter à Donald Trump ? Dans ce cinquième épisode de "C'est ça l'Amérique", nous nous penchons sur cette question et les propositions des deux candidats avec l'économiste franco-américain Yann Coatanlem, président du think tank "Club Praxis" et coauteur du "Capitalisme contre les inégalités" (PUF).CRÉDITS : Écriture et réalisation : Alexis Buisson. Rédaction en chef : Jean-Christophe Ploquin et Paul De Coustin. Production : Célestine Albert-Steward. Mixage : Flavien Edenne. Musique : Emmanuel Viau. Illustration : Olivier Balez. ► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com "C'est ça l'Amérique" est un podcast original de LA CROIX - Octobre 2024. En partenariat avec le programme Alliance – Columbia et ses partenaires (Sciences-Po, Polytechnique, La Sorbonne), et French Morning, le premier web magazine des Français d'Amérique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est pris dans l'actualité française, avec un Rassemblement national aux portes du pouvoir, le retour de la Nupes, une présidence qui semble affaiblie… Mais n'oublions pas que la France n'évolue pas en vase clos: la colère des classes moyennes et le retour de la radicalité sont des phénomènes qui touchent de nombreux pays depuis une dizaine d'années, en Occident et ailleurs.En ce qui concerne les États-Unis, on pense à l'élection (voire la réélection) de Donald Trump, bien sûr. On avait eu jusqu'à son arrivée l'image d'une Amérique décente et modérée. Est-ce qu'on se trompait?Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate Podcasts en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI).Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Cutting It Close», DJ Freedem
durée : 00:02:33 - Histoires politiques - Quelques-unes des plus grandes entreprises allemandes comme BMW ou BASF ont annoncé mardi qu'elles avaient formé une « alliance contre l'extrémisme » à l'approche des élections européennes.
durée : 00:55:40 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Bérengère Bonte, les informés débattent de l'actualité du 30 mai 2024.
Notre Europe est mortelle et cela dépend de nous”. Un discours pour réinscrire ces élections européennes dans les grands enjeux, les grands bouleversements de notre temps…. Officiellement, ce n'était pas un discours de campagne, mais force est de constater que le Président y a longuement développé ce qui ressemblait à un programme : sa vision de l'Europe, articulée en 3 axes : la puissance, la prospérité et l'humanisme. Un discours centré sur les valeurs européennes et prononcé à la Sorbonne, lieu de savoir, de rayonnement français, qui porte l'héritage des Lumières… Mais ces valeurs démocratiques, humanistes, de droit et de justice ont-elles encore un sens à l'heure de la guerre et de la montée des populismes ? Le bilan du macronisme, en France comme en Europe, est-il cohérent avec les mots prononcés ce matin ? Le Président français est-il, comme il l'affirme, le meilleur rempart contre le déclin de l'Europe ou fait-il (comme le soulignent certains de ses opposants) lui-même partie du problème ? Bref, à l'heure où (pour le paraphraser) “les règles du jeu ont changé”, Emmanuel MACRON est-il vraiment celui qui peut raviver la flamme européenne ? On en débat avec : Nathalie LOISEAU, Députée européenne Renew, présidente de la sous-commission sécurité et défense du Parlement européen Éric FOTTORINO, Journaliste, co-fondateur de l'hebdomadaire Le 1, du magazine Zadig, de la revue Légende Julia CAGÉ, Économiste, professeure d'économie à Sciences Po Paris Mathieu SOUQUIÈRE, Essayiste, ancien conseiller de la ministre du Travail Myriam El Khomri Max-Erwann GASTINEAU, Essayiste
L'émission 28 Minutes du 13/02/2024 Du Chasseur français à Tinder, deux siècles sur le marché de la rencontre « Sur les sites de rencontres, […] on rencontre précisément les personnes que l'on est destiné à rencontrer, notamment parce que les algorithmes font en sorte que ce soit le cas. » Docteure en histoire contemporaine et chercheuse à l'INED, Claire-Lise Gaillard s'intéresse d'abord au marché de la rencontre par hasard, alors qu'elle recherche un sujet de mémoire de Master. Son diplôme en poche, elle découvre Dominique Kalifa, historien ayant travaillé sur les agences matrimoniales : « Il appelait les jeunes chercheuses et chercheurs à s'emparer de ce sujet sur le temps long et sur une échelle importante. Je me suis présentée à lui comme répondant à cet appel-là. » Car il y a une histoire longue du marché de la rencontre en France : du Courrier de l'hymen dans les années 1790 aux agences et aux petites annonces du « Chasseur français », de nombreux couples en sont issus bien avant l'apparition des applications de rencontre que l'on connaît aujourd'hui. Dans « Pas sérieux s'abstenir - Histoire du marché de la rencontre. XIXe-XXe siècles », publié aux éditions CNRS, Claire-Lise Gaillard décrypte les mécanismes de la « quête au bon parti ». Populistes, isolationnistes… : Trump et Poutine sont-ils devenus alliés de circonstance ? En théorie, tout oppose les États-Unis et la Russie. Mais le possible retour de Donald Trump à la présidence américaine en novembre prochain pourrait changer la donne : l'ex-président a marqué les esprits en déclarant qu'il laisserait la Russie attaquer les membres de l'OTAN qui ne contribuent pas suffisamment au budget de l'Alliance. Cette prise de position — reflet d'un isolationnisme et d'un certain mépris de Donald Trump envers ses alliés traditionnels — inquiète les Européens. En parallèle, aux États-Unis, les élus républicains continuent de bloquer depuis octobre une nouvelle aide de 60 milliards de dollars destinée à l'Ukraine. Dernièrement, l'interview promotionnelle organisée par l'ex-présentateur de Fox News — Tucker Carlson, proche de Trump — à Moscou ne fait que conforter le président russe dans sa stratégie guerrière. Poutine et Trump partagent-ils le même populisme ? Ce binôme serait-il un danger pour l'OTAN et l'Europe ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 13 février 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 13/02/2024 Populistes, isolationnistes… : Trump et Poutine sont-ils devenus alliés de circonstance ? En théorie, tout oppose les États-Unis et la Russie. Mais le possible retour de Donald Trump à la présidence américaine en novembre prochain pourrait changer la donne : l'ex-président a marqué les esprits en déclarant qu'il laisserait la Russie attaquer les membres de l'OTAN qui ne contribuent pas suffisamment au budget de l'Alliance. Cette prise de position — reflet d'un isolationnisme et d'un certain mépris de Donald Trump envers ses alliés traditionnels — inquiète les Européens. En parallèle, aux États-Unis, les élus républicains continuent de bloquer depuis octobre une nouvelle aide de 60 milliards de dollars destinée à l'Ukraine. Dernièrement, l'interview promotionnelle organisée par l'ex-présentateur de Fox News — Tucker Carlson, proche de Trump — à Moscou ne fait que conforter le président russe dans sa stratégie guerrière. Poutine et Trump partagent-ils le même populisme ? Ce binôme serait-il un danger pour l'OTAN et l'Europe ? Nos invités en débattent. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 13 février 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:05:38 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le nouveau gouvernement proeuropéen a limogé les dirigeants des médias publics polonais, qui ont relayé la propagande des populistes au pouvoir jusqu'en octobre. Passé dans l'opposition, le PiS, parti Droit et Justice manifeste pour "la liberté d'expression", une "farce" pour de nombreux journaux.
durée : 00:03:06 - Un monde d'avance - Le nouveau Premier ministre polonais a prononcé mardi son discours de politique générale, mais les nationalistes populistes désormais dans l'opposition restent puissants et contrôlent plusieurs institutions d'Etat.
1/ Le temps des populistes ? 2/ Points communs et spécificités 3/ Une menace pour la démocratie ? Suivez Le Club Le Figaro International sur le thème du populisme présenté par Philippe Gélie. Il est accompagné Philippe Raynaud, Célia Belin, Gaspard Estrada et Laure Mandeville.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les dernières élections ont chamboulé les lignes des pays du flanc est de l'Union européenne, que l'on croyait abonnés à l'utra-conservatisme et à l'opposition avec Bruxelles sur l'État de droit. Or, le 15 octobre dernier, le parti Droit et justice (PiS), au pouvoir depuis huit ans en Pologne, a été battu par la Coalition civique (KO) de Donald Tusk, soutenue par la Troisième Voie et la Nouvelle Gauche. Les résultats de ces élections soulèvent plusieurs questions : l'opposition va-t-elle changer de rhétorique et d'orientation vis-à-vis de l'UE ? Va-t-elle rétablir l'indépendance des systèmes judicaire, bancaire et médiatique ? Enfin, quel changement attendre en matière de politique étrangère, alors que le PiS avait menacé de couper tout soutien à l'Ukraine ?
Les 27 ont été fort occupés cette semaine : sommet extraordinaire sur la réponse européenne à apporter à la guerre qui sévit au Proche-Orient, sommet sur l'élargissement de l'UE, deux attentats perpétrés en France et en Belgique, et des élections en Pologne qui ont sonné le retour en force de l'opposition pro-européenne de Donald Tusk. Retour sur tous ces sujets avec Laurence Boone, la secrétaire d'État française chargée des Affaires européennes.
durée : 00:14:53 - Quel avenir pour le soutien à l'Ukraine alors qu'en Slovaquie, les populistes ont remporté les législatives
La cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, a été invitée à l'Élysée ce mardi 20 juin pour essayer de trouver un terrain d'entente avec Emmanuel Macron.
Les dirigeants populistes, controversés et clivants, prospèrent dans des États démocratiques. On a beaucoup parlé ces derniers jours de Donald Trump, Boris Johnson ou Silvio Berlusconi. Et la question posée est la suivante : comment expliquer que ces dirigeants populistes soient aussi très populaires dans des pays démocratiques ? C'est une vraie question, tant on a longtemps pensé que ce type de dirigeants concernait des États autoritaires ou dictatoriaux. Comme l'Italie de Mussolini, l'Allemagne de Hitler ou aujourd'hui la Russie de Vladimir Poutine, la Turquie de Recep Tayyip Erdogan ou la Chine de Xi Jinping notamment. Car ces dirigeants populistes sont en général des hommes à poigne, très conservateurs, très attachés à La Défense de l'identité de leur pays, aux visées parfois impérialistes, et très peu respectueux des règles de l'État de droit – bref, à l'opposé des fondements d'un État démocratique. Or, on observe depuis quelques années l'émergence de dirigeants populistes dans des États qui symbolisaient la démocratie, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Italie ou même dans une certaine mesure la France.► À lire aussi : Le populisme menace-t-il les démocraties ?Un système en perte de contact avec les populations…Alors comment expliquer ce phénomène ? Il y a d'abord l'essoufflement des valeurs des démocraties représentatives. Les grands idéaux qui structuraient l'espace politique se sont émiettés : communisme contre libéralisme notamment. Des sociétés devenues consuméristes et hyper individualistes, abreuvées des nouvelles technologies qui ont permis à des théories complotistes et anti-démocratiques de se répandre impunément sur les réseaux sociaux, tout cela a abouti à une défiance ou une indifférence vis-à-vis de dirigeants, jugés trop éloignés des réalités et des difficultés de leurs concitoyens, leur parlant chiffres et statistiques dans un jargon technocratique dénué de toute considération de l'humain. C'est du moins le ressenti de millions de personnes dans ces pays, confrontés à des difficultés sociales et économiques qui accroissent les inégalités, tuant par là l'une des promesses des démocraties – la réduction de ces inégalités. Les partis de gauche au pouvoir en particulier en ont payé le prix lourd, accusés de ne plus s'occuper de ce qu'on appelait les classes populaires. À cela s'ajoute la montée d'une crispation identitaire liée aux problèmes migratoires.► À lire aussi : Pierre Rosanvallon: «Le siècle du populisme, histoire, théorie, critique»...qui a créé un appel d'air pour les figures populistesEt voilà pourquoi sont apparues sur le devant de la scène politique des figures transgressives. Ce sont des personnages au charisme indéniable, qui maîtrisent les outils de communication d'aujourd'hui : ils parlent fort, ils parlent simple, ils ont de l'humour et savent incarner une partie de l'ADN de leur pays. Ils remettent en cause le modèle rationnel et, disent-ils, élitiste du système actuel. Et ça marche : certes, ils sont controversés et clivants, mais ils réussissent à séduire entre un tiers et la moitié de leurs compatriotes. Ils accèdent donc au pouvoir, comme Donald Trump, Boris Johnson ou Silvio Berlusconi. Heureusement, entre leur pratique du pouvoir, leur peu d'efficacité et la résistance des instances démocratiques qu'ils attaquent férocement, tout cela fait que jusqu'ici, leur mandat n'est pas renouvelé ou même écourté.Mais ce qui est préoccupant, c'est qu'ils conservent le soutien d'une bonne partie de la population qui se reconnaît en eux bien plus qu'en des personnalités plus classiques. Ils incarnent en creux cette crise des démocraties qui pour l'instant n'est pas réglée.► À lire aussi : Le monde est-il impuissant face à la montée des populismes ?
durée : 00:02:57 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La victoire de Lula au Brésil ne doit pas cacher le score très élevé de son rival Bolsonaro, qui illustre la résilience des politiciens populistes même quand leur bilan et leur éthique sont faibles, à l'instar de Netanyahou en Israël et de Trump aux États-Unis.
durée : 00:02:57 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La victoire de Lula au Brésil ne doit pas cacher le score très élevé de son rival Bolsonaro, qui illustre la résilience des politiciens populistes même quand leur bilan et leur éthique sont faibles, à l'instar de Netanyahou en Israël et de Trump aux États-Unis.
Tous les samedis et dimanches à 18h17, Pierre de Vilno reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman (tel). Il a signé ce vendredi une tribune « Un nouveau Royaume-Uni » après l'annonce du décès de Elizabeth II.
Stanislas Guerini considère que le recours aux cabinets de conseil renforce l'Etat bien plus qu'il ne le soumet. C'est pourquoi ses collègues et lui préfèrent proposer un nouvel encadrement de la pratique et davantage de transparence : on pourra désormais avoir accès à l'ensemble des missions commandées par les pouvoirs publics.
La rencontre Latraverse-Dumont, avec Emmanuelle Latraverse, Mario Dumont : le privé en santé une pilule miracle? Le populisme de droite guette-t-il vraiment le Canada avec les Duhaime et Poilievre ? Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le premier débat : Les politiques sont-ils devenus tous populistes ? Le grand débat : Allez-vous vous faire tester pour le réveillon du Nouvel-An ?
Après la démission de Giuseppe Conte, le président de la République italienne a chargé Mario Draghi de former un gouvernement. En quelques jours, l'ancien patron de la BCE a réussi à convaincre tous les partis de voter la confiance à son gouvernement et de participer à la relance économique du pays, grâce aux 209 milliards du plan de relance européen. Comment expliquer cette alliance entre technocrates et populistes ? Ce gouvernement peut-il vraiment durer ? Éléments de réponse avec Francesco Maselli, correspondant à Milan pour l'Opinion.
À la une de la presse, ce lundi 9 novembre, les changements attendus sur la scène internationale, après l’élection de Joe Biden à la présidentielle américaine. Les commémorations, en France, du 50e anniversaire de la mort du général de Gaulle. Et un jeune Américain fou amoureux de la France et de "l’omelette du fromage".
durée : 00:03:34 - Les Histoires du monde - Partout en Europe, le Guardian de Londres constate un recul des partis populistes. Sondage et explications.
durée : 00:03:34 - Les Histoires du monde - Partout en Europe, le Guardian de Londres constate un recul des partis populistes. Sondage et explications.
durée : 00:03:34 - Les Histoires du monde - Partout en Europe, le Guardian de Londres constate un recul des partis populistes. Sondage et explications.
Ils s’essoufflent. Il ne faut évidemment pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué mais le fait est que de Washington à Budapest en passant par Varsovie, les régimes nationalistes et autoritaires, ceux qu’ont dit « populistes », n’ont plus le vent en poupe.
durée : 02:02:46 - Les Matins - par : Guillaume Erner - . - réalisation : Vivien Demeyère
durée : 00:03:55 - Le monde à l'envers - L’Inde vient d’enregistrer un record de nombre quotidien de contaminations au coronavirus. La démographie et la pauvreté expliquent en partie cette flambée.Mais ce n’est pas la seule explication : la corrélation entre régimes populistes et mauvaise gestion de l’épidémie devient flagrante. C’est le monde d'après.
durée : 00:05:39 - Le Tour du monde des idées - par : Brice Couturier - La crise du coronavirus a mis en lumière le rôle des experts et renforcé l’autorité des responsables politiques qui les écoutent. A contrario, on a vu les dirigeants populistes gérer l’épidémie de manière erratique. Peut-on miser sur un reflux de la vague populiste pour cause de coronavirus ?
durée : 00:05:39 - Le Tour du monde des idées - par : Brice Couturier - La crise du coronavirus a mis en lumière le rôle des experts et renforcé l’autorité des responsables politiques qui les écoutent. A contrario, on a vu les dirigeants populistes gérer l’épidémie de manière erratique. Peut-on miser sur un reflux de la vague populiste pour cause de coronavirus ?
durée : 00:02:17 - Le monde est à nous - Alors que la pandémie continue sa route, certains experts de la politique s’intéressent à la manière dont les pays ont géré la crise, et avec quelles conséquences. Et on peut trouver quelques points communs intéressants.
Interview d’Amélie Poinssot, journaliste, autrice de l'ouvrage "Dans la tête de Victor Orban" (Actes sud).
durée : 02:00:17 - Les Matins - par : Guillaume Erner - . - réalisation : David Jacubowiez
Interview d’Erwan Lecœur, politologue et spécialiste de l’extrême droite.
Dans ces primaires démocrates, Bernie Sanders et Elizabeth Warren empruntent à une tradition populiste américaine qui n’a rien à voir avec l’autoritarisme et la xénophobie auxquels ce ter
durée : 00:12:06 - Journal de 7 h - Des leaders populistes et autoritaires se sont succédé mardi à la tribune de l'ONU, à New York, pour la première journée de l'Assemblée générale des Nations Unies.
Le journaliste politique Nicolas Domenach estime que les populistes "ont été rattrapés par leur prétention", alors que Guillaume Roquette, directeur du Figaro Magazine, salue des scores importants aux européennes.
durée : 00:04:08 - Le Billet politique - par : Frédéric Says - Matteo Salvini ne fait plus partie du gouvernement italien. Boris Johnson a été mis en échec par le parlement britannique. Pourtant, l'Histoire n'est pas terminée...
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans 19h Ruth Elkrief à une duelliste de choc différente chaque soir : Natacha Polony, Aurélie Filippetti, Sophia Chikirou et Eugénie Bastié.
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans 19h Ruth Elkrief à une duelliste de choc différente chaque soir : Natacha Polony, Aurélie Filippetti, Sophia Chikirou et Eugénie Bastié.
durée : 00:03:36 - Le Billet politique - par : Frédéric Says - Ils multiplient les faux-pas mais leur cote de popularité reste imperturbablement élevée.
durée : 00:15:42 - Journal de 8 h - "Il n'y a plus de majorité" : en Italie, Matteo Salvini veut faire voler en éclat la coalition que son parti d'extrême-droite forme avec les Populistes. Il demande des élections anticipées. Comment ou pourquoi ? Nous rejoindrons notre correspondante à Rome.
On conclue cette séquence politique en beauté puisque je reçois cette semaine Giuliano da Empoli qui est essayiste politique et ancien conseiller de Matteo Renzi.Il nous explique comment la montée des mouvements national-populistes à travers le monde a pu avoir lieu et pourquoi les réseaux sociaux sont au centre de leurs stratégies.Pour traiter le mieux possible de ces problématiques, je suis rejoint par mon ami podcasteur Patrick Beja, qui anime le Rendez-vous Tech et le Phileas Club.Notes : "Les ingénieurs du chaos" par Giuliano da Empoli (JC Lattès) L'article de Patrick sur le Gamergate Septante Minutes Avec Patrick Beja Le RDV Jeux Spécial E3 SEPTANTE MINUTES AVECTwitter : @SeptanteMinutes | @GuiHachezFacebook : Septante Minutes AvecYoutube : J'aime Bien Quand Tu Parles"Septante Minutes Avec" fait partie du réseau de podcasts J'aime Bien Quand Tu Parles. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On conclue cette séquence politique en beauté puisque je reçois cette semaine Giuliano da Empoli qui est essayiste politique et ancien conseiller de Matteo Renzi. Il nous explique comment la montée des mouvements national-populistes à travers le monde a pu … Lire la suite
durée : 00:02:51 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La défaite du candidat de l’AKP, le parti du Président Erdogan, montre que les grandes villes se rebiffent lorsque le discours populiste ne correspond plus à la réalité. Une situation que l’on constate dans plusieurs pays confrontés à la poussée populiste.
Les élections européennes ont eu lieu ce dimanche et il y a beaucoup d’enseignements à en tirer au niveau français bien sûr, mais aussi au niveau européen. Qui sont les gagnants, les perdants, est-ce l’année des Verts, le clivage gauche-droite est-il mort, la vague populiste a-t-elle été aussi grande que prévue ?Autant de questions auxquelles nous répondons, dans ce 7ème épisode de notre podcast « Votre Europe », le dernier avant ces élections européennes, toujours en compagnie de Martin Michelot, chercheur français pour le think tank Europeum, en direct de Bruxelles par téléphone.Ce qu'il nous dit notamment :"L'influence des populistes et leur capacité à miner l'Union européenne va être limitée. Il faut toutefois le contraster au niveau national où 1,2 millions de Français en plus ont voté pour le RN par rapport à 2017. Mais la France ne représente pas l'Europe dans son intégralité"Sur le score de LREM : "Je trouve que c'est une défaite. "Plus qu'une question de victoire ou non pour Macron je vois une victoire pour les orientations pro-européennes""A Bruxelles Macron va avoir plus d'influence que Le Pen via les députés de la liste Renaissance.""Nous n'allons pas assister à un chamboulement du Parlement européen."A propos de ce podcast « Votre Europe » s’intéresse depuis avril 2019 aux problématiques européennes, de notre point de vue de Français certes mais avec une ouverture d’esprit résolument internationale. Nous répondrons et tenterons de démystifier puis de vous éclairer sur les questions, actus, actions et déclarations qui agitent l’Europe alors que celle-ci est régulièrement décriée, notamment depuis notre pays. Populismes, nationalismes, extrémismes, Union européenne et idéal européen remis en cause, représentants, gouvernance et défense commune, immigration, environnement et aussi comment l’Europe s’invite dans notre quotidien… des thématiques qui font tanguer un continent qui n’a de cesse de se chercher une identité.Animé par Bertrand de Volontat.Retrouvez les précédents épisodes :Podcast "Votre Europe". Le populisme peut-il remporter les élections européennes de 2019 ?Podcast "Votre Europe". Comment le débat des européennes a viré à un duel Macron - Le PenPodcast « Votre Europe ». Le Brexit, l’épine dans le pied de ces élections européennesPodcast « Votre Europe ». Les programmes des têtes de liste françaises pour les élections passés au criblePodcast « Votre Europe ». Le vrai du faux sur le réel coût de l’union européenne pour la FrancePodcast « Votre Europe ». Pourquoi faut-il s’intéresser aux élections européennes ?Ecoutez vos podcasts sur notre app' mobile Earli Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:03:16 - Les Histoires du monde - Les populistes progressent, c'est un fait. Mais en Grèce, en Espagne, aux Pays-Bas, en Allemagne, leur contre-performance réduisent cette victoire à quelques sièges de plus au Parlement européen. D'autant qu'ils ne pourront compter longtemps sur le renfort des "brexiters" britanniques.
durée : 00:11:31 - Les Enjeux internationaux - par : Xavier Martinet - . « Il est inexplicable que l'accès à la santé sexuelle et reproductive ne soit pas explicitement reconnu aux victimes de violences sexuelles, elles qui sont souvent la cible d'atroces exactions et de mutilations barbares. » Au sein du Conseil de sécurité du 23 avril, l'ambassadeur français à l'ONU François Delattre n'a pas hésité à dénoncer la menace de veto proférée par les Etats-Unis pour empêcher une résolution contre le viol comme arme de guerre. * Le choc est de taille, face aux Nobel de la Paix 2018 Denis Mukwege et Nadia Murad qui réclament justice, l'administration Trump a tout fait pour ne pas reconnaître et favoriser les avortements dans le monde. La résolution pour lutter contre les violences sexuelles dans les conflits a été votée, mais elle a été vidée de sa substance à cause de la simple évocation de la "_ santé sexuelle et procréative"_ des termes qui seraient pro-avortement pour Washington. - invités : Marie Cécile Navès - Marie-Cécile Naves : politologue, spécialiste des Etats-Unis, chercheuse associée à l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) - réalisé par : Mydia Portis-Guérin
Interview avec Berengère Viennot - traductrice de presse, elle a été confrontée à cette langue nouvelle, utilisée par Trump. «Des phrases souvent inachevées», dit-elle, et parfois «dépourvues de sens». Puis elle a commencé à analyser cette syntaxe déroutante et à se demander quelle réalité nouvelle elle traduisait. Des observations qu’elle a rassemblées dans un livre "La Langue de Trump".
Interview avec Berengère Viennot - traductrice de presse, elle a été confrontée à cette langue nouvelle, utilisée par Trump. «Des phrases souvent inachevées», dit-elle, et parfois «dépourvues de sens». Puis elle a commencé à analyser cette syntaxe déroutante et à se demander quelle réalité nouvelle elle traduisait. Des observations qu’elle a rassemblées dans un livre "La Langue de Trump".
L'Europe est-elle condamnée à choisir entre les populistes identitaires d'un côté et les "progressistes" pro-européens de l'autre? Les représentants autoproclamés des premiers, Matteo Salvini et Marine Le Pen en tête, comme celui des seconds, Emmanuel Macron, font ce qu'il faut pour, avant tout parce qu'ils y ont, chacun sur leur scène nationale, politiquement intérêt. Ce qui ne veut pas dire que cette fracture n'illustre pas une réalité, la poussée des nationalismes, en Hongrie, en Italie, en Pologne, en Autriche, et la radicalisation des oppositions entre "européistes" et "eurosceptiques". Explications. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.