Podcasts about abomey

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Best podcasts about abomey

Latest podcast episodes about abomey

Si loin si proche
La pétanque, une passion béninoise

Si loin si proche

Play Episode Listen Later Dec 15, 2024 48:30


Le Bénin a accueilli, en septembre 2023, la 50è édition du Championnat du monde de pétanque. Mais déjà, bien avant cet évènement qui a réuni 37 nations à Cotonou, le pays avait déclaré sa flamme au jeu de boules provençal.  Dans les rues de Porto Novo, Cotonou ou Abomey, il n'est pas rare de croiser sur des boulodromes improvisés des joueurs et des joueuses passionnés, en plein palabre pour savoir qui a emporté le point. Car au Bénin, la pétanque est devenue une affaire sérieuse, un sport national qui a vu émerger des titres et des champions qui ont su se rapprocher tout près du bouchon et fait de leur pays un vice-champion. En 2016 d'abord, après avoir battu la France en triplette masculine, la discipline reine ; puis en septembre 2023, en doublette pendant la compétition qui s'est tenue justement à Cotonou, à ciel ouvert, à l'ombre de sa grande Amazone.Surtout- et c'est ce que la rue nous apprend-, ce jeu accessible, ouvert à tous, est devenu un loisir populaire et fédérateur dans le pays, comme ailleurs sur le continent, que ce soit à Madagascar, au Burkina Faso ou en Côte d'Ivoire. Arrivée sur le continent dans les valises des Marseillais pendant la colonisation, la pétanque n'est pas qu'une passion béninoise, mais depuis les derniers championnats de Cotonou, on voit bien qu'elle est là-bas un motif de ferveur et d'élan national. Voyage entre le club mythique PCZAM de Cotonou et les terrains de boule de rue, à la rencontre de passionné.e.s d'hier et d'aujourd'hui, qui tirent et qui pointent !Un reportage de Raphaëlle Constant initialement diffusé en janvier 2024. 

Si loin si proche
La pétanque, une passion béninoise

Si loin si proche

Play Episode Listen Later Dec 15, 2024 48:30


Le Bénin a accueilli, en septembre 2023, la 50è édition du Championnat du monde de pétanque. Mais déjà, bien avant cet évènement qui a réuni 37 nations à Cotonou, le pays avait déclaré sa flamme au jeu de boules provençal.  Dans les rues de Porto Novo, Cotonou ou Abomey, il n'est pas rare de croiser sur des boulodromes improvisés des joueurs et des joueuses passionnés, en plein palabre pour savoir qui a emporté le point. Car au Bénin, la pétanque est devenue une affaire sérieuse, un sport national qui a vu émerger des titres et des champions qui ont su se rapprocher tout près du bouchon et fait de leur pays un vice-champion. En 2016 d'abord, après avoir battu la France en triplette masculine, la discipline reine ; puis en septembre 2023, en doublette pendant la compétition qui s'est tenue justement à Cotonou, à ciel ouvert, à l'ombre de sa grande Amazone.Surtout- et c'est ce que la rue nous apprend-, ce jeu accessible, ouvert à tous, est devenu un loisir populaire et fédérateur dans le pays, comme ailleurs sur le continent, que ce soit à Madagascar, au Burkina Faso ou en Côte d'Ivoire. Arrivée sur le continent dans les valises des Marseillais pendant la colonisation, la pétanque n'est pas qu'une passion béninoise, mais depuis les derniers championnats de Cotonou, on voit bien qu'elle est là-bas un motif de ferveur et d'élan national. Voyage entre le club mythique PCZAM de Cotonou et les terrains de boule de rue, à la rencontre de passionné.e.s d'hier et d'aujourd'hui, qui tirent et qui pointent !Un reportage de Raphaëlle Constant initialement diffusé en janvier 2024. 

Monumental - La 1ere
Le patrimoine du Bénin

Monumental - La 1ere

Play Episode Listen Later Jul 22, 2024 56:39


En 2021, la France restituait 26 œuvres des trésors royaux dʹAbomey. Une restitution qui a fait lʹobjet dʹun documentaire réalisé par Mati Diop et qui a remporté l'Ours d'or à la Berlinale 2024. Lʹoccasion pour Monumental de revenir sur cet épisode mais aussi de parler de lʹhistoire des villes de Cotonou et de Porto Novo ou encore de la cité lacustre de Ganvié. Armelle Choplin, professeure de géographie et dʹurbanisme à lʹUniversité de Genève, est interrogée par Johanne Dussez.

ArcheoTravelers il Podcast
Segreti e Sacrifici. La Tomba Reale di Abomey

ArcheoTravelers il Podcast

Play Episode Listen Later Jun 21, 2024 61:19


Nello Stato del Benin, in Africa Occidentale, lungo il Golfo di Guinea, c'è un palazzo la cui storia costruttiva è ricca di leggende e dettagli alquanto macabri. Situato ad Abomey, l'antica capitale del regno di Dahomey, la leggenda vuole che questo palazzo sia stato costruito usando il sangue di vittime di sacrifici voodoo. In effetti, il Benin è spesso considerato come il luogo di nascita del voodoo, una delle più antiche religioni del mondo.Ma perché ve ne sto parlando? Come sapete spesso sotto ogni leggenda si nasconde un po' di verità… scopriamo quindi insieme quali sono stati i risultati della recente analisi a cui è stata sottoposta la malta con cui furono realizzate particolari capanne sacre.Preparatevi perché tratterò tematiche toste, quelle che piacciono a voi, ma anche a me.Pronti ad immergervi in un episodio in cui tratteremo di sacrifici rituali, animali e… umani, voodoo, palazzi reali e capanne funerarie alquanto macabre e misteriose? Se la vostra risposta è sì, non vi resta che mettervi comodi, cominciamo!Buon ascolto!Trovi il progetto "ArcheoTravelers, viaggiatori nel passato" sui maggiori canali social tra cui Instagram e Facebook, oltre che sul sito internet ad esso dedicato www.archeotravelers.com.Qui trovi l'approfondimento all'episodio di oggi -> Segreti e Sacrifici. La Tomba Reale di Abomey

Fakt ab! Eine Woche Wissenschaft
So legen Ameisen das Stromnetz lahm

Fakt ab! Eine Woche Wissenschaft

Play Episode Listen Later Jun 7, 2024 26:18


Diese Woche mit Julia Nestlen und Charlotte Grieser. Ihre Themen sind: - Forschungsteam entwickelt einen dritten Roboterdaumen (00:40) - So legen Ameisen in Kehl das Stromnetz lahm (06:42) - Therapeutisches Gammeln ist gut fürs Gehirn (12:38) - Deshalb hat ein Palast in Benin Blut und Baguette in seinen Mauern (19:25) Weitere Infos und Studien gibt's hier: Public have no difficulty getting to grips with an extra thumb, study finds https://www.sciencedaily.com/releases/2024/05/240529142939.htm Stromausfall in Kehl: Invasive Ameisenart nistet gern in Stromkästen https://www.swr.de/wissen/stromausfall-durch-invasive-ameisen-in-kehl-darum-nisten-sie-in-stromkaesten-100.html Palace Made Of Human Blood Confirmed As Site Of Voodoo Sacrifices https://www.iflscience.com/palace-made-of-human-blood-confirmed-as-site-of-voodoo-sacrifices-74444 Metaproteomic analysis of King Ghezo tomb wall (Abomey, Benin) confirms 19th century voodoo sacrifices https://analyticalsciencejournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/pmic.202400048 "Therapeutisches Gammeln": Wie ein ungewöhnliches Konzept bei Demenz hilft https://www.watson.de/leben/good-news/863055868-therapeutisches-gammeln-wie-ein-ungewoehnliches-konzept-bei-demenz-hilft Unser Podcast-Tipp der Woche: Das Verbrechen lauert überall – auch zwischen Mensch und Tier. "Wild Crimes" liefert packende Storys von True Crime im Tierreich. In Staffel eins erzählen wir euch vom "Problembären" Bruno. Der war erst bei uns willkommen, dann wurde er gejagt und getötet. Wie kam es zu dieser dramatischen Wende? Wer hat ihn abgeschossen? Und war es gerechtfertigt, ihn zu töten? https://1.ard.de/wild-crimes Habt ihr auch Nerd-Facts und schlechte Witze für uns? Schreibt uns bei WhatsApp oder schickt eine Sprachnachricht: 0174/4321508 Oder per E-Mail: faktab@swr2.de Oder direkt auf http://swr.li/faktab Instagram: @charlotte.grieser @julianistin @sinologin @aeneasrooch Redaktion: Charlotte Grieser und Chris Eckardt Idee: Christoph König

Un Jour dans l'Histoire
Le patrimoine du Bénin

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Apr 28, 2024 24:02


En 2021, la France restituait 26 œuvres des trésors royaux dʹAbomey. Une restitution qui a fait lʹobjet dʹun documentaire réalisé par Mati Diop et qui a remporté l'Ours d'or à la Berlinale 2024. Lʹoccasion pour Monumental de revenir sur cet épisode mais aussi de parler de lʹhistoire des villes de Cotonou et de Porto Novo ou encore de la cité lacustre de Armelle Choplin, professeure de géographie et dʹurbanisme à lʹUniversité de Genève, est interrogée par Johanne Dussez. Sujets traités : Bénin, patrimoine, Mati Dio, Berlinale 2024, Ours d'or, Cotonou, Porto Novo, Ganvié.,cité, Armelle Choplin, ohanne Dussez. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

New Books Network
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books Network

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network

New Books in History
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books in History

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history

New Books in African Studies
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books in African Studies

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/african-studies

New Books in Early Modern History
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books in Early Modern History

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in Art
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books in Art

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/art

Exchanges: A Cambridge UP Podcast
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

Exchanges: A Cambridge UP Podcast

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network.

New Books in Diplomatic History
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books in Diplomatic History

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in Economic and Business History
Ana Lucia Araujo, "The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism" (Cambridge UP, 2023)

New Books in Economic and Business History

Play Episode Listen Later Feb 11, 2024 48:14


The Gift: How Objects of Prestige Shaped the Atlantic Slave Trade and Colonialism (Cambridge University Press, 2023) explores how objects of prestige contributed to cross-cultural exchanges between Africans and Europeans during the Atlantic slave trade. An eighteenth-century silver ceremonial sword, commissioned in the port of La Rochelle by French traders, was offered as a gift to an African commercial agent in the port of Cabinda (Kingdom of Ngoyo), in twenty-first century Angola. Slave traders carried this object from Cabinda to Abomey, the capital of the Kingdom of Dahomey in twenty-first century's Republic of Benin, from where French officers looted the item in the late nineteenth century. Drawing on a rich set of sources in French, English, and Portuguese, as well as artifacts housed in museums across Europe and the Americas, Ana Lucia Araujo illuminates how luxury objects impacted European-African relations, and how these economic, cultural, and social interactions paved the way for the European conquest and colonization of West Africa and West Central Africa. Ana Lucia Araujo is a Professor of History at Howard University. Caleb Zakarin is the Assistant Editor of the New Books Network. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Si loin si proche
La pétanque, une passion béninoise

Si loin si proche

Play Episode Listen Later Jan 28, 2024 48:30


En septembre 2023, le Bénin a accueilli la 50è édition des championnats du monde de pétanque. Mais déjà, bien avant cet évènement qui a réuni 37 nations à Cotonou, le pays avait déclaré sa flamme au jeu de boules provençal.   Dans les rues de Porto Novo, Cotonou ou Abomey, il n'est pas rare de croiser sur des boulodromes improvisés des joueurs et des joueuses passionnés, en plein palabre pour savoir qui a emporté le point. Car au Bénin, la pétanque est devenue une affaire sérieuse, un sport national qui a vu émerger des titres et des champions qui ont su se rapprocher tout près du bouchon et fait de leur pays un vice-champion. En 2016 d'abord, après avoir battu la France en triplette masculine, la discipline reine ; puis en septembre 2023, en doublette pendant la compétition qui s'est tenue justement à Cotonou, à ciel ouvert, à l'ombre de sa grande Amazone.Surtout- et c'est ce que la rue nous apprend-, ce jeu accessible, ouvert à tous, est devenu un loisir populaire et fédérateur dans le pays, comme ailleurs sur le continent, que ce soit à Madagascar, au Burkina Faso ou en Côte d'Ivoire. Arrivée sur le continent dans les valises des Marseillais pendant la colonisation, la pétanque n'est pas qu'une passion béninoise, mais depuis les derniers championnats de Cotonou, on voit bien qu'elle est là-bas un motif de ferveur et d'élan national. Voyage entre le club mythique PCZAM de Cotonou et les terrains de boule de rue, à la rencontre de passionné.e.s d'hier et d'aujourd'hui, qui tirent et qui pointent.Un reportage de Raphaëlle Constant.  

Si loin si proche
La pétanque, une passion béninoise

Si loin si proche

Play Episode Listen Later Jan 28, 2024 48:30


En septembre 2023, le Bénin a accueilli la 50è édition des championnats du monde de pétanque. Mais déjà, bien avant cet évènement qui a réuni 37 nations à Cotonou, le pays avait déclaré sa flamme au jeu de boules provençal.   Dans les rues de Porto Novo, Cotonou ou Abomey, il n'est pas rare de croiser sur des boulodromes improvisés des joueurs et des joueuses passionnés, en plein palabre pour savoir qui a emporté le point. Car au Bénin, la pétanque est devenue une affaire sérieuse, un sport national qui a vu émerger des titres et des champions qui ont su se rapprocher tout près du bouchon et fait de leur pays un vice-champion. En 2016 d'abord, après avoir battu la France en triplette masculine, la discipline reine ; puis en septembre 2023, en doublette pendant la compétition qui s'est tenue justement à Cotonou, à ciel ouvert, à l'ombre de sa grande Amazone.Surtout- et c'est ce que la rue nous apprend-, ce jeu accessible, ouvert à tous, est devenu un loisir populaire et fédérateur dans le pays, comme ailleurs sur le continent, que ce soit à Madagascar, au Burkina Faso ou en Côte d'Ivoire. Arrivée sur le continent dans les valises des Marseillais pendant la colonisation, la pétanque n'est pas qu'une passion béninoise, mais depuis les derniers championnats de Cotonou, on voit bien qu'elle est là-bas un motif de ferveur et d'élan national. Voyage entre le club mythique PCZAM de Cotonou et les terrains de boule de rue, à la rencontre de passionné.e.s d'hier et d'aujourd'hui, qui tirent et qui pointent.Un reportage de Raphaëlle Constant.  

Com d'Archi
[REDIFF] S3#46

Com d'Archi

Play Episode Listen Later Oct 5, 2023 38:13


In French in this CDA S3#46 (monday online), “Des savoir-faire ancestraux et une architecture contemporaine”, an interview of Françoise N'Thépé architect. In English in CDA S3#47 (wednesday online), "Museum of the Epic of the Amazons and Kings of Danhomè, Abomey, Benin” by Françoise N'Thépé.En français dans le CDA S3#46 (lundi en ligne), "Bâtir avec les grandes armatures naturelles", une interview de Françoise N'Thépé architecte. En anglais dans CDA S3#47 (mercredi en ligne), Musée de l'épopée des Amazones et des Rois du Danhomè, Abomey, Bénin par Françoise N'Thépé.___Diplômée de l'École spéciale d'Architecture de Paris, lauréate en 2001 du prix des Nouveaux Albums des Jeunes Architectes, Françoise N'Thépé après avoir travaillé pour Finn Geipel et Nicolas Michelin, a œuvré pour le réaménagement de l'Hôtel de la Monnaie à Paris ou la réhabilitation de l'École d'Architecture de Versailles en association avec Aldric Beckmann. En 2017, elle fonde son agence en nom propre, Françoise N'Thépé Architecture et Design et reçoit bientôt la prestigieuse commande du Musée de l'Épopée des Amazones et des rois du Dahomé à Abomey au Bénin. Dans ce numéro de Com d'Archi, Françoise, à travers l'évocation de ses projets, nous fait voyager. Depuis Paris, nous nous envolons en Afrique Subsaharienne où sont ancrées ses racines. Ce grand « voyage » est l'occasion de parler d'architecture au-delà des frontières européennes.Portrait DR © Marjolijn De GrootIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Com d'Archi
[REPLAY] S3#47

Com d'Archi

Play Episode Listen Later Oct 5, 2023 5:25


The Museum of the Epic of the Amazons and Kings of Danhomé is an architectural project project currently being developed by Françoise N'Thépé. This project is rooted in the legendary stories of African tradition and speaks of Amazons. What kind of architecture for such a symbolism? Find out in the episode of course.In this issue of Com d'Archi you will find this project narrated by Françoise N'Thépé and read by Esther.Image DR © InuiSound engineering : Julien Rebours___If you like the podcast do not hesitate:. to subscribe so you don't miss the next episodes,. to leave us stars and a comment :-),. to follow us on Instagram @comdarchipodcast to find beautiful images, always chosen with care, so as to enrich your view on the subject.Nice week to all of you ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Invité Afrique
Alain Godonou: au Bénin, «l'exposition des trésors d'Abomey a été un surprenant succès populaire»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 11, 2022 5:00


C'était il y a un an quasiment jour pour jour. Le Bénin se voyait restituer par la France les 26 œuvres des trésors royaux d'Abomey. Les autorités béninoises espèrent que d'autres œuvres leur seront rendues dans les prochaines années. Mais avant cela, elles travaillent, pour des expositions temporaires, sur le prêt de certaines pièces de renom comme la célèbre statue du dieu Gou. Alain Godonou est le directeur du programme Musées à l'Agence nationale de promotion des patrimoines et de développement du tourisme au Bénin.   Les œuvres des trésors royaux d'Abomey vous ont donc été restituées il y a un an. Elles ont été exposées au palais de la présidence pendant plusieurs mois. Comment ont-elles été accueillies par le public ? Alain Godonou : Disons que c'est un accueil au-delà de nos espérances. Vous avons eu une exposition en deux temps : une première saison de février à mai, à peu près 40 jours d'exposition, et nous avons eu à peu près 190 000 visiteurs, avec une moyenne journalière de quasiment 4 500 à 5 000 visiteurs. Puis, sur la demande du public, nous avons rouvert l'exposition du 16 juillet à la fin du mois d'août et nous avons eu à peu près 34 000 visiteurs. Donc, cela a été un succès énorme, populaire, qui nous a surpris. Que vont devenir les œuvres maintenant ? Vont-elles être exposées à Ouidah, comme cela avait été annoncé dans un premier temps ? Nous sommes en train d'y réfléchir et nous nous posons la question : est-ce que cela vaut véritablement la peine de les exposer de nouveau à Ouidah, vu qu'il y a eu largement le temps, vu les statistiques que nous avons, de les visiter, ou bien faut-il les soigner, les traiter et attendre tout simplement de les exposer de façon définitive dans l'écrin naturel d'Abomey ? Vous le disiez, ces œuvres doivent à terme être exposées à Abomey, au musée de l'Épopée des amazones et des rois du Dahomey. Où en est la construction de ce musée ? Les travaux avancent normalement ? Oui, la construction du musée avance. Nous avons décidé de mettre ce musée, cet espace muséal, à l'intérieur du site classé des palais royaux d'Abomey, qui est un site classé patrimoine mondial de l'Unesco. Et pour ce fait, il faut des discussions techniques professionnelles, mais qui tiennent compte aussi de ce qu'on appelle la V.U.E., la valeur universelle exceptionnelle, de ce site-là. Nous avons eu ce dialogue avec l'Unesco, qui est terminé maintenant. Donc, les études finales sont en cours d'achèvement et l'entreprise, qui doit conduire à terme les travaux, sera choisie incessamment. Et l'ouverture de ce musée est prévue pour la rentrée 2024. Est-ce que le succès populaire de l'exposition de ces 26 œuvres vous a poussé à formuler de nouvelles demandes de restitution à la France ? Quand le président Patrice Talon était en France à l'Élysée pour acter le retour de ces 26 trésors, il y a eu un rappel des œuvres que nous souhaitions recevoir. Cette demande est toujours sur la table. Maintenant, c'est l'affaire des politiques. Nous savons comment cela se passe en France. Nous savons que le président Emmanuel Macron a lancé l'étude d'une loi qui facilite les dispositions réglementaires, qui facilite la restitution. Probablement que cela mettra du temps. Maintenant, nous, nous sommes sur un plan plus technique. Nous sommes dans un dispositif de coopération. Nous sommes pour la circulation des œuvres et nous sommes en discussion avec les collègues français, peut-être pas pour la restitution, qui est un dossier politique et parfois législatif, mais pour le partage des collections qui existent. Donc, nous attendons des musées en France et des professionnels, des conservateurs en France, que nous puissions discuter, pour que les œuvres qu'ils ont et qui nous intéressent ici dans nos expositions puissent circuler dans ce sens-là, que nous puissions les accueillir et les présenter. Quelles sont les pièces en particulier qui vous intéresseraient à court ou moyen terme ? Bien sûr. Vous savez qu'il y a une pièce qui était dans notre demande depuis longtemps, le dieu Gou par exemple. À partir du moment où nous mettons en place le musée international du Vaudou, toutes les œuvres qui pourraient relever de cette problématique patrimoniale, le vaudou qui a une identité au Bénin, il est normal que nous puissions penser à les accueillir. Il n'y a pas que le dieu Gou, il y a tout le mobilier Ifa, la divination attachée au fameux devin du royaume d'Abomey, Gèdègbé, qui sont sur la table suite à notre demande pour restitution ou circulation. Je vous ai cité les plus emblématiques. Mais il y en a d'autres qui trouvent leur place dans les expositions que nous voulons faire ici. À quelle échéance ces œuvres pourraient-elles vous être prêtées ? Il y a un travail entre les institutions dont la responsabilité, la mission est de s'occuper de ces collections-là et nous, nous commençons la discussion avec la partie française. Nous organisons notre discussion d'ailleurs à travers l'appui d'Expertise France et des professionnels français du ministère de la Culture sur ces questions-là. Pour vous donner une date, une échéance, à la rentrée 2024 à partir de septembre, nous devrions avoir de nouveau de très grandes expositions au Bénin qui incluraient peut-être, si nous arrivons à bon port, ce que nous souhaitons, ces objets-là.

All Out of F***s Podcast
S3EP12: Brett Favre $tealing Money From The Poor, Racist Robert Sarver Losing The Suns, and Boycotting The Woman King or Nah?

All Out of F***s Podcast

Play Episode Listen Later Sep 23, 2022 100:48


ince no one else will, we will talk about Brett Favre's trifling ass stealing millions from the poor people of Mississippi. In other White Men have lost their mind news, we dive into the Phoenix Suns Racist Ass Owner Robert Sarver fallout. Finally, does it matter if The Woman King is historically accurate? Why this historical retelling?    INTRODUCTION Welcome Back Thanks for subscribing and listening. Find us on Apple Podcasts on iTunes, Spotify, Soundcloud and Libsyn   BLOWING SMOKE         SESSION OF THE DAY:    Brett Favre WelfareScandal   Text messages showing coordinated effort between, BF, former governor Phil Byrant, and nonprofit leader, Nancy New (MCEC)to procure welfare funds to finance an $8 million volleyball stadium Mississippi Department of Human Services Director commited $4 million in funds to construction for the volleyball facility Comparison to Michael Vick Dog Fighting   Robert Sarver Scandal   Racist and Misogynistic Comments Interaction with Earl Watson Now Selling Franchise Worse than Donald Sterling?   The Woman King    Boycott? Black Female Led Action Film Historically Inaccurate Viola Davis Addressed and acknowledged that its a movie, so liberties have been taken History: Black Woman Warriors of Dahomey in the 1800s Dahomey were directly involved in Trans-Atlantic Slave Trade The movie: 1823 film takes place The Woman King portrays the Agojie as liberators. In the film, the Mahi, a people established north of Abomey and allied with the Kingdom of Oyo, are seeking to capture Dahomey's subjects, to sell them into slavery. But the reality was quite different. The more powerful Dahomean army was often the one that attacked the Mahi. King Gezo and his predecessors led several incursions against the Mahi during the 18th and 19th centuries. Does it matter? Does it divert attention from White involvement and responsibility for slavery     WHAT THE F*CK NEWS SEGMENT   Tech Workers Paying $75K for Leg Lengthening Surgery California Woman Fakes Abduction     THANK YOU Thanks for joining us this episode of All Out of Fucks Podcast! Make sure to check us out on Instagram @alloutoffuckspodcast, Twitter @AllOutofFuxPod, and our website at alloutoffuckspodcast.com, where you can subscribe to the show in iTunes, Stitcher or via RSS so you'll never miss a show. While you're at it, if you liked what you heard, then we'd appreciate you heading over to iTunes and giving us a 5 star rating or just tell a friend about the show

Afrique Économie
Le Bénin mise sur le tourisme multidimensionnel

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jul 26, 2022 2:12


Toute cette semaine, Afrique économie se penche sur les transformations systémiques de l'économie béninoise. Le tourisme fait partie des secteurs privilégiés par les autorités. Un tourisme à la fois balnéaire, culturel, mémoriel et de safari. L'État entend en faire un gisement de croissance et a consenti à des investissements importants depuis six ans.   Olanma Ojukwu est Nigériane, elle vit au Bénin depuis plus de vingt ans, elle y a créé une agence de voyage baptisée Gota Voyage. Sa clientèle privilégiée : les Nigérians qui viennent passer le week-end sur les plages béninoises : « Il y a beaucoup, beaucoup de Nigérians qui viennent. Gota a un package que nous appelons “Week-end Gateway”. Ils quittent le Nigeria le vendredi et y retournent le dimanche soir. »  Rien qu'à Lagos ville, située à 120 kilomètres de Cotonou, il y aurait selon Olanma Ojukwu à cinq ou six millions de clients qui ont le pouvoir d'achat suffisant pour s'offrir des vacances au Bénin. Ce qui les séduit, c'est d'abord la tranquillité et l'art de vivre : « Cotonou by night, Bénin by night, vous n'avez pas peur de circuler à tout moment. Les plages que nous avons ici sont propres, il y a la sécurité, vous pouvez y aller à tout moment, ce qui n'est pas vraiment possible au Nigeria. »  « Le Bénin n'a pas pétrole, n'a pas d'or, n'a pas de diamants, mais il a un patrimoine historique, artistique et culturel énorme, auquel on n'a jamais donné sa chance… » José Pliya est l'administrateur délégué de l'Agence de promotion du patrimoine et du développement touristique. C'est lui qui depuis six ans met en musique la politique touristique décidée par le président. Le premier axe consiste à renforcer l'offre patrimoniale et culturelle.  Pour vous donner un ordre d'idée, on est sur un musée de stature internationale à 25 millions d'euros à Abomey. On est sur la rénovation du fort portugais de Ouidah, au sein duquel il y aura le musée international de la Mémoire de l'esclavage. Ensuite, nous aurons le musée international du Vaudou à Porto-Novo, un financement 100% béninois. Et on termine par le musée d'Art contemporain de Cotonou pour dix milliards (de francs CFA, ndrl) sur financement propre du Bénin.   L'hébergement touristique étant le maillon faible de la chaîne, l'État investit massivement dans la construction d'hôtels et de lieux de résidence. Car aux côtés des niches culturelles et mémorielles, le Bénin propose une offre balnéaire et une offre de safari avec le parc de la Pendjari.  

Com d'Archi
S3#47

Com d'Archi

Play Episode Listen Later Feb 8, 2022 5:25


The Museum of the Epic of the Amazons and Kings of Danhomé is an architectural project project currently being developed by Françoise N'Thépé. This project is rooted in the legendary stories of African tradition and speaks of Amazons. What kind of architecture for such a symbolism? Find out in the episode of course.In this issue of Com d'Archi you will find this project narrated by Françoise N'Thépé and read by Esther.Image DR © InuiSound engineering : Julien Rebours___If you like the podcast do not hesitate:. to subscribe so you don't miss the next episodes,. to leave us stars and a comment :-),. to follow us on Instagram @comdarchipodcast to find beautiful images, always chosen with care, so as to enrich your view on the subject.Nice week to all of you ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Com d'Archi
S3#46

Com d'Archi

Play Episode Listen Later Feb 6, 2022 38:13


In French in this CDA S3#46 (monday online), “Des savoir-faire ancestraux et une architecture contemporaine”, an interview of Françoise N'Thépé architect. In English in CDA S3#47 (wednesday online), "Museum of the Epic of the Amazons and Kings of Danhomè, Abomey, Benin” by Françoise N'Thépé.En français dans le CDA S3#46 (lundi en ligne), "Bâtir avec les grandes armatures naturelles", une interview de Françoise N'Thépé architecte. En anglais dans CDA S3#47 (mercredi en ligne), Musée de l'épopée des Amazones et des Rois du Danhomè, Abomey, Bénin par Françoise N'Thépé.___Diplômée de l'École spéciale d'Architecture de Paris, lauréate en 2001 du prix des Nouveaux Albums des Jeunes Architectes, Françoise N'Thépé après avoir travaillé pour Finn Geipel et Nicolas Michelin, a œuvré pour le réaménagement de l'Hôtel de la Monnaie à Paris ou la réhabilitation de l'École d'Architecture de Versailles en association avec Aldric Beckmann. En 2017, elle fonde son agence en nom propre, Françoise N'Thépé Architecture et Design et reçoit bientôt la prestigieuse commande du Musée de l'Épopée des Amazones et des rois du Dahomé à Abomey au Bénin. Dans ce numéro de Com d'Archi, Françoise, à travers l'évocation de ses projets, nous fait voyager. Depuis Paris, nous nous envolons en Afrique Subsaharienne où sont ancrées ses racines. Ce grand « voyage » est l'occasion de parler d'architecture au-delà des frontières européennes.Portrait DR © Marjolijn De GrootIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Affairage Airways
17. Vivre agressivement

Affairage Airways

Play Episode Listen Later Nov 26, 2021 62:11


Après plusieurs mois d'absence, vos pilotes se remettent à l'aviation. Avant de décoller, Aissata et Laurence font un récapitulatif de leurs vacances pas totalement reposantes (0:44), partageant chacune un aperçu de l'affairage qui a retenu leur attention pendant la pause (4:44). Le premier vol de la saison 3 s'entame enfin avec la COP26 conférence sur les changements climatiques et la pertinence de cet enjeu pour le continent africain (15:19). Le vol se poursuit avec des divers comme une discussion improvisée sur le satire du gagnant du prix Goncourt 2021, Mohamed Sarr (32:34), le message piquant de la meilleure élève du Senegal, Diary Sow (34:40), des observations sur la restitution des 26 oeuvres du trésor d'Abomey du Bénin par la France (43:09), la victoire footballistique du Ndolé sur l'attiéké pour une participation à la coupe du monde de 2022 (49:41). Le vol se termine avec des coups de coeurs soit Love Language de Juls et Mayra Andrade (56:51) et ma route de Cysoul (59:47) avec un atalaku rapide pour la série Netflix naija Kings of Boys de la réalisatrice Kemi Adetiba.

Invité Afrique
Invité Afrique - J-M Abimbola: la restitution de ces oeuvres d'art béninoises «n'est qu'un début»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 27, 2021 3:39


26 œuvres d'art du Bénin sont exposées depuis mardi 26 octobre 2021 et jusqu'à dimanche 31 octobre 2021 au musée du Quai Branly à Paris. Emmanuel Macron inaugurera l'exposition cet après-midi. Le président français devrait confirmer à cette occasion que l'acte de transfert des œuvres sera signé le 9 novembre prochain à l'Élysée, en présence du président béninois Patrice Talon. Les pièces seront transférées dans la foulée à Cotonou. Comment les autorités béninoises se préparent-elles à cet événement ? Où seront accueillies les 26 œuvres à court, moyen et long terme ? Le ministre béninois de la Culture Jean-Michel Abimbola va participer ce mercredi à la cérémonie au Quai Branly. RFI : L'acte de transfert des 26 œuvres va être signé dans les prochains jours en présence des présidents Macron et Talon, quel est le sentiment qui vous anime à quelques jours de cet évènement, de la joie ? De la satisfaction ? Jean-Michel Abimbola : Cette information me donne une satisfaction relative parce que nous venons de franchir une étape décisive, historique, mais ce n'est qu'un début par rapport à cette coopération que nous avons voulu implémenter, que le gouvernement du Bénin et son président ont voulu avoir avec la partie française. Qu'est-ce que représente cette restitution pour la population béninoise ? C'est une étape dans la réappropriation de la culture béninoise, du patrimoine béninois, dans le fait de mettre la culture, l'art, et le patrimoine au cœur de notre développement. La requête pour la restitution des œuvres, ce n'est pas seulement sur une question de principe, c'est parce que c'est une question de développement, une question de coopération et que ces œuvres vont servir d'amorce et de pompe pour révéler le Bénin au monde, donc c'est une étape décisive dans la mise en œuvre du programme d'action du gouvernement béninois.  À quel moment les œuvres quitteront-elles Paris pour Cotonou ? Tout de suite après la signature de l'acte de transfert les formalités seront faites pour le départ des trésors du Bénin vers leur pays d'origine. Est-ce qu'il y aura une cérémonie à l'arrivée de ces œuvres pour fêter leur retour au pays 130 ans après ? Oui, bien évidemment, vous pensez bien que ces œuvres ne peuvent pas revenir au Bénin dans l'indifférence. Il est bien évident qu'à l'arrivée, pour symboliser le retour des œuvres, il va y avoir une série d'évènements. Les œuvres seront accueillies à l'aéroport de Cotonou. Elles iront en acclimatation pendant un ou deux mois. Et après la période d'acclimatation, nous allons avoir une série d'évènements, d'abord à la présidence de la république pour symboliser le retour au pays des œuvres. Après celles-ci seront à Ouidah, dans le Fort portugais, dans un premier temps dans la maison du gouverneur, en exposition temporaire jusqu'à ce que ces œuvres aillent dans leur écrin, qui est le Musée de l'épopée des amazones et des rois du Danhomè à Abomey, et ça, c'est à l'horizon 3 ans. Je crois que nous pourrons évidemment poursuivre cette politique qui est historique Avez-vous formulé d'autres demandes de restitution à la France ? Nous n'avions pas formulé de façon spécifique la demande de restitution pour les 26 œuvres, nous avons formulé une demande de portée générale. Nous avons réclamé, nous avons souhaité, et ça a été acté dans le programme de travail commun, un inventaire pour que nous soyons de part et d'autre mieux informés et voir comment nous pouvons programmer la poursuite de cette coopération. La sculpture du Dieu Gou, par exemple, c'est une pièce que vous avez réclamée déjà à la France ? Oui, vous le savez, bien évidemment nous avons réclamé cette pièce emblématique. Nous continuons de discuter avec la partie française et nous ne désespérons pas de trouver des accords dans les prochains mois, dans les prochaines années. Pas seulement pour le Dieu Gou, mais y compris pour d'autres pièces. Vous savez bien qu'il ne s'agit pas de 26 œuvres ou de 30 ou de 50, nous sommes bien au-delà, mais nous avancerons de façon intelligente avec nos partenaires français. Après avoir discuté ensemble, je crois que nous pourrons évidemment poursuivre cette politique qui est historique et c'est le lieu de féliciter le président Patrice Talon et bien évidemment le président Emmanuel Macron. ►À lire aussi : Les œuvres de l'ancien royaume du Dahomey exposées à Paris avant leur restitution au Bénin

Readin' With Phines
The Allada Dynasty of Abomey

Readin' With Phines

Play Episode Listen Later Apr 17, 2021 6:23


African Myths of Origin, The Allada Dynasty of Abomey. IG: Everythingsjustphine --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app Support this podcast: https://anchor.fm/phines-jackson-jr7/support

origin dynasty abomey african myths
Le Nouvel Esprit Public
Bada # 74 : Si c’est pour la Culture, on a déjà donné (13) ... avec Marie-Cécile Zinsou (24 février 2021)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Feb 24, 2021 30:50


Avec Marie-Cécile Zinsou, présidente de la Fondation Zinsou à Cotonou (Bénin). Créée en 2005, pour sa première exposition, la Fondation a offert aux Béninois une exposition d’oeuvres de Romuald Hazoumé, artiste notamment consacré par la documenta. S’en sont suivies 42 expositions (dont une consacrée à Basquiat et une autre à Keith Haring), l’ouverture de deux bibliothèques et de nombreux ateliers pour les enfants dans un pays dont 75% de la population a moins de 18 ans. Marie-Cécile Zinsou évoque aussi l’importance de la restitution par la France au Bénin de 26 œuvres provenant du Palais Royal d’Abomey pour laquelle le gouvernement béninois a décidé la création d’un musée dont l’ouverture est prévue pour l’automne 2021.

Revue de presse Afrique
Revue de presse Afrique - À la Une: anti-racisme et déboulonnage

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 18, 2020 4:16


Depuis la mort de George Floyd aux États-Unis, asphyxié par un policier blanc, la question du racisme provoque une véritable onde de choc à travers la planète. Avec notamment cette question : faut-il déboulonner les statues de personnages historiques qui ont joué un rôle dans l'esclavage des noirs ? Le débat s'est même porté sur le continent, note Le Pays au Burkina Faso, « en l’occurrence au Sénégal, où des voix s’élèvent pour exiger des autorités qu’elles déboulonnent la statue de Faidherbe installée à Saint-Louis. Quand on sait que nombre de personnages historiques, à qui on a rendu hommage en érigeant à leur mémoire des monuments ou des statues, traînent un lourd passif, on ne peut que comprendre la colère des manifestants, estime le quotidien burkinabè. lls sont dans leur bon droit. Surtout que c’est l’apologie d’un passé douloureux qui est faite. (…) On ose donc espérer, s'exclame encore Le Pays, que le tollé mondial suscité par la mort de George Floyd permettra une prise de conscience des suprématistes blancs et autres racistes qui restent encore nombreux aux États-Unis, en Europe et partout ailleurs. » « Il faut que quelques symboles tombent ! » Dans une tribune publiée par Jeune Afrique, l'essayiste et consultant franco-sénégalais, Karfa Diallo, estime que la France doit déboulonner les symboles du racisme. « En déclarant que "la République n’effacera aucun nom ou aucune trace de son histoire", Emmanuel Macron risque d’accroître les tensions exacerbées depuis la mort de George Floyd aux États-Unis, affirme Karfa Diallo. Oui, poursuit-il, il faut que quelques symboles tombent, que les salles de l’Assemblée nationale qui honorent Colbert soient rebaptisées et qu’une rue de négrier soit débaptisée dans chaque ancien port négrier français. Cela ouvrira la voie à une nouvelle écriture mémorielle, en France, mais aussi en Afrique, en dehors de toute diabolisation et de toute victimisation. Une nouvelle victoire contre l’oubli pour approfondir l’exigence démocratique contemporaine. » Pour une reconnaissance de l'Europe de la traite négrière Pour sa part, le député européen de la France insoumise, Younous Omarjee propose que le Parlement européen reconnaisse solennellement la traite négrière et l'esclavage comme crimes contre l'Humanité. Il le dit dans Le Point Afrique. « Les huit minutes pendant lesquelles, à Minneapolis, Georges Floyd a dit plusieurs fois qu'il ne pouvait plus respirer ont paradoxalement donné du souffle à ceux et celles qui, à travers le monde, luttent contre le racisme et les discriminations, mais aussi aux Afro-descendants en général, affirme Younous Omarjee. Comme s'ils se reconnaissaient dans cette souffrance, qu'ils ne voulaient plus être étouffés, eux aussi, et qu'ils voulaient faire entendre leur voix. Dans un moment pareil, les actes et les gestes symboliques ont toute leur importance, et le Parlement européen ne peut ni ne doit rester en dehors de ce débat. Ce serait la première fois qu'une organisation internationale reconnaîtrait l'esclavage et la traite comme des crimes contre l'humanité, mais ce ne serait que suivre l'exemple de la France, avec la loi Taubira de 2001. » À quand la restitution des objets d'art africains ? Et puis, s'interroge Le Monde Afrique, « est-ce l’effet de la mobilisation mondiale autour de George Floyd ? De la relance du débat sur le passé colonial qui partout fait tomber les statues des esclavagistes ? Vendredi dernier, relate Le Monde Afrique, cinq hommes ont été appréhendés au Musée du quai Branly–Jacques-Chirac, à Paris, alors qu’ils tentaient d’emporter un poteau funéraire Bari datant du XIXe siècle, provenant du Tchad. "Ces biens nous ont été volés sous la colonisation… Ça nous a été pris sans notre consentement, donc je rentre avec à la maison", clamait le meneur du groupe, un ressortissant congolais. » Pour le nouveau directeur du musée du Quai Branly, Emmanuel Kasarherou, interrogé par Le Monde Afrique, « il faut poursuivre le travail sur la provenance des objets. » Commentaire du journal : « Le sujet est d’autant plus inflammable que le passage à l’acte se fait attendre depuis la publication, en novembre 2018, du rapport des universitaires Felwine Sarr et Bénédicte Savoy, prônant la restitution à l’Afrique d’une partie de son patrimoine. (…) En France, les verrous politiques et légaux n’ont pas encore sauté. » Exemple : « Le retour "rapide" au Bénin, promis par Paris, de 26 totems et sceptres royaux pillés lors du sac des Palais des rois d’Abomey par les troupes coloniales françaises en 1892 a été différé. (…) Le transfert de propriété est pour l’heure dans les limbes. »

Tes cliques et tes claques
Tes cliques et tes claques : Stan au Bénin // 27.05

Tes cliques et tes claques

Play Episode Listen Later May 22, 2019


Le Bénin de Stan [caption id="attachment_84623" align="aligncenter" width="1024"] Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] [caption id="attachment_84631" align="aligncenter" width="1024"] Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] Ce mois-ci, on part au Bénin, ce petit pays d’Afrique de l’Ouest baptisé jusqu’en 1974 “Dahomey”. Coincé entre le Togo, le Burkina Faso, le Niger et le Nigeria, ce territoire de 11 millions d'habitants est réputé pour ses lacs et ses lagunes ainsi que pour sa culture "vodoun". Et c'est la destination coup de coeur de Stan qui revient tout juste d'un long road-trip sur le continent africain pendant lequel lui et son amie ont visité la Côte d'Ivoire, le Togo, le Bénin, le Ghana, l’Ouganda, le Kenya, le Rwanda et la Tanzanie. [caption id="attachment_84625" align="aligncenter" width="994"] Stan et Inès au Délices du Bénin en train de siroter une béninoise et une vita malta[/caption] Entre janvier et février 2019, Stan et sa copine Marion (invitée de l'épisode consacré au Kirghizstan, lors de la première saison) ont en effet posé leurs sacs à dos à Ouidah, Cotonou (capitale économique), Porto Novo (capitale politique), Abomey (ancienne capitale) et au Nord à Dassa Zoume, le village aux 41 collines et aux Chutes de Kota. Ils ont d'ailleurs eu la chance d'assister au festival vaudou de Cotonou, qui a lieu chaque année le 10 janvier. [caption id="attachment_84626" align="aligncenter" width="1024"] Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] [caption id="attachment_84627" align="aligncenter" width="1024"] Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] Stan se souvient des délicieux plats auxquels il a goûté sur place : l'ablo, une pâte de riz qui s'accompagne de poisson ; l'akassa, une pâte de maïs servi avec du porc grillé ou encore le gari, de la semoule de manioc, sans oublier la Béninoise, une bière à base de maïs qui est, d'après Stan "le sponsor officiel". Une autre boisson typique : le sodabi, un alcool obtenu à base de palme. Stan partage aussi quelques expressions francophones typiquement béninoises. [caption id="attachment_84628" align="aligncenter" width="1024"] Alaska et porc au sang - Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] On s'intéresse à la mémoire de l'esclavage puisque c'est depuis Ouidah que de nombreux captifs noirs ont été déportés aux XVIIe et XVIIIe siècle. On évoque également le culte "vaudou" et ses divinités puisque cette croyance animiste est la principale religion au Bénin devant le christianisme et l'islam. Enfin, on parle aussi du regard que portent aujourd'hui les Béninois sur la colonisation française du pays devenu indépendant en 1960. [caption id="attachment_84629" align="aligncenter" width="1024"] Festival vaudou - Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] [caption id="attachment_84630" align="aligncenter" width="1024"] Festival vaudou - Crédit photo : Marion Vercelot[/caption] En fin d'émission, Stan nous donne un rapide aperçu du symbolisme des différents tissus en wax qu'il a d'ailleurs rapportés en nombre de son périple. Programmation musicale :  - "Gentleman Vikey" de G.G. Vikey - "Café" de Franco et TP OK Jazz   Réalisation et diffusion :  Ecriture, montage, voix : Inès Edel-Garcia Durée : 15 min environ Emission diffusée le 27 mai 2019

レアジョブ英会話 Daily News Article Podcast
France to Return Stolen Artifacts to African Country

レアジョブ英会話 Daily News Article Podcast

Play Episode Listen Later Jan 9, 2019 2:27


France is set to return stolen artifacts to Benin, an African country that is a former French territory. The African artifacts were obtained by France 126 years ago. France decided to return these historical pieces after a report about African works in French museums was published. According to the report, roughly 90% of African cultural heritages are not on the continent. Moreover, about 90,000 African artworks are on display in French museums. The report's authors recommended that France return the stolen pieces to the African nations where the artworks originated. In addition, the report stated that there is a need to create a global inventory of stolen artworks. Following the report's release, French President Emmanuel Macron / ˈma-krən / ordered the immediate return of 26 items, including statues stolen from the Palaces of Abomey /ˌæb.əˈmeɪ/. The president also proposed a meeting between the leaders of Africa and Europe in 2019 to discuss and create an exchange policy for African cultural heritage. Although some African nations received the decision positively, some art dealers and museum administrators in France expressed their misgivings about the expected law changes. Some said that changing the policy on stolen artifacts may eventually leave museums and galleries in Western countries empty. Additionally, private French collectors may feel compelled to relocate their collections as France may soon confiscate the African artworks in their possession. Another concern is that African museums might be unable to handle and protect the precious artifacts.

Les grandes voix de l'Afrique
Paul Hazoumé, patriarche de la littérature négro-africaine d'expression française

Les grandes voix de l'Afrique

Play Episode Listen Later Aug 17, 2018 48:30


Le Béninois Paul Hazoumé, ethnologue, chercheur, écrivain et homme politique, est considéré comme l'un des «grands ancêtres» de la littérature négro-africaine d'expression française. Né en 1890 à Porto-Novo, il est mort en 1980 à Cotonou. Sorti de l'École normale de Saint-Louis du Sénégal en 1910, Paul Hazoumé est nommé, entre autres affectations, directeur des écoles de Ouidah et Abomey, où il prépare sa première étude ethnographique. En 1931, à l'occasion de l'Exposition coloniale internationale, il représente le Dahomey au Congrès international et intercolonial des sociétés indigènes. Dès son retour, il est chargé de l'enseignement général à l'École professionnelle de Cotonou. Chargé de mission au Musée de l'homme en 1937, il met ses notes au point, classe les collections du Dahomey et fait enregistrer les chants de son pays. S'affirmant comme un ethnologue de talent, il reçoit le premier prix du Gouverneur général de l'Afrique-Occidentale française et en 1939, l'Académie française lui décerne son Prix de la langue française. Paul Hazoumé a publié Le Pacte de sang au Dahomey en1937, et le roman Doguicimi en 1938. Parallèlement à ses activités littéraires, Paul Hazoumé, qui mettait au moment de sa mort la dernière main à plusieurs manuscrits, fut également un journaliste combatif. Sous divers pseudonymes, il publia de nombreux articles dans le Phare du Dahomey, journal nationaliste qui, au cours des années 30, dénonçait avec vigueur la politique coloniale française.En effet, le code de l'indigénat reposait sur la conviction que le nègre est dans tous les aspects de sa personnalité une race inférieure. Et bien évidemment, il est nécessaire de donner à l'Africain des modèles étrangers, principalement la culture européenne. Ce qui a conduit l'Africain à perdre le respect de lui-même et la considération de sa propre race. En réaction, à la fin du XIXème siècle, il y a eu une naissance politique et culture des premiers lettrés africains. C'est ainsi qu'en 1914, le Sénégalais Blaise Diagne réussit à se faire élire député.Paul Hazoumé dit qu'il considère lui-même le livre Doguicimi comme un document ethnologique et historique, fruit de 25 années de recherche auprès des anciens du Dahomey. L'ouvrage donne l'atmosphère de la vie à Abomey, et en particulier les usages de la cour du roi Guézo. L'auteur relate la tradition et les oracles, qui décrivent les grandes cérémonies et les fêtes de ce royaume. L'ouvrage vise en premier lieu à « faciliter la maîtrise des ressorts psychologiques du Noir par le colonisateur », c'est-à-dire à faciliter la mission civilisatrice du  colonisateur européen. Toutefois, il tâche de démontrer que les Dahoméens et les Africains en général, ne sont pas aussi singuliers que l'on a voulu le faire croire, puisque certains traits de leurs civilisations se retrouvent chez des peuples dits civilisés.Mais c'est à Paris que naît le concept de la négritude, avec Paul Hazoumé, aux côtés du Sénégalais Senghor, du Martiniquais Césaire, de l'Américain Richard Wright et de quelques autres, dont Jean-Paul Sartre, l'un de ceux qui contribuèrent au lancement de la revue Présence africaine, tribune de l'intelligentsia d'Afrique noire depuis plus de trente années. 

Les grandes voix de l'Afrique
Les grandes voix de l'Afrique - Paul Hazoumé, patriarche de la littérature négro-africaine d'expression française

Les grandes voix de l'Afrique

Play Episode Listen Later Aug 17, 2018 48:30


Le Béninois Paul Hazoumé, ethnologue, chercheur, écrivain et homme politique, est considéré comme l'un des «grands ancêtres» de la littérature négro-africaine d'expression française. Né en 1890 à Porto-Novo, il est mort en 1980 à Cotonou. Sorti de l'École normale de Saint-Louis du Sénégal en 1910, Paul Hazoumé est nommé, entre autres affectations, directeur des écoles de Ouidah et Abomey, où il prépare sa première étude ethnographique. En 1931, à l'occasion de l'Exposition coloniale internationale, il représente le Dahomey au Congrès international et intercolonial des sociétés indigènes. Dès son retour, il est chargé de l'enseignement général à l'École professionnelle de Cotonou. Chargé de mission au Musée de l'homme en 1937, il met ses notes au point, classe les collections du Dahomey et fait enregistrer les chants de son pays. S'affirmant comme un ethnologue de talent, il reçoit le premier prix du Gouverneur général de l'Afrique-Occidentale française et en 1939, l'Académie française lui décerne son Prix de la langue française. Paul Hazoumé a publié Le Pacte de sang au Dahomey en1937, et le roman Doguicimi en 1938. Parallèlement à ses activités littéraires, Paul Hazoumé, qui mettait au moment de sa mort la dernière main à plusieurs manuscrits, fut également un journaliste combatif. Sous divers pseudonymes, il publia de nombreux articles dans le Phare du Dahomey, journal nationaliste qui, au cours des années 30, dénonçait avec vigueur la politique coloniale française. En effet, le code de l’indigénat reposait sur la conviction que le nègre est dans tous les aspects de sa personnalité une race inférieure. Et bien évidemment, il est nécessaire de donner à l’Africain des modèles étrangers, principalement la culture européenne. Ce qui a conduit l’Africain à perdre le respect de lui-même et la considération de sa propre race. En réaction, à la fin du XIXème siècle, il y a eu une naissance politique et culture des premiers lettrés africains. C’est ainsi qu’en 1914, le Sénégalais Blaise Diagne réussit à se faire élire député. Paul Hazoumé dit qu’il considère lui-même le livre Doguicimi comme un document ethnologique et historique, fruit de 25 années de recherche auprès des anciens du Dahomey. L’ouvrage donne l’atmosphère de la vie à Abomey, et en particulier les usages de la cour du roi Guézo. L’auteur relate la tradition et les oracles, qui décrivent les grandes cérémonies et les fêtes de ce royaume. L’ouvrage vise en premier lieu à « faciliter la maîtrise des ressorts psychologiques du Noir par le colonisateur », c’est-à-dire à faciliter la mission civilisatrice du  colonisateur européen. Toutefois, il tâche de démontrer que les Dahoméens et les Africains en général, ne sont pas aussi singuliers que l’on a voulu le faire croire, puisque certains traits de leurs civilisations se retrouvent chez des peuples dits civilisés. Mais c’est à Paris que naît le concept de la négritude, avec Paul Hazoumé, aux côtés du Sénégalais Senghor, du Martiniquais Césaire, de l'Américain Richard Wright et de quelques autres, dont Jean-Paul Sartre, l'un de ceux qui contribuèrent au lancement de la revue Présence africaine, tribune de l'intelligentsia d'Afrique noire depuis plus de trente années.  

Afropop Worldwide
Benin Roots Alive

Afropop Worldwide

Play Episode Listen Later Oct 1, 2015 59:00


[APWW PGM #706] [Originally aired April 2015] In this program, we follow producer Morgan Greenstreet on a musical tour of Benin’s roots-pop music and Afro-jazz, while exploring the deep cultural and spiritual traditions that inspire contemporary musicians. We will visit a midnight album launch party for a star of roots-pop music in Abomey, meet Norberka, an acclaimed singer, drummer and dancer, at the home of her patron, his majesty Hounon Behumbeza, a vodun priest. We’ll visit the rehearsals, studios and homes of some of Cotonou’s most creative Afro-jazz musicians, including Jah Baba, Fifi Finder and Vi-Phint; we’ll visit Ouidah for the recently established Vodun Festival, and Porto Novo to meet a living legend, Sagbohan Danialou. Along the way, we’ll hear original live recordings from Les Freres Guedehoungue, Gangbé Brass Band, and some previously unrecorded groups. (Produced by Morgan Greenstreet)

Stuff You Missed in History Class
Dahomey and the Royal Palaces of Abomey

Stuff You Missed in History Class

Play Episode Listen Later Jul 22, 2015 37:14


The Royal Palaces of Abomey are a series of earthen palaces in what is now Benin. The complex is culturally and historically important to West Africa, but the source of much of the wealth that built those palaces was the Atlantic slave trade. Read the show notes here. Learn more about your ad-choices at https://news.iheart.com/podcast-advertisers

Afropop Worldwide
Benin Roots Alive!

Afropop Worldwide

Play Episode Listen Later Apr 16, 2015 59:00


In this program, we follow producer Morgan Greenstreet on a musical tour of Benin’s roots-pop music and Afro-jazz, while exploring the deep cultural and spiritual traditions that inspire contemporary musicians. We will visit a midnight album launch party for a star of roots-pop music in Abomey, meet Norberka, an acclaimed singer, drummer and dancer, at the home of her patron, his majesty Hounon Behumbeza, a vodun priest. We’ll visit the rehearsals, studios and homes of some of Cotonou’s most creative Afro-jazz musicians, including Jah Baba, Fifi Finder and Vi-Phint; we’ll visit Ouidah for the recently established Vodun Festival, and Porto Novo to meet a living legend, Sagbohan Danialou. Along the way, we’ll hear original live recordings from Les Freres Guedehoungue, Gangbé Brass Band, and some previously unrecorded groups. (Produced by Morgan Greenstreet)