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Undertaker ! Une série qui cartonne depuis quelques années, un western différent des autres puisqu'il met en avant un personnage un peu spécial : un fossoyeur… Jonas Crow, croque-mort de profession, a une mission simple : enterrer les morts. Mais avec lui, même les cadavres ne restent pas tranquilles bien longtemps ! Undertaker c'est une série qui fait sensation depuis bientôt 10 ans !! Aux manettes un trio magique avec Xavier Dorison au scénario, Ralph Meyer au dessin et Caroline Delabie à la couleur !! Voici ces deux derniers à notre micro…. Et notre sélection BD du mois avec la chronique des albums :« Héritage Fossile » de Philippe Valette aux éditions Delcourt« Revoir Comanche » de Romain Renard aux éditions LeLombard« Helvetius » de Dominique Ziegler, Carlos Moran et Vincenzo Giordano aux éditions PaquetHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Interview de Yann Cleophas et Slimane Dellaoui: La Musique et le Sound Design Présenté par Doc, Bibi et Néo ! Aujourd'hui, nous accueillons Yann Cleophas et Slimane Dellaoui pour parler de la Musique et du Sound Design, dans le Jeu Video mais pas que ! Voici les références et liens dont nous parlons dans l'émission et plus encore: _Yann Cleophas: https://www.linkedin.com/in/yann-cl%C3%A9ophas-926a7588/ _Slimane Dellaoui: https://www.linkedin.com/in/slimanedellaoui/ _SoundCloud de Slimane: https://soundcloud.com/sdellaoui _Site de Yann: http://yanncleophas.com/ _Spotify de Yann: https://open.spotify.com/intl-fr/artist/2gxUfVjg4vv5Pc9xq69n4o?si=AAoYTw5ETKyb8lPycOiyew _Le donjon de Naheulbeuk: http://www.penofchaos.com/warham/donjon.htm _Reflets d'acide: https://www.refletsdacide.com/ _Les 2 minutes du peuple: https://francoisperusse.ca/pages/les-2-minutes-du-peuple _Have a nice Death: https://www.haveanicedeath.com/ _Crypt of the NecroDancer: https://braceyourselfgames.com/crypt-of-the-necrodancer/ _Get Even: https://www.jeuxvideo.com/jeux/jeu-81709/ _Le cri de Wilhelm (le Fossoyeur de films): https://www.youtube.com/watch?v=PnLXS0230Yc _Tar: https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1r _HiFi Rush: https://bethesda.net/fr-FR/game/hifirush _Mass Effect: https://www.ea.com/fr-fr/games/mass-effect/mass-effect-legendary-edition _Marshall McGee (YouTube): https://www.youtube.com/channel/UCIoNgwHpavUi2UnC68cKgbw _La melodie du bonheur: https://fr.wikipedia.org/wiki/La_M%C3%A9lodie_du_bonheur_(film,_1965) _Total Trax (podcast): https://podcast.ausha.co/total-trax _La Grande Evasion (Webradio): https://www.lagrandeevasion.fr/ Si vous voulez nous soutenir: _Devenez Patreo-Bipede! (Patreon): Become a Patron! _PayPal (pour des dons uniques): _La boutique de Goodies: https://shop.spreadshirt.fr/cgwhy/ Grand merci à nos PatréoBipèdes: _BLACK_LAUGH _Tristan Perard _Raphaelle Bonneton - Lighting Artist _Belisaire Earl - CG Supervisor _Johanna Aïli – Lighting Artist – https://vimeo.com/441101997 _Axel Taus - Doctorant en Production _Quentin Aguirre – Animateur _Sylvain Nouveau – Superviseur FX – http://www.ref-fx.com/ _Adrien Dussaud - Etudiant Rendu/Compo - https://vimeo.com/661968939 _Emilie Damo - Layout Artist _Thierry Espeyrac - Directeur Artistique _Mickael Beugnier - Motion Designer - http://linkedin.com/in/mickael-beugnier _François de Chateleux _Vincent Bachmatiuk - expert rendu PBR _Thibault Pansiot - Animateur 3D - https://www.animstarter.com/ _Frederic Bonometti _Kader Alihadef - Animateur 3D _Audrey Krawczyk - Photographe - https://www.audreyk.fr/ _Indra Raghouber _Guillaume Bertrand _Dominique Vidal - VFX Sup (BUF) _Quentin Herfeld - VFX Producer _Jean-Baptiste Baron - Consultant Digital (Tech4Art Consulting) _Akuto Si vous avez des questions, commentaires, corrections à apporter ou des mots sympa, n'hésitez pas à le faire via les réseaux sociaux, le mail ou les commentaires de l'émission. Nous faisons notre possible pour vous répondre au plus vite ;) _CGWhy sur Internet: Mail: cgwhypodcast@gmail.com Twitter: @cgwhypodcast Instagram: https://www.instagram.com/cgwhypodcast/ Facebook: https://www.facebook.com/cgwhypodcast/ Spotify: https://open.spotify.com/show/0OliAxlgRpRsbQbFlALQ9y Deezer: https://www.deezer.com/fr/show/392962 Génériques: Vulfpeck - Welcome to Vulf Records (feat. Joey Dosik) https://www.youtube.com/user/DJparadiddle/featured https://www.youtube.com/watch?v=eCO_hcBz-0I N'hésitez pas à noter, commenter l'émission et à nous rester fidèles :) Rendez-vous bientôt pour la prochaine émission !
En Inde, des élections législatives importantes, vues comme un scrutin XXL, vont se dérouler du 19 avril au 4 juin. Près d'un milliard d'Indiens sont invités à glisser dans les urnes leurs bulletins indiquant leurs choix. Le Premier ministre sortant Narendra Modi et sa formation, le Bharatiya Janata Party (BJP), au pouvoir depuis 10 ans, sont les principaux favoris. Qui est Narendra Modi ? Fossoyeur de la démocratie indienne, comme le disent ses détracteurs, ou grand modernisateur, si l'on croit ses partisans ? Réponses dans Dans la tête de Narendra Modi, ouvrage entre biographie et analyse que consacrent au Premier ministre indien deux journalistes du Monde.En quelque 270 pages, le livre brosse le portrait de ce véritable animal politique qu'on connaît mal en Occident. Mêlant récit et analyse, les auteurs racontent son parcours personnel, dressent le bilan de son action politique et s'attachent à pointer du doigt, derrière ses bravades sur l'Inde superpuissance en devenir, le vrai dessein idéologique de Modi visant à asseoir la suprématie des hindous et à perpétuer la domination des hautes castes dans la société indienne. Rencontre avec le co-auteur Guillaume Delacroix.RFI : Une étude psychologique ? Une biographie ? Comment peut-on qualifier votre livre, Guillaume Delacroix ?Guillaume Delacroix : C'est un livre d'enquête journalistique. Nous sommes deux à l'avoir écrit : Sophie Landrin, correspondante du Monde à Delhi, et moi-même, qui ai passé huit ans en Inde, à Bombay, pour Le Monde également. Ce dont on s'était rendu compte, c'est que le personnage de Modi est porteur d'une idéologie très ancienne, qui a bientôt 100 ans. Ce qui est en train de se passer en Inde vient de très très loin. Pour nous, c'est un tournant dans le régime politique et dans la vie démocratique de ce grand pays.Ça vient d'une structuration de la pensée nationaliste hindoue qui remonte à 1925. Et il nous semblait intéressant de justement remonter aux racines de cette idéologie pour comprendre pourquoi Modi est arrivé au pouvoir et « pour quoi ? », en deux mots, c'est-à-dire : Quel est le dessein ? Quel objectif poursuit-il ? On a proposé nos services à Actes Sud, qui avait justement une série correspondant exactement à cette approche, qui s'appelait Dans la tête de…. Actes Sud avait déjà publié un certain nombre de Dans la tête de… consacrés aux dirigeants politiques mondiaux et il manquait Narendra Modi sur l'étagère. Dans les librairies en Europe, il y a extrêmement peu de livres sur l'Inde et encore moins sur Narendra Modi, presque rien. Donc, notre livre est venu combler en quelque sorte un vide.Votre essai s'ouvre sur l'anecdote de la pose de la première pierre du temple d'Ayodhya. Qu'est-ce qu'elle symbolise, cette anecdote ?Ce temple d'Ayodhya, en fait, tout passe par lui. C'est un instrument politique. Ce temple a été construit sur les ruines d'une mosquée, elle-même démolie par des fanatiques en 1992 sous la baguette de Narendra Modi qui était, à l'époque, un jeune cacique de son parti. Il avait organisé avec le président du parti de l'époque cette démolition. C'est l'achèvement du rêve dominateur de l'hindouisme. C'était l'une des trois priorités que s'était fixées la mouvance nationaliste hindoue il y a un siècle, il y a même plus d'un siècle, à savoir : asseoir la suprématie de la majorité hindoue sur le reste de la population, les musulmans et les chrétiens.On connaît mal en Occident Narendra Modi. Qui est-il ? D'où vient-il ? Comment est-il devenu Premier ministre de l'Inde ? Il tranche vraiment avec ses prédécesseurs parce que son parcours personnel est atypique. Il n'est pas lettré, il n'est pas éduqué, il n'a pas fait d'études comme beaucoup de Premiers ministres indiens avant lui. On pense tous à Nehru ou à Indira Gandhi, mais pas seulement. Son dernier prédécesseur, du parti du Congrès, Manmohan Singh, était un grand économiste. Vajpayee qui, lui, était du parti de Modi et qui a occupé le poste de Premier ministre il y a une vingtaine d'années, était un brahmane lettré. On pense que Narendra Modi n'a même pas le bac… Enfin, il y a un flou artistique qui entoure tout cela. Une légende s'est construite autour de l'homme, le self-made man, l'autodidacte…Ce qui est certain, c'est que Narendra Modi est un apparatchik. Il a été formé dès son plus jeune âge, dès l'âge de huit ans, dans la nébuleuse nationaliste hindoue, incarnée par une organisation paramilitaire, l'Association des volontaires de la nation (le RSS). Il a gravi les échelons progressivement au sein de cette organisation et a été porté au pouvoir sans être candidat à des élections. En 2001, ses supérieurs l'ont nommé à la tête de l'État du Gujarat, dont il est originaire, qui se trouve être aussi l'État natal du Mahatma Gandhi. C'est seulement en 2002 qu'il a été élu par un électorat majoritairement hindou. Il est populaire au Gujarat, sans doute parce qu'il avait « laissé faire » – c'est l'expression usitée en Inde – des pogroms anti-musulmans qui ont marqué l'histoire de l'Inde contemporaine. Les pogroms ont lancé en quelque sorte la carrière politique de Narendra Modi !Vous racontez dans votre livre – et c'est passionnant – comment, malgré sa contribution à la cause du nationalisme hindou, il n'a pas été le premier choix des hiérarques de son organisation lorsqu'il a fallu choisir une tête de liste « premier ministrable » avant les élections législatives de 2014…Narendra Modi dérangeait en fait au sein de sa propre famille politique parce qu'il était atypique, et surtout parce qu'il ne venait pas des hautes castes. L'Inde est connue pour son système de castes très rigide, qui divise la société en quelque 25 000 castes. Le mouvement hindouiste est dirigé par des hommes de haute caste et pour ces dirigeants, Modi, qui est issu d'une classe sociale modeste, ne pouvait pas être leur candidat à la primature. Finalement, parce que Modi est un homme talentueux, charismatique, qui sait manier la carotte et le bâton, il a réussi à emporter le choix des autorités du RSS comme candidat de son parti pour le poste de Premier ministre. C'était finalement un bon choix puisqu'il a gagné l'élection.Il s'est aussi révélé être un bon soldat, qui porte avec conviction et fidélité le message de son mouvement, l'hindutva. Or, qu'est-ce que l'hindutva ?Tout cela vient de loin. Narendra Modi est l'aboutissement du cheminement lent, progressif de l'idée du suprémacisme hindou, qui débouche aujourd'hui sur une polarisation extrême. L'hindutva, c'est l'idée que la majorité a des droits supérieurs aux minorités, et c'est pour cela qu'on adopte des lois stigmatisantes et qu'on établit une forme d'apartheid rampant. C'est un peu ce qui est en train de se passer aujourd'hui. On assiste à une institutionnalisation de la ségrégation entre les hindous d'une part, et d'autre part, ceux qui appartiennent à des religions différentes, celles des « envahisseurs » en fait. Modi parle beaucoup d'esclavage, c'est-à-dire en gros 1 000 ans d'occupation musulmane, puis 200 ans d'occupation britannique. Cela se traduit aujourd'hui par des mosquées que l'on détruit, comme cela s'est passé à Ayodhya avec la destruction de la mosquée Babri en 1992.L'hindutva, c'est ça, c'est dominer et faire croire à une masse solidaire d'hindous que leur religion est supérieure aux autres religions. C'est bien sûr une fiction, mais pendant ce temps-là, alors qu'on unifie les hindous contre les musulmans et les chrétiens, on ne parle pas des fractures qui divisent la société indienne, où le pouvoir est entre les mains de la plus haute caste, les brahmanes. Obnubilée par la question musulmane, la population hindoue vit dans l'ignorance de cette situation.Si je vous comprends bien, Guillaume Delacroix, le véritable objectif de Narendra Modi n'est pas la marginalisation des minorités, mais la perpétuation de la hiérarchie des castes. C'est ça, le dessein caché ?C'est vraiment le cœur de notre livre avec Sophie Landrin. L'objectif de ce gouvernement n'est pas tant l'hindouisme que le castéisme, c'est-à-dire la domination de la société indienne avec le maintien du pouvoir entre les mains d'une oligarchie de hautes castes. Alors après, on peut gloser sur la définition de ce qu'est l'Inde aujourd'hui. On l'appelle encore « la plus grande démocratie du monde ». Nous, on pense que ce n'est plus le cas. Elle a peut-être encore quelques traits de démocratie parce qu'il y a des élections, et même des alternances, sur le plan de la gouvernance régionale. Mais force est de constater que l'État de droit en Inde est battu en brèche tous les jours. Le pouvoir aujourd'hui est maintenant entre les mains d'une oligarchie, avec un mélange de genres absolument inédit entre le politique et le religieux.Narendra Modi se pose en grand prêtre, en gourou, quand il préside à des cérémonies, comme il l'a fait à Ayodhya où il a présidé, fin janvier, l'inauguration du temple bâti sur les ruines de la mosquée abattue. Ce mélange du politique et religieux est totalement en décalage avec le rôle imputé au Premier ministre de l'Inde dans la Constitution, qui est égalitaire et séculariste. Selon la Constitution de 1950 toujours en vigueur, l'Inde doit accueillir toutes les religions et ne doit en privilégier aucune.C'est en fait le contraire qui se passe depuis dix ans, en toute impunité, en attendant le changement de la Constitution...C'est un peu, si vous voulez, le souhait des nationalistes hindous et des plus radicaux de cette frange politique. Elle veut prendre sa revanche sur la partition de 1947, lorsque l'Inde est devenue indépendante. Le pays a été divisé en deux, avec d'un côté le Pakistan qui s'est défini comme une république islamique, et de l'autre, l'Inde qui a souhaité, sous la férule de Gandhi et de Nehru, demeurer laïque. Aujourd'hui, la droite hindouiste veut revenir là-dessus et réclame que, puisque les musulmans ont eu leur État avec le Pakistan, l'Inde doit être un État hindou. Nous expliquons dans notre livre que ce débat va au-delà du religieux pour rappeler que, pour une frange de la droite hindouiste, l'hindouisme est dans l'ADN, dans le sang des gens.L'hindouisation du pays semble être allée de pair avec une véritable dérive autoritaire. Dressant le bilan des dix années de Narendra Modi à la tête du pays, vous évoquez dans votre livre un « gouvernement par la peur » qui touche les minorités, mais aussi les médias, les intellectuels, les universitaires, les étudiants. On assiste à un sérieux rétrécissement des libertés. Comment est-on passé de la démocratie bureaucratique et chaotique de l'Inde d'antan à cet État quasi orwellien ?Il ne faut pas penser que tout s'est fait en un jour et que, lorsque Narendra Modi a pris les rênes de l'Inde en mai 2014, tout a basculé. Tout cela était en germe en fait dans l'histoire politique de l'Inde. C'est simplement qu'avec le BJP au pouvoir, tout a été démultiplié. Le braconnage des élus, par exemple, existait avant, mais le phénomène a été démultiplié par 100, peut-être par 1 000. L'Inde a toujours été un pays inégalitaire. La peur du plus fort, du plus puissant touche aujourd'hui la gouvernance, même les gens à la tête du pays. Les témoignages que nous avons recueillis auprès des personnes participant aux réunions décisionnaires dans le bureau du Premier ministre nous ont laissés entendre que tout le monde a le doigt sur la couture du pantalon, si je puis m'exprimer ainsi, parce qu'ils ont tous peur. D'ailleurs, c'est dans le bureau du Premier ministre que toutes les décisions sont prises, car il y a aujourd'hui une concentration absolument inédite du pouvoir entre les mains d'un seul homme. Les ministres sont tous des fantoches et ils ont tous peur de parler, de déplaire au chef. Et cette peur se dissémine, se répand à travers le pays.À lire aussiInde: le BJP de Narendra Modi en campagne pour conserver New Delhi aux élections généralesLes gens ont peur parce que le Parlement a voté de nouvelles lois liberticides qui réduisent la liberté d'expression des citoyens. Le gouvernement a autorisé les agences au sein des services secrets, tout comme le fisc, à poursuivre systématiquement les opposants politiques et la société civile. On a fait fermer 20 000 ONG sous prétexte qu'elles touchaient des financements venant de l'étranger ou bien d'être des agents de l'étranger, et donc de promouvoir la sédition et la désagrégation de l'Inde. On a politisé la justice et on a fait peur aux juges en les nommant dans des bleds éloignés s'ils passent des jugements considérés comme étant critiques du gouvernement. Encore tout récemment, deux étudiants ont été suspendus d'une grande université parce qu'ils avaient osé lancer un débat sur le temple d'Ayodhya dans l'amphithéâtre. Les Indiens vivent aujourd'hui dans un régime de peur généralisée, dans lequel les victimes sont transformées en coupables et les coupables en innocents. La presse aussi a fait les frais de ce raidissement du pouvoir qui n'a pas épargné la presse internationale, comme en témoigne l'affaire de la journaliste française Vanessa Dougnac, obligée de quitter l'Inde en février dernier, après avoir été en poste dans ce pays depuis 20 ans. Diriez-vous que cette affaire est révélatrice d'un changement de régime en Inde ?Pour les journalistes exerçant leur métier en Inde, cette affaire a été un électrochoc. C'est la première fois qu'un correspondant étranger est chassé de ce pays. Vanessa Dougnac était correspondante de l'hebdomadaire Le Point, puis du quotidien La Croix. Elle vivait depuis 23 ans en Inde et s'était mariée avec un Indien, avec qui elle a eu un enfant. Les autorités indiennes lui ont reproché d'avoir écrit des reportages « malveillants » et « biaisés » sur l'Inde, alors qu'elle était considérée par ses confrères comme l'une des meilleures spécialistes du pays dans la presse française. Cette affaire est préoccupante, car elle révèle en effet le rétrécissement de la liberté de la presse en Inde.Éclatant dans la foulée d'autres affaires de censure visant la presse indienne et la presse étrangère, cette affaire a valu à l'Inde d'avoir perdu 21 places dans le classement mondial sur la liberté de la presse, où elle se situe, derrière l'Afghanistan, au 161e rang de l'index qui compte 180 pays. Pour ma co-autrice Sophie Landrin et moi, l'affaire de la journaliste française chassée d'Inde était le signe que ce pays est en train de quitter le camp des démocraties pour basculer dans celui des théocraties. La mutation de la démocratie indienne versant dans la dictature est le fil conducteur de notre livre.La démocratie indienne versant dans la dictature, telle n'est apparemment pas l'opinion des partenaires de l'Inde, qui mettent en avant son statut démocratique et continuent de la célébrer et de dialoguer avec elle. Quels sont les ressorts du succès international de Narendra Modi, celui que vous appelez le « Erdogan hindou » ?Oui, nous le comparons au président turc parce qu'il y a beaucoup de similarités entre la trajectoire politique de ces deux leaders. Ils sont à la tête de deux États au départ laïcs, mais issus de partis religieux. Ces deux hommes forts sont en train de conduire leur pays vers le fondamentalisme religieux. Or, si les relations entre Erdogan et ses partenaires occidentaux se sont compliquées, Modi continue d'être reçu avec tous les égards dans les capitales occidentales. C'est sans doute parce que Narendra Modi a eu la chance d'arriver au moment où l'Occident avait besoin d'un contrepoids face à l'expansionnisme chinois dans ce qu'on appelle en géopolitique la « zone indo-pacifique ». Les Occidentaux ont trouvé dans l'Inde, pays aujourd'hui puissamment armé, le candidat idéal pour contenir les routes de la soie de Xi Jinping. Cela s'est traduit par le renforcement des partenariats stratégiques entre l'Inde et ses partenaires occidentaux.Les honneurs pleuvent sur le leader indien. En France, il a été reçu, le 14 juillet 2023, sur les Champs-Élysées. Invité d'honneur, il a reçu des mains du président français la grand-croix de la Légion d'honneur. Avec ma co-autrice, on voit dans cette démarche un énorme paradoxe et on s'est demandé : s'il est vrai qu'on n'est pas obligé d'être regardant pour faire du commerce avec un pays, est-ce que la patrie des droits de l'homme est obligée de récompenser un homme qui coupe les libertés de ses concitoyens, et cela précisément le jour où elle célèbre à travers sa Révolution l'arrivée des libertés ? Les symboles ont leur importance.À écouter aussiNarendra Modi en France: « Aucune politique étrangère ne se fait sur la seule question des valeurs »Nous sommes à quelques jours des législatives indiennes. Narendra Modi demeure très populaire dans son pays. Selon les sondages, son parti le BJP pourrait remporter les élections avec une majorité absolue. Croyez-vous que les jeux soient d'ores et déjà faits ?Pas nécessairement. D'abord, je pense qu'en politique, les jeux ne sont jamais faits d'avance et il peut toujours se passer quelque chose. Il peut y avoir des surprises de dernière minute, un coup de théâtre qui fasse que finalement, les pronostics soient déjoués. Pour l'instant, en effet, Narendra Modi apparaît comme archi favori, parce qu'il dispose d'une machine électorale absolument énorme : de l'argent, des outils de propagande phénoménaux qui sont dus notamment au fait qu'il est au pouvoir depuis 10 ans et qu'il se présente pour la troisième fois successive au scrutin des électeurs. Il domine la scène politique, car en face de lui, l'opposition est complètement déstructurée, atomisée.Finalement, le sortant a un désert en face de lui, ce qui pourrait lui être favorable. Mais on n'est pas à abri d'un grain de sable. Tout récemment, la Cour suprême a, par exemple, annulé le dispositif de financement de la vie politique qui profitait très largement, très majoritairement au parti au pouvoir, le BJP de Narendra Modi. Cette décision remet un peu en cause un certain nombre de choses, car on s'est aperçu que le parti de Modi est financé par de grands milliardaires et de grandes entreprises. Ces découvertes peuvent intervenir dans les calculs des électeurs. Je resterai donc encore prudent.Dans la tête de Narendra Modi, par Sophie Landrin et Guillaume Delacroix. Solin/Actes Sud, 271 pages, 21 euros.
En Inde, des élections législatives importantes, vues comme un scrutin XXL, vont se dérouler du 19 avril au 4 juin. Près d'un milliard d'Indiens sont invités à glisser dans les urnes leurs bulletins indiquant leurs choix. Le Premier ministre sortant Narendra Modi et sa formation, le Bharatiya Janata Party (BJP), au pouvoir depuis 10 ans, sont les principaux favoris. Qui est Narendra Modi ? Fossoyeur de la démocratie indienne, comme le disent ses détracteurs, ou grand modernisateur, si l'on croit ses partisans ? Réponses dans Dans la tête de Narendra Modi, ouvrage entre biographie et analyse que consacrent au Premier ministre indien deux journalistes du Monde.En quelque 270 pages, le livre brosse le portrait de ce véritable animal politique qu'on connaît mal en Occident. Mêlant récit et analyse, les auteurs racontent son parcours personnel, dressent le bilan de son action politique et s'attachent à pointer du doigt, derrière ses bravades sur l'Inde superpuissance en devenir, le vrai dessein idéologique de Modi visant à asseoir la suprématie des hindous et à perpétuer la domination des hautes castes dans la société indienne. Rencontre avec le co-auteur Guillaume Delacroix.RFI : Une étude psychologique ? Une biographie ? Comment peut-on qualifier votre livre, Guillaume Delacroix ?Guillaume Delacroix : C'est un livre d'enquête journalistique. Nous sommes deux à l'avoir écrit : Sophie Landrin, correspondante du Monde à Delhi, et moi-même, qui ai passé huit ans en Inde, à Bombay, pour Le Monde également. Ce dont on s'était rendu compte, c'est que le personnage de Modi est porteur d'une idéologie très ancienne, qui a bientôt 100 ans. Ce qui est en train de se passer en Inde vient de très très loin. Pour nous, c'est un tournant dans le régime politique et dans la vie démocratique de ce grand pays.Ça vient d'une structuration de la pensée nationaliste hindoue qui remonte à 1925. Et il nous semblait intéressant de justement remonter aux racines de cette idéologie pour comprendre pourquoi Modi est arrivé au pouvoir et « pour quoi ? », en deux mots, c'est-à-dire : Quel est le dessein ? Quel objectif poursuit-il ? On a proposé nos services à Actes Sud, qui avait justement une série correspondant exactement à cette approche, qui s'appelait Dans la tête de…. Actes Sud avait déjà publié un certain nombre de Dans la tête de… consacrés aux dirigeants politiques mondiaux et il manquait Narendra Modi sur l'étagère. Dans les librairies en Europe, il y a extrêmement peu de livres sur l'Inde et encore moins sur Narendra Modi, presque rien. Donc, notre livre est venu combler en quelque sorte un vide.Votre essai s'ouvre sur l'anecdote de la pose de la première pierre du temple d'Ayodhya. Qu'est-ce qu'elle symbolise, cette anecdote ?Ce temple d'Ayodhya, en fait, tout passe par lui. C'est un instrument politique. Ce temple a été construit sur les ruines d'une mosquée, elle-même démolie par des fanatiques en 1992 sous la baguette de Narendra Modi qui était, à l'époque, un jeune cacique de son parti. Il avait organisé avec le président du parti de l'époque cette démolition. C'est l'achèvement du rêve dominateur de l'hindouisme. C'était l'une des trois priorités que s'était fixées la mouvance nationaliste hindoue il y a un siècle, il y a même plus d'un siècle, à savoir : asseoir la suprématie de la majorité hindoue sur le reste de la population, les musulmans et les chrétiens.On connaît mal en Occident Narendra Modi. Qui est-il ? D'où vient-il ? Comment est-il devenu Premier ministre de l'Inde ? Il tranche vraiment avec ses prédécesseurs parce que son parcours personnel est atypique. Il n'est pas lettré, il n'est pas éduqué, il n'a pas fait d'études comme beaucoup de Premiers ministres indiens avant lui. On pense tous à Nehru ou à Indira Gandhi, mais pas seulement. Son dernier prédécesseur, du parti du Congrès, Manmohan Singh, était un grand économiste. Vajpayee qui, lui, était du parti de Modi et qui a occupé le poste de Premier ministre il y a une vingtaine d'années, était un brahmane lettré. On pense que Narendra Modi n'a même pas le bac… Enfin, il y a un flou artistique qui entoure tout cela. Une légende s'est construite autour de l'homme, le self-made man, l'autodidacte…Ce qui est certain, c'est que Narendra Modi est un apparatchik. Il a été formé dès son plus jeune âge, dès l'âge de huit ans, dans la nébuleuse nationaliste hindoue, incarnée par une organisation paramilitaire, l'Association des volontaires de la nation (le RSS). Il a gravi les échelons progressivement au sein de cette organisation et a été porté au pouvoir sans être candidat à des élections. En 2001, ses supérieurs l'ont nommé à la tête de l'État du Gujarat, dont il est originaire, qui se trouve être aussi l'État natal du Mahatma Gandhi. C'est seulement en 2002 qu'il a été élu par un électorat majoritairement hindou. Il est populaire au Gujarat, sans doute parce qu'il avait « laissé faire » – c'est l'expression usitée en Inde – des pogroms anti-musulmans qui ont marqué l'histoire de l'Inde contemporaine. Les pogroms ont lancé en quelque sorte la carrière politique de Narendra Modi !Vous racontez dans votre livre – et c'est passionnant – comment, malgré sa contribution à la cause du nationalisme hindou, il n'a pas été le premier choix des hiérarques de son organisation lorsqu'il a fallu choisir une tête de liste « premier ministrable » avant les élections législatives de 2014…Narendra Modi dérangeait en fait au sein de sa propre famille politique parce qu'il était atypique, et surtout parce qu'il ne venait pas des hautes castes. L'Inde est connue pour son système de castes très rigide, qui divise la société en quelque 25 000 castes. Le mouvement hindouiste est dirigé par des hommes de haute caste et pour ces dirigeants, Modi, qui est issu d'une classe sociale modeste, ne pouvait pas être leur candidat à la primature. Finalement, parce que Modi est un homme talentueux, charismatique, qui sait manier la carotte et le bâton, il a réussi à emporter le choix des autorités du RSS comme candidat de son parti pour le poste de Premier ministre. C'était finalement un bon choix puisqu'il a gagné l'élection.Il s'est aussi révélé être un bon soldat, qui porte avec conviction et fidélité le message de son mouvement, l'hindutva. Or, qu'est-ce que l'hindutva ?Tout cela vient de loin. Narendra Modi est l'aboutissement du cheminement lent, progressif de l'idée du suprémacisme hindou, qui débouche aujourd'hui sur une polarisation extrême. L'hindutva, c'est l'idée que la majorité a des droits supérieurs aux minorités, et c'est pour cela qu'on adopte des lois stigmatisantes et qu'on établit une forme d'apartheid rampant. C'est un peu ce qui est en train de se passer aujourd'hui. On assiste à une institutionnalisation de la ségrégation entre les hindous d'une part, et d'autre part, ceux qui appartiennent à des religions différentes, celles des « envahisseurs » en fait. Modi parle beaucoup d'esclavage, c'est-à-dire en gros 1 000 ans d'occupation musulmane, puis 200 ans d'occupation britannique. Cela se traduit aujourd'hui par des mosquées que l'on détruit, comme cela s'est passé à Ayodhya avec la destruction de la mosquée Babri en 1992.L'hindutva, c'est ça, c'est dominer et faire croire à une masse solidaire d'hindous que leur religion est supérieure aux autres religions. C'est bien sûr une fiction, mais pendant ce temps-là, alors qu'on unifie les hindous contre les musulmans et les chrétiens, on ne parle pas des fractures qui divisent la société indienne, où le pouvoir est entre les mains de la plus haute caste, les brahmanes. Obnubilée par la question musulmane, la population hindoue vit dans l'ignorance de cette situation.Si je vous comprends bien, Guillaume Delacroix, le véritable objectif de Narendra Modi n'est pas la marginalisation des minorités, mais la perpétuation de la hiérarchie des castes. C'est ça, le dessein caché ?C'est vraiment le cœur de notre livre avec Sophie Landrin. L'objectif de ce gouvernement n'est pas tant l'hindouisme que le castéisme, c'est-à-dire la domination de la société indienne avec le maintien du pouvoir entre les mains d'une oligarchie de hautes castes. Alors après, on peut gloser sur la définition de ce qu'est l'Inde aujourd'hui. On l'appelle encore « la plus grande démocratie du monde ». Nous, on pense que ce n'est plus le cas. Elle a peut-être encore quelques traits de démocratie parce qu'il y a des élections, et même des alternances, sur le plan de la gouvernance régionale. Mais force est de constater que l'État de droit en Inde est battu en brèche tous les jours. Le pouvoir aujourd'hui est maintenant entre les mains d'une oligarchie, avec un mélange de genres absolument inédit entre le politique et le religieux.Narendra Modi se pose en grand prêtre, en gourou, quand il préside à des cérémonies, comme il l'a fait à Ayodhya où il a présidé, fin janvier, l'inauguration du temple bâti sur les ruines de la mosquée abattue. Ce mélange du politique et religieux est totalement en décalage avec le rôle imputé au Premier ministre de l'Inde dans la Constitution, qui est égalitaire et séculariste. Selon la Constitution de 1950 toujours en vigueur, l'Inde doit accueillir toutes les religions et ne doit en privilégier aucune.C'est en fait le contraire qui se passe depuis dix ans, en toute impunité, en attendant le changement de la Constitution...C'est un peu, si vous voulez, le souhait des nationalistes hindous et des plus radicaux de cette frange politique. Elle veut prendre sa revanche sur la partition de 1947, lorsque l'Inde est devenue indépendante. Le pays a été divisé en deux, avec d'un côté le Pakistan qui s'est défini comme une république islamique, et de l'autre, l'Inde qui a souhaité, sous la férule de Gandhi et de Nehru, demeurer laïque. Aujourd'hui, la droite hindouiste veut revenir là-dessus et réclame que, puisque les musulmans ont eu leur État avec le Pakistan, l'Inde doit être un État hindou. Nous expliquons dans notre livre que ce débat va au-delà du religieux pour rappeler que, pour une frange de la droite hindouiste, l'hindouisme est dans l'ADN, dans le sang des gens.L'hindouisation du pays semble être allée de pair avec une véritable dérive autoritaire. Dressant le bilan des dix années de Narendra Modi à la tête du pays, vous évoquez dans votre livre un « gouvernement par la peur » qui touche les minorités, mais aussi les médias, les intellectuels, les universitaires, les étudiants. On assiste à un sérieux rétrécissement des libertés. Comment est-on passé de la démocratie bureaucratique et chaotique de l'Inde d'antan à cet État quasi orwellien ?Il ne faut pas penser que tout s'est fait en un jour et que, lorsque Narendra Modi a pris les rênes de l'Inde en mai 2014, tout a basculé. Tout cela était en germe en fait dans l'histoire politique de l'Inde. C'est simplement qu'avec le BJP au pouvoir, tout a été démultiplié. Le braconnage des élus, par exemple, existait avant, mais le phénomène a été démultiplié par 100, peut-être par 1 000. L'Inde a toujours été un pays inégalitaire. La peur du plus fort, du plus puissant touche aujourd'hui la gouvernance, même les gens à la tête du pays. Les témoignages que nous avons recueillis auprès des personnes participant aux réunions décisionnaires dans le bureau du Premier ministre nous ont laissés entendre que tout le monde a le doigt sur la couture du pantalon, si je puis m'exprimer ainsi, parce qu'ils ont tous peur. D'ailleurs, c'est dans le bureau du Premier ministre que toutes les décisions sont prises, car il y a aujourd'hui une concentration absolument inédite du pouvoir entre les mains d'un seul homme. Les ministres sont tous des fantoches et ils ont tous peur de parler, de déplaire au chef. Et cette peur se dissémine, se répand à travers le pays.À lire aussiInde: le BJP de Narendra Modi en campagne pour conserver New Delhi aux élections généralesLes gens ont peur parce que le Parlement a voté de nouvelles lois liberticides qui réduisent la liberté d'expression des citoyens. Le gouvernement a autorisé les agences au sein des services secrets, tout comme le fisc, à poursuivre systématiquement les opposants politiques et la société civile. On a fait fermer 20 000 ONG sous prétexte qu'elles touchaient des financements venant de l'étranger ou bien d'être des agents de l'étranger, et donc de promouvoir la sédition et la désagrégation de l'Inde. On a politisé la justice et on a fait peur aux juges en les nommant dans des bleds éloignés s'ils passent des jugements considérés comme étant critiques du gouvernement. Encore tout récemment, deux étudiants ont été suspendus d'une grande université parce qu'ils avaient osé lancer un débat sur le temple d'Ayodhya dans l'amphithéâtre. Les Indiens vivent aujourd'hui dans un régime de peur généralisée, dans lequel les victimes sont transformées en coupables et les coupables en innocents. La presse aussi a fait les frais de ce raidissement du pouvoir qui n'a pas épargné la presse internationale, comme en témoigne l'affaire de la journaliste française Vanessa Dougnac, obligée de quitter l'Inde en février dernier, après avoir été en poste dans ce pays depuis 20 ans. Diriez-vous que cette affaire est révélatrice d'un changement de régime en Inde ?Pour les journalistes exerçant leur métier en Inde, cette affaire a été un électrochoc. C'est la première fois qu'un correspondant étranger est chassé de ce pays. Vanessa Dougnac était correspondante de l'hebdomadaire Le Point, puis du quotidien La Croix. Elle vivait depuis 23 ans en Inde et s'était mariée avec un Indien, avec qui elle a eu un enfant. Les autorités indiennes lui ont reproché d'avoir écrit des reportages « malveillants » et « biaisés » sur l'Inde, alors qu'elle était considérée par ses confrères comme l'une des meilleures spécialistes du pays dans la presse française. Cette affaire est préoccupante, car elle révèle en effet le rétrécissement de la liberté de la presse en Inde.Éclatant dans la foulée d'autres affaires de censure visant la presse indienne et la presse étrangère, cette affaire a valu à l'Inde d'avoir perdu 21 places dans le classement mondial sur la liberté de la presse, où elle se situe, derrière l'Afghanistan, au 161e rang de l'index qui compte 180 pays. Pour ma co-autrice Sophie Landrin et moi, l'affaire de la journaliste française chassée d'Inde était le signe que ce pays est en train de quitter le camp des démocraties pour basculer dans celui des théocraties. La mutation de la démocratie indienne versant dans la dictature est le fil conducteur de notre livre.La démocratie indienne versant dans la dictature, telle n'est apparemment pas l'opinion des partenaires de l'Inde, qui mettent en avant son statut démocratique et continuent de la célébrer et de dialoguer avec elle. Quels sont les ressorts du succès international de Narendra Modi, celui que vous appelez le « Erdogan hindou » ?Oui, nous le comparons au président turc parce qu'il y a beaucoup de similarités entre la trajectoire politique de ces deux leaders. Ils sont à la tête de deux États au départ laïcs, mais issus de partis religieux. Ces deux hommes forts sont en train de conduire leur pays vers le fondamentalisme religieux. Or, si les relations entre Erdogan et ses partenaires occidentaux se sont compliquées, Modi continue d'être reçu avec tous les égards dans les capitales occidentales. C'est sans doute parce que Narendra Modi a eu la chance d'arriver au moment où l'Occident avait besoin d'un contrepoids face à l'expansionnisme chinois dans ce qu'on appelle en géopolitique la « zone indo-pacifique ». Les Occidentaux ont trouvé dans l'Inde, pays aujourd'hui puissamment armé, le candidat idéal pour contenir les routes de la soie de Xi Jinping. Cela s'est traduit par le renforcement des partenariats stratégiques entre l'Inde et ses partenaires occidentaux.Les honneurs pleuvent sur le leader indien. En France, il a été reçu, le 14 juillet 2023, sur les Champs-Élysées. Invité d'honneur, il a reçu des mains du président français la grand-croix de la Légion d'honneur. Avec ma co-autrice, on voit dans cette démarche un énorme paradoxe et on s'est demandé : s'il est vrai qu'on n'est pas obligé d'être regardant pour faire du commerce avec un pays, est-ce que la patrie des droits de l'homme est obligée de récompenser un homme qui coupe les libertés de ses concitoyens, et cela précisément le jour où elle célèbre à travers sa Révolution l'arrivée des libertés ? Les symboles ont leur importance.À écouter aussiNarendra Modi en France: « Aucune politique étrangère ne se fait sur la seule question des valeurs »Nous sommes à quelques jours des législatives indiennes. Narendra Modi demeure très populaire dans son pays. Selon les sondages, son parti le BJP pourrait remporter les élections avec une majorité absolue. Croyez-vous que les jeux soient d'ores et déjà faits ?Pas nécessairement. D'abord, je pense qu'en politique, les jeux ne sont jamais faits d'avance et il peut toujours se passer quelque chose. Il peut y avoir des surprises de dernière minute, un coup de théâtre qui fasse que finalement, les pronostics soient déjoués. Pour l'instant, en effet, Narendra Modi apparaît comme archi favori, parce qu'il dispose d'une machine électorale absolument énorme : de l'argent, des outils de propagande phénoménaux qui sont dus notamment au fait qu'il est au pouvoir depuis 10 ans et qu'il se présente pour la troisième fois successive au scrutin des électeurs. Il domine la scène politique, car en face de lui, l'opposition est complètement déstructurée, atomisée.Finalement, le sortant a un désert en face de lui, ce qui pourrait lui être favorable. Mais on n'est pas à abri d'un grain de sable. Tout récemment, la Cour suprême a, par exemple, annulé le dispositif de financement de la vie politique qui profitait très largement, très majoritairement au parti au pouvoir, le BJP de Narendra Modi. Cette décision remet un peu en cause un certain nombre de choses, car on s'est aperçu que le parti de Modi est financé par de grands milliardaires et de grandes entreprises. Ces découvertes peuvent intervenir dans les calculs des électeurs. Je resterai donc encore prudent.Dans la tête de Narendra Modi, par Sophie Landrin et Guillaume Delacroix. Solin/Actes Sud, 271 pages, 21 euros.
La Foi prise au Mot vous propose de revenir sur le pontificat de Paul VI. Chargé de terminer et de mettre en oeuvre le Concile Vatican II, il fut l'objet de toutes les critiques. Fossoyeur de l'esprit du Concile pour les uns, il est la cause de toutes les crises de l'Église selon les autres. Trente ans après sa mort, où est la vérité ? Pour essayer de la découvrir, Régis Burnet reçoit deux fins observateurs de la vie romaine : Gérard Leclerc, éditorialiste à France Catholique et Christophe Geffroy, directeur de la revue La Nef.
Qu'est-ce qu'un cliché ? Doit-on forcément les éviter ? Voyons cela ensemble dans cet épisode. Dans cet épisode, vous apprendrez : ce qu'est un cliché et sont-ils toujours des mauvaises choses ? Les références utilisées : La vidéo du Studio Bagel - « Déjà vu » La vidéo du Fossoyeur de films - « Top 10 des pires clichés » 3 moyens de nous soutenir : Vous abonner est le meilleur moyen de nous rejoindre ! Vous pouvez partager ce podcast sur Insta en taguant @florence_georgeon et nous retrouver sur Youtube à 6e de couverture (cela nous fera très plaisir). Vous pouvez laisser une chouette évaluation sur la plateforme de podcast de votre choix.
durée : 00:02:45 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Sur le réseau social, on trouve parfois des films complets, divisés en extraits de une à trois minutes. Venue des utilisateurs, cette tendance est parfois reprise par les maisons de production elles-mêmes. Un passage obligé pour faire la promotion des films et des séries auprès d'un jeune public ?
durée : 00:02:45 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Sur le réseau social, on trouve parfois des films complets, divisés en extraits de une à trois minutes. Venue des utilisateurs, cette tendance est parfois reprise par les maisons de production elles-mêmes. Un passage obligé pour faire la promotion des films et des séries auprès d'un jeune public ?
durée : 00:02:45 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Sur le réseau social, on trouve parfois des films complets, divisés en extraits de une à trois minutes. Venue des utilisateurs, cette tendance est parfois reprise par les maisons de production elles-mêmes. Un passage obligé pour faire la promotion des films et des séries auprès d'un jeune public ?
Avec Salva, Azz l'épouvantail, Kamal Messaoudi & Elise Lenaerts Ne manquez pas le prochain enregistrement !
En 1997, dans son livre L'écran post-moderne, un cinéma de l'allusion et du feu d'artifice, Laurent Jullier distingue deux formes de postmodernité au cinéma. D'un côté, il y aurait celle qui se définit par le recyclage. Il s'agit ici d'utiliser des formes pré-existantes de manière intelligente, en faisant comprendre que la citation est volontaire et de miser sur le fait que le spectateur saura reconnaître et apprécier. Le pillage culturel devient un clin d'œil, on parle alors de cinéma allusionniste. Aujourd'hui, la mode étant aux franchises qui se citent et se recyclent elles-mêmes, on pourrait aller plus loin que Jullier et parler de post-modernité cannibale. De l'autre côté, la postmodernité au cinéma pourrait également se définir par ce que Jullier appelle le « contournement des formes anciennes ». On renonce ainsi au récit d'une histoire complète, on mêle la réalité à la représentation. Ici, le cinéma se présente comme une suite de stimuli dispensant de pures sensations que l'on peut goûter sans trop réfléchir. Les films post-modernes correspondant à cette alternative mettraient l'accent sur le plaisir physique des formes et des couleurs (ce que Serge Daney appelait le « son et lumière). Le risque serait donc ici, pour le cinéma pyrotechnique ou le « film-concert », de régresser dans la pyramide des arts et de ne plus faire office de référence, esthétique ou économique. Et justement, la saga John Wick nous semble être particulièrement intéressante à réfléchir sous cette lumière. Avec la sortie d'un quatrième opus qui repousse encore plus loin le dépouillement scénaristique et qui mise au maximum sur la sensation, se pose la question de la relation qu'entretient la franchise de Chad Stahelski avec la postmodernité. Alors, Baba Yaga, parangon ou fossoyeur de la post-modernité ? L'ancien cascadeur devenu réalisateur correspond-il à ces artistes post-modernes qui, comme le disait Jean-Luc Chalumeau, sont des « dandys superficiels et désabusés, néo-conservateurs qui pillent au lieu de citer, exactement comme les tenants de l'art stalinien » ? Bienvenue dans Exposed épisode 22, consacré à JOHN WICK 4 de Chad Stahelski. --- Autres films évoqués : JOHN WICK (Chad Stahelski. 2014), JOHN WICK 2 (Chad Stahelski. 2017), JOHN WICK PARABELLUM (Chad Stahelski. 2019), BLADE 2 (Guillermo Del Toro, 2002), MINORITY REPORT (Steven Spielberg, 2002), THE VILLAINESS (Jeong Byeong-gil, 2017), CARTER (VILLAINESS (Jeong Byeong-gil, 2022), LE SENS DU DEVOIR 4 (Yuen Woo-ping, 1991), PROMARE (Hiroyuki Imaishi, 2019), REDLINE (Takeshi Koike, 2010), THE BLADE (Tsui Hark, 1995), SILENT NIGHT (John Woo, 202?), AVATAR: THE WAY OF WATER (James Cameron, 2022), REBEL MOON (Zack Snyder, 2023), ZACK SNYDER'S JUSTICE LEAGUE (Zack Snyder, 2021), 300 (Zack Snyder, 2006 ), MAN OF STEEL (Zack Snyder, 2013), SEVEN SWORDS (Tsui Hark, 2005), la trilogie INFERNAL AFFAIRS (Andrew Lau et Alan Mak) Titre d'outro : Destruction Babies, Shutoku Mukai Exposed est un podcast animé par l'équipe de www.filmexposure.ch : Thomas Gerber, Alexandre Rallo, Sébastien Gerber.
La situation en Hongrie, Viktor Orban, les marges de l'Union Européenne contre les éventuelles dérives de ses Etats Membres, les déclarations d'Emmanuel Macron qui ont pu choquer nos alliés, la diplomatie du Président, le documentaire "Des vignes et des hommes", le documentaire FIFA: Uncovered sur Netflix qui aborde les coulisses politiques de la Fédération Internationale de Football. Tout cela et un peu plus dans ce nouvel épisode
durée : 00:03:08 - Géopolitique - La mort du dernier président de l'URSS en pleine guerre d'Ukraine montre à quel point la Russie est aux antipodes du rêve gorbatchévien. Poutine, par bien des aspects, est l'anti-Gorbatchev.
durée : 00:03:08 - Géopolitique - La mort du dernier président de l'URSS en pleine guerre d'Ukraine montre à quel point la Russie est aux antipodes du rêve gorbatchévien. Poutine, par bien des aspects, est l'anti-Gorbatchev.
Adulé en Occident, détesté en Russie. Fossoyeur de l'URSS malgré lui, destin curieux que celui de Gorbatchev, dernier dirigeant de l'URSS. Taline Ter Minassian, professeur d'histoire de la Russie et du Caucase et auteur d'une biographie de Gorbatchev analyse la complexité de cet homme au micro de Conflits. Emission présentée par Jean-Baptiste Noé.
Aujourd'hui le cinéma français semble peu porté sur les films de genre et la SF. Marc Caro, lui, ne l'a jamais entendu de cette oreille. Il faut dire qu'il est issu des rangs d'une bande-dessinée bien moins frileuse avec Métal Hurlant, Fluide Glaciale ou l'Echo des Savanes. Avec son complice Jean-Pierre Jeunet, ses réalisations comme Delicatessen ou la Cité des Enfants Perdus ont constitué une vraie proposition de cinéma de genre français : style hyper-esthétique, univers barrés lorgnant sur le post-apo, le steampunk ou le freakshow, et thématiques SF. Dans les décors, on sent les matières, la rouille et les rivets. Ces autres mondes sont chargés d'un bric-à-brac qui les rend tangibles et sont peuplés de personnages hors-normes, incarnés par de vraies gueules d'acteurs. Cette direction artistique de Caro, on la retrouve dans nombre d'expérimentations de cinéma, chez Jan Kounen ou Gaspard Noé, dans Vidocq, des clips comme ceux de Jean-Michel Jarre ou Indochine, et dans son long-métrage en solo Dante 01. Alors qui de mieux pour s'entretenir avec lui que le Fossoyeur de Films et le Cap'tain du Nexus VI, celui qui s'est juré de ramener à la lumière le cinéma de genre ? Une rencontre avec Marc Caro lors de la 10e édition du festival les Intergalactiques le samedi 23 avril 2022. Avec Marc CaroAnimation : François Theurel et le Cap'tain du Nexus VI Le site web du festival :https://intergalactiques.net
Cette semaine sort en salles en France le film qui a décroché l'Etalon de Yennenga au dernier Fespaco, La Femme du fossoyeur. C'est le premier long métrage d'un réalisateur finlandais d'origine somalienne, Khadar Ayderus Ahmed. ► À lire aussi : «La femme du fossoyeur», la Somalie de Khadar Ayderus Ahmed
Saison 2, épisode 1 pour le 36e Congrès de Futurologie de retour sur Radio Canut après de longues semaines de pause. On revient en belle compagnie : François Theurel, notre Fossoyeur de Films, le Cap'tain, Alex / Slexno et Lucie Schosseler du Nexus VI, sur la 9e édition des Intergalactiques de la veille, on y parle de Dune de Denis Villeneuve sans spoil aucun, de Matrix 4 pourquoi pas et de la Mouche projeté le soir même au Lumière Terreaux ! Bonne écoute ! LES CONGRES DE FUTUROLOGIE Les Congrès de futurologie est une émission proposée par l'équipe de programmation du festival Les Intergalactiques qui traite du genre de la Science-fiction sous toutes ses formes : littérature, cinéma, musiques, sciences. En compagnie d'invité·e·s, retrouvez nous chaque lundi à 17h simultanément sur l'antenne de Radio Canut. 102.2 et notre chaîne Twitch ! Et dès le lendemain sur les plateformes de podcast !
Acheter l'intégrale des Fables de La Fontaine : https://achat.podcasts.comedie-francaise.fr L'usage seulement fait la possession. Je demande à ces gens de qui la passion Est d'entasser toujours, mettre somme sur somme, Quel avantage ils ont que n'ait pas un autre homme. Diogène là-bas est aussi riche qu'eux, Et l'avare ici-haut comme lui vit en gueux. L'homme au trésor caché qu'Esope nous propose, Servira d'exemple à la chose. Ce malheureux attendait, Pour jouir de son bien, une seconde vie ; Ne possédait pas l'or, mais l'or le possédait. Il avait dans la terre une somme enfouie, Son coeur avec, n'ayant autre déduit Que d'y ruminer jour et nuit, Et rendre sa chevance à lui-même sacrée. Qu'il allât ou qu'il vînt, qu'il bût ou qu'il mangeât, On l'eût pris de bien court, à moins qu'il ne songeât A l'endroit où gisait cette somme enterrée. Il y fit tant de tours qu'un Fossoyeur le vit, Se douta du dépôt, l'enleva sans rien dire. Notre avare, un beau jour ne trouva que le nid. Voilà mon homme aux pleurs : il gémit, il soupire. Il se tourmente, il se déchire. Un passant lui demande à quel sujet ses cris. C'est mon trésor que l'on m'a pris. Votre trésor ? où pris ? Tout joignant cette pierre. Eh sommes-nous en temps de guerre Pour l'apporter si loin ? N'eussiez-vous pas mieux fait De le laisser chez vous en votre cabinet, Que de le changer de demeure ? Vous auriez pu sans peine y puiser à toute heure. A toute heure, bons Dieux ! ne tient-il qu'à cela ? L'argent vient-il comme il s'en va ? Je n'y touchais jamais. Dites-moi donc, de grâce, Reprit l'autre, pourquoi vous vous affligez tant, Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent : Mettez une pierre à la place, Elle vous vaudra tout autant.
Comment Brigitte Bardot a inspiré la première bande-dessinée érotique française ? Et de quelle manière l'adaptation cinématographique de 1968 a transformé l'actrice Jane Fonda en véritable sex-symbol ?Mina et Jade s'intéressent au film de science-fiction « Barbarella » réalisé par Roger Vadim, où il sera question d'une naïve aventurière de l'espace sexy, d'un méchant pervers et d'un ange aux mains baladeuses...Pour plus de contenu exclusif et chaud comme la braise, viens suivre le N'importe cul sur Instagram Si tu es curieuse·x...Attention ! Certaines de ces pages internet hébergent des contenus non adaptés à un public de -18 ans Extrait : Scène d'introduction sur la musique « Barbarella » de Bob Crewe et Charles Fox Fiche Allociné de Barbarella de Roger VadimLa bande dessinée Barbarella de Jean-Claude ForestFiche Allociné du Le Cinquième Élément de Luc BessonLa clip "Electric Barbarella" du groupe Duran DuranLe clip "Break Free" d'Ariana GrandeLe reportage de l'INA sur le tournage de BarbarellaLa scène culte du Chestburster dans Alien, le huitième passager de Ridley ScottLa vidéo du Fossoyeur de Films sur BarbarellaCréditsCréé et animé par Mina et Jade. Produit par Mauvaises Ondes. Générique par Maxence Moogin. Musique de Stefano Mastronardi. Illustration d'Amandine Jonniaux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Suffit-il d'avoir un avis pour faire une bonne critique ? Qu'attend-on d'une bonne critique ? Le format vidéo change-t-il quelque chose à cette activité ? Internet change-t-il la donne ? Qui pouvait mieux répondre à ces questions sur le Fossoyeur de Film himself ? «La liberté de parole s'accompagne de la responsabilité de fermer sa gueule si on a rien à dire.» Lien Youtube
La saison 2 de Donne ta patte démarre en trombes, avec un parrain de folie ! Toutes les deux semaines (en tous cas on essaye, même si les confifi viennent mettre le bazar là-dedans), écoutez des personnes enrichissantes parler de manière passionnée et passionnante de leur rapport à la création, dans différents métiers du milieu artistique.Partagez le podcast et surtout, parlez-en autour de vous ! Cette saison 2 est parrainée par nul autre que François Theurel, aka le Fossoyeur de Films, qui partage ses doutes, ses blocages, ses inspirations et ses nombreuses remises en questions au fil des années. Et évidemment, l'Histoire que tout le monde doit continuer est toujours d'actualité, et François nous emmène dans une toute nouvelle atmosphère paranormale pour une toute nouvelle histoire. Le Fossoyeur de Films - YT - https://www.youtube.com/user/deadwattsofficielFrançois Theurel - IG - https://www.instagram.com/francois_theurel/ Donne ta patte - IG - https://www.instagram.com/donnetapatte_podcast/Donne ta patte - YT - https://www.youtube.com/channel/UCLI6XG3rAL35hAmFqAq-z7A?
durée : 00:58:03 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Antoine Dhulster - Un accord a finalement été conclu sur les modalités de mise en œuvre de la frontière douanière en mer d’Irlande. Mais il est loin de résoudre toutes les tensions créées en Irlande du Nord par le Brexit - si bien que de plus en plus d'Irlandais espèrent désormais une réunification de l’île... - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Christophe Gillissen professeur de civilisation britannique et irlandaise à l'Université de Caen Normandie; Agnès Maillot Professeure à l’Université de Dublin (Dublin City University); Nathalie Duclos maître de conférences en civilisation britannique à l’université de Toulouse 2-Jean Jaurès
Rubrique:nouvelles Auteur: elizabeth-gaskell Lecture: Daniel LuttringerDurée: 31min Fichier: 22 Mo Résumé du livre audio: Deux hommes discutent paisiblement dans un cimetière. Ils se demandent comment il serait possible de définir un héros. Un troisième homme, les écoutant, entre dans leur discussion et va raconter une histoire qui a bouleversé sa vie. Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Dans cet épisode, lors d’un moment convivial le 4 décembre 2019 au bar Le Nautilus ( « le QG de Tu L’As Vu ? » pour décider du contenu des saisons ), le trio Gravlax – Papa(Gubi)da et Casa passe la parole à cinq membres du collectif de spectateurs dont ils font partie dans un cinéma de quartier de leur région pour que chacun(e) leur parle d’un film qu’ils veulent défendre. Le trio réagit ensuite sur les différents métrages, après visionnage. Les films évoqués dans l’épisode seront donc : 5’00 : Le film de Vivien : « Under The Skin » de Jonathan Glazer ( 2013 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187462.html 38’45 : Le film de Bernadette : « Made in Bangladesh » de Rubaiyat Hossain ( 2019 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=274973.html 58’15 : Le film d’Élise : « Le Cochon de Gaza » de Sylvain Estibal ( 2011 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187194.html 1h15m50 : Le film de Sandrine : « Je suis mort mais j’ai des amis » de Guillaume et Stéphane Malandrin ( 2015 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=221289.html 1h40m25 : Le film de Geneviève : « La vie des autres » de Florian Henckel von Donnersmarck ( 2007 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=111643.html Films évoqués durant l’épisode : « Norma Rae » de Martin Ritt ( 1979 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=6548.html « Rosetta » des frères Dardenne ( 1999 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=20089.html « Le Dernier Vol » de Karim Dridi ( 2009 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=135893.html « CitizenFour » de Laura Poitras ( 2015 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=231662.html « Snowden » d’Oliver Stone ( 2016 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=229359.html Musique diffusée durant l’épisode : Générique « Loud Pop » ( Gravlax ) Micah Levi : « Creation » / « Lipstick To Void » / « Andrew Void » / « Meat To Maths » / « Drift » / « Lonely Void » / « Bedroom » / « Love » Tin Soheili : « The Accident » / « Shimu’s Theme » / « New Camera » / « Workers » / « Suspicious Sohel » / « Sorrow » / « Charsi Filmstar » Aqualactica « Cumulus » Grand Ours « Pas un rat » / « Seul » Cheveu : « Lola Langusta » / « No Birds » Les Cavaliers : « Les planchistes de Paname » / « Bons baisers de la ville lumière » Olivensteins « Euthanasie » Gabriel Yared : « Die unsichtbare Front » / « HGW XX_7 » / « Linienstraße » / « Das Leben der Anderen » / « Georg Dreyman, der Dichter » / « Sonata For A Good Man » / « IM Martha » Manfred-Ludwig Sextett « Gral » Ludwig Petrowsky « E.W. Als Gruß » Angelika Mann Champus « Lied » 4 PS « Ich würde wenn ich wüsste, dass ich könnte (Pause) » Bonus : • La vidéo du Fossoyeur de Films sur « Under The Skin » : https://youtu.be/ur4PXrenjVQ • La vidéo de Durendal sur « Under The Skin » : https://www.youtube.com/watch?v=0aIbFnzlkII&ab_channel=Durendal1 • La pub Levis de Jonathan Glazer avec Nicolas Duvauchelle : https://www.youtube.com/watch?v=qttAuqAnjSg&ab_channel=Modelstvcm3 Chaîne YouTube « TLV Podcast » :https://www.youtube.com/channel/UCoLK73hPXzMYGnZEYVRvAEQ Lien Twitter du podcast : https://twitter.com/TLVPodcast Page Facebook du podcast : https://www.facebook.com/M.Gravlax Page du podcast : https://tu-las-vu.lepodcast.fr/ Page Sens Critique avec tous les films traités dans le podcast :https://www.senscritique.com/liste/Tous_les_films_traites_dans_notre_podcast_Tu_l_as_vu_venez_n/2716388
Dans cet épisode, le trio Gravlax – Papa(Gubi)da et Casa reviennent fouiner du côté de la trilogie d’ouvrages «Le Cinéma français, c’est de la merde !» et y a puisé 3 curiosités et/ou classiques prouvant que le cinéma hexagonal a de la ressource et peut proposer des pellicules originales et dignes d’intérêt. Les films traités seront : - 2’15 (Gravlax) : «Dans la forêt» de Gilles Marchand (2017 ; SPOILERS vers 27 min) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=229682.html - 41’00 (Gubi) : «Les Diaboliques» d’Henri-Georges Clouzot (1955 ; SPOILERS vers 1h00 ) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=3732.html - 1h21 (Casa) «Les Chinois à Paris» de Jean Yanne (1974) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=33113.html Recommandations (à la fin de chaque film traité) : (Gravlax) «Forest Warrior» d’Aaron Norris (1996) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=170682.html et la bande-annonce : https://youtu.be/m4wec14j_Vc ET «Une prière avant l’aube» de Jean-Stéphane Sauvaire (2018) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=232761.html (Gubi) «Esther» de Jaume Collet-Serra (2009) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=132783.html ET «The Visit»de M.Night Shyamalan (2015) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=182943.html (Casa) « Astérix : Le Domaine des Dieux » d’Alexandre Astier et de Louis Clichy (2014) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187191.html Films évoqués durant l’épisode : «Qui a tué Bambi ?» de Gilles Marchand (2003) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=46552.html «L’autre monde» de Gilles Marchand (2010) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=139361.html «Harry, un ami qui vous veut du bien» de Dominik Moll (2000) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=25210.html «Lemming» de Dominik Moll (2005) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=54145.html Le thriller qui a la même trame de base que «Dans la forêt» : «Edge of Winter» (Escapade fatale, en français) de Rob Connolly (2016) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=238877.html «Diabolique» de Jeremiah Chechik (1996) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=14711.html «Moi, y’en a vouloir des sous» de Jean Yanne (1972) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=33114.html Musique diffusée pendant l’épisode : Générique « Loud Pop » (Gravlax) Philippe Schoeller : « Cantate Isis » / « Esstal » / “The Eyes of the Wind I et II” Georges Van Parys « Les Diaboliques » / « B.O. Signé Arsène Lupin » Randy Edelman “B.O. The Boy Next Door” John Ottman “Orphan” Paul Cantelon “Epilogue Theme” Michel Magne “Carmeng” / « B.O. Moi y’en a vouloir des sous » Philippe Rombi « Générique Le domaine des dieux » / « Ouverture » / « Pectine prépare la potion » Bonus : - En prolongement du mini-débat sur les « bonnes fins » de films, cette vidéo du Fossoyeur de Films sur ce thème : https://www.youtube.com/watch?v=zTxNPp7PVBU - L’épisode de «Cinémarena» sur le comparatif entre « Les Diaboliques » et « Psycho » (ainsi que leurs remakes) : https://www.youtube.com/watch?v=TnZIGGO23rA - Conférence de Jean-Baptiste Thoret sur « Les Diaboliques » : https://www.dailymotion.com/video/xl9bui - Les 3 volumes du « Cinéma français, c’est de la merde ! » : Volume 1 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=152&controller=product&id_lang=1 Volume 2 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=161&controller=product&id_lang=1 Volume 3 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=168&controller=product&id_lang=1 - Chaîne YouTube TLV Podcast : https://www.youtube.com/channel/UCoLK73hPXzMYGnZEYVRvAEQ - Lien Twitter : https://twitter.com/TLVPodcast - Page Facebook : https://www.facebook.com/M.Gravlax - Page du podcast : https://podcast.ausha.co/tu-l-as-vu - Page Sens Critique avec tous les films traités dans le podcast : https://www.senscritique.com/liste/Tous_les_films_traites_dans_notre_podcast_Tu_l_as_vu_venez_n/2716388
Dans cet épisode, le trio Gravlax – Papa(Gubi)da et Casa reviennent fouiner du côté de la trilogie d’ouvrages «Le Cinéma français, c’est de la merde !» et y a puisé 3 curiosités et/ou classiques prouvant que le cinéma hexagonal a de la ressource et peut proposer des pellicules originales et dignes d’intérêt. Les films traités seront :- 2’15 (Gravlax) : «Dans la forêt» de Gilles Marchand (2017 ; SPOILERS vers 27 min) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=229682.html- 41’00 (Gubi) : «Les Diaboliques» d’Henri-Georges Clouzot (1955 ; SPOILERS vers 1h00 ) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=3732.html- 1h21 (Casa) «Les Chinois à Paris» de Jean Yanne (1974) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=33113.htmlRecommandations (à la fin de chaque film traité) :(Gravlax) «Forest Warrior» d’Aaron Norris (1996) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=170682.htmlet la bande-annonce : https://youtu.be/m4wec14j_VcET «Une prière avant l’aube» de Jean-Stéphane Sauvaire (2018) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=232761.html(Gubi) «Esther» de Jaume Collet-Serra (2009) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=132783.htmlET «The Visit»de M.Night Shyamalan (2015) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=182943.html(Casa) « Astérix : Le Domaine des Dieux » d’Alexandre Astier et de Louis Clichy (2014) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187191.htmlFilms évoqués durant l’épisode :«Qui a tué Bambi ?» de Gilles Marchand (2003) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=46552.html«L’autre monde» de Gilles Marchand (2010) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=139361.html«Harry, un ami qui vous veut du bien» de Dominik Moll (2000) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=25210.html«Lemming» de Dominik Moll (2005) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=54145.htmlLe thriller qui a la même trame de base que «Dans la forêt» : «Edge of Winter» (Escapade fatale, en français) de Rob Connolly (2016) : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=238877.html«Diabolique» de Jeremiah Chechik (1996) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=14711.html«Moi, y’en a vouloir des sous» de Jean Yanne (1972) :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=33114.htmlMusique diffusée pendant l’épisode :Générique « Loud Pop » (Gravlax) Philippe Schoeller : « Cantate Isis » / « Esstal » / “The Eyes of the Wind I et II” Georges Van Parys « Les Diaboliques » / « B.O. Signé Arsène Lupin » Randy Edelman “B.O. The Boy Next Door” John Ottman “Orphan” Paul Cantelon “Epilogue Theme” Michel Magne “Carmeng” / « B.O. Moi y’en a vouloir des sous » Philippe Rombi « Générique Le domaine des dieux » / « Ouverture » / « Pectine prépare la potion » Bonus :- En prolongement du mini-débat sur les « bonnes fins » de films, cette vidéo du Fossoyeur de Films sur ce thème :https://www.youtube.com/watch?v=zTxNPp7PVBU- L’épisode de «Cinémarena» sur le comparatif entre « Les Diaboliques » et « Psycho » (ainsi que leurs remakes) : https://www.youtube.com/watch?v=TnZIGGO23rA- Conférence de Jean-Baptiste Thoret sur « Les Diaboliques » :https://www.dailymotion.com/video/xl9bui- Les 3 volumes du « Cinéma français, c’est de la merde ! » :Volume 1 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=152&controller=product&id_lang=1Volume 2 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=161&controller=product&id_lang=1Volume 3 : http://www.distore.tv/index.php?id_product=168&controller=product&id_lang=1- Chaîne YouTube TLV Podcast :https://www.youtube.com/channel/UCoLK73hPXzMYGnZEYVRvAEQ- Lien Twitter : https://twitter.com/TLVPodcast- Page Facebook : https://www.facebook.com/M.Gravlax- Page du podcast : https://podcast.ausha.co/tu-l-as-vu- Page Sens Critique avec tous les films traités dans le podcast :https://www.senscritique.com/liste/Tous_les_films_traites_dans_notre_podcast_Tu_l_as_vu_venez_n/2716388
durée : 00:04:55 - Le Journal de l'éco - Le débat sur la 5G se politise, après la tribune d’élus verts et de gauche pour son interdiction jusqu’à l’été 2021. Alors que la nouvelle technologie doit être installée dans les prochains mois, la promesse de « quatrième révolution industrielle » fait toujours rêver... et douter. Où est le mythe ?
Le joyeux trio Gravlax – Papa(Gubi)da – Casa est de retour dans son exploration de la filmographie dantesque de Gérard Depardieu, notre bon Gégé national. Cette fois-ci, il s’attaque aux métrages de la décennie 1990. Chacun a choisi 2 films qu’il n’avait pas vu ( ou au moins, pas depuis longtemps ). Les métrages évoqués dans cet épisode seront : - 5’15 ( Casa ) : « Uranus » de Claude Berri ( 1990 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=6263.html - 36’00 ( Gravlax ) : « Tous les matins du monde » d’Alain Corneau ( 1991 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1918.html - 54’40 ( Gubi et Casa ) : « 1492 : Christophe Colomb » de Ridley Scott ( 1992 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=7590.html - 1h39 ( Gravlax ) : « Une pure formalité » de Giuseppe Tornatore ( 1994 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=10057.html - 1h56 ( Gubi ) : « La Machine » de François Dupeyron ( 1994 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=11026.html Recommandations et films évoqués : Casa : - La série « Un Village Français » ( 2008 – 2017 ) http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=4117.html - « Lost City of Z » de James Gray ( 2017 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=223754.html - « Alexandre » d’Oliver Stone ( 2004 ; si possible dans sa version Alexander Revisited de 2007 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=51115.html Gravlax - « Amadeus » de Milos Forman ( 1984 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=67.html - « Barry Lyndon » de Stanley Kubrick http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=135.html Vraie recommandation : - « Quatre mouches de velours gris » de Dario Argento ( 1971 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=12705.html - « Malena » de Giuseppe Tornatore ( 2000 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=28504.html Vraie recommandation : « La jeune fille et la mort » de Roman Polanski ( 1995 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=96288.html Gubi - « Christophe Colomb : La découverte » de John Glen ( 1992 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=54891.html Vraies recommandations : « Mémoires de nos pères » de Clint Eastwood ( 2006 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60580.html « Lettres d’Iwo Jima » de Clint Eastwood ( 2007 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=112342.html - « Total Recall » de Paul Verhoeven ( 1990 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=6079.html - « Volte/Face » de John Woo ( 1997 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=99410.html Vraies recommandations : « Enemy » de Denis Villeneuve ( 2013 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=205131.html et la vidéo du Fossoyeur de Films sur le film : https://www.youtube.com/watch?v=CdNr61_lROE Autres films de Gérard Depardieu évoqués : - « Cyrano » de Jean-Paul Rappeneau ( 1990 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=5544.html - « Green Card » de Peter Weir ( 1990 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29560.html - « Hélas pour moi » de Jean-Luc Godard ( 1993 ) : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=8289.html Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=_h2LqozNgjg - « Les Anges Gardiens » de Jean-Marie Poiré ( 1995 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=13115.html et son bêtisier : https://www.youtube.com/watch?v=JtXU2JnBKM8 - « Astérix et Obélix contre César » de Claude Zidi ( 1999 ) http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=14539.html BONUS : - La rencontre de Depardieu avec Weinstein : https://www.youtube.com/watch?v=3D2t0g4fOMw Musique diffusée durant l’épisode : - Générique « Loud Pop » ( Gravlax ) - Jean-Claude Petit « Thème de Cyrano » - Jean-Claude Petit « B.O. Premiers Crus » - Éric Neveux « Générique Un Village Français » - Éric Neveux « Le Débarquement » - Jordi Savall : « Les Pleurs » ( Sainte-Colombe ) / « Gavotte du tendre » ( Sainte-Colombe ) / « Fantaisie en rondeau » ( Sainte-Colombe ) / « La Rêveuse » ( Marin Marais ) - Ennio Morricone « Come Un Madrigale » - Lully « Marche pour la cérémonie des Turcs » - Vangelis « B.O. 1492 » - Clint Eastwood « Platoon Swims » - Christopher Spelman « The Lost City of Z Theme » / « City of Gold » - Vangelis « Titans » / « The Drums Of Gaugamela » - Ennio Morricone « B.O. Una Pura Formalita » - Franz Schubert « La jeune fille et la mort » - Michel Portal « B.O. Max mon amour » - Lara Miller « Comin’ Around » - Camille Ballon « Edgy Mood » - Danny Bensi & Saunder Jurriaans « Control » - Caddies Mc KNight « Late Night Life » - Hans Zimmer « Greenhouse » - Roland Romanelli « Générique Astérix et Obélix contre César » / « La Potion Magique » - Mors « Sun Fade » - Gérard Depardieu « Ricordare ( Se souvenir ) » ( Version française ) Lien Twitter du podcast : https://twitter.com/TLVPodcast Page Facebook du podcast : https://www.facebook.com/M.Gravlax/ Page du podcast : https://podcast.ausha.co/tu-l-as-vu Page Sens Critique avec tous les films traités dans le podcast : https://www.senscritique.com/liste/Tous_les_films_traites_dans_notre_podcast_Tu_l_as_vu_venez_n/2716388
Le joyeux trio Gravlax – Papa(Gubi)da – Casa est de retour dans son exploration de la filmographie dantesque de Gérard Depardieu, notre bon Gégé national. Cette fois-ci, il s’attaque aux métrages de la décennie 1990. Chacun a choisi 2 films qu’il n’avait pas vu ( ou au moins, pas depuis longtemps ).Les métrages évoqués dans cet épisode seront :- 5’15 ( Casa ) : « Uranus » de Claude Berri ( 1990 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=6263.html - 36’00 ( Gravlax ) : « Tous les matins du monde » d’Alain Corneau ( 1991 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1918.html- 54’40 ( Gubi et Casa ) : « 1492 : Christophe Colomb » de Ridley Scott ( 1992 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=7590.html - 1h39 ( Gravlax ) : « Une pure formalité » de Giuseppe Tornatore ( 1994 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=10057.html - 1h56 ( Gubi ) : « La Machine » de François Dupeyron ( 1994 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=11026.html Recommandations et films évoqués :Casa :- La série « Un Village Français » ( 2008 – 2017 )http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=4117.html - « Lost City of Z » de James Gray ( 2017 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=223754.html - « Alexandre » d’Oliver Stone ( 2004 ; si possible dans sa version Alexander Revisited de 2007 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=51115.html Gravlax- « Amadeus » de Milos Forman ( 1984 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=67.html - « Barry Lyndon » de Stanley Kubrickhttp://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=135.html Vraie recommandation : - « Quatre mouches de velours gris » de Dario Argento ( 1971 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=12705.html - « Malena » de Giuseppe Tornatore ( 2000 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=28504.html Vraie recommandation : « La jeune fille et la mort » de Roman Polanski ( 1995 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=96288.html Gubi- « Christophe Colomb : La découverte » de John Glen ( 1992 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=54891.html Vraies recommandations : « Mémoires de nos pères » de Clint Eastwood ( 2006 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60580.html « Lettres d’Iwo Jima » de Clint Eastwood ( 2007 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=112342.html - « Total Recall » de Paul Verhoeven ( 1990 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=6079.html - « Volte/Face » de John Woo ( 1997 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=99410.html Vraies recommandations : « Enemy » de Denis Villeneuve ( 2013 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=205131.htmlet la vidéo du Fossoyeur de Films sur le film :https://www.youtube.com/watch?v=CdNr61_lROE Autres films de Gérard Depardieu évoqués :- « Cyrano » de Jean-Paul Rappeneau ( 1990 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=5544.html - « Green Card » de Peter Weir ( 1990 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29560.html - « Hélas pour moi » de Jean-Luc Godard ( 1993 ) :http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=8289.html Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=_h2LqozNgjg - « Les Anges Gardiens » de Jean-Marie Poiré ( 1995 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=13115.html et son bêtisier :https://www.youtube.com/watch?v=JtXU2JnBKM8 - « Astérix et Obélix contre César » de Claude Zidi ( 1999 )http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=14539.html BONUS :- La rencontre de Depardieu avec Weinstein :https://www.youtube.com/watch?v=3D2t0g4fOMwMusique diffusée durant l’épisode :- Générique « Loud Pop » ( Gravlax )- Jean-Claude Petit « Thème de Cyrano »- Jean-Claude Petit « B.O. Premiers Crus »- Éric Neveux « Générique Un Village Français »- Éric Neveux « Le Débarquement »- Jordi Savall : « Les Pleurs » ( Sainte-Colombe ) / « Gavotte du tendre » ( Sainte-Colombe ) / « Fantaisie en rondeau » ( Sainte-Colombe ) / « La Rêveuse » ( Marin Marais )- Ennio Morricone « Come Un Madrigale »- Lully « Marche pour la cérémonie des Turcs »- Vangelis « B.O. 1492 »- Clint Eastwood « Platoon Swims »- Christopher Spelman « The Lost City of Z Theme » / « City of Gold »- Vangelis « Titans » / « The Drums Of Gaugamela »- Ennio Morricone « B.O. Una Pura Formalita »- Franz Schubert « La jeune fille et la mort »- Michel Portal « B.O. Max mon amour »- Lara Miller « Comin’ Around »- Camille Ballon « Edgy Mood »- Danny Bensi & Saunder Jurriaans « Control »- Caddies Mc KNight « Late Night Life »- Hans Zimmer « Greenhouse »- Roland Romanelli « Générique Astérix et Obélix contre César » / « La Potion Magique »- Mors « Sun Fade »- Gérard Depardieu « Ricordare ( Se souvenir ) » ( Version française )Lien Twitter du podcast : https://twitter.com/TLVPodcastPage Facebook du podcast : https://www.facebook.com/M.Gravlax/Page du podcast : https://podcast.ausha.co/tu-l-as-vuPage Sens Critique avec tous les films traités dans le podcast :https://www.senscritique.com/liste/Tous_les_films_traites_dans_notre_podcast_Tu_l_as_vu_venez_n/2716388
Dans cette analyse de WWE Smackdown : DONG ! RaphaHell a un taf de dingue, Papy tape une sieste, UnderTonton Chris à la bourre , Yerem est enfin déconfiné, Ringseid est en embuscade, et la retraite à 55 ans, vous en avez rêvé, l'Undertaker l'a fait.
La Normandie. Les 60's. Gabin. Bebel. Audiard. Verneuil. L'alcool. Que vous faut-il de plus ? Filez voir ce film ! Abonnez-vous au podcast pour ne rater aucune épisode du Plan Q Une oeuvre à nous suggérer ? Laissez-nous un commentaire !
On a un Discord, rejoignez-nous, on sera contents de discuter avec vous ! https://discord.gg/KPXcfGZ Une page Instagram pour se tenir au courant des publications d'épisodes : @lpdlgpodcast Et enfin on est sur Twitter : @pieds_g Cette fois-ci, Les Pieds dans la g*** aborde le sujet de ses origines, du moins celles de son titre ! Focus sur les nanars, ces mauvais films qu'on adore tous regarder. On s'excuse pour le son, promis, on travaille sur l'amélioration de nos enregistrements ! Films cités Bradock : Portés disparus 3 - Aaron Norris Le Terroriste - Godfrey Ho Dark Planet - Albert Magnoli L'Homme puma - Alberto De Martino Turkish Superman - Kunt Tulgar Quarantine 2 : Terminal - John Pogue Urban Legend 3 : Bloody Mary - Mary Lambert Mega Force - Hal Needham Apollo 18 - Gonzalo Lopez-Gallego Simetierre - Kevin Kölsch et Dennis Widmyer The Room - Tommy Wiseau Samurai Cop - Amir Shervan Plan 9 from Outer Space - Ed Wood Ninja 3 : la domination - Sam Firstenberg 2012 - Roland Emmerich Godzilla - Roland Emmerich Le Lac des morts vivants - Jean Rollin, Julian de Laserna et Jess Franco Road House -Rowdy Herrington House of the Dead - Uwe Boll Recommandations : Antoine : Io de Jonathan Helpert Charlotte : L'épisode du Fossoyeur de Films sur les nanars https://youtu.be/jmq_9l2i6Sg L'émission Crossed de Karim Debbache Sophie : La Nuit Nanarland et le PIFFF Crédits musicaux générique : Lemon – Double Dragon https://soundcloud.com/double-dragon-fr
Ce soir on vous montre l'envers du décor de la vie de YouTuber, car derrière les tutos beauté et autres vidéos gaming se cache aussi des travailleurs en besoin de représentation. Et c'est tout le but de la Guilde des vidéastes, une association qui s'est donnée pour mission d'accompagner et de défendre les intérêts des Youtubers. Guillaume Hidrot, son directeur général, et François Theurel, son président - que vous connaissez sûrement sous le pseudonyme du Fossoyeur de films - et Valentine Jongen (aka Val so Classic sur YouTube) sont nos invités. Théo Monteil vient nous parler des petites mains d'internet, autrement dit les fermes à clics dans lesquelles sont générés des likes sur les applications mobiles. Plus tard, Karina Jouhaud consacre son Zoom à l'exposition De l'amour au palais de la Découverte en présence de la Commissaire d'exposition, Maud Gouy. Maëlle Savina conclut cette émission avec sa chronique dédiée aux conséquences de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Vous avez le programme, bienvenue dans la Matinale de 19 heures ! Présentation : Hugo Passard / Co-interviews et Web : Mathieu Piccarreta / Zoom : Karina Jouhaud / Réalisation : Swann Blanchet / Coordination : Jules Benveniste
Ce soir on vous montre l'envers du décor de la vie de YouTuber, car derrière les tutos beauté et autres vidéos gaming se cache aussi des travailleurs en besoin de représentation. Et c'est tout le but de la Guilde des vidéastes, une association qui s'est donnée pour mission d'accompagner et de défendre les intérêts des Youtubers. Guillaume Hidrot, son directeur général, et François Theurel, son président - que vous connaissez sûrement sous le pseudonyme du Fossoyeur de films - et Valentine Jongen (aka Val so Classic sur YouTube) sont nos invités. Théo Monteil vient nous parler des petites mains d'internet, autrement dit les fermes à clics dans lesquelles sont générés des likes sur les applications mobiles. Plus tard, Karina Jouhaud consacre son Zoom à l'exposition De l'amour au palais de la Découverte en présence de la Commissaire d'exposition, Maud Gouy. Maëlle Savina conclut cette émission avec sa chronique dédiée aux conséquences de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Vous avez le programme, bienvenue dans la Matinale de 19 heures ! Présentation : Hugo Passard / Co-interviews & Web : Mathieu Piccarreta / Zoom : Karina Jouhaud / Réalisation : Swann Blanchet / Coordination : Jules Benveniste
Coup de gueule à propos de la polémique actuelle concernant "Meero"... L'article de Joëlle Verbrugge dont je parle dans l'épisode : https://blog.droit-et-photographie.com/que-penser-des-plateformes-de-mise-en-relation-photographes-clients Plus d'infos et de conseils pour les photographes pro : https://photographe-stratege.com/
durée : 00:01:55 - Curiosités de Normandie FB Normandie (Rouen) -
Micke présente un 2ème épisode de l'Atelier Radio Y, consacré au réalisateur américain Jeremy Saulnier. En compagnie de Adrien, Romain et Valentin, on passe en revue sa carrière et on discute de ses films:2007 : Murder Party (Netflix)2013 : Blue Ruin2015 : Green Room2018 : Aucun homme ni dieu (Netflix) N'hésitez pas à venir en discuter avec nous sur la page FB de l'émission:FACEBOOK RADIO Y Chaine Youtube de Valentin - Les Chroniques du CinéphileSon InstagramYoutube du Fossoyeur de films
14ème épisode de notre podcast où nous allons terminer l'année en beauté avec deux films qui sont les premiers volets de sagas réussies... enfin surtout d'un point de vue commercial. "Shark Attack", premier du nom de Bob Misiorowski en 1999 va initier deux suites et ouvrir à "Nu Image", jusque là spécialisé dans le fantastique ou l'action, le créneau attractif et facile du film de bestioles agressives. "Sharknado" d'Anthony C. Ferrante sorti en 2013 va connaître un triomphe surprise avec ses tornades de requins, décliner son concept (dans tous les sens du terme)sur 6 numéros, faire le succès de "The Asylum" et s'attirer la rancœur d'une bonne partie des amateurs de série B. d'exploitation... Recommandation :L'indispensable liste récapitulative Sens Critique de QuentinLes podcasts Nanarland évidemmentLa vidéo du Fossoyeur de Films qui revient sur les nanars en général et le cas Sharknado en particulierLe podcast Eurodance Voices de Maad'Hakim dédié aux voix qui ont fait vivre l'Eurodance music
C'est comme un blind-test, mais avec les plus horribles des questions horribles compilées par Le Fossoyeur de Flims. La 3ème Nuit Originale, c'est une nuit blanche de radio libre avec les gens les plus chouettes et fous de tout l'Internet ! Abonnez-vous pour voir la suite :) Faites passer à vos amis et venez par milliards :) #NuitOriginale !FB: http://www.facebook.com/fromloriginaleFORUM: http://www.loriginale.netAvec les belles personnes de MadmoiZelle: http://www.madmoizelle.com
Le Fossoyeur prend la main pour un quiz "un peu couillu". Un moment plein d'émotion à la limite du clash. Et plein de bonheur.------------------------------------------------Abonnez-vous ! @madeinloriginale------------------------------------------------A suivre sur www.loriginale.netFACEBOOK: www.facebook.com/fromloriginaleTWITTER: www.twitter.com/DrHercouetSNAPCHAT: DrHercouet
On parle de critique ciné, de féminisme, de la relation étrange entre les super-héros et une certaine forme d’intégrisme, de la mutation des blockbusters, mais aussi de X-Files et d’un des plus grands classiques de l’Histoire du Cinéma, Judge Dredd ! Le deuxième Podcast accueille le Fossoyeur de Films, rejoint par Axolot.Le Fossoyeur de Films sur Facebook: https://www.facebook.com/LeFossoyeurDeFilms?fref=tsSur YouTube: https://www.youtube.com/user/deadwattsofficielSur Twitter: https://twitter.com/FrancoisTheurel------------------------------------------------Abonnez-vous ! @madeinloriginale------------------------------------------------A suivre sur www.loriginale.net ou sur Twitter www.twitter.com/DrHercouet
Patrick Baud inaugure #QSCG avec, en co-star, le Fossoyeur de Films. Axolot est un blog, un bouquin et une chaine YouTube qui s’intéresse aux phénomènes les plus étonnant du monde qui nous entoure (l’Espace, le cerveau, les chats…) On parle de l’avenir de l’informatique, de vieilles séries de science-fiction sympathiques, et de cette récente découverte qui va peut-être littéralement vous mettre en transe.Axolot: http://www.axolot.info/Sur YouTube: https://www.youtube.com/user/AxolotblogSur Twitter: https://twitter.com/axolotblogSur Facebook: https://www.facebook.com/Axolotblog
C'est une des legendes de l'internet que nous rencontrons pour vous aujourd'hui. Un de ceux qui font et defont les reputations sur la toile. Nul ne sait qui il est. Ni ou il habite. Ni meme a quoi il ressemble. Vous ne le connaissez pas. Il vit incognito. Il agit dans l'ombre. Son pouvoir est immense. Pour vous, auditeurs de l'Inaudible, rien que pour vous, et en premiere et derniere exclusivite multinationale, l'Inaudible rencontre Marc Olazrid.
L'interview de Marc Olazrid en video.